Revoici KDG, face á Kanambe !

Mwana ya Congo a écrit:

Ma Sulamite a écrit:Quel interet ont les occidentaux a voir le Kivu se depeupler?

Franchement, je ne sais plus quoi penser de ce que vous ecrivez...
Soit, ce sont vos points de vue et je les prend comme tel !

A suivre !

Ma Sulamite a écrit:
Quel interet ont les occidentaux a voir le Kivu se depeupler?

Mwana ya Congo a écrit:
Franchement, je ne sais plus quoi penser de ce que vous ecrivez...
Soit, ce sont vos points de vue et je les prend comme tel !

ndonzwau a écrit:
A suivre !
MyC, bien sûr que comme vous chacun ici parle en son nom sur ce qu'il voit au
Congo et dans le monde et en tire son constat, ses conclusions; là personne
n'est dupe ! A moins que vous croyiez que vous et d'autres nous ne proclamons
ici tous que des vérités d'Evangile ! Pas moi, alors occupons-nous à argumenter
nos positions...

Sincèrement selon moi, cher MyC, vous faites l'impasse de chercher à comprendre
les autres et surtout à user d' un amalgame dangereux !
En effet, personne à mon avis, personne ici ne croit que les Occidentaux ou
d'autres étrangers ne viennent chez-nous que pour nos beaux yeux ou pour
essuyer nos larmes... Personne n'est dupe que les Etats ont d'abord leurs intérêts
à poursuivre dans leurs relations avec les autres Etats !
Mais où se trouve dans ces relations l'impératif à chercher ainsi à voir souffrir
des pauvres enfants, femmes et hommes du Tiers-Monde ? Mais où trouvez-vous
qu'en raison de leurs intérêts ils soient insensibles à leurs souffrances et au
besoin ne trouvent de leurs responsabilités des pays riches et en paix de leur
venir en aide ?

Les puissants ont leurs agendas (de balkanisation ou de repeuplement, de prédation...)
chez-nous mais on ne peut pas les reduire à une volonté délibérée de n'y apporter
que la souffrance et c'est aussi en en prenant conscience que nous pouvons mieux
les affronter surtout qu'il existe aussi dans ces Etats des opinions publiques parmi
leurs citoyens dont ils tiennent compte, des citoyens qui sont des êtres humains
comme nous qui ne manquent ni de bonté ni de sagesse...

Pour moi c'est cet amalgame : intérêts = déficits de devoirs d'indignation et d'aides;
amalgame : intérêts stratégiques des Etats = consciences nationales et internationales
opposées à vouloir la paix, le bonheur pour les moins nantis... qui vous empêche de
comprendre vos contradicteurs car pour le reste ils sont bien d'accord avec vous!
D'ailleurs si on allait même au fond d'une logique d'exploitation optimale, on peut
même affirmer que l'administration Obama par exemple n'est pas loin de penser
que les Usa tireront plus des richesses qu'ils recherchent dans nos pays africains,
nos territoires en paix, nos pouvoirs bien démocratiques et stables, nos sociétés
en meilleures conditions sociales plutôt que le contraire...
Voilà pour clore cette page !

Compatriotiquement!

*CNMM a écrit:
DOCTEUR Ndonzwau,

Quelle hypocrisie de votre part !
Auriez-vous êté aussi nuancé dans votre jugement envers les KABILA Père (LDK) et Fils (JKK) ?

Est-ce du fait de vos liens de consanguïnité avec les Occidentaux et les Juifs qui vous fait modérer votre analyse de leurs crimes sur la RDC ?

Oui, bien sûr que nous sommes témoins de leur EXTRÊME BONTÉ envers :
- les Indiens d'Amérique qu'ils ont GÉNOCIDÉ ;
- les Pappous, Calonédiens ;
- les Palestiniens qu'ils ont juré de sacrifier pour se dédouaner d'avoir GÉNOCIDÉ les Cousins Sémites (Juifs) de ces derniers
- les Noirs pendant la période :
^d'esclavagisme
^de la colonisation,
^de la ségrégation raciale en Rhodésie, en RSA, dans l'É.I.C du roi Léopold II,
^de la guerre froide,
^de la destabilisation post-Indépendance des jeunes États Africains,
^de l'agression de l'Ougand dans les années 80', du RWANDA de 1990 à 1994,
du ZAÏRE de 1994 à 1996, de la RDC de 1998 à ce jour,
^de la "mondialisation",...

À quand le TRIBUNAL INTERNATIONAL pour juger les CRIMES perpetrés par les Pays Occidentaux depuis la traite de Noirs jusqu'à nos jours en passant par ceux de leurs conquêtes, dans leurs colonies et des conséquences de leurs politiques de prédation sur l'Afrique et Ses Peuples dont les RDCongolais ?

*CNMM

ANGOPRESS a écrit:
Kinshasa ne veut "pas avoir affaire" avec le commissaire européen de Gucht
(AngolaPress 08/01/2010)
RDC - KINSHASA - "Les autorités de la RD Congo ont confirmé jeudi avoir déclaré personna non grata le commissaire européen à l'Aide au développement, le Belge Karel de Gucht, qualifié par Kinshasa de "personnage incapable d'entretenir des relations dignes avec" la RDCongo.e "Nous constatons qu'il.."
http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=501263&no_categorie=

Mwana ya Congo a écrit:

Ma Sulamite a écrit:Quel interet ont les occidentaux a voir le Kivu se depeupler?

Franchement, je ne sais plus quoi penser de ce que vous ecrivez...
Soit, ce sont vos points de vue et je les prend comme tel !

A suivre !

Karel De Gucht, membre de la Commission.
- Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, il y a environ un an, la situation de Goma, assiégée par les troupes du CNDP menées par Laurent Nkunda, était la préoccupation principale des autorités congolaises et de la communauté internationale.
Tout a été mis en œuvre pour éviter le pire. Promouvoir un accord politique, d'abord entre la RDC et le Rwanda, et ensuite entre le gouvernement congolais, le CNDP et les autres groupes armés a permis, à court terme, de désamorcer le détonateur d’une explosion de violences dont le potentiel déstabilisateur reste aujourd'hui néanmoins intact. Intact parce que les causes sous-jacentes ont été abordées de façon superficielle et dans une pure logique politique de court terme. N'ayant devant soi que de mauvaises solutions, la communauté internationale a opté pour la moins grave; ce n'est pas une critique, juste une évidence, une constatation.
La communauté internationale et l'Union européenne n'ont pas pu se décider à envoyer une force de protection. Les renforcements de la MONUC demandés depuis plus d’un an commencent à peine à arriver. Le récent rapport du groupe d'experts indépendants des Nations unies ainsi que celui de l'organisation Human Rights Watch font un constat accablant de la situation actuelle qu'il n'est pas possible d'ignorer ou de passer sous silence.
Il est maintenant temps que ces causes profondes soient abordées, traitées, et que des solutions durables soient envisagées. Pour ce faire, il faut néanmoins la coopération de tout le monde, des gouvernements congolais et rwandais, en premier lieu, de la MONUC et des Nations unies, du reste de la communauté internationale et de l'Union européenne, ensuite.

Nul ne doute que le rapprochement politique et diplomatique entre le Rwanda et la RDC puisse être bénéfique pour la stabilité de la région et permettre, si la volonté existe de deux cotés, de conduire à une coexistence pacifique et à une coopération profitable aux deux pays au sein d’une CEPGL redynamisée.
Toutefois ceci n'est que le début d'un chemin qui est encore long et pavé de difficultés. La question des FDLR est au cœur du problème ainsi que toutes les problématiques annexes qu'elle entraîne et qui compliquent la donne: l'exploitation illégale des ressources naturelles; le manque de protection des minorités; l'impunité dans une vaste zone de non-État, où la puissance publique non seulement est incapable d'assurer le contrôle du territoire mais dont les représentants font souvent partie du problème.

L'accord Rwanda-RDC a permis de neutraliser temporairement le CNDP et les revendications inacceptables de Laurent Nkunda. L’accord s’est tout simplement soldé par le remplacement de Nkunda par Bosco Ntaganda, plus malléable et prêt à n’importe quel compromis, en échange d’une immunité en violation de toutes les dispositions internationales en matière de crimes contre l’humanité que ni le Rwanda ni la RDC ne sont en droit ni en position de lui accorder.
À ce jour, l'intégration hâtive du CNDP dans une armée inefficace et en proie à la gabegie, comme le sont FARDC; l'obtention, par Bosco Ntaganda, d'un pouvoir autonome accru résultant de la mise ne place d'une chaîne de commandement parallèle au sein des FARDC, auquel le paiement irrégulier des militaires et l'absence de toute forme de discipline et de toute hiérarchie fournissent un terrain fertile; l'appui de la MONUC aux opérations militaires contre les FDLR qui n’est pas suffisamment encadré et calibré, et le manque de réponse face aux revendications des minorités rwandophones, sont des facteurs qui risquent de créer des problèmes encore plus graves que celui auquel nous étions confrontés il y a un an – des problèmes que ni le Rwanda ni la RDC ne seront plus à même de gérer.

Sur cette toile de fond, la situation ne s'est guère améliorée: la crise humanitaire se poursuit sans signaux évidents d'amélioration, tout comme les violations des droits de l’homme, le phénomène exécrable des violences, voire des atrocités sexuelles, l'impunité pour toutes sortes de crimes, le pillage des ressources naturelles. Il suffit de lire les rapports des Nations unies et de l'organisation Human Right Watch que j'ai mentionnés pour prendre la mesure de l'ampleur de cette tragédie sans fin. Il est clair que les actions qui visent à mettre hors d’état de nuire les FDLR doivent se poursuivre, mais pas à n'importe quel prix, pas sans avoir d'abord mis tout en place pour minimiser les risques que la pression militaire entraîne pour les civils innocents.
Cela requiert une meilleure planification, le recentrage des priorités et une capacité accrue de la MONUC d'assurer la protection des populations, la première tâche prévue par son mandat. Il faut aussi que les conditions dans lesquelles la MONUC peut opérer soient claires et sans ambiguïté. Il n'est pas question ici de demander un retrait ou un désengagement de la MONUC. Un départ hâtif de la MONUC serait catastrophique car il rendrait le vide encore plus vide: les événements récents de l'Équateur, qui sont avant tout un symptôme supplémentaire du mal congolais, le démontrent.

Il est clair qu’il faut aussi mettre fin aux connivences politiques et économiques dont les FDLR continuent à bénéficier dans la région et ailleurs dans le monde, dans nos États membres entre autres. Le combat des FDLR n’est pas un combat politique, mais une action criminelle dont la population congolaise est la première victime, et c’est ainsi qu’il doit être traité comme tous ceux qui s'y associent directement ou indirectement. C'est pourquoi il faut plus de fermeté face à toutes sortes de trafics. En même temps, au delà du processus de démobilisation, désarmement, réinsertion, réintégration et rapatriement (DDRRR), une plus grande clairvoyance des autorités rwandaises et congolaises vis-à-vis de ceux qui ne sont pas nécessairement des criminels est de mise.

Cela étant, une bonne partie du problème doit également trouver une solution en RDC. Je pense bien entendu aux racines locales du conflit. À ce propos, les accords du 23 mars doivent être intégralement appliqués sous peine de voir, tôt ou tard, les frustrations des populations locales prendre le dessus. C’est une condition sine qua non pour que les efforts de stabilisation et la volonté de relancer l’activité économique dans les Kivus puissent réussir. Le rôle de la communauté internationale pourra alors être vraiment.
Cependant, au-delà des Kivus, je pense aussi à l’énorme gâchis qu’est devenue depuis une vingtaine d’années, la RDC – un pays où presque tout est à refaire, à commencer par la reconstruction de l’État dont l’absence est au cœur de tous les problèmes.

Pour ce faire, quelques éléments sont cruciaux. En premier lieu, il faut une consolidation de la démocratie. Je pense bien entendu aux élections, locales, législatives et présidentielles qui s'annoncent pour 2011. Les élections sont un élément de la démocratie mais il ne faut pas oublier la nécessité de continuer à soutenir les institutions et les forces politiques dans une dimension dialectique avec l’opposition, sans laquelle nous ne serions pas dans un système politique véritablement ouvert.

Le deuxième élément, c’est assurément la nécessité d’approfondir la bonne gouvernance. Or, s’il est vrai que, devant l’ampleur des problèmes, la RDC ne peut pas tout faire à la fois, il est clair qu’il faut une volonté politique sans faille pour avoir une chance de réussir. Le Parlement a mentionné la question de l’impunité. C’est un bon exemple, car il s'agit d'une question de volonté politique qui sous-tend par ailleurs toute la question de l’affirmation de l’État de droit. Le problème est que les choses ne peuvent pas se faire isolément. L’État de droit requiert aussi une réforme du secteur de la sécurité et des progrès réels dans la gouvernance économique.
L’ampleur des défis implique des politiques sur le long terme. Toutefois, cela ne doit pas constituer une excuse pour que des actions plus immédiates ne voient pas le jour. Je pense notamment à la question des violences sexuelles et des droits de l’homme que le Parlement a mise en exergue. La volonté politique peut y jouer un rôle déterminant et il faut saluer à ce titre l’engagement de faire preuve d'une tolérance zéro pris par le part du Président Kabila. Il faut maintenant l’appliquer.
La Commission, qui fait d’ailleurs déjà beaucoup dans ce domaine (appui à la justice, aide aux victimes), est prête à poursuivre son appui à la RDC. À ce titre j’ai également souhaité qu’une coopération plus étroite dans le domaine de la lutte contre les violences sexuelles se mette en place sur le terrain entre la CPI et la Commission.
Consolidation du système démocratique, bonne gouvernance, volonté politique: voici les éléments clés sur lesquels nous voudrions bâtir notre partenariat d'égal à égal avec la RDC.

ANGOPRESS a écrit:
Kinshasa ne veut "pas avoir affaire" avec le commissaire européen de Gucht
(AngolaPress 08/01/2010)
RDC - KINSHASA
- "Les autorités de la RD Congo ont confirmé jeudi avoir déclaré personna non grata le commissaire européen à l'Aide au développement, le Belge Karel de Gucht, qualifié par Kinshasa de "personnage incapable d'entretenir des relations dignes avec" la RDCongo.e "Nous constatons qu'il.."

http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=501263&no_categorie=

Louis Michel, au nom du groupe ALDE.
– Monsieur le Président, Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, j'ai toujours été, comme vous le savez, très attentif à ce qui se passe à l'est de la RDC. Malgré l'avancée prometteuse réalisée grâce au récent rapprochement entre le Rwanda et la RDC – rapprochement sans lequel il n'y aura pas de solution à l'est et qu'il faut donc consolider –, malgré les accords du 23 mars, M. le commissaire en a parlé, entre Kinshasa et le groupe rebelle congolais, la situation à l'est reste douloureusement préoccupante.

Je voudrais évoquer sept considérations. La première, c'est que tant que les FDLR n'auront pas été mis hors d'état de nuire, il sera sans doute impossible de pacifier l'est du Congo. Malheureusement, les premières victimes de la pression militaire que la RDC exerce actuellement et qui vise à couper ces extrémistes de leurs bases et de leurs sources de financements sont les populations civiles, victimes des dommages colatéraux, mais aussi de la vindicte des uns et des exactions des autres.
Ce risque-là était prévisible et, le commissaire l'a dit, il fallait, dès le départ, renforcer les capacités de la MONUC qui, aujourd'hui encore, manque cruellement de ressources adaptées pour faire face à toutes les sollicitations et dont l'organisation sur le terrain n'est d'ailleurs pas toujours idéale.
Même si l'on doit exiger une meilleure coordination et une présence plus effective et plus large sur le terrain, il serait cependant risqué de tenir des jugements ou des propos sur la MONUC qui pourraient donner des arguments à certaines forces négatives pour la diaboliser. Et ça, évidemment, ce serait encore beaucoup plus grave.

Un autre élément touche aux exactions des FARDC. Le contexte de la guerre ne peut évidemment justifier ces comportements en aucune manière, et je salue à ce titre la décision prise par les Nations unies de ne plus appuyer, au niveau de la logistique, les unités congolaises qui ne respectent pas les droits de l'homme. La politique de la tolérance zéro récemment instaurée par le président Kabila doit être évidemment saluée. Encore faut-il qu'elle soit respectée et mise en œuvre.
Les carences du système judiciaire congolais créent un sentiment généralisé d'impunité. C'est pour cela que j'encourage les efforts consentis par la Commission en étroite collaboration avec certains des États membres de l'Union européenne pour travailler à la restauration d'un système judiciaire, y compris à l'est.
Enfin, dernier élément: ce qui reste à reconstruire au Congo, c'est un État de droit avec de véritables fonctions régaliennes qui, aujourd'hui, sont totalement inexistantes et donc créent un vide extrêmement grave.

*CNMM a écrit:
DOCTEUR NDONZWAU,

Ces HYPOCRITES OCCIDENTAUX, n'osent jamais pointer leurs propres responsabilités dans cette tragédie dont ils sont les INITIATAIRES, CONCEPTEURS, AUTEURS, MAÎTRES D'OUVRAGE, ARCHITECTES, LOGISTICIENS, FINANCIERS, ORDONATEURS, PLANIFICATEURS, STRATÈGES, DONNEURS D'ORDRES, CHEFS DE PROJET, etc. MAÎTRES en toutes choses

Ne savaient-ils pas qu'en armant les réfugiés TUTSIS de MUSEVENI et de Paul KAGÔMÉ (par les USA, le CANADA et GERMANO-ANGLO-SAXONS) contre les HUTUS d'HABYARIMANA, ceux-ci à leur tour armés par les FRANCAIS que cela allait causer ce qui est arrivé ?

Qui diantre ! a amené les HUTUS au ZAÏRE, n'est-ce pas eux les OCCIDENTAUX ?

Pourquoi ne les ramenent-ils pas en Occident à défaut d'imposer à Paul KAGÔMÉ un DIALOGUE INTER-RWANDAIS à l'insta de ce qu'ils nous ont imposés avec des TERRORISTES tout aussi ignobles que les FPR/APR/RDF (TUTSIS) et les FDLR (HUTUS) ?

Que signie cette SADIQUE protection du régime minoritaire et GÉNOCIDAIRE TUTSIS de Paul KAGÔMÉ par les OCIDENTAUX au détriment des Vies des RDCONGOLAIS(ES) ?

*CNMM

Karel de Gucht a certainement raison de souligner le manque de volonté
politique comme une des raisons pour expliquer la situation actuelle du
Congo

Libre Examen a écrit:Dom,

Merci pour le texte.

Karel de Gucht a certainement raison de souligner le manque de volonté politique comme une des raisons pour expliquer la situation actuelle du Congo. Mais il y a plus que cela. C'est que le clientélisme et la cleptomanie sont le mode de fonctionnement du gouvernement. Toutes les mesures qu'on pourrait prendre n'y feront rien, car ce sont ceux qui sont au pouvoir qui sont au coeur du système. Ce sont à eux qu'il faudrait s'attaquer.

Tolérance zéro, rien ne sera plus comme avant... On a entendu ça sous Mobutu ! Rien que des slogans.

Arafat a écrit:

Karel de Gucht a certainement raison de souligner le manque de volonté
politique comme une des raisons pour expliquer la situation actuelle du
Congo

Quand on se souvient que le président de la république a lui même declaré qu´il lui manquait au moins15 personnes autour de lui pour mener à bien sa politique, il y a lieu de se demander pourquoi toutes ces agitations suite aux propos tenus par KDG.

Arafat a écrit:

Karel de Gucht a certainement raison de souligner le manque de volonté
politique comme une des raisons pour expliquer la situation actuelle du
Congo

Quand on se souvient que le président de la république a lui même declaré qu´il lui manquait au moins15 personnes autour de lui pour mener à bien sa politique, il y a lieu de se demander pourquoi toutes ces agitations suite aux propos tenus par KDG.

Soit, excellent diagnostic de notre Chef mais jusqu'à preuve du contraire c'est lui
le Grand Chef qui fait et défait tout; que diable ne se décide-t-il pas à trouver
ces 15 bons collaborateurs et à s'en entourer pour la meilleure gestion du pays ?

Arafat a écrit:

Soit, excellent diagnostic de notre Chef mais jusqu'à preuve du contraire c'est lui
le Grand Chef qui fait et défait tout; que diable ne se décide-t-il pas à trouver
ces 15 bons collaborateurs et à s'en entourer pour la meilleure gestion du pays ?

Je pense qu´en disant cela, le président de la république voulait dire qu´il n´avait pas la possibilité de choisir les hommes de son choix (coalition oblige) et qu´il était justement l´otage de cette coallition. Il distilait ainsi son message pour son prochain mandat : Donnez-moi la majorité absolue et j´aurai ainsi les mains libres pour agir.

*CNMM a écrit:
DOCTEUR NDONZWAU,

À vous lire, vous résumez le "MAL ZAÏROS versus RDCONGOLAIS" en la personne de votre personnage fantasmagorique dit : "KANAMBÉ".
À vous entendre, il suffirait de le décapiter devant la BASTILLE, oh, pardon ! devant la villa de Jean-Pierre BEMBA GOMBO, à KALINA (Gombe), à LEO (Kin), pour que la RDC redevienne le Paradis sur Terre à l'instar du Paradis que vous et Jean-Pierre BMBA GOMBO aviez réussi à offrir au ZAÏROIS sous la dictature de Mobutu de 1965 à 1997 et
avec Jean-Pierre BEMBA GOMBO, de 1998 à 2003, durant son atroce rebellion, à l'Équateur !

Plus que vos ABSTRAITES incantations haineuses, donnez-nous les preuves concrètes de ce fameux modèle de votre EXCELLENTE GESTION PARADISIAQUE sous les Administrations Jean-Pierre BEMBA GOMBO et J-D MOBUTU !

À quoi sert les élections si c'est pour aboutir à un Gouvernement d'Union Nationale ?
Sur quels critères objectfs allez-vous former ce fameux Gouvernement d'Union Nationale ?
Il serait constitué de combien des millions de Ministres Nationaux et Provinciaux afin des contenter la CONVOITISE des tous les ENVIEUX pareils à vous ?
Le ZAÏRE versus la RDC a déjà fait l'expérience de ces fameux Gouvernements d'Union Nationale entre 1960 et 2006 dont le sordide "1+4" de 2003 à 2007, issu du DIC et de l'AGI made RSA...

Quelle en fut l'efficience comparé à la gestion de la partie sous Administration de Kinshasa entre 1998-2001 et 2001-2003 d'une part ?
et d'autre part, entre la gestion du Gouvernement de Kinshasa de 1998 à 2003 et la gestion des Territoires administrés par vos comparses rebelles dans la même période ?

Aidez-nous à trouver des bons exemples de la gestion de vos amis rebelles à proposer, aujourd'hui, à ceux qui dirigent la RDC et que vous maudissez jour et nuit !

VOICI LES FAITS MATÉRIELS, HISTORIQUES, FACTUELS, INFASCIFIABLES & VÉRIFIABLES :

Les élections Présidentielles et Législatives ont eu lieu en RDC, en 2006.

01°- Bon nombre d'activistes de la SOCIÉTÉ CIVILE y ont concouru et pas mal d'entre eux ont été élus Sénateurs, Députés Nationaux ou Provinciaux, d'autres sont même Ministres Nationaux ou Provinciaux !

02°- Vos amis de l'Opposition ont aligné 32 candats aux élections PRÉSIDENTIELLES contre le seul candidat, Président sortant !

03°- Aux élections LÉGISLATIVES, une constellation de partis de l'Opposition ont présenté des candidats ; leurs élus siègent au Sénat et à l'Assemblée Nationale !

04°- Le Président du Sénat est un membre de l'Opposition !
Il s'appelle Léon LOBITSCH, alias KENGO WA DONDO, il est de MÈRE TUTSIE RWANDAISE, de PÈRE POLONAIS, plusieurs fois Premier Ministre de Mobutu et élu de l'ÉQUATEUR !

05°- La Commission PAJ (Politique, Administative, Judiridique) de la Chambre Basse (AN) est dirigée par un membre de l'Opposition !

06°- Les Opposants sont représentés dans toutes les Commissions Permanentes et celles des Enquêtes et des Contrôles Parlementaires et ce, dans les deux Chambres du Parlement National.
Idem dans les Assemblées Constituantes au niveau de chaque Province !

07°- Vos comparses de l'Opposition sont majoritaires dans trois Assemblées Provinciales sur les onze que compte actuellement la RDC :
a)- au Bas-Congo ;
b)- à Ville-Province de Kinshas, la Capitale, ou si vous préférez, à "LEO", sic !
c)- à l'ÉQUATEUR où ils avaient même conquis l'Exécutif Provincial avec José MAKILA du MLC/Jean-Pierre BEMBA GOMBO (José MAKILA est le Beau-frère du ô combien Eminant PPRD = Vital KAMERHE )

Si l'Opposition n'a pas su capitaliser ses atouts, c'est à cause du manque d'intelligence politique, de la cupidité, de l'avarisme, de l'arrogance, du totalitarisme de votre trop adoré élève Jean-Pierre BEMBA GOMBO (JPBG) !
Ce n'est pas en rejettant aux autres les défauts de votre protégé JPBG que vous rétablirez la vérité matérielle des FAITS HISTORIQUES !

Arrêtez de vous cacher le sex en plein jour et en plein centre Ville (Gombe)
avec un MINISCULE SACHET EN PLASTIQUE TRANSPARENT !

Tenez, pour votre gouverne :

08°- Jean-Pierre BEMBA GOMBO, le prévenu de la CPI, continue de percevoir ses émoluments (trois à six mille dollars USA = 3 000 à 6 000 $USA) en tant que Sénateur de la RDC alors qu'il n'y a jamais mis les pieds depuis qu'il y a été élu !

09°- Le prévenu de la CPI, Jean-Pierre BEMBA COMBO continue d'encaisser ses indemnités (CENT VINGT CINQ MILLE DOLLARS PAR MOIS = 125 000 *USA/ mois) en tant qu'ancien Vice-Président de la RDC et ce, jusqu'à la fin de l'actuelle législature (soit après les élections de 2011) !

VOILA LES FAITS ET NON VOS DÉLIRANTES INCANTATIONS HAINEUSE !

Vous dites de JPBG qu'il est un homme d'État, un nationaliste, un homme intègre, le MESSIE de la RDC, pouah!

Je comprends dès lors que vous souteniez d'autres insurections, à l'instar des ENYELES, pour vous octroyer la prime de guerre et les indemnités du "PRIX DE LA PAIX (sic!) POST-CONFLIT" à l'instar de votre protégé JPBG !

DOCTEUR NDONZWAU ,

Ce n'est pas de manque de Démocratie ni d'opacité ni d'autres délirantes affabulations que vous ne cessez de radoter machinalement dont la RDC souffre.
La RDC souffre des gens comme VOUS, DOCTEUR NDONZWAU
La RDC souffre de sa trop grande complaisance envers des traîtres, des félons, et des hypocrites de votre genre !

En cela vous avez 100% raison en approuvant la méthode KAGÔMÉ.
En effet, on appliquerait cela en la RDC, comme l'avait fait en son temps Mzee LDK,
ç'aurait été de la "SALUBRITE PUBLIQUE" que de nous débarrasser de scélérats tels que :

Jean-Pierre BEMBA GOMBO, Roger LUMBALA, Azarias MANYWA RUBERRWAnda, Gabriel AMISSI KUMBA, Arthur ZAHIDI NGOMA, WAMBA wa WAMBA, ILUNGA MACHIN, Joseph KASONGO, Fernando KUTINO, Jean-Pierre ONDEKANE, Bosco NTANGANDA, AMBROISE BOBALA MOKOBE, Laurent NKUNDA, Honoré NGBANDA, Adolf ONU-SUMBA, José MAKILA, MWANDA NSEMI, ... DOCTEUR NDONZWAU et Consorts...

Salut !

*CNMM