APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
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Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
KOTA a écrit:
SI VOUS VOULEZ ON PEUT DEVOILER D AUTRES "SECRETS" D ETAT...A VOUS DE NOUS DIRE SI NOUS DEVONS CONTINUER....
Ah bon!?!?!
vous detenez les secrets d'Etat concernant la megestion de la chose publique et vous ne les divulguer pas?!?!
Allez-y Kota, publiez les noms, les secrets, les vols... n'est-ce pas nous voulons un pays de droit??
WOW!!! il faut mon bon vouloir pour denoncer le mal? kota, soyons serieux...
divulguez les secrets qui tuent lnotre pays... c'est un devoir patriotique
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
AUCUN DOCUMENT ET AUCUNE MOTIVATION ECRITE OU VERBALE A ETE AVANCEE POUR JUSTIFIER JURIDIQUEMENT L INTERDITION DE VOYAGER DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA: C EST LE TRAITEMENT QUI SUBISSENT LES DISSIDENTS EN RDC. DE PLUS, SI LE COLONEL DIALLO DE LA MONUSCO N ETAIT PAS LA, OU AURAIT-ILS AMENE ENCORE UNE FOIS DIOMI NDONGALA LES AGENTS DE L ANR QUI VOULAIT LE DEPLACER DE FORCE VERS UNE DESTINATION INCONNUE ?
POURQUOI BISENGIMANA, KALEV ET BEYA EN PREMIERE LIGNE DANS CETTE AFFAIRE EMINEMMENT POLITIQUE?
POURQUOI BISENGIMANA, KALEV ET BEYA EN PREMIERE LIGNE DANS CETTE AFFAIRE EMINEMMENT POLITIQUE?
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Boni ba gesticulations lokola soso boye???
le monsieur est sous investigation pour affaire de viol ( Threesome) sur mineures....
Il aura le temps de sortir quand il sera disculpe. He is a flight risk...
le monsieur est sous investigation pour affaire de viol ( Threesome) sur mineures....
Il aura le temps de sortir quand il sera disculpe. He is a flight risk...
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Qui fait l'investigation? Est-ce la police? Le Procureur? L'ANR? La DGM? Qu'en est.il des deux filless et soeurs âgées de 3mois de différence?zobattants a écrit:Boni ba gesticulations lokola soso boye???
le monsieur est sous investigation pour affaire de viol ( Threesome) sur mineures....
Il aura le temps de sortir quand il sera disculpe. He is a flight risk...
King David
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
zobattants a écrit:Boni ba gesticulations lokola soso boye???
le monsieur est sous investigation pour affaire de viol ( Threesome) sur mineures....
Il aura le temps de sortir quand il sera disculpe. He is a flight risk...
Investigation de qui ? Depuis quand ? Notifiée quand et par qui ?
La procédure pénale est soumise a des règles strictes et bien précises. Ce n'est pas le domaine des approximations...
Si ces règles ne sont pas scrupuleusement suivies alors nous sommes dans l'arbitraire.
Mwana Ya Lola
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
DIOMI NDONGALA EMPECHE DE SE RENDRE AU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE BRAZZAVILLE POUR APPROFONDIR LES INDICES D’EMPOISONNEMENT DONT IL EST VICTIME
par mpp le 31 décembre 2012
http://democratiechretienne.org/2012/12/31/diomi-ndongala-empeche-de-se-rendre-au-centre-hospitalier-universitaire-de-brazzaville-pour-approfondir-les-indices-dempoisonnement-dont-il-est-victime/
par mpp le 31 décembre 2012
http://democratiechretienne.org/2012/12/31/diomi-ndongala-empeche-de-se-rendre-au-centre-hospitalier-universitaire-de-brazzaville-pour-approfondir-les-indices-dempoisonnement-dont-il-est-victime/
KOTA
Agents de la dictature ethniciste, respectez ne fut-ce que les formes, dans vos délires de persécution contre les opposants politiques!
Pouvez-vous me donner l'article de loi qui permet à un Procureur général de la République (même s'il est un parent du Président de la République) d'émettre une mesure quelconque contre un député dont l'immunité n'est pas encore levée?
Savez-vous au moins ce que signifie une immunité, et la nature de celle dont jouit, dans un régime démocratique, tout élu du peuple?
Dans quel système juridique existe-t-il des mesures préventives, en dehors du domaine de la sécurité nationale?
Ne savez-vous pas que le PGR, et tout autre service de l'Etat, doit, en dehors de flagrance, attendre une levée formelle et exécutoire de l'immunité d'un député élu pour prendre la moindre mesure (interrogatoire, assignation à domicile ou arrestation, etc.) contre ledit député élu?
Agents de la dictature ethniciste, respectez ne fut-ce que les formes, dans vos délires de persécution contre les opposants politiques!
Nzogu bin Kyantede P R,
Patriote et résistant Congolais
Savez-vous au moins ce que signifie une immunité, et la nature de celle dont jouit, dans un régime démocratique, tout élu du peuple?
Dans quel système juridique existe-t-il des mesures préventives, en dehors du domaine de la sécurité nationale?
Ne savez-vous pas que le PGR, et tout autre service de l'Etat, doit, en dehors de flagrance, attendre une levée formelle et exécutoire de l'immunité d'un député élu pour prendre la moindre mesure (interrogatoire, assignation à domicile ou arrestation, etc.) contre ledit député élu?
Agents de la dictature ethniciste, respectez ne fut-ce que les formes, dans vos délires de persécution contre les opposants politiques!
Nzogu bin Kyantede P R,
Patriote et résistant Congolais
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Alors que Joseph Kabila appelle les Congolais à la cohésion nationale face à l’agression contre la RDC – Le député Eugène Diomi Ndongala de nouveau traqué
par mpp le 2 janvier 2013
Alors que Joseph Kabila appelle les Congolais à la cohésion nationale face à l’agression contre la RDC – Le député Eugène Diomi Ndongala de nouveau traqué
Mardi, 01 Janvier 2013 15:07
L‘Assemblée nationale vient d’actionner la machine, empiétant ainsi son règlement intérieur, pour “régler des comptes politiques“ au porte-parole de la MPP que l’on veut livrer au PGR pour une affaire montée de toutes pièces. Au moment où le pays est confronté à une situation de guerre d’agression qui remet en cause l’existence même de la nation congolaise et donc de l‘Etat congolais, il est politiquement inopportun que l’Assemblée nationale, organe qui représente la nation aujourd’hui en péril, focalise son attention sur des épiphénomènes au lieu de s’investir dans les voies et moyens pour bouter l’ennemi dehors “, ont déclaré les députés’ nationaux de l’opposition vendredi 28 décembre dernier, lors d’un point de presse tenu à la paroisse Fatima, dans la commune de la Gombe. Ces derniers s’insurgent contre l’activation de la machine au niveau du bureau de la chambre basse pour obtenir la levée des immunités de l’honorable Eugène Diomi Ndongala que l’on tient à tout prix à livrer aux mains du procureur général de la République pour qu’il soit arrêté, une manière de l’anéantir politiquement. Les députés Emery Okundji, Martin Fayulu, Serge Mayamba, Albert Fabrice Puela, John Kolela, Mayo Mambeke, Toussaint Alonga, Ambatole Nyongolo et Ditu Monizi, notent qu’en cette période de guerre, il est politiquement malvenu, voire indécent, que l’Assemblée nationale se disperse dans des conjonctures somme toute « secondaires », voire « dérisoires » et insignifiantes par rapport à la responsabilité historique qui lui incombe dans la résolution du problème fondamental qui menace sa propre existence en tant qu’institution. Convaincus que la majorité de leurs collègues députés nationaux sont parfaitement conscients de cette évidence existentielle, ils fondent l’espoir que leur auguste Assemblée qui a pris la mesure du péril en la demeure, ne se laissera pas distraire au risque d’être emportée par le vent de l’agression qui menace toutes les institutions de la République. Ils rappellent à tous les Congolais que Joseph Kabila, dans son message à la nation devant le parlement réuni en congrès, le 15 décembre 2012 au Palais du peuple, avait dit que “ face à une situation historique qui met la nation en péril, la cohésion nationale s’impose â nous tous : acteurs politiques, société civile, forces de défense et de sécurité et toutes les forces vives de la nation ». Ces députés trouvent donc paradoxal l’acharnement contre un de leurs, député de l’opposition, par rapport à l’appel à la cohésion nationale lancé par Joseph Kabila. « La cohésion nationale est difficile à obtenir dans un environnement où il n’y a que des leaders politiques de l’Opposition qui font l’objet d’une chasse à l’homme, d’un acharnement judiciaire pour des règlements de compte politiques n ont-ils dit, citant nommément le cas de l’honorable Eugène Diomi Ndongala “ dont le procureur général de la République veut à tout prix obtenir la levée des immunités parlementaires afin de lui régler des comptes politiques ». Trop c’est trop ! Ils ont promis de se battre jusqu’à la, dernière énergie pour faire échouer ce plan diabolique qui est préparé en complicité avec le bureau de l’Assemblée nationale et quelques députés du camp adverse.
Empêché de faire un aller-retour Kinshasa-Brazzaville
Au même moment que se déroulait le point de presse, l’honorable Eugène Diomi avait des courses privées qui l’avaient obligé de traverser le fleuve Congo, vers 15h00, et rentrer à Kinshasa le même jour. Ne se reprochant de rien, il a pris la voie officielle, c’est-à-dire le Beach Ngobila, pour effectuer ce mouvement. Malheureusement, il en a été empêché par les services travaillant à cette frontière, soi- disant qu’il n’avait pas d’autorisation de sortie. Ce député a été retenu pendant plus de quatre heures dans les bureaux de ce Beach, jusqu’à ce que, a-t-on appris, quelques hauts responsables de la police, des renseignements et autres ont débarqué sur le lieu. C’est autour de 19h00 qu’il a été relâché, dans la grande satisfaction de quelques députés de l’opposition présents, venus le soutenir dans cette dure épreuve.
LEFILS MATADY
http://democratiechretienne.org/2013/01/02/alors-que-joseph-kabila-appelle-les-congolais-a-la-cohesion-nationale-face-a-lagression-contre-la-rdc-le-depute-eugene-diomi-ndongala-de-nouveau-traque/
par mpp le 2 janvier 2013
Alors que Joseph Kabila appelle les Congolais à la cohésion nationale face à l’agression contre la RDC – Le député Eugène Diomi Ndongala de nouveau traqué
Mardi, 01 Janvier 2013 15:07
L‘Assemblée nationale vient d’actionner la machine, empiétant ainsi son règlement intérieur, pour “régler des comptes politiques“ au porte-parole de la MPP que l’on veut livrer au PGR pour une affaire montée de toutes pièces. Au moment où le pays est confronté à une situation de guerre d’agression qui remet en cause l’existence même de la nation congolaise et donc de l‘Etat congolais, il est politiquement inopportun que l’Assemblée nationale, organe qui représente la nation aujourd’hui en péril, focalise son attention sur des épiphénomènes au lieu de s’investir dans les voies et moyens pour bouter l’ennemi dehors “, ont déclaré les députés’ nationaux de l’opposition vendredi 28 décembre dernier, lors d’un point de presse tenu à la paroisse Fatima, dans la commune de la Gombe. Ces derniers s’insurgent contre l’activation de la machine au niveau du bureau de la chambre basse pour obtenir la levée des immunités de l’honorable Eugène Diomi Ndongala que l’on tient à tout prix à livrer aux mains du procureur général de la République pour qu’il soit arrêté, une manière de l’anéantir politiquement. Les députés Emery Okundji, Martin Fayulu, Serge Mayamba, Albert Fabrice Puela, John Kolela, Mayo Mambeke, Toussaint Alonga, Ambatole Nyongolo et Ditu Monizi, notent qu’en cette période de guerre, il est politiquement malvenu, voire indécent, que l’Assemblée nationale se disperse dans des conjonctures somme toute « secondaires », voire « dérisoires » et insignifiantes par rapport à la responsabilité historique qui lui incombe dans la résolution du problème fondamental qui menace sa propre existence en tant qu’institution. Convaincus que la majorité de leurs collègues députés nationaux sont parfaitement conscients de cette évidence existentielle, ils fondent l’espoir que leur auguste Assemblée qui a pris la mesure du péril en la demeure, ne se laissera pas distraire au risque d’être emportée par le vent de l’agression qui menace toutes les institutions de la République. Ils rappellent à tous les Congolais que Joseph Kabila, dans son message à la nation devant le parlement réuni en congrès, le 15 décembre 2012 au Palais du peuple, avait dit que “ face à une situation historique qui met la nation en péril, la cohésion nationale s’impose â nous tous : acteurs politiques, société civile, forces de défense et de sécurité et toutes les forces vives de la nation ». Ces députés trouvent donc paradoxal l’acharnement contre un de leurs, député de l’opposition, par rapport à l’appel à la cohésion nationale lancé par Joseph Kabila. « La cohésion nationale est difficile à obtenir dans un environnement où il n’y a que des leaders politiques de l’Opposition qui font l’objet d’une chasse à l’homme, d’un acharnement judiciaire pour des règlements de compte politiques n ont-ils dit, citant nommément le cas de l’honorable Eugène Diomi Ndongala “ dont le procureur général de la République veut à tout prix obtenir la levée des immunités parlementaires afin de lui régler des comptes politiques ». Trop c’est trop ! Ils ont promis de se battre jusqu’à la, dernière énergie pour faire échouer ce plan diabolique qui est préparé en complicité avec le bureau de l’Assemblée nationale et quelques députés du camp adverse.
Empêché de faire un aller-retour Kinshasa-Brazzaville
Au même moment que se déroulait le point de presse, l’honorable Eugène Diomi avait des courses privées qui l’avaient obligé de traverser le fleuve Congo, vers 15h00, et rentrer à Kinshasa le même jour. Ne se reprochant de rien, il a pris la voie officielle, c’est-à-dire le Beach Ngobila, pour effectuer ce mouvement. Malheureusement, il en a été empêché par les services travaillant à cette frontière, soi- disant qu’il n’avait pas d’autorisation de sortie. Ce député a été retenu pendant plus de quatre heures dans les bureaux de ce Beach, jusqu’à ce que, a-t-on appris, quelques hauts responsables de la police, des renseignements et autres ont débarqué sur le lieu. C’est autour de 19h00 qu’il a été relâché, dans la grande satisfaction de quelques députés de l’opposition présents, venus le soutenir dans cette dure épreuve.
LEFILS MATADY
http://democratiechretienne.org/2013/01/02/alors-que-joseph-kabila-appelle-les-congolais-a-la-cohesion-nationale-face-a-lagression-contre-la-rdc-le-depute-eugene-diomi-ndongala-de-nouveau-traque/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LA TRAQUE DES DISSIDENTS POLITIQUES CONGOLAIS EST INCOMPATIBLE AVEC TOUTE RECHERCHE DE COHESION NATIONALE : LES CAS DE LA LEVEE DE L’IMMUNITE PARLEMENTAIRE DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA, PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C. ET PORTE-PAROLE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP.
par mpp le 9 janvier 2013
LA TRAQUE DES DISSIDENTS POLITIQUES CONGOLAIS EST INCOMPATIBLE AVEC TOUTE RECHERCHE DE COHESION NATIONALE : LES CAS DE LA LEVEE DE L’IMMUNITE PARLEMENTAIRE DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA, PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C. ET PORTE-PAROLE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP
Le Directoire politique de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle, a pris connaissance de la décision adoptée le 08/01/2012 par la majorité issue des dernière élections contestées de novembre 2011 de lever l’immunité parlementaire de l’Honorable Eugène Diomi Ndongala, élu de la ville province de Kinshasa dans les rangs de l’opposition politique. Cette décision ne surprend pas les membres de la DC car il est de notorieté publique qu’un sentiment d’hostilité envers le Président National de la DC anime le bureau de l’Assemblée nationale ainsi que les militants de la majorité factice de la dite Assemblée et cela à cause du boycott de ses travaux par l’honorable Diomi Ndongala, en conformité avec le mot d’ordre dans ce sens donné par le Président Elu, S.E. Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
Cette position de refus des résultats artificiels des dernières élections ainsi que le lancement de la plateforme politique nommée Majorité Présidentielle Populaire, dont le président Diomi Ndongala a été l’initiateur, est à la base du montage politico-judiciaire imaginé de toute pièce par des personnalités politiques de la Majorite kabiliste en complicité avec des éléments des forces de l’ordre, des services de sécurité ainsi que de responsables de premier plan de l’appareil judiciaire. Ce montage est à la base de la volonté liberticide du régime Kabila de tuer politiquement Eugène Diomi Ndongala en salissant sa réputation avec des accusations infamantes et infondées et en le jetant en prison, après l’avoir détenu au secret pendant 100 jours sans être arrivé à plier sa détermination à animer le front du refus de la fraude électorale en RDC.
Libéré la veille du sommet de la francophonie en signe de décrispation politique face aux remarques des participants audit sommet concernant les gravissimes violations des droits de l’homme en RDCongo, Eugène Diomi Ndongala est encore dans le collimateur kabiliste à cause de sa critique ferme des dérives totalitaires du régime en place a Kinshasa, dont l’échec total de la gouvernance constitue aussi une menace pour la paix au Congo Démocratique, à cause de l’ incapacité des actuels détenteurs de l’imperium à assurer la sécurité aux citoyens congolais ainsi que le rétablissement de l’ autorité de l’ état sur ensemble du territoire national depuis plus de 10 ans de contrôle absolu de la sécurité et de la diplomatie par Joseph Kabila.
La Démocratie Chrétienne ne peut que constater qu’à ce jour les trois responsables des trois plateformes électorales ayant soutenu l’élection du Président Etienne Tshisekedi aux dernières élections présidentielles sont tous les trois visés par le régime Kabila afin qu’ils soient éliminés politiquement et emprisonnés :
1. M. Eugène Diomi Ndongala, coordonnateur de la plateforme électorale USA, Union Sacrée pour l’Alternance politique en RDC ;
2. M. Roger Lumbala, coordonnateur de la plateforme électorale SET, Soutien à Eienne Tshisekedi ;
3. M. Chalupa, membre de la coordination de la DTP, Dynamique Tshisekedi Président (emprisonné depuis février 2012).
<BLOCKQUOTE>
Ce constat amer témoigne le manque de crédibilité du discours de M. Joseph Kabila qui appelle au rétablissement de la cohésion nationale entre « congolais » alors qu’il continue, en toute impunité, à traquer les dissidents politiques.
</BLOCKQUOTE>
De plus, la Démocratie Chrétienne ne peut que condamner avec la dernière énergie la violation systématique, par l’Assemblée Nationale, des dispositions de la Constitution garantissant l’inviolabilité des droits d’expression, de mouvement et d’opinion politique des parlementaires issus des forces politiques dissidentes.
En particulier, la Démocratie Chrétienne ne peut que déplorer l’assujettissement de la Justice congolaise, à tous les niveaux, aux dictat de l’exécutif actuel qui cherche par tous les moyens à colmater les brèches béantes de son manque de légitimité privilégiant, malheureusement, la répression politique.
Voilà pourquoi la Démocratie Chrétienne réaffirme sa volonté de se prévaloir de ses prérogatives civiles et politiques afin de faire échec à la volonté du régime Kabila d’ anéantir toute forme de contradiction interne au Congo Kinshasa à travers l’élimination politique et l’emprisonnement des dissidents politiques les plus actifs, en les piégeant, en les menaçant et en les poussant à s’exiler.
En effet, il sied de rappeler à l’opinion que le siège national de la DC a été occupé sans mandat pendant deux mois et ses installations pillées sans que cela n’émoie les autorités politiques et judicaires congolaises, malgré les nombreuses plaintes déposées.
Dans le contexte politique actuel où le régime Kabila annonce une « concertation politique » visant à renforcer la cohésion nationale – sans nous préciser qui a affaibli cette cohésion et pourquoi elle doit être rétablie – le Directoire de la Démocratie Chrétienne ne peut que mettre en exergue la duplicité du langage de M. Kabila qui semble se contenter des effets d’annonce sans vouloir effectivement résoudre les problèmes qui empoisonnent l’espace politique congolais.
Cette attitude très contradictoire ne peut qu’annoncer l’échec du « Dialogue » programmé par le pouvoir en place entre les forces vives de la nation et les animateurs des actuelles institutions politiques en quête de légitimité.
<BLOCKQUOTE>
Afin d’apprécier la sincérité de la démarche de M. Kabila, la Démocratie Chrétienne exige l’arrêt immédiat de la traque aux dissidents politiques de la RDC ainsi que la libération sans délai des prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons-mouroirs congolaises.
</BLOCKQUOTE>
Vérité et Justice pour le Congo,
Marc Mawete,
Porte-parole de la Démocratie Chrétienne, DC
http://democratiechretienne.org/2013/01/09/la-traque-des-dissidents-politiques-congolais-est-incompatible-avec-toute-recherche-de-cohesion-nationale-les-cas-de-la-levee-de-limmunite-parlementaire-du-depute-national-eugene-diomi-ndon/
par mpp le 9 janvier 2013
LA TRAQUE DES DISSIDENTS POLITIQUES CONGOLAIS EST INCOMPATIBLE AVEC TOUTE RECHERCHE DE COHESION NATIONALE : LES CAS DE LA LEVEE DE L’IMMUNITE PARLEMENTAIRE DU DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA, PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C. ET PORTE-PAROLE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP
Le Directoire politique de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle, a pris connaissance de la décision adoptée le 08/01/2012 par la majorité issue des dernière élections contestées de novembre 2011 de lever l’immunité parlementaire de l’Honorable Eugène Diomi Ndongala, élu de la ville province de Kinshasa dans les rangs de l’opposition politique. Cette décision ne surprend pas les membres de la DC car il est de notorieté publique qu’un sentiment d’hostilité envers le Président National de la DC anime le bureau de l’Assemblée nationale ainsi que les militants de la majorité factice de la dite Assemblée et cela à cause du boycott de ses travaux par l’honorable Diomi Ndongala, en conformité avec le mot d’ordre dans ce sens donné par le Président Elu, S.E. Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
Cette position de refus des résultats artificiels des dernières élections ainsi que le lancement de la plateforme politique nommée Majorité Présidentielle Populaire, dont le président Diomi Ndongala a été l’initiateur, est à la base du montage politico-judiciaire imaginé de toute pièce par des personnalités politiques de la Majorite kabiliste en complicité avec des éléments des forces de l’ordre, des services de sécurité ainsi que de responsables de premier plan de l’appareil judiciaire. Ce montage est à la base de la volonté liberticide du régime Kabila de tuer politiquement Eugène Diomi Ndongala en salissant sa réputation avec des accusations infamantes et infondées et en le jetant en prison, après l’avoir détenu au secret pendant 100 jours sans être arrivé à plier sa détermination à animer le front du refus de la fraude électorale en RDC.
Libéré la veille du sommet de la francophonie en signe de décrispation politique face aux remarques des participants audit sommet concernant les gravissimes violations des droits de l’homme en RDCongo, Eugène Diomi Ndongala est encore dans le collimateur kabiliste à cause de sa critique ferme des dérives totalitaires du régime en place a Kinshasa, dont l’échec total de la gouvernance constitue aussi une menace pour la paix au Congo Démocratique, à cause de l’ incapacité des actuels détenteurs de l’imperium à assurer la sécurité aux citoyens congolais ainsi que le rétablissement de l’ autorité de l’ état sur ensemble du territoire national depuis plus de 10 ans de contrôle absolu de la sécurité et de la diplomatie par Joseph Kabila.
La Démocratie Chrétienne ne peut que constater qu’à ce jour les trois responsables des trois plateformes électorales ayant soutenu l’élection du Président Etienne Tshisekedi aux dernières élections présidentielles sont tous les trois visés par le régime Kabila afin qu’ils soient éliminés politiquement et emprisonnés :
1. M. Eugène Diomi Ndongala, coordonnateur de la plateforme électorale USA, Union Sacrée pour l’Alternance politique en RDC ;
2. M. Roger Lumbala, coordonnateur de la plateforme électorale SET, Soutien à Eienne Tshisekedi ;
3. M. Chalupa, membre de la coordination de la DTP, Dynamique Tshisekedi Président (emprisonné depuis février 2012).
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Ce constat amer témoigne le manque de crédibilité du discours de M. Joseph Kabila qui appelle au rétablissement de la cohésion nationale entre « congolais » alors qu’il continue, en toute impunité, à traquer les dissidents politiques.
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De plus, la Démocratie Chrétienne ne peut que condamner avec la dernière énergie la violation systématique, par l’Assemblée Nationale, des dispositions de la Constitution garantissant l’inviolabilité des droits d’expression, de mouvement et d’opinion politique des parlementaires issus des forces politiques dissidentes.
En particulier, la Démocratie Chrétienne ne peut que déplorer l’assujettissement de la Justice congolaise, à tous les niveaux, aux dictat de l’exécutif actuel qui cherche par tous les moyens à colmater les brèches béantes de son manque de légitimité privilégiant, malheureusement, la répression politique.
Voilà pourquoi la Démocratie Chrétienne réaffirme sa volonté de se prévaloir de ses prérogatives civiles et politiques afin de faire échec à la volonté du régime Kabila d’ anéantir toute forme de contradiction interne au Congo Kinshasa à travers l’élimination politique et l’emprisonnement des dissidents politiques les plus actifs, en les piégeant, en les menaçant et en les poussant à s’exiler.
En effet, il sied de rappeler à l’opinion que le siège national de la DC a été occupé sans mandat pendant deux mois et ses installations pillées sans que cela n’émoie les autorités politiques et judicaires congolaises, malgré les nombreuses plaintes déposées.
Dans le contexte politique actuel où le régime Kabila annonce une « concertation politique » visant à renforcer la cohésion nationale – sans nous préciser qui a affaibli cette cohésion et pourquoi elle doit être rétablie – le Directoire de la Démocratie Chrétienne ne peut que mettre en exergue la duplicité du langage de M. Kabila qui semble se contenter des effets d’annonce sans vouloir effectivement résoudre les problèmes qui empoisonnent l’espace politique congolais.
Cette attitude très contradictoire ne peut qu’annoncer l’échec du « Dialogue » programmé par le pouvoir en place entre les forces vives de la nation et les animateurs des actuelles institutions politiques en quête de légitimité.
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Afin d’apprécier la sincérité de la démarche de M. Kabila, la Démocratie Chrétienne exige l’arrêt immédiat de la traque aux dissidents politiques de la RDC ainsi que la libération sans délai des prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons-mouroirs congolaises.
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Vérité et Justice pour le Congo,
Marc Mawete,
Porte-parole de la Démocratie Chrétienne, DC
http://democratiechretienne.org/2013/01/09/la-traque-des-dissidents-politiques-congolais-est-incompatible-avec-toute-recherche-de-cohesion-nationale-les-cas-de-la-levee-de-limmunite-parlementaire-du-depute-national-eugene-diomi-ndon/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Exclusivité: Eugène Diomi Ndongala et Roger Lumbala réagissent à l'invalidation de leurs mandats
Mathilde
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
RFI /RDC : l’Assemblée congolaise cible-t-elle les soutiens de Tshisekedi?
par mpp le 10 janvier 2013
RDC : l’Assemblée congolaise cible-t-elle les soutiens de Tshisekedi?
Etienne Tshisekedi (Centre D) aux côtés du leader de l’opposition Eugène Diomi Ndongala (Centre G) à l’église Notre-Dame de Kinshasa, le 22 Juin 2012.
Par Ursula Soares /RFI
L’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) a invalidé, le 8 janvier, le mandat du député d’opposition Roger Lumbala – qui soutient ouvertement la rébellion du M23 – pour absentéisme. Le même jour, l’Assemblée a aussi tranché, cette fois-ci en faveur de la levée d’immunité du député d’opposition, Eugène Diomi Ndongala, accusé de viol sur mineures. Tous deux s’estiment victimes d’une cabale politique visant à neutraliser les soutiens de l’opposant Etienne Tshisekedi.
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« Je suis l’homme le plus dérangeant par rapport au régime en place…. »
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Écouter (01:01):
FICHIER AUDIO
http://telechargement.rfi.fr.edgesuite.net/rfi/francais/audio/modules/actu/201301/RDC_son_Eugene_Diomi_Ndongala_sur_sa_levee_d_immunite_parlementaire.mp3
http://www.rfi.fr/aef_player_popup/rfi_player#
http://democratiechretienne.org/2013/01/10/rfi-rdc-lassemblee-congolaise-cible-t-elle-les-soutiens-de-tshisekedi/
par mpp le 10 janvier 2013
RDC : l’Assemblée congolaise cible-t-elle les soutiens de Tshisekedi?
Etienne Tshisekedi (Centre D) aux côtés du leader de l’opposition Eugène Diomi Ndongala (Centre G) à l’église Notre-Dame de Kinshasa, le 22 Juin 2012.
Par Ursula Soares /RFI
L’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) a invalidé, le 8 janvier, le mandat du député d’opposition Roger Lumbala – qui soutient ouvertement la rébellion du M23 – pour absentéisme. Le même jour, l’Assemblée a aussi tranché, cette fois-ci en faveur de la levée d’immunité du député d’opposition, Eugène Diomi Ndongala, accusé de viol sur mineures. Tous deux s’estiment victimes d’une cabale politique visant à neutraliser les soutiens de l’opposant Etienne Tshisekedi.
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« Je suis l’homme le plus dérangeant par rapport au régime en place…. »
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
KOTA a écrit:RDC : l’Assemblée congolaise cible-t-elle les soutiens de Tshisekedi?
Etienne Tshisekedi (Centre D) aux côtés du leader de l'opposition Eugène Diomi Ndongala (Centre G) à l'église Notre-Dame de Kinshasa, le 22 Juin 2012.
Par Ursula Soares
L’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) a invalidé, le 8 janvier, le mandat du député d’opposition Roger Lumbala - qui soutient ouvertement la rébellion du M23 - pour absentéisme. Le même jour, l’Assemblée a aussi tranché, cette fois-ci en faveur de la levée d’immunité du député d’opposition, Eugène Diomi Ndongala, accusé de viol sur mineures. Tous deux s’estiment victimes d’une cabale politique visant à neutraliser les soutiens de l’opposant Etienne Tshisekedi.
http://www.rfi.fr/aef_player_popup/rfi_player#
Kota,
Je n'arrive pas à comprendre ces jérémiades de la part de Eugène Diomi, il s'est inscrit dans une logique qui entre en contradiction avec les institutions en place , même si ceux-ci dirigent par défi, la réalité est que ce sont eux qui détiennent l'effectivité pouvoir.
Diomi avait qualifié ce parlement de forum, de farce et que tout ce qui s'y déroule ne le concerne pas ,et qu'il n'y siègera pas, alors pourquoi s'obstiner à ne vouloir qu'avoir les avantages s'y rattachant sans assumer ses responsabilités , il veut garder l'immunité, les émoluments, mais ne veut pas siéger et par dessus tout se veut quasi intouchable.
c'est un peu illogique à moins d'être tiède ou suivre deux lièvres à la fois.
Pour moi Diomi avait renoncé à être député ,de ceci découle qu'il ne devrait pas se prétendre couvert par l'immunité , ni percevoir des émoluments venant de ce soit disant forum ( qualification de l'opposition hors parlement) car non-concerné.
Qu'il fasse face à la justice comme il est innocent, ou s'il estime être en danger qu'il se réfugie à la Monusco ou qu'il aille en exil, car être lieutenant de Tshisekedi a peu d'avantages mais beaucoup d'inconvénients.
QU'IL ASSUME SES CHOIX PLEINEMENT
Congomoko
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Congomoko a écrit:KOTA a écrit:RDC : l’Assemblée congolaise cible-t-elle les soutiens de Tshisekedi?
Etienne Tshisekedi (Centre D) aux côtés du leader de l'opposition Eugène Diomi Ndongala (Centre G) à l'église Notre-Dame de Kinshasa, le 22 Juin 2012.
Par Ursula Soares
L’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC) a invalidé, le 8 janvier, le mandat du député d’opposition Roger Lumbala - qui soutient ouvertement la rébellion du M23 - pour absentéisme. Le même jour, l’Assemblée a aussi tranché, cette fois-ci en faveur de la levée d’immunité du député d’opposition, Eugène Diomi Ndongala, accusé de viol sur mineures. Tous deux s’estiment victimes d’une cabale politique visant à neutraliser les soutiens de l’opposant Etienne Tshisekedi.
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Kota,
Je n'arrive pas à comprendre ces jérémiades de la part de Eugène Diomi, il s'est inscrit dans une logique qui entre en contradiction avec les institutions en place , même si ceux-ci dirigent par défi, la réalité est que ce sont eux qui détiennent l'effectivité pouvoir.
Diomi avait qualifié ce parlement de forum, de farce et que tout ce qui s'y déroule ne le concerne pas ,et qu'il n'y siègera pas, alors pourquoi s'obstiner à ne vouloir qu'avoir les avantages s'y rattachant sans assumer ses responsabilités , il veut garder l'immunité, les émoluments, mais ne veut pas siéger et par dessus tout se veut quasi intouchable.
c'est un peu illogique à moins d'être tiède ou suivre deux lièvres à la fois.
Pour moi Diomi avait renoncé à être député ,de ceci découle qu'il ne devrait pas se prétendre couvert par l'immunité , ni percevoir des émoluments venant de ce soit disant forum ( qualification de l'opposition hors parlement) car non-concerné.
Qu'il fasse face à la justice comme il est innocent, ou s'il estime être en danger qu'il se réfugie à la Monusco ou qu'il aille en exil, car être lieutenant de Tshisekedi a peu d'avantages mais beaucoup d'inconvénients.
QU'IL ASSUME SES CHOIX PLEINEMENT
Ebongo ye Honorable Maitre Kota alobi nini???
Diomi: politicien??? hmmm!!!
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
La Démocratie Chrétienne ne peut que constater qu’à ce jour les trois responsables des trois plateformes électorales ayant soutenu l’élection du Président Etienne Tshisekedi aux dernières élections présidentielles sont tous les trois visés par le régime Kabila afin qu’ils soient éliminés politiquement et emprisonnés :
1. M. Eugène Diomi Ndongala, coordonnateur de la plateforme électorale USA, Union Sacrée pour l’Alternance politique en RDC ;
2. M. Roger Lumbala, coordonnateur de la plateforme électorale SET, Soutien à Eienne Tshisekedi ;
3. M. Chalupa, membre de la coordination de la DTP, Dynamique Tshisekedi Président (emprisonné depuis février 2012).
<BLOCKQUOTE>
Ce constat amer témoigne le manque de crédibilité du discours de M. Joseph Kabila qui appelle au rétablissement de la cohésion nationale entre « congolais » alors qu’il continue, en toute impunité, à traquer les dissidents politiques.
</BLOCKQUOTE>
De plus, la Démocratie Chrétienne ne peut que condamner avec la dernière énergie la violation systématique, par l’Assemblée Nationale, des dispositions de la Constitution garantissant l’inviolabilité des droits d’expression, de mouvement et d’opinion politique des parlementaires issus des forces politiques dissidentes.
En particulier, la Démocratie Chrétienne ne peut que déplorer l’assujettissement de la Justice congolaise, à tous les niveaux, aux dictat de l’exécutif actuel qui cherche par tous les moyens à colmater les brèches béantes de son manque de légitimité privilégiant, malheureusement, la répression politique.
http://wp.me/p18AQh-1op
1. M. Eugène Diomi Ndongala, coordonnateur de la plateforme électorale USA, Union Sacrée pour l’Alternance politique en RDC ;
2. M. Roger Lumbala, coordonnateur de la plateforme électorale SET, Soutien à Eienne Tshisekedi ;
3. M. Chalupa, membre de la coordination de la DTP, Dynamique Tshisekedi Président (emprisonné depuis février 2012).
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Ce constat amer témoigne le manque de crédibilité du discours de M. Joseph Kabila qui appelle au rétablissement de la cohésion nationale entre « congolais » alors qu’il continue, en toute impunité, à traquer les dissidents politiques.
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De plus, la Démocratie Chrétienne ne peut que condamner avec la dernière énergie la violation systématique, par l’Assemblée Nationale, des dispositions de la Constitution garantissant l’inviolabilité des droits d’expression, de mouvement et d’opinion politique des parlementaires issus des forces politiques dissidentes.
En particulier, la Démocratie Chrétienne ne peut que déplorer l’assujettissement de la Justice congolaise, à tous les niveaux, aux dictat de l’exécutif actuel qui cherche par tous les moyens à colmater les brèches béantes de son manque de légitimité privilégiant, malheureusement, la répression politique.
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
KOTA a écrit:La Démocratie Chrétienne ne peut que constater qu’à ce jour les trois responsables des trois plateformes électorales ayant soutenu l’élection du Président Etienne Tshisekedi aux dernières élections présidentielles sont tous les trois visés par le régime Kabila afin qu’ils soient éliminés politiquement et emprisonnés :
1. M. Eugène Diomi Ndongala, coordonnateur de la plateforme électorale USA, Union Sacrée pour l’Alternance politique en RDC ;
2. M. Roger Lumbala, coordonnateur de la plateforme électorale SET, Soutien à Eienne Tshisekedi ;
3. M. Chalupa, membre de la coordination de la DTP, Dynamique Tshisekedi Président (emprisonné depuis février 2012).
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Ce constat amer témoigne le manque de crédibilité du discours de M. Joseph Kabila qui appelle au rétablissement de la cohésion nationale entre « congolais » alors qu’il continue, en toute impunité, à traquer les dissidents politiques.
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De plus, la Démocratie Chrétienne ne peut que condamner avec la dernière énergie la violation systématique, par l’Assemblée Nationale, des dispositions de la Constitution garantissant l’inviolabilité des droits d’expression, de mouvement et d’opinion politique des parlementaires issus des forces politiques dissidentes.
En particulier, la Démocratie Chrétienne ne peut que déplorer l’assujettissement de la Justice congolaise, à tous les niveaux, aux dictat de l’exécutif actuel qui cherche par tous les moyens à colmater les brèches béantes de son manque de légitimité privilégiant, malheureusement, la répression politique.
http://wp.me/p18AQh-1op
Kota cher frère,
Eclaire un peu la lanterne de tes compatriotes, sinon cela frise le ridicule, Cette MPP a pour président élu Tshisekedi à qui elle a fait allégeance pourquoi dès lors prendre le discours de Kabila qu'elle ne reconnait pas comme référence ? la cohésion viendra du dsicours de Kabila ou de la quête de l'imperium?
Sur ce coup là le démocratie chrétienne nage en plein contradiction.
Moi je m'attendais à ce que Diomi nous dise qu'il ne se sent pas concerné par ce que fait ce parlement afin de rester dans sa logique, et de dire au peuple congolais qu'il est prêt à aller jusqu'au sacrifice suprême pour le défendre et le servir, mais lancer des communiqués aussi pleurnichards j'avoue que ça me dépasse.
S'IL VEUT LA PAIX QU'IL DESAVOUE TSHISEKEDI , QU'IL AIILE S'OCCUPER DE SA PETITE FAMILLE CAR CE N'EST PAS SANS RISQUE QUE SUIVRE LE SPHINX
Congomoko
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
c C EST JUSTEMENT EN SOULIGNANT CE GENRE DE CONTRADICTIONS QU ON MET A NU LE CARACTERE FALLACIEUX DU DISCOURS DE KABILA: LA CRITIQUE PASSE PAR LA, PAR LA MISE EN EXERGUE DE LA CONTRADICTION:
EXTRAIT:
"Dans le contexte politique actuel où le régime Kabila annonce une « concertation politique » visant à renforcer la cohésion nationale – sans nous préciser qui a affaibli cette cohésion et pourquoi elle doit être rétablie – le Directoire de la Démocratie Chrétienne ne peut que mettre en exergue la duplicité du langage de M. Kabila qui semble se contenter des effets d’annonce sans vouloir effectivement résoudre les problèmes qui empoisonnent l’espace politique congolais...."
http://wp.me/p18AQh-1op
EXTRAIT:
"Dans le contexte politique actuel où le régime Kabila annonce une « concertation politique » visant à renforcer la cohésion nationale – sans nous préciser qui a affaibli cette cohésion et pourquoi elle doit être rétablie – le Directoire de la Démocratie Chrétienne ne peut que mettre en exergue la duplicité du langage de M. Kabila qui semble se contenter des effets d’annonce sans vouloir effectivement résoudre les problèmes qui empoisonnent l’espace politique congolais...."
http://wp.me/p18AQh-1op
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Normalement comme Diomi ne reconnait pas le parlement actuel. Il ne devrait donc pas prêter attention à l’invalidation de son mandat.
Admin- Admin
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Congomoko a écrit:KOTA a écrit:La Démocratie Chrétienne ne peut que constater qu’à ce jour les trois responsables des trois plateformes électorales ayant soutenu l’élection du Président Etienne Tshisekedi aux dernières élections présidentielles sont tous les trois visés par le régime Kabila afin qu’ils soient éliminés politiquement et emprisonnés :
1. M. Eugène Diomi Ndongala, coordonnateur de la plateforme électorale USA, Union Sacrée pour l’Alternance politique en RDC ;
2. M. Roger Lumbala, coordonnateur de la plateforme électorale SET, Soutien à Eienne Tshisekedi ;
3. M. Chalupa, membre de la coordination de la DTP, Dynamique Tshisekedi Président (emprisonné depuis février 2012).
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Ce constat amer témoigne le manque de crédibilité du discours de M. Joseph Kabila qui appelle au rétablissement de la cohésion nationale entre « congolais » alors qu’il continue, en toute impunité, à traquer les dissidents politiques.
</BLOCKQUOTE>
De plus, la Démocratie Chrétienne ne peut que condamner avec la dernière énergie la violation systématique, par l’Assemblée Nationale, des dispositions de la Constitution garantissant l’inviolabilité des droits d’expression, de mouvement et d’opinion politique des parlementaires issus des forces politiques dissidentes.
En particulier, la Démocratie Chrétienne ne peut que déplorer l’assujettissement de la Justice congolaise, à tous les niveaux, aux dictat de l’exécutif actuel qui cherche par tous les moyens à colmater les brèches béantes de son manque de légitimité privilégiant, malheureusement, la répression politique.
http://wp.me/p18AQh-1op
Kota cher frère,
Eclaire un peu la lanterne de tes compatriotes, sinon cela frise le ridicule, Cette MPP a pour président élu Tshisekedi à qui elle a fait allégeance pourquoi dès lors prendre le discours de Kabila qu'elle ne reconnait pas comme référence ? la cohésion viendra du dsicours de Kabila ou de la quête de l'imperium?
Sur ce coup là le démocratie chrétienne nage en plein contradiction.
Moi je m'attendais à ce que Diomi nous dise qu'il ne se sent pas concerné par ce que fait ce parlement afin de rester dans sa logique, et de dire au peuple congolais qu'il est prêt à aller jusqu'au sacrifice suprême pour le défendre et le servir, mais lancer des communiqués aussi pleurnichards j'avoue que ça me dépasse.
S'IL VEUT LA PAIX QU'IL DESAVOUE TSHISEKEDI , QU'IL AIILE S'OCCUPER DE SA PETITE FAMILLE CAR CE N'EST PAS SANS RISQUE QUE SUIVRE LE SPHINX
Si on croit que cette methode de pleurnicher, de se lamenter, de se plaindre, renversera Kabila, on attendra pour longtemps. Moi j'ai deja compris que la lutte du style Tshisekedi-Diomi ne nous amenera nulle part. Chacun est libre de continuer dans son style de lutte, mais moi j'ai deja fait defection au style Diomi et consorts.
regarder et bien voir
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Admin a écrit:Normalement comme Diomi ne reconnait pas le parlement actuel. Il ne devrait donc pas prêter attention à l’invalidation de son mandat.
Et renoncer à ses émoluments , car il les perçoit jusqu'alors
Congomoko
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Ah là on est vraiment dans la contradictionCongomoko a écrit:Admin a écrit:Normalement comme Diomi ne reconnait pas le parlement actuel. Il ne devrait donc pas prêter attention à l’invalidation de son mandat.
Et renoncer à ses émoluments , car il les perçoit jusqu'alors
Admin- Admin
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Kie, kie, kie, kie.....
La versatilite et l'opportunisme des politiciens congolais n'etonne que leurs pauvres victimies qui les prennent au serieux. Voila un "chantre" de l'Etat de droit, de la democratie, de la justice etc... qui se fait demasquer, encore une fois, comme etant tout le contraire de ce qu'il clame.
Hier il clamait tout haut qu'il ne reconnaissait pas le parlement congolais en "solidarite" avec Tshisekedi que ses propres deputes ont ignores, et aujourd'hui la meme personne s'accroche a une "immunite" associee au mandat qu'il a refuse. De plus, sans vergogne et sans honte il continue a toucher "ses" emoluments! Autrement dit, il touche de l'argent de l'Etat SANS TRAVAILLER, Sans travailler POUR SES ELECTEURS!!!!
A l'epoque deja je demandais a ce que tous ceux/celles qui ne siegeaient pas a l'assemblee soient invalides et je me plaignais de la lourdeur du bureau de l'assemble a ce propos. Maintenant je vois commet cette lenteur a porte fruit car exposant certaint dans leurs mensonges et contradictions. J'espere bien que cela ouvre les yeux de ceux et celles qui les prennent pour des saints et qui croient aveuglement a leurs discours "aradjicaux"....
Kota,
On ne peut pas vouloir une chose et son contraire en meme temps. Ca s'appelle de la FOURBERIE!
Et puis, pourquoi panniquer puisqu'aucune action juducuaire n'a ete porte contre votre chef. Jusqu'a preuve du contraire Diomi est INNOCENT. La justice va lui permettre de se defendre fasse aux accusations de ces jeunes filles qui l'accusent de les avoir viole. Et son proces sera publique comme on aime bienle faire au Congo.
La versatilite et l'opportunisme des politiciens congolais n'etonne que leurs pauvres victimies qui les prennent au serieux. Voila un "chantre" de l'Etat de droit, de la democratie, de la justice etc... qui se fait demasquer, encore une fois, comme etant tout le contraire de ce qu'il clame.
Hier il clamait tout haut qu'il ne reconnaissait pas le parlement congolais en "solidarite" avec Tshisekedi que ses propres deputes ont ignores, et aujourd'hui la meme personne s'accroche a une "immunite" associee au mandat qu'il a refuse. De plus, sans vergogne et sans honte il continue a toucher "ses" emoluments! Autrement dit, il touche de l'argent de l'Etat SANS TRAVAILLER, Sans travailler POUR SES ELECTEURS!!!!
A l'epoque deja je demandais a ce que tous ceux/celles qui ne siegeaient pas a l'assemblee soient invalides et je me plaignais de la lourdeur du bureau de l'assemble a ce propos. Maintenant je vois commet cette lenteur a porte fruit car exposant certaint dans leurs mensonges et contradictions. J'espere bien que cela ouvre les yeux de ceux et celles qui les prennent pour des saints et qui croient aveuglement a leurs discours "aradjicaux"....
Kota,
On ne peut pas vouloir une chose et son contraire en meme temps. Ca s'appelle de la FOURBERIE!
Et puis, pourquoi panniquer puisqu'aucune action juducuaire n'a ete porte contre votre chef. Jusqu'a preuve du contraire Diomi est INNOCENT. La justice va lui permettre de se defendre fasse aux accusations de ces jeunes filles qui l'accusent de les avoir viole. Et son proces sera publique comme on aime bienle faire au Congo.
NgongaEbeti
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
CHER ADMIN,
DIOMI NDONGALA NE RECONNAIT PAS LE RESULTATS DES LEGISLATIVES CAR CEUX- CI ONT ETE FABRIQUES DANS LES BUREAUX DES CENTRES DE COMPILATION DE LA CENI. POUR CELA IL A BOYCOTTE LA PARTICIPATION A CETTE INSTITUION POUR NE PAS DONNER SA CAUTION A LA "POLITIQUE DU FAIT ACCOMPLI" MENEE PAR KABILA IGNORANT LE MANQUE DE LEGITIMITE DE SA "PRESIDENCE" ISSU D UN PUTCH ADMINISTRATIF ET QUI SE SOUTIENT GRACE A UNE MAJORITE ARTIFICIELLE AU PARLEMENT.
C EST CLAIR, NET , PRECIS ET COHERENT
DIOMI NDONGALA NE RECONNAIT PAS LE RESULTATS DES LEGISLATIVES CAR CEUX- CI ONT ETE FABRIQUES DANS LES BUREAUX DES CENTRES DE COMPILATION DE LA CENI. POUR CELA IL A BOYCOTTE LA PARTICIPATION A CETTE INSTITUION POUR NE PAS DONNER SA CAUTION A LA "POLITIQUE DU FAIT ACCOMPLI" MENEE PAR KABILA IGNORANT LE MANQUE DE LEGITIMITE DE SA "PRESIDENCE" ISSU D UN PUTCH ADMINISTRATIF ET QUI SE SOUTIENT GRACE A UNE MAJORITE ARTIFICIELLE AU PARLEMENT.
C EST CLAIR, NET , PRECIS ET COHERENT
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
KOTA a écrit:CHER ADMIN,
DIOMI NDONGALA NE RECONNAIT PAS LE RESULTATS DES LEGISLATIVES CAR CEUX- CI ONT ETE FABRIQUES DANS LES BUREAUX DES CENTRES DE COMPILATION DE LA CENI. POUR CELA IL A BOYCOTTE LA PARTICIPATION A CETTE INSTITUION POUR NE PAS DONNER SA CAUTION A LA "POLITIQUE DU FAIT ACCOMPLI" MENEE PAR KABILA IGNORANT LE MANQUE DE LEGITIMITE DE SA "PRESIDENCE" ISSU D UN PUTCH ADMINISTRATIF ET QUI SE SOUTIENT GRACE A UNE MAJORITE ARTIFICIELLE AU PARLEMENT.
C EST CLAIR, NET , PRECIS ET COHERENT
LOL!!!!!!
NgongaEbeti
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Eugène DIOMI NDONGALA : Le dernier de mohicans !
29/12/2012 00:59:00KongoTimes!
Font size:
Eugène Diomi Ndongala et Etienne Tshisekedi
Le pouvoir kabiliste tente d’isoler davantage Tshisekedi et surtout de faire taire le "dernier de mohicans" qui lui sert de "porte-voix". Et si Diomi était victime d’une cabale politico-judiciaire?
En partance pour Brazzaville, vendredi 28 décembre, le député national Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne (DC), a été arrêté, aux alentours de 13 heures, par des agents de l’Agence nationale de renseignements (ANR) agissant «sur ordre de la haute hiérarchie». Proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Diomi a été retenu durant plusieurs heures dans un local de l’ANR au Beach Ngobila. Il aurait été relâché sans connaître le motif de cette arrestation "temporaire". Il lui est cependant interdit de quitter le territoire national. Un cas d’excès de pouvoir.
Interdiction de quitter le pays
Kinshasa. Vendredi 28 décembre. Il est environ 13 h00 lorsque l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala se présente à la débarcadère du Beach Ngobila. Il doit prendre le bateau faisant la navette, au quotidien, entre Kinshasa et Brazzaville. Le voyage n’aura pas lieu. C’est en ce moment que des agents de l’ANR l’ont invité à les suivre dans un bureau. On apprenait dans la soirée que Diomi aurait été relâché vers 19h00. «Il lui a été signifié l’interdiction de quitter le territoire national», a déclaré Rigobert Kuta, chargé des relations extérieures du cartel pro-Tshisekedi dit «Majorité présidentielle populaire». Qui a ordonné l’interpellation de ce membre de l’opposition? Pourquoi ?
A en croire les agents de l’ANR dont question, ils agissaient «sur ordre de la haute hiérarchie». Rien de bien étonnant quand on connaît les méthodes usitées par les «hommes» de Kalev Mutond. Des méthodes qui n’ont rien à envier à celles d’une police politique qui échappe à tout contrôle tant démocratique que judiciaire. Cette police ne rend compte qu’à un seul homme : «Joseph Kabila». Pendant plusieurs heures, Diomi a été privé de la liberté locomotrice sans qu’un fonctionnaire daigne lui notifier les motifs de cette décision. Il a été relâché dans les mêmes conditions en apprenant cependant qu’il lui est désormais interdit de quitter le territoire national. Au nom de quel principe? Inimaginable dans un Etat affublé de l’épithète «démocratique» où le pluralisme politique est pourtant consacré par la Constitution. Etrangement, les membres de l’opposition continuent à être traités comme de minables «agents subversifs».
«Président élu»
Pour comprendre les ennuis de Diomi Ndongala, il n’est pas sans intérêt de remonter aux élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011. Des consultations politiques chahutées par les observateurs tant nationaux qu’internationaux. Ceux-ci ont dénoncé les irrégularités - c’est un euphémisme - qui ont entaché les opérations électorales. Diomi fait partie de la grande majorité de la population qui croît dur comme fer que le scrutin présidentiel a été remporté par Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Autrement dit, «Joseph Kabila» ne serait qu’un usurpateur. Il se maintient à la tête de l’Etat par la force des armes et surtout par «défi».
Elu député national du district kinois de la Funa lors des législatives précitées, Diomi a rejoint le «front du refus» en refusant de siéger dans la nouvelle Assemblée nationale. Doté d’un bagou indéniable, l’homme est devenu au fil du temps, le dernier «soutien politique» du leader de l’UDPS dont il n’hésite pas à gratifier du titre de «Président élu». Au grand dam du «clan kabiliste». Dès le lendemain des élections, le président de la DC s’est radicalisé. Rien d’étonnant qu’il soirt dans le «viseur» des sbires du "raïs".
Le 20 décembre 2011, «Joseph Kabila» organise la cérémonie de son investiture à la Cité de l’Union Africaine. Une manifestation «honorée» par la présence d’un seul chef d’Etat : le Zimbabwéen Robert Mugabe. C’est le début d’un isolément diplomatique qui ne dit pas son nom. Quarante-huit heures après, Etienne Tshisekedi wa Mulumba - qui revendique la victoire à l’élection présidentielle - commettait la maladresse de prêter serment, à son tour, en qualité de «Président élu» brouillant davantage son image. La cérémonie a lieu en sa résidence à Limete. Le bras de fer est aussi déclenché. Disposant de l’appareil d’Etat, «Joseph» fait déployer, dès janvier 2012, des éléments de la garde présidentielle dans le périmètre où se trouve la résidence de son challenger. Le leader de l’UDPS est ainsi "assigné en résidence" de facto. Chaque sortie doit faire l’objet d’une autorisation donnée par le patron de la police, Charles Bisengimana.
Après le déclenchement de la guerre entre les FARDC et les rebelles du M23, Diomi Ndongala décide d’organiser le samedi 23 juin dernier un office religieux «pour soutenir» les forces loyalistes déployées au Nord Kivu. En guise de «Guest star», Tshisekedi - qui était manifestement filé par les «agents» - a fait une entrée triomphale dans la Cathédrale Notre Dame à Lingwala. Il semble que c’est au cours de cette «réunion politioco-religieuse» qu’a germé l’idée de «formaliser» l’existence d’un cartel politique pro-Tshisekedi dénommé
«Majorité présidentielle populaire» (MPP); à ne pas confondre avec la «Majorité présidentielle» (MP) qui soutient «Joseph Kabila». La cérémonie de signature de la charte était fixée à mercredi 27 juin au même endroit.
«Cabale politico-judiciaire? »
Le même mercredi, une nouvelle se répand comme une traînée de poudre : «Diomi Ndongala a été enlevé!». Un mystère planait sur le service ayant diligenté l’arrestation et le lieu de détention. «Il devait présider la cérémonie de signature de la «charte» de la «MPP». Le 17 juillet, le très sectaire procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, adressait un réquisitoire au président de l’Assemblée nationale, le PPRD Aubin Minaku, lui demandant la levée de l’immunité parlementaire du député national Diomi Ndongala. Et ce «en vue de permettre d’exercer des poursuites judiciaires à sa charge devant la juridiction compétente du chef de viol (…)». Qui a arrêté l’opposant Diomi ? La question est restée longtemps sans réponse.
Dans un communiqué daté du 8 août 2012, l’association de défense des droits humains «La Voix des Sans Voix» (VSV) écrivait notamment que «M. Diomi Ndongala aurait été initialement détenu au Bureau II de la garde républicaine avant d’être transféré au cachot de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), département de sécurité intérieure dans une cellule de «haute sécurité». Coup de théâtre. Le 11 octobre dernier, Diomi fait sa réapparition. Le visage est envahi par une barbe digne d’un combattant "taliban". Il a été déposé par des «inconnus» à quelques mètres du Centre supérieur militaire dans la commune de Ngaliema.
Samedi 22 décembre, Diomi a fait partie des invités de marque à l’occasion de la commémoration du quatre-vingtième anniversaire d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Il semble que le président de la DC aurait, comme à son habitude, clamé haut et fort que «Tshi-Tshi» est et reste le «Président élu». «Le pouvoir se livre à un forcing pour obtenir la levée de l’immunité parlementaire de Diomi, confie Rigobert Kuta. On assiste à un véritablement acharnement. C’est bien dommage de constater que la solidarité fait défaut au sein des parlementaires de l’opposition». Notons que Diomi n’a jamais accepté de siéger dans la nouvelle Représentation nationale. En s’en prenant à lui, le pouvoir kabiliste tente d’isoler davantage Tshisekedi et surtout de faire taire le "dernier de mohicans" qui lui sert de "porte-voix". Et si Diomi était victime d’une cabale politico-judiciaire?
[B.A.W/Congoindépendant]
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/5333-eugene-diomi-ndongala-le-dernier-de-mohicans.html
29/12/2012 00:59:00KongoTimes!
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Eugène Diomi Ndongala et Etienne Tshisekedi
Le pouvoir kabiliste tente d’isoler davantage Tshisekedi et surtout de faire taire le "dernier de mohicans" qui lui sert de "porte-voix". Et si Diomi était victime d’une cabale politico-judiciaire?
En partance pour Brazzaville, vendredi 28 décembre, le député national Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne (DC), a été arrêté, aux alentours de 13 heures, par des agents de l’Agence nationale de renseignements (ANR) agissant «sur ordre de la haute hiérarchie». Proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Diomi a été retenu durant plusieurs heures dans un local de l’ANR au Beach Ngobila. Il aurait été relâché sans connaître le motif de cette arrestation "temporaire". Il lui est cependant interdit de quitter le territoire national. Un cas d’excès de pouvoir.
Interdiction de quitter le pays
Kinshasa. Vendredi 28 décembre. Il est environ 13 h00 lorsque l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala se présente à la débarcadère du Beach Ngobila. Il doit prendre le bateau faisant la navette, au quotidien, entre Kinshasa et Brazzaville. Le voyage n’aura pas lieu. C’est en ce moment que des agents de l’ANR l’ont invité à les suivre dans un bureau. On apprenait dans la soirée que Diomi aurait été relâché vers 19h00. «Il lui a été signifié l’interdiction de quitter le territoire national», a déclaré Rigobert Kuta, chargé des relations extérieures du cartel pro-Tshisekedi dit «Majorité présidentielle populaire». Qui a ordonné l’interpellation de ce membre de l’opposition? Pourquoi ?
A en croire les agents de l’ANR dont question, ils agissaient «sur ordre de la haute hiérarchie». Rien de bien étonnant quand on connaît les méthodes usitées par les «hommes» de Kalev Mutond. Des méthodes qui n’ont rien à envier à celles d’une police politique qui échappe à tout contrôle tant démocratique que judiciaire. Cette police ne rend compte qu’à un seul homme : «Joseph Kabila». Pendant plusieurs heures, Diomi a été privé de la liberté locomotrice sans qu’un fonctionnaire daigne lui notifier les motifs de cette décision. Il a été relâché dans les mêmes conditions en apprenant cependant qu’il lui est désormais interdit de quitter le territoire national. Au nom de quel principe? Inimaginable dans un Etat affublé de l’épithète «démocratique» où le pluralisme politique est pourtant consacré par la Constitution. Etrangement, les membres de l’opposition continuent à être traités comme de minables «agents subversifs».
«Président élu»
Pour comprendre les ennuis de Diomi Ndongala, il n’est pas sans intérêt de remonter aux élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011. Des consultations politiques chahutées par les observateurs tant nationaux qu’internationaux. Ceux-ci ont dénoncé les irrégularités - c’est un euphémisme - qui ont entaché les opérations électorales. Diomi fait partie de la grande majorité de la population qui croît dur comme fer que le scrutin présidentiel a été remporté par Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Autrement dit, «Joseph Kabila» ne serait qu’un usurpateur. Il se maintient à la tête de l’Etat par la force des armes et surtout par «défi».
Elu député national du district kinois de la Funa lors des législatives précitées, Diomi a rejoint le «front du refus» en refusant de siéger dans la nouvelle Assemblée nationale. Doté d’un bagou indéniable, l’homme est devenu au fil du temps, le dernier «soutien politique» du leader de l’UDPS dont il n’hésite pas à gratifier du titre de «Président élu». Au grand dam du «clan kabiliste». Dès le lendemain des élections, le président de la DC s’est radicalisé. Rien d’étonnant qu’il soirt dans le «viseur» des sbires du "raïs".
Le 20 décembre 2011, «Joseph Kabila» organise la cérémonie de son investiture à la Cité de l’Union Africaine. Une manifestation «honorée» par la présence d’un seul chef d’Etat : le Zimbabwéen Robert Mugabe. C’est le début d’un isolément diplomatique qui ne dit pas son nom. Quarante-huit heures après, Etienne Tshisekedi wa Mulumba - qui revendique la victoire à l’élection présidentielle - commettait la maladresse de prêter serment, à son tour, en qualité de «Président élu» brouillant davantage son image. La cérémonie a lieu en sa résidence à Limete. Le bras de fer est aussi déclenché. Disposant de l’appareil d’Etat, «Joseph» fait déployer, dès janvier 2012, des éléments de la garde présidentielle dans le périmètre où se trouve la résidence de son challenger. Le leader de l’UDPS est ainsi "assigné en résidence" de facto. Chaque sortie doit faire l’objet d’une autorisation donnée par le patron de la police, Charles Bisengimana.
Après le déclenchement de la guerre entre les FARDC et les rebelles du M23, Diomi Ndongala décide d’organiser le samedi 23 juin dernier un office religieux «pour soutenir» les forces loyalistes déployées au Nord Kivu. En guise de «Guest star», Tshisekedi - qui était manifestement filé par les «agents» - a fait une entrée triomphale dans la Cathédrale Notre Dame à Lingwala. Il semble que c’est au cours de cette «réunion politioco-religieuse» qu’a germé l’idée de «formaliser» l’existence d’un cartel politique pro-Tshisekedi dénommé
«Majorité présidentielle populaire» (MPP); à ne pas confondre avec la «Majorité présidentielle» (MP) qui soutient «Joseph Kabila». La cérémonie de signature de la charte était fixée à mercredi 27 juin au même endroit.
«Cabale politico-judiciaire? »
Le même mercredi, une nouvelle se répand comme une traînée de poudre : «Diomi Ndongala a été enlevé!». Un mystère planait sur le service ayant diligenté l’arrestation et le lieu de détention. «Il devait présider la cérémonie de signature de la «charte» de la «MPP». Le 17 juillet, le très sectaire procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, adressait un réquisitoire au président de l’Assemblée nationale, le PPRD Aubin Minaku, lui demandant la levée de l’immunité parlementaire du député national Diomi Ndongala. Et ce «en vue de permettre d’exercer des poursuites judiciaires à sa charge devant la juridiction compétente du chef de viol (…)». Qui a arrêté l’opposant Diomi ? La question est restée longtemps sans réponse.
Dans un communiqué daté du 8 août 2012, l’association de défense des droits humains «La Voix des Sans Voix» (VSV) écrivait notamment que «M. Diomi Ndongala aurait été initialement détenu au Bureau II de la garde républicaine avant d’être transféré au cachot de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), département de sécurité intérieure dans une cellule de «haute sécurité». Coup de théâtre. Le 11 octobre dernier, Diomi fait sa réapparition. Le visage est envahi par une barbe digne d’un combattant "taliban". Il a été déposé par des «inconnus» à quelques mètres du Centre supérieur militaire dans la commune de Ngaliema.
Samedi 22 décembre, Diomi a fait partie des invités de marque à l’occasion de la commémoration du quatre-vingtième anniversaire d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Il semble que le président de la DC aurait, comme à son habitude, clamé haut et fort que «Tshi-Tshi» est et reste le «Président élu». «Le pouvoir se livre à un forcing pour obtenir la levée de l’immunité parlementaire de Diomi, confie Rigobert Kuta. On assiste à un véritablement acharnement. C’est bien dommage de constater que la solidarité fait défaut au sein des parlementaires de l’opposition». Notons que Diomi n’a jamais accepté de siéger dans la nouvelle Représentation nationale. En s’en prenant à lui, le pouvoir kabiliste tente d’isoler davantage Tshisekedi et surtout de faire taire le "dernier de mohicans" qui lui sert de "porte-voix". Et si Diomi était victime d’une cabale politico-judiciaire?
[B.A.W/Congoindépendant]
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/5333-eugene-diomi-ndongala-le-dernier-de-mohicans.html
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Voila maintenant Diomi est devenu peau rouge.... LE dernier de mohicans!!!
Et pourquoi ne pas l'appeler Django???
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Dernier_des_Mohicans
Et pourquoi ne pas l'appeler Django???
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Dernier_des_Mohicans
zobattants
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