Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
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Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Jim KK a écrit: L'instabilité institutionnelle risque de perturber le calendrier électoral, selon Thomas Luhaka
http://www.radiookapi.net/2015/09/20/actualite/politique/rdc-linstabilite-institutionnelle-risque-de-perturber-le-calendrier
L'instabilité institutionnelle, née de la crise que traverse la Majorité présidentielle (MP) ces derniers jours, peut avoir un impact négatif sur le calendrier électoral. Le président du Mouvement de libération du Congo/Libéral, Thomas Luhaka, l'a affirmé dimanche 20 septembre à Radio Okapi.
« Nous avons voulu interpeller la classe politique en disant, il faut qu'on aille aux élections, des élections apaisées, des élections consensuelles, mais l'instabilité institutionnelle peut avoir un impact négatif justement sur le calendrier électoral », a déclaré Thomas Luhaka.
Selon lui, « on veut une chose et son contraire à la fois ».
« On veut aller vite aux élections en même temps on pose des actes qui peuvent affecter ce processus électoral », a fustigé Thomas Luhaka, vice-Premier ministre et ministre de Postes, téléphones et télécommunications et Nouvelles technologies de l'information et de la communication (PTT-NTIC).
Dans un communiqué publié samedi 19 septembre, quelques membres du Gouvernement de cohésion nationale issus de l'opposition ont dénoncé et condamné « le clivage artificiel constaté au sein de la MP et la tentative de déstabilisation politique des institutions du pays ».
« On veut faire croire à l'opinion qu'au sein du Gouvernement il y a deux camps. Entre ceux qui sont [plus] courageux que d'autres, et plus nationaliste et plus patriotes que d'autres qui se sont engagés à défendre la constitution contre un autre groupe supposé être là dans un grand complot pour violer la constitution. Donc, nous avons voulu dénoncer ce clivage artificiel », a fait savoir Thomas Luhaka.
Pour lui, la solution face à cette situation reste le dialogue politique.
Sept partis politiques de la Majorité présidentielle ont, dans une lettre ouverte, appelé le président Kabila à respecter la constitution. La plate-forme de soutien au chef de l'Etat a conclu à l'auto-exclusion de ces frondeurs.
Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, avait souligné que leur départ de la majorité entraîne aussi celui de leurs formations politiques sauf expression d'un point de vue contraire des instances de ces partis.
Texto :Luhaka :
"(...)L'instabilité institutionnelle, née de la crise que traverse la Majorité présidentielle (MP) ces derniers jours, peut avoir un impact négatif sur le calendrier électoral.
(...)
Selon lui, « on veut une chose et son contraire à la fois ».
« On veut aller vite aux élections en même temps on pose des actes qui peuvent affecter ce processus électoral », (...)"
C'est quoi ici l'instabilité institutionnelle ?
Le fait que dans un cartel exprès des partis de gouvernement certains s'interrogent publiquement et officiellement sur les choix pris par cette majorité ? Le culte de la personnalité et de l'unanimisme hypocrite assassins pour le pays vaudrait-il davantage qu'une gestion saine du pays sur des bases claires assumées par tous ces membres ?
Cet incident impacterait négativement sur la régularité institutionnelle du calendrier électoral ?
Dites-moi comment à 14 mois des échéances cette clarification serait plus nuisible au calendrier que continuer à vendre leur âme au diable résignés en silence pour cause d'une fantasmagorique stabilité institutionnelle ?
D'ailleurs nos frondeurs n'ont-ils pas assumé couageusemen leur désaccord en quittant le groupe et les institutions où ils participaient ? Quel souci de stabilité "institutionnelle" veut de plus notre nouveau converti Luhaka ? Foutaise opportuniste de plus !
Texto : Luhaka :
"(...) « On veut faire croire à l'opinion qu'au sein du Gouvernement il y a deux camps. Entre ceux qui sont [plus] courageux que d'autres, et plus nationaliste et plus patriotes que d'autres qui se sont engagés à défendre la constitution contre un autre groupe supposé être là dans un grand complot pour violer la constitution. Donc, nous avons voulu dénoncer ce clivage artificiel », a fait savoir Thomas Luhaka.
Pour lui, la solution face à cette situation reste le dialogue politique.(...)"
Nous avons tous connus Luhaka dans l'opposition où il y'a peu il se montrait nettement moins complaisant envers ce régime; il a choisi aujourd'hui d'être acteur plein de la Majorité qu'il condamnait hier... Nous actons volontiers sa conversion mais alors qu'il l'assume entièrement : plus courageux plus nationaliste plus patriote, qu'il nous laisse la liberté et la lucidité de le constater en citoyens avertis et responsables que nous sommes; ce n'est pas à lui pour le moins d'en méjuger ses rivaux...
Le clivage artificiel ne serait-il pas davantage entre ceux qui pérorent (sur) et s'inventent un dialogue imaginaire et idéal entre Congolais en fait introuvable dans le cadre de celui voulu par "JK" et d'autres qui ont l'intelligence de ne pas s aventurer dans celui présent biaisé à l'avance ?
Le dialogue oui mais quel dialogue, avec qui et sur quels termes ?
Voilà où ânonner comme un forcené, dialogue, dialogue... est stupide, de la propagande creuse !
Mr JKK nous inonde à longueurs de pages de sa propagande kanambiste; c'est son droit mais c'est le nôtre de lui démontrer son invalidité foncière; qu'il n'en tienne le moindre compte droit dans ses bottes ne démontre que davantage son mobile fanatique, sourd à toute rationalité, au garde-à-vous pour son gourou...
Choix assurément sentimental sans charpente argumentaire objective, jugeons-nous; ce n'est pas le nôtre; attendons donc la suite et passons pour le moment; qui vivra verra de ses yeux sans plus besoin d'en discourir dans l'abstrait !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Mario Philipe Losembe exclu de l’ARC
http://www.radiookapi.net/2015/09/20/actualite/en-bref/rdc-mario-philipe-losembe-exclu-de-larc
Le deuxième vice-président du Sénat, Mario Philipe Losembe, a été exclu de son parti Alliance pour le renouveau du Congo (ARC). Il lui est reproché de s'être désolidarisé de sa formation politique dans une lettre adressée au secrétaire général de la Majorité présidentielle (MP). La teneur de la lettre n’a pas été dévoilée.
« Monsieur Losembe s’est désolidarisé de la discipline du parti, portant atteinte à la crédibilité, à l’honneur ou à la dignité du parti », indique le communiqué de l’ARC.
L’ARC a également suspendu les députés Guy Mikulu, Dede Makwa, Charles Nawej Mundele et Lucie Kipele qui ont fait allégeance à la MP.
Comme les six autres partis (G7) signataires de la lettre ouverte adressée à Joseph Kabila, l’ARC a été exclu de la MP. Le bureau politique de la Majorité présidentielle a alors demandé à tous les parlementaires membres des bureaux de deux chambres, ainsi qu’à tous les ministres appartenant au G7 de désavouer publiquement les signataires de la lettre ouverte ou de démissionner.
http://www.radiookapi.net/2015/09/20/actualite/en-bref/rdc-mario-philipe-losembe-exclu-de-larc
Le deuxième vice-président du Sénat, Mario Philipe Losembe, a été exclu de son parti Alliance pour le renouveau du Congo (ARC). Il lui est reproché de s'être désolidarisé de sa formation politique dans une lettre adressée au secrétaire général de la Majorité présidentielle (MP). La teneur de la lettre n’a pas été dévoilée.
« Monsieur Losembe s’est désolidarisé de la discipline du parti, portant atteinte à la crédibilité, à l’honneur ou à la dignité du parti », indique le communiqué de l’ARC.
L’ARC a également suspendu les députés Guy Mikulu, Dede Makwa, Charles Nawej Mundele et Lucie Kipele qui ont fait allégeance à la MP.
Comme les six autres partis (G7) signataires de la lettre ouverte adressée à Joseph Kabila, l’ARC a été exclu de la MP. Le bureau politique de la Majorité présidentielle a alors demandé à tous les parlementaires membres des bureaux de deux chambres, ainsi qu’à tous les ministres appartenant au G7 de désavouer publiquement les signataires de la lettre ouverte ou de démissionner.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Le MSR a été créé par le président J. Kabila
http://www.radiookapi.net/2015/09/21/actualite/politique/rdc-me-yoko-yakembe-demande-joseph-kabila-de-pardonner-les-frondeurs
Me Yoko Yakembe demande à Joseph Kabila de pardonner aux frondeurs du MSR
Me Yoko Yakembe, l'un des fondateurs du Mouvement social pour le renouveau (MSR), a demandé dimanche 20 septembre au chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila de pardonner les frondeurs de ce parti exclus de la Majorité présidentielle pour avoir écrit au président une lettre ouverte lui demandant le respect de la constitution dans l’organisation des prochaines élections.
Me Yoko Yakembe affirme que le MSR a été créé par le chef de l'Etat lui-même. A ce titre, il ne peut donc pas être exclu de la MP, selon lui.
«Comment un parti comme le MSR qui a été créé pour aider le président à mieux diriger va être exclu. C'est comme si on démembrait le président. La Majorité présidentielle ne s'est peut-être pas suffisamment renseignée auprès du président pour savoir que le MSR c'est son parti à lui. Et donc, s'il commet des fautes, on ne l'exclut pas», souligne l'avocat.
Il demande ainsi au chef de l'Etat de pardonner aux partis politiques du G7 et de les inviter à une concertation.
Pour cet avocat et professeur de droit à l'Université de Kinshasa, l'apport de tout le monde est indispensable en ce moment où la classe politique congolaise est absorbée dans l'incertitude qui entoure l'organisation des prochaines élections en RDC.
Il estime que les questions évoquées par le groupe des sept (G7) dans sa lettre peuvent être abordée au cours du dialogue politique qu'envisage d'organiser le chef de l'Etat.
«Le président a terminé les consultations. Bientôt, il va commencer le dialogue. Mais si nous allons au dialogue, c'est pour aller examiner même les questions qui fâchent. Comment accepter que sept grands partis de la majorité soient exclus et que nous puissions les retrouver au dialogue pour aller négocier sur certains problèmes qui ont été soulevés», s'interroge-t-il.
Le cofondateur du MSR invite, par ailleurs la classe politique, à « transcender les querelles personnelles ».
http://www.radiookapi.net/2015/09/21/actualite/politique/rdc-me-yoko-yakembe-demande-joseph-kabila-de-pardonner-les-frondeurs
Me Yoko Yakembe demande à Joseph Kabila de pardonner aux frondeurs du MSR
Me Yoko Yakembe, l'un des fondateurs du Mouvement social pour le renouveau (MSR), a demandé dimanche 20 septembre au chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila de pardonner les frondeurs de ce parti exclus de la Majorité présidentielle pour avoir écrit au président une lettre ouverte lui demandant le respect de la constitution dans l’organisation des prochaines élections.
Me Yoko Yakembe affirme que le MSR a été créé par le chef de l'Etat lui-même. A ce titre, il ne peut donc pas être exclu de la MP, selon lui.
«Comment un parti comme le MSR qui a été créé pour aider le président à mieux diriger va être exclu. C'est comme si on démembrait le président. La Majorité présidentielle ne s'est peut-être pas suffisamment renseignée auprès du président pour savoir que le MSR c'est son parti à lui. Et donc, s'il commet des fautes, on ne l'exclut pas», souligne l'avocat.
Il demande ainsi au chef de l'Etat de pardonner aux partis politiques du G7 et de les inviter à une concertation.
Pour cet avocat et professeur de droit à l'Université de Kinshasa, l'apport de tout le monde est indispensable en ce moment où la classe politique congolaise est absorbée dans l'incertitude qui entoure l'organisation des prochaines élections en RDC.
Il estime que les questions évoquées par le groupe des sept (G7) dans sa lettre peuvent être abordée au cours du dialogue politique qu'envisage d'organiser le chef de l'Etat.
«Le président a terminé les consultations. Bientôt, il va commencer le dialogue. Mais si nous allons au dialogue, c'est pour aller examiner même les questions qui fâchent. Comment accepter que sept grands partis de la majorité soient exclus et que nous puissions les retrouver au dialogue pour aller négocier sur certains problèmes qui ont été soulevés», s'interroge-t-il.
Le cofondateur du MSR invite, par ailleurs la classe politique, à « transcender les querelles personnelles ».
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Après le départ du G7, manifestations de soutien à Joseph Kabila
http://www.radiookapi.net/2015/09/21/actualite/politique/rdc-apres-le-depart-du-g7-manifestations-de-soutien-joseph-kabila
Après la fronde et l’exclusion du G7 de la Majorité présentielle (MP), les déclarations de désolidarisation et de fidélité à l’un ou l’autre camp se multiplient. Les dernières en date, émanent de l’ECT, Eveil de la conscience pour le travail et du MIR, Mouvement des indépendants réformateurs qui réaffirment leur loyauté au président Joseph Kabila.
Dans une déclaration politique de l’ECT,rendue publique dimanche 20 septembre, ce parti de l’actuel ministre de la Santé, Félix Kabange, réaffirme son « respect inconditionnel à la charte de la Majorité présidentielle».
«L’ECT a tenu à dénoncer avec véhémence et à condamner les manœuvres ô combien dilatoires de ce groupe qui, au nom du repositionnement politique, s’adonnent au contraire à servir leurs intérêts égoïstes, au détriment de l’intérêt général», déclare Schadrac Baitsura, président national de l’ECT, à propos des membres du G7 qui ont écrit une lettre ouverte à Joseph Kabila pour demander «le respect absolu de la constitution» pour l’organisation de prochaines élections.
Des ministres et cadres de la Majorité présidentielle qui ont fait allégeance au G7 ont été révoqués du gouvernement ou ont démissionné de leurs fonctions. Le MIR estime que le moment est arrivé pour restructurer la Majorité présidentielle et réaménager le gouvernement.
«La restructuration de la Majorité présidentielle est inévitable. Parce que parmi les frondeurs, il y a le deuxième grand parti de la majorité, nous avons par exemple le secrétaire général-adjoint qui vient de là. On doit restructurer, on ne doit pas laisser le vide. Et le gouvernement, c’est inévitable. Il y a eu des démissions, ce qui aura soit un réaménagement, soit un remaniement», affirme le député national Stanley Mbayo, président national du MIR.
Dans une autre déclaration, toujours hier dimanche, cinq députés nationaux du PDC de José Endundo et cinq autres de l’ARC d’Olivier Kamitatu, réaffirment leur détermination à accompagner sans aucune condition le président Joseph Kabila dans toutes ses actions.
http://www.radiookapi.net/2015/09/21/actualite/politique/rdc-apres-le-depart-du-g7-manifestations-de-soutien-joseph-kabila
Après la fronde et l’exclusion du G7 de la Majorité présentielle (MP), les déclarations de désolidarisation et de fidélité à l’un ou l’autre camp se multiplient. Les dernières en date, émanent de l’ECT, Eveil de la conscience pour le travail et du MIR, Mouvement des indépendants réformateurs qui réaffirment leur loyauté au président Joseph Kabila.
Dans une déclaration politique de l’ECT,rendue publique dimanche 20 septembre, ce parti de l’actuel ministre de la Santé, Félix Kabange, réaffirme son « respect inconditionnel à la charte de la Majorité présidentielle».
«L’ECT a tenu à dénoncer avec véhémence et à condamner les manœuvres ô combien dilatoires de ce groupe qui, au nom du repositionnement politique, s’adonnent au contraire à servir leurs intérêts égoïstes, au détriment de l’intérêt général», déclare Schadrac Baitsura, président national de l’ECT, à propos des membres du G7 qui ont écrit une lettre ouverte à Joseph Kabila pour demander «le respect absolu de la constitution» pour l’organisation de prochaines élections.
Des ministres et cadres de la Majorité présidentielle qui ont fait allégeance au G7 ont été révoqués du gouvernement ou ont démissionné de leurs fonctions. Le MIR estime que le moment est arrivé pour restructurer la Majorité présidentielle et réaménager le gouvernement.
«La restructuration de la Majorité présidentielle est inévitable. Parce que parmi les frondeurs, il y a le deuxième grand parti de la majorité, nous avons par exemple le secrétaire général-adjoint qui vient de là. On doit restructurer, on ne doit pas laisser le vide. Et le gouvernement, c’est inévitable. Il y a eu des démissions, ce qui aura soit un réaménagement, soit un remaniement», affirme le député national Stanley Mbayo, président national du MIR.
Dans une autre déclaration, toujours hier dimanche, cinq députés nationaux du PDC de José Endundo et cinq autres de l’ARC d’Olivier Kamitatu, réaffirment leur détermination à accompagner sans aucune condition le président Joseph Kabila dans toutes ses actions.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Gabriel Kyungu wa Kumwanza privé de sa garde rapprochée
http://www.radiookapi.net/2015/09/21/actualite/politique/gabriel-kyungu-wa-kumwanza-prive-de-sa-garde-rapprochee
Gabriel Kyungu wa Kumwanza, l’un des initiateurs du G7 qui assume encore les fonctions de président du bureau provisoire de l’Assemblée provinciale du Haut Katanga n’a plus de garde rapprochée depuis quatre jours. Il a affirmé dimanche 20 septembre à Radio Okapi que cette situation le mettait désormais en insécurité.
«Je suis encore en fonction, président du bureau provisoire de l’Assemblée provinciale du haut Katanga. Les commandants qui sont venus ont dit que le chef de l’Etat les a envoyés pour enlever la garde chez moi. Je le dis en face du monde : je remets ma sécurité entre les mains du chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange. C’est lui qui a donné l’ordre qu’on enlève les policiers chez moi. Tout ce qui peut m’arriver, l’opinion doit le savoir», a-t-il affirmé.
Pour lui, cette décision est justifiée par son appartenance au G7, groupe de sept partis exclus de la Majorité au pouvoir qui tient à l’organisation de l’élection présidentielle en 2016 comme le prévoit la constitution.
L’inspection provinciale de la police à Lubumbashi indique pour sa part que l’ordre de retirer les policiers est venu de la « haute hiérarchie », sans plus des précisions.
Gabriel Kyungu fait partie des signataires de la lettre ouverte adressée lundi dernier à Joseph Kabila, lui demandant d’organiser les élections dans le délai constitutionnel.
_________________________
E. Boshab serait-il passé à l´action????
http://www.radiookapi.net/2015/09/21/actualite/politique/gabriel-kyungu-wa-kumwanza-prive-de-sa-garde-rapprochee
Gabriel Kyungu wa Kumwanza, l’un des initiateurs du G7 qui assume encore les fonctions de président du bureau provisoire de l’Assemblée provinciale du Haut Katanga n’a plus de garde rapprochée depuis quatre jours. Il a affirmé dimanche 20 septembre à Radio Okapi que cette situation le mettait désormais en insécurité.
«Je suis encore en fonction, président du bureau provisoire de l’Assemblée provinciale du haut Katanga. Les commandants qui sont venus ont dit que le chef de l’Etat les a envoyés pour enlever la garde chez moi. Je le dis en face du monde : je remets ma sécurité entre les mains du chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange. C’est lui qui a donné l’ordre qu’on enlève les policiers chez moi. Tout ce qui peut m’arriver, l’opinion doit le savoir», a-t-il affirmé.
Pour lui, cette décision est justifiée par son appartenance au G7, groupe de sept partis exclus de la Majorité au pouvoir qui tient à l’organisation de l’élection présidentielle en 2016 comme le prévoit la constitution.
L’inspection provinciale de la police à Lubumbashi indique pour sa part que l’ordre de retirer les policiers est venu de la « haute hiérarchie », sans plus des précisions.
Gabriel Kyungu fait partie des signataires de la lettre ouverte adressée lundi dernier à Joseph Kabila, lui demandant d’organiser les élections dans le délai constitutionnel.
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E. Boshab serait-il passé à l´action????
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Notre gouverneur parlera bientôt???
source: Belga
Le gouverneur du Katanga semble prendre date pour la présidentielle sur Twitter.
(Belga) Le gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, a semblé franchir lundi une étape vers l'annonce de sa candidature à la présidentielle censée avoir lieu en novembre 2016 en République démocratique du Congo, en inaugurant son compte officiel Twitter, destiné à échanger sur "l'avenir" de son pays.
"Ce compte officiel est désormais ouvert ; suivez-moi pour échanger sur mon actu et l'avenir de la RDC", indique le premier message de ce compte promettant "des nouvelles bientôt". Interrogé par l'AFP, M. Katumbi a confirmé que ce compte était bien le sien et qu'il avait l'intention de diffuser bientôt par ce canal un "message" à destination du "monde entier", l'internet étant encore un luxe inaccessible à l'immense majorité des Congolais. Il a cependant refusé de confirmer que ce message pourrait être la confirmation de sa candidature, pressentie depuis plusieurs mois, à la prochaine présidentielle, à laquelle la Constitution interdit au président sortant, Joseph Kabila, de se présenter. Sur l'image de son "profil", M. Katumbi apparaît cravaté et souriant en train de saluer de la main des partisans. La banderole de son compte montre une photo de la foule venue l'accueillir à Lubumbashi, capitale du Katanga (sud-est de la RDC) et deuxième ville du pays, fin décembre 2014. Ce jour-là, accompagné de Gabriel Kyungu, président de l'assemblée provinciale du Katanga, le gouverneur avait lancé en termes sibyllins un avertissement à M. Kabila, lui conseillant de ne pas chercher à s'accrocher au pouvoir. M. Kabila dirige la RDC depuis 2001 et entretient le doute sur ses intentions et son avenir politique. L'opposition le soupçonne de chercher à tout faire pour se maintenir en place, au besoin en retardant les échéances électorales. Quinquagénaire charismatique, cadre du parti de M. Kabila et richissime homme d'affaires, M. Katumbi préside le célèbre club de football "Tout Puissant Mazembe" de Lubumbashi. (Belga)
source: Belga
Le gouverneur du Katanga semble prendre date pour la présidentielle sur Twitter.
(Belga) Le gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, a semblé franchir lundi une étape vers l'annonce de sa candidature à la présidentielle censée avoir lieu en novembre 2016 en République démocratique du Congo, en inaugurant son compte officiel Twitter, destiné à échanger sur "l'avenir" de son pays.
"Ce compte officiel est désormais ouvert ; suivez-moi pour échanger sur mon actu et l'avenir de la RDC", indique le premier message de ce compte promettant "des nouvelles bientôt". Interrogé par l'AFP, M. Katumbi a confirmé que ce compte était bien le sien et qu'il avait l'intention de diffuser bientôt par ce canal un "message" à destination du "monde entier", l'internet étant encore un luxe inaccessible à l'immense majorité des Congolais. Il a cependant refusé de confirmer que ce message pourrait être la confirmation de sa candidature, pressentie depuis plusieurs mois, à la prochaine présidentielle, à laquelle la Constitution interdit au président sortant, Joseph Kabila, de se présenter. Sur l'image de son "profil", M. Katumbi apparaît cravaté et souriant en train de saluer de la main des partisans. La banderole de son compte montre une photo de la foule venue l'accueillir à Lubumbashi, capitale du Katanga (sud-est de la RDC) et deuxième ville du pays, fin décembre 2014. Ce jour-là, accompagné de Gabriel Kyungu, président de l'assemblée provinciale du Katanga, le gouverneur avait lancé en termes sibyllins un avertissement à M. Kabila, lui conseillant de ne pas chercher à s'accrocher au pouvoir. M. Kabila dirige la RDC depuis 2001 et entretient le doute sur ses intentions et son avenir politique. L'opposition le soupçonne de chercher à tout faire pour se maintenir en place, au besoin en retardant les échéances électorales. Quinquagénaire charismatique, cadre du parti de M. Kabila et richissime homme d'affaires, M. Katumbi préside le célèbre club de football "Tout Puissant Mazembe" de Lubumbashi. (Belga)
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Meeting ya Lisanga BONGANGA esali plein ko leka ba anti-dialogue
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Je ne comprends pas l´attitude de certains dirigeants des partis politiques. Pourquoi le suspendre étant donné que la décision d´ecrire cette lettre au président de la république était prise sans une aucune consultation avec les différentes bases composant la G7. Comment veulent-ils clamer haut la démocratie pour le pays alors qu´ils appliquent la dictature dans leurs propres partis ploitiques.Jim KK a écrit: Mario Philipe Losembe exclu de l’ARC
http://www.radiookapi.net/2015/09/20/actualite/en-bref/rdc-mario-philipe-losembe-exclu-de-larc
Le deuxième vice-président du Sénat, Mario Philipe Losembe, a été exclu de son parti Alliance pour le renouveau du Congo (ARC). Il lui est reproché de s'être désolidarisé de sa formation politique dans une lettre adressée au secrétaire général de la Majorité présidentielle (MP). La teneur de la lettre n’a pas été dévoilée.
Arafat
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Jim KK a écrit:Meeting ya Lisanga BONGANGA esali plein ko leka ba anti-dialogue
TSHISEKEDI=CONSTANCE ! TSHISEKEDI=CONSTANCE ! TSHISEKEDI=CONSTANCE
Nous voulons le DIALOGUE, les peuples Congolais dans sa majorité veut le DIALOGUE. Le soi-disant
Mutu oyo à respectaka signature naye te azali digne de confiance te.Donc bana ya Kin bo benda boule. Est-ce-que bokoki lisusu kopesa batu wana confiance ? Non ce sont des dynamiteur de l'opposition et ils ont déjà perdu.
Tosepeli ndenge tozo mona vérité ozo bima na monoko ya Peuple Mokonzi, peuple ya Congo oyo azo ganga : dialogue ! dialogue ! dialogue
Bravo LISANGA BONGANGA pour ton meeting; Nous sommes ensemble
El-Shaman
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Et comme par hasard, Martin Kobler lors de sa tournée d´au revoir au Katanga a rencontré Moise Katumbi et Gabriel Kyungu, devrait-on soupçonner quelque chose?Jim KK a écrit:Notre gouverneur parlera bientôt???
source: Belga
Le gouverneur du Katanga semble prendre date pour la présidentielle sur Twitter.
(Belga) Le gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, a semblé franchir lundi une étape vers l'annonce de sa candidature à la présidentielle censée avoir lieu en novembre 2016 en République démocratique du Congo, en inaugurant son compte officiel Twitter, destiné à échanger sur "l'avenir" de son pays.
"Ce compte officiel est désormais ouvert ; suivez-moi pour échanger sur mon actu et l'avenir de la RDC", indique le premier message de ce compte promettant "des nouvelles bientôt". Interrogé par l'AFP, M. Katumbi a confirmé que ce compte était bien le sien et qu'il avait l'intention de diffuser bientôt par ce canal un "message" à destination du "monde entier", l'internet étant encore un luxe inaccessible à l'immense majorité des Congolais. Il a cependant refusé de confirmer que ce message pourrait être la confirmation de sa candidature, pressentie depuis plusieurs mois, à la prochaine présidentielle, à laquelle la Constitution interdit au président sortant, Joseph Kabila, de se présenter. Sur l'image de son "profil", M. Katumbi apparaît cravaté et souriant en train de saluer de la main des partisans. La banderole de son compte montre une photo de la foule venue l'accueillir à Lubumbashi, capitale du Katanga (sud-est de la RDC) et deuxième ville du pays, fin décembre 2014. Ce jour-là, accompagné de Gabriel Kyungu, président de l'assemblée provinciale du Katanga, le gouverneur avait lancé en termes sibyllins un avertissement à M. Kabila, lui conseillant de ne pas chercher à s'accrocher au pouvoir. M. Kabila dirige la RDC depuis 2001 et entretient le doute sur ses intentions et son avenir politique. L'opposition le soupçonne de chercher à tout faire pour se maintenir en place, au besoin en retardant les échéances électorales. Quinquagénaire charismatique, cadre du parti de M. Kabila et richissime homme d'affaires, M. Katumbi préside le célèbre club de football "Tout Puissant Mazembe" de Lubumbashi. (Belga)
Arafat
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Ceni : le réaménagement du calendrier électoral est imminent
http://www.radiookapi.net/2015/09/24/actualite/politique/ceni-le-reamenagement-du-calendrier-electoral-est-imminent
La Commission électorale Nationale Indépendante(Ceni) s’apprête à publier un calendrier global réaménagé du cycle électoral allant des élections locales à la présidentielle, a déclaré mercredi 23 septembre à Radio Okapi Jean-Pierre Kalamba, rapporteur de cette institution. Le nouveau calendrier devrait prendre en compte des grandes options qui pourraient nécessiter un dialogue de la part de la classe politique, a-t-il laissé entendre.
Jean-Pierre Kalamba explique que le retard pris dans l’application du calendrier électoral global du 12 février dernier est consécutif aux contraintes évoquées par la Ceni lors de sa publication.
«A titre illustratif, la loi portant répartition des sièges pour les élections municipales et locales a été promulguée par le chef de l’Etat le 28 août. Dès lors qu’une loi a connu de retard de plus de quatre mois, le peuple congolais n’a qu’à tirer les conséquences logiques d’un réaménagement du calendrier», argumente-t-il.
La nécessité de réaménager le calendrier de la Ceni a été renforcé par l’arrêt de la cour qui exige que l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs des nouvelles provinces soit organisée avant d’envisager les élections locales, avance encore Jean-Pierre Kalamba.
Dans une conférence de presse organisée plus tôt dans la journée, le député de l’opposition Jean-Lucien Busa demandait à la Ceni de « rendre compte pour n’avoir pas lancé la campagne électorale des élections locales, urbaines, municipales et provinciales » au 24 septembre comme prévu dans son calendrier global publié en février dernier.
L’opposition avait à l’époque un calendrier irréaliste. Jean-Lucien Busa pense que la Ceni a manqué d’anticipation. Il a déclaré :
«Les membres de la Ceni nous avaient dit qu’ils étaient capables d’organiser les locales, provinciales, présidentielles à temps et qu’ils avaient des moyens. Je pense que si on était sérieux, ils allaient démissionner par eux-mêmes car ils nous ont mis en situation très difficile.»
http://www.radiookapi.net/2015/09/24/actualite/politique/ceni-le-reamenagement-du-calendrier-electoral-est-imminent
La Commission électorale Nationale Indépendante(Ceni) s’apprête à publier un calendrier global réaménagé du cycle électoral allant des élections locales à la présidentielle, a déclaré mercredi 23 septembre à Radio Okapi Jean-Pierre Kalamba, rapporteur de cette institution. Le nouveau calendrier devrait prendre en compte des grandes options qui pourraient nécessiter un dialogue de la part de la classe politique, a-t-il laissé entendre.
Jean-Pierre Kalamba explique que le retard pris dans l’application du calendrier électoral global du 12 février dernier est consécutif aux contraintes évoquées par la Ceni lors de sa publication.
«A titre illustratif, la loi portant répartition des sièges pour les élections municipales et locales a été promulguée par le chef de l’Etat le 28 août. Dès lors qu’une loi a connu de retard de plus de quatre mois, le peuple congolais n’a qu’à tirer les conséquences logiques d’un réaménagement du calendrier», argumente-t-il.
La nécessité de réaménager le calendrier de la Ceni a été renforcé par l’arrêt de la cour qui exige que l’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs des nouvelles provinces soit organisée avant d’envisager les élections locales, avance encore Jean-Pierre Kalamba.
Dans une conférence de presse organisée plus tôt dans la journée, le député de l’opposition Jean-Lucien Busa demandait à la Ceni de « rendre compte pour n’avoir pas lancé la campagne électorale des élections locales, urbaines, municipales et provinciales » au 24 septembre comme prévu dans son calendrier global publié en février dernier.
L’opposition avait à l’époque un calendrier irréaliste. Jean-Lucien Busa pense que la Ceni a manqué d’anticipation. Il a déclaré :
«Les membres de la Ceni nous avaient dit qu’ils étaient capables d’organiser les locales, provinciales, présidentielles à temps et qu’ils avaient des moyens. Je pense que si on était sérieux, ils allaient démissionner par eux-mêmes car ils nous ont mis en situation très difficile.»
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Je suppose qu´elle (la CENI) s´associera avec la MP, l´opposition et la société civile pour nous sortir un calendrier consensuel et ce, dans le cadre du respect du délai constitutionnel, ce qui rendra par conséquent caduque ce dialogue dont on parle tant.Jim KK a écrit:Ceni : le réaménagement du calendrier électoral est imminent
http://www.radiookapi.net/2015/09/24/actualite/politique/ceni-le-reamenagement-du-calendrier-electoral-est-imminent
Arafat
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Mbuta Abu Arafat
Eid mubarak epayi o zali**
Lukela mwa ba proverbes dèjà...tango to bandi ko tanga ete CENI Ezo bimisa calendrier mosusu..pe ezo senga "DIALOGUE"
O moni ndenge nini? "DIALOGUE" ya CENI ezali "dialogue" ya Lisanga Bonganga tooo dialogue ya mr Chaman? On dirait ete to zali na rond point ya Victoire..ba misusu ba kangami na ba nganda ya taba pe ba cabris ..Ba zo tourner en rond sans le savoir
Na ko zonga en full time next week..mais lukaka dèjà ba proberves oyo e ko lakisa ete "buzoba liboso, mayele sima"..Ceni a ndimi ko zongela nzela oyo batu ya opposition ba loba banda kala
Ata ko Tshitshi a si aboyi "dialogue ya glissement", tala ndenge ba "atalaku" ba tourner na rond point ya Victoire Wait and see
Eid mubarak epayi o zali**
Lukela mwa ba proverbes dèjà...tango to bandi ko tanga ete CENI Ezo bimisa calendrier mosusu..pe ezo senga "DIALOGUE"
O moni ndenge nini? "DIALOGUE" ya CENI ezali "dialogue" ya Lisanga Bonganga tooo dialogue ya mr Chaman? On dirait ete to zali na rond point ya Victoire..ba misusu ba kangami na ba nganda ya taba pe ba cabris ..Ba zo tourner en rond sans le savoir
Na ko zonga en full time next week..mais lukaka dèjà ba proberves oyo e ko lakisa ete "buzoba liboso, mayele sima"..Ceni a ndimi ko zongela nzela oyo batu ya opposition ba loba banda kala
Ata ko Tshitshi a si aboyi "dialogue ya glissement", tala ndenge ba "atalaku" ba tourner na rond point ya Victoire Wait and see
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Notre Gouverneur Moïse Katumbi démissionne du PPRD et du gouvernorat du Katanga
http://www.radiookapi.net/2015/09/29/actualite/politique/rdc-moise-katumbi-demissionne-du-pprd-et-du-gouvernorat-du-katanga
Dans la déclaration qui accompagne son tweet, Moïse Katumbi explique les raisons de son départ du PPRD.
« Au moment où nous, peuple congolais, entrons dans la dernière ligne droite du dernier mandat constitutionnel du président de la République, les faits indiquent que depuis maintenant un an, tout est mis en œuvre pour ne pas respecter la constitution en entretenant retard, flou et illisibilité du cycle électoral et en élaborant une stratégie de glissement des dates des scrutins », affirme Moïse Katumbi.
Il ajoute être opposé « fermement à tout prétexte pour retarder les élections tel que le manque de moyens financiers. »
Moïse Katumbi déplore également « les arrestations arbitraires » et les « intimidations de toutes sortes ».
« Ces derniers temps, trop d’exemples doivent nous alerter : arrestations arbitraires de militants pro-démocratie, interdictions de sortie de films, intimidations de toutes sortes, répressions policières e plus en plus violentes, coupures des connexions Internet », énumère-t-il. Allusion faite à l’arrestation des militants pro-démocratie de Filimbi, à l’interdiction du film de Thierry Michel sur le docteur Mukwege ou encore à la coupure d’Internet à la suite des manifestations contre la modification de la loi électorale.
Dans sa déclaration, M. Katumbi lance un appel à toutes les forces vives congolaises, « pour qu'ensemble nous mettions un terme au découragement, à la résignation et au fatalisme en sauvegardant notre jeune démocratie ».
La démission de Moïse Katumbi du Parti du peuple pour la reconstruction et le développement (PPRD) survient quelque jours après l’exclusion de sept partis (G7) de la Majorité présidentielle qui ont appelé Joseph Kabila de respecter la constitution pour les élections de 2016.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC : Moïse Katumbi quitte le PPRD, parti au pouvoir
http://www.jeuneafrique.com/268582/politique/rdc-moise-katumbi-quitte-le-pprd-parti-au-pouvoir/
Dans un communiqué rendu public mardi en fin de journée, Moïse Katumbi annonce quitter le parti du président Joseph Kabila, le PPRD, et démissionner du gouvernorat du Katanga. Il motive cette décision en dénonçant le fait que, selon, lui "tout est mis en oeuvre pour ne pas respecter la Constitution".
C’est un tremblement de terre sur la planète politique congolaise. Et un vrai signe de défiance envers le président Joseph Kabila. Le gouverneur du Katanga Moïse Katumbi a annoncé par un communiqué fracassant, mardi 29 septembre, quitter son poste (voué à disparaître en raison de la réforme territoriale en cours) mais aussi le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD, au pouvoir).
« Au moment où nous, peuple congolais, entrons dans la dernière ligne droite du dernier mandat constitutionnel du président de la République, explique-t-il, les faits indiquent que depuis maintenant un an, tous est mis en œuvre pour ne pas respecter la Constitution en entretenant retard, flou et illisibilité du cycle électoral et en élaborant une stratégie de glissement des dates des scrutins. »
________________________
Notre gouverneur a pris une décision forte!!! Nous lui souhaitons bonne Chance dans son combat.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
PREMIER INTERVIEW de notre gouverneur Moïse Katumbi EN DIRECT DE LUBUMBASHI
L´opposition et la majorité avec notre gouverneur
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
LA REACTION DU PPRD SUITE A LA DEMISSION DE NOTRE GOUVERNEUR MOISE KATUMBI
Notre gouverneur n´était pas actif dans le PPRD depuis 2 ans
Notre gouverneur n´était pas actif dans le PPRD depuis 2 ans
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Dis-moi Jim KK, juste une petite question, es-tu toujours resté fidèle au raïs ou t´as suivi le gouverneur? Je sais que Impérium a suivi Kyungu.Jim KK a écrit:PREMIER INTERVIEW de notre gouverneur Moïse Katumbi EN DIRECT DE LUBUMBASHI
L´opposition et la majorité avec notre gouverneur
Arafat
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Jim KK a écrit:LA REACTION DU PPRD SUITE A LA DEMISSION DE NOTRE GOUVERNEUR MOISE KATUMBI
Notre gouverneur n´était pas actif dans le PPRD depuis 2 ans
Master JIM
Ne soyez pas surpris..Okitundu n´a pas la reputation d´être..intelligent Mes excuses pour ceux qui seront ..Ceux de la diaspora de Stockhom se souvienent comment Troll avait ridiculisé Okitundu pendant une conférence lors de la visite de Kanambe ici:lol!:
Il n´a jamais été un foudre de guerre sur le plan "communication" 2 ans..Katumbi est resté "gouverneur" dans être membre actif du PPRD..Depuis 2 ans, il n´a plus rencontré Kanambe..ni Boshab?
Mbuta Arafat
Lisolo oyo eko kende mosika..Si au Katanga, Kyungu diviseles gens, Katumbi va faire encore mieux..et l´onde de chocva atteindre Kin*
Il n´est pas le dernier, bo ya ebele, bo ya ko defendre constitution, bo tika "fatalité"
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Création à Lubumbashi d’une plate-forme dénommée Neo-Conakat
http://www.atlanticnews.org/creation-a-lubumbashi-dune-plate-forme-denommee-neo-conakat/
Le Pr. Huit Mulongo Kalonda Ba-Mpeta, Directeur de cabinet du gouverneur de l’ex-Katanga, a annoncé le samedi a Lubumbashi la naissance d’une plate-forme dénommée Néo Coordination Nationale des Katumbistes « NEO-CONAKAT »,rapporte l’ACP.
Pour le Pr. Huit Mulongo Kalonda Ba-Mpeta, président de cette ASBL, la plate-forme NEO-CONAKAT s’est fixé comme objectif la pérennisation des idées de M. Moïse Katumbi Chapwe ainsi que les actions qu’il ne cesse de poser à travers toute la République. Quant a sa sortie officielle ,il a précisé que cela aura lieu prochainement à Lubumbashi,chef-lieu de la nouvelle province du haut-Katanga.
Rappelons néanmoins quelque chose, il vient de s’installer au congo une nouvelle culture de création des « ASBL », dans le but de battre campagne sans être inquiété par la CENI. Et de se demander si le NEO-CONAKAT ne suivra pas les traces de la CONAKAT de Moïse Tshombe. Wait end see.
Pathou Tshibangu/Ant
http://www.atlanticnews.org/creation-a-lubumbashi-dune-plate-forme-denommee-neo-conakat/
Le Pr. Huit Mulongo Kalonda Ba-Mpeta, Directeur de cabinet du gouverneur de l’ex-Katanga, a annoncé le samedi a Lubumbashi la naissance d’une plate-forme dénommée Néo Coordination Nationale des Katumbistes « NEO-CONAKAT »,rapporte l’ACP.
Pour le Pr. Huit Mulongo Kalonda Ba-Mpeta, président de cette ASBL, la plate-forme NEO-CONAKAT s’est fixé comme objectif la pérennisation des idées de M. Moïse Katumbi Chapwe ainsi que les actions qu’il ne cesse de poser à travers toute la République. Quant a sa sortie officielle ,il a précisé que cela aura lieu prochainement à Lubumbashi,chef-lieu de la nouvelle province du haut-Katanga.
Rappelons néanmoins quelque chose, il vient de s’installer au congo une nouvelle culture de création des « ASBL », dans le but de battre campagne sans être inquiété par la CENI. Et de se demander si le NEO-CONAKAT ne suivra pas les traces de la CONAKAT de Moïse Tshombe. Wait end see.
Pathou Tshibangu/Ant
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
La démission de Katumbi, un «séisme» qui ravit l’opposition à Kabila
http://www.rfi.fr/afrique/20150930-rdc-demission-moise-katumbi-gouverneur-katanga-opposition-kabila-elections-constitu
La démission de Moïse Katumbi, qui annoncé mardi quitter le parti du président Joseph Kabila, provoque une vague de réactions politiques en République démocratique du Congo. L’opposition applaudit une décision qualifiée de « responsable et courageuse », tandis que le porte-parole du gouvernement relativise la défection et met en garde l’ancien allié sur de possibles poursuites judiciaires.
« Séisme politique », « coup de tonnerre »… Les qualificatifs étaient nombreux, mercredi, pour décrire l’effet de la démission du gouverneur de l’ex-province du Katanga, Moïse Katumbi. Poids lourd du parti au pouvoir de sa province, il l’était, surtout, au sein du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), le parti du président Joseph Kabila. Sa démission, Moïse Katumbi la justifie par des « signaux alarmants » qui indiquent que « tout semble mis en œuvre pour ne pas respecter la Constitution ».
L'opposition salue une décision exemplaire
Pour les frondeurs de la majorité - ces sept partis qui ont quitté la coalition au pouvoir pour « sauver la Constitution » et « défendre l’alternance à la tête du pays en 2016 », le positionnement de Moïse Katumbi, premier poids lourd du PPRD à quitter le navire est un appui déterminant. « C’est une icône dans la famille politique, y compris dans son parti. Parce qu’être gouverneur de la province la plus riche de la République démocratique du Congo et renoncer, pour ses valeurs, voilà qui fait preuve d’exemple », salue Olivier Kamitatu, chef de l’Alliance pour le renouveau au Congo (ARC). Pour lui, cette démission doit être vue comme « un renoncement à tout ce qui a trait à des politiques suicidaires qui conduisent à ne pas respecter la Constitution ».
Pour ces partis, le projet de loi sur le référendum et les retards pris dans l’exécution du calendrier électoral sont autant d’exemples de la volonté du pouvoir de rester après 2016. Conséquence, du côté de l’opposition, on appelle à un front républicain qui rassemble tous ceux qui veulent garantir l’alternance en 2016. « Je pense que nous n’avons pas le droit de disperser de l’énergie », insiste ainsi Eve Bazaïba Masudi, secrétaire générale du Mouvement de libération du Congo (MLC), le deuxième parti de l’opposition du pays. Elle appelle « tous ceux qui réfléchissent et qui s’expriment, comme nous, par rapport au respect des valeurs républicaines, au respect de la Constitution – non au troisième mandat, oui aux élections » à « travailler ensemble, pour l’intérêt de la nation ».
http://www.rfi.fr/afrique/20150930-rdc-demission-moise-katumbi-gouverneur-katanga-opposition-kabila-elections-constitu
La démission de Moïse Katumbi, qui annoncé mardi quitter le parti du président Joseph Kabila, provoque une vague de réactions politiques en République démocratique du Congo. L’opposition applaudit une décision qualifiée de « responsable et courageuse », tandis que le porte-parole du gouvernement relativise la défection et met en garde l’ancien allié sur de possibles poursuites judiciaires.
« Séisme politique », « coup de tonnerre »… Les qualificatifs étaient nombreux, mercredi, pour décrire l’effet de la démission du gouverneur de l’ex-province du Katanga, Moïse Katumbi. Poids lourd du parti au pouvoir de sa province, il l’était, surtout, au sein du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), le parti du président Joseph Kabila. Sa démission, Moïse Katumbi la justifie par des « signaux alarmants » qui indiquent que « tout semble mis en œuvre pour ne pas respecter la Constitution ».
L'opposition salue une décision exemplaire
Pour les frondeurs de la majorité - ces sept partis qui ont quitté la coalition au pouvoir pour « sauver la Constitution » et « défendre l’alternance à la tête du pays en 2016 », le positionnement de Moïse Katumbi, premier poids lourd du PPRD à quitter le navire est un appui déterminant. « C’est une icône dans la famille politique, y compris dans son parti. Parce qu’être gouverneur de la province la plus riche de la République démocratique du Congo et renoncer, pour ses valeurs, voilà qui fait preuve d’exemple », salue Olivier Kamitatu, chef de l’Alliance pour le renouveau au Congo (ARC). Pour lui, cette démission doit être vue comme « un renoncement à tout ce qui a trait à des politiques suicidaires qui conduisent à ne pas respecter la Constitution ».
Pour ces partis, le projet de loi sur le référendum et les retards pris dans l’exécution du calendrier électoral sont autant d’exemples de la volonté du pouvoir de rester après 2016. Conséquence, du côté de l’opposition, on appelle à un front républicain qui rassemble tous ceux qui veulent garantir l’alternance en 2016. « Je pense que nous n’avons pas le droit de disperser de l’énergie », insiste ainsi Eve Bazaïba Masudi, secrétaire générale du Mouvement de libération du Congo (MLC), le deuxième parti de l’opposition du pays. Elle appelle « tous ceux qui réfléchissent et qui s’expriment, comme nous, par rapport au respect des valeurs républicaines, au respect de la Constitution – non au troisième mandat, oui aux élections » à « travailler ensemble, pour l’intérêt de la nation ».
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Nombreuses réactions à Kinshasa après la défection de Moïse Katumbi
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Lambert Mende n’est pas surpris par la démission de Moïse Katumbi
http://www.radiookapi.net/2015/10/01/actualite/politique/rdc-lambert-mende-nest-pas-surpris-de-la-demission-de-moise-katumbi
Le ministre de la Communication et Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a déclaré jeudi 1er octobre que la démission de Moise Katumbi du PPRD, le parti présidentiel, et de son poste de gouverneur du Katanga ne le surprenait pas.
« Sa démission ne nous surprend pas parce que ça faisait plus d’un an qu’il avait pris des positions à l’emporte-pièce à contrario, de la philosophie de notre famille politique », a fait savoir Lambert Mende, faisant allusion au discours prononcé l’année dernière par Moïse Katumbi à son retour à Lubumbashi. Le président de Mazembe avait évoqué une métaphore sur un troisième penalty. Un discours que certains avaient interprété comme son opposition à un troisième mandat de l’actuel chef de l’Etat.
Pour Lambert Mende, Moïse Katumbi gardait encore son poste de gouverneur grâce « à la grandeur d’âme du président Joseph Kabila ».
M. Katumbi a annoncé mardi 29 septembre sa démission du PPRD et de son poste de gouverneur du Katanga, dénonçant un certain nombre de dérives imputables, selon lui, aux autorités de Kinshasa.
Interrogé sur les leçons qu’il tire de cette démission, Lambert Mende a répondu que Kinshasa était « dans le collimateur des forces néo-colonialistes ».
« Nous sommes dans le collimateur des forces néo-colonialistes. Les mêmes qui taxaient Lumumba d’être un crypto-communiste, qu’il n’était pas et qui nous taxent aujourd’hui de vouloir violer la constitution que le président ne viole pas », affirme Lambert Mende qui ajoute :
« Nous savons que chaque fois qu’un régime en Afrique essaie de défendre les intérêts de sa population, ceux qui se sont confortablement installés dans l’exploitation illégale des richesses de nos pays, se lèvent et recrutent des invertébrés parmi nous pour le combattre. »
Par ailleurs, Lambert Mende est revenu sur la proposition de loi sur l’organisation du référendum présentée par deux députés de la Majorité présidentielle.
Il a soutenu que cette loi référendaire n'a rien à avoir avec l'organisation d'un référendum dont on accuse « intentionnellement » le gouvernement.
http://www.radiookapi.net/2015/10/01/actualite/politique/rdc-lambert-mende-nest-pas-surpris-de-la-demission-de-moise-katumbi
Le ministre de la Communication et Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a déclaré jeudi 1er octobre que la démission de Moise Katumbi du PPRD, le parti présidentiel, et de son poste de gouverneur du Katanga ne le surprenait pas.
« Sa démission ne nous surprend pas parce que ça faisait plus d’un an qu’il avait pris des positions à l’emporte-pièce à contrario, de la philosophie de notre famille politique », a fait savoir Lambert Mende, faisant allusion au discours prononcé l’année dernière par Moïse Katumbi à son retour à Lubumbashi. Le président de Mazembe avait évoqué une métaphore sur un troisième penalty. Un discours que certains avaient interprété comme son opposition à un troisième mandat de l’actuel chef de l’Etat.
Pour Lambert Mende, Moïse Katumbi gardait encore son poste de gouverneur grâce « à la grandeur d’âme du président Joseph Kabila ».
M. Katumbi a annoncé mardi 29 septembre sa démission du PPRD et de son poste de gouverneur du Katanga, dénonçant un certain nombre de dérives imputables, selon lui, aux autorités de Kinshasa.
Interrogé sur les leçons qu’il tire de cette démission, Lambert Mende a répondu que Kinshasa était « dans le collimateur des forces néo-colonialistes ».
« Nous sommes dans le collimateur des forces néo-colonialistes. Les mêmes qui taxaient Lumumba d’être un crypto-communiste, qu’il n’était pas et qui nous taxent aujourd’hui de vouloir violer la constitution que le président ne viole pas », affirme Lambert Mende qui ajoute :
« Nous savons que chaque fois qu’un régime en Afrique essaie de défendre les intérêts de sa population, ceux qui se sont confortablement installés dans l’exploitation illégale des richesses de nos pays, se lèvent et recrutent des invertébrés parmi nous pour le combattre. »
Par ailleurs, Lambert Mende est revenu sur la proposition de loi sur l’organisation du référendum présentée par deux députés de la Majorité présidentielle.
Il a soutenu que cette loi référendaire n'a rien à avoir avec l'organisation d'un référendum dont on accuse « intentionnellement » le gouvernement.
Dernière édition par Jim KK le 1/10/2015, 10:18 pm, édité 1 fois
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Richard Muyej sur la démission de Katumbi: «Personne n'est indispensable»
http://www.radiookapi.net/2015/10/01/actualite/politique/richard-muyej-sur-la-demission-de-katumbi-personne-nest-indispensable
Interrogé sur la démission de Moïse Katumbi du PPRD, le parti présidentiel, l'ancien ministre de l'Intérieur, Richard Muyej, a estimé mercredi 30 septembre que personne n'était indispensable dans la Majorité Présidentielle (MP).
«Il est parti, c'est normal. Le parti va survivre. La majorité va survivre», a-t-il déclaré.
Richard Muyej a avoué avoir été déçu de la manière dont s'est passée cette démission.
«Ce qui m'a déplu et qui m'a frustré, c'est la manière. Ils ont essayé de donner l'impression qu'ils sont dans le bon», a-t-il fait savoir.
Questionné au sujet de la contribution financière de Katumbi dans son parti, Richard Muyej affirme que le poste de gouverneur du Katanga a renforcé Moïse Katumbi politiquement et économiquement.
«Pourquoi est-ce que tout le monde oublie pourquoi le chef de l'Etat a voulu que Moïse Katumbi soit gouverneur et que cela l'a renforcé dans sa position politique et économique. Vous vous contentez de dire : sa contribution. D'où viennent ces moyens ? Vous avez oublié la source, vous pensez à l'embouchure», soutient Richard Muyej.
L'ancien ministre de l'Intérieur indique, en outre, qu'il est normal qu'un membre finance son parti.
«Moïse a fait son devoir en tant que cadre du parti en aidant son parti. C'est tout à fait normal. Je sais que c'est un homme d'affaires. Sa position l'a aidé aussi à consolider ses affaires. Quoi de plus normal que de donner un peu à son parti, même à l'église il y a le système de dîme», commente M. Muyej.
http://www.radiookapi.net/2015/10/01/actualite/politique/richard-muyej-sur-la-demission-de-katumbi-personne-nest-indispensable
Interrogé sur la démission de Moïse Katumbi du PPRD, le parti présidentiel, l'ancien ministre de l'Intérieur, Richard Muyej, a estimé mercredi 30 septembre que personne n'était indispensable dans la Majorité Présidentielle (MP).
«Il est parti, c'est normal. Le parti va survivre. La majorité va survivre», a-t-il déclaré.
Richard Muyej a avoué avoir été déçu de la manière dont s'est passée cette démission.
«Ce qui m'a déplu et qui m'a frustré, c'est la manière. Ils ont essayé de donner l'impression qu'ils sont dans le bon», a-t-il fait savoir.
Questionné au sujet de la contribution financière de Katumbi dans son parti, Richard Muyej affirme que le poste de gouverneur du Katanga a renforcé Moïse Katumbi politiquement et économiquement.
«Pourquoi est-ce que tout le monde oublie pourquoi le chef de l'Etat a voulu que Moïse Katumbi soit gouverneur et que cela l'a renforcé dans sa position politique et économique. Vous vous contentez de dire : sa contribution. D'où viennent ces moyens ? Vous avez oublié la source, vous pensez à l'embouchure», soutient Richard Muyej.
L'ancien ministre de l'Intérieur indique, en outre, qu'il est normal qu'un membre finance son parti.
«Moïse a fait son devoir en tant que cadre du parti en aidant son parti. C'est tout à fait normal. Je sais que c'est un homme d'affaires. Sa position l'a aidé aussi à consolider ses affaires. Quoi de plus normal que de donner un peu à son parti, même à l'église il y a le système de dîme», commente M. Muyej.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Notre gouverneur veut lutter pour sauvegarder notre jeune démocratie en RDC (Eyokani????)
http://www.rfi.fr/emission/20151002-rdc-moise-katumbi-kabila-pprd-sauvegarder-jeune-democratie
C'est l'un des poids lourds de la classe politique congolaise. Moïse Katumbi, le riche gouverneur de la riche province du Katanga, quitte le parti PPRD au pouvoir et démissionne de son poste. Si pour l'entourage du président Kabila, c'est un «non-évènement», pour d'autres, c'est un séisme politique. Katumbi sera-t-il candidat à la présidentielle de l'an prochain ? En ligne de son fief de Lubumbashi, le leader katangais répond aux questions de RFI.
RFI : Dans votre déclaration politique du 29 septembre, vous dites que tout est mis en œuvre depuis un an pour ne pas respecter la Constitution et retarder les élections. Est-ce qu’il y a une stratégie qui est pensée de longue date au sein du parti au pouvoir le PPRD ?
Moïse Katumbi : Oui, il y a vraiment un flou au sein de notre parti. C’est pourquoi j’ai décidé de partir. Parce que ça fait longtemps, ça fait plus ou moins deux ans que j’essaie de partager avec mes frères du PPRD le risque de tuer vraiment notre jeune démocratie.
Avez-vous assisté à des réunions où cette stratégie du glissement a été pensée et mise en œuvre ?
Pas du tout, parce que j’avais ma position et je n’étais pas d’accord avec la majorité, parce que nous allons vers le glissement. Et un jour, on va nous dire que le glissement est vraiment constitutionnel et je crois que si nous allons comme ça, nous n’allons pas aller aux élections en 2016. C’est pourquoi moi-même, j’ai décidé de me ranger à côté de tous les démocrates pour dire non à cette manœuvre.
Donc pour vous les sept élections locales qui sont prévues avant les élections nationales de novembre 2016, c’est une stratégie pour surcharger le calendrier électoral ?
C’est une stratégie, c’est une machine qui est en marche. C’est à nous avec la société civile, avec toutes les forces vives, d’essayer que cette machine soit vraiment cassée.
Est-ce que vous-même, depuis votre lettre de démission du 29 septembre, vous avez reçu des menaces ?
Vous savez, les menaces c’est chaque jour, surtout après ma démission. Et je voudrais dire quelque chose : quand j’ai démissionné, c’est le ministre Lambert Mende qui a parlé de ma richesse, il a parlé de la province que j’ai gérée. J’ai géré la province du Katanga qui est devenue une province pilote. Quand je suis arrivé à la tête de la province du Katanga – je vais donner un exemple – les recettes de la douane c’était 18 millions de dollars l’an. Et aujourd’hui, la douane du Katanga, c’est plus ou moins un milliard de dollars l’an. Et je voudrais aussi souligner qu’entre 2009 et 2010, j’étais traduit en justice en Belgique et en Angleterre et j’ai gagné le procès. Je suis prêt à faire une table ronde parce que je vais crever l’abcès.
Vous parlez du porte-parole du gouvernement. Dans sa réponse à votre lettre, justement, Lambert Mende dit que vous n’avez pas de leçon de gouvernance à donner, vous qui avez chassé du Katanga des magistrats qui voulaient enquêter sur votre gestion de gouverneur.
Je n’ai jamais chassé de magistrats au Katanga. C’est pourquoi je voudrais qu’on puisse avoir une table ronde et que chacun s’explique sur la source de sa richesse, où est-ce qu’il a eu de l’argent. Je suis né au Katanga, j’ai grandi au Katanga, je connais toutes les familles.
Mais c’est vrai que vous êtes quand même l’un des hommes les plus riches du Congo et que certains s’interrogent sur l’origine de votre fortune ?
Ça dérange parce que j’ai travaillé pour mon argent. Nous sommes une grande famille d’hommes d’affaires. Tous les Congolais connaissent très bien notre famille, en commençant par mon père, mon grand frère Raphaël Katebe Katoto. Dans le temps, il y avait deux grands opérateurs économiques en République démocratique du Congo : il y avait mon grand frère, Katebe Katoto, il y avait le père de Jean-Pierre Bemba. Il y avait aussi la famille Moleka. Je peux expliquer l’historique. C’est pourquoi je demande cette table ronde avec monsieur Mende et tous les autres politiciens et nous serons prêts à témoigner devant le peuple congolais.
Votre démission du PPRD tombe quelques jours après celle des sept frondeurs du G7. Est-ce que leur initiative vous a encouragé dans votre démarche ?
Pas du tout, pas du tout. Je suis une grande personne. J’ai pris ma décision, j’étais libre. Les autres ont pris leur décision, ils ont formé leur groupe. Jusque-là, je n’ai pas de groupe. Je me suis dit que j’allais prendre un petit repos.
Mais parmi ces sept frondeurs, il y a trois personnalités du Katanga, comme vous : le doyen Mwando Nsimba, ancien vice-président de l’Assemblée nationale, Gabriel Kyungu, ancien président de l’Assemblée provinciale et puis Dany Banza de l’Avenir pour le Congo. Est-ce qu’il n’y a pas de fait un rassemblement politique qui est en train de se former au Katanga ?
Non, pas du tout. Vous savez, le président Mwando Nsimba a commencé la politique avant même ma naissance. Donc je crois qu’il a vu comme moi qu’il y avait un problème. Même le président Kyungu, même les autres. Ce n’est pas seulement les ressortissants du Katanga.
Mais vous quittez un parti. Est-ce pour en créer un nouveau ou est-ce pour rester tout seul dans votre coin ?
Moïse Katumbi ne va pas créer de parti politique. Moïse Katumbi va réfléchir sur son avenir.
Mais pouvez-vous continuer en politique sans être dans un parti ?
Non. Je fais un appel à toutes les forces vives pour que nous puissions lutter pour sauvegarder et renforcer notre jeune démocratie. Et je serai avec tout le monde, que ce soit la majorité présidentielle, l’opposition, le G7 et la société civile. Je serai à leur côté pour que nous puissions reprendre la liberté d’expression, les droits de l’homme, et renforcer cette jeune démocratie. Je fais un appel à toutes les forces vives.
Est-ce que vous pensez comme certains de vos compatriotes, notamment dans l’opposition et dans le G7, à un front républicain ?
Un front républicain oui, parce que si je fais un appel, c’est pour que nous puissions nous tous lutter pour sauvegarder notre jeune démocratie.
Et dans cette hypothèse est-ce que vous pourriez être candidat à la présidentielle de l’année prochaine ?
Vous savez, nous ne sommes pas encore en 2016. Je suis en train de voir comment nous pouvons sauver d’abord la démocratie dans notre pays. C’est le plus important.
Certains disent que vous êtes d’abord un homme d’affaires et que finalement vous n’irez pas au bout d’un projet politique comme celui d’être candidat l’année prochaine.
J’étais homme d’affaires dans le temps, je suis né dans une famille d’hommes d’affaires. Je me suis lancé en politique pour aider la population. Et je vais le rester. Je serai à l’écoute de la population pour aider cette population.
http://www.rfi.fr/emission/20151002-rdc-moise-katumbi-kabila-pprd-sauvegarder-jeune-democratie
C'est l'un des poids lourds de la classe politique congolaise. Moïse Katumbi, le riche gouverneur de la riche province du Katanga, quitte le parti PPRD au pouvoir et démissionne de son poste. Si pour l'entourage du président Kabila, c'est un «non-évènement», pour d'autres, c'est un séisme politique. Katumbi sera-t-il candidat à la présidentielle de l'an prochain ? En ligne de son fief de Lubumbashi, le leader katangais répond aux questions de RFI.
RFI : Dans votre déclaration politique du 29 septembre, vous dites que tout est mis en œuvre depuis un an pour ne pas respecter la Constitution et retarder les élections. Est-ce qu’il y a une stratégie qui est pensée de longue date au sein du parti au pouvoir le PPRD ?
Moïse Katumbi : Oui, il y a vraiment un flou au sein de notre parti. C’est pourquoi j’ai décidé de partir. Parce que ça fait longtemps, ça fait plus ou moins deux ans que j’essaie de partager avec mes frères du PPRD le risque de tuer vraiment notre jeune démocratie.
Avez-vous assisté à des réunions où cette stratégie du glissement a été pensée et mise en œuvre ?
Pas du tout, parce que j’avais ma position et je n’étais pas d’accord avec la majorité, parce que nous allons vers le glissement. Et un jour, on va nous dire que le glissement est vraiment constitutionnel et je crois que si nous allons comme ça, nous n’allons pas aller aux élections en 2016. C’est pourquoi moi-même, j’ai décidé de me ranger à côté de tous les démocrates pour dire non à cette manœuvre.
Donc pour vous les sept élections locales qui sont prévues avant les élections nationales de novembre 2016, c’est une stratégie pour surcharger le calendrier électoral ?
C’est une stratégie, c’est une machine qui est en marche. C’est à nous avec la société civile, avec toutes les forces vives, d’essayer que cette machine soit vraiment cassée.
Est-ce que vous-même, depuis votre lettre de démission du 29 septembre, vous avez reçu des menaces ?
Vous savez, les menaces c’est chaque jour, surtout après ma démission. Et je voudrais dire quelque chose : quand j’ai démissionné, c’est le ministre Lambert Mende qui a parlé de ma richesse, il a parlé de la province que j’ai gérée. J’ai géré la province du Katanga qui est devenue une province pilote. Quand je suis arrivé à la tête de la province du Katanga – je vais donner un exemple – les recettes de la douane c’était 18 millions de dollars l’an. Et aujourd’hui, la douane du Katanga, c’est plus ou moins un milliard de dollars l’an. Et je voudrais aussi souligner qu’entre 2009 et 2010, j’étais traduit en justice en Belgique et en Angleterre et j’ai gagné le procès. Je suis prêt à faire une table ronde parce que je vais crever l’abcès.
Vous parlez du porte-parole du gouvernement. Dans sa réponse à votre lettre, justement, Lambert Mende dit que vous n’avez pas de leçon de gouvernance à donner, vous qui avez chassé du Katanga des magistrats qui voulaient enquêter sur votre gestion de gouverneur.
Je n’ai jamais chassé de magistrats au Katanga. C’est pourquoi je voudrais qu’on puisse avoir une table ronde et que chacun s’explique sur la source de sa richesse, où est-ce qu’il a eu de l’argent. Je suis né au Katanga, j’ai grandi au Katanga, je connais toutes les familles.
Mais c’est vrai que vous êtes quand même l’un des hommes les plus riches du Congo et que certains s’interrogent sur l’origine de votre fortune ?
Ça dérange parce que j’ai travaillé pour mon argent. Nous sommes une grande famille d’hommes d’affaires. Tous les Congolais connaissent très bien notre famille, en commençant par mon père, mon grand frère Raphaël Katebe Katoto. Dans le temps, il y avait deux grands opérateurs économiques en République démocratique du Congo : il y avait mon grand frère, Katebe Katoto, il y avait le père de Jean-Pierre Bemba. Il y avait aussi la famille Moleka. Je peux expliquer l’historique. C’est pourquoi je demande cette table ronde avec monsieur Mende et tous les autres politiciens et nous serons prêts à témoigner devant le peuple congolais.
Votre démission du PPRD tombe quelques jours après celle des sept frondeurs du G7. Est-ce que leur initiative vous a encouragé dans votre démarche ?
Pas du tout, pas du tout. Je suis une grande personne. J’ai pris ma décision, j’étais libre. Les autres ont pris leur décision, ils ont formé leur groupe. Jusque-là, je n’ai pas de groupe. Je me suis dit que j’allais prendre un petit repos.
Mais parmi ces sept frondeurs, il y a trois personnalités du Katanga, comme vous : le doyen Mwando Nsimba, ancien vice-président de l’Assemblée nationale, Gabriel Kyungu, ancien président de l’Assemblée provinciale et puis Dany Banza de l’Avenir pour le Congo. Est-ce qu’il n’y a pas de fait un rassemblement politique qui est en train de se former au Katanga ?
Non, pas du tout. Vous savez, le président Mwando Nsimba a commencé la politique avant même ma naissance. Donc je crois qu’il a vu comme moi qu’il y avait un problème. Même le président Kyungu, même les autres. Ce n’est pas seulement les ressortissants du Katanga.
Mais vous quittez un parti. Est-ce pour en créer un nouveau ou est-ce pour rester tout seul dans votre coin ?
Moïse Katumbi ne va pas créer de parti politique. Moïse Katumbi va réfléchir sur son avenir.
Mais pouvez-vous continuer en politique sans être dans un parti ?
Non. Je fais un appel à toutes les forces vives pour que nous puissions lutter pour sauvegarder et renforcer notre jeune démocratie. Et je serai avec tout le monde, que ce soit la majorité présidentielle, l’opposition, le G7 et la société civile. Je serai à leur côté pour que nous puissions reprendre la liberté d’expression, les droits de l’homme, et renforcer cette jeune démocratie. Je fais un appel à toutes les forces vives.
Est-ce que vous pensez comme certains de vos compatriotes, notamment dans l’opposition et dans le G7, à un front républicain ?
Un front républicain oui, parce que si je fais un appel, c’est pour que nous puissions nous tous lutter pour sauvegarder notre jeune démocratie.
Et dans cette hypothèse est-ce que vous pourriez être candidat à la présidentielle de l’année prochaine ?
Vous savez, nous ne sommes pas encore en 2016. Je suis en train de voir comment nous pouvons sauver d’abord la démocratie dans notre pays. C’est le plus important.
Certains disent que vous êtes d’abord un homme d’affaires et que finalement vous n’irez pas au bout d’un projet politique comme celui d’être candidat l’année prochaine.
J’étais homme d’affaires dans le temps, je suis né dans une famille d’hommes d’affaires. Je me suis lancé en politique pour aider la population. Et je vais le rester. Je serai à l’écoute de la population pour aider cette population.
Jim KK
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