KABILA NE PARTIRA PAS FACILEMENT! Une exclusivité RFI
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Re: KABILA NE PARTIRA PAS FACILEMENT! Une exclusivité RFI
djino a écrit:Pagaille dans la KABILIE : Mashala fait de la Comédie !
Ata kutu ba finga ye zoba, musicien ect...
Franchement Francis a zali na top...a zo exprimer tout simplement ce que pensent les congolais 100 % Ce fameux Mashala, on apprend sur Congomikili que a keyi ko agresser journaliste ta Congo Web na Radio Okapi
HISTOIRE
Ata ba fingi Nbganda..mais un jour ba livres na ye e ko zala ba sujet ya ba memoires na université na Congo Dans deux ouvrages, H Nbganda tente en vai de faire comprendre la brutalité des USA face aux dirigeants congolais Nbganda dit ouvertement comment l´ambassadrice Melisa était arrogante et disait tout haut que les USA avaient decidés et que Mobutu n´avat qu´à se plier et vider la place
R Feingold dit presque la même chose maintenant, mais ba zo yoka te...Tiii mokolo ba kima Congo
F Kalombo a lobi TOUT: Joé Kanambe va tout detruire s´il resiste et change la Contsitution et la suite sera sanglante car les congolais vont se retrouver dans des guerres interminables
Ba ko yoka te WAIT AND SEE
GHOST
Re: KABILA NE PARTIRA PAS FACILEMENT! Une exclusivité RFI
Tokomi wapi après la déclaration de l' opposition radicale, affaire DIOMI, et division batetela
Mathilde
Re: KABILA NE PARTIRA PAS FACILEMENT! Une exclusivité RFI
PARLEMENT DE RDC
RDC : accusés d'"offenses" envers Kabila, trois députés échappent à la levée de leur immunité
Jeune Afrique" a pu se procurer l'enregistrement d'un huis-clos tenu le 27 mars à l'Assemblée nationale de la RDC. À l'occasion duquel le bureau de la chambre basse a refusé la levée de l'immunité de trois députés accusés par le procureur général d'avoir affirmé que le président Joseph Kabila entretenait une "cellule de fumeurs de chanvre". Récit exclusif.
Ça se passe comme ça, à Kinshasa. Le 27 mars dernier, trois députés de l'opposition dans le collimateur de la justice ont failli perdre leur immunité parlementaire. Depuis le 31 janvier, le procureur général de la république attendait en effet du bureau de l'Assemblée nationale l'autorisation d'engager des poursuites contre Kovo Ingila, Adrien Phoba et Fabrice Puela, accusés notamment d'"offenses envers le chef de l'État". Une requête rejetée finalement par le bureau de la chambre basse du Parlement congolais, dans des circonstances pour le moins théâtrales... Retour sur les faits.
Pour faire part aux députés de la volonté du procureur, ledit bureau convoque donc le 27 mars une plénière, mais à huis-clos. En clair : les propos tenus ne devaient pas sortir de l'hémicycle. D'entrée de jeu, Aubin Minaku, le président de la chambre, en appelle à la "responsabilité" de chaque député, avant de laisser la parole au rapporteur du bureau pour la lecture du réquisitoire du procureur général contre les trois élus, un de Boma (Adrien Phoba), un de Matadi (Fabrice Puela) et un autre de Kinshasa (Kovo Ingila).
Des "propos outrageants" envers Kabila
Grâce à l'enregistrement sonore que Jeune Afrique a pu se procurer, on y apprend entre autres que la "plainte" était déposée depuis juillet 2013 par le gouverneur du Bas-Congo, province située dans l'ouest de la RDC. Ce dernier accusait les trois députés mis en cause d'avoir tenu des "propos outrageants envers le chef de l'État" au cours de meetings populaires à Matadi.
Premier visé, Fabrice Puela, "le député le mieux élu de la province" du Bas-Congo (28 109 voix) lors de dernières législatives, qui aurait déclaré, le 27 juin "devant la foule", que "Joseph Kabila avait non seulement volé la victoire d'Étienne Tshisekedi (…), mais aussi s'emploie actuellement à violer certaines dispositions de la Constitution de la RDC (…), et ce dans le but inavoué de se pérenniser au pouvoir". L'accusation soutient également que les trois députés avaient affirmé qu'au lieu de donner du travail aux jeunes, "[Joseph Kabila] a par contre créé une cellule avec des fumeurs de chanvre et des alcooliques (…) et entretient des Kulunas à travers la république".
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Parlement de RDC | RDC : accusés d'"offenses" envers Kabila, trois députés échappent à la levée de leur immunité | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Mathilde
Re: KABILA NE PARTIRA PAS FACILEMENT! Une exclusivité RFI
Toute la verité sur le énième huis-clos du parlement fantoche de Kinshasa
l'enregistrement d'un huis clos tenu le 27 mars à l'Assemblée nationale de la RDC pendant lequel le bureau de la chambre basse a refusé la levée de l'immunité de trois députés. Ceux-ci sont accusés par le procureur général d'avoir affirmé que le président Joseph Kabila entretenait une "cellule de fumeurs de chanvre"
l'enregistrement d'un huis clos tenu le 27 mars à l'Assemblée nationale de la RDC pendant lequel le bureau de la chambre basse a refusé la levée de l'immunité de trois députés. Ceux-ci sont accusés par le procureur général d'avoir affirmé que le président Joseph Kabila entretenait une "cellule de fumeurs de chanvre"
Mathilde
Re: KABILA NE PARTIRA PAS FACILEMENT! Une exclusivité RFI
C'est des individus comme Bobshab qui entête kabila il est temps de commencer à les bastonner où leurs faire peur. Bazoba..
PPRD : «Conserver le pouvoir» pour quoi faire ?
"Joseph Kabila" lors de la promulgation de la Constitution.
« Joseph Kabila » et tous les flagorneurs et autres opportunistes qui gravitent autour de lui constituent plus que jamais un obstacle majeur à l’émergence d’une alternance démocratique. Leur «programme politique» semble se déclamer en six mots : Conserver le pouvoir à tout prix. Sans une résistance populaire ferme et résolue à barrer la route à cette oligarchie maffieuse, le peuple congolais n’aura à s’en prendre qu’à lui-même.
Décidés à préserver leurs privilèges acquis - sans la moindre contrepartie en guise de service rendu à la collectivité -, «Joseph» et sa bande refusent de regarder la réalité en face. A savoir que les Congolais sont fatigués d’être gouvernés par des incapables. Des pseudo-hommes d’Etat plus soucieux de leurs intérêts catégoriels que du bien commun.
A Mbandaka, les oligarques du parti kabiliste, le parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), ont dit en termes à peine voilée - par la bouche du secrétaire général de cette formation politique, Evariste Boshab - que «Joseph Kabila» doit briguer un troisième mandat présidentiel. «L’Etat, c’est eux », est-on tenté de dire.
Pour rester au pouvoir, «Joseph» et son clan sont prêts à enfreindre la volonté exprimée par le pouvoir constituant originaire – c’est-à-dire, le peuple souverain - lors du référendum organisé en 2005. Le premier alinéa de l’article 70 de la Constitution promulguée le 18 février 2006 est sans équivoque : «Le président de la république est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois». Le chef d’Etat actuel achève son second et dernier mandat.
Dans son discours prononcé le samedi 12 avril, le secrétaire général du PPRD a affirmé sans rire que «le PPRD respectera la Constitution et alors toute la Constitution». Des propos mielleux qui ne peuvent tromper que les naïfs.
Lors de son allocution prononcée le 23 octobre 2013, «Kabila» avait déjà annoncé sa volonté de tripatouiller la Loi fondamentale. N’avait-il pas «invité» les deux chambres du Parlement et le gouvernement «à mener une réflexion prospective» non seulement «sur le mode de scrutin proportionnel» mais aussi pour «organiser les élections provinciales au suffrage universel indirect» ? Prétexte invoqué : «minimiser le coût des opérations électorales».
Fraudeur impénitent à la Constitution, le «raïs» a pris la fâcheuse habitude de faire modifier celle-ci à chaque consultation politique majeure. Il y a eu le précédent de janvier 2011. Il compte pour ce faire sur ses hommes liges qui détiennent la «majorité» tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat.
Coalition d’hommes qui cherche à prendre le contrôle, par des moyens légaux, de l’appareil du pouvoir, tout parti politique doit avoir un discours. Un discours qui s’appuie naturellement sur un socle de valeurs.
Le PPRD s’est toujours réclamer du monde social-démocrate lequel a pour crédo quelques principes fondamentaux bien connus : l’Etat impartial, le respect de la vie et de la dignité de la personne humaine, la démocratie, l’égalité, la lutte contre la pauvreté, la tolérance et la solidarité.
En politique, le verbe ne suffit pas. Les gouvernants sont jugés sur leur action. leur capacité à réformer la société et à améliorer le quotidien de la population.
Qui oserait soutenir que l’Etat-PPRD travaille pour le bien-être de chacun et de tous?
Au chef-lieu de l’Equateur, Boshab a prétendu que la formation politique dont il est le secrétaire général a un «idéal principal» lequel, selon lui, consiste à
«façonner un nouveau type de citoyen pour lequel le patriotisme, la démocratie, la liberté, la justice, la solidarité, la prise en charge du peuple par lui-même, l’unité nationale, l’intégrité territoriale ainsi que la prospérité (…) ».
Le PPRD vient de célébrer le 12ème anniversaire de sa création. Quel en est le bilan ? Quelles sont les réformes qui ont été accomplies ?
En omettant sciemment de faire le bilan de l’Etat-PPRD, Evariste Boshab a reconnu implicitement l’échec au plan économique et social de son parti. Il a reconnu également l’impopularité ambiante de "l’initiateur" du PPRD. La réalité crève les yeux : le Congo-Kinshasa va mal. Le pays est malade de l’incurie de son personnel politique. L’actuel chef de l’Etat en tête.
Le PPRD voudrait conserver le pouvoir. Rien de plus normal, l’ambition étant légitime. Question : s’agit-il de conserver le pouvoir pour le pouvoir ou parce que cette formation politique et son "leader" ont un nouveau «rêve» à proposer aux Congolais ? Voilà un débat dérisoire au regard du premier alinéa de l’article 70 de la Constitution. Le peuple congolais doit s’en tenir.
Vivement l’alternance démocratique!
PPRD : «Conserver le pouvoir» pour quoi faire ?
"Joseph Kabila" lors de la promulgation de la Constitution.
« Joseph Kabila » et tous les flagorneurs et autres opportunistes qui gravitent autour de lui constituent plus que jamais un obstacle majeur à l’émergence d’une alternance démocratique. Leur «programme politique» semble se déclamer en six mots : Conserver le pouvoir à tout prix. Sans une résistance populaire ferme et résolue à barrer la route à cette oligarchie maffieuse, le peuple congolais n’aura à s’en prendre qu’à lui-même.
Décidés à préserver leurs privilèges acquis - sans la moindre contrepartie en guise de service rendu à la collectivité -, «Joseph» et sa bande refusent de regarder la réalité en face. A savoir que les Congolais sont fatigués d’être gouvernés par des incapables. Des pseudo-hommes d’Etat plus soucieux de leurs intérêts catégoriels que du bien commun.
A Mbandaka, les oligarques du parti kabiliste, le parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), ont dit en termes à peine voilée - par la bouche du secrétaire général de cette formation politique, Evariste Boshab - que «Joseph Kabila» doit briguer un troisième mandat présidentiel. «L’Etat, c’est eux », est-on tenté de dire.
Pour rester au pouvoir, «Joseph» et son clan sont prêts à enfreindre la volonté exprimée par le pouvoir constituant originaire – c’est-à-dire, le peuple souverain - lors du référendum organisé en 2005. Le premier alinéa de l’article 70 de la Constitution promulguée le 18 février 2006 est sans équivoque : «Le président de la république est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois». Le chef d’Etat actuel achève son second et dernier mandat.
Dans son discours prononcé le samedi 12 avril, le secrétaire général du PPRD a affirmé sans rire que «le PPRD respectera la Constitution et alors toute la Constitution». Des propos mielleux qui ne peuvent tromper que les naïfs.
Lors de son allocution prononcée le 23 octobre 2013, «Kabila» avait déjà annoncé sa volonté de tripatouiller la Loi fondamentale. N’avait-il pas «invité» les deux chambres du Parlement et le gouvernement «à mener une réflexion prospective» non seulement «sur le mode de scrutin proportionnel» mais aussi pour «organiser les élections provinciales au suffrage universel indirect» ? Prétexte invoqué : «minimiser le coût des opérations électorales».
Fraudeur impénitent à la Constitution, le «raïs» a pris la fâcheuse habitude de faire modifier celle-ci à chaque consultation politique majeure. Il y a eu le précédent de janvier 2011. Il compte pour ce faire sur ses hommes liges qui détiennent la «majorité» tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat.
Coalition d’hommes qui cherche à prendre le contrôle, par des moyens légaux, de l’appareil du pouvoir, tout parti politique doit avoir un discours. Un discours qui s’appuie naturellement sur un socle de valeurs.
Le PPRD s’est toujours réclamer du monde social-démocrate lequel a pour crédo quelques principes fondamentaux bien connus : l’Etat impartial, le respect de la vie et de la dignité de la personne humaine, la démocratie, l’égalité, la lutte contre la pauvreté, la tolérance et la solidarité.
En politique, le verbe ne suffit pas. Les gouvernants sont jugés sur leur action. leur capacité à réformer la société et à améliorer le quotidien de la population.
Qui oserait soutenir que l’Etat-PPRD travaille pour le bien-être de chacun et de tous?
Au chef-lieu de l’Equateur, Boshab a prétendu que la formation politique dont il est le secrétaire général a un «idéal principal» lequel, selon lui, consiste à
«façonner un nouveau type de citoyen pour lequel le patriotisme, la démocratie, la liberté, la justice, la solidarité, la prise en charge du peuple par lui-même, l’unité nationale, l’intégrité territoriale ainsi que la prospérité (…) ».
Le PPRD vient de célébrer le 12ème anniversaire de sa création. Quel en est le bilan ? Quelles sont les réformes qui ont été accomplies ?
En omettant sciemment de faire le bilan de l’Etat-PPRD, Evariste Boshab a reconnu implicitement l’échec au plan économique et social de son parti. Il a reconnu également l’impopularité ambiante de "l’initiateur" du PPRD. La réalité crève les yeux : le Congo-Kinshasa va mal. Le pays est malade de l’incurie de son personnel politique. L’actuel chef de l’Etat en tête.
Le PPRD voudrait conserver le pouvoir. Rien de plus normal, l’ambition étant légitime. Question : s’agit-il de conserver le pouvoir pour le pouvoir ou parce que cette formation politique et son "leader" ont un nouveau «rêve» à proposer aux Congolais ? Voilà un débat dérisoire au regard du premier alinéa de l’article 70 de la Constitution. Le peuple congolais doit s’en tenir.
Vivement l’alternance démocratique!
mongo elombe
Re: KABILA NE PARTIRA PAS FACILEMENT! Une exclusivité RFI
RDC: le parti au pouvoir se prononce pour un nouveau mandat de Kabila
République Démocratique du Congo République Démocratique du Congo
En RDC, le congrès du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) a pris fin à Mbandaka. Le parti présidentiel s'est prononcé en faveur des réformes constitutionnelles, celles qui devront permettre au président Joseph Kabila de conserver le pouvoir après 2016.
Le Congrès du PPRD s’est prononcé pour la conservation du pouvoir après 2016, donc après le deuxième et dernier mandat constitutionnel de Joseph Kabila.
Des stratégies ont été mises au point par des officines. Selon des témoignages recueillis par RFI, ces stratégies reposent sur des réformes constitutionnelles bien ciblées. Et pour obtenir une mobilisation autour de cette démarche, le parti présidentiel annonce qu’il fera de la RDC un pays émergent d’ici 2030.
→ A (RE)LIRE : Election en RDC: Kabila veut-il contourner le verrou constitutionnel ?
Reste cependant aux députés et sénateurs de la majorité de jouer leur partition, tout au long de l’actuelle session parlementaire qui prendra fin le 15 juin. Il n’est pas évident que tout le monde se mette au pas. La grogne observée actuellement dans les rangs du PPRD ne présage rien de bon. Certains cadres de ce parti sont manifestement en désaccord avec les méthodes de la direction.
Ces cadres déclarent défendre les valeurs démocratiques, et le désordre qui a caractérisé la fin des travaux du congrès n’est pas pour arranger les choses. Plus d’une trentaine de députés et sénateurs ont été abandonnés à Mbandaka, ils risquent de ne pas être présents aux travaux parlementaires de ce lundi.
http://www.rfi.fr/afrique/20140414-rdc-le-parti-pouvoir-prononce-nouveau-mandat-kabila/
République Démocratique du Congo République Démocratique du Congo
En RDC, le congrès du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) a pris fin à Mbandaka. Le parti présidentiel s'est prononcé en faveur des réformes constitutionnelles, celles qui devront permettre au président Joseph Kabila de conserver le pouvoir après 2016.
Le Congrès du PPRD s’est prononcé pour la conservation du pouvoir après 2016, donc après le deuxième et dernier mandat constitutionnel de Joseph Kabila.
Des stratégies ont été mises au point par des officines. Selon des témoignages recueillis par RFI, ces stratégies reposent sur des réformes constitutionnelles bien ciblées. Et pour obtenir une mobilisation autour de cette démarche, le parti présidentiel annonce qu’il fera de la RDC un pays émergent d’ici 2030.
→ A (RE)LIRE : Election en RDC: Kabila veut-il contourner le verrou constitutionnel ?
Reste cependant aux députés et sénateurs de la majorité de jouer leur partition, tout au long de l’actuelle session parlementaire qui prendra fin le 15 juin. Il n’est pas évident que tout le monde se mette au pas. La grogne observée actuellement dans les rangs du PPRD ne présage rien de bon. Certains cadres de ce parti sont manifestement en désaccord avec les méthodes de la direction.
Ces cadres déclarent défendre les valeurs démocratiques, et le désordre qui a caractérisé la fin des travaux du congrès n’est pas pour arranger les choses. Plus d’une trentaine de députés et sénateurs ont été abandonnés à Mbandaka, ils risquent de ne pas être présents aux travaux parlementaires de ce lundi.
http://www.rfi.fr/afrique/20140414-rdc-le-parti-pouvoir-prononce-nouveau-mandat-kabila/
Mathilde
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