APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
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Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
zobattants a écrit:Voila maintenant Diomi est devenu peau rouge.... LE dernier de mohicans!!!
Et pourquoi ne pas l'appeler Django???
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Dernier_des_Mohicans
LOL!!!!!!
Tout ca pour ne pas comparaitre en justice pour viol sur mineur... Ah ce fameux "Etat de droit"!!!!!!
NgongaEbeti
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
KOTA a écrit:CHER ADMIN,
DIOMI NDONGALA NE RECONNAIT PAS LE RESULTATS DES LEGISLATIVES CAR CEUX- CI ONT ETE FABRIQUES DANS LES BUREAUX DES CENTRES DE COMPILATION DE LA CENI. POUR CELA IL A BOYCOTTE LA PARTICIPATION A CETTE INSTITUION POUR NE PAS DONNER SA CAUTION A LA "POLITIQUE DU FAIT ACCOMPLI" MENEE PAR KABILA IGNORANT LE MANQUE DE LEGITIMITE DE SA "PRESIDENCE" ISSU D UN PUTCH ADMINISTRATIF ET QUI SE SOUTIENT GRACE A UNE MAJORITE ARTIFICIELLE AU PARLEMENT.
C EST CLAIR, NET , PRECIS ET COHERENT
Cher Frère Kota,
Tu sembles botter en touche les réalités pourtant visibles, Diomi a tout pour être un bon leader mais il doit accepter de boire la calice jusqu'à la lie, il ne peut pas et ne doit pas ne poursuivre que des avantages de sa position , il veut la célébrité, être lieutenant de Tshisekedi sans en accepter les inconvénients, s'il doit faire la prison pour ses idées qu'il la fasse, s'il doit renoncer aux privilèges dus à la fonction de parlementaire qu'il le fasse et l'accepte.
Le bât blesse quand il veut le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière , là, là il va à coté de la plaques, soit il lâche Tshisekedi et devient un opposant parlementaire normal, soi il va avec Tshisekedi il en accepte les conséquences (renonciations, arrestations, relégations etc....).
Congomoko
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Congomoko a écrit:KOTA a écrit:CHER ADMIN,
DIOMI NDONGALA NE RECONNAIT PAS LE RESULTATS DES LEGISLATIVES CAR CEUX- CI ONT ETE FABRIQUES DANS LES BUREAUX DES CENTRES DE COMPILATION DE LA CENI. POUR CELA IL A BOYCOTTE LA PARTICIPATION A CETTE INSTITUION POUR NE PAS DONNER SA CAUTION A LA "POLITIQUE DU FAIT ACCOMPLI" MENEE PAR KABILA IGNORANT LE MANQUE DE LEGITIMITE DE SA "PRESIDENCE" ISSU D UN PUTCH ADMINISTRATIF ET QUI SE SOUTIENT GRACE A UNE MAJORITE ARTIFICIELLE AU PARLEMENT.
C EST CLAIR, NET , PRECIS ET COHERENT
Cher Frère Kota,
Tu sembles botter en touche les réalités pourtant visibles, Diomi a tout pour être un bon leader mais il doit accepter de boire la calice jusqu'à la lie, il ne peut pas et ne doit pas ne poursuivre que des avantages de sa position , il veut la célébrité, être lieutenant de Tshisekedi sans en accepter les inconvénients, s'il doit faire la prison pour ses idées qu'il la fasse, s'il doit renoncer aux privilèges dus à la fonction de parlementaire qu'il le fasse et l'accepte.
Le bât blesse quand il veut le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière , là, là il va à coté de la plaques, soit il lâche Tshisekedi et devient un opposant parlementaire normal, soi il va avec Tshisekedi il en accepte les conséquences (renonciations, arrestations, relégations etc....).
Ca c'est trop lui demander car il n'est pas un opposant. C'est un opportuniste qui s'accroche a Tshisekedi car c'est sa seule chance d'exister politiquement au Congo. Vous n'avez qu'a vous referrer a son score electoral depuis 2006 pour vous en convaincre. Tshisekedi n'a rien a gagner de ce genre de personnage qui profite de lui. De toutes les facons, Diomi veut se positionner comme un successeur de Tshisekedi en ignorant que cette place est reservee au fils de Tshisekedi.
Dernière édition par NgongaEbeti le 10/1/2013, 10:24 pm, édité 1 fois
NgongaEbeti
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
POLEMIQUE SANS OBJET: DEMNDEZ CELA AUX WEBMASTERS ET AUTEURS DE KONGOTIME....
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
c'est toi qui nous poster ce lien... pourquoi voudrais-tu que nous contactions le webmaster de kongotime??
Tu devrais nous eclairer sur tes postes ou bien tu as un project du djaleloisme a nous balancer dans ce forum...
Tu devrais nous eclairer sur tes postes ou bien tu as un project du djaleloisme a nous balancer dans ce forum...
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
TRAQUE DES OPPOSANTS EN RDC: VERS L’ELIMINATION POLITIQUE DES « TSHISEKEDISTES » DERANGEURS / TEMPETE DES TROPIQUES 11/01/2013
par mpp le 11 janvier 2013
http://democratiechretienne.org/2013/01/11/traque-des-opposants-en-rdc-vers-lelimination-politique-des-tshisekedistes-derangeurs-tempete-des-tropiques-11012013/
par mpp le 11 janvier 2013
http://democratiechretienne.org/2013/01/11/traque-des-opposants-en-rdc-vers-lelimination-politique-des-tshisekedistes-derangeurs-tempete-des-tropiques-11012013/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
comment est ce serait une elimination politique? Diomi a desavoue sa participation a l'assemblee nationale.
Il est membre actif du MPP qui se bat pour "la verite des urnes"
vraiment... tout parce que akozua lisusu per diem naye te???
Il est membre actif du MPP qui se bat pour "la verite des urnes"
vraiment... tout parce que akozua lisusu per diem naye te???
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Chasse aux Tshisekedistes à l’Assemblée nationale?
L’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) a invalidé, le 8 janvier, le mandat du député d’opposition Roger Lumbala - qui soutient ouvertement la rébellion du M23 - pour absentéisme. Le même jour, l’Assemblée a aussi tranché, cette fois-ci en faveur de la levée d’immunité du député d’opposition, Eugène Diomi Ndongala, accusé de viol sur mineures. Tous deux s’estiment victimes d’une cabale politique visant à neutraliser les soutiens de l’opposant Etienne Tshisekedi.
L’opposant congolais Roger Lumbala a vu son mandat de député invalidé et la raison réglementaire qui a permis cette décision est son absentéisme au Parlement. Ce soutien d’Etienne Tshisekedi s’est réfugié en France l’année dernière après avoir été accusé de complot contre le chef de l’Etat.
Le ministre congolais de l’Intérieur avait alors affirmé que Lumbala était complice du M23. Une accusation pratiquement assumée puisqu’il fait maintenant partie de la délégation rebelle du M23 - il est le n°2 de la délégation - en vue des pourparlers de Kampala, avec le gouvernement congolais. Il dit n’avoir pas adhéré à ce mouvement mais soutenir la même cause.
Parallèlement à l’invalidation du mandat de Lumbala, le ministre congolais de l’Intérieur, Richard Muyej Mangez, a par ailleurs pris un arrêté qui suspend – sur toute l’étendue de la RDC - les activités du parti de Lumbala, le Rassemblement congolais pour la démocratie-national (RCD/N), un ancien mouvement rebelle transformé en parti politique en 2003. Selon le ministre, le parti « cautionne tout ce que le M23 a fait : vols, viols, destructions. Ils en partagent la responsabilité en toute conscience », a-t-il justifié.
Joint par RFI, Roger Lumbala a protesté contre la décision de l’Assemblée nationale qui met en avant son absentéisme. Pour lui, la raison réelle de l’invalidation de son mandat est politique. Il dénonce une entreprise de chasse aux opposants, proches d’Etienne Tshisekedi.
Roger Lumbala, qui risque des poursuites pour « haute trahison », a été candidat à la présidentielle de 2006 et a été réélu, fin 2011, député au nom d’une plateforme politique qu’il a lui-même créée.
Eugène Diomi Ndongala, un opposant « dérangeant »
Pour l’autre opposant congolais, Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne et, par ailleurs, porte-parole de la Majorité présidentielle populaire – groupe de partis qui soutiennent Etienne Tshisekedi – la décision est différente. Son mandat n’est pas remis en cause mais l’Assemblée nationale a décidé de lever son immunité parlementaire.
Cela signifie qu’il peut maintenant être poursuivi par la justice, en l’occurrence pour une affaire de viol sur mineures. Diomi Ndongala avait disparu, l’année dernière, pendant cent jours, « enlevé par les services secrets » disait-il, alors que les autorités congolaises affirmaient qu’il était en cavale.
Pour Diomi Ndonga, joint par RFI, cette affaire est un montage ; il affirme que le pouvoir veut se débarraser de lui parce qu’il dérange.
http://direct.cd/2013/01/10/chasse-aux-tshisekedistes-a-lassemblee-nationale.html
L’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) a invalidé, le 8 janvier, le mandat du député d’opposition Roger Lumbala - qui soutient ouvertement la rébellion du M23 - pour absentéisme. Le même jour, l’Assemblée a aussi tranché, cette fois-ci en faveur de la levée d’immunité du député d’opposition, Eugène Diomi Ndongala, accusé de viol sur mineures. Tous deux s’estiment victimes d’une cabale politique visant à neutraliser les soutiens de l’opposant Etienne Tshisekedi.
L’opposant congolais Roger Lumbala a vu son mandat de député invalidé et la raison réglementaire qui a permis cette décision est son absentéisme au Parlement. Ce soutien d’Etienne Tshisekedi s’est réfugié en France l’année dernière après avoir été accusé de complot contre le chef de l’Etat.
Le ministre congolais de l’Intérieur avait alors affirmé que Lumbala était complice du M23. Une accusation pratiquement assumée puisqu’il fait maintenant partie de la délégation rebelle du M23 - il est le n°2 de la délégation - en vue des pourparlers de Kampala, avec le gouvernement congolais. Il dit n’avoir pas adhéré à ce mouvement mais soutenir la même cause.
Parallèlement à l’invalidation du mandat de Lumbala, le ministre congolais de l’Intérieur, Richard Muyej Mangez, a par ailleurs pris un arrêté qui suspend – sur toute l’étendue de la RDC - les activités du parti de Lumbala, le Rassemblement congolais pour la démocratie-national (RCD/N), un ancien mouvement rebelle transformé en parti politique en 2003. Selon le ministre, le parti « cautionne tout ce que le M23 a fait : vols, viols, destructions. Ils en partagent la responsabilité en toute conscience », a-t-il justifié.
Joint par RFI, Roger Lumbala a protesté contre la décision de l’Assemblée nationale qui met en avant son absentéisme. Pour lui, la raison réelle de l’invalidation de son mandat est politique. Il dénonce une entreprise de chasse aux opposants, proches d’Etienne Tshisekedi.
Roger Lumbala Leader du Rassemblement congolais pour la démocratie-national (RCD/N) Nous attendons que M. Tshisekedi retrouve son imperium afin que la démocratie puisse régner en RDC 09/01/2013 par Olivier Rogez |
Eugène Diomi Ndongala, un opposant « dérangeant »
Pour l’autre opposant congolais, Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne et, par ailleurs, porte-parole de la Majorité présidentielle populaire – groupe de partis qui soutiennent Etienne Tshisekedi – la décision est différente. Son mandat n’est pas remis en cause mais l’Assemblée nationale a décidé de lever son immunité parlementaire.
Cela signifie qu’il peut maintenant être poursuivi par la justice, en l’occurrence pour une affaire de viol sur mineures. Diomi Ndongala avait disparu, l’année dernière, pendant cent jours, « enlevé par les services secrets » disait-il, alors que les autorités congolaises affirmaient qu’il était en cavale.
Pour Diomi Ndonga, joint par RFI, cette affaire est un montage ; il affirme que le pouvoir veut se débarraser de lui parce qu’il dérange.
Eugène Diomi Ndongala Président de la Démocratie chrétienne Je suis l’homme le plus dérangeant par rapport au régime en place http://www.rfi.fr/aef_player_popup/rfi_player 09/01/2013 par Olivier Rogez |
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Si Diomi a refuse de sieger a l'hemicycle, ceci ne veut pas dire qu'il doit automatiquement ignorer sa levee d'immunite.
A mon avis, sa crainte c c q ce regime peut faire avec lui sans protection. Depuis qlq tps, il crie qu'on lui refuse de justice, personne ne dit mot, mais Kanyama peut se permettre de l'arreter au beach pour qu'on lui pose des questions sur sa disparution?
Diomi n'a jamais rejette le mandat qui lui a ete confie par la population, c'est aussi une nuance q nous devons prendre en consideration.
A mon avis, sa crainte c c q ce regime peut faire avec lui sans protection. Depuis qlq tps, il crie qu'on lui refuse de justice, personne ne dit mot, mais Kanyama peut se permettre de l'arreter au beach pour qu'on lui pose des questions sur sa disparution?
Diomi n'a jamais rejette le mandat qui lui a ete confie par la population, c'est aussi une nuance q nous devons prendre en consideration.
Hiro-Hito- Admin
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Si Diomi a refuse de sieger a l'hemicycle, ceci ne veut pas dire qu'il doit automatiquement ignorer sa levee d'immunite.
A mon avis, sa crainte c c q ce regime peut faire avec lui sans protection. Depuis qlq tps, il crie qu'on lui refuse de justice, personne ne dit mot, mais Kanyama peut se permettre de l'arreter au beach pour qu'on lui pose des questions sur sa disparution?
Diomi n'a jamais rejette le mandat qui lui a ete confie par la population, c'est aussi une nuance q nous devons prendre en consideration.
VOUS AVEZ TOUT DIT IMPERATOR AU POINT QU UNE REQUETE EN INCONSTITUTIONNALITE A LA COURS SUPREME A ETE DEJA INTRODUITE HIER CONTRE LA LEVEE DE L IMMUNITE CAR LA PROCEDURE AYANT ABOUTI A CETTE DECISION EST VICIEE DU DEBUT A LA FIN. QUOI DE PLUS NORMAL VUE QU IL S AGIT D UN COMPLOT POLITIQUE VISANT A EMPRISSONER UN DISSIDENT POLITIQUE TROP ACTIF DANS SES ACTIONS DE RESISTANCE?
IL NE FAUT OUBLIER QUE LA CONSTITUTION PRECISE QUE LES REQUETES ADRESSEES A LA COUR SUPREME FAISANT OFFICE DE COUR CONSTITUTIONNELLE ON EFFET SUSPENSIF SUR TOUTE DECISION JUDICIARE OU BIEN ADMINISTRATIVE (art 162 alinea 4 de la Constitution)...
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
REQUETE EN INCOSTITUTIONNALITE DE LA LEVEE DE L’IMMUNITE PARLEMENTAIRE DE L’HONORABLE DIOMI NDONGALA, DEPUTE NATIONAL
par mpp le 12 janvier 2013
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Tags: CONGO, drc, eugene diomi ndongala, PARLEMENT, RDC, republique democratique du congo, REQUETE EN INCONSTITUTIONNALITE CONTRE LEVEE IMMUNITE PARLEMENTAIRE
From: Congo Kinshasa, congo, rdc, diomi ndongala, opposition politique rdc, congo kinshasa, republique democratique du congo, drc, democratie chretienne,, Diomi Ndongala Eugène, DROITS DE L'HOMME EN RDC, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, politique
http://democratiechretienne.org/2013/01/12/requete-en-incostitutionnalite-de-la-levee-de-limmunite-parlementaire-de-lhonorable-diomi-ndongala-depute-national/
par mpp le 12 janvier 2013
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
ceci est en contrediction avec ceque veut nous faire croire notre ami et frère KOTA, diomi akomi kolela makonda na ye
http://radiookapi.net/actualite/2013/01/13/rdc-apres-la-levee-de-son-immunite-parlementaire-diomi-ndongala-saisit-la-cour-supreme/
http://radiookapi.net/actualite/2013/01/13/rdc-apres-la-levee-de-son-immunite-parlementaire-diomi-ndongala-saisit-la-cour-supreme/
piélé de dongo
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LA CONTRADICTION EST EN VOUS PAS DANS NOTRE DEMARCHE
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LA CHASSE AUX SORCIERES AU DETRIMENT DES DISSIDENTS POLITIQUES SE PORTE BIEN EN RDC
LA CHASSE AUX SORCIERES AU DETRIMENT DES DISSIDENTS POLITIQUES SE PORTE BIEN EN RDC
La DEPECHE DE BRAZZAVILLE avec DC
Lundi, 14 Janvier 2013
LA CHASSE AUX SORCIERES AU MOYEN AGE
Mandat invalidé ou encore immunité parlementaire levée, les députés nationaux victimes desdites sanctions pensent être l’objet d’une cabale visant à neutraliser les soutiens politiques d’Étienne Tshisekedi: une moyennageuse chasse aux sorcières est ainsi ouverte par le regime Kabila.
Aujourd’hui plus qu’hier, les Congolais ont intérêt à faire bloc contre toute velléité séparatiste de nature à consacrer le schéma de la balkanisation si cher aux ennemis de la Nation. L’enjeu de la guerre du Kivu sur fond de l’incursion militaire rwandaise via le M23 impose un regain de patriotisme censé dérouter l’ennemi dans son projet de partition du pays. C’est à titre que Joseph Kabila avait, au cours de son dernier message de vœux à la Nation, lancé un vibrant appel à la mobilisation générale et appelé à la cohésion nationale pour mettre fin à la guerre de l’Est. Il avait promis l’organisation, « dès le début de l’année 2013, d’un cadre pour les échanges entre toutes les forces vives de la Nation ». En circonscrivant la cohésion nationale comme thème central sur lequel vont se cristalliser les échanges, Joseph Kabila sait que l’avenir immédiat de la RDC en proie aux groupes armés actifs dans plusieurs coins du pays en dépend.
Cette recherche du consensus national autour de ce qui devra désormais unir les Congolais impose des attitudes et des comportements aux antipodes de l’exclusion et de la haine pour construire un nouveau Congo bâti sur l’amour et la solidarité.
Force est de constater que ces valeurs n’ont pas prises à l’Assemblée nationale où la « chasse aux ‘traites’ et aux dissidents les plus actifs» ainsi décrétée semble avoir pris une tournure dangereuse. Tous les députés qui critique seriusement le regime ou bien soupçonnés de pactiser avec le M23 sont sur la sellette, pataugeant entre deux sanctions extrêmes, soit la levée de leur immunité soit leur exclusion pure et simple. Eugène Diomi Ndongala et Roger Lumbala en ont appris à leurs dépens. Accusé de viol sur mineure, sans aucune preuve à l’ appui, le premier est en attente d’être entendu par le magistrat malgré la legerté des accusations portées contre lui et surtout après avoir été enlévé pendant 100 jours par les services de sécurité. Il sied de souligner qu’Amnesty International avait lancé un appel afin d’obtenir sa libération. Son calvaire continue, à cause d’une machination politique évidente et engendrée par l’intolérance politique.
D’ailleurs, le député Diomi Ndongala vient de saisir la Cours Suprême pour attaquer en incostitutionnalité la décision de la majorité Kabiliste, irregulière et hative, de lever son immunité parlementaire ne respectant même pas le reglement d’ordre intérieur de l’Assemblée Nationale.
Siégeant sur ces cas précis au cours de sa plénière du 8 janvier, l’Assemblée nationale a jugé bon d’invalider le mandat parlementaire de Lumbala et lever l’immunité du député Diomi Ndongala.
La fameuse liste noire
Outre les deux précités, d’autres députés de l’opposition auraient également emprunté la même voie insurrectionnelle et seraient des potentiels candidats à l’invalidation, à l’instar de José Makila. Une liste des membres du M23 proposés aux mandats politiques en circulation à l’hémicycle et dont l’authenticité reste néanmoins sujette à caution, mentionnerait également le nom du président national des Forces novatrices pour l’union et la solidarité (Fonus) Joseph Olenghakoy. Dans les milieux proches de deux opposants, on ne cesse de crier à la manipulation et au complot, ou mieux à un règlement des comptes en niant toute collusion desdits leaders avec le M23.
En soins médicaux aux États-Unis d’Amérique, José Makila a promis de s’expliquer une fois de retour au pays sur ce qu’il qualifie, d’ores et déjà, d’acharnement sur sa personne.
Dans les couloirs du Palais du peuple, il se chuchote que la fameuse liste des « traitres » est longue et que le spectre de l’invalidation plane sur plusieurs députés nationaux.
<BLOCKQUOTE>
Au-delà de toutes ces considérations, il y a lieu de s’interroger sur la pertinence des accusations portées contre les personnalités incriminées lesquelles ont comme trait d’union le fait d’appartenir à » l’opposition » et de soutenir Étienne Tshisekedi.
</BLOCKQUOTE>
« Pour le moment, le pays a besoin de la cohésion nationale et non de la division, des accusations gratuites et non vérifiées », s’est plaint Émery Okundji, membre des Fonus. Tout fait croire à une stratégie montée pour mettre hors d’état de nuire certains cadres de l’opposition connus pour leur bagout.
Et un analyste d’indiquer que le fait d’adhérer au M23 est un engagement personnel pour ceux qui ont souscrit à cette démarche à l’instar de Roger Lumbala. « Le fait de dissoudre son parti politique met le gouvernement à porte-à-faux avec les aspirations de tous ceux qui l’ont élu à l’Assemblée nationale et qui ne partagent pas nécessairement les vues de leur leader. De toute façon, un parti politique est doté d’une personnalité juridique distincte de celle de ses cadres et sympathisants », a-t-il ajouté.
Un coup de pied dans l’eau ?
En fait, la cohésion nationale initiée par Joseph Kabila se donne l’ambition de rapprocher la majorité et l’opposition de sorte à dégager un consensus national susceptible de relancer le pays sur la voie de l’espérance.
« C’est tout de même contradictoire que de prôner la cohésion nationale et de jeter en pâture certains compatriotes en rupture de ban avec l’idéal politique incarné par les institutions issues des scrutins de 2011 », réfléchit-on dans certains cercles.
Le but des négociations de Kampala n’est pas d’exterminer les membres du M23 mais de chercher à vivre avec eux en tant que Congolais, et dans cette perspective, la chasse aux sorciers imprimée à l’Assemblée nationale risque de n’être qu’un simple coup d’épée dans l’eau. La politique étant l’art du compromis, il faudrait se garder de verser dans les extrêmes.
La Depeche de Brazza avec Democratiechretienne.org
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
L’UNION INTERPARLEMENTAIRE, UIP, SE PENCHERA ENCORE SUR LES CAS DIOMI NDONGALA ET CHALUPA ENTRE LE 15 ET LE 18/01/2013 AU CANADA
par mpp le 15 janvier 2013
PRESENTATION DU CAS DE VIOLATION DES DROITS DE PARLEMENTAIRE DE DIOMI NDONGALA AU QUEBEC
L’UIP réunie du 14 au 18 janvier sur les droits de l’homme de parlementaires en RDC
Mardi, 15 Janvier 2013 12:01
L’Union interparlementaire (UIP) se réunit du 14 au 18 janvier à Québec (Canada) pour examiner « les violations des droits de l’homme de parlementaires à Bahreïn, aux Maldives et en République démocratique du Congo », indique-t-elle dans un communiqué parvenu lundi 14 janvier à lepotentieleonline.com.
« Le Comité des droits de l’homme de parlementaires s’interrogera sur les mesures à prendre au sujet de deux parlementaires de l’opposition en République démocratique du Congo, MM. Eugène Diomi Ndongala et Pierre Jacques Chalupa. Il s’était dit vivement préoccupé par leur situation dans une résolution adoptée à l’Assemblée tenue par l’UIP à Québec, en octobre dernier », souligne-t-elle.
Ce Comité est actuellement saisi de 83 cas concernant 233 parlementaires de 39 pays, répartis sur l’ensemble des continents, qui portent sur des disparitions, des atteintes à la liberté d’expression, des cas de harcèlement, des accusations pénales à mobile politique, des arrestations illégales et des détentions arbitraires, parmi d’autres violations des droits de l’homme.
La session permettra aussi au Comité d’entendre les autorités parlementaires de Bahreïn sur le dossier de Matar Ebrahim Matar et de Jawad Fairuz Ghuloom, qui auraient fait l’objet d’arrestations et de détentions arbitraires, ainsi que de mauvais traitements. M. Ghuloom fait partie des 31 militants de l’opposition qui se sont vus déchoir de la nationalité bahreïnite au mois de novembre 2012.
« Cette audition fait suite à une résolution que l’UIP a adoptée à sa 127ème Assemblée, à Québec (Canada), au mois d’octobre, et dans laquelle elle se disait préoccupée par les efforts déployés pour étouffer l’opposition et s’inquiétait de ce que personne n’ait eu à rendre de comptes au sujet des mauvais traitements qui auraient été infligés aux deux parlementaires », rappelle le communiqué.
Le Comité des droits de l’homme des parlementaires s’intéressera également aux conclusions d’une mission de droits de l’homme que l’UIP a dépêchée aux Maldives en novembre dernier, pour réunir des preuves directes au sujet des allégations de mauvais traitements, de détention et de harcèlement à l’encontre de 19 parlementaires de l’opposition. Il s’est déjà dit préoccupé que la violence politique et l’intimidation de parlementaires n’aient pas cessé depuis le début de la crise politique en février 2012, et que les responsables n’aient pas été poursuivis.
« Le Comité des droits de l’homme des parlementaires de l’UIP fondé en 1976 doit également connaître d’un certain nombre de dossiers anciens et toujours non résolus portant notamment sur des cas de disparition de parlementaires au Bélarus, en Erythrée et au Rwanda. Enfin, il traite aussi de cas très médiatisés comme ceux de Sam Rainsy au Cambodge, d’Anwar Ibrahim en Malaisie, de Fawzia Koofi en Afghanistan ou de Jatuporn Prompan en Thaïlande », signale le même communiqué.
Organisation mondiale des parlements, l’UIP œuvre en faveur de la démocratie, de la paix et de la coopération entre les peuples. La plus ancienne organisation politique internationale, créée en 1889, l’UIP est le foyer de la concertation interparlementaire à l’échelle mondiale. Elle réunit 162 parlements membres et dix assemblée régionales associées.
Bras de fer entre la CSJ et l’UIP
La Cour suprême de justice (CSJ), qui juge ses arrêts « inattaquables » et évoque le fait qu’« il n’y a aucun accord ni traité qui lie l’UIP » à la justice congolaise, a rejeté le jeudi 10 janvier à Kinshasa la Résolution de l’UIP exigeant la réintégration de 32 députés qu’elle avait invalidés en avril 2012.
« Même l’Assemblée nationale n’a pas le droit d’exécuter une telle résolution. Car, les arrêts de la Cour restent inattaquables. Il n’y a aucun accord ni traité qui lie l’UIP à la justice congolaise. Cette dernière ne collabore qu’avec la Cour pénale internationale (CPI) et l’Ohada », a déclaré à Radio Okapi une source proche du cabinet du premier président de la CSJ, a-t-elle affirmé.
Selon la radio onusienne, « à la Cour suprême de justice, les hauts magistrats se disent choqués par ce qu’ils qualifient +d’ingérence d’une association internationale+ dans la justice congolaise ».
« L’Union parlementaire constate avec une profonde préoccupation que les arrêts de la Cour suprême de justice du 25 avril 2012 ayant proclamé l’invalidation de 32 députés sont entachés de graves irrégularités procédurales et de violations des droits de la défense; que les recours en rectification d’erreurs matérielles introduits par 30 des députés invalidés n’ont pas permis que les dossiers fassent l’objet d’un nouvel examen au fond», dit la Résolution adoptée par consensus par son Conseil directeur à sa 191ème session le 24 octobre 2012 à Québec (Canada).
« L’UIP rappelle fermement que l’invalidation arbitraire de résultats d’élections, en faussant la vérité des urnes, viole non seulement le droit des intéressés d’exercer le mandat parlementaire qu’ils tiennent du peuple, mais aussi le droit des électeurs de choisir leurs représentants; regrette profondément que, malgré les résolutions adoptées par le Conseil directeur dans le cas des 18 députés invalidés en 2007 par la Cour suprême dans des circonstances similaires, une telle situation puisse se répéter », avait relevé la Résolution de l’UIP.
De ce fait, elle avait prié son « secrétaire général de communiquer la présente résolution au président de l’Assemblée nationale et à toutes les autorités compétentes, y compris au chef de l’Etat », et « le Comité de poursuivre l’examen de ce cas et de lui faire rapport en temps utile ».
LEPOTENTIEL.COM 15/01/2013
http://democratiechretienne.org/2013/01/15/lunion-interparlementaire-uip-se-penchera-encore-sur-les-cas-diomi-ndongala-et-chalupa-entre-le-15-et-le-18012013-au-canada/
par mpp le 15 janvier 2013
PRESENTATION DU CAS DE VIOLATION DES DROITS DE PARLEMENTAIRE DE DIOMI NDONGALA AU QUEBEC
L’UIP réunie du 14 au 18 janvier sur les droits de l’homme de parlementaires en RDC
Mardi, 15 Janvier 2013 12:01
L’Union interparlementaire (UIP) se réunit du 14 au 18 janvier à Québec (Canada) pour examiner « les violations des droits de l’homme de parlementaires à Bahreïn, aux Maldives et en République démocratique du Congo », indique-t-elle dans un communiqué parvenu lundi 14 janvier à lepotentieleonline.com.
« Le Comité des droits de l’homme de parlementaires s’interrogera sur les mesures à prendre au sujet de deux parlementaires de l’opposition en République démocratique du Congo, MM. Eugène Diomi Ndongala et Pierre Jacques Chalupa. Il s’était dit vivement préoccupé par leur situation dans une résolution adoptée à l’Assemblée tenue par l’UIP à Québec, en octobre dernier », souligne-t-elle.
Ce Comité est actuellement saisi de 83 cas concernant 233 parlementaires de 39 pays, répartis sur l’ensemble des continents, qui portent sur des disparitions, des atteintes à la liberté d’expression, des cas de harcèlement, des accusations pénales à mobile politique, des arrestations illégales et des détentions arbitraires, parmi d’autres violations des droits de l’homme.
La session permettra aussi au Comité d’entendre les autorités parlementaires de Bahreïn sur le dossier de Matar Ebrahim Matar et de Jawad Fairuz Ghuloom, qui auraient fait l’objet d’arrestations et de détentions arbitraires, ainsi que de mauvais traitements. M. Ghuloom fait partie des 31 militants de l’opposition qui se sont vus déchoir de la nationalité bahreïnite au mois de novembre 2012.
« Cette audition fait suite à une résolution que l’UIP a adoptée à sa 127ème Assemblée, à Québec (Canada), au mois d’octobre, et dans laquelle elle se disait préoccupée par les efforts déployés pour étouffer l’opposition et s’inquiétait de ce que personne n’ait eu à rendre de comptes au sujet des mauvais traitements qui auraient été infligés aux deux parlementaires », rappelle le communiqué.
Le Comité des droits de l’homme des parlementaires s’intéressera également aux conclusions d’une mission de droits de l’homme que l’UIP a dépêchée aux Maldives en novembre dernier, pour réunir des preuves directes au sujet des allégations de mauvais traitements, de détention et de harcèlement à l’encontre de 19 parlementaires de l’opposition. Il s’est déjà dit préoccupé que la violence politique et l’intimidation de parlementaires n’aient pas cessé depuis le début de la crise politique en février 2012, et que les responsables n’aient pas été poursuivis.
« Le Comité des droits de l’homme des parlementaires de l’UIP fondé en 1976 doit également connaître d’un certain nombre de dossiers anciens et toujours non résolus portant notamment sur des cas de disparition de parlementaires au Bélarus, en Erythrée et au Rwanda. Enfin, il traite aussi de cas très médiatisés comme ceux de Sam Rainsy au Cambodge, d’Anwar Ibrahim en Malaisie, de Fawzia Koofi en Afghanistan ou de Jatuporn Prompan en Thaïlande », signale le même communiqué.
Organisation mondiale des parlements, l’UIP œuvre en faveur de la démocratie, de la paix et de la coopération entre les peuples. La plus ancienne organisation politique internationale, créée en 1889, l’UIP est le foyer de la concertation interparlementaire à l’échelle mondiale. Elle réunit 162 parlements membres et dix assemblée régionales associées.
Bras de fer entre la CSJ et l’UIP
La Cour suprême de justice (CSJ), qui juge ses arrêts « inattaquables » et évoque le fait qu’« il n’y a aucun accord ni traité qui lie l’UIP » à la justice congolaise, a rejeté le jeudi 10 janvier à Kinshasa la Résolution de l’UIP exigeant la réintégration de 32 députés qu’elle avait invalidés en avril 2012.
« Même l’Assemblée nationale n’a pas le droit d’exécuter une telle résolution. Car, les arrêts de la Cour restent inattaquables. Il n’y a aucun accord ni traité qui lie l’UIP à la justice congolaise. Cette dernière ne collabore qu’avec la Cour pénale internationale (CPI) et l’Ohada », a déclaré à Radio Okapi une source proche du cabinet du premier président de la CSJ, a-t-elle affirmé.
Selon la radio onusienne, « à la Cour suprême de justice, les hauts magistrats se disent choqués par ce qu’ils qualifient +d’ingérence d’une association internationale+ dans la justice congolaise ».
« L’Union parlementaire constate avec une profonde préoccupation que les arrêts de la Cour suprême de justice du 25 avril 2012 ayant proclamé l’invalidation de 32 députés sont entachés de graves irrégularités procédurales et de violations des droits de la défense; que les recours en rectification d’erreurs matérielles introduits par 30 des députés invalidés n’ont pas permis que les dossiers fassent l’objet d’un nouvel examen au fond», dit la Résolution adoptée par consensus par son Conseil directeur à sa 191ème session le 24 octobre 2012 à Québec (Canada).
« L’UIP rappelle fermement que l’invalidation arbitraire de résultats d’élections, en faussant la vérité des urnes, viole non seulement le droit des intéressés d’exercer le mandat parlementaire qu’ils tiennent du peuple, mais aussi le droit des électeurs de choisir leurs représentants; regrette profondément que, malgré les résolutions adoptées par le Conseil directeur dans le cas des 18 députés invalidés en 2007 par la Cour suprême dans des circonstances similaires, une telle situation puisse se répéter », avait relevé la Résolution de l’UIP.
De ce fait, elle avait prié son « secrétaire général de communiquer la présente résolution au président de l’Assemblée nationale et à toutes les autorités compétentes, y compris au chef de l’Etat », et « le Comité de poursuivre l’examen de ce cas et de lui faire rapport en temps utile ».
LEPOTENTIEL.COM 15/01/2013
http://democratiechretienne.org/2013/01/15/lunion-interparlementaire-uip-se-penchera-encore-sur-les-cas-diomi-ndongala-et-chalupa-entre-le-15-et-le-18012013-au-canada/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
« Quand ils sont venus chercher les communistes,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas communiste
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas syndicaliste
Quand ils sont venus chercher les juifs,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas juif
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
... je n’ai rien dit.
je n’étais pas catholique
Et, puis ils sont venus me chercher.
Et il ne restait plus personne pour protester »
Pasteur Martin Niemöller
je n’ai rien dit.
je n’étais pas communiste
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas syndicaliste
Quand ils sont venus chercher les juifs,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas juif
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
... je n’ai rien dit.
je n’étais pas catholique
Et, puis ils sont venus me chercher.
Et il ne restait plus personne pour protester »
Pasteur Martin Niemöller
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
RDC : « Deux opposants enlevés » selon la Démocratie Chrétienne le 18/01/2013/AFRIKARABIA
par mpp le 20 janvier 2013
RDC : « Deux opposants enlevés » selon la Démocratie Chrétienne le 18/01/2013
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Un parti d’opposition de République démocratique du Congo dénonce l’enlèvement de deux membres de la Démocratie Chrétienne (DC), dans la nuit du 17 au 18 janvier 2013. Verdict Nkoba Mituntia et Stallone Katumba François auraient été embarqués par des hommes en armes et conduits « vers une destination inconnue« , selon le mouvement politique. Ces deux opposants préparaient une manifestation du parti, prévue ce samedi à Kinshasa.
</BLOCKQUOTE>
Un communiqué de la Démocratie Chrétienne (DC), le parti de l’opposant Diomi Ndongala, a annoncé ce samedi, l’arrestation de deux de ses membres.
Selon Marc Mawete, le porte-parole du mouvement, Verdict Nkoba Mituntia et Stallone Katumba François auraient été arrêtés en pleine nuit, à leurs domiciles, par des hommes en armes. Toujours selon le parti d’opposition, Verdict Nkoba Mituntia, responsable de la communication du parti, aurait été enlevé dans la nuit du 17 au 18 janvier 2013 par des hommes de la Police militaire et d’autres hommes en civil, dans sa résidence de l’avenue Buta à Kinshasa.
Le second, Stallone Katumba François, responsable de la jeunesse de la DC et de la Majorité présidentielle populaire (MPP) aurait été enlevé la même nuit. Les deux hommes préparaient pour le lendemain, samedi 19 janvier, une manifestation du parti.
La Démocratie Chrétienne rappelle que depuis le 27 juin 2012, les membres ce parti font l’objet « d’arrestations arbitraires de la part des services de sécurité« . A cette date, plusieurs militants du mouvement de Diomi Ndongala, « avaient été arrêtés et conduits au camp Lufungula« , puis « enfermés pendant une semaine« .
Le même jour, c’était au tour du leader du mouvement, Diomi Ndongala, d’être « enlevé et tenu au secret pendant 100 jours » par différents services de sécurité congolais. Les autorités congolaises avait maintenu pendant toute l’affaire que Diomi Ndongala s’était enfui « pour échapper à une accusation de viol sur mineure« .
Diomi Ndongala avait toujours démenti ces allégations et accusait le régime de Kinshasa de vouloir « se débarrasser d’un opposant politique« .
En octobre 2012, trois membres de la Démocratie Chrétienne avaient également été enlevés à proximité du siège du parti, sur la commune de la Gombe, à Kinshasa. Héritier Kazadi, Jean-Paul Mabondo et Jean-Claude Yongo Kasele sont restés « 30 jours au secret, dans les cellules de l’ANR« , les services de renseignements congolais.
Le parti, qui s’estime la cible d’attaques politiques, dénonce une véritable « chasse aux sorcières » de la part du régime du président Joseph Kabila et la volonté d’éliminer les « tshisekedistes« , les partisans d’Etienne Tshisekedi. La DC accuse le pouvoir de détenir une « liste noire » des opposants à museler. Notamment des personnalités comme José Makila ou Joseph Olenghakoy. Les autorités congolaises ont toujours fermement récusé ces allégations.
Christophe RIGAUD – Afrikarabia
http://afrikarabia.blogspirit.com/archive/2013/01/19/rdc-deux-opposants-enleves-selon-la-democratie-chretienne.html
FLASH: LA TRAQUE DES MILITANTS DE LA DC ET MPP CONTINUE: ENCORE DES ENLEVEMENTS DE MILITANTS LA NUIT DU 18/01/13 A 2 HEURES DU MATIN
par mpp le 18 janvier 2013
M. STALLONE KATUMBA MUMPOY , MPP
A GAUCHE M.ME KABUNGANA MARIE JOSE ET A DROITE PAPA KATUMBA FRANCOIS
M. VERDICT VERDICT NKOBA MITUNTIA, CHARGE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE A LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC
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MISE A JOUR DU 21/01/2013:
LA FAMILLE DE M. STALLONE KATUMBA FRANCOIS NOUS
SIGNALE QUE LA NUIT ENTRE LE 17/01/2013 ET LE 18/01/2013 ONT ETE ENLEVES PAR DES MILITAIRES ARMES AUSSI LE PERE -PAPA KATUMBA FRANCOIS -, LA MERE DE M. STALLONE KATUMBA - M.ME KABUNGANA MARIE JOSE. A CE JOUR, LES FAMILLES DES PERSONNES ENLEVEES N ONT PAS ENCORE DES NOUVELLES DE LEURS PROCHES QUI SONT
TOUS DETENUS AU SECRET.
MISE A JOUR DU 19/01/2013
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC EN SIGLE, DENONCE LES ENELVEMENTS DE 2 MEMBRES DE LA DC ET DE LA PLATEFORME POLITIQUE MPP, MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, LA NUIT ENTRE LE 17/01/13 ET LE 18/01/2013.
A PARTIR DE DEUX HEURES DU MATIN.
EN PARTICULIER, LA DC DEPLORE L ENLEVEMENT A DEUX HEURES DU MATIN DE M. VERDICT NKOBA MITUNTIA ET M. STALLONE KATUMBA MUMPOY .
LE PREMIER EST UN JOURNALISTE, RESPONSABLE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE AU SEIN DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE.
IL A ETE ENLEVE EN PLEINE NUIT PAR DES MILITAIRES DE LA PM ET D’ AUTRES PERSONNES EN UNIFORME ET EN CIVIL A SA RESIDENCE, AV. BUTA, N° 279 LINNGWALA – KINSHASA
LE DEUXIEME, M. STALLONE KATUMBA FRANCOIS EST UN RESPONSABLE DE LA JEUNESSE DE LA MPP, MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE. IL A ETE AUSSI ENLEVE EN PLEINE NUIT CHEZ LUI A LA MAISON SISE SUR AVENUE MBOMU N° 196 QUARTIER WENZE, LINGWALA – KINSHASA. LES MEMBRES DE SA FAMILLE ONT AUSSI CONFIRME QUE DES MILITAIRES PM ACCOMPAGNES D AUTRES MILITAIRES ET CIVILS L’ONT ENLEVE ET CONDUIT VERS UNE DESTINATION INCONNUE.
D’ AUTRES MEMBRES DE LA MPP AURAIENT ETE ARRETES CETTE NUIT, SELON DES VERIFICATIONS QUI SONT EN COURS.
M. STALLONE ET M. VERDICT ETAIENT CHARGE DE LA PREPARATION D’ UNE MANIFESTATION DU PARTI QUI AURAIT DU AVOIR LIEU SAMEDI 19/01/2013 A 10H00.
IL SIED DE SOULIGNER QUE DEPUIS LE 27/06/2012, LES MEMBRES DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE FONT L’ OBJET D’ ARRESTATIONS ARBITRAIRES DE LA PART DES SERVICES DE SECURITE. LE 26 ET 27/06/2012 PLUSIEURS MILITANTS DE LA DC AVAIENT ETE ARRETES ET CONDUITS AU CAMP LUFUNGULA OU ILS SONT RESTES PENDANT UNE SEMAINE.
LE 27/06/2012 LE PRESIDENT DE LA DC, HON. EUGENE DIOMI NDONGALA, AVAIT ETE ENLEVE ET DETENU AU SECRET PENDANT 100 JOURS PAR LES SERVICES DE SECURITE.
AU MOIS D OCTOBRE 2012, 3 MEMBRES DE LA DC AVAIENT ETE ENLEVES EN PROXIMITE DU SIEGE DU PARTI A LA GOMBE ET PAR LA SUITE DETENUS AU SECRET AU COMMISSARAIT REGINA ET A L’ ANR PENDANT 30 JOURS: IL S AGIT DE M. HERITIER KAZADI, M. JEAN PAUL MABONDO ET M. JEAN CLAUDE YONGO KASELE.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC, DEPLORE LA TRAQUE DE SES MEMBRES PAR LES SERVICES DE SECURITE ET DEMANDE QUE LES GARANTIES DE DROIT SOIENT RECONNUES A SES MILITANTS AINSI QU AUX MEMBRES DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP. LA DC EXIGE LA LIBERATION IMMEDIATE DE M. VERDICT NKOBA, CHARGE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE, AINSI QUE DE M. STALLONE KATUMBA FRANCOIS, MEMBRE DE LA MPP.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO,
KINSHASA, 18/01/2013
MARC MAWETE
PORTE PAROLE DE LA DC
http://democratiechretienne.org/2013/01/18/flash-la-traque-des-militants-de-la-dc-et-mpp-continue-encore-des-enlevements-de-militants-cette-nuit-a-2-heures-du-matin/
par mpp le 20 janvier 2013
RDC : « Deux opposants enlevés » selon la Démocratie Chrétienne le 18/01/2013
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Un parti d’opposition de République démocratique du Congo dénonce l’enlèvement de deux membres de la Démocratie Chrétienne (DC), dans la nuit du 17 au 18 janvier 2013. Verdict Nkoba Mituntia et Stallone Katumba François auraient été embarqués par des hommes en armes et conduits « vers une destination inconnue« , selon le mouvement politique. Ces deux opposants préparaient une manifestation du parti, prévue ce samedi à Kinshasa.
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Un communiqué de la Démocratie Chrétienne (DC), le parti de l’opposant Diomi Ndongala, a annoncé ce samedi, l’arrestation de deux de ses membres.
Selon Marc Mawete, le porte-parole du mouvement, Verdict Nkoba Mituntia et Stallone Katumba François auraient été arrêtés en pleine nuit, à leurs domiciles, par des hommes en armes. Toujours selon le parti d’opposition, Verdict Nkoba Mituntia, responsable de la communication du parti, aurait été enlevé dans la nuit du 17 au 18 janvier 2013 par des hommes de la Police militaire et d’autres hommes en civil, dans sa résidence de l’avenue Buta à Kinshasa.
Le second, Stallone Katumba François, responsable de la jeunesse de la DC et de la Majorité présidentielle populaire (MPP) aurait été enlevé la même nuit. Les deux hommes préparaient pour le lendemain, samedi 19 janvier, une manifestation du parti.
La Démocratie Chrétienne rappelle que depuis le 27 juin 2012, les membres ce parti font l’objet « d’arrestations arbitraires de la part des services de sécurité« . A cette date, plusieurs militants du mouvement de Diomi Ndongala, « avaient été arrêtés et conduits au camp Lufungula« , puis « enfermés pendant une semaine« .
Le même jour, c’était au tour du leader du mouvement, Diomi Ndongala, d’être « enlevé et tenu au secret pendant 100 jours » par différents services de sécurité congolais. Les autorités congolaises avait maintenu pendant toute l’affaire que Diomi Ndongala s’était enfui « pour échapper à une accusation de viol sur mineure« .
Diomi Ndongala avait toujours démenti ces allégations et accusait le régime de Kinshasa de vouloir « se débarrasser d’un opposant politique« .
En octobre 2012, trois membres de la Démocratie Chrétienne avaient également été enlevés à proximité du siège du parti, sur la commune de la Gombe, à Kinshasa. Héritier Kazadi, Jean-Paul Mabondo et Jean-Claude Yongo Kasele sont restés « 30 jours au secret, dans les cellules de l’ANR« , les services de renseignements congolais.
Le parti, qui s’estime la cible d’attaques politiques, dénonce une véritable « chasse aux sorcières » de la part du régime du président Joseph Kabila et la volonté d’éliminer les « tshisekedistes« , les partisans d’Etienne Tshisekedi. La DC accuse le pouvoir de détenir une « liste noire » des opposants à museler. Notamment des personnalités comme José Makila ou Joseph Olenghakoy. Les autorités congolaises ont toujours fermement récusé ces allégations.
Christophe RIGAUD – Afrikarabia
http://afrikarabia.blogspirit.com/archive/2013/01/19/rdc-deux-opposants-enleves-selon-la-democratie-chretienne.html
FLASH: LA TRAQUE DES MILITANTS DE LA DC ET MPP CONTINUE: ENCORE DES ENLEVEMENTS DE MILITANTS LA NUIT DU 18/01/13 A 2 HEURES DU MATIN
par mpp le 18 janvier 2013
M. STALLONE KATUMBA MUMPOY , MPP
A GAUCHE M.ME KABUNGANA MARIE JOSE ET A DROITE PAPA KATUMBA FRANCOIS
M. VERDICT VERDICT NKOBA MITUNTIA, CHARGE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE A LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC
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MISE A JOUR DU 21/01/2013:
LA FAMILLE DE M. STALLONE KATUMBA FRANCOIS NOUS
SIGNALE QUE LA NUIT ENTRE LE 17/01/2013 ET LE 18/01/2013 ONT ETE ENLEVES PAR DES MILITAIRES ARMES AUSSI LE PERE -PAPA KATUMBA FRANCOIS -, LA MERE DE M. STALLONE KATUMBA - M.ME KABUNGANA MARIE JOSE. A CE JOUR, LES FAMILLES DES PERSONNES ENLEVEES N ONT PAS ENCORE DES NOUVELLES DE LEURS PROCHES QUI SONT
TOUS DETENUS AU SECRET.
MISE A JOUR DU 19/01/2013
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC EN SIGLE, DENONCE LES ENELVEMENTS DE 2 MEMBRES DE LA DC ET DE LA PLATEFORME POLITIQUE MPP, MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, LA NUIT ENTRE LE 17/01/13 ET LE 18/01/2013.
A PARTIR DE DEUX HEURES DU MATIN.
EN PARTICULIER, LA DC DEPLORE L ENLEVEMENT A DEUX HEURES DU MATIN DE M. VERDICT NKOBA MITUNTIA ET M. STALLONE KATUMBA MUMPOY .
LE PREMIER EST UN JOURNALISTE, RESPONSABLE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE AU SEIN DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE.
IL A ETE ENLEVE EN PLEINE NUIT PAR DES MILITAIRES DE LA PM ET D’ AUTRES PERSONNES EN UNIFORME ET EN CIVIL A SA RESIDENCE, AV. BUTA, N° 279 LINNGWALA – KINSHASA
LE DEUXIEME, M. STALLONE KATUMBA FRANCOIS EST UN RESPONSABLE DE LA JEUNESSE DE LA MPP, MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE. IL A ETE AUSSI ENLEVE EN PLEINE NUIT CHEZ LUI A LA MAISON SISE SUR AVENUE MBOMU N° 196 QUARTIER WENZE, LINGWALA – KINSHASA. LES MEMBRES DE SA FAMILLE ONT AUSSI CONFIRME QUE DES MILITAIRES PM ACCOMPAGNES D AUTRES MILITAIRES ET CIVILS L’ONT ENLEVE ET CONDUIT VERS UNE DESTINATION INCONNUE.
D’ AUTRES MEMBRES DE LA MPP AURAIENT ETE ARRETES CETTE NUIT, SELON DES VERIFICATIONS QUI SONT EN COURS.
M. STALLONE ET M. VERDICT ETAIENT CHARGE DE LA PREPARATION D’ UNE MANIFESTATION DU PARTI QUI AURAIT DU AVOIR LIEU SAMEDI 19/01/2013 A 10H00.
IL SIED DE SOULIGNER QUE DEPUIS LE 27/06/2012, LES MEMBRES DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE FONT L’ OBJET D’ ARRESTATIONS ARBITRAIRES DE LA PART DES SERVICES DE SECURITE. LE 26 ET 27/06/2012 PLUSIEURS MILITANTS DE LA DC AVAIENT ETE ARRETES ET CONDUITS AU CAMP LUFUNGULA OU ILS SONT RESTES PENDANT UNE SEMAINE.
LE 27/06/2012 LE PRESIDENT DE LA DC, HON. EUGENE DIOMI NDONGALA, AVAIT ETE ENLEVE ET DETENU AU SECRET PENDANT 100 JOURS PAR LES SERVICES DE SECURITE.
AU MOIS D OCTOBRE 2012, 3 MEMBRES DE LA DC AVAIENT ETE ENLEVES EN PROXIMITE DU SIEGE DU PARTI A LA GOMBE ET PAR LA SUITE DETENUS AU SECRET AU COMMISSARAIT REGINA ET A L’ ANR PENDANT 30 JOURS: IL S AGIT DE M. HERITIER KAZADI, M. JEAN PAUL MABONDO ET M. JEAN CLAUDE YONGO KASELE.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC, DEPLORE LA TRAQUE DE SES MEMBRES PAR LES SERVICES DE SECURITE ET DEMANDE QUE LES GARANTIES DE DROIT SOIENT RECONNUES A SES MILITANTS AINSI QU AUX MEMBRES DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP. LA DC EXIGE LA LIBERATION IMMEDIATE DE M. VERDICT NKOBA, CHARGE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE, AINSI QUE DE M. STALLONE KATUMBA FRANCOIS, MEMBRE DE LA MPP.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO,
KINSHASA, 18/01/2013
MARC MAWETE
PORTE PAROLE DE LA DC
http://democratiechretienne.org/2013/01/18/flash-la-traque-des-militants-de-la-dc-et-mpp-continue-encore-des-enlevements-de-militants-cette-nuit-a-2-heures-du-matin/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
http://democratiechretienne.org/2013/01/23/la-diaspora-proteste-contre-lintolerance-dont-sont-victimes-la-democratie-chretienne-et-la-mppvideo/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
AFFAIRE DIOMI NDONGALA :LE DEPUTE OTAGE DU REGIME KABILA. UN CAS FLAGRANT DE JUSTICE INSTRUMENTALISEE AU SERVICE DE L’INTOLERANCE ET DE LA REPRESSION POLITIQUE.
par mpp le 1 mars 2013
MEMORANDUM
AFFAIRE DIOMI NDONGALA :LE DEPUTE OTAGE DU REGIME KABILA
UN CAS FLAGRANT DE JUSTICE INSTRUMENTALISEE AU SERVICE DE L’INTOLERANCE ET DE LA REPRESSION POLITIQUE.
CHRONOLOGIE DES FAITS
26/06/2012 :
Le député National Eugène Diomi Ndongala projette pour le lendemain, le 27/06/2012, une manifestation de signature de la Charte Constitutive de la plateforme politique Majorité présidentielle Populaire, MPP, qui devra avoir lieu dans la salle de la Cathédrale Notre Dame du Congo à Lingwala. A cet effet, il reçoit des nombreuses délégations de partis et organisations politiques au siège de la Démocratie Chrétienne, DC, sur Avenue Colonel Ebeya 7/b. Il quitte les locaux à environ 17h30, avec le véhicule d’un membre du parti, sa voiture étant en panne.
Le 26/06/2013 à 21h30, une dizaine de jeeps de policiers avec plus d’une quarantaine d’hommes armés dirigés par le Colonel Kanyama en personne, descendent nuitamment au siège de la Démocraties Chrétienne. Ils pénètrent dans les locaux de la DC, cassent toutes les portes et s’approprient de tous les documents et biens de valeur qu’ils trouvent dans les bureaux et dans un chantier en construction dans la même parcelle. Ils ne sont porteurs d’aucun document officiel. Les policiers occuperont les locaux de la Démocratie Chrétienne, sans aucun document de saisi des lieux ou mandat, pendant plus de deux mois. Ils seront délogés après deux mois par des inspecteurs de l’auditorat militaire qui néanmoins ne poursuivront pas les coupables des délits de destruction méchante et vol et encore moins la descente illégale de Kanyama, la nuit, au siège d’un parti politique de l’opposition, la veille d’une manifestation politique.
27/06/2013 :
Le président de la Démocratie Chrétienne quitte son domicilie à environ 11h00 pour se rendre à la Cathédrale Notre Dame du Congo. Il est sans garde de corps. Il sera intercepté en cours de route par des éléments des services de sécurité qui prendront le contrôle de son véhicule et l’amèneront dans un lieu non identifié (safe house de l’Anr) où il sera détenus pendant environ 100 jours. Pendant sa détention il sera à trois reprises interrogées sur ses rapports avec Etienne Tshisekedi ainsi que la stratégie envisagée afin de récupérer l’ « imperium » après les élections contestées de novembre 2011.
11/10/2012 :
Le Député Diomi Ndongala est libéré, la nuit, sur la route Avenue de Matadi, à la veille de la tenue à Kinshasa du Sommet de la Francophonie, où les violations des droits de l’homme et des droits civils et politiques par le régime en place s’annoncent déjà au centre des discussions du sommet. Le régime kabila veut manifestement offrir un gage de bonne fois aux organisateurs du sommet en libérant Diomi Ndongala.
13/10/2012 :
Trois militants de la DC sont encore enlevés au siège de la DC sur Avenue Colonel Ebeya par les services de sécurité et détenus au secret pendant un mois dans les locaux de l’Anr (M. HERITIER KAZADI, M. JEAN PAUL MABONDO ET M. JEAN CLAUDE YONGO KASELE).
Une fois terminé le sommet de la Francophonie – caractérisé par la dénonciation de l’intolérance politique et le violations des droits de l’homme en RDC – la majorité acquise au Président kabila lance la procédure de levée de l’immunité du député Diomi Ndongala, sur la base d’une accusation montée de toute pièce de viol que le régime compte exploiter contre le Député Diomi Ndongala pour le discréditer et – selon le complot initialement prévu – pour le soumettre à un procès infamant et expéditif afin de le neutraliser politiquement.
18/10/2012:
Le député Diomi Ndongala doit subir une délicate intervention chirurgicale en urgence, à la suite des séquelles physiques provoquées par les mauvaises conditions de sa détention au secret. Les agents de l’ Anr se manifesteront continuellement à l’Hôpital, exerçant même des pressions sur les responsables de l’Hôpital de l’Alliance Congolo-Chinoise de Ndjili pour que les soins ne soient pas prêtés à Diomi Ndongala.
La famille Diomi a dû, à plusieurs reprises, alerter la Monusco et les ONG tant nationales qu’internationales des droits de l’homme pour obtenir leur soutien afin que les soins urgentes soient prêtés à Diomi Ndongala, qui demeurera interné à l’hôpital pendant deux semaines.
Au cours de la procédure de levée de l’immunité, le parlement décidé d’ignorer la gravité de l’état de santé du député Diomi Ndongala, qui a d’ailleurs subi une délicate intervention chirurgicale just ‘après sa libération.
Egalement, le Parlement décide d’ignorer la demande de l’Union interparlementaire et de la famille Diomi de mettre en place une commission d’enquête pour investiguer sur les responsables de l’enlèvement du député de l’opposition.
A la place, une commission – composée essentiellement de députés de la majorité kabiliste – est mise en place en violation du règlement d’ordre intérieur pour la levée de l’immunité de celui-ci.
Le député Diomi Ndongala, par le biais de ses avocats, attaque la mise en place de la commission ad hoc devant la Cour Suprême pour inconstitutionnalité de la procédure ayant abouti à sa mise en place. Le Parlement ignore la saisine et son caractère suspensif de tout acte administratif et judiciaire, et, illégalement, lève l’immunité parlementaire le 06/01/2013, malgré le manque total de crédibilité et l’absence de preuves pouvant fonder les accusations fantaisistes portées contre le député Diomi Ndongala.
28/12/2012 :
Le député Diomi Ndongala demande et obtient un laisser-passer d’un jour pour se rendre à Brazzaville afin de se soumettre à des examens toxicologiques qu’il ne peut pas passer à Kinshasa, faute de laboratoire capable de les effectuer. En effet, des indices d’empoisonnement sont détectés par un médecin congolais sur sa personne.
Il obtient son laisser-passer en présentant officiellement son document d’identité mais au moment d’embarquer pour Brazzaville, il est arrêté par des éléments de l’Anr qui essayent de l’amener de force dans les locaux de l’agence. Face à son refus catégorique et grâce à l’intervention de certains officiels de la Monusco alertés, il sera retenu 4 heures au Beach Ngobila, par M. Kalev, Directeur Général de l’Anr, M. Bisengimana, Inspecteur Général de la Police et M. Beya, Administrateur Général de la DGM. Les trois personnalités – tous hauts responsables des services de sécurité du régime kabila – n’ont aucun document officiel ni pour le détenir ni pour empêcher le déplacement du député Diomi Ndongala mais, dans les faits, ils l’empêchent de voyager. Ils ont séquestré sa carte d’électeur qu’ils détiennent sans aucun motif valable jusqu’ à ce jour.
01/01/2013 :
M.lle Indra Diomi Ndongala (fille de Diomi Ndongala et âgée de 19 ans) a été interpellées à l’aéroport de Ndjili et ses documents de voyage séquestrés sans aucune raison juste avant son embarquement sur l’avion. Son passeport et ses billets lui seront remis au dernier moment – après intervention de la Monusco – par un agent de l’Anr.
12/01/2013
Les avocats de Diomi Ndongala introduisent une deuxième requête en inconstitutionnalité contre la décision du parlement de lever l’immunité parlementaire, entre autre pour violation du règlement d’ordre intérieur du Parlement et pour violation de plusieurs dispositions de la Constituions en vigueur en RDC.
<blockquote>Depuis la levée de son immunité, le Député Diomi Ndongla n’a été ni convoqué ni interrogé par la justice. Le dossier que le régime voulait utiliser contre lui demeurant vide et incohérent, à ce jour.
</blockquote>
18/01/2013 :
Le chargé de la Communication et presse de la DC, M.VERDICT NKOBA MITUNTIA, ainsi que 3 militants de la MPP (M. STALLONE KATUMBA MUMPOY- M. KATUMBA FRANCOIS – M.ME KABUNGANA MARIE JOSE) sont enlevés nuitamment de leur domicile et conduits vers une destination inconnue par des agents des services de sécurité. Grace aux informations obtenues après la libération du plus âgé parmi eux, ils sont localisés dans les locaux de l’Anr, sans assistance juridique étant privés de visite.
<blockquote>Ils sont tous à leur deuxième mois de détention au secret extra-judiciare, au moment où nous écrivons le présent memorandum.
</blockquote>Depuis sa libération, le député Diomi Ndongala a introduit plusieurs plaintes tant contre les services de sécurité près de l’auditorat militaire ainsi qu’au total 3 citations directes pour accusations dommageables, diffamation, association de malfaiteurs et séquestration contre les personnes manipulées par le régime Kabila pour l’accuser d’un viol imaginaire curieusement au siège de son parti le 26/06/2012. De plus, il a attaqué la fausse identité, le faux lien de famille ainsi que l’âge des personnes qui ont été utilisées par le régime Kabila pour le calomnier et le neutraliser politiquement.
Des interférences gravissimes sur les juges et les magistrats du Tribunal de Matete - où les citations directes ont été déposées – ont fait en sorte que depuis octobre 2012, aucune sentence ne soit prononcée et que les personnes visées par les citations directes évitent même de se présenter face aux juges, avec la totale complaisance des ceux-ci. L’épisode le plus remarquable est celui d’un juge qui, sur le point de lire un jugement par défaut contre les accusés, a reçu un message écrit en pleine audience et a décidé sur le champ de se retirer du procès.
Egalement, il sied de souligner que toutes les plaintes déposées par la famille Diomi pendant la détention de celui-ci, sont restées lettre morte et parmi ces plaintes, il faut évoquer les plaintes contre le Colonel Kanyama, contre la Police pour le pillage et la destruction méchante du siège de la DC ainsi que celle contre les faux accusateurs de Diomi Ndongala.
<blockquote>Aucune de ces plaintes n’est instruite à ce jour.
</blockquote>
Le 20/02/2013
Le Député Diomi Ndongala a écrit au Procureur Général de la République pour protester contre la privation de ces droits civils et politiques. En particulier, il est privé de la liberté de mouvement alors qu’il doit urgemment subir des examens toxicologiques à l’étranger.
<blockquote>L’affaire Diomi Ndongala est un cas gravissime d’intolérance politique contre un dissident et d’instrumentalisation de la justice complétement asservie aux diktats de l’exécutif Kabila.
</blockquote>
LES PRECEDENTS CAS DE HARCELEMENT POLITIQUE
Il sied aussi de souligner que depuis 2011, le Président de la Démocratie Chrétienne a été déjà victime d’une arrestation et détention abusive, pendant deux mois au Bas Congo, à la suite encore d’un complot ourdi par des agents de la DGM et qu’en juin 2011 les enfants Diomi Ndongala et Diomi Ndongala lui-même ont été menacés de mort par un homme armé au service d’un baron du PPRD, le parti de la mouvance présidentielle. Diomi Ndongala et ses enfants ont eu la vie sauve grâce à l’intervention du garde de corps de M. Diomi .
<blockquote>En ce moment, tous les responsables de la Démocratie Chrétienne sont suivis par des agents des services de sécurité et le parti n’a jamais été dédommagé pour la destruction de ses locaux ainsi que la séquestration de tous les documents internes du parti.
</blockquote>Amnesty international a déjà dénoncé le harcèlement politico-judiciaire contre le député Diomi Ndongala et lancé un appel sur son cas et l’Union Interparlementaire a adopté des résolutions sur le cas Diomi Ndongala qui ont été complétement ignorées par le parlement congolais, lequel ne reconnait aucun droit au député de l’opposition, qui demeure le seul député congolais à ne pouvoir obtenir un passeport diplomatique et aucune indemnité économique ou assistance même en cas de maladie.
Assemblée Générale de l’Union Interparlementaire au Canada, novembre 2012: le cas du député Diomi Ndongala fait l’objet d’une résolution de l’ UIP.<blockquote>Depuis le mois de juin 2012, le député Diomi Ndongala a été privé de tous ses droits civils et politiques et sa personne a fait l’objet de gravissimes violations des droits de l’homme. Actuellement, des pressions sont exercée sur lui – sous forme du chantage d’une épée de Damoclès pointée contre sa tête – afin qu’il renonce à sa liberté d’expression.
Se refusant absolument de se plier à toute forme de chantage politique, sa liberté et sa vie sont menacées, manifestement ne pouvant se prévaloir d’aucune garantie de droit.
</blockquote>
Fait à Kinshasa, le 27/02/2013
Marc Mawete,
Porte-Parole de
la Démocratie Chrétienne,DC
http://democratiechretienne.org/2013/03/01/affaire-diomi-ndongala-le-depute-hotage-du-regime-kabila-un-cas-flagrant-de-justice-instrumentalisee-au-service-de-lintolerance-et-de-la-repression-politique/
par mpp le 1 mars 2013
MEMORANDUM
AFFAIRE DIOMI NDONGALA :LE DEPUTE OTAGE DU REGIME KABILA
UN CAS FLAGRANT DE JUSTICE INSTRUMENTALISEE AU SERVICE DE L’INTOLERANCE ET DE LA REPRESSION POLITIQUE.
CHRONOLOGIE DES FAITS
26/06/2012 :
Le député National Eugène Diomi Ndongala projette pour le lendemain, le 27/06/2012, une manifestation de signature de la Charte Constitutive de la plateforme politique Majorité présidentielle Populaire, MPP, qui devra avoir lieu dans la salle de la Cathédrale Notre Dame du Congo à Lingwala. A cet effet, il reçoit des nombreuses délégations de partis et organisations politiques au siège de la Démocratie Chrétienne, DC, sur Avenue Colonel Ebeya 7/b. Il quitte les locaux à environ 17h30, avec le véhicule d’un membre du parti, sa voiture étant en panne.
Le 26/06/2013 à 21h30, une dizaine de jeeps de policiers avec plus d’une quarantaine d’hommes armés dirigés par le Colonel Kanyama en personne, descendent nuitamment au siège de la Démocraties Chrétienne. Ils pénètrent dans les locaux de la DC, cassent toutes les portes et s’approprient de tous les documents et biens de valeur qu’ils trouvent dans les bureaux et dans un chantier en construction dans la même parcelle. Ils ne sont porteurs d’aucun document officiel. Les policiers occuperont les locaux de la Démocratie Chrétienne, sans aucun document de saisi des lieux ou mandat, pendant plus de deux mois. Ils seront délogés après deux mois par des inspecteurs de l’auditorat militaire qui néanmoins ne poursuivront pas les coupables des délits de destruction méchante et vol et encore moins la descente illégale de Kanyama, la nuit, au siège d’un parti politique de l’opposition, la veille d’une manifestation politique.
27/06/2013 :
Le président de la Démocratie Chrétienne quitte son domicilie à environ 11h00 pour se rendre à la Cathédrale Notre Dame du Congo. Il est sans garde de corps. Il sera intercepté en cours de route par des éléments des services de sécurité qui prendront le contrôle de son véhicule et l’amèneront dans un lieu non identifié (safe house de l’Anr) où il sera détenus pendant environ 100 jours. Pendant sa détention il sera à trois reprises interrogées sur ses rapports avec Etienne Tshisekedi ainsi que la stratégie envisagée afin de récupérer l’ « imperium » après les élections contestées de novembre 2011.
11/10/2012 :
Le Député Diomi Ndongala est libéré, la nuit, sur la route Avenue de Matadi, à la veille de la tenue à Kinshasa du Sommet de la Francophonie, où les violations des droits de l’homme et des droits civils et politiques par le régime en place s’annoncent déjà au centre des discussions du sommet. Le régime kabila veut manifestement offrir un gage de bonne fois aux organisateurs du sommet en libérant Diomi Ndongala.
13/10/2012 :
Trois militants de la DC sont encore enlevés au siège de la DC sur Avenue Colonel Ebeya par les services de sécurité et détenus au secret pendant un mois dans les locaux de l’Anr (M. HERITIER KAZADI, M. JEAN PAUL MABONDO ET M. JEAN CLAUDE YONGO KASELE).
Une fois terminé le sommet de la Francophonie – caractérisé par la dénonciation de l’intolérance politique et le violations des droits de l’homme en RDC – la majorité acquise au Président kabila lance la procédure de levée de l’immunité du député Diomi Ndongala, sur la base d’une accusation montée de toute pièce de viol que le régime compte exploiter contre le Député Diomi Ndongala pour le discréditer et – selon le complot initialement prévu – pour le soumettre à un procès infamant et expéditif afin de le neutraliser politiquement.
18/10/2012:
Le député Diomi Ndongala doit subir une délicate intervention chirurgicale en urgence, à la suite des séquelles physiques provoquées par les mauvaises conditions de sa détention au secret. Les agents de l’ Anr se manifesteront continuellement à l’Hôpital, exerçant même des pressions sur les responsables de l’Hôpital de l’Alliance Congolo-Chinoise de Ndjili pour que les soins ne soient pas prêtés à Diomi Ndongala.
La famille Diomi a dû, à plusieurs reprises, alerter la Monusco et les ONG tant nationales qu’internationales des droits de l’homme pour obtenir leur soutien afin que les soins urgentes soient prêtés à Diomi Ndongala, qui demeurera interné à l’hôpital pendant deux semaines.
Au cours de la procédure de levée de l’immunité, le parlement décidé d’ignorer la gravité de l’état de santé du député Diomi Ndongala, qui a d’ailleurs subi une délicate intervention chirurgicale just ‘après sa libération.
Egalement, le Parlement décide d’ignorer la demande de l’Union interparlementaire et de la famille Diomi de mettre en place une commission d’enquête pour investiguer sur les responsables de l’enlèvement du député de l’opposition.
A la place, une commission – composée essentiellement de députés de la majorité kabiliste – est mise en place en violation du règlement d’ordre intérieur pour la levée de l’immunité de celui-ci.
Le député Diomi Ndongala, par le biais de ses avocats, attaque la mise en place de la commission ad hoc devant la Cour Suprême pour inconstitutionnalité de la procédure ayant abouti à sa mise en place. Le Parlement ignore la saisine et son caractère suspensif de tout acte administratif et judiciaire, et, illégalement, lève l’immunité parlementaire le 06/01/2013, malgré le manque total de crédibilité et l’absence de preuves pouvant fonder les accusations fantaisistes portées contre le député Diomi Ndongala.
28/12/2012 :
Le député Diomi Ndongala demande et obtient un laisser-passer d’un jour pour se rendre à Brazzaville afin de se soumettre à des examens toxicologiques qu’il ne peut pas passer à Kinshasa, faute de laboratoire capable de les effectuer. En effet, des indices d’empoisonnement sont détectés par un médecin congolais sur sa personne.
Il obtient son laisser-passer en présentant officiellement son document d’identité mais au moment d’embarquer pour Brazzaville, il est arrêté par des éléments de l’Anr qui essayent de l’amener de force dans les locaux de l’agence. Face à son refus catégorique et grâce à l’intervention de certains officiels de la Monusco alertés, il sera retenu 4 heures au Beach Ngobila, par M. Kalev, Directeur Général de l’Anr, M. Bisengimana, Inspecteur Général de la Police et M. Beya, Administrateur Général de la DGM. Les trois personnalités – tous hauts responsables des services de sécurité du régime kabila – n’ont aucun document officiel ni pour le détenir ni pour empêcher le déplacement du député Diomi Ndongala mais, dans les faits, ils l’empêchent de voyager. Ils ont séquestré sa carte d’électeur qu’ils détiennent sans aucun motif valable jusqu’ à ce jour.
01/01/2013 :
M.lle Indra Diomi Ndongala (fille de Diomi Ndongala et âgée de 19 ans) a été interpellées à l’aéroport de Ndjili et ses documents de voyage séquestrés sans aucune raison juste avant son embarquement sur l’avion. Son passeport et ses billets lui seront remis au dernier moment – après intervention de la Monusco – par un agent de l’Anr.
12/01/2013
Les avocats de Diomi Ndongala introduisent une deuxième requête en inconstitutionnalité contre la décision du parlement de lever l’immunité parlementaire, entre autre pour violation du règlement d’ordre intérieur du Parlement et pour violation de plusieurs dispositions de la Constituions en vigueur en RDC.
<blockquote>Depuis la levée de son immunité, le Député Diomi Ndongla n’a été ni convoqué ni interrogé par la justice. Le dossier que le régime voulait utiliser contre lui demeurant vide et incohérent, à ce jour.
</blockquote>
18/01/2013 :
Le chargé de la Communication et presse de la DC, M.VERDICT NKOBA MITUNTIA, ainsi que 3 militants de la MPP (M. STALLONE KATUMBA MUMPOY- M. KATUMBA FRANCOIS – M.ME KABUNGANA MARIE JOSE) sont enlevés nuitamment de leur domicile et conduits vers une destination inconnue par des agents des services de sécurité. Grace aux informations obtenues après la libération du plus âgé parmi eux, ils sont localisés dans les locaux de l’Anr, sans assistance juridique étant privés de visite.
<blockquote>Ils sont tous à leur deuxième mois de détention au secret extra-judiciare, au moment où nous écrivons le présent memorandum.
</blockquote>Depuis sa libération, le député Diomi Ndongala a introduit plusieurs plaintes tant contre les services de sécurité près de l’auditorat militaire ainsi qu’au total 3 citations directes pour accusations dommageables, diffamation, association de malfaiteurs et séquestration contre les personnes manipulées par le régime Kabila pour l’accuser d’un viol imaginaire curieusement au siège de son parti le 26/06/2012. De plus, il a attaqué la fausse identité, le faux lien de famille ainsi que l’âge des personnes qui ont été utilisées par le régime Kabila pour le calomnier et le neutraliser politiquement.
Des interférences gravissimes sur les juges et les magistrats du Tribunal de Matete - où les citations directes ont été déposées – ont fait en sorte que depuis octobre 2012, aucune sentence ne soit prononcée et que les personnes visées par les citations directes évitent même de se présenter face aux juges, avec la totale complaisance des ceux-ci. L’épisode le plus remarquable est celui d’un juge qui, sur le point de lire un jugement par défaut contre les accusés, a reçu un message écrit en pleine audience et a décidé sur le champ de se retirer du procès.
Egalement, il sied de souligner que toutes les plaintes déposées par la famille Diomi pendant la détention de celui-ci, sont restées lettre morte et parmi ces plaintes, il faut évoquer les plaintes contre le Colonel Kanyama, contre la Police pour le pillage et la destruction méchante du siège de la DC ainsi que celle contre les faux accusateurs de Diomi Ndongala.
<blockquote>Aucune de ces plaintes n’est instruite à ce jour.
</blockquote>
Le 20/02/2013
Le Député Diomi Ndongala a écrit au Procureur Général de la République pour protester contre la privation de ces droits civils et politiques. En particulier, il est privé de la liberté de mouvement alors qu’il doit urgemment subir des examens toxicologiques à l’étranger.
<blockquote>L’affaire Diomi Ndongala est un cas gravissime d’intolérance politique contre un dissident et d’instrumentalisation de la justice complétement asservie aux diktats de l’exécutif Kabila.
</blockquote>
LES PRECEDENTS CAS DE HARCELEMENT POLITIQUE
Il sied aussi de souligner que depuis 2011, le Président de la Démocratie Chrétienne a été déjà victime d’une arrestation et détention abusive, pendant deux mois au Bas Congo, à la suite encore d’un complot ourdi par des agents de la DGM et qu’en juin 2011 les enfants Diomi Ndongala et Diomi Ndongala lui-même ont été menacés de mort par un homme armé au service d’un baron du PPRD, le parti de la mouvance présidentielle. Diomi Ndongala et ses enfants ont eu la vie sauve grâce à l’intervention du garde de corps de M. Diomi .
<blockquote>En ce moment, tous les responsables de la Démocratie Chrétienne sont suivis par des agents des services de sécurité et le parti n’a jamais été dédommagé pour la destruction de ses locaux ainsi que la séquestration de tous les documents internes du parti.
</blockquote>Amnesty international a déjà dénoncé le harcèlement politico-judiciaire contre le député Diomi Ndongala et lancé un appel sur son cas et l’Union Interparlementaire a adopté des résolutions sur le cas Diomi Ndongala qui ont été complétement ignorées par le parlement congolais, lequel ne reconnait aucun droit au député de l’opposition, qui demeure le seul député congolais à ne pouvoir obtenir un passeport diplomatique et aucune indemnité économique ou assistance même en cas de maladie.
Assemblée Générale de l’Union Interparlementaire au Canada, novembre 2012: le cas du député Diomi Ndongala fait l’objet d’une résolution de l’ UIP.<blockquote>Depuis le mois de juin 2012, le député Diomi Ndongala a été privé de tous ses droits civils et politiques et sa personne a fait l’objet de gravissimes violations des droits de l’homme. Actuellement, des pressions sont exercée sur lui – sous forme du chantage d’une épée de Damoclès pointée contre sa tête – afin qu’il renonce à sa liberté d’expression.
Se refusant absolument de se plier à toute forme de chantage politique, sa liberté et sa vie sont menacées, manifestement ne pouvant se prévaloir d’aucune garantie de droit.
</blockquote>
Fait à Kinshasa, le 27/02/2013
Marc Mawete,
Porte-Parole de
la Démocratie Chrétienne,DC
http://democratiechretienne.org/2013/03/01/affaire-diomi-ndongala-le-depute-hotage-du-regime-kabila-un-cas-flagrant-de-justice-instrumentalisee-au-service-de-lintolerance-et-de-la-repression-politique/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
L’UNION INTERPARLEMENTAIRE, UIP, CONDAMNE LA PROCEDURE POLITICO-JUDICIARE DONT EST VICTIME LE DEPUTE DIOMI NDONGALA
par mpp le 14 mars 2013
UNION INTERPARLEMENTAIRE
CHEMIN DU POMMIER
5
1218 LE GRAND-SACONNEX / GENEVE
(SUISSE)
TÉLÉPHONE
(41.22) 919 41 50 – TÉLÉCOPIE (41.22) 919 41 60 – E-MAIL postbox@mail.ipu.org
COMITÉ DES DROITS DE L’HOMME DES PARLEMENTAIRES
RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
CAS N° DRC/71 – EUGÈNE DIOMI NDONGALA
Décision adoptée par le Comité à sa 140° SESSION.
(Genève, 14-18 janvier 2013)
Le Comité,
saisi
du cas de M. Eugène Diomi Ndongala, membre de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo, conformément à la Procédure d’examen et de traitement, par l’Union interparlementaire, de communications relatives à des violations des droits de l’homme dont sont victimes des parlementaires,
se référant
aux informations fournies par le Président de l’Assemblée nationale dans sa lettre du 10 janvier 2013, ainsi qu’aux informations transmises par les sources,
considérant
les éléments ci-après versés au dossier :
....
http://democratiechretienne.org/2013/03/14/lunion-interparlementaire-uip-condmane-la-procedure-politico-judiciare-dont-est-victime-le-depute-diomi-ndongala/
par mpp le 14 mars 2013
UNION INTERPARLEMENTAIRE
CHEMIN DU POMMIER
5
1218 LE GRAND-SACONNEX / GENEVE
(SUISSE)
TÉLÉPHONE
(41.22) 919 41 50 – TÉLÉCOPIE (41.22) 919 41 60 – E-MAIL postbox@mail.ipu.org
COMITÉ DES DROITS DE L’HOMME DES PARLEMENTAIRES
RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
CAS N° DRC/71 – EUGÈNE DIOMI NDONGALA
Décision adoptée par le Comité à sa 140° SESSION.
(Genève, 14-18 janvier 2013)
Le Comité,
saisi
du cas de M. Eugène Diomi Ndongala, membre de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo, conformément à la Procédure d’examen et de traitement, par l’Union interparlementaire, de communications relatives à des violations des droits de l’homme dont sont victimes des parlementaires,
se référant
aux informations fournies par le Président de l’Assemblée nationale dans sa lettre du 10 janvier 2013, ainsi qu’aux informations transmises par les sources,
considérant
les éléments ci-après versés au dossier :
....
http://democratiechretienne.org/2013/03/14/lunion-interparlementaire-uip-condmane-la-procedure-politico-judiciare-dont-est-victime-le-depute-diomi-ndongala/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
DIOMI NDONGALA, QUAND LES PARLEMENTAIRES INTERNATIONAUX S’EN MELENT
L’UNION INTERPARLEMENTAIRE, UIP, CONDAMNE LA PROCEDURE POLITICO-JUDICIARE DONT EST VICTIME LE DEPUTE DIOMI NDONGALA
le texte complet de la décision de l’UIP
http://democratiechretienne.org/2013/03/14/lunion-interparlementaire-uip-condmane-la-procedure-politico-judiciare-dont-est-victime-le-depute-diomi-ndongala/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
PRESQUE 3 MOIS DE DETENTION AU SECRET DES MEMBRES DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ET DE LA MPP ENLEVES LA NUIT DU 18/01/2013.
C EST SCANDALEUX.
AVEC LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA, IL S AGIT DU 7 EME CAS D ENLEVEMENT ET DETENTION AU SECRET DEPUIS JUIN 2012 DE NOS MEMBRES.
LIBEREZ VERDICK, STALLONE ET M.ME M.ME KABUNGANA MARIE JOSE
FLASH: LA TRAQUE DES MILITANTS DE LA DC ET MPP CONTINUE: ENCORE DES ENLEVEMENTS DE MILITANTS LA NUIT DU 18/01/13 A 2 HEURES DU MATIN
*********************************************************************************
par mpp le 18 janvier 2013
M. STALLONE KATUMBA MUMPOY , MPP
MISE A JOUR DU 22/01/2013:
LES MILITANTS DE LA DC ET DE LA MPP ENLEVES LA NUIT DU 17/01/2013 SERAIENT DETENUS A L’ ANR, AGENCE NATIONAL DE RENSEIGNEMENT, SELON DES SOURCES DES ONG DES DROITS DE L HOMME QUI SONT EN TRAIN DE SUIVRE LEUR CAS.
DANS LES PHOTOS: M. VERDICT, M STALLONE ET LES PARENTS
DE M. STALLONE
A GAUCHE M.ME KABUNGANA MARIE JOSE ET A DROITE PAPA KATUMBA FRANCOIS
M. VERDICT NKOBA MITUNTIA, CHARGE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE A LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC
MISE A JOUR DU 21/01/2013:
LA FAMILLE DE M. STALLONE KATUMBA FRANCOIS NOUS
SIGNALE QUE LA NUIT ENTRE LE 17/01/2013 ET LE 18/01/2013 ONT ETE ENLEVES PAR DES MILITAIRES ARMES AUSSI LE PERE -PAPA KATUMBA FRANCOIS -, LA MERE DE M. STALLONE KATUMBA - M.ME KABUNGANA MARIE JOSE. A CE JOUR, LES FAMILLES DES PERSONNES ENLEVEES N ONT PAS ENCORE DES NOUVELLES DE LEURS PROCHES QUI SONT
TOUS DETENUS AU SECRET.
MISE A JOUR DU 19/01/2013
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC EN SIGLE, DENONCE LES ENELVEMENTS DE 2 MEMBRES DE LA DC ET DE LA PLATEFORME POLITIQUE MPP, MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, LA NUIT ENTRE LE 17/01/13 ET LE 18/01/2013.
A PARTIR DE DEUX HEURES DU MATIN.
EN PARTICULIER, LA DC DEPLORE L ENLEVEMENT A DEUX HEURES DU MATIN DE M. VERDICT NKOBA MITUNTIA ET M. STALLONE KATUMBA MUMPOY .
LE PREMIER EST UN JOURNALISTE, RESPONSABLE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE AU SEIN DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE.
IL A ETE ENLEVE EN PLEINE NUIT PAR DES MILITAIRES DE LA PM ET D’ AUTRES PERSONNES EN UNIFORME ET EN CIVIL A SA RESIDENCE, AV. BUTA, N° 279 LINNGWALA – KINSHASA
LE DEUXIEME, M. STALLONE KATUMBA EST UN RESPONSABLE DE LA JEUNESSE DE LA MPP, MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE. IL A ETE AUSSI ENLEVE EN PLEINE NUIT CHEZ LUI A LA MAISON SISE SUR AVENUE MBOMU N° 196 QUARTIER WENZE, LINGWALA – KINSHASA. LES MEMBRES DE SA FAMILLE ONT AUSSI CONFIRME QUE DES MILITAIRES PM ACCOMPAGNES D AUTRES MILITAIRES ET CIVILS L’ONT ENLEVE ET CONDUIT VERS UNE DESTINATION INCONNUE.
D’ AUTRES MEMBRES DE LA MPP AURAIENT ETE ARRETES CETTE NUIT, SELON DES VERIFICATIONS QUI SONT EN COURS.
M. STALLONE ET M. VERDICT ETAIENT CHARGE DE LA PREPARATION D’ UNE MANIFESTATION DU PARTI QUI AURAIT DU AVOIR LIEU SAMEDI 19/01/2013 A 10H00.
IL SIED DE SOULIGNER QUE DEPUIS LE 27/06/2012, LES MEMBRES DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE FONT L’ OBJET D’ ARRESTATIONS ARBITRAIRES DE LA PART DES SERVICES DE SECURITE. LE 26 ET 27/06/2012 PLUSIEURS MILITANTS DE LA DC AVAIENT ETE ARRETES ET CONDUITS AU CAMP LUFUNGULA OU ILS SONT RESTES PENDANT UNE SEMAINE.
LE 27/06/2012 LE PRESIDENT DE LA DC, HON. EUGENE DIOMI NDONGALA, AVAIT ETE ENLEVE ET DETENU AU SECRET PENDANT 100 JOURS PAR LES SERVICES DE SECURITE.
AU MOIS D OCTOBRE 2012, 3 MEMBRES DE LA DC AVAIENT ETE ENLEVES EN PROXIMITE DU SIEGE DU PARTI A LA GOMBE ET PAR LA SUITE DETENUS AU SECRET AU COMMISSARAIT REGINA ET A L’ ANR PENDANT 30 JOURS: IL S AGIT DE M. HERITIER KAZADI, M. JEAN PAUL MABONDO ET M. JEAN CLAUDE YONGO KASELE.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC, DEPLORE LA TRAQUE DE SES MEMBRES PAR LES SERVICES DE SECURITE ET DEMANDE QUE LES GARANTIES DE DROIT SOIENT RECONNUES A SES MILITANTS AINSI QU AUX MEMBRES DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP. LA DC EXIGE LA LIBERATION IMMEDIATE DE M. VERDICT NKOBA, CHARGE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE, AINSI QUE DE M. STALLONE KATUMBA MUMPOY, MEMBRE DE LA MPP.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO,
KINSHASA, 18/01/2013
MARC MAWETE
PORTE PAROLE DE LA DC
http://democratiechretienne.org/2013/01/18/flash-la-traque-des-militants-de-la-dc-et-mpp-continue-encore-des-enlevements-de-militants-cette-nuit-a-2-heures-du-matin/
C EST SCANDALEUX.
AVEC LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA, IL S AGIT DU 7 EME CAS D ENLEVEMENT ET DETENTION AU SECRET DEPUIS JUIN 2012 DE NOS MEMBRES.
LIBEREZ VERDICK, STALLONE ET M.ME M.ME KABUNGANA MARIE JOSE
FLASH: LA TRAQUE DES MILITANTS DE LA DC ET MPP CONTINUE: ENCORE DES ENLEVEMENTS DE MILITANTS LA NUIT DU 18/01/13 A 2 HEURES DU MATIN
*********************************************************************************
par mpp le 18 janvier 2013
M. STALLONE KATUMBA MUMPOY , MPP
MISE A JOUR DU 22/01/2013:
LES MILITANTS DE LA DC ET DE LA MPP ENLEVES LA NUIT DU 17/01/2013 SERAIENT DETENUS A L’ ANR, AGENCE NATIONAL DE RENSEIGNEMENT, SELON DES SOURCES DES ONG DES DROITS DE L HOMME QUI SONT EN TRAIN DE SUIVRE LEUR CAS.
DANS LES PHOTOS: M. VERDICT, M STALLONE ET LES PARENTS
DE M. STALLONE
A GAUCHE M.ME KABUNGANA MARIE JOSE ET A DROITE PAPA KATUMBA FRANCOIS
M. VERDICT NKOBA MITUNTIA, CHARGE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE A LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC
MISE A JOUR DU 21/01/2013:
LA FAMILLE DE M. STALLONE KATUMBA FRANCOIS NOUS
SIGNALE QUE LA NUIT ENTRE LE 17/01/2013 ET LE 18/01/2013 ONT ETE ENLEVES PAR DES MILITAIRES ARMES AUSSI LE PERE -PAPA KATUMBA FRANCOIS -, LA MERE DE M. STALLONE KATUMBA - M.ME KABUNGANA MARIE JOSE. A CE JOUR, LES FAMILLES DES PERSONNES ENLEVEES N ONT PAS ENCORE DES NOUVELLES DE LEURS PROCHES QUI SONT
TOUS DETENUS AU SECRET.
MISE A JOUR DU 19/01/2013
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC EN SIGLE, DENONCE LES ENELVEMENTS DE 2 MEMBRES DE LA DC ET DE LA PLATEFORME POLITIQUE MPP, MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, LA NUIT ENTRE LE 17/01/13 ET LE 18/01/2013.
A PARTIR DE DEUX HEURES DU MATIN.
EN PARTICULIER, LA DC DEPLORE L ENLEVEMENT A DEUX HEURES DU MATIN DE M. VERDICT NKOBA MITUNTIA ET M. STALLONE KATUMBA MUMPOY .
LE PREMIER EST UN JOURNALISTE, RESPONSABLE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE AU SEIN DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE.
IL A ETE ENLEVE EN PLEINE NUIT PAR DES MILITAIRES DE LA PM ET D’ AUTRES PERSONNES EN UNIFORME ET EN CIVIL A SA RESIDENCE, AV. BUTA, N° 279 LINNGWALA – KINSHASA
LE DEUXIEME, M. STALLONE KATUMBA EST UN RESPONSABLE DE LA JEUNESSE DE LA MPP, MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE. IL A ETE AUSSI ENLEVE EN PLEINE NUIT CHEZ LUI A LA MAISON SISE SUR AVENUE MBOMU N° 196 QUARTIER WENZE, LINGWALA – KINSHASA. LES MEMBRES DE SA FAMILLE ONT AUSSI CONFIRME QUE DES MILITAIRES PM ACCOMPAGNES D AUTRES MILITAIRES ET CIVILS L’ONT ENLEVE ET CONDUIT VERS UNE DESTINATION INCONNUE.
D’ AUTRES MEMBRES DE LA MPP AURAIENT ETE ARRETES CETTE NUIT, SELON DES VERIFICATIONS QUI SONT EN COURS.
M. STALLONE ET M. VERDICT ETAIENT CHARGE DE LA PREPARATION D’ UNE MANIFESTATION DU PARTI QUI AURAIT DU AVOIR LIEU SAMEDI 19/01/2013 A 10H00.
IL SIED DE SOULIGNER QUE DEPUIS LE 27/06/2012, LES MEMBRES DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE FONT L’ OBJET D’ ARRESTATIONS ARBITRAIRES DE LA PART DES SERVICES DE SECURITE. LE 26 ET 27/06/2012 PLUSIEURS MILITANTS DE LA DC AVAIENT ETE ARRETES ET CONDUITS AU CAMP LUFUNGULA OU ILS SONT RESTES PENDANT UNE SEMAINE.
LE 27/06/2012 LE PRESIDENT DE LA DC, HON. EUGENE DIOMI NDONGALA, AVAIT ETE ENLEVE ET DETENU AU SECRET PENDANT 100 JOURS PAR LES SERVICES DE SECURITE.
AU MOIS D OCTOBRE 2012, 3 MEMBRES DE LA DC AVAIENT ETE ENLEVES EN PROXIMITE DU SIEGE DU PARTI A LA GOMBE ET PAR LA SUITE DETENUS AU SECRET AU COMMISSARAIT REGINA ET A L’ ANR PENDANT 30 JOURS: IL S AGIT DE M. HERITIER KAZADI, M. JEAN PAUL MABONDO ET M. JEAN CLAUDE YONGO KASELE.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC, DEPLORE LA TRAQUE DE SES MEMBRES PAR LES SERVICES DE SECURITE ET DEMANDE QUE LES GARANTIES DE DROIT SOIENT RECONNUES A SES MILITANTS AINSI QU AUX MEMBRES DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP. LA DC EXIGE LA LIBERATION IMMEDIATE DE M. VERDICT NKOBA, CHARGE DE LA COMMUNICATION ET PRESSE, AINSI QUE DE M. STALLONE KATUMBA MUMPOY, MEMBRE DE LA MPP.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO,
KINSHASA, 18/01/2013
MARC MAWETE
PORTE PAROLE DE LA DC
http://democratiechretienne.org/2013/01/18/flash-la-traque-des-militants-de-la-dc-et-mpp-continue-encore-des-enlevements-de-militants-cette-nuit-a-2-heures-du-matin/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
La DC exige la libération du journaliste Verdict Mituntwa et denonce les graves violations des droits de l’homme en RDC / LA TEMPETE DES TROPIQUES, 08/04/13
Parti cher à Eugène Diomi Ndongala |
Écrit par Stone |
Lundi, 08 Avril 2013 08:23 |
La DC exige la libération du journaliste Verdict Mituntwa et denonce les graves violations des droits de l’homme en RDC <blockquote>Le SG Freddy Kita déplore que personne n’ait accès à l’ANR où il est détenu depuis trois mois Au cours d’une conférence de presse tenue vendredi 5 avril 2013, le secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), Freddy Kita, exige la libération sans conditions du journaliste Verdict Mituntwa, enlevé dans la nuit du 17 au 18 janvier 2013 par des éléments armés non autrement identifiés et conduit, selon l’orateur, à l’Agence nationale des renseignements (ANR) située à côté de la primature. </blockquote>Chargé de la communication de la DC, Verdict a été enlevé avec Stallone Katumba, responsable de la jeunesse de la Majorité présidentielle populaire (MPP). Jusqu’à ce jour, déplore-il, aucun membre du Bureau politique de la Démocratie chrétienne, ni les avocats, n’ont accès à leur lieu de détention à l’ANR. La DC en appelle à l’implication de l’opinion tant nationale qu’internationale pour que ces victimes de l’intolérance politique soient immédiatement relâchées, et que les auteurs de ces actes soient sévèrement punis conformément à la loi. <blockquote>Freddy Kita rappelle d’ailleurs que dans la nuit du 26 au 27 juin 2012, le président national de la DC et porte-parole de la MPP avait subi le même sort. Enlevé et conduit à une destination inconnue, Diomi Ndongala n’avait été libéré que quatre mois plus tard, la veille de la tenue du 13ème sommet de la Francophonie à Kinshasa. Physiquement affaibli, il a dû subir une intervention chirurgicale suite aux tortures et mauvaises conditions humaines qui ont caractérisé son pénible séjour de détention. Quand à la situation politique en RDC, le SG de la DC note que la grave crise de légitimité du pouvoir en RDC paralyse le bon fonctionnement de l’Etat. Il se pose un sérieux problème d’atteinte aux droits de l’homme, de mauvaise gouvernance et du blocage du processus démocratique qui prend la forme d’une dictature. La justice est instrumentalisée. </blockquote>En plus, ajoute-t-il, la RDC s’est transformée aujourd’hui en un véritable enfer sur terre où des femmes et des enfants sont violés tous les jours. Ce, en toute impunité. Pour la DC, les conflits armés à l’Est de la RDC relèvent d’un processus bien établi de pillage de ressources naturelles congolaises, en utilisant les pays voisins qui créent des rébellions et des milices opérant dans l’impunité la plus totale. » Le plus grand holocauste après la seconde guerre mondiale se passe en RDC, un véritable génocide silencieux, avec 7 millions de morts et 2 500 000 déplacés qui vivent comme des réfugiés sur le sol de leurs ancêtres « , tire-t-il la sonnette d’alarme. |
Mise à jour le Lundi, 08 Avril 2013 08:25 LA TEMPETE DES TROPIQUES http://latempete.cd/component/content/article/7-en-exerge/1300–parti-cher-a-eugene-diomi-ndongala.html http://democratiechretienne.org/2013/04/08/la-dc-exige-la-liberation-du-journaliste-verdict-mituntwa-et-denonce-les-graves-violations-des-droits-de-lhomme-en-rdc-la-tempete-des-tropiques-080413/ |
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
MEMORANDUM SUR LE DEPUTE DISSIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA, PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C. ET PORTE PAROLE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, M.P.P, PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
par mpp le 10 avril 2013
http://majoritepresidentiellepopulaire.org/2013/04/10/memorandum-sur-le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala/
par mpp le 10 avril 2013
http://majoritepresidentiellepopulaire.org/2013/04/10/memorandum-sur-le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
.D.Congo: CODHO DENONCE L’ENELVEMENT DU DEPUTE DIOMI NDONGALA A KINSHASA
par mpp le 11 avril 2013
CLIQUEZ SUR LE LIEN SUIVANT POUR LIRE LE RAPPORT DANS SON INTEGRALITE:
rapport codho sur enlevement Diomi
http://democratiechretienne.org/2013/04/11/r-d-congo-codho-denonce-lenelvement-du-depute-diomi-ndongala-a-kinshasa/
par mpp le 11 avril 2013
CLIQUEZ SUR LE LIEN SUIVANT POUR LIRE LE RAPPORT DANS SON INTEGRALITE:
rapport codho sur enlevement Diomi
http://democratiechretienne.org/2013/04/11/r-d-congo-codho-denonce-lenelvement-du-depute-diomi-ndongala-a-kinshasa/
KOTA
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