Peut etre le commencement d'une bonne nouvelle?
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Peut etre le commencement d'une bonne nouvelle?
Tire' du Journal Le Potentiel:
Le PNR invite l’Opposition à s’organiser autour d’un projet de changement
Par St. Augustin Kinienzi
Le Parti National pour la Réforme (PNR), par la bouche de son président national, l’ingénieur Delphin Kyubwa, appelle toutes les formations politiques de l’Opposition à s’organiser autour d’un débat politique, un projet de société du changement pour trouver le candidat capable d’affronter l’Alliance de la majorité présidentielle (AMP). C’est la seule réaction appropriée à la révision de la constitution et de la loi électorale initiée par l’AMP.
De l’avis du PNR, l’amendement de la Constitution à la veille des élections est une tentative d’imposer un président de la minorité sans légitimité (élu avec moins de 50% des suffrages exprimés),. Mais étant donné que le mal est déjà fait, le PNR estime que le vin est tiré, il faut le boire en mobilisant et conscientisant le peuple congolais pour contrecarrer le calcul électoral de l’AMP.
Car, estime-t-on au PNR, la révision constitutionnelle est un couteau à double tranchant qui peut se tourner contre eux. Leur propre jeu de scrutin à un tour peut les surprendre si l’opposition s’organise.
Notre leitmotiv consiste poursuit Delphin Kyubwa, à mener une lutte démocratique contre ce manque de volonté politique à la base de la misère du peuple avec un taux de chômage de plus de 85%, un des plus élevés du continent ; pour un pays aux richesses fabuleuses. Devant toutes ces réalités révoltantes, l’Opposition ferait oeuvre utile de s’organiser pour mobiliser et conscientiser le peuple.
Dans la situation actuelle, il est seulement question d’un peu de volonté de la part des animateurs de l’Opposition pour changer des techniques et stratégies. Notamment, en transformant ce tour unique en 2ème tour. Faire le contraire, c’est jouer un jeu politique qui cache mal son vrai visage au profit du régime actuel. Rappelons également enchaîne la communication de Kyubwa, que dans une démocratie c’est la majorité qui s’impose, dirige ou gouverne et l’Opposition critique et/ou contrôle en proposant des solutions alternatives pour le bien-être du peuple.
Par ailleurs, le PNR note que parmi, les huit articles révisés, seul celui de droit des députés et sénateurs de retrouver leurs sièges à la fin des fonctions politiques jugées incompatibles à leur mandat électif était nécessaire dans le sens de combattre la culture de détournement des fonds publics. Le député nommé ministre ou PDG exercera ses fonctions avec plus de conscience et de stabilité, car s’il a encore droit à son mandat, il ne sera pas tenté de vouloir s’enrichir avant qu’il ne soit limogé. Il peut ainsi dire non aux décisions qu’il juge irresponsables au Conseil des ministres sans contrainte de se retrouver en chômage,
Il faut aussi ajouter que l’élu qui a déjà siégé au Conseil des ministres qui retourne au Parlement exercera son rôle de contrôle avec plus d’expertise. En d’autres termes, une réforme nécessaire pour combattre certaines pratiques à la base de la mégestion qui caractérise le système actuel.
Pour rappel, à l’initiative du gouvernement, à dix mois de la présidentielle de novembre 2011, le Parlement congolais a adopté le projet de révision constitutionnelle au cours d’une plénière du Congrès. Aux termes de la révision de huit articles de la Constitution, le président de la République sera désormais élu à la majorité absolue des suffrages exprimés au premier tour. Parmi les autres amendements de la constitution, le président aura également, le pouvoir d’organiser des référendums, de dissoudre les assemblées provinciales et de démettre les gouverneurs de leurs fonctions. Le droit de députés et sénateurs de retrouver leurs sièges au Parlement à la fin des fonctions politiques jugées incompatibles à leur mandat électif ; et le bureau du procureur sera placé sous le contrôle du ministère de la Justice, mentionne le document.
Le PNR invite l’Opposition à s’organiser autour d’un projet de changement
Par St. Augustin Kinienzi
Le Parti National pour la Réforme (PNR), par la bouche de son président national, l’ingénieur Delphin Kyubwa, appelle toutes les formations politiques de l’Opposition à s’organiser autour d’un débat politique, un projet de société du changement pour trouver le candidat capable d’affronter l’Alliance de la majorité présidentielle (AMP). C’est la seule réaction appropriée à la révision de la constitution et de la loi électorale initiée par l’AMP.
De l’avis du PNR, l’amendement de la Constitution à la veille des élections est une tentative d’imposer un président de la minorité sans légitimité (élu avec moins de 50% des suffrages exprimés),. Mais étant donné que le mal est déjà fait, le PNR estime que le vin est tiré, il faut le boire en mobilisant et conscientisant le peuple congolais pour contrecarrer le calcul électoral de l’AMP.
Car, estime-t-on au PNR, la révision constitutionnelle est un couteau à double tranchant qui peut se tourner contre eux. Leur propre jeu de scrutin à un tour peut les surprendre si l’opposition s’organise.
Notre leitmotiv consiste poursuit Delphin Kyubwa, à mener une lutte démocratique contre ce manque de volonté politique à la base de la misère du peuple avec un taux de chômage de plus de 85%, un des plus élevés du continent ; pour un pays aux richesses fabuleuses. Devant toutes ces réalités révoltantes, l’Opposition ferait oeuvre utile de s’organiser pour mobiliser et conscientiser le peuple.
Dans la situation actuelle, il est seulement question d’un peu de volonté de la part des animateurs de l’Opposition pour changer des techniques et stratégies. Notamment, en transformant ce tour unique en 2ème tour. Faire le contraire, c’est jouer un jeu politique qui cache mal son vrai visage au profit du régime actuel. Rappelons également enchaîne la communication de Kyubwa, que dans une démocratie c’est la majorité qui s’impose, dirige ou gouverne et l’Opposition critique et/ou contrôle en proposant des solutions alternatives pour le bien-être du peuple.
Par ailleurs, le PNR note que parmi, les huit articles révisés, seul celui de droit des députés et sénateurs de retrouver leurs sièges à la fin des fonctions politiques jugées incompatibles à leur mandat électif était nécessaire dans le sens de combattre la culture de détournement des fonds publics. Le député nommé ministre ou PDG exercera ses fonctions avec plus de conscience et de stabilité, car s’il a encore droit à son mandat, il ne sera pas tenté de vouloir s’enrichir avant qu’il ne soit limogé. Il peut ainsi dire non aux décisions qu’il juge irresponsables au Conseil des ministres sans contrainte de se retrouver en chômage,
Il faut aussi ajouter que l’élu qui a déjà siégé au Conseil des ministres qui retourne au Parlement exercera son rôle de contrôle avec plus d’expertise. En d’autres termes, une réforme nécessaire pour combattre certaines pratiques à la base de la mégestion qui caractérise le système actuel.
Pour rappel, à l’initiative du gouvernement, à dix mois de la présidentielle de novembre 2011, le Parlement congolais a adopté le projet de révision constitutionnelle au cours d’une plénière du Congrès. Aux termes de la révision de huit articles de la Constitution, le président de la République sera désormais élu à la majorité absolue des suffrages exprimés au premier tour. Parmi les autres amendements de la constitution, le président aura également, le pouvoir d’organiser des référendums, de dissoudre les assemblées provinciales et de démettre les gouverneurs de leurs fonctions. Le droit de députés et sénateurs de retrouver leurs sièges au Parlement à la fin des fonctions politiques jugées incompatibles à leur mandat électif ; et le bureau du procureur sera placé sous le contrôle du ministère de la Justice, mentionne le document.
regarder et bien voir.
Re: Peut etre le commencement d'une bonne nouvelle?
Au moins l'opposition peut nous presenter un projet riche, qui est la symbiose des projets elabores par different partis, contrairement au totalitarisme de l'AMP, ou les adherants n'ont rien a dire a part accepter de faire voter Kabila et ses 5 sentiers (donc le je jure fidelite...), on ne sait mm pas c q Kabila va nous apporter cette fois-ci, soit une demande d'extension pour finir ses 5 sentiers
Hiro-Hito- Admin
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