APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
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Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
OUI, NOUS CONFIRMONS QUE LES RAVISSEURS DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA ONT DEMANDE A SA VEILLE MERE UNE RANCON DE 2000000 DE DOLLARS POUR LIBERER LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA.
C EST DU BANDISTISME D ETAT.
FRANCIS KALOMBO EST IMPLIQUE JUSQU AU COU DANS CETTE AFFAIRE: SES COMPLICES ONT DEJA PARLE.
C EST DU BANDISTISME D ETAT.
FRANCIS KALOMBO EST IMPLIQUE JUSQU AU COU DANS CETTE AFFAIRE: SES COMPLICES ONT DEJA PARLE.
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
http://africatime.com/rdc/index.asp
Cela fait semaine qu'Eugène Diomi Ndongala, président du parti d'opposition la Démocratie Chrétienne, est porté disparu. Poursuivi par la justice pour une affaire de viol de mineures, cet opposant proche d'Etienne Tshisekedi aurait été enlevé par les services de sécurité, selon ses proches. Mais pour la justice, Diomi est en cavale. Dans un point de presse tenu samedi 21 juillet à Kinshasa, sa mère a parlé d'une cabale et accusé un député de la majorité d'avoir voulu lui extorquer de l'argent en proposant de faire régler cette affaire de viol à l'amiable.
À la tribune du centre Carter, Sona Diakiessé, la mère d'Eugène Diomi, était l’invitée du réseau des ONG des droits de l’homme, section Kinshasa. Cette femme d’environ 70 ans a dit être à la recherche de son fils. Eugène Diomi a disparu de la circulation depuis quelques semaines, enlevé par la police et gardé au secret, selon sa mère.
Quant aux accusations de viol mises à charge du président de la Démocratie chrétienne, « une cabale », a tranché Sona Diakiessé qui a dit avoir été approchée par Francis Kalombo, un député de la majorité, venu proposer une facilitation moyennant de l'argent.
« Lorsqu’il nous a parlé, il m’a demandé de dire à son excellence, mon fils, de donner de l’argent pour qu’on règle l’affaire en famille. Il a dit : "Ces filles-là sont mes filles, les enfants de mon grand frère. La maman ne s’en occupe pas tellement. Ce sont des filles qui font le trottoir. Nous pouvons arranger ça en famille ».
Mis en cause, le député PPRD Francis Kalombo , a rejeté toutes ces allégations : « Elles étaient à trois femmes qui sont venues me voir, s'est-il justifié. Je n’ai pas été les chercher. Elles sont venues me voir, justement pour me demander de l’aide. Et la maman a reconnu qu’elle savait où se trouvait son fils. Mais il ne peut pas travailler, il ne peut pas apparaître. Il a peur !
Donc si je peux trouver un arrangement pour le mettre en contact avec la famille [des victimes supposées, NDLR] de manière à leur permettre de pouvoir négocier et de trouver un arrangement... Je leur ai dit que j'allais essayer et de me recontacter le mardi. J'ai donné mon numéro de téléphone, depuis, elles ne m’ont plus jamais contacté ! »
tags: Etienne Tshisekedi - RDC
Cela fait semaine qu'Eugène Diomi Ndongala, président du parti d'opposition la Démocratie Chrétienne, est porté disparu. Poursuivi par la justice pour une affaire de viol de mineures, cet opposant proche d'Etienne Tshisekedi aurait été enlevé par les services de sécurité, selon ses proches. Mais pour la justice, Diomi est en cavale. Dans un point de presse tenu samedi 21 juillet à Kinshasa, sa mère a parlé d'une cabale et accusé un député de la majorité d'avoir voulu lui extorquer de l'argent en proposant de faire régler cette affaire de viol à l'amiable.
À la tribune du centre Carter, Sona Diakiessé, la mère d'Eugène Diomi, était l’invitée du réseau des ONG des droits de l’homme, section Kinshasa. Cette femme d’environ 70 ans a dit être à la recherche de son fils. Eugène Diomi a disparu de la circulation depuis quelques semaines, enlevé par la police et gardé au secret, selon sa mère.
Quant aux accusations de viol mises à charge du président de la Démocratie chrétienne, « une cabale », a tranché Sona Diakiessé qui a dit avoir été approchée par Francis Kalombo, un député de la majorité, venu proposer une facilitation moyennant de l'argent.
« Lorsqu’il nous a parlé, il m’a demandé de dire à son excellence, mon fils, de donner de l’argent pour qu’on règle l’affaire en famille. Il a dit : "Ces filles-là sont mes filles, les enfants de mon grand frère. La maman ne s’en occupe pas tellement. Ce sont des filles qui font le trottoir. Nous pouvons arranger ça en famille ».
Mis en cause, le député PPRD Francis Kalombo , a rejeté toutes ces allégations : « Elles étaient à trois femmes qui sont venues me voir, s'est-il justifié. Je n’ai pas été les chercher. Elles sont venues me voir, justement pour me demander de l’aide. Et la maman a reconnu qu’elle savait où se trouvait son fils. Mais il ne peut pas travailler, il ne peut pas apparaître. Il a peur !
Donc si je peux trouver un arrangement pour le mettre en contact avec la famille [des victimes supposées, NDLR] de manière à leur permettre de pouvoir négocier et de trouver un arrangement... Je leur ai dit que j'allais essayer et de me recontacter le mardi. J'ai donné mon numéro de téléphone, depuis, elles ne m’ont plus jamais contacté ! »
tags: Etienne Tshisekedi - RDC
djino
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Rose Mwania rose.mwania@yahoo.fr 109.128.172.188 | Envoyé le 22/07/2012 à 19:10 La Situation du Congo est grave lorsque des Leaders tels que Diomi Ndongala sont arrêtés, enfermés dans les cachots inconnus à dessein de son élimination physique, nous somme dans une barbarie à l’état pur. Joseph Kabila se déploie à réduire au silence tout vaillant congolais qui refuse de se mettre sous bottes. Nous pensons qu’il doit être plus que temps que les Congolais agissent sans regarder en arrière. Cessons des illusions avec cette pseudodémocratie. Quand nous craignons de mourir, c’est alors que nous mourons davantage. Nous appelons au rassemblement des Patriotes pour contraindre Kabila à libérer Diomi, G. Mokia et tous les autres détenus politiques arrêtés arbitrairement. Kabila fait tous les essaies de muselage de tous les grands leaders politiques tout en bradant tant le territoire national que nos ressources du sol et sous-sol. Cependant, jusqu’ici, il n’est contraint par personne parce qu’il a un grand libre d’accomplissement de sa volonté. En plus des arrestations de vrais opposants, nous nous souviendrons qu’une portion du territoire national à KAHEMBA a été cédée, de même une partie de la Mer territoriale dans l’Océan atlantique regorgeant du pétrole a été cédée à l’Angola. Les concessions minières d’uranium et autres minerais dans le Katanga sont cédées à la multinationale canadienne déguisée au Congo en “Tenke Fungurume Mining” qui pille et saigne à blanc les mines du Congo dans le Katanga. Des internationales aurifères pillent de l’Or au Kivu. Maintenant, 75% de l’espace du Parc national de Virunga sont octroyés aux multinationales “TOTAL (fraçais), ENI (Italien) et SOCO Internationale” pour l’exploitation pétrolifère qui ne profitera nullement au Congo. CONGOLAIS to lamuka. Il nous faut acharnement combattre et anéantir physiquement Kabila et Kagame. Ils nous tuent et pillent nos richesses. Jusqu’ où ira notre résignation. Ces criminels ayant les pouvoirs d’Etats en mains peuvent tuer certains d’entre nous comme ils le font, mais ils ne réussiront jamais à tuer tout un Peuple. Si nous voulons la survivance du Congo, ménageons dès maintenant les énergies pour engager la confrontation ARMÉE qui constitue le seul langage auquel Kabila obéit. Il nous faut déclencher la guerre sur place à Kinshasa, au bout de trois heures nous chasserons Kabila avec tous ses frères tutsi infiltrés dans les institutions de la République. Diomi, Tshisekedi, Bemba, Mokia, Chebeya, Tungulu, … n’auraient jamais subi sans raison les épreuves auxquels ils font face, le monde entier observe notre impuissance qui hypothèque notre destin et celui de nos générations futures. L’histoire nous jugerait sévèrement. Libérons-nous de la peur. Nous n’avons pas un sang différent des ces peuples proches de nous qui se libèrent au prix de sacrifices suprêmes. Ba Leaders bazo kende liwa bango nyoso, mboka pe ezo kende, alors nous deviendrons quoi ? La Non-violence est utile d’application quand on traite avec un régime des personnes civilisées, mais vue la sauvagerie de Kabila et les siens tant en interne qu’à l’extérieur, il nous faut une guerre. Ba oyo bako kufa, ba kufa pourvu que le pays soit sauvé. Et nos petits enfants vivent un jour dans la liberté. Le Congo est à nous. Moto a bangisa biso te. Patriotes debout ! |
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
← DIOMI NDONGALA :” LE CONGO AUX CONGOLAIS ! ” 4 JANVIER 2005 KINSHASA
LES KINOIS NE TOMBENT PAS DANS LE PIEGE DES AFFABULATEURS: ILS SONT UNANIMES: LIBEREZ DIOMI NDONGALA, ARRETEZ VOTRE THEATRE
Publié le 23 juillet 2012by mpp
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
SUSPENSION DE L’AIDE MILITAIRE DES USA AU RWANDA, UNE SIMPLE DISTRACTION POLITICIENNE OCCIDENTALE
Publié le 24 juillet 2012by mpp
SUSPENSION DE L’AIDE MILITAIRE DES USA AU RWANDA, UNE SIMPLE DISTRACTION POLITICIENNE OCCIDENTALE( par Poète Robert Kabemba Mangidi)
Fallait-il attendre beaucoup d’années pour que les USA suspendent son aide militaire au Rwanda alors que le Congo est constamment objet des attaques de forces étrangères (rwandaises, ougandaises, burundaises) ?
Dans ma lettre ouverte adressée aux autorités britanniques en 2008 et copies réservées aux Nations Unies et à la commission Européenne j’avais demandé à ce que toute aide militaire du Royaume Uni et d’autres pays soit suspendue avec le Rwanda. J’avais fait à l’époque plus de 16 recommandations au gouvernement Britannique.
Apres plus de quatre ans à ma réaction farouche a la politique des pays occidentaux vis-à-vis de la guerre qui sévit le Congo avec tueries inhumaines et barbares de nos compatriotes de l’Est, aujourd’hui les USA se permettent le luxe de suspendre son aide militaire avec le Rwanda. Cette fameuse décision est bonne mais ne suffit pas. Il faut a tout pris éradiquer les différentes fractions rebelles qui sèment la terreur et la désolation à l’Est de notre territoire national. D’où la question de savoir qui finance au juste tous ces groupes rebelles qui évoluent a l’Est et qui les alimente en munitions de guerre ?
La suspension de l’aide militaire des USA au Rwanda ne suffit pas pour distraire le peuple congolais mais nous voulons que Kagame et certaines autorités congolaises soient interpellés par la cour pénale internationale pour donner plus de lumière aux massacres de l’Est.
Le peuple congolais doit ouvrir ses yeux et ne pas se contenter de simple discours politiques tendant à nous distraire. Les occidentaux nous en veulent et cherchent à balkaniser notre pays.
Fallait-il que le Président National del’Ecidé Martin Fayulu prenne le courage qui manquait peut être a d’autres politiciens pour que le dossier de la guerre de l’Est attire l’attention de tout le monde ? Les politiciens congolais qui avaient tout fait pour bloquer sa question orale ont changé leur fusil d’épaule et donnent raison à Fayulu pour avoir défendu son pays et son peuple. Si Hier c’était Fayulu seul aujourd’hui tout le monde lève sa voix pour défendre une cause nationale noble et dire non aux occidentaux pour la balkanisation du Congo.
Pour clore nous demandons la libération inconditionnelle de Mr Eugene Diomi Ndongala arrêté injustement et nous disons non aux pratiques non républicaines. Nous demandons à la société civile congolaise et aux opposants congolais de se mettre debout pour que toute la vérité soit connue sur l’arrestation arbitraire de Diomi Ndongala.
Poete Robert Kabemba Mangidi
Publié le 24 juillet 2012by mpp
SUSPENSION DE L’AIDE MILITAIRE DES USA AU RWANDA, UNE SIMPLE DISTRACTION POLITICIENNE OCCIDENTALE( par Poète Robert Kabemba Mangidi)
Fallait-il attendre beaucoup d’années pour que les USA suspendent son aide militaire au Rwanda alors que le Congo est constamment objet des attaques de forces étrangères (rwandaises, ougandaises, burundaises) ?
Dans ma lettre ouverte adressée aux autorités britanniques en 2008 et copies réservées aux Nations Unies et à la commission Européenne j’avais demandé à ce que toute aide militaire du Royaume Uni et d’autres pays soit suspendue avec le Rwanda. J’avais fait à l’époque plus de 16 recommandations au gouvernement Britannique.
Apres plus de quatre ans à ma réaction farouche a la politique des pays occidentaux vis-à-vis de la guerre qui sévit le Congo avec tueries inhumaines et barbares de nos compatriotes de l’Est, aujourd’hui les USA se permettent le luxe de suspendre son aide militaire avec le Rwanda. Cette fameuse décision est bonne mais ne suffit pas. Il faut a tout pris éradiquer les différentes fractions rebelles qui sèment la terreur et la désolation à l’Est de notre territoire national. D’où la question de savoir qui finance au juste tous ces groupes rebelles qui évoluent a l’Est et qui les alimente en munitions de guerre ?
La suspension de l’aide militaire des USA au Rwanda ne suffit pas pour distraire le peuple congolais mais nous voulons que Kagame et certaines autorités congolaises soient interpellés par la cour pénale internationale pour donner plus de lumière aux massacres de l’Est.
Le peuple congolais doit ouvrir ses yeux et ne pas se contenter de simple discours politiques tendant à nous distraire. Les occidentaux nous en veulent et cherchent à balkaniser notre pays.
Fallait-il que le Président National del’Ecidé Martin Fayulu prenne le courage qui manquait peut être a d’autres politiciens pour que le dossier de la guerre de l’Est attire l’attention de tout le monde ? Les politiciens congolais qui avaient tout fait pour bloquer sa question orale ont changé leur fusil d’épaule et donnent raison à Fayulu pour avoir défendu son pays et son peuple. Si Hier c’était Fayulu seul aujourd’hui tout le monde lève sa voix pour défendre une cause nationale noble et dire non aux occidentaux pour la balkanisation du Congo.
Pour clore nous demandons la libération inconditionnelle de Mr Eugene Diomi Ndongala arrêté injustement et nous disons non aux pratiques non républicaines. Nous demandons à la société civile congolaise et aux opposants congolais de se mettre debout pour que toute la vérité soit connue sur l’arrestation arbitraire de Diomi Ndongala.
Poete Robert Kabemba Mangidi
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
FLASH: 9 PERSONNES DONT 3 JOURNALISTES SONT SEQUESTRES PAR DES POLICIERS AUX ORDRES DU COLONEL KANYAMA A L INTERIEUR DU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE SUR AVENUE COLONEL EBEYA 7 A KINSHASA GOMBE
Publié le 25 juillet 2012by mpp
FLASH: 9 PERSONNES DONT 3 JOURNALISTES SONT SEQUESTRES PAR DES POLICIERS AUX ORDRES DU COLONEL KANYAMA A L INTERIEUR DU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE SUR AVENUE COLONEL EBEYA 7 A KINSHASA GOMBE
CE MATIN DES INSPECTEURS DE L AUDITORAT MILITAIRE SUPEREIUR DE LA GOME SONT DESCENDUS AU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE AV. COLONEL EBEYA N° 7, POUR CONSTATER FORMELLEMENT LA PRESENCE DE 4 POLICIERS AUX ORDRES DU COLONEL KANYAMA OCCUPANT “DE FACTO” SANS AUCUN DOCUMENT NI PROCES VERBAL DE LA JUSTICE, LE SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ET CELA DEPUIS PRESQUE 30 JOURS. APRES CE CONSTAT LES POLICIERS DE L AUDITORAT MILITAIRE ONT CASSE LES CADENAS MIS AUX PORTES DE L IMMEUBLE ET LAISSER ENTRER LES MEMBRES DU SECRETARIAT DE LA DC AINSI QUE DES MEMBRES DE LA FAMILLE DIOMI, VENUS CONSTATER LES DEGATS OPERES PAR LES POLICIERS QUI OCCUPAIENT ILLEGALEMENT LA PARCELLE.
DES JOURNALISTES ETAIENT AUSSI PRESENTS. ILS SONT ENCORE SEQUESTRES
APRES LEURS ENTREE, LES NEUF PERSONNES QUI ONT REPRIS POSSESSION DU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ONT ETE ENFERMES A L INTERIEUR, PAR DES CADENAS, PAR DES NOUVEAUX POLICIERS ENVOYES PAR LE COLONEL KANYAMA TOUJOURS SANS AUCUN DOCUMENT ECRIT JUSTIFIANT LEUR PRESENCE AU SIEGE DE NOTRE PARTI.
AU MOMENT OU NOUS COUSCHONS CES LIGNES, 9 PERSONNES SONT ENFERMEES ET SEQUESTRES AU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE PAR DES POLICIERS DE LA POLICE POLITIQUE.
L AUDITEUR SUPERIEUR MILITAIRE, INFORME DE LA SITUATION TRES GRAVE INTERVENUE APRES LE DEPART DES INSPECTEUR DE L AUDITORAT MILITAIRE, IL REPONDRA QU IL S AGIT D UNE QUESTION”POLITIQUE” FIN DE CITATION.
LA DC ALERTE L OPINION NATIONALE ET INTERNATIONALE POUR QU IL S OIT PORTE SECOURS AUX EMEBRES DE LA FAMILLE DIOMI ET AUX AUTRES CADRES ET JOURNALISTES SEQUESTRES PAR LE COLONEL KANYAMA AU SIEGE DE LA DC.
MARC MAWETE
DC
25/07/2012 16H30
Publié le 25 juillet 2012by mpp
FLASH: 9 PERSONNES DONT 3 JOURNALISTES SONT SEQUESTRES PAR DES POLICIERS AUX ORDRES DU COLONEL KANYAMA A L INTERIEUR DU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE SUR AVENUE COLONEL EBEYA 7 A KINSHASA GOMBE
CE MATIN DES INSPECTEURS DE L AUDITORAT MILITAIRE SUPEREIUR DE LA GOME SONT DESCENDUS AU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE AV. COLONEL EBEYA N° 7, POUR CONSTATER FORMELLEMENT LA PRESENCE DE 4 POLICIERS AUX ORDRES DU COLONEL KANYAMA OCCUPANT “DE FACTO” SANS AUCUN DOCUMENT NI PROCES VERBAL DE LA JUSTICE, LE SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ET CELA DEPUIS PRESQUE 30 JOURS. APRES CE CONSTAT LES POLICIERS DE L AUDITORAT MILITAIRE ONT CASSE LES CADENAS MIS AUX PORTES DE L IMMEUBLE ET LAISSER ENTRER LES MEMBRES DU SECRETARIAT DE LA DC AINSI QUE DES MEMBRES DE LA FAMILLE DIOMI, VENUS CONSTATER LES DEGATS OPERES PAR LES POLICIERS QUI OCCUPAIENT ILLEGALEMENT LA PARCELLE.
DES JOURNALISTES ETAIENT AUSSI PRESENTS. ILS SONT ENCORE SEQUESTRES
APRES LEURS ENTREE, LES NEUF PERSONNES QUI ONT REPRIS POSSESSION DU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ONT ETE ENFERMES A L INTERIEUR, PAR DES CADENAS, PAR DES NOUVEAUX POLICIERS ENVOYES PAR LE COLONEL KANYAMA TOUJOURS SANS AUCUN DOCUMENT ECRIT JUSTIFIANT LEUR PRESENCE AU SIEGE DE NOTRE PARTI.
AU MOMENT OU NOUS COUSCHONS CES LIGNES, 9 PERSONNES SONT ENFERMEES ET SEQUESTRES AU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE PAR DES POLICIERS DE LA POLICE POLITIQUE.
L AUDITEUR SUPERIEUR MILITAIRE, INFORME DE LA SITUATION TRES GRAVE INTERVENUE APRES LE DEPART DES INSPECTEUR DE L AUDITORAT MILITAIRE, IL REPONDRA QU IL S AGIT D UNE QUESTION”POLITIQUE” FIN DE CITATION.
LA DC ALERTE L OPINION NATIONALE ET INTERNATIONALE POUR QU IL S OIT PORTE SECOURS AUX EMEBRES DE LA FAMILLE DIOMI ET AUX AUTRES CADRES ET JOURNALISTES SEQUESTRES PAR LE COLONEL KANYAMA AU SIEGE DE LA DC.
MARC MAWETE
DC
25/07/2012 16H30
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
COMMUNIQUE DE PRESSE MPP/FRANCE-SECTION DE LYON
Publié le 25 juillet 2012by mpp
COMMUNIQUE DE PRESSE MPP/FRANCE-SECTION DE LYON
Le jeudi 26 juillet 2012, l’Association pour Bâtir le Congo (ABC) et alliés organise une conférence de presse pour dénoncer les violations des droits de l’homme en RD Congo et en particulier l’enlèvement illégal de Monsieur Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne, parti politique congolais et sa détention illégale depuis le 27 juin 2012.
La situation des droits de l’homme en République démocratique du Congo s’empire au jour le jour depuis les dernières élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011, caractérisées par des irrégularités et des fraudes massives en faveur du président sortant Joseph Kabila et de son parti politique, dénoncées et décriées par tous les observateurs nationaux et internationaux dont l’Église catholique au Congo, la Mission de de l’Union européenne, le Centre Carter et la SADC. Depuis le président sortant a opéré un véritable hold up électoral avec la complicité et la complaisance de la Commission électorale nationale indépendante et de la Cour suprême de justice. Ce qui constitue la raison principale pour laquelle la tenue du Sommet de la Francophonie prévue le 14 octobre prochain à Kinshasa est très contestée car elle risque d’être une caution internationale à l’unique président africain dont la seule personnalité à son investiture a été le Zimbabwéen Robert Mugabe.
Face à cette situation exécrable, plusieurs partis politiques d’opposition et organisations de la société civile se sont organisés au sein de la Majorité présidentielle populaire.
Cette plate-forme a pour but le triomphe de la vérité des urnes et la reconnaissance de la victoire flagrante du candidat de l’opposition, à savoir Étienne Tshisekedi. Mais la sortie officielle de la plate-forme prévue le 27 juin 2012 à Kinshasa n’a pu avoir lieu. Car son porte-parole, Eugène Diomi Ndongala, a été enlevé en plein jour par les services de sécurité de Joseph Kabila alors qu’il se rendait à la Cathédrale Notre Dame du Congo où plusieurs organismes devraient signer leur adhésion à ladite plate-forme. Depuis cette date, Monsieur Eugène Diomi Ndongala est introuvable malgré la plainte déposée auprès de la justice congolaise par l’avocat de sa famille et son parti politique, la Démocratie Chrétienne.
La conférence sera animée par Monsieur Freddy Kita , Secrétaire général de la Démocratie Chrétienne et membre de la Majorité Présidentielle Populaire.
Fait à Vénissieux, le 21 juillet 2012
Emmanuel Nkanu
LIEU DE TENUE DE LA CONFERENCE DE PRESSE
Association pour Bâtir le Congo – A.B.C.
13, Avenue Marcel Paul
69200 – Vénissieux
Tél.: 06 98 54 13 66 begin_of_the_skype_highlighting GRATUIT 06 98 54 13 66 end_of_the_skype_highlighting
Email: associoabc@yahoo.fr
**************************************
MPP LYON/FRANCE
http://majoritepresidentiellepopulaire.org/2012/07/25/communique-de-presse-mppfrance-section-de-lyon/
Publié le 25 juillet 2012by mpp
COMMUNIQUE DE PRESSE MPP/FRANCE-SECTION DE LYON
Le jeudi 26 juillet 2012, l’Association pour Bâtir le Congo (ABC) et alliés organise une conférence de presse pour dénoncer les violations des droits de l’homme en RD Congo et en particulier l’enlèvement illégal de Monsieur Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne, parti politique congolais et sa détention illégale depuis le 27 juin 2012.
La situation des droits de l’homme en République démocratique du Congo s’empire au jour le jour depuis les dernières élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011, caractérisées par des irrégularités et des fraudes massives en faveur du président sortant Joseph Kabila et de son parti politique, dénoncées et décriées par tous les observateurs nationaux et internationaux dont l’Église catholique au Congo, la Mission de de l’Union européenne, le Centre Carter et la SADC. Depuis le président sortant a opéré un véritable hold up électoral avec la complicité et la complaisance de la Commission électorale nationale indépendante et de la Cour suprême de justice. Ce qui constitue la raison principale pour laquelle la tenue du Sommet de la Francophonie prévue le 14 octobre prochain à Kinshasa est très contestée car elle risque d’être une caution internationale à l’unique président africain dont la seule personnalité à son investiture a été le Zimbabwéen Robert Mugabe.
Face à cette situation exécrable, plusieurs partis politiques d’opposition et organisations de la société civile se sont organisés au sein de la Majorité présidentielle populaire.
Cette plate-forme a pour but le triomphe de la vérité des urnes et la reconnaissance de la victoire flagrante du candidat de l’opposition, à savoir Étienne Tshisekedi. Mais la sortie officielle de la plate-forme prévue le 27 juin 2012 à Kinshasa n’a pu avoir lieu. Car son porte-parole, Eugène Diomi Ndongala, a été enlevé en plein jour par les services de sécurité de Joseph Kabila alors qu’il se rendait à la Cathédrale Notre Dame du Congo où plusieurs organismes devraient signer leur adhésion à ladite plate-forme. Depuis cette date, Monsieur Eugène Diomi Ndongala est introuvable malgré la plainte déposée auprès de la justice congolaise par l’avocat de sa famille et son parti politique, la Démocratie Chrétienne.
La conférence sera animée par Monsieur Freddy Kita , Secrétaire général de la Démocratie Chrétienne et membre de la Majorité Présidentielle Populaire.
Fait à Vénissieux, le 21 juillet 2012
Emmanuel Nkanu
LIEU DE TENUE DE LA CONFERENCE DE PRESSE
Association pour Bâtir le Congo – A.B.C.
13, Avenue Marcel Paul
69200 – Vénissieux
Tél.: 06 98 54 13 66 begin_of_the_skype_highlighting GRATUIT 06 98 54 13 66 end_of_the_skype_highlighting
Email: associoabc@yahoo.fr
**************************************
MPP LYON/FRANCE
http://majoritepresidentiellepopulaire.org/2012/07/25/communique-de-presse-mppfrance-section-de-lyon/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
"Communiqué de presse de la Majorité Présidentielle Populaire (MPP)
Avocats, militants, journalistes, membres de famille… séquestrés puis relaxés ce mercredi 25 juillet 2012 au siège de la DC
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=7438
Tout comme la Voix des sans Voix, la Majorité Présidentielle Populaire (MPP), plateforme de soutien au Président Etienne Tshisekedi, exige l’indemnisation des victimes pour les préjudices causés, ainsi que l’ouverture d’une enquête pour faire la lumière sur cette séquestration.
En effet, ce mercredi 25 juillet 2012, vers 16h00, des avocats de l’honorable Diomi Ndongala ainsi que des journalistes, militants du parti et membres de famille de l’honorable Diomi Ndongala, ont été séquestrés au siège de la DC par des policiers, sur ordre de leur supérieur du district, alors que le procureur avait déjà donné l’ordre de libérer le siège de ce parti politique, de même que l’auditorat militaire de Kinshasa/Gombe qui venait de donner son quitus pour mettre fin à cette occupation par des policiers, étant donné qu’aucune décision n’avait été prise auparavant pour empêcher le fonctionnement de ce parti.
Pendant qu’ils venaient prendre connaissance de leurs bureaux après quelques semaines de trouble, ils ont été surpris par des policiers qui ont verrouillé toutes les sorties, les obligeant ainsi à rester dedans.
Dans les rangs des journalistes, il y avait des reporters de CCTV, RLTV et Africa TV. C’est suite à une intervention venue de haut niveau, principalement du représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en République démocratique du Congo, Roger Meece, que les pauvres gens ont été relaxés.
On se demande dès lors comment des policiers qui sont censés respecter les ordres judiciaires peuvent-ils se permettre de se comporter ainsi, comme si le pays n’avait pas de lois.
Saisi de ces gravités, La MPP et la Voix des sans Voix a fermement condamné cette séquestration, ce, en violation des instruments juridiques nationaux, régionaux et internationaux ratifiés par la République démocratique du Congo.
La MPP exige dès lors l’ouverture d’une enquête indépendante pour faire la lumière sur l’enlèvement et l’arrestation de l’honorable DIOMI NDONGALA ainsi que que cette barbarie, et exige aussi la cessation de l’instrumentalisation de la police nationale congolaise, de l’armée et des services de sécurité à des fins partisanes, et l’indemnisation des victimes pour les préjudices subis.
Représentation Extérieure de la MPP."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
CONFERENCE DE PRESSE DE M.ME DIOMI NDONGALA A LA VSV, 27/07/2012 à 11h30
Publié le 27 juillet 2012by mpp
Je suis ici, devant vous, pour vous prendre à témoins de la tentative du régime au pouvoir à Kinshasa d’éliminer le député Eugène Diomi Ndongala, tant « physiquement » que « politiquement ».
« Physiquement », par une disparition longue et très pénible pour sa famille, qui continue depuis plus d’un mois, sans savoir quand elle prendra fin ;
« Politiquement», par une stratégie honteuse qui vise à salir la victime d’un montage politico-judiciaire grossier, alors que l’opinion politique tant nationale qu’internationale est désorientée par un véritable lynchage médiatique.
Notre calvaire continue depuis un mois et au nom de la famille Diomi je demande à ceux qui détiennent mon mari de le libérer car eux sont les premiers à savoir qu’il est absolument innocent.
Même dans un système politique où les antivaleurs soient dominantes, il serait inconcevable de vouloir éliminer, dans l’impunité la plus totale, un homme politique de l’opposition à cause de ses opinions politiques et le faire disparaître dans la nature!
Quelle est la vraie faute commise par mon mari pour mériter une condamnation à mort ?
Pourquoi des hiérarchies politiques et policières mentent–elles systématiquement au peuple congolais depuis plus d’un mois sur le sort du Député de l’opposition Eugène Diomi Ndongala ?
Je suis ici, devant vous, pour vous dire que les raisons de la séquestration d’Eugène Diomi Ndongala sont strictement liées à son engagement politique.
Depuis plus d’une année, mon mari a continué à se battre pour que les congolais puissent élire dignement leurs dirigeants : au début de la campagne électorale, dès qu’il mit pieds dans la province du Kongo Central, il fut arrêté et emprisonné pendant deux mois, avec des prétextes découlant d’un montage politico-judiciaire heureusement dénoué après 10 semaines.
Au milieu de la campagne électorale, tant mon mari que mes enfants furent les victimes d’un attentat perpétré par un homme armé au service d’un baron du PPRD, sans que cela n’émoie la justice de ce pays, qui n’a jamais instruit notre plainte pour investiguer sur la tentative d’assassinat contre mon époux et mes enfants, en juin 2011.
Et maintenant, voilà que les démons de l’intolérance politique se réveillent encore une fois et mon mari est à la merci d’un appareil politico-militaire liberticide, en tant que prisonnier politique, sans que ni sa famille ni les militants de son parti ne sachent où il se trouve, malgré toutes les recherches entreprises dans les lieux de détention tant officiels qu’extra-judiciaires, si nombreux malheureusement en RDC…
Quelle est la vraie faute commise par le Représentant du peuple, Eugène Diomi Ndongala ?
Sa seule faute est son engagement politique aux côtés du Président Etienne Tshisekedi wa Mulumba ; sa faute coïncide avec son combat pour la vérité des urnes et pour que les congolais ne puissent plus se limiter à « voter » mais aussi et surtout à « élire » leurs dirigeants, comme dans tous les autres pays libres et démocratiques du monde.
Sa faute a été le lancement de la Majorité Présidentielle Populaire, une plateforme politique dont l’objectif statutaire est justement l’affirmation d’une démocratie « gouvernante » et non « gouvernée», en République Démocratique du Congo.
Son crime de lèse-majesté a été de vouloir organiser une Messe à la Cathédrale Notre Dame du Congo pour compatir avec les populations déplacées de l’Est de la RDC et cela sous l’égide de la MPP et en présence du Président Etienne Tshisekedi.
Son crime a été de croire qu’en RDC pouvait y avoir de la place pour l’exercice des droits civils et politiques : il était confiant que la signature par 69 partis politiques de l’opposition de la charte constitutive de la MPP était un droit constitutionnellement garanti, alors que malheureusement, depuis les dernières élections du 28 novembre 2011, aucun droit n’est reconnu à l’opposition politique congolaise: aucune manifestation n’est autorisée, aucun meeting ne peut avoir lieu et les dissidents sont traqués et emprisonnés : Chalupa, Diomi mais avant eux Mokia, Kuthino, sans parler des nombreux militants des partis politiques de l’opposition qui ont disparu depuis les dernières élections de novembre 2011 et dont les familles n’ont même pas eu le droit de pleurer sur leurs dépouilles mortelles, car les corps de ces victimes sont emportés par leurs bourreaux.
D’ailleurs, le lendemain de la promulgation des résultats fabriqués des dernières élections présidentielles et législatives, le Président Tshisekedi a été placé aux arrêts domiciliaires et maintenant son bras droit, Eugène Diomi Ndongala, vient d’être effacé de la scène politique dans l’impunité la plus totale, à cause de son activisme politique non violent et son courage de dire la vérité au peuple congolais, deux caractéristiques devenues trop gênantes pour le pouvoir issu de la fraude électorale.
Alors qu’il se rendait à la manifestation de signature de la Charte Constitutive de la MPP, il a été enlevé et ainsi soustrait à sa famille et à ses proches.
Dans quel autre pays au monde un leader de l’opposition peut-il être effacé de la scène politique, séquestré pour ses opinions politiques, dans la plus totale impunité ?
Dans quelle autre « démocratie », un député en fonction peut voir son immunité parlementaire piétinée, comme cela a été le cas pour le député Eugène Diomi Ndongala ?
Dans quel autre état « normal » de la planète, l’on peut essayer de salir l’honneur d’un homme politique sur la base des accusations calomnieuses d’un repris de justice notoire, multirécidiviste, connu par tous dans la ville de Kinshasa pour ses activités de « frappeur » et qui collabore activement avec la police politique aux ordres du colonel Kanyama, alias « esprit de mort »?
Je cite M. Kennedy Kambala, contre lequel j’ai déjà déposé une plainte pour diffamation, accusations dommageables et association de malfaiteurs…
Dans quelle autre « démocratie » au monde peut-on accuser gratuitement un homme politique de « viol » alors qu’il n’est même pas présent sur le lieu du prétendu crime ?
Existe-t-il en RDC le crime de viol télépathique ? Car mon mari était chez lui à la maison depuis 18 h00 le 26/06/2012 et il sera informé à partir de la maison, par téléphone, à 22heures de la descente des hommes du Colonel Kanyama alias « esprit de mort », venus massivement occuper le siège de la Démocratie Chrétienne, pour que ce parti politique de l’opposition ne puisse plus fonctionner.
Comment peut-on prendre au sérieux la bande des « bana-kanyama » composée d’escrocs notoires et filles de joie alors que le prétendu père accusateur n’est pas le géniteur des dames présentées comme ses filles, qui d’ailleurs ne sont même pas des sœurs ?
Ça vaut si peu l’honneur d’un homme, en République Démocratique du Congo ?
Comment un procureur général de la République peut-il se prêter à couvrir les agissements criminels d’une bande de malfaiteurs, pour des raisons strictement politiques ? Permettre que le siège d’un parti d’opposition, doté depuis 20 ans de la personnalité juridique, soit occupé « de facto » et pillé par des policiers, sans aucun document légal à l’appui ?
Comment un procureur général de la république peut–il donner en pâture à des télévisons d’obédience du pouvoir, très intéressées et alertées en avance, une mise en scène de la police visant à appuyer la présentation d’un opposant politique comme un criminel, en violations de toutes les normes de procédure pénale congolaise et surtout, en violation des garanties constitutionnelles de ce pays, comme la présomption d’innocence, le secret de l’instruction et, surtout, l’immunité d’un parlementaire en fonction ?
Les citoyens congolais doivent savoir que désormais il suffit qu’un trio des malfaiteurs organise un « théâtre de chez-nous » dans la parcelle voisine pour qu’ils puissent se retrouver accusés de « viol » à distance…de flagrant délit – même s’ils ne sont pas physiquement présents sur le lieu du prétendu crime ;
et ce sort peu enviable peut être réservé à leurs travailleurs, qui peuvent eux-aussi être accusés de « complicité de viol » et tous emprisonnés pendant longtemps au secret, sur la base d’une conception de la « justice » qui rime plutôt avec l’arbitraire le plus absolu…
Non, arrêtons ce théâtre de mauvais gout !
La famille du député Diomi Ndongala, prisonnier politique du régime Kabila, exige la libération immédiate de leur mari, père, fils et frère.
L’image de la RDC a été déjà suffisamment souillée par les agissements criminels de certains éléments des forces de l’ordre dans les assassinats de Floribert Chebeya, Fidèle Bazana, Armand Tungulu pour ajouter à cette liste macabre aussi le nom du député Eugène Diomi Ndongala.
La grande inquiétude de la famille doit s’arrêter, maintenant.
Libérez Eugène Diomi Ndongala.
Patrizia Diomi
Siège de la Voix des Sans Voix 27/07/2012 à 11h30
LES IMAGES DE LA CONFERENCE DE PRESSE EN INTEGRALITE DANS LES HEURES QUI SUIVENT
http://democratiechretienne.org/2012/07/27/3585/
Publié le 27 juillet 2012by mpp
CONFERENCE DE PRESSE DE M.ME DIOMI NDONGALA A LA VSV, 27/07/2012 à 11h30
Je m’appelle Patrizia Diomi. Je suis depuis 20 ans l’épouse de M. Eugène Diomi Ndongala, disparu depuis le 27/06/2012 à Kinshasa, le jour prévu de la tenue d’une importante manifestation politique dont il était l’organisateur.Je suis ici, devant vous, pour vous prendre à témoins de la tentative du régime au pouvoir à Kinshasa d’éliminer le député Eugène Diomi Ndongala, tant « physiquement » que « politiquement ».
« Physiquement », par une disparition longue et très pénible pour sa famille, qui continue depuis plus d’un mois, sans savoir quand elle prendra fin ;
« Politiquement», par une stratégie honteuse qui vise à salir la victime d’un montage politico-judiciaire grossier, alors que l’opinion politique tant nationale qu’internationale est désorientée par un véritable lynchage médiatique.
Notre calvaire continue depuis un mois et au nom de la famille Diomi je demande à ceux qui détiennent mon mari de le libérer car eux sont les premiers à savoir qu’il est absolument innocent.
Même dans un système politique où les antivaleurs soient dominantes, il serait inconcevable de vouloir éliminer, dans l’impunité la plus totale, un homme politique de l’opposition à cause de ses opinions politiques et le faire disparaître dans la nature!
Quelle est la vraie faute commise par mon mari pour mériter une condamnation à mort ?
Pourquoi des hiérarchies politiques et policières mentent–elles systématiquement au peuple congolais depuis plus d’un mois sur le sort du Député de l’opposition Eugène Diomi Ndongala ?
Je suis ici, devant vous, pour vous dire que les raisons de la séquestration d’Eugène Diomi Ndongala sont strictement liées à son engagement politique.
Depuis plus d’une année, mon mari a continué à se battre pour que les congolais puissent élire dignement leurs dirigeants : au début de la campagne électorale, dès qu’il mit pieds dans la province du Kongo Central, il fut arrêté et emprisonné pendant deux mois, avec des prétextes découlant d’un montage politico-judiciaire heureusement dénoué après 10 semaines.
Au milieu de la campagne électorale, tant mon mari que mes enfants furent les victimes d’un attentat perpétré par un homme armé au service d’un baron du PPRD, sans que cela n’émoie la justice de ce pays, qui n’a jamais instruit notre plainte pour investiguer sur la tentative d’assassinat contre mon époux et mes enfants, en juin 2011.
Et maintenant, voilà que les démons de l’intolérance politique se réveillent encore une fois et mon mari est à la merci d’un appareil politico-militaire liberticide, en tant que prisonnier politique, sans que ni sa famille ni les militants de son parti ne sachent où il se trouve, malgré toutes les recherches entreprises dans les lieux de détention tant officiels qu’extra-judiciaires, si nombreux malheureusement en RDC…
Quelle est la vraie faute commise par le Représentant du peuple, Eugène Diomi Ndongala ?
Sa seule faute est son engagement politique aux côtés du Président Etienne Tshisekedi wa Mulumba ; sa faute coïncide avec son combat pour la vérité des urnes et pour que les congolais ne puissent plus se limiter à « voter » mais aussi et surtout à « élire » leurs dirigeants, comme dans tous les autres pays libres et démocratiques du monde.
Sa faute a été le lancement de la Majorité Présidentielle Populaire, une plateforme politique dont l’objectif statutaire est justement l’affirmation d’une démocratie « gouvernante » et non « gouvernée», en République Démocratique du Congo.
Son crime de lèse-majesté a été de vouloir organiser une Messe à la Cathédrale Notre Dame du Congo pour compatir avec les populations déplacées de l’Est de la RDC et cela sous l’égide de la MPP et en présence du Président Etienne Tshisekedi.
Son crime a été de croire qu’en RDC pouvait y avoir de la place pour l’exercice des droits civils et politiques : il était confiant que la signature par 69 partis politiques de l’opposition de la charte constitutive de la MPP était un droit constitutionnellement garanti, alors que malheureusement, depuis les dernières élections du 28 novembre 2011, aucun droit n’est reconnu à l’opposition politique congolaise: aucune manifestation n’est autorisée, aucun meeting ne peut avoir lieu et les dissidents sont traqués et emprisonnés : Chalupa, Diomi mais avant eux Mokia, Kuthino, sans parler des nombreux militants des partis politiques de l’opposition qui ont disparu depuis les dernières élections de novembre 2011 et dont les familles n’ont même pas eu le droit de pleurer sur leurs dépouilles mortelles, car les corps de ces victimes sont emportés par leurs bourreaux.
D’ailleurs, le lendemain de la promulgation des résultats fabriqués des dernières élections présidentielles et législatives, le Président Tshisekedi a été placé aux arrêts domiciliaires et maintenant son bras droit, Eugène Diomi Ndongala, vient d’être effacé de la scène politique dans l’impunité la plus totale, à cause de son activisme politique non violent et son courage de dire la vérité au peuple congolais, deux caractéristiques devenues trop gênantes pour le pouvoir issu de la fraude électorale.
Alors qu’il se rendait à la manifestation de signature de la Charte Constitutive de la MPP, il a été enlevé et ainsi soustrait à sa famille et à ses proches.
Dans quel autre pays au monde un leader de l’opposition peut-il être effacé de la scène politique, séquestré pour ses opinions politiques, dans la plus totale impunité ?
Dans quelle autre « démocratie », un député en fonction peut voir son immunité parlementaire piétinée, comme cela a été le cas pour le député Eugène Diomi Ndongala ?
Dans quel autre état « normal » de la planète, l’on peut essayer de salir l’honneur d’un homme politique sur la base des accusations calomnieuses d’un repris de justice notoire, multirécidiviste, connu par tous dans la ville de Kinshasa pour ses activités de « frappeur » et qui collabore activement avec la police politique aux ordres du colonel Kanyama, alias « esprit de mort »?
Je cite M. Kennedy Kambala, contre lequel j’ai déjà déposé une plainte pour diffamation, accusations dommageables et association de malfaiteurs…
Dans quelle autre « démocratie » au monde peut-on accuser gratuitement un homme politique de « viol » alors qu’il n’est même pas présent sur le lieu du prétendu crime ?
Existe-t-il en RDC le crime de viol télépathique ? Car mon mari était chez lui à la maison depuis 18 h00 le 26/06/2012 et il sera informé à partir de la maison, par téléphone, à 22heures de la descente des hommes du Colonel Kanyama alias « esprit de mort », venus massivement occuper le siège de la Démocratie Chrétienne, pour que ce parti politique de l’opposition ne puisse plus fonctionner.
Comment peut-on prendre au sérieux la bande des « bana-kanyama » composée d’escrocs notoires et filles de joie alors que le prétendu père accusateur n’est pas le géniteur des dames présentées comme ses filles, qui d’ailleurs ne sont même pas des sœurs ?
Ça vaut si peu l’honneur d’un homme, en République Démocratique du Congo ?
Comment un procureur général de la République peut-il se prêter à couvrir les agissements criminels d’une bande de malfaiteurs, pour des raisons strictement politiques ? Permettre que le siège d’un parti d’opposition, doté depuis 20 ans de la personnalité juridique, soit occupé « de facto » et pillé par des policiers, sans aucun document légal à l’appui ?
Comment un procureur général de la république peut–il donner en pâture à des télévisons d’obédience du pouvoir, très intéressées et alertées en avance, une mise en scène de la police visant à appuyer la présentation d’un opposant politique comme un criminel, en violations de toutes les normes de procédure pénale congolaise et surtout, en violation des garanties constitutionnelles de ce pays, comme la présomption d’innocence, le secret de l’instruction et, surtout, l’immunité d’un parlementaire en fonction ?
Les citoyens congolais doivent savoir que désormais il suffit qu’un trio des malfaiteurs organise un « théâtre de chez-nous » dans la parcelle voisine pour qu’ils puissent se retrouver accusés de « viol » à distance…de flagrant délit – même s’ils ne sont pas physiquement présents sur le lieu du prétendu crime ;
et ce sort peu enviable peut être réservé à leurs travailleurs, qui peuvent eux-aussi être accusés de « complicité de viol » et tous emprisonnés pendant longtemps au secret, sur la base d’une conception de la « justice » qui rime plutôt avec l’arbitraire le plus absolu…
Non, arrêtons ce théâtre de mauvais gout !
La famille du député Diomi Ndongala, prisonnier politique du régime Kabila, exige la libération immédiate de leur mari, père, fils et frère.
L’image de la RDC a été déjà suffisamment souillée par les agissements criminels de certains éléments des forces de l’ordre dans les assassinats de Floribert Chebeya, Fidèle Bazana, Armand Tungulu pour ajouter à cette liste macabre aussi le nom du député Eugène Diomi Ndongala.
La grande inquiétude de la famille doit s’arrêter, maintenant.
Libérez Eugène Diomi Ndongala.
Patrizia Diomi
Siège de la Voix des Sans Voix 27/07/2012 à 11h30
LES IMAGES DE LA CONFERENCE DE PRESSE EN INTEGRALITE DANS LES HEURES QUI SUIVENT
http://democratiechretienne.org/2012/07/27/3585/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Je ne comprends pas pourquoi cette histoire n'attire pas l'attention de plus de monde.
Il y a en ce moment l’émissaire de F Hollande en séjour a Kin. Pourquoi elle n'est pas saisie de cette affaire?
Pourquoi l'Udps (principal et puissant allié de Diomi) reste dans le mutisme total?
Pourquoi même ici seul Kota alimente ce sujet?
Il y a en ce moment l’émissaire de F Hollande en séjour a Kin. Pourquoi elle n'est pas saisie de cette affaire?
Pourquoi l'Udps (principal et puissant allié de Diomi) reste dans le mutisme total?
Pourquoi même ici seul Kota alimente ce sujet?
Admin- Admin
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
L UDPS ETAIT PRESENTE A LA CONFERENCE DE PRESSE DE MADAME DIOMI NDONGALA EN LA PERSONNE DU SECRETAIRE GENERAL A. I DE L UDPS.
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
L'épouse du député Eugène Diomi Ndongala brise son silence et ne mache pas ses mots concernant la disparition de son mari face à la presse!!!
Mathilde
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LES TROIS VIDEOS EN INTEGRALITE
http://democratiechretienne.org/2012/07/27/3585/
http://democratiechretienne.org/2012/07/27/3585/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
CONFERENCE DE PRESSE DE M.ME DIOMI NDONGALA A LA VSV, 27/07/2012 à 11h30
https://youtu.be/5vopQYRTk1E Part 1
https://youtu.be/_YNcalVC2eU Part 2
https://youtu.be/UckudGP7peI Part 3
https://youtu.be/5vopQYRTk1E Part 1
https://youtu.be/_YNcalVC2eU Part 2
https://youtu.be/UckudGP7peI Part 3
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
COMMUNIQUE DE PRESSE N°019/RDC/VSV/CE/2012
SEQUESTRATION DES JOURNALISTES, MEMBRES DE FAMILLE ET MILITANTS DU PARTI POLITIQUE DC
SEQUESTRATION DES JOURNALISTES, MEMBRES DE FAMILLE ET MILITANTS DU PARTI POLITIQUE DC
La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) dénonce fermement le harcèlement dont font l’objet les membres de famille et autres proches du député national Eugène DIOMI NDONGALA, porté disparu depuis le 27 juin 2012.
Depuis la date précitée, le siège du parti politique « Démocratie Chrétienne (DC)» de monsieur Eugène DIOMI NDONGALA est assiégé par des policiers qui agiraient sur ordre du colonel Célestin KANYAMA.
Cette occupation prolongée et non fondée du siège d’un parti politique frise non seulement l’intolérance politique, mais également une volonté manifeste de museler ce parti politique et de réduire indistinctement tous ses dirigeants au silence.
Ce mercredi 25 juillet 2012, dans les après-midi, l’Auditorat Général Militaire de Kinshasa/Gombe est descendu sur les lieux pour mettre fin à l’occupation du siège dudit parti politique par des policiers et de remettre la jouissance du lieu à ses propriétaires.
Après la levée des scellés et le départ des agents de l’Auditorat Général Militaire, d’autres policiers ont fait irruption sur les lieux et ont séquestré toutes les personnes trouvées sur les lieux.
Il s’agit notamment des journalistes de chaînes de télévision privées Africa TV, CCTV, RLTV…, des membres de famille dont Annie DIOMI, sœur du député national Eugène DIOMI NDONGALA, ainsi que les militantes et militants de son parti politique…
…/…
Eu égard à ce qui précède, la VSV tout en fustigeant avec véhémence la culture d’intolérance politique contre les militants et acteurs politiques de l’opposition, exige des autorités congolaises :- la libération immédiate et sans condition de toutes les personnes séquestrées et privées arbitrairement de la liberté de mouvement, et ce, en violation des instruments juridiques nationaux, régionaux et internationaux ratifiés par la République Démocratique du Congo ;
- l’ouverture d’une enquête indépendante pour faire la lumière sur la séquestration de toutes les personnes trouvées au siège du parti politique DC ;
- la cessation de l’instrumentalisation de la Police Nationale Congolaise (PNC), de l’armée et des services de sécurité à des fins partisanes ;
- l’indemnisation des victimes pour les préjudices subis.
Fait à Kinshasa, le 25 juillet 2012.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV
http://democratiechretienne.org/2012/07/28/communique-de-pressede-la-vsv-sur-loccupation-du-siege-de-la-dc-n019rdcvsvce2012/
http://democratiechretienne.org/2012/07/28/communique-de-pressede-la-vsv-sur-loccupation-du-siege-de-la-dc-n019rdcvsvce2012/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LA TERRE EST EN TRAIN DE TREMBLER BRUSQUEMENT SOUS LES PIEDS DU FAUSSAIRE KAMBALA KENNEDY KASUYI DEPUIS SON ASSIGANTION JUDICIARE, PAR MADAME PATRIZIA DIOMI AU PARQUET GENERAL PRES LA COUR D’APPEL DE KINSHASA/MATETE TANDIS QUE LE PGR FLORY KABANGE NUMBI AURAIT ABANDONNE LA PROCEDURE DE FLAGRANCE A LA CHARGE DU DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA, FAUTE D’ELEMENTS PROBANTS
Publié le 29 juillet 2012by mpp
ENFIN L’AFFAIRE DE FAUX VIOL DE MINEURS IMPUTE INJUSTEMENT AU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA DEPUIS LORS ENLEVE ET TENU AU SECRET PAR LES SERVICES DE SECURITE KABILISTES , A PRESENT ENGAGEE SURLE SENTIER DE LA JUSTICE
LA TERRE EST EN TRAIN DE TREMBLER BRUSQUEMENT SOUS LES PIEDS DU FAUSSAIRE KAMBALA KENNEDY KASUYI DEPUIS SON ASSIGANTION JUDICIARE, PAR MADAME PATRIZIA DIOMI AU PARQUET GENERAL PRES LA COUR D’APPEL DE KINSHASA/MATETE TANDIS QUE LE PGR FLORY KABANGE NUMBI AURAIT ABANDONNE LA PROCEDURE DE FLAGRANCE A LA CHARGE DU DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA, FAUTE D’ELEMENTS PROBANTS
Alors que le Parquet Général de la République continuait à être ennuyé par l’absence d’éléments probants sur lesquels actionner le procès sur le prétendu cas de viol imputé injustement au député national Eugène Diomi Ndongala, opposant politique irréductible et président de la Démocratie Chrétienne (DC), le commandant de la police nationale congolaise (PNC)pour le district de la Lukunga, le colonel Kanyama se tracassait de son côté pour éviter toute visibilité sur ses deux protégées et il est allé loin jusqu’à refuser toute rencontre de ces dernières avec les acteurs de la cellule des droits de l’homme de la MONUSCO ayant souhaité les entendre.
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Dans l’entretemps, cette affaire de viol invraisemblablement imputé au député Diomi Ndongala est devenue une « affaire d’Etat » pour le régime kabiliste dont les services de sécurité, non contents d’avoir enlevé le concerné et en le tenant au secret tout en mentant sur son état de fuite alors que tous les arguments sont contre eux, ont cassé les portes du bureau de travail de l’opposant politique ciblé en emportant les ordinateurs, les cartes d’adhésion, les listes de membres de ce parti politique avec d’autres accessoires trouvés sur place, révélant implicitement par-là les motivations cachées et inavouables de leur mise en scène.
</BLOCKQUOTE>
Pire encore, même l’immeuble en construction dans la concession abritant les bureaux de la Démocratie Chrétienne (DC), et dont le premier niveau est déjà achevé avec des appartements meublés et équipés en tous conforts modernes, n’ a pas été épargné par la casse du colonel Kanyama et rien pour mettre en scène son scénario sur la découverte, dans une chambre déserte et bien arrangée, son show de capotes non utilisées et de fortifiants…
Chose grave encore, le siège clôturé de hauts murs de la DC a vu son portail d’entrée fermé par des cadenas et mis sou surveillance policière, sans mandat, depuis le 26/07/2012 mais par où les agents de la police de garde accèdent à l’intérieur de la parcelle et se servent allègrement des biens se trouvant dans les appartements déjà achevés. Qui paiera le pot cassé dans cette situation, vu qu’il n’y a aucun document de saisi de l’immeuble ?
Et comment si ces impertinences judiciaires et policières n’avaient pas suffi, le garde du corps de M. Diomi et un maçon qui travaillé au chantier ont été arrêté pour « complicité » de viol, infraction qui n’existe pas en droit congolais.
Trois militants sur la multitude ayant manifesté le 17 juillet 2012 au siège de la MONUSCO avec pancartes réclamant la libération de M Eugène Diomi Ndongala, ont été arrêtés par la Police dont une dame qui a fini pour être relâchée tandis que les deux militants de la DC continuent à demeurer aux arrêts. Au demeurant, le parquet général de la République, parce qu’embarrassés dans cette affaire sans tête ni queue, a abandonné la procédure de flagrance à cause de l’absence de réunion des éléments requis et atermoie en s’en tenant à la logique contradictoire de fuite, alors que Lambert Mende et Francis Kalombo, les deux hommes du pouvoir Kabila, avaient bel et bien affirmé que les services de sécurité avaient mis les mains sur « un gros poisson de l’opposition » avec allusion faite sur la personne de m. Eugène Diomi Ndongala, pour une affaire de viol.
Depuis ce coup monté et avorté, le faux père des deux filles mineures prétendument violées, le nommé Kambala Kennedy Kasuyi est devenu invisible à son domicile situé au n° 2 de l’avenue du Lac , à Limete Socopao, comme s’il avait peur de quelque chose. Une fois même, il aurait promis de passer à RLTV chez Eliezer pour justifier sa position dans l’affaire de viol de ce deux filles imputé au député national Eugène Diomi mais il s’en serait dessaisi à deux reprises à la dernière minute. Ce qui est le signe d’un homme ayant perdu toute son arrogance et confiance en soi.
Même les deux dames, dont les noms n’arrêtent pas de changer selon les circonstances et s’appelant respectivement Nelly et Françoise-Sylvie ou bien Deborah et Dorcas selon la justice, ont été évacuées de l’Hôtel Fracas situé Rond-point Kimpwanza dans la commune de kasavubu, où elles avaient été dissimulées aux frais- du contribuable congolais et amenées ensuite à une destination inconnue.
PLAINTE DE M.ME PATRIZIA DIOMI CONTRE LE FAUSSAIRE KAMBALA KENNEDY KASUYI AU PARQUET PRES LA COUR D’APPEL DE KINSHASA-MATETE.
Depuis le 17 juillet 2012, Madame Patrizia Diomi, par le canal de son avocat, a adressé au procureur général près la cour d’appel de Kinshasa/Matete, une plainte contre le sieur Kambala pour imputations dommageable, diffamation et association de malfaiteurs.
Dans sa plainte pour le compte de M.me Diomi, Mê Yala accuse Kambala d’être passé dans les chaines de télévision au courant du mois de juin 2012 pour affirmer que M Eugène Diomi aurit violé deux de ses filles tandis que les informations précises et concordantes indiquent que le sieur Kambala n’est pas le père des filles concernées - qui ne sont pas des sœurs – dans le dossier RMP/V/IF/PGR/MR en instruction au Parquet Général de la République.
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Dans la même plainte, Me Yala souligne que M. Kennedy Kambala fait partie de la bande agissant dans le but de déstabiliser certains hommes politiques de l’opposition avec comme cas d’espèce la disparition de M. Eugène DIOMI NDONGALA et dans l’enlèvement duquel le précité serait pour quelque chose et qui serait à élucider par la justice, si celle-ci était vraie et impartiale.
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L’INTERPRETE DU 27/07/2012 N°1141
LIBEREZ DIOMI NDONGALA
http://democratiechretienne.org/2012/07/29/la-terre-est-en-train-de-trembler-brusquement-sous-les-pieds-du-faussaire-kambala-kennedy-kasuyi-depuis-son-assigantion-judiciare-par-madame-patrizia-diomi-au-parquet-general-pres-la-cour-da/
Publié le 29 juillet 2012by mpp
ENFIN L’AFFAIRE DE FAUX VIOL DE MINEURS IMPUTE INJUSTEMENT AU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA DEPUIS LORS ENLEVE ET TENU AU SECRET PAR LES SERVICES DE SECURITE KABILISTES , A PRESENT ENGAGEE SURLE SENTIER DE LA JUSTICE
LA TERRE EST EN TRAIN DE TREMBLER BRUSQUEMENT SOUS LES PIEDS DU FAUSSAIRE KAMBALA KENNEDY KASUYI DEPUIS SON ASSIGANTION JUDICIARE, PAR MADAME PATRIZIA DIOMI AU PARQUET GENERAL PRES LA COUR D’APPEL DE KINSHASA/MATETE TANDIS QUE LE PGR FLORY KABANGE NUMBI AURAIT ABANDONNE LA PROCEDURE DE FLAGRANCE A LA CHARGE DU DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA, FAUTE D’ELEMENTS PROBANTS
Alors que le Parquet Général de la République continuait à être ennuyé par l’absence d’éléments probants sur lesquels actionner le procès sur le prétendu cas de viol imputé injustement au député national Eugène Diomi Ndongala, opposant politique irréductible et président de la Démocratie Chrétienne (DC), le commandant de la police nationale congolaise (PNC)pour le district de la Lukunga, le colonel Kanyama se tracassait de son côté pour éviter toute visibilité sur ses deux protégées et il est allé loin jusqu’à refuser toute rencontre de ces dernières avec les acteurs de la cellule des droits de l’homme de la MONUSCO ayant souhaité les entendre.
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Dans l’entretemps, cette affaire de viol invraisemblablement imputé au député Diomi Ndongala est devenue une « affaire d’Etat » pour le régime kabiliste dont les services de sécurité, non contents d’avoir enlevé le concerné et en le tenant au secret tout en mentant sur son état de fuite alors que tous les arguments sont contre eux, ont cassé les portes du bureau de travail de l’opposant politique ciblé en emportant les ordinateurs, les cartes d’adhésion, les listes de membres de ce parti politique avec d’autres accessoires trouvés sur place, révélant implicitement par-là les motivations cachées et inavouables de leur mise en scène.
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Pire encore, même l’immeuble en construction dans la concession abritant les bureaux de la Démocratie Chrétienne (DC), et dont le premier niveau est déjà achevé avec des appartements meublés et équipés en tous conforts modernes, n’ a pas été épargné par la casse du colonel Kanyama et rien pour mettre en scène son scénario sur la découverte, dans une chambre déserte et bien arrangée, son show de capotes non utilisées et de fortifiants…
Chose grave encore, le siège clôturé de hauts murs de la DC a vu son portail d’entrée fermé par des cadenas et mis sou surveillance policière, sans mandat, depuis le 26/07/2012 mais par où les agents de la police de garde accèdent à l’intérieur de la parcelle et se servent allègrement des biens se trouvant dans les appartements déjà achevés. Qui paiera le pot cassé dans cette situation, vu qu’il n’y a aucun document de saisi de l’immeuble ?
Et comment si ces impertinences judiciaires et policières n’avaient pas suffi, le garde du corps de M. Diomi et un maçon qui travaillé au chantier ont été arrêté pour « complicité » de viol, infraction qui n’existe pas en droit congolais.
Trois militants sur la multitude ayant manifesté le 17 juillet 2012 au siège de la MONUSCO avec pancartes réclamant la libération de M Eugène Diomi Ndongala, ont été arrêtés par la Police dont une dame qui a fini pour être relâchée tandis que les deux militants de la DC continuent à demeurer aux arrêts. Au demeurant, le parquet général de la République, parce qu’embarrassés dans cette affaire sans tête ni queue, a abandonné la procédure de flagrance à cause de l’absence de réunion des éléments requis et atermoie en s’en tenant à la logique contradictoire de fuite, alors que Lambert Mende et Francis Kalombo, les deux hommes du pouvoir Kabila, avaient bel et bien affirmé que les services de sécurité avaient mis les mains sur « un gros poisson de l’opposition » avec allusion faite sur la personne de m. Eugène Diomi Ndongala, pour une affaire de viol.
Depuis ce coup monté et avorté, le faux père des deux filles mineures prétendument violées, le nommé Kambala Kennedy Kasuyi est devenu invisible à son domicile situé au n° 2 de l’avenue du Lac , à Limete Socopao, comme s’il avait peur de quelque chose. Une fois même, il aurait promis de passer à RLTV chez Eliezer pour justifier sa position dans l’affaire de viol de ce deux filles imputé au député national Eugène Diomi mais il s’en serait dessaisi à deux reprises à la dernière minute. Ce qui est le signe d’un homme ayant perdu toute son arrogance et confiance en soi.
Même les deux dames, dont les noms n’arrêtent pas de changer selon les circonstances et s’appelant respectivement Nelly et Françoise-Sylvie ou bien Deborah et Dorcas selon la justice, ont été évacuées de l’Hôtel Fracas situé Rond-point Kimpwanza dans la commune de kasavubu, où elles avaient été dissimulées aux frais- du contribuable congolais et amenées ensuite à une destination inconnue.
PLAINTE DE M.ME PATRIZIA DIOMI CONTRE LE FAUSSAIRE KAMBALA KENNEDY KASUYI AU PARQUET PRES LA COUR D’APPEL DE KINSHASA-MATETE.
Depuis le 17 juillet 2012, Madame Patrizia Diomi, par le canal de son avocat, a adressé au procureur général près la cour d’appel de Kinshasa/Matete, une plainte contre le sieur Kambala pour imputations dommageable, diffamation et association de malfaiteurs.
Dans sa plainte pour le compte de M.me Diomi, Mê Yala accuse Kambala d’être passé dans les chaines de télévision au courant du mois de juin 2012 pour affirmer que M Eugène Diomi aurit violé deux de ses filles tandis que les informations précises et concordantes indiquent que le sieur Kambala n’est pas le père des filles concernées - qui ne sont pas des sœurs – dans le dossier RMP/V/IF/PGR/MR en instruction au Parquet Général de la République.
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Dans la même plainte, Me Yala souligne que M. Kennedy Kambala fait partie de la bande agissant dans le but de déstabiliser certains hommes politiques de l’opposition avec comme cas d’espèce la disparition de M. Eugène DIOMI NDONGALA et dans l’enlèvement duquel le précité serait pour quelque chose et qui serait à élucider par la justice, si celle-ci était vraie et impartiale.
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L’INTERPRETE DU 27/07/2012 N°1141
LIBEREZ DIOMI NDONGALA
http://democratiechretienne.org/2012/07/29/la-terre-est-en-train-de-trembler-brusquement-sous-les-pieds-du-faussaire-kambala-kennedy-kasuyi-depuis-son-assigantion-judiciare-par-madame-patrizia-diomi-au-parquet-general-pres-la-cour-da/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Julien Ciakudia Sr
URGENT! LES ENLEVEMENTS des cadres politiques de l'opposition continuent par le régime criminel de Kabila: Après Diomi Ndongala, Le Secrétaire Général adjoint de l'UDPS, Mr Vianney Kabukanyi vient d'être enlevé hier samedi 28/07/12 à son domicile à 23H00.
Et vous la francophone Mme BENGUIGUI YASMINA où êtes-vous avec votre faux rapport apres votre sejour a Kinshasa, nous le savons vous etes accompagné des cadeaux de corruption en diamant et Or du régime genidaire et sanguinaire d'alias Joseph Kabila et son frere tutsi Paul Kagame que vous vous attelez à présenter au nouveau President Francais François Hollande ce lundi 30 juillet pour que le sommet de la francofolie (francophonie) se tienne à kinshasa pour légitimer la dictature militaire du tyran criminel tricheur des élections de Novembre 2011....le sang de 10 millions de congolais, de Chebeya, Tungulu, Bazana et tant d'autres crie justice
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Jacquemain Shabaniil y a 22 heures ·
le Secretaire General Adjoint, Jean Marie Vianney Kabukanyi viens d'etre enleve par les escadrons de la mort. Achemines a une destination inconnue avec son jeune frere Deca Kabukanyi
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
ENLEVEMENT D’UN CADRE DU MINISTERE DES TRANSPORTS, PORTE DISPARU DEPUIS PRESQUE UN MOIS !
Publié le 30 juillet 2012by mpp
ENCORE UN ENLEVEMENT PAR LES “FORCES DE L’ORDRE” D’ UNE PERSONNE DISPARUE DEPUIS PRESQUE UN MOIS SANS AUCUNE INDICATION DU LIEU DE DETENTION: CELA RAPPELLE L ENLEVEMENT DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA….
LISEZ
26 07 12 COMMUNIQUE DE PRESSE N°018/RDC/VSV/CE/2012 – ENLEVEMENT D’UN AGENT DU MINISTERE DES TRANSPORTS ET VOIES DE COMMUNICATION PAR DES MILITAIRES DES FARDC
… La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) exprime ses vives inquiétudes pour la vie et la sécurité de monsieur Claude Azato Mopasiya, âgé de 45 ans, marié et père de six (6) enfants, fonctionnaire de l’Etat au ministère des transports et voies de communication, porté disparu il y a plus de deux semaines.
En effet, M. Claude Azato Mopasiya a été enlevé samedi 07 juillet 2012 vers 6 heures du matin à son domicile sis avenue de la Paix, commune de Ngaliema/Macampagne à Kinshasa par un groupe d’hommes armés agissant sous ordre de l’adjudant Fidèle Ngongo qui serait un inspecteur à l’Etat-Major des Renseignements Militaires (EM-DRM, ex DEMIAP) sis Kinshasa/Kintambo. Sans mandat, ni autres titres, les hommes armés ont pénétré par effraction dans la maison de la victime et sont entrés dans la chambre à coucher. Après fouille systématique, ils ont extrait la victime de sa maison avant de l’amener à une destination inconnue. Voulant opposer une farouche résistance, l’épouse et les enfants de la victime ont été copieusement tabassés par les hommes armés avant de vider les lieux et d’embarquer M. Claude Azato Mopasiya à bord de leur camionnette Toyota Land Cruiser de couleur blanche non immatriculée. Tout porte à croire que M. Claude Azato Mopasiya serait victime d’un règlement de compte de la part de sa voisine, madame KOTO, qui pour une affaire de conflit parcellaire, aurait usé du trafic d’influence auprès de l’adjudant Fidèle Ngongo de l’Etat-major des Renseignements Militaires (EM-DRM ex DEMIAP) pour porter atteintes à la vie de la victime. …/… La VSV saisit cette occasion pour dénoncer fermement l’instrumentalisation, par des officiels ou des particuliers, des militaires, policiers et autres agents des services de sécurité pour des raisons inavouées. Eu égard à ce qui précède, la VSV demande : - l’ouverture d’une enquête indépendante sur l’enlèvement de M. Claude Azato Mopasiya ; – la localisation de la victime et sa présentation devant une juridiction compétente en cas des griefs sérieux à charge, sinon, sa libération pure et simple ; – la sécurisation de M. Claude Azato Mopasiya ainsi que celle de toute sa famille ; – l’indemnisation de la victime et sa famille pour les préjudices subis.
Fait à Kinshasa, le 25 juillet 2012.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=2&newsid=187955&Actualiteit=selected
http://democratiechretienne.org/2012/07/30/enlevement-dun-cadre-du-miniostere-des-transports-porte-disparu-depuis-presque-un-mois/
Publié le 30 juillet 2012by mpp
ENCORE UN ENLEVEMENT PAR LES “FORCES DE L’ORDRE” D’ UNE PERSONNE DISPARUE DEPUIS PRESQUE UN MOIS SANS AUCUNE INDICATION DU LIEU DE DETENTION: CELA RAPPELLE L ENLEVEMENT DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA….
LISEZ
26 07 12 COMMUNIQUE DE PRESSE N°018/RDC/VSV/CE/2012 – ENLEVEMENT D’UN AGENT DU MINISTERE DES TRANSPORTS ET VOIES DE COMMUNICATION PAR DES MILITAIRES DES FARDC
… La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) exprime ses vives inquiétudes pour la vie et la sécurité de monsieur Claude Azato Mopasiya, âgé de 45 ans, marié et père de six (6) enfants, fonctionnaire de l’Etat au ministère des transports et voies de communication, porté disparu il y a plus de deux semaines.
En effet, M. Claude Azato Mopasiya a été enlevé samedi 07 juillet 2012 vers 6 heures du matin à son domicile sis avenue de la Paix, commune de Ngaliema/Macampagne à Kinshasa par un groupe d’hommes armés agissant sous ordre de l’adjudant Fidèle Ngongo qui serait un inspecteur à l’Etat-Major des Renseignements Militaires (EM-DRM, ex DEMIAP) sis Kinshasa/Kintambo. Sans mandat, ni autres titres, les hommes armés ont pénétré par effraction dans la maison de la victime et sont entrés dans la chambre à coucher. Après fouille systématique, ils ont extrait la victime de sa maison avant de l’amener à une destination inconnue. Voulant opposer une farouche résistance, l’épouse et les enfants de la victime ont été copieusement tabassés par les hommes armés avant de vider les lieux et d’embarquer M. Claude Azato Mopasiya à bord de leur camionnette Toyota Land Cruiser de couleur blanche non immatriculée. Tout porte à croire que M. Claude Azato Mopasiya serait victime d’un règlement de compte de la part de sa voisine, madame KOTO, qui pour une affaire de conflit parcellaire, aurait usé du trafic d’influence auprès de l’adjudant Fidèle Ngongo de l’Etat-major des Renseignements Militaires (EM-DRM ex DEMIAP) pour porter atteintes à la vie de la victime. …/… La VSV saisit cette occasion pour dénoncer fermement l’instrumentalisation, par des officiels ou des particuliers, des militaires, policiers et autres agents des services de sécurité pour des raisons inavouées. Eu égard à ce qui précède, la VSV demande : - l’ouverture d’une enquête indépendante sur l’enlèvement de M. Claude Azato Mopasiya ; – la localisation de la victime et sa présentation devant une juridiction compétente en cas des griefs sérieux à charge, sinon, sa libération pure et simple ; – la sécurisation de M. Claude Azato Mopasiya ainsi que celle de toute sa famille ; – l’indemnisation de la victime et sa famille pour les préjudices subis.
Fait à Kinshasa, le 25 juillet 2012.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=2&newsid=187955&Actualiteit=selected
http://democratiechretienne.org/2012/07/30/enlevement-dun-cadre-du-miniostere-des-transports-porte-disparu-depuis-presque-un-mois/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
L’UDPS dénonce l’arrestation de son secrétaire général adjoint, amené vers une destination inconnue
Publié le 30 juillet 2012by mpp
29 07 12 Afrikarabia – L’UDPS dénonce l’arrestation de son secrétaire général adjoint
Le principal parti d’opposition de République démocratique du Congo (RDC), l’UDPS, accuse la police d’avoir enlevé Jean-Marie Vianney Kabukanyi. Le secrétaire général adjoint du parti d’Etienne Tshisekedi aurait été interpellé samedi 28 juillet 2012 à son domicile et emmené “vers une destination inconnue”. Jean-Marie Vianney Kabukanyi avait conduit le 25 juillet la délégation de l’UDPS à l’ambassade de France pour demander la “délocalisation” du XIVème sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa à l’automne.
Dans un communiqué, l’UDPS, le parti de l’opposant Etienne Tshisekedi dénonce l’arrestation de son secrétaire général adjoint, Jean-Marie Vianney Kabukanyi samedi 18 juillet par la police congolaise.
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Le cadre de l’UDPS aurait été arrêté “vers 23h45 à son domicile en compagnie de son jeune frère”. Le parti d’opposition affirme que Jean-Marie Vianney Kabukanyi et son frère “ont été emmenés vers une destination inconnue” et dénonce “une arrestation arbitraire”.
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Jean-Marie Vianney Kabukanyi, chargé des questions administratives à l’UDPS avait conduit la délégation de son parti à l’ambassade de France à Kinshasa pour demander la “délocalisation” du XIVème sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa en octobre 2012. Une pétition avait été déposée pour la venue en RDC de la ministre française chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui. La ministre avait confirmé la tenue du sommet dans la capitale congolaise sans confirmer la présence du chef d’Etat français, François Hollande. L’opposition, qui conteste la réélection du président Joseph Kabila lors des élections de novembre dernier, demande à François Hollande de ne pas venir “légitimer des élections frauduleuses”.
Cette interpellation intervient également 1 mois après la “disparition” d’un autre opposant congolais, Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie chrétienne (DC). Accusé de viol sur mineures par la police, ses proches affirment qu’il a été enlevé par des hommes armés, alors que les autorités congolaises le considèrent en cavale. Son parti dénonce une “cabale” politique (…) “pour le faire taire définitivement”.
Christophe RIGAUD
http://democratiechretienne.org/2012/07/30/ludps-denonce-larrestation-de-son-secretaire-general-adjoint-amene-vers-une-destination-inconnue/
Publié le 30 juillet 2012by mpp
29 07 12 Afrikarabia – L’UDPS dénonce l’arrestation de son secrétaire général adjoint
Le principal parti d’opposition de République démocratique du Congo (RDC), l’UDPS, accuse la police d’avoir enlevé Jean-Marie Vianney Kabukanyi. Le secrétaire général adjoint du parti d’Etienne Tshisekedi aurait été interpellé samedi 28 juillet 2012 à son domicile et emmené “vers une destination inconnue”. Jean-Marie Vianney Kabukanyi avait conduit le 25 juillet la délégation de l’UDPS à l’ambassade de France pour demander la “délocalisation” du XIVème sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa à l’automne.
Dans un communiqué, l’UDPS, le parti de l’opposant Etienne Tshisekedi dénonce l’arrestation de son secrétaire général adjoint, Jean-Marie Vianney Kabukanyi samedi 18 juillet par la police congolaise.
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Le cadre de l’UDPS aurait été arrêté “vers 23h45 à son domicile en compagnie de son jeune frère”. Le parti d’opposition affirme que Jean-Marie Vianney Kabukanyi et son frère “ont été emmenés vers une destination inconnue” et dénonce “une arrestation arbitraire”.
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Jean-Marie Vianney Kabukanyi, chargé des questions administratives à l’UDPS avait conduit la délégation de son parti à l’ambassade de France à Kinshasa pour demander la “délocalisation” du XIVème sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa en octobre 2012. Une pétition avait été déposée pour la venue en RDC de la ministre française chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui. La ministre avait confirmé la tenue du sommet dans la capitale congolaise sans confirmer la présence du chef d’Etat français, François Hollande. L’opposition, qui conteste la réélection du président Joseph Kabila lors des élections de novembre dernier, demande à François Hollande de ne pas venir “légitimer des élections frauduleuses”.
Cette interpellation intervient également 1 mois après la “disparition” d’un autre opposant congolais, Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie chrétienne (DC). Accusé de viol sur mineures par la police, ses proches affirment qu’il a été enlevé par des hommes armés, alors que les autorités congolaises le considèrent en cavale. Son parti dénonce une “cabale” politique (…) “pour le faire taire définitivement”.
Christophe RIGAUD
http://democratiechretienne.org/2012/07/30/ludps-denonce-larrestation-de-son-secretaire-general-adjoint-amene-vers-une-destination-inconnue/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Que les défenseurs de la non-violence viennent nous donner des leçons de démocratie !
djino
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
"RDC : l’opposant Diomi Ndongala est détenu dans un lieu secret, selon son épouse"
° http://radiookapi.net/actualite/2012/07/27/rdc-lopposant-diomi-ndongala-est-detenu-dans-lieu-secret-selon-son-epouse/
"RDC : L'UDPS dénonce l'arrestation de son secrétaire général adjoint"
° http://afrikarabia2.blogs.courrierinternational.com/archive/2012/07/29/rdc-l-udps-denonce-l-enlevement-de-son-secretaire-general-ad.html
° http://radiookapi.net/actualite/2012/06/28/rdc-lopposant-diomi-ndongala-porte-disparu/
° http://radiookapi.net/actualite/2012/06/28/rdc-accuse-de-viol-diomi-ndongala-court-une-peine-allant-de-7-20-ans-de-prison/
° http://radiookapi.net/actualite/2012/04/17/rdc-mpp-la-nouvelle-plate-forme-politique-creee-autour-detienne-tshisekedi/
Compatriotiquement!
ndonzwau
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