Voici les listes des députés élus publiées par la CENI

Troll a écrit:

Ba za kuna Ce que... opposition azali na certitude moko boye ete... victoire ya election e ko zala imposer de gré ou de force

Admin a écrit:

Tsippora a écrit:HH, Na rataki episode wana! Si c'est le cas en tout cas, alors ils demeurent consequents envers eux-memes et c'est tant mieux! J'espere que les autres partis de l'opposition suivront l'exemple. Ils doivent comprendre que Joseph ne dirigera plus le Congo et par consequent, qu'il n'y a plus rien a attendre de ces imposteurs.

Hiro-Hito a écrit: LE, Tsippora et Admin... aviez vous eu la chance de suivre la rencontre de la delegation de l'opposition en occident avec la diaspora a Paris?
Il est clairement dit q makambu ya parlement etali bango te, baza kuna te, c d'ailleurs Felix qui en parle

Wapi video yango?
En tout cas il a bien dit. Il faut ignorer parlement na bango

Admin a écrit:

Tsippora a écrit:HH, Na rataki episode wana! Si c'est le cas en tout cas, alors ils demeurent consequents envers eux-memes et c'est tant mieux! J'espere que les autres partis de l'opposition suivront l'exemple. Ils doivent comprendre que Joseph ne dirigera plus le Congo et par consequent, qu'il n'y a plus rien a attendre de ces imposteurs.

Hiro-Hito a écrit: LE, Tsippora et Admin... aviez vous eu la chance de suivre la rencontre de la delegation de l'opposition en occident avec la diaspora a Paris?
Il est clairement dit q makambu ya parlement etali bango te, baza kuna te, c d'ailleurs Felix qui en parle

Wapi video yango?
En tout cas il a bien dit. Il faut ignorer parlement na bango

SpirituS a écrit:Impasse oyo ezo fongola nzela na troisième voix cad mutu moko d’occurrence un officier militaire par exemple azwa bokonzi na coup d’état écartant ainsi le Vieux et Kanambe. Un nouveau Mobutu risque de sortir de l’ombre!

SpirituS

SpirituS a écrit:Je ne comprend plus rien, comment l’opposition à l’occurrence l’UDPS peut dire que les élections législatives etali bango te ? si c’est vrai wana je suis confus
Si on rejette les législatives il faut aussi rejeter la présidentielle. J’ai comme l’impression que l’UDPS va rester en dehors des institutions cette fois aussi. Donc bitumba nioso oyo ezali pourquoi ? Guerre pe ezo banda te. Impasse oyo ezo fongola nzela na troisième voix cad mutu moko d’occurrence un officier militaire par exemple azwa bokonzi na coup d’état écartant ainsi le Vieux et Kanambe. Un nouveau Mobutu risque de sortir de l’ombre!

SpirituS

"RDC- Législatives : sous pression, la Ceni reporte l'annonce des résultats provisoires "
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20120112204256/joseph-kabila-cardinal-ceni-reportrdc-legislatives-sous-pression-la-ceni-reporte-l-annonce-des-resultats-provisoires.html

"RDC: Les experts américains jette l'éponge ?
° http://www.apareco-rdc.com/91-flash/414-rdc--les-experts-americains-jettent-leponge-.html
La mission d'experts internationaux chargée d'apporter une aide technique à la Commission électorale (CENI) de République démocratique du Congo (RDC) a-t-elle quitté le pays ? C'est ce qu'affirme le site Congo Forum depuis ce matin. Ces experts électoraux auraient arrêté leur mission "faute d'avoir accès aux données". Pour l'instant, cette information n'est pas confirmée par Kinshasa.'(...)"

"MISE A JOUR
Lundi 16 janvier, on nous confirme que les experts de NDI ont en effet quitté Kinshasa. Par contre, ceux de IFES continuent leur travail auprès de la CENI."
° http://afrikarabia2.blogs.courrierinternational.com/archive/2012/01/14/rdc-les-experts-americains-jettent-l-eponge.htm

Mis devant l’impossibilité de travailler
Les experts internationaux jettent l’éponge
° http://lepotentiel.com//afficher_article.php?id_edition=&id_article=119476
Plus de traces des experts internationaux venus aider la CENI à rectifier les irrégularités. Ils sont repartis en silence comme ils étaient venus. Aucun mot sur la nature et la durée de leur mission. Ils auraient filé à l’anglaise. Abandon, rétorquent certains. Pas bon signe.
(...)
Pas de surprise
A première vue, l’on n’est pas du tout surpris par cette réaction des experts internationaux. C’est le contraire qui aurait surpris dans la mesure où leur arrivée n’était pas du tout acceptée de gaieté de cœur. Au niveau de la CENI, l’on ne s’empêchait pas de signaler que la «CENI n’était pas du tout demanderesse et qu’en plus, elle n’était pas en difficulté de technicité».
Sans surprise dans la mesure où la CENI avait continué à publier les résultats provisoires des législatives sans attendre l’arrivée des experts internationaux. C’est un. De deux.
A peine arrivés, la CENI avait déployé les membres de son bureau en provinces pour constater les irrégularités et apporter des réponses qu’il fallait selon l’appréciation de ses délégués, dégarnissant ainsi son siège.

Ainsi, les experts internationaux étaient abandonnés à eux-mêmes. Ils n’ont pas pu avoir accès à des «données disponibles», comme on l’a laissé entendre, pour faire leur travail. Autres dilemmes évoqués, ces experts devaient soit «cautionner le travail de la CENI, soit confirmer les rapports des missions d’observations de l’Union européenne, du Centre Carter et de la RENOSEC». Il nous revient également qu’ils auraient été agacés par «la passivité de la MONUSCO» qui les gérait. Devant cette incapacité de travailler, les experts ont préféré plier bagages et partir.
Mission difficile et inopportune, disait bien un sénateur tant cette présence des experts internationaux mettait à mal «l’indépendance» de la CENI. Et que par ricochet, cette mission devrait aboutir à la «certification des élections». La CENI ne pouvait pas accepter de se faire hara–kiri.

Le suspense demeure
Les experts internationaux partis, que va-t-il se passer ? Interrogation intéressante. Il est important de retenir que forte de son indépendance de certifier les résultats des élections, la raison de sa création et de son existence, la CENI poursuivra sur la même lancée. Et s’il y avait des contestations, les contestataires devraient se saisir des instances judiciaires. La rengaine est connue de tous.
Mais seulement, voilà. Qu’ils aient jeté l’éponge ou pas, ces experts internationaux feront rapport à leurs organisations, notamment le National Democratic Institut, NDI, et l’IFES. Celles-ci, après appréciation, le transmettront à tous les gouvernements intéressés au bon déroulement du processus électoral en RDC. Or, si les experts ont été envoyés au Congo, c’était pour crédibiliser le processus électoral à travers les législatives au regard des déficiences sérieuses qui ont été dénoncées. Aussi, la coopération internationale est, jusqu’à preuve du contraire, suspendue au rapport des experts ainsi qu’aux résultats des législatives. Si les experts internationaux et la CENI ne parviennent pas au même résultat de crédibilité, de confiance et de fiabilité du scrutin, la RDC s’engagera dans un autre cycle de «défis».

Reste la Cour suprême de justice qui pourrait sauver le processus électoral. Sur ce point précis, il revient encore à la CENI de dresser un rapport circonstancié pour relever, identifier les irrégularités constatées qui sont à la base de la suspension des résultats, de la désignation d’une mission de contrôle pour que la Loi électorale soit appliquée dans toute sa rigueur. On doit donc s’attendre à l’invalidation des votes, à des condamnations à des peines pénales (5 à 6 ans d’inéligibilité) et à la reprise des élections là où il s’avère nécessaire.
Ce n’est pas du tout une partie de plaisirs. L’exercice exclut tout état d’âme. Loin de toute complicité. C’est le prix à payer pour sauver le processus électoral. Absolument. "

"REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE MERCREDI (CongoForum)
° http://www.congoforum.be/upldocs/18%2001%2012.pdf
La presse se réveille après le super-week-end des héros nationaux, et l’on a un peu
l’impression qu’elle se réveille avec la gueule de bois. Un seul sujet domine l’actualité ce
mercredi : le climat toujours plus délétère après les élections. Deux questions dominent :
le départ des experts internationaux invités par la CENI afin de lui apporter leur
assistance dans le cadre de l’opération de compilation des résultats des élections
législatives et les interrogations quant à savoir ce que sera la suite : comment gérer la
situation ? Faut-il annuler les élections ? Les corriger ? Et comment gérer pendant le
temps que prendront l’annulation et/ou la correction?

L’affaire des experts
Le 13 janvier, les experts US en affaires électorales des organisations NDI et IFES ont
arrêté leur mission et quitté la RDC. La vrai question est: qu'est ce qu'ils étaient venu
faire?
Sachant que la CENI ne voulait pas de leur présence et qu'ils avaient un mandat ni de
revue ni de vérification... Dans le meilleurs des cas ils pouvaient servir de caution a la
CENI en restant dans une chambre d'hôtel a Kinshasa, comme l'avaient fait les
observateurs africains de l’UA avant eux. Bref, ceci est la conclusion naturelle d'une
mission mort-née et inutile.
Ces experts se sont sentis pris au piège dans les deux sens ... Sans entrer dans les
détails techniques, l'explication de l'échec de la mission des experts est très simple:
- Ils n'avaient pas mandat de recompter les bulletins,
- Ils n'avaient pas mandat d'accompagner le décompte des derniers résultats non publiés
- Ils n'avaient pas mandat d'auditer les procédures de la CENI.

En un mot, ils étaient là pour ne rien voir et ne rien faire. Ils avaient le choix entre
cautionner la CENI ... et "la passivité" de la Monusco présente (3 personnes !) au sein du
comité ad hoc de la CENI ou confirmer la position des missions d'observations les plus
critiques (MOE-UE, Carter. RENOSEC, etc .), sans avoir de preuves pour cela, faute
d’avoir accès aux données qui ne sont "plus disponibles ..." ? Ils ont décidé que dans ces
conditions ils n’avaient "plus de raisons de rester" ...
Ces experts US étaient des membres d’ONG américaines sans mandat officiel précis et
n’ont donc fait aucune déclaration ou rapport avant leur départ. Ils feront certainement
rapport au Département d’Etat et l’on peut prévoir qu’ils feront entre autres part de leur
grand étonnement devant les procédures électorale et judiciaires des congolais. On ne
peut s’empêcher d'apprécier l'ironie de la situation.
Deux journaux kinois consacrent à cette affaire des commentaires étendus.(...)"

SpirituS a écrit:Kanambe et son MP ba signer liwa . To yebaki que ba ceder facilement te
SpirituS

"Sous fortes pressions de la classe politique
Ngoy Mulunda menace de démissionner
° http://lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=119588&id_edition=10023
Daniel Ngoy Mulunda est au bord de la démission. Les pressions exercées par la classe politique, un peu plus du côté de la Majorité que de l’Opposition en période postélectorale, sur la Commission nationale électorale indépendante exaspèrent son président. Les opérateurs politiques croient tenir le pasteur-président et son bureau par le collet. Chacun des 18.500 candidats à la députation nationale tient à figurer sur la liste de 500 élus. Le pianiste est au bout de sa patience. Sa menace de démission est à prendre au sérieux.

Injoignable depuis un temps, le président de la CENI passe des moments extrêmement difficiles de sa vie publique. Les 18.500 candidats députés tiennent, tous, à figurer sur la liste des heureux futurs locataires de l’hémicycle du palais du peuple. Joint tard dans la nuit, un conseiller du président de la CENI a tenu le crachoir en ces termes : «Si la classe politique, particulièrement les candidats de la Majorité ne mettent pas fin aux pressions qu’ils exercent sur le pasteur Ngoy Mulunda, il se sera amené à démissionner». Il poursuit sur un ton martial : «le pasteur n’avait pas reçu mission de faire élire des candidats. Mais d’organiser des élections pour permettre aux Congolaises et Congolais d’élire librement les candidats de leur choix.»
Ce proche conseiller du président de la CENI, qui déclare détenir ces propos de Daniel Ngoy Mulunda, ne s’explique pas que des candidats aux élections exercent des pressions sur l’instance organisatrice des élections, la CENI qui ne joue qu’un rôle technique. Déçu par le comportement incivique de ces compatriotes, le pasteur Daniel Ngoy, qui ne sait à quel saint se vouer, est sur le point de jeter l’éponge. Dans cette éventualité, un discrédit certain plomberait davantage, ce qui reste encore du prestige et de la crédibilité de cette institution vouée aux gémonies par cette même classe politique qui l’avait mise en place.
Le conseiller précité met en garde tous ceux qui croient que la CENI joue à trafiquer la volonté du peuple contre les intérêts égoïstes de certaines personnalités ayant une parcelle d’autorité.
L’on croit savoir que le silence du pasteur Ngoy Mulunda, devenu injoignable au téléphone depuis peu, serait le temps mis à profit pour mûrir sa décision de démissionner ou de poursuivre le travail qu’il avait amorcé.

Les candidats qui estiment jouir d’un statut particulier auprès de Daniel Ngoy Mulunda pour bénéficier des avantages électoraux indus devront déchanter. La CENI doit travailler suivant les textes qui la régissent. Son indépendance ne devrait être soumise à rude épreuve comme présentement par n’importe quel acteur politique.
Le vice-président Djoli qui exclut l’idée d’une démission collective du bureau de la CENI, n’empêcherait pas au président Daniel Ngoy Mulunda de rendre le tablier, s’il estime ne plus être en harmonie avec ses convictions profondes suite à des pressions extérieures venant des candidats déterminés à le contraindre à adopter des démarches contraires à la volonté populaire exprimée à travers les urnes. Tout dépendra donc de l’attitude des candidats à la députation nationale et de la classe politique. Tant que des pressions persistent, Daniel Ngoy Mulunda entrevoit d’y répondre par sa démission. Par respect pour le souverain primaire.

PRESSIONS PERMANENTES
Visiblement, Daniel Ngoy Mulunda ne serait pas au bout de ses peines. D’abord, toutes les pressions exercées pendant la période préélectorale, particulièrement par l’Opposition, pour d’une part avoir accès au serveur central et obtenir l’audit du fichier électoral.
D’autre part, le respect de la date butoir du 28 novembre 2011 pour tenir dans le délai les élections couplées de la présidentielle et des législatives nationales. Daniel Ngoy Mulunda aura été sous la sellette pendant toutes ces étapes du processus électoral.

Au lendemain des élections, ce sont les missions d’observations internationales qui ont quasiment remis en cause tout l’édifice bâti par la CENI en quelque huit mois de travail. Ces fortes pressions des «amis» de la communauté internationale n’ont pas ébranlé le pasteur-président. Il n’a pas modifié d’un iota, sa manière de travailler allant jusqu’à poursuivre la publication des résultats des législatives sans attendre indéfiniment l’arrivée des experts internationaux en vacances pendant les festivités de nouvel an, alors qu’ils étaient attendus au mois de décembre 2011.
La déclaration de la Conférence épiscopale nationale du Congo, CENCO, est venue rajouter sa dose de pression sur le bureau dirigé par Daniel Ngoy Mulunda. Les évêques ont même invité ledit bureau de se « remettre en cause», sinon «de démissionner». Cet appel n’aurait pas produit des effets sur la détermination de Daniel Ngoy Mulunda à poursuivre son œuvre jusqu’à son terme, c’est-à-dire parachever le processus électoral dans sa phase cruciale intervenue depuis le 28 novembre 2011.

Auparavant, le pasteur Daniel Ngoy Mulunda ne s’était pas privé de répliquer même aux propos tonitruants du cardinal Laurent Monsengwo qui avait qualifié les résultats des scrutins du 28 novembre comme n’étant «pas conformes à la vérité et à la justice». C’est un Ngoy Mulunda sûr de lui, qui s’était présenté devant la presse, pour réfuter les accusations du prélat.
A ce jour, l’homme paraît dépité. Daniel Ngoy Mulunda semble avoir ras-le-bol des accusations à profusion venant de la classe politique congolaise. Ces accusations portent essentiellement sur des allégations de fraudes, d’irrégularités, de corruption, … qui seraient imputables à la CENI. En réalité, ces candidats malheureux veulent faire plier la CENI à leur caprice. La démission du président de la CENI ouvrira la voie à une autre crise qui ne dit pas encore son nom !"

"Tirs croisés sur la CENI
Législatives : le spectre de l’annulation"
° http://lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=119694&id_edition=10026

"CF : La CENI reporte "sine die" de l'annonce des résultats des législatives"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=184313&Actualiteit=selected
° http://radiookapi.net/actualite/2012/01/24/rdc-legislatives-la-date-de-la-publication-de-resultats-provisoires-toujours-pas-fixee/

"AfricaNews - LA PRESSION QUI AGACE :
Immixtion de Boshab, ultimatum de Mulunda "
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=184288&Actualiteit=selected

"Congo - Le feu de la contestation des législatives s'étend"
° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2012/01/24/congo-le-feu-de-la-contestation-des-legislatives-setend/