ETIENNE TSHISEKEDI, un homme constant dans ses idées?

Troll a écrit:

Entre Felix et "Tshibala"...ce dernier insultait pratiquement Mubake il ya quelques jours..Tandis que Felix est sur la même ligne que Mubake**
Vous trouverez une analyse utile sur le site de Jeune Afrique où on souligne que "seul" Felix peut interpreter le message de voeux de Tshitshi..ceux de l´Udps qui sont entrain de "ramper" devant Kanambe pour obtenir un "dialogue" au nom de Tshitshi risquent de se faire surprendre**

Tshibala..si arrogant qui remettait en cause la présence de Felix au Senegal..risque de se faire très petit après la mise au point de Felix**

Procurez-vous***un GPS..pas une bousole..pour retrouver la position politique de l´Udps

ndonzwau a écrit:Je me trompe peut-être mais perso je fais moins confiance aux déclarations policées des uns et des autres même celles du Lider Maximo ainsi qu'aux textes programmatiques si justes soient-ils ! A ma lecture des faits, je privilégie une impression de confusion au sein de l'Udps que d'ailleurs beaucoup d'observateurs (voir ci-dessous et ci-dessus) voient et soulignent comme moi...
Ce qu'à mon pauvre avis se joue ici non la question des principes qui président à la volonté des uns et des autres d'asseoir les bases saines des échéances électorales apaisées et démocratiques mais surtout celle de la faisabilité de tous ces bons vœux : le dialogue voulu et encadré par le pouvoir peut-il le permettre; c'est là l'interrogation capitale ?

Perso, ce n'est pas la crainte d'un glissement avec par exemple un gouvernement de transition qui me rebute tant que ça, c'est négociable mais bien que même ce schéma ne soit dénué de risques de nous mener vers une impasse avec un surplus possible de chaos dans le pays parce que la base de toute avancée démocratique réside dans cet impératif non seulement du respect des règles du contrat contenues dans nos textes institutionnels mais aussi celui de rendre de façon républicaine et sincère des comptes de son bilan lorsqu'on a exercé le pouvoir depuis quinze ans comme "JK"...
La gravité de la crise et la nécessité de prendre des mesures exceptionnelles pour son règlement ne peuvent enjamber impunément cette étape sans sombrer dans une fuite en avant coupable; ce qui est moins envisageable à mon avis dans une oukase toujours unilatérale comme l'entend ce pouvoir...

Et cette crainte est bien celle qu'on voit dans la confusion réelle au sein de l'Udps où tantôt on privilégie une solution unilatérale et de principe tantôt celle plus réaliste d'union nécessaire de toutes les forces acquises au changement pour conjurer le risque de se faire dribbler par un pouvoir qui impose un rapport de force en sa faveur quand bien même il accorde un strapontin tentant de meilleur (et unique!) interlocuteur à l'Udps...
Mais je ne me cabre pas en une position pessimiste toute; je m’appliquerais à suivre attentivement avec tous mes vœux de réussite le processus qu'on nous propose incessamment : Tshisekedi opposant et allié incontournable à Kinshasa en train de négocier une issue bénéfique pour l'intérêt général; avec quels résultats à terme ?

ndonzwau a écrit:

"RDC: Tshisekedi annonce son retour et savolonté de dialogue
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-tshisekedi-annonce-son-retour-et-sa-volonte-de-dialogue/
[...]
[...]"

Compatriotiquement!

"RDC : les plans de l’opposant Étienne Tshisekedi pour 2016
° http://www.jeuneafrique.com/292724/politique/rdc-plans-de-lopposant-etienne-tshisekedi-2016/
En convalescence à Bruxelles, l'opposant historique Étienne Tshisekedi a annoncé samedi, une fois de plus, son retour imminent en RDC. Le leader de l'UDPS a également préconisé, dans son message de voeux, le rassemblement de "toutes les forces acquises au changement" pour exiger notamment la tenue des élections dans les délais constitutionnels.

En RDC, le jeu du chat et de la souris continue entre le président Joseph Kabila et l’opposant Étienne Tshisekedi. Ce dernier accuse désormais le chef de l’État de « [multiplier] des actes inacceptables d’intimidation, de manipulation et de provocation pour détourner les nobles objectifs préconisés par le dialogue [politique annoncé] », le soupçonnant de vouloir « perpétuer son règne ».
Dans un message de vœux (écrit et vidéo) au peuple congolais rendu public le 9 janvier, dont Jeune Afrique s’est procuré l’intégralité, le leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), principal parti de l’opposition congolaise, a dévoilé ses intentions pour l’année 2016.

Retour imminent au pays

L’opposant historique se trouve à Bruxelles depuis la mi-août pour des raisons de santé. « Aujourd’hui, il va mieux », assure l’un de ses proches. Mais quand est-ce qu’il compte regagner Kinshasa ?Pour l’instant, aucune date n’est avancée.
« J’annonce pour proche mon retour au pays, s’est contenté d’indiquer Étienne Tshisekedi à ses partisans. Je viens me joindre à vous pour qu’ensemble nous volions au secours du navire Congo qui tangue, secoué par des vagues et des tempêtes. »
Un retour souhaité par le pouvoir qui espère que le chef de l’UDPS prendra part au dialogue politique préconisé par le président Joseph Kabila. Des pourparlers boudés par une bonne frange de l’opposition et de la société civile congolaise,regroupée au sein du Front citoyen 2016.

« La position de mon parti, maintes fois réitérée, était de voir ce forum se tenir sous la médiation internationale, à Kinshasa, et avec comme témoin l’ensemble de notre peuple (…). Force est de constater que les Nations unies, auxquelles nous nous sommes adressés, afin de nous accompagner dans cette démarche par la désignation d’un facilitateur, demeurent à ce jour sans solution », déplore pour sa part le « Sphinx de Limété ».

Rassembler « toutes les forces acquises au changement »

Mais Étienne Tshisekedi n’a pas adhéré au Front citoyen 2016. Se considérant comme « le chef du camp de changement », il voudrait lui en créer un autre : « Je prendrai incessamment l’initiative de rassembler et de canaliser les énergies de toutes les forces acquises au changement pour qu’ensemble nous puissions défendre valablement les valeurs de la République, scellées dans notre Constitution, obtenir un consensus sur un processus électoral crédible, nous impliquer dans l’organisation des élections présidentielle et les législatives dans les délais constitutionnels et dans un climat apaisé. »
L’opposant estime également que « seul le peuple constitue l’ultime recours » face aux « obstacles à la réalisation du dialogue tant souhaité. Va-t-il lancer un « mot d’ordre » à ses partisans pour exiger que le dialogue préconisé conduise à la tenue des législatives et de la présidentielle dans les délais constitutionnels ? La stratégie n’a pas été dévoilée.

Régler le contentieux électoral de 2011 et réformer la Commission électorale nationale indépendante

En attendant, Étienne Tshisekedi qui s’estime toujours comme étant le « président élu » à l’issue de la dernière présidentielle, souhaite que le contentieux électoral de 2011 soit levé avant d’engager le pays vers un nouveau processus.
Et pour que les élections à venir soient « [exemptes] des tripatouillages des résultats et des violences », le président de l’UDPS plaide enfin pour la refonte de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Ce n’est que de la sorte, selon Étienne Tshisekedi, que les scrutins prévus en 2016 – présidentielle et législatives notamment – se dérouleront dans un climat apaisé et favoriseront le « transfert pacifique du pouvoir dans le respect de l’expression [du] peuple ».

Intégralité du message de vœux d’Étienne Tshisekedi
[...]"


"Processus électoral : l’Opposition en ordre dispersé !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=8838&rubrique=POLITIQUE
*Les opposants ne parlent pas tous d’une même voix. Etienne Tshisekedi croit que toute l’Opposition  devrait se ranger derrière sa personne. La Dynamique, le G7 et le Front Citoyen sont sur une autre planète. A l’approche des échéances électorales, le problème d’égo va davantage se poser. Dans tous les cas, il va se passer des choses avant qu’on en arrive à une unité des vues. La Majorité, également, n’est totalement pas à l’abri. Les alliances vont se faire et se défaire. Des reniements, il y en aura.

Si les choses ne devraient s’arranger que par de simples déclarations politiques, fussent-elles musclées, le processus électoral en RDC serait débloqué le week-end. Trois grandes déclarations politiques, qui méritent l’attention, ont été faites. La Dynamique de l’Opposition, regroupant l’UNC de Kamerhe, le MLC de Jean-Pierre Bemba, l’ECIDE de Fayulu et tant d’autres, a renouvelé son refus de dialoguer avec le pouvoir et a promis des actions de terrain pour démontrer qu’il ne s’agit pas d’un bluff. Le samedi 9 janvier, un grand rassemblement a officiellement vu le jour. C’est ‘‘Le Front Citoyen’’ qui comporte en son sein outre la Dynamique et le G7, les Organisations de la Société civile résolument engagées vers le changement et le respect absolu de la Constitution. Les membres du Front Citoyen ont signé une Charte pour  ‘‘s’opposer avec force à tout changement de cadre légal visant, selon les auteurs, à octroyer la possibilité à l’actuel Président de la République de se maintenir au pouvoir ou de briguer un troisième mandat par toutes sortes d’artifices juridiques ou politiques et de manœuvres dilatoires visant à consacrer ce qui est communément appelé « glissement », susceptible de retarder la tenue de l’élection présidentielle’’. Pour faire sérieux, les fondateurs du Front Citoyen ont mis en place des structures.

Parallèlement, Etienne Tshisekedi, Président national de l’UDPS, a adressé, depuis son lieu de convalescence en Belgique, son message de vœux au peuple congolais. A cette occasion, Etienne Tshisekedi a fait deux importantes annonces. Premièrement, il a confirmé la participation de son parti, l’UDPS, au dialogue politique pour décanter la situation du processus électoral en panne. Etienne Tshisekedi a, toutefois, laissé à son fils, Félix Tshilombo, le soin de verser dans les détails pour préciser sa pensée. Le dialogue, dont parle le Président national de l’UDPS, devrait se dérouler sous la supervision d’un médiateur international désigné par les Nations Unies. Cette annonce a été très bien accueillie côté Majorité Présidentielle. Le Secrétaire adjoint du PPRD, Tunda ya Kasende, a estimé que la position d’Etienne Tshisekedi coupait l’herbe sous les pieds de ceux qui entretenaient le flou quant à sa volonté d’aller au dialogue. Les autres questions, celles relatives à l’ordre du jour, à la facilitation et au format, sont de la compétence du Comité préparatoire. Il reste que pour Félix Tshilombo Tshisekedi, Secrétaire de l’UDPS aux Affaires Extérieures, les détails que négligent les dirigeants de la MP sont ceux qui comptent le plus, à ses yeux. Il répondait aux questions d’une radio locale.

Face à la Majorité, l’Opposition encore divisée

La deuxième annonce d’Etienne Tshisekedi est un appel au ralliement des opposants acquis au changement. Toutes les forces vives opposées au régime sont invitées à se ranger derrière le Président de l’UDPS. Il sera, très bientôt, à Kinshasa, pour tenter de réunir les opposants. Ses pourfendeurs l’accusent de vouloir démobiliser les manifestations de rue anti-glissement prévues en février 2016. Quoiqu’on dise, on réalise, une fois de plus, que l’Opposition affronte les défis politiques et électoraux à venir en ordre dispersé, comme en 2006 et 2011. D’une part, La Dynamique et le G7 dont les positions face au pouvoir présentent plusieurs similitudes, et, de l’autre, l’UDPS toujours fidèle à sa stratégie de zigzag. Sous peu, il va se poser un problème de leadership lorsqu’il sera question de désigner un candidat unique à l’élection présidentielle. Ce ne sera pas facile. Rien qu’au sein de La Dynamique, on a noté pas moins de trois candidatures à la présidentielle de 2016, parmi lesquels Jean-Lucien Bussa et Martin Fayulu. Pour le G7, on évoque une éventuelle candidature de Moïse Katumbi. Sans oublier, l’eternel opposant, Etienne Tshisekedi. C’est ce qui fait dire à certains que si la Majorité était dans la logique des élections dans les délais constitutionnels, les chances d’une l’alternance à l’interne ne seraient  pas perdues d’avance.
Dans tous les cas, il va se passer des choses avant qu’on en arrive à une unité des vues. Les alliances vont se faire et se défaire. Des reniements, il y en aura. "


° http://www.forumdesas.org/spip.php?article6413

"RDC : Des dissidents du parti de Tshisekedi attaquent ce dernier en justice à Bruxelles"
                     
° http://www.lalibre.be/actu/international/rdc-des-dissidents-du-parti-de-tshisekedi-attaquent-ce-dernier-en-justice-a-bruxelles-569664db3570ed389513eb8c
° http://www.rfi.fr/afrique/20160114-belgique-une-plainte-vise-opposant-congolais-etienne-tshisekedi-0
° http://www.bbc.com/afrique/region/2016/01/160114_rdc_crise_udps
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-une-plainte-contre-tshisekedi-deposee-a-bruxelles/
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10518
° http://www.radiookapi.net/2016/01/14/actualite/justice/rdc-etienne-tshisekedi-accuse-de-faux-en-ecriture-et-descroquerie



"RDC : l’appel hésitant de l’opposant Etienne Tshisekedi au « dialogue »
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/01/14/rdc-l-appel-hesitant-d-etienne-tshisekedi-au-dialogue_4846965_3212.html
La vidéo dure trois minutes. De sa voix grave, fatigué et hésitant, l’opposant historique Etienne Tshisekedi, 83 ans, présente ses vœux au peuple de la République démocratique du Congo. Message principal : il plaide pour un dialogue, « parce que, quelle que soit l’austérité, on finit toujours par le dialogue », et appelle « tous ceux qui veulent le changement » à se réunirafin de trouver « ensemble la solution adéquate » aux problèmes.

Dans sa déclaration complète de quatre pages – que l’opposant a choisi dediffuser dans la presse –, le ton est plus vif. Le dialogue est la « voie royale »pour « obtenir par voie consensuelle un processus électoral crédible et apaisé (…) exempt de tripatouillages des résultats et des violences occasionnant des pertes inutiles en vies humaines à l’instar des élections de 2011 », où le chef de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) s’était proclamé « président élu », dénonçant des fraudes.

« Pouvoir de défi et de prédation »

Le dialogue, oui, mais seulement s’il est modéré par la communauté internationale. Impossible : le chef de l’Etat, Joseph Kabila, en poste depuis 2001, a convoqué un « dialogue politique national inclusif » pour organiserdes élections « crédibles » et « apaisées », mais a juste concédé la présence d’un facilitateur étranger – pas encore désigné par la communauté internationale – pour intervenir en cas de blocage.

« Bientôt, je serai parmi vous pour que nous puissions lier nos efforts pour gagner », indique l’opposant, qui réside en Belgique depuis un an et demi pour des soins et avait affirmé que la présidentielle de 2011 était pour lui la première et la dernière. Il explique que, suite aux divergences sur le format du dialogue, il prendra « incessamment l’initiative de rassembler et de canaliserles énergies de toutes les forces acquises au changement ».
Selon la Constitution actuelle, qui aura dix ans le 18 février, Joseph Kabila ne peut briguer un troisième quinquennat, mais est accusé par l’opposition devouloir s’accrocher au pouvoir. En janvier 2015, la contestation avait pris une tournure tragique : plusieurs dizaines de personnes avaient été tuées, surtout à Kinshasa, dans la répression de manifestations dénonçant un projet de loi électorale.

« Je vois le peuple congolais debout et déterminé à en finir avec ce pouvoir de défi, de prédation et de violation massive des droits de l’homme », indique Etienne Tshisekedi, alors que l’ONU et des ONG de défense des droits de l’homme dénoncent une recrudescence des arrestations et des détentions arbitraires dans le cadre du processus électoral.

« Vers un affrontement »

« Tshisekedi se met dans une position où on ne pourra pas lui reprocher de ne pas aller au dialogue. Il se dit pour, mais émet des conditions telles qu’il sait que Joseph Kabila ne peut pas [les] accepter », commente un diplomate.« C’est la course entre la majorité et l’UDPS : tout le monde veut le dialogue, mais personne ne veut de l’autre… On va vers un affrontement » dont personne ne veut « porter la responsabilité », ajoute-t-il.
Au final, si l’on en croit la déclaration, l’appel au dialogue relayé dans la vidéo reflète partiellement les intentions du « vieux » et sème une certaine confusion. Pourquoi les passages musclés n’ont pas été filmés ? « Il aurait fallu qu’il se lance dans une longue explication. Le président est en phase de reconstitution, nous devons le ménager », confie au Monde Afrique Félix Tshisekedi, fils de l’opposant et secrétaire national de l’UDPS chargé des relations extérieures.

Pour Léonard She Okitundu, sénateur du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD, au pouvoir), pas d’inquiétude sur les paragraphes nerveux de la déclaration. « Il joue son rôle d’opposant, il ne doit pas donnerl’impression qu’il est dans la majorité. Le débat qu’il y avait au sein de l’UDPS est aujourd’hui clos avec la prise de position d’Etienne Tshisekedi, qui s’est prononcé très solennellement pour le dialogue », poursuit ce responsable, qui faisait partie d’une délégation partie à Bruxelles pourconvaincre l’UDPS d’assister aux pourparlers.
En décembre 2015, les grands partis de l’opposition, dont l’UDPS, et une partie de la société civile ont créé un Front citoyen 2016 pour empêcher par des moyens « pacifiques » Joseph Kabila de se maintenir en poste illégalement. L’Eglise catholique, qui entend participer au dialogue national et plaide pour le respect de la loi fondamentale, avait prévu une marche le 16 février pour « consolider la démocratie » mais l’a annulée par crainte d’une« récupération » politique. Le PPRD prévoit le même jour une « marche pour la paix »".

Lire aussi : RDC : « Joseph Kabila fait tout pour que les élections n’aient pas lieu »
Lire aussi : RDC : un dialogue national pour quoi faire ?
Lire aussi : RDC : Kabila affirme que l’étranger n’a pas « les solutions » aux problèmes du pays

Voici des réactions venant de deux belges à cette dépêche qui tout en étant sévères et même méchantes envers les Congolais m'ont fait rire; c'est peut-être qu'elles ne sont pas si gratuites que ça; kiekiekie      
Pauvres Congolais !

Marc Vander Elst
On a assez de soucis chez nous pour encore perdre son temps avec des individus qui se sont bien remplis les poches. Que Me Marc Uyttendaele se les remplissent en passant est son affaire ainsi que de sa charmante épouse Laurette habitant tous les deux dans un des fiefs du socialisme qu'est Lasne.
Patrick Vermer
A-t-on réellement besoin d'encombrer les tribunaux avec ces affaires qui relèvent plus du droit coutumier tribal...

RDC : Des dissidents du parti de Tshisekedi attaquent ce dernier en justice à Bruxelles
° http://m.lalibre.be/actu/international/rdc-des-dissidents-du-parti-de-tshisekedi-attaquent-ce-dernier-en-justice-a-bruxelles-569664db3570ed389513eb8c
On a appris ce mercredi que des dissidents de l’UDPS en Belgique avaient déposé plainte le 19 novembre dernier auprès du juge d’instruction bruxellois Michel Claise contre le président du parti, Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Agé de 83 ans, ce dernier vit en Belgique depuis août 2014 pour des raisons de santé; une video de présentation de ses vœux pour 2016, mise en ligne le week-end dernier pour annoncer son prochain retour à Kinshasa, le montre en piètre forme

Deux types d’infraction

La plainte émane de frondeurs de l’UDPS, représentés par le cabinet de Me Marc Uyttendaele. En septembre dernier, ils avaient mis en place “un nouveau leadership du parti” en raison des mauvaises gestion et direction politique de la formation par le président Etienne Tshisekedi et de sa “famille biologique”.
Deux types d’infraction sont reprochés au vieil homme par les plaignants. D’abord “faux et usage de faux en écriture”. En cause: le fait que “les statuts de l’UDPS (ont) été modifiés unilatéralement par son président”. L’article 10 de ceux-ci - tel que notarié le 1er mars 2013 et signé par Etienne Tshisekedi le 25 octobre 2013 - ne comporte en effet plus la mention, parmi les objectifs du parti, de “la conquête, l’exercice et la conservation démocratiques du pouvoir”, ce qui, pour les dissidents, revient à faire de l’UDPS une ONG. Cette modification est “illégale” selon eux, parce qu’elle n’a pas été approuvée par le congrès de l’UDPS.
Les autres infractions reprochées à Etienne Tshisekedi sont “escroqueries”, “vol et/ou extorsion”. En cause, selon le cabinet Uyttendael: “Un examen de la comptabilité de l’UDPS a été réalisé à l’occasion de la rédaction d’un rapport d’activité de la représentation de l’UDPS-Benelux. Celui-ci a fait apparaître des mouvements suspects de sommes et des dépenses injustifiées”.

“Imputations dommageables”

{La Libre Belgique a interrogé une des figures de l’UDPS à Kinshasa, Me Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba, par ailleurs doyen du barreau près la Cour suprême de Justice. “Jusqu’à ce matin, nous n’avons reçu - ni à Bruxelles, ni à Kinshasa - aucun document à propos de cette affaire”, nous a -t-il répondu. “Si nous recevons une convocation du parquet belge, je me rendrai à Bruxelles. D’abord nous contesterons la qualité des plaignants: il ne suffit pas de 25 personnes réunies dans un sous-sol à Bruxelles pour constituer une “faction” de l’UDPS. Où sont leurs militants au Congo? Où sont leurs bureaux?”
“Ensuite, nous montrerons que ces gens-là ont participé au congrès de l’UDPS (NDLR: en décembre 2010) et donné les pleins pouvoirs à Etienne Tshisekedi durant un délai déterminé et que le dépôt des nouveaux statuts s’est fait régulièrement, devant notaire à Kinshasa”. Et Me Mukendi d’ajouter: “Aller à Bruxelles nous donnera l’occasion d’intenter une action reconventionnelle (NDLR: demande opposée à l’action judiciaire principale) pour toutes les imputations dommageables faites par ces gens contre nous”.}

La consultation du “Rapport général du premier congrès de l’UDPS”, rendu public à Kinshasa le 14 décembre 2010, à l’issue de cette réunion, indique, au sujet de la modification des statuts: “1.- L’objectif spécifique du Parti, à savoir la conquête, l’exercice et la conservation démocratiques du pouvoir a été mis en exergue. A cet effet, il a été créé une Commission Electorale Permanente du Parti (CEP) chargée d’organiser la campagne électorale nationale du Parti et de superviser les élections au plan interne”. Il s’agissait des élections de 2011, finalement frauduleuses.

El-Shaman a écrit:Tshisekedi en super forme lance un message fort à Kabila: Ban kin moon a approuvé notre Plan  

NOUS AVONS GAGNER ALORS QUE D'AUTRES PARTIS ONT ÉCHOUER

Troll a écrit:

El-Shaman a écrit:Tshisekedi en super forme lance un message fort à Kabila: Ban kin moon a approuvé notre Plan  

NOUS AVONS GAGNER ALORS QUE D'AUTRES PARTIS ONT ÉCHOUER

WAIT AND SEE

Le SG..n´a jamais apporté une reponse aux lettres de l´UDPS Et la suite? WAIT AND SEE

Hiro-Hito a écrit: C'est dire que le vieux Tshitshi confond une fois de plus tt ceux qui craient ici qu'on ne pouvait pretter attention a ce qu'il disait car il avait perdu ses capacites cognitives et par consequent etait devenu incoherent

Imperium a écrit:DE DJALELOS TSHISEKEDISTES. VOTRE MR NE REPRESENTE PLUS RIEN POUR L'AENIR DE CONGO. UN CONFUSIONNISTE

El-Shaman a écrit:

Imperium a écrit:DE DJALELOS TSHISEKEDISTES. VOTRE MR NE REPRESENTE PLUS RIEN POUR L'AENIR DE CONGO. UN CONFUSIONNISTE

 Oui, tu as raison Imperium.Et c'est la premier fois que tu as raison sur ce forum.
Le président Étienne Tshisekedi ne représente rien pour L'AENIR du congo.
Par contre il représente beaucoup pour L'AVENIR DU CONGO.