APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
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Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Si Diomi Ndongala était un Français !
Publié le 4 Août 2012by mpp
Publié: 4 août 2012
POLITIQUE NATIONALE
Si Diomi Ndongala était un Français !
photo/Diomi Ndongala au un meeting de la DC au Stade des Martyrs
Les événements tragiques se bousculent en République démocratique du Congo au fil de jours au point où l’on ne sait vraiment pas lequel suivre, tous étant, vous en conviendrez avec moi, d’importance vitale. L’explosion de la guerre à l’est accapare totalement l’attention de tous dans la mesure où elle met à nu la fragilité de notre système de défense du territoire, la complicité au plus haut niveau de nos institutions républicaines dans cet énième coup du Rwanda contre le peuple congolais et enfin, la grande détresse des Kivutiens face aux affres de la guerre : morts, viols et errance intermittente pour ceux et celles qui peuvent encore se sauver.
Au-delà de cette situation gravissime, annonciatrice d’une balkanisation imminente de notre territoire, – si l’on continue à croiser les bras et à laisser faire les autres – il y a au cœur de la capitale congolaise une tragédie qui se consomme dans l’émoi le plus général et dans un silence mortifère comme si les tam-tam, fibres tendres de nos traditions, qui éveillent nos consciences et qui nous appellent à la solidarité agissante envers les faibles, envers ceux qui sont dans le malheur, bref, envers ceux et celles qui ont besoin de notre aide ont cessé subitement de résonner.
<BLOCKQUOTE>
Diomi Ndongala, serviteur du peuple, qui n’a point besoin d’être présenté : députe national, président d’un parti politique qui a pignon sur rue depuis plus de 20 ans et surtout, un des leaders qui s’est révélé comme un véritable patriote et un fidèle collaborateur d’Étienne Tshisekedi à l’issue des élections tourmentées et truquées par la volonté de Ngoy Mulunda et compagnie au profit de Kabila, est porté disparu depuis le 26 juin dernier, jour de son enlèvement, soit plus d’un mois déjà. « Accusé » par la justice et enlevé par un certain Kaynama, alias esprit de mort, Colonel de l’armée, pour avoir violé deux mineures du coup, comme si une seule ne lui suffisait pas, Diomi n’a pas eu droit au procès comme on devait normalement s’y attendre.
</BLOCKQUOTE>
Par un jeu de combinaison, posons par absurde une question banale dans le but d’interpeller les dirigeants de ce monde qui professent leur foi en la démocratie. Si Diomi Ndongala était un citoyen français, comment les Français en général allaient-ils réagir face à cette violation flagrante des droits humains ? Nous estimons qu’il faudra absolument poser cette question au Président français, François Hollande, avant qu’il ne pense à effectuer son voyage pour Kinshasa, lui qui – à juste titre,– penses diriger les affaires publiques autrement. Car, nous sommes outrés de voir tout ce beau monde fermer les yeux sur tout ce qui se passe au Congo.
Lors des élections dont la supercherie n’était pas à démontrer, ce beau monde nous a ravalé des théories pour soutenir l’insoutenable. En dépit de toutes les forfaitures et abus des droits humains perpétrés par le régime dictatorial de Kabila, les Occidentaux ferment les yeux et avalisent ce qui ne peut être nullement accepté chez eux. Si Diomi Ndongala était Français, sa disparition n’aurait pas durer trois jours sans que les grandes têtes au sein du gouvernement ne s’en expliquent, à défaut de tomber.
Au Congo-Kinshasa, on semble tolérer et accepter que la situation perdure malgré le précédent fâcheux de la mort de Chebeya et de la disparition de son chauffeur, Fidele Bazana, dont le corps n’a jamais été retrouvé jusqu’à ce jour. Des pressions furent exercées auprès du Roi Albert II à l’occasion de la célébration du cinquantenaire à Kinshasa pour le dissuader de ne pas s’y rendre, il y est allé donnant par-là le quitus à Kabila de continuer à tuer et à massacrer la population ouvertement.
Lors des élections présidentielle et législatives déjà évoquées, il y a eu atteinte à l’intégrité physique des gens. Plus de trente personnes furent tuées par les sbires de Kabila et leurs corps enlevés et jamais restitués à leur proche. Un autre cas, le président, Étienne Tshisekedi, est tenu jusqu’à ce jour en résidence surveillée sans aucune raison valable. Toutes ces violations de droits humains n ’émeuvent personne et l’on continue à soutenir Kabila. Si tel est le système qui régente le monde, pourquoi endormir les gens avec de beaux discours sur la démocratie, sur le respect des libertés fondamentales et surtout, pourquoi s’en prendre à certains régimes en ignorant complètement les abus que font d’autres ?
Le cas Diomi Ndongala est flagrant. Il est gravissime. Il offense la morale publique et porte atteinte aux libertés fondamentales d’un père de famille, d’une notoriété politique. En ce moment et peut-être déjà dès les premiers jour de sa disparition, il serait mort, assassiné et son corps dissimulé quelque part. Comment pourrions-nous accepter que le régime Kabila puisse impunément commettre de tels actes au su et au vu de tout le monde ? Quel message lance-t-on à la population et aux gouvernants ? Aux premiers, ne demande-t-on pas implicitement de se taire et de subir le sort malveillant des mains d’un dictateur et sanguinaire qui opère ouvertement sans crainte d’être inquiétés ? Et aux autres, ne donne-t-on pas la licence de tuer librement, n’importe qui et à tout moment, en se moquant de la justice internationale ?
Non ! Si Diomi Ndongala était Français, François Hollande ne dormirait pas tranquillement comme le fait aujourd’hui Kabila qui continue à ricaner sous cape en dépit des situations gravissimes qui accablent la république. Si Diomi Ndongala était Français, toute la presse du monde entier se serait jetée sur le dossier cherchant les responsables pour les incriminer ou tout le moins, pour élucider les cas afin d’en tirer les conséquences sur les plans politique ou juridique.
Lors de la campagne électorale, quand Étienne Tshisekedi, dans une de ses envolées oratoires eut un écart de langage pour stigmatiser le gangstérisme et la criminalité des agents commis à la sécurité de Kabila qui arrêtaient arbitrairement les membres et sympathisants de son parti, pour ne pas parler de l’opposition de façon générale, il eut un grand tolet partout au monde. Toutes les cloches des grandes églises retentirent pour condamner ses propos. Mais, devant des actes gravissimes de violation de droits humains d’un personnage public qui a eu le seul tort de s’opposer farouchement à la tricherie et au diktat de Kabila de diriger le pays par défi, on croit encore rêver, François Hollande n’a toujours pas décidé s’il va participer ou non au sommet à Kinshasa. Et reposons la même question, si Diomi Ndongala était un citoyen français, François Hollande allait-il demeurer insensible à son cas ? S’il se décidait d’entreprendre, en dépit tout, le voyage de Kinshasa, serait-ce pour aller légitimer le régime frauduleux et illégitime de Joseph Kabila ?
Madame Ndongala a exprimé son ras le bol devant le système injuste et mafieux qui détient, s’il est encore en vie, son mari, en défiant toutes les règles jurisprudentielles. Le cas Ndongala met à l’épreuve la sincérité de ceux qui dirigent ce monde. Où êtes-vous pour lever votre voix contre la séquestration d’un individu ? Pourquoi acceptiez-vous que Kinshasa puisse être le laboratoire des calamités et des traitements inhumains et nauséeux sans aucune réprobation ?
<BLOCKQUOTE>
Non ! Nous voulons écouter l’écho de vos voix se lever pour exprimer votre indignation.
</BLOCKQUOTE>
Non ! Nous voulons que cesse ce système de répression des libertés individuelles, de tueries, de condamnations extrajudiciaires qui sont légion à Kinshasa. En affichant votre indifférence et peut-être, votre dédain comme vous le faites maintenant, vous condamnez, consciemment ou inconsciemment tout un peuple au martyr.
Nous voulons voir si François Hollande ira à Kinshasa pour marcher sur la tombe de Ndongala ou pour réclamer son corps.
MWAMBA TSHIBANGU/CI
Des sources crédibles au sein de l’ANR [Agence Nationale de Renseignement] à Kinshasa confirment que, le président de la Démocratie Chrétienne (DC) et porte-parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP), Eugène Diomi Ndongala, risque de subir le sort de Fidèle Bazana Edadi. C’est-à-dire, son corps ne sera jamais découvert ! Pour rappel, le 2 juin 2010, le corps de Floribert Chebeya Bahizire, directeur de la Voix des Sans Voix (VSV), une ONG des Droits de l’homme en RDC, a été découvert dans sa voiture à la périphérie de Kinshasa. Son assistant et chauffeur, Fidèle Bazana Edadi, est porté disparu. Son corps n’a jamais été retrouvé. Le même scénario risque de se répéter dans l’affaire Diomi Ndongala.
Les mêmes sources confirment également que, sur ordre d’Hippolyte Kanambe alias «Joseph Kabila», l’imposteur tutsi rwandais au pouvoir à Kinshasa, Eugène Diomi Ndongala a été enlevé le mercredi 27 Juin 2012 à Kinshasa, par le Colonel Kanyama alias « esprit de mort »
http://www.lecongolais.cd/si-diomi-ndongala-etait-un-francais/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter&utm_campaign=si-diomi-ndongala-etait-un-francais
Publié le 4 Août 2012by mpp
Publié: 4 août 2012
POLITIQUE NATIONALE
Si Diomi Ndongala était un Français !
photo/Diomi Ndongala au un meeting de la DC au Stade des Martyrs
Les événements tragiques se bousculent en République démocratique du Congo au fil de jours au point où l’on ne sait vraiment pas lequel suivre, tous étant, vous en conviendrez avec moi, d’importance vitale. L’explosion de la guerre à l’est accapare totalement l’attention de tous dans la mesure où elle met à nu la fragilité de notre système de défense du territoire, la complicité au plus haut niveau de nos institutions républicaines dans cet énième coup du Rwanda contre le peuple congolais et enfin, la grande détresse des Kivutiens face aux affres de la guerre : morts, viols et errance intermittente pour ceux et celles qui peuvent encore se sauver.
Au-delà de cette situation gravissime, annonciatrice d’une balkanisation imminente de notre territoire, – si l’on continue à croiser les bras et à laisser faire les autres – il y a au cœur de la capitale congolaise une tragédie qui se consomme dans l’émoi le plus général et dans un silence mortifère comme si les tam-tam, fibres tendres de nos traditions, qui éveillent nos consciences et qui nous appellent à la solidarité agissante envers les faibles, envers ceux qui sont dans le malheur, bref, envers ceux et celles qui ont besoin de notre aide ont cessé subitement de résonner.
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Diomi Ndongala, serviteur du peuple, qui n’a point besoin d’être présenté : députe national, président d’un parti politique qui a pignon sur rue depuis plus de 20 ans et surtout, un des leaders qui s’est révélé comme un véritable patriote et un fidèle collaborateur d’Étienne Tshisekedi à l’issue des élections tourmentées et truquées par la volonté de Ngoy Mulunda et compagnie au profit de Kabila, est porté disparu depuis le 26 juin dernier, jour de son enlèvement, soit plus d’un mois déjà. « Accusé » par la justice et enlevé par un certain Kaynama, alias esprit de mort, Colonel de l’armée, pour avoir violé deux mineures du coup, comme si une seule ne lui suffisait pas, Diomi n’a pas eu droit au procès comme on devait normalement s’y attendre.
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Par un jeu de combinaison, posons par absurde une question banale dans le but d’interpeller les dirigeants de ce monde qui professent leur foi en la démocratie. Si Diomi Ndongala était un citoyen français, comment les Français en général allaient-ils réagir face à cette violation flagrante des droits humains ? Nous estimons qu’il faudra absolument poser cette question au Président français, François Hollande, avant qu’il ne pense à effectuer son voyage pour Kinshasa, lui qui – à juste titre,– penses diriger les affaires publiques autrement. Car, nous sommes outrés de voir tout ce beau monde fermer les yeux sur tout ce qui se passe au Congo.
Lors des élections dont la supercherie n’était pas à démontrer, ce beau monde nous a ravalé des théories pour soutenir l’insoutenable. En dépit de toutes les forfaitures et abus des droits humains perpétrés par le régime dictatorial de Kabila, les Occidentaux ferment les yeux et avalisent ce qui ne peut être nullement accepté chez eux. Si Diomi Ndongala était Français, sa disparition n’aurait pas durer trois jours sans que les grandes têtes au sein du gouvernement ne s’en expliquent, à défaut de tomber.
Au Congo-Kinshasa, on semble tolérer et accepter que la situation perdure malgré le précédent fâcheux de la mort de Chebeya et de la disparition de son chauffeur, Fidele Bazana, dont le corps n’a jamais été retrouvé jusqu’à ce jour. Des pressions furent exercées auprès du Roi Albert II à l’occasion de la célébration du cinquantenaire à Kinshasa pour le dissuader de ne pas s’y rendre, il y est allé donnant par-là le quitus à Kabila de continuer à tuer et à massacrer la population ouvertement.
Lors des élections présidentielle et législatives déjà évoquées, il y a eu atteinte à l’intégrité physique des gens. Plus de trente personnes furent tuées par les sbires de Kabila et leurs corps enlevés et jamais restitués à leur proche. Un autre cas, le président, Étienne Tshisekedi, est tenu jusqu’à ce jour en résidence surveillée sans aucune raison valable. Toutes ces violations de droits humains n ’émeuvent personne et l’on continue à soutenir Kabila. Si tel est le système qui régente le monde, pourquoi endormir les gens avec de beaux discours sur la démocratie, sur le respect des libertés fondamentales et surtout, pourquoi s’en prendre à certains régimes en ignorant complètement les abus que font d’autres ?
Le cas Diomi Ndongala est flagrant. Il est gravissime. Il offense la morale publique et porte atteinte aux libertés fondamentales d’un père de famille, d’une notoriété politique. En ce moment et peut-être déjà dès les premiers jour de sa disparition, il serait mort, assassiné et son corps dissimulé quelque part. Comment pourrions-nous accepter que le régime Kabila puisse impunément commettre de tels actes au su et au vu de tout le monde ? Quel message lance-t-on à la population et aux gouvernants ? Aux premiers, ne demande-t-on pas implicitement de se taire et de subir le sort malveillant des mains d’un dictateur et sanguinaire qui opère ouvertement sans crainte d’être inquiétés ? Et aux autres, ne donne-t-on pas la licence de tuer librement, n’importe qui et à tout moment, en se moquant de la justice internationale ?
Non ! Si Diomi Ndongala était Français, François Hollande ne dormirait pas tranquillement comme le fait aujourd’hui Kabila qui continue à ricaner sous cape en dépit des situations gravissimes qui accablent la république. Si Diomi Ndongala était Français, toute la presse du monde entier se serait jetée sur le dossier cherchant les responsables pour les incriminer ou tout le moins, pour élucider les cas afin d’en tirer les conséquences sur les plans politique ou juridique.
Lors de la campagne électorale, quand Étienne Tshisekedi, dans une de ses envolées oratoires eut un écart de langage pour stigmatiser le gangstérisme et la criminalité des agents commis à la sécurité de Kabila qui arrêtaient arbitrairement les membres et sympathisants de son parti, pour ne pas parler de l’opposition de façon générale, il eut un grand tolet partout au monde. Toutes les cloches des grandes églises retentirent pour condamner ses propos. Mais, devant des actes gravissimes de violation de droits humains d’un personnage public qui a eu le seul tort de s’opposer farouchement à la tricherie et au diktat de Kabila de diriger le pays par défi, on croit encore rêver, François Hollande n’a toujours pas décidé s’il va participer ou non au sommet à Kinshasa. Et reposons la même question, si Diomi Ndongala était un citoyen français, François Hollande allait-il demeurer insensible à son cas ? S’il se décidait d’entreprendre, en dépit tout, le voyage de Kinshasa, serait-ce pour aller légitimer le régime frauduleux et illégitime de Joseph Kabila ?
Madame Ndongala a exprimé son ras le bol devant le système injuste et mafieux qui détient, s’il est encore en vie, son mari, en défiant toutes les règles jurisprudentielles. Le cas Ndongala met à l’épreuve la sincérité de ceux qui dirigent ce monde. Où êtes-vous pour lever votre voix contre la séquestration d’un individu ? Pourquoi acceptiez-vous que Kinshasa puisse être le laboratoire des calamités et des traitements inhumains et nauséeux sans aucune réprobation ?
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Non ! Nous voulons écouter l’écho de vos voix se lever pour exprimer votre indignation.
</BLOCKQUOTE>
Non ! Nous voulons que cesse ce système de répression des libertés individuelles, de tueries, de condamnations extrajudiciaires qui sont légion à Kinshasa. En affichant votre indifférence et peut-être, votre dédain comme vous le faites maintenant, vous condamnez, consciemment ou inconsciemment tout un peuple au martyr.
Nous voulons voir si François Hollande ira à Kinshasa pour marcher sur la tombe de Ndongala ou pour réclamer son corps.
MWAMBA TSHIBANGU/CI
Des sources crédibles au sein de l’ANR [Agence Nationale de Renseignement] à Kinshasa confirment que, le président de la Démocratie Chrétienne (DC) et porte-parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP), Eugène Diomi Ndongala, risque de subir le sort de Fidèle Bazana Edadi. C’est-à-dire, son corps ne sera jamais découvert ! Pour rappel, le 2 juin 2010, le corps de Floribert Chebeya Bahizire, directeur de la Voix des Sans Voix (VSV), une ONG des Droits de l’homme en RDC, a été découvert dans sa voiture à la périphérie de Kinshasa. Son assistant et chauffeur, Fidèle Bazana Edadi, est porté disparu. Son corps n’a jamais été retrouvé. Le même scénario risque de se répéter dans l’affaire Diomi Ndongala.
Les mêmes sources confirment également que, sur ordre d’Hippolyte Kanambe alias «Joseph Kabila», l’imposteur tutsi rwandais au pouvoir à Kinshasa, Eugène Diomi Ndongala a été enlevé le mercredi 27 Juin 2012 à Kinshasa, par le Colonel Kanyama alias « esprit de mort »
http://www.lecongolais.cd/si-diomi-ndongala-etait-un-francais/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter&utm_campaign=si-diomi-ndongala-etait-un-francais
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
COMITE DE SOUTIEN – Eugène Diomi NDONGALA Un réseau de solidarité
Publié le 4 Août 2012by mpp
Berry Muekatone
COMITE DE SOUTIEN – Eugène Diomi NDONGALA/ Un réseau de solidarité
Même sans avoir la force, ni la volonté de se substituer aux acteurs présents su le terrain en République Démocratique du Congo, le réseau de la diaspora peut apporter une aide pratique et juridique, et ainsi à démultiplier leur protestation sur le cas d’enlèvement de notre compatriote Diomi NDONGALA.
Préambule
a) Qui est Diomi NDONGALA
Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, né en 1962, est un homme politique de la République démocratique du Congo. Diomi est né à Sona-Bata dans la province du Bas-Congo. Il a été parlementaire et vice-ministre de l’Économie et des Finances en 1994 et en 1996 dans le dernier gouvernement de salut publique du président de la République Mobutu Sese Seko. Le 10 décembre 1997, il est arrêté et emprisonné sans ordre judiciaire ni jugement. Selon Amnesty International, Diomi a été arrêté par la police militaire sous le régime de Laurent-Désiré Kabila. Il fut libéré le 24 janvier 1998. Il fut encore enlevé en 1999 par les services de sécurité et déféré devant la Cour d’ordre militaire pour avoir declaré que l’agression de la RDC remontait à 1996 par le Rwanda. Il fut ensuite libéré par Laurent Désiré kabila lui-même. En 2003, Diomi devient ministre des Mines dans le gouvernement de transition. De 2004 à 2006, il fut président contesté de l’AS V.Club, club de foot Congolais. Il est le président du Front pour la Survie de la Démocratie au Congo/Démocratie Chrétienne. Arreté au debut de la campagne électorale au Bas Congo, fut libéré par la suite et innocenté. il subit encore un attentat en juin 2011 où même ses enfants furent menacés par une garde armée d’un baron pprd. Il fut candidat à l’élection présidentielle de 2006 et élu député national pour le compte de son parti. En 2011 , il fut réélu député national dans les rangs de l’opposition politique, mais refusa de siéger au parlement suite à la mascarade électorale initié par la commission électorale.
b) Présentation de la situation :
Le mercredi 27 juin 2012, alors qu’il se rendait à la paroisse « Notre Dame du Congo » à Gombe pour assister aux activités de la signature de la chartre de la Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle, une plate-forme politique soutenant le président élu par le peuple, monsieur Etienne Tshisekedi. Diomi Ndongala fut enlevé par les policiers à la suite d’un montage policier et judiciaire sous les ordres du colonel Kanyama ainsi que les agents du service secret congolais au niveau de la station Elf, sur l’avenue de la démocratie (Quelle ironie) dans la commune de Lingwala. Le lendemain 28 juin 2012, le procureur de la république annonçait publiquement l’arrestation de monsieur Diomi Ndongala pour viol sur deux filles mineures. Mais le vendredi 29 juin, le même procureur se rétracta pour annoncer la fuite de monsieur Diomi Ndongala, ceci nous rappelle le même scénario ayant conduit à l’assassinat de Floribert Chebeya, (le défenseur des droits l’homme) ainsi que son chauffeur Fidèle Bazana, dont personne n’a jamais retrouvé le corps jusqu’à ce jour.
L’Etat congolais fait preuve d’un acharnement aveugle et infondé envers l’un de principal animateur de la vie politique congolaise.
Il est a signalé qu’une plainte a été déposée auprès du procureur de Kinshasa à l’encontre du soi-disant père ainsi que de deux filles pour des accusations mensongères et diffamations.
Des organisations de droits de l ‘homme ont signalé sa tenue au secret par les services de sécurité. Il a été signalé à l’anr et les organisations des droits de l’homme ont esprimé la crainte qu’il soit transferé vers une autres province, probablement le Katanga
Finalités et objectifs du comité de soutien à Diomi Ndongala
· Sensibiliser l’opinion internationale sur le cas de monsieur Diomi NDONGALA · Soutenir et développer une synergie de ces actions avec le parti politique de l’intéressé ainsi sa famille et ses proches · Défendre à travers le cas de Diomi Ndongala, tous les acteurs politiques congolais victimes de l’intolérance politique et éviter ainsi l’arbitraire, le chantage et les assassinats des activistes politiques congolais.
· Engager des actions visant à la libération immédiate de monsieur Diomi NDONGALA
Moyens, actions :
· Un comité de soutien actif et rapidement mobilisable, ouvert à tous les hommes épris de liberté : organisations, associations, partis politiques, organisations non gouvernementaux, ainsi que les pays épris de liberté et de démocratie.
· Diffusion et médiatisation de l’existence de ce comité via les organes de presse, les responsables politiques et l’ensemble du monde libre.
Coordinateur du comité de soutien :
Berry MUEKATONE
muekatone.berry@sfr.fr
Publié le 4 Août 2012by mpp
Berry Muekatone
COMITE DE SOUTIEN – Eugène Diomi NDONGALA/ Un réseau de solidarité
Même sans avoir la force, ni la volonté de se substituer aux acteurs présents su le terrain en République Démocratique du Congo, le réseau de la diaspora peut apporter une aide pratique et juridique, et ainsi à démultiplier leur protestation sur le cas d’enlèvement de notre compatriote Diomi NDONGALA.
Préambule
a) Qui est Diomi NDONGALA
Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, né en 1962, est un homme politique de la République démocratique du Congo. Diomi est né à Sona-Bata dans la province du Bas-Congo. Il a été parlementaire et vice-ministre de l’Économie et des Finances en 1994 et en 1996 dans le dernier gouvernement de salut publique du président de la République Mobutu Sese Seko. Le 10 décembre 1997, il est arrêté et emprisonné sans ordre judiciaire ni jugement. Selon Amnesty International, Diomi a été arrêté par la police militaire sous le régime de Laurent-Désiré Kabila. Il fut libéré le 24 janvier 1998. Il fut encore enlevé en 1999 par les services de sécurité et déféré devant la Cour d’ordre militaire pour avoir declaré que l’agression de la RDC remontait à 1996 par le Rwanda. Il fut ensuite libéré par Laurent Désiré kabila lui-même. En 2003, Diomi devient ministre des Mines dans le gouvernement de transition. De 2004 à 2006, il fut président contesté de l’AS V.Club, club de foot Congolais. Il est le président du Front pour la Survie de la Démocratie au Congo/Démocratie Chrétienne. Arreté au debut de la campagne électorale au Bas Congo, fut libéré par la suite et innocenté. il subit encore un attentat en juin 2011 où même ses enfants furent menacés par une garde armée d’un baron pprd. Il fut candidat à l’élection présidentielle de 2006 et élu député national pour le compte de son parti. En 2011 , il fut réélu député national dans les rangs de l’opposition politique, mais refusa de siéger au parlement suite à la mascarade électorale initié par la commission électorale.
b) Présentation de la situation :
Le mercredi 27 juin 2012, alors qu’il se rendait à la paroisse « Notre Dame du Congo » à Gombe pour assister aux activités de la signature de la chartre de la Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle, une plate-forme politique soutenant le président élu par le peuple, monsieur Etienne Tshisekedi. Diomi Ndongala fut enlevé par les policiers à la suite d’un montage policier et judiciaire sous les ordres du colonel Kanyama ainsi que les agents du service secret congolais au niveau de la station Elf, sur l’avenue de la démocratie (Quelle ironie) dans la commune de Lingwala. Le lendemain 28 juin 2012, le procureur de la république annonçait publiquement l’arrestation de monsieur Diomi Ndongala pour viol sur deux filles mineures. Mais le vendredi 29 juin, le même procureur se rétracta pour annoncer la fuite de monsieur Diomi Ndongala, ceci nous rappelle le même scénario ayant conduit à l’assassinat de Floribert Chebeya, (le défenseur des droits l’homme) ainsi que son chauffeur Fidèle Bazana, dont personne n’a jamais retrouvé le corps jusqu’à ce jour.
L’Etat congolais fait preuve d’un acharnement aveugle et infondé envers l’un de principal animateur de la vie politique congolaise.
Il est a signalé qu’une plainte a été déposée auprès du procureur de Kinshasa à l’encontre du soi-disant père ainsi que de deux filles pour des accusations mensongères et diffamations.
Des organisations de droits de l ‘homme ont signalé sa tenue au secret par les services de sécurité. Il a été signalé à l’anr et les organisations des droits de l’homme ont esprimé la crainte qu’il soit transferé vers une autres province, probablement le Katanga
Finalités et objectifs du comité de soutien à Diomi Ndongala
· Sensibiliser l’opinion internationale sur le cas de monsieur Diomi NDONGALA · Soutenir et développer une synergie de ces actions avec le parti politique de l’intéressé ainsi sa famille et ses proches · Défendre à travers le cas de Diomi Ndongala, tous les acteurs politiques congolais victimes de l’intolérance politique et éviter ainsi l’arbitraire, le chantage et les assassinats des activistes politiques congolais.
· Engager des actions visant à la libération immédiate de monsieur Diomi NDONGALA
Moyens, actions :
· Un comité de soutien actif et rapidement mobilisable, ouvert à tous les hommes épris de liberté : organisations, associations, partis politiques, organisations non gouvernementaux, ainsi que les pays épris de liberté et de démocratie.
· Diffusion et médiatisation de l’existence de ce comité via les organes de presse, les responsables politiques et l’ensemble du monde libre.
Coordinateur du comité de soutien :
Berry MUEKATONE
muekatone.berry@sfr.fr
KOTA
GRAVES REVELATIONS DE MARIE-THERESE NLANDU SUR LA SEQUESTRATION DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA
VIDEO /MARIE-THERESE NLANDU FAIT LE POINT SUR LA SEQUESTRATION DE DIOMI NDONGALA ET LE PLAN DE BALKANISATION DE LA RDC/ GRAVES REVELATIONS DE L’ACTIVISTE DES DROITS DE L’HOMME ET PRESIDENTE DE CONGO PAX
VIDEO /MARIE-THERESE NLANDU FAIT LE POINT SUR LA SEQUESTRATION DE DIOMI NDONGALA ET LE PLAN DE BALKANISATION DE LA RDC
http://democratiechretienne.org/2012/08/04/marie-therese-landu-fait-le-point-sur-la-sequestration-de-diomi-ndongala-et-le-plan-de-balkanisation-de-la-rdc/
VIDEO /MARIE-THERESE NLANDU FAIT LE POINT SUR LA SEQUESTRATION DE DIOMI NDONGALA ET LE PLAN DE BALKANISATION DE LA RDC
http://democratiechretienne.org/2012/08/04/marie-therese-landu-fait-le-point-sur-la-sequestration-de-diomi-ndongala-et-le-plan-de-balkanisation-de-la-rdc/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Francophonie 2012 : HOLLANDE ira à Kin pour marcher sur la tombe de DIOMI ou pour réclamer son corps
04/08/2012 12:11:00KongoTimes!
Font size:
Diomi NDONGALA et Ya Tshitshi
Le cas Ndongala met à l’épreuve la sincérité de ceux qui dirigent ce monde. Où êtes-vous pour lever votre voix contre la séquestration d’un individu ? Pourquoi acceptiez-vous que Kinshasa puisse être le laboratoire des calamités et des traitements inhumains et nauséeux sans aucune réprobation ? Si Diomi Ndongala était Français, François Hollande ne dormirait pas tranquillement comme le fait aujourd’hui Kabila qui continue à ricaner sous cape en dépit des situations gravissimes qui accablent la république. Si Diomi Ndongala était Français, toute la presse du monde entier se serait jetée sur le dossier cherchant les responsables pour les incriminer ou tout le moins, pour élucider les cas afin d’en tirer les conséquences sur le plan politique ou juridique. Si Diomi Ndongala était un citoyen français, François Hollande allait-il demeurer insensible à son cas ? S’il se décidait d’entreprendre, en dépit tout, le voyage de Kinshasa, serait-ce pour aller légitimer le régime frauduleux et illégitime de Joseph Kabila ?
Les événements tragiques se bousculent en République démocratique du Congo au fil de jours au point où l’on ne sait vraiment pas lequel suivre, tous étant, vous en conviendrez avec moi, d’importance vitale. L’explosion de la guerre à l’est accapare totalement l’attention de tous dans la mesure où elle met à nu la fragilité de notre système de défense du territoire, la complicité au plus haut niveau de nos institutions républicaines dans cet énième coup du Rwanda contre le peuple congolais et enfin, la grande détresse des Kivutiens face aux affres de la guerre : morts, viols et errance intermittente pour ceux et celles qui peuvent encore se sauver.
Au-delà de cette situation gravissime, annonciatrice d’une balkanisation imminente de notre territoire, – si l’on continue à croiser les bras et à laisser faire les autres – il y a au cœur de la capitale congolaise une tragédie qui se consomme dans l’émoi le plus général et dans un silence mortifère comme si les tam-tam, fibres tendres de nos traditions, qui éveillent nos consciences et qui nous appellent à la solidarité agissante envers les faibles, envers ceux qui sont dans le malheur, bref, envers ceux et celles qui ont besoin de notre aide ont cessé subitement de résonner.
Diomi Ndongala, serviteur du peuple, qui n’a point besoin d’être présenté : députe national, président d’un parti politique qui a pignon sur rue depuis plus de 20 ans et surtout, un des leaders qui s’est révélé comme un véritable patriote et un fidèle collaborateur d’Étienne Tshisekedi à l’issue des élections tourmentées et truquées par la volonté de Ngoy Mulunda et compagnie au profit de Kabila, est porté disparu depuis le 26 juin dernier, jour de son enlèvement, soit plus d’un mois déjà. « Accusé » par la justice et enlevé par un certain Kaynama, alias esprit de mort, Colonel de l’armée, pour avoir violé deux mineures du coup, comme si une seule ne lui suffisait pas, Diomi n’a pas eu droit au procès comme on devait normalement s’y attendre.
Par un jeu de combinaison, posons par absurde une question banale dans le but d’interpeller les dirigeants de ce monde qui professent leur foi en la démocratie. Si Diomi Ndongala était un citoyen français, comment les Français en général allaient-ils réagir face à cette violation flagrante des droits humains ? Nous estimons qu’il faudra absolument poser cette question au Président français, François Hollande, avant qu’il ne pense à effectuer son voyage pour Kinshasa, lui qui – à juste titre,– pense diriger les affaires publiques autrement. Car, nous sommes outrés de voir tout ce beau monde fermer les yeux sur tout ce qui se passe au Congo.
Lors des élections dont la supercherie n’était pas à démontrer, ce beau monde nous a ravalé des théories pour soutenir l’insoutenable. En dépit de toutes les forfaitures et abus des droits humains perpétrés par le régime dictatorial de Kabila, les Occidentaux ferment les yeux et avalisent ce qui ne peut être nullement accepté chez eux. Si Diomi Ndongala était Français, sa disparition n’aurait pas durer trois jours sans que les grandes têtes au sein du gouvernement ne s’en expliquent, à défaut de tomber. Au Congo-Kinshasa, on semble tolérer et accepter que la situation perdure malgré le précédent fâcheux de la mort de Chebeya et de la disparition de son chauffeur, Fidele Bazana, dont le corps n’a jamais été retrouvé jusqu’à ce jour. Des pressions furent exercées auprès du Roi Albert II à l’occasion de la célébration du cinquantenaire à Kinshasa pour le dissuader de ne pas s’y rendre, il y est allé donnant par-là le quitus à Kabila de continuer à tuer et à massacrer la population ouvertement.
Lors des élections présidentielle et législatives déjà évoquées, il y a eu atteinte à l’intégrité physique des gens. Plus de trente personnes furent tuées par les sbires de Kabila et leurs corps enlevés et jamais restitués à leur proche. Un autre cas, le président, Étienne Tshisekedi, est tenu jusqu’à ce jour en résidence surveillée sans aucune raison valable. Toutes ces violations de droits humains n ’émeuvent personne et l’on continue à soutenir Kabila. Si tel est le système qui régente le monde, pourquoi endormir les gens avec de beaux discours sur la démocratie, sur le respect des libertés fondamentales et surtout, pourquoi s’en prendre à certains régimes en ignorant complètement les abus que font d’autres ?
Le cas Diomi Ndongala est flagrant. Il est gravissime. Il offense la morale publique et porte atteinte aux libertés fondamentales d’un père de famille, d’une notoriété politique. En ce moment et peut-être déjà dès les premiers jour de sa disparition, il serait mort, assassiné et son corps dissimulé quelque part. Comment pourrions-nous accepter que le régime Kabila puisse impunément commettre de tels actes au su et au vu de tout le monde ? Quel message lance-t-on à la population et aux gouvernants ? Aux premiers, ne demande-t-on pas implicitement de se taire et de subir le sort malveillant des mains d’un dictateur et sanguinaire qui opère ouvertement sans crainte d’être inquiété ? Et aux autres, ne donne-t-on pas la licence de tuer librement, n’importe qui et à tout moment, en se moquant de la justice internationale ?
Non ! Si Diomi Ndongala était Français, François Hollande ne dormirait pas tranquillement comme le fait aujourd’hui Kabila qui continue à ricaner sous cape en dépit des situations gravissimes qui accablent la république. Si Diomi Ndongala était Français, toute la presse du monde entier se serait jetée sur le dossier cherchant les responsables pour les incriminer ou tout le moins, pour élucider les cas afin d’en tirer les conséquences sur le plan politique ou juridique.
Lors de la campagne électorale, quand Étienne Tshisekedi, dans une de ses envolées oratoires eut un écart de langage pour stigmatiser le gangstérisme et la criminalité des agents commis à la sécurité de Kabila qui arrêtaient arbitrairement les membres et sympathisants de son parti, pour ne pas parler de l’opposition de façon générale, il eut un grand tollé partout au monde. Toutes les cloches des grandes églises retentirent pour condamner ses propos. Mais, devant des actes gravissimes de violation de droits humains d’un personnage public qui a eu le seul tort de s’opposer farouchement à la tricherie et au diktat de Kabila de diriger le pays par défi, on croit encore rêver, François Hollande n’a toujours pas décidé s’il va participer ou non au sommet à Kinshasa. Et reposons la même question, si Diomi Ndongala était un citoyen français, François Hollande allait-il demeurer insensible à son cas ? S’il se décidait d’entreprendre, en dépit tout, le voyage de Kinshasa, serait-ce pour aller légitimer le régime frauduleux et illégitime de Joseph Kabila ?
Madame Ndongala a exprimé son ras le bol devant le système injuste et mafieux qui détient, s’il est encore en vie, son mari, en défiant toutes les règles jurisprudentielles. Le cas Ndongala met à l’épreuve la sincérité de ceux qui dirigent ce monde. Où êtes-vous pour lever votre voix contre la séquestration d’un individu ? Pourquoi acceptiez-vous que Kinshasa puisse être le laboratoire des calamités et des traitements inhumains et nauséeux sans aucune réprobation ?
Non ! Nous voulons écouter l’écho de vos voix se lever pour exprimer votre indignation. Non ! Nous voulons que cesse ce système de répression des libertés individuelles, de tueries, de condamnations extrajudiciaires qui sont légion à Kinshasa. En affichant votre indifférence et peut-être, votre dédain comme vous le faites maintenant, vous condamnez, consciemment ou inconsciemment, tout un peuple au martyr.
Nous voulons voir si François Hollande ira à Kinshasa pour marcher sur la tombe de Ndongala ou pour réclamer son corps.
[Mwamba Tshibangu]
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04/08/2012 12:11:00KongoTimes!
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Diomi NDONGALA et Ya Tshitshi
Le cas Ndongala met à l’épreuve la sincérité de ceux qui dirigent ce monde. Où êtes-vous pour lever votre voix contre la séquestration d’un individu ? Pourquoi acceptiez-vous que Kinshasa puisse être le laboratoire des calamités et des traitements inhumains et nauséeux sans aucune réprobation ? Si Diomi Ndongala était Français, François Hollande ne dormirait pas tranquillement comme le fait aujourd’hui Kabila qui continue à ricaner sous cape en dépit des situations gravissimes qui accablent la république. Si Diomi Ndongala était Français, toute la presse du monde entier se serait jetée sur le dossier cherchant les responsables pour les incriminer ou tout le moins, pour élucider les cas afin d’en tirer les conséquences sur le plan politique ou juridique. Si Diomi Ndongala était un citoyen français, François Hollande allait-il demeurer insensible à son cas ? S’il se décidait d’entreprendre, en dépit tout, le voyage de Kinshasa, serait-ce pour aller légitimer le régime frauduleux et illégitime de Joseph Kabila ?
Les événements tragiques se bousculent en République démocratique du Congo au fil de jours au point où l’on ne sait vraiment pas lequel suivre, tous étant, vous en conviendrez avec moi, d’importance vitale. L’explosion de la guerre à l’est accapare totalement l’attention de tous dans la mesure où elle met à nu la fragilité de notre système de défense du territoire, la complicité au plus haut niveau de nos institutions républicaines dans cet énième coup du Rwanda contre le peuple congolais et enfin, la grande détresse des Kivutiens face aux affres de la guerre : morts, viols et errance intermittente pour ceux et celles qui peuvent encore se sauver.
Au-delà de cette situation gravissime, annonciatrice d’une balkanisation imminente de notre territoire, – si l’on continue à croiser les bras et à laisser faire les autres – il y a au cœur de la capitale congolaise une tragédie qui se consomme dans l’émoi le plus général et dans un silence mortifère comme si les tam-tam, fibres tendres de nos traditions, qui éveillent nos consciences et qui nous appellent à la solidarité agissante envers les faibles, envers ceux qui sont dans le malheur, bref, envers ceux et celles qui ont besoin de notre aide ont cessé subitement de résonner.
Diomi Ndongala, serviteur du peuple, qui n’a point besoin d’être présenté : députe national, président d’un parti politique qui a pignon sur rue depuis plus de 20 ans et surtout, un des leaders qui s’est révélé comme un véritable patriote et un fidèle collaborateur d’Étienne Tshisekedi à l’issue des élections tourmentées et truquées par la volonté de Ngoy Mulunda et compagnie au profit de Kabila, est porté disparu depuis le 26 juin dernier, jour de son enlèvement, soit plus d’un mois déjà. « Accusé » par la justice et enlevé par un certain Kaynama, alias esprit de mort, Colonel de l’armée, pour avoir violé deux mineures du coup, comme si une seule ne lui suffisait pas, Diomi n’a pas eu droit au procès comme on devait normalement s’y attendre.
Par un jeu de combinaison, posons par absurde une question banale dans le but d’interpeller les dirigeants de ce monde qui professent leur foi en la démocratie. Si Diomi Ndongala était un citoyen français, comment les Français en général allaient-ils réagir face à cette violation flagrante des droits humains ? Nous estimons qu’il faudra absolument poser cette question au Président français, François Hollande, avant qu’il ne pense à effectuer son voyage pour Kinshasa, lui qui – à juste titre,– pense diriger les affaires publiques autrement. Car, nous sommes outrés de voir tout ce beau monde fermer les yeux sur tout ce qui se passe au Congo.
Lors des élections dont la supercherie n’était pas à démontrer, ce beau monde nous a ravalé des théories pour soutenir l’insoutenable. En dépit de toutes les forfaitures et abus des droits humains perpétrés par le régime dictatorial de Kabila, les Occidentaux ferment les yeux et avalisent ce qui ne peut être nullement accepté chez eux. Si Diomi Ndongala était Français, sa disparition n’aurait pas durer trois jours sans que les grandes têtes au sein du gouvernement ne s’en expliquent, à défaut de tomber. Au Congo-Kinshasa, on semble tolérer et accepter que la situation perdure malgré le précédent fâcheux de la mort de Chebeya et de la disparition de son chauffeur, Fidele Bazana, dont le corps n’a jamais été retrouvé jusqu’à ce jour. Des pressions furent exercées auprès du Roi Albert II à l’occasion de la célébration du cinquantenaire à Kinshasa pour le dissuader de ne pas s’y rendre, il y est allé donnant par-là le quitus à Kabila de continuer à tuer et à massacrer la population ouvertement.
Lors des élections présidentielle et législatives déjà évoquées, il y a eu atteinte à l’intégrité physique des gens. Plus de trente personnes furent tuées par les sbires de Kabila et leurs corps enlevés et jamais restitués à leur proche. Un autre cas, le président, Étienne Tshisekedi, est tenu jusqu’à ce jour en résidence surveillée sans aucune raison valable. Toutes ces violations de droits humains n ’émeuvent personne et l’on continue à soutenir Kabila. Si tel est le système qui régente le monde, pourquoi endormir les gens avec de beaux discours sur la démocratie, sur le respect des libertés fondamentales et surtout, pourquoi s’en prendre à certains régimes en ignorant complètement les abus que font d’autres ?
Le cas Diomi Ndongala est flagrant. Il est gravissime. Il offense la morale publique et porte atteinte aux libertés fondamentales d’un père de famille, d’une notoriété politique. En ce moment et peut-être déjà dès les premiers jour de sa disparition, il serait mort, assassiné et son corps dissimulé quelque part. Comment pourrions-nous accepter que le régime Kabila puisse impunément commettre de tels actes au su et au vu de tout le monde ? Quel message lance-t-on à la population et aux gouvernants ? Aux premiers, ne demande-t-on pas implicitement de se taire et de subir le sort malveillant des mains d’un dictateur et sanguinaire qui opère ouvertement sans crainte d’être inquiété ? Et aux autres, ne donne-t-on pas la licence de tuer librement, n’importe qui et à tout moment, en se moquant de la justice internationale ?
Non ! Si Diomi Ndongala était Français, François Hollande ne dormirait pas tranquillement comme le fait aujourd’hui Kabila qui continue à ricaner sous cape en dépit des situations gravissimes qui accablent la république. Si Diomi Ndongala était Français, toute la presse du monde entier se serait jetée sur le dossier cherchant les responsables pour les incriminer ou tout le moins, pour élucider les cas afin d’en tirer les conséquences sur le plan politique ou juridique.
Lors de la campagne électorale, quand Étienne Tshisekedi, dans une de ses envolées oratoires eut un écart de langage pour stigmatiser le gangstérisme et la criminalité des agents commis à la sécurité de Kabila qui arrêtaient arbitrairement les membres et sympathisants de son parti, pour ne pas parler de l’opposition de façon générale, il eut un grand tollé partout au monde. Toutes les cloches des grandes églises retentirent pour condamner ses propos. Mais, devant des actes gravissimes de violation de droits humains d’un personnage public qui a eu le seul tort de s’opposer farouchement à la tricherie et au diktat de Kabila de diriger le pays par défi, on croit encore rêver, François Hollande n’a toujours pas décidé s’il va participer ou non au sommet à Kinshasa. Et reposons la même question, si Diomi Ndongala était un citoyen français, François Hollande allait-il demeurer insensible à son cas ? S’il se décidait d’entreprendre, en dépit tout, le voyage de Kinshasa, serait-ce pour aller légitimer le régime frauduleux et illégitime de Joseph Kabila ?
Madame Ndongala a exprimé son ras le bol devant le système injuste et mafieux qui détient, s’il est encore en vie, son mari, en défiant toutes les règles jurisprudentielles. Le cas Ndongala met à l’épreuve la sincérité de ceux qui dirigent ce monde. Où êtes-vous pour lever votre voix contre la séquestration d’un individu ? Pourquoi acceptiez-vous que Kinshasa puisse être le laboratoire des calamités et des traitements inhumains et nauséeux sans aucune réprobation ?
Non ! Nous voulons écouter l’écho de vos voix se lever pour exprimer votre indignation. Non ! Nous voulons que cesse ce système de répression des libertés individuelles, de tueries, de condamnations extrajudiciaires qui sont légion à Kinshasa. En affichant votre indifférence et peut-être, votre dédain comme vous le faites maintenant, vous condamnez, consciemment ou inconsciemment, tout un peuple au martyr.
Nous voulons voir si François Hollande ira à Kinshasa pour marcher sur la tombe de Ndongala ou pour réclamer son corps.
[Mwamba Tshibangu]
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LE 6* CHANTIER DE KABILA A ETE DEPUIS TJRS CELUI DES MESNONGES D ETAT - SEPT-2011 - DIOMI NDONGALA CRITIQUE LE DISCOURS -BILAN DE JOSEPH KABILA
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Ces deux Monsieurs Connaissent ou se trouve DIOMI NDONGALA
djino
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
E. DIOMI, DEPLACE, TOUJOURS EN DANGER
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1. A la suite de l'interview de Maître MARIE-THERESE NLANDU sur l'enlèvement de E. DIOMI NDONGALA qui a été détenu secrètement dans une villa à la cité de l'OUA, Mont Ngaliema, nous apprenons que depuis le 06 août 2012, il fait l'objet d'un déplacement à un autre endroit.
De la villa à la Cité de l'OUA où il a été, il est maintenant dans une cellule du bureau de Pierre Lumbi, conseiller Spécial de Joseph Kabila, alias Hyppolite Kanambe, de son nom rwandais.
2. Des informations que nous avons de Pierre Lumbi disent qu'il est burundais. Diomi est de nouveau gardé chez un étranger dans son pays normalement souverain, la RDCongo. Le risque d'empoisonnement est toujours plus grand.
3. La cellule où l'honorable Diomi est gardé, aujourd'hui, est la même que celle que le colonel Daniel Mukalay a occupé avant son transfèrement à la prison CPRK à Makala.
4. Pour rappel, le colonel Daniel Mukalay est cité parmi ceux qui ont assassiné Floribert Chebeya et Fidèle Bazana la nuit du 1er au 02 juin 2010. Des condoms furent déposés à coté du corps inerte de Chebeya pour faire croire à une aventure liée au sexe.
Pour Diomi, ce sont des infractions de viol de deux mineures qui sont mises sur lui, tout en prétendant qu'il se serait enfui. Les preuves de tous ces faits ne sont pas prouvés et ne le seront pas car impossibles de l'être.
5. C'est encore ce Daniel Mukalay, de triste mémoire, qui a procédé à l'arrestation de Maître Marie-Thérèse Nlandu le 21 novembre 2006 dans les locaux des services spéciaux de la police de Kin-Mazières. Au moment où ce colonel a procédé à l'arrestation de la précitée, il informa celle-ci que " la Cour Suprême de Justice est entrain d'être brûlée et cet incendie sera mis sur votre tête". Ce qui fut fait.
6. Ce dire que des mensonges d'Etat sont érigés en système de gouvernance empreinte de terreur.
7. Ce communiqué est fait pour demander à Joseph Kabila de libérer vivant, E. Diomi Ndongala, car si cela n'est pas fait à temps, le présent dossier d'enlèvement d'un homme politique sera déposé sur le Bureau du Procureur près la CPI autant que l'a été celui de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana ( voir http://www.dpc.epetitions.net/).
8. Ce communiqué est fait pour demander au Président F. Hollande d'exiger la libération de l'honorable E. Diomi avant son départ éventuel au sommet de la Francophonie de Kinshasa d'octobre 2012.
9. Ce communiqué est fait pour interpellé le peuple congolais de redoubler de vigilance pour des actions sérieuses et concrètes contre les violations diverses des droits humains, leitmotiv du régime sanguinaire en RDCongo, pays des pacifiques.
10. Que toute personne de bonne volonté exploite ce communiqué afin de sauver la vie de l'honorable Eugène Diomi Ndongala.
Fait à Londres le 07 août 2012
Maître Marie-Thérèse Nlandu
Human Rights lawyer
Amnesty International Prisoner of Conscience 2006/7
-----------------------------------------------------------
1. A la suite de l'interview de Maître MARIE-THERESE NLANDU sur l'enlèvement de E. DIOMI NDONGALA qui a été détenu secrètement dans une villa à la cité de l'OUA, Mont Ngaliema, nous apprenons que depuis le 06 août 2012, il fait l'objet d'un déplacement à un autre endroit.
De la villa à la Cité de l'OUA où il a été, il est maintenant dans une cellule du bureau de Pierre Lumbi, conseiller Spécial de Joseph Kabila, alias Hyppolite Kanambe, de son nom rwandais.
2. Des informations que nous avons de Pierre Lumbi disent qu'il est burundais. Diomi est de nouveau gardé chez un étranger dans son pays normalement souverain, la RDCongo. Le risque d'empoisonnement est toujours plus grand.
3. La cellule où l'honorable Diomi est gardé, aujourd'hui, est la même que celle que le colonel Daniel Mukalay a occupé avant son transfèrement à la prison CPRK à Makala.
4. Pour rappel, le colonel Daniel Mukalay est cité parmi ceux qui ont assassiné Floribert Chebeya et Fidèle Bazana la nuit du 1er au 02 juin 2010. Des condoms furent déposés à coté du corps inerte de Chebeya pour faire croire à une aventure liée au sexe.
Pour Diomi, ce sont des infractions de viol de deux mineures qui sont mises sur lui, tout en prétendant qu'il se serait enfui. Les preuves de tous ces faits ne sont pas prouvés et ne le seront pas car impossibles de l'être.
5. C'est encore ce Daniel Mukalay, de triste mémoire, qui a procédé à l'arrestation de Maître Marie-Thérèse Nlandu le 21 novembre 2006 dans les locaux des services spéciaux de la police de Kin-Mazières. Au moment où ce colonel a procédé à l'arrestation de la précitée, il informa celle-ci que " la Cour Suprême de Justice est entrain d'être brûlée et cet incendie sera mis sur votre tête". Ce qui fut fait.
6. Ce dire que des mensonges d'Etat sont érigés en système de gouvernance empreinte de terreur.
7. Ce communiqué est fait pour demander à Joseph Kabila de libérer vivant, E. Diomi Ndongala, car si cela n'est pas fait à temps, le présent dossier d'enlèvement d'un homme politique sera déposé sur le Bureau du Procureur près la CPI autant que l'a été celui de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana ( voir http://www.dpc.epetitions.net/).
8. Ce communiqué est fait pour demander au Président F. Hollande d'exiger la libération de l'honorable E. Diomi avant son départ éventuel au sommet de la Francophonie de Kinshasa d'octobre 2012.
9. Ce communiqué est fait pour interpellé le peuple congolais de redoubler de vigilance pour des actions sérieuses et concrètes contre les violations diverses des droits humains, leitmotiv du régime sanguinaire en RDCongo, pays des pacifiques.
10. Que toute personne de bonne volonté exploite ce communiqué afin de sauver la vie de l'honorable Eugène Diomi Ndongala.
Fait à Londres le 07 août 2012
Maître Marie-Thérèse Nlandu
Human Rights lawyer
Amnesty International Prisoner of Conscience 2006/7
djino
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
[quote]Les preuves de tous ces faits ne sont pas prouvés et ne le seront pas car impossibles de l'être.[quote]djino a écrit:E. DIOMI, DEPLACE, TOUJOURS EN DANGER
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1. A la suite de l'interview de Maître MARIE-THERESE NLANDU sur l'enlèvement de E. DIOMI NDONGALA qui a été détenu secrètement dans une villa à la cité de l'OUA, Mont Ngaliema, nous apprenons que depuis le 06 août 2012, il fait l'objet d'un déplacement à un autre endroit.
De la villa à la Cité de l'OUA où il a été, il est maintenant dans une cellule du bureau de Pierre Lumbi, conseiller Spécial de Joseph Kabila, alias Hyppolite Kanambe, de son nom rwandais.
2. Des informations que nous avons de Pierre Lumbi disent qu'il est burundais. Diomi est de nouveau gardé chez un étranger dans son pays normalement souverain, la RDCongo. Le risque d'empoisonnement est toujours plus grand.
3. La cellule où l'honorable Diomi est gardé, aujourd'hui, est la même que celle que le colonel Daniel Mukalay a occupé avant son transfèrement à la prison CPRK à Makala.
4. Pour rappel, le colonel Daniel Mukalay est cité parmi ceux qui ont assassiné Floribert Chebeya et Fidèle Bazana la nuit du 1er au 02 juin 2010. Des condoms furent déposés à coté du corps inerte de Chebeya pour faire croire à une aventure liée au sexe.
Pour Diomi, ce sont des infractions de viol de deux mineures qui sont mises sur lui, tout en prétendant qu'il se serait enfui. Les preuves de tous ces faits ne sont pas prouvés et ne le seront pas car impossibles de l'être.
5. C'est encore ce Daniel Mukalay, de triste mémoire, qui a procédé à l'arrestation de Maître Marie-Thérèse Nlandu le 21 novembre 2006 dans les locaux des services spéciaux de la police de Kin-Mazières. Au moment où ce colonel a procédé à l'arrestation de la précitée, il informa celle-ci que " la Cour Suprême de Justice est entrain d'être brûlée et cet incendie sera mis sur votre tête". Ce qui fut fait.
6. Ce dire que des mensonges d'Etat sont érigés en système de gouvernance empreinte de terreur.
7. Ce communiqué est fait pour demander à Joseph Kabila de libérer vivant, E. Diomi Ndongala, car si cela n'est pas fait à temps, le présent dossier d'enlèvement d'un homme politique sera déposé sur le Bureau du Procureur près la CPI autant que l'a été celui de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana ( voir http://www.dpc.epetitions.net/).
8. Ce communiqué est fait pour demander au Président F. Hollande d'exiger la libération de l'honorable E. Diomi avant son départ éventuel au sommet de la Francophonie de Kinshasa d'octobre 2012.
9. Ce communiqué est fait pour interpellé le peuple congolais de redoubler de vigilance pour des actions sérieuses et concrètes contre les violations diverses des droits humains, leitmotiv du régime sanguinaire en RDCongo, pays des pacifiques.
10. Que toute personne de bonne volonté exploite ce communiqué afin de sauver la vie de l'honorable Eugène Diomi Ndongala.
Fait à Londres le 07 août 2012
Maître Marie-Thérèse Nlandu
Human Rights lawyer
Amnesty International Prisoner of Conscience 2006/7
J´ai lu et relu ce communiqué, je ne suis pas du tout convaincu que c´est écrit par Maître Nlandu car une juriste de son niveau ne descendra jamais aussi bas pour écrire un texte aussi grotesque et insignifiant. C´est certainement un texte ramassé sur facebook ou dans un quelconque blog.
Arafat
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Sir arafat lekela ba con mbata bakoya kobeta yo, ngende batutaki ngayi. Eux ils aiment masolo de style: Kanambe vient d'envoyer Djomi na Rutshuru chez ses cousins de M23. Comme quoi les con mbatas ont leur monde à eux, leur façon de voir de chose, leur façon de vivre quoi
Bcp des entorses dans ses dossiers qui me laisse à dire que seul notre ami Kita connait la vérité.
Bcp des entorses dans ses dossiers qui me laisse à dire que seul notre ami Kita connait la vérité.
piélé de dongo
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DU 06/08/2012 :LE PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT EXCELLE DANS LES MENSONGES D’ETAT
Publié le 7 Août 2012by mpp
Me. Kapiamba a en effet déclaré qu’à la suite des investigations menées par les organisations des Droits de l’homme sur le terrain à Kinshasa, il ressort que l’Honorable Diomi Ndongala a été détenu au secret à l’Anr depuis plus d’un mois, c.a.d. de la date de son enlèvement de la part des services de sécurité congolais. Me. Kapiamba a donné les détails sur la séquestration du Président Diomi Ndongala, le lieu de sa première détention – ANR Extérieur AV. Nguma et son déplacement à l’Anr sur Av. Roi Baudouin.
</BLOCKQUOTE>
Me. Kapiamba a aussi souligné que les geôliers du député du peuple avaient l’intention de le délocaliser dans une autre province, suite aux pressions que les services de sécurité subissent pour le libérer tant au niveau national qu’international. En effet, selon les révélations de Me. Kapiamba, le pouvoir Kabiliste veut a tout pris éloigner de la scène politique l’opposant Eugène Diomi Ndongala qui a été le premier à se prononcer et a écrire officiellement au Président Hollande, dés son élection, pour qu’il ne participe pas au sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa au cours du mois d’octobre, à cause du manque de respect des droits de l’homme de la part du gouvernement issu de la fraude électorale qui règne de facto à Kinshasa, et l’incompatibilité de sa gouvernance avec les principes et valeurs défendus par la charte fondatrice de la Francophonie, dite Déclaration de Bamako.
A la suite de ces révélations qui ont mis en nu la torture que subit l’Hon. Diomi Ndongala depuis plus d’un mois ( la tenue au secret par des services de sécurité d’un opposant politique constituant déjà une forme de torture, selon l’Organisation Internationale contre la Torture ), le porte parole du gouvernement a voulu intervenir pour couvrir les gravissimes défaillances de la gouvernance kabiliste en matière de droits de l’homme et respect des droits civils et politiques des congolais. Voilà pourquoi, il a essaye, sans conviction, de nier la tenue au secret du Président Diomi Ndongala par les services de sécurités de Joseph Kabila.
Il sied de souligner que la dernière déclaration de M. Lambert Mende est en contradiction avec la déclaration que lui-même a énoncé publiquement à la télévison Numerica le 28/6/2012 au cours de laquelle il a déclaré textuellement, en se référant à l’arrestation arbitraire du Président Diomi Ndongala, ceci : « Nous avons attrapé un gros poisson de l’opposition » fin de citation.
De plus, les déclarations intéressées et mensongères du Porte Parole du Gouvernement concernant le Président Diomi Ndongala ne sont pas les premières mais remontent à janvier 2011, quand M. Lambert Mende avait fait des affirmations calomnieuses lors d’une conférence de presse a la RTNC concernant l’arrestation du Président Diomi Ndongala au Bas-Congo en novembre 2010, qui se sont révélées manifestement fausses mais qu’il ne s’est jamais donné la peine de rectifier ni de corriger, au point de faire croire qu’il assume son rôle de porte parole du gouvernement en tant qu’acteur de la traque aux opposants politiques de la RDC, qu’il entend couvrir par des contre-vérités.
Egalement, il faut aussi relever que l’art du mensonge d’Etat est si bien maitrisée par le porte parole du gouvernement que même ses déclarations concernant de problèmes très sensibles ayant trait à la guerre qui sévît en RDC, sont traités avec le même souci de ne jamais donner la bonne information au peuple congolais :
en effet, contrairement aux déclarations du porte parole du gouvernement selon lesquelles le gouvernement Kabila ne négociera pas avec les « rebelles » du mouvement militaire M23 – énième « rébellion » de proxy pro-rwandaise – le gouvernement s’apprête bel et bien a entamer une négociation, à partir du 07/08/2012, avec une délégation issue du M23 qui sera présente en Ouganda, au sommet de la Conférences des Pays des Grands Lacs, Kabila ayant apprêté une délégation officielle et une délégation parallèle qui négociera directement avec ce mouvement rebelle soutenu et armé par le Rwanda.
Voila pourquoi, le directoire de la Démocratie Chrétienne demande tant à l’opinion publique congolaise qu’internationale de ne pas donner aucun crédit aux déclarations contradictoires de M. Lambert Mende, dont l’objectif est celui d’ériger un écran de fumée qui cache les turpitudes de l’exécutif Kabila, tant en matière de droits de l’homme qu’en ce qui concerne le conflit qui frappe la RDC.
De plus, la Démocratie Chrétienne considère comme irresponsable la dernière déclaration de Joseph Kabila en ce qui concerne la prétendue quiétude qui régnerait sur l’ensemble du territoire de la RDC sauf à « l’Est de la RDC ». La République Démocratique du Congo étant un pays unitaire et indivisible, toute agression qui frappe une partie de son territoire déstabilise l’ensemble de la RDC et toute sa population.
La Démocratie Chrétienne demande au peuple congolais de faire vigilance pour que les mensonges d’état distillés dans les media soient combattus et démentis, à tous les niveaux.
Libérez Diomi Ndongala,
Vérité et Justice pour le Congo
Fait à Kinshasa, le 06/08/2012
Marc Mawete
Porte- parole,
Démocratie Chrétienne, DC
http://democratiechretienne.org/2012/08/07/communique-de-la-democratie-chretienne-du-06082012-le-porte-parole-du-gouvernement-excelle-dans-les-mensonges-detat/
Publié le 7 Août 2012by mpp
COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DU 06/08/2012 :
LE PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT EXCELLE DANS LES MENSONGES D’ETAT
Le directoire de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle, a suivi avec étonnement sur les antennes de la radio France Internationale, RFI, un curieux démenti du Porte Parole du Gouvernement, M. Lambert Mende concernant la tenue au secret à l’ANR (Agence Nation de renseignement) du Président National de la Démocratie Chrétienne, Député de Kinshasa, L’Hon. Eugène Diomi Ndongala.
Ce démenti non argumenté faisait suite aux déclarations circonstanciées rendues publiques de Me. Georges Kapiamba, activiste des Droits de l’Homme et Coordonateur Adjoint du Comité National de la CPI en RDC, sur les antennes de RFI.
<BLOCKQUOTE>LE PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT EXCELLE DANS LES MENSONGES D’ETAT
Le directoire de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle, a suivi avec étonnement sur les antennes de la radio France Internationale, RFI, un curieux démenti du Porte Parole du Gouvernement, M. Lambert Mende concernant la tenue au secret à l’ANR (Agence Nation de renseignement) du Président National de la Démocratie Chrétienne, Député de Kinshasa, L’Hon. Eugène Diomi Ndongala.
Ce démenti non argumenté faisait suite aux déclarations circonstanciées rendues publiques de Me. Georges Kapiamba, activiste des Droits de l’Homme et Coordonateur Adjoint du Comité National de la CPI en RDC, sur les antennes de RFI.
Me. Kapiamba a en effet déclaré qu’à la suite des investigations menées par les organisations des Droits de l’homme sur le terrain à Kinshasa, il ressort que l’Honorable Diomi Ndongala a été détenu au secret à l’Anr depuis plus d’un mois, c.a.d. de la date de son enlèvement de la part des services de sécurité congolais. Me. Kapiamba a donné les détails sur la séquestration du Président Diomi Ndongala, le lieu de sa première détention – ANR Extérieur AV. Nguma et son déplacement à l’Anr sur Av. Roi Baudouin.
</BLOCKQUOTE>
Me. Kapiamba a aussi souligné que les geôliers du député du peuple avaient l’intention de le délocaliser dans une autre province, suite aux pressions que les services de sécurité subissent pour le libérer tant au niveau national qu’international. En effet, selon les révélations de Me. Kapiamba, le pouvoir Kabiliste veut a tout pris éloigner de la scène politique l’opposant Eugène Diomi Ndongala qui a été le premier à se prononcer et a écrire officiellement au Président Hollande, dés son élection, pour qu’il ne participe pas au sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa au cours du mois d’octobre, à cause du manque de respect des droits de l’homme de la part du gouvernement issu de la fraude électorale qui règne de facto à Kinshasa, et l’incompatibilité de sa gouvernance avec les principes et valeurs défendus par la charte fondatrice de la Francophonie, dite Déclaration de Bamako.
A la suite de ces révélations qui ont mis en nu la torture que subit l’Hon. Diomi Ndongala depuis plus d’un mois ( la tenue au secret par des services de sécurité d’un opposant politique constituant déjà une forme de torture, selon l’Organisation Internationale contre la Torture ), le porte parole du gouvernement a voulu intervenir pour couvrir les gravissimes défaillances de la gouvernance kabiliste en matière de droits de l’homme et respect des droits civils et politiques des congolais. Voilà pourquoi, il a essaye, sans conviction, de nier la tenue au secret du Président Diomi Ndongala par les services de sécurités de Joseph Kabila.
Il sied de souligner que la dernière déclaration de M. Lambert Mende est en contradiction avec la déclaration que lui-même a énoncé publiquement à la télévison Numerica le 28/6/2012 au cours de laquelle il a déclaré textuellement, en se référant à l’arrestation arbitraire du Président Diomi Ndongala, ceci : « Nous avons attrapé un gros poisson de l’opposition » fin de citation.
De plus, les déclarations intéressées et mensongères du Porte Parole du Gouvernement concernant le Président Diomi Ndongala ne sont pas les premières mais remontent à janvier 2011, quand M. Lambert Mende avait fait des affirmations calomnieuses lors d’une conférence de presse a la RTNC concernant l’arrestation du Président Diomi Ndongala au Bas-Congo en novembre 2010, qui se sont révélées manifestement fausses mais qu’il ne s’est jamais donné la peine de rectifier ni de corriger, au point de faire croire qu’il assume son rôle de porte parole du gouvernement en tant qu’acteur de la traque aux opposants politiques de la RDC, qu’il entend couvrir par des contre-vérités.
Egalement, il faut aussi relever que l’art du mensonge d’Etat est si bien maitrisée par le porte parole du gouvernement que même ses déclarations concernant de problèmes très sensibles ayant trait à la guerre qui sévît en RDC, sont traités avec le même souci de ne jamais donner la bonne information au peuple congolais :
en effet, contrairement aux déclarations du porte parole du gouvernement selon lesquelles le gouvernement Kabila ne négociera pas avec les « rebelles » du mouvement militaire M23 – énième « rébellion » de proxy pro-rwandaise – le gouvernement s’apprête bel et bien a entamer une négociation, à partir du 07/08/2012, avec une délégation issue du M23 qui sera présente en Ouganda, au sommet de la Conférences des Pays des Grands Lacs, Kabila ayant apprêté une délégation officielle et une délégation parallèle qui négociera directement avec ce mouvement rebelle soutenu et armé par le Rwanda.
Voila pourquoi, le directoire de la Démocratie Chrétienne demande tant à l’opinion publique congolaise qu’internationale de ne pas donner aucun crédit aux déclarations contradictoires de M. Lambert Mende, dont l’objectif est celui d’ériger un écran de fumée qui cache les turpitudes de l’exécutif Kabila, tant en matière de droits de l’homme qu’en ce qui concerne le conflit qui frappe la RDC.
De plus, la Démocratie Chrétienne considère comme irresponsable la dernière déclaration de Joseph Kabila en ce qui concerne la prétendue quiétude qui régnerait sur l’ensemble du territoire de la RDC sauf à « l’Est de la RDC ». La République Démocratique du Congo étant un pays unitaire et indivisible, toute agression qui frappe une partie de son territoire déstabilise l’ensemble de la RDC et toute sa population.
La Démocratie Chrétienne demande au peuple congolais de faire vigilance pour que les mensonges d’état distillés dans les media soient combattus et démentis, à tous les niveaux.
Libérez Diomi Ndongala,
Vérité et Justice pour le Congo
Fait à Kinshasa, le 06/08/2012
Marc Mawete
Porte- parole,
Démocratie Chrétienne, DC
http://democratiechretienne.org/2012/08/07/communique-de-la-democratie-chretienne-du-06082012-le-porte-parole-du-gouvernement-excelle-dans-les-mensonges-detat/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
COMMUNIQUE DE MARIE-THERESE NLANDU:”EUGENE DIOMI NDONGALA, DEPLACE, TOUJOURS EN DANGER”
Publié le 7 Août 2012by mpp
<BLOCKQUOTE>
EUGENE DIOMI NDONGALA, DEPLACE, TOUJOURS EN DANGER
————————————————————
1. A la suite de l’interview de Maître MARIE-THERESE NLANDU sur l’enlèvement de E. DIOMI NDONGALA qui a été détenu secrètement dans une villa à la cité de l’OUA, Mont Ngaliema, nous apprenons que depuis le 06 août 2012, il fait l’objet d’un déplacement à un autre endroit.
De la villa à la Cité de l’OUA où il a été, il est maintenant dans une cellule du bureau de Pierre Lumbi, conseiller Spécial de alias Joseph Kabila, Hyppolite Kanambe, de son nom rwandais.
2. Des informations que nous avons de Pierre Lumbi disent qu’il est burundais. Diomi est de nouveau gardé chez un étranger dans son pays normalement souverain, la RDCongo.
Le risque d’empoisonnement est toujours plus grand.
3. La cellule où l’honorable Diomi est gardé, aujourd’hui, est la même que celle que le colonel Daniel Mukalay a occupé avant son transfèrement à la prison CPRK à Makala.
4. Pour rappel, le colonel Daniel Mukalay est cité parmi ceux qui ont assassiné Floribert Chebeya et Fidèle Bazana la nuit du 1er au 02 juin 2010. Des condoms furent déposés à coté du corps inerte de Chebeya pour faire croire à une aventure liée au sexe.
Pour Diomi, ce sont des infractions de viol de deux mineures qui sont mises sur lui, tout en prétendant qu’il se serait enfui. Les preuves de tous ces faits ne sont pas établies et ne le seront pas car impossibles de l’être.
5. C’est encore ce Daniel Mukalay, de triste mémoire, qui a procédé à l’arrestation de Maître Marie-Thérèse Nlandu le 21 novembre 2006 dans les locaux des services spéciaux de la police de Kin-Mazières. Au moment où ce colonel a procédé à l’arrestation de la précitée, il informa celle-ci que ” la Cour Suprême de Justice est entrain d’être brûlée et cet incendie sera mis sur votre tête”. Ce qui fut fait.
6. Ce dire que des mensonges d’Etat sont érigés en système de gouvernance empreinte de terreur.
7. Ce communiqué est fait pour demander à Joseph Kabila de libérer vivant, Eugène Diomi Ndongala, car si cela n’est pas fait à temps, le présent dossier d’enlèvement d’un homme politique sera déposé sur le Bureau du Procureur près la CPI autant que l’a été celui de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana ( voir www.dpc.epetitions.net).
8. Ce communiqué est fait pour demander au Président F. Hollande d’exiger la libération de l’honorable E. Diomi avant son départ éventuel au sommet de la Francophonie de Kinshasa d’octobre 2012.
9. Ce communiqué est fait pour interpeller le peuple congolais de redoubler de vigilance pour des actions sérieuses et concrètes contre les violations diverses des droits humains, leitmotiv du régime sanguinaire en RDCongo, pays des pacifiques.
10. Que toute personne de bonne volonté exploite ce communiqué afin de sauver la vie de l’honorable Eugène Diomi Ndongala.
Fait à Londres le 07 août 2012
Maître Marie-Thérèse Nlandu
Human Rights lawyer
Amnesty International Prisoner of Conscience 2006/7
http://democratiechretienne.org/2012/08/07/communique-de-marie-therese-nalndueugene-diomi-ndongala-deplace-toujours-en-danger/
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Publié le 7 Août 2012by mpp
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EUGENE DIOMI NDONGALA, DEPLACE, TOUJOURS EN DANGER
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1. A la suite de l’interview de Maître MARIE-THERESE NLANDU sur l’enlèvement de E. DIOMI NDONGALA qui a été détenu secrètement dans une villa à la cité de l’OUA, Mont Ngaliema, nous apprenons que depuis le 06 août 2012, il fait l’objet d’un déplacement à un autre endroit.
De la villa à la Cité de l’OUA où il a été, il est maintenant dans une cellule du bureau de Pierre Lumbi, conseiller Spécial de alias Joseph Kabila, Hyppolite Kanambe, de son nom rwandais.
2. Des informations que nous avons de Pierre Lumbi disent qu’il est burundais. Diomi est de nouveau gardé chez un étranger dans son pays normalement souverain, la RDCongo.
Le risque d’empoisonnement est toujours plus grand.
3. La cellule où l’honorable Diomi est gardé, aujourd’hui, est la même que celle que le colonel Daniel Mukalay a occupé avant son transfèrement à la prison CPRK à Makala.
4. Pour rappel, le colonel Daniel Mukalay est cité parmi ceux qui ont assassiné Floribert Chebeya et Fidèle Bazana la nuit du 1er au 02 juin 2010. Des condoms furent déposés à coté du corps inerte de Chebeya pour faire croire à une aventure liée au sexe.
Pour Diomi, ce sont des infractions de viol de deux mineures qui sont mises sur lui, tout en prétendant qu’il se serait enfui. Les preuves de tous ces faits ne sont pas établies et ne le seront pas car impossibles de l’être.
5. C’est encore ce Daniel Mukalay, de triste mémoire, qui a procédé à l’arrestation de Maître Marie-Thérèse Nlandu le 21 novembre 2006 dans les locaux des services spéciaux de la police de Kin-Mazières. Au moment où ce colonel a procédé à l’arrestation de la précitée, il informa celle-ci que ” la Cour Suprême de Justice est entrain d’être brûlée et cet incendie sera mis sur votre tête”. Ce qui fut fait.
6. Ce dire que des mensonges d’Etat sont érigés en système de gouvernance empreinte de terreur.
7. Ce communiqué est fait pour demander à Joseph Kabila de libérer vivant, Eugène Diomi Ndongala, car si cela n’est pas fait à temps, le présent dossier d’enlèvement d’un homme politique sera déposé sur le Bureau du Procureur près la CPI autant que l’a été celui de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana ( voir www.dpc.epetitions.net).
8. Ce communiqué est fait pour demander au Président F. Hollande d’exiger la libération de l’honorable E. Diomi avant son départ éventuel au sommet de la Francophonie de Kinshasa d’octobre 2012.
9. Ce communiqué est fait pour interpeller le peuple congolais de redoubler de vigilance pour des actions sérieuses et concrètes contre les violations diverses des droits humains, leitmotiv du régime sanguinaire en RDCongo, pays des pacifiques.
10. Que toute personne de bonne volonté exploite ce communiqué afin de sauver la vie de l’honorable Eugène Diomi Ndongala.
Fait à Londres le 07 août 2012
Maître Marie-Thérèse Nlandu
Human Rights lawyer
Amnesty International Prisoner of Conscience 2006/7
http://democratiechretienne.org/2012/08/07/communique-de-marie-therese-nalndueugene-diomi-ndongala-deplace-toujours-en-danger/
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
"RDC: disparition de Diomi Ndongala, l’opposition accuse les services de sécurité
° http://radiookapi.net/actualite/2012/08/07/rdc-disparition-de-diomi-ndongala-lopposition-accuse-les-services-de-securite/
Les leaders de l’opposition congolaise mettent en cause l’Agence nationale de renseignements (ANR) dans la disparition du député de l’opposition Eugène Diomi Ndongala recherché par le parquet général de la République démocratique du Congo (RDC) depuis fin juin dernier pour viol sur mineures. Dans un mémo remis, lundi 6 août, au ministre congolais de l’Intérieur, ils disent ne pas croire que Diomi Ndongala ne se trouve pas dans les cachots de l’ANR.
Le modérateur des Forces acquises au changement (Fac), une plate-forme de partis de l’opposition, Lisanga Bonganga, dit craindre pour la sécurité du député de la DC:
«Nous avons eu des députés assassinés, comme Botheti et Marius Gangale. Et aujourd’hui, le cas de Diomi nous inquiète, nous [politiciens] et sa famille biologique. Nous allons instituer une journée spéciale, où nous allons continuer à poser la question au Gouvernement pour qu’il nous dise où se trouve Diomi.»
Selon lui, toutes les démarches menées jusque là pour le retrouver n’ont pas abouti. «Nous ne voulons pas que le cas de Diomi puisque ressembler à celui de Fidèle Bazana», a-t-il poursuivi faisant allusion l’activiste des droits de l’homme et chauffeur de la Voix de sans Voix disparu début juin 2010, alors qu’il accompagnait son collègue Floribert Chebeya à l’inspection générale de la police, avant d’être déclaré mort par l’Etat congolais.
Il dit ne pas croire aux paroles des responsables de l’Agence nationale des renseignements (ANR), selon lesquelles le leader de la DC ne se trouvait pas dans leurs cachots.
«Nous aurions aimé qu’ils [invitent] une délégation de l’opposition visiter leurs cachots pour voir si Diomi n’y est pas. Et l’ANR a beaucoup de cachots. Il peut se trouver ici ou en provinces», a affirmé Lisanga Bonganga.
Le doute persiste. «Mais, nous voulons aussi, avec ce doute, qu’on puisse nous amener à comprendre où se trouve Diomi», a-t-il déclaré.
Depuis sa disparition, le parti de Diomi Ndongala considère qu’il a été enlevé par les services de sécurité. Cet opposant est considéré comme l’un de principaux soutiens du leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Candidat malheureux à l’élection présidentielle de 2006, Diomi Ndongala s’était présenté aux législatives de novembre 2011. Elu sur la liste de la Démocratie chrétienne dans la circonscription de la Funa à Kinshasa, il avait refusé de siéger à l’Assemblée nationale et considérait que la présidentielle de novembre 2011 avait été remportée par Etienne Tshisekedi.
Son parti s’est regroupé notamment avec l’UDPS, le G14, certaines associations de la société civile, autorités traditionnelles et associations de jeunes pour former la Majorité présidentielle populaire (MPP), plate-forme qui revendique la victoire d’Etienne Tshisekedi à la présidentielle du 28 novembre 2011."
"La Tempete des Tropiques - Eugène Diomi Ndongala localisé à l'ANR"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=188119&Actualiteit=selected
° http://www.reveil-fm.com/index.php/2012/08/02/2741-c-est-cabalistique-des-josephistes-ont-assassine-floribert-chebeya-pour-le-cinquantenaire-veulent-ils-assassiner-eugene-diomi-ndongala-pour-la-francophonie
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Le président de la Démocratie chrétienne détenu par les services de sécurité/ LA DEPECHE DE BRAZZAVILLE
Publié le 7 Août 2012by mpp
Le président de la Démocratie chrétienne détenu par les services de sécurité
Mardi, 07 Août 2012
Photo : Me Georges Kapiamba
L’information a été confirmée par le président de l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj), Me Georges Kapiamba. La révélation contredit les informations sur l’errance d’Eugène Diomi Dongala, porte-parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP).
<BLOCKQUOTE>
En effet, au cours d’un point de presse tenu le week-end dernier à Kinshasa, le président de l’Acaj a soutenu qu’Eugène Diomi Ndongala, disparu depuis le 26 juin, serait détenu par les services de sécurité du pays. « Selon le recoupement d’informations des sources fiables que nous avons fait, Eugène Diomi est, jusqu’à ce jour, entre les mains des services de sécurité. Il est présentement détenu dans les locaux de la direction générale de l’Agence nationale des renseignements », a-t-il déclaré.
</BLOCKQUOTE>
Cette détention, a expliqué le président de l’Acaj, constitue une violation flagrante des obligations de la RDC par rapport à tous les documents juridiques nationaux et internationaux signés par le pays. Elle constitue ni plus ni moins, a-t-il souligné, une violation des droits de l’homme.
Me Georges Kapiamba a dénoncé ce qu’il a qualifié de violation des droits de l’homme ainsi que l’attitude du pouvoir à inquiéter les opposants. Contrairement aux raisons évoquées par la justice pour traquer Eugène Diomi Dongala, le président de l’Acaj a soutenu que celles-ci seraient purement politiques. « Le pouvoir le considère comme gênant et capable de perturber la tenue du sommet de la Francophonie », a-t-il appuyé.
Il a, par ailleurs, exigé qu’Eugène Diomi soit, sans condition, remis en liberté et que les contacts lui soient facilités avec ses avocats et sa famille. Le juriste a également réclamé que tous ceux qui ont concouru à son enlèvement et sa détention au secret soient jugés dans le respect des droits fondamentaux des citoyens ou des justiciables.
Lucien Dianzenza
http://7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=35522:vie-des-partis–le-president-de-la-democratie-chretienne-detenu-par-les-services-de-securite&catid=8:depeche-de-brazzaville
http://democratiechretienne.org/2012/08/07/le-president-de-la-democratie-chretienne-detenu-par-les-services-de-securite-ma-depeche-de-brazzaville/
Publié le 7 Août 2012by mpp
Le président de la Démocratie chrétienne détenu par les services de sécurité
Mardi, 07 Août 2012
Photo : Me Georges Kapiamba
L’information a été confirmée par le président de l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj), Me Georges Kapiamba. La révélation contredit les informations sur l’errance d’Eugène Diomi Dongala, porte-parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP).
<BLOCKQUOTE>
En effet, au cours d’un point de presse tenu le week-end dernier à Kinshasa, le président de l’Acaj a soutenu qu’Eugène Diomi Ndongala, disparu depuis le 26 juin, serait détenu par les services de sécurité du pays. « Selon le recoupement d’informations des sources fiables que nous avons fait, Eugène Diomi est, jusqu’à ce jour, entre les mains des services de sécurité. Il est présentement détenu dans les locaux de la direction générale de l’Agence nationale des renseignements », a-t-il déclaré.
</BLOCKQUOTE>
Cette détention, a expliqué le président de l’Acaj, constitue une violation flagrante des obligations de la RDC par rapport à tous les documents juridiques nationaux et internationaux signés par le pays. Elle constitue ni plus ni moins, a-t-il souligné, une violation des droits de l’homme.
Me Georges Kapiamba a dénoncé ce qu’il a qualifié de violation des droits de l’homme ainsi que l’attitude du pouvoir à inquiéter les opposants. Contrairement aux raisons évoquées par la justice pour traquer Eugène Diomi Dongala, le président de l’Acaj a soutenu que celles-ci seraient purement politiques. « Le pouvoir le considère comme gênant et capable de perturber la tenue du sommet de la Francophonie », a-t-il appuyé.
Il a, par ailleurs, exigé qu’Eugène Diomi soit, sans condition, remis en liberté et que les contacts lui soient facilités avec ses avocats et sa famille. Le juriste a également réclamé que tous ceux qui ont concouru à son enlèvement et sa détention au secret soient jugés dans le respect des droits fondamentaux des citoyens ou des justiciables.
Lucien Dianzenza
http://7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=35522:vie-des-partis–le-president-de-la-democratie-chretienne-detenu-par-les-services-de-securite&catid=8:depeche-de-brazzaville
http://democratiechretienne.org/2012/08/07/le-president-de-la-democratie-chretienne-detenu-par-les-services-de-securite-ma-depeche-de-brazzaville/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
RDC: disparition de Diomi Ndongala, l’opposition accuse les services de sécurité/ RADIO OKAPI
Publié le 7 Août 2012by mpp
RDC: disparition de Diomi Ndongala, l’opposition accuse les services de sécurité/ RADIO OKAPI
publié il y a 6 heures, 29 minutes, | Denière mise à jour le 7 août, 2012 à 12:53 | sous Actualité, Justice, Kinshasa, Politique.
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Les leaders de l’opposition congolaise mettent en cause l’Agence nationale de renseignements (ANR) dans la disparition du député de l’opposition Eugène Diomi Ndongala recherché par le parquet général de la République démocratique du Congo (RDC) depuis fin juin dernier pour viol sur mineures. Dans un mémo remis, lundi 6 août, au ministre congolais de l’Intérieur, ils disent ne pas croire que Diomi Ndongala ne se trouve pas dans les cachots de l’ANR.
Le modérateur des Forces acquises au changement (Fac), une plate-forme de partis de l’opposition, Lisanga Bonganga, dit craindre pour la sécurité du député de la DC:
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«Nous avons eu des députés assassinés, comme Botheti et Marius Gangale. Et aujourd’hui, le cas de Diomi nous inquiète, nous [politiciens] et sa famille biologique. Nous allons instituer une journée spéciale, où nous allons continuer à poser la question au Gouvernement pour qu’il nous dise où se trouve Diomi.»
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Selon lui, toutes les démarches menées jusque là pour le retrouver n’ont pas abouti. «Nous ne voulons pas que le cas de Diomi puisque ressembler à celui de Fidèle Bazana», a-t-il poursuivi faisant allusion l’activiste des droits de l’homme et chauffeur de la Voix de sans Voix disparu début juin 2010, alors qu’il accompagnait son collègue Floribert Chebeya à l’inspection générale de la police, avant d’être déclaré mort par l’Etat congolais.
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Il dit ne pas croire aux paroles des responsables de l’Agence nationale des renseignements (ANR), selon lesquelles le leader de la DC ne se trouvait pas dans leurs cachots.
</BLOCKQUOTE>
«Nous aurions aimé qu’ils [invitent] une délégation de l’opposition visiter leurs cachots pour voir si Diomi n’y est pas. Et l’ANR a beaucoup de cachots. Il peut se trouver ici ou en provinces», a affirmé Lisanga Bonganga.
Le doute persiste. «Mais, nous voulons aussi, avec ce doute, qu’on puisse nous amener à comprendre où se trouve Diomi», a-t-il déclaré.
<BLOCKQUOTE>
Depuis sa disparition, le parti de Diomi Ndongala considère qu’il a été enlevé par les services de sécurité. Cet opposant est considéré comme l’un de principaux soutiens du leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Candidat malheureux à l’élection présidentielle de 2006, Diomi Ndongala s’était présenté aux législatives de novembre 2011. Elu sur la liste de la Démocratie chrétienne dans la circonscription de la Funa à Kinshasa, il avait refusé de siéger à l’Assemblée nationale et considérait que la présidentielle de novembre 2011 avait été remportée par Etienne Tshisekedi.
</BLOCKQUOTE>
Son parti s’est regroupé notamment avec l’UDPS, le G14, certaines associations de la société civile, autorités traditionnelles et associations de jeunes pour former la Majorité présidentielle populaire (MPP), plate-forme qui revendique la victoire d’Etienne Tshisekedi à la présidentielle du 28 novembre 2011.
http://radiookapi.net/actualite/2012/08/07/rdc-disparition-de-diomi-ndongala-lopposition-accuse-les-services-de-securite/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter&utm_campaign=Feed%3A%20radiookapi%2Factu%20%28Radiookapi.net%29
Publié le 7 Août 2012by mpp
RDC: disparition de Diomi Ndongala, l’opposition accuse les services de sécurité/ RADIO OKAPI
publié il y a 6 heures, 29 minutes, | Denière mise à jour le 7 août, 2012 à 12:53 | sous Actualité, Justice, Kinshasa, Politique.
Share on email Envoyer par e-mail | Mots clés: ‘Opposition’, ANR, Diomi Ndongala, Etienne Tshisekedi, Lisanga Bonganga, MPP, RDC, UDPS
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Les leaders de l’opposition congolaise mettent en cause l’Agence nationale de renseignements (ANR) dans la disparition du député de l’opposition Eugène Diomi Ndongala recherché par le parquet général de la République démocratique du Congo (RDC) depuis fin juin dernier pour viol sur mineures. Dans un mémo remis, lundi 6 août, au ministre congolais de l’Intérieur, ils disent ne pas croire que Diomi Ndongala ne se trouve pas dans les cachots de l’ANR.
Le modérateur des Forces acquises au changement (Fac), une plate-forme de partis de l’opposition, Lisanga Bonganga, dit craindre pour la sécurité du député de la DC:
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«Nous avons eu des députés assassinés, comme Botheti et Marius Gangale. Et aujourd’hui, le cas de Diomi nous inquiète, nous [politiciens] et sa famille biologique. Nous allons instituer une journée spéciale, où nous allons continuer à poser la question au Gouvernement pour qu’il nous dise où se trouve Diomi.»
</BLOCKQUOTE>
Selon lui, toutes les démarches menées jusque là pour le retrouver n’ont pas abouti. «Nous ne voulons pas que le cas de Diomi puisque ressembler à celui de Fidèle Bazana», a-t-il poursuivi faisant allusion l’activiste des droits de l’homme et chauffeur de la Voix de sans Voix disparu début juin 2010, alors qu’il accompagnait son collègue Floribert Chebeya à l’inspection générale de la police, avant d’être déclaré mort par l’Etat congolais.
<BLOCKQUOTE>
Il dit ne pas croire aux paroles des responsables de l’Agence nationale des renseignements (ANR), selon lesquelles le leader de la DC ne se trouvait pas dans leurs cachots.
</BLOCKQUOTE>
«Nous aurions aimé qu’ils [invitent] une délégation de l’opposition visiter leurs cachots pour voir si Diomi n’y est pas. Et l’ANR a beaucoup de cachots. Il peut se trouver ici ou en provinces», a affirmé Lisanga Bonganga.
Le doute persiste. «Mais, nous voulons aussi, avec ce doute, qu’on puisse nous amener à comprendre où se trouve Diomi», a-t-il déclaré.
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Depuis sa disparition, le parti de Diomi Ndongala considère qu’il a été enlevé par les services de sécurité. Cet opposant est considéré comme l’un de principaux soutiens du leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Candidat malheureux à l’élection présidentielle de 2006, Diomi Ndongala s’était présenté aux législatives de novembre 2011. Elu sur la liste de la Démocratie chrétienne dans la circonscription de la Funa à Kinshasa, il avait refusé de siéger à l’Assemblée nationale et considérait que la présidentielle de novembre 2011 avait été remportée par Etienne Tshisekedi.
</BLOCKQUOTE>
Son parti s’est regroupé notamment avec l’UDPS, le G14, certaines associations de la société civile, autorités traditionnelles et associations de jeunes pour former la Majorité présidentielle populaire (MPP), plate-forme qui revendique la victoire d’Etienne Tshisekedi à la présidentielle du 28 novembre 2011.
http://radiookapi.net/actualite/2012/08/07/rdc-disparition-de-diomi-ndongala-lopposition-accuse-les-services-de-securite/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter&utm_campaign=Feed%3A%20radiookapi%2Factu%20%28Radiookapi.net%29
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
EUGENE DIOMI NDONGALA TOUJOURS PORTE DISPARU/ LE PHARE DU 08/08/2012
Publié le 8 Août 2012by mpp
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Publié le 8 Août 2012by mpp
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
La DC crie au mensonge d’Etat / LA TEMPETE DES TROPIQUES 08/08/12
Publié le 8 Août 2012by mpp
http://democratiechretienne.org/2012/08/08/la-dc-crie-au-mensonge-detat-la-tempete-des-tropiques-080812/
Publié le 8 Août 2012by mpp
Écrit par Par LM |
Mercredi, 08 Août 2012 08:01 |
La DC crie au mensonge d’Etat Dans un communiqué daté du 6 août 2012, le directoire de la Démocratie chrétienne (DC) dit avoir suivi avec étonnement sur les antennes de la Radio France Internationale (RFI) un ” curieux ” démenti du porte-parole du gouvernement concernant la tenue au secret à l’Agence nationale des renseignements (ANR) de l’honorable Eugène Diomi Ndongala, depuis aujourd’hui plus d’un mois. Pour la DC, il s’agit là d’un ” mensonge d’Etat “. Selon ce directoire, ce démenti ” non argumenté ” faisait suite aux déclarations circonstanciées rendues publiques la semaine dernière par Me Georges Kapiamba, activiste des Droits de l’homme et cofondateur adjoint du comité national de la CPI en RDC, sur les antennes de RFI. En effet, Me Kapiamba avait déclaré qu’à la suite des investigations menées par les organisations des Droits de l’homme sur le terrain à Kinshasa, il ressort que l’honorable Diomi Ndongala a été détenu au secret à l’ANR depuis plus d’un mois. Me Kapiamba a donné les détails sur la séquestration du président Diomi Ndongala, le lieu de sa première détention et son déplacement vers le second lieu. Cet avocat a aussi souligné que les geôliers de Diomi avaient l’intention de le délocaliser dans une autre province suite aux pressions sur sa libération, tant au niveau national qu’international. A la suite de ces révélations, le porte-parole du gouvernement est intervenu lundi 6 août sur RFI pour couvrir les ” gravissimes défaillances ” du pouvoir en place en matière des Droits de l’homme et le respect des Droits civils et politiques des Congolais. Ainsi, ” sans conviction, il a essayé de nier la tenue au secret du président Diomi Ndongala par les services de sécurité… “. <BLOCKQUOTE> Le communiqué souligne que la dernière déclaration du porte-parole du gouvernement est en contradiction avec celle du 28 juin 2012, sur une chaîne de télévision, au cours de laquelle il a déclaré, se référant à l’arrestation de Diomi, que ” nous avons attrapé un gros poisson de l’Opposition “. </BLOCKQUOTE> ” Voilà pourquoi le directoire de la Démocratie chrétienne demande tant à l’opinion publique nationale qu’internationale de ne donner aucun crédit aux déclarations contradictoires de ce membre du gouvernement… “. <BLOCKQUOTE> Dans cette même logique, Me Marie-Thérèse Nlandu de Human Rights Lawyer et Amnesty International Prisoner of Conscience, depuis Londres, confirme, dans une correspondance, que Diomi Ndongala est détenu secrètement à Kinshasa, et serait l’objet d’un déplacement à un autre endroit. </BLOCKQUOTE> Dans un ton menaçant, elle avoue que ” ce communiqué est fait pour demander la libération de Diomi. Au cas contraire, ce dossier d’enlèvement d’un Opposant politique sera déposé sur le bureau du procureur près la CPI, autant que l’a été celui de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana “. Aussi, exige-t-elle, c’est également pour demander au président français François Hollande d’exiger la libération de ce député avant son départ pour Kinshasa au sommet de la Francophonie en octobre prochain. |
http://www.latempete.cd/component/content/article/1-nation/213-dementi-du-gouvernement-quant-a-la-tenue-au-secret-a-lanr-de-diomi-ndongala.html |
http://democratiechretienne.org/2012/08/08/la-dc-crie-au-mensonge-detat-la-tempete-des-tropiques-080812/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
COMMUNIQUE DE LA VSV DU 08/08/12: S.O.S. POUR LA VIE DE MONSIEUR DIOMI NDONGALA.
Publié le 9 Août 2012by mpp
La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) demeure préoccupée et exprime une fois de plus ses vives inquiétudes consécutives à la disparition de M. Eugène DIOMI NDONGALA, député national de l’opposition, président du parti politique Démocratie Chrétienne (DC) et président de la plate forme politique de l’opposition dénommée « majorité présidentielle populaire (MPP) ».
L’inquiétude est d’autant plus grande que les autorités congolaises par le biais du Procureur Général de la République affirment que M. Eugène DIOMI NDONGALA est en fuite alors que ses membres de famille et ses proches ne disposent d’aucune nouvelle de sa part et soutiennent qu’il est entre les mains des autorités congolaises.
Il sied de rappeler que M. Eugène DIOMI NDONGALA est porté disparu depuis le 27 juin 2012 alors que le siège de son parti situé à Kinshasa/Gombe avait fait l’objet de mise à sac par des policiers y dépêchés depuis la veille par le colonel Célestin KANYAMA.
En outre, le bureau assiégé a fait l’objet d’un pillage systématique des biens de valeur dont des ordinateurs et d’importantes sommes d’argent.
Au cours de cette descente policière musclée, messieurs NSONI NZAWU (policier et garde du corps de M. DIOMI) et NTINU NKOLOLO (maçon de son état appelé pour les travaux de réfection des bureaux) ont été enlevés et acheminés manu militari au cachot du camp Lufungula.
Entendues sur PV, les deux victimes ont été transférées le 29 juin 2012 à la Prison Centrale de Makala (PCM) après leur détention au cachot du Parquet Général de la République.
Selon les informations parvenues à la VSV, M. DIOMI NDONGALA aurait été initialement détenu au bureau II de la garde républicaine avant d’être transféré au cachot de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), département de sécurité intérieure dans une cellule de « haute sécurité ».
A ce jour, aucune source digne de foi ne fournit des indications sur la localisation et l’existence de M. Eugène DIOMI NDONGALA.
Aussi, la VSV craint-elle que le député national Eugène DIOMI NDONGALA ait fait l’objet d’exécution sommaire et extrajudiciaire entre les mains de l’Etat congolais.
Eu égard à ce qui précède, la VSV exige à l’Etat congolais :
- de fournir toute la lumière sur la disparition de M. Eugène DIOMI NDONGALA ;
- l’organisation d’une enquête indépendante sur l’enlèvement de messieurs NSONI NZAWU et NTINU NKOLOLO, le saccage, le pillage systématique et l’assignation du siège de la DC par des policiers ;
- la libération immédiate et sans condition du maçon et du policier, victimes d’un règlement de compte ;
- l’indemnisation des victimes et/ou de leurs familles pour les préjudices subis.
<P align=right>
Publié le 9 Août 2012by mpp
COMMUNIQUE DE PRESSE N°020/RDC/VSV/CE/2012
S.O.S. POUR LA VIE DE MONSIEUR DIOMI NDONGALA.
S.O.S. POUR LA VIE DE MONSIEUR DIOMI NDONGALA.
La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) demeure préoccupée et exprime une fois de plus ses vives inquiétudes consécutives à la disparition de M. Eugène DIOMI NDONGALA, député national de l’opposition, président du parti politique Démocratie Chrétienne (DC) et président de la plate forme politique de l’opposition dénommée « majorité présidentielle populaire (MPP) ».
L’inquiétude est d’autant plus grande que les autorités congolaises par le biais du Procureur Général de la République affirment que M. Eugène DIOMI NDONGALA est en fuite alors que ses membres de famille et ses proches ne disposent d’aucune nouvelle de sa part et soutiennent qu’il est entre les mains des autorités congolaises.
Il sied de rappeler que M. Eugène DIOMI NDONGALA est porté disparu depuis le 27 juin 2012 alors que le siège de son parti situé à Kinshasa/Gombe avait fait l’objet de mise à sac par des policiers y dépêchés depuis la veille par le colonel Célestin KANYAMA.
En outre, le bureau assiégé a fait l’objet d’un pillage systématique des biens de valeur dont des ordinateurs et d’importantes sommes d’argent.
Au cours de cette descente policière musclée, messieurs NSONI NZAWU (policier et garde du corps de M. DIOMI) et NTINU NKOLOLO (maçon de son état appelé pour les travaux de réfection des bureaux) ont été enlevés et acheminés manu militari au cachot du camp Lufungula.
Entendues sur PV, les deux victimes ont été transférées le 29 juin 2012 à la Prison Centrale de Makala (PCM) après leur détention au cachot du Parquet Général de la République.
…/…
Après l’audition du 17 juillet 2012, le Parquet Général de la République avait confirmé la détention provisoire de deux victimes dont l’état de santé ne cesse de se détériorer. Messieurs NSONI NZAWU et NTINU NKOLOLO sont accusés de « complicité de viol ».Selon les informations parvenues à la VSV, M. DIOMI NDONGALA aurait été initialement détenu au bureau II de la garde républicaine avant d’être transféré au cachot de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), département de sécurité intérieure dans une cellule de « haute sécurité ».
A ce jour, aucune source digne de foi ne fournit des indications sur la localisation et l’existence de M. Eugène DIOMI NDONGALA.
Aussi, la VSV craint-elle que le député national Eugène DIOMI NDONGALA ait fait l’objet d’exécution sommaire et extrajudiciaire entre les mains de l’Etat congolais.
Eu égard à ce qui précède, la VSV exige à l’Etat congolais :
- de fournir toute la lumière sur la disparition de M. Eugène DIOMI NDONGALA ;
- l’organisation d’une enquête indépendante sur l’enlèvement de messieurs NSONI NZAWU et NTINU NKOLOLO, le saccage, le pillage systématique et l’assignation du siège de la DC par des policiers ;
- la libération immédiate et sans condition du maçon et du policier, victimes d’un règlement de compte ;
- l’indemnisation des victimes et/ou de leurs familles pour les préjudices subis.
<P align=right>
Fait à Kinshasa, le 08 août 2012.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
http://democratiechretienne.org/2012/08/09/communique-de-la-vsv-du-080812-s-o-s-pour-la-vie-de-monsieur-diomi-ndongala/
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
CET ARTICLE REMONTE A LA DERNIERE ARRESTATION DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA EN DECEMBRE 2010 QUI A DURE PRESQUE DEUX MOIS. RAPPELLEZ-VOUS QU IL A ETE JUGE MEME EN ABSENCE DE SON AVOCAT A MOANDA!
IL AVAIT SUBI DES EXAMENS A L ETRANGER POUR DE SOUCIS DE SANTE A LA FIN DE LA DETENTION AVEC DES SOINS APPROPRIEES A L ETREANGER POUR CONTRE-CARRER TOUT CONTACT AVEC DES POISONS.
MEME SI L ARTICLE SE REFERE A SON ANCIENNE ARRESTATION, LE SOUCI EST TOUJOURS LE MEME, COMME A BIEN PRECISE M.ME MARIE - THERESE NLANDU DANS SON COMMUNIQUE: LA FAMILLE NE POUVANT AVOIR AUCUN CONTACT AVEC LUI, MEME PAS POUR SE RASSURER SUR SON ETAT DE SANTE, LA PRINICPALE CRAINTE, APRES CELLE QU IL NE SOIT PLUS EN VIE, EST CELLE QU IL SOIT EMPOISONNE ET QU IL SUBISSE DES D AUTRES TORTURES, AU DELA DE LA TORTURE DE SA TENUE AU SECRET.
L ARTICLE EST AGE, MAIS SONT CONTENU TOUJOURS ACTUEL.
IL AVAIT SUBI DES EXAMENS A L ETRANGER POUR DE SOUCIS DE SANTE A LA FIN DE LA DETENTION AVEC DES SOINS APPROPRIEES A L ETREANGER POUR CONTRE-CARRER TOUT CONTACT AVEC DES POISONS.
MEME SI L ARTICLE SE REFERE A SON ANCIENNE ARRESTATION, LE SOUCI EST TOUJOURS LE MEME, COMME A BIEN PRECISE M.ME MARIE - THERESE NLANDU DANS SON COMMUNIQUE: LA FAMILLE NE POUVANT AVOIR AUCUN CONTACT AVEC LUI, MEME PAS POUR SE RASSURER SUR SON ETAT DE SANTE, LA PRINICPALE CRAINTE, APRES CELLE QU IL NE SOIT PLUS EN VIE, EST CELLE QU IL SOIT EMPOISONNE ET QU IL SUBISSE DES D AUTRES TORTURES, AU DELA DE LA TORTURE DE SA TENUE AU SECRET.
L ARTICLE EST AGE, MAIS SONT CONTENU TOUJOURS ACTUEL.
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Mr Kita
Arrêtez svp de nous souler avec vos postings alors que le pays est menancé. Vous savez où se trouve votre oncle, ou sinon cessez alors de braver son combat avec vos posting kilomètrique.
Arrêtez svp de nous souler avec vos postings alors que le pays est menancé. Vous savez où se trouve votre oncle, ou sinon cessez alors de braver son combat avec vos posting kilomètrique.
piélé de dongo
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LA MPP CONFIRME LA DETENTION AU SECRET DU PORTE PAROLE DE LA MPP,L’HON. EUGENE DIOMI NDONGALA
Publié le Août 9, 2012by mpp
COMMUNIQUE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE « M.P.P » EN REACTION AUX DECLARATIONS MENONGERES DU PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT
La Majorité Présidentielle Populaire, en sigle M.P.P., est farouchement indignée par les propos débités sur les antennes de la R.F.I. par le Porte-parole du gouvernement, Monsieur Lambert MENDE OMALANGA en ce qui concerne le secret qui entoure la détention à l’Agence Nationale de Renseignement, A.N.R., de son Porte-parole, l’Honorable Eugène DIOMI NDONGALA.
La M.P.P affirme détenir à ce jour suffisamment d’informations sur la circonstance et les péripéties de l’enlèvement odieux et de la déportation macabre de son Porte-parole.
La M.P.P. fait confiance aux dires des experts Me KAPIAMBA, coordonnateur adjoint du Comité Nationale pour le CPI et Me Marie-Thérèse LANDU qui ont enquêté, chacun de son côté, profondément sur ce qu’ils qualifient de disparition déplorable depuis un mois et quelques jours (voir conférence de presse de Me Kapiamba du 06/08/2012 et le communiqué de Me. Marie-Thérèse Nlandu du 07/08/2012) .
Le même discours a été confirmé par la Voix des Sans Voix dans un communiqué du 08 Août 2012 intitulé : « SOS POUR LA VIE DE MONSIEUR EUGENE DIOMI NDONGALA ».
La M.P.P. accrédite et confirme la version selon laquelle son Porte-parole a été enlevé par les agents de l’A.N.R. et détenu actuellement dans une villa à la Cité de l’O.U.A dans une cellule du bureau de Monsieur Pierre LUMBI, Conseiller Spécial de l’usurpateur KABILA, avant d’être transféré d’abord à l’A.N.R. – Extérieur sur l’avenue Nguma et ensuite à l’A.N.R. à l’avenue Roi Baudouin. Et que, suite aux pressions que subit le pouvoir usurpateur de Kinshasa, les services de sécurité s’emploient à le déplacer à l’intérieur du pays. La M.P.P. est informée de tortures qu’endure son Porte-parole dont le visage parait déjà méconnaissable.
La M.P.P. persiste et signe que l’enlèvement de son Porte-parole fait suite à la lettre écrite officiellement au Président François HOLLANDE lui demandant de ne pas assister au sommet de la francophonie que se tiendra à Kinshasa au mois d’octobre 2012 pou raison d’absence de la démocratie et de respect des droits de l’homme en R.D.C.
L’opinion internationale et nationale, doit se rappeler que le peuple congolais, seule émanation du pouvoir, avait décidé et exprimé par les urnes à 54% sa volonté de donner à Monsieur Etienne TSHISEKEDI-Wa-MULUMBA un mandat de 5 ans.
La M.P.P. rafraichit la mémoire de l’opinion en lui rappelant qu’en date du 28 juin 2012, Monsieur MENDE OMALANGA Lambert s’était exprimé en ces termes. Nous citons :
<BLOCKQUOTE class=entry-content>
« Nous venons d’attraper un gros poisson de l’opposition » fin de citation.
</BLOCKQUOTE>
Et ceci, deux jours après que le Procureur Général de la République, Officier N°1 du Ministère Public en R.D.C., avait annoncé personnellement sur le plateau de la Télévision Nationale ainsi que sur celui de la Télévision du Cinquantenaire, l’arrestation de l’Honorable Eugène DIOMI NDONGALA pour motif du prétendu viol en fragrant-délit de deux mineures sœurs, curieusement au siège de son parti, la Démocratie Chrétienne, dont le bureau a était expressément décoré de condoms, aphrodisiaques et autres pour mettre en scène une véritable ambiance truquée comme fut le cas avec le Martyr des Droits de l’homme Floribert CHEBEYA et Fidèle BAZANA.
La M.P.P. s’étonne à ce jour qu’un tel événement de grande importance, comme celui de capture d’un gros poisson de l’opposition ne soit pas marqué en lettres d’or dans l’agenda du Porte-parole du gouvernement ?
La M.P.P. craint dès lors beaucoup pour la R.D.C. étant donné l’amnésie et la bradypsychie ne convolent jamais en nonce avec le gouvernement, car gouverner c’est prévoir, et, prévoir connaître le passé, le présent et envisager l’avenir. Donc, ériger le mensonge come le seul mode de gouvernement c’est demeure dans un archaïsme sauvage. Ne doit-on pas que « Mentez, mentez, il en reste toujours quelque-chose. »
La M.P.P. rejette en bloc la cabale orchestrée contre son Porte-parole de manière grossière. Un viol qui s’est commis au moment où le commandant de la Police de District de la LUKUNGA et le Procureur Général de la République passaient au même lieu. Quel montage à la fois grossier et stupide ? A savoir, que l’infraction de viol ne se présume pas mais elle se constate par un médecin attitré, la M.P.P. demande à la communauté nationale et internationale de ne plus prêter l’oreille aux déclarations du gouvernement étincelantes de morphine et de somnifère. Elles sont imaginées dans l’idée de flouer les esprits.
La M.P.P. réaffirme et confirme, en outre, que l’enlèvement de son Porte-parole l’Honorable Eugène DIOMI NDONGALA, le matin du 27/07/2012, a pour but d’empêcher les autre parties et regroupements politiques d’adhérer à la charte de la Majorité Présidentielle Populaire, « M.P.P. » qui s’est assignée l’objectif d’accompagner le Président Elu de la République dans sa lutte pour la conquête de son IMPERIUM et soutenir les voix qui persistent dans la vérité des urnes.
En guise de péroraison, la M.P.P. réitère auprès du Président François HOLLANDE sa demande de ne pas honorer de sa présence, le sommet de la francophonie au mois d’octobre 2012 à Kinshasa, faute de la démocratie et du respect des droits de l’homme.
Et enfin, la M.P.P. invite le peuple congolais à la vigilance tout azimut.
Pour le Bureau Provisoire
Le Modérateur,
Dr. Ir. EZULUA MONZEMBA
LIRE AUSSI:
- Eugène Diomi Ndongala localisé à l’ANR / LA TEMPETE DES TROPIQUES DU 03/08/2012
- http://democratiechretienne.org/2012/08/03/video-de-la-conference-de-presse-de-me-kapiamba-coord-adj-de-la-coalition-nation-de-la-cpi-sur-la-detention-au-secret-du-depute-diomi-ndongala/
- COMMUNIQUE DE MARIE-THERESE NLANDU:”EUGENE DIOMI NDONGALA, DEPLACE, TOUJOURS EN DANGER”
- VIDEO /MARIE-THERESE NLANDU FAIT LE POINT SUR LA SEQUESTRATION DE DIOMI NDONGALA ET LE PLAN DE BALKANISATION DE LA RDC/ GRAVES REVELATIONS DE L’ACTIVISTE DES DROITS DE L’HOMME ET PRESIDENTE DE CONGO PAX
- COMMUNIQUE DE LA VSV DU 08/08/12: S.O.S. POUR LA VIE DE MONSIEUR DIOMI NDONGALA.
http://majoritepresidentiellepopulaire.org/2012/08/09/ma-mpp-reagit-aux-propos-mensongers-de-lambert-mende-et-reaffirme-lenlevement-de-son-porte-parole-eugene-diomi-ndongala-par-les-services-de-securite-congolais/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Le sommet de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie) ne peut avoir lieu à Kinshasa !/PARTI DE GAUCHE FRANCAIS
Publié le 9 Août 2012by mpp
Le sommet de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie) ne peut avoir lieu à Kinshasa !
8 août 2012 par Parti de Gauche (France)
Ce sommet doit avoir lieu le 13 et 14 octobre en République Démocratique du Congo, le Président, le gouvernement français ne peuvent y participer dans le contexte actuel, ce sommet doit être déplacé.
En effet, à partir de la fraude électorale massive aux dernières élections présidentielles du 28/11/2012 qui a maintenu en place M. Kabila alors que les élections ont été gagné par M. Etienne Tshisekedi et législatives qui a même vu des proche du pouvoir qui n’étaient pas candidat proclamé élus ! Fraude unanimement reconnues par tous les observateurs internationaux et même par l’église catholique du Congo ! Nous assistons à une grave dérive répressive du pouvoir en place.
Cela commence maintenant à se traduire par des enlèvements politiques d’opposants en pleine rue de Kinshasa :
<BLOCKQUOTE>
Il y a maintenant presque un mois a été enlevé et a disparu le députe du peuple Eugene Diomi Ndongala, président de la démocratie Chrétienne, porte-parole de la majorité présidentielles populaire, (MPP rassemblement qui a soutenu M. Tshisekedi)
</BLOCKQUOTE>
Il y a deux jours c’est le tour de Monsieur Jean-Marie Vianney Kabukanyi, 2ème Secrétaire Général adjoint de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti de M Tshisekedi), d’être enlevé avec son jeune frère, par des éléments identifiés comme étant de la Police Nationale Congolaise.
<BLOCKQUOTE>
D’autres opposants moins connus subissent le même sort.
</BLOCKQUOTE>
Nous demandons la libération immédiate des prisonniers politiques, nous demandons que le gouvernement français intervienne également dans ce sens, et nous demandons qu’il interpelle les organismes de l’OIF pour déplacer le sommet d’Octobre.
http://www.afriquesenlutte.org/afrique-centrale/congo-kinshasa/article/le-sommet-de-l-oif-organisation
Publié le 9 Août 2012by mpp
Le sommet de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie) ne peut avoir lieu à Kinshasa !
8 août 2012 par Parti de Gauche (France)
Ce sommet doit avoir lieu le 13 et 14 octobre en République Démocratique du Congo, le Président, le gouvernement français ne peuvent y participer dans le contexte actuel, ce sommet doit être déplacé.
En effet, à partir de la fraude électorale massive aux dernières élections présidentielles du 28/11/2012 qui a maintenu en place M. Kabila alors que les élections ont été gagné par M. Etienne Tshisekedi et législatives qui a même vu des proche du pouvoir qui n’étaient pas candidat proclamé élus ! Fraude unanimement reconnues par tous les observateurs internationaux et même par l’église catholique du Congo ! Nous assistons à une grave dérive répressive du pouvoir en place.
Cela commence maintenant à se traduire par des enlèvements politiques d’opposants en pleine rue de Kinshasa :
<BLOCKQUOTE>
Il y a maintenant presque un mois a été enlevé et a disparu le députe du peuple Eugene Diomi Ndongala, président de la démocratie Chrétienne, porte-parole de la majorité présidentielles populaire, (MPP rassemblement qui a soutenu M. Tshisekedi)
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Il y a deux jours c’est le tour de Monsieur Jean-Marie Vianney Kabukanyi, 2ème Secrétaire Général adjoint de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti de M Tshisekedi), d’être enlevé avec son jeune frère, par des éléments identifiés comme étant de la Police Nationale Congolaise.
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D’autres opposants moins connus subissent le même sort.
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Nous demandons la libération immédiate des prisonniers politiques, nous demandons que le gouvernement français intervienne également dans ce sens, et nous demandons qu’il interpelle les organismes de l’OIF pour déplacer le sommet d’Octobre.
http://www.afriquesenlutte.org/afrique-centrale/congo-kinshasa/article/le-sommet-de-l-oif-organisation
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LA VOIX DES SANS VOIX DEMANDE DES COMPTES AU GOUVERNEMENT SUR LA DISPARITION DE DIOMI NDONGALA
Publié le 10 Août 2012by mpp
Vendredi, 10 Août 2012 10:40
La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme, VSV a affirmé à la presse qu’elle demeure préoccupée et exprime une fois de plus ses vives inquiétudes consécutives à la disparition d’Eugène Diomi Ndongala -député national de l’opposition et président du parti politique Démocratie Chrétienne, DC et président de la plateforme politique de l’opposition dénommée, majorité présidentielle populaire, MPP.
Selon «la VSV, l’inquiétude est d’autant plus grande que les autorités congolaises par le biais du Procureur Général de la République affirment qu’Eugène Diomi Ndongala est en fuite alors que ses membres de famille et ses proches ne disposent d’aucune nouvelle de sa part et soutiennent qu’il est entre les mains des autorités rdcongolaises.
<BLOCKQUOTE class=entry-content>
La VSV rappelle que Diomi est porté disparu depuis le 27 juin 2012 alors que le siège de son parti situé à Kinshasa/Gombe avait fait l’objet de mise à sac par des policiers y dépêchés depuis la veille par le colonel Célestin Kanyama.
</BLOCKQUOTE>
En outre, le bureau, assiégé a fait l’objet d’un pillage systématique des biens de valeur dont des ordinateurs et d’importantes sommes d’argent. Au cours de cette descente policière musclée, rapporte la VSV : Nsoni Nzawu (policier et garde du cops de Diomi) et Ntinu Nkololo (maçon de son état appelé pour les travaux de réfection des bureaux) ont été enlevés et acheminés manu militari au cachot du camp Lufungula.
Entendues sur PV, les deux victimes ont été transférées le 29 juin 2012 à la Prison Centrale de Makala (PCM) après leur détention au cachot du Parquet Général de la République. Après l’audition du 17 juillet 2012, le Parquet Général de la République avait confirmé la détention provisoire de deux victimes dont l’état de santé ne cesse de se détériorer. La VSV renseigne que Nsoni et Ntinu sont accusés de « complicité de viol ». Cependant, selon les informations parvenues à la VSV, Eugène Diomi Ndongala aurait été initialement détenu au bureau II de la garde républicaine avant d’être transféré au cachot de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), département de sécurité intérieure dans une cellule de « haute sécurité». …
<BLOCKQUOTE class=entry-content>
De ce fait, aussi, la VSV craint- elle que le député national Eugène Diomi Ndongala ait fait l’objet d’exécution sommaire et extrajudiciaire entre les mains de l’Etat congolais.
</BLOCKQUOTE>
Eu égard à ce qui précède, la VSV exige à l’Etat congolais : de fournir toute la lumière sur la disparition de d’Eugène Diomi Ndongala ; l’organisation d’une enquête indépendante sur l’enlèvement de Nsoni Nzamu et Ntinu Nkololo, le saccage, le pillage systématique et l’assignation du siège de la DC par des policiers; la libération immédiate et sans condition du maçon et du policier, victimes d’un règlement de compte; l’indemnisation des victimes et/ou de leurs familles pour les préjudices subis.
JOHN TSHINGOMBE
LIRE AUSSI:
http://democratiechretienne.org/2012/08/10/la-voix-des-sans-voix-demandes-des-comptes-au-gouvernement-sur-la-disparition-de-diomi-ndongala/
Publié le 10 Août 2012by mpp
Vendredi, 10 Août 2012 10:40
La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme, VSV a affirmé à la presse qu’elle demeure préoccupée et exprime une fois de plus ses vives inquiétudes consécutives à la disparition d’Eugène Diomi Ndongala -député national de l’opposition et président du parti politique Démocratie Chrétienne, DC et président de la plateforme politique de l’opposition dénommée, majorité présidentielle populaire, MPP.
Selon «la VSV, l’inquiétude est d’autant plus grande que les autorités congolaises par le biais du Procureur Général de la République affirment qu’Eugène Diomi Ndongala est en fuite alors que ses membres de famille et ses proches ne disposent d’aucune nouvelle de sa part et soutiennent qu’il est entre les mains des autorités rdcongolaises.
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La VSV rappelle que Diomi est porté disparu depuis le 27 juin 2012 alors que le siège de son parti situé à Kinshasa/Gombe avait fait l’objet de mise à sac par des policiers y dépêchés depuis la veille par le colonel Célestin Kanyama.
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En outre, le bureau, assiégé a fait l’objet d’un pillage systématique des biens de valeur dont des ordinateurs et d’importantes sommes d’argent. Au cours de cette descente policière musclée, rapporte la VSV : Nsoni Nzawu (policier et garde du cops de Diomi) et Ntinu Nkololo (maçon de son état appelé pour les travaux de réfection des bureaux) ont été enlevés et acheminés manu militari au cachot du camp Lufungula.
Entendues sur PV, les deux victimes ont été transférées le 29 juin 2012 à la Prison Centrale de Makala (PCM) après leur détention au cachot du Parquet Général de la République. Après l’audition du 17 juillet 2012, le Parquet Général de la République avait confirmé la détention provisoire de deux victimes dont l’état de santé ne cesse de se détériorer. La VSV renseigne que Nsoni et Ntinu sont accusés de « complicité de viol ». Cependant, selon les informations parvenues à la VSV, Eugène Diomi Ndongala aurait été initialement détenu au bureau II de la garde républicaine avant d’être transféré au cachot de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), département de sécurité intérieure dans une cellule de « haute sécurité». …
<BLOCKQUOTE class=entry-content>
De ce fait, aussi, la VSV craint- elle que le député national Eugène Diomi Ndongala ait fait l’objet d’exécution sommaire et extrajudiciaire entre les mains de l’Etat congolais.
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Eu égard à ce qui précède, la VSV exige à l’Etat congolais : de fournir toute la lumière sur la disparition de d’Eugène Diomi Ndongala ; l’organisation d’une enquête indépendante sur l’enlèvement de Nsoni Nzamu et Ntinu Nkololo, le saccage, le pillage systématique et l’assignation du siège de la DC par des policiers; la libération immédiate et sans condition du maçon et du policier, victimes d’un règlement de compte; l’indemnisation des victimes et/ou de leurs familles pour les préjudices subis.
JOHN TSHINGOMBE
LIRE AUSSI:
- COMMUNIQUE DE LA VSV DU 08/08/12: S.O.S. POUR LA VIE DE MONSIEUR DIOMI NDONGALA.
http://democratiechretienne.org/2012/08/10/la-voix-des-sans-voix-demandes-des-comptes-au-gouvernement-sur-la-disparition-de-diomi-ndongala/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
La MPP confirme l’enlèvement de son porte-parole / La Tempête des Tropiques du 10/08/12
Publié le Août 10, 2012by mpp
http://majoritepresidentiellepopulaire.org/2012/08/10/la-mpp-confirme-lenlevement-de-son-porte-parole-la-tempete-des-tropiques-du-100812/
Publié le Août 10, 2012by mpp
La MPP confirme l’enlèvement de son porte-parole Elle demande à la communauté tant nationale qu’internationale de ne pas prêter l’oreille aux déclarations du gouvernement qui ne dit pas la vérité à ce sujet Dans un communiqué rendu public hier jeudi 9 août 2012 par Ezulua Monzemba, modérateur de son bureau provisoire, la Majorité présidentielle populaire (MPP) s’est dite indignée des propos tenus dernièrement sur les antennes de RFI par le porte-parole du gouvernement en ce qui concerne le secret entourant la détention à l’A gence Nationale de Renseignement (ANR) du député national Eugène Diomi Ndongala. Ce communiqué fait suite à celui de la Démocratie chrétienne (DC) dont le directoire national avait également contredit le démenti du pouvoir en place sur cette affaire. <BLOCKQUOTE> La Majorité présidentielle populaire confirme donc que le député élu de la Funa, Eugène Diomi Ndongala, est bel et bien enlevé et détenu à l’Agence nationale des renseignements (ANR) depuis plus d’un mois. </BLOCKQUOTE> Elle affirme, à en croire le document, détenir à ce jour ” suffisamment ” d’informations sur les circonstances et les péripéties de l’enlèvement, suivi de la déportation de son porte-parole. Cette structure de soutien à Etienne Tshisekedi dans la lutte pour la récupération de l’impérium persiste et signe que l’enlèvement de Diomi Ndongala fait suite à la lettre écrite officiellement au président français François Hollande, lui demandant de ne pas assister au sommet de la Francophonie qui se tiendra en octobre prochain à Kinshasa, pour des raisons d’absence de démocratie et des droits de l’homme en République démocratique du Congo. Le modérateur du bureau provisoire soutient que la MPP rejette en bloc la cabale de viol orchestrée contre son porte-parole de manière grossière, et confirme que l’enlèvement de ce dernier a pour but d’empêcher les autres partis et regroupements politiques d’adhérer à la charte de la Majorité présidentielle populaire qui s’est assignée d’accompagner Etienne Tshisekedi dans le rétablissement de la vérité des urnes. <BLOCKQUOTE> La MPP réitère, enfin, au président François Hollande, sa demande de ne pas honorer, de sa présence, le sommet de la Francophonie du 12 au 14 août prochain à Kinshasa, faute de la démocratie et du respect des droits de l’homme. </BLOCKQUOTE> |
Tempête des Tropiques, 10 Août 2012 |
KOTA
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