RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières et meurtres extra-judiciares de jeunes à l’occasion de l’opération Likofi ET par la suite HUMAN RIGHT WATCH DENONCE LES CRIMES DE KANYAMA ET L’HORREUR DES BRUTALITES POLICIERES A KINSHASA
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Re: RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières et meurtres extra-judiciares de jeunes à l’occasion de l’opération Likofi ET par la suite HUMAN RIGHT WATCH DENONCE LES CRIMES DE KANYAMA ET L’HORREUR DES BRUTALITES POLICIERES A KINSHASA
LES « APOLOGISTES » DES AUTEURS DES MASSACRES DE JEUNES AU COURS DE L’OPERATION LIKOFI CONFONDUS PAR LA SOCIETE CIVILE CONGOLAISE ET LES FAMILLES DES VICTIMES
LES AMIS DE NELSON MANDELA – LAMBERT MENDE ET RICHARD MUYEJ CONFONDUS
article de Matthieu Kepa
Les amis de Nelson Mandela ont au cours d’une c..onférence de presse, tenue le mercredi 26 novembre 2014 à son siège dans la commune de Kalamu.
L’ONG a étalé ce qu’elle appelle « les mensonges » de Lambert Mende et Richard Muyej, respectivement ministres des Medias et de l’Intérieur sur les deux rapports, publiés par les organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme.
Avec des photos à l’appui, les Amis de Nelson Mandela ont brandi les mêmes photos que ces deux ministres ont exposées au cours de leurs conférences de presse respectives. Dans lesquelles, ils ont présenté les deux jeunes hommes kuluna comme étant vivants et incarcérés dans la prison centrale de Makala.
Une façon de dénuder le dernier rapport de l’ONG américaine Human Rights Watch qui, dans son dernier rapport avait présenté ces deux kulunas comme étant disparus pendant les deux opérations Likofi qu’a dirigé le général Célestin Kanyama. Une trentaine des parents dont les enfants ont été passés pour des kulunas par les deux ministres ont saisi cette ONG pour dénoncer ces faits. Ces parents sont été présents dans cette conférence qu’a organisée l’ONG Nelson Mandela.
Parmi eux, la mère de Glody que Lambert Mende a présenté au cours d’une intervention devant les médias comme étant en prison. Cette dame inconsolable, dénonce que son enfant n’est pas kuluna et n’a jamais commis des crimes.
Par ailleurs, le père Trésor Bolaluembe, un des enfants présentés également comme Kuluna, se dit être écœuré de voir que les autorités du gouvernement se donne le luxe de mentir sans gêne devant les médias.
Pour les parents du jeune Pathy Bokako, c’est depuis une année que leur enfant est porté disparu après avoir été enlevé par les éléments de la police.
Les familles de ces victimes condamnent ouvertement l’attitude de ces ministres qui se sont arrogés impunément le droit de faire ces montages pour duper l’opinion nationale et internationale sur les exécutions extra judiciaires de cette opération.
Selon Robert Ilunga, la présentation de ces deux photos est une mascarade du gouvernement qui cherche à soigner son image sur le principe de respect des droits de l’homme. Ces deux kulunas, d’après Mende et Muyej étaient cités à tort et d’une manière précipitée dans ces deux rapports. Pour ces membres du gouvernement, ces jeunes ont disparu lors de l’opération dite likofi.
Robert Ilunga se dit prêt à diffuser les preuves en images et en son des parents des victimes, lesquelles preuves ont été obtenues d’après lui, de manière objective. Cependant, Ilunga est certain que le gouvernement va chercher à museler les parents de ces victimes comme d’habitude.
Le Directeur exécutif des Amis de Nelson Mandela promet d’ailleurs, une déclaration commune des parents de ces victimes encore en préparation.
L’ONG confie avoir déjà saisi le Procureur général de la République sur cette affaire.
L’ONG souhaite la suspension de leurs fonctions, l’Inspecteur Provincial de la police de la ville de Kinshasa, le Général Célestin Kanyama et le Général Sengelwa afin de permettre que les enquêtes sur ces exactions se passent sans interférence ni pression.
Par ailleurs, l’ONG les Amis de Nelson Mandela a pris soin de transmettre copies pour information au chef de l’Etat, au Premier Ministre, au Ministre de l’intérieur, le Ministre de la Justice et plusieurs autres autorités politico-militaires de l’Etat.
Par ailleurs, l’ONG les Amis de Nelson Mandela a pris soin de transmettre copies pour information au chef de l’Etat, au Premier Ministre, au Ministre de l’intérieur, le Ministre de la Justice et plusieurs autres autorités politico-militaires de l’Etat.
Pire, Ilunga annonce que la corporation des ONG des droits de l’homme ont saisi la CPI pour information sur les exactions commises lors de cette opération.
Robert Ilunga. http://democratiechretienne.org/2014/12/02/les-apologistes-des-auteurs-des-massacres-de-jeunes-au-cours-de-loperation-likofi-confondus-par-la-societe-civile-congolaise-et-les-familles-des-victimes/
KOTA
Re: RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières et meurtres extra-judiciares de jeunes à l’occasion de l’opération Likofi ET par la suite HUMAN RIGHT WATCH DENONCE LES CRIMES DE KANYAMA ET L’HORREUR DES BRUTALITES POLICIERES A KINSHASA
"RDC: l'Union européenne maintient son aide à la réforme de la police
(AFP 03/12/14)
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-lunion-europeenne-maintient-son-aide-la-reforme-de-la-police#sthash.e35Tlunb.dpuf
L'Union européenne a annoncé mercredi qu'elle maintenait son aide à la réforme de la police en République démocratique du Congo (RDC), en dépit des graves bavures ayant terni l'action des forces de l'ordre à Kinshasa.
"L'Union européenne maintient sa coopération destinée à favoriser la mise en place d'une police républicaine, professionnelle et (...) respectueuse des droits de l'Homme", a déclaré l'ambassadeur de l'UE en RDC, Jean-Michel Dumond, lors d'une conférence de presse à Kinshasa.
L'UE, a-t-il justifié, ne soutient "aucune formation qui ait des répercussions en particulier en matière de maintien de l'ordre". L'aide européenne à la réforme de la police congolaise (11 millions d'euros pour 2010-2016) est tournée notamment vers des projets de construction de bâtiments et de formation des policiers à l'entretien et à la gestion de ces structures.
Selon un rapport de l'ONU publié en octobre, au moins 41 personnes ont été tuées ou ont disparu du fait de l'action de policiers lors de l'opération Likofi ("Coup de poing" en lingala), grand coup de filet contre la délinquance armée mené à Kinshasa de novembre 2013 à février 2014.
En réponse à ce rapport, le gouvernement congolais a expulsé le chef du bureau des droits de l’Homme de l'ONU à Kinshasa, Scott Campbell.
Le mois suivant, l'ONG américaine Human Rights Watch chiffrait le bilan des violences policières de Likofi à plus de 80 morts et disparus. Kinshasa a alors crié au "lynchage médiatique" avant de faire part de la volonté des autorités de continuer d'enquêter pour s'assurer qu'aucune bavure policière commise pendant l'opération ne soit restée impunie.
L'UE s'attend à ce que l'enquête soit menée avec "diligence" et que les policiers coupables soient punis "quel que soit" leur rang, a dit M. Dumond.
La France, elle, maintient la quasi-totalité de ses programmes d'aide à la police. "La seule action que nous avons prise immédiatement (...) est de reporter l'opération de formation de la (police antiémeutes), qui était programmée pour cette semaine", a déclaré à la presse Luc Hallade, son ambassadeur à Kinshasa, à propos d'une instruction que devaient dispenser des CRS à une trentaine de personnes.
Selon une source proche du dossier, cette décision a été prise du fait de "l'absence de réponse satisfaisante du gouvernement congolais au rapport de l'ONU sur l'opération Likofi"."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières et meurtres extra-judiciares de jeunes à l’occasion de l’opération Likofi ET par la suite HUMAN RIGHT WATCH DENONCE LES CRIMES DE KANYAMA ET L’HORREUR DES BRUTALITES POLICIERES A KINSHASA
RDC: LES AMBIGUITE DE L’AIDE EUROPEENNE A LA POLICE CONGOLAISE
par FreeDiomi le 7 décembre 2014
07 déc 2014
ACAT, congo, Kanyama, Likofi, police congolaise, RDC
par Christophe RIGAUD
Deux rapports accablants avaient épinglé les méthodes expéditives de la police congolaise durant l’opération anti-délinquance « Likofi » à Kinshasa entre novembre 2013 et février 2014. Le premier rapport, publié en octobre par l’ONU, avaient recensé au moins 41 tués ou disparus pendant la lutte anti-gangs dans la capitale congolaise. Exécutions sommaires, disparitions forcées, tabassages en règle… la liste des bavures policières révélée par les Nations unies avaient jeté le trouble à Kinshasa. Les autorités congolaises avaient dénoncé une enquête « partiale », et fini par expulser le représentant du bureau des droits de l’Homme de l’ONU, Scott Campbell. En novembre, un second rapport très documenté d’Human Rights Watch (HRW), amplifiait le premier rapport de l’ONU, en dénombrant au moins 80 morts et disparus – voir notre article. Le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej, était alors monté au créneau et avait dénoncé un « lynchage médiatique » et « un chantage éhonté contre le gouvernement », promettant toutefois « qu’aucun crime ne resterait impuni ».
11 millions d’euros sur 5 ans
Dans ce contexte polémique, l’Union européenne (UE) a annoncé la semaine dernière qu’elle maintenait son aide financière à la réforme la police congolaise (PNC). Et ce, malgré les graves exactions de l’opération Likofi. Dans un communiqué, Jean-Michel Dumond, l’ambassadeur de l’UE en RDC, a déclaré vouloir « soutenir les efforts de réforme des forces armées, des services de police et de la justice au travers de ses divers programmes ». L’objectif étant pour l’Union européenne de « mettre sur pied des forces de sécurité républicaines, professionnelles, respectueuses des droits de l’Homme et à éviter à l’avenir les dérapages et les comportements fautifs qui ont pu être déplorés ». Une aide de 11 millions d’euros (entre 2010 et 2015) qui ne semble pas être conditionnée.
« Répression politique » ?
La police congolaise n’en est pas à ses premiers dérapages. Sans remonter bien loin, on se souvient que pendant les élections chaotiques de 2011, la Légion nationale d’intervention (LENI) et le Groupe mobile d’intervention (GMI) sont à l’origine de nombreuses violations des droits de l’homme. Entre le 26 novembre et le 25 décembre 2011, au moins 33 personnes ont été tuées, dont 22 par balles, et 83 ont été blessées. Des faits documentés dans un rapport des Nations unies. Pour Clément Boursin, responsable des programmes Afrique à l’ACAT (Action des Chrétiens pour l’abolition de la torture), « la LENI et le GMI sont des organes sécuritaires qui sont régulièrement utilisés par la présidence de la République pour des opérations de répression politique ».
Pour un « gel de la coopération »
L’Union européenne est-elle assez exigeante sur l’utilisation de ses aides financières ? Visiblement non pour l’ACAT, qui fait remarquer que « l’expulsion abusive du chef du BCNUDH, Scott Campbell, auraient dû au moins geler temporairement la coopération de l’UE et de la France à l’égard de la police congolaise ». Autre requête de Clément Boursin : « la destitution du chef de la police, Célestin Kanyama, afin de permettre à la justice d’entreprendre une enquête véritablement impartiale et indépendante sur les allégations de violations graves des droits de l’homme commises durant l’opération Likofi ». Comme par le passé avec John Numbi, impliqué dans l’affaire Chebeya et écarté de son poste par Joseph Kabila, Célestin Kanyama semble avoir remplacé Numbi comme l’homme de main du président congolais au sein de la police congolaise.
« Non à la coopération avec la LENI et le GMI »
Pour justifier le maintient de son aide à la réforme de la police, l’UE explique « qu’aucune formation qui ait des répercussions en particulier en matière de maintien de l’ordre » n’est financée directement par l’Union. L’Europe n’interviendrait que « sur des projets de construction de bâtiments et de formation des policiers à l’entretien et à la gestion de ces structures ». Selon l’AFP, la France maintient elle aussi son aide à la PNC, mais a décidé de « reporter l’opération de formation de la police anti-émeutes, qui était programmée pour cette semaine » selon Luc Hallade, l’ambassadeur de France à Kinshasa. Le problème, selon Clément Boursin de l’ACCAT, c’est que « l’UE et la France n’ont reçu aucune assurance des autorités congolaises en termes de justice pour les familles de victimes et de punition des auteurs de crimes ». Pour autant, l’ACAT se déclare favorable « à une aide à la réforme de la PNC en termes de formation : aux droits de l’homme, aux techniques d’enquête des OPJ, à la création d’une police des polices… », mais dit non à la coopération avec la LENI et le GMI, « car il s’agit de polices politiques au service de la présidence de la République ». En attendant, il est urgent pour cette ONG « que la vérité sur l’opération Likofi soit établie par la justice civile afin de comprendre comment de telles dérives ont pu se produire et d’éviter leur répétition ». Pour l’heure, Kinshasa n’a toujours pas rendu public son enquête.
Christophe RIGAUD – Afrikarabia http://linkis.com/afrikarabia.com/word/RG8G0
Dans "congo"
[img(216.8px,126.80000000000001px)]http://i1.wp.com/www.digitalcongo.net/dc_video/85895.jpg?zoom=1.5&resize=350%2C200[/img]
Dans "Congo Kinshasa"
[img(349.79999999999995px,199.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/11/likofi201114.png?w=350&h=200&crop=1[/img]
Dans "congo"
par FreeDiomi le 7 décembre 2014
RDC: LES AMBIGUITE DE L’AIDE EUROPEENNE A LA POLICE CONGOLAISE
07 déc 2014
ACAT, congo, Kanyama, Likofi, police congolaise, RDC
par Christophe RIGAUD
[img(615.8px,330.79999999999995px)]http://afrikarabia.com/wordpress/wp-content/uploads/2014/12/Opération-Likofi-2013-2.jpg[/img]L’Union européenne (UE) et la France ont annoncé la maintient de leur aide à la réforme de police en pleine polémique sur les bavures de l’opération « Likofi ». Pour Clément Boursin de l’ACAT, « un gel de la coopération » aurait été préférable.
Deux rapports accablants avaient épinglé les méthodes expéditives de la police congolaise durant l’opération anti-délinquance « Likofi » à Kinshasa entre novembre 2013 et février 2014. Le premier rapport, publié en octobre par l’ONU, avaient recensé au moins 41 tués ou disparus pendant la lutte anti-gangs dans la capitale congolaise. Exécutions sommaires, disparitions forcées, tabassages en règle… la liste des bavures policières révélée par les Nations unies avaient jeté le trouble à Kinshasa. Les autorités congolaises avaient dénoncé une enquête « partiale », et fini par expulser le représentant du bureau des droits de l’Homme de l’ONU, Scott Campbell. En novembre, un second rapport très documenté d’Human Rights Watch (HRW), amplifiait le premier rapport de l’ONU, en dénombrant au moins 80 morts et disparus – voir notre article. Le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej, était alors monté au créneau et avait dénoncé un « lynchage médiatique » et « un chantage éhonté contre le gouvernement », promettant toutefois « qu’aucun crime ne resterait impuni ».
11 millions d’euros sur 5 ans
Dans ce contexte polémique, l’Union européenne (UE) a annoncé la semaine dernière qu’elle maintenait son aide financière à la réforme la police congolaise (PNC). Et ce, malgré les graves exactions de l’opération Likofi. Dans un communiqué, Jean-Michel Dumond, l’ambassadeur de l’UE en RDC, a déclaré vouloir « soutenir les efforts de réforme des forces armées, des services de police et de la justice au travers de ses divers programmes ». L’objectif étant pour l’Union européenne de « mettre sur pied des forces de sécurité républicaines, professionnelles, respectueuses des droits de l’Homme et à éviter à l’avenir les dérapages et les comportements fautifs qui ont pu être déplorés ». Une aide de 11 millions d’euros (entre 2010 et 2015) qui ne semble pas être conditionnée.
« Répression politique » ?
La police congolaise n’en est pas à ses premiers dérapages. Sans remonter bien loin, on se souvient que pendant les élections chaotiques de 2011, la Légion nationale d’intervention (LENI) et le Groupe mobile d’intervention (GMI) sont à l’origine de nombreuses violations des droits de l’homme. Entre le 26 novembre et le 25 décembre 2011, au moins 33 personnes ont été tuées, dont 22 par balles, et 83 ont été blessées. Des faits documentés dans un rapport des Nations unies. Pour Clément Boursin, responsable des programmes Afrique à l’ACAT (Action des Chrétiens pour l’abolition de la torture), « la LENI et le GMI sont des organes sécuritaires qui sont régulièrement utilisés par la présidence de la République pour des opérations de répression politique ».
Pour un « gel de la coopération »
L’Union européenne est-elle assez exigeante sur l’utilisation de ses aides financières ? Visiblement non pour l’ACAT, qui fait remarquer que « l’expulsion abusive du chef du BCNUDH, Scott Campbell, auraient dû au moins geler temporairement la coopération de l’UE et de la France à l’égard de la police congolaise ». Autre requête de Clément Boursin : « la destitution du chef de la police, Célestin Kanyama, afin de permettre à la justice d’entreprendre une enquête véritablement impartiale et indépendante sur les allégations de violations graves des droits de l’homme commises durant l’opération Likofi ». Comme par le passé avec John Numbi, impliqué dans l’affaire Chebeya et écarté de son poste par Joseph Kabila, Célestin Kanyama semble avoir remplacé Numbi comme l’homme de main du président congolais au sein de la police congolaise.
« Non à la coopération avec la LENI et le GMI »
Pour justifier le maintient de son aide à la réforme de la police, l’UE explique « qu’aucune formation qui ait des répercussions en particulier en matière de maintien de l’ordre » n’est financée directement par l’Union. L’Europe n’interviendrait que « sur des projets de construction de bâtiments et de formation des policiers à l’entretien et à la gestion de ces structures ». Selon l’AFP, la France maintient elle aussi son aide à la PNC, mais a décidé de « reporter l’opération de formation de la police anti-émeutes, qui était programmée pour cette semaine » selon Luc Hallade, l’ambassadeur de France à Kinshasa. Le problème, selon Clément Boursin de l’ACCAT, c’est que « l’UE et la France n’ont reçu aucune assurance des autorités congolaises en termes de justice pour les familles de victimes et de punition des auteurs de crimes ». Pour autant, l’ACAT se déclare favorable « à une aide à la réforme de la PNC en termes de formation : aux droits de l’homme, aux techniques d’enquête des OPJ, à la création d’une police des polices… », mais dit non à la coopération avec la LENI et le GMI, « car il s’agit de polices politiques au service de la présidence de la République ». En attendant, il est urgent pour cette ONG « que la vérité sur l’opération Likofi soit établie par la justice civile afin de comprendre comment de telles dérives ont pu se produire et d’éviter leur répétition ». Pour l’heure, Kinshasa n’a toujours pas rendu public son enquête.
Christophe RIGAUD – Afrikarabia http://linkis.com/afrikarabia.com/word/RG8G0
http://democratiechretienne.org/2014/12/07/rdc-les-ambiguite-de-laide-europeenne-a-la-police-congolaise/
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KOTA
Re: RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières et meurtres extra-judiciares de jeunes à l’occasion de l’opération Likofi ET par la suite HUMAN RIGHT WATCH DENONCE LES CRIMES DE KANYAMA ET L’HORREUR DES BRUTALITES POLICIERES A KINSHASA
Les mensonges du de l’ancien Richard MUYEJ sur Likofi démasqués: Déclaration conjointe de 213 Organisations Non Gouvernementales de défense des Droits de l’Homme
par FreeDiomi le 10 décembre 2014
par FreeDiomi le 10 décembre 2014
Déclaration conjointe de 213 Organisations Non Gouvernementales de défense des Droits de l’Homme
10 Décembre 2014
République Démocratique du Congo
Les ONGDH de la RDC disent NON à une campagne d’intoxication et d’intimidation
Déclaration conjointe de 213 Organisations Non Gouvernementales de défense des Droits de l’Homme
Mardi 09 décembre 2014
Nous, membres de 213 Organisations des droits humains de la République Démocratique du Congo, signataires de cette déclaration, sommes préoccupés et effrayés par la campagne de stigmatisation et d’intoxication dont font l’objet les Organisations Non Gouvernementales de défense des Droits de l’Homme (ONGDH) par les Membres du Gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC) depuis la publication des Rapports du Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits Humains (BCNUDH/MONUSCO), de Human Rights Watch (HRW) et des Amis de Nelson MANDELA pour la Défense des Droits Humains (ANMDH) sur les violations des droits humains commis par les policiers congolais pendant l’Opération Likofi de novembre 2013 à février 2014 à Kinshasa.
Comme tout congolais et congolaise, nous, les Défenseurs des droits humains, sommes toujours opposés à toute sorte d’actes criminels commis dans la ville de Kinshasa et sur l’ensemble de RD Congo par des gangs, les KULUNA, les groupes armés, et les membres des structures de l’Etat, entre autres : les policiers et les militaires. Avec la population de Kinshasa, nous avons salué l’engagement du gouvernement congolais à combattre « le phénomène Kuluna » par le lancement de « l’Opération Likofi ». Dans son discours à la nation en octobre 2013, le Chef de l’Etat congolais, le Président Joseph KABILA KABANGE, a déclaré que « toutes les voies de droit doivent être utilisées par la police et la justice » pour mettre fin à la nouvelle forme de criminalité dans les zones urbaines qui a créé « la psychose » au sein de la population. Ce discours a plus réconforté ceux qui militent pour le respect des lois et des Droits de l’Homme. Espérant soutenir une action noble, nous avons été déçus de la manière souvent illégale et brutale dont « l’opération Likofi » était exécutée à Kinshasa entre le 15 novembre 2013 et le 15 février 2014. Un grand nombre des jeunes hommes et garçons – y compris plusieurs innocents qui n’avaient rien à voir avec les Kuluna – étaient exécutés sommairement devant leurs maisons, parfois en présence des membres de leurs familles, de leurs amis ou de leurs voisins. D’autres étaient amenés par la police vers des destinations inconnues.
Les autorités de la RDC n’arrivent pas à indiquer où étaient amenés ces jeunes recherchés jusqu’à aujourd’hui par les membres de leurs familles, leurs proches, ainsi que par les Défenseurs des droits de l’Homme. Il était visible et connu de tous les habitants de Kinshasa que les policiers qui ont participé à l’Opération Likofi, commandée par les Généraux Céléstin KANYAMA et Ngoy SENGELWA, étaient cagoulés et agissaient sans présenter un mandat d’arrêt ni faire des enquêtes préliminaires objectives avant d’agir (cas des victimes présentées dans les rapports documentés par ANMDH, le BCNUDH/MONUSCO et HRW). Les victimes tuées ne
présentaient pas une menace physique pour justifier l’utilisation de la force létale par les policiers. Les jeunes étaient pris et amenés bonnement. Plusieurs familles des victimes ont porté plainte auprès des instances judiciaires compétentes de la RDC et n’ont jamais été assistées par les autorités pour leur éclairer sur le sort de leurs enfants (pour ceux dont les enfants ont été amenés vivants) ou sur l’endroit où les corps de leurs enfants ont été enterrés (pour ceux qui ont été tués). Quelques familles, ainsi que des journalistes et des magistrats qui voulaient enquêter ou publier des informations sur les tueries et disparitions pendant l’Opération Likofi, étaient menacés par des autorités gouvernementales, et ils ont reçu l’ordre de garder silence sur ce
dossier. Toutes ces allégations sont bien documentées dans les rapports du BCNUDH, HRW et ANMDH.
D’un côté, nous soutenons la déclaration du Ministre de l’Intérieur, Richard MUYEJ MANGEZ MANS, faite lors de sa conférence de presse du 19 novembre 2014, précisant l’engagement du gouvernement congolais d’enquêter sur les allégations et de traduire les responsables des exactions en justice. De l’autre côté, nous déplorons la manière dont certaines autorités de la RDC minimisent les actes criminels commis par les policiers en cherchant par contre, à décrédibiliser les rapports sur l’Opération Likofi et les organisations qui les ont publiés. Si les autorités de la RDC étaient contre les comportements dénoncés dans le rapport du BCNUDH, elles devraient immédiatement, avec le concours d’autres acteurs indépendants, diligenter une enquête avant que la décision d’expulsion de Monsieur Scott Campbell soit prise dans la précipitation. En plus, le rapport de HRW sur l’Opération Likofi ne devrait plus énerver le Ministre de l’Intérieur en parlant des « preuves confectionnés » dans le rapport de l’ONG internationale de droits humains.
Le Ministre de l’intérieur avec le soutien de son collègue de médias ont présenté successivement deux individus dont ils ont affirmé qu’il s’agissait de personnes figurant sur deux photographies publiées dans le rapport des ONGDH, l’une d’elles étant identifiée comme ayant été tuée lors de l’Opération Likofi, et la seconde comme ayant été victime d’une disparition forcée. Un troisième dont la photo était publié dans les rapports des ONGDH en tant que victime d’une autre disparition forcée, selon les Ministres, « il avait déjà comparu devant un tribunal, jugé et remis en liberté ». Cet individu n’était pas présent lors de la conférence de presse. Les noms de ces trois individus ont été fournis aux journalistes. En comparant les propos et les démonstrations des ministres du Gouvernement de la RDC, l’on a déniché que les trois personnes présentées et citées étaient complètement différentes par rapport aux cas des victimes documentés dans le rapport de HRW, ainsi que par d’autres ONGDH congolaises.
Les familles de vraies victimes qui ont fourni les photos de leurs enfants tués et disparus ont aussi confirmé que les personnes présentées par les Ministres n’étaient pas leurs enfants, et ils sont même parvenus à le témoigner devant la presse le 26 novembre 2014 à Kinshasa. Ce démenti a laissé tous les congolais perplexes sans que les autorités gouvernementales se sentent gênés. Pour les familles qui ont déjà trop souffert, plus d’une année depuis le décès ou les disparitions de leurs enfants, elles ont été choquées et frustrées des différentes réactions des membres du gouvernement de la RDC. Notre indignation, c’est encore la campagne d’intoxication que mènent certaines autorités congolaises pour essayer de montrer que les organisations comme HRW, BCNUDH et les ONGDH congolaises « soutiennent », « défendent » les Kuluna et sont « contre » le gouvernement, les forces de défense et de sécurité congolaises. Le seul objectif poursuivis par les Défenseurs des Droits humains congolais est de
promouvoir le respect de droits humains en RD Congo. Nous soutenons à 100% l’engagement du gouvernement congolais à combattre le phénomène Kuluna avec tous les moyens légaux. Mais, on ne doit pas s’attaquer aux crimes en commentant d’autres crimes. En tant qu’organe national chargé de la sécurité publique, de la sécurité des personnes et de leurs biens, la Police a la première responsabilité de respecter les lois de la république ainsi que les lois internationales.
Ainsi, nous appelons les autorités congolaises à :
Diligenter des enquêtes crédibles et transparentes sur les cas des tueries et des disparitions forcées commis par les policiers à Kinshasa lors de l’Opération Likofi, et assurer que les responsables – y compris les commanditaires – soient arrêtés et traduit en justice dans les meilleurs délais ; Fournir des informations aux familles des victimes sur les lieux où se trouveraient leurs enfants portés disparus et indiquer les endroits où leurs enfants
tués ont été enterrés ;
Assurer que les ONG des droits humains congolaises et internationales, ainsi que le BCNUDH, puissent continuer leur travail, documenter et dénoncer les violations de droits humains en RD Congo sans menace ni interférence des autorités gouvernementales.
Considérer les rapports du BCNUDH, de HRW et des ONGDH congolaises comme des renseignements afin d’aider l’Etat à sanctionner les coupables et prendre des mesures appropriées pour que pareils cas ne reviennent.
Signée par les 213 ONG des droits humains congolaises suivantes :
1. Action Chrétienne pour l’Abolition de la Torture (ACAT)
2. Action Chrétienne pour les Droits de l’Homme (ACDHO)
3. Action Contre l’impunité et Droits de l’homme (ACIDH)
4. Action d’Aide aux Survivants de la Torture (AAST/Relève)
5. Action et Réalisation pour le Développement (ARED)
6. Action Globale pour la Promotion Sociale et la Paix (AGPSP)
7. Action Humanitaire pour le Développement Intégré (AHDI)
8. Action pour l’Encadrement et la Protection des Enfants (APEE)
9. Action pour la Défense des Droits des Femmes et Des enfants (APPEDDFE)
10. Action pour la Paix et la Démocratie (APD)
11. Action pour la protection de la femme et de l’enfant (APDF)
12. Action pour la Protection des Droits de l’Enfant (APDE)
13. Action pour le Développement des Enfants en Détresse (ADED)
14. Action pur l’Environnement et la Paix (AEP)
15. Action Santé Femme (ASAF)
16. Actions Humanitaires Justices pour les Victimes (AHJV)
17. Agir pour les Elections Transparentes et Apaisées (AETA)
18. Aki za Binadamu Maniema (HBM)Page | 4
19. Amis des Personnes en Détresse (APEDE)
20. Arche d’Alliance (AA)
21. Association « Uvira Propre » (ACODI)
22. Association Africaine des Droits de l’Homme (ASADHO/Beni)
23. Association congolaise de droit de l’homme (ACDHO)
24. Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ)
25. Association de Femme Chrétiennes (AFEC)
26. Association de Femme pour le Développement (AFD)
27. Association de Promotion et d’Appui aux Initiatives Locales de Développement
(APAILD)
28. Association des Femmes Avocates (ALFA)
29. Association des Femmes Juristes Congolaises (AFEJUCO)
30. Association des Femmes Juristes de Kisangani (AFJ/ KIS)
31. Association des jeunes pour la Défense des droits de l’Enfants et la lutte contre le
Racisme et la Haine (AJERH)
32. Association des Médiateurs des Conflits sociaux et Electoraux (AMECOS)
33. Association des Sœurs Notre Dame de la Visitation (ASNDV)
34. Association Internationale de Défense des Droits de l’Homme (AIDDH)
35. Association pour la Protection et des Droits de la Femme (APDFE)
36. Association pour l’universalité des droits fondamentaux (AUDF)
37. Association pour la Justice et le Soutien aux personnes Opprimées et Vulnérables
(AJSOV)
38. Association pour la Protection des Personnes Albinos (APRODEPA)
39. Association pour le Développement des Initiatives Paysannes (ASSODIP)
40. Avocats de Droits de l’Homme (ADH)
41. Blessed Aid (BA)
42. Brigade des Jeunes pour la Paix et la Développement (BJPD)
43. Bureau d’Etude et d’Accompagnement des Relations internationales en
(RDC/BEARIC)
44. Cadre pour le Développement Intégral (CADI)
45. Caritas Justice et Paix (CJP)
46. Carrefour des Femmes et familles (CAFEFA)
47. Carrefour Juridique Culturel (CAJUC)
48. Centre Ba Mamu Tabulukayi (CBMT)
49. Centre d’Accueil pour le Développement Intégral (CADI)
50. Centre d’Appui à la Garantie participative et au Développement du Congo (CAGDCO)
51. Centre d’Education et de Recherche pour les Droits des Femmes (CERDEF)
52. Centre d’Observation des Droits de l’Homme et d’Assistance Sociale (CODHAS)
53. Centre de Formation Populaire pour les Droits de L’Homme (CEFOP/DH)
54. Centre de Promotion Socio- Sanitaire (CEPROSSAN)
55. Centre de Recherche sur l’Environnement, la Démocratie et les Droits de l’Homme
(CREDDHO)
56. Centre de Réflexion pour la Paix et la Justice(CRPJ)
57. Centre des Droits de l’homme et de Droit Humanitaire
58. Centre féminin de Formation et d’information pour le Développement (CEFIDE)
59. Centre National d’Appui au Développement et à la Participation citoyenne
(CENADEP)
60. Centre pour la Documentation et Analyse de la Femme (CEDAF)
61. Centre pour la Justice et la Reconstruction (CJR)
62. Centre pour la Promotion Sociale et Communautaire (CEPROSOC)
63. Centre pour le Droit de l’Homme (CDH)Page | 5
64. Centre Résolution Conflits (CRC)
65. Cercle des Femmes Juriste du Kasaï occidental (CEFEJUKO)
66. Cercle National de Réflexion sur la Jeunesse (CNRJ RDC)
67. Chaine de Solidarité Agissante Eglise du Christ au Congo (CS A ECC)
68. Child Right (CR)
69. Club des Journalistes Amis de la Croix Rouge (CJACR)
70. Coalition des Volontaires pour la Paix et le Développement (CVPD)
71. Coalition Nationale pour l’Education Pour Tous/ Equateur (CONEPT/EQ)
72. Collectif des Femmes (CF)
73. Collectif des Femmes de l’Equateur (COLFEQ)
74. Collectif des Femmes Journalistes (CFJ)
75. Collectif des Femmes Rurales pour le Développement (COFERD)
76. Collectif des Organisations des Jeunes Solidaires du Congo-Kinshasa (COJESKI)
77. Comité de Droit Humanitaire (CDH)
78. Comité de Lutte Anti Tracasseries (CLAT)
79. Comité de Transformation pour les Eglises (COCET)
80. Comité des Jeunes pour la Sensibilisation civique et Electoraux (CJSE)
81. Commission Diocésaine Justice et Paix(CDJP)
82. Communauté des Amis de la Nature et de la Culture (CANACU)
83. Communicateurs pour la Promotion Protection et Défense des droits de l’homme
(COPPRODDHO)
84. Congo en Image (CIM)
85. Conseil Régional des ONG pour le Développement (CRONGD)
86. Convention pour le Développement et la Protection des Peuples Autochtones
Pygmées Batswa (CPDA)
87. Convention Pour le Respect des Droits de l’Homme (CRDH)
88. Détective Expert pour les Droits au Quotidiens (DEDQ)
89. Dignité de l’homme cultivateur sur la terre
90. Droits et Vie pour Tous (DVT)
91. Dynamique des Femmes Juristes (DFJ)
92. Dynamique pour la protection des Femmes et de l’Enfant en Milieu Rural (DYFEMIR)
93. Eglise Kimbanguiste (EJCSK)
94. Ensemble pour la Promotion de la Femme et Enfant (EPF)
95. Fédération des Coopératives des Pêcheurs de l’Equateur (FECOPE)
96. Fédération des Droits de l’Homme (FDH)
97. Femme et Enfant en Détresse (SOSFED)
98. Femme qui En Soulève une Autre (FESA)
99. Femmes Actives pour le Développement (FAD)
100. Femmes de Médias (FM)
101. Femmes en Action pour le Développement intégré du Congo (FADIC)
102. Femmes Journalistes Unies pour la Paix et Démocratie en R D Congo (FJUPD)
103. Femmes Juristes pour la défense des Droits de la Femme (FJDF)
104. Femmes Maintenant (FM)
105. Femmes Sans Frontières/Equateur (FSF/EQ)
106. Fondation Congolaise pour la Promotion des Droits Humains et la
Paix (FOCDP)
107. Fondation Point de vu Africain pour le Développement (FPJAD)
108. Forum des Amis de la Terre (FAT /GRANDS LACS)
109. Forum des Organisations Nationales humanitaires et de Développement
(FONAHD)
110. Forum pour la Femme Ménagère (FORFEM)Page | 6
111. Foyer de Développement pour l’Autopromotion des Pygmées et Indigènes
Défavorisés (FDAPID-Hope for Indigenous peoples)
112. Fraternel International des Prisons (FIP)
113. Fraternité congolaise pour le Développement (FCD)
114. Global Action for Peace and Democracy in Africa Network (GAPDA Network)
115. Groupe d’Action Non-Violence Evangélique (GANVE)
116. Groupe d’Associations de Défense de Droits de l’Homme et de Paix (GADHOP)
117. Groupe Justice et Libération (GJL)
118. Groupe Ku tambi Ditunga (GKD)
119. Groupe Lotus (GL)
120. Groupe Lufalanga pour la Justice et la Paix (GLJP)
121. Halte à la Violence des Droits de l’Enfant (HVDE)
122. Humanisme et Droits Humains (HDH)
123. Ignitus Worldwide of Democratic of Congo (IGNATUS-DRC)
124. Institut pour la Bonne Gouvernance (IGE)
125. Jeunes Espoir (JE)
126. Jeunesse Vivant avec Handicap dans la Protection des Droits de l’homme
(JVHPDH)
127. Justice et Solidarité (JS)
128. Justice et Transparence (JUSTRANS)
129. Justicia
130. Les Amis d’OBAMA (AO)
131. Les Amis de Nelson MANDELA pour la Défense des Droits Humains (ANMDH)
132. Libertas (LIBERTAS)
133. Ligue Contre la Fraude (LICOF)
134. Ligue de la Zone Afrique Pour La Défense des Droits des Enfants et Elèves
(LIZADEEL)
135. Ligue de Sacrifice Volontaire pour les Droit de l’Homme et l’Environnement,
(LISVDHE)
136. Ligue des Actions De Droit de l’Homme (LADHO)
137. Ligue des Consommateurs de la province de l’Equateur (LICOPEQ)
138. Ligue des droits de l’homme du Kasaï (LIDHOKAS)
139. Ligue des femmes défenseures es Droits Humains (LIFEDDH)
140. Ligue nationale paysanne pour les droits de l’homme (LINAPEDHO)
141. Ligue Nationale pour les Droits de l’Homme
142. Ligue pour la Défense et la Vulgarisation des Droits de l’Homme (LDVDH)
143. Ligue pour la Promotion et le Développement de la Femme et de l’enfant
(LIPRODIFE)
144. Mama na Nzela ya Développement (MND)
145. Mama Tupendane (MTD)
146. Mama Tushirikiyane (MATU)
147. Maniema Development (MANIDV)
148. Maniema Libertés (MALI)
149. Mobilisation Encadrement Ecologique et Défense des Droits humains par les
Amis des Familles démunies (MEEDAF)
150. Nouvelle Dynamique de la Défense de la Jeunesse (NDIF)
151. Nouvelle Société Civile Congolaise/Equateur (NSCC/EQ)
152. Nouvelles Dynamique pour le Développement Rural Intégral (NODRI)
153. Noyau de Prévention et Résolution des Conflits (NPRC)
154. Observatoire congolais des droits humains (OCDH)
155. Observatoire Congolais des Prisons (OCP)Page | 7
156. Œil des Victimes des Violations des Droits de l’Homme (OVVDH)
157. Œuvre Chrétienne pour la Femme (OCF)
158. Organisation Communautaire pour la Conservation de la Nature (OCCN)
159. Organisation pour la Protection et la Promotion des Droits Humains (OPPDH)
160. Paix et Droits Humains Aujourd’hui (PDHA)
161. Parlement des Jeunes (PJ)
162. Peace and Human Dignity for Development (PHDD)
163. Programme d’Appui aux Actions Féminines (PAAF)
164. Programme de Développement Intégré des Pygmées (PRODIP)
165. Programme de l’Education Civique (PEDUC)
166. Programme des Jeunes pour le Développement de l’Afrique (YPDA)
167. Projet de Développement Socio Sanitaire (PRODESSAN)
168. Protégeons la Vie Humaine (PVH)
169. Rassemblement des Jeunes pour la Pacification et le Progrès (RJPP)
170. Réseau Action Femme (RAF)
171. Réseau de protection des défenseurs des droits de l’homme (RPDD)
172. Réseau des Femmes pour le Développement (REFED)
173. Réseau des Organisations Congolaise de Droits de l’Homme(ROCDH)
174. Réseau des Radios Associatives et Télévision de proximité du Kasaï-Oriental
(RATEPROKA)
175. Réseau Femmes sans Frontières (FSF/Equateur)
176. Réseau Genre et Droits de la Femme (GEDROF)
177. Réseau Jeune dans le monde pour la paix (RJMP)
178. Réseau National des ONG des Droits de l’Homme de la République
Démocratique du Congo (REANADHOC)
179. Réseau pour la Lutte Contre la Fraude et la Corruption (RELCOFC)
180. Réseau pour la Réforme du Secteur de Sécurité et de Justice (RRSSJ)
181. Réseau pour la Réhabilitation et la Maintenance des routes et Désertes
agricoles
182. Réseau Provincial des ONG au Congo (REPRODHOC)
183. Réseaux des Femmes pour la Protection de Droit de L’enfant et de la Femme
(REFEDEF)
184. Réveil des Femmes pour le développement Intégré (RFEDI)
185. Rural (DYFEMIR)
186. Sansa Bana (SABA)
187. Securitas Congo (SC)
188. Service International Des Droits de l’Homme (SIDH)
189. Si Tous les Enfants du monde étaient Votre (STEV)
190. Société Civile de la Province de l’Equateur (SOCIPEQ)
191. Société civile monde de travail (SCIMOTRA)
192. Société Congolaise Contre les Tracasseries (SOCOTRAC/PC)
193. Solidarité des Associations Féminines pour les Droits de Femmes et de
l’Enfant (SAFDF)
194. Solidarité des Ongs du Kasaï Pour Les Droits Humains (SOLIDEC/KH)
195. Solidarité Echange pour le Développement Intégral (SEDI)
196. Solidarité indépendante de Défense des Droits de l’Homme (SIDH)
197. Solidarité pour la Promotion de la Paix Sociale et la Paix (SOPROP)
198. Solidarité pour le Développement Intégral de la Femme (SOFEDI)
199. Soutien aux Initiatives de Développement et de le Protection (SIDEP)
200. Synergie de Femme pour le Développement de Fizi (SFDF)
201. Synergie de la Société Civile pour les Elections et la Bonne gouvernancePage | 8
202. Synergie des Femmes pour les Victimes des Violences Sexuelles (SFVS)
203. Synergie des Jeunes pour le Développement et le Droit de l’Homme (SJDDH)
204. Toges Noires (TN)
205. Travail pour le Développement (TRADEV)
206. Union Congolaise des Femmes des Médias (UCOFEM/K .OR)
207. Union des Familles pour la Recherche et la Paix (IFAREP)
208. Union Des Femmes Pour la Dignité Humaine(UFDH)
209. Union des Jeunes pour le Changement et le droit des Marginalisées (UJCDM)
210. Union paysanne des activistes (défenseurs) des droits de l’homme (UPADH)
211. Vision Humanitaire Médicale (VHMED)
212. Voix des Opprimés pour les Droits de l’Homme (VODH)
213. Voix du Handicapé pour les Droits de l’homme (VHDH)
http://democratiechretienne.org/2014/12/10/les-mensonges-du-de-lancien-richard-muyej-sur-likofi-demasquees-declaration-conjointe-de-213-organisations-non-gouvernementales-de-defense-des-droits-de-lhomme/
KOTA
Re: RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières et meurtres extra-judiciares de jeunes à l’occasion de l’opération Likofi ET par la suite HUMAN RIGHT WATCH DENONCE LES CRIMES DE KANYAMA ET L’HORREUR DES BRUTALITES POLICIERES A KINSHASA
Human Rights Day 2014: 10 Worst Human Rights Violations of the Year That Will Shock You
7.Operation Likofi, Congo
A recent report detailed how uniformed police in the Republic of Congo dragged suspected gang members from their homes at night. The unarmed young men and boys were brutally shot and killed outside their homes. Many others were taken without warrants to unknown locations.
http://www.ibtimes.co.in/human-rights-day-10-worst-human-rights-violations-2014-that-will-shock-you-616641
KOTA
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