UN MESSAGE URGENT !!!

"Lettre au Procureur près la Cour pénale internationale
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=6955
Unité des informations et des éléments de preuve
Bureau du Procureur
Boîte Postale 19519
2500CM, La Haye
Pays-Bas

Bruxelles, le 22 novembre 2011

Monsieur le Procureur,

Concerne : Demande d’envoi d’une mission de la CPI au Sankuru (RDC)

Je vous écris la présente en me référant à votre déclaration du 11 novembre courant relative au processus électoral en République démocratique du Congo.
En effet, dans cette déclaration, vous indiquiez que «le recours à la violence ne saurait être toléré» dans le cadre des élections en cours en République démocratique du Congo et que votre «Bureau recense et examine minutieusement les informations convergentes sur des violences tant verbales que physiques auxquelles donnerait lieu la campagne électorale en vue des élections présidentielle et législative du 28 novembre prochain ». Je crains que le contexte électoral actuel ne vienne aggraver la situation de cette violence que vous voudriez conjurer.

Depuis plusieurs mois, des violences tant verbales que physiques, des incendies des maisons ainsi que des destructions des biens ont été à maintes reprises signalés dans le district du Sankuru (Province du Kasaï oriental) sans qu’aucune poursuite judiciaire ne soit engagée contre les présumés auteurs ou commanditaires de ces crimes et délits.
Les informations concordantes me parvenues du Sankuru, et plus particulièrement du territoire de Lodja et celui de Katako-Kombe, citent de manière récurrente, comme initiateurs de ces violences, monsieur Lambert Mende Omalanga, actuel ministre de l’information et de la communication du gouvernement de la République démocratique du Congo ainsi que monsieur Christophe Lutundula Apala Pene Apala, ancien Vice-Président de l’Assemblée nationale du même pays.
Il convient de noter, monsieur le Procureur, que par leurs discours incitant à la violence et à la haine ethniques, ces deux responsables (membres de la famille politique de monsieur Kabila) ont réussi le macabre exploit, « en temps de paix » et en moins de six mois, de faire disparaître de la carte du Sankuru l’équivalent de deux villages, c’est-à-dire, plus de cent-cinquante maisons incendiées.

Ma crainte et mon inquiétude de voir tout le Sankuru s’embraser se justifient par le contexte électoral en République démocratique du Congo. Ces deux responsables politiques, se vouant une haine viscérale, ont pour seul fond de commerce politique, les appels à la haine et à l’exclusion exacerbés par les tensions électorales actuelles.
Ainsi, monsieur le Procureur, parce que vous soutenez que « le processus (électoral) ne soit pas l’occasion de violences et d’attaques contre les populations civiles », je vous remercie d’envoyer une mission d’observation au Sankuru dans le cadre d’une action préventive car les appels à la haine deviennent de plus en plus inquiétants.

Par ailleurs, je me permets de vous informer que je prendrai contact avec le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, qui me lit en copie, pour solliciter la suspension des émissions de la station de radio Losanganya de monsieur Lambert Mende ainsi que de celles de la station de radio Owoto II appartenant à monsieur Lutundula pour une durée allant de la saisine jusqu’à la proclamation des résultats des élections législatives; ces deux radios sont à ce jour de véritables vecteurs des discours haineux.
Vous trouverez en annexe de la présente les pièces inventoriées à l’appui de mon propos.
Je ferai suivre le présent courrier d’un coup de téléphone pour m’assurer que vous l’avez reçu et vous remercie une fois encore, monsieur le Procureur, de la suite que vous voudriez bien en réserver, en vous priant de croire à l’assurance de mes sentiments de déférence et de total dévouement.

Jean-Claude Ndjakanyi
Avocat "


"RDC: mise en garde de l'UDPS contre la fraude électorale
° http://www.rfi.fr/afrique/20111122-rdc-udps-fraude-electorale-tshisekedi-kinshasa
En RDC, la campagne bat son plein à une semaine des élections. Etienne Tshisekedi, bloqué depuis 3 jours à Kindu, devrait enfin pouvoir quitter la capitale provinciale du Maniema et s’envoler ce mardi 22 novembre pour Mbandaka dans l’Equateur afin de poursuivre sa campagne. Hier à Kinshasa, son parti l’UDPS a tenu une conférence de presse.

La dénonciation n’est pas nouvelle, mais pour l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social) , tous les ingrédients sont réunis pour une fraude à grande échelle. Selon le parti d’Etienne Tshisekedi, la Céni (Commission électorale nationale indépendante) et le pouvoir en place travaillent de concert pour effectuer un putsch électoral.
Cela dit, pour le directeur de campagne de l’UDPS, Alexis Mutanda, pas question de reporter le scrutin pour permettre des élections plus transparentes.

« Ces bureaux fictifs, la Céni les connaît très bien, parce qu'elle les a introduits. Donc c’est un problème de quelques heures ou d’un jour, pas un problème de bonne volonté. Il y a des personnes qui ont été omises sur les listes. Si d’ici deux, trois jours, la Céni affiche la liste de tous ceux qui ont été enrôlés, d’une manière tout à fait régulière, ça aussi ce n’est pas un problème qui demandera des semaines !
Pour ce qui est de la composition des bureaux de compilation, qu’est-ce qui empêche que dans chaque localité on puisse recruter ces gens, au vu aussi, de tout le monde, etc. ? Pour nous, on ne reporte pas les élections. Les élections doivent se passer le 28 ! ».
Avertissement ou menace, l’UDPS prévient que si les élections s’avèrent frauduleuses, elle appellera alors le peuple à prendre ses responsabilités. De son côté, le président de la Commission électorale ne cesse de répéter qu’il est le « garant de la transparence ».
° http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=636508&no_categorie=
"Au sujet des bureaux fictifs :
« L’erreur de la CENI est d’avoir fait le « copier-coller »
(L'Avenir Quotidien 22/11/2011)"
° http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=636519&no_categorie=

"Publication des résultats : attention à la manipulation"
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=117704&id_edition=9081&yearID=2011&monthID=11&dayID=22

"A 3 jours dela fin de la capagne électorale
Bureaux de vote fictifs : la clarification s’impose"
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=117799&id_edition=9082
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=117780&id_edition=9082
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=117803&id_edition=9082


"RDC: Gagner sa place au parlement, un très bon plan financier"
° http://wwwslateafrique.com/70971/place-au-parlement-question-de-survie
"RDC: le grand défi des observateurs électoraux"
° http://www.slateafrique.com/67703/rdc-grand-defi-des-observateurs-electoraux

"Kinshasa craint la collision frontale entre poids lourds"
° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2011/11/22/kinshasa-craint-la-collision-frontale-entre-poids-lourds/
° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2011/11/21/kinshasa-prepare-des-elections-au-superlatif/

"RDCongo : le pouvoir rime avec les promesses"
° http://rdcvote.blogs.france24.com/article/2011/11/21/rdcongo-le-pouvoir-et-promesse-riment-0
° http://rdcvote.blogs.france24.com/

"RDC : "Le peuple pourrait être tenté de ne pas se laisser voler la victoire""
° http://www.afrik.com/article24182.html

"Revue de la presse congolaise de ce mardi (CongoForum)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=182590&Actualiteit=selected

° http://radiookapi.net/actualite/2011/11/22/elections-rdc-une-ong-invite-les-kinois-accueillir-sans-violence-les-candidats-en-campagne-en-province/
° http://apareco-rdc.com/apareco-tv/viewvideo/54/autres/tricherie-les-combattants-de-jobourg-decouvrent-3000000-de-bulletins-de-vote.html
° http://apareco-rdc.com/apareco-tv/viewvideo/50/autres/ngoy-mulunda-traque-par-les-combattants-de-lafrique-du-sud.html

geetaime a écrit:http://www.udps.be/beluxx//viewtopic.php?f=4&t=2260#p2714
Simon Kimbangu trahi par les siens

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Qui peut alors nous expliquer le fait que les Kimbanguistes, au lieu d’être à la pointe du Combat actuel de libération nationale, s’acoquinent avec un tel pouvoir, le soutiennent, tolèrent que l’imposteur étranger et représentant des forces néo-esclavagistes et néo-colonialistes foule le Site Sacré de Nkamba, et que les Kimbanguistes déroulent le tapis rouge à ses pieds, l’applaudissent, l’ovationnent, l’intronisent et le déifient !

Est-ce parce que l’imposteur étranger a utilisé la ruse et le cynisme de faire semblant de réhabiliter le Prophète Simon Kimbangu pour mieux asseoir, consolider et perpétuer le pouvoir étranger d’occupation, de domination, de servitude, d’oppression, d’extermination et de prédation, lequel pouvoir a été combattu par le Prophète Simon Kimbangu jusqu’au sacrifice suprême ?
Peut-on être si naïf jusqu’à ce point ? Non, personne, après 50 ans d’humiliations, de souffrances, de mépris ne peut nous convaincre d’être resté toujours si naïf. Et c’est « le dernier des rwandais » qui nous tient ainsi la corde au cou et à qui nous donnons nous-mêmes volontairement des chaînes pour qu’il nous attache les bras et les pieds et nous tienne encore pour longtemps en esclavage et sous sa botte!

Le Prophète Simon Kimbangu a été tout simplement, en âme et conscience, trahi par les siens dans sa propre Maison !

Pendant que tout notre Peuple est debout, déterminé à libérer notre Patrie, à rendre justice au Prophète Simon Kimbangu et à tous les autres Martyrs, à parachever leur Combat juste et noble, à leur démontrer qu’ils n’étaient pas morts pour rien, à enterrer dignement leurs cadavres qui gisent toujours là au sol et à clôturer enfin le deuil, c’est des Kimbanguistes que vient la trahison !
Très Chers Kimbanguistes, vous venez de blasphémer le Site sacro-saint de Nkamba, d’assassiner le Prophète Simon Kimbangu pour la deuxième fois et de poignarder le Peuple Congolais dans le dos.

"Elections en RDC: craintes de fraudes et de cafouillages techniques
° http://www.rfi.fr/afrique/20111123-elections-rdc-kinshasa-ceni-fraudes-commission-electorale-vote
Cinq jours avant la fin de la campagne électorale en RDC, où le scrutin est prévu lundi 28 novembre, les principaux candidats à la présidentielle vont de ville en village à bord de leur avion de location. Mais l’ambiance n’est pas franchement à l’optimisme. Les candidats d’opposition dénoncent des tricheries, ceux du pouvoir craignent des contestations et les observateurs indépendants prédisent au moins des désordres.
La demande par l’opposition d’un audit du fichier électoral aura occupé le débat politique pendant plusieurs mois. Finalement cette vérification n’a pas été faite, et à cinq jours du scrutin, on sait maintenant qu’il est trop tard. C’est donc dans une atmosphère de méfiance que se déroulera cette élection.
Les listes d’électeurs, selon la loi, devaient être affichées devant tous les bureaux de vote un mois avant le scrutin. C’est loin d’être fait. Beaucoup d’électeurs ne savent pas où ils vont voter. On dénonce des bureaux de vote fantômes. Des achats de cartes d’électeurs.
Un journal parlait hier mardi de bulletins de vote cochés à l’avance. Difficile de faire la part de la réalité et du fantasme dans cet amas d’accusations. Toujours est-il que les gros efforts de persuasion du président de la Commission électorale n’ont pas porté leurs fruits. Même sans parler de fraude, les observateurs s’attendent à de gros cafouillages.
Le camp du président sortant est seul à afficher sa confiance dans le processus électoral, ce qui n’est pas pour rassurer l’opposition.

(...)Gregory Kehaila
Directeur pour la RDC de l’ONG américaine IFES, Fondation internationale de soutien aux systèmes électoraux
"La question la plus importante est celle de la transparence du fichier électoral"
Écouter (01:08)

Le défi logistique des élections
Le temps file mais à la Commission électorale on veut encore croire que le calendrier sera respecté. « Le pari est costaud mais on va y arriver », jure le rapporteur de l’institution chargée d’organiser les scrutins présidentiel et législatif. « Avec l’arrivée des gros porteurs sud-africains, les hélicoptères angolais et l’appui des aéronefs de la mission des Nations unies, nous tiendrons les délais », assure Matthieu Mpita.
Seulement, le déploiement du matériel électoral ne repose pas que sur un ballet aérien. Une fois transféré des 15 centres régionaux aux 200 centres locaux, le matériel doit ensuite être transporté dans quelque 17 000 centres de vote. Et c’est là que la partie s’annonce la plus compliquée. Les urnes de 6 kilos, les immenses bulletins, les isoloirs, doivent parfois être acheminés à pied, à vélo ou à bord de pirogue. Lors du vote de 2006, la dernière étape avait pris plus de 10 jours et cette fois la Céni compte réaliser l’opération en moins d’une semaine.
Dimanche, selon une bonne source, moins de 7% du matériel électoral était déployé dans les quelque 63 000 bureaux de vote. En conséquence, plusieurs observateurs s’inquiètent que lundi 28, nombre de bureaux dans les secteurs les plus reculés du pays ne soient en mesure d’ouvrir leurs portes.

"Revue de presse Afrique
A la Une : RDC et Sénégal, des élections sous pression
° http://www.rfi.fr/emission/20111123-une-rdc-senegal-elections-sous-pression
Écouter (04:46)"

"Elections en RDC:
Kabila et Kamerhe se disputent les Kivus"
° http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/ARTJAWEB20111122183939/joseph-kabila-rdc-campagne-electorale-gomaelections-en-rdc-kabila-et-kamerhe-se-disputent-les-kivus.html

° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=117799&id_edition=9082
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=117780&id_edition=9082
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=117803&id_edition=9082
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=117771&id_edition=9082
° http://radiookapi.net/actualite/2011/11/23/elections-rdc-lasadho-invite-les-presidentiables-accepter-les-resultats-des-urnes/
° http://www.jeuneafrique.com/actu/20111123T210707Z20111123T210706Z/JeuneAfrique.html

"Campagne électorale en RDC : la déception
(Un Monde Libre 23/11/2011)"
° http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=636818&no_categorie=

"Elikia M'Bokolo "Un vrai chef d'Etat n'a ni amis ni famille" "
° http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/ARTJAJA2653p030-031.xml0/chine-joseph-kabila-btp-interviewelikia-m-bokolo-un-vrai-chef-d-etat-n-a-ni-amis-ni-famille.html
"Présidentielle RDC 2011: Les têtes d'affiches de l'opposition"
° http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/ARTJAJA2653p027-029.xml0/cpi-jean-pierre-bemba-election-presidentielle-vital-kamerhepresidentielle-rdc-2011-les-tetes-d-affiches-de-l-opposition.html
° http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/ARTJAJA2653p024-026.xml0/pauvrete-pnud-banque-mondiale-joseph-kabilardc-joseph-kabila-peut-il-perdre-les-elections.html

"À quatre jours des élections en RDC,
les soupçons de fraude grandissent
° http://www.rfi.fr/afrique/20111124-fraude-elections-rdc-prevision
Selon l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti d'Etienne Tshisekedi, une fraude massive est en préparation pour les élections congolaises du 28 novembre 2011. Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) assure cependant qu'il n'en est rien et que le scrutin sera transparent.
Le parti d’Etienne Tshisekedi répète à qui veut l’entendre que c’est une énorme tricherie qui se prépare. Le secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jacquemin Shabani soutient que plus de la moitié des bureaux de vote sont des bureaux fictifs destinés à bourrer les urnes :« Nous sommes arrivés à pratiquement 55% de bureaux fictifs installés dans les différentes circonscriptions. Nous restons convaincus qu'ils [la Céni, NDLR] ont fait cela de façon intentionnelle ».

Le président de la Commission électorale, le pasteur Ngoy Mulunda plaide la bonne foi : il veut bien admettre des erreurs dans la cartographie des bureaux de vote, mais rejette l’accusation de fraude. « C'est une grande accusation ! Quand on fait un bureau fictif, c'est pour aller voler ! On peut avoir une erreur de repérage et d'implantation. La Céni n'a pas de bureau fictif. Les erreurs humaines de localisation sont commises. On le corrige ! »
Autre sujet d'inquiétude : les listes électorales qui sont à la fois incomplètes et surchargées. Mais aux électeurs qui ne se retrouvent pas sur les listes qui viennent d’être affichées, le pasteur Ngoy Mulunda promet qu’ils pourront voter avec la carte qui leur a été délivrée lors de leur inscription.

Le pasteur Daniel Ngoy Mulunda Nyanga, président de la Commission électorale de RDC
Originaire de Lubumbashi, au Nord-Katanga, Daniel Ngoy Mulunda, 52 ans, a suivi des études en sciences politiques à Kinshasa avant de s'engager dans l'église méthodiste. Après des études aux États-Unis, il rejoint la Conférence des églises pour toute l'Afrique, présidée depuis 1978 par l'évêque anglican sud-africain Desmond Tutu. Pendant les années 1980, le pasteur Mulunda accompagne le militant pour la paix dans toutes ses missions de pacification.
Daniel Ngoy Mulunda entamme des discussions avec le président Laurent Désiré Kabila en 1998 quand la guerre reprend en République démocratique du Congo.
Il est nommé par Joseph Kabila à la tête du Programme oecuménique paix transformation des conflits et réconciliation (PAREC). Homme de terrain, le pasteur congolais a aussi l'oreille du président. Il a été son conseiller politique il y a huit ans.

«Passe d'armes» entre l'UDPS et la Céni
Écouter (01:04)"


"Inquiétude des observateurs avant l'élection en RDC
(20 minutes 24/11/2011)"
° http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=637124&no_categorie=

"Sud-Kivu : 20 000 électeurs omis sur les listes des électeurs
pour la Circonsription d’Idjwi"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=117838&id_edition=9083

mongo elombe a écrit:NGOY MULUNDA était l'invité de BOISBOUVIER

dans le journal Afrique de RFI, je n'arrive pas à vous copier l'émission selon MULUNDA, il faut qu'on lui montre le décret comme quoi il était conseiller de KABILA etc etc .

MULUNDA ALOBA APEMA TE.

"Pasteur Daniel Ngoy Mulunda,
président de la Commission électorale nationale indépendante
en République démocratique du Congo
° http://www.rfi.fr/emission/20111124-pasteur-daniel-ngoy-mulunda-president-commission-electorale-nationale-independante
Écouter (05:31)
« Notre objectif, c’est que l’on puisse avoir les 100% des bureaux de vote équipé. C’est la raison pour laquelle nous avons loué beaucoup d’hélicoptères et beaucoup d’avions. Nous nous sommes donné beaucoup de moyens… ».

C’est l’un des hommes les plus controversés du Congo-Kinshasa. Le pasteur Ngoy Mulunda préside la Commission électorale nationale indépendante (CéniI). Il se doit donc d’être au-dessus des partis. Mais l’est-il vraiment ?
A quatre jours de la présidentielle et des législatives, il répond aux questions de l’un de nos envoyés spéciaux à Kinshasa, Christophe Boisbouvier.

"Tourner la page «Joseph Kabila» !
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=6963
«Réveillons-nous ! L’heure de nous mettre au travail a sonné. (…). Nous avons subi notre destin, il est temps de choisir de bâtir notre destinée». «Si vous ne savez pas encore pour qui vous allez voter, veuillez au moins savoir pour qui vous ne voterez pas!». Ces deux messages émanent respectivement de l’archevêque de Kinshasa Laurent Monsengwo Pasinya (août 2008) et de l’Abbé Jean-Pierre Badidike (20 novembre 2011).
Ces deux messages lancés avec trois années d’écart interpellent. Ils interpellent les citoyens congolais qui - sauf changement de dernières minutes - iront aux urnes lundi 28 novembre pour élire le président de la République du Congo dit démocratique ainsi que 500 députés nationaux.

Scrutin majeur, l’élection du président de la République est un rendez-vous entre un peuple et son destin. Premier personnage de l’Etat, le président de la République est non seulement le garant de l’indépendance nationale, - c’est à dire de la survie même de l’Etat - mais aussi de l’intégrité du territoire. En Occident, le chef de l’Etat est considéré comme le garant de l’indépendance de la justice et du respect de la Constitution.
S’il n’est pas sain d’influer sur les électeurs en leur indiquant le «bon choix» à faire en ce qui concerne l’élection présidentielle, on pourrait au moins leur donner l’identité du prétendant à la magistrature suprême à ne pas voter. Le lundi 28 novembre doit être l’occasion pour le peuple congolaise de tourner la page
«Joseph Kabila» en sanctionnant celui-ci pour n’avoir pas réussi à redonner l’espérance en honorant ses promesses dans plusieurs domaines essentiels.

La défense des frontières. La défense des frontières constitue une des fonctions essentielles de l’Etat. Il s’agit de mettre le territoire national à l’abri des attaques extérieures. Lors de son accession à magistrature suprême le 26 janvier 2001, «Joseph» s’était «engagé» à mettre sur pied «une armée et une police modernes fortes, bien équipées, respectables et respectueux des droits de chacun, capable de défendre la Nation en toutes circonstances». Dix années après, l’armée nationale parait impuissante face aux bandes armées tant nationales qu’internationales qui terrorisent la population dans les provinces du Kivu et dans la Province Orientale. Pire, trahissant son serment, le président sortant a autorisé des armées régulières du Rwanda et de l’Ouganda d’opérer sur le sol congolais sous prétexte de traquer leurs rebelles respectifs. Les opérations «Umoja Wetu» et autres «Kimya I et II» ont mis en péril la sécurité des paisibles populations congolaises. En 2009, on dénombrait 1,5 millions de déplacés dans les Kivus et 400.000 dans la Province Orientale. Incapable de restaurer l’autorité de l’Etat, «Joseph Kabila» a préféré s’aplatir devant le régime rwandais de Paul Kagame en intégrant sans discernement dans les FARDC les combattants du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple) pourtant manipulés par le même régime rwandais. Aujourd’hui, plusieurs villes et localités des provinces du Kivu sont commandées par des chefs militaires à la loyauté douteuse. Les état-majors des FARDC autant que de la police nationale sont infiltrés par des officiers sortis du néant. Le président sortant a commis un parjure.

Les conditions sociales de la population. «Ma première priorité, déclarait le successeur de Mzee au «Soir» de Bruxelles daté 7 mars 2001, c’est la situation sociale. Elle est dramatique dans tout le pays, mais surtout dans les provinces occupées : (…).» Le locuteur pèse-t-il le poids des mots? Depuis son arrivée au pouvoir, «Joseph» a beaucoup promis. Les promesses tenues se comptent par les doigts d’une main. L’amélioration des conditions sociales de la population n’a manifestement pas été au centre des priorités du président sortant. Rien ne prouve que cet esprit pourrait changer au cours des années à venir. Le fait de fournir de l’eau potable, de l’électricité et des soins de santé de qualité à la population est sans doute moins engageant que «moderniser» des artères de la capitale ou construire un «pavillon présidentiel» à l’aéroport de Ndjili. Le personnel politique congolais semble ignorer que l’homme est la finalité de l’Etat.

Le maintien de l’ordre public.L’ordre public n’est rien d’autre qu’un ensemble des règles destinées à organiser la vie collective. Aucun Etat ne peut espérer promouvoir le développement économique et social en l’absence de la paix et de la tranquillité. Il s’agit ici de la paix des cœurs et des esprits. En dépit de la promulgation d’une nouvelle Constitution en février 2006, l’armée, la police et les services dits de sécurité se comportent en milice au service du parti dominant PPRD et son «initiateur» «Joseph Kabila». Les arrestations et détentions arbitraires, les tortures et autres exécutions extrajudiciaires ne se comptent plus. Franck Kangundu dit «Ngycke», Louis Mwamba Bapuwa, Floribert Chebeya Bahizire, Fidèle Bazana Edadi, Armand Tungulu Mudiandambu sont devenus des victimes emblématiques de la dérive tyrannique du pouvoir kabiliste. Sans oublier Serge Maheshe, Didace Namujimbo, Koko Chirambiza, Aimée Kabila, Steve Nyembo. La liste est loin d’être exhaustive. Que dire de ces officiers et sous-officiers ex-Faz détenus à Makala depuis plusieurs années sans connaître les charges. Et pourtant, lors de son investiture en janvier 2001, «Joseph Kabila» avait pris l’engagement d’«instaurer la paix et la consolidation de la communion nationale». Depuis son accession au pouvoir, l’homme s’est empressé de s’appuyer sur un groupe des Congolais contre d’autres. L’intérêt général est battu en brèche par les intérêts de la «Majorité présidentielle». Le tribalisme et le régionalisme sont revenus en force. L’Etat a perdu son impartialité. C’est à dire sa vocation de garant de l’égalité devant la loi. La récente campagne électorale a mis à nu cette dérive. Le pluralisme politique n’existe plus que sur papier. Les médias d’Etat sont au service exclusif du président et de sa famille politique. Dans cette "folie humaine", les gouverneurs des provinces ne se sont pas gênés à inviter leurs administrés à voter « à 100% » pour le président sortant.

L’indépendance de la justice.Le Congolais moyen ne sait plus aujourd’hui à quel saint se vouer pour faire valoir ses droits face aux puissants du moment. L’impunité, c’est le mot qui caractérise la justice congolaise. Une justice dénuée d’indépendance et incapable d’accomplir les devoirs d’enquête les plus élémentaires. L’absence d’une justice indépendante favorise la violation des droits et libertés et génère la corruption. On l’a vu dans l’affaire Tungulu. Arrêté le 29 septembre 2010, ce dernier se serait "suicidé" le 2 octobre alors qu’il était détenu dans un cachot de la garde prétorienne de «Joseph Kabila». Le procureur général de la République n’a pas oser ouvrir une information judiciaire pour homicide. Il s’est contenté d’annoncer le «suicide». Le 31 décembre de cette même année, une dépouille mortelle présentée comme étant celle de Tungulu a été inhumée à un endroit non identifié au mépris de la volonté de la famille du défunt.

Lutte contre la corruption. Dans une interview accordée au magazine parisien « Jeune Afrique » n°2361 daté du 9-15 avril 2006, «Joseph Kabila» déclarait notamment : « Pendant trois décennies, ce pays a été celui du pillage et de la gabegie, (…)». Cinq années après, le président sortant et son entourage sont affublés du titre peu glorieux de «prédateurs». Les «cinq chantiers » sont devenus un prétexte pour camoufler la corruption au sommet de l’Etat notamment par la surfacturation des travaux et le bradage du patrimoine minier du pays.

Le "bilan" des dix années passées par "Joseph Kabila" à la tête du Congo laisse apparaître que l’homme n’a jamais eu de véritable projet ou vision pour le développement socio-économique du pays. Il n’y a eu ni augmentationde la production industrielle ni création d’emplois. Les Cinq chantiers ne constituent que de la poudre aux yeux pour donner l’illusion selon laquelle "la renconstruction est en marche".
Pendant dix ans, «Joseph Kabila» n’a «excellé» que dans un seul domaine : la violence d’Etat. La force brutale. Immédiatement après son «élection » en novembre 2006, il annonçait les couleurs dans une interview au « Soir » daté du 16 novembre 2006 : «Pour redresser le Congo, il faut être sévère, et les Congolais vont être surpris». « Beaucoup des ne connaissent pas le président Kabila. Ils se trompent s’ils pensent qu’après les élections, ce sera la même chose que pendant la transition. Ce sera la rigueur, surtout la discipline, car sans la discipline, on ne peut pas construire une nation». Le double massacre des adeptes du mouvement politico-religieux Bundu dia Kongo, rebaptisé Bundu di Mayala, en 2007 et 2008 témoigne du mépris de la vie et de la dignité de la personne humaine qui anime le chef d’Etat sortant.

Depuis une décennie, le Congo dit démocratique est dirigé par un homme sans foi ni loi dont les méthodes n’ont rien à envier à ceux de voyous. Cet homme veut rempiler. Rempiler pour quoi faire ? Pourra-t-il accomplir en cinq ans ce qu’il n’a pu réaliser en dix ans ? Le lundi 28 novembre, le corps électoral congolais a rendez-vous avec l’Histoire. C’est l’occasion de tourner la page «Joseph Kabila». "


"Fin d’un régime politique d’imposture en R.D.C. ?
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=6964
Le mardi 6 décembre 2011
Urgence de la parole du peuple congolais
À cet appel, le peuple congolais, lors de la consultation électorale du 28 novembre 2011, se lèvera comme un seul homme pour barrer le passage à tous les corrompus qui ont soutenu le grand imposteur du régime qui s’est proclamé, sans honte, « Raïs » !
Avec un peu de recul dans le temps, le peuple congolais, toutes classes sociales confondues, attend qu’un jour nouveau se lève sur le ciel de ce sous-continent qu’est notre fier et beau pays, le Congo. La tenue de la Conférence Nationale Souveraine avait amorcé cet avènement d’un État de droit et vraiment démocratique ! On s’était permis de rêver que le tout-puissant maréchal Mobutu lâcherait du lest et céderait devant la pression du peuple assoiffé de liberté, de bien-être et de bonheur, en toute circonstance et où que l’on soit dans le pays. Soudés que nous sommes devenus, les Congolais ont appris dans la souffrance et la privation de nombre de leurs droits, à se battre pour reconquérir ce à quoi ils ont toujours eu droit et qu’on leur a confisqué !

Le maréchal Mobutu chassé, d’autres loups sont entrés dans la bergerie, qu’on les appelle « Raïs » ou « Mzee », tous ces dictateurs se sont comportés comme des ennemis du peuple, agissant bien plus gravement que ne l’ont fait les colonisateurs. Or, on sait que ces derniers ont, à maintes reprises, considéré leurs colonisés comme des sous-hommes. Le combat de l’Indépendance a été dur et sanglant. Grâce aux Pères de cette Indépendance, grâce au sang versé, le Congo s’est relevé comme un État dans le concert des Nations, promu à un bel avenir de grandeur et de puissance, grâce aux richesses du pays dans divers secteurs économiques.

Congolais, mon frère, ta voix comptera et s’ajoutera aux autres voix des Congolais pour faire barrage aux prédateurs, aux mercenaires et aux imposteurs qui ont installé chez nous dictature, régime criminel et régime tortionnaire de terreur innommable, tant on y a mis d’ingéniosité, de cruauté, de peur et de mépris pour la vie et le sang de leurs frères et sœurs congolais. C’est par votre vote déterminé, franc et massif que le Congo peut et doit se donner maintenant toutes les chances de naissance d’un État impartial, soucieux de l’intérêt général et du bien-être de sa population, et surtout des plus démunis.
Vous avez assisté au déroulement de la campagne électorale. Joseph Kabila s’est montré arrogant et insolent de richesses acquises au détriment du peuple congolais ; il a fait sa campagne en utilisant l’argent détourné, car la gestion est une GABEGIE scandaleuse et effrontée !

Cela dit, peuple congolais, tu as en main ton remède pour t’en sortir afin que le mardi 6 décembre soit mis fin au régime de honte, de vol et d’humiliation impardonnable imposé à tout le peuple congolais, des intellectuels comme de la masse populaire. On vit depuis une décennie dans un « mobutisme » sans Mobutu.
Si, demain, tu veux redevenir libre et respecté dans le monde, chasse démocratiquement l’imposteur qui s’est livré au bradage du patrimoine national, qui a ordonné l’exécution de milliers et de millions de Congolais, notamment à l’Est de notre beau pays. Celui qui a fait perdre au pays sa vraie indépendance pour le livrer entre les mains des prédateurs de qui il recevait sa part du gâteau sur le dos des appauvris dont la précarité est l’œuvre et le cadeau satanique du dictateur, froid et impitoyable !

Que la date du 28 novembre réveille la conscience nationale pour reconquérir la vraie libération d’un peuple assoiffé et affamé de justice et de paix, de fraternité et d’égalité pour tous devant la loi. Qu’on ne se trompe plus de saison. L’heure a sonné pour mettre hors d’état de nuire le régime politique qui a fait sombrer le Congo dans un marasme et dans une pauvreté, oui régime politique inhumain qui a porté à son paroxysme l’écrasement de l’homme congolais en lui faisant avaler toutes les couleuvres !
Un mandat de plus pour Kabila serait un mandat de trop avons-nous déjà écrit récemment. Maintenant, l’heure du choix est là : le 6 décembre, on doit se débarrasser de Joseph Kabila, sinon lui donner cinq ans de plus, ce serait encore cinq années de misères noires, cinq années de dictature et de profanation du sang des Congolais, souillant ainsi le sol de nos ancêtres.
Mettons fin à ce régime d’insolence et de sans-gêne quand ces ténors se remplissent les poches au détriment du peuple, de la fonction publique, des professeurs, des médecins et du personnel médical, des enseignants, des étudiants universitaires, etc. Sans une politique volontaire de l’éducation, de la santé et des travaux publics pour donner du travail aux adultes et aux jeunes diplômés, la République Démocratique du Congo navigue comme un navire qu’un iceberg attend au tournant pour la couler dans les profondeurs de l’Océan ! Tel n’est pas le vœu du peuple congolais. Voilà pourquoi nous sommes confiants en l’avenir de notre peuple : il vaincra, il va vaincre quand le 6 décembre 2011 il pourra entonner l’hymne national :

« Debout Congolais, unis par l’effort, unis par l’effort,
Pour l’indépendance, dressons nos fronts longtemps courbés
Et pour de bon prenons le plus bel élan dans la paix !... »
In fine, construire une société de progrès, tel est le défi aujourd’hui. Il va donc falloir recourir à d’autres savoirs, d’autres technologies, d’autres méthodes de gestion interne et d’autres aptitudes pour le combat du nouvel ordre mondial. Immense moisson qui sollicite des bras ! Dure tâche à laquelle nous devons urgemment nous atteler !"

"La voie des élections «démocratiques» ayant marqué ses limites,
celle de la libération doit maintenant prendre le relais!
° http://www.apareco-rdc.com/component/content/article/89-diapo-only/202-la-voie-des-elections-democratiques-ayant-marque-ses-limites-celle-de-la-liberation-doit-maintenant-prendre-le-relais.html
La rédaction de L’œil du Patriote a été inondée d’appels de détresse venant des différentes régions du pays et des quatre coins de la planète et nous demandant ce qu’attendent les forces patriotiques pour intervenir face à la montée de fièvre et de la violence dont fait preuve l’imposteur Kanambe et ses sbires contre les militants de l’opposition mobilisés pour le dernier jour de campagne électorale.

Plus personne de sensée ne peut encore en douter maintenant : l’imposteur rwandais Kanambe est décidé à user d’une violence sans précédent contre le candidat du peuple congolais, Etienne Tshisekedi, quitte à sacrifier la vie de ce dernier s’il le faut, pour perpétuer son pouvoir d’occupation au travers de la mascarade électorale en cours en RDC.
Et c’est sans vergogne que l’imposteur Rwandais et son collabo André Kimbuta ont choisi de faire annuler tous les meetings prévus à Kinshasa ce samedi 26 novembre, simplement parce que le stade des martyrs dans lequel Kanambe prévoyait de faire son meeting restait désespérément vide, tandis que Etienne Tshisekedi drainait déjà une foule immense à l’aéroport de Ndjili où il était initialement attendu par ses nombreux partisans. Face à ce fiasco historique annoncé Kimbuta a donc choisi … d’éviter le martyr à son raïs ! L’opposition congolaise n’a donc pu que subir cette décision arbitraire. Une de plus…Quant à la communauté internationale, elle est restée aphone alors que « Joseph Kabila » et ses milices constituées de « pombas » et de kulunas viennent à nouveau de tuer des innocents à travers la ville de Kinshasa.

On ne peut pas vouloir une chose et son contraire à la fois!
Depuis un certain temps, le peuple congolais et ses dirigeants sont divisés et partagés entre deux logiques : celle des élections dites « pacifiques et démocratiques », et celle de la révolution populaire de toutes les forces militaires et civiles congolaises pour mettre fin à l’occupation de notre pays. Face à la tension alimentée par les collabos et les «fanatiques» parmi l’opposition et la résistance congolaises, l’APARECO par la voix de son Président avait prôné la tolérance et la complémentarité. Il avait en substance demandé que ceux des patriotes qui sont convaincus que seules les méthodes révolutionnaires pourront mettre fin à l’occupation ne s’en prennent pas à ceux qui veulent expérimenter la voie démocratique. Car lorsque ceux-ci auront constaté les limites de leur choix, ils nous rejoindront quand nous serons TOUS contraints de recourir à la force populaire de toutes les couches sociales civiles et militaires pour STOPPER l’ennemi. Les mobilisations auxquelles nous assistons aujourd’hui entrent dans la dynamique des élections «démocratiques». Que veulent donc les tenants des élections : stopper net ce processus en cours d’exécution ou les laisser expérimenter leur choix jusqu’au bout? Nous avons estimé que cette dernière alternative est plus honnête et plus responsables.

Le choix des élections « démocratiques » a marqué ses limites
Maintenant que ceux des patriotes qui avaient estimé, à tort ou à raison, qu’il fallait aider et laisser au vieux TSHITSHI la chance de remporter les élections face à l’imposteur sont sur le point de réaliser la détermination de l’imposteur à user de toutes les voies illégales et violentes pour se maintenir au pouvoir et poursuivre l’œuvre de la balkanisation de la RDC, nous leur demandons plutôt d’avoir à leur tour la même honnêteté et le même patriotisme que nous avons exprimés, pour mobiliser et orienter dès maintenant TOUTES LES FORCES VIVES DE LA NATION vers une action de REVOLUTION POPULAIRE où toutes forces se joindront aux leurs pour LIBERER NOTRE PAYS DU POUVOIR D’OCCUPATION ! C’est dans ce sens que nous avons compris l’appel « codé » de Tshisekedi aux Congolais de « VAINCRE LA PEUR » ! Nous avons compris qu’il a comme nous, la conviction que nous finirons TOUS par affronter l’occupant, à un moment donné, dans une confrontation CORPS A CORPS ! Ce moment est maintenant là ! Ce 28 novembre sera le jour de la vérité ! C’est ce jour que tous les Congolais verront l’imposteur dans toute sa nudité. Personne ne dira plus qu’on a brisé l’espoir d’un processus démocratique en cours de « réussite ».

Qu’on ne nous demande donc pas de « laisser faire Ya Tshitshi » engagé dans le processus électoral et d’interrompre en même temps ce processus par une action révolutionnaire. On ne peut pas, nous le répétons, vouloir une chose et son contraire! Mais après que nous avons tous constaté l’échec de la première alternative, unissons-nous tous dans un même élan pour appliquer la deuxième alternative !

ndonzwau a écrit:Personnellement j'ai déjà donné mon avis sur cette fameuse option "révolutionnaire ou militaire"
d'une libération du pays notamment en disant d'une part qu'elle est tellement d'entreprise et
d'issue laborieuse et aleatoire qu'elle est difficile à apprecier à mon niveau et d'autre part qu'elle
est tout au plus un plan B mais un plan B qu'idéologiquement je récuse aujourd'hui ou plutôt
pour lequel je suis très reservé !
Il y a trop de sentimental et souvent d'irrationnel dans une révolution dont l'avènement est
aussi aléatoire qu'mprévisible et où l'ivresse des foules n'engendre pas du moins immédiatement
des situations apaisées et fertiles !
L'entreprise militaire quant à elle est une affaire d'abord de spécialistes qui demande beaucoup
d'ingrédients financiers et humains dont la comptabilité à terme est trop lourde pour l'aborder
aisément à notre niveau...
Mais pourquoi pas, après tout, tout fait nombre si c'est la "libération contre une occupation" qui prime !!!

Pour l'instant, nous nous trouvons en face d'une autre réalité qui s'en apparente mais qui elle, appelle
une stratégie d'urgence : ces élections risquent d'être ni transparentes ni libres et donc d'être
confisquées au profit du pouvoir en place avec la bénediction ou le silence de la CI...
De plus, l'opposition et particulièrement Tshisekedi qui aura peut-être raison de protester si
c'est le cas, risque d'être sauvagement et illégalement neutralisé comme le fût Bemba en 2006 !
Sa position sera donc déterminante pour la suite : soit il accepte d'officier dans une opposition
forte et républicaine (ce fut déjà le cas de Bemba en 2006) sans garanties que le gagnant le respecte,
soit il entre dans une sorte de résistance !

Esperons donc que victoire ou défaite soient dans les règles et acceptée par tous mais parlons
d'abord de l'issue la plus à craindre !

C'est dans ce dernier cas où l'on peut avoir besoin que le peuple lui apporte son appui pacifique;
mais pacifique jusqu'à quel niveau lorsqu'on voit les précédents et surtout lorsqu'on observe
le traitement indigne dont il a fait et fait l'objer aujourd'hui avec de nombreuses violences et
morts illégales que le pouvoir a infligé à ses sympathisants, aux Congolais s'exprimant pacifiquement
et sa quasi-mise sous résidence surveillée ?
Tshisekedi et peut-être d'autres membres de l'opposition auront dans ce cas besoin des Congolais
pour cette résistance légitime !
Ce n'est plus là tout à fait la voie démocratique parce qu'en face elle est violée, mais pas encore
la guerre (civile)...

Voilà le dilemme auquel nous risquons d'assister ou pis de participer!!!
Compatriotiquement!

"Tshisekedi face à son destin"
° http://www.apareco-rdc.com/component/content/article/89-diapo-only/202-la-voie-des-elections-democratiques-ayant-marque-ses-limites-celle-de-la-liberation-doit-maintenant-prendre-le-relais.html

ndonzwau a écrit: Vous avez (enfin) tout compris, mon cher Lord : existe bien un complot de la CI
contre les patriotes et les démocrates Congolais : voilà le sens et la direction
de notre combat désormais !

En effet, c'est là où nous avons perdu ou perdrons la partie : la CI qui aurait du nous aider
ne fût-ce en faisant valoir les règles de l'Etat de droit qui sont plus que violées avec
ses nombreuses morts tuées exprès par la police, avec la neutralisation illégale
d'un Candidat, avec le silence devant tout ça et devant les preuves de la tricherie
et de l'inorganisation de la Cen, se tait piteusement sauf pour déplorer une imaginaire
incitation à la désunion du pays de la part de l'opposition !
Où la trouve-t-elle par exemple dans la déclaration de Tshisekedi à RFI (voir la malvenue
interview de l'ambassadeur de la Belgique dont le pays et en pleine jungle séparatiste !!!)

C'est que pour des raisons intéressées, néocolonialistes et non pour un souci du bien
des Congolais, la CI, officielle depuis la grande Onu mais aussi ses Ong, a choisi son camp,
celui de l'homme à la grande écoute, le protégé des multinationales et du Rwanda, Kanambe !!!
Ne vous illusionnez pas avec de tièdes comdamnations de l'UE ou de je ne sais quelle officine !
Gravissime, intolérable, inacceptable pour tout Congolais responsable !!!
NOUS NOUS DEVONS DE NOUS REVEILLER PLUS QUE JAMAIS !!!

Notre très improbable victoire ne peut venir que de la détermination, du courage à toute
épreuve à nous battre massivement au besoin jusqu'à notre sacrifice suprême pour récuperer
notre souveraineté, pour renforcer notre cohésion nationale pour la reconstruction du pays !
Que le Dieu de nos Ancêtres bénisse notre Congo en ces heures dramatiques !!!
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Compatriotiquement!

ndonzwau a écrit:

LORD MBAKAMA a écrit:la détermination, du courage à toute
épreuve à nous battre massivement au besoin jusqu'à notre sacrifice suprême

mon doyen NDO, na leli bout de phrase oyo grave, surtout mot wana massivement ? twisted:
eza tres mobilisateur. merci mingi pona conscientisation expressive avec ces mots qui poussent courageusement les gens aux actes.

la rue rien que la rue

Mon cher Lord,

L'un des détails important et significatif en tous sens pour nous dans ce combat doit être
celui de tous les congolais de défendre Tshisekedi, de briser l'isolement où veut le releguer
hypocritement cette néocolonialiste CI, qui je le répète lutte pour ses intérêts et non
pour le bien, le bonheur des Congolais !!!

Quoi qu'il arrive demain, notre première bataille doit consister à sauver le soldat Tshiseked;
qu'il ne connaisse pas le sort de Bemba en 2006 !!!
En 2006, Eufor était venue exprès pour l'empêcher de chasser Kanambe; en 2011, la CI
s'est contentée de déleguer tout çà à la Ceni et à la kanambie en surveillant tout ça
de près : gagner cette première bataille de sauver Tshisekedi nous permettra d'en engranger
d'autres pour arriver à sauver notre souveraineté !

Nous tous Congolais responsables, soucieux de prendre notre destin en mains car personne
d'autre ne viendra s'en occuper à notre place, nous devons chacun et que personne n'y manque,
aller voter demain massivement pour lui, ensuite nous ranger en remparts sans craindre
autour de lui, s'il est inquiété comme il est illégalement mis sous surveillance aujourd'hui !
Aujourd'hui, il reste notre premier héros, notre premier soldat pour sauver notre pays !
Le terrorisme d'Etat malgré ses gros moyens et ses appuis ne peut pas tout en face
d'un peuple déterminé à choisir sa liberté de destin plutôt que les chaines de l'esclavage !
Battons-nous, tentons ce défi, il peut être demain à notre portée !!!

Congolais, sauvons notre pays des menottes de la CI et de ses complices de la kanambie,
du Rwanda et Cie et des multinationales occidentales qui pillent nos richesses, sauvons
notre souveraineté en votant massivement pour le porte-étendard de cette lutte, Tshisekedi
et n'hésitons pas à le protéger !
Debout Congolais; dressons nos fronts longtemps courbés !!!
Aux urnes, Congolais, aux armes, chers Compatriotes !!!
Compatriotiquement!

"Élections en RDC :
Honoré NGBANDA tire une dernière fois la sonnette d’alarme !"
° http://www.apareco-rdc.com/component/content/article/89-diapo-only/192-honore-ngbanda-tire-une-derniere-fois-la-sonnette-dalarme.html