Selon le Centre Carter, les elections n'etaient pas credibles

Lokuta ewutaka na ascenseur.....Le centre Carter affirme que les elections ont non seulement ete entachees d'irregularites, mais que les resultats n'etaient pas credibles, notamment a cause des 2000 bureaux de votes dont les bulletins se sont volatilises a Kinshasa. Ils ne croient pas non plus en l'integrite du processus pour les legislatives. Avec la nomination par les USA il y a qq jours d'un envoye special pour la Region des Grands Lacs, en la personne de Barrie Walkley, le match ne semble pas encore termine pour l'opposition. Lisez:

http://www.cartercenter.org/news/pr/drc-121011.html

Press Releases

Dec. 10, 2011
Contact: Baya Kara in Kinshasa +243 81 240 7659 or Deborah Hakes in Atlanta +1 404 420 5124

Carter Center: DRC Presidential Election Results Lack Credibility

The Carter Center finds the provisional presidential election results announced by the Independent National Election Commission (CENI) on Dec. 9 in the Democratic Republic of the Congo to lack credibility. CENI results point to the re-election of incumbent President Joseph Kabila with 49 percent of the vote followed by Etienne Tshisekedi with 32 percent and Vital Kamerhe with 7.7 percent. Voter turnout was 58 percent.

Carter Center observers reported that the quality and integrity of the vote tabulation process has varied across the country, ranging from the proper application of procedures to serious irregularities, including the loss of nearly 2,000 polling station results in Kinshasa. Based on the detailed results released by CENI, it is also evident that multiple locations, notably several Katanga province constituencies, reported impossibly high rates of 99 to 100 percent voter turnout with all, or nearly all, votes going to incumbent President Joseph Kabila. These and other observations point to mismanagement of the results process and compromise the integrity of the presidential election. Candidates and parties have a limited time to submit any complaints to the Supreme Court, and tabulation for the legislative elections is ongoing.

The problems observed in the tabulation and announced results are compounded by inadequate access for observers at multiple compilation centers around the country and no official access to the national results center in Kinshasa. The Carter Center is therefore unable to provide independent verification of the accuracy of the overall results or the degree to which they reflect the will of the Congolese people.

Présidentielle- Lubumbashi: les résultats de 51 bureaux de vote introuvables
http://radiookapi.net/actualite/2011/12/08/presidentielle-lubumbashi-les-resultats-de-51-bureaux-de-vote-introuvables/










photo prise par un membre de la ceni qui a assisté au fraudes

Si les résultats n'étaient pas crédibles pourquoi ne pas l'avoir dit pour que MULUNDA ne fasse pas son cirque kokamua.

"On ne peut pas de manière naturelle obtenir de tels résultats. Il n'y a pas autant que personnes bien portantes motivées pour aller voter l'unisson", indique David Pottie, responsable de la mission Carter. Dans la région de Monono, dans la province méridionale du Katanga, la participation atteint ainsi 100,14% et Kabila récolte 99,98% des voix.

source : http://lci.tf1.fr/monde/afrique/violences-post-electorales-en-rdc-6871376.html

Le Centre Carter: Résultats élection présidentielle en RDC manquent de crédibilité
En Français (PDF)>>

http://lord-mbakam.skyrock.com/

Le Centre Carter trouve les résultats provisoires des élections présidentielles annoncés par la Commission nationale électorale indépendante (CENI), le 9 décembre en République démocratique du Congo manquer de crédibilité. CENI résultats soulignent la réélection du président sortant, Joseph Kabila, avec 49 pour cent des suffrages, suivi par Etienne Tshisekedi avec 32 pour cent et Vital Kamerhe à 7,7 pour cent. Le taux de participation était de 58 pour cent.

Observateurs du Centre Carter ont indiqué que la qualité et l'intégrité du processus de dépouillement du scrutin a varié à travers le pays, allant de la bonne application des procédures d'irrégularités graves, y compris la perte de près de 2000 des résultats bureau de vote à Kinshasa. Basé sur les résultats détaillés publiés par la CENI, il est également évident que de multiples endroits, notamment plusieurs circonscriptions la province du Katanga, ont signalé des taux incroyablement élevé de 99 à 100 pour cent le taux de participation avec tous ou presque tous, les votes vont incombe Président Joseph Kabila. Ces observations et d'autres points de la mauvaise gestion du processus de résultats et de compromettre l'intégrité de l'élection présidentielle. Les candidats et les partis ont un temps limité pour soumettre des plaintes à la Cour suprême, et de la tabulation pour les élections législatives est en cours.

Les problèmes observés dans la tabulation et les résultats annoncés sont aggravés par un accès inadéquat pour les observateurs dans les centres de compilation multiples à travers le pays et pas d'accès officiel au centre national des résultats à Kinshasa. Le Centre Carter est donc incapable de fournir une vérification indépendante de l'exactitude de l'ensemble des résultats ou de la mesure dans laquelle ils reflètent la volonté du peuple congolais.

Défis dans le processus de résultats ont été encore plus évident dans les délais CENI en annonçant les premiers résultats de deux jours après la date originale du 6 décembre, puis une seconde d'une journée de retard au 9 décembre. Les candidats présidentiels et le peuple congolais sont à féliciter pour attendre pacifiquement pour l'annonce des résultats, et le Centre encourage tous les acteurs à maintenir le même niveau de responsabilité. Il est également de la responsabilité des acteurs politiques congolais et les institutions à mener leur propre examen des résultats des élections et d'identifier des solutions politiques. Le Centre Carter est prêt à aider dans ces processus, si demandée et appropriée.

Le Centre Carter a maintenu 26 équipes d'organisations internationales, des observateurs impartiaux déployés à Kinshasa et les 10 provinces pour le comptage et la totalisation. Cette évaluation est basée sur l'observation directe lors des visites à 25 centres locaux de compilation des résultats (CLCRs) où la présentation des résultats a été réalisée et un examen préliminaire des résultats publiés.

Le processus de dépouillement

La loi électorale [1] prévoit que, immédiatement après le comptage, les formes résultats sont signés par tous les membres du bureau de vote et les témoins, une copie du formulaire de résultats est donnée aux témoins [2], une copie du formulaire de résultats est affichée à l'extérieur du formes du bureau de vote, et les résultats et autres documents électoraux (urnes, bulletins de vote comptés et inutilisées) sont envoyés à la CLCR 169. Tous les matériaux sont censés être collectés et transportés en toute sécurité à l'CLCR.

Les chefs des centres de vote ont été responsables de la collecte et la livraison tout le matériel du bureau de vote de leur centre de vote comprenant quatre séries d'enveloppes contenant les résultats par bureaux de vote; un chacun pour les CLCR, le conseil national de la CENI, le secrétaire exécutif provincial de la CENI (SEP) , et la Cour suprême. À l'arrivée au CLCR, les chefs de centres de vote se présenter à un bureau de réception pour signer sur l'ensemble de leur matériel électoral. Si tout le matériel a été pris en compte, les chefs de centres de vote ont été libérés de la responsabilité et renvoyés chez eux.

Dès réception, l'enveloppe des résultats pour les CLCR est envoyé au bureau de collation, tandis que les autres sont envoyés à l'archivage pour une transmission ultérieure à leurs destinataires finaux. Les documents en résulte alors passer par quatre bureaux où ils sont vérifiés pour la cohérence, les données saisies sur des ordinateurs et compilée pour transmission à la SEP et finalement posté en face de la clairance de la créatinine. A un certain stade, les documents peuvent être incompatibles reconstruit la base du formulaire de comptage et de journal d'activité des bureaux de vote par une équipe de membres de la CENI trois. Après la compilation des résultats de toutes les circonscriptions sous sa responsabilité, CLCRs les transmettre à la SEP, qui regroupent pour la province et les envoyer à la CENI pour la publication des résultats préliminaires. [3]

Conclusions générales

Peu de temps après le jour des élections, les résultats non officiels ont commencé à circuler en ligne et par SMS. D'autres messages de menaces ont été envoyées aux membres de missions nationales et internationales d'observation électorale. Le 3 décembre, le ministre de l'Intérieur a ordonné la suspension de l'émission et la réception de SMS justifiée par la distribution massive de messages aurait anonymes d'intimidation, de menaces de mort et appelle à la violence. Cette mesure est une tentative excessive de nier la liberté d'expression; les auteurs de tels messages ont pu être identifiés par des voies régulières de l'enquête.

Autres réponses lourds remis ont été appliquées aux médias. Le Conseil Supérieur de la Communication Visuelle Audio suspendu deux réseaux de diffusion, sans une décision officielle et un journal proche de l'opposition. A Mbuji Mayi, la police a fermé RLTV diffuseur sans cause.

En comparaison avec les élections de 2006, les procédures de dépouillement et sont demeurées similaires dans leur complexité qui pourrait avoir contribué à l'application inégale dans CLCRs et créé des opportunités pour la manipulation des résultats. Comme c'était le cas il ya cinq ans, les défis logistiques de la collecte, la sécurisation et l'enregistrement des résultats causé des difficultés majeures pour lesquelles la CENI a montré un niveau insuffisant de préparation. Personnel de la CENI à partir des centres de vote et CLCRs étaient tenus de travailler de très longues heures pour les jours à la fois, souvent sans abris, de nourriture ou d'eau en essayant et bondé conditions physiques.

Dans la plupart des cas observés, CLCRs étaient bien fermés par la police (militaire, dans certains cas), cependant, dans 15 pour cent des cas leur comportement aurait pu influencer ou intimider le personnel CLCR. Dans 15 pour cent de CLCRs observé, la réception et la manutention du matériel électoral sensible n'a pas suivi les procédures établies. Candidat témoins étaient présents dans près de 90 pour cent des cas, mais leur position physique dans le CLCR et l'accès à une information variée, désactivant certains des suivants toutes les étapes de la compilation.

Lorsque des problèmes avec la paperasserie des résultats a nécessité un recomptage des bulletins de vote, les témoins étaient présents dans seulement une faible majorité des cas observés. Archivage a été signalé à être désorganisé dans 25 pour cent des cas et les enveloppes des résultats à destination de la SEP, la CENI et la Cour suprême n'a pas quitté le CLCRs avant la fin de tabulation. Matériel à transmettre le dossier électronique de formulaires numérisés individuels des résultats bureau de vote à la CENI SEP et était présent dans 73 pour cent des cas, mais les observateurs ne pouvaient pas toujours de confirmer si elles étaient fonctionnelles ou dans l'utilisation cohérente.

Dans de nombreux cas, les chefs des centres de vote attendu CLCRs dehors pendant plusieurs heures et parfois des jours sans prestation organisée des abris, de nourriture ou d'eau. Les objets encombrants (principalement utilisé et non utilisé des bulletins de vote et les urnes) ont été stockés en dehors du CLCRs, la plupart du temps, sans soins ou de protection contre les intempéries. Plus important encore, des sacs de bulletins de vote et les enveloppes contenant les résultats et d'autres formes paperasse des bureaux de vote ont été ouverts par les chefs de centres de vote à l'extérieur avant d'être officiellement reçu. Après réception, les conditions de travail et les dispositions de stockage de CLCR variées. Dans certains cas, des sacs de bulletins de vote étaient empilés partout où l'espace de plancher autorisée, ou de déversement sur le sol où elles ont été renforcées par du personnel en raison du manque d'espace. Dans plusieurs centres spacieuse, le matériel a été soit stockés dans des entrepôts et empilés dans un hors plus ordonné manière ou gauche, couverte par des tentes et des bâches. Si un manque d'organisation dans le stockage de matériel sensible a prévalu, il était presque impossible pour le personnel de la CENI pour récupérer du matériel égaré.

En CLCR observées multiples (p. ex Boma, Matadi, Bandundu, Mweka, et autres) observateurs du Centre Carter trouve processus de tabulation qu'ils passable ou bonne dans 60 pour cent des cas. L'évaluation globale des autres endroits variés, avec 40 pour cent ont évalué pauvres fondée sur une évaluation globale de l'application des procédures.

Compilation des résultats manquent de crédibilité

Le processus de dépouillement à Kinshasa et Lubumbashi s'est avérée particulièrement problématique. Le manque de préparation évident dans ces deux grandes villes a entraîné de graves irrégularités et a produit un processus de dépouillement qui manque de crédibilité. Les lacunes décrites ci-dessus généralisée prévalait à l'extrême dans les deux endroits. Matériaux sensibles sont arrivés par divers moyens de transport, tant officiels que privés, ont été traités au hasard, parfois avec des sacs et des enveloppes résultats ont ouvert, ont été stockés à l'extérieur avec une protection insuffisante ou inexistante des éléments (après une tempête de pluie formes résultats ont été trouvés suspendus sur des bâtons de sec), les chefs des centres de vote ont été observés l'ouverture des enveloppes scellées avec des formes et des résultats de l'achèvement ou la modification paperasse en violation de la procédure. Couplé à la désorganisation générale de ces centres, un nombre significatif de résultats des bureaux de vote ont été perdus. A Kinshasa, près de 2000 des résultats des bureaux de vote ont été perdues (soit autant que 350 000 électeurs) et donc ne seront jamais comptés. Un autre bureau de vote les résultats 1000 ont été perdus dans le reste du pays (représentant 500 000 électeurs).

Aussi, à Kinshasa, l'application inégale des procédures ont conduit à des débats houleux sur la façon de traiter les formulaires non signés résultats, conduisant souvent à une interprétation partisane des procédures. Dans certains cas, des documents contestés auraient été transférés à la Cour suprême, qui reste à ce stade impossible de confirmer. CLCR du personnel semblaient parfois être mal formés avec certains rapports du personnel que ses collègues n'avaient reçu aucune formation. Par ailleurs, une communication inefficace du fait des décisions de procédure alors que le dépouillement était en cours conduit à des décisions importantes étant appliquée inégalement, ce qui soulève des possibilités supplémentaires de manipulation des résultats, comme ni le personnel ni la CENI témoins et les observateurs pourraient vérifier les procédures correctes.

L'accès physique et d'information pour les observateurs et les témoins a été insuffisante et variait de jour en jour et parmi le personnel dans les stations de la CENI CLCR différentes résultant en un manque de transparence du processus. Dans certains cas, des hauts fonctionnaires CENI directement entravé l'observation par les observateurs du Carter Center. Par exemple, à Lubumbashi, observateurs du Centre Carter assisté le président d'une CLCR instruisant son personnel durant leur formation à ne pas donner la moindre information aux observateurs. Des instructions similaires ont été donnés à la CENI du personnel au cours de tabulation à Kinshasa.

Conformément à la loi électorale, chaque CLCR est d'envoyer sa forme résulte compilé pour le SEP, qui envoie à son tour compilé les résultats de la province à la CENI à Kinshasa pour l'annonce d'un résultat national. Il semble que seul le résultat compilé formes CLCR ont été envoyés à la CENI, bien que la Commission doit recevoir sa propre enveloppe avec une copie originale des résultats bureau de vote. Aucune comparaison de formes pour la vérification des résultats physiques de la compilation CLCR au niveau national a pu être observé et donc évalués par le Centre. Bien que formellement demandé à la CENI, pas d'accès officiel a été accordé aux observateurs du Centre Carter (ou tout autres) pour le centre national des résultats (CNT). [4] Ainsi, la transmission de données et de gestion ont été menées d'une manière non transparente, éliminer un possible, et important, avenue de renforcer la confiance dans les résultats définitifs des élections, si les observateurs et les témoins avaient été en mesure de vérifier la manipulation des résultats compilés (loi organisant la CENI contient une disposition de la transparence générale, l'esprit de ce qui devrait s'appliquer au long du processus électoral dans son ensemble, même si des dispositions spécifiques ne sont pas spécifiés dans la loi électorale) [5].

Les résultats provisoires annoncés par la CENI révèle plusieurs résultats qui manquent de crédibilité. Dans la province du Katanga, deux résultats sont particulièrement remarquables CLCR. Le Mulemba Nkulu CLCR rapports 99,46 pour cent le taux de participation avec 100 pour cent des votes, ou 266 886 pour Joseph Kabila, et moins de 0,5 pour cent de votes blancs ou nuls. Tous les bureaux de vote signalés. Kabongo CLCR dossiers similaires forte participation des électeurs avec 227 885 voix pour Kabila et seulement trois voix pour les autres candidats. Un total de huit CLCR en matière de participation des électeurs au Katanga rapport ci-dessus de 80 pour cent, bien au-dessus de la moyenne nationale de 58 pour cent, et part vote de 89 pour cent ou plus pour Kabila.

Bien que le mécanisme précis par lequel totalise un tel vote peut avoir été généré n'est pas clair, de nombreuses conditions citées dans les précédents rapports du Centre Carter ont pu facteurs favorables, notamment quant à la crédibilité du registre des électeurs et le vote potentiels multiples par l'abus des droits de vote dérogation et la liste des électeurs omis, ou par la manipulation des totaux voter à ce bureau de vote ou divers stades de la tabulation. Une analyse approfondie avec les dossiers des observateurs nationaux et des témoins candidat pourrait donner plus d'informations.

Examen des lieux avec les mêmes voix forte proportion d'Etienne Tshisekedi ne révèle pas la même coïncidence parfaite de la collecte des résultats des bureaux de vote et la participation électorale extrêmement élevée. Notamment, bien que Tshisekedi a marqué très bien dans une grande partie du Kasaï Occidental, 11 des 12 CLCR rapporté le taux de participation inférieurs à la moyenne nationale, et en neuf retours CLCR partir du Kasaï Oriental où il a reçu 90 pour cent de plus du vote, le taux de collecte des résultats et le taux de participation ont été au sein de variation raisonnable des taux nationaux.

Cette évaluation ne propose pas que l'ordonnance définitive des candidats est nécessairement différent de celui annoncé par la CENI, mais seulement que le processus de résultats n'est pas crédible. Toutefois, une analyse plus approfondie des résultats préliminaires pourraient révéler d'autres tendances importantes et les variations évocateurs d'un dépouillement et de tabulation qui manquait une application uniforme à tous les électeurs congolais. Une analyse additionnelle sera fournie à l'avenir les rapports du Centre Carter.

Contexte: Le Centre Carter mission internationale d'observation des élections a été en RDC depuis le 17 août 2011, suite à une invitation de la CENI. La mission était dirigée par l'ancien président de Zambie, Rupiah Banda, Bwezani et vice-président du Centre Carter Peace Programmes Dr John Stremlau, et est composée de 70 observateurs de 27 pays.

Le Centre grâce CENI et tous ceux qui ont accueilli congolais observateurs du Centre Carter et donné de leur temps pour les rencontrer.

Mission d'observation du Centre de la RDC est menée conformément aux normes internationales pour des élections, et la mission d'observation a été menée en conformité avec la Déclaration de principes pour l'observation internationale d'élections et le Code de conduite des observateurs internationaux qui a été adoptée à l'ONU en 2005 et a été approuvé par 37 groupes d'observation.

LES ELECTIONS NE SONT PAS CREDIBLES: RAPPORT DU CARTER CENTER



http://fsddc.wordpress.com/2011/12/11/les-elections-ne-sont-pas-credibles-rapport-du-carter-center/

La CPI au Congo, était un coup fourré contre Etienne Tshisekedi et le peuple.
Chers compatriotes la lutte sera longue et totale.
En marge de notre plainte contre les criminels de Kinshasa à la CPI, hier nous avons rencontré une personnalité politique européenne importante, pour peaufiner notre stratégie. Ce dernier nous a révélé qu’à cause de la pression de la diaspora et du peuple congolais, certains milieux radicaux ont renoncé à leur plan d’élimination physique du Président de la République Etienne Tshisekedi et de plusieurs membres de l’opposition.

Il nous a aussi révélé que la stratégie de faire appel à la CPI, par le gouvernement de Muzitu et Kabila, était inspirée par la communauté internationale essentiellement les USA, le Canada, l’Europe et l’Afrique du Sud, pour neutraliser Etienne Tshisekedi. Qu’ils devraient profiter de tout débordement même commandité par le pouvoir, pour lui imputer cela et le neutraliser, en l’accusant des crimes contre l’humanité. Ce pendant ils souhaitent voir Ngoy Mulunda publié Kabila vainqueur au plus tard demain le 08.12.2011, enfin de passer à la phase 3, le débauchage des traîtres qui vont former un gouvernement parallèle, appelé gouvernement d’union nationale.
Composé de PPRD, Palu et quelques traîtres de l’opposition, comment on nous a toujours habitués au Congo. Kabila a reçu l’appui d’environ 14.000 mercenaires de l’Ouganda, du Burundi, du Ruanda, de la Tanzanie et de l’Afrique du Sud. Ces mercenaires sont positionnés à Kinshasa, dans les 2 Kasaï et à Lubumbashi. Mais en même temps notre interlocuteur, m’a confirmé que eux tous, savent que c’est Tshisekedi qui est le gagnant des élections avec plus au moins 59,8 %, mais ils le redoutent pour son amour du Congo.

Au cours de notre entretien il m’a aussi laissé entendre, comme pour me mettre la puce à l’oreille en disant que, ce qu’ils craignent maintenant, c’est l’intensification du mouvement de congolais de la diaspora avec la casse qui s’est fait en Belgique. Selon lui, ils ont peur que leur population constate que les congolais sont continuellement dans la rue, et qu’il y a des casses ou des attaques aux symboles sacrés de leur société tels : Brûler leurs drapeaux, destruction des biens publics et privés, ou le siège des bâtiments publics.
Car, cela pourrait avoir des conséquences incalculables et le risques de voir leur propre peuple se rallier aux congolais. Raison pour laquelle, ils ont dit à Ngoy Mulunda d’attendre un peu, afin qu’un diplomate Américain de haut rang ou Mme Hillary Clinton puisse aller d’abord calmer Tshisekedi, en lui faisant miroiter qu’ils le soutiennent pour endormir l’éveil de congolais, et casser l’élan nationaliste. A la suite de notre rencontre, j’ai compris qu’une seule chose est certaine, nous devons continuer avec plus de pression sur tous ceux qui sont impliqués, dans la situation de notre pays et voir même radicaliser nos moyens de pressions, de manière à rallier leur peuple à notre cause. Chers compatriotes, vous comprenez qu’au travers de cet entretien, la peur a changé de camp. Donc c’est à nous d’utiliser les armes de dissuasion efficaces.
Nous devons aussi massivement écrire, téléphoner et envoyer des Emails et SMS, aux gouvernements et chefs d’États de pays impliqués dans cette opération criminelle. Et à toutes leurs Ambassades, en leur demandant de retirer tous leurs mercenaires sans délai. On peut avoir leurs adresses et Nrs. Téléphones sur l’Internet. En outre c’est à nous de rendre le pouvoir du peuple effectif, en donnant au Président de la République Etienne Tshisekedi tous les moyens de sa politique, pour lui permettre d’agir et de fonctionner comme un véritable chef de l’État. Prenons nos téléphones et appelons comme on l’a fait pour les élections, nos frères et sœurs au pays, les forces armées, la police nationale, les fonctionnaires, les travailleurs, les étudiants, toutes les forces vives de la nation, nos parents et connaissances à n’obéir désormais qu’au seul Président élu. Ainsi nous aurions vaincu la coalition des ennemis du Congo.
Que chacun de nous à partir d’aujourd’hui aussi dans nos comportements, considère que seul Etienne Tshisekedi wa Mulumba, est le Président légitime de la République Démocratique du Congo. Car, l’article 64 de la constitution nous donne le pouvoir de nous opposer contre tout individu ou groupe d’individu, qui chercherait à confisquer le pouvoir par la force. En outre je vous informe que plusieurs compatriotes nous soutiennent pour notre plainte à la CPI contre les criminels de Kinshasa, en nous envoyant même des preuves. D’autre s’associent à nous pour que nous allions ensemble déposer cette plainte. Et nous lance un appel à toutes les forces vives de la société civile congolaise dans la diaspora, de nous rejoindre pour la mise sur pied, d’une structure de la société civile véritablement, gardienne de la République, enfin que plus jamais, qu’il n’ait de dictature dans notre pays. C’est le moment ou jamais d’arracher notre véritable indépendance. Redressons nos fronts longtemps courbés.

Apôtre Danyo Ilunga

http://fr.euronews.net/2011/12/10/la-republique-democratique-du-congo-engluee-dans-une-crise-politique-des-morts-/

Ces constatations ne signifient pas que « l’ordre des candidats est différent »
Ainsi, dans la circonscription de Mbuji-Mayi (Kasai oriental, centre), un fief de M. Tshisekedi, celui-ci obtient 97,29 % des suffrages, mais le taux de participation n’atteint que 51,47 %, avec une prise en compte des résultats pour 86,03 % des bureaux de vote. « Ce constat et d’autres indiquent une mauvaise gestion du traitement des résultats et compromet l’intégrité de l’élection présidentielle ».

Toutefois, ces constatations ne signifient pas « que l’ordre final des candidats (ndlr : Kabila premier, Tshisekedi deuxième) est forcément différent » de celui annoncé par la Céni, mais « uniquement que le processus de traitement des résultats n’est pas crédible », précise l’ONG.

http://www.lesoir.be/actualite/monde/2011-12-11/rdc-les-resultats-manquent-de-credibilite-883011.php

Jim KK a écrit:Ces constatations ne signifient pas que « l’ordre des candidats est différent »
Ainsi, dans la circonscription de Mbuji-Mayi (Kasai oriental, centre), un fief de M. Tshisekedi, celui-ci obtient 97,29 % des suffrages, mais le taux de participation n’atteint que 51,47 %, avec une prise en compte des résultats pour 86,03 % des bureaux de vote. « Ce constat et d’autres indiquent une mauvaise gestion du traitement des résultats et compromet l’intégrité de l’élection présidentielle ».

Toutefois, ces constatations ne signifient pas « que l’ordre final des candidats (ndlr : Kabila premier, Tshisekedi deuxième) est forcément différent » de celui annoncé par la Céni, mais « uniquement que le processus de traitement des résultats n’est pas crédible », précise l’ONG.

http://www.lesoir.be/actualite/monde/2011-12-11/rdc-les-resultats-manquent-de-credibilite-883011.php

jim kk

cela signifie que il y'a tricherie tout court

Tsippora a écrit:Lokuta ewutaka na ascenseur.....Le centre Carter affirme que les elections ont non seulement ete entachees d'irregularites, mais que les resultats n'etaient pas credibles, notamment a cause des 2000 bureaux de votes dont les bulletins se sont volatilises a Kinshasa. Ils ne croient pas non plus en l'integrite du processus pour les legislatives. Avec la nomination par les USA il y a qq jours d'un envoye special pour la Region des Grands Lacs, en la personne de Barrie Walkley, le match ne semble pas encore termine pour l'opposition. Lisez:

http://www.cartercenter.org/news/pr/drc-121011.html

Press Releases

Dec. 10, 2011
Contact: Baya Kara in Kinshasa +243 81 240 7659 or Deborah Hakes in Atlanta +1 404 420 5124

Carter Center: DRC Presidential Election Results Lack Credibility

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Que voulez-vous dire, Ma Tsippo, lorsque vous affirmez ; "...le match ne semble
pas encore termine pour l'opposition...." ?
N'aurait-il pas été plus bénefique de disposer de ce rapport avant la publication
des résultats officiels ? Et maintenant quoi en attendre ?
Que le Centre Carter en raison de ces conclusions intervienne auprès du Département
d'Etat pour faire changer les choses au Congo ou qu'il intervienne directement au Congo
ou encore que ses conclusions aient une influence sur le pouvoir au Congo ???
D'abord que recommande-t-il à l'opposition lésée et au pouvoir fautif ?
C'est quand même ça aussi sa fonction : tenter de faire résoudre les conflits, si je ne m'abuse...

Je l'ai déjà dit : moi je suis moins optimiste sur une suite favorable à l'opposition
dans l'immédiat d'abord parce que je crois elle reposerait sur l'attitude populaire
bien imprévisible et pour le moment illusoire surtout qu'on lui demande le calme...
Et ensuite parce que la CI qui peut peser ne se contente de ne demander que
des contestations selon les règles qu'on sait improductives vu l'inféodation
de notre justice; la fameuse CS ne nous sera d'aucune utilité....
Enfin parce que je suis quelque peu désarçonné par la stratégie du Lider Maximo,
du moins à ce stade : je ne vois pas bien où peut nous mener de bien, le fait
de se déclarer Président élu, d'appeler la CI à regler ce litige pour éviter de faire
couler le sang de notre peuple, d'appeller celui-ci au calme et de ne pas porter
plainte à la CS...

Il demeure néanmoins que si le peuple ne peut se resoudre au calme surtout dans
la diaspora, beaucoup dépendra quand même de son attitude surtout au pays :
saura-t-il se prendre en charge et revendiquer de façon audile justice ?
Rien n'est moins sûr !

En revenant au Centre Carter, je n'ai lu jusque là que rapidement un résumé,
il évoque quand même ceci : "(...)Il est également de la responsabilité des acteurs politiques Congolais et des institutions de mener leur propre examen des résultats des élections et d’identifier des solutions politiques. Le Centre Carter est prêt à appuyer ces processus, si cela lui est demandé et adéquat.(...)"

N'est-il pas alors urgent que l'opposition prépare malgré la recommandation contraire
de Tshisekedi de préparer illico ce bon dossier de plainte et demande en même-temps
l'aide du Centre Carter ?
Que pensez-vous de tout ça, Ma Tsippo ?


Compatriotiquement

Mr Ndozwau

Selon vous l´aide du Centre Carter..c est pour avant la "certification" de la victoire de Kanambe par la CSJ..ou après

Si l´Église Catholique si puissante reste "neutre", Troll ne pense pas que ce "centre Carter" peut influencer les USA ..car nous ne serons pas surpris de lire les "felicitations" du Departement d´État..exactement comme au Rwanda et en Ouganda il n´ya pas si longtemps..si les congolais ne "bougent pas" la semaine prochaine

....Notez en passant que le Centre Carter a travaillé avec l´aide active de l´Eglise catholique..la théologie de la revolution n´est pas pour demain au Congo

....Malgré l’organisation chaotique du scrutin, l’opposition aura beaucoup de mal à contester le scrutin devant la Cour suprême.
<BLOCKQUOTE>
Deux raisons à cela : les irrégularités sont tellement nombreuses et la logistique tellement anarchique qu’il sera très difficile de prouver quoique ce soit devant la Cour suprême (pas de chiffres fiables, bureaux de votes fermés, bulletins perdus, doublons sur le fichier électoral…).

Deuxième difficulté pour prouver la fraude : Joseph kabila a remplacé il y a quelques mois la majorité des membres de la Cour suprême de république démocratique du Congo. Il semble que les nouveaux membres sont très « proches » du parti présidentiel.
</BLOCKQUOTE>

Dans ce contexte, la marge de manœuvre est courte pour l’opposition congolaise : contester « l’incontestable » face une Cour suprême « noyautée » par le président sortant, ou recourir à « la rue » au risque d’enfoncer le pays dans une spirale de violence....



http://fsddc.wordpress.com/2011/12/11/la-rdc-a-lheure-de-la-contestation/

ndonzwau a écrit:[...] En attendant, il est vrai que j'attends plus de l'attitude du peuple pour avancer :
des manifestations de contestation pacifique qui se repeteraient et se prolongeraient,
bravant les forces de l'ordre non républicaines; voilà ce qui nous apporterait davantage
que toute l'aide étrangère !

Compatriotiquement!

Le peuple ne doit pas continuer à se faire canarder sans que ceux pour qu'il sort ne sortent et ce n'est plus au vieil homme de le faire. Que la relève entre en action.

Libre Examen a écrit:

ndonzwau a écrit:[...] En attendant, il est vrai que j'attends plus de l'attitude du peuple pour avancer :
des manifestations de contestation pacifique qui se repeteraient et se prolongeraient,
bravant les forces de l'ordre non républicaines; voilà ce qui nous apporterait davantage
que toute l'aide étrangère !

Compatriotiquement! [/color]

Le peuple ne doit pas continuer à se faire canarder sans que ceux pour qu'il sort ne sortent et ce n'est plus au vieil homme de le faire. Que la relève entre en action.

Exact!

Admin a écrit:

Libre Examen a écrit:

ndonzwau a écrit:[...] En attendant, il est vrai que j'attends plus de l'attitude du peuple pour avancer :
des manifestations de contestation pacifique qui se repeteraient et se prolongeraient,
bravant les forces de l'ordre non républicaines; voilà ce qui nous apporterait davantage
que toute l'aide étrangère !

Compatriotiquement!

Le peuple ne doit pas continuer à se faire canarder sans que ceux pour qu'il sort ne sortent et ce n'est plus au vieil homme de le faire. Que la relève entre en action.

Exact!

Et c'est sans commentaire :
https://www.youtube.com/watch?v=-GBlbk_HOuI&feature=player_embedded

ndonzwau a écrit:

Libre Examen a écrit:

Admin a écrit:

Libre Examen a écrit:

ndonzwau a écrit:[...] En attendant, il est vrai que j'attends plus de l'attitude du peuple pour avancer :
des manifestations de contestation pacifique qui se repeteraient et se prolongeraient,
bravant les forces de l'ordre non républicaines; voilà ce qui nous apporterait davantage
que toute l'aide étrangère !

Compatriotiquement!

Le peuple ne doit pas continuer à se faire canarder sans que ceux pour qu'il sort ne sortent et ce n'est plus au vieil homme de le faire. Que la relève entre en action.

Exact!

Et c'est sans commentaire :
https://www.youtube.com/watch?v=-GBlbk_HOuI&feature=player_embedded

Vous avez sans doute raison, chers amis, mais je m'étais permis de nous donner à tous
un devoir pos-électoral : que devons-nous faire aujourd'hui nous qui croyons que non seulement
les élections nous ont été volées mais aussi que la voie qui est prise au Congo est
celle habituelle de la médiocrité, de la prédation, du pouvoir personnel et de
la misère pour le peuple ?

Nous résigner à préparer dès maintenant un 2016 où tout risque de se repeter ou
concocter dès maintenant un plan pour défaire la dictature meurtrière ?
Ou que sais-je, dans tous les cas à nous d'essayer d'y répondre...


Compatriotiquement!

La même pression que nous mettons sur la CI nous devrons l'exercer sur tous les candidats de l'opposition. Il faut les mettre au courant de ce que les Congolais vivent, en particlulier les Kinois, depuis la sequestratration de Tshisekedi, le 25 novembre 2011. Ils doivent prendre le leadership.

Libre Examen a écrit:
La même pression que nous mettons sur la CI nous devrons l'exercer sur tous les candidats de l'opposition. Il faut les mettre au courant de ce que les Congolais vivent, en particlulier les Kinois, depuis la sequestratration de Tshisekedi, le 25 novembre 2011. Ils doivent prendre le leadership.

Tout homme politique ne faisant pas montre d'un leadership fort pour la cause de la nation ne peut pas être pris en compte par la diaspora.
Il est temps que les Vuemba, Diomi, Mubake,pourquoi pas Kamerhe, Fayulu, ... nous montrent de quoi ils sont capables. Ils ne peuvent plus se réfugier sous le prétexte de donner tout l'espace à Tshisekedi.

King David a écrit:

Libre Examen a écrit:
La même pression que nous mettons sur la CI nous devrons l'exercer sur tous les candidats de l'opposition. Il faut les mettre au courant de ce que les Congolais vivent, en particlulier les Kinois, depuis la sequestratration de Tshisekedi, le 25 novembre 2011. Ils doivent prendre le leadership.

Tout homme politique ne faisant pas montre d'un leadership fort pour la cause de la nation ne peut pas être pris en compte par la diaspora.
Il est temps que les Vuemba, Diomi, Mubake,pourquoi pas Kamerhe, Fayulu, ... nous montrent de quoi ils sont capables. Ils ne peuvent plus se réfugier sous le prétexte de donner tout l'espace à Tshisekedi.

Et pourrions-nous au travers de nos connaissances se faire réaliser ce que l'autre a toujours promis. Pourrions-nous en convraincre assez pour prendre la cause du peuple.

Libre Examen a écrit:

King David a écrit:

Libre Examen a écrit:
La même pression que nous mettons sur la CI nous devrons l'exercer sur tous les candidats de l'opposition. Il faut les mettre au courant de ce que les Congolais vivent, en particlulier les Kinois, depuis la sequestratration de Tshisekedi, le 25 novembre 2011. Ils doivent prendre le leadership.

Tout homme politique ne faisant pas montre d'un leadership fort pour la cause de la nation ne peut pas être pris en compte par la diaspora.
Il est temps que les Vuemba, Diomi, Mubake,pourquoi pas Kamerhe, Fayulu, ... nous montrent de quoi ils sont capables. Ils ne peuvent plus se réfugier sous le prétexte de donner tout l'espace à Tshisekedi.

Et pourrions-nous au travers de nos connaissances se faire réaliser ce que l'autre a toujours promis. Pourrions-nous en convraincre assez pour prendre la cause du peuple.

LE
c'est l'interview du nouveau ministre belge des affaires étrangères a la 9 min selon toi que dis t'il exactement?

http://www.rtl.be/rtltvi/video/374763.aspx

et la c'est alain juppé sur tv5

link a écrit:

Libre Examen a écrit:

King David a écrit:

Libre Examen a écrit:
La même pression que nous mettons sur la CI nous devrons l'exercer sur tous les candidats de l'opposition. Il faut les mettre au courant de ce que les Congolais vivent, en particlulier les Kinois, depuis la sequestratration de Tshisekedi, le 25 novembre 2011. Ils doivent prendre le leadership.

Tout homme politique ne faisant pas montre d'un leadership fort pour la cause de la nation ne peut pas être pris en compte par la diaspora.
Il est temps que les Vuemba, Diomi, Mubake,pourquoi pas Kamerhe, Fayulu, ... nous montrent de quoi ils sont capables. Ils ne peuvent plus se réfugier sous le prétexte de donner tout l'espace à Tshisekedi.

Et pourrions-nous au travers de nos connaissances se faire réaliser ce que l'autre a toujours promis. Pourrions-nous en convraincre assez pour prendre la cause du peuple.

LE
c'est l'interview du nouveau ministre belge des affaires étrangères a la 9 min selon toi que dis t'il exactement?

http://www.rtl.be/rtltvi/video/374763.aspx

et la c'est alain juppé sur tv5

Link,

Ils devraient dire la même chose aux Syriens et aux Russes. En attendant, nous allons faire ce que Hillary Clinton recommande aux Russes de faire, exactement ce que l'article 64 nous recommande de faire. Ca aussi ca fait partie de nos procédures.

Libre Examen a écrit:


Ils devraient dire la même chose aux Syriens et aux Russes. En attendant, nous allons faire ce que Hillary Clinton recommande aux Russes de faire, exactement ce que l'article 64 nous recommande de faire. Ca aussi ca fait partie de nos procédures.

En effet, comment comprendre qu'on dise aux uns (Syriens et russes) de se battre contre les institutions corrompues et aux autres (citoyens congolais) de s'adresser à la justice pour régler nos contentieux.

Le peuple congolais doit se prendre en charge et ne pas attendre un don occidental qui ne viendra pas. Nous devons arracher notre liberté, notre indépendance comme nos pères l'on fait en 1959.