Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
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Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC: Vital Kamerhe appelle Joseph Kabila à se prononcer sur la fin de son mandat présidentiel
http://www.radiookapi.net/2015/10/02/actualite/politique/rdc-vital-kamerhe-appelle-joseph-kabila-se-prononcer-sur-la-fin-de
Le président de l'Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe invite le chef de l'Etat Joseph Kabila à se prononcer clairement sur la fin de son mandat, à treize mois de la présidentielle de 2016.
Il a lancé cet appel au cours de sa déclaration faite, vendredi 2 octobre, à Kinshasa.
Vital Kamerhe estime que la mise au point de Joseph Kabila va apaiser les esprits et éviter de procès d'intention.
«Nous, nous aurions souhaité que le président de la République étant garant de la constitution puisse sortir de son silence et apaiser tous les esprits en disant : tout ce qu'on dit-là [NDLR: glissement du mandat] ne me concerne pas et je vais garantir le respect de la constitution», a-t-il souligné. (combien de fois doit-il le dire?? Et s´il le dit c´est alors une garantie pour ne pas faire le contraire??? mawa!
Le président de l'UNC juge par ailleurs crédible la déclaration de Moïse Katumbi, gouverneur démissionnaire de l'ex Katanga, sur les stratégies de la majorité visant à retarder les échéances électorales.
Pour lui, la démission de Moïse Katumbu du PPRD (NDLR: parti présidentiel) et du gouvernorat du Katanga, permettra sans doute, à l'opposition de savoir ce que prépare majorité en perspective des échéances électorales.
Vital Kamerhe regrette également qu'il n'y ait pas de calendrier électoral, ni d'empressement à treize mois des législatives et de la présidentielle, prévues en novembre 2016.
La question de la révision constitutionnelle fait débat, depuis des mois, dans toutes les couches sociales et politiques de la population congolaise: la classe politique, les associations non gouvernementales, les confessions religieuses, d'autres couches sociales et même la communauté internationale.
Si des membres de la Majorité présidentielle soutiennent cette démarche, les autres s'y opposent. L'opposition avait même lancé la campagne «touche pas à mon 220».
http://www.radiookapi.net/2015/10/02/actualite/politique/rdc-vital-kamerhe-appelle-joseph-kabila-se-prononcer-sur-la-fin-de
Le président de l'Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe invite le chef de l'Etat Joseph Kabila à se prononcer clairement sur la fin de son mandat, à treize mois de la présidentielle de 2016.
Il a lancé cet appel au cours de sa déclaration faite, vendredi 2 octobre, à Kinshasa.
Vital Kamerhe estime que la mise au point de Joseph Kabila va apaiser les esprits et éviter de procès d'intention.
«Nous, nous aurions souhaité que le président de la République étant garant de la constitution puisse sortir de son silence et apaiser tous les esprits en disant : tout ce qu'on dit-là [NDLR: glissement du mandat] ne me concerne pas et je vais garantir le respect de la constitution», a-t-il souligné. (combien de fois doit-il le dire?? Et s´il le dit c´est alors une garantie pour ne pas faire le contraire??? mawa!
Le président de l'UNC juge par ailleurs crédible la déclaration de Moïse Katumbi, gouverneur démissionnaire de l'ex Katanga, sur les stratégies de la majorité visant à retarder les échéances électorales.
Pour lui, la démission de Moïse Katumbu du PPRD (NDLR: parti présidentiel) et du gouvernorat du Katanga, permettra sans doute, à l'opposition de savoir ce que prépare majorité en perspective des échéances électorales.
Vital Kamerhe regrette également qu'il n'y ait pas de calendrier électoral, ni d'empressement à treize mois des législatives et de la présidentielle, prévues en novembre 2016.
La question de la révision constitutionnelle fait débat, depuis des mois, dans toutes les couches sociales et politiques de la population congolaise: la classe politique, les associations non gouvernementales, les confessions religieuses, d'autres couches sociales et même la communauté internationale.
Si des membres de la Majorité présidentielle soutiennent cette démarche, les autres s'y opposent. L'opposition avait même lancé la campagne «touche pas à mon 220».
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Jim KK a écrit:RDC: Vital Kamerhe appelle Joseph Kabila à se prononcer sur la fin de son mandat présidentiel
http://www.radiookapi.net/2015/10/02/actualite/politique/rdc-vital-kamerhe-appelle-joseph-kabila-se-prononcer-sur-la-fin-de
Le président de l'Union pour la nation congolaise (UNC), Vital Kamerhe invite le chef de l'Etat Joseph Kabila à se prononcer clairement sur la fin de son mandat, à treize mois de la présidentielle de 2016.
Il a lancé cet appel au cours de sa déclaration faite, vendredi 2 octobre, à Kinshasa.
Vital Kamerhe estime que la mise au point de Joseph Kabila va apaiser les esprits et éviter de procès d'intention.
«Nous, nous aurions souhaité que le président de la République étant garant de la constitution puisse sortir de son silence et apaiser tous les esprits en disant : tout ce qu'on dit-là [NDLR: glissement du mandat] ne me concerne pas et je vais garantir le respect de la constitution», a-t-il souligné. (combien de fois doit-il le dire?? Et s´il le dit c´est alors une garantie pour ne pas faire le contraire??? mawa!
Le président de l'UNC juge par ailleurs crédible la déclaration de Moïse Katumbi, gouverneur démissionnaire de l'ex Katanga, sur les stratégies de la majorité visant à retarder les échéances électorales.
Pour lui, la démission de Moïse Katumbu du PPRD (NDLR: parti présidentiel) et du gouvernorat du Katanga, permettra sans doute, à l'opposition de savoir ce que prépare majorité en perspective des échéances électorales.
Vital Kamerhe regrette également qu'il n'y ait pas de calendrier électoral, ni d'empressement à treize mois des législatives et de la présidentielle, prévues en novembre 2016.
La question de la révision constitutionnelle fait débat, depuis des mois, dans toutes les couches sociales et politiques de la population congolaise: la classe politique, les associations non gouvernementales, les confessions religieuses, d'autres couches sociales et même la communauté internationale.
Si des membres de la Majorité présidentielle soutiennent cette démarche, les autres s'y opposent. L'opposition avait même lancé la campagne «touche pas à mon 220».
"(...)(combien de fois doit-il le dire?? Et s´il le dit c´est alors une garantie pour ne pas faire le contraire??? mawa!)(...)"
My Goodness !!!
Olie otondi, eloko mayele na yo etindi yo oya kaka koloba wana ?
Nous ne devons pas tous vivre dans le même monde intelligible : non seulement le monde entier qui doute des réelles intentions de "JK" sur son après 2016 serait à ce point bête de ne pas l'avoir entendu dire sa vérité mais en plus sans scrupule on lui donne le droit de ne pas tenir sa parole, de tromper son monde ?
J’hallucine : mawa ezali penza wapi alors ?
Passons vite car épingler de telles incohérences serait, semble-t-il, une injure à laquelle on se donne le droit d"ânonner n'importe quelle gratuite violence verbale...
Voir noir où c'est noir et blanc là où c'est blanc serait selon certaines sommités intellectuelles et morales une tare de "personnes âgées(???) idiotes...
Quelle catastrophe intellectuelle et morale que nous continuons à charrier dans notre cher pays, le fanatisme forcément aveugle y est devenu une valeur et voilà où ça nous mène ! J'attends que l'avenir me contredise !
Pauvre pays que notre cher Congo !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 11/10/2015, 2:26 pm, édité 1 fois
ndonzwau
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
ndonzwau a écrit:Jim KK a écrit:RDC: Vital Kamerhe appelle Joseph Kabila à se prononcer sur la fin de son mandat présidentiel
My Goodness !!!
Olie otondi, eloko mayele na yo etindi yo oya kaka koloba wana ?
Compatriotiquement!
Oliesaka nga ? espèce de salaud
Un papa zoba. Plus de 65 ans d´âge, plus de 30 ans de vie en France et malgré son diplôme de … il sait sortir de sa sale gueule que de propos injurieux pour vraiment si peu !
Ozali mukolo ya zoba. Je continuerai à me faire justice moi-même en violant la charte de notre forum comme toi pauvre con ! Il y a de gens ici qui ont une autre tendance politique que la mienne, une autre opinion que la mienne mais nous discutons sans propos irrévérencieux.
Oliesaka nga yo, espèce de sauvage ! Na senga yo biloko ya kolia, pauvre imbécile !
Si tu crois que j´accepterai tes sauvageries alors papa zoba omikosi ! Un mal éduqué et mal élevé de ta trempe aura toujours avec moi des répliques. Imbécile!
Chaque fois de propos bêtes. Pour une personne de plus de 65 ans qui a même des enfants. Quelle éducation pour ces enfants. Alors papa zoba et sauvage : la puérilité, la broutille, l´inutilité n´est pas ma tasse de thé!
Normalement ba oyo ba zalaka mayele, n´ont pas besoin de beaucoup écrire ou d´utiliser des propos irrévérencieux pour se faire comprendre, zoba ya papa
Tu ne mérites pas mon respect sur ce forum malgré ton âge (plus de 65 ans), espèce de con!
Nazali kozela yo lisusu pauvre sauvage !
Zoba ya papa et kuluna moko boye! Tokozala na ndenge kaka ya loi du Talion: oeil pour oeil, dent pour dent!
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Ça fait débat : referendum, calendrier électoral et départ de Moise KATUMBI
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Selon Jean Jacques WONDO de DESC: A l’ONU, Charles Michel épargne Kagame et tacle le Burundi et la RDC
Nous disons deux poids deux mesures
http://desc-wondo.org/a-lonu-charles-michel-epargne-kagame-et-tacle-le-burundi-et-la-rdc/
Le Premier ministre belge Charles Michel a rencontré lundi (28 septembre 2015), en marge de l’assemblée générale des Nations Unies, le président rwandais Paul Kagame. M. Michel avait déjà eu des entretiens, en tant que ministre de la Coopération au développement, avec M. Kagame, mais il s’agissait de sa première rencontre avec le président rwandais en tant que chef de gouvernement, pouvait on lire sur la rtbf.be du 28 septembre 2015.
« Nous avons évoqué la stabilité, la paix et la sécurité dans la région des Grands Lacs », a expliqué Charles Michel[1].
La discussion a notamment porté sur les réfugiés burundais, la situation sécuritaire en République démocratique du Congo ainsi que les investissements privés dans la région. Le Premier ministre belge a également abordé le sujet de l’avenir politique du Rwanda.
Il sied de rappeler que Charles Michel est le fils de Louis Michel, l’ancien ministre belge des affaires étrangères et ancien commissaire européen à l’aide au développement. Le libéral Louis Michel est connu pour son investissement personnel en faveur d’une diplomatie active en Afrique centrale, mettant fin à un désinvestissement de 10 ans au moment de l’arrivée des socialistes flamands au ministère des Affaires étrangères en Belgique. Mais Louis Michel manifeste également un militantisme débordant en faveur du président rwandais Paul Kagame, au point d’être amené à le décrire dans le magazine belge flamand « De Zondag » (Lire : Le Dimanche) du 9 septembre 2012, comme « un dirigeant très compétent» et «un grand leader» mais aussi comme un homme avec une vision et une personne intelligemment raisonnable. Ce, au moment où Kagame était sous les feux des critiques et sanctions de la communauté internationale suite à son action nocive de soutien au groupe rebelle du M23[2].
Par ailleurs, Louis Michel avait la particularité de soutenir à la fois Kagame et Kabila, le premier plus que le dernier. Le soutien indéfectible de Michel à Kagame est tel que l’Euro-député et ministre d’État belge est à l’origine de la création en septembre 2010, du Cercle des Amis du Rwanda au sein du Parlement Européen. Un groupe de lobbying qui poursuit principalement l’objectif de « supporter, valoriser et promouvoir les intérêts du Rwanda à travers les différentes institutions de l’Union Européenne ». « Le deuxième objectif est d’« informer sur les progrès engrangés par le Rwanda dans les différents domaines: le développement économique, les avancées sociales et la démocratie. »[3]. C’est peut-être à ce niveau précis que se situe la retenue manifestée par son fils à l’égard du Rwanda qui n’a pas été mentionné dans l’allocution du Premier ministre belge devant l’assemblée générale des Nations unies.
Même si Charles Michel a déclaré avoir abordé en tête-à-tête le sujet de l’avenir politique du Rwanda avec Paul Kagame, il faut cependant constater que dans son allocution, le « Premier » belge a carrément éludé d’indexer le Rwanda. Alors qu’en plus d’être transformé en une sorte d’un Etat-prison à ciel ouvert, le Rwanda a initié une procédure de réforme de sa Constitution en désignant une commission de sept membres, essentiellement des juristes, chargée d’élaborer un projet de réforme de la Constitution devant notamment permettre au président Kagame de briguer un 3e mandat en 2017. Pourtant, la Belgique a toujours insisté sur le respect de l’ordre constitutionnel au Rwanda, où il existe une procédure pour modifier la Constitution[4]. De plus, en matière de politique internationale, la Belgique défend une approche géopolitique holistique dite des 3D-LO (Defence – Diplomacy – Development, Law and Order) qui intègre notamment les aspects de la consolidation de l’Etat de droit et du respect des droits humains.
Cette rhétorique diplomatique des deux poids deux mesures illustre d’une diplomatie occidentale à la carte et à géométrie variable. En effet, alors que le Rwanda s’engage officiellement dans une dynamique de violation de l’ordre constitutionnel, la Belgique a préféré garder silence en son égard. En même temps, la Belgique par un message diplomatique on ne peut plus clair fustige, sans le nommer, Joseph Kabila à qui on accorde l’intention de se maintenir au pouvoir au-delà de son dernier mandat constitutionnel. Il s’agit d’un autre signal diplomatique fort à l’égard du président congolais, mis sous pression par la communauté internationale qui ménage en même temps l’homme fort de Kigali. C’est ça aussi la force du soft power du smart diplomacy du Rwanda, capable de désamorcer les coups diplomatiques en amont de leur commission.
Pour Kabila, absent de l’assemblée générale des Nations unies en cours, tout indique qu’il ne se rendra plus jamais à New-York dans son costume de chef de l’Etat. Le président RD congolais a préféré rendre visite à son homologue du pool, Denis Sassou Nguesso qui subit une levée de bouclier de ses opposants et des frondeurs de son parti le PCT[5], dont son « golden boy » André Okombi Salissa, ministre à plusieurs postes pendant plus de 13 ans jusqu’en 2013, qui a décidé de rompre les amarres avec son « vieux » et de prendre le leadershiop du camp des opposants à un troisième mandat anticonstitutionnel du « roi de Oyo », le village natal de Sassou.
Il nous revient de New-York que la délégation conduite par Raymond Tshibanda, d’abord en mission d’éclaireur depuis le début septembre pour mener un lobbying en faveur de Kabila, est au bord de la dépression car mise sous pression intense par Washington et les Nations unies. Nous y reviendrons prochainement. La délégation a fini par conseiller à Kabila de ne pas se rendre à New-York. Il s’agit d’une première depuis son accession au pouvoir en 2001. Même en 2012, après avoir subi des attaques en tout genre suite à sa réélection frauduleuse en 2011, Kabila a eu le courage de se rendre à New-York pour en quête légitimité internationale au moment où sur le plan interne, il été fortement confronté à une crise de légitimité qui lui colle à la peau jusqu’à ce jour et qui plombe son action politique. Quoi de plus normal que le soldat Kabila, rejeté et contesté de toutes parts, même au sein de son propre camp politique, se tourne naturellement vers le généralissime James Kaberebe, son formateur militaire dans les troupes du APR[6], pour espérer son salut politique en RDC. C’est ce qui explique plus que probablement le folklore militaro-diplomatique médiatisé de la semaine passée à Kigali entre les ministres de la Défense du Rwanda et de la RDC.
Nous disons deux poids deux mesures
http://desc-wondo.org/a-lonu-charles-michel-epargne-kagame-et-tacle-le-burundi-et-la-rdc/
Le Premier ministre belge Charles Michel a rencontré lundi (28 septembre 2015), en marge de l’assemblée générale des Nations Unies, le président rwandais Paul Kagame. M. Michel avait déjà eu des entretiens, en tant que ministre de la Coopération au développement, avec M. Kagame, mais il s’agissait de sa première rencontre avec le président rwandais en tant que chef de gouvernement, pouvait on lire sur la rtbf.be du 28 septembre 2015.
« Nous avons évoqué la stabilité, la paix et la sécurité dans la région des Grands Lacs », a expliqué Charles Michel[1].
La discussion a notamment porté sur les réfugiés burundais, la situation sécuritaire en République démocratique du Congo ainsi que les investissements privés dans la région. Le Premier ministre belge a également abordé le sujet de l’avenir politique du Rwanda.
Il sied de rappeler que Charles Michel est le fils de Louis Michel, l’ancien ministre belge des affaires étrangères et ancien commissaire européen à l’aide au développement. Le libéral Louis Michel est connu pour son investissement personnel en faveur d’une diplomatie active en Afrique centrale, mettant fin à un désinvestissement de 10 ans au moment de l’arrivée des socialistes flamands au ministère des Affaires étrangères en Belgique. Mais Louis Michel manifeste également un militantisme débordant en faveur du président rwandais Paul Kagame, au point d’être amené à le décrire dans le magazine belge flamand « De Zondag » (Lire : Le Dimanche) du 9 septembre 2012, comme « un dirigeant très compétent» et «un grand leader» mais aussi comme un homme avec une vision et une personne intelligemment raisonnable. Ce, au moment où Kagame était sous les feux des critiques et sanctions de la communauté internationale suite à son action nocive de soutien au groupe rebelle du M23[2].
Par ailleurs, Louis Michel avait la particularité de soutenir à la fois Kagame et Kabila, le premier plus que le dernier. Le soutien indéfectible de Michel à Kagame est tel que l’Euro-député et ministre d’État belge est à l’origine de la création en septembre 2010, du Cercle des Amis du Rwanda au sein du Parlement Européen. Un groupe de lobbying qui poursuit principalement l’objectif de « supporter, valoriser et promouvoir les intérêts du Rwanda à travers les différentes institutions de l’Union Européenne ». « Le deuxième objectif est d’« informer sur les progrès engrangés par le Rwanda dans les différents domaines: le développement économique, les avancées sociales et la démocratie. »[3]. C’est peut-être à ce niveau précis que se situe la retenue manifestée par son fils à l’égard du Rwanda qui n’a pas été mentionné dans l’allocution du Premier ministre belge devant l’assemblée générale des Nations unies.
Même si Charles Michel a déclaré avoir abordé en tête-à-tête le sujet de l’avenir politique du Rwanda avec Paul Kagame, il faut cependant constater que dans son allocution, le « Premier » belge a carrément éludé d’indexer le Rwanda. Alors qu’en plus d’être transformé en une sorte d’un Etat-prison à ciel ouvert, le Rwanda a initié une procédure de réforme de sa Constitution en désignant une commission de sept membres, essentiellement des juristes, chargée d’élaborer un projet de réforme de la Constitution devant notamment permettre au président Kagame de briguer un 3e mandat en 2017. Pourtant, la Belgique a toujours insisté sur le respect de l’ordre constitutionnel au Rwanda, où il existe une procédure pour modifier la Constitution[4]. De plus, en matière de politique internationale, la Belgique défend une approche géopolitique holistique dite des 3D-LO (Defence – Diplomacy – Development, Law and Order) qui intègre notamment les aspects de la consolidation de l’Etat de droit et du respect des droits humains.
Cette rhétorique diplomatique des deux poids deux mesures illustre d’une diplomatie occidentale à la carte et à géométrie variable. En effet, alors que le Rwanda s’engage officiellement dans une dynamique de violation de l’ordre constitutionnel, la Belgique a préféré garder silence en son égard. En même temps, la Belgique par un message diplomatique on ne peut plus clair fustige, sans le nommer, Joseph Kabila à qui on accorde l’intention de se maintenir au pouvoir au-delà de son dernier mandat constitutionnel. Il s’agit d’un autre signal diplomatique fort à l’égard du président congolais, mis sous pression par la communauté internationale qui ménage en même temps l’homme fort de Kigali. C’est ça aussi la force du soft power du smart diplomacy du Rwanda, capable de désamorcer les coups diplomatiques en amont de leur commission.
Pour Kabila, absent de l’assemblée générale des Nations unies en cours, tout indique qu’il ne se rendra plus jamais à New-York dans son costume de chef de l’Etat. Le président RD congolais a préféré rendre visite à son homologue du pool, Denis Sassou Nguesso qui subit une levée de bouclier de ses opposants et des frondeurs de son parti le PCT[5], dont son « golden boy » André Okombi Salissa, ministre à plusieurs postes pendant plus de 13 ans jusqu’en 2013, qui a décidé de rompre les amarres avec son « vieux » et de prendre le leadershiop du camp des opposants à un troisième mandat anticonstitutionnel du « roi de Oyo », le village natal de Sassou.
Il nous revient de New-York que la délégation conduite par Raymond Tshibanda, d’abord en mission d’éclaireur depuis le début septembre pour mener un lobbying en faveur de Kabila, est au bord de la dépression car mise sous pression intense par Washington et les Nations unies. Nous y reviendrons prochainement. La délégation a fini par conseiller à Kabila de ne pas se rendre à New-York. Il s’agit d’une première depuis son accession au pouvoir en 2001. Même en 2012, après avoir subi des attaques en tout genre suite à sa réélection frauduleuse en 2011, Kabila a eu le courage de se rendre à New-York pour en quête légitimité internationale au moment où sur le plan interne, il été fortement confronté à une crise de légitimité qui lui colle à la peau jusqu’à ce jour et qui plombe son action politique. Quoi de plus normal que le soldat Kabila, rejeté et contesté de toutes parts, même au sein de son propre camp politique, se tourne naturellement vers le généralissime James Kaberebe, son formateur militaire dans les troupes du APR[6], pour espérer son salut politique en RDC. C’est ce qui explique plus que probablement le folklore militaro-diplomatique médiatisé de la semaine passée à Kigali entre les ministres de la Défense du Rwanda et de la RDC.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Jim KK a écrit:Création à Lubumbashi d’une plate-forme dénommée Neo-Conakat
http://www.atlanticnews.org/creation-a-lubumbashi-dune-plate-forme-denommee-neo-conakat/
SUR LES TRACES DE TSHOMBE...AVEC LA "CONACO" ?
Si vous lisez la dernière "TRIBUNE" de MUZITO qui affirme que les congolais sont dirigés par des leaders "borgnes" , l´ex PM Muzito revisite l´histoire des élections démocratiques du Congo entre 1960 et 1965 avant de faire une comparaison avec ce nouveau cycle
MUZITO affirme avec des chiffres á l´appuis que ¤Moise Tshombe est l´un des rares (si pas unique*) dans l´histoire des élections au Congo a avoir obtenue une "majorité absolue" avec sa "coalition" CONACO (76% des sièges au parlement)** Ce dans la configuration actuelle du parlement, la fameuse majorité**n´atteint même pas 20 %..en additionant le % des partis politiques** Plus de 40 % des sieges du parlement appartient aux "indépendants" ou aux "petits partis politiques" dont les leaders sont souvent les seuls membres
¤ NEO CONAKAT...AVANT NEO CONACO?
Nous avons abordé cet aspect des possibilités qu´offrent Katumbi* Nous avons affirmé que Katumbi peut refaire l´exploit de Tshombe s´il peut refaire la "CONACO" dans une alliance avec tous ceux qui défendent la constitution Une telle alliance peut faire des performances électorales efficace** Katumbi possede les ressources necessaires et les connextions politiques suffisantes
CONAKAT avant CONACO ? Wait and see
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Est ce que sieur Ndonzwau peut discuter normalement sans agresser les gens et nous bombarder de copie collée ce n'est parce qu'on fait parti de cercle de véritable terminator qu'on doit être insolent et copie colleur. Où est la médiation Virez le J'ai lu sa réponse c'est vraiment de la provoc.
piélé de dongo
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Vital Kamerhe réagit aux propos de Moïse Katumbi
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Ah Boketschu eee, ... oza yo moko te. Tozali ebele. Biso nyonso, toza ba Boketschu...
Ce qui se passe ici ne m'étonne pas. C'est le reflet d'une culture de l'impolitesse, du manque de respect entre nous, du peu de considération de l'autre. L'impolitesse, le manque de respect, le dénigrement est la marque kinoise, si pas zaïroise ou congolaise. Le respect n'est que voile. À la moindre divergence, les insultes, les injures, les agressions verbales deviennent l'arme absolue d'échanges et de faire valoir.
Dans ce contexte, on peut comprendre, pourquoi Sir Troll tient à garder une certaine distance. Il n'y a rien qui justifie les insultes et les injures auxquelles certains recourent ici.
Ce qui se passe ici ne m'étonne pas. C'est le reflet d'une culture de l'impolitesse, du manque de respect entre nous, du peu de considération de l'autre. L'impolitesse, le manque de respect, le dénigrement est la marque kinoise, si pas zaïroise ou congolaise. Le respect n'est que voile. À la moindre divergence, les insultes, les injures, les agressions verbales deviennent l'arme absolue d'échanges et de faire valoir.
Dans ce contexte, on peut comprendre, pourquoi Sir Troll tient à garder une certaine distance. Il n'y a rien qui justifie les insultes et les injures auxquelles certains recourent ici.
Libre Examen
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Libre Examen a écrit:Ah Boketschu eee, ... oza yo moko te. Tozali ebele. Biso nyonso, toza ba Boketschu...
Ce qui se passe ici ne m'étonne pas. C'est le reflet d'une culture de l'impolitesse, du manque de respect entre nous, du peu de considération de l'autre. L'impolitesse, le manque de respect, le dénigrement est la marque kinoise, si pas zaïroise ou congolaise. Le respect n'est que voile. À la moindre divergence, les insultes, les injures, les agressions verbales deviennent l'arme absolue d'échanges et de faire valoir.
Dans ce contexte, on peut comprendre, pourquoi Sir Troll tient à garder une certaine distance. Il n'y a rien qui justifie les insultes et les injures auxquelles certains recourent ici.
Mr LIBRE
Nous avons longtemps étudié la civilisation japonaise*Depuis des siècles, les japonais sont obligés de vivre dans un espace reduit Pour reduire les frictions, les crises, l´agressivité..ils ont mis au point une methode éfficace: La POLITESSE
Au Japon, ne pas montrer du respect, ne pas utiliser des termes de politesse est consideré comme une absence de "civilisation"
La courtoisie favorise la communication entre les êtres HumainsAvant même la démocratie, la base de la civilisation Humaine est la politesse et la courtoisie
Nous ne cessons de dire souvent dès l´école primaire, nous avons appris á dire VOUS aux gens... Or les congolais (même éduqués:albino: ) ne se souvienent pas de cette base de la civilisation et...des bonnes manières
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Je suis en ce moment à Kinshasa. C'est pour ça que je n'ai pas suivi les débats du Forum de près.
Svp arrêtez ce truc d'insulte!!!!
Svp arrêtez ce truc d'insulte!!!!
Admin- Admin
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Troll a écrit:
La courtoisie favorise la communication entre les êtres Humains avant même la démocratie, la base de la civilisation Humaine est la politesse et la Courtoisie.
Nous allons continuer à échanger avec des gens courtois, qui sont si nombreux sur Congodiaspora. On ne peut pas engager une discussion avec des gens qui sont près à utiliser les paroles ou mots qui transgressent les convenances, des propos discourtois si facilement. C´est vraiment dommage ! Mais c´est comme ca.
C´est pour cette raison Jim KK a arrêté de donner les explications ou répondre à certains membres de ce forum, aux gens qui savent tout sur tout. Ces gens on les appelle monsieur ou madame Je-sais-tout. Car au final, ces gens veulent comprendre seulement ce qu´ils veulent comprendre !
Pour ceux d´entre eux qui sont impolis (malgré leur âge et études), qui manquent de la courtoisie sous prétexte de nous dire leur vérité qui semblerait être dure à affronter, nous disons que nous saurons à chaque fois répondre. Jim KK ne se laisse pas embobiner par les propos absurdes et dénués d´importance de monsieur je-sais-tout !
Chez nous les baluba (donc chez moi dans l´actuel Haut-Katanga) il y a un proverbe qui dit ceci : « Vous devez toujours savoir distinguer l'essentiel de la futilité." Nous faisons un effort pour appliquer ca.
Opesi respect to ko pesa yo respect! Soki respect ezali te, toko kita pe na niveau nayo.
Tokosolola na langage na yo !
Dernière édition par Jim KK le 4/10/2015, 1:22 pm, édité 2 fois
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Admin, avez-vous vraiment lu ça ???
Dites-moi où est alors l'insulte et où l'on répond sur le fond ?
Honnêtement je saurais gré à qui sur le forum me montrera où j'ai injurié et je n'hésiterai pas alors à m'en repentir !
La vérité peut s'avérer dure pour n'importe qui mais elle reste la vérité, utile à affronter pour à avancer !
Je ne suis pas allergique à la contradiction et je n'ai peur ni de la confrontation des idées ni de la vérité qui me contredit... Ainsi j'ai l'habitude d’appeler un chat un chat... et à assumer mes propos !
Si mon interlocuteur est incapable d'assumer les siens et ne peut répondre sur le fond mais se vautre à court d'arguments dans la bassesse des injures gratuites, devrais-je le laisser dire n'importe quoi parce que la vérité le blesse ?
Alors sur ce, c'est une de mes réponses que vous avez effacée sans qu'il s'y trouve un iota d'insulte mais la dure vérité de ma contradiction dure à entendre pour certains mais cela vaut-elle une infecte volée d'injures gratuites et calomnieuses...
Ata kotikela ye kibébé yango ? Nakamwe !
Tosala ko boni; lokola tozali mikolo na bomoto tolkolimbisa kaka ba oyo batikala ba bébés incapables de supporter la vérité, kaka makasi na kofinga...
Passons vite............
Compatriotiquement !
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau a écrit:My Goodness !!!Jim KK a écrit:[...]
"(...)(combien de fois doit-il le dire?? Et s´il le dit c´est alors une garantie pour ne pas faire le contraire??? mawa!)(...)"
Olie otondi, eloko mayele na yo etindi yo oya kaka koloba wana ?
Nous ne devons pas tous vivre dans le même monde intelligible : non seulement le monde entier qui doute des réelles intentions de "JK" sur son après 2016 serait à ce point bête de ne pas l'avoir entendu dire sa vérité mais en plus sans scrupule on lui donne le droit de ne pas tenir sa parole, de tromper son monde ?
J’hallucine : mawa ezali penza wapi alors ?
Passons vite car épingler de telles incohérences serait, semble-t-il, une injure à laquelle on se donne le droit d"ânonner n'importe quelle gratuite violence verbale...
Voir noir où c'est noir et blanc là où c'est blanc serait selon certaines sommités intellectuelles et morales une tare de "personnes âgées(???) idiotes...
Quelle catastrophe intellectuelle et morale que nous continuons à charrier dans notre cher pays, le fanatisme forcément aveugle y est devenu une valeur et voilà où ça nous mène ! J'attends que l'avenir me contredise !
Pauvre pays que notre cher Congo !
Compatriotiquement!
Jim KK a écrit:ndonzwau a écrit:Jim KK a écrit:RDC: Vital Kamerhe appelle Joseph Kabila à se prononcer sur la fin de son mandat présidentiel
[...]
Oliesaka nga ? espèce de salaud
Un papa zoba. Plus de 65 ans d´âge, plus de 30 ans de vie en France et malgré son diplôme de … il sait sortir de sa sale gueule que de propos injurieux pour vraiment si peu !
Ozali mukolo ya zoba. Je continuerai à me faire justice moi-même en violant la charte de notre forum comme toi pauvre con ! Il y a de gens ici qui ont une autre tendance politique que la mienne, une autre opinion que la mienne mais nous discutons sans propos irrévérencieux.
Oliesaka nga yo, espèce de sauvage ! Na senga yo biloko ya kolia, pauvre imbécile !
Si tu crois que j´accepterai tes sauvageries alors papa zoba omikosi ! Un mal éduqué et mal élevé de ta trempe aura toujours avec moi des répliques. Imbécile!
Chaque fois de propos bêtes. Pour une personne de plus de 65 ans qui a même des enfants. Quelle éducation pour ces enfants. Alors papa zoba et sauvage : la puérilité, la broutille, l´inutilité n´est pas ma tasse de thé!
Normalement ba oyo ba zalaka mayele, n´ont pas besoin de beaucoup écrire ou d´utiliser des propos irrévérencieux pour se faire comprendre, zoba ya papa
Tu ne mérites pas mon respect sur ce forum malgré ton âge (plus de 65 ans), espèce de con!
Nazali kozela yo lisusu pauvre sauvage !
Zoba ya papa et kuluna moko boye! Tokozala na ndenge kaka ya loi du Talion: oeil pour oeil, dent pour dent!
Dites-moi où est alors l'insulte et où l'on répond sur le fond ?
Honnêtement je saurais gré à qui sur le forum me montrera où j'ai injurié et je n'hésiterai pas alors à m'en repentir !
La vérité peut s'avérer dure pour n'importe qui mais elle reste la vérité, utile à affronter pour à avancer !
Je ne suis pas allergique à la contradiction et je n'ai peur ni de la confrontation des idées ni de la vérité qui me contredit... Ainsi j'ai l'habitude d’appeler un chat un chat... et à assumer mes propos !
Si mon interlocuteur est incapable d'assumer les siens et ne peut répondre sur le fond mais se vautre à court d'arguments dans la bassesse des injures gratuites, devrais-je le laisser dire n'importe quoi parce que la vérité le blesse ?
Alors sur ce, c'est une de mes réponses que vous avez effacée sans qu'il s'y trouve un iota d'insulte mais la dure vérité de ma contradiction dure à entendre pour certains mais cela vaut-elle une infecte volée d'injures gratuites et calomnieuses...
Ata kotikela ye kibébé yango ? Nakamwe !
Tosala ko boni; lokola tozali mikolo na bomoto tolkolimbisa kaka ba oyo batikala ba bébés incapables de supporter la vérité, kaka makasi na kofinga...
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Dernière édition par ndonzwau le 11/10/2015, 2:25 pm, édité 1 fois
ndonzwau
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
ndonzwau a écrit: Admin, avez-vous vraiment lu ça ???ndonzwau a écrit:My Goodness !!!Jim KK a écrit:[...]
"(...)(combien de fois doit-il le dire?? Et s´il le dit c´est alors une garantie pour ne pas faire le contraire??? mawa!)(...)"
Olie otondi, eloko mayele na yo etindi yo oya kaka koloba wana ?
Nous ne devons pas tous vivre dans le même monde intelligible : non seulement le monde entier qui doute des réelles intentions de "JK" sur son après 2016 serait à ce point bête de ne pas l'avoir entendu dire sa vérité mais en plus sans scrupule on lui donne le droit de ne pas tenir sa parole, de tromper son monde ?
J’hallucine : mawa ezali penza wapi alors ?
Passons vite car épingler de telles incohérences serait, semble-t-il, une injure à laquelle on se donne le droit d"ânonner n'importe quelle gratuite violence verbale...
Voir noir où c'est noir et blanc là où c'est blanc serait selon certaines sommités intellectuelles et morales une tare de "personnes âgées(???) idiotes...
Quelle catastrophe intellectuelle et morale que nous continuons à charrier dans notre cher pays, le fanatisme forcément aveugle y est devenu une valeur et voilà où ça nous mène ! J'attends que l'avenir me contredise !
Pauvre pays que notre cher Congo !
Compatriotiquement!Jim KK a écrit:ndonzwau a écrit:Jim KK a écrit:RDC: Vital Kamerhe appelle Joseph Kabila à se prononcer sur la fin de son mandat présidentiel
[...]
Oliesaka nga ? espèce de salaud
Un papa zoba. Plus de 65 ans d´âge, plus de 30 ans de vie en France et malgré son diplôme de … il sait sortir de sa sale gueule que de propos injurieux pour vraiment si peu !
Ozali mukolo ya zoba. Je continuerai à me faire justice moi-même en violant la charte de notre forum comme toi pauvre con ! Il y a de gens ici qui ont une autre tendance politique que la mienne, une autre opinion que la mienne mais nous discutons sans propos irrévérencieux.
Oliesaka nga yo, espèce de sauvage ! Na senga yo biloko ya kolia, pauvre imbécile !
Si tu crois que j´accepterai tes sauvageries alors papa zoba omikosi ! Un mal éduqué et mal élevé de ta trempe aura toujours avec moi des répliques. Imbécile!
Chaque fois de propos bêtes. Pour une personne de plus de 65 ans qui a même des enfants. Quelle éducation pour ces enfants. Alors papa zoba et sauvage : la puérilité, la broutille, l´inutilité n´est pas ma tasse de thé!
Normalement ba oyo ba zalaka mayele, n´ont pas besoin de beaucoup écrire ou d´utiliser des propos irrévérencieux pour se faire comprendre, zoba ya papa
Tu ne mérites pas mon respect sur ce forum malgré ton âge (plus de 65 ans), espèce de con!
Nazali kozela yo lisusu pauvre sauvage !
Zoba ya papa et kuluna moko boye! Tokozala na ndenge kaka ya loi du Talion: oeil pour oeil, dent pour dent!
Dites-moi où est alors l'insulte et où l'on répond sur le fond ?
Honnêtement je saurais gré à qui sur le forum me montrera où j'ai injurié et je n'hésiterai pas alors à m'en repentir !
La vérité peut s'avérer dure pour n'importe qui mais elle reste la vérité, utile à affronter pour à avancer !
Je ne suis pas allergique à la contradiction et je n'ai peur ni de la confrontation des idées ni de la vérité qui me contredit... Ainsi j'ai l'habitude d’appeler un chat un chat... et à assumer mes propos !
Si mon interlocuteur est incapable d'assumer les siens et ne peut répondre sur le fond mais se vautre à court d'arguments dans la bassesse des injures gratuites, devrais-je le laisser dire n'importe quoi parce que la vérité le blesse ?
Alors sur ce, c'est une de mes réponses que vous avez effacée sans qu'il s'y trouve un iota d'insulte mais la dure vérité de ma contradiction dure à entendre pour certains mais cela vaut-elle une infecte volée d'injures gratuites et calomnieuses...
Ata kotikela ye kibébé yango ? Nakamwe !
Tosala ko boni; lokola tozali mikolo na bomoto tolkolimbisa kaka ba oyo batikala ba bébés incapables de supporter la vérité, kaka makasi na kofinga...
Passons vite............
Compatriotiquement !
Et il continue a jouer l' innoncent... Faites preuve de votre age, monsieur... Votre poste ne merite meme pas la reponse de l' admin tellement que c' est enfantin...
zobattants
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Gabriel Kyungu wa Kumwanza, dirigeant d’un des sept partis exclus de la majorité au pouvoir pour avoir dénoncé le flou du régime quant aux prochaines élections en RDC, appelle à une marche le 10 octobre à Lubumbashi, deuxième ville du pays.
L’initiateur de la marche est président de l’assemblée locale et leader de l'Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec), parti membre du G7, le groupe de sept partis qui a fait défection de la majorité mi-septembre, dénonçant des manœuvres pour maintenir M. Kabila illégalement au pouvoir après 2016.
" Nous devons prouver à la face du monde que G7 est la solution du moment pour sauver la démocratie dans notre pays", affirme M. Kyungu wa Kumwanza.
Quelque 200 hommes en uniforme de la police armés de matraques, de boucliers, de kalachnikovs et pour certains de lance-roquettes avaient encerclé le lieu de la prière que fréquente cet homme qui compte parmi les plus influents de la politique dans le Katanga, la riche province minière du sud-est.
"Nous sommes un État de droit et je ne peux pas accepter d'être intimidé tout simplement parce que je prêche le respect de la Constitution", avait-il déclaré à la presse.
M. Kabila, au pouvoir depuis 2001, et orignaire du Katanga, ne peut briguer un troisième mandat, selon la Constitution. L'opposition et une partie de la majorité accusent son camp de vouloir le maintenir en poste, notamment en retardant la présidentielle prévue en novembre 2016.
Mardi, le gouverneur démissionnaire du Katanga, Moïse Katumbi, a emboité le pas du G7 en quittant le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD, au pouvoir), estimant que "depuis maintenant un an, tout est mis en oeuvre pour ne pas respecter la Constitution".
"Bravo aux compatriotes qui, par leur démission, ont eu le courage de s'opposer à une dérive démocratique de plus en plus accentuée en RDC", a déclaré vendredi sur son compte Twitter le Dr Denis Mukwege, réputé pour son aide aux victimes de violences sexuelles dans l'Est, en proie à des conflits depuis 20 ans.
"Ce geste sans précèdent en RDC peut inaugurer une ère nouvelle tant attendue, où l'intérêt public passe avant l'intérêt privé", a proclamé le gynécologue, lauréat en octobre 2014 du "prix Sakharov pour la liberté de l'esprit" du Parlement européen, et une nouvelle fois nominé pour le Nobel de la paix, qui sera décerné le 9 octobre.
Début septembre, dénonçant une "volonté manifeste de nuire, de salir l'image" de l'armée, Kinshasa avait interdit "L'Homme qui répare les femmes", le documentaire du réalisateur belge Thierry Michel et de sa compatriote journaliste Colette Braeckman consacré au travail du Dr Mukwege.
Source VOA
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Notre gouverneur Moïse Katumbi entretient le flou sur sa candidature à la présidentielle en 2016
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-moise-katumbi-entretient-le-flou-sur-sa-candidature-la-presidentielle-en-2016
Souvent présenté comme un concurrent politique direct de Joseph Kabila, le président congolais, Moïse Katumbi a démissionné du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), la formation au pouvoir. Il quitte également son poste de gouverneur du Katanga, la province la plus riche du pays qu’il dirigeait depuis huit ans. Pour quelles raisons avez-vous décidé de quitter le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) du président Joseph Kabila et dans le même temps votre poste de gouverneur ? J’ai annoncé depuis 2012 que je quitterai le parti si les élections des gouverneurs n’étaient pas organisées à temps. Quand j’ai rejoint le parti, il respectait la Constitution. Ce n’est plus le cas. En République démocratique du Congo (RDC), les gouverneurs sont élus. Ils doivent être élus. Aujourd’hui, à cause du glissement du calendrier électoral, les gouverneurs sont dans l’illégalité, moi y compris en tant que gouverneur du Katanga. Mais plutôt que d’organiser les élections régionales, il a été décidé de nommer des commissaires spéciaux pour remplacer les gouverneurs. Cette décision est anticonstitutionnelle. A qui ces commissaires vont-ils rendre des comptes ? Sûrement pas aux assemblées régionales ni donc aux électeurs. C’est un très mauvais exemple pour notre jeune démocratie congolaise. Je l’ai dit plusieurs fois au sein du PPRD, mais ma vision sur la nécessité de respecter la Constitution n’est pas partagée par la majorité dans le parti, donc je m’en vais. Parallèlement, en tant que démocrate, je ne peux pas accepter les atteintes aux droits de l’homme qui se multiplient : arrestations arbitraires, intolérance politique, attaques à la liberté d’expression… Subissez-vous des pressions depuis l’annonce de votre décision de claquer la porte du PERD ? On m’accuse de trahison et je reçois des menaces tous les jours. L’opposition dénonce les atteintes aux droits de l’homme depuis longtemps. Pourquoi, si cette situation vous est intolérable, avez-vous tant attendu avant de faire de même ? Ce n’est pas la première fois que je dénonce cela. En revanche, je n’ai jamais agi de la sorte dans mon Etat du Katanga. On n’y a jamais arrêté de journalistes, l’opposition y a tenu des meetings… Mais là, il fallait dire non. Vous appelez à la création d’un large mouvement démocratique. Allez-vous créer votre propre formation politique ? Non. Moïse Katumbi veut prendre le temps de réfléchir. Laissons la majorité, l’opposition et la société civile travailler ensemble pour sauver et renforcer notre jeune démocratie. Nous ne pouvons pas accepter le glissement du calendrier électoral. Sinon, un beau jour, on nous dira que ce report des élections est normal, constitutionnel. C’est inacceptable. Il faut dire non à cette manœuvre. Vous demandez la création d’un gouvernement d’union nationale ? Non. Une telle solution « énerve » la Constitution. Il y a eu des élections, il faut donc respecter la parole donnée aux électeurs. Allez-vous vous porter candidat à la présidentielle de 2016 ? Je ne dis pas que je vais me porter candidat, je vais d’abord prendre un peu de repos et réfléchir à l’avenir. Je suis entré en politique pour aider la population. Je vais me battre pour que la Constitution soit respectée. Et puis je vais travailler pour renforcer la démocratie avec les forces vives du pays et en finir avec le flou qui entoure l’interprétation de la constitution. Demandez-vous à la population de descendre dans la rue pour défendre la démocratie congolaise ? Mon objectif est de favoriser le dialogue pour revenir à la raison. Si le président Joseph Kabila ne veut pas comprendre alors… c’est une autre chose. Ceci dit, Joseph Kabila n’a pas encore dit qu’il se présenterait pour un troisième mandat. Ce troisième mandat n’est pas dans la Constitution, il faut la respecter. Nous tirons notre pouvoir du peuple. Quand en janvier 2015 les jeunes sont sortis dans la rue pour rappeler cela, il y a eu des morts. Il faut donc aider le président à terminer son mandat, réconcilier le pouvoir et la population.
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-moise-katumbi-entretient-le-flou-sur-sa-candidature-la-presidentielle-en-2016
Souvent présenté comme un concurrent politique direct de Joseph Kabila, le président congolais, Moïse Katumbi a démissionné du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), la formation au pouvoir. Il quitte également son poste de gouverneur du Katanga, la province la plus riche du pays qu’il dirigeait depuis huit ans. Pour quelles raisons avez-vous décidé de quitter le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) du président Joseph Kabila et dans le même temps votre poste de gouverneur ? J’ai annoncé depuis 2012 que je quitterai le parti si les élections des gouverneurs n’étaient pas organisées à temps. Quand j’ai rejoint le parti, il respectait la Constitution. Ce n’est plus le cas. En République démocratique du Congo (RDC), les gouverneurs sont élus. Ils doivent être élus. Aujourd’hui, à cause du glissement du calendrier électoral, les gouverneurs sont dans l’illégalité, moi y compris en tant que gouverneur du Katanga. Mais plutôt que d’organiser les élections régionales, il a été décidé de nommer des commissaires spéciaux pour remplacer les gouverneurs. Cette décision est anticonstitutionnelle. A qui ces commissaires vont-ils rendre des comptes ? Sûrement pas aux assemblées régionales ni donc aux électeurs. C’est un très mauvais exemple pour notre jeune démocratie congolaise. Je l’ai dit plusieurs fois au sein du PPRD, mais ma vision sur la nécessité de respecter la Constitution n’est pas partagée par la majorité dans le parti, donc je m’en vais. Parallèlement, en tant que démocrate, je ne peux pas accepter les atteintes aux droits de l’homme qui se multiplient : arrestations arbitraires, intolérance politique, attaques à la liberté d’expression… Subissez-vous des pressions depuis l’annonce de votre décision de claquer la porte du PERD ? On m’accuse de trahison et je reçois des menaces tous les jours. L’opposition dénonce les atteintes aux droits de l’homme depuis longtemps. Pourquoi, si cette situation vous est intolérable, avez-vous tant attendu avant de faire de même ? Ce n’est pas la première fois que je dénonce cela. En revanche, je n’ai jamais agi de la sorte dans mon Etat du Katanga. On n’y a jamais arrêté de journalistes, l’opposition y a tenu des meetings… Mais là, il fallait dire non. Vous appelez à la création d’un large mouvement démocratique. Allez-vous créer votre propre formation politique ? Non. Moïse Katumbi veut prendre le temps de réfléchir. Laissons la majorité, l’opposition et la société civile travailler ensemble pour sauver et renforcer notre jeune démocratie. Nous ne pouvons pas accepter le glissement du calendrier électoral. Sinon, un beau jour, on nous dira que ce report des élections est normal, constitutionnel. C’est inacceptable. Il faut dire non à cette manœuvre. Vous demandez la création d’un gouvernement d’union nationale ? Non. Une telle solution « énerve » la Constitution. Il y a eu des élections, il faut donc respecter la parole donnée aux électeurs. Allez-vous vous porter candidat à la présidentielle de 2016 ? Je ne dis pas que je vais me porter candidat, je vais d’abord prendre un peu de repos et réfléchir à l’avenir. Je suis entré en politique pour aider la population. Je vais me battre pour que la Constitution soit respectée. Et puis je vais travailler pour renforcer la démocratie avec les forces vives du pays et en finir avec le flou qui entoure l’interprétation de la constitution. Demandez-vous à la population de descendre dans la rue pour défendre la démocratie congolaise ? Mon objectif est de favoriser le dialogue pour revenir à la raison. Si le président Joseph Kabila ne veut pas comprendre alors… c’est une autre chose. Ceci dit, Joseph Kabila n’a pas encore dit qu’il se présenterait pour un troisième mandat. Ce troisième mandat n’est pas dans la Constitution, il faut la respecter. Nous tirons notre pouvoir du peuple. Quand en janvier 2015 les jeunes sont sortis dans la rue pour rappeler cela, il y a eu des morts. Il faut donc aider le président à terminer son mandat, réconcilier le pouvoir et la population.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Moïse Katumbi peut-il déboulonner Joseph Kabila en RDC ?
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/moise-katumbi-peut-il-deboulonner-joseph-kabila-en-rdc
Le richissime homme d’affaires, Moïse Katumbi Chapwe (50 ans révolus), qui a fait fortune dans le secteur privé avant de s’engager en politique, est possiblement celui qui pourrait succéder à Joseph Kabila au pouvoir depuis 15 ans en République démocratique du Congo (RDC). C’est désormais officiel, celui qui était depuis 2007 jusqu’à mardi 30 septembre 2015 gouverneur de la riche province du Katanga et membre du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), parti cher à Joseph Kabila, vient de démissionner de son poste de gouverneur. Moïse Katumbi a immédiatement pris ses distances avec Joseph Kabila, en claquant également la porte du parti présidentiel dont il était représentant provincial. Dans sa lettre de démission, Moïse Katumbi dit : « Au moment où nous, peuple congolais, entrons dans la dernière ligne droite du dernier mandat constitutionnel du président de la République, les faits indiquent que depuis maintenant un an, tout est mis en œuvre pour ne pas respecter la Constitution […]. Je m’oppose fermement à tout prétexte pour retarder les élections […]. Ces derniers temps, trop d’exemples doivent nous alerter : arrestations arbitraires de militants pro-démocratie, interdictions de sorties de films, intimidations de toutes sortes, répressions policières de plus en plus violentes, coupures des connexions Internet […]. Il est de mon devoir, en tant qu’homme politique d’interpeller nos dirigeants sur ces dérives inacceptables ». En effet, quand bien même il ne se serait pas encore prononcé officiellement sur son avenir politique, il s’agit à mon avis d’un secret de polichinelle. Cette double démission ne laisse aucun doute sur ses intentions de briguer la présidence de la république. Depuis très longtemps, on le voyait venir avec cette annonce qui marque définitivement la rupture avec le régime Kabila. Il y a quelques mois passés, il avait déjà annoncé qu’il quitterait son poste de gouverneur de province du Katanga, même si son électorat ne voulait pas l’entendre de cette oreille. Maintenant qu’il vient de franchir le Rubicon, il n’y a plus de doute possible, c’est désormais une question de quelques jours.Moïse Katumbi va annoncer sa candidature aux élections présidentielles de novembre 2016 pour succéder à Joseph Kabila. Katumbi peut-il réellement gagner et succéder à Kabila? Il est important de rappeler que Joseph Kabila a hérité accidentellement du pouvoir de l’État en RDC à la suite de l’assassinat de Laurent-Désiré Kabila en 2001, qui, lui-même a, avec sa rébellion armée, chassé l’ancien président Mobutu en 1997. Il n’est donc pas arrivé au pouvoir par la voie démocratique. En 2006, Joseph Kabila a, avec le soutien de la communauté internationale, organisé des élections présidentielle et législatives à l’issues desquelles il a été proclamé gagnant. Mais selon l’église catholique qui avait déployé le plus grand nombre d’observateurs électoraux sur toute l’étendue du pays, c’est Jean-Pierre Bemba qui aurait gagné. En 2011, Joseph Kabila a organisé des nouvelles élections. Cette fois-là encore même scenario, nombreux observateurs déployés aussi bien par l’église catholique que par des ONG internationales disaient que c’est Étienne Tshisekedi qui avait gagné massivement. Et malgré toutes les protestations qu’elles ont soulevées à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, Joseph Kabila est resté au pouvoir avec le soutien de l’armée, de la police et de services secrets, et doit finir son deuxième et dernier mandat dans une année. Si les élections présidentielle et législatives ont lieu effectivement en novembre 2016 avec Joseph Kabila comme candidat, qui peut le battre et obtenir l’imperium? À cette question, quatre éléments de réponse doivent être considérés (le soutien populaire, l’argent, le soutien des forces de l’ordre et ultimement le soutien international). Considérant ces quatre éléments, il nous semble que M. Katumbi pourrait bien les réunir pour succéder à Joseph Kabila. Dans le contexte africain où la grande majorité de la population est analphabète, paupérisée, très fragile face à la corruption et au clientélisme, et surtout n’ayant pas suffisamment d’informations pour faire un choix judicieux d’un candidat qui a un projet de société capable de sortir le pays de la misère et la pauvreté, il faut reconnaitre que la période électorale consiste essentiellement à distribuer des petits cadeaux aux électeurs pour obtenir leurs voix. Sur ce point, Moïse Katumbi présente un avantage comparatif. Il a ses propres moyens financiers pour faire campagne sur toute l’étendue du pays. Comme on l’a vu en 2006 et en 2011, la plupart des candidats ne disposaient pas des moyens conséquents pour faire campagne sur toute l’étendue de la RDC, un pays sans infrastructures routières, ferroviaires et aéroportuaires. C’est évident, qu’avec le capital de sympathie dont il jouit notamment auprès de ses amis de la Majorité présidentielle (MP) et de l’Opposition politique, auprès de la population congolaise en général et particulièrement celle du Katanga, Moïse Katumbi peut assurément obtenir les appuis nécessaires dans toutes les provinces de la RDC pour succéder à Joseph Kabila. Patron d’un grand club de football congolais « TP Mazembe », qui a déjà remporté à deux reprises la Ligue des champions Africaine et atteint la finale de la Coupe du Monde des Clubs, Moïse Katumbi est populaire à l’intérieur du pays, surtout auprès de la jeunesse, le groupe d’électeurs le plus nombreux dans ce pays. Dans le contexte d’un pays grand comme un continent, sans armée nationale et républicaine, gagner une élection présidentielle est évidemment une très bonne chose, mais avoir l’effectivité du pouvoir c’en est une autre. Les dernières élections ont démontré que sans le soutien de l’armée, de la police et des services secrets, il est pratiquement difficile d’avoir l’imperium. Sur ce point également, Moïse Katumbi peut être le mieux placé pour, non seulement battre Joseph Kabila très impopulaire à cause de ses intentions de briguer un mandat de plus, mais également obtenir le soutien de l’armée, de la police et de services secrets dont trois-quarts des hauts gradés sont essentiellement issus de la province du Katanga. La RDC n’étant pas n’importe quel pays d’Afrique, plusieurs groupes d’intérêts se bataillent pour avoir le contrôle et l’exploitation des minéraux congolais. Ces groupes d’intérêts ont des relais avec les puissants de ce monde qui, malgré votre choix démocratique, décident en dernière ressort qui peut ou non diriger tel ou tel pays. Sur ce point aussi, Moïse Katumbi peut bien compter sur le soutien au niveau extérieur. Né d’un parent Juif qui avait fui la deuxième guerre mondiale pour s’établir au Katanga, Moïse Katumbi bénéficierait de solides soutiens de milieux financiers occidentaux, notamment juifs (Washington, Londres, Tel Aviv, Paris, Bruxelles, Ottawa), très influents dans leurs pays respectifs. Tout ça réuni, il y a donc peu de chances pour quiconque veut se faire élire, s’il ne dispose pas suffisamment des soutiens énumérés ci-hauts. Certes, il y a d’autres outsiders qui ont une feuille de route impressionnante et des programmes ambitieux pour le Congo, notamment Noël Tshiani et Freddy Matungulu qui ont fait leur carrière internationale auprès des institutions de Bretton Woods et qui comprennent mieux le système de la gouvernance mondiale. Mais, l’entrée en scène de Moïse Katumbi va certainement refroidir bien des ardeurs de ceux qui ambitionnaient également de briguer la magistrature suprême. Mais, une chose est vraie : dans le contexte actuel de la RDC, un pays fragile qui sort lentement d’une longue guerre, avec une armée, une police et des services secrets tribalisés, il nous semble que Moïse Katumbi serait probablement celui qui pourrait jongler avec toutes ces évidences pour déboulonner Joseph Kabila et obtenir l’appui des forces de l’ordre pour stabiliser le pays. Il ne faut surtout pas perdre de vue qu’à quelques mois des élections présidentielles, Joseph Kabila n’a démontré aucun signe qui laisse présager de sa volonté de quitter le pouvoir à la fin de son mandat en 2016. Par contre, sa dernière décision de révoquer les membres de son gouvernement qui se sont opposés à la modification de la Constitution, conforte les pressentiments de ceux qui le soupçonnent de vouloir s’accrocher absolument au pouvoir au-delà du délai constitutionnel. Face à cette réalité implacable, les prétendants candidats à la magistrature suprême devraient comprendre qu’il est nécessaire de fédérer leurs forces autour d’un d’entre eux qui réunit suffisamment d’atouts pour sauver la démocratie en RDC et redonner de l’espoir au peuple congolais. Si Moïse Katumbi a un destin national, il doit d’abord gagner le pari d’approcher les potentiels candidats pour former une force politique qui fera face à Joseph Kabila. En effet, depuis les premières élections après l’accession du pays à l’indépendance, suivie de celles de 2006 et 2011, l’histoire nous apprend qu’aucun candidat n’a gagné sans avoir fait une coalition avec d’autres forces politiques. Une bonne équipe est le premier élément essentiel sur lequel repose toute victoire électorale. Moïse Katumbi devrait à tout prix éviter de tomber dans les divisions tribales et s’entourer d’une équipe outillée et professionnelle en communication politique pour polir son image et le faire connaître auprès du public congolais et international. Il doit avoir derrière lui de la matière grise pour analyser, formuler et proposer de supports de communication efficace pour convaincre tous ceux qui sont méfiants et croient à tort ou à raison qu’il serait le candidat de la MP fidèle à Kabila et qui tient à conserver le pouvoir.
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/moise-katumbi-peut-il-deboulonner-joseph-kabila-en-rdc
Le richissime homme d’affaires, Moïse Katumbi Chapwe (50 ans révolus), qui a fait fortune dans le secteur privé avant de s’engager en politique, est possiblement celui qui pourrait succéder à Joseph Kabila au pouvoir depuis 15 ans en République démocratique du Congo (RDC). C’est désormais officiel, celui qui était depuis 2007 jusqu’à mardi 30 septembre 2015 gouverneur de la riche province du Katanga et membre du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), parti cher à Joseph Kabila, vient de démissionner de son poste de gouverneur. Moïse Katumbi a immédiatement pris ses distances avec Joseph Kabila, en claquant également la porte du parti présidentiel dont il était représentant provincial. Dans sa lettre de démission, Moïse Katumbi dit : « Au moment où nous, peuple congolais, entrons dans la dernière ligne droite du dernier mandat constitutionnel du président de la République, les faits indiquent que depuis maintenant un an, tout est mis en œuvre pour ne pas respecter la Constitution […]. Je m’oppose fermement à tout prétexte pour retarder les élections […]. Ces derniers temps, trop d’exemples doivent nous alerter : arrestations arbitraires de militants pro-démocratie, interdictions de sorties de films, intimidations de toutes sortes, répressions policières de plus en plus violentes, coupures des connexions Internet […]. Il est de mon devoir, en tant qu’homme politique d’interpeller nos dirigeants sur ces dérives inacceptables ». En effet, quand bien même il ne se serait pas encore prononcé officiellement sur son avenir politique, il s’agit à mon avis d’un secret de polichinelle. Cette double démission ne laisse aucun doute sur ses intentions de briguer la présidence de la république. Depuis très longtemps, on le voyait venir avec cette annonce qui marque définitivement la rupture avec le régime Kabila. Il y a quelques mois passés, il avait déjà annoncé qu’il quitterait son poste de gouverneur de province du Katanga, même si son électorat ne voulait pas l’entendre de cette oreille. Maintenant qu’il vient de franchir le Rubicon, il n’y a plus de doute possible, c’est désormais une question de quelques jours.Moïse Katumbi va annoncer sa candidature aux élections présidentielles de novembre 2016 pour succéder à Joseph Kabila. Katumbi peut-il réellement gagner et succéder à Kabila? Il est important de rappeler que Joseph Kabila a hérité accidentellement du pouvoir de l’État en RDC à la suite de l’assassinat de Laurent-Désiré Kabila en 2001, qui, lui-même a, avec sa rébellion armée, chassé l’ancien président Mobutu en 1997. Il n’est donc pas arrivé au pouvoir par la voie démocratique. En 2006, Joseph Kabila a, avec le soutien de la communauté internationale, organisé des élections présidentielle et législatives à l’issues desquelles il a été proclamé gagnant. Mais selon l’église catholique qui avait déployé le plus grand nombre d’observateurs électoraux sur toute l’étendue du pays, c’est Jean-Pierre Bemba qui aurait gagné. En 2011, Joseph Kabila a organisé des nouvelles élections. Cette fois-là encore même scenario, nombreux observateurs déployés aussi bien par l’église catholique que par des ONG internationales disaient que c’est Étienne Tshisekedi qui avait gagné massivement. Et malgré toutes les protestations qu’elles ont soulevées à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, Joseph Kabila est resté au pouvoir avec le soutien de l’armée, de la police et de services secrets, et doit finir son deuxième et dernier mandat dans une année. Si les élections présidentielle et législatives ont lieu effectivement en novembre 2016 avec Joseph Kabila comme candidat, qui peut le battre et obtenir l’imperium? À cette question, quatre éléments de réponse doivent être considérés (le soutien populaire, l’argent, le soutien des forces de l’ordre et ultimement le soutien international). Considérant ces quatre éléments, il nous semble que M. Katumbi pourrait bien les réunir pour succéder à Joseph Kabila. Dans le contexte africain où la grande majorité de la population est analphabète, paupérisée, très fragile face à la corruption et au clientélisme, et surtout n’ayant pas suffisamment d’informations pour faire un choix judicieux d’un candidat qui a un projet de société capable de sortir le pays de la misère et la pauvreté, il faut reconnaitre que la période électorale consiste essentiellement à distribuer des petits cadeaux aux électeurs pour obtenir leurs voix. Sur ce point, Moïse Katumbi présente un avantage comparatif. Il a ses propres moyens financiers pour faire campagne sur toute l’étendue du pays. Comme on l’a vu en 2006 et en 2011, la plupart des candidats ne disposaient pas des moyens conséquents pour faire campagne sur toute l’étendue de la RDC, un pays sans infrastructures routières, ferroviaires et aéroportuaires. C’est évident, qu’avec le capital de sympathie dont il jouit notamment auprès de ses amis de la Majorité présidentielle (MP) et de l’Opposition politique, auprès de la population congolaise en général et particulièrement celle du Katanga, Moïse Katumbi peut assurément obtenir les appuis nécessaires dans toutes les provinces de la RDC pour succéder à Joseph Kabila. Patron d’un grand club de football congolais « TP Mazembe », qui a déjà remporté à deux reprises la Ligue des champions Africaine et atteint la finale de la Coupe du Monde des Clubs, Moïse Katumbi est populaire à l’intérieur du pays, surtout auprès de la jeunesse, le groupe d’électeurs le plus nombreux dans ce pays. Dans le contexte d’un pays grand comme un continent, sans armée nationale et républicaine, gagner une élection présidentielle est évidemment une très bonne chose, mais avoir l’effectivité du pouvoir c’en est une autre. Les dernières élections ont démontré que sans le soutien de l’armée, de la police et des services secrets, il est pratiquement difficile d’avoir l’imperium. Sur ce point également, Moïse Katumbi peut être le mieux placé pour, non seulement battre Joseph Kabila très impopulaire à cause de ses intentions de briguer un mandat de plus, mais également obtenir le soutien de l’armée, de la police et de services secrets dont trois-quarts des hauts gradés sont essentiellement issus de la province du Katanga. La RDC n’étant pas n’importe quel pays d’Afrique, plusieurs groupes d’intérêts se bataillent pour avoir le contrôle et l’exploitation des minéraux congolais. Ces groupes d’intérêts ont des relais avec les puissants de ce monde qui, malgré votre choix démocratique, décident en dernière ressort qui peut ou non diriger tel ou tel pays. Sur ce point aussi, Moïse Katumbi peut bien compter sur le soutien au niveau extérieur. Né d’un parent Juif qui avait fui la deuxième guerre mondiale pour s’établir au Katanga, Moïse Katumbi bénéficierait de solides soutiens de milieux financiers occidentaux, notamment juifs (Washington, Londres, Tel Aviv, Paris, Bruxelles, Ottawa), très influents dans leurs pays respectifs. Tout ça réuni, il y a donc peu de chances pour quiconque veut se faire élire, s’il ne dispose pas suffisamment des soutiens énumérés ci-hauts. Certes, il y a d’autres outsiders qui ont une feuille de route impressionnante et des programmes ambitieux pour le Congo, notamment Noël Tshiani et Freddy Matungulu qui ont fait leur carrière internationale auprès des institutions de Bretton Woods et qui comprennent mieux le système de la gouvernance mondiale. Mais, l’entrée en scène de Moïse Katumbi va certainement refroidir bien des ardeurs de ceux qui ambitionnaient également de briguer la magistrature suprême. Mais, une chose est vraie : dans le contexte actuel de la RDC, un pays fragile qui sort lentement d’une longue guerre, avec une armée, une police et des services secrets tribalisés, il nous semble que Moïse Katumbi serait probablement celui qui pourrait jongler avec toutes ces évidences pour déboulonner Joseph Kabila et obtenir l’appui des forces de l’ordre pour stabiliser le pays. Il ne faut surtout pas perdre de vue qu’à quelques mois des élections présidentielles, Joseph Kabila n’a démontré aucun signe qui laisse présager de sa volonté de quitter le pouvoir à la fin de son mandat en 2016. Par contre, sa dernière décision de révoquer les membres de son gouvernement qui se sont opposés à la modification de la Constitution, conforte les pressentiments de ceux qui le soupçonnent de vouloir s’accrocher absolument au pouvoir au-delà du délai constitutionnel. Face à cette réalité implacable, les prétendants candidats à la magistrature suprême devraient comprendre qu’il est nécessaire de fédérer leurs forces autour d’un d’entre eux qui réunit suffisamment d’atouts pour sauver la démocratie en RDC et redonner de l’espoir au peuple congolais. Si Moïse Katumbi a un destin national, il doit d’abord gagner le pari d’approcher les potentiels candidats pour former une force politique qui fera face à Joseph Kabila. En effet, depuis les premières élections après l’accession du pays à l’indépendance, suivie de celles de 2006 et 2011, l’histoire nous apprend qu’aucun candidat n’a gagné sans avoir fait une coalition avec d’autres forces politiques. Une bonne équipe est le premier élément essentiel sur lequel repose toute victoire électorale. Moïse Katumbi devrait à tout prix éviter de tomber dans les divisions tribales et s’entourer d’une équipe outillée et professionnelle en communication politique pour polir son image et le faire connaître auprès du public congolais et international. Il doit avoir derrière lui de la matière grise pour analyser, formuler et proposer de supports de communication efficace pour convaincre tous ceux qui sont méfiants et croient à tort ou à raison qu’il serait le candidat de la MP fidèle à Kabila et qui tient à conserver le pouvoir.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Notre gouverneur Moïse Katumbi est-il à la tête du « G7 » ?
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-moise-katumbi-est-il-la-tete-du-g7
Deux semaines après l'« autoexclusion » de sept partis frondeurs (G7) de la Majorité présidentielle (MP) en RDC, Moïse Katumbi, le dernier gouverneur de l'ex-Katanga, a claqué mardi la porte du PPRD, principal parti de la MP. La coalition au pouvoir le soupçonne désormais d'être à la tête du « G7 ». Qui est derrière le groupe des sept partis éjectés le 16 septembre de la Majorité présidentielle (MP) pour avoir prévenu Joseph Kabila des risques de vouloir se maintenir au pouvoir à tout prix ? Après la série de révocations et de démissions de plusieurs membres de ce « G7 » et de leurs partisans, la MP cherche désormais « celui qui tire les ficelles », nous confie un cacique de la coalition au pouvoir. Première source de suspicion : l’ex-province du Katanga, aujourd’hui découpée en quatre nouvelles entités. Là-bas, Gabriel Kyungu wa Kumwanza, membre du « G7 », aujourd’hui à la tête du bureau provisoire de l’Assemblée du Haut-Katanga, s’est vu retirer, le 20 septembre, les policiers qui assuraient sa protection. Et l’étau se resserre autour de Moïse Katumbi, dont l’opposition à un éventuel maintien au pouvoir de Kabila au-delà de son 2e et dernier mandat constitutionnel est connue de tous depuis qu’il avait mis en garde ce dernier fin 2014 contre un « troisième faux penalty ». Celui qui est aussi président du TP Mazembe avait utilisé une métaphore footballistique pour marquer son désaccord à toute modification constitutionnelle visant à permettre un troisième mandat au chef de l’État sortant.
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Deux semaines après l'« autoexclusion » de sept partis frondeurs (G7) de la Majorité présidentielle (MP) en RDC, Moïse Katumbi, le dernier gouverneur de l'ex-Katanga, a claqué mardi la porte du PPRD, principal parti de la MP. La coalition au pouvoir le soupçonne désormais d'être à la tête du « G7 ». Qui est derrière le groupe des sept partis éjectés le 16 septembre de la Majorité présidentielle (MP) pour avoir prévenu Joseph Kabila des risques de vouloir se maintenir au pouvoir à tout prix ? Après la série de révocations et de démissions de plusieurs membres de ce « G7 » et de leurs partisans, la MP cherche désormais « celui qui tire les ficelles », nous confie un cacique de la coalition au pouvoir. Première source de suspicion : l’ex-province du Katanga, aujourd’hui découpée en quatre nouvelles entités. Là-bas, Gabriel Kyungu wa Kumwanza, membre du « G7 », aujourd’hui à la tête du bureau provisoire de l’Assemblée du Haut-Katanga, s’est vu retirer, le 20 septembre, les policiers qui assuraient sa protection. Et l’étau se resserre autour de Moïse Katumbi, dont l’opposition à un éventuel maintien au pouvoir de Kabila au-delà de son 2e et dernier mandat constitutionnel est connue de tous depuis qu’il avait mis en garde ce dernier fin 2014 contre un « troisième faux penalty ». Celui qui est aussi président du TP Mazembe avait utilisé une métaphore footballistique pour marquer son désaccord à toute modification constitutionnelle visant à permettre un troisième mandat au chef de l’État sortant.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Le projet de loi autour du référendum fait du bruit à Kinshasa
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-le-projet-de-loi-autour-du-referendum-fait-du-bruit-Kinshasa
En RDC, cinq jours après que son existence ait été révélée par la presse, une proposition de loi sur les conditions d'organisation d'un référendum continue de faire polémique à Kinshasa. Une partie de la société civile y voit une nouvelle stratégie pour réformer la Constitution et prolonger le mandat du président Joseph Kabila. Faux, répond le gouvernement qui parle de procès d'intention. Du côté du gouvernement, on est catégorique. Il n’est pas question d'organiser un référendum dans l'immédiat ou de réformer la Constitution. Cette loi dit plutôt servir à combler un vide juridique à savoir préciser le cadre juridique pour organiser un référendum. « Il n’y a pas de projet de référendum, il n’y a pas une question que nous voudrions soumettre à un référendum, assure Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement. Pourquoi fait-on croire aux gens que s’il y a une loi fixant les conditions d’organisation d’un référendum, c’est que l’on veut organiser un référendum ? »
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-le-projet-de-loi-autour-du-referendum-fait-du-bruit-Kinshasa
En RDC, cinq jours après que son existence ait été révélée par la presse, une proposition de loi sur les conditions d'organisation d'un référendum continue de faire polémique à Kinshasa. Une partie de la société civile y voit une nouvelle stratégie pour réformer la Constitution et prolonger le mandat du président Joseph Kabila. Faux, répond le gouvernement qui parle de procès d'intention. Du côté du gouvernement, on est catégorique. Il n’est pas question d'organiser un référendum dans l'immédiat ou de réformer la Constitution. Cette loi dit plutôt servir à combler un vide juridique à savoir préciser le cadre juridique pour organiser un référendum. « Il n’y a pas de projet de référendum, il n’y a pas une question que nous voudrions soumettre à un référendum, assure Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement. Pourquoi fait-on croire aux gens que s’il y a une loi fixant les conditions d’organisation d’un référendum, c’est que l’on veut organiser un référendum ? »
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Réaménagement du calendrier électoral : le MSR presse la CENI
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/reamenagement-du-calendrier-electoral-le-msr-presse-la-ceni
La publication d’un calendrier global réaménagé du cycle électoral dans le strict respect des délais constitutionnels préoccupe le Mouvement social pour le renouveau (MSR). Le parti de Pierre de Lumbi appelle ainsi la CENI à s’assumer. Le bureau politique élargi du Mouvement social pour le renouveau (MSR) rompt le silence après le divorce consommé avec la Majorité présidentielle. Son premier regard est tourné vers la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Le MSR presse la centrale électorale congolaise afin qu’elle s’assume en publiant rapidement un calendrier réaménagé dans le strict respect des délais constitutionnels. Cet appel a été lancé hier jeudi 1er octobre au siège du parti. C’était aux termes d’une session extraordinaire de cette formation politique démarrée le 29 septembre. Le bureau politique élargi aux délégués de 26 fédérations du parti correspondant aux 25 provinces de la République plus la ville de Kinshasa, aux députés, sénateurs et cadres du parti, réaffirme sa détermination à œuvrer pour contrer les dérives qui risquent de réduire à néant le sacrifice consenti pour l’émergence de la démocratie en RDC. Ce qui implique que le nouveau calendrier attendu de la CENI devra prendre en compte de grandes options pour se démarquer du calendrier électoral global du 12 février dernier. Selon le MSR, le retard enregistré dans l’exécution du calendrier publié par la CENI le 12 février 2015 est dû à l’absence manifeste de volonté politique du pouvoir exécutif dans l’accompagnement du processus électoral. L’action de la communauté internationale est également saluée. Le MSR l’encourage à ne ménager aucun effort, comme lors des élections de 2006, pour accompagner financièrement la CENI dans l’organisation des élections. RUPTURE CONFIRMÉE AVEC LA MP Par ailleurs, la déclaration politique du MSR fait état du constat de l’exclusion dont il a été l’objet de « l’ancienne Majorité présidentielle » et prend acte de la rupture. Le parti se trouve encensé par la discipline, la cohésion et le sens élevé de responsabilité manifestés par ses cadres et militants ainsi que du soutien massif exprimé par la population à son combat visant le strict respect de la Constitution et de l’alternance démocratique. Dans la nouvelle dynamique avec le G7, le parti de Pierre Lumbi s’engage à jouer sa partition dans l’objectif de consolider la plate-forme ainsi créée. D’où, l’appel pressant lancé à toutes les forces politiques et sociales soucieuses de l’émergence d’un Etat de droit en RDC, à unir leurs efforts autour de l’idéal défendu.
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/reamenagement-du-calendrier-electoral-le-msr-presse-la-ceni
La publication d’un calendrier global réaménagé du cycle électoral dans le strict respect des délais constitutionnels préoccupe le Mouvement social pour le renouveau (MSR). Le parti de Pierre de Lumbi appelle ainsi la CENI à s’assumer. Le bureau politique élargi du Mouvement social pour le renouveau (MSR) rompt le silence après le divorce consommé avec la Majorité présidentielle. Son premier regard est tourné vers la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Le MSR presse la centrale électorale congolaise afin qu’elle s’assume en publiant rapidement un calendrier réaménagé dans le strict respect des délais constitutionnels. Cet appel a été lancé hier jeudi 1er octobre au siège du parti. C’était aux termes d’une session extraordinaire de cette formation politique démarrée le 29 septembre. Le bureau politique élargi aux délégués de 26 fédérations du parti correspondant aux 25 provinces de la République plus la ville de Kinshasa, aux députés, sénateurs et cadres du parti, réaffirme sa détermination à œuvrer pour contrer les dérives qui risquent de réduire à néant le sacrifice consenti pour l’émergence de la démocratie en RDC. Ce qui implique que le nouveau calendrier attendu de la CENI devra prendre en compte de grandes options pour se démarquer du calendrier électoral global du 12 février dernier. Selon le MSR, le retard enregistré dans l’exécution du calendrier publié par la CENI le 12 février 2015 est dû à l’absence manifeste de volonté politique du pouvoir exécutif dans l’accompagnement du processus électoral. L’action de la communauté internationale est également saluée. Le MSR l’encourage à ne ménager aucun effort, comme lors des élections de 2006, pour accompagner financièrement la CENI dans l’organisation des élections. RUPTURE CONFIRMÉE AVEC LA MP Par ailleurs, la déclaration politique du MSR fait état du constat de l’exclusion dont il a été l’objet de « l’ancienne Majorité présidentielle » et prend acte de la rupture. Le parti se trouve encensé par la discipline, la cohésion et le sens élevé de responsabilité manifestés par ses cadres et militants ainsi que du soutien massif exprimé par la population à son combat visant le strict respect de la Constitution et de l’alternance démocratique. Dans la nouvelle dynamique avec le G7, le parti de Pierre Lumbi s’engage à jouer sa partition dans l’objectif de consolider la plate-forme ainsi créée. D’où, l’appel pressant lancé à toutes les forces politiques et sociales soucieuses de l’émergence d’un Etat de droit en RDC, à unir leurs efforts autour de l’idéal défendu.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
J. Endundo mandaté pour signer l’acte constitutif du G7
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/pdc-j-endundo-mandate-pour-signer-lacte-constitutif-du-g7
Les militants de 44 fédérations de Kinshasa du Parti des démocrates chrétiens (PDC) ont donné, à l’unanimité, mandat à leur autorité morale, José Endundo Bononge, pour signer la charte constitutive de G7, le groupe de sept partis politiques exclus récemment de la Majorité présidentielle (MP). «Voulez-vous qu‘au nom du PDC je puisse signer l’acte constitutif de G7 qui deviendra notre famille politique ?‘ ». A cette question posée par José Endundo à sa base, toute la salle a répondu «oui». Ce qui donne officiellement pleine autorité au président fondateur du PDC d’aller parapher, probablement la semaine prochaine, l’acte portant création de la nouvelle plate-forme politique qui pourrait se dénommer «G7 plus », parce que d’autres partis politiques sont en train de solliciter leur adhésion. Cette réunion politique s’est déroulée hier 1er septembre en la salle la Petite Perle de la paroisse Sainte Anne à Gome en présence de tous les membres du bureau du PDC dont le Président national, Denis Endunda Litumba, du Secrétaire général, Jean de Dieu Moleka, du président de la Commission PAJ au Sénat, l’honorable Sébastien Adambu ainsi que des plusieurs sénateurs et députés. Avant de solliciter le quitus de sa base pour adhérer à la nouvelle famille politique du parti, José Endundo Bononge a commencé par expliquer aux militants les motivations de l’initiative de la lettre ouverte adressée au président de la République lui demandant de respecter la constitution et d’assurer l’alternance politique en 2016. Il a assuré que l’action du G7 consiste à ne soutenir que le respect de la Constitution de la République et n’est pas destinée contre une personne, « même pas contre le président de la République ». «Il faut qu’en novembre 2016, les Cong1ais se réveillent avec un autre président de la République », a-t-il souhaite. Et de dire sans ambages : «nous ne pouvons accepter un glissement ni un 3ème mandat ». Par ailleurs, l’autorité morale du PDC dit se battre pour une «nouvelle culture politique en vue de la bonne gouvernance de la RDC ». Expliquant le positionnement du G7, José Endundo le situe plutôt au centre. «Nous sommes une opposition réfléchie, constructive, positive. Nous sommes au centre. Nous ne sommes plus de la majorité présidentielle », a laissé entendre le président fondateur du PDC. Saluant l’attitude des cadres de son parti qui ont dignement accepté de démissionner de postes dans les institutions, José Endundo a fait applaudir particulièrement le président du PDC, Denis Endunda, pour sa fidélité. Faisant le compte des membres resté fidèles au PDC, Denis Endunda a signifié que le parti garde ses 4 sénateurs, 5 députés nationaux et la totalité de 18 députés provinciaux. Cependant, regrettant le manque de courage des cadres qui ont renié le parti, le président national du PDC a porté à la connaissance des militants qu’aucun d’entre eux n’a déposé sa lettre de démission. Ce, en dépit de l’injonction qui leur a été faite de «tirer toutes les conséquences de leur reniement du .PDC ». «Ils ont renié, ils doivent avoir le courage de démissionner du parti », a-t-il martelé. Outre le PDC, le G7 comprend le MSR, l’ACO, l’UNAFEC, l’UNADEF, l’ADP et l’ARC.
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/pdc-j-endundo-mandate-pour-signer-lacte-constitutif-du-g7
Les militants de 44 fédérations de Kinshasa du Parti des démocrates chrétiens (PDC) ont donné, à l’unanimité, mandat à leur autorité morale, José Endundo Bononge, pour signer la charte constitutive de G7, le groupe de sept partis politiques exclus récemment de la Majorité présidentielle (MP). «Voulez-vous qu‘au nom du PDC je puisse signer l’acte constitutif de G7 qui deviendra notre famille politique ?‘ ». A cette question posée par José Endundo à sa base, toute la salle a répondu «oui». Ce qui donne officiellement pleine autorité au président fondateur du PDC d’aller parapher, probablement la semaine prochaine, l’acte portant création de la nouvelle plate-forme politique qui pourrait se dénommer «G7 plus », parce que d’autres partis politiques sont en train de solliciter leur adhésion. Cette réunion politique s’est déroulée hier 1er septembre en la salle la Petite Perle de la paroisse Sainte Anne à Gome en présence de tous les membres du bureau du PDC dont le Président national, Denis Endunda Litumba, du Secrétaire général, Jean de Dieu Moleka, du président de la Commission PAJ au Sénat, l’honorable Sébastien Adambu ainsi que des plusieurs sénateurs et députés. Avant de solliciter le quitus de sa base pour adhérer à la nouvelle famille politique du parti, José Endundo Bononge a commencé par expliquer aux militants les motivations de l’initiative de la lettre ouverte adressée au président de la République lui demandant de respecter la constitution et d’assurer l’alternance politique en 2016. Il a assuré que l’action du G7 consiste à ne soutenir que le respect de la Constitution de la République et n’est pas destinée contre une personne, « même pas contre le président de la République ». «Il faut qu’en novembre 2016, les Cong1ais se réveillent avec un autre président de la République », a-t-il souhaite. Et de dire sans ambages : «nous ne pouvons accepter un glissement ni un 3ème mandat ». Par ailleurs, l’autorité morale du PDC dit se battre pour une «nouvelle culture politique en vue de la bonne gouvernance de la RDC ». Expliquant le positionnement du G7, José Endundo le situe plutôt au centre. «Nous sommes une opposition réfléchie, constructive, positive. Nous sommes au centre. Nous ne sommes plus de la majorité présidentielle », a laissé entendre le président fondateur du PDC. Saluant l’attitude des cadres de son parti qui ont dignement accepté de démissionner de postes dans les institutions, José Endundo a fait applaudir particulièrement le président du PDC, Denis Endunda, pour sa fidélité. Faisant le compte des membres resté fidèles au PDC, Denis Endunda a signifié que le parti garde ses 4 sénateurs, 5 députés nationaux et la totalité de 18 députés provinciaux. Cependant, regrettant le manque de courage des cadres qui ont renié le parti, le président national du PDC a porté à la connaissance des militants qu’aucun d’entre eux n’a déposé sa lettre de démission. Ce, en dépit de l’injonction qui leur a été faite de «tirer toutes les conséquences de leur reniement du .PDC ». «Ils ont renié, ils doivent avoir le courage de démissionner du parti », a-t-il martelé. Outre le PDC, le G7 comprend le MSR, l’ACO, l’UNAFEC, l’UNADEF, l’ADP et l’ARC.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Des opposants saluent le Front républicain préconisé par Moïse Katumbi
http://www.radiookapi.net/2015/10/03/actualite/politique/rdc-des-opposants-saluent-le-front-republicain-preconise-par-moise
Les opposants congolais saluent l'idée de constituer un front républicain pour sauvegarder la démocratie et faire respecter la constitution. Dans une déclaration faite vendredi 2 octobre, le président du Mouvement du peuple congolais pour la république (MPCR), Jean-Claude Mvuemba et celui de l'Alliance des Travaillistes pour le Développement (ATD) de José Makila affirment soutenir cette idée préconisée par l'ancien gouverneur de l'ex-Katanga, Moïse Katumbi.
Après sa démission du gouvernorat de l'ex province du Katanga, Moïse Katumbi a accordé vendredi une interview à Radio France internationale (RFI). Il dit faire appel à un front républicain « pour sauvegarder notre jeune démocratie », a-t-il déclaré.
Jean-Claude Vuemba du MPCR, souhaite la bienvenue à Moïse Katumbi dans l'opposition.
« L'opposition à travers la dynamique [DTP : Dynamique Tshisekedi président] ainsi que l'UDPS à travers plusieurs autres plates formes a toujours réclamé un front uni pour sauvegarder la démocratie. Aujourd'hui, si Moïse Katumbi veut le relancer, nous devons nous accrocher à ça», a affirmé Jean-Claude Mvuemba.
José Makila encourage aussi cette idée et invite Katumbi à rejoindre le camp de la patrie.
« S'il y a des gens qui défendent cette constitution, je pense qu'ils sont de bon côté. J'apprécie le courage politique du gouverneur Moïse Katumbi qui en dépit de tout ce qu'il a, a bravé le risque et accepte de rejoindre le camp de la patrie.
Il a rappelé que « tout parti politique ou tout regroupement ne soutenant pas les actions du gouvernement ou ne prenant pas part au gouvernement, devient automatiquement de l'opposition.
« L'opposition n'appartient à personne », a signifié José Makila.
Moïse Katumbi a annoncé mardi 29 septembre sa démission du PPRD, le parti présidentiel et du gouvernorat du Katanga. Dans sa déclaration politique publiée sur son compte Twitter, il explique les raisons de son départ du PPRD par le fait que, selon lui, « tout est mis en œuvre pour ne pas respecter la constitution en entretenant retard, flou et illisibilité du cycle électoral et en élaborant une stratégie de glissement des dates des scrutins ».
http://www.radiookapi.net/2015/10/03/actualite/politique/rdc-des-opposants-saluent-le-front-republicain-preconise-par-moise
Les opposants congolais saluent l'idée de constituer un front républicain pour sauvegarder la démocratie et faire respecter la constitution. Dans une déclaration faite vendredi 2 octobre, le président du Mouvement du peuple congolais pour la république (MPCR), Jean-Claude Mvuemba et celui de l'Alliance des Travaillistes pour le Développement (ATD) de José Makila affirment soutenir cette idée préconisée par l'ancien gouverneur de l'ex-Katanga, Moïse Katumbi.
Après sa démission du gouvernorat de l'ex province du Katanga, Moïse Katumbi a accordé vendredi une interview à Radio France internationale (RFI). Il dit faire appel à un front républicain « pour sauvegarder notre jeune démocratie », a-t-il déclaré.
Jean-Claude Vuemba du MPCR, souhaite la bienvenue à Moïse Katumbi dans l'opposition.
« L'opposition à travers la dynamique [DTP : Dynamique Tshisekedi président] ainsi que l'UDPS à travers plusieurs autres plates formes a toujours réclamé un front uni pour sauvegarder la démocratie. Aujourd'hui, si Moïse Katumbi veut le relancer, nous devons nous accrocher à ça», a affirmé Jean-Claude Mvuemba.
José Makila encourage aussi cette idée et invite Katumbi à rejoindre le camp de la patrie.
« S'il y a des gens qui défendent cette constitution, je pense qu'ils sont de bon côté. J'apprécie le courage politique du gouverneur Moïse Katumbi qui en dépit de tout ce qu'il a, a bravé le risque et accepte de rejoindre le camp de la patrie.
Il a rappelé que « tout parti politique ou tout regroupement ne soutenant pas les actions du gouvernement ou ne prenant pas part au gouvernement, devient automatiquement de l'opposition.
« L'opposition n'appartient à personne », a signifié José Makila.
Moïse Katumbi a annoncé mardi 29 septembre sa démission du PPRD, le parti présidentiel et du gouvernorat du Katanga. Dans sa déclaration politique publiée sur son compte Twitter, il explique les raisons de son départ du PPRD par le fait que, selon lui, « tout est mis en œuvre pour ne pas respecter la constitution en entretenant retard, flou et illisibilité du cycle électoral et en élaborant une stratégie de glissement des dates des scrutins ».
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Michel Okongo investi candidat président de la République pour 2016
http://www.radiookapi.net/2015/10/03/actualite/politique/rdc-michel-okongo-investit-candidat-president-de-la-republique-pour
Maitre Michel Okongo Lomena a été officiellement investi candidat président de la République pour la présidentielle de 2015. Cette résolution a été prise, vendredi 2 octobre, à l'issue du premier congrès de son parti, Unité des valeurs.
Investi candidat président, Michel Okongo se dit serein et pense que le processus électoral en République Démocratique du Congo ne devrait souffrir d'aucun retard.
« Moi j'ai la tête posée sur mes épaules. Attention, il y a un proverbe qui dit que le chien aboie, la caravane passe. Ça veut dire tout simplement que, les aboiements d'un chien ne peuvent pas arrêter la marche d'une caravane. La caravane aujourd'hui c'est quoi, c'est le processus électoral », a affirmé Michel Okongo.
Le président du parti politique « Unité des valeurs » dit ne pas comprendre pourquoi on ramène le processus en arrière et appelle à la conscientisation pour « réécrire notre histoire ».
Pour Maitre Michel Okongo Lomena, l'élite politique congolaise ne devrait plus ramener le pays en arrière, par diverses distractions.
À l'issue de ce congrès qui s'est tenu du 30 septembre au 2 octobre, le parti politique Unité des valeurs a aussi investi un nombre important des candidats à tous les niveaux, des élections locales, municipales et urbaines, jusqu'à la présidentielle.
http://www.radiookapi.net/2015/10/03/actualite/politique/rdc-michel-okongo-investit-candidat-president-de-la-republique-pour
Maitre Michel Okongo Lomena a été officiellement investi candidat président de la République pour la présidentielle de 2015. Cette résolution a été prise, vendredi 2 octobre, à l'issue du premier congrès de son parti, Unité des valeurs.
Investi candidat président, Michel Okongo se dit serein et pense que le processus électoral en République Démocratique du Congo ne devrait souffrir d'aucun retard.
« Moi j'ai la tête posée sur mes épaules. Attention, il y a un proverbe qui dit que le chien aboie, la caravane passe. Ça veut dire tout simplement que, les aboiements d'un chien ne peuvent pas arrêter la marche d'une caravane. La caravane aujourd'hui c'est quoi, c'est le processus électoral », a affirmé Michel Okongo.
Le président du parti politique « Unité des valeurs » dit ne pas comprendre pourquoi on ramène le processus en arrière et appelle à la conscientisation pour « réécrire notre histoire ».
Pour Maitre Michel Okongo Lomena, l'élite politique congolaise ne devrait plus ramener le pays en arrière, par diverses distractions.
À l'issue de ce congrès qui s'est tenu du 30 septembre au 2 octobre, le parti politique Unité des valeurs a aussi investi un nombre important des candidats à tous les niveaux, des élections locales, municipales et urbaines, jusqu'à la présidentielle.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Un parti politique préconise la publication des biens et salaires des gouvernants
http://www.radiookapi.net/2015/10/03/actualite/politique/rdc-un-parti-politique-preconise-la-publication-des-biens-et-salaires
Le Parti national pour la démocratie et le développement (PND) préconise que les biens et les salaires des gouvernants congolais soient régulièrement publiés. Le secrétaire général de cette formation politique, Christian Momat, a fait cette proposition, vendredi 2 octobre, à Lubumbashi (Haut-Katanga).
Il estime que dans le cadre de la nouvelle citoyenneté, l'Etat doit imposer la traçabilité des avoirs des gouvernants pour éviter des enrichissements illicites.
Christian Momat dit soutenir l'idée de Moïse Katumbi qui a proposé la tenue d'une table ronde pour amener les gouvernants (ministres, gouverneurs, mandataires et autres) à expliquer la source de leurs richesses.
«Le peuple ne sait pas ce que gagne un ministre, un Premier ministre et certains mandataires. Ce qui est une anomalie parce que tous ces gens-là sont payés avec l'argent des contribuables », a indiqué Christian Momat.
Le secrétaire général du PND s'étonne qu'en RDC les déclarations des biens des mandataires publics se fassent en secret.
Les ministres et mandataires de l'Etat entrant et sortant devraient régulièrement déclarer leurs biens à la Cour suprême de justice (CSJ).
Faute de cette déclaration, endéans 30 jours, la personne concernée est réputée démissionnaire.
L'article 99 de la constitution congolaise ne prévoit cependant pas la publication des biens déclarés dans les médias. Seule la Haute Cour est dépositaire de la déclaration du patrimoine.
La Cour suprême de justice (CSJ) avait indiqué que tous les membres du gouvernement Matata Ponyo ont déposé la déclaration de leurs patrimoines le 23 mai dernier.
http://www.radiookapi.net/2015/10/03/actualite/politique/rdc-un-parti-politique-preconise-la-publication-des-biens-et-salaires
Le Parti national pour la démocratie et le développement (PND) préconise que les biens et les salaires des gouvernants congolais soient régulièrement publiés. Le secrétaire général de cette formation politique, Christian Momat, a fait cette proposition, vendredi 2 octobre, à Lubumbashi (Haut-Katanga).
Il estime que dans le cadre de la nouvelle citoyenneté, l'Etat doit imposer la traçabilité des avoirs des gouvernants pour éviter des enrichissements illicites.
Christian Momat dit soutenir l'idée de Moïse Katumbi qui a proposé la tenue d'une table ronde pour amener les gouvernants (ministres, gouverneurs, mandataires et autres) à expliquer la source de leurs richesses.
«Le peuple ne sait pas ce que gagne un ministre, un Premier ministre et certains mandataires. Ce qui est une anomalie parce que tous ces gens-là sont payés avec l'argent des contribuables », a indiqué Christian Momat.
Le secrétaire général du PND s'étonne qu'en RDC les déclarations des biens des mandataires publics se fassent en secret.
Les ministres et mandataires de l'Etat entrant et sortant devraient régulièrement déclarer leurs biens à la Cour suprême de justice (CSJ).
Faute de cette déclaration, endéans 30 jours, la personne concernée est réputée démissionnaire.
L'article 99 de la constitution congolaise ne prévoit cependant pas la publication des biens déclarés dans les médias. Seule la Haute Cour est dépositaire de la déclaration du patrimoine.
La Cour suprême de justice (CSJ) avait indiqué que tous les membres du gouvernement Matata Ponyo ont déposé la déclaration de leurs patrimoines le 23 mai dernier.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
La RDC appelle à reduire progressiment les effectifs des contingents de la Monusco / Elections
Constatant la reddition de plusieurs groupes rebelles, dont le M23, le ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo (RDC), Raymond Tshibanda N'tunga Mulongo, a appelé jeudi 01 octobre 2015 à New York à réduire progressivement la présence onusienne dans le pays.
Dans un discours prononcé lors du débat général de la 70ème Assemblée générale de l'Organisation, il a remercié la communauté internationale pour le soutien qu'elle a apporté à son pays, et notamment les pays contributeurs de troupes au sein de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (Monusco).
« En dépit de la persistance résiduelle d'insécurité que nous sommes activement occupés à résorber, la paix, la sécurité et l'autorité de l'Etat ont été rétablis sur la quasi-totalité du territoire national », a salué M. Tshibanda, ajoutant que la RDC est aujourd'hui une des économies les plus dynamiques d'Afrique, avec un taux de croissance de 9,5% en 2014.
Le ministre des Affaires étrangères a cependant reconnu que la RDC reste une société de post-conflit et que les efforts de stabilisation et de consolidation de la paix doivent se poursuivre dans le pays.
« Après la défaite du M23 et la reddition de plusieurs groupes rebelles, la République démocratique du Congo veut consolider la paix retrouvée et revenir à une vie normale. Pour ce faire, la présence onusienne sur le territoire congolais doit être repensée et les effectifs des contingents de la MONUSCO progressivement réduits », a toutefois appelé M. Tshibanda.
Elections générales « transparentes et crédibles, dans un climat apaisé »
Sur le plan politique, M. Raymond Tshibanda a mentionné que le gouvernement de la RDC accorde la priorité à la décentralisation du pays ainsi qu'à l'organisation d'élections générales « transparentes et crédibles, dans un climat apaisé », en 2015 et 2016.
A cette fin, a-t-il ajouté, le Président de la RDC a entamé un processus de consultation en mai dernier, avec les acteurs politiques et tous les segments de la société congolaise.
Source: Le potentiel
Constatant la reddition de plusieurs groupes rebelles, dont le M23, le ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo (RDC), Raymond Tshibanda N'tunga Mulongo, a appelé jeudi 01 octobre 2015 à New York à réduire progressivement la présence onusienne dans le pays.
Dans un discours prononcé lors du débat général de la 70ème Assemblée générale de l'Organisation, il a remercié la communauté internationale pour le soutien qu'elle a apporté à son pays, et notamment les pays contributeurs de troupes au sein de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (Monusco).
« En dépit de la persistance résiduelle d'insécurité que nous sommes activement occupés à résorber, la paix, la sécurité et l'autorité de l'Etat ont été rétablis sur la quasi-totalité du territoire national », a salué M. Tshibanda, ajoutant que la RDC est aujourd'hui une des économies les plus dynamiques d'Afrique, avec un taux de croissance de 9,5% en 2014.
Le ministre des Affaires étrangères a cependant reconnu que la RDC reste une société de post-conflit et que les efforts de stabilisation et de consolidation de la paix doivent se poursuivre dans le pays.
« Après la défaite du M23 et la reddition de plusieurs groupes rebelles, la République démocratique du Congo veut consolider la paix retrouvée et revenir à une vie normale. Pour ce faire, la présence onusienne sur le territoire congolais doit être repensée et les effectifs des contingents de la MONUSCO progressivement réduits », a toutefois appelé M. Tshibanda.
Elections générales « transparentes et crédibles, dans un climat apaisé »
Sur le plan politique, M. Raymond Tshibanda a mentionné que le gouvernement de la RDC accorde la priorité à la décentralisation du pays ainsi qu'à l'organisation d'élections générales « transparentes et crédibles, dans un climat apaisé », en 2015 et 2016.
A cette fin, a-t-il ajouté, le Président de la RDC a entamé un processus de consultation en mai dernier, avec les acteurs politiques et tous les segments de la société congolaise.
Source: Le potentiel
Jim KK
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