Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
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Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC-Elections: la Ceni déniche 30 682 600 électeurs
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/23/rdc-elections-la-ceni-deniche-30-682-600-electeurs/
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a présenté vendredi 22 mai à Kinshasa les résultats des opérations menées dans le cadre de la fiabilisation du fichier électoral et la stabilisation de la cartographie opérationnelle. Le fichier actualisé contient 30 682 599 électeurs. Ce résultat permet à l’institution électorale de préparer les élections urbaines, municipales et locales, annoncées au second semestre de 2015.
Au cours d’une conférence de presse, les experts de la Ceni ont fourni une explication pédagogique sur la manière dont le fichier électoral a été élaboré et fiabilisé.
A l’issue des élections de 2011, un certain nombre de recommandations avaient été faites notamment par l’Assemblée nationale, au regard des difficultés rencontrées sur le terrain.
Elles portaient notamment sur la fiabilisation du fichier électoral et la stabilisation des cartographies opérationnelles, a rappelé Jean-Pierre Kalamba, rapporteur de la Ceni.
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/23/rdc-elections-la-ceni-deniche-30-682-600-electeurs/
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a présenté vendredi 22 mai à Kinshasa les résultats des opérations menées dans le cadre de la fiabilisation du fichier électoral et la stabilisation de la cartographie opérationnelle. Le fichier actualisé contient 30 682 599 électeurs. Ce résultat permet à l’institution électorale de préparer les élections urbaines, municipales et locales, annoncées au second semestre de 2015.
Au cours d’une conférence de presse, les experts de la Ceni ont fourni une explication pédagogique sur la manière dont le fichier électoral a été élaboré et fiabilisé.
A l’issue des élections de 2011, un certain nombre de recommandations avaient été faites notamment par l’Assemblée nationale, au regard des difficultés rencontrées sur le terrain.
Elles portaient notamment sur la fiabilisation du fichier électoral et la stabilisation des cartographies opérationnelles, a rappelé Jean-Pierre Kalamba, rapporteur de la Ceni.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC : les Fac boycottent les élections provinciales
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/24/rdc-les-fac-boycottent-les-elections-provinciales/
A un jour de la clôture de dépôt des candidatures aux provinciales, la plate-forme de l’opposition « Forces acquises au changement (Fac) » maintient son refus de s’engager à cette opération électorale. Le coordonnateur de cette structure, Martin Fayulu Madidi, a livré cette position, samedi 23 mai, au cours d’une conférence de presse à Kinshasa.
Il a indiqué que les Fac ne déposeront pas leurs candidatures à ces scrutins tant que la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) n’aura pas répondu pas aux revendications de l’opposition notamment l’intégration de nouveaux majeurs au fichier électoral ou encore la modification du calendrier électoral avec l’élimination des élections locales pour donner priorité aux présidentielle et législatives.
«Nous avons donné trois préalables. Le premier, c’est l’enrôlement de tous les électeurs congolais. C’est-à-dire toute personne ayant atteint l’âge de 18 ans et plus doit être enrôlée pour construire une base de données donc un fichier électoral. Nous avons dit qu’un fichier électoral crédible est la base de toute élection transparente. Il faut que le calendrier soit consensuel et que la Ceni soit neutre», a indiqué Martin Fayulu.
Plusieurs partis, regroupements politiques et groupes parlementaires de l’opposition conditionnent leurs participations aux élections provinciales dont le dépôt des candidatures se clôture ce lundi 25 mai à travers tout le pays.
Dans une déclaration faite le 20 avril dernier à Kinshasa, ces plates-formes de l’opposition disaient attendre «des assurances de la Ceni » avant de s’engager à ce processus.
Pour l’opposition politique, la situation politique est délétère en République démocratique du Congo et caractérisée, aux dires de Fayulu, par « un processus électoral hypothétique, l’installation improvisée et dangereuse de nouvelles provinces ».
L’Opposition avait également exigé une enquête internationale et indépendante sur ce qu’elle qualifie de fosse commune de Maluku avec exhumation des corps et prise d’ADN.
Le Congrès national congolais (CNC), un parti membre de la Majorité présidentielle (MP), avait fustigé ces positions de l’opposition congolaise qui pose des préalables pour participer aux élections locales, municipales et provinciales. Ce parti du député national Pis Muabilu qualifie ce comportement de «gravissime, d’anticonstitutionnel et d’anti-démocratique».
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/24/rdc-les-fac-boycottent-les-elections-provinciales/
A un jour de la clôture de dépôt des candidatures aux provinciales, la plate-forme de l’opposition « Forces acquises au changement (Fac) » maintient son refus de s’engager à cette opération électorale. Le coordonnateur de cette structure, Martin Fayulu Madidi, a livré cette position, samedi 23 mai, au cours d’une conférence de presse à Kinshasa.
Il a indiqué que les Fac ne déposeront pas leurs candidatures à ces scrutins tant que la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) n’aura pas répondu pas aux revendications de l’opposition notamment l’intégration de nouveaux majeurs au fichier électoral ou encore la modification du calendrier électoral avec l’élimination des élections locales pour donner priorité aux présidentielle et législatives.
«Nous avons donné trois préalables. Le premier, c’est l’enrôlement de tous les électeurs congolais. C’est-à-dire toute personne ayant atteint l’âge de 18 ans et plus doit être enrôlée pour construire une base de données donc un fichier électoral. Nous avons dit qu’un fichier électoral crédible est la base de toute élection transparente. Il faut que le calendrier soit consensuel et que la Ceni soit neutre», a indiqué Martin Fayulu.
Plusieurs partis, regroupements politiques et groupes parlementaires de l’opposition conditionnent leurs participations aux élections provinciales dont le dépôt des candidatures se clôture ce lundi 25 mai à travers tout le pays.
Dans une déclaration faite le 20 avril dernier à Kinshasa, ces plates-formes de l’opposition disaient attendre «des assurances de la Ceni » avant de s’engager à ce processus.
Pour l’opposition politique, la situation politique est délétère en République démocratique du Congo et caractérisée, aux dires de Fayulu, par « un processus électoral hypothétique, l’installation improvisée et dangereuse de nouvelles provinces ».
L’Opposition avait également exigé une enquête internationale et indépendante sur ce qu’elle qualifie de fosse commune de Maluku avec exhumation des corps et prise d’ADN.
Le Congrès national congolais (CNC), un parti membre de la Majorité présidentielle (MP), avait fustigé ces positions de l’opposition congolaise qui pose des préalables pour participer aux élections locales, municipales et provinciales. Ce parti du député national Pis Muabilu qualifie ce comportement de «gravissime, d’anticonstitutionnel et d’anti-démocratique».
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC: fin des candidatures pour les élections provinciales
http://www.rfi.fr/afrique/20150525-rdc-fin-candidatures-elections-provinciales/
En RDC, la Commission électorale nationale indépendante (Céni) a publié ce week-end les résultats de la fiabilisation du fichier électoral. Dix-huit mois ont été nécessaires pour nettoyer ce fichier et l'opération a coûté environ trente millions de dollars, selon les responsables de la Céni. C'est ce lundi, en fin d'après-midi, que prend fin l'enregistrement des candidatures pour les provinciales d'octobre prochain. Parmi les candidats, plusieurs nouveaux venus.
Ils étaient nombreux, les partis politiques de l’opposition qui avaient d’abord boudé l’appel à la candidature aux élections provinciales d’octobre prochain. Ces partis politiques se sont finalement résolus, au dernier moment, à déposer auprès des bureaux de la Céni les dossiers de leurs candidats respectifs. Et ils découvrent que les difficultés sont énormes.
« C’est que dans ce pays, il n’y a pas d’avion, il n’y a pas de route, il n’y a même pas de train, il n’y a pas de véhicule. Nous sommes en train de nous battre pour faire acheminer les originaux des lettres d’investiture de tous les coins de la République, ainsi que les originaux des récépissés des paiements des cautions. Ça nous prendra certes du temps, mais nous avons jusqu’au 30 pour apporter les originaux des documents », témoigne Eve Bazaiba, la secrétaire générale du MLC.
Beaucoup de nouveaux venus parmi les candidats alignés dans la course. Ils viennent de tous les horizons. On annonce la présence de trois footballeurs du Tout Puissant Mazembe : Robert Kidiaba, Phamphile Mihayo et Kasusula Kidicho. Tous en fin de carrière. Ils pensent encore servir la jeunesse et les sports au sein des institutions politiques.
http://www.rfi.fr/afrique/20150525-rdc-fin-candidatures-elections-provinciales/
En RDC, la Commission électorale nationale indépendante (Céni) a publié ce week-end les résultats de la fiabilisation du fichier électoral. Dix-huit mois ont été nécessaires pour nettoyer ce fichier et l'opération a coûté environ trente millions de dollars, selon les responsables de la Céni. C'est ce lundi, en fin d'après-midi, que prend fin l'enregistrement des candidatures pour les provinciales d'octobre prochain. Parmi les candidats, plusieurs nouveaux venus.
Ils étaient nombreux, les partis politiques de l’opposition qui avaient d’abord boudé l’appel à la candidature aux élections provinciales d’octobre prochain. Ces partis politiques se sont finalement résolus, au dernier moment, à déposer auprès des bureaux de la Céni les dossiers de leurs candidats respectifs. Et ils découvrent que les difficultés sont énormes.
« C’est que dans ce pays, il n’y a pas d’avion, il n’y a pas de route, il n’y a même pas de train, il n’y a pas de véhicule. Nous sommes en train de nous battre pour faire acheminer les originaux des lettres d’investiture de tous les coins de la République, ainsi que les originaux des récépissés des paiements des cautions. Ça nous prendra certes du temps, mais nous avons jusqu’au 30 pour apporter les originaux des documents », témoigne Eve Bazaiba, la secrétaire générale du MLC.
Beaucoup de nouveaux venus parmi les candidats alignés dans la course. Ils viennent de tous les horizons. On annonce la présence de trois footballeurs du Tout Puissant Mazembe : Robert Kidiaba, Phamphile Mihayo et Kasusula Kidicho. Tous en fin de carrière. Ils pensent encore servir la jeunesse et les sports au sein des institutions politiques.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Robert Kidiaba Muteba, joueur de l´ équipe nationale "les léopards", d´origine kasaienne, postule pour devenir député chez moi dans la nouvelle province du Haut-Katanga à Lubumbashi. Nous disons bravo et vive la démocratie !!!!!
Provinciales: Robert Kidiaba et Pamphile Mihayo candidats à Lubumbashi
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/provinciales-robert-kidiaba-pamphile-mihayo-candidats-lubumbashi/
Sociétaires du TP. Mazembe, les joueurs Robert Kidiaba Muteba et Pamphile Mihayo Kazembe ont déposé, lundi 25 mai, leurs candidatures aux élections provinciales, à Lubumbashi (Katanga). Ces deux joueurs ont postulé sur la liste du Parti national pour la démocratie et le développement (PND), jeune formation politique membre de la Majorité présidentielle (MP).
Devant le bureau de réception et traitement des candidatures de la Ceni, Robert Kidiaba et Pamphile Mihayo, accompagnés de leurs fanatiques, entonnaient un seul slogan: «Qui d’autres plus qu’un sportif peut défendre les sportifs?».
Pamphile Mihayo, membre du staff technique de Mazembe, estime qu’il est temps de servir autrement le pays.
Les deux sociétaires du TP Mazembe ont déposé leurs candidatures au dernier jour de l’opération dans une ville de Lubumbashi mouvementée, où les candidats des plusieurs partis politiques prenaient d’assaut le bureau de la Ceni dès le matin.
Provinciales: Robert Kidiaba et Pamphile Mihayo candidats à Lubumbashi
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/provinciales-robert-kidiaba-pamphile-mihayo-candidats-lubumbashi/
Sociétaires du TP. Mazembe, les joueurs Robert Kidiaba Muteba et Pamphile Mihayo Kazembe ont déposé, lundi 25 mai, leurs candidatures aux élections provinciales, à Lubumbashi (Katanga). Ces deux joueurs ont postulé sur la liste du Parti national pour la démocratie et le développement (PND), jeune formation politique membre de la Majorité présidentielle (MP).
Devant le bureau de réception et traitement des candidatures de la Ceni, Robert Kidiaba et Pamphile Mihayo, accompagnés de leurs fanatiques, entonnaient un seul slogan: «Qui d’autres plus qu’un sportif peut défendre les sportifs?».
Pamphile Mihayo, membre du staff technique de Mazembe, estime qu’il est temps de servir autrement le pays.
Les deux sociétaires du TP Mazembe ont déposé leurs candidatures au dernier jour de l’opération dans une ville de Lubumbashi mouvementée, où les candidats des plusieurs partis politiques prenaient d’assaut le bureau de la Ceni dès le matin.
Dernière édition par Jim KK le 25/5/2015, 11:16 pm, édité 1 fois
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Il à le droit de postulée parce que c'est un vrai Congolais.S'il se sent capable d'apporté quelque chose dans la région et dans son pays.Il mérite qu'on l'encourage.Jim KK a écrit:Robert Kidiaba Muteba, joueur national des léopards, d´origine kasaienne, postule pour devenir député chez moi dans la nouvelle province du Haut-Katanga à Lubumbashi. Nous disons bravo et vive la démocratie !!!!!
Provinciales: Robert Kidiaba et Pamphile Mihayo candidats à Lubumbashi
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/provinciales-robert-kidiaba-pamphile-mihayo-candidats-lubumbashi/
Sociétaires du TP. Mazembe, les joueurs Robert Kidiaba Muteba et Pamphile Mihayo Kazembe ont déposé, lundi 25 mai, leurs candidatures aux élections provinciales, à Lubumbashi (Katanga). Ces deux joueurs ont postulé sur la liste du Parti national pour la démocratie et le développement (PND), jeune formation politique membre de la Majorité présidentielle (MP).
Devant le bureau de réception et traitement des candidatures de la Ceni, Robert Kidiaba et Pamphile Mihayo, accompagnés de leurs fanatiques, entonnaient un seul slogan: «Qui d’autres plus qu’un sportif peut défendre les sportifs?».
Pamphile Mihayo, membre du staff technique de Mazembe, estime qu’il est temps de servir autrement le pays.
Les deux sociétaires du TP Mazembe ont déposé leurs candidatures au dernier jour de l’opération dans une ville de Lubumbashi mouvementée, où les candidats des plusieurs partis politiques prenaient d’assaut le bureau de la Ceni dès le matin.
El-Shaman
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
El-Shaman a écrit:Il à le droit de postulée parce que c'est un vrai Congolais.S'il se sent capable d'apporté quelque chose dans la région et dans son pays.Il mérite qu'on l'encourage.Jim KK a écrit:Robert Kidiaba Muteba, joueur de l´équipe nationale "les léopards", d´origine kasaienne, postule pour devenir député chez moi dans la nouvelle province du Haut-Katanga à Lubumbashi. Nous disons bravo et vive la démocratie !!!!!
Provinciales: Robert Kidiaba et Pamphile Mihayo candidats à Lubumbashi
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/provinciales-robert-kidiaba-pamphile-mihayo-candidats-lubumbashi/
Sociétaires du TP. Mazembe, les joueurs Robert Kidiaba Muteba et Pamphile Mihayo Kazembe ont déposé, lundi 25 mai, leurs candidatures aux élections provinciales, à Lubumbashi (Katanga). Ces deux joueurs ont postulé sur la liste du Parti national pour la démocratie et le développement (PND), jeune formation politique membre de la Majorité présidentielle (MP).
Devant le bureau de réception et traitement des candidatures de la Ceni, Robert Kidiaba et Pamphile Mihayo, accompagnés de leurs fanatiques, entonnaient un seul slogan: «Qui d’autres plus qu’un sportif peut défendre les sportifs?».
Pamphile Mihayo, membre du staff technique de Mazembe, estime qu’il est temps de servir autrement le pays.
Les deux sociétaires du TP Mazembe ont déposé leurs candidatures au dernier jour de l’opération dans une ville de Lubumbashi mouvementée, où les candidats des plusieurs partis politiques prenaient d’assaut le bureau de la Ceni dès le matin.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
La Ceni prolonge le dépôt des candidatures jusqu’au 30 mai
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/urgent-provinciales-la-ceni-prolonge-le-depot-des-candidatures-jusquau-30-mai/
La Commission électorale nationale indépendante a prolongé l’opération de dépôt des candidatures jusqu’au samedi 30 mai sur toute l’étendus du territoire. La décision a été prise par le bureau de cette institution au cours de sa plénière extraordinaire. Sur environ huit mille formulaires retirés, deux mille dossiers seulement ont été réceptionnés, soit un taux de 25% de remise de dossiers. Radio Okapi vous propose le développement de cette information dans quelques instants.
« Elle [Ceni] vient de prendre la décision portant prolongation du délai de l’inscription des candidats pour les élections des députés provinciaux », a affirmé le rapporteur de la Ceni, Jean Pierre Kalamba.
Il a indiqué que cette mesure a été prise « Après analyse approfondie du rapport des monitorings ».
« Les statistiques indiquent que les quelques Bureau de réception et de traitement des candidatures [BRTC], sur les 171, qui n’avaient pas encore enregistré un seul dossier venait de les voir cet après-midi.
Jean-Pierre Kalamba a également expliqué que la Ceni a pris cette décision en tenant compte « des difficultés réelles des multiples demandes et sollicitations des partis politiques et regroupements politiques, et compte tenu des rapports réels reçus principalement, le cas de traçage des payements effectués en dehors des circonscriptions des candidats ».
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/urgent-provinciales-la-ceni-prolonge-le-depot-des-candidatures-jusquau-30-mai/
La Commission électorale nationale indépendante a prolongé l’opération de dépôt des candidatures jusqu’au samedi 30 mai sur toute l’étendus du territoire. La décision a été prise par le bureau de cette institution au cours de sa plénière extraordinaire. Sur environ huit mille formulaires retirés, deux mille dossiers seulement ont été réceptionnés, soit un taux de 25% de remise de dossiers. Radio Okapi vous propose le développement de cette information dans quelques instants.
« Elle [Ceni] vient de prendre la décision portant prolongation du délai de l’inscription des candidats pour les élections des députés provinciaux », a affirmé le rapporteur de la Ceni, Jean Pierre Kalamba.
Il a indiqué que cette mesure a été prise « Après analyse approfondie du rapport des monitorings ».
« Les statistiques indiquent que les quelques Bureau de réception et de traitement des candidatures [BRTC], sur les 171, qui n’avaient pas encore enregistré un seul dossier venait de les voir cet après-midi.
Jean-Pierre Kalamba a également expliqué que la Ceni a pris cette décision en tenant compte « des difficultés réelles des multiples demandes et sollicitations des partis politiques et regroupements politiques, et compte tenu des rapports réels reçus principalement, le cas de traçage des payements effectués en dehors des circonscriptions des candidats ».
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Jim KK a écrit:La Ceni prolonge le dépôt des candidatures jusqu’au 30 mai
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/urgent-provinciales-la-ceni-prolonge-le-depot-des-candidatures-jusquau-30-mai/
La Commission électorale nationale indépendante a prolongé l’opération de dépôt des candidatures jusqu’au samedi 30 mai sur toute l’étendus du territoire. La décision a été prise par le bureau de cette institution au cours de sa plénière extraordinaire. Sur environ huit mille formulaires retirés, deux mille dossiers seulement ont été réceptionnés, soit un taux de 25% de remise de dossiers. Radio Okapi vous propose le développement de cette information dans quelques instants.
« Elle [Ceni] vient de prendre la décision portant prolongation du délai de l’inscription des candidats pour les élections des députés provinciaux », a affirmé le rapporteur de la Ceni, Jean Pierre Kalamba.
Il a indiqué que cette mesure a été prise « Après analyse approfondie du rapport des monitorings ».
« Les statistiques indiquent que les quelques Bureau de réception et de traitement des candidatures [BRTC], sur les 171, qui n’avaient pas encore enregistré un seul dossier venait de les voir cet après-midi.
Jean-Pierre Kalamba a également expliqué que la Ceni a pris cette décision en tenant compte « des difficultés réelles des multiples demandes et sollicitations des partis politiques et regroupements politiques, et compte tenu des rapports réels reçus principalement, le cas de traçage des payements effectués en dehors des circonscriptions des candidats ».
ndonzwau a écrit:Jim KK a écrit:Provinciales: prolongation de l’opération de dépôt des candidatures en RDC
[...]ndonzwau a écrit:[...](...)
Compatriotiquement!
Quittons un moment le suivisme politique qui est le péché mignon le la Ceni et des djalélolistes kanambistes de tout poil...
Comment peut-on prétendre être un organe technique censé apporter son appui à la démocratie électorale et s'imaginer que 20 jours sont un délai réaliste dans ce si vaste pays aux infrastructures absentes et dans une ambiance vouée pour le moment à une contestation légitime et réelle généralisée du programme de la Ceni (càd son calendrier "boudé" non seulement par l'Opposition mais aussi au sein même de la Majorité - écoutez ne fût-ce Lutundula) ?
La Ceni vient d'ajouter quasi machinalement 20 jours supplémentaires pour le dépôt des candidatures, ces derniers non seulement ne suffiront pas non plus mais surtout ce n'est pas l'automatique prolongation qui résoudra les pesanteurs de ce scrutin, c'est seul d'abord le réexamen réfléchi de toute la mouture qui a besoin d'être globalement rediscutée sinon cette Ceni portera encore une fois comme en 2011 une grande part de responsabilité de l'échec annoncé de ce scrutin...
Il ne faut pas posséder un PHD d'Harvard pour le comprendra quand bien même porterait-on fanatiquement le bandeau d'allégeance au fameux "Rais" et son camp...
Le pays a, à cette heure, d'abord besoin d'intelligence, de sagesse et de responsabilité que de suivisme sinon l'issue risquée n'épargnera personne, elle bousculera tout le pays même ceux qui prétendent en posséder aujourd'hui la maîtrise politique et financière...
Qui vivra verra...° http://radiookapi.net/regions/national/2015/04/30/elections-provinciales-deroulement-des-operations-aux-brtc/
Compatriotiquement!
"RDC: fin des candidatures pour les élections provinciales
° http://www.rfi.fr/afrique/20150525-rdc-fin-candidatures-elections-provinciales/
En RDC, la Commission électorale nationale indépendante (Céni) a publié ce week-end les résultats de la fiabilisation du fichier électoral. Dix-huit mois ont été nécessaires pour nettoyer ce fichier et l'opération a coûté environ trente millions de dollars, selon les responsables de la Céni. C'est ce lundi, en fin d'après-midi, que prend fin l'enregistrement des candidatures pour les provinciales d'octobre prochain. Parmi les candidats, plusieurs nouveaux venus.
Ils étaient nombreux, les partis politiques de l’opposition qui avaient d’abord boudé l’appel à la candidature aux élections provinciales d’octobre prochain. Ces partis politiques se sont finalement résolus, au dernier moment, à déposer auprès des bureaux de la Céni les dossiers de leurs candidats respectifs. Et ils découvrent que les difficultés sont énormes.
« C’est que dans ce pays, il n’y a pas d’avion, il n’y a pas de route, il n’y a même pas de train, il n’y a pas de véhicule. Nous sommes en train de nous battre pour faire acheminer les originaux des lettres d’investiture de tous les coins de la République, ainsi que les originaux des récépissés des paiements des cautions. Ça nous prendra certes du temps, mais nous avons jusqu’au 30 pour apporter les originaux des documents », témoigne Eve Bazaiba, la secrétaire générale du MLC.
Beaucoup de nouveaux venus parmi les candidats alignés dans la course. Ils viennent de tous les horizons. On annonce la présence de trois footballeurs du Tout Puissant Mazembe : Robert Kidiaba, Phamphile Mihayo et Kasusula Kidicho. Tous en fin de carrière. Ils pensent encore servir la jeunesse et les sports au sein des institutions politiques."
"Surprise !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6496
Ce n’est pas un mirage. Mais, une réalité. Pendant que les candidats s’activaient à déposer leur candidature dans les BRTC, pour ne pas tomber dans la forclusion de délai, parce que la date limite fixée par la Commission Electorale Nationale Indépendante courait jusque hier, 25 mai à 16 heures, une autre décision est tombée. Le dépôt des candidatures est prolongé jusqu’au 30 mai. C’est une surprise, agréable, qui donne l’occasion aux retardataires de formaliser, dans la quiétude, la procédure et aux réticents, de se ressaisir pour ne pas être hors course. Ce qui donne aux observateurs de soutenir que cette dérogation est de nature à créer un climat de détente, cédant à la crispation qui avait élu domicile dans l’arène politique congolaise. Déjà hier, à 16 heures, un engouement sérieux avait été observé dans certains BRTC tant à Kinshasa qu’à l’intérieur du pays.(...)"
"Calendrier électoral:La Ceni déjà en retard !"
° http://latempete.info/calendrier-electoralla-ceni-deja-en-retard/
"Jean-Pierre Kalamba: «La Ceni ne va pas arrêter son travail pour attendre le dialogue»"
° http://radiookapi.net/emissions-2/linvite-du-jour/2015/05/20/jean-pierre-kalamba-la-ceni-ne-va-pas-arreter-son-travail-pour-attendre-le-dialogue/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/provinciales-la-ceni-debordee-la-suite-de-lengouement-des-candidats-au-dernier-jour/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/rdc-la-cdc-appelle-la-ceni-se-mobiliser-plus-pour-la-presidentielle-les-legislatives/
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6468
° http://radiookapi.net/actualite/2015/05/25/provinciales-robert-kidiaba-pamphile-mihayo-candidats-lubumbashi/
° http://latempete.info/fiabilisation-du-fichier-electoral-et-stabilisation-de-la-cartographie-operationnellela-ceni-livre-le-chiffre-des-electeurs-pour-les-provinciales-et-locales-doctobre-2015/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/05/24/goma-engouement-des-candidats-la-veille-de-la-cloture-du-depot-des-provinciales/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/05/23/provinciales-175-candidatures-enregistrees-deux-jours-de-la-cloture-au-kongo-central/
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
ndonzwau
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Nous disons encore bravo à la CENI !!! N´en déplaise à ceux qui ont une autre opinion. Nous respectons leur opinion, qui n´est pas la nôtre.
La CENI veut donner de la chance à tous ceux qui veulent concourir. La CENI dit avoir pris en compte les difficultés réelles, les multiples demandes et sollicitations des partis et regroupements politiques.
Maboko lisusu pua na CENI!
La CENI veut donner de la chance à tous ceux qui veulent concourir. La CENI dit avoir pris en compte les difficultés réelles, les multiples demandes et sollicitations des partis et regroupements politiques.
Maboko lisusu pua na CENI!
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC: le MLC, l’UNC, le CDR et les Fac réaffirment leur refus du dialogue
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/30/rdc-le-mlc-lunc-le-cdr-les-fac-reaffirment-leur-refus-du-dialogue/
Des partis de l’opposition réaffirment leur refus de participer au dialogue politique préconisé par le chef de l’Etat Joseph Kabila. Le MLC, l’UNC, le CDR et les Fac ont livré leur position dans une déclaration rendue vendredi 29 mai devant des journalistes à Kinshasa.
Pour le rapporteur de cette rencontre de l’opposition, Delly Sesanga, a expliqué que le sens de leur démarche:
«L’opposition, dans son ensemble, a considéré l’essentiel des points de vue [exprimés] lors des rencontres avec son émissaire, qui a transmis ses préoccupations au président de la République sur ce que sont des sujets d’importance pour le pays. Nous considérons qu’il y a inopportunité de pouvoir tenir un dialogue. Donc, nous ne participerons pas aux pourparlers engagés entre la classe politique et les forces politiques et sociales».
Delly Sessanga a expliqué que l’opposition restait néanmoins ouverte aux discussions en cours au sein de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) sur le calendrier électoral et le processus électoral afin que celui-ci réponde au critère de crédibilité, de transparence et pluralisme, consacrés par la constitution.
Le boycott de Matungulu
Ancien ministre des Finances de la RDC, Freddy Matungulu Ilankir, a également désapprouvé l’idée d’un dialogue politique entre acteurs politiques à l’heure actuelle. Il l’a affirmé au cours d’un entretien accordé vendredi 29 mai à Radio Okapi depuis les Etats-Unis d’Amérique.
Président du parti politique «Congo na biso», Freddy Matungulu redoute que ce dialogue favorise le glissement du mandat du chef de l’Etat Joseph Kabila au-delà de 2016:
«Nous avons un gouvernement en place. Son devoir est de travailler et de faire en sorte qu’il puisse nous amener, l’année prochaine, aux législatives et à la présidentielle, donc à des élections paisibles. Cela permettrait que la question de la légitimité du pouvoir, restée entière, puisse trouver solution. Les membres de ce gouvernement sont là et il revient à eux de travailler. Et, il ne faut pas qu’on pousse la balle du côté de l’opposition, qui n’a pas le contrôle sur le fonctionnement de l’appareil de l’Etat.» Il estime par ailleurs que la question des élections ne doit pas être réglée au niveau des acteurs politiques qui ne font pas parti du gouvernement.
Cette question du dialogue divise encore les acteurs de l’opposition. Certains soutiennent la tenue de ces assises.
Réagissant mercredi 20 mai à Radio Okapi, l’opposant Clément Kanku en a appelé à un dialogue interne à l’opposition pour répondre à l’offre du président Kabila; alors que Steve Mbikayi, lui, se dit favorable au dialogue. «L’opposition devrait se retrouver pour lever son option sur son attitude vis-à-vis de la proposition de Joseph Kabila et sa majorité», a proposé Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua. Le président du Mouvement pour le renouveau (MR) regrette que les opposants soient divisés sur cette question à l’approche des échéances électorales.
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Une classe politique pourrie !
Si les congolais éprouvent un profond ressentiment envers leur classe politique, ce n´est pas parce qu´elle dispose de privilèges, mais parce que, depuis maintenant au moins cinq décennies, elle prend le cœur léger des décisions qui sont objectivement et de toute évidence contraires aux intérêts de la RDC.
Congo mawa
http://radiookapi.net/actualite/2015/05/30/rdc-le-mlc-lunc-le-cdr-les-fac-reaffirment-leur-refus-du-dialogue/
Des partis de l’opposition réaffirment leur refus de participer au dialogue politique préconisé par le chef de l’Etat Joseph Kabila. Le MLC, l’UNC, le CDR et les Fac ont livré leur position dans une déclaration rendue vendredi 29 mai devant des journalistes à Kinshasa.
Pour le rapporteur de cette rencontre de l’opposition, Delly Sesanga, a expliqué que le sens de leur démarche:
«L’opposition, dans son ensemble, a considéré l’essentiel des points de vue [exprimés] lors des rencontres avec son émissaire, qui a transmis ses préoccupations au président de la République sur ce que sont des sujets d’importance pour le pays. Nous considérons qu’il y a inopportunité de pouvoir tenir un dialogue. Donc, nous ne participerons pas aux pourparlers engagés entre la classe politique et les forces politiques et sociales».
Delly Sessanga a expliqué que l’opposition restait néanmoins ouverte aux discussions en cours au sein de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) sur le calendrier électoral et le processus électoral afin que celui-ci réponde au critère de crédibilité, de transparence et pluralisme, consacrés par la constitution.
Le boycott de Matungulu
Ancien ministre des Finances de la RDC, Freddy Matungulu Ilankir, a également désapprouvé l’idée d’un dialogue politique entre acteurs politiques à l’heure actuelle. Il l’a affirmé au cours d’un entretien accordé vendredi 29 mai à Radio Okapi depuis les Etats-Unis d’Amérique.
Président du parti politique «Congo na biso», Freddy Matungulu redoute que ce dialogue favorise le glissement du mandat du chef de l’Etat Joseph Kabila au-delà de 2016:
«Nous avons un gouvernement en place. Son devoir est de travailler et de faire en sorte qu’il puisse nous amener, l’année prochaine, aux législatives et à la présidentielle, donc à des élections paisibles. Cela permettrait que la question de la légitimité du pouvoir, restée entière, puisse trouver solution. Les membres de ce gouvernement sont là et il revient à eux de travailler. Et, il ne faut pas qu’on pousse la balle du côté de l’opposition, qui n’a pas le contrôle sur le fonctionnement de l’appareil de l’Etat.» Il estime par ailleurs que la question des élections ne doit pas être réglée au niveau des acteurs politiques qui ne font pas parti du gouvernement.
Cette question du dialogue divise encore les acteurs de l’opposition. Certains soutiennent la tenue de ces assises.
Réagissant mercredi 20 mai à Radio Okapi, l’opposant Clément Kanku en a appelé à un dialogue interne à l’opposition pour répondre à l’offre du président Kabila; alors que Steve Mbikayi, lui, se dit favorable au dialogue. «L’opposition devrait se retrouver pour lever son option sur son attitude vis-à-vis de la proposition de Joseph Kabila et sa majorité», a proposé Clément Kanku Bukasa wa Tshibuabua. Le président du Mouvement pour le renouveau (MR) regrette que les opposants soient divisés sur cette question à l’approche des échéances électorales.
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Une classe politique pourrie !
Si les congolais éprouvent un profond ressentiment envers leur classe politique, ce n´est pas parce qu´elle dispose de privilèges, mais parce que, depuis maintenant au moins cinq décennies, elle prend le cœur léger des décisions qui sont objectivement et de toute évidence contraires aux intérêts de la RDC.
Congo mawa
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC: ouverture du dialogue de Kabila avec la nation sans l'opposition
http://www.rfi.fr/afrique/20150530-rdc-ouverture-dialogue-kabila-nation-sans-opposition-udps-envol/
En République démocratique du Congo devrait s'ouvrir ce samedi 30 juin un dialogue entre le président Joseph Kabila et les forces vives de la nation. Le chef de l'Etat va consulter toutes les composantes de la société congolaise, des chefs de confessions religieuses aux représentants des partis politiques, tout au moins ceux qui se disent prêts à répondre à l'invitation, car les principaux partis de l'opposition ont décidé de boycotter ces consultations.
Pour le parti de Joseph Kabila, le PPRD, le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, ce dialogue pourrait être l'occasion de faire un grand pas en avant. « Ce dialogue nous amène de la cohésion nationale et je crois que c’est extrêmement important : nous avons besoin d’un processus électoral apaisé et d’élections plus libres qu’avant, et nous voulons savoir si ce dialogue peut permettre d’identifier les causes directes ou indirectes de tout ce qui se passe à Béni, au Nord-Kivu », explique à RFI Emmanuel Ramazani Shadari, le président du groupe PPRD à l'Assemblée. « Si ce dialogue peut nous amener à stabiliser définitivement la région pour une paix tout court ou la paix sociale durable, nous pensons que ce sera déjà un pas en avant », conclut Emmanuel Ramazani Shadari.
L'opposition boycotte
Les partis d'opposition, eux, bouderont pour la plupart ces consultations. C'est le cas de la plateforme de l'opposition, qui regroupe des partis comme l'UNC et le MLC. Le député Delly Sesanga, président du parti Envol, est le modérateur de la plateforme. Il explique à RFI que, selon lui, un dialogue a déjà eu lieu, lors des dernières consultations nationales. Et des recommandations ont déjà été formulées. Il n'y a donc rien à dire de plus. « Nous pensons que ce qui est important aujourd’hui, c’est de centrer l’intérêt du pays et de la population sur le cycle électoral, qu’il faut tenir de manière apaisée et qu’il faut pouvoir aérer dans son calendrier, plutôt que réunir un second forum, explique à RFI Delly Sesanga. Il faut rappeler qu’il y a eu les concertations nationales qui ont donné lieu à une série de recommandations et on ne voit pas ce qui va être renouvelé aujourd’hui et qui n'est pas été dit. »
Pour l'UDPS, Kabila ne peut être « juge et partie »
Le parti UDPS refuse lui aussi de prendre part à ce dialogue. Le parti d'opposition s'était déclaré en faveur de discussions, mais précise que celles-ci devraient avoir lieu sous l'égide de la communauté internationale et ne pas être initiées par le président lui-même. « Le dialogue, tel que nous l’entendons à UDPS, c’est une initiative dès le départ de la communauté internationale. C’est dans ce cadre-là que nous nous sommes inscrits pour participer, explique à RFI Félix Tshisekedi, secrétaire national de l'UDPS chargé des relations extérieures, et non pas un dialogue initié par Joseph Kabila qui lui-même fait partie du problème. Parce qu’il ne faut pas oublier que, selon la feuille de route que nous proposons, il y a le problème du contentieux électoral de 2011 dont il faut discuter. Et là, nous avons reçu un écho favorable de l’émissaire de monsieur Kabila, qui se disait prêt à discuter de tous les sujets sans tabou. Ensuite, il faut valider la voie pour que l’on ait un processus électoral crédible et apaisé, et enfin discuter du sort de monsieur Kabila. » L'UPDS refuse donc de participer à un dialogue initié par le président Kabila, qui« est très mal placé pour être à la fois juge et partie. Voilà pourquoi nous avons demandé et attendu la médiation ou facilitation internationale pour arriver à ce dialogue. »
http://www.rfi.fr/afrique/20150530-rdc-ouverture-dialogue-kabila-nation-sans-opposition-udps-envol/
En République démocratique du Congo devrait s'ouvrir ce samedi 30 juin un dialogue entre le président Joseph Kabila et les forces vives de la nation. Le chef de l'Etat va consulter toutes les composantes de la société congolaise, des chefs de confessions religieuses aux représentants des partis politiques, tout au moins ceux qui se disent prêts à répondre à l'invitation, car les principaux partis de l'opposition ont décidé de boycotter ces consultations.
Pour le parti de Joseph Kabila, le PPRD, le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, ce dialogue pourrait être l'occasion de faire un grand pas en avant. « Ce dialogue nous amène de la cohésion nationale et je crois que c’est extrêmement important : nous avons besoin d’un processus électoral apaisé et d’élections plus libres qu’avant, et nous voulons savoir si ce dialogue peut permettre d’identifier les causes directes ou indirectes de tout ce qui se passe à Béni, au Nord-Kivu », explique à RFI Emmanuel Ramazani Shadari, le président du groupe PPRD à l'Assemblée. « Si ce dialogue peut nous amener à stabiliser définitivement la région pour une paix tout court ou la paix sociale durable, nous pensons que ce sera déjà un pas en avant », conclut Emmanuel Ramazani Shadari.
L'opposition boycotte
Les partis d'opposition, eux, bouderont pour la plupart ces consultations. C'est le cas de la plateforme de l'opposition, qui regroupe des partis comme l'UNC et le MLC. Le député Delly Sesanga, président du parti Envol, est le modérateur de la plateforme. Il explique à RFI que, selon lui, un dialogue a déjà eu lieu, lors des dernières consultations nationales. Et des recommandations ont déjà été formulées. Il n'y a donc rien à dire de plus. « Nous pensons que ce qui est important aujourd’hui, c’est de centrer l’intérêt du pays et de la population sur le cycle électoral, qu’il faut tenir de manière apaisée et qu’il faut pouvoir aérer dans son calendrier, plutôt que réunir un second forum, explique à RFI Delly Sesanga. Il faut rappeler qu’il y a eu les concertations nationales qui ont donné lieu à une série de recommandations et on ne voit pas ce qui va être renouvelé aujourd’hui et qui n'est pas été dit. »
Pour l'UDPS, Kabila ne peut être « juge et partie »
Le parti UDPS refuse lui aussi de prendre part à ce dialogue. Le parti d'opposition s'était déclaré en faveur de discussions, mais précise que celles-ci devraient avoir lieu sous l'égide de la communauté internationale et ne pas être initiées par le président lui-même. « Le dialogue, tel que nous l’entendons à UDPS, c’est une initiative dès le départ de la communauté internationale. C’est dans ce cadre-là que nous nous sommes inscrits pour participer, explique à RFI Félix Tshisekedi, secrétaire national de l'UDPS chargé des relations extérieures, et non pas un dialogue initié par Joseph Kabila qui lui-même fait partie du problème. Parce qu’il ne faut pas oublier que, selon la feuille de route que nous proposons, il y a le problème du contentieux électoral de 2011 dont il faut discuter. Et là, nous avons reçu un écho favorable de l’émissaire de monsieur Kabila, qui se disait prêt à discuter de tous les sujets sans tabou. Ensuite, il faut valider la voie pour que l’on ait un processus électoral crédible et apaisé, et enfin discuter du sort de monsieur Kabila. » L'UPDS refuse donc de participer à un dialogue initié par le président Kabila, qui« est très mal placé pour être à la fois juge et partie. Voilà pourquoi nous avons demandé et attendu la médiation ou facilitation internationale pour arriver à ce dialogue. »
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
"RDC : l’Assemblée nationale recale le projet de loi sur la répartition des sièges aux élections locales
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/15/elections-locales-le-projet-de-loi-sur-la-repartition-des-sieges-recale-lassemblee-nationale/?utm_source=feednanga.com&utm_medium=referral&utm_campaign=Feednanga%20-%20Most%20shared%20links
L’Assemblée de la RDC a recalé samedi 13 juin le projet de loi portant répartition des sièges par circonscription électorale pour les élections municipales et locales. Ce projet comporte «des problèmes qui doivent nécessairement être réglés», a justifié Aubin Minaku, le président de l’Assemblée nationale. Une décision qui a mis d’accord les députés tant de l’opposition que de la majorité.
La loi sur la répartition des sièges pour les élections municipales et locales est un préalable pour que la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) puisse lancer l’appel à candidatures à ces scrutins prévus le 25 octobre de cette année. La Ceni a reporté le début du dépôt de candidatures aux élections communales et locales, prévu le 26 mai, faute d’avoir la loi sur la répartition des sièges.
Samedi, les députés qui examinaient le projet de loi en question ont estimé que ce document n’est pas recevable car il contient des erreurs.
«Vous avez des circonscriptions où il n’y a pas d’électeur mais on où retrouve un siège [à pourvoir]. C’est extrêmement grave. Vous avez aussi dans ce projet des localités ou des groupements inexistants. C’est pourquoi le président de l’Assemblée a tiré les conséquences et on a recalé cette loi », explique le député Toussaint Alonga.
Certains députés ont estimé que le projet de loi tel que déposé par le gouvernement ne reflète pas la réalité de terrain parce les données qu’il contient ne sont pas basées sur un recensement de la population. De plus, expliquent les mêmes sources, le projet du gouvernement manque de cohérence interne. Certaines circonscriptions qui comptent plus d’électeurs ont moins de sièges comparés à des circonscriptions qui ont peu d’électeurs.
«Il est indispensable de résoudre ces problèmes en amont», tranche le député Toussaint Alonga.
Le projet de loi attendu à l’Assemblée nationale le 4 avril 2015 a été déposé le 3 juin, soit avec un retard de deux mois. Et à moins de convoquer une session extraordinaire du parlement, les députés sont supposés aller en vacances dès ce lundi 15 juin jusqu’au 15 septembre. Face à ces contraintes du calendrier, Henri-Thomas Lokondo, député de la majorité, ne croit plus en l’organisation des élections communales, locales et municipales le 25 octobre 2015 comme le prévoit la Ceni.
«Nous allons en vacances pendant trois mois. Il serait techniquement impossible qu’elles soient organisées. C’est une manière de faire voir aux gens aussi que la volonté politique n’y était pas. On ne peut pas nous présenter une loi aussi importante en retard comme ça. Ajouter à cela, l’épineux problème financier, il est évident que les élections seront reportées pour 2017», analyse-t-il.
La Ceni, elle, affiche sa sérénité et tente l’apaisement :
«La Ceni avait conditionné le lancement d’inscription des candidats aux élections municipales et locales à l’adoption et la promulgation de cette loi. Si c’est une décision remise, la Ceni attend, il n’y a pas de problèmes. Comme moi, tout le monde a suivi que le président de l’Assemblée préconisait une session extraordinaire. Il peut avoir 30 jours ou 15 jours. Une affaire de 30 jours tout au plus, la Ceni attend, il n’y a pas mort d’homme pour ça», affirme Jean-Pierre Kalamba, rapporteur de la Commission électorale."
"Loi sur la répartition des sièges recalées : Boshab Invité à revoir sa copie"
° http://www.lephareonline.net/loi-sur-la-repartition-des-sieges-recalees-boshab-invite-a-revoir-sa-copie/
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6753
"Elections à venir : l’enrôlement des électeurs s’impose
° http://www.lephareonline.net/elections-a-venir-lenrolement-des-electeurs-simpose/
L’Histoire retiendra que les ‘’élections’’ présidentielle et législatives de novembre 2011 avaient eu lieu, certes, mais la question de crédibilité, transformée en une tare indélébile, poinçonnera à jamais la CENI de Monsieur Ngoy Mulunda ainsi que toutes les institutions issues de ces ‘’élections’’ !
En effet, toutes les missions d’observation tant nationales qu’internationales avaient considéré dans leurs conclusions que les résultats publiés par la CENI de Ngoy Mulunda n’étaient pas crédibles à la lumière des nombreuses irrégularités et fraudes constatées lors du processus électoral. Le Cardinal Monsengwo n’en concluait pas autrement : les résultats publiés par la CENI n’étaient pas conformes à la vérité, ni à la justice !
En conséquence, ces scrutins ne pouvaient valablement être pris au sérieux et, dans le processus, l’ordre institutionnel du 18 février 2006 a été gravement secoué, paralysant pratiquement le fonctionnement normal des institutions. Notre pays en souffre encore lourdement aujourd’hui.
En plus de multiples incidents de fraude et de bourrages d’urnes constatés, les missions d’observation avaient surtout épinglé l’absence de l’audit du fichier électoral avant les élections ainsi que le manque de transparence lors du nettoyage de ce même fichier. C’est ainsi que dans leurs recommandations, elles avaient mis un accent particulier sur l’audit et la révision du fichier électoral avant la tenue de toute élection future.
Pourtant, convaincue que la transparence et la crédibilité des élections ont pour socle la transparence du fichier électoral, l’Opposition congolaise en avait déjà fait une exigence dans son mémorandum du 26 juillet 2011 adressé à la CENI. Mais, plutôt que de suivre la voie de la raison, Monsieur Ngoy Mulunda, son Président, avait choisi de défier le peuple congolais : ‘’Kidiba te, élection ezali’’ ! Ne soyez pas distraits, les élections auront bel et bien lieu !
A ce jour, non seulement que l’on se souviendra de son entreprise comme d’une véritable scoumoune, mais aussi les autres élections provinciales qu’il devait organiser n’ont pas eu lieu, offrant ainsi aux députés provinciaux, gouverneurs et vice-gouverneurs ainsi qu’aux sénateurs un mandat supplémentaire sans élection, d’où l’illégitimité de ces institutions.
De celles qu’il a organisées, outre que plus de 3.000.000 d’électeurs par exemple avaient pu voter sur simple présentation de leurs cartes d’électeur, des millions d’autres ayant des cartes d’électeurs n’avaient pas trouvé leurs noms dans les bureaux de vote. A Kinshasa, sur les 3.287.745 enrôlés, seulement 1.813.409 ont pu voter alors qu’il y avait un empressement débordant des électeurs de Kinshasa pour aller voter en faveur de leur candidat.
Le fichier électoral trafiqué a eu des conséquences sur la répartition des sièges à l’Assemblée nationale. Par exemple, la Ville de Kinshasa qui avait 58 sièges en 2006 a vu ce nombre baisser jusqu’à 51 en 2011 alors qu’elle a la population la plus élevée de la République.
Cependant, l’opération d’audit du fichier réclamée par toutes les parties prenantes ainsi que les observateurs nationaux et internationaux avait pour objectif principal de s’assurer de l’authenticité des données envoyées au Centre National de Traitement par les différents bureaux d’enrôlement afin de vérifier que tous les détenteurs des cartes d’électeur étaient bel et bien repris sur les fichiers de la CENI. En fait, il s’agissait de déceler toutes les faiblesses du fichier électoral en vue de les corriger. Cela n’a jamais été fait.
A la place, la CENI de MaluMalu cette fois-ci a tenté très maladroitement d’ailleurs et à la limite de l’injure, de vendre aux Congolais l’opération dite de ‘’fiabilisation’’ du fichier électoral alors que les mécanismes de prise en compte des électeurs repris dans la base de données des enrôlés n’ont été ni vérifiés, ni audités par une structure indépendante.
Que fait la CENI des nouveaux majeurs ? Des déplacés ? Des personnes décédées ? Des Congolais qui habitaient à l’étranger et qui sont revenus au pays ? Des compatriotes expulsés dans l’humiliation la plus totale par les pays voisins ?
Le fait que Président de l’Assemblée nationale, lors de la plénière du 13 juin courant, n’ait pas pu conduire la procédure normale de l’examen et de l’adoption du projet de loi sur la répartition des sièges pour les élections communales et locales à son aboutissement, invoquant étonnamment le manque de temps, est la preuve que le fichier électoral sur base duquel s’est fondé le projet de loi est un faux et par conséquent non crédible du tout. Ce qui jette davantage le discrédit sur non seulement le fichier électoral mais aussi sur le gouvernement, porteur du projet, ainsi que sur la CENI, pourvoyeuse des données présentées.
Il est dès lors malheureux, voire pathétique d’entendre le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’intérieur et sécurité promettre aux députés que son ministère va procéder aux aménagements du projet de loi, d’un faux! Peut-être ferait-il mieux de se demander sur quelle base il pourrait le faire, étant donné que les données empiriques ne peuvent être corrigées que par des opérations sur terrain.
Si donc les données du fichier actuel sont corrompues à ce point, il est par conséquent hors de question d’utiliser le même fichier pour les élections provinciales !
Maintenant, si les congolais veulent d’une part laver l’affront de la honte nationale que constitue le chaos électoral de novembre 2011, et d’autre part tiennent à organiser des élections transparentes et crédibles dans les délais constitutionnels et ainsi honorer nos martyrs de la liberté et de la démocratie de la semaine du 19 au 25 janvier 2015, il est impératif que la CENI puisse arrêter son entêtement suicidaire, se raviser urgemment en procédant à l’opération d’enrôlement de tous les électeurs afin de constituer un fichier électoral crédible. C’est la condition sine qua non pour des élections transparentes.
Sinon, que restera-t-il encore du processus électoral en cours ? Nous disons : rien, sauf une vaste escroquerie susceptible de provoquer des tensions supplémentaires difficilement maîtrisables lors des prochaines élections.
A ce stade du processus, seule la Résolution 2211 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies du 26 mars 2015, en son point 20 précisément, nous offre une issue salutaire en nous recommandant ‘’d’actualiser en toute régularité les listes électorales afin que les élections puissent se tenir dans les temps, en particulier la présidentielle et les législatives de novembre 2016 prévues par la Constitution…’’. Ainsi, l’enrôlement s’impose.
Le peuple congolais est vigilant et observe en identifiant tous ceux qui essaient de se mettre sur le chemin de son rêve démocratique pour l’en empêcher. Ils répondront de leurs actes !
Jusques à quand abuserez-vous de la patience du peuple congolais ? Sommes-nous vraiment incapables d’être le Nigéria aussi ?
A ceux qui l’auront déjà oublié, il est utile de leur rappeler ici que le 08 juillet 2014, le Président Obama avait amendé l’Executive Order 13413 du 27 octobre 2006 sur la RDC ajoutant les nouveaux critères pour sanctionner les personnes, responsables directement ou indirectement, notamment:
- d’actes ou de politiques qui menacent la paix, la sécurité ou la stabilité de la RD Congo;
- d’actes, de politiques ou de soutiens aux personnes qui minent le processus démocratique ou les institutions en RD Congo ;
Et, pour une fois, nous vous en conjurons, suivez la voie de la raison. Tout le monde y gagnera !
A bon entendeur salut !
Que Dieu bénisse la RDC
Fait à Kinshasa, le 14 juin 2015
Martin M. Fayulu
Député, Président de l’ECiDé et Coordonnateur des FAC"
"Loi sur la répartition des sièges : Mayo dénonce de fausses statistiques
° http://www.lephareonline.net/loi-sur-la-repartition-des-sieges-mayo-denonce-de-fausses-statistiques/
Le vice-premier ministre en charge de l’Intérieur, Evariste Boshab, a présenté le projet de loi du gouvernement portant la répartition des sièges pour les élections municipales, locales, et urbaines à la plénière du vendredi 5 juin 2015 à l’Assemblée nationale, sur fond des critiques très sévères des députés aussi bien de la Majorité que l’Opposition.
Parmi les députés qui ont exigé son rejet, figure celui de l’Union pour la Nation Congolaise, Jean-Baudouin Mayo
Dans son intervention, cet élu de Kinshasa pour le compte de l’UNC a demandé à ses collègues députés, toutes tendances confondues, d’inviter le patron de l’intérieur à revoir sa copie déposée à la sauvette pour ne pas cautionner la forfaiture
Il a affirmé qu’à 8 jours de la fin de la session, les deux chambres du parlement ne pourraient examiner froidement ce projet de loi, pourtant très sensible pour un processus électoral voulu apaisé.
Mayo a relevé le caractère inconstitutionnel de la loi sur la répartition des sièges qui n’a pas intégré les nouveaux majeurs, en violation de l’article 5 de la Constitution
Il a souligné que ces nouveaux majeurs évalués à 8 millions, exclus du processus électoral, équivalent à la population de certains pays africains, tels que le Gabon et le Congo- Brazza
Dans son coup de gueule, Mayo a qualifié ce projet de loi de faux document avec des statistiques qui ressortent des officines du ministère de l’intérieur et non du terrain.
Ce député de l’UNC a parlé d’extrapolation des chiffres dans ce projet de loi qui intègre la nouvelle configuration territoriale et administrative.
D’où viennent les chiffres de ces nouveaux groupements, nouvelles villes et nouveaux villages qui n’ont pas connu d’enrôlement? s’est- il interroger, avant de répertorier dans le projet de loi, plusieurs groupements comprenant plusieurs villages avec zéro électeur, donc sans siège.
Mayo a rappelé que ce projet de loi remet en cause une résolution des concertations nationales qui avait recommandé la suspension du décret du premier ministre portant sur la nouvelle organisation territoriale et administrative pour ne pas perturber le processus électoral
Ce haut cadre de l’UNC a dénoncé l’inopportunité de cette loi dans le contexte politique actuel marqué par les consultations initiées par le chef de l’Etat pour un dialogue et le cadre de concertation entre les acteurs de la majorité et de l’opposition mis en place par la CENI pour un processus électoral apaisé, surtout que les chiffres établis par dit projet de loi n’ont pas tenu compte des 30 millions d’électeurs publiés par la CENI après son opération de fiabilisation du fichier électoral.
L’anticipation du gouvernement ne se justifie pas, poursuit-il, alors que la CENI a demandé aux groupes parlementaires de mandater leurs de délégués pour l’audit du fichier électoral.
Il a ajouté que le nombre des sièges dans cette loi ne tient pas compte du poids démographique de chaque entité.
Pour tout dire, ce proche de Kamerhe voit dans cette loi défendue par Boshab, une stratégie de pourriture du pouvoir en place pour obtenir le glissement tant redouté.
Baudouin Mayo a conseillé les députés de la majorité et de l’opposition de faire front républicain pour le rejet de cette loi qui risque de faire imploser le pays."
"CENI : l’état des lieux du processus électoral expliqué aux partenaires nationaux et internationaux"
° http://latempete.info/ceni-letat-des-lieux-du-processus-electoral-explique-aux-partenaires-nationaux-et-internationaux/
"Frictions diplomatiques autour du financement des élections en RDC
° http://www.rtbf.be/info/monde/detail_frictions-diplomatiques-autour-du-financement-des-elections-en-rdc?id=9005811
Écoutez
La question du financement des élections en République démocratique du Congo (RDC) complique de nouveau les relations entre la communauté internationale et Kinshasa, alors qu'une partie de l'opposition rejette le "dialogue national" recherché par le président Joseph Kabila en vue d'obtenir un consensus sur le calendrier électoral.
Le calendrier électoral, un enjeu stratégique important pour la RDC.
La RDC se prépare pour une série d'élections: quatre scrutins au suffrage direct (et plusieurs autres, indirects) censés démarrer en octobre pour s'achever par la présidentielle en novembre 2016.
Le pays traverse une crise politique depuis la réélection de M. Kabila en 2011 à l'issue d'élections marquées par des fraudes massives. Le climat politique est particulièrement tendu depuis le début de l'année et les violences meurtrières qui ont accompagné l'examen de la nouvelle loi électorale au Parlement.
L'insistance avec laquelle les Occidentaux demandent à M. Kabila de quitter le pouvoir fin 2016 est également très mal perçue par Kinshasa et entraîne régulièrement des frictions diplomatiques.
La Constitution interdit au président Kabila, au pouvoir depuis 2001, de se représenter. L'opposition dans son ensemble et une partie de la majorité soupçonnent le chef de l'État de chercher à tout faire pour se maintenir à son poste au-delà de la fin de son second quinquennat.
Kabila pour un troisième mandat ?
Début juin, M. Kabila a entamé des consultations politiques en vue de la tenue d'un "dialogue national" destiné à obtenir un consensus sur les élections. D'une manière générale, l'opposition apparaît réticente à engager le dialogue, craignant une manoeuvre pour retarder les élections.
Jeudi, le président a reçu les chefs de missions diplomatiques accrédités à Kinshasa. Lors de cette réunion, les représentants de l'Union européenne et des Nations unies ont dit au président que l'ONU et l'UE comptaient limiter leur soutien, sous conditions, à la présidentielle et aux législatives de 2016.
Selon des sources diplomatiques, le chef de la Mission de l'ONU au Congo (Monusco), Martin Kobler, et l'ambassadeur de l'UE ont recommandé au président de mettre l'accent sur ces deux scrutins, quitte à organiser après novembre 2016 les autres élections censées avoir lieu avant cette date.
"Le gouvernement s'inscrit en faux contre l'idée selon laquelle il existerait des élections plus importantes que d'autres", a réagi le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, dans un communiqué. "La matière électorale relève de la souveraineté d'un peuple", a-t-il ajouté.
L'UE et les États-Unis ont dit à plusieurs reprises être prêts à soutenir financièrement le processus électoral en RDC mais tardent à débloquer des fonds.
L'organisation des élections, un enjeu stratégique primordial
La Commission électorale nationale indépendante (Céni) évalue le coût des élections de 2015 et 2016 à 1,2 milliard de dollars. Des hommes politiques de l'opposition comme de la majorité ont mis en garde contre le fait que l'État congolais, qui dispose d'un budget d'environ neuf milliards de dollars pour 2015, n'avait pas les ressources pour assumer seul une telle charge.
Certains opposants craignent que la tenue des élections locales, provinciales et sénatoriales avant la présidentielle et les législatives de 2016 ne consomme tous les fonds disponibles et n'entraîne un report de ces deux derniers scrutins.
Plusieurs hommes politiques, diplomates ou analystes, s'inquiètent également de la capacité du pays à organiser, sans soutien logistique extérieur, les scrutins prévus, dans un pays grand comme 80 fois la Belgique et largement dépourvu d'infrastructures.
D'autres déplorent que la Céni ait exclu de fait des listes électorales des provinciales et locales tous les jeunes devenus majeurs depuis 2011.
Vendredi, au sortir d'une réunion avec la Céni, le directeur de la division des Affaires politiques de la Monusco, Ray Torres, a rappelé que l'ONU ne fournirait un soutien logistique et technique à la RDC que si elle juge "crédible" l'ensemble du processus électoral.
Début juin, le cercle de réflexion International Crisis Group (ICG) a invité la communauté internationale a ne "pas commettre les mêmes erreurs qu'en 2011", mais à "se tenir prête à retirer son soutien si le processus électoral est biaisé".
A l'époque, l'ONU avait apporté un soutien logistique important aux élections, notamment en acheminant le matériel de vote en de nombreux points du pays."
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12612:rdc-la-question-du-financement-des-elections-est-sans-cesse-esquivee-par-le-gouvernement-le-parlement-et-la-ceni&catid=90:online-depeches
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12609:elections-en-rdc-le-president-kabila-a-invite-ceux-qui-le-pouvaient-a-mettre-a-la-disposition-de-la-ceni-les-moyens-de-son-action&catid=90:online-depeches
"La Monusco conditionne son appui à la Ceni"
° http://www.lephareonline.net/la-monusco-conditionne-son-appui-a-la-ceni/
° http://groupelavenir.org/face-a-la-conditionnalite-de-la-communaute-internationale/
° http://www.rfi.fr/afrique/20150613-rdc-ceni-elections-calendrier-reunion-ambassadeurs-kinshasa-ong/
° http://radiookapi.net/regions/national/2015/06/12/elections-provinciales-traitement-des-candidatures-recues/
° http://radiookapi.net/actualite/2014/11/26/rdc-la-ceni-ne-pourra-pas-organiser-les-elections-locales-avant-2017-selon-la-linelit/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/15/elections-locales-le-projet-de-loi-sur-la-repartition-des-sieges-recale-lassemblee-nationale/?utm_source=feednanga.com&utm_medium=referral&utm_campaign=Feednanga%20-%20Most%20shared%20links
Compatriotiquement!
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC : la Démocratie chrétienne décrie l’impasse politique que traverse le pays / AGENCE D’INFORMATION D’AFRIQUE CENTRALE
par FreeDiomi le 17 juillet 2015
RDC : la Démocratie chrétienne décrie l’impasse politique que traverse le pays
Jeudi 16 Juillet 2015 – 17:30
Ce parti politique a dit inviter particulièrement l’opposition politique congolaise et la société civile progressistes à « ne pas céder à toute forme de compromission qui risquerait de compromettre le futur de la nation congolaise et mettre définitivement un terme à son processus de démocratisation déjà gravement entaché par des violations massives des droits de l’Homme ainsi que des droits civils et politiques des citoyens congolais ».
Pour la DC, le phénomène de la multiplication des prisonniers politiques et l’instrumentalisation de la justice sont les symptômes les plus graves d’ une société malade à cause de la privation de ses libertés fondamentales et la chosification de ses citoyens qui sont expressément privés de la voix de ceux qui osent parler en leur nom afin que la gabegie financière, les détournements de l’argent du contribuable congolais à travers une gestion non budgétaire des recettes publiques se poursuivent. « Face à ces dérives dignes d’un pays à l’abandon et dominé par la répression politique et la mauvaise gouvernance, il sied de se demander, comme justement fait une partie éclairée de la diaspora congolaise, que pouvons-nous attendre d’un processus électoral piège et congelé, qui évolue, de plus, dans un contexte de répression politique et violation massive des droits humains ? », s’est-elle demandé.
Lucien Dianzenza
http://www.adiac-congo.com/content/rdc-la-democratie-chretienne-decrie-limpasse-politique-que-traverse-le-pays-35455
par FreeDiomi le 17 juillet 2015
RDC : la Démocratie chrétienne décrie l’impasse politique que traverse le pays
Jeudi 16 Juillet 2015 – 17:30
Pour le parti d’Eugène Diomi Ndongala, cette situation risque d’aboutir à « une crise politique majeure et mortifère » pour le peuple congolais.
Dans une déclaration rendue publique le 16 juillet, à l’issue de sa réunion tenue le 14 du même mois, le Bureau politique de la Démocratie chrétienne (DC) a dénoncé « la grave impasse politique que vit la RDC ».Selon ce parti politique, ladite impasse politique actuelle se caractérise notamment par « la caducité objective de l’actuel calendrier électoral publié par la Céni, qui d’ailleurs avait fait l’objet d’âpres critiques aussi bien de la population congolaise que des analystes politiques, à cause de son caractère irréaliste, certainement dû à son manque d’indépendance », « la mise en place de nouvelles entités administratives à la hâte, sans programmation et sans budget, accompagnée d’une mise en place des institutions provinciales qui n’est pas conforme à l’actuelle Constitution en vigueur », « la prétendue tenue d’un dialogue politique censé résoudre l’impasse politique actuelle surtout en matière électorale, qui demeure un leurre sans aucun signe concret de lancement et organisation dans un délai raisonnable et qui soit respectueux des préalables de l’ opposition politique ».
Pour la DC, en effet, à la place, les Congolais ont eu droit a une sorte de monologue du chef de l’Etat, « qui tend à infantiliser le peuple congolais plutôt que l’éclairer, une fois pour toute, sur sa réelle volonté de respecter la limite de mandats présidentiels, selon les termes et les temps strictement définis par la Constitution en vigueur ».Le parti d’Eugène Diomi Ndongala fait également constater qu’aucun signe concret de décrispation politique devant précéder le lancement effectif d’un véritable processus électoral digne de ce nom n’est observé. « Les résolutions du Forum politique nommé Concertations politiques sont restées sans suite, même en ce qui concerne les prisonniers politiques nommément cités par les résolutions politiques et qui croupissent encore dans les geôles du régime », a souligné cette formation politique qui a, par là, visé notamment Eugene Diomi Ndongala, Kikunda et Yangambi.
Non à la compromissionLa DC dit, par conséquent, alerter l’opinion nationale et internationale sur les conséquences dangereuses pour la paix dans le pays, de la « stratégie du chaos » qui « manifestement est prônée par les actuels animateurs des institutions politiques issus des élections frauduleuses de 2011, dans l’objectif néfaste et irresponsable d’amener le pays face à une situation d’absence aussi bien de dialogue politique que d’organisation d’élections crédibles et respectueuses des contraintes constitutionnelles ».
Ce parti politique a dit inviter particulièrement l’opposition politique congolaise et la société civile progressistes à « ne pas céder à toute forme de compromission qui risquerait de compromettre le futur de la nation congolaise et mettre définitivement un terme à son processus de démocratisation déjà gravement entaché par des violations massives des droits de l’Homme ainsi que des droits civils et politiques des citoyens congolais ».
Pour la DC, le phénomène de la multiplication des prisonniers politiques et l’instrumentalisation de la justice sont les symptômes les plus graves d’ une société malade à cause de la privation de ses libertés fondamentales et la chosification de ses citoyens qui sont expressément privés de la voix de ceux qui osent parler en leur nom afin que la gabegie financière, les détournements de l’argent du contribuable congolais à travers une gestion non budgétaire des recettes publiques se poursuivent. « Face à ces dérives dignes d’un pays à l’abandon et dominé par la répression politique et la mauvaise gouvernance, il sied de se demander, comme justement fait une partie éclairée de la diaspora congolaise, que pouvons-nous attendre d’un processus électoral piège et congelé, qui évolue, de plus, dans un contexte de répression politique et violation massive des droits humains ? », s’est-elle demandé.
Lucien Dianzenza
http://www.adiac-congo.com/content/rdc-la-democratie-chretienne-decrie-limpasse-politique-que-traverse-le-pays-35455
KOTA
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
"Kinshasa: lancement du processus d’audit externe du fichier électoral de la Ceni
° http://radiookapi.net/actualite/2015/07/17/kinshasa-lancement-du-processus-daudit-externe-du-fichier-electoral-de-la-ceni/
Une équipe d’experts de l’Organisation Internationale Francophone (OIF) a entamé, vendredi 17 juillet à Kinshasa, l’opération d’enquête sur le fichier électoral de la RDC. Ces experts francophones se sont entretenus tour à tour avec des membres de la Ceni, des acteurs de l’opposition, de la Majorité ainsi que des membres de la société civile pour avaliser leur méthode de travail.
Le chef de la délégation d’experts de l’OIF, général Sika Sangare a expliqué la nécessité de l’audit de ce fichier pour la RDC:
«La problématique du fichier électoral se pose dans tous les pays de l’espace Francophone. Déjà, ici, en 2011, le fichier électoral était au cœur de contestations électorales. Toutes les missions d’observation, dans leurs rapports, on peut ressortir des faiblesses».
Il a salué la volonté manifeste de la Ceni de disposer d’un fichier électoral fiable, en s’engageant dans une opération de correction globale des faiblesses identifiées en 2011 non seulement par les acteurs politiques mais également par des missions d’observation.
«Nous avons apprécié le travail de la Ceni qui a été fait et l’état général du fichier électoral. Partant de là, nous allons procéder à une analyse approfondie du fichier dans toutes ses dimensions et porter un jugement après», a poursuivi lé général Sika Sangare.
L’OIF fait partie d’observateurs internationaux des élections en Afrique francophone. Des experts électoraux de cette organisation internationale sont venus auditer le fichier électoral de la RDC sur invitation de la Ceni, pour la tenue des élections transparentes et crédibles en RDC.
L’opération d’audit du fichier électoral congolais intervient deux mois après que la Ceni a présenté les résultats des opérations menées dans le cadre de la fiabilisation du fichier électoral et la stabilisation de la cartographie opérationnelle.
Le fichier électoral congolais actualisé contient 30 682 599 électeurs. Ce résultat a permis à l’institution électorale de préparer les élections urbaines, municipales et locales, annoncées au second semestre de 2015.[
A l’issue des élections de 2011, un certain nombre de recommandations avaient été faites notamment par l’Assemblée nationale, au regard des difficultés rencontrées sur le terrain.
Elles portaient notamment sur la fiabilisation du fichier électoral et la stabilisation des cartographies opérationnelles, a rappelé Jean-Pierre Kalamba, rapporteur de la Ceni."
"Communiqué de presse : Fiabiliser le fichier électoral
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10087
Lors de leur point de presse du 2 juillet dernier, les Forces Acquises au Changement (F.A.C.) avaient exigé l’enrôlement de tous les électeurs, c’est-à-dire de tous les Congolais majeurs, en vue de produire des nouvelles cartes d’électeurs plus fiables et confectionner ainsi un fichier électoral crédible. Cette démarche a l’avantage de résoudre toutes les faiblesses du fichier électoral corrompu actuel et de vider en même temps la question de la violation de l’article 5 de la Constitution.
Pour mettre cette exigence en pratique, depuis le 15 juillet, les F.A.C. ont commencé une campagne d’information de la population congolaise sur les enjeux et les préalables non négociables, même par le dialogue, du processus des élections de 2016. Vous trouverez ciaprès les photos des leaders des FAC
menant cette campagne dans les rues de Kinshasa.
Le premier préalable non négociable est celui de l’enrôlement de tous les électeurs pour créer un fichier électoral crédible qui est le gage des élections paisibles et transparentes pour les raisons suivantes :
1. Le fichier électoral de 2011 ne contient pas les nouveaux majeurs depuis mars 2011 (par exemple un enfant qui avait 14 ans en 2011 aura 18 ans en 2016) ;
2. Le fichier électoral de 2011 ne reprend pas les Congolais majeurs revenus au pays après mars 2011 (par exemple les étudiants qui ont terminé leurs cycles d’études à l’étranger) ;
3. Le fichier électoral de 2011 ne reprend pas les Congolais expulsés des pays étrangers (par exemple ceux qui ont été expulsés du Congo-Brazzaville) ;
4. Le fichier électoral de 2011 ne tient pas compte des changements d’adresses (par exemple quelqu’un qui a quitté un arrondissement électoral pour un autre) ;
5. Le fichier électoral de 2011 ne tient pas compte des cas de décès. Il reprend les personnes décédées.
Le fichier électoral de 2011 n’est donc plus crédible pour les élections de 2016. On ne peut pas continuer à escroquer les droits civils et politiques des Congolais.
Pour ce faire, les F.A.C. exigent le respect de l’article 5 de la Constitution qui dit : « La souveraineté nationale appartient au peuple. Tout pouvoir émane du peuple qui l’exerce directement par voie de référendum ou d’élections et indirectement par ses représent ants . Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. La loi fixe les conditions d’organisation des élections et du référendum. Le suffrage est universel, égal et secret. Il est direct ou indirect. Sans préjudice des disposit ions des articles 72, 102 et 106 de la présente Constituti on, sont électeurs et éligibles, dans les conditions déterminées par la loi, tous les Congolais de deux sexes, âgés de dix - huit ans révolus et jouissant de leurs droits civiles et politiques. »
Le Secrétariat national en charge des Relations Extérieures invite les Compatriotes de la diaspora à prendre part à cette campagne d’information de la population congolaise sur ses droits les plus sacrés notamment celui de se choisir ses représentants.
Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo
Salutations patriotiques
Pour ECiDé
Athanase Mapessa
Secrétaire National en charge des Relations Extérieures"
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 26/7/2015, 12:32 pm, édité 1 fois
ndonzwau
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Election des gouverneurs: la Ceni rappelle les conditions d’éligibilité
http://radiookapi.net/actualite/2015/07/25/election-des-gouverneurs-la-ceni-rappelle-les-conditions-deligibilite/
Le dépôt de candidature pour l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs des provinces nouvellement créées a commencé vendredi 24 juillet. L’opération qui s’effectue dans les vingt et un secrétariats exécutifs provinciaux de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) implantés dans chaque nouvelle province, s’achève mardi 28 juillet.
A cette occasion, la Ceni a tenu à rappeler les conditions d’éligibilité à ce scrutin.
Selon le rapporteur de la Ceni, Jean Pierre Kalamba, il faut :
◾Être de nationalité congolaise;
◾Etre âgé de 18 ans au moment du dépôt de candidature;
◾Jouir de la plénitude de ses droits civiques et politiques;
◾Avoir la qualité d’électeur ou se faire enrôler si on était à l’étranger;
◾Avoir un diplôme de graduat au moins, ou justifier d’une expérience professionnelle d’au moins cinq ans attestée.
Il faut par ailleurs remplir une lettre de consentement conforme au modèle fixé par la Ceni, signée par le candidat lui-même, une fiche d’identité, suivie d’un curriculum vitae détaillé, quatre photos passeports, un symbole ou un logo de son parti politique ou regroupement politique.
A côté de cela, ajoute le rapporteur de la Ceni, il faut avoir une attestation de naissance et un récépissé de versement dans le compte du trésor public des frais de dépôt de candidature non remboursables, soit 2,5 millions de francs congolais (2 717 dollars américains) par liste.
...
http://radiookapi.net/actualite/2015/07/25/election-des-gouverneurs-la-ceni-rappelle-les-conditions-deligibilite/
Le dépôt de candidature pour l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs des provinces nouvellement créées a commencé vendredi 24 juillet. L’opération qui s’effectue dans les vingt et un secrétariats exécutifs provinciaux de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) implantés dans chaque nouvelle province, s’achève mardi 28 juillet.
A cette occasion, la Ceni a tenu à rappeler les conditions d’éligibilité à ce scrutin.
Selon le rapporteur de la Ceni, Jean Pierre Kalamba, il faut :
◾Être de nationalité congolaise;
◾Etre âgé de 18 ans au moment du dépôt de candidature;
◾Jouir de la plénitude de ses droits civiques et politiques;
◾Avoir la qualité d’électeur ou se faire enrôler si on était à l’étranger;
◾Avoir un diplôme de graduat au moins, ou justifier d’une expérience professionnelle d’au moins cinq ans attestée.
Il faut par ailleurs remplir une lettre de consentement conforme au modèle fixé par la Ceni, signée par le candidat lui-même, une fiche d’identité, suivie d’un curriculum vitae détaillé, quatre photos passeports, un symbole ou un logo de son parti politique ou regroupement politique.
A côté de cela, ajoute le rapporteur de la Ceni, il faut avoir une attestation de naissance et un récépissé de versement dans le compte du trésor public des frais de dépôt de candidature non remboursables, soit 2,5 millions de francs congolais (2 717 dollars américains) par liste.
...
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Bishop ELYSEE félicite KABILA pour le Dialogue
Il est devenu un combattant intelligent. Respect mutuel dans la diversité. EYINDI!!!
Il est devenu un combattant intelligent. Respect mutuel dans la diversité. EYINDI!!!
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
http://radiookapi.net/actualite/2015/07/25/election-des-gouverneurs-la-ceni-rappelle-les-conditions-deligibilite/
Le dépôt de candidature pour l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs des provinces nouvellement créées a commencé vendredi 24 juillet. L’opération qui s’effectue dans les vingt et un secrétariats exécutifs provinciaux de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) implantés dans chaque nouvelle province, s’achève mardi 28 juillet.
A cette occasion, la Ceni a tenu à rappeler les conditions d’éligibilité à ce scrutin.
Selon le rapporteur de la Ceni, Jean Pierre Kalamba, il faut :
◾Être de nationalité congolaise;
◾Etre âgé de 18 ans au moment du dépôt de candidature;
◾Jouir de la plénitude de ses droits civiques et politiques;
◾Avoir la qualité d’électeur ou se faire enrôler si on était à l’étranger;
◾Avoir un diplôme de graduat au moins, ou justifier d’une expérience professionnelle d’au moins cinq ans attestée.
Il faut par ailleurs remplir une lettre de consentement conforme au modèle fixé par la Ceni, signée par le candidat lui-même, une fiche d’identité, suivie d’un curriculum vitae détaillé, quatre photos passeports, un symbole ou un logo de son parti politique ou regroupement politique.
A côté de cela, ajoute le rapporteur de la Ceni, il faut avoir une attestation de naissance et un récépissé de versement dans le compte du trésor public des frais de dépôt de candidature non remboursables, soit 2,5 millions de francs congolais (2 717 dollars américains) par liste.
CONTRADICTION & COMPLICATION ?
Il ya toujours une discution intense...entre ceux qui souhaitent faire respecter la Constitution...en exigeant que les congolais âgés de 18 ans puissent avoir le droit de se faire élire et de voter...et le gouvernement congolais qui exige que le fichier de réference pour les élections soit celui de 2006 donc exit les nouveaux "majeurs" âgés de 18 ans depuis ...
Quand la Ceni "autorise" les congolais âgés de 18...de se faire élire..alors que la question de l´enrôlement de ces jeunes majeurs..n´est toujours pas reglée
Même Joé Kanambe est en faveur...de l´enrôlement des jeunes majeurs..tandis que son propre gouvernement s´y oppose (lire sur ALLAFRICA )
BIG QUESTION**
Comment autoriser les congolais âgés de 18 ans d´être des..candidats quand ils ne figurent même pas sur le fichier électoral de la Ceni?
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Elections locales: l’Assemblée nationale adopte le projet de loi sur la répartition des sièges
http://radiookapi.net/actualite/2015/07/25/elections-locales-lassemblee-nationale-adopte-le-projet-de-loi-sur-la-repartition-des-sieges/
L’Assemblée nationale a adopté, samedi 25 juillet, le projet de loi sur la répartition des sièges par circonscription électorale pour les élections municipales et locales. Ce texte a été présenté à la Chambre basse du Parlement par le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Evariste Boshab, accompagné du rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Jean-Pierre Kalamba.
L’adoption de ce projet de loi, intervenue après quelques amendements de la part des députés nationaux et à l’absence d’un grand nombre de députés de l’opposition, vient ainsi de baliser la voie pour l’organisation des élections municipales, urbaines et locales en RDC.
Le principal amendement concernait l’intitulé même dudit projet d’autant plus qu’il s’agissait de l’annexe de la loi électorale.
«Il a fallu que l’énoncé soit aussi clarifié pour que finalement il n’y ait pas des contradictions quant à la loi fondamentale», a souligné le député Henri-Thomas Lokondo.
Ainsi, avant la seconde lecture de ce texte, prévue au Sénat, la voie s’ouvre tout de même pour la Ceni d’entamer l’inscription des candidats aux élections municipales et locales, prévus le 25 octobre de cette année.
Au sortir de l’audience, le rapporteur de la Ceni, Jean-Pierre Kalamba n’a pas caché ses sentiments de satisfaction :
«La tâche est déjà facilitée dès lors qu’on accepte le texte qui bloquait l’inscription des candidats aux élections communales et des secteurs et chefferies ».
En effet, avec les décrets du 13 juin 2013 conférant le statut de ville et commune à certaines agglomérations, il était difficile d’établir une répartition équitable des sièges dans les circonscriptions électorales qui était ainsi instituées, conformément aux nombres d’électeurs inscrits.
...
http://radiookapi.net/actualite/2015/07/25/elections-locales-lassemblee-nationale-adopte-le-projet-de-loi-sur-la-repartition-des-sieges/
L’Assemblée nationale a adopté, samedi 25 juillet, le projet de loi sur la répartition des sièges par circonscription électorale pour les élections municipales et locales. Ce texte a été présenté à la Chambre basse du Parlement par le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Evariste Boshab, accompagné du rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Jean-Pierre Kalamba.
L’adoption de ce projet de loi, intervenue après quelques amendements de la part des députés nationaux et à l’absence d’un grand nombre de députés de l’opposition, vient ainsi de baliser la voie pour l’organisation des élections municipales, urbaines et locales en RDC.
Le principal amendement concernait l’intitulé même dudit projet d’autant plus qu’il s’agissait de l’annexe de la loi électorale.
«Il a fallu que l’énoncé soit aussi clarifié pour que finalement il n’y ait pas des contradictions quant à la loi fondamentale», a souligné le député Henri-Thomas Lokondo.
Ainsi, avant la seconde lecture de ce texte, prévue au Sénat, la voie s’ouvre tout de même pour la Ceni d’entamer l’inscription des candidats aux élections municipales et locales, prévus le 25 octobre de cette année.
Au sortir de l’audience, le rapporteur de la Ceni, Jean-Pierre Kalamba n’a pas caché ses sentiments de satisfaction :
«La tâche est déjà facilitée dès lors qu’on accepte le texte qui bloquait l’inscription des candidats aux élections communales et des secteurs et chefferies ».
En effet, avec les décrets du 13 juin 2013 conférant le statut de ville et commune à certaines agglomérations, il était difficile d’établir une répartition équitable des sièges dans les circonscriptions électorales qui était ainsi instituées, conformément aux nombres d’électeurs inscrits.
...
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
POLITIK ?
Voilà un parlement qui va plonger dans le chaos une fois de plus: Faut-il enrôler les nouveaux majeurs et garder la même repartition des sièges?
On ne peut pas "voter" une loi de repartition des sièges...en violant le DROIT des citoyens congolais "majeurs" dont on souhaite EXCLURE injustement des élections
L´action du Parlement est **anti-constitutionelle...si la Cours Constitutionelle existe..cette loi ne peut pas passer car violant la Constitution
On ne peut pas organiser des élections au mois d´octobre..et au mois d´août sans enrôler les nouveaux majeurs..¤¤Facteur qui exige une révision du fichier électoral...et une repartition des sièges basée sur un nouveau fichier plus fiable qui reprendra les noms de TOUS les nouveaux majeurs
Helas, nous sommes au Congo..où le Président lui même parle de l´enrôlement des nouveaux majeurs...tandis que sa majorité s´y oppose et même son gouvernement aussi:lol:
WAIT AND SEE...comme Kengo va agir..une fois de plus: Exclure les jeunes majeurs et se battre pour eux ?
Voilà un parlement qui va plonger dans le chaos une fois de plus: Faut-il enrôler les nouveaux majeurs et garder la même repartition des sièges?
On ne peut pas "voter" une loi de repartition des sièges...en violant le DROIT des citoyens congolais "majeurs" dont on souhaite EXCLURE injustement des élections
L´action du Parlement est **anti-constitutionelle...si la Cours Constitutionelle existe..cette loi ne peut pas passer car violant la Constitution
On ne peut pas organiser des élections au mois d´octobre..et au mois d´août sans enrôler les nouveaux majeurs..¤¤Facteur qui exige une révision du fichier électoral...et une repartition des sièges basée sur un nouveau fichier plus fiable qui reprendra les noms de TOUS les nouveaux majeurs
Helas, nous sommes au Congo..où le Président lui même parle de l´enrôlement des nouveaux majeurs...tandis que sa majorité s´y oppose et même son gouvernement aussi:lol:
WAIT AND SEE...comme Kengo va agir..une fois de plus: Exclure les jeunes majeurs et se battre pour eux ?
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
[color=#006699] C LUTUNDULA...LE DEVOIR D´UN JURISTE...[/color]
Ils ne sont pas si nombreux dans les rangs de la majorité qui ..se souvienent posseder un savoir "juridique"** Même certains d´entre eux qui enseignent le "droit" dans les universités..ont oubliés leur savoir*
¤ C Lutundula, parlementaire de l´opposition et juriste..fait exception* En effet, sur le site de Radio Okapi il prend position en faveur de l´enrôlement des jeunes majeurs
La seule justification selon lui reste le "respect de la Constitution"¤ Il insiste comme ceux de l´opposition qu´on ne peut jamais priver les congolais âgés de 18 de leur DROIT de se faire élire et d´élire les dirigeants au Congo
Il ne reste que Joé Kanambe him self ..ce que le Président de la RDC dans son discours du 30 juin...reprend cette exigeance soulevée par l opposition**
¤ Pour Boshab, les élections locales ne peuvent-être retardées..même si le financement n´est pas visible..ni disponible..Boshab qui enseigne le DROIT á l´Unikin..ne se soucie pas tellement de la Constitution et serait determiné á priver les jeunes majeurs de leur DROIT**
Ils ne sont pas si nombreux dans les rangs de la majorité qui ..se souvienent posseder un savoir "juridique"** Même certains d´entre eux qui enseignent le "droit" dans les universités..ont oubliés leur savoir*
¤ C Lutundula, parlementaire de l´opposition et juriste..fait exception* En effet, sur le site de Radio Okapi il prend position en faveur de l´enrôlement des jeunes majeurs
La seule justification selon lui reste le "respect de la Constitution"¤ Il insiste comme ceux de l´opposition qu´on ne peut jamais priver les congolais âgés de 18 de leur DROIT de se faire élire et d´élire les dirigeants au Congo
Il ne reste que Joé Kanambe him self ..ce que le Président de la RDC dans son discours du 30 juin...reprend cette exigeance soulevée par l opposition**
¤ Pour Boshab, les élections locales ne peuvent-être retardées..même si le financement n´est pas visible..ni disponible..Boshab qui enseigne le DROIT á l´Unikin..ne se soucie pas tellement de la Constitution et serait determiné á priver les jeunes majeurs de leur DROIT**
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Élections des gouverneurs : le dépôt des candidatures prolongé au 28 août
http://radiookapi.net/actualite/2015/07/28/elections-des-gouverneurs-le-depot-des-candidatures-prolonge-au-28-aout/
Initialement prévu pour mardi 28 juillet, le dépôt des candidatures pour l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs est repoussé au 28 août prochain, a annoncé le rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Jean-Pierre Kalamba, à l’issue d’une plénière de la centrale électorale organisée à Kinshasa. Cette prolongation occasionne aussi le réaménagement du calendrier de l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs. Celle-ci aura lieu 6 octobre prochain au lieu du 31 août, date initiale.
Jean-Pierre Kalamba explique que ce report est notamment du « aux difficultés logistiques pour les candidats gouverneurs et vice-gouverneurs d’atteindre dans le délai leurs circonscriptions électorales ».
Ainsi, le calendrier réaménagé de la Ceni se présente de la manière suivante :
Du 24 juillet au 21 août : dépôt des candidatures auprès de la représentation provinciale de la Ceni
Du 22 août au 26 août 2015 : retrait, ajout ou substitution des candidatures
Du 27 août au 10 septembre 2015 : transmission des dossiers physiques des candidats au bureau de la Ceni et délibération
Le 11 septembre 2015 : publication de la liste des candidatures recevables et non recevables par la Ceni
Du 12 septembre au 14 septembre 2015 : dépôt des recours en contestation des listes des candidatures à la Cour d’appel
Du 15 septembre au 21 septembre 2015 : traitement des contentieux des candidatures par la Cour d’appel
Le 22 septembre 2015 : publication de la liste définitive des candidats par la Ceni
Du 22 septembre au 1er octobre 2015 : accréditation des témoins, des observateurs et des journalistes aux secrétariats exécutifs provinciaux de la Ceni de chaque nouvelle province
Du 2 octobre au 4 octobre 2015 : campagne électorale
Le 6 octobre 2015 : élection des gouverneurs et vice-gouverneurs par les députés provinciaux et publication des résultats provisoires par la Ceni
Du 7 octobre au 14 octobre 2015 : dépôt des recours en contestation des résultats devant la cour d’appel
Du 15 octobre au 21 octobre 2015 : traitement des contentieux des résultats par la cour d’appel
Le 22 octobre 2015 : publication des résultats définitifs par la cour d’appel
http://radiookapi.net/actualite/2015/07/28/elections-des-gouverneurs-le-depot-des-candidatures-prolonge-au-28-aout/
Initialement prévu pour mardi 28 juillet, le dépôt des candidatures pour l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs est repoussé au 28 août prochain, a annoncé le rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Jean-Pierre Kalamba, à l’issue d’une plénière de la centrale électorale organisée à Kinshasa. Cette prolongation occasionne aussi le réaménagement du calendrier de l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs. Celle-ci aura lieu 6 octobre prochain au lieu du 31 août, date initiale.
Jean-Pierre Kalamba explique que ce report est notamment du « aux difficultés logistiques pour les candidats gouverneurs et vice-gouverneurs d’atteindre dans le délai leurs circonscriptions électorales ».
Ainsi, le calendrier réaménagé de la Ceni se présente de la manière suivante :
Du 24 juillet au 21 août : dépôt des candidatures auprès de la représentation provinciale de la Ceni
Du 22 août au 26 août 2015 : retrait, ajout ou substitution des candidatures
Du 27 août au 10 septembre 2015 : transmission des dossiers physiques des candidats au bureau de la Ceni et délibération
Le 11 septembre 2015 : publication de la liste des candidatures recevables et non recevables par la Ceni
Du 12 septembre au 14 septembre 2015 : dépôt des recours en contestation des listes des candidatures à la Cour d’appel
Du 15 septembre au 21 septembre 2015 : traitement des contentieux des candidatures par la Cour d’appel
Le 22 septembre 2015 : publication de la liste définitive des candidats par la Ceni
Du 22 septembre au 1er octobre 2015 : accréditation des témoins, des observateurs et des journalistes aux secrétariats exécutifs provinciaux de la Ceni de chaque nouvelle province
Du 2 octobre au 4 octobre 2015 : campagne électorale
Le 6 octobre 2015 : élection des gouverneurs et vice-gouverneurs par les députés provinciaux et publication des résultats provisoires par la Ceni
Du 7 octobre au 14 octobre 2015 : dépôt des recours en contestation des résultats devant la cour d’appel
Du 15 octobre au 21 octobre 2015 : traitement des contentieux des résultats par la cour d’appel
Le 22 octobre 2015 : publication des résultats définitifs par la cour d’appel
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Le compte à rebours a commencé M. Kabila
Comme l’adage le dit : « Quelle que soit la longueur de la nuit, le jour se lève ». L’on se rappellera que c’est aux termes de la deuxième convention de Pékin de 1898 que la Chine a cédé à l’Empire britannique les Nouveaux Territoires de Hong Kong pour une durée de 99 ans. L’Histoire nous enseigne que c’est le colonel et diplomate anglais Sir Claude Maxwell MacDonald, un architecte clé de cet extraordinaire contrat de bail, qui en avait choisi la durée. Aux yeux de cette grande figure de la diplomatie anglaise de l’époque, la longue période de 99 ans paraissait infinie. Pourtant, le 1er juillet 1997, ce contrat de bail historique est bel et bien arrivé à terme, et la souveraineté de la Chine sur Hong Kong a été rétablie. Dans le cas du pouvoir présidentiel en République démocratique du Congo, le contrat de service pour le magistrat suprême est d’une durée maximum de dix années consécutives, soit un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois. Tel est le prescrit de la Constitution, la loi fondamentale de la République, en ses articles 77 et 220.
La loi peut être dure mais c’est la loi
La loi peut être dure, mais c’est la loi. S’assurer qu’elle est impersonnelle et opposable à tous est essentiel dans un Etat de droit ou pour une nation, comme la République démocratique du Congo, qui aspire et peine à le devenir. Le président Joseph Kabila a été élu le 28 novembre 2011 pour un second mandat de cinq ans et a prêté le serment constitutionnel le 20 décembre de la même année. Il doit en conséquence se délester de sa qualité de magistrat suprême le 19 décembre 2016.
Réussir une succession pacifique du président sortant doit être une priorité nationale en RDC. Le succès du vote rétablirait la légitimité du chef de l’Etat dangereusement écorchée depuis la réélection contestée du président Joseph Kabila en novembre 2011. Priorité nationale, une présidentielle réussie en 2016 l’est aussi parce que la stabilité à long terme du pays en dépend. La préparation de ce scrutin doit dès lors être la principale priorité de l’action gouvernementale des prochains vingt mois.
Dans cette perspective, il convient de publier rapidement le calendrier électoral global et de finaliser le budget nécessaire à la tenue des scrutins. En plus de la loi électorale adoptée le dimanche 25 janvier 2015 par les deux chambres du parlement, la préparation de ce vote sera notamment régentée par l’article 73 de la loi fondamentale congolaise. Celle-ci stipule que « le scrutin pour l’élection du président de la République est convoqué par la Commission électorale nationale indépendante quatre-vingt-dix jours avant l’expiration du mandat du président en exercice. » En vertu de cette disposition de la Constitution et des autres lois pertinentes de la République, la prochaine élection présidentielle, sans la participation du président Joseph Kabila, doit avoir lieu en septembre 2016.
Lire aussi : Kinshasa s’enflamme pour réclamer le départ de Joseph Kabila
Exigence constitutionnelle plus qu’évidente, la tenue en 2016 d’une élection présidentielle excluant le président Kabila a curieusement fait l’objet d’interminables conciliabules, de spéculations et d’un flou artistique savamment entretenus par la majorité au pouvoir pendant les deux dernières années. Si, au plan juridique, la confusion a pu être levée sous la pression de la rue et au prix de nombreuses vies humaines, l’opinion demeure sceptique quant à la volonté politique du gouvernement de mener à bien cette opération.
En témoignent les tergiversations de l’exécutif sur la publication du calendrier électoral global qui doit préciser les dates des élections locales et provinciales, législatives nationales, et présidentielles qui doivent toutes avoir lieu avant la fin 2016. Les hésitations – manœuvres dilatoires ? – du gouvernement sont d’autant plus préoccupantes qu’elles repoussent, en la compliquant, la préparation de l’indispensable implication financière et technique de la communauté internationale.
Une gestion indépendante sous mandat international
Qu’adviendrait-il si les élections n’étaient pas organisées dans les délais ? Le mandat du président de la République deviendrait caduc fin 2016, et le chef de l’Etat accéderait au statut précaire et inconfortable de président de fait, à l’instar de Mobutu pendant les années 1990. Joseph Kabila perdrait ainsi le peu de sa légitimité obtenu des élections chaotiques de 2011. Le cas échéant, l’initiative sur la conduite de l’agenda politique national ne pourrait que très difficilement continuer de lui revenir. S’ouvrirait alors une douloureuse période de flottement à hauts risques.
Pour en limiter la durée, il serait souhaitable que la gestion suprême de l’Etat, pendant une période transitoire, soit confiée à une personnalité l’Etat, pendant une période transitoire, soit confiée à une personnalité nationale ou internationale intègre et neutre. Si le choix doit se porter sur un acteur extérieur, le joker serait une sorte de Bernard Kouchner du Kosovo du début des années 2000. L’on se souviendra que le 15 juillet 1999, conformément à la résolution 1244 du Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan avait nommé M. Kouchner en qualité de deuxième représentant spécial des Nations unies et chef de la Mission d’administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (MINUK). Pendant dix-huit mois, l’ancien fondateur de Médecins sans frontières a dirigé les efforts de l’ONU visant à créer une nouvelle administration civile et le système politique qui devaient remplacer ceux, paralysés, de la Serbie.
Notre pays et ses partenaires au développement seraient bien avisés d’amorcer la réflexion sur cette cruciale question. Dans tous les cas de figure, les autorités congolaises devraient davantage privilégier dans les difficiles mois à venir l’intérêt supérieur de la nation et s’attacher à étancher pacifiquement la profonde soif de changement de la population. Seront-elles, pour une fois, à la hauteur des attentes ? La question reste sur toutes les lèvres.
Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir est économiste au Fonds monétaire international (FMI). La loi peut être dure mais c’est la loi
La loi peut être dure, mais c’est la loi. S’assurer qu’elle est impersonnelle et opposable à tous est essentiel dans un Etat de droit ou pour une nation, comme la République démocratique du Congo, qui aspire et peine à le devenir. Le président Joseph Kabila a été élu le 28 novembre 2011 pour un second mandat de cinq ans et a prêté le serment constitutionnel le 20 décembre de la même année. Il doit en conséquence se délester de sa qualité de magistrat suprême le 19 décembre 2016.
Réussir une succession pacifique du président sortant doit être une priorité nationale en RDC. Le succès du vote rétablirait la légitimité du chef de l’Etat dangereusement écorchée depuis la réélection contestée du président Joseph Kabila en novembre 2011. Priorité nationale, une présidentielle réussie en 2016 l’est aussi parce que la stabilité à long terme du pays en dépend. La préparation de ce scrutin doit dès lors être la principale priorité de l’action gouvernementale des prochains vingt mois.
Dans cette perspective, il convient de publier rapidement le calendrier électoral global et de finaliser le budget nécessaire à la tenue des scrutins. En plus de la loi électorale adoptée le dimanche 25 janvier 2015 par les deux chambres du parlement, la préparation de ce vote sera notamment régentée par l’article 73 de la loi fondamentale congolaise. Celle-ci stipule que « le scrutin pour l’élection du président de la République est convoqué par la Commission électorale nationale indépendante quatre-vingt-dix jours avant l’expiration du mandat du président en exercice. » En vertu de cette disposition de la Constitution et des autres lois pertinentes de la République, la prochaine élection présidentielle, sans la participation du président Joseph Kabila, doit avoir lieu en septembre 2016.
Lire aussi : Kinshasa s’enflamme pour réclamer le départ de Joseph Kabila
Exigence constitutionnelle plus qu’évidente, la tenue en 2016 d’une élection présidentielle excluant le président Kabila a curieusement fait l’objet d’interminables conciliabules, de spéculations et d’un flou artistique savamment entretenus par la majorité au pouvoir pendant les deux dernières années. Si, au plan juridique, la confusion a pu être levée sous la pression de la rue et au prix de nombreuses vies humaines, l’opinion demeure sceptique quant à la volonté politique du gouvernement de mener à bien cette opération.
En témoignent les tergiversations de l’exécutif sur la publication du calendrier électoral global qui doit préciser les dates des élections locales et provinciales, législatives nationales, et présidentielles qui doivent toutes avoir lieu avant la fin 2016. Les hésitations – manœuvres dilatoires ? – du gouvernement sont d’autant plus préoccupantes qu’elles repoussent, en la compliquant, la préparation de l’indispensable implication financière et technique de la communauté internationale.
Une gestion indépendante sous mandat international
Qu’adviendrait-il si les élections n’étaient pas organisées dans les délais ? Le mandat du président de la République deviendrait caduc fin 2016, et le chef de l’Etat accéderait au statut précaire et inconfortable de président de fait, à l’instar de Mobutu pendant les années 1990. Joseph Kabila perdrait ainsi le peu de sa légitimité obtenu des élections chaotiques de 2011. Le cas échéant, l’initiative sur la conduite de l’agenda politique national ne pourrait que très difficilement continuer de lui revenir. S’ouvrirait alors une douloureuse période de flottement à hauts risques.
Pour en limiter la durée, il serait souhaitable que la gestion suprême de l’Etat, pendant une période transitoire, soit confiée à une personnalité l’Etat, pendant une période transitoire, soit confiée à une personnalité nationale ou internationale intègre et neutre. Si le choix doit se porter sur un acteur extérieur, le joker serait une sorte de Bernard Kouchner du Kosovo du début des années 2000. L’on se souviendra que le 15 juillet 1999, conformément à la résolution 1244 du Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan avait nommé M. Kouchner en qualité de deuxième représentant spécial des Nations unies et chef de la Mission d’administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (MINUK). Pendant dix-huit mois, l’ancien fondateur de Médecins sans frontières a dirigé les efforts de l’ONU visant à créer une nouvelle administration civile et le système politique qui devaient remplacer ceux, paralysés, de la Serbie.
Notre pays et ses partenaires au développement seraient bien avisés d’amorcer la réflexion sur cette cruciale question. Dans tous les cas de figure, les autorités congolaises devraient davantage privilégier dans les difficiles mois à venir l’intérêt supérieur de la nation et s’attacher à étancher pacifiquement la profonde soif de changement de la population. Seront-elles, pour une fois, à la hauteur des attentes ? La question reste sur toutes les lèvres.
Il a été ministre de l’économie, des finances et du budget de RDC de 2001 à 2003.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/02/12/le-compte-a-rebours-a-commence-m-kabila_4575561_3212.html
King David
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
[quote="King David"]
Le compte à rebours a commencé M. Kabila
Pour en limiter la durée, il serait souhaitable que la gestion suprême de l’Etat, pendant une période transitoire, soit confiée à une personnalité l’Etat, pendant une période transitoire, soit confiée à une personnalité nationale ou internationale intègre et neutre. Si le choix doit se porter sur un acteur extérieur, le joker serait une sorte de Bernard Kouchner du Kosovo du début des années 2000. L’on se souviendra que le 15 juillet 1999, conformément à la résolution 1244 du Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan avait nommé M. Kouchner en qualité de deuxième représentant spécial des Nations unies et chef de la Mission d’administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (MINUK). Pendant dix-huit mois, l’ancien fondateur de Médecins sans frontières a dirigé les efforts de l’ONU visant à créer une nouvelle administration civile et le système politique qui devaient remplacer ceux, paralysés, de la Serbie.
KING
Pourquoi..ne pas faire revenir R FEINGOLD..si les congolais se decidaient pour un "joker" international ?
Le compte à rebours a commencé M. Kabila
Pour en limiter la durée, il serait souhaitable que la gestion suprême de l’Etat, pendant une période transitoire, soit confiée à une personnalité l’Etat, pendant une période transitoire, soit confiée à une personnalité nationale ou internationale intègre et neutre. Si le choix doit se porter sur un acteur extérieur, le joker serait une sorte de Bernard Kouchner du Kosovo du début des années 2000. L’on se souviendra que le 15 juillet 1999, conformément à la résolution 1244 du Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan avait nommé M. Kouchner en qualité de deuxième représentant spécial des Nations unies et chef de la Mission d’administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (MINUK). Pendant dix-huit mois, l’ancien fondateur de Médecins sans frontières a dirigé les efforts de l’ONU visant à créer une nouvelle administration civile et le système politique qui devaient remplacer ceux, paralysés, de la Serbie.
KING
Pourquoi..ne pas faire revenir R FEINGOLD..si les congolais se decidaient pour un "joker" international ?
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Le Sénat rejette la loi portant répartition des sièges
http://radiookapi.net/actualite/2015/08/01/rdc-le-senat-rejette-la-loi-portant-repartition-des-sieges/
Le Sénat a rejeté, vendredi 31 juillet, la loi portant répartition des sièges pour les élections locales et municipales. D’après le président de la commission Politique, administrative et juridique, Sébastien Adambu, ce texte présenté comme annexe à la loi électorale n’a pas été adopté par défaut de quorum de vote.
« Sur les 108 membres qui composent le Sénat, 62 membres ont pris part à ce vote. 48 ont voté oui. Un a voté non et treize se sont abstenus », a expliqué le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, à la clôture de la session extraordinaire.
Le Sénat a rejeté ce texte, alors que l’Assemblée nationale l’avait adopté samedi 25 juillet. L’adoption de ce projet de loi à la chambre basse était intervenue après quelques amendements de la part des députés nationaux et à l’absence d’un grand nombre de députés de l’opposition.
À en croire le sénateur Sébastien Adambu, ce texte n’a pas connu de modifications au niveau du Sénat.
Ce qui sous-entend que les termes de la loi ne divergent pas entre les deux chambres.
À ce stade, Sébastien Adambu estime qu’il faudrait « qu’on donne le temps aux parlementaires pour voir ce qu’il faut faire ou peut-être contacter la Cour constitutionnelle ».
http://radiookapi.net/actualite/2015/08/01/rdc-le-senat-rejette-la-loi-portant-repartition-des-sieges/
Le Sénat a rejeté, vendredi 31 juillet, la loi portant répartition des sièges pour les élections locales et municipales. D’après le président de la commission Politique, administrative et juridique, Sébastien Adambu, ce texte présenté comme annexe à la loi électorale n’a pas été adopté par défaut de quorum de vote.
« Sur les 108 membres qui composent le Sénat, 62 membres ont pris part à ce vote. 48 ont voté oui. Un a voté non et treize se sont abstenus », a expliqué le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, à la clôture de la session extraordinaire.
Le Sénat a rejeté ce texte, alors que l’Assemblée nationale l’avait adopté samedi 25 juillet. L’adoption de ce projet de loi à la chambre basse était intervenue après quelques amendements de la part des députés nationaux et à l’absence d’un grand nombre de députés de l’opposition.
À en croire le sénateur Sébastien Adambu, ce texte n’a pas connu de modifications au niveau du Sénat.
Ce qui sous-entend que les termes de la loi ne divergent pas entre les deux chambres.
À ce stade, Sébastien Adambu estime qu’il faudrait « qu’on donne le temps aux parlementaires pour voir ce qu’il faut faire ou peut-être contacter la Cour constitutionnelle ».
Jim KK
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