APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
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Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
RDC : le secrétaire général adjoint de l’UDPS relaxé
Le secrétaire général adjoint chargé des questions administratives de l’Union pour la démocratique et le progrès social (UDPS), Jean-Marie Vianney Kabukanyi, a été libéré dans la soirée de lundi 30 juillet. L’information est confirmée par le secrétaire général intérimaire de ce parti d’opposition, Bruno Mavungu.
Jean-Marie Vianney Kabukanyi, accusé de détention illégale d’armes, a été arrêté dans la nuit de samedi à dimanche 29 juillet vers 23h45 à son domicile, avec son frère, par des éléments de la Police nationale congolaise (PNC), selon un communiqué de l’UDPS.
Il a d’abord été amené à l’Agence nationale de renseignements (ANR) avant d’être transféré à la légion nationale de la Police d’intervention rapide (PIR), a affirmé le chargé de communication de l’UDPS, Augustin Kabuya.
Il a qualifié cette arrestation de « scénario » de la part du pouvoir en place.
« Ce sont des montages. Vous le savez, comment ça se passe ici chez nous. Quand on veut arrêter un homme politique, on crée toujours des scénarios. Ils nous ont laissé entendre que le secrétaire général détenait des armes de guerre chez lui et quand ils [les policiers] ont vérifié ils se sont rendus compte qu’il n’y avait rien », a ajouté augustin Kabuya.
Le commissaire général de la PNC, le général Charles Bisengimana, dit avoir reçu le rapport de ce dossier ce lundi. D’après lui, il appartient à l’ANR de se prononcer sur ce dossier. Le service des renseignements s’est refusé de tout commentaire.
A l’annonce de l’arrivée de la ministre française à la Francophonie, Yamina Benguigui, Jean-Marie Vianney Kabukanyi a conduit une délégation de son parti à l’ambassade de France à Kinshasa où ils ont déposé une pétition réclamant la délocalisation du XIVe sommet de la Francophonie, au risque de “légitimer” le pouvoir de Kabila.
Etienne Tshisekedi, candidat à la présidentielle de 2011 et président de l’UDPS a toujours contesté la victoire de Joseph Kabila.
A l’issue de sa visite à Kinshasa, Yamina Benguigui a déclaré qu’à part une ou deux personnes, la majorité des opposants congolais ne lui ont pas demandé l’annulation du sommet de la Francophonie qui doit se tenir dans la capitale congolaise en octobre prochain.
Le secrétaire général adjoint chargé des questions administratives de l’Union pour la démocratique et le progrès social (UDPS), Jean-Marie Vianney Kabukanyi, a été libéré dans la soirée de lundi 30 juillet. L’information est confirmée par le secrétaire général intérimaire de ce parti d’opposition, Bruno Mavungu.
Jean-Marie Vianney Kabukanyi, accusé de détention illégale d’armes, a été arrêté dans la nuit de samedi à dimanche 29 juillet vers 23h45 à son domicile, avec son frère, par des éléments de la Police nationale congolaise (PNC), selon un communiqué de l’UDPS.
Il a d’abord été amené à l’Agence nationale de renseignements (ANR) avant d’être transféré à la légion nationale de la Police d’intervention rapide (PIR), a affirmé le chargé de communication de l’UDPS, Augustin Kabuya.
Il a qualifié cette arrestation de « scénario » de la part du pouvoir en place.
« Ce sont des montages. Vous le savez, comment ça se passe ici chez nous. Quand on veut arrêter un homme politique, on crée toujours des scénarios. Ils nous ont laissé entendre que le secrétaire général détenait des armes de guerre chez lui et quand ils [les policiers] ont vérifié ils se sont rendus compte qu’il n’y avait rien », a ajouté augustin Kabuya.
Le commissaire général de la PNC, le général Charles Bisengimana, dit avoir reçu le rapport de ce dossier ce lundi. D’après lui, il appartient à l’ANR de se prononcer sur ce dossier. Le service des renseignements s’est refusé de tout commentaire.
A l’annonce de l’arrivée de la ministre française à la Francophonie, Yamina Benguigui, Jean-Marie Vianney Kabukanyi a conduit une délégation de son parti à l’ambassade de France à Kinshasa où ils ont déposé une pétition réclamant la délocalisation du XIVe sommet de la Francophonie, au risque de “légitimer” le pouvoir de Kabila.
Etienne Tshisekedi, candidat à la présidentielle de 2011 et président de l’UDPS a toujours contesté la victoire de Joseph Kabila.
A l’issue de sa visite à Kinshasa, Yamina Benguigui a déclaré qu’à part une ou deux personnes, la majorité des opposants congolais ne lui ont pas demandé l’annulation du sommet de la Francophonie qui doit se tenir dans la capitale congolaise en octobre prochain.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
DIOMI NDONGALA: L’APPEL PATHETIQUE DE SON EPOUSE / LE PHARE 30.07.12
Publié le 30 juillet 2012by mpp
LIRE AUSSI: LE VIDEOS DE LA CONFERENCE DE PRESSE
http://democratiechretienne.org/2012/07/27/3585/
http://democratiechretienne.org/2012/07/30/diomi-ndongala-lappel-pathetique-de-son-epouse-le-phare-30-07-12/
Publié le 30 juillet 2012by mpp
LIRE AUSSI: LE VIDEOS DE LA CONFERENCE DE PRESSE
http://democratiechretienne.org/2012/07/27/3585/
http://democratiechretienne.org/2012/07/30/diomi-ndongala-lappel-pathetique-de-son-epouse-le-phare-30-07-12/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
DC/section Canada de cœur avec Diomi
Publié le 30 juillet 2012by mpp
DC/section Canada de cœur avec Diomi
Publié le 30 juillet 2012by mpp
DC/section Canada de cœur avec Diomi
Démocratie Chrétienne (DC), un des principaux partis d’opposition en RD Congo, n’est pas prêt à céder aux intimidations d’un régime fasciste qu’installe en RD Congo Joseph Kabila.
Refusant de cautionner le plan machiavélique mise en place par des investisseurs véreux avec la complicité de Joseph Kabila pour un pillage systématique du sous-sol congolais, Eugène Diomi connaît depuis des intimidations de toute sorte contre sa personne – des menaces verbales aux arrestations arbitraires.
<BLOCKQUOTE>
Convaincu de son combat, son patriotisme et son sens du respect des valeurs humaines, Eugène Diomi Ndongala continua à dénoncer les tares du régime sanguinaire de Kabila pour faire échec à son plan de déstabilisation de la RDC.
</BLOCKQUOTE>
Constatant la dégradation continuelle de la situation économique et sociale du peuple congolais dans son ensemble et l’incapacité avérée du régime à protéger la population congolaise, le président de Démocratie Chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala Nzo Mambu, n’a pas hésité à dénoncer la complicité entre le régime impopulaire de Kabila et celui de son maitre, Paul Kagame, dans le projet de balkanisation du Congo. Il est ainsi devenu «la bête noire», celle qui doit être abattue par tous les moyens possibles.
Outré par les tentatives du pouvoir de Kinshasa de faire taire cette opposition qui refuse de trahir le peuple congolais, la section Canada de Démocratie Chrétienne rappelle aux tenants du pouvoir au Congo que rien n’arrêtera la ferme détermination de leur leader à défendre le camp de la légalité, celui incarné par le Président du peuple Etienne Tshisekedi wa Mulumba pour bâtir au Congo un pays réellement souverain.
La DC/section Canada multiplie des battues auprès des autorités canadiennes pour que ce pays de l’Amérique du Nord, membre de la Francophonie, pèse de tout son poids dans le concert des Nations afin que cessent, au Congo, des méthodes barbares qui musèlent des opposants.
<BLOCKQUOTE>
La DC/section Canada exhorte toute personne – pour qui la liberté d’opinion et d’expression est considérée comme étant un droit fondamental – d’alerter toutes les institutions et les autorités étrangères de l’arrestation par enlèvement du porte-parole de la Majorité Présidentielle Populaire (MPP) et président de la Démocratie Chrétienne, Mr Eugène Diomi Ndongala Nzo Mambu.
</BLOCKQUOTE>
L’on se souviendra que Floribert Chebeya, fervent militant des droits humains, a été assassiné par le même régime. Aujourd’hui, le Congo et les Congolais n’accepteraient plus jamais de faire un autre deuil d’un de ses dignes fils que Kabila et sa bande voudraient absolument réduire au silence.
La DC/section Canada exige l’ouverture d’une enquête indépendante pour faire la lumière sur l’enlèvement et l’arrestation de l’honorable DIOMI NDONGALA, la rétrocession immédiate et sans condition du siège du parti, ainsi que la cessation de l’instrumentalisation de la police nationale congolaise, de l’armée et des services de sécurité à des fins partisanes.
Pour le DC/section Canada
Tomansi M. Mianziula
http://democratiechretienne.org/2012/07/30/dcsection-canada-de-coeur-avec-diomi/
Publié le 30 juillet 2012by mpp
DC/section Canada de cœur avec Diomi
Publié le 30 juillet 2012by mpp
DC/section Canada de cœur avec Diomi
Démocratie Chrétienne (DC), un des principaux partis d’opposition en RD Congo, n’est pas prêt à céder aux intimidations d’un régime fasciste qu’installe en RD Congo Joseph Kabila.
Refusant de cautionner le plan machiavélique mise en place par des investisseurs véreux avec la complicité de Joseph Kabila pour un pillage systématique du sous-sol congolais, Eugène Diomi connaît depuis des intimidations de toute sorte contre sa personne – des menaces verbales aux arrestations arbitraires.
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Convaincu de son combat, son patriotisme et son sens du respect des valeurs humaines, Eugène Diomi Ndongala continua à dénoncer les tares du régime sanguinaire de Kabila pour faire échec à son plan de déstabilisation de la RDC.
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Constatant la dégradation continuelle de la situation économique et sociale du peuple congolais dans son ensemble et l’incapacité avérée du régime à protéger la population congolaise, le président de Démocratie Chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala Nzo Mambu, n’a pas hésité à dénoncer la complicité entre le régime impopulaire de Kabila et celui de son maitre, Paul Kagame, dans le projet de balkanisation du Congo. Il est ainsi devenu «la bête noire», celle qui doit être abattue par tous les moyens possibles.
Outré par les tentatives du pouvoir de Kinshasa de faire taire cette opposition qui refuse de trahir le peuple congolais, la section Canada de Démocratie Chrétienne rappelle aux tenants du pouvoir au Congo que rien n’arrêtera la ferme détermination de leur leader à défendre le camp de la légalité, celui incarné par le Président du peuple Etienne Tshisekedi wa Mulumba pour bâtir au Congo un pays réellement souverain.
La DC/section Canada multiplie des battues auprès des autorités canadiennes pour que ce pays de l’Amérique du Nord, membre de la Francophonie, pèse de tout son poids dans le concert des Nations afin que cessent, au Congo, des méthodes barbares qui musèlent des opposants.
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La DC/section Canada exhorte toute personne – pour qui la liberté d’opinion et d’expression est considérée comme étant un droit fondamental – d’alerter toutes les institutions et les autorités étrangères de l’arrestation par enlèvement du porte-parole de la Majorité Présidentielle Populaire (MPP) et président de la Démocratie Chrétienne, Mr Eugène Diomi Ndongala Nzo Mambu.
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L’on se souviendra que Floribert Chebeya, fervent militant des droits humains, a été assassiné par le même régime. Aujourd’hui, le Congo et les Congolais n’accepteraient plus jamais de faire un autre deuil d’un de ses dignes fils que Kabila et sa bande voudraient absolument réduire au silence.
La DC/section Canada exige l’ouverture d’une enquête indépendante pour faire la lumière sur l’enlèvement et l’arrestation de l’honorable DIOMI NDONGALA, la rétrocession immédiate et sans condition du siège du parti, ainsi que la cessation de l’instrumentalisation de la police nationale congolaise, de l’armée et des services de sécurité à des fins partisanes.
Pour le DC/section Canada
Tomansi M. Mianziula
http://democratiechretienne.org/2012/07/30/dcsection-canada-de-coeur-avec-diomi/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Tiens! veux-tu maintenant que les partisans de la non-violence viennent vous donner des léçons de démocratie? Vous avez banalisé la violence en l´utilisant comme votre arme d´attaque et vous constatez maintenant avec amertume que la violence peut aussi venir de l´adversaire. Vous avez opté pour la violence, vivez aussi avec elle.djino a écrit:Que les défenseurs de la non-violence viennent nous donner des leçons de démocratie !
Comme on dit chez nous : Wa nsueka kimbialu, ka ntinini ngindu ko vedire celui qui veut peter très fort ne doit pas avoir peur du bruit que cela fera.
Arafat
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Arafat a écrit:Tiens! veux-tu maintenant que les partisans de la non-violence viennent vous donner des léçons de démocratie? Vous avez banaliser la violence en l´utilisant comme votre arme d´attaque et vous constatez maintenant avec amertume que la violence peut aussi venir de l´adversaire. Vous avez opté pour la violence, vivez aussi avec elle.
Comme on dit chez nous : Wa nsueka kimbialu, ka ntinini ngindu ko vedire celui qui veut peter très fort ne doit pas avoir peur du bruit que cela fera.
La violence provient de DEUX COTES : Et du POUVOIR et de l'OPPOSITION. C'est du déjà vu, on s'y habitue et on fait avec . Bien sûr la violence est à condamner mais de fois elle est necessaire pour se faire une visibilité et être écouté... Néanmoins, à ce que je saches s'il faut compter les nombres de victimes des Violences du côté du POUVOIR, on se rend compte que le POUVOIR Kabiliste est arrivé par la rebellion qui est déjà une violence, s'est fait ré-élire par la violence avec des Chars, et séquestre Tshisékédi et ses opposants ..
Comme dirait LUTUMBA la poète dans l'illustre Chanson : MABELE :
"Mondélé asal Mandoki ya Koboma Bato, KASI YA KOBOMA VERITE Mondélé Okoki té ! " ....
Moralité : Que le pouvoir continue la violence mais LA VERITE il ne pourra NI LA CACHER éternellement, ni la TUER ! Etéya To Mbuta le non-violent" Notre GHANDI Du CD ....
djino
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
L’ENLEVEMENT DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA, A KINSHASA, ET SA MISE EU SECRET PAR LA POLICE POLITIQUE DE JOSEPH KABILA EN RDC FAIT DES VAGUES A L’ELYSEE AUPRES DU PRESIDENT HOLLANDE
Publié le 31 juillet 2012by mpp
L’ENLEVEMENT DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA, A KINSHASA, ET SA MISE EU SECRET PAR LA POLICE POLITIQUE DE JOSEPH KABILA EN RDC FAIT DES VAGUES A L’ELYSEE AUPRES DU PRESIDENT HOLLANDE
Une information captée, par Hubert Ducroit, notre correspondant en France, d’abord à Matignon, ensuite au Quai d’Orsay et, enfin, au secrétariat général de l’Elysée, fait état de la grande colère du Président François Hollande face à la nouvelle sur l’enlèvement et la détention au secret, par Joseph Kabila, du député national Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne (DC), homme d’affaires congolais, opposant irréductible de la RDC après Etienne Tshisekedi et plusieurs fois arrêté et mis en prison arbitrairement par le même régime politique kabiliste sur base de fausse accusations.
Le président François Hollande, dont l’état d’âme au sujet de cette sordide affaire est parvenu au secrétariat général de l’Elysée par où Hubert Ducroit l’a capté, n’arriverait pas à comprendre l’entêtement de Joseph Kabila dans son déni de liberté à l’opposant rd-congolais et don le dernier maillon qui était encore en liberté, et pas des moindres, notamment M. Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, venait d’être effrontément enlevé à Kinshasa au mépris de la Constitution rd-congolaise qui reconnait l’immunité à un parlementaire en fonction et maintenu au secret par la police politique comme si ce dernier aurait commis un crime de lèse-majesté, de haute trahison ou attinte à la sécurité de l’état, alors que non.
<BLOCKQUOTE>
Selon la même source, un rapport provenu de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) – service secret de la France – à Kinshasa et parvenu au Quai d’Orsay avec répercussion de sa substance à l’Elysée, aurait reinsegné le président français de l’enlèvement de M. Eugène Diomi Ndongala par les agents de la DGRS (Direction générale de renseignement et services spéciaux) de la PNC (Police nationale congolaise), -le même service ayant participé à l’assassinat de l’activiste des droits de l’homme Floribert Chebeya Bahizire – et détenu d’abord au cachot N° 2 de la GR (Garde républicaine) au camp militaire Tshatshi pour se retrouver, enfin, aujourd’hui, au cachot de l’ANR/DSI.
</BLOCKQUOTE>
Toutefois, la France aurait promis de s’associer à l’Union Européenne (UE) pour faire pression sur le président Joseph Kabila en vue de le mettre au pas sur le chemin du respect des droits de l’homme et surtout de la libération du « prisonnier politique » Eugène Diomi Ndongala Nzomambu.
Loin de là, une lettre de M.me Patrizia Diomi, épouse du député national rd-congolais Eugène Diomi Ndongala, enlevé et séquestré par le pouvoir de Kinshasa, serait parvenue à l’Elysée et sollicitant le concours de la France pour la libération sans condition de son mari.
L’INTERPRETE du 31/07/2012 n°1142
http://wp.me/p18AQh-WS
Publié le 31 juillet 2012by mpp
L’ENLEVEMENT DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA, A KINSHASA, ET SA MISE EU SECRET PAR LA POLICE POLITIQUE DE JOSEPH KABILA EN RDC FAIT DES VAGUES A L’ELYSEE AUPRES DU PRESIDENT HOLLANDE
Une information captée, par Hubert Ducroit, notre correspondant en France, d’abord à Matignon, ensuite au Quai d’Orsay et, enfin, au secrétariat général de l’Elysée, fait état de la grande colère du Président François Hollande face à la nouvelle sur l’enlèvement et la détention au secret, par Joseph Kabila, du député national Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne (DC), homme d’affaires congolais, opposant irréductible de la RDC après Etienne Tshisekedi et plusieurs fois arrêté et mis en prison arbitrairement par le même régime politique kabiliste sur base de fausse accusations.
Le président François Hollande, dont l’état d’âme au sujet de cette sordide affaire est parvenu au secrétariat général de l’Elysée par où Hubert Ducroit l’a capté, n’arriverait pas à comprendre l’entêtement de Joseph Kabila dans son déni de liberté à l’opposant rd-congolais et don le dernier maillon qui était encore en liberté, et pas des moindres, notamment M. Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, venait d’être effrontément enlevé à Kinshasa au mépris de la Constitution rd-congolaise qui reconnait l’immunité à un parlementaire en fonction et maintenu au secret par la police politique comme si ce dernier aurait commis un crime de lèse-majesté, de haute trahison ou attinte à la sécurité de l’état, alors que non.
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Selon la même source, un rapport provenu de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) – service secret de la France – à Kinshasa et parvenu au Quai d’Orsay avec répercussion de sa substance à l’Elysée, aurait reinsegné le président français de l’enlèvement de M. Eugène Diomi Ndongala par les agents de la DGRS (Direction générale de renseignement et services spéciaux) de la PNC (Police nationale congolaise), -le même service ayant participé à l’assassinat de l’activiste des droits de l’homme Floribert Chebeya Bahizire – et détenu d’abord au cachot N° 2 de la GR (Garde républicaine) au camp militaire Tshatshi pour se retrouver, enfin, aujourd’hui, au cachot de l’ANR/DSI.
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Toutefois, la France aurait promis de s’associer à l’Union Européenne (UE) pour faire pression sur le président Joseph Kabila en vue de le mettre au pas sur le chemin du respect des droits de l’homme et surtout de la libération du « prisonnier politique » Eugène Diomi Ndongala Nzomambu.
Loin de là, une lettre de M.me Patrizia Diomi, épouse du député national rd-congolais Eugène Diomi Ndongala, enlevé et séquestré par le pouvoir de Kinshasa, serait parvenue à l’Elysée et sollicitant le concours de la France pour la libération sans condition de son mari.
L’INTERPRETE du 31/07/2012 n°1142
http://wp.me/p18AQh-WS
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Crée le 31-07-2012-12h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 31-07-2012 - 12h30 PAR : ARTV NEWS
L'enlevement du député national Eugène DIOMI NDONGALA à Kinshasa, et sa mise au secret par la police politique de Joseph KABILA en RDC fait des vagues à l'Elysée, auprès du Président François HOLLANDE
Une information captée par Hubert DUCROIT, notre correspondant en France, d'abord à Matignon, ensuite au Quai d'Orsay et enfin, au secrétariat général de l'Elysée, fait état de la grande colère du Président François HOLLANDE face à la nouvelle sur l'enlèvement et la détention au secret, par la police politique de « Joseph KABILA, du député national Eugène DIOMI NDONGALA, président de la Démocratie Chrétienne RDCongolais, opposant politique irréductible de la RDC après Etienne TSHISEKEDI et plusieurs fois arrêtéet mis en prison arbitrairement par le même régime politique Kabiliste sur base des fausses intentions lui est imputées.
Le président François HOLLANDE, dont l'état d'âme au sujet de cette sordide affaire est parvenue au secrétariat général de l'Elysée par où Hubert DUCROIT l'a capté, n'arriverait pas à comprendre l’entêtement de « Joseph KABILA » dans son déni de la liberté à l'opposant politique RD-Congolais et dont le dernier maillon qui était encore en liberté, et pas des moindres, notamment M. Eugène DIOMI NDONGALA NZAMAMBU, venait d'être effrontément enlevé à Kinshasa au mépris de la constitution RD-Congolaise QUI reconnaît l'immunité à un parlementaire en fonction et maintenu au secret par la police politique comme si ce dernier aurait commis un crime de lèse-majesté, de haute trahison ou d'atteinte à la surété de l'Etat alors que non.
Selon, un rapport parvenu de l’antenne de la DGSE ( Direction Générale de la Sécurité Extérieure), service secret de la France à Kinshasa et parvenu au Quai d'Orsay avec avis très défavorable à ce régime sanguinaire qui subira la foudre de l'Elysée en boycottant ipso-facto, sa participation au prochain sommet de la Francophonie qui se tiendra en octobre prochain en RDC. De ce rapport accablant, il y a un grand risque, me dit-on que ce sommet soit pour du bon délocalisé ailleurs. La chute de l'imposteur approcherait !
L'INTERPRETE
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE LE PILLAGE DE SON SIEGE NATIONAL PAR LA PNC
Publié le 31 juillet 2012by mpp
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COMMUNIQUE DE PRESSEde la VSV sur l’occupation du siège de la DC- N°019/RDC/VSV/CE/2012
Publié le 28 juillet 2012by mpp
Depuis la date précitée, le siège du parti politique « Démocratie Chrétienne (DC)» de monsieur Eugène DIOMI NDONGALA est assiégé par des policiers qui agiraient sur ordre du colonel Célestin KANYAMA.
Cette occupation prolongée et non fondée du siège d’un parti politique frise non seulement l’intolérance politique, mais également une volonté manifeste de museler ce parti politique et de réduire indistinctement tous ses dirigeants au silence.
Ce mercredi 25 juillet 2012, dans les après-midi, l’Auditorat Général Militaire de Kinshasa/Gombe est descendu sur les lieux pour mettre fin à l’occupation du siège dudit parti politique par des policiers et de remettre la jouissance du lieu à ses propriétaires.
Après la levée des scellés et le départ des agents de l’Auditorat Général Militaire, d’autres policiers ont fait irruption sur les lieux et ont séquestré toutes les personnes trouvées sur les lieux.
Il s’agit notamment des journalistes de chaînes de télévision privées Africa TV, CCTV, RLTV…, des membres de famille dont Annie DIOMI, sœur du député national Eugène DIOMI NDONGALA, ainsi que les militantes et militants de son parti politique…
- la libération immédiate et sans condition de toutes les personnes séquestrées et privées arbitrairement de la liberté de mouvement, et ce, en violation des instruments juridiques nationaux, régionaux et internationaux ratifiés par la République Démocratique du Congo ;
- l’ouverture d’une enquête indépendante pour faire la lumière sur la séquestration de toutes les personnes trouvées au siège du parti politique DC ;
- la cessation de l’instrumentalisation de la Police Nationale Congolaise (PNC), de l’armée et des services de sécurité à des fins partisanes ;
- l’indemnisation des victimes pour les préjudices subis.
Publié le 31 juillet 2012by mpp
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COMMUNIQUE DE PRESSEde la VSV sur l’occupation du siège de la DC- N°019/RDC/VSV/CE/2012
Publié le 28 juillet 2012by mpp
COMMUNIQUE DE PRESSE N°019/RDC/VSV/CE/2012
SEQUESTRATION DES JOURNALISTES, MEMBRES DE FAMILLE ET MILITANTS DU PARTI POLITIQUE DC
La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) dénonce fermement le harcèlement dont font l’objet les membres de famille et autres proches du député national Eugène DIOMI NDONGALA, porté disparu depuis le 27 juin 2012.SEQUESTRATION DES JOURNALISTES, MEMBRES DE FAMILLE ET MILITANTS DU PARTI POLITIQUE DC
Depuis la date précitée, le siège du parti politique « Démocratie Chrétienne (DC)» de monsieur Eugène DIOMI NDONGALA est assiégé par des policiers qui agiraient sur ordre du colonel Célestin KANYAMA.
Cette occupation prolongée et non fondée du siège d’un parti politique frise non seulement l’intolérance politique, mais également une volonté manifeste de museler ce parti politique et de réduire indistinctement tous ses dirigeants au silence.
Ce mercredi 25 juillet 2012, dans les après-midi, l’Auditorat Général Militaire de Kinshasa/Gombe est descendu sur les lieux pour mettre fin à l’occupation du siège dudit parti politique par des policiers et de remettre la jouissance du lieu à ses propriétaires.
Après la levée des scellés et le départ des agents de l’Auditorat Général Militaire, d’autres policiers ont fait irruption sur les lieux et ont séquestré toutes les personnes trouvées sur les lieux.
Il s’agit notamment des journalistes de chaînes de télévision privées Africa TV, CCTV, RLTV…, des membres de famille dont Annie DIOMI, sœur du député national Eugène DIOMI NDONGALA, ainsi que les militantes et militants de son parti politique…
…/…
Eu égard à ce qui précède, la VSV tout en fustigeant avec véhémence la culture d’intolérance politique contre les militants et acteurs politiques de l’opposition, exige des autorités congolaises :- la libération immédiate et sans condition de toutes les personnes séquestrées et privées arbitrairement de la liberté de mouvement, et ce, en violation des instruments juridiques nationaux, régionaux et internationaux ratifiés par la République Démocratique du Congo ;
- l’ouverture d’une enquête indépendante pour faire la lumière sur la séquestration de toutes les personnes trouvées au siège du parti politique DC ;
- la cessation de l’instrumentalisation de la Police Nationale Congolaise (PNC), de l’armée et des services de sécurité à des fins partisanes ;
- l’indemnisation des victimes pour les préjudices subis.
Fait à Kinshasa, le 25 juillet 2012.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Madame Patrizia Diomi crève l’abcès / LA TEMPETE DES TROPIQUES, 30.07.12
Publié le 30 juillet 2012by mpp
Publié le 30 juillet 2012by mpp
Après un mois de disparition de son mari |
Écrit par Par Lefils Matady |
Lundi, 30 Juillet 2012 07:07 |
Madame Patrizia Diomi crève l’abcès ” Son engagement politique aux côtés de Tshisekedi, son combat pour la vérité des urnes, le lancement de la MPP, l’organisation de la messe de soutien à la population de l’Est… sont parmi les fautes commises par Eugène Diomi Ndongala “, a soutenu son épouse La Voix des Sans Voix (VSV) a offert sa tribune vendredi 27 juillet dernier à l’épouse de M. Eugène Diomi Ndongala, Patrizia Diomi, ainsi qu’a ses avocats, un mois après la disparition de ce député et porte-parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP). Déterminée à ” crever l’abcès “, Patrizia Diomi a déclaré notamment : <BLOCKQUOTE> ” Mon mari est à la merci d’un appareil politico-militaire liberticide, en tant que prisonnier politique, sans que ni sa famille, ni les militants de son parti ne sachent où il se trouve “. </BLOCKQUOTE> Pour elle, la faute commise par son époux, c’est son engagement politique aux côtés d’Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, son combat pour la vérité des urnes, le lancement de la Majorité présidentielle populaire (MPP), l’organisation d’une messe à la Cathédrale Notre Dame du Congo pour compatir avec les populations de l’Est, victime d’une guerre injuste, en présence d’Etienne Tshisekedi. Après avoir retracé les circonstances dans lesquelles son mari a été porté disparu, elle s’est demandé ” dans quel autre pays au monde un leader de l’Opposition peut-il être effacé de la scène politique, séquestré pour ses opinions, dans l’impunité la plus totale ? Et dans quelle autre démocratie un député en fonction peut voir son immunité parlementaire piétinée, comme cela a été le cas pour le député Diomi ? “ Patrizia Diomi s’est également posée la question de savoir dans quel autre Etat ” normal ” de la planète on peut essayer de salir l’honneur d’un homme politique sur la base des accusations d’un repris de justice ” notoire, multirécidiviste, connu par tous dans la ville de Kinshasa pour ses activités de frappeur et qui collabore activement avec la police politique aux ordres d’un colonel ” ? En plus, ” le prétendu père accusateur n’est pas le géniteur des dames présentées comme ses filles qui d’ailleurs ne sont même pas des sœurs “. Sans hésiter, elle a cité Kennedy Kambala contre lequel elle a déjà déposé une plainte pour diffamation, imputations dommageables et association des malfaiteurs. Car son mari a été accusé de ” viol ” alors qu’il n’était même pas présent sur le lieu du prétendu crime. A moins que ce crime soit commis de façon télépathique, puisque, confirme-t-elle, ce 26 juin 2012, Diomi Ndongala était à la maison depuis 18h00′, d’où il sera informé, à partir de 22h00′, par téléphone, de la descente des policiers venus occuper le siège de la Démocratie chrétienne (DC), l’empêchant ainsi de fonctionner. C’est ainsi que l’épouse du député Diomi s’est demandée comment le procureur général de la République peut-il donner en pâture à des télévisions d’obédience du pouvoir, très intéressées et alertées d’avance, une mise en scène de la police visant à appuyer la présentation d’un opposant politique comme un criminel, en violation de toutes les normes de procédure pénale congolaise, et en violation des garanties constitutionnelles de ce pays, comme la présomption d’innocence, le secret de l’instruction et surtout l’immunité d’un parlementaire en fonction. ” Non, arrêtons ce théâtre de mauvais goût “, a dit l’oratrice, exigeant la libération immédiate d’Eugène Diomi Ndongala, recherché par sa famille politique et biologique depuis un mois déjà. Car, ce qui se fait présentement est une tentative d’élimination physique et politique de ce député. Pour ” La Voix des Sans Voix “, la vie et la sécurité du député Diomi Ndongala sont en danger, sa famille traumatisée car privée de tout contact avec lui. Pendant ce temps, une confusion est entretenue. Certaines personnes soutiennent qu’il serait à l’ambassade d’Italie, d’autres ont signalé sa présence en Italie. D’autres encore avancent des thèses selon lesquelles il serait en fuite. Ce qui est complètement faux, précise Patrizia Diomi. La VSV en appelle aux autorités congolaises de privilégier l’écoute et l’acceptation des autres et de leurs points de vue, seule voix à même de favoriser l’épanouissement d’une culture de tolérance politique en République démocratique du Congo. |
Mise à jour le Lundi, 30 Juillet 2012http://www.latempete.cd/component/content/article/1-nation/167-apres-un-mois-de-disparition-de-son-mari.html LIRE AUSSI : CONFERENCE DE PRESSE DE M.ME DIOMI NDONGALA A LA VOIX DES SANS VOIX – AVEC LES TROIS VIDEOS http://democratiechretienne.org/2012/07/27/3585/ |
KOTA
LA MPP, PLUS FORTE ET PLUS POPULAIRE QUE JAMAIS !!!! LE COMBAT DE DIOMI NDONGALA CONTINUE A TRAVERS LA MPP
LA MPP, TOUJOURS EN PREMIERE LIGNE, PLUS FORTE ET PLUS POPULAIRE QUE JAMAIS.....LE COMBAT DE DIOMI NDONGALA CONTINUE A TRAVERS LA MPP !
MPP: MARCHE DEVANT L’AMBASSADE DU RWANDA
Publié le Août 1, 2012by mpp
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http://majoritepresidentiellepopulaire.org/2012/08/01/mpp-marche-devant-lambassade-du-rwanda/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
La montée de la dictature au Congo-Kinshasa, un mal qui répand la terreur.(Par Poete Robert Kabemba Mangidi)
Congo-Kinshasa vit depuis un certain temps une montée à grande vitesse de la dictature, œuvre des militaires au pouvoir. Les intimidations, les arrestations arbitraires, les assassinats, les disparitions, les tortures, les exécutions sommaires sont devenus monnaie courante. Quelle honte p...
our ce pays soi-disant Démocratique du Congo ?
Toutes ces pratiques anti-démocratiques ne sont-elles pas l’expression d’un pouvoir vomi ? C’est généralement quand on a affaire à un régime impopulaire et passoire que ce genre des comportements devient opérationnel. C’est vrai le Congo souffre d’un manque de leadership et l’état est presque inexistant.
Devant ce mal qui répand la terreur, les peuples congolais ne savent quoi faire. La solution a tout cela c’est de prendre le courage de lancer un défi à ces dépotes au pouvoir en posant une résistance sans peur ni crainte. D’où la nécessité de trouver rapidement une solution pour mater cette dictature et mettre fin à ce système autoritaire.
Signalons qu’aucun dictateur ne restera éternellement sur son fauteuil. Le monde a connu des dictateurs plus coriaces que celui du Congo aujourd’hui mais tous ces dictateurs ont fini par céder devant la pression populaire. De triste mémoire on se rappellera de CHESKOU en Roumanie, d’Idiam Dada en Uganda, de Kadhafi en Lybie, de Pinochet et autres. Ces dictateurs ont fini très mal.
La dictature de Kinshasa est un fléau dangereux qu’il faut coute que coute arrêter et pour y parvenir les peuples congolais doivent enlever la peur. La mobilisation et la résistance tant interne qu’externe finiront par ébranler cette dictature. Résister et se mobiliser est un préalable nécessaire pour renverser ce pouvoir autoritaire. Le dictateur au sommet de l’Etat et ses alliés n’accepteront jamais que ce pays devienne un Etat démocratique, transparent, un Etat de droit ou règnera la bonne gouvernance.
Le renforcement de la dictature tel que nous le vivons est un frein à la paix et à l’établissement de la sécurité nationale sur toute l’étendue de notre territoire. Cette montée honteuse de la dictature avec toutes ces pratiques ne ramènera jamais la paix et la sécurité bien au contraire plongera davantage le Congo dans un Kao total et créera la misère et la pauvreté, le bidouillage des élections ; fouillant simplement au pied le choix libre de notre pays.
Les tenants du pouvoir dictatorial utilisent et utiliseront tous les moyens pour s’imposer en maitres absolus. Par exemple ils se servent et se serviront de tous les moyens à leur disposition pour anéantir l’opposition en utilisant même de mensonges qui n’honorent pas la nation pour nuire certains opposants. Certains soi-disant Hommes de Dieu et alors de faux seront au service de cette dictature pour faire véhiculer de faux messages.
L’ethnie et la religion loin de servir pour l’éducation, la moralisation feront intrusion dans la vie politique et constitueront plus que des freins à un vivre ensemble Républicain. Le pouvoir de Kinshasa incompétent et incapable d’assurer la cohésion nationale et sociale, la justice et la solidarité s’appuiera de plus a plus à l’arbitraire (arrestation des opposants, enlèvements, séquestrations, empoisonnement, mensonges.
L’assassinat de Floribert Chebeya, de Fidele Bazana, d’Armand Tungulu et autres sont des preuves de l’existence d’un régime autoritaire prêt à sacrifier la vie précieuse des congolais. La vie de l’homme est sacrée et seul Dieu a le pouvoir de donner la mort a quelqu’un .L’enlèvement de l’opposant Diomi Ndongala Nzo Mambu , le Président National de la Démocratie Chrétienne que nous dénonçons avec acharnement nous pousse à confirmer que le régime de Kinshasa est dictatorial. Fallait-il enlever un opposant qui n’a rien fait de mal pour inventer comme motif de son arrestation une raison non plausible aux yeux de tout observateur averti. Quel déshonneur pour ce pays sensé donner l’exemple d’un pays démocratique ?
Pour mettre fin à cette dictature, les peuples congolais doivent savoir que l’histoire politique mondiale nous enseigne que les dictatures considérées comme solidement invincibles se sont effondrées face à une population défiante et mobilisée. Toutes ces dictatures se sont vues incapables de résister à une défiance sociale, politique et économique concertée par le peuple.
Chaque congolais est donc inviter à faire face à la montée à grande échelle de la dictature en place à Kinshasa et à résister car les défis populaires, non violents sont des armes redoutables et efficaces.
Nous en profitons pour demander aux pays occidentaux qui soutiennent la dictature en place au Congo-Kinshasa d’abandonner car le peuple congolais en a assez avec les violations de droits humains.
Poète Robert Kabemba Mangidi
Congo-Kinshasa vit depuis un certain temps une montée à grande vitesse de la dictature, œuvre des militaires au pouvoir. Les intimidations, les arrestations arbitraires, les assassinats, les disparitions, les tortures, les exécutions sommaires sont devenus monnaie courante. Quelle honte p...
our ce pays soi-disant Démocratique du Congo ?
Toutes ces pratiques anti-démocratiques ne sont-elles pas l’expression d’un pouvoir vomi ? C’est généralement quand on a affaire à un régime impopulaire et passoire que ce genre des comportements devient opérationnel. C’est vrai le Congo souffre d’un manque de leadership et l’état est presque inexistant.
Devant ce mal qui répand la terreur, les peuples congolais ne savent quoi faire. La solution a tout cela c’est de prendre le courage de lancer un défi à ces dépotes au pouvoir en posant une résistance sans peur ni crainte. D’où la nécessité de trouver rapidement une solution pour mater cette dictature et mettre fin à ce système autoritaire.
Signalons qu’aucun dictateur ne restera éternellement sur son fauteuil. Le monde a connu des dictateurs plus coriaces que celui du Congo aujourd’hui mais tous ces dictateurs ont fini par céder devant la pression populaire. De triste mémoire on se rappellera de CHESKOU en Roumanie, d’Idiam Dada en Uganda, de Kadhafi en Lybie, de Pinochet et autres. Ces dictateurs ont fini très mal.
La dictature de Kinshasa est un fléau dangereux qu’il faut coute que coute arrêter et pour y parvenir les peuples congolais doivent enlever la peur. La mobilisation et la résistance tant interne qu’externe finiront par ébranler cette dictature. Résister et se mobiliser est un préalable nécessaire pour renverser ce pouvoir autoritaire. Le dictateur au sommet de l’Etat et ses alliés n’accepteront jamais que ce pays devienne un Etat démocratique, transparent, un Etat de droit ou règnera la bonne gouvernance.
Le renforcement de la dictature tel que nous le vivons est un frein à la paix et à l’établissement de la sécurité nationale sur toute l’étendue de notre territoire. Cette montée honteuse de la dictature avec toutes ces pratiques ne ramènera jamais la paix et la sécurité bien au contraire plongera davantage le Congo dans un Kao total et créera la misère et la pauvreté, le bidouillage des élections ; fouillant simplement au pied le choix libre de notre pays.
Les tenants du pouvoir dictatorial utilisent et utiliseront tous les moyens pour s’imposer en maitres absolus. Par exemple ils se servent et se serviront de tous les moyens à leur disposition pour anéantir l’opposition en utilisant même de mensonges qui n’honorent pas la nation pour nuire certains opposants. Certains soi-disant Hommes de Dieu et alors de faux seront au service de cette dictature pour faire véhiculer de faux messages.
L’ethnie et la religion loin de servir pour l’éducation, la moralisation feront intrusion dans la vie politique et constitueront plus que des freins à un vivre ensemble Républicain. Le pouvoir de Kinshasa incompétent et incapable d’assurer la cohésion nationale et sociale, la justice et la solidarité s’appuiera de plus a plus à l’arbitraire (arrestation des opposants, enlèvements, séquestrations, empoisonnement, mensonges.
L’assassinat de Floribert Chebeya, de Fidele Bazana, d’Armand Tungulu et autres sont des preuves de l’existence d’un régime autoritaire prêt à sacrifier la vie précieuse des congolais. La vie de l’homme est sacrée et seul Dieu a le pouvoir de donner la mort a quelqu’un .L’enlèvement de l’opposant Diomi Ndongala Nzo Mambu , le Président National de la Démocratie Chrétienne que nous dénonçons avec acharnement nous pousse à confirmer que le régime de Kinshasa est dictatorial. Fallait-il enlever un opposant qui n’a rien fait de mal pour inventer comme motif de son arrestation une raison non plausible aux yeux de tout observateur averti. Quel déshonneur pour ce pays sensé donner l’exemple d’un pays démocratique ?
Pour mettre fin à cette dictature, les peuples congolais doivent savoir que l’histoire politique mondiale nous enseigne que les dictatures considérées comme solidement invincibles se sont effondrées face à une population défiante et mobilisée. Toutes ces dictatures se sont vues incapables de résister à une défiance sociale, politique et économique concertée par le peuple.
Chaque congolais est donc inviter à faire face à la montée à grande échelle de la dictature en place à Kinshasa et à résister car les défis populaires, non violents sont des armes redoutables et efficaces.
Nous en profitons pour demander aux pays occidentaux qui soutiennent la dictature en place au Congo-Kinshasa d’abandonner car le peuple congolais en a assez avec les violations de droits humains.
Poète Robert Kabemba Mangidi
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=188040&Actualiteit=selected
31 07 12 L'Interprète: L'enlévement d'Eugéne Domi Ndongala fait de vagues...
L’ENLEVEMENT DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA, A KINSHASA, ET SA MISE EU SECRET PAR LA POLICE POLITIQU E DE JOSEPH KABILA EN RDC FAIT DES VAGUES A L’ELYSEE AUPRES DU PRESIDENT HOLLANDE
31 07 12 L'Interprète: L'enlévement d'Eugéne Domi Ndongala fait de vagues...
L’ENLEVEMENT DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA, A KINSHASA, ET SA MISE EU SECRET PAR LA POLICE POLITIQU E DE JOSEPH KABILA EN RDC FAIT DES VAGUES A L’ELYSEE AUPRES DU PRESIDENT HOLLANDE
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
C’est cabalistique ! Des Joséphistes ont assassiné Floribert Chebeya pour le cinquantenaire, veulent-ils assassiner Eugène Diomi Ndongala pour la Francophonie ?
Publié le 2 Août 2012by mpp
C’est cabalistique ! Des Joséphistes ont assassiné Floribert Chebeya pour le cinquantenaire, veulent-ils assassiner Eugène Diomi Ndongala pour la Francophonie ?
Par Freddy Mulongo, jeudi 2 août 2012
Cela fait onze ans que Joseph Kabila trône à la tête de la République démocratique du Congo, sans aucune légitimité, prenant en otage toutes les institutions, dribblant tout le monde, avec lui des dinosaures mobutistes sont devenus des mammouths joséphistes. Pire au delà de 8 millions de morts congolais, c’est chaque jour que Joseph Kabila et sa bande s’illustrent dans les actes de haute trahison contre le Congo au profit du Rwanda, pays agresseur et envahisseur de la République démocratique du Congo. L’acte de haute trahison est un crime qui consiste en une extrême déloyauté à l’égard de son pays. Il s’agit d’une infraction politique. Or Joseph Kabila use et abuse de ce crime !
C’est cabalistique ! Les Joséphistes veulent sacrifier Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne (DC) pour le Sommet de la Francophonie à Kinshasa
Eugène Diomi Ndongala et Floribert Chebeya marchant côte à côte !
Le Congo n’existe que parce qu’il y a des congolais. Chaque jour, des Congolais sont zigouillés, massacrés, pillés, emprisonnés, violés…L’élite congolaise est entrain d’être décapité sous nos yeux !
En juin 2010, Floribert Chebeya et Fidèle Bazana ont été assassinés. Floribert Chebeya a été le soldat des droits de l’homme en République démocratique du Congo. Lors de son assassinat le Conseil des droits de l’homme à Genève avait tenu une minute de silence en sa mémoire. Cela n’a empêché Joseph Kabila, l’instigateur de l’assassinat de festoyer. Jo Ka a poussé l’outrecuidance trop loin en retardant de deux heures le défilé du cinquantenaire de l’indépendance du Congo, avant l’arrivée de son marionnettiste et mentor, Paul Kagamé. Lorsqu’on sait comment les Congolais ont acquis au prix du sang leur indépendance au près du pouvoir colonisateur belge, les Kasa-vubu, Lumumba, Tsombé et tous les indépendantistes connus et anonymes ne pouvaient que se retourner dans leurs tombes.
Pour narguer les Congolais, l’Hitler africain s’est contenté de lire son “Jeune Afrique” durant tout le défilé.
Et Albert II, roi des Belges présent à Kinshasa n’a jamais protesté contre l’assassinat de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, il s’est contenté des bijoux en diamant remis à son épouse, la reine Paola. D’après certaines sources très crédibles, les bijoux de la Castafiore n’ont été que l’iceberg, la présence du Roi des Belges et son épouse à Kinshasa pour soutenir la dictature totalitaire de Joseph Kabila fut une vraie corruption à la royauté belge !
Kidnappé par les services de Joseph Kabila depuis le 26 juin dernier, Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie Chrétienne qui a vingt ans d’existence, est introuvable alors que alors que notre “Vuvuzélateur national” Lambert Mende et “le garçon de course de Jo ka” Francis Kalombo, les deux hommes du pouvoir Kabila, avaient bel et bien affirmé que les services de sécurité avaient mis les mains sur « un gros poisson de l’opposition » avec allusion faite sur la personne de Monsieur Eugène Diomi Ndongala, pour une affaire farfelue de viol.
Les Joséphistes veulent-ils sacrifier Eugène Diomi Ndongala pour le sommet de la francophonie qui doit se se tenir en octobre prochain, comme naguère Floribert Chebeya fut sacrifié pour le cinquantenaire ?
Cela a tout l’aire d’un projet cabalistique ! Joseph kabila, imposteur et usurpateur qui n’a jamais gagné aucune élection en République démocratique du Congo, qui dirige par défi sans aucune légitimité espère vivement légitimer son usurpation avec le sommet de la Francophonie.
Eugène Diomi Ndongala est-il le gros poisson de l’opposition qu’il faut sacrifier ?
Archibishop Kutino Fernando, Gabriel Mokia, les officiers militaires originaires de la province de l’Equateur croupissent toujours à la prison de Makala, sans oublier Eddy Kapend et ses conjurés faux assassins de M’zée Laurent-Désiré Kabila onze ans après.
Les Congolais doivent-ils continuer à accepter d’être amenés comme des moutons à l’abattoir sans rien dire ni rien faire ?
A Paris, à l’hôtel Hilton de la Défense, le Révérend Freddy Bukusu Kita, Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne (DC) qui a quitté clandestinement le Congo et Rolain Mena, président de l’Apareco-Europe se sont livrés à Réveil-FM International.
C’est sans ambages qu’ils ont dénoncé et protesté contre le kidnapping d’Eugène Diomi Ndongala. Freddy Bukusu Kita comme Rolain Mena s’inquiètent de l’enlèvement du président de la Démocratie Chrétienne et exigent sa réapparition sans condition.
Malheureusement nous sommes dans l’incapacité de vous livrer leurs réactions à chaud, le sac de reportage de Réveil-FM international contenant: deux appareils photos professionnelles de marque canon, une caméra semi professionnelle Sony, a été volé. Une plainte a été déposée et l’enquête est en cours.
Le Sommet de la Francophonie doit légitimer une dictature totalitaire, un pouvoir assassin, usurpateur et imposteur. Joseph Kabila et sa bande sont prêtes à tout pour que ce sommet ait lieu à Kinshasa et asseoir un pouvoir honni des Congolais.
Où est l’opposant Eugène Diomi Ndongala ? Pourquoi ni sa famille ni les organisations des droits humains ne peuvent-ils le voir ? Si Diomi Ndongala doit rendre des comptes, c’est à la justice non inféodée de se prononcer ? Eugène Diomi Ndongala ne peut pas être le prisonnier du fermier de Kingakati. Les Congolais savent au moins une chose, Joseph Kabila n’a jamais gagné aucune élection en République démocratique du Congo. Le “Tuer plus, pour régner plus” de Joseph Kabila a ses limites.
Le sommet de la Francophonie se tiendra-t-il à Kinshasa sans Eugène Diomi Ndongala ?
FREDDY MULONGO
http://reveil-fm.com/index.php/2012/08/02/2741-c-est-cabalistique-des-josephistes-ont-assassine-floribert-chebeya-pour-le-cinquantenaire-veulent-ils-assassiner-eugene-diomi-ndongala-pour-la-francophonie
Publié le 2 Août 2012by mpp
C’est cabalistique ! Des Joséphistes ont assassiné Floribert Chebeya pour le cinquantenaire, veulent-ils assassiner Eugène Diomi Ndongala pour la Francophonie ?
Par Freddy Mulongo, jeudi 2 août 2012
Cela fait onze ans que Joseph Kabila trône à la tête de la République démocratique du Congo, sans aucune légitimité, prenant en otage toutes les institutions, dribblant tout le monde, avec lui des dinosaures mobutistes sont devenus des mammouths joséphistes. Pire au delà de 8 millions de morts congolais, c’est chaque jour que Joseph Kabila et sa bande s’illustrent dans les actes de haute trahison contre le Congo au profit du Rwanda, pays agresseur et envahisseur de la République démocratique du Congo. L’acte de haute trahison est un crime qui consiste en une extrême déloyauté à l’égard de son pays. Il s’agit d’une infraction politique. Or Joseph Kabila use et abuse de ce crime !
C’est cabalistique ! Les Joséphistes veulent sacrifier Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne (DC) pour le Sommet de la Francophonie à Kinshasa
Eugène Diomi Ndongala et Floribert Chebeya marchant côte à côte !
Le Congo n’existe que parce qu’il y a des congolais. Chaque jour, des Congolais sont zigouillés, massacrés, pillés, emprisonnés, violés…L’élite congolaise est entrain d’être décapité sous nos yeux !
En juin 2010, Floribert Chebeya et Fidèle Bazana ont été assassinés. Floribert Chebeya a été le soldat des droits de l’homme en République démocratique du Congo. Lors de son assassinat le Conseil des droits de l’homme à Genève avait tenu une minute de silence en sa mémoire. Cela n’a empêché Joseph Kabila, l’instigateur de l’assassinat de festoyer. Jo Ka a poussé l’outrecuidance trop loin en retardant de deux heures le défilé du cinquantenaire de l’indépendance du Congo, avant l’arrivée de son marionnettiste et mentor, Paul Kagamé. Lorsqu’on sait comment les Congolais ont acquis au prix du sang leur indépendance au près du pouvoir colonisateur belge, les Kasa-vubu, Lumumba, Tsombé et tous les indépendantistes connus et anonymes ne pouvaient que se retourner dans leurs tombes.
Pour narguer les Congolais, l’Hitler africain s’est contenté de lire son “Jeune Afrique” durant tout le défilé.
Et Albert II, roi des Belges présent à Kinshasa n’a jamais protesté contre l’assassinat de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, il s’est contenté des bijoux en diamant remis à son épouse, la reine Paola. D’après certaines sources très crédibles, les bijoux de la Castafiore n’ont été que l’iceberg, la présence du Roi des Belges et son épouse à Kinshasa pour soutenir la dictature totalitaire de Joseph Kabila fut une vraie corruption à la royauté belge !
Kidnappé par les services de Joseph Kabila depuis le 26 juin dernier, Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie Chrétienne qui a vingt ans d’existence, est introuvable alors que alors que notre “Vuvuzélateur national” Lambert Mende et “le garçon de course de Jo ka” Francis Kalombo, les deux hommes du pouvoir Kabila, avaient bel et bien affirmé que les services de sécurité avaient mis les mains sur « un gros poisson de l’opposition » avec allusion faite sur la personne de Monsieur Eugène Diomi Ndongala, pour une affaire farfelue de viol.
Les Joséphistes veulent-ils sacrifier Eugène Diomi Ndongala pour le sommet de la francophonie qui doit se se tenir en octobre prochain, comme naguère Floribert Chebeya fut sacrifié pour le cinquantenaire ?
Cela a tout l’aire d’un projet cabalistique ! Joseph kabila, imposteur et usurpateur qui n’a jamais gagné aucune élection en République démocratique du Congo, qui dirige par défi sans aucune légitimité espère vivement légitimer son usurpation avec le sommet de la Francophonie.
Eugène Diomi Ndongala est-il le gros poisson de l’opposition qu’il faut sacrifier ?
Archibishop Kutino Fernando, Gabriel Mokia, les officiers militaires originaires de la province de l’Equateur croupissent toujours à la prison de Makala, sans oublier Eddy Kapend et ses conjurés faux assassins de M’zée Laurent-Désiré Kabila onze ans après.
Les Congolais doivent-ils continuer à accepter d’être amenés comme des moutons à l’abattoir sans rien dire ni rien faire ?
A Paris, à l’hôtel Hilton de la Défense, le Révérend Freddy Bukusu Kita, Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne (DC) qui a quitté clandestinement le Congo et Rolain Mena, président de l’Apareco-Europe se sont livrés à Réveil-FM International.
C’est sans ambages qu’ils ont dénoncé et protesté contre le kidnapping d’Eugène Diomi Ndongala. Freddy Bukusu Kita comme Rolain Mena s’inquiètent de l’enlèvement du président de la Démocratie Chrétienne et exigent sa réapparition sans condition.
Malheureusement nous sommes dans l’incapacité de vous livrer leurs réactions à chaud, le sac de reportage de Réveil-FM international contenant: deux appareils photos professionnelles de marque canon, une caméra semi professionnelle Sony, a été volé. Une plainte a été déposée et l’enquête est en cours.
Le Sommet de la Francophonie doit légitimer une dictature totalitaire, un pouvoir assassin, usurpateur et imposteur. Joseph Kabila et sa bande sont prêtes à tout pour que ce sommet ait lieu à Kinshasa et asseoir un pouvoir honni des Congolais.
Où est l’opposant Eugène Diomi Ndongala ? Pourquoi ni sa famille ni les organisations des droits humains ne peuvent-ils le voir ? Si Diomi Ndongala doit rendre des comptes, c’est à la justice non inféodée de se prononcer ? Eugène Diomi Ndongala ne peut pas être le prisonnier du fermier de Kingakati. Les Congolais savent au moins une chose, Joseph Kabila n’a jamais gagné aucune élection en République démocratique du Congo. Le “Tuer plus, pour régner plus” de Joseph Kabila a ses limites.
Le sommet de la Francophonie se tiendra-t-il à Kinshasa sans Eugène Diomi Ndongala ?
FREDDY MULONGO
http://reveil-fm.com/index.php/2012/08/02/2741-c-est-cabalistique-des-josephistes-ont-assassine-floribert-chebeya-pour-le-cinquantenaire-veulent-ils-assassiner-eugene-diomi-ndongala-pour-la-francophonie
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
TITRE A LA UNE DE L’ECLIPSE: DIOMI NDONGALA “CHEBEYANISE”?
Publié le 2 Août 2012by mpp
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Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
INGETA, INGETA POETE ROBERT KABEMBA ORDONNE LA CHASSE AUX SORCIERS.
La montée de la dictature au Congo-Kinshasa, un mal qui répand la terreur.(Par Poete Robert Kabemba Mangidi)
Congo-Kinshasa vit depuis un certain temps une montée à grande vitesse de la dictature, œuvre des militaires au pouvoir. Les intimidations, les arrestations arbitraires, les assassinats, les disparitions, les tortures, les exécutions sommaires sont devenus monnaie courante. Quelle honte pour ce pays soi-disant Démocratique du Congo ?
Toutes ces pratiques anti-démocratiques ne sont-elles pas l’expression d’un pouvoir vomi ? C’est généralement quand on a affaire à un régime impopulaire et passoire que ce genre des comportements devient opérationnel. C’est vrai le Congo souffre d’un manque de leadership et l’état est presque inexistant.
Devant ce mal qui répand la terreur, les peuples congolais ne savent quoi faire. La solution a tout cela c’est de prendre le courage de lancer un défi à ces dépotes au pouvoir en posant une résistance sans peur ni crainte. D’où la nécessité de trouver rapidement une solution pour mater cette dictature et mettre fin à ce système autoritaire.
Signalons qu’aucun dictateur ne restera éternellement sur son fauteuil. Le monde a connu des dictateurs plus coriaces que celui du Congo aujourd’hui mais tous ces dictateurs ont fini par céder devant la pression populaire. De triste mémoire on se rappellera de CHESKOU en Roumanie, d’Idiam Dada en Uganda, de Kadhafi en Lybie, de Pinochet et autres. Ces dictateurs ont fini très mal.
La dictature de Kinshasa est un fléau dangereux qu’il faut coute que coute arrêter et pour y parvenir les peuples congolais doivent enlever la peur. La mobilisation et la résistance tant interne qu’externe finiront par ébranler cette dictature. Résister et se mobiliser est un préalable nécessaire pour renverser ce pouvoir autoritaire. Le dictateur au sommet de l’Etat et ses alliés n’accepteront jamais que ce pays devienne un Etat démocratique, transparent, un Etat de droit ou règnera la bonne gouvernance.
Le renforcement de la dictature tel que nous le vivons est un frein à la paix et à l’établissement de la sécurité nationale sur toute l’étendue de notre territoire. Cette montée honteuse de la dictature avec toutes ces pratiques ne ramènera jamais la paix et la sécurité bien au contraire plongera davantage le Congo dans un Kao total et créera la misère et la pauvreté, le bidouillage des élections ; fouillant simplement au pied le choix libre de notre pays.
Les tenants du pouvoir dictatorial utilisent et utiliseront tous les moyens pour s’imposer en maitres absolus. Par exemple ils se servent et se serviront de tous les moyens à leur disposition pour anéantir l’opposition en utilisant même de mensonges qui n’honorent pas la nation pour nuire certains opposants. Certains soi-disant Hommes de Dieu et alors de faux seront au service de cette dictature pour faire véhiculer de faux messages.
L’ethnie et la religion loin de servir pour l’éducation, la moralisation feront intrusion dans la vie politique et constitueront plus que des freins à un vivre ensemble Républicain. Le pouvoir de Kinshasa incompétent et incapable d’assurer la cohésion nationale et sociale, la justice et la solidarité s’appuiera de plus a plus à l’arbitraire (arrestation des opposants, enlèvements, séquestrations, empoisonnement, mensonges. L’assassinat de Floribert Chebeya, de Fidele Bazana, d’Armand Tungulu et autres sont des preuves de l’existence d’un régime autoritaire prêt à sacrifier la vie précieuse des congolais. La vie de l’homme est sacrée et seul Dieu a le pouvoir de donner la mort a quelqu’un .L’enlèvement de l’opposant Diomi Ndongala Nzo Mambu , le Président National de la Démocratie Chrétienne que nous dénonçons avec acharnement nous pousse à confirmer que le régime de Kinshasa est dictatorial. Fallait-il enlever un opposant qui n’a rien fait de mal pour inventer comme motif de son arrestation une raison non plausible aux yeux de tout observateur averti. Quel déshonneur pour ce pays sensé donner l’exemple d’un pays démocratique ?
Pour mettre fin à cette dictature, les peuples congolais doivent savoir que l’histoire politique mondiale nous enseigne que les dictatures considérées comme solidement invincibles se sont effondrées face à une population défiante et mobilisée. Toutes ces dictatures se sont vues incapables de résister à une défiance sociale, politique et économique concertée par le peuple.
Chaque congolais est donc inviter à faire face à la montée à grande échelle de la dictature en place à Kinshasa et à résister car les défis populaires, non violents sont des armes redoutables et efficaces.
Nous en profitons pour demander aux pays occidentaux qui soutiennent la dictature en place au Congo-Kinshasa d’abandonner car le peuple congolais en a assez avec les violations de droits humains.
Poète Robert Kabemba Mangidi
Membre et Militant du Parti Ecide
La montée de la dictature au Congo-Kinshasa, un mal qui répand la terreur.(Par Poete Robert Kabemba Mangidi)
Congo-Kinshasa vit depuis un certain temps une montée à grande vitesse de la dictature, œuvre des militaires au pouvoir. Les intimidations, les arrestations arbitraires, les assassinats, les disparitions, les tortures, les exécutions sommaires sont devenus monnaie courante. Quelle honte pour ce pays soi-disant Démocratique du Congo ?
Toutes ces pratiques anti-démocratiques ne sont-elles pas l’expression d’un pouvoir vomi ? C’est généralement quand on a affaire à un régime impopulaire et passoire que ce genre des comportements devient opérationnel. C’est vrai le Congo souffre d’un manque de leadership et l’état est presque inexistant.
Devant ce mal qui répand la terreur, les peuples congolais ne savent quoi faire. La solution a tout cela c’est de prendre le courage de lancer un défi à ces dépotes au pouvoir en posant une résistance sans peur ni crainte. D’où la nécessité de trouver rapidement une solution pour mater cette dictature et mettre fin à ce système autoritaire.
Signalons qu’aucun dictateur ne restera éternellement sur son fauteuil. Le monde a connu des dictateurs plus coriaces que celui du Congo aujourd’hui mais tous ces dictateurs ont fini par céder devant la pression populaire. De triste mémoire on se rappellera de CHESKOU en Roumanie, d’Idiam Dada en Uganda, de Kadhafi en Lybie, de Pinochet et autres. Ces dictateurs ont fini très mal.
La dictature de Kinshasa est un fléau dangereux qu’il faut coute que coute arrêter et pour y parvenir les peuples congolais doivent enlever la peur. La mobilisation et la résistance tant interne qu’externe finiront par ébranler cette dictature. Résister et se mobiliser est un préalable nécessaire pour renverser ce pouvoir autoritaire. Le dictateur au sommet de l’Etat et ses alliés n’accepteront jamais que ce pays devienne un Etat démocratique, transparent, un Etat de droit ou règnera la bonne gouvernance.
Le renforcement de la dictature tel que nous le vivons est un frein à la paix et à l’établissement de la sécurité nationale sur toute l’étendue de notre territoire. Cette montée honteuse de la dictature avec toutes ces pratiques ne ramènera jamais la paix et la sécurité bien au contraire plongera davantage le Congo dans un Kao total et créera la misère et la pauvreté, le bidouillage des élections ; fouillant simplement au pied le choix libre de notre pays.
Les tenants du pouvoir dictatorial utilisent et utiliseront tous les moyens pour s’imposer en maitres absolus. Par exemple ils se servent et se serviront de tous les moyens à leur disposition pour anéantir l’opposition en utilisant même de mensonges qui n’honorent pas la nation pour nuire certains opposants. Certains soi-disant Hommes de Dieu et alors de faux seront au service de cette dictature pour faire véhiculer de faux messages.
L’ethnie et la religion loin de servir pour l’éducation, la moralisation feront intrusion dans la vie politique et constitueront plus que des freins à un vivre ensemble Républicain. Le pouvoir de Kinshasa incompétent et incapable d’assurer la cohésion nationale et sociale, la justice et la solidarité s’appuiera de plus a plus à l’arbitraire (arrestation des opposants, enlèvements, séquestrations, empoisonnement, mensonges. L’assassinat de Floribert Chebeya, de Fidele Bazana, d’Armand Tungulu et autres sont des preuves de l’existence d’un régime autoritaire prêt à sacrifier la vie précieuse des congolais. La vie de l’homme est sacrée et seul Dieu a le pouvoir de donner la mort a quelqu’un .L’enlèvement de l’opposant Diomi Ndongala Nzo Mambu , le Président National de la Démocratie Chrétienne que nous dénonçons avec acharnement nous pousse à confirmer que le régime de Kinshasa est dictatorial. Fallait-il enlever un opposant qui n’a rien fait de mal pour inventer comme motif de son arrestation une raison non plausible aux yeux de tout observateur averti. Quel déshonneur pour ce pays sensé donner l’exemple d’un pays démocratique ?
Pour mettre fin à cette dictature, les peuples congolais doivent savoir que l’histoire politique mondiale nous enseigne que les dictatures considérées comme solidement invincibles se sont effondrées face à une population défiante et mobilisée. Toutes ces dictatures se sont vues incapables de résister à une défiance sociale, politique et économique concertée par le peuple.
Chaque congolais est donc inviter à faire face à la montée à grande échelle de la dictature en place à Kinshasa et à résister car les défis populaires, non violents sont des armes redoutables et efficaces.
Nous en profitons pour demander aux pays occidentaux qui soutiennent la dictature en place au Congo-Kinshasa d’abandonner car le peuple congolais en a assez avec les violations de droits humains.
Poète Robert Kabemba Mangidi
Membre et Militant du Parti Ecide
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
ALERTE SUR LA LOCALISATION DU LIEU DE DETENTION EXTRA-JUDICIARE DU PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, LE DEPUTE DU PEUPLE EUGENE DIOMI NDONGALA
Publié le 2 Août 2012by mpp
ALERTE SUR LA LOCALISATION DU LIEU DE DETENTION EXTRA-JUDICIARE DU PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, LE DEPUTE DU PEUPLE EUGENE DIOMI NDONGALA
SELON DES INFORMATIONS CONFIRMEE PAR LE MILIEUX DU DROITS DE L HOMME, LE DEPUTE DIOMI NDONGALA A ETE ENELEVE ET DETENU AU SECRET SELON LES ETAPES SUIVANTES:
1. IL A ETE ENLEVE PRES DE L AVENUE NGUMA LE 27/06/2012 VERS 12H00 ET AMENE AU SIEGE DE L ANR EXTERIEUR A MA CAMPAGNE SUR LA MEME AVENUE NGUMA, NON LOIN DE LA RESIDENCE DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA.
2. IL A ETE TRANSFERE PAR LA SUITE AU BUREAU 2 DE LA GARDE REPUBLICAINE AU CAMP TSHATSI.
3. ENSUITE IL EST RESTE LONGTEMPS AU SIEGE DE L ANR/DSI, DANS LA CELLULE DE HAUTE SECURITE, QUI VEUT DIRE COUPE AVEC TOUT CONTACT AVEC L EXTERIEUR.
4. LE REGIME LIBERTICIDE DE JOSEPH KABILA VEUT MAINTENANT LE DELOCALISER AU SECRET AU KATANGA,PLUS EXACTMENT DANS LA VILLE DE LUBUMBASHI, EN PASSANT PAR LA CAVE DE KANGAKATI.
CE DERNIER TRANSFER ETANT PARTICULIEREMENT DANGEUREUX POUR A VIE DU DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA, NOUS FAISONS APPEL A TOUS POUR SE MOBILISER AFIN DE SAUVER LE DEPUTE DU PEUPLE EUGENE DIOMI NDONGALA, AVANT QUE NE SOIT PAS TROP TARD ET QU IL SOIT TRANSFERE DANS LA VILLE DE LUBUMBASHI QUI FUT LE LIEUX D EXECUTION DE LUMUMBA.
A TOUS CEUX QUI LISENT CE MESSAGE, MOBILISONS-NOUS POUR SAUVER LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA
NORBERT NKUBA,
DC/FRANCE
Publié le 2 Août 2012by mpp
ALERTE SUR LA LOCALISATION DU LIEU DE DETENTION EXTRA-JUDICIARE DU PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, LE DEPUTE DU PEUPLE EUGENE DIOMI NDONGALA
SELON DES INFORMATIONS CONFIRMEE PAR LE MILIEUX DU DROITS DE L HOMME, LE DEPUTE DIOMI NDONGALA A ETE ENELEVE ET DETENU AU SECRET SELON LES ETAPES SUIVANTES:
1. IL A ETE ENLEVE PRES DE L AVENUE NGUMA LE 27/06/2012 VERS 12H00 ET AMENE AU SIEGE DE L ANR EXTERIEUR A MA CAMPAGNE SUR LA MEME AVENUE NGUMA, NON LOIN DE LA RESIDENCE DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA.
2. IL A ETE TRANSFERE PAR LA SUITE AU BUREAU 2 DE LA GARDE REPUBLICAINE AU CAMP TSHATSI.
3. ENSUITE IL EST RESTE LONGTEMPS AU SIEGE DE L ANR/DSI, DANS LA CELLULE DE HAUTE SECURITE, QUI VEUT DIRE COUPE AVEC TOUT CONTACT AVEC L EXTERIEUR.
4. LE REGIME LIBERTICIDE DE JOSEPH KABILA VEUT MAINTENANT LE DELOCALISER AU SECRET AU KATANGA,PLUS EXACTMENT DANS LA VILLE DE LUBUMBASHI, EN PASSANT PAR LA CAVE DE KANGAKATI.
CE DERNIER TRANSFER ETANT PARTICULIEREMENT DANGEUREUX POUR A VIE DU DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA, NOUS FAISONS APPEL A TOUS POUR SE MOBILISER AFIN DE SAUVER LE DEPUTE DU PEUPLE EUGENE DIOMI NDONGALA, AVANT QUE NE SOIT PAS TROP TARD ET QU IL SOIT TRANSFERE DANS LA VILLE DE LUBUMBASHI QUI FUT LE LIEUX D EXECUTION DE LUMUMBA.
A TOUS CEUX QUI LISENT CE MESSAGE, MOBILISONS-NOUS POUR SAUVER LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA
NORBERT NKUBA,
DC/FRANCE
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
http://www.lepeupledabordtv.sitew.com/#Accueil.A
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Eugène Diomi Ndongala localisé à l’ANR / LA TEMPETE DES TROPIQUES DU 03/08/2012
Publié le 3 Août 2012by mpp
http://democratiechretienne.org/2012/08/03/eugene-diomi-ndongala-localise-a-lanr-la-tempete-des-tropiques-du-03082012/
Publié le 3 Août 2012by mpp
Enlevé depuis le 26 juin |
Écrit par Par Godé Kalonji Mukendi |
Vendredi, 03 Août 2012 08:30 |
Eugène Diomi Ndongala localisé à l’ANR Selon le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la CPI et président de l’ACAJ qui a fait cette révélation hier au cours d’un point de presse, ce député de l’Opposition serait en voie d’être transféré dans une prison au Katanga Le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la cour pénale internationale (CN-CPI) et président de l’Ongdh “Association Congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), Me George Kapiamba, a tenu un point de presse, hier jeudi, à Kinshasa-Gombe. A cette occasion, il a annoncé qu’après des investigations, le député national de l’Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l’Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe. <BLOCKQUOTE> Considérant que les faits repprochés à ce député élu sont désisoires, Me Georges Kapiamba exige la libération sans condition de cet opposant proche du président Etienne Tshisekedi. </BLOCKQUOTE> Le coordonnateur adjoint de la CN-CPI craint que le député Eugène Diomi puisse subir le même sort que les regrettés Armand Tungulu, Floribert Chebeya et Fidèle Bazana. D’après la même source, après son enlèvement le 26 juin 2012, ce député a été détenu comme un vulgaire malfrat dans un cachot au camp Tshatshi, puis transferé quelques jours plus tard à la direction 3 de l’ANR où il est détenu jusqu’à ce jour sans recevoir la visite des membres de sa famille ni de ses avocats. <BLOCKQUOTE> A en croire l’avocat Georges Kapiamba, le pouvoir chercherait à transférer ce député de l’Opposition à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga, pour le réduire au silence pendant les préparatifs et la tenue du XIVème Sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa , au mois d’octobre prochain. </BLOCKQUOTE> Eugène Diomi est le deuxième député à être arrêté et détenu comme un vulgaire malfrat et sans tenir compte de sa qualité d’élu du peuple au cours de cette législature. Avant lui, ce traitement dégradant qui traduit toute la brutalité de la nouvelle dictature instaurée au Congo avait été infligé au député Bakungu Mithondeke de l’UNC, actuellement détenu au CPRK (ex-prison de Makala). |
Mise à jour le Vendredi, 03 Août 2012 08:42 http://www.latempete.cd/component/content/article/1-nation/183-enleve-depuis-le-26-juin-.html |
http://democratiechretienne.org/2012/08/03/eugene-diomi-ndongala-localise-a-lanr-la-tempete-des-tropiques-du-03082012/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
RDC : Diomi NDONGALA en voie d'être transféré au Katanga
03/08/2012 11:03:00KongoTimes!
Font size:
Diomi NDONGALA
Le coordonnateur adjoint de la CN-CPI et président de l'ACAJ, a annoncé qu'après des investigations, le député national de l'Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l'Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe. Eugène Diomi Ndongala serait en voie d'être transféré dans une prison au Katanga. Considérant que les faits repprochés à ce député élu sont désisoires, Me Georges Kapiamba exige la libération sans condition de cet opposant proche du président Etienne Tshisekedi.
Selon le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la CPI et président de l'ACAJ qui a fait cette révélation hier au cours d'un point de presse, ce député de l'Opposition serait en voie d'être transféré dans une prison au Katanga.
Le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la cour pénale internationale (CN-CPI) et président de l'Ongdh "Association Congolaise pour l'accès à la justice (ACAJ), Me George Kapiamba, a tenu un point de presse, hier jeudi, à l'Hôtel Canna à Kinshasa-Gombe.
A cette occasion, il a annoncé qu'après des investigations, le député national de l'Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l'Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe.
Considérant que les faits repprochés à ce député élu sont désisoires, Me Georges Kapiamba exige la libération sans condition de cet opposant proche du président Etienne Tshisekedi.
Le coordonnateur adjoint de la CN-CPI craint que le député Eugène Diomi puisse subir le même sort que les regrettés Armand Tungulu, Floribert Chebeya et Fidèle Bazana.
D'après la même source, après son enlèvement le 26 juin 2012, ce député a été détenu comme un vulgaire malfrat dans un cachot au camp Tshatshi, puis transferé quelques jours plus tard à la direction 3 de l'ANR où il est détenu jusqu'à ce jour sans recevoir la visite des membres de sa famille ni de ses avocats.
A en croire l'avocat Georges Kapiamba, le pouvoir chercherait à transférer ce député de l'Opposition à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga, pour le réduire au silence pendant les préparatifs et la tenue du XIVème Sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa , au mois d'octobre prochain.
Eugène Diomi est le deuxième député à être arrêté et détenu comme un vulgaire malfrat et sans tenir compte de sa qualité d'élu du peuple au cours de cette législature.
Avant lui, ce traitement dégradant qui traduit toute la brutalité de la nouvelle dictature instaurée au Congo avait été infligé au député Bakungu Mithondeke de l'UNC, actuellement détenu au CPRK (ex-prison de Makala).
La Démocratie chrétienne porte plainte contre inconnus
Dans une correspondance adressée lundi 30 juillet 2012 au chef de département de la brigade criminelle, Me Yala Tulu, conseil de Madame Fuala, intendante du parti politique Démocratie chrétienne (DC), a porté plainte contre inconnus pour vol et destruction méchante commis au siège national de ce parti, dans la commune de la Gombe à Kinshasa.
En effet, des personnes sans titre ni droit, à ce jour non identifiées, ont profité de l'instruction du dossier judiciaire ouvert sous RMP V/IF/PGR/MR, instruit au Parquet général de la République, pour occuper pendant plus de 30 jours le siège de la DC.
Du constat fait par Madame Fuala, ce jour, les biens suivants dont elle a la responsabilité sont perdus : 8 ordinateurs portables HP, 5 ordinateurs fixes HP, 8 écrans plasma LG 42 pouces, 10 splits, une photocopieuse fax avec imprimante, 5 tapis, 15 abat-jours, valises contenant les procès verbaux des élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011 pour la ville de Kinshasa et la province du Bas-Congo, ainsi que les documents administratifs de la DC (Original statut et arrêté d'agrément, liste des membres DC et MPP, correspondance DC et MPP et la somme de 1 850 000 FC en coupures de 500 FC).
Madame Fuala précise que cette liste ne comprend que les biens dont elle avait la responsabilité. A ces faits constitutifs de vols, il y a la destruction des serrures, de plafonds ainsi que des biens meubles du parti. Au regard de ce qui précède, elle sollicite qu'une enquête soit ouverte pour déterminer les auteurs des faits ci-haut dénoncés.
L'affaire Diomi fait des vagues à l'Elysée
Selon le journal L'Interprète du 31 juillet 2012, l'enlèvement et la détention au secret du député Diomi Ndongala, fait état de la grande colère du président français François Hollande qui ne comprend pas qu'un député, couvert d'une immunité parlementaire, soit traité de la sorte en République démocratique du Congo, comme s'il avait commis un crime de lèse-majesté, de haute trahison ou d'atteinte à la sûreté de l'Etat.
C'est ainsi que la France aurait promis de s'associer à l'Union européenne pour faire pression sur le pouvoir de Kinshasa en vue de le mettre au pas sur le chemin du respect des droits de l'homme et surtout de la libération du " prisonnier politique " Eugène Diomi Ndongala.
En plus, une lettre de Madame Patrizia Diomi épouse de Diomi Ndongala, sollicitant le concours de la France pour la libération sans conditions de son mari, serait parvenue à l'Elysée.
[Godé Kalonji Mukendi/Lefils Matady/La Tempete des Tropiques]
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03/08/2012 11:03:00KongoTimes!
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Diomi NDONGALA
Le coordonnateur adjoint de la CN-CPI et président de l'ACAJ, a annoncé qu'après des investigations, le député national de l'Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l'Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe. Eugène Diomi Ndongala serait en voie d'être transféré dans une prison au Katanga. Considérant que les faits repprochés à ce député élu sont désisoires, Me Georges Kapiamba exige la libération sans condition de cet opposant proche du président Etienne Tshisekedi.
Selon le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la CPI et président de l'ACAJ qui a fait cette révélation hier au cours d'un point de presse, ce député de l'Opposition serait en voie d'être transféré dans une prison au Katanga.
Le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la cour pénale internationale (CN-CPI) et président de l'Ongdh "Association Congolaise pour l'accès à la justice (ACAJ), Me George Kapiamba, a tenu un point de presse, hier jeudi, à l'Hôtel Canna à Kinshasa-Gombe.
A cette occasion, il a annoncé qu'après des investigations, le député national de l'Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l'Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe.
Considérant que les faits repprochés à ce député élu sont désisoires, Me Georges Kapiamba exige la libération sans condition de cet opposant proche du président Etienne Tshisekedi.
Le coordonnateur adjoint de la CN-CPI craint que le député Eugène Diomi puisse subir le même sort que les regrettés Armand Tungulu, Floribert Chebeya et Fidèle Bazana.
D'après la même source, après son enlèvement le 26 juin 2012, ce député a été détenu comme un vulgaire malfrat dans un cachot au camp Tshatshi, puis transferé quelques jours plus tard à la direction 3 de l'ANR où il est détenu jusqu'à ce jour sans recevoir la visite des membres de sa famille ni de ses avocats.
A en croire l'avocat Georges Kapiamba, le pouvoir chercherait à transférer ce député de l'Opposition à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga, pour le réduire au silence pendant les préparatifs et la tenue du XIVème Sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa , au mois d'octobre prochain.
Eugène Diomi est le deuxième député à être arrêté et détenu comme un vulgaire malfrat et sans tenir compte de sa qualité d'élu du peuple au cours de cette législature.
Avant lui, ce traitement dégradant qui traduit toute la brutalité de la nouvelle dictature instaurée au Congo avait été infligé au député Bakungu Mithondeke de l'UNC, actuellement détenu au CPRK (ex-prison de Makala).
La Démocratie chrétienne porte plainte contre inconnus
Dans une correspondance adressée lundi 30 juillet 2012 au chef de département de la brigade criminelle, Me Yala Tulu, conseil de Madame Fuala, intendante du parti politique Démocratie chrétienne (DC), a porté plainte contre inconnus pour vol et destruction méchante commis au siège national de ce parti, dans la commune de la Gombe à Kinshasa.
En effet, des personnes sans titre ni droit, à ce jour non identifiées, ont profité de l'instruction du dossier judiciaire ouvert sous RMP V/IF/PGR/MR, instruit au Parquet général de la République, pour occuper pendant plus de 30 jours le siège de la DC.
Du constat fait par Madame Fuala, ce jour, les biens suivants dont elle a la responsabilité sont perdus : 8 ordinateurs portables HP, 5 ordinateurs fixes HP, 8 écrans plasma LG 42 pouces, 10 splits, une photocopieuse fax avec imprimante, 5 tapis, 15 abat-jours, valises contenant les procès verbaux des élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011 pour la ville de Kinshasa et la province du Bas-Congo, ainsi que les documents administratifs de la DC (Original statut et arrêté d'agrément, liste des membres DC et MPP, correspondance DC et MPP et la somme de 1 850 000 FC en coupures de 500 FC).
Madame Fuala précise que cette liste ne comprend que les biens dont elle avait la responsabilité. A ces faits constitutifs de vols, il y a la destruction des serrures, de plafonds ainsi que des biens meubles du parti. Au regard de ce qui précède, elle sollicite qu'une enquête soit ouverte pour déterminer les auteurs des faits ci-haut dénoncés.
L'affaire Diomi fait des vagues à l'Elysée
Selon le journal L'Interprète du 31 juillet 2012, l'enlèvement et la détention au secret du député Diomi Ndongala, fait état de la grande colère du président français François Hollande qui ne comprend pas qu'un député, couvert d'une immunité parlementaire, soit traité de la sorte en République démocratique du Congo, comme s'il avait commis un crime de lèse-majesté, de haute trahison ou d'atteinte à la sûreté de l'Etat.
C'est ainsi que la France aurait promis de s'associer à l'Union européenne pour faire pression sur le pouvoir de Kinshasa en vue de le mettre au pas sur le chemin du respect des droits de l'homme et surtout de la libération du " prisonnier politique " Eugène Diomi Ndongala.
En plus, une lettre de Madame Patrizia Diomi épouse de Diomi Ndongala, sollicitant le concours de la France pour la libération sans conditions de son mari, serait parvenue à l'Elysée.
[Godé Kalonji Mukendi/Lefils Matady/La Tempete des Tropiques]
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
VIDEO DE LA CONFERENCE DE PRESSE DE ME. KAPIAMBA, COORDONATEUR. ADJ. DE LA COALITION NATIONALE DE LA CPI SUR LA DETENTION AU SECRET DU DEPUTE DIOMI NDONGALA
Publié le 3 Août 2012by mpp
Eugène Diomi Ndongala localisé à l’ANR
Selon le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la CPI et président de l’ACAJ qui a fait cette révélation hier au cours d’un point de presse, ce député de l’Opposition serait en voie d’être transféré dans une prison au Katanga
Le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la cour pénale internationale (CN-CPI) et président de l’Ongdh “Association Congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), Me George Kapiamba, a tenu un point de presse, hier jeudi, à Kinshasa-Gombe.
A cette occasion, il a annoncé qu’après des investigations, le député national de l’Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l’Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe.
http://wp.me/p18AQh-XS
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