Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
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joss0
honorable
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Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
J'ai suivi le discours de Kabila, et je crains que le pire est a` venir en RDC.
En quoi les corps de Mobutu et de Tsiombe vont contribuer au peuple congolais qui vit dans la misére? Au peuple congolais qui voit comment le pays est entrain de partir, c´est vraiment triste car quand meme ils vont mettre sur pieds un gouvernement d´union nationale, rien ne va changer pour les congolais; c'est tout simplement des manoeuvres pour garder le pouvoir. Les vrais problemes congolais sont la fin de la guerre de l´Est, les plans et des actions sociales pour le peuple congolais afin de sortir de la misére, criminalité, de l´injustice sociale, du chômage et des salaires d'esclaves.
Mais avec ce discours de Kabila, nous constatons que ses strateges puissants et noctures ont planifie' pour lui des mecanismes pour la consolidation de son pouvoir. Les malheurs et peines du peuple sont absents dans la tête de ce monsieur, nous verrons cela bientot car tout sera en realite' une manoeuvre pour lui de se maintenir au pouvoir.
Maintenant j'ai compris que tout ce qu'on dit ici n'est qu'interpretation, la vrai politique se fait dans le noir et surtout c'est ce que l'Opposition refuse de reconnaitre enfin de se battre sur ces realites'. Tout sera mis, comme annonce' par lui meme Kabila, afin que Kabila reste au pouvoir pendant de longues annees'. C'est ca le plan, il n y a rien a` discuter. Avons nous une Opposition? Je doute tres fort, inutile meme de repeter ici. Sans une opposition puissante des actions derriere les rideaux, tout ce que Kabila projette pour son pouvoir va se concretiser.
L'Opposition va se rendre compte maintenant que kabila a de grands strateges autour de lui qui planifient tout et aux moments opportuns des coups pour maintenir leur homme. Le grand Malheur des congolais et de l'opposition est qu'ils sont loin d'etre realistes, pragmatiques et rationnels. L'Opposition voit et juge les choses sur la constitutionalite' ou pas et sur l'etique morale. Or nous sommes dans la jungle ou` tout est permis, meme des coups sauvages si c'est au bon moment pour obtenir ce qu'on veut. C'est cette perception que les stareteges de Kabila utilisent: tout est permis chez eux.
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En quoi les corps de Mobutu et de Tsiombe vont contribuer au peuple congolais qui vit dans la misére? Au peuple congolais qui voit comment le pays est entrain de partir, c´est vraiment triste car quand meme ils vont mettre sur pieds un gouvernement d´union nationale, rien ne va changer pour les congolais; c'est tout simplement des manoeuvres pour garder le pouvoir. Les vrais problemes congolais sont la fin de la guerre de l´Est, les plans et des actions sociales pour le peuple congolais afin de sortir de la misére, criminalité, de l´injustice sociale, du chômage et des salaires d'esclaves.
Mais avec ce discours de Kabila, nous constatons que ses strateges puissants et noctures ont planifie' pour lui des mecanismes pour la consolidation de son pouvoir. Les malheurs et peines du peuple sont absents dans la tête de ce monsieur, nous verrons cela bientot car tout sera en realite' une manoeuvre pour lui de se maintenir au pouvoir.
Maintenant j'ai compris que tout ce qu'on dit ici n'est qu'interpretation, la vrai politique se fait dans le noir et surtout c'est ce que l'Opposition refuse de reconnaitre enfin de se battre sur ces realites'. Tout sera mis, comme annonce' par lui meme Kabila, afin que Kabila reste au pouvoir pendant de longues annees'. C'est ca le plan, il n y a rien a` discuter. Avons nous une Opposition? Je doute tres fort, inutile meme de repeter ici. Sans une opposition puissante des actions derriere les rideaux, tout ce que Kabila projette pour son pouvoir va se concretiser.
L'Opposition va se rendre compte maintenant que kabila a de grands strateges autour de lui qui planifient tout et aux moments opportuns des coups pour maintenir leur homme. Le grand Malheur des congolais et de l'opposition est qu'ils sont loin d'etre realistes, pragmatiques et rationnels. L'Opposition voit et juge les choses sur la constitutionalite' ou pas et sur l'etique morale. Or nous sommes dans la jungle ou` tout est permis, meme des coups sauvages si c'est au bon moment pour obtenir ce qu'on veut. C'est cette perception que les stareteges de Kabila utilisent: tout est permis chez eux.
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Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Ton analyse est très pertinente:regarder et bien voir a écrit:J'ai suivi le discours de Kabila, et je crains que le pire est a` venir en RDC.
En quoi les corps de Mobutu et de Tsiombe vont contribuer au peuple congolais qui vit dans la misére? Au peuple congolais qui voit comment le pays est entrain de partir, c´est vraiment triste car quand meme ils vont mettre sur pieds un gouvernement d´union nationale, rien ne va changer pour les congolais; c'est tout simplement des manoeuvres pour garder le pouvoir. Les vrais problemes congolais sont la fin de la guerre de l´Est, les plans et des actions sociales pour le peuple congolais afin de sortir de la misére, criminalité, de l´injustice sociale, du chômage et des salaires d'esclaves.
Mais avec ce discours de Kabila, nous constatons que ses strateges puissants et noctures ont planifie' pour lui des mecanismes pour la consolidation de son pouvoir. Les malheurs et peines du peuple sont absents dans la tête de ce monsieur, nous verrons cela bientot car tout sera en realite' une manoeuvre pour lui de se maintenir au pouvoir.
Maintenant j'ai compris que tout ce qu'on dit ici n'est qu'interpretation, la vrai politique se fait dans le noir et surtout c'est ce que l'Opposition refuse de reconnaitre enfin de se battre sur ces realites'. Tout sera mis, comme annonce' par lui meme Kabila, afin que Kabila reste au pouvoir pendant de longues annees'. C'est ca le plan, il n y a rien a` discuter. Avons nous une Opposition? Je doute tres fort, inutile meme de repeter ici. Sans une opposition puissante des actions derriere les rideaux, tout ce que Kabila projette pour son pouvoir va se concretiser.
L'Opposition va se rendre compte maintenant que kabila a de grands strateges autour de lui qui planifient tout et aux moments opportuns des coups pour maintenir leur homme. Le grand Malheur des congolais et de l'opposition est qu'ils sont loin d'etre realistes, pragmatiques et rationnels. L'Opposition voit et juge les choses sur la constitutionalite' ou pas et sur l'etique morale. Or nous sommes dans la jungle ou` tout est permis, meme des coups sauvages si c'est au bon moment pour obtenir ce qu'on veut. C'est cette perception que les stareteges de Kabila utilisent: tout est permis chez eux.
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Le rapatriement de ces dépouilles va aider une cohésion sur base de sentiment, et rien de plus comme tu le dis.
Je nous poserai la question (nous qui comprenons que les puissants décident pour mettre au pour qui ils veulent…).
Ma question est celle-ci :
Pourquoi ces puissant on-t-il choisi un jeune (29ans) pour le mettre au pouvoir ? la réponse à cette question se trouve dans ton analyse. Et il y a une analogie avec le choix de Mobutu. C’est pour nous rappeler que gouverner c’est calculer d’avance et prévoir. Tandis que nos hommes politiques eux ne font que réagir. Nous avons plus de réactionnaires que des politiciens.
Tout ça n’est pas une fatalité si nouss prenons avec dignité la place et le peu de pouvoir qui nous reste pour les gérer consciencieuses pour notre développement. C'est ça à mon humble avis être intelligents. C'est ce que font d'autre pays qui sont dans les mêmes conditions néocoloniales. Rétrospectivement, je crois que cela pouvait être fait depuis Mobutu, mais nous avons préféré voler dans la caisse de l’état et utiliser mal le pouvoir contre le peuple.
Malheureusement, c’est la même chose qui continue. Et, la triste réalité est que ceux qui veulent éradiquer ces maux qui rongent le développement veulent avoir le pouvoir 100% ou rien.
honorable
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Kie kie naposa ya koseka na mawa, c'est qui m'intrigue: tres peu de politiciens pour l'instant ne realisent pas serieusement sur les mecanismes lequels Kabila va bientot implanter pour se renforcer, un grand nombre de politiciens et des observateurs gesticulent a` l'instant pour le prochain gouvernement imminent. Les strateges de Kabila le sachant, ont inclu cet evenement dans la meme liste que d'autres mecanismes et activites' qui aideront Kabila a` depasser 2016; comme ca pendant que ces mecanismes prennent lieu, les gens seront un peu pris sur le nouveau gouvernement. Une tres bonne distraction administree' aux congolais, bien calculee' d'avance par les strateges de Kabila.
Et ce n'est pas fini Kabila va bien jouer avec ce jeu du gouvernement chaque 100 jours ou chaque 6 mois. Donc chaque laps de temps il menacera d'un possible remaniement, comme ca pour avoir tous les opposants de ventre et de luxe a` lui. Ces derniers alors seront oblige's a` etre tres dociles avec Kabila pour une possible recompense, poste ministeriel et autres fonctions dans l'appareil de l'Etat. Ainsi Kabila aura la majorite' des voix au parlement et Senat sur toute proposition et tout ce qu'il trouvera bon de mettre en place pour perenniser son pouvoir. Donc Kabila sera maintenant capable de mener "democratiquement" toute sa politique sans s'inquieter, car il aura la majorite' des voix sous ce jeu. Ah Kabila, il connait tres bien les congolais, comment les avoir.
Je me souviens du sujet de "Mfumu Ntoto", a` un moment j'avais eu des echanges avec Mwana Wenge sur les methodes de lutte. Et j'avais dit qu'avec la "democratie", il serait tres difficile de se debarasser du mal enracinne' au Congo. La methode politique marche que quand l'Opposition est forte, pragmatique, dynamique, realsite et strategique, et quand les bases et les fondements de la gouvernance ou de l'Appareil de l'Etat sont democratiques des` le debut. Sinon seul le coup de force (peu importe laquelle) peut changer des choses. Car on a appris que seuls les evenements changent le parcours de l'histoire. Je vois comme que makambo yango oyo ekomi ko-se concretiser comme pendant ces echanges. Enfin de compte c'est triste et decevant, on ne sait pas encore la` ou` les choses s'etendent.
L'Afrique n'a pas encore de fils et de filles
Et ce n'est pas fini Kabila va bien jouer avec ce jeu du gouvernement chaque 100 jours ou chaque 6 mois. Donc chaque laps de temps il menacera d'un possible remaniement, comme ca pour avoir tous les opposants de ventre et de luxe a` lui. Ces derniers alors seront oblige's a` etre tres dociles avec Kabila pour une possible recompense, poste ministeriel et autres fonctions dans l'appareil de l'Etat. Ainsi Kabila aura la majorite' des voix au parlement et Senat sur toute proposition et tout ce qu'il trouvera bon de mettre en place pour perenniser son pouvoir. Donc Kabila sera maintenant capable de mener "democratiquement" toute sa politique sans s'inquieter, car il aura la majorite' des voix sous ce jeu. Ah Kabila, il connait tres bien les congolais, comment les avoir.
Je me souviens du sujet de "Mfumu Ntoto", a` un moment j'avais eu des echanges avec Mwana Wenge sur les methodes de lutte. Et j'avais dit qu'avec la "democratie", il serait tres difficile de se debarasser du mal enracinne' au Congo. La methode politique marche que quand l'Opposition est forte, pragmatique, dynamique, realsite et strategique, et quand les bases et les fondements de la gouvernance ou de l'Appareil de l'Etat sont democratiques des` le debut. Sinon seul le coup de force (peu importe laquelle) peut changer des choses. Car on a appris que seuls les evenements changent le parcours de l'histoire. Je vois comme que makambo yango oyo ekomi ko-se concretiser comme pendant ces echanges. Enfin de compte c'est triste et decevant, on ne sait pas encore la` ou` les choses s'etendent.
L'Afrique n'a pas encore de fils et de filles
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Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Intégralité du discours du Chef de l'Etat Joseph Kabila devant le congrés le 23octobre2013
joss0
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Tu as ete' tres Claire, tout est dit. C'est de la triste realite'. C'est pourquoi j'avais dit il n y a pas d'ecoute facile chez les congolais, ceux qui sont dans l'avant-plan sont tres hautains pour lire et entendre de telles remarques et reflechir. C'est comme ci la RDC vient encore de recommencer a` zero aujourd'hui. Sur le plan analyse politique, les choses sont tres loin de repondre aux attentes des populations, ce n'est pas aujourd'hui ou demain. Joseph Kabila a bien reflechi comment rattraper des poules en moins de temps.honorable a écrit:Ton analyse est très pertinente:regarder et bien voir a écrit:J'ai suivi le discours de Kabila, et je crains que le pire est a` venir en RDC.
En quoi les corps de Mobutu et de Tsiombe vont contribuer au peuple congolais qui vit dans la misére? Au peuple congolais qui voit comment le pays est entrain de partir, c´est vraiment triste car quand meme ils vont mettre sur pieds un gouvernement d´union nationale, rien ne va changer pour les congolais; c'est tout simplement des manoeuvres pour garder le pouvoir. Les vrais problemes congolais sont la fin de la guerre de l´Est, les plans et des actions sociales pour le peuple congolais afin de sortir de la misére, criminalité, de l´injustice sociale, du chômage et des salaires d'esclaves.
Mais avec ce discours de Kabila, nous constatons que ses strateges puissants et noctures ont planifie' pour lui des mecanismes pour la consolidation de son pouvoir. Les malheurs et peines du peuple sont absents dans la tête de ce monsieur, nous verrons cela bientot car tout sera en realite' une manoeuvre pour lui de se maintenir au pouvoir.
Maintenant j'ai compris que tout ce qu'on dit ici n'est qu'interpretation, la vrai politique se fait dans le noir et surtout c'est ce que l'Opposition refuse de reconnaitre enfin de se battre sur ces realites'. Tout sera mis, comme annonce' par lui meme Kabila, afin que Kabila reste au pouvoir pendant de longues annees'. C'est ca le plan, il n y a rien a` discuter. Avons nous une Opposition? Je doute tres fort, inutile meme de repeter ici. Sans une opposition puissante des actions derriere les rideaux, tout ce que Kabila projette pour son pouvoir va se concretiser.
L'Opposition va se rendre compte maintenant que kabila a de grands strateges autour de lui qui planifient tout et aux moments opportuns des coups pour maintenir leur homme. Le grand Malheur des congolais et de l'opposition est qu'ils sont loin d'etre realistes, pragmatiques et rationnels. L'Opposition voit et juge les choses sur la constitutionalite' ou pas et sur l'etique morale. Or nous sommes dans la jungle ou` tout est permis, meme des coups sauvages si c'est au bon moment pour obtenir ce qu'on veut. C'est cette perception que les stareteges de Kabila utilisent: tout est permis chez eux.
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Le rapatriement de ces dépouilles va aider une cohésion sur base de sentiment, et rien de plus comme tu le dis.
Je nous poserai la question (nous qui comprenons que les puissants décident pour mettre au pour qui ils veulent…).
Ma question est celle-ci :
Pourquoi ces puissant on-t-il choisi un jeune (29ans) pour le mettre au pouvoir ? la réponse à cette question se trouve dans ton analyse. Et il y a une analogie avec le choix de Mobutu. C’est pour nous rappeler que gouverner c’est calculer d’avance et prévoir. Tandis que nos hommes politiques eux ne font que réagir. Nous avons plus de réactionnaires que des politiciens.
Tout ça n’est pas une fatalité si nouss prenons avec dignité la place et le peu de pouvoir qui nous reste pour les gérer consciencieuses pour notre développement. C'est ça à mon humble avis être intelligents. C'est ce que font d'autre pays qui sont dans les mêmes conditions néocoloniales. Rétrospectivement, je crois que cela pouvait être fait depuis Mobutu, mais nous avons préféré voler dans la caisse de l’état et utiliser mal le pouvoir contre le peuple.
Malheureusement, c’est la même chose qui continue. Et, la triste réalité est que ceux qui veulent éradiquer ces maux qui rongent le développement veulent avoir le pouvoir 100% ou rien.
L'Afrique n'a pas encore de fils et de filles
regarder et bien voir
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
RBV, moi je n'attendais rien de son discours, il a pris les congolais pour des cons 15 jours a les faire attendre...Il a pris la température et comme il a de bons strateges tala discours... Il a dit ce que les congolais certains voulaient entendre connaissant notre mémoire sélective.
S'il voulait vraiment réagir, démission du gouvernement pour incapacité dont lui même et responsable, nomination d'un autre gouvernement et menace sur la monusco et consort sinon out.
Dire que les occidentaux décide désole il faut se donner les moyens en Amérique latine et en Asie eux ont compris s'unir pour résister aux prédateurs.
Quand aux soi disants opposants... Qu'ils attendent les miettes sous la table.
Le changement dans la continuite et longévité bravo fin stratège.
S'il voulait vraiment réagir, démission du gouvernement pour incapacité dont lui même et responsable, nomination d'un autre gouvernement et menace sur la monusco et consort sinon out.
Dire que les occidentaux décide désole il faut se donner les moyens en Amérique latine et en Asie eux ont compris s'unir pour résister aux prédateurs.
Quand aux soi disants opposants... Qu'ils attendent les miettes sous la table.
Le changement dans la continuite et longévité bravo fin stratège.
mongo elombe
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Moi je suis en accord avec RBV et Honorable. Car, il faut commencer kelke part : commencer par l’utilisation efficiente de ce ke nous avons ou ce ki nous reste comme resource/comme pouvoir. Ça c’est le point de depart. Avant d’etre en mesure d’atteindre le niveau des sud americains dont tu parles. avec ce ki se fait, on a même pas encore commencer-poser des bases pour le commencement, pitié !mongo elombe a écrit:RBV, moi je n'attendais rien de son discours, il a pris les congolais pour des cons 15 jours a les faire attendre...Il a pris la température et comme il a de bons strateges tala discours... Il a dit ce que les congolais certains voulaient entendre connaissant notre mémoire sélective.
S'il voulait vraiment réagir, démission du gouvernement pour incapacité dont lui même et responsable, nomination d'un autre gouvernement et menace sur la monusco et consort sinon out.
Dire que les occidentaux décide désole il faut se donner les moyens en Amérique latine et en Asie eux ont compris s'unir pour résister aux prédateurs.
Quand aux soi disants opposants... Qu'ils attendent les miettes sous la table.
Le changement dans la continuite et longévité bravo fin stratège.
until
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Kiee ce qu'il n'a pas fait en 12 ans il va le faire maintenant??? Explique moi un peu pour les eyele et budia Congo c'était du rapide n'est ce pas? Il a baragouine quoi exactement? Son gouvernement de coalition changera quoi? Tu ne vois pas qu'il se fout des congolais? Le changement dans la continuité il va continuer a vous dribbler très bon stratège.
Tout ceux qui défile a longueur d'années en RDC le font par amour pour la RDC ou bien? Entre le discours et la réalité il y a un fosse et il n'a pas les capacités ni les moyens pour contrer le m23 et les autres..,
Pas d'amnistie foutaise les rwandais et autres sont dans toutes nos institutions, il parle de quoi? Il amuse la galerie. KENGO a tout dit depuis le début.
Tout ceux qui défile a longueur d'années en RDC le font par amour pour la RDC ou bien? Entre le discours et la réalité il y a un fosse et il n'a pas les capacités ni les moyens pour contrer le m23 et les autres..,
Pas d'amnistie foutaise les rwandais et autres sont dans toutes nos institutions, il parle de quoi? Il amuse la galerie. KENGO a tout dit depuis le début.
mongo elombe
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Bolobi bien, nous sommes dans une grande confusion, savons pas si nous devons etre encore optimistes ou pas. Il n y a que 2 solutions, soit l'emploi de la force, soit faire la politique du vrai. Si nous sommes encore un pieds dedans, un pieds dehors, nous devrons oublier quoique ce soit. C'est ca la confusion chez les congolais, une expression dit "si tu veux traverser la riviere, prepare-toi a` se mouiller completement." Ce qui n'est pas le cas chez nous, opposition yango tosalaka yango kaka ya bongo-bongo. Nous savons tous tres bien que ceux qui sont au pouvoir pona babongisa, ce serait un reve debout. Soit il faudra donc une opposition reelle et effective ou autre methode meme musclee'. A` vous de choisir, sinon n'esperer pas un miracle.
regarder et bien voir
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Que Kabila négocie parcequ’il est incapable de mettre fin à l’existence du M23 par la force
Joseph Kabila, si je savais
OU EST PASSE LE BON SENS?
La responsabilité des nations unies dans le génocide rwandais ne veut pas dire qu’elles ont participé à cette entreprise macabre. Elles sont plutôt coupables de n’avoir pas empêché ce génocide qui a été planifié sous leur regard et dont l’alarme leur avait été donnée plusieurs et par différentes sources.
Aujourd’hui, c’est encore sous le regard bienveillant des nations unies que comme un fou, Kabila est entrain de mettre le feu sur la maison RD Congo. Elles attendent faire le pompier après avoir accompagné le pyromane dans l’accomplissement de son forfait.
Les fardc ne sont pas venu à bout de ce que L. Mende qualifiait à l’époque «d’un petit groupe des mutins» alors qu’ils étaient encore moins de 500 hommes et jurait qu’ils ne pouvait jamais négocier avec eux.
Lors des derniers affrontements en août dernier, la Monusco et la brigade malgré la suprématie des moyens humains,financiers et logistiques, en coalition avec les fardc et les fdlr n’ont pas été à mesure de neutraliser les forces du M23.
Et ils savent en leur for intérieur que les victoires leur attribuée par la propagande du gouvernement ne le sont pas. L’attitude actuelle du gouvernement prouve à suffisance que s’ils avaient gagné une seule bataille, ils ne seraient pas retournés à la table des négociations. Autant l’engagement de la Monusco en faveur des négociations dont le M23 était le seul défenseur, se fonde sur le fait que ses autorités bien enseignées, se sont rendu compte qu’une victoire militaire n’était pas et ne serait pas à leur portée. Mais par médias interposés,le gouvernement a menti à l’opinion et fini par croire à son propre mensonge.
Voilà ce qui explique le blocage des pourparlers de Kampala par le gouvernement incapable d’expliquer aux congolais les concessions à faire alors qu’il prétend être à mesure de neutraliser le M23 par la force. Ce n’est pas en disant dans un discours que «les groupes armées n’ont d’autres choix que de déposer les armes à défaut d’y être contraints par la force»,que Kabila obtiendra le résultat rêvé. Nous ne sommes pas en face de l’Allemagne capitulant devant les alliés et subissant la loi des vainqueurs.
Le bon sens commande que le gouvernement admette qu’il négocie aujourd’hui parcequ’il a été incapable de mettre fin à l’existence du M23 par la force et qu’il arrête de poser des conditions d’un vainqueur qu’il n’est pas. Car refuser d’intégrer des rebelles qui à chacune de leur sortie mettent l’armée nationale en déroute ou un général qui ne connaît que des victoires face à une armée mieux dotée grâce à ses capacités manageriales éprouvées sur le théâtre des opérations, est un manque de bon sens de la part de Kabila et son gouvernement.
Par contre surmonter son orgueil et faire du M23 le noyau de la nouvelle armée à bâtir et du général Makenga le prototype d’un officier modèle, donnerait à la RD Congo la chance de se doter enfin d’une vraie armée que tous attendons de nos voeux. Ce serait un choix de la raison doublée du bon sens.
Joseph Kabila, si je savais
OU EST PASSE LE BON SENS?
La responsabilité des nations unies dans le génocide rwandais ne veut pas dire qu’elles ont participé à cette entreprise macabre. Elles sont plutôt coupables de n’avoir pas empêché ce génocide qui a été planifié sous leur regard et dont l’alarme leur avait été donnée plusieurs et par différentes sources.
Aujourd’hui, c’est encore sous le regard bienveillant des nations unies que comme un fou, Kabila est entrain de mettre le feu sur la maison RD Congo. Elles attendent faire le pompier après avoir accompagné le pyromane dans l’accomplissement de son forfait.
Les fardc ne sont pas venu à bout de ce que L. Mende qualifiait à l’époque «d’un petit groupe des mutins» alors qu’ils étaient encore moins de 500 hommes et jurait qu’ils ne pouvait jamais négocier avec eux.
Lors des derniers affrontements en août dernier, la Monusco et la brigade malgré la suprématie des moyens humains,financiers et logistiques, en coalition avec les fardc et les fdlr n’ont pas été à mesure de neutraliser les forces du M23.
Et ils savent en leur for intérieur que les victoires leur attribuée par la propagande du gouvernement ne le sont pas. L’attitude actuelle du gouvernement prouve à suffisance que s’ils avaient gagné une seule bataille, ils ne seraient pas retournés à la table des négociations. Autant l’engagement de la Monusco en faveur des négociations dont le M23 était le seul défenseur, se fonde sur le fait que ses autorités bien enseignées, se sont rendu compte qu’une victoire militaire n’était pas et ne serait pas à leur portée. Mais par médias interposés,le gouvernement a menti à l’opinion et fini par croire à son propre mensonge.
Voilà ce qui explique le blocage des pourparlers de Kampala par le gouvernement incapable d’expliquer aux congolais les concessions à faire alors qu’il prétend être à mesure de neutraliser le M23 par la force. Ce n’est pas en disant dans un discours que «les groupes armées n’ont d’autres choix que de déposer les armes à défaut d’y être contraints par la force»,que Kabila obtiendra le résultat rêvé. Nous ne sommes pas en face de l’Allemagne capitulant devant les alliés et subissant la loi des vainqueurs.
Le bon sens commande que le gouvernement admette qu’il négocie aujourd’hui parcequ’il a été incapable de mettre fin à l’existence du M23 par la force et qu’il arrête de poser des conditions d’un vainqueur qu’il n’est pas. Car refuser d’intégrer des rebelles qui à chacune de leur sortie mettent l’armée nationale en déroute ou un général qui ne connaît que des victoires face à une armée mieux dotée grâce à ses capacités manageriales éprouvées sur le théâtre des opérations, est un manque de bon sens de la part de Kabila et son gouvernement.
Par contre surmonter son orgueil et faire du M23 le noyau de la nouvelle armée à bâtir et du général Makenga le prototype d’un officier modèle, donnerait à la RD Congo la chance de se doter enfin d’une vraie armée que tous attendons de nos voeux. Ce serait un choix de la raison doublée du bon sens.
mongo elombe
A` cause des applaudisseurs, opportunistes, situationnistes et positionnistes, 4 raisons d'echec des concertations
A` cause des applaudisseurs, opportunistes, situationnistes et positionnistes, 4 raisons d'echec des concertations:
Introduction
Le 23 octobre dernier, dans son discours devant les parlementaires réunis en Congrès godillot des applaudisseurs, opportunistes, situationnistes et positionnistes, bref des mammouths joséphistes et dinosaures mobutistes joséphisés, Joseph Kabila un fraudeur et tricheur, imposteur et usurpateur qui trône par défi à la tête de la République démocratique du Congo sans légitimité et en toute illégalité a eu le toupet de faire de nombreuses annonces dans un long discours: la nomination rapide d'un gouvernement d'union nationale avec l'opposition, le rapatriement des dépouilles du Maréchal Mobutu Sese Seko et de Moïse Kapenda Tshombe, la libération des prisonniers..politiques ? Ou encore l'arrivée d'un conseiller spécial pour lutter contre la corruption. Que peut faire un individu fut-il conseiller spécial en matière de lutte contre la corruption, face à un appareil judiciaire complètement caporalisé par le pouvoir qui lui-même baigne dans un système de corruption généralisée. Joseph Kabila dont la gouvernance au rabais à la tête du pays voilà près de 12 ans a conduit le Congo dans les bas-fonds de l’indignité humaine, de l'impunité et la désolation, de prime aux seigneurs de guerre, arrivistes et autres bandits de grand chemin, de crime contre l'humanité, de violations massives des droits humains... Les 700 recommandations fait par les Concertateurs sont en fait un réquisitoire contre la gouvernance erratique de Joseph Kabila ! En plus, Joseph Kabila est flou sur la prolongation de son mandat au-delà de 2016. L'imposteur est demeuré évasif sur ce sujet brûlant, a pris soin d’éviter de se prononcer de manière solennelle sur les intentions lui prêtées de briguer un troisième mandat successif. J. Kabila, évasif sur ce sujet brûlant, s’est tout juste contenté de dire qu’il est « pour le respect par tous, de l’esprit et de la lettre de la Constitution de la République dans son ensemble, telle que adoptée par référendum populaire en 2005 ».
Quatre raisons de réfuter le discours alambiqué de Joseph Kabila:
1. Pas de demande de pardon aux Congolais
La République démocratique du Congo vit des crises enchevêtrées: crise politique, crise économique, crise financière, crise monétaire, crise institutionnelle, crise sécuritaire, crise de gouvernance mais surtout de dessus tout crise de légitimité. Joseph Kabila a commis son premier hold-up électoral contre Jean-Pierre Bemba avec les élections Louis Michel "Big Loulou" de 2006. Sans recensement de la population congolaise, les congolais ont été privés du débat démocratique inscrit dans la Constitution de la transition par Modeste Mutinga Mutuishayi, fourbe, roublard, grand requin alors président de la fameuse Haute Autorité des Médias (HAM), Malu Malu a fait voter des morts, l'Est qui avait vécu les affres de la guerre était plus majoritaire plutôt que l'Ouest et le Centre où il n'y avait pas de guerre. Candidat de la mafia internationale Joseph Kabila a été proclamé vainqueur des élections frauduleuses. En 2011, il a récidivé. En faisant tripatouillé la Constitution de Liège pour que l'élection présidentielle soit à un tour. Alors que la République démocratique du Congo avec ses 70 millions d'habitants à un nombre élevé de la population que le Sénégal et d'autres pays africains qui par souci démocratique ont l'élection présidentielle à deux tours. Battu à plat couture par Etienne Tshisekedi, Joseph Kabila été proclamé vainqueur de son second hold up électoral par Daniel Ngoyi Mulunda soutenu par l'Afrique du sud et la Belgique coloniale, Léopoldienne et néo-esclavagiste. Demander pardon au peuple congolais d'avoir volé des votes électoraux, d'avoir usurpé la fonction du Président de la République et l'avoir exercé illégitimement et illégalement, d'avoir commis la haute trahison, la forfaiture contre le Congo et son peuple...Demander pardon non pour être absout mais déclencher les mécanismes d'un jugement juste à son égard. Or en continuant de s'entêter, c'est lui qui court à sa capture et à sa perte.
alt
2. Rapatrier les corps de Mobutu et oïse Tshombé...Et les dents de Lumumba ?
Proconsul de Paul Kagamé, le Nazi de Mille Collines, le discours de Joseph Kabila lui a été écrit par Kigali après vérification de Kampala. Ce discours alambiqué ignore gravement les réalités congolaises . Bizarre toute qu'on veuille rapatrier la dépouille d'un dictateur qui a vécu sans partage du pouvoir durant 32 ans: le Maréchal Mobutu Sese Seko et d'un sécessionniste Moïse Kapenda Tshombé. Pas un mot de réconfort pour les victimes de ceux deux régimes ? Pas un mot pour Patrice Emery Lumumba dont les deux dents arrachées par les tortionnaires belges traînent encore au Royaume de Léopold I. Patrice Emery Lumumba le père du patriotisme congolais n'a pas de tombe au Congo. Pourquoi pas un grand stèle Simon Kimbangu, le père de la conscience congolaise contre l'esclavagisme et la colonisation au Congo. Que dire de Ngongo Lutete, Msiri et autres résistants congolais. Qu'est-ce que le retour de la dépouille du dictateur Mobutu et du sécessionniste Moïse Tshombé vont apporter au Congo d'aujourd'hui ? Rien du tout. C'est du folklore politique, car le Congo n'est pas en paix, il est victime d'une guerre d'agression Ougando-Rwandaises ! Qui ignore que John Numbi l'assassin de Floribert Chebeya tire les ficelles de "Bakata Katanga" et que lui même est soutenu par Joseph Kabila. C'est un mauvais signal donné par Joseph kabila et ses conseillers mangéristes. La politique est une blanchisserie où des tortionnaires, bourreaux, criminels...peuvent être lavés de leurs forfaits puisqu'ils ont eu l'opportunité d'occuper des hautes fonctions même s'ils ont mener le pays au chaos. Les hommes politiques doivent toujours répondre de ses actes.
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Patrice Emery Lumumba, l’un des pères de l’indépendance de la République Démocratique du Congo fut assassiné et inhumé dans une même fosse commune avec ses amis Mpolo et Okito à Shilatembo au Katanga. Photo Réveil FM International, archives
Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu wa Za Banga, président de la RDC de 1965 à 1997, est mort en exil à Rabat, au Maroc, le 7 septembre 1997, après avoir été chassé du pouvoir par la rébellion dirigée par M'zée Laurent-Désiré Kabila. Quant à Moïse Tshombé, auteur de la sécession de la riche province minière du Katanga, située au sud-est du Congo, il est mort en 1969 en Algérie où il s’était réfugié après avoir été accusé de haute trahison par Mobutu. Le maréchal du Zaïre Mobutu comme Moïse Tshombé s'étaient enrichis au détriment de notre peuple. Où ont-ils eu l'argent qu'ils ont gaspillés comme des cacahuètes ? Qui ignore le 32 Cour Albert Ier qui abrite l'ambassade de la République démocratique du Congo à Paris dans le VIIIe arrondissement était une propriété privée de Moïse Tshombé ? Et ce n'est pas le seul bâtiment. Que dire des fastes de Mobutu, l'aigle de kawele ? Pour rapatrier les corps de Mobutu, Moïse Tshombé et autres morts en exil, il faut un gouvernement légitime en République démocratique du Congo. Pas un pouvoir fantoche encore issu de fraude électorale. Le Congo doit être en paix , ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. C'est l'histoire du Congo qui s'écrit donc tous les Congolais où qu'ils soient doivent s'y intéresser. La majorité des Congolais de l'Est sont dans la forêt ou dans des camps des réfugiés au Congo ayant fui les viols et affres de la guerre...Ils sont autant Congolais que les autres.
3. Amnistie des kulunas...pas d'acteurs politiques ?
Comment Joseph kabila peut-il amnistier des condamnés qui n'ont jamais été jugés ? Les arrestations arbitraires, intempestives et inopportunes dont sont victimes les Congolais n'ont qu'un seul objectif: terroriser les paisibles citoyens. Les prisons de Joseph kabila engorgent des kulunas mais surtout des acteurs politiques, des militaires congolais, des présumés assassins de M'zée Laurent-Désiré Kabila, des fameux comploteurs du coup d'Etat avec des bouteilles en plastiques...Il faut libérer tous les Congolais arrêter arbitrairement sans jugement. Joseph Kabila doit libérer illico presto: Eugène Diomi Ndongala, président de Démocratie Chrétienne, le député Jacques-Pierre Chalupa, permettre au pasteur Fernando Kutino d'aller se faire soigner hors du pays. Les kulunas sont victimes du régime dictatorial de Joseph Kabila. Lui qui est arrivé au Congo avec des bottes de jardinier et un kalachnikov, aujourd'hui Joseph Kabila a plus de 18 milliards cachés aux îles vierges. Et quand il fait l’annonce de la déclaration des biens par tous les mandataires publics, Joseph Kabila n'a jamais rendu public son patrimoine et de tous ses ministres. Sous Joseph kabila, la République démocratique du Congo est parmi les pays les plus corrompus du monde selon Transparancy International. Et les kulunas dont les parents fonctionnaires sont impayés ont trouvé un autre sport: truander les citoyens.
4. Un gouvernement d'union nationale ?
Pour avoir un gouvernement de cohésion nationale ou même d'union nationale, il faut des dirigeants issus des urnes qui ont une légitimité. Joseph Kabila n'a aucune légitimité comment pourrait-il mettre en place un gouvernement d'union nationale si ce n'est un gouvernement des mangéristes, opportunistes, ventripotents, situationnistes et positionnistes ? la proposition de Joseph Kabila manque de crédibilité ! Alors que le député congolais gagne 13 000 $us, l'enseignant est à 10$ us. Peut-on vraiment parler de cohésion nationale. les hôpitaux sont des mouroirs mais les apparatchiks et barons du régime vont se faire soigner à l'étranger et les congolais meurent comme des mouches. La solution pour la cohésion nationale au Congo, c'est le départ de Joseph Kabila de la fonction du Président de la République. En 12 ans, il a épuisé son degré de libertés et ses marges décisionnelles. Parvenu au pouvoir comme par effraction après l'assassinat de m'zée Laurent-Désiré Kabila, un jour de janvier 2001, la gouvernance du Congo par Joseph Kabila ressemble comme deux gouttes d'eau à celle d'Edward Smith, le légendaire commandant du Titanic !
Joseph Kabila I, de 2001 à 2006, 1+4=0 fut un jeune homme modeste, attentif et riche de promesses. Joseph Kabila II, de la présidentielle de 2006 à hier, un autocrate autosuffisant et dictateur sanguinaire, qui tire sur tout ce qui bouge, qui foule aux pieds les droits fondamentaux des citoyens, l’enrichissement illicite, la prédation des ressources avec des contrats léonins, malheur à lui car des conseillers de l'ombre avaient fait croire que la suffisance goguenarde pouvait tenir lieu de charisme.
Il n'y aura pas d' un Joseph Kabila III après 2016, les Congolais n'en veulent plus. Fraude électorale ou non !
Par Freddy Mulongo
Introduction
Le 23 octobre dernier, dans son discours devant les parlementaires réunis en Congrès godillot des applaudisseurs, opportunistes, situationnistes et positionnistes, bref des mammouths joséphistes et dinosaures mobutistes joséphisés, Joseph Kabila un fraudeur et tricheur, imposteur et usurpateur qui trône par défi à la tête de la République démocratique du Congo sans légitimité et en toute illégalité a eu le toupet de faire de nombreuses annonces dans un long discours: la nomination rapide d'un gouvernement d'union nationale avec l'opposition, le rapatriement des dépouilles du Maréchal Mobutu Sese Seko et de Moïse Kapenda Tshombe, la libération des prisonniers..politiques ? Ou encore l'arrivée d'un conseiller spécial pour lutter contre la corruption. Que peut faire un individu fut-il conseiller spécial en matière de lutte contre la corruption, face à un appareil judiciaire complètement caporalisé par le pouvoir qui lui-même baigne dans un système de corruption généralisée. Joseph Kabila dont la gouvernance au rabais à la tête du pays voilà près de 12 ans a conduit le Congo dans les bas-fonds de l’indignité humaine, de l'impunité et la désolation, de prime aux seigneurs de guerre, arrivistes et autres bandits de grand chemin, de crime contre l'humanité, de violations massives des droits humains... Les 700 recommandations fait par les Concertateurs sont en fait un réquisitoire contre la gouvernance erratique de Joseph Kabila ! En plus, Joseph Kabila est flou sur la prolongation de son mandat au-delà de 2016. L'imposteur est demeuré évasif sur ce sujet brûlant, a pris soin d’éviter de se prononcer de manière solennelle sur les intentions lui prêtées de briguer un troisième mandat successif. J. Kabila, évasif sur ce sujet brûlant, s’est tout juste contenté de dire qu’il est « pour le respect par tous, de l’esprit et de la lettre de la Constitution de la République dans son ensemble, telle que adoptée par référendum populaire en 2005 ».
Quatre raisons de réfuter le discours alambiqué de Joseph Kabila:
1. Pas de demande de pardon aux Congolais
La République démocratique du Congo vit des crises enchevêtrées: crise politique, crise économique, crise financière, crise monétaire, crise institutionnelle, crise sécuritaire, crise de gouvernance mais surtout de dessus tout crise de légitimité. Joseph Kabila a commis son premier hold-up électoral contre Jean-Pierre Bemba avec les élections Louis Michel "Big Loulou" de 2006. Sans recensement de la population congolaise, les congolais ont été privés du débat démocratique inscrit dans la Constitution de la transition par Modeste Mutinga Mutuishayi, fourbe, roublard, grand requin alors président de la fameuse Haute Autorité des Médias (HAM), Malu Malu a fait voter des morts, l'Est qui avait vécu les affres de la guerre était plus majoritaire plutôt que l'Ouest et le Centre où il n'y avait pas de guerre. Candidat de la mafia internationale Joseph Kabila a été proclamé vainqueur des élections frauduleuses. En 2011, il a récidivé. En faisant tripatouillé la Constitution de Liège pour que l'élection présidentielle soit à un tour. Alors que la République démocratique du Congo avec ses 70 millions d'habitants à un nombre élevé de la population que le Sénégal et d'autres pays africains qui par souci démocratique ont l'élection présidentielle à deux tours. Battu à plat couture par Etienne Tshisekedi, Joseph Kabila été proclamé vainqueur de son second hold up électoral par Daniel Ngoyi Mulunda soutenu par l'Afrique du sud et la Belgique coloniale, Léopoldienne et néo-esclavagiste. Demander pardon au peuple congolais d'avoir volé des votes électoraux, d'avoir usurpé la fonction du Président de la République et l'avoir exercé illégitimement et illégalement, d'avoir commis la haute trahison, la forfaiture contre le Congo et son peuple...Demander pardon non pour être absout mais déclencher les mécanismes d'un jugement juste à son égard. Or en continuant de s'entêter, c'est lui qui court à sa capture et à sa perte.
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2. Rapatrier les corps de Mobutu et oïse Tshombé...Et les dents de Lumumba ?
Proconsul de Paul Kagamé, le Nazi de Mille Collines, le discours de Joseph Kabila lui a été écrit par Kigali après vérification de Kampala. Ce discours alambiqué ignore gravement les réalités congolaises . Bizarre toute qu'on veuille rapatrier la dépouille d'un dictateur qui a vécu sans partage du pouvoir durant 32 ans: le Maréchal Mobutu Sese Seko et d'un sécessionniste Moïse Kapenda Tshombé. Pas un mot de réconfort pour les victimes de ceux deux régimes ? Pas un mot pour Patrice Emery Lumumba dont les deux dents arrachées par les tortionnaires belges traînent encore au Royaume de Léopold I. Patrice Emery Lumumba le père du patriotisme congolais n'a pas de tombe au Congo. Pourquoi pas un grand stèle Simon Kimbangu, le père de la conscience congolaise contre l'esclavagisme et la colonisation au Congo. Que dire de Ngongo Lutete, Msiri et autres résistants congolais. Qu'est-ce que le retour de la dépouille du dictateur Mobutu et du sécessionniste Moïse Tshombé vont apporter au Congo d'aujourd'hui ? Rien du tout. C'est du folklore politique, car le Congo n'est pas en paix, il est victime d'une guerre d'agression Ougando-Rwandaises ! Qui ignore que John Numbi l'assassin de Floribert Chebeya tire les ficelles de "Bakata Katanga" et que lui même est soutenu par Joseph Kabila. C'est un mauvais signal donné par Joseph kabila et ses conseillers mangéristes. La politique est une blanchisserie où des tortionnaires, bourreaux, criminels...peuvent être lavés de leurs forfaits puisqu'ils ont eu l'opportunité d'occuper des hautes fonctions même s'ils ont mener le pays au chaos. Les hommes politiques doivent toujours répondre de ses actes.
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Patrice Emery Lumumba, l’un des pères de l’indépendance de la République Démocratique du Congo fut assassiné et inhumé dans une même fosse commune avec ses amis Mpolo et Okito à Shilatembo au Katanga. Photo Réveil FM International, archives
Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu wa Za Banga, président de la RDC de 1965 à 1997, est mort en exil à Rabat, au Maroc, le 7 septembre 1997, après avoir été chassé du pouvoir par la rébellion dirigée par M'zée Laurent-Désiré Kabila. Quant à Moïse Tshombé, auteur de la sécession de la riche province minière du Katanga, située au sud-est du Congo, il est mort en 1969 en Algérie où il s’était réfugié après avoir été accusé de haute trahison par Mobutu. Le maréchal du Zaïre Mobutu comme Moïse Tshombé s'étaient enrichis au détriment de notre peuple. Où ont-ils eu l'argent qu'ils ont gaspillés comme des cacahuètes ? Qui ignore le 32 Cour Albert Ier qui abrite l'ambassade de la République démocratique du Congo à Paris dans le VIIIe arrondissement était une propriété privée de Moïse Tshombé ? Et ce n'est pas le seul bâtiment. Que dire des fastes de Mobutu, l'aigle de kawele ? Pour rapatrier les corps de Mobutu, Moïse Tshombé et autres morts en exil, il faut un gouvernement légitime en République démocratique du Congo. Pas un pouvoir fantoche encore issu de fraude électorale. Le Congo doit être en paix , ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. C'est l'histoire du Congo qui s'écrit donc tous les Congolais où qu'ils soient doivent s'y intéresser. La majorité des Congolais de l'Est sont dans la forêt ou dans des camps des réfugiés au Congo ayant fui les viols et affres de la guerre...Ils sont autant Congolais que les autres.
3. Amnistie des kulunas...pas d'acteurs politiques ?
Comment Joseph kabila peut-il amnistier des condamnés qui n'ont jamais été jugés ? Les arrestations arbitraires, intempestives et inopportunes dont sont victimes les Congolais n'ont qu'un seul objectif: terroriser les paisibles citoyens. Les prisons de Joseph kabila engorgent des kulunas mais surtout des acteurs politiques, des militaires congolais, des présumés assassins de M'zée Laurent-Désiré Kabila, des fameux comploteurs du coup d'Etat avec des bouteilles en plastiques...Il faut libérer tous les Congolais arrêter arbitrairement sans jugement. Joseph Kabila doit libérer illico presto: Eugène Diomi Ndongala, président de Démocratie Chrétienne, le député Jacques-Pierre Chalupa, permettre au pasteur Fernando Kutino d'aller se faire soigner hors du pays. Les kulunas sont victimes du régime dictatorial de Joseph Kabila. Lui qui est arrivé au Congo avec des bottes de jardinier et un kalachnikov, aujourd'hui Joseph Kabila a plus de 18 milliards cachés aux îles vierges. Et quand il fait l’annonce de la déclaration des biens par tous les mandataires publics, Joseph Kabila n'a jamais rendu public son patrimoine et de tous ses ministres. Sous Joseph kabila, la République démocratique du Congo est parmi les pays les plus corrompus du monde selon Transparancy International. Et les kulunas dont les parents fonctionnaires sont impayés ont trouvé un autre sport: truander les citoyens.
4. Un gouvernement d'union nationale ?
Pour avoir un gouvernement de cohésion nationale ou même d'union nationale, il faut des dirigeants issus des urnes qui ont une légitimité. Joseph Kabila n'a aucune légitimité comment pourrait-il mettre en place un gouvernement d'union nationale si ce n'est un gouvernement des mangéristes, opportunistes, ventripotents, situationnistes et positionnistes ? la proposition de Joseph Kabila manque de crédibilité ! Alors que le député congolais gagne 13 000 $us, l'enseignant est à 10$ us. Peut-on vraiment parler de cohésion nationale. les hôpitaux sont des mouroirs mais les apparatchiks et barons du régime vont se faire soigner à l'étranger et les congolais meurent comme des mouches. La solution pour la cohésion nationale au Congo, c'est le départ de Joseph Kabila de la fonction du Président de la République. En 12 ans, il a épuisé son degré de libertés et ses marges décisionnelles. Parvenu au pouvoir comme par effraction après l'assassinat de m'zée Laurent-Désiré Kabila, un jour de janvier 2001, la gouvernance du Congo par Joseph Kabila ressemble comme deux gouttes d'eau à celle d'Edward Smith, le légendaire commandant du Titanic !
Joseph Kabila I, de 2001 à 2006, 1+4=0 fut un jeune homme modeste, attentif et riche de promesses. Joseph Kabila II, de la présidentielle de 2006 à hier, un autocrate autosuffisant et dictateur sanguinaire, qui tire sur tout ce qui bouge, qui foule aux pieds les droits fondamentaux des citoyens, l’enrichissement illicite, la prédation des ressources avec des contrats léonins, malheur à lui car des conseillers de l'ombre avaient fait croire que la suffisance goguenarde pouvait tenir lieu de charisme.
Il n'y aura pas d' un Joseph Kabila III après 2016, les Congolais n'en veulent plus. Fraude électorale ou non !
Par Freddy Mulongo
regarder et bien voir
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Rubrique : SociétéKOTA a écrit:
Le corps d’un prisonnier disparu à Makala
La FBCP exige une enquête
La Fondation Bill Clinton pour la Paix (FBCP) une organisation de défense des droits humains, d’éducation démocratique et de promotion de la paix à travers le monde, est montée au créneau. Elle exige une enquête autour de la disparition du corps du détenu Tshibasu Shaumba, détaché à la police criminelle du camp Lufungula. Mort survenue aux environs de 22 heures à Makala, le 25 octobre dernier. Son corps est introuvable jusqu’à présent dans les morgues de l’hôpital Sanatorium de Selembao où il était censé se trouver. La FBCP demande que le corps du disparu soit restitué à sa famille pour qu’elle puisse faire le deuil et qu’elle soit dédommagée par l’Etat.Car il est mort comme un prévenu.
La FBCP est également inquiète du sort de plus de 3.500 détenus et prisonniers de Makala (CPRK), particulièrement ceux des pavillons 3,4 et 11 dont les toitures viennent de s’écrouler le 27 octobre 2013. Elle demande aux autorités politiques et administratives d’intervenir avec diligence pour la réhabilitation des prisons de la RDC qui sont en état de délabrement très avancé et de surpopulation. Elle exige l’amélioration des conditions d’incarcération.
Pour la FBCP c’est à cause de cet état de délabrement très avancé des prisons à Makala deux prisonniers répondant aux noms de Lukusa et Bakatufikila sont dans un état très critique, sans moyens d’être transférés dans des institutions hospitalières appropriées pour des soins. Ils risquent de connaitre le même sort que le sous-lieutenant Tshibasu.
Le défunt Tshibasu faisait partie des 13 détenus de Makala accusés, sans preuves en complicité avec le président de la démocratie chrétienne, Diomi Ndongala d’appartenir au groupe des civils, policiers et militaires voulant attenter à la vie du président de la République et de celle du premier ministre.
La FBCP demande l’accélération des procédures judiciaires qui sont très lent surtout dans les juridictions militaires et exige l’application immédiate de l’amnistie générale et la grâce présidentielle telles que prévues par la loi.
Ata ndele mokili oyo ekobaluka
regarder et bien voir
Re: Helas! Les concertations nationales viennent d'enraciner le pouvoir de Kabila
Monsengwo rejette les concertations nationales
Laurent Monsengwo Pasinya n’a toujours pas sa langue dans sa poche quand il faut soutenir la voie de la justice et de la vérité. Quand il a été question de réviser la constitution en 2011, Monsengwo était parmi les premiers à s’inscrire contre la démarche de l’ex AMP -Alliance de la Majorité présidentielle. De même, à l’annonce de la victoire de Joseph Kabila au terme des élections du 28 novembre 2011, le Cardinal n’a pas manqué de dénoncer avec toute vigueur les irrégularités qui avaient caractérisées le processus électoral. Il est allé jusqu’à confirmer que les résultats de Daniel Ngoy Mulunda Nyanga, donnant Joseph Kabila gagnant, ne reflétaient ni la vérité des urnes ni la justice. L’Eglise catholique ne s’était pas encore exprimée sur les concertations nationales. Les déclarations faites par le Cardinal Archevêque de Kinshasa, le samedi 02 novembre au centre Lindonge, contre le prolongement du mandat politique, reflète en faite la position de l’Eglise sur les résolutions issues des concertations nationales. Avec cette position, l’Eglise ne souscrit pas à la démarche des concertateurs qui envisagent l’organisation du recensement général de la population avant les élections présidentielle et législatives nationales.
Revoilà, Monsengwo au devant de la scène pour contrer toutes manœuvres du régime en place visant la prolongation du mandat de l’actuel président de la République, Joseph Kabila, au-delà de 2016. L’Archevêque s’est prononcé sur cette question, à l’occasion de la messe de célébration de ses 50 ans de sacerdoce. Il était devant des milliers des fidèles catholiques, réunies devant le Sanctuaire de Centre Lindonge dans la commune de Limete. Le chef de l’Eglise Catholique de Kinshasa a soutenu à haute voix que les dirigeants politiques et même religieux doivent cultiver le sens de l’humilité dans les services. Ils sont tenus d’exercer leur mandat, suivant les normes, textes et lois établis. «Nous devons avoir le courage de respecter le mandat prescrit par les autres, car Dieu n’aime pas les dictateurs», a exhorté le Cardinal. Monsengwo dans son prêche, a insisté sur le fait que les hommes politiques devraient éviter de s’éterniser inutilement au pouvoir ou chercher à consolider leur position au sommet de l’Etat, via des voies peu démocratiques. Il conseille que tout dirigeant ayant rempli son mandat en bonne et du forme ou n’étant plus en mesure d’exercer, ait le courage de partir ou de céder le fauteuil en toute sportivité et légalement. Monsengwo relève l’exemple de l’ancien Pape Benoit XVI, qui suite à son indisponibilité liée au poids de l’âge a fini par jeter l’éponge. Ce cas de Benoit XVI, a-t-il dit, doit servir d’exemple, au sein de l’Eglise tout comme chez les responsables politiques ; puisque servir son peuple n’exige pas nécessairement d’être aux Affaires. «On peut être au service de la nation même en dehors de la chose publique», a indiqué le Cardinal. A travers ce discours, très accueilli par les milliers des fidèles catholiques et dans des états-majors politiques, Monsengwo vient donc de battre en brèche certaines résolutions issues des concertations nationales dont la nature profonde n’a de finalité que de prolonger le mandat des quelques institutions de la République au-delà de 2016. Par exemple la résolution sur le recensement et celle envisageant les élections locales avant les législatives nationales et la présidentielle. Le modérateur de la cérémonie de 50 ans de sacerdoce de Monsengwo et le président de la Légion de Marie, tout en saluant les propos du Cardinal, ont promis d’accompagner ce dernier dans ses activités pro-démocratie. A l’unisson, ils ont noté que le combat politique, Monsengwo ne l’a pas commencé aujourd’hui. C’est depuis sa tendre jeunesse, qu’il est au devant de la scène politique pour promouvoir la vérité, la justice, la démocratie et le bien-être de la population. Ses actions ont marqué l’histoire politique de l’Afrique centrale. Quoi de plus normal à Dieu d’accorder encore quelques années à celui que les catholiques de la Capitale appellent affectueusement «Tata Episcopo wa Lokumu».
SAMUEL MBUTA/FADI LENDO
Source : CongoNews (1171)
http://www.direct.cd/2013/11/05/monsengwo-rejette-les-concertations-nationales.html
Laurent Monsengwo Pasinya n’a toujours pas sa langue dans sa poche quand il faut soutenir la voie de la justice et de la vérité. Quand il a été question de réviser la constitution en 2011, Monsengwo était parmi les premiers à s’inscrire contre la démarche de l’ex AMP -Alliance de la Majorité présidentielle. De même, à l’annonce de la victoire de Joseph Kabila au terme des élections du 28 novembre 2011, le Cardinal n’a pas manqué de dénoncer avec toute vigueur les irrégularités qui avaient caractérisées le processus électoral. Il est allé jusqu’à confirmer que les résultats de Daniel Ngoy Mulunda Nyanga, donnant Joseph Kabila gagnant, ne reflétaient ni la vérité des urnes ni la justice. L’Eglise catholique ne s’était pas encore exprimée sur les concertations nationales. Les déclarations faites par le Cardinal Archevêque de Kinshasa, le samedi 02 novembre au centre Lindonge, contre le prolongement du mandat politique, reflète en faite la position de l’Eglise sur les résolutions issues des concertations nationales. Avec cette position, l’Eglise ne souscrit pas à la démarche des concertateurs qui envisagent l’organisation du recensement général de la population avant les élections présidentielle et législatives nationales.
Revoilà, Monsengwo au devant de la scène pour contrer toutes manœuvres du régime en place visant la prolongation du mandat de l’actuel président de la République, Joseph Kabila, au-delà de 2016. L’Archevêque s’est prononcé sur cette question, à l’occasion de la messe de célébration de ses 50 ans de sacerdoce. Il était devant des milliers des fidèles catholiques, réunies devant le Sanctuaire de Centre Lindonge dans la commune de Limete. Le chef de l’Eglise Catholique de Kinshasa a soutenu à haute voix que les dirigeants politiques et même religieux doivent cultiver le sens de l’humilité dans les services. Ils sont tenus d’exercer leur mandat, suivant les normes, textes et lois établis. «Nous devons avoir le courage de respecter le mandat prescrit par les autres, car Dieu n’aime pas les dictateurs», a exhorté le Cardinal. Monsengwo dans son prêche, a insisté sur le fait que les hommes politiques devraient éviter de s’éterniser inutilement au pouvoir ou chercher à consolider leur position au sommet de l’Etat, via des voies peu démocratiques. Il conseille que tout dirigeant ayant rempli son mandat en bonne et du forme ou n’étant plus en mesure d’exercer, ait le courage de partir ou de céder le fauteuil en toute sportivité et légalement. Monsengwo relève l’exemple de l’ancien Pape Benoit XVI, qui suite à son indisponibilité liée au poids de l’âge a fini par jeter l’éponge. Ce cas de Benoit XVI, a-t-il dit, doit servir d’exemple, au sein de l’Eglise tout comme chez les responsables politiques ; puisque servir son peuple n’exige pas nécessairement d’être aux Affaires. «On peut être au service de la nation même en dehors de la chose publique», a indiqué le Cardinal. A travers ce discours, très accueilli par les milliers des fidèles catholiques et dans des états-majors politiques, Monsengwo vient donc de battre en brèche certaines résolutions issues des concertations nationales dont la nature profonde n’a de finalité que de prolonger le mandat des quelques institutions de la République au-delà de 2016. Par exemple la résolution sur le recensement et celle envisageant les élections locales avant les législatives nationales et la présidentielle. Le modérateur de la cérémonie de 50 ans de sacerdoce de Monsengwo et le président de la Légion de Marie, tout en saluant les propos du Cardinal, ont promis d’accompagner ce dernier dans ses activités pro-démocratie. A l’unisson, ils ont noté que le combat politique, Monsengwo ne l’a pas commencé aujourd’hui. C’est depuis sa tendre jeunesse, qu’il est au devant de la scène politique pour promouvoir la vérité, la justice, la démocratie et le bien-être de la population. Ses actions ont marqué l’histoire politique de l’Afrique centrale. Quoi de plus normal à Dieu d’accorder encore quelques années à celui que les catholiques de la Capitale appellent affectueusement «Tata Episcopo wa Lokumu».
SAMUEL MBUTA/FADI LENDO
Source : CongoNews (1171)
http://www.direct.cd/2013/11/05/monsengwo-rejette-les-concertations-nationales.html
Mathilde
Matata Ponyo va maintenir la primature
Primature : Matata reste
Publié le lundi 25 novembre 2013 02:19
Écrit par LE POTENTIEL
En déposant le projet de loi des finances 2014
Contrairement à ce qui se dit dans la ville haute, Matata Ponyo Mapon est assuré de conserver son poste de Premier ministre. Alors que tous les ministres expédient les affaires courantes, seul le chef du gouvernement a continué à poser des actes de gestion, le dernier en date étant le dépôt à l’Assemblée nationale du projet de loi des finances 2014.
Le Premier ministre, Matata Ponyo Mapon a transmis le vendredi 22 novembre 2013 au bureau de l’Assemblée nationale le projet de loi des finances pour l’exercice 2014. Il faut dire que le Premier ministre a pris, pour des raisons non encore élucidées, trop de temps pour se conformer à la Constitution. Son geste intervient à quelques semaines de la fin de la session ordinaire de septembre du Parlement. En d’autres termes, il a contourné l’exigence constitutionnelle qui le contraint à ne point dépasser l’échéance de 15 jours avant la fin de la session de septembre. Il est vrai que les deux Chambres du Parlement ne disposeront pas d’assez de temps pour examiner en profondeur le projet qui vient de leur être transmis par le gouvernement. Qu’importe !
La procédure de déchéance prévue à l’alinéa 7 de l’article 126 de la Constitution ne s’appliquera donc pas. En cette matière, la Constitution dispose dans des termes précis que « Si, quinze jours avant la fin de la session budgétaire, le gouvernement n’a pas déposé son projet de budget, il est réputé démissionnaire ».
Mais, dans les conditions actuelles, y a-t-il lieu de parler d’une quelconque démission du gouvernement, alors que le chef de l’Etat en a clairement fait mention dans son discours du 23 octobre devant le Congrès ? En tout cas, tous ne juraient que sur un Matata assis sur un siège éjectable. Personne ne s’attendait à voir les choses tirer en longueur. Voilà que Matata continue toujours à présider aux destinées du gouvernement. A bien scruter les faits et gestes, particulièrement du chef de l’Etat à qui revient la prérogative de désignation du Premier ministre, le bail de Matata à l’hôtel du gouvernement durerait encore plusieurs mois.
Par deux fois, le chef de l’Etat s’est donné la peine de présider le conseil des ministres appelé à adopter le projet de budget de l’exercice 2014. C’est seulement à l’issue de la deuxième réunion du gouvernement que le Premier ministre avait reçu l’aval de la Haute hiérarchie du pays de déposer le projet sur la table de travail du bureau de l’Assemblée nationale.
« Le gouvernement exécute un programme conforme à la volonté du président de la République. Le programme est axé essentiellement sur le Révolution de la modernité. C’est un programme qui vise à consolider le cadre macroéconomique, mais aussi à promouvoir le social de la population à travers le secteur de la santé, de l’agriculture, celui de l’éducation, des infrastructures, le secteur routier », a déclaré Matata Ponyo. Pour le Premier ministre, la loi des finances 2014, arrêté en équilibre à 7.611,8 milliards de FC, équivalant à 34,9% du PIB, va garantir, un maximum de confort dans le fonctionnement de l’ensemble des services qui dépendent du Trésor public. C’est donc un budget qui vise essentiellement à répondre aux préoccupations de la population, mais aussi un programme qui a été édicté par le chef de l’Etat, préconise le Premier ministre.
L’équivoque est levée
En transmettant à l’Assemblée nationale le projet de loi des finances 2014, Matata Ponyo est reconnu ouvertement comme interlocuteur valable du Parlement dans l’exécution des opérations financières de l’Etat pour le nouvel exercice. Dès cet instant, il est loisible de dire adieu au gouvernement de cohésion.
Dans le cas où la thèse de la formation d’un Gouvernement de cohésion nationale tiendrait toujours la route, le Premier ministre actuel aurait sollicité du Parlement l’adoption d’une loi relative à des crédits provisoires. Ce qui aurait couvert la période d’attente. Or, le fait d’avoir ignoré cette procédure constitutionnelle conforte notre analyse.
Si tel n’était pas le cas, la tentation serait de déduire que le chef de l’Etat aurait été induit en erreur. Dans les conditions actuelles, confier la défense et l’exécution du budget à un chef du gouvernement autre que celui qu’il l’a transmis au Parlement, c’est passer outre les procédures régissant les rapports entre le gouvernement et le Parlement. La logique suppose que celui qui dépose le budget est censé l’exécuter dans le cadre du programme qu’il s’est fixé. Et Matata l’a fait. Sans doute rassuré de rester à la tête du gouvernement central.
Cohésion nationale : capitaliser les avancées
Sur le plan militaire, les FARDC ont prouvé à la face du monde qu’ils sont capables de meilleur. Mis dans des meilleures conditions, les militaires congolais sont capables d’exploits. La récupération des territoires jadis sous contrôle du M23 a été mené de main de maitre par l’ensemble des institutions de la République à commencer par le président de la République, le gouvernement particulièrement les ministères sectoriels de la Défense nationale, des Affaires étrangères, de l’Intérieur et des Médias présent sur ce front toujours oublié. Ce qui confirme combien le gouvernement a mobilisé toutes les énergies pour asseoir les fondements de l’unité nationale et de la cohésion nationale au regard des actions conjuguées en diplomatie et dans la coercition militaire sur le terrain.
Ce ne serait pas hasardeux d’affirmer que « le gouvernement Matata tient en lui-même, les clés de l’unification et de la cohésion nationale », confie un cadre écouté de la Majorité présidentielle. Le même cadre en fait la démonstration : « Le gouvernement Matata a fait la démonstration par la maitrise de l’outil économique sur lequel est assis toutes ressources pour soutenir l’effort de guerre. Cet élan doit être maintenu compte tenu de la voracité et les intérêts prédateurs qui gravitent autour de notre pays ».
Face à cette évidence, les institutions de la République pourraient se déplacer vers Goma pour éventuellement un conseil des ministres, une réunion interinstitutionnelle ou encore un conseil supérieur de la défense. Tous les ingrédients de la cohésion nationale semblent réunis à travers le gouvernement Matata et il ne resterait plus que la lucidité et la sélectivité de différents acteurs capables d’imprimer un nouvel élan dans l’œuvre amorcée déjà par le gouvernement.
Le temps ne se prête plus à la gestion des acteurs politiques ou sociaux sans assises populaires réelles. Au contraire, il faut prêter l’oreille au cri d’alarme des ONG internationales sur le mode de gestion de la res publica dans le chef de certaines personnalités au passé chargé, incapables de se faire élire et d’assurer la cohésion au sein de leur base.
Publié le lundi 25 novembre 2013 02:19
Écrit par LE POTENTIEL
En déposant le projet de loi des finances 2014
Contrairement à ce qui se dit dans la ville haute, Matata Ponyo Mapon est assuré de conserver son poste de Premier ministre. Alors que tous les ministres expédient les affaires courantes, seul le chef du gouvernement a continué à poser des actes de gestion, le dernier en date étant le dépôt à l’Assemblée nationale du projet de loi des finances 2014.
Le Premier ministre, Matata Ponyo Mapon a transmis le vendredi 22 novembre 2013 au bureau de l’Assemblée nationale le projet de loi des finances pour l’exercice 2014. Il faut dire que le Premier ministre a pris, pour des raisons non encore élucidées, trop de temps pour se conformer à la Constitution. Son geste intervient à quelques semaines de la fin de la session ordinaire de septembre du Parlement. En d’autres termes, il a contourné l’exigence constitutionnelle qui le contraint à ne point dépasser l’échéance de 15 jours avant la fin de la session de septembre. Il est vrai que les deux Chambres du Parlement ne disposeront pas d’assez de temps pour examiner en profondeur le projet qui vient de leur être transmis par le gouvernement. Qu’importe !
La procédure de déchéance prévue à l’alinéa 7 de l’article 126 de la Constitution ne s’appliquera donc pas. En cette matière, la Constitution dispose dans des termes précis que « Si, quinze jours avant la fin de la session budgétaire, le gouvernement n’a pas déposé son projet de budget, il est réputé démissionnaire ».
Mais, dans les conditions actuelles, y a-t-il lieu de parler d’une quelconque démission du gouvernement, alors que le chef de l’Etat en a clairement fait mention dans son discours du 23 octobre devant le Congrès ? En tout cas, tous ne juraient que sur un Matata assis sur un siège éjectable. Personne ne s’attendait à voir les choses tirer en longueur. Voilà que Matata continue toujours à présider aux destinées du gouvernement. A bien scruter les faits et gestes, particulièrement du chef de l’Etat à qui revient la prérogative de désignation du Premier ministre, le bail de Matata à l’hôtel du gouvernement durerait encore plusieurs mois.
Par deux fois, le chef de l’Etat s’est donné la peine de présider le conseil des ministres appelé à adopter le projet de budget de l’exercice 2014. C’est seulement à l’issue de la deuxième réunion du gouvernement que le Premier ministre avait reçu l’aval de la Haute hiérarchie du pays de déposer le projet sur la table de travail du bureau de l’Assemblée nationale.
« Le gouvernement exécute un programme conforme à la volonté du président de la République. Le programme est axé essentiellement sur le Révolution de la modernité. C’est un programme qui vise à consolider le cadre macroéconomique, mais aussi à promouvoir le social de la population à travers le secteur de la santé, de l’agriculture, celui de l’éducation, des infrastructures, le secteur routier », a déclaré Matata Ponyo. Pour le Premier ministre, la loi des finances 2014, arrêté en équilibre à 7.611,8 milliards de FC, équivalant à 34,9% du PIB, va garantir, un maximum de confort dans le fonctionnement de l’ensemble des services qui dépendent du Trésor public. C’est donc un budget qui vise essentiellement à répondre aux préoccupations de la population, mais aussi un programme qui a été édicté par le chef de l’Etat, préconise le Premier ministre.
L’équivoque est levée
En transmettant à l’Assemblée nationale le projet de loi des finances 2014, Matata Ponyo est reconnu ouvertement comme interlocuteur valable du Parlement dans l’exécution des opérations financières de l’Etat pour le nouvel exercice. Dès cet instant, il est loisible de dire adieu au gouvernement de cohésion.
Dans le cas où la thèse de la formation d’un Gouvernement de cohésion nationale tiendrait toujours la route, le Premier ministre actuel aurait sollicité du Parlement l’adoption d’une loi relative à des crédits provisoires. Ce qui aurait couvert la période d’attente. Or, le fait d’avoir ignoré cette procédure constitutionnelle conforte notre analyse.
Si tel n’était pas le cas, la tentation serait de déduire que le chef de l’Etat aurait été induit en erreur. Dans les conditions actuelles, confier la défense et l’exécution du budget à un chef du gouvernement autre que celui qu’il l’a transmis au Parlement, c’est passer outre les procédures régissant les rapports entre le gouvernement et le Parlement. La logique suppose que celui qui dépose le budget est censé l’exécuter dans le cadre du programme qu’il s’est fixé. Et Matata l’a fait. Sans doute rassuré de rester à la tête du gouvernement central.
Cohésion nationale : capitaliser les avancées
Sur le plan militaire, les FARDC ont prouvé à la face du monde qu’ils sont capables de meilleur. Mis dans des meilleures conditions, les militaires congolais sont capables d’exploits. La récupération des territoires jadis sous contrôle du M23 a été mené de main de maitre par l’ensemble des institutions de la République à commencer par le président de la République, le gouvernement particulièrement les ministères sectoriels de la Défense nationale, des Affaires étrangères, de l’Intérieur et des Médias présent sur ce front toujours oublié. Ce qui confirme combien le gouvernement a mobilisé toutes les énergies pour asseoir les fondements de l’unité nationale et de la cohésion nationale au regard des actions conjuguées en diplomatie et dans la coercition militaire sur le terrain.
Ce ne serait pas hasardeux d’affirmer que « le gouvernement Matata tient en lui-même, les clés de l’unification et de la cohésion nationale », confie un cadre écouté de la Majorité présidentielle. Le même cadre en fait la démonstration : « Le gouvernement Matata a fait la démonstration par la maitrise de l’outil économique sur lequel est assis toutes ressources pour soutenir l’effort de guerre. Cet élan doit être maintenu compte tenu de la voracité et les intérêts prédateurs qui gravitent autour de notre pays ».
Face à cette évidence, les institutions de la République pourraient se déplacer vers Goma pour éventuellement un conseil des ministres, une réunion interinstitutionnelle ou encore un conseil supérieur de la défense. Tous les ingrédients de la cohésion nationale semblent réunis à travers le gouvernement Matata et il ne resterait plus que la lucidité et la sélectivité de différents acteurs capables d’imprimer un nouvel élan dans l’œuvre amorcée déjà par le gouvernement.
Le temps ne se prête plus à la gestion des acteurs politiques ou sociaux sans assises populaires réelles. Au contraire, il faut prêter l’oreille au cri d’alarme des ONG internationales sur le mode de gestion de la res publica dans le chef de certaines personnalités au passé chargé, incapables de se faire élire et d’assurer la cohésion au sein de leur base.
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