COMMENT SORTIR L'AFRIQUE DE CET ABIME?
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COMMENT SORTIR L'AFRIQUE DE CET ABIME?
Salut
Sachant tres bien q mes postings sont des fois moins orthodoxes, je me suis empeche d'initier ce sujet depuis qlq jours, mais a lire les reactions ca et la, je me dis, je dois le faire immediatement
Je me dis q le probleme avec nous les Africains, c q nous ignorons totalement c q nous cherchons.
Soit on veut limiter la participation des occidentaux ds nos affaires, qd ca nous ennuies, qd ca nous arrange, on les invites sans prealables.
Soit on condamne l'ingerence de la France ds l'affaire du Guinee, mais on ne veut pas entendre les autres faire le mm exercice concernant KDG et Kabila.
On va quemander l'effacement de nos dettes, ou l'appuie financier pour les elections mais qd il y a critique de la politique sur place, on parle de souverainete, qu'on n'evoque pas qd on pense qu'ils defendent la cause des opprimes Centre Africains en incarcerant un Bemba.
Soit on se leve contre ces gens qd ils nous emmenent un Kabila, mais On pense q c normal au Gabon...
Ou soit on est d'accords avec ces gens qd ils nous emmenent Kabila, mais on fait un probleme avec la guerre en Irak
Des fois on ignore c q les Guineens eux mm pensent d'un Dadis Camara. Peut etre q la majorite de la population qui voulait peut etre le depart d'un Camara, recoit positivement cette ingerence.
Je ne parle pas de cette justice a deux vitesses, ou un Kabila est invite en France, un Camara est l'homme a abattre, alors q le premier est mm pire q le deuxieme.
Des fois on veut parler au noms des autres, mm qd on ignore les realites de ce coin, mais on supporte mal q les autres parlent a notre place, car ils ignorent c qui se passe chez nous.
Alors j'aimerai tt simplement savoir les limites de l'ingerence de l'occident ds la politique Africaine en general et de chq pays en particulier, car chq pays a ses propres problemes.
Sachant tres bien q mes postings sont des fois moins orthodoxes, je me suis empeche d'initier ce sujet depuis qlq jours, mais a lire les reactions ca et la, je me dis, je dois le faire immediatement
Je me dis q le probleme avec nous les Africains, c q nous ignorons totalement c q nous cherchons.
Soit on veut limiter la participation des occidentaux ds nos affaires, qd ca nous ennuies, qd ca nous arrange, on les invites sans prealables.
Soit on condamne l'ingerence de la France ds l'affaire du Guinee, mais on ne veut pas entendre les autres faire le mm exercice concernant KDG et Kabila.
On va quemander l'effacement de nos dettes, ou l'appuie financier pour les elections mais qd il y a critique de la politique sur place, on parle de souverainete, qu'on n'evoque pas qd on pense qu'ils defendent la cause des opprimes Centre Africains en incarcerant un Bemba.
Soit on se leve contre ces gens qd ils nous emmenent un Kabila, mais On pense q c normal au Gabon...
Ou soit on est d'accords avec ces gens qd ils nous emmenent Kabila, mais on fait un probleme avec la guerre en Irak
Des fois on ignore c q les Guineens eux mm pensent d'un Dadis Camara. Peut etre q la majorite de la population qui voulait peut etre le depart d'un Camara, recoit positivement cette ingerence.
Je ne parle pas de cette justice a deux vitesses, ou un Kabila est invite en France, un Camara est l'homme a abattre, alors q le premier est mm pire q le deuxieme.
Des fois on veut parler au noms des autres, mm qd on ignore les realites de ce coin, mais on supporte mal q les autres parlent a notre place, car ils ignorent c qui se passe chez nous.
Alors j'aimerai tt simplement savoir les limites de l'ingerence de l'occident ds la politique Africaine en general et de chq pays en particulier, car chq pays a ses propres problemes.
Hiro-Hito- Admin
Re: COMMENT SORTIR L'AFRIQUE DE CET ABIME?
*CNMM a écrit:
Hiro-Hito,
Vous étrangers :
Yankees, TUTSIS, HUTUS, versus OCCIDENTAUX, UE, USA, Consorts,
Occupez-vous de vos emburgers, de vos vaches et de vos pédophiles,
laissez-nous les mains libres pour vous dire comment nous entendons COOPÉRER avec vous,
dans le strict respect mutuel entre ÉTATS Souverains, et le Monde se portera beaucoup mieux !
*CNMM
*CNMM
Re: COMMENT SORTIR L'AFRIQUE DE CET ABIME?
Vous avez plutôt bien posé le problème : qu'on l'accepte ou pas, les puissants
de la CI s'occupent de nous et nous imposent bien de leurs choix; et nous non
seulement nous nous sommes rendus incapables d'imposer nos choix souverains
mais nous aceptons les diktats des puissants quand ça nous arrange et paradons
souvent verbalement pour les refuser lorsque ça nous déplait...
Et tout ça sur fond d'une population qui ne cesse de soufrir de notre mégestion
et relativement indifférente à ces polémiques des classes politiques et sur fond
d'une survie que nous ne devons qu'à l'aide de cette CI...
Voici pour nous aider à discuter, des reflexions glanées ici là des Congolais et
du Congo par une fois de plus une Belge qui joue bien au vilain jeu de sympathie
sinon plus au pouvoir Congolais et dit-elle envers les Congolais sans cesser
de jouer à la digne représentante de la Belgique, j'ai cité Mme Breackman !
J'y reviendrai sans doute...
"KInshasa s’irrite d’un nouvel incident
avec Karel De Gucht
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2010/01/07/kinshasa-sirrite-dun-nouvel-incident-avec-karel-de-gucht/
Kinshasa,
Envoyée spéciale,
............Il semble que M. De Gucht fasse une fixation sur le Congo, peut-être pour se rendre intéressant… »
Les autorités congolaises tiennent cependant à marquer la différence entre le Commissaire européen et son pays d’origine. Pour Lambert Mende, ces « pantalonnades ne concernent en aucune façon la Belgique, elles ne sont qu’une affaire personnelle entre KDG et nous… » Et de confirmer que le 30 juin prochain le roi Albert II sera l’invité d’honneur des festivités du 50eme anniversaire, non seulement sur le plan protocolaire mais aussi parce qu’il sera le plus applaudi.
Dans le quartier populaire de Kintambo, Auguste, un vieil homme, nous confirme cette attente : en 1955 il était cuisinier dans la résidence occupée par le roi Baudouin. Depuis lors, la photo prise l’époque aux côtés du jeune roi est vénérée dans tout le quartier à l’instar d’une relique…
Pour l’historien Antoine Yok, comme pour Jean, son ami architecte, les foucades du Commissaire européen ne méritent pas tant de remous : «des frictions entre la Belgique et nous, il y en a déjà eu beaucoup, il y en aura encore…Entre les oncles et les neveux, c’est une affaire de famille, il n’y a rien de plus normal que se dire quelques vérités… » Exprimant l’opinion de beaucoup de Congolais Jean ajoute : « il est bon que quelqu’un d’extérieur mette les pieds dans le plat, rappelle à l’ordre nos dirigeants, afin qu’ils ne soient pas trop vite contents d’eux-mêmes… » Et il conclut, à l’heure où Bernard Kouchner boucle ses valises pour Kinshasa « si un Français se permettait de nous sermonner comme le font les Belges, jamais nous ne pourrions l’accepter… »
Au-delà de l’indignation des autorités et de la relative indifférence de la population, l’incident est cependant révélateur d’un malaise plus profond que Lambert Mende exprime sans trop de diplomatie : « nos partenaires, qu’il s’agisse des Européens ou des Etats membres du Conseil de sécurité sont trop sensibles aux campagnes de dénigrement menées par certaines ONG à l’encontre de notre armée, de nos dirigeants politiques… Il serait bon que la communauté internationale, lorsqu’il s’agît du Congo, garde son sang froid et ses capacités d’analyse indépendante, ce ne sont pas les ONG qui doivent leur dicter leur conduite… »
Par ces propos le ministre vise clairement le dernier rapport de Human Rights Watch qui a très vivement mis en cause les forces armées congolaises, placées pratiquement sur le même pied que les rebelles hutus rwandais en matière de violation des droits de l’homme.
En outre, la dernière résolution du Conseil de sécurité, qui vient de prolonger de cinq mois la présence de la Mission des nations unies au Congo, est mal passée à Kinshasa. D’ici le 30 juin, le général Kalume, commissaire général au Cinquantenaire, entend organiser à travers tout le pays des séances de réflexion critique, afin d’analyser les échecs et de promouvoir les innovations. C’est cependant en famille que les Congolais entendent laver leur linge sale, avec les Belges peut être mais pas au-delà… Au sein de la Monuc, des observateurs craignent déjà que, d’ ici le 30 juin, au nom de la souveraineté et de l’indépendance et fort de ses nouveaux amis, le Congo ne s’engage dans une « collision frontale » avec une « communauté internationale » (c’est-à-dire occidentale) dont il estime que les jugements sont biaisés et la tutelle trop lourde…"
Compatriotiquement!
de la CI s'occupent de nous et nous imposent bien de leurs choix; et nous non
seulement nous nous sommes rendus incapables d'imposer nos choix souverains
mais nous aceptons les diktats des puissants quand ça nous arrange et paradons
souvent verbalement pour les refuser lorsque ça nous déplait...
Et tout ça sur fond d'une population qui ne cesse de soufrir de notre mégestion
et relativement indifférente à ces polémiques des classes politiques et sur fond
d'une survie que nous ne devons qu'à l'aide de cette CI...
Voici pour nous aider à discuter, des reflexions glanées ici là des Congolais et
du Congo par une fois de plus une Belge qui joue bien au vilain jeu de sympathie
sinon plus au pouvoir Congolais et dit-elle envers les Congolais sans cesser
de jouer à la digne représentante de la Belgique, j'ai cité Mme Breackman !
J'y reviendrai sans doute...
"KInshasa s’irrite d’un nouvel incident
avec Karel De Gucht
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2010/01/07/kinshasa-sirrite-dun-nouvel-incident-avec-karel-de-gucht/
Kinshasa,
Envoyée spéciale,
............Il semble que M. De Gucht fasse une fixation sur le Congo, peut-être pour se rendre intéressant… »
Les autorités congolaises tiennent cependant à marquer la différence entre le Commissaire européen et son pays d’origine. Pour Lambert Mende, ces « pantalonnades ne concernent en aucune façon la Belgique, elles ne sont qu’une affaire personnelle entre KDG et nous… » Et de confirmer que le 30 juin prochain le roi Albert II sera l’invité d’honneur des festivités du 50eme anniversaire, non seulement sur le plan protocolaire mais aussi parce qu’il sera le plus applaudi.
Dans le quartier populaire de Kintambo, Auguste, un vieil homme, nous confirme cette attente : en 1955 il était cuisinier dans la résidence occupée par le roi Baudouin. Depuis lors, la photo prise l’époque aux côtés du jeune roi est vénérée dans tout le quartier à l’instar d’une relique…
Pour l’historien Antoine Yok, comme pour Jean, son ami architecte, les foucades du Commissaire européen ne méritent pas tant de remous : «des frictions entre la Belgique et nous, il y en a déjà eu beaucoup, il y en aura encore…Entre les oncles et les neveux, c’est une affaire de famille, il n’y a rien de plus normal que se dire quelques vérités… » Exprimant l’opinion de beaucoup de Congolais Jean ajoute : « il est bon que quelqu’un d’extérieur mette les pieds dans le plat, rappelle à l’ordre nos dirigeants, afin qu’ils ne soient pas trop vite contents d’eux-mêmes… » Et il conclut, à l’heure où Bernard Kouchner boucle ses valises pour Kinshasa « si un Français se permettait de nous sermonner comme le font les Belges, jamais nous ne pourrions l’accepter… »
Au-delà de l’indignation des autorités et de la relative indifférence de la population, l’incident est cependant révélateur d’un malaise plus profond que Lambert Mende exprime sans trop de diplomatie : « nos partenaires, qu’il s’agisse des Européens ou des Etats membres du Conseil de sécurité sont trop sensibles aux campagnes de dénigrement menées par certaines ONG à l’encontre de notre armée, de nos dirigeants politiques… Il serait bon que la communauté internationale, lorsqu’il s’agît du Congo, garde son sang froid et ses capacités d’analyse indépendante, ce ne sont pas les ONG qui doivent leur dicter leur conduite… »
Par ces propos le ministre vise clairement le dernier rapport de Human Rights Watch qui a très vivement mis en cause les forces armées congolaises, placées pratiquement sur le même pied que les rebelles hutus rwandais en matière de violation des droits de l’homme.
En outre, la dernière résolution du Conseil de sécurité, qui vient de prolonger de cinq mois la présence de la Mission des nations unies au Congo, est mal passée à Kinshasa. D’ici le 30 juin, le général Kalume, commissaire général au Cinquantenaire, entend organiser à travers tout le pays des séances de réflexion critique, afin d’analyser les échecs et de promouvoir les innovations. C’est cependant en famille que les Congolais entendent laver leur linge sale, avec les Belges peut être mais pas au-delà… Au sein de la Monuc, des observateurs craignent déjà que, d’ ici le 30 juin, au nom de la souveraineté et de l’indépendance et fort de ses nouveaux amis, le Congo ne s’engage dans une « collision frontale » avec une « communauté internationale » (c’est-à-dire occidentale) dont il estime que les jugements sont biaisés et la tutelle trop lourde…"
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: COMMENT SORTIR L'AFRIQUE DE CET ABIME?
*CNMM a écrit:
C'est quoi la différence avec cet autre topic ?
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/actualite-vie-et-societe-f1/cinquante-ans-des-independances-africaines-t2554.htm
</A>*CNMM
*CNMM
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