Le Gouvernement Muzito.
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Re: Le Gouvernement Muzito.
"Remaniement light pour une ligne droite
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2010/02/22/remaniement-light-pour-une-ligne-droite/
On allait voir ce qu’on allait voir… Depuis que le président nous avait annoncé, à Matadi, qu’il recherchait quinze hommes de confiance, les spéculations se multipliaient, dans la presse et ailleurs. Les uns pariaient sur le départ du Premier Ministre Muzito, les autres, enfourchant une nouvelle fois le grand cheval de bataille du complot, assuraient que le CNDP, le mouvement de Laurent Nkunda, allait entrer au gouvernement de Kinshasa, la pacification du Kivu étant à ce prix.
Rien de tout cela ne s’est produit : on attendait un virage lourd, c’est un changement « light » qui a été préféré, on spéculait sur des déchirements, des ruptures d’alliances et c’est dans la dentelle que le président a opéré, choisissant, avec sagesse sans doute, une certaine continuité afin de ne prendre aucun risque de dérapage avant deux échéances très attendues. La première, c’est l’aboutissement, avant l’été, des négociations avec le Fonds monétaire international qui verra le Congo allégé, au prix d’immenses sacrifices, de l’obligation de rembourser 90% d’une dette qui n’a jamais bénéficié à la population. La seconde, ce sont les cérémonies du 50eme anniversaire de l’indépendance, qui devraient représenter une date fondatrice, le point de départ d’une réflexion sur l’indépendance réelle, et, on peut l’espérer, la rampe de lancement d’un véritable décollage…"
Compatriotiquement!
° http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman/2010/02/22/remaniement-light-pour-une-ligne-droite/
On allait voir ce qu’on allait voir… Depuis que le président nous avait annoncé, à Matadi, qu’il recherchait quinze hommes de confiance, les spéculations se multipliaient, dans la presse et ailleurs. Les uns pariaient sur le départ du Premier Ministre Muzito, les autres, enfourchant une nouvelle fois le grand cheval de bataille du complot, assuraient que le CNDP, le mouvement de Laurent Nkunda, allait entrer au gouvernement de Kinshasa, la pacification du Kivu étant à ce prix.
Rien de tout cela ne s’est produit : on attendait un virage lourd, c’est un changement « light » qui a été préféré, on spéculait sur des déchirements, des ruptures d’alliances et c’est dans la dentelle que le président a opéré, choisissant, avec sagesse sans doute, une certaine continuité afin de ne prendre aucun risque de dérapage avant deux échéances très attendues. La première, c’est l’aboutissement, avant l’été, des négociations avec le Fonds monétaire international qui verra le Congo allégé, au prix d’immenses sacrifices, de l’obligation de rembourser 90% d’une dette qui n’a jamais bénéficié à la population. La seconde, ce sont les cérémonies du 50eme anniversaire de l’indépendance, qui devraient représenter une date fondatrice, le point de départ d’une réflexion sur l’indépendance réelle, et, on peut l’espérer, la rampe de lancement d’un véritable décollage…"
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Le Gouvernement Muzito.
Kieeeeeeeeee si c'est vrai avoir autant d'argent chez so...... héritage, fruit du travail kokamwa. La monnaie en RDC ce n'est pas le franc congolais où bien???????
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Il se raconte dans le Tout-Kinshasa-politique que l’épouse du Premier ministre Adolphe Muzito a été interpellée, il y a quelques mois, par des agents de la police des frontières à l’aéroport parisien de Roissy-Charles de Gaulle. Selon mon ami qui sait décidément tout sur tout et tout sur rien, l’épouse du «Premier» congolais trimbalait dans son sac à main une importante somme d’argent en espèces sonnantes et trébuchantes. «Madame» avait «oublié» de déclarer ses avoirs.
Informée discrètement par voie diplomatique, la «haute hiérarchie», autrement dit le «raïs», se serait limitée à hausser les épaules. Preuve si besoin en était que les loups ne se mangent pas entre eux, comme dit le vieil adage. Aux dernières nouvelles, on apprend que les plus hautes autorités hexagonales ont décidé «un classement sans suite» de ce dossier peu glorieux. Histoire d’étouffer le scandale. Un contrat d’exploitation de l’uranium congolais par Areva ne vaut-il pas une telle mansuétude?
Un malheur ne venant jamais seul, cette fois, le «chef» du gouvernement congolais "pleure" en silence la «disparition» de 2 millions de US dollars précieusement mis de côté, dans sa chambre à coucher, au cas où.
Selon mon ami qui sait tout sur tout et tout sur rien à Kinshasa-lez-Immondices, une enquête discrète a été diligentée par Muzito. Selon les premiers éléments récoltés par quelques "Sherlock Holmes" de pacotille de la bien nommée «PIR» (Police d’intervention rapide), les investigations devraient se poursuivre du côté... du Canada. Aucun rapport, dit mon ami, avec les jeux olympiques qui viennent de se dérouler à Vancouver.
Mais alors pourquoi le Canada ? Selon mon ami, ayant appris que son beau frère est devenu Premier ministre, la sœur de «Madame» est descendue à Kinshasa pour participer à la fête et pousser quelques youyous. Pour les investigateurs de la primature, la «belle-sœur» était la seule, en dehors du couple, à accéder aux appartements privés du couple. Relation de cause à effet, elle est donc celle qui, à son départ, a emporté le magot.
Selon mon ami, depuis, inconsolable, le Premier ne peut partager ses états d’âme au risque de susciter la question qui tue : «D’où proviennent les 2 millions de Usd ?»
Informée discrètement par voie diplomatique, la «haute hiérarchie», autrement dit le «raïs», se serait limitée à hausser les épaules. Preuve si besoin en était que les loups ne se mangent pas entre eux, comme dit le vieil adage. Aux dernières nouvelles, on apprend que les plus hautes autorités hexagonales ont décidé «un classement sans suite» de ce dossier peu glorieux. Histoire d’étouffer le scandale. Un contrat d’exploitation de l’uranium congolais par Areva ne vaut-il pas une telle mansuétude?
Un malheur ne venant jamais seul, cette fois, le «chef» du gouvernement congolais "pleure" en silence la «disparition» de 2 millions de US dollars précieusement mis de côté, dans sa chambre à coucher, au cas où.
Selon mon ami qui sait tout sur tout et tout sur rien à Kinshasa-lez-Immondices, une enquête discrète a été diligentée par Muzito. Selon les premiers éléments récoltés par quelques "Sherlock Holmes" de pacotille de la bien nommée «PIR» (Police d’intervention rapide), les investigations devraient se poursuivre du côté... du Canada. Aucun rapport, dit mon ami, avec les jeux olympiques qui viennent de se dérouler à Vancouver.
Mais alors pourquoi le Canada ? Selon mon ami, ayant appris que son beau frère est devenu Premier ministre, la sœur de «Madame» est descendue à Kinshasa pour participer à la fête et pousser quelques youyous. Pour les investigateurs de la primature, la «belle-sœur» était la seule, en dehors du couple, à accéder aux appartements privés du couple. Relation de cause à effet, elle est donc celle qui, à son départ, a emporté le magot.
Selon mon ami, depuis, inconsolable, le Premier ne peut partager ses états d’âme au risque de susciter la question qui tue : «D’où proviennent les 2 millions de Usd ?»
congoindependant.
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
L’ordonnateur délégué du ministère des Finances aux arrêts!,
L’ordonnateur délégué (OD) du ministère des Finances, M. Nzengu, a été mis aux arrêts la semaine dernière et transféré samedi à la prison centrale de Makala, à Kinshasa. Il est accusé de détournement pour avoir autorisé le décaissement, en 2008, de 11 milliards 800 millions de francs congolais, au lieu de 9 milliards, pour la paie des enseignants. Tandis que le directeur des sports de la RTNC, François Kabulo, arrêté aussi pour détournement, a été libéré sous caution.
médiacongo.
MUZITO planque des millions de dollars chez lui, on ne l'inquiète pas, les ministres volent, les généraux sont devenus des commerçant et remplissent leurs comptes en banque avec les soldes des militaires mais eux des intouchables
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
Encore des accusations gratuites sans preuves et on s'inquiète par après qu'il y ait des députés boxeurs dans les provinciaux...mongo elombe a écrit:
L’ordonnateur délégué du ministère des Finances aux arrêts!,
L’ordonnateur délégué (OD) du ministère des Finances, M. Nzengu, a été mis aux arrêts la semaine dernière et transféré samedi à la prison centrale de Makala, à Kinshasa. Il est accusé de détournement pour avoir autorisé le décaissement, en 2008, de 11 milliards 800 millions de francs congolais, au lieu de 9 milliards, pour la paie des enseignants. Tandis que le directeur des sports de la RTNC, François Kabulo, arrêté aussi pour détournement, a été libéré sous caution.
médiacongo.
MUZITO planque des millions de dollars chez lui, on ne l'inquiète pas, les ministres volent, les généraux sont devenus des commerçant et remplissent leurs comptes en banque avec les soldes des militaires mais eux des intouchables
lino
Re: Le Gouvernement Muzito.
MASANGU grand voleur et vendeurs des biens immobilier de la RDC peut dormir tranquillegrrrrrrrrrtolérance zéro sélective.
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
La menace est tellement réelle qu’elle pèse comme une écharde sur les épaules des gestionnaires des entreprises publiques et régies financières.
Le but visé, dans cette démarche, est de tout faire, pour maximiser les recettes de l’Etat. Dès lors, il n’y aura ni de pitié, ni de tergiversations quant aux sanctions à infliger à ceux qui se seront distingués par un comportement incivique.
Le ton haussé d’en haut, par le Raïs, Joseph Kabila, a été récupéré et fortement intériorisé par Adolphe Muzito, le successeur de Gizenga, au strapontin du gouvernement, à la lisière de la Gombe.
Tel père, tel fils, dit-on. L’actuel Premier Ministre qui, visiblement, s’inscrit dans la lignée des nationalistes, n’entend nullement renâcler.
En des termes variés, il leur a parlé de deux régimes de sanctions pénales et politiques prévues, cette fois-ci, pour discipliner les mandataires impénitents, têtus, incompétents, intrus et autres acolytes malhonnêtes. Décidément, leurs faits et gestes sont sous contrôle.
Il est sorti de ses réserves, le mardi 23 mars dernier. Il était devant les mandataires publics, ceux-là mêmes qui président à la destinée des entreprises d’Etat.
Tous étaient au rendez-vous, à l’Hôtel du gouvernement, pour écouter le successeur de Gizenga Antoine, dans sa détermination à accomplir les tâches de la République. Dans son discours, long de deux pages, sur format A4, Adolphe Muzito n’a pas mâché ses visées.
Atteindre le point d’achèvement, améliorer les conditions sociales des populations en vue de ramener le sourire aux lèvres des congolais d’Est à l’Ouest et du Nord au Sud.
Mettre le cap sur les élections, lesquelles sollicitent un financement colossal, à puiser dans le tréfonds du Trésor Public. Layer l’affront devant les défis qu’imposent les chantiers.
La desserte en eau potable, l’accès facile à l’énergie électrique, la réhabilitation des infrastructures routières, ferroviaires, aériennes, fluviales, lacustres ou maritimes. La création des emplois pour conjurer le chômage et réduire l’insécurité au sein de la jeunesse.
La matérialisation des promesses diverses liées à la requalification, par exemple, des conditions de vie de plusieurs catégories socio-professionnelles (médecins, avocats, professeurs de l’Université, infirmiers, étudiants, artistes, journalistes, sportifs...), passe forcément par une mobilisation accrue des
ressources internes. D’où l’appel fondé du Premier Ministre, en ce sens.
Un appel pressant dans la mesure où les jours sont comptés alors que les urgences sont signalées dans tous les secteurs de la vie nationale. Adolphe Muzito ne l’a-t-il pas dit et répété de vive voix, le mardi dernieraux mandataires publics, tout en les mettant en garde contre toutes velléités irrédentistes, contre toutes sortes de dérives.
Les portes de la prison grandement ouvertes...
L’onde de choc de cette importante sortie publique, à la Primature, a été constitué surtout par ce dernier avertissement, ce sévère rappel à l’ordre à tous les gestionnaires des entreprises transformées, de se conformer à la feuille de route et aux instructions édictées pour la réforme.
Au-delà de tout, même s’il fallait compter sur l’aide extérieure, les congolais devaient, eux, pour leur part, montrer jusqu’où leurs capacités pourraient se limiter, avant d’entonner des chants de sirène sur le toit de la maison, pour un éventuel « S.O.S », en direction du monde étranger.
L’intérêt, pour le gouvernement de la République est tout dans cette quête des fonds, à partir des leviers traditionnels de mobilisation des ressources de l’Etat. L’impôt, la taxe ainsi que les autres redevances dus à l’Etat en font partie.
Il suffit que les mandataires des entreprises publiques et responsables des régies financières comprennent quel sera l’impact de l’apport de chacun, dans cette lutte commune pour sortir le grand Congo de l’auberge, pour que les recettes soient multipliées par deux, trois, quatre ou cinq.
Des études mûries ont démontré que le feu ne brûle si haut que si et seulement si, chaque congolais, en commerçant par ceux qui gèrent, y apporte son morceau de bois. Un tel feu serait assimilable à un miracle, sans qu’il n’étonne outre mesure, en ce temps de crise. En tout cas, l’appel de Muzito est ferme. Et, la mise en garde sévère, voire très sévère.
Les mandataires publics dont la dernière échéance de la déclaration d’impôts expire au 31 mars 2010, c’est-à-dire, dans quelques jours, doivent inévitablement mettre la main à la pâte.
Ceci permettrait de donner un coup de sabot à la main tendue et de croire en l’ingéniosité des congolais, pour résoudre des problèmes, quel que soit le secteur d’activité, la province ou le coin du pays. Ensemble, tout est possible.
La Prospérité
Le but visé, dans cette démarche, est de tout faire, pour maximiser les recettes de l’Etat. Dès lors, il n’y aura ni de pitié, ni de tergiversations quant aux sanctions à infliger à ceux qui se seront distingués par un comportement incivique.
Le ton haussé d’en haut, par le Raïs, Joseph Kabila, a été récupéré et fortement intériorisé par Adolphe Muzito, le successeur de Gizenga, au strapontin du gouvernement, à la lisière de la Gombe.
Tel père, tel fils, dit-on. L’actuel Premier Ministre qui, visiblement, s’inscrit dans la lignée des nationalistes, n’entend nullement renâcler.
En des termes variés, il leur a parlé de deux régimes de sanctions pénales et politiques prévues, cette fois-ci, pour discipliner les mandataires impénitents, têtus, incompétents, intrus et autres acolytes malhonnêtes. Décidément, leurs faits et gestes sont sous contrôle.
Il est sorti de ses réserves, le mardi 23 mars dernier. Il était devant les mandataires publics, ceux-là mêmes qui président à la destinée des entreprises d’Etat.
Tous étaient au rendez-vous, à l’Hôtel du gouvernement, pour écouter le successeur de Gizenga Antoine, dans sa détermination à accomplir les tâches de la République. Dans son discours, long de deux pages, sur format A4, Adolphe Muzito n’a pas mâché ses visées.
Atteindre le point d’achèvement, améliorer les conditions sociales des populations en vue de ramener le sourire aux lèvres des congolais d’Est à l’Ouest et du Nord au Sud.
Mettre le cap sur les élections, lesquelles sollicitent un financement colossal, à puiser dans le tréfonds du Trésor Public. Layer l’affront devant les défis qu’imposent les chantiers.
La desserte en eau potable, l’accès facile à l’énergie électrique, la réhabilitation des infrastructures routières, ferroviaires, aériennes, fluviales, lacustres ou maritimes. La création des emplois pour conjurer le chômage et réduire l’insécurité au sein de la jeunesse.
La matérialisation des promesses diverses liées à la requalification, par exemple, des conditions de vie de plusieurs catégories socio-professionnelles (médecins, avocats, professeurs de l’Université, infirmiers, étudiants, artistes, journalistes, sportifs...), passe forcément par une mobilisation accrue des
ressources internes. D’où l’appel fondé du Premier Ministre, en ce sens.
Un appel pressant dans la mesure où les jours sont comptés alors que les urgences sont signalées dans tous les secteurs de la vie nationale. Adolphe Muzito ne l’a-t-il pas dit et répété de vive voix, le mardi dernieraux mandataires publics, tout en les mettant en garde contre toutes velléités irrédentistes, contre toutes sortes de dérives.
Les portes de la prison grandement ouvertes...
L’onde de choc de cette importante sortie publique, à la Primature, a été constitué surtout par ce dernier avertissement, ce sévère rappel à l’ordre à tous les gestionnaires des entreprises transformées, de se conformer à la feuille de route et aux instructions édictées pour la réforme.
Au-delà de tout, même s’il fallait compter sur l’aide extérieure, les congolais devaient, eux, pour leur part, montrer jusqu’où leurs capacités pourraient se limiter, avant d’entonner des chants de sirène sur le toit de la maison, pour un éventuel « S.O.S », en direction du monde étranger.
L’intérêt, pour le gouvernement de la République est tout dans cette quête des fonds, à partir des leviers traditionnels de mobilisation des ressources de l’Etat. L’impôt, la taxe ainsi que les autres redevances dus à l’Etat en font partie.
Il suffit que les mandataires des entreprises publiques et responsables des régies financières comprennent quel sera l’impact de l’apport de chacun, dans cette lutte commune pour sortir le grand Congo de l’auberge, pour que les recettes soient multipliées par deux, trois, quatre ou cinq.
Des études mûries ont démontré que le feu ne brûle si haut que si et seulement si, chaque congolais, en commerçant par ceux qui gèrent, y apporte son morceau de bois. Un tel feu serait assimilable à un miracle, sans qu’il n’étonne outre mesure, en ce temps de crise. En tout cas, l’appel de Muzito est ferme. Et, la mise en garde sévère, voire très sévère.
Les mandataires publics dont la dernière échéance de la déclaration d’impôts expire au 31 mars 2010, c’est-à-dire, dans quelques jours, doivent inévitablement mettre la main à la pâte.
Ceci permettrait de donner un coup de sabot à la main tendue et de croire en l’ingéniosité des congolais, pour résoudre des problèmes, quel que soit le secteur d’activité, la province ou le coin du pays. Ensemble, tout est possible.
La Prospérité
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
Le Palmarès a écrit:
Voici ce que appelle : "la GESTION PRIVATISÉE de la REPUBLIQUE (ÉTAT), en RDC", et dont se plaint
le docteur ex-ZAÏROIS, naturalisé français et membre du PS français, alias NDONWAZU :
Politique
RDC - Kinshasa, Lundi 29/03/2010
Concertations entre BOSHAB, KENGO et MUZITO en prévision de leur prochaine rencontre avec le CHEFde l’ÉTAT
"Les présidents des deux Chambres du PARLEMENT (ASSEMBLÉE NATIONALE = Chamrbre Basse & SÉNAT = Chambre Haute) et le PREMIER MINISTRE se sont réunis au Palais du Peuple pour préparer leur prochaine rencontre avec le CHEF de l’ÉTAT (Président de la République) dans le cadre de la CONFÉRENCE INTERINSTITUTIONNELLE qui regroupe ces chefs des quatre hautes institutions du pays..."
http://www.digitalcongo.net/article/65688
*CNMM
Re: Le Gouvernement Muzito.
Assemblée nationale: des députés accusent le gouvernement de fragiliser les provinces
avril 22, 2010, sous Actualité, La Une, Nationale, Politique. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0.
Il y a de l’orage dans l’air entre les provinces et le pouvoir central. Le Premier ministre l’a constaté mercredi à l’Assemblée nationale. Convoqué pour répondre à une question orale du député Jean-Lucien Busa, Adolphe Muzito a reçu 400 questions de parlementaires, surtout sur la « déstabilisation des institutions provinciales par le pouvoir central. » Il dispose d’une semaine pour y répondre.
Certains députés ont affirmé que le pouvoir central a joué un rôle néfaste dans la crise institutionnelle en Equateur, dans la démission des gouverneurs du Sud-Kivu et du Maniema, ainsi que dans la démission du bureau de l’assemblée provinciale du Bandundu.
Les préoccupations des députés nationaux sont largement dues à l’attaque, le 4 avril, de la ville de Mbandaka par un mouvement insurrectionnel.
Financer les provinces
Adolphe Muzito devra également s’expliquer, entres autre, sur la situation financière difficile que traversent les provinces
La suite sur radio okapi.
avril 22, 2010, sous Actualité, La Une, Nationale, Politique. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0.
Il y a de l’orage dans l’air entre les provinces et le pouvoir central. Le Premier ministre l’a constaté mercredi à l’Assemblée nationale. Convoqué pour répondre à une question orale du député Jean-Lucien Busa, Adolphe Muzito a reçu 400 questions de parlementaires, surtout sur la « déstabilisation des institutions provinciales par le pouvoir central. » Il dispose d’une semaine pour y répondre.
Certains députés ont affirmé que le pouvoir central a joué un rôle néfaste dans la crise institutionnelle en Equateur, dans la démission des gouverneurs du Sud-Kivu et du Maniema, ainsi que dans la démission du bureau de l’assemblée provinciale du Bandundu.
Les préoccupations des députés nationaux sont largement dues à l’attaque, le 4 avril, de la ville de Mbandaka par un mouvement insurrectionnel.
Financer les provinces
Adolphe Muzito devra également s’expliquer, entres autre, sur la situation financière difficile que traversent les provinces
La suite sur radio okapi.
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
Meme dans l'AMP on le dit maintenant
« De 1990 à 1997, dit-il, nous avons connu une simple démocratie juridique avec des querelles byzantines sur la légitimité des institutions et leurs animateurs ». Une démocratie des textes qui n’avait aucune incidence positive sur le vécu quotidien de la population, estime l’interlocuteur du Phare parce que, ajoute-t-il, « il faut avoir présent à l’esprit que la démocratie vise d’abord l’épanouissement de l’homme et son développement intégral ». Conclusion partielle de Lokondo : « cette période avait amené plus de désordre que l’ordre démocratique et avait abouti à la guerre que l’Afdl avait déclenchée ».
« Démocratie propagandiste »
De l’avis de Lokondo, le Congo de 2001 à ce jour est caractérisée par une « démocratie électorale ». Après les élections semble être comme avant les élections, malgré les discours pertinents d’orientation générale du Chef de l’Etat, analyse le président national de l’Union congolaise pour la liberté, Ucl
« Justice corrompue »
Au chapitre de la justice et du respect des droits de l’homme, l’avenir paraît sombre pour Lokondo : « La justice qui est le socle de la démocratie est de plus en plus une justice à double vitesse ; les violations des droits de l’homme ne sont pas exemplairement sanctionnées car la justice, malgré les discours du Chef de l’Etat sur la sécurité juridique et judiciaire et ses actions d’assainissement de ce secteur, reste une justice corrompue ».
http://www.lephareonline.net/lephare/index.php?option=com_content&view=article&id=1003:senateur-amp-lokondo-na-pas-la-langue-de-bois--lle-bilan-est-globalement-negatifr&catid=45:rokstories&Itemid=112
« De 1990 à 1997, dit-il, nous avons connu une simple démocratie juridique avec des querelles byzantines sur la légitimité des institutions et leurs animateurs ». Une démocratie des textes qui n’avait aucune incidence positive sur le vécu quotidien de la population, estime l’interlocuteur du Phare parce que, ajoute-t-il, « il faut avoir présent à l’esprit que la démocratie vise d’abord l’épanouissement de l’homme et son développement intégral ». Conclusion partielle de Lokondo : « cette période avait amené plus de désordre que l’ordre démocratique et avait abouti à la guerre que l’Afdl avait déclenchée ».
« Démocratie propagandiste »
De l’avis de Lokondo, le Congo de 2001 à ce jour est caractérisée par une « démocratie électorale ». Après les élections semble être comme avant les élections, malgré les discours pertinents d’orientation générale du Chef de l’Etat, analyse le président national de l’Union congolaise pour la liberté, Ucl
« Justice corrompue »
Au chapitre de la justice et du respect des droits de l’homme, l’avenir paraît sombre pour Lokondo : « La justice qui est le socle de la démocratie est de plus en plus une justice à double vitesse ; les violations des droits de l’homme ne sont pas exemplairement sanctionnées car la justice, malgré les discours du Chef de l’Etat sur la sécurité juridique et judiciaire et ses actions d’assainissement de ce secteur, reste une justice corrompue ».
http://www.lephareonline.net/lephare/index.php?option=com_content&view=article&id=1003:senateur-amp-lokondo-na-pas-la-langue-de-bois--lle-bilan-est-globalement-negatifr&catid=45:rokstories&Itemid=112
Dernière édition par Admin le 26/4/2010, 1:45 pm, édité 1 fois
Admin- Admin
Re: Le Gouvernement Muzito.
Des actes, ça fait longtemps qu'ils dénoncent c'est déjà courageux de la part des uns et des autres, ekomi temps ya kodéboucher matoï mpe kofungola miso
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
Dans Africatime.com, on y lit que pour la pléniaire, L'AMP aura mobilisé plus
de 4.000 partisans de la majorité vont accueillir chaleureusement le
Chef du Gouvernement au siège du Parlement. Des calicots, T-shirts ont
été apprêtés à cet effet, avec un seul mot d’ordre comme message fort :
‘‘l’AMP unie autour du Premier Ministre Adolphe Muzito Fumunsi’’.
Les séances des questions au premier ministre deviennent des "rassemblement populaire".
As t-on le droit d'inviter tout ce beau monde pour une séance de question-reponse entre le Premier ministre et les députés. Ces pratiques pré-électoralistes et populistes dignes d'une république bannanière nous ramène des siècles en arrière ...
Que doit - on penser de ce "parlement" qui organise les "meeting électoral" en pleine séance de questions réponses???
Des T-Shirts, des caligots et des "applaudisseurs corrompus" manipulés et irresponsables ?
‘l’AMP unie autour du Premier Ministre Adolphe Muzito Fumunsi’’.
Je me demande que doit - on mettre à l'actif de ce gouvernement qui a échoué dans tous le plans :
La retrocession ...
La Paix
Extradition de NKUNDA, de BOSCO, MUTEBUSI etc....
Pauvreté
Echec des 5 chantiers
etc ....
Mawa trop.....
de 4.000 partisans de la majorité vont accueillir chaleureusement le
Chef du Gouvernement au siège du Parlement. Des calicots, T-shirts ont
été apprêtés à cet effet, avec un seul mot d’ordre comme message fort :
‘‘l’AMP unie autour du Premier Ministre Adolphe Muzito Fumunsi’’.
Les séances des questions au premier ministre deviennent des "rassemblement populaire".
As t-on le droit d'inviter tout ce beau monde pour une séance de question-reponse entre le Premier ministre et les députés. Ces pratiques pré-électoralistes et populistes dignes d'une république bannanière nous ramène des siècles en arrière ...
Que doit - on penser de ce "parlement" qui organise les "meeting électoral" en pleine séance de questions réponses???
Des T-Shirts, des caligots et des "applaudisseurs corrompus" manipulés et irresponsables ?
‘l’AMP unie autour du Premier Ministre Adolphe Muzito Fumunsi’’.
Je me demande que doit - on mettre à l'actif de ce gouvernement qui a échoué dans tous le plans :
La retrocession ...
La Paix
Extradition de NKUNDA, de BOSCO, MUTEBUSI etc....
Pauvreté
Echec des 5 chantiers
etc ....
Mawa trop.....
djino
Re: Le Gouvernement Muzito.
Ils sont au parlement où dans un une manifestation pro MUZITO où pro AMP???????nalobaka na bino nini?????? pour un tshirt, mwa dollars liputa, ils sont prêts à faire n'importe quoi, construire sur du sable à la place du beton. Mawa plein.
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
Adolphe Muzito: «La situation économique et sécuritaire de la RDC s’est améliorée»
publié il y a 7 minutes, sous Actualité, Kinshasa, La Une, Politique. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0.
Le chef du gouvernement a répondu mercredi aux préoccupations soulevées, la semaine dernière, par les députés nationaux lors de la question orale avec débat, initiée par le député Jean Lucien Bussa. Adolphe Muzito estime que la situation sécuritaire, économique et financière économique du pays s’est beaucoup améliorée. L’initiateur de la question orale récuse les allégations du chef du gouvernement.
Tout en reconnaissant les poches d’insécurité qu’il qualifie de résiduelles, Adolphe Muzito a déclaré que la situation sécuritaire du pays était globalement bonne. Il a aussi indiqué que l’amélioration des relations avec les pays voisins a joué un rôle déterminant pour que la paix revienne au pays.
Par contre, le Premier ministre a évoqué la situation précaire des agents de l’Etat, tout en insistant sur l’uniformisation des zones salariale:
«Notre pays n’est plus aujourd’hui en situation de guerre menaçant sa souveraineté. Néanmoins, il demeure un Etat post conflit et fragile. Aussi connaît-il quelques poches d’insécurité sur lesquelles les honorables députés attirent souvent et avec raison l’attention du gouvernement. Aussi, dans ma réponse à la question orale, ai-je moi-même relevé toutes ces zones d’insécurité
publié il y a 7 minutes, sous Actualité, Kinshasa, La Une, Politique. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0.
Le chef du gouvernement a répondu mercredi aux préoccupations soulevées, la semaine dernière, par les députés nationaux lors de la question orale avec débat, initiée par le député Jean Lucien Bussa. Adolphe Muzito estime que la situation sécuritaire, économique et financière économique du pays s’est beaucoup améliorée. L’initiateur de la question orale récuse les allégations du chef du gouvernement.
Tout en reconnaissant les poches d’insécurité qu’il qualifie de résiduelles, Adolphe Muzito a déclaré que la situation sécuritaire du pays était globalement bonne. Il a aussi indiqué que l’amélioration des relations avec les pays voisins a joué un rôle déterminant pour que la paix revienne au pays.
Par contre, le Premier ministre a évoqué la situation précaire des agents de l’Etat, tout en insistant sur l’uniformisation des zones salariale:
«Notre pays n’est plus aujourd’hui en situation de guerre menaçant sa souveraineté. Néanmoins, il demeure un Etat post conflit et fragile. Aussi connaît-il quelques poches d’insécurité sur lesquelles les honorables députés attirent souvent et avec raison l’attention du gouvernement. Aussi, dans ma réponse à la question orale, ai-je moi-même relevé toutes ces zones d’insécurité
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
.( je n'arrive pas à copier en entier)
Le gouvernement a échoué
Dans sa réplique aux réponses du chef de gouvernement, Jean Lucien Bussa, initiateur de la question orale, estime que le gouvernement a échoué sur tous les plans:
« Que l’état des lieux que vous dressiez lors de la présentation de votre programme en 2008, procédait par la maîtrise par votre gouvernement des causes profondes de la déliquescence de l’Etat. La réalité de terrain qui transparaît du vécu quotidien du Congolais prouve à suffisance que ce qui est de significatif, c’est l’échec.»
Il a ajouté que les membres du gouvernement s’enrichissaient sans cause avec à la tête Adolphe Muzito.
Moralité: Jean Lucien Busa promet de déposer une motion de méfiance vis-à-vis du gouvernement. Mais la majorité n’a pas encore dit son dernier mot.
Copyright Radio Okapi .
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BUSA dit ce qu'il pense, beaucoup en ce moment le disent, il n'y a que ceux qui sont à la mangeoire qui trouvent tout normal.
Le gouvernement a échoué
Dans sa réplique aux réponses du chef de gouvernement, Jean Lucien Bussa, initiateur de la question orale, estime que le gouvernement a échoué sur tous les plans:
« Que l’état des lieux que vous dressiez lors de la présentation de votre programme en 2008, procédait par la maîtrise par votre gouvernement des causes profondes de la déliquescence de l’Etat. La réalité de terrain qui transparaît du vécu quotidien du Congolais prouve à suffisance que ce qui est de significatif, c’est l’échec.»
Il a ajouté que les membres du gouvernement s’enrichissaient sans cause avec à la tête Adolphe Muzito.
Moralité: Jean Lucien Busa promet de déposer une motion de méfiance vis-à-vis du gouvernement. Mais la majorité n’a pas encore dit son dernier mot.
Copyright Radio Okapi .
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BUSA dit ce qu'il pense, beaucoup en ce moment le disent, il n'y a que ceux qui sont à la mangeoire qui trouvent tout normal.
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
Est ce que MUZITO est normal ata zèle yango?????????? mawa plein.
mongo elombe
Re: Le Gouvernement Muzito.
Censurer le gouvernement, est devenu une pernicieuse constance pour l’opposition politique de la Rdc. Tout est parti de Antoine Gizenga que cette opposition accusait d’immobilisme. Dans la majorité, on a même, de bonne foi, estimé que cette opposition pouvait avoir raison. L’argument à l’époque était que le Premier ministre n’activait pas assez le programme des cinq chantiers de la République. La majorité avait pris peur que les promesses électorales ne soient pas remplies et que la réélection de Joseph Kabila pose problème.
Antoine Gizenga parti, cette opposition n’a pas baissé les bras. Négativiste, elle ne reconnaît rien de positif dans l’action du gouvernement. Ainsi donc les performances économiques qui font que le gouvernement, pour la première fois de l’histoire de ce pays, est en voie de réussir le point d’achèvement de l’initiative Ppte, ne sont pas prises en compte par cette opposition. Cette action de l’Exécutif, faut-il le rappeler, apporte comme retombées l’annulation de lourde la dette du pays. Ce sont-là des faits concrets. Car, on ne peut pas obtenir ces résultats sans bonne gouvernance.
Malheureusement, l’opposition va chercher ailleurs les preuves de la bonne gouvernance. Elle tente d’amener la majorité dans la distraction au moment où elle devrait être fière de ce travail que son gouvernement abat dans les domaines essentiels de la vie nationale. On tente aujourd’hui de fixer l’attention sur des ragots. On n’a pas oublié que le Mlc a basé sa campagne électorale sur des contrevérités.
On constate que mentir, c’est son idéologie politique. Mentir pour désabuser l’opinion. C’est l’objectif poursuivi par l’opposition qui, depuis des mois, cherchait à avoir la tête du Premier ministre. Evidemment la démarche ne vise pas à encourager le chef de l’exécutif ni à le féliciter pour des résultats économiques vérifiables, mais plutôt pour le jeter en pâture et à travers lui, discréditer toute la majorité. Puisque personne n’est assez intelligent pour mentir sans se discréditer, l’opposition se contredit d’ailleurs à tout bout de champ.
Contradictions de l’opposition
Pour revenir sur le chaud débat de mercredi dernier au Palais du peuple, l’opposition a tenu à faire remarquer que le Premier ministre était court-circuité par un certain gouvernement parallèle. Elle a même prétendu que le Chef de l’Etat, par son cabinet, aurait confisqué au Premier ministre la gestion financière. La même opposition, par Jean Lucien Busa, a prétendu que le Premier ministre, en deux ans de pouvoir, se serait servi au point d’amasser beaucoup de biens. Comment quelqu’un qui est sous surveillance peut-il impunément amasser une fortune qu’on lui reprocherait ?
Jean Lucien Busa a cité des biens qui appartiendraient au Premier ministre. Il a sur le coup conclu qu’il s’agissait des biens détournés. Cette façon de prendre le raccourci n’honore pas la classe politique congolaise. Tout est présenté comme si le fait d’être Premier ministre est une voie ouverte pour se servir dans la caisse de l’Etat comme on veut et quand on veut. C’est ici que le député Jean Lucien Busa devra démontrer, mieux : établir le détournement et le vol.
Il existe dans la gestion des finances de l’Etat, une chaîne des dépenses. Il faudra démontrer comment le Premier ministre a utilisé cette chaîne pour se servir. On connaît le cadre de référence du Mlc et de Jean Lucien Busa. Ils ont évolué dans un système politique où le Chef de l’Etat, voire les ministres, pouvaient demander à ce que les recettes de la Gécamines soient versées dans un compte autre que celui du trésor public. Ils vivent dans ce cadre de référence en estimant que les autres font de même. Ils ont des finances de l’Etat l’image d’un bien sans maître dont n’importe qui, il suffit d’avoir le pouvoir, pouvait s’emparer.
Jugement selon leur cadre de référence
En outre, les mobutistes du Mlc savent comment leur guide est tombé, vilipendé par tous d’avoir pillé l’Etat. Maintenant que Jean Lucien Busa et ses amis sont dans l’opposition, ils pensent qu’ils peuvent manger le pouvoir de Joseph Kabila avec la même sauce à laquelle on avait mangé Mobutu. Ils ignorent que les choses ont beaucoup évolué dans ce pays. Il faut commencer par la notion de l’Etat de qui dépend celle du bien public. L’ancien Chef de l’Etat considérait le Congo comme sa propriété. Par conséquent les biens de l’Etat étaient ses biens propres.
Aujourd’hui, la notion de l’Etat a changé avec la présence d’une opposition libre. Hier, il était impossible, avant le 24 avril 1990 que quelqu’un tienne un discours du genre de celui de Busa, quelle que soit l’institution à laquelle il appartiendrait. Sa place serait au cimetière, s’il a beaucoup de chance, sinon en prison. Tout ceci change la notion de l’Etat et du bien public. Pour comprendre cela, Jean Lucien Busa et les siens doivent se guérir d’abord de leurs propres penchants peu recommandables.
Le contrôle parlementaire a pris un grand coup avec la honteuse prestation de Jean Lucien Busa. Tous les députés, pour le bien de leur institution, doivent décourager cette tendance à transformer la tribune de l’Assemblée nationale en un lieu de règlement des comptes sur base d’accusations mensongères. Il y a une véritable dérive. Hier c’était Emery Okundji, aujourd’hui c’est Jean Lucien Busa. Il faut craindre que cela devienne une tradition, une coutume. Que restera-t-il encore du contrôle parlementaire ? On peut pousser la réflexion pour savoir ce qui restera de la fonction du parlement et du parlementaire.
Une opposition négativiste
Après ce qui est arrivé, l’heure est à la réflexion si on ne veut pas voir l’Assemblée nationale s’enliser. Revenons sur cette volonté de l’opposition de faire tomber par tous les moyens le gouvernement de la majorité. L’opposition ne reconnaît pas les actions de ce gouvernement, actions que pourtant le monde entier salue. C’est le cas de l’environnement sécuritaire créé par la normalisation des relations diplomatiques de la RDC avec les pays voisins qui lui ont fait la guerre il y a quelques mois.
Pour en arriver là, il a fallu beaucoup de courage politique, lorsqu’on sait que dans une large opinion nationale, il s’agissait d’une décision impopulaire. Le gouvernement, le Chef de l’Etat en tête, n’a pas reculé. Cette opposition est la seule à dire que rien n’est fait dans le cadre de la sécurisation des frontières nationales. Va-t-il changer d’avis si on changeait le gouvernement ? Rien du tout.
On a en place une opposition qui travaille sur base de rancunes politiques et dont la mauvaise foi ne peut tromper que les naïfs. C’est pour dire que l’opposition n’est pas à la recherche d’un gouvernement idéal pour la majorité. Les motions de censure répétées peuvent être comprises comme une façon d’embêter la majorité. Mais c’est plus que cela.
Quiconque suit la classe politique congolaise et pénètre les milieux du Mlc, sait que le Premier ministre serait issu d’un autre parti politique de la majorité, que le Mlc serait moins virulent contre lui. Le Palu, estime le Mlc, c’est le parti par lequel est arrivé son malheur. Tout ce qui peut brouiller le Palu et Joseph Kabila est un argument politique pour le Mlc. Pas étonnant que ce soit le Mlc qui, non seulement ne reconnaît aucune action du gouvernement, mais aussi multiplie les tentatives des motions de censure dont le but est de jeter le froid entre le Palu et ses alliés de l’Amp.
Koyagialo dit non à la motion de censure
Plus on s’approche de la fin de la législature, plus l’alliance Palu-Amp préoccupe le Mlc qui devrait pourtant se préoccuper des querelles internes. Après l’euphorie, parce que tout ce qui est exagéré est insignifiant, la démarche de Jean Lucien Busa se découvre couverte de ridicule. On se demande s’il peut se regarder dans le miroir sans avoir honte de lui. Qu’à cela ne tienne, le Premier ministre a répondu aux nombreuses questions des députés.
C’était l’essentiel. Car, ceux qui sont venus au débat de bonne foi ont été servis. Ils ont palpé les efforts du gouvernement dans le domaine économique et dans le secteur de la sécurité. Jean Lucien Busa a, pour sa part, conclu par une motion de censure sans démontrer réellement en quoi le Premier ministre n’avait pas répondu aux préoccupations lui présentées. A propos de cette motion de censure, il y a à noter qu’il s’agit d’une énième motion de censure du même Mlc après les tentatives avortées de Clément Kanku et de Lisanga Bonganga qui ne jurent que sur la chute de Muzito par tous les moyens. La réponse de Louis Koyagyalo n’a pas attendu de remettre les choses à leur place.
Interrogé par la radio Rtga autour de la fameuse motion de censure que les députés de l’opposition ont brandie contre le Premier ministre Adolphe Muzito, après ses répliques à la question orale avec débat qui lui a été adressée, M. Louis Koyagialo, Secrétaire exécutif de l’Alliance de la majorité présidentielle (AMP), qui a bien compris la manœuvre du Mlc, déclarera haut et fort qu’il n’est pas question pour la majorité de s’inscrire sur les initiatives de l’opposition. Car, la majorité est bien placée pour juger les actions de son gouvernement. Louis Koyagialo a cependant regretté le peu de contacts entretenus avec les membres du gouvernement, ce qui ne permet pas mieux connaître les difficultés des uns et des autres.
Joachim Diana G./L’Avenir
Heureusement que le ridicule ne tue pas pris sur digital propagande.
Antoine Gizenga parti, cette opposition n’a pas baissé les bras. Négativiste, elle ne reconnaît rien de positif dans l’action du gouvernement. Ainsi donc les performances économiques qui font que le gouvernement, pour la première fois de l’histoire de ce pays, est en voie de réussir le point d’achèvement de l’initiative Ppte, ne sont pas prises en compte par cette opposition. Cette action de l’Exécutif, faut-il le rappeler, apporte comme retombées l’annulation de lourde la dette du pays. Ce sont-là des faits concrets. Car, on ne peut pas obtenir ces résultats sans bonne gouvernance.
Malheureusement, l’opposition va chercher ailleurs les preuves de la bonne gouvernance. Elle tente d’amener la majorité dans la distraction au moment où elle devrait être fière de ce travail que son gouvernement abat dans les domaines essentiels de la vie nationale. On tente aujourd’hui de fixer l’attention sur des ragots. On n’a pas oublié que le Mlc a basé sa campagne électorale sur des contrevérités.
On constate que mentir, c’est son idéologie politique. Mentir pour désabuser l’opinion. C’est l’objectif poursuivi par l’opposition qui, depuis des mois, cherchait à avoir la tête du Premier ministre. Evidemment la démarche ne vise pas à encourager le chef de l’exécutif ni à le féliciter pour des résultats économiques vérifiables, mais plutôt pour le jeter en pâture et à travers lui, discréditer toute la majorité. Puisque personne n’est assez intelligent pour mentir sans se discréditer, l’opposition se contredit d’ailleurs à tout bout de champ.
Contradictions de l’opposition
Pour revenir sur le chaud débat de mercredi dernier au Palais du peuple, l’opposition a tenu à faire remarquer que le Premier ministre était court-circuité par un certain gouvernement parallèle. Elle a même prétendu que le Chef de l’Etat, par son cabinet, aurait confisqué au Premier ministre la gestion financière. La même opposition, par Jean Lucien Busa, a prétendu que le Premier ministre, en deux ans de pouvoir, se serait servi au point d’amasser beaucoup de biens. Comment quelqu’un qui est sous surveillance peut-il impunément amasser une fortune qu’on lui reprocherait ?
Jean Lucien Busa a cité des biens qui appartiendraient au Premier ministre. Il a sur le coup conclu qu’il s’agissait des biens détournés. Cette façon de prendre le raccourci n’honore pas la classe politique congolaise. Tout est présenté comme si le fait d’être Premier ministre est une voie ouverte pour se servir dans la caisse de l’Etat comme on veut et quand on veut. C’est ici que le député Jean Lucien Busa devra démontrer, mieux : établir le détournement et le vol.
Il existe dans la gestion des finances de l’Etat, une chaîne des dépenses. Il faudra démontrer comment le Premier ministre a utilisé cette chaîne pour se servir. On connaît le cadre de référence du Mlc et de Jean Lucien Busa. Ils ont évolué dans un système politique où le Chef de l’Etat, voire les ministres, pouvaient demander à ce que les recettes de la Gécamines soient versées dans un compte autre que celui du trésor public. Ils vivent dans ce cadre de référence en estimant que les autres font de même. Ils ont des finances de l’Etat l’image d’un bien sans maître dont n’importe qui, il suffit d’avoir le pouvoir, pouvait s’emparer.
Jugement selon leur cadre de référence
En outre, les mobutistes du Mlc savent comment leur guide est tombé, vilipendé par tous d’avoir pillé l’Etat. Maintenant que Jean Lucien Busa et ses amis sont dans l’opposition, ils pensent qu’ils peuvent manger le pouvoir de Joseph Kabila avec la même sauce à laquelle on avait mangé Mobutu. Ils ignorent que les choses ont beaucoup évolué dans ce pays. Il faut commencer par la notion de l’Etat de qui dépend celle du bien public. L’ancien Chef de l’Etat considérait le Congo comme sa propriété. Par conséquent les biens de l’Etat étaient ses biens propres.
Aujourd’hui, la notion de l’Etat a changé avec la présence d’une opposition libre. Hier, il était impossible, avant le 24 avril 1990 que quelqu’un tienne un discours du genre de celui de Busa, quelle que soit l’institution à laquelle il appartiendrait. Sa place serait au cimetière, s’il a beaucoup de chance, sinon en prison. Tout ceci change la notion de l’Etat et du bien public. Pour comprendre cela, Jean Lucien Busa et les siens doivent se guérir d’abord de leurs propres penchants peu recommandables.
Le contrôle parlementaire a pris un grand coup avec la honteuse prestation de Jean Lucien Busa. Tous les députés, pour le bien de leur institution, doivent décourager cette tendance à transformer la tribune de l’Assemblée nationale en un lieu de règlement des comptes sur base d’accusations mensongères. Il y a une véritable dérive. Hier c’était Emery Okundji, aujourd’hui c’est Jean Lucien Busa. Il faut craindre que cela devienne une tradition, une coutume. Que restera-t-il encore du contrôle parlementaire ? On peut pousser la réflexion pour savoir ce qui restera de la fonction du parlement et du parlementaire.
Une opposition négativiste
Après ce qui est arrivé, l’heure est à la réflexion si on ne veut pas voir l’Assemblée nationale s’enliser. Revenons sur cette volonté de l’opposition de faire tomber par tous les moyens le gouvernement de la majorité. L’opposition ne reconnaît pas les actions de ce gouvernement, actions que pourtant le monde entier salue. C’est le cas de l’environnement sécuritaire créé par la normalisation des relations diplomatiques de la RDC avec les pays voisins qui lui ont fait la guerre il y a quelques mois.
Pour en arriver là, il a fallu beaucoup de courage politique, lorsqu’on sait que dans une large opinion nationale, il s’agissait d’une décision impopulaire. Le gouvernement, le Chef de l’Etat en tête, n’a pas reculé. Cette opposition est la seule à dire que rien n’est fait dans le cadre de la sécurisation des frontières nationales. Va-t-il changer d’avis si on changeait le gouvernement ? Rien du tout.
On a en place une opposition qui travaille sur base de rancunes politiques et dont la mauvaise foi ne peut tromper que les naïfs. C’est pour dire que l’opposition n’est pas à la recherche d’un gouvernement idéal pour la majorité. Les motions de censure répétées peuvent être comprises comme une façon d’embêter la majorité. Mais c’est plus que cela.
Quiconque suit la classe politique congolaise et pénètre les milieux du Mlc, sait que le Premier ministre serait issu d’un autre parti politique de la majorité, que le Mlc serait moins virulent contre lui. Le Palu, estime le Mlc, c’est le parti par lequel est arrivé son malheur. Tout ce qui peut brouiller le Palu et Joseph Kabila est un argument politique pour le Mlc. Pas étonnant que ce soit le Mlc qui, non seulement ne reconnaît aucune action du gouvernement, mais aussi multiplie les tentatives des motions de censure dont le but est de jeter le froid entre le Palu et ses alliés de l’Amp.
Koyagialo dit non à la motion de censure
Plus on s’approche de la fin de la législature, plus l’alliance Palu-Amp préoccupe le Mlc qui devrait pourtant se préoccuper des querelles internes. Après l’euphorie, parce que tout ce qui est exagéré est insignifiant, la démarche de Jean Lucien Busa se découvre couverte de ridicule. On se demande s’il peut se regarder dans le miroir sans avoir honte de lui. Qu’à cela ne tienne, le Premier ministre a répondu aux nombreuses questions des députés.
C’était l’essentiel. Car, ceux qui sont venus au débat de bonne foi ont été servis. Ils ont palpé les efforts du gouvernement dans le domaine économique et dans le secteur de la sécurité. Jean Lucien Busa a, pour sa part, conclu par une motion de censure sans démontrer réellement en quoi le Premier ministre n’avait pas répondu aux préoccupations lui présentées. A propos de cette motion de censure, il y a à noter qu’il s’agit d’une énième motion de censure du même Mlc après les tentatives avortées de Clément Kanku et de Lisanga Bonganga qui ne jurent que sur la chute de Muzito par tous les moyens. La réponse de Louis Koyagyalo n’a pas attendu de remettre les choses à leur place.
Interrogé par la radio Rtga autour de la fameuse motion de censure que les députés de l’opposition ont brandie contre le Premier ministre Adolphe Muzito, après ses répliques à la question orale avec débat qui lui a été adressée, M. Louis Koyagialo, Secrétaire exécutif de l’Alliance de la majorité présidentielle (AMP), qui a bien compris la manœuvre du Mlc, déclarera haut et fort qu’il n’est pas question pour la majorité de s’inscrire sur les initiatives de l’opposition. Car, la majorité est bien placée pour juger les actions de son gouvernement. Louis Koyagialo a cependant regretté le peu de contacts entretenus avec les membres du gouvernement, ce qui ne permet pas mieux connaître les difficultés des uns et des autres.
Joachim Diana G./L’Avenir
Heureusement que le ridicule ne tue pas pris sur digital propagande.
mongo elombe
TO BOYI LOKUTA, HYPOCRISIE, INTOX, MÉDIOCRITÉ INTELLECTUELLE, MALHONNÊTETÉ INTELLECTUELLE, AFFABULATIONS, DIFFAMATIONS, CALOMNIES, JALOUSIE, MOTEMA LIKUNDU,
La reine du COPIER-COLLER Élodie MOBUTU alias Mongo Élombé a écrit:
Censurer le Gouvernement, est devenu une pernicieuse constance pour l’Opposition politique de la RDC.
Tout est parti de Antoine GIZENGA que cette opposition accusait d’immobilisme.
Dans la Majorité, on a même, de bonne foi, estimé que cette opposition pouvait avoir raison.
L’argument à l’époque était que le Premier Ministre n’activait pas assez le programme des cinq chantiers de la République.
La majorité avait pris peur que les promesses électorales ne soient pas remplies et que la réélection de Joseph KABILA pose problème.
Antoine GIZENGA parti, cette opposition n’a pas baissé les bras.
Négativiste, elle ne reconnaît rien de positif dans l’action du Gouvernement.
Ainsi donc les performances économiques qui font que le Gouvernement, pour la première fois de l’histoire de ce pays, est en voie de réussir le point d’achèvement de l’initiative PPTE, ne sont pas prises en compte par cette Opposition.
Cette action de l’Exécutif, faut-il le rappeler, apporte comme retombées l’annulation de lourde la dette du pays.
Ce sont-là des faits concrets.
Car, on ne peut pas obtenir ces résultats sans bonne Gouvernance.
Malheureusement, l’opposition va chercher ailleurs les preuves de la bonne gouvernance.
Elle tente d’amener la Majorité dans la distraction au moment où elle devrait être fière de ce travail que son Gouvernement abat dans les domaines essentiels de la vie nationale.
On tente aujourd’hui de fixer l’attention sur des ragots.
On n’a pas oublié que le MLC/Jean-Pierre BEMBA GOMBO a basé sa campagne électorale sur des contrevérités.
On constate que mentir, c’est son idéologie politique.
Mentir pour désabuser l’opinion.
C’est l’objectif poursuivi par l’opposition qui, depuis des mois, cherchait à avoir la tête du Premier Ministre.
Evidemment la démarche ne vise pas à encourager le chef de l’exécutif ni à le féliciter pour des résultats économiques vérifiables, mais plutôt pour le jeter en pâture et à travers lui, discréditer toute la majorité.
Puisque personne n’est assez intelligent pour mentir sans se discréditer, l’opposition se contredit d’ailleurs à tout bout de champ.
Contradictions de l’Opposition
Pour revenir sur le chaud débat de mercredi dernier au Palais du peuple, l’opposition a tenu à faire remarquer que le Premier ministre était court-circuité par un certain gouvernement parallèle.
Elle a même prétendu que le Chef de l’Etat, par son cabinet, aurait confisqué au Premier Ministre la gestion financière.
La même opposition, par Jean Lucien BUSA, a prétendu que le Premier Ministre, en deux ans de pouvoir, se serait servi au point d’amasser beaucoup de biens.
Comment quelqu’un qui est sous surveillance peut-il impunément amasser une fortune qu’on lui reprocherait ?
Jean Lucien BUSA a cité des biens qui appartiendraient au Premier Ministre.
Il a sur le coup conclu qu’il s’agissait des biens détournés.
Cette façon de prendre le raccourci n’honore pas la classe politique Congolaise.
Tout est présenté comme si le fait d’être Premier Ministre est une voie ouverte pour se servir dans la caisse de l’Etat comme on veut et quand on veut.
C’est ici que le Député Jean Lucien BUSA devra démontrer, mieux :
établir le détournement et le vol.
Il existe dans la gestion des finances de l’Etat, une chaîne des dépenses.
Il faudra démontrer comment le Premier ministre a utilisé cette chaîne pour se servir.
On connaît le cadre de référence du MLC et de Jean Lucien BUSA.
Ils ont évolué dans un système politique où le Chef de l’Etat, voire les ministres, pouvaient demander à ce que les recettes de la Gécamines soient versées dans un compte autre que celui du trésor public.
Ils vivent dans ce cadre de référence en estimant que les autres font de même.
Ils ont des finances de l’Etat l’image d’un bien sans maître dont n’importe qui, il suffit d’avoir le pouvoir, pouvait s’emparer.
Jugement selon leur cadre de référence
En outre, les mobutistes du MLC savent comment leur guide est tombé, vilipendé par tous d’avoir pillé l’Etat.
Maintenant que Jean Lucien BUSA et ses amis sont dans l’opposition, ils pensent qu’ils peuvent manger le pouvoir de Joseph KABILA avec la même sauce à laquelle on avait mangé MOBUTU.
Ils ignorent que les choses ont beaucoup évolué dans ce pays.
Il faut commencer par la notion de l’Etat de qui dépend celle du bien public.
L’ancien Chef de l’Etat considérait le Congo comme sa propriété.
Par conséquent les biens de l’Etat étaient ses biens propres.
Aujourd’hui, la notion de l’Etat a changé avec la présence d’une opposition libre.
Hier, il était impossible, avant le 24 avril 1990 que quelqu’un tienne un discours du genre de celui de BUSA, quelle que soit l’institution à laquelle il appartiendrait.
Sa place serait au cimetière, s’il a beaucoup de chance, sinon en prison.
Tout ceci change la notion de l’Etat et du bien public.
Pour comprendre cela, Jean Lucien BUSA et les siens doivent se guérir d’abord de leurs propres penchants peu recommandables.
Le contrôle parlementaire a pris un grand coup avec la honteuse prestation de Jean Lucien BUSA.
Tous les députés, pour le bien de leur institution, doivent décourager cette tendance à transformer la tribune de l’Assemblée Nationale en un lieu de règlement des comptes sur base d’accusations mensongères.
Il y a une véritable dérive.
Hier c’était Emery OKUNDJI, aujourd’hui c’est Jean Lucien BUSA.
Il faut craindre que cela devienne une tradition, une coutume.
:?:Que restera-t-il encore du contrôle parlementaire ?
On peut pousser la réflexion pour savoir ce qui restera de la fonction du parlement et du parlementaire.
Une opposition négativiste
Après ce qui est arrivé, l’heure est à la réflexion si on ne veut pas voir l’Assemblée nationale s’enliser.
Revenons sur cette volonté de l’opposition de faire tomber par tous les moyens le gouvernement de la majorité.
L’opposition ne reconnaît pas les actions de ce gouvernement, actions que pourtant le monde entier salue.
C’est le cas de l’environnement sécuritaire créé par la normalisation des relations diplomatiques de la RDC avec les pays voisins qui lui ont fait la guerre il y a quelques mois.
Pour en arriver là, il a fallu beaucoup de courage politique, lorsqu’on sait que dans une large opinion nationale, il s’agissait d’une décision impopulaire.
Le gouvernement, le Chef de l’Etat en tête, n’a pas reculé.
Cette opposition est la seule à dire que rien n’est fait dans le cadre de la sécurisation des frontières nationales.
Va-t-il changer d’avis si on changeait le Gouvernement ?
Rien du tout.
On a en place une opposition qui travaille sur base de rancunes politiques et dont la mauvaise foi ne peut tromper que les naïfs.
C’est pour dire que l’opposition n’est pas à la recherche d’un Gouvernement idéal pour la Majorité.
Les motions de censure répétées peuvent être comprises comme une façon d’embêter la Majorité.
Mais c’est plus que cela.
Quiconque suit la classe politique Congolaise et pénètre les milieux du MLC, sait que le Premier Ministre serait issu d’un autre parti politique de la Majorité, que le MLC serait moins virulent contre lui.
Le PaLU, estime le MLC, c’est le parti par lequel est arrivé son malheur.
Tout ce qui peut brouiller le PaLU et Joseph KABILA est un argument politique pour le MLC.
Pas étonnant que ce soit le MLC qui, non seulement ne reconnaît aucune action du gouvernement, mais aussi multiplie les tentatives des motions de censure dont le but est de jeter le froid entre le Palu et ses alliés de l’AMP.
KOYOGIALO dit non à la motion de censure
Plus on s’approche de la fin de la législature, plus l’alliance PaLU-AMP préoccupe le MLC qui devrait pourtant se préoccuper des querelles internes.
Après l’euphorie, parce que tout ce qui est exagéré est insignifiant, la démarche de Jean Lucien BUSA se découvre couverte de ridicule.
On se demande s’il peut se regarder dans le miroir sans avoir honte de lui.
Qu’à cela ne tienne, le Premier ministre a répondu aux nombreuses questions des Députés.
C’était l’essentiel.
Car, ceux qui sont venus au débat de bonne foi ont été servis.
Ils ont palpé les efforts du gouvernement dans le domaine économique et dans le secteur de la sécurité.
Jean Lucien BUSA a, pour sa part, conclu par une motion de censure sans démontrer réellement en quoi le Premier Ministre n’avait pas répondu aux préoccupations lui présentées.
A propos de cette motion de censure, il y a à noter qu’il s’agit d’une énième motion de censure du même MLC après les tentatives avortées de Clément KANKU et de LISANGA BONGANGA qui ne jurent que sur la chute de MUZITO par tous les moyens.
La réponse de Louis KOYAGYALO n’a pas attendu de remettre les choses à leur place.
Interrogé par la radio RTGA autour de la fameuse motion de censure que les Députés de l’Opposition ont brandie contre le Premier ministre Adolphe MUZITO, après ses répliques à la question orale avec débat qui lui a été adressée, M. Louis KOYAGYALO, Secrétaire Exécutif de l’Alliance de la Majorité Présidentielle (AMP), qui a bien compris la manœuvre du MLC, déclarera haut et fort qu’il n’est pas question pour la majorité de s’inscrire sur les initiatives de l’Opposition.
Car, la majorité est bien placée pour juger les actions de son Gouvernement.
Louis KOYAGYALO a cependant regretté le peu de contacts entretenus avec les membres du Gouvernement, ce qui ne permet pas mieux connaître les difficultés des uns et des autres.
Joachim DIANA G./L’Avenir
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"Heureusement que le ridicule ne tue pas pris sur digital propagande." ...
Dixit Élodie MOBUTU, alias Mongo Élombé, la reine du "COPIER-COLLER" !
Le Potentiel a écrit:
A. MUZITO exige preuves ou excuses de J-L. BUSA
"...Duel à fleuret désormais entre le Premier Ministre Adolphe MUZITO et le Député Jean-Lucien BUSSA.
C’est maintenant le tour du Chef du Gouvernement de passer à l’offensive.
Il a saisi le Président de l’Assemblée Nationale et exige des preuves et des excuses de Jean-Lucien BUSSA, auteur de la question orale contre lui.
Faute de quoi, il usera de tous ses droits pour saisir les instances compétentes pour que Justice soit rendue..."
http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=95680&id_edition=4976
*CNMM
Re: Le Gouvernement Muzito.
CORRUPTION ET ENRICHISSEMENT ILLICITE.
La montée des marches du PM Adolphe Muzito Fumunsi le 28 avril. Il ne
savait pas ce que son ex-ami Bussa lui avait préparé. LE SOFT
NUMÉRIQUE.
Des députés indélicats?
MISE EN LIGNE 7 MAI 2010 | LE SOFT INTERNATIONAL N°1045 DATÉ 7 MAI 2010.
Aveuglée dans son acharnement de salir le Gouvernement (ou, aux dires de
certains, à le faire chanter), l’opposition parlementaire n’aurait-elle
pas pris les précautions les plus élémentaires dans ses accusations?
Mercredi 5 mai, le président de la Chambre basse Évariste Boshab Mabudj
est sorti de ses gongs, rappelant, agacé, le principe d’un débat «à la
loyale». Reste qu’il y a pas photo: tout le monde connaît le savant
mécanisme de corruption et d’enrichissement illicite. Celui par exemple
qui se manifeste tant au centre des affaires avec d’innombrables
immeubles gratte-ciel qui poussent à vue d’œil et qu’aucune logique
économique n’explique, ni ne justifie…
http://www.lesoftonline.net/phil.php?id=1419
La montée des marches du PM Adolphe Muzito Fumunsi le 28 avril. Il ne
savait pas ce que son ex-ami Bussa lui avait préparé. LE SOFT
NUMÉRIQUE.
Des députés indélicats?
MISE EN LIGNE 7 MAI 2010 | LE SOFT INTERNATIONAL N°1045 DATÉ 7 MAI 2010.
Aveuglée dans son acharnement de salir le Gouvernement (ou, aux dires de
certains, à le faire chanter), l’opposition parlementaire n’aurait-elle
pas pris les précautions les plus élémentaires dans ses accusations?
Mercredi 5 mai, le président de la Chambre basse Évariste Boshab Mabudj
est sorti de ses gongs, rappelant, agacé, le principe d’un débat «à la
loyale». Reste qu’il y a pas photo: tout le monde connaît le savant
mécanisme de corruption et d’enrichissement illicite. Celui par exemple
qui se manifeste tant au centre des affaires avec d’innombrables
immeubles gratte-ciel qui poussent à vue d’œil et qu’aucune logique
économique n’explique, ni ne justifie…
http://www.lesoftonline.net/phil.php?id=1419
Mathilde
TO BOYI LOKUTA, HYPOCRISIE, INTOX, MÉDIOCRITÉ INTELLECTUELLE, MALHONNÊTETÉ INTELLECTUELLE, AFFABULATIONS, DIFFAMATIONS, CALOMNIES, JALOUSIE, MOTEMA LIKUNDU !
Mathilde a écrit:
CORRUPTION ET ENRICHISSEMENT ILLICITE.
La montée des marches du PM Adolphe Muzito Fumunsi le 28 avril. Il ne
savait pas ce que son ex-ami Bussa lui avait préparé. LE SOFT
NUMÉRIQUE.
Des députés indélicats?
MISE EN LIGNE 7 MAI 2010 | LE SOFT INTERNATIONAL N°1045 DATÉ 7 MAI 2010.
Aveuglée dans son acharnement de salir le Gouvernement (ou, aux dires de
certains, à le faire chanter), l’opposition parlementaire n’aurait-elle
pas pris les précautions les plus élémentaires dans ses accusations?
Mercredi 5 mai, le président de la Chambre basse Évariste Boshab Mabudj
est sorti de ses gongs, rappelant, agacé, le principe d’un débat «à la
loyale». Reste qu’il y a pas photo: tout le monde connaît le savant
mécanisme de corruption et d’enrichissement illicite. Celui par exemple
qui se manifeste tant au centre des affaires avec d’innombrables
immeubles gratte-ciel qui poussent à vue d’œil et qu’aucune logique
économique n’explique, ni ne justifie…
http://www.lesoftonline.net/phil.php?id=1419
Lesoftonline/T. MATOTU a écrit:
La montée des marches du PM Adolphe Muzito Fumunsi le 28 avril.
Il ne savait pas ce que son ex-ami Bussa lui avait préparé.
LE SOFT NUMÉRIQUE.
Des députés indélicats?
MISE EN LIGNE 7 MAI 2010 | LE SOFT INTERNATIONAL N°1045 DATÉ 7 MAI 2010.
Aveuglée dans son acharnement de salir le Gouvernement (ou, aux dires de certains, à le faire chanter),
l’opposition parlementaire n’aurait-elle pas pris les précautions les plus élémentaires dans ses accusations?
Mercredi 5 mai, le président de la Chambre basse Évariste Boshab Mabudj est sorti de ses gongs, rappelant, agacé, le principe d’un débat «à la loyale».
Reste qu’il y a pas photo :
tout le monde connaît le savant mécanisme de corruption et d’enrichissement illicite.
Celui par exemple qui se manifeste tant au centre des affaires avec d’innombrables immeubles gratte-ciel qui poussent à vue d’œil et qu’aucune logique économique n’explique, ni ne justifie…
Ce fut le jour de grand débat.
Une plénière était affichée avec un gros format financier appelé à s’expliquer «devant la Représentation nationale pleine et entière».
En clair, le jour de tous les risques.
L’argentier a parlé technique, sur le modèle achevé de la Nouvelle Angleterre où il a tout appris jusqu’aux accents et intonations.
Arrive le moment tant attendu, celui de la conclusion du motionnaire.
L’heure où tout bascule...
Devant le pupitre, le Député colle à son texte mis au point par un cabinet pas toujours avisé, puis furtivement se laisse glisser une feuille de papier.
À bout d’argument, un journaliste ami a couru à sa rédaction avant de revenir en trombe dans l’hémicycle, le document fumant en main.
Le parlementaire n’a eu le temps de ne rien vérifier qu’il donnait à entendre devant le pupitre le document satanique.
Alea jacta est.
L’argentier quitte la salle sous les huées...
Les Députés respectent-ils les règles du jeu?
Le contrôle parlementaire vise-t-il la recherche de l’information ou est-ce, au contraire, l’occasion de chantage?
La motion est-elle toujours à charge ou peut-elle être - pourquoi pas? - à décharge, honnêteté intellectuelle oblige?!
En clair, le motionneur (l'interpellateur) doive-t-il chercher dans tous les cas de figure à briser le motionné (l'interpellé), à salir celui-ci, à régler de bons vieux (ou récents) petits comptes ou peut-il être sportif en acceptant parfois qu’il avait au départ été mal aiguillé et avait donc tout (ou partiellement) faux?
Ça c’est le débat...
En même temps, face à ceux qui crie haro sur le baudet et parle d'atteinte...
oh! Seigneur, à la vie privée, si ce débat n'a pas lieu ici, où encore aurait-il lieu?
Il reste que si ça vole trop souvent bas dans l’hémicycle, le débat de fond posé par nos Députés reste plein et entier.
Par exemple, par quel mystère les ministres qui, semble-t-il, sont bien moins payés que les Députés, mènent-ils un si grand train de vie?
Les démentis tardifs dont se fendent nos politiques ne sont-ils pas durement négociés?
Pourquoi veut-on que le peuple donne plus de l’importance au démenti qu’à la dénonciation, l’un comme l’autre n’étant étayé sur rien mais basé sur une parole qui peut n’avoir aucune valeur?
In fine, le peuple garde-t-il une haute image de la classe politique ou la démocratie ne paraît-elle pas jour après jour comme un rendez-vous sinon manqué, comme le disent déjà des membres de la société civile?
«Collègue, il fallait être au début de la séance pour voir ce qui se passe ici...
Du dégoût à mille lieues! Rien que du dégoût!»
C’est un Député (peu importe de quel camp) qui se confie à un autre Député...
Une demi-douzaine de ministres doivent ce mercredi 5 mai 2010 défiler devant le pupitre.
Celui des Finances, le tout nouveau et jeune Matata Ponyo Mapon.
La ministre du Portefeuille, Jeannine Mabunda Lieko, trop détestée dans l’hémicycle depuis son arrogant discours lors du débat Snél-MagEnergy et qui a tout prévu ce jour :
elle a mobilisé un groupe de mamans qu’elle a habillées d’un somptueux pagne et qui ont pris place dans l’aire réservée au public.
Le ministre de l’Enseignement supérieur Léonard Mashako Mamba...
La nuit dernière, un des motionnaires a été visité par un intermédiaire qui lui a proposé un paquet de dollars, «afin qu’il mette de l’eau dans son vin».
Nul en réalité ne connaît la suite...
Mais ça bouge ce matin dans l’hémicycle alors qu’un texto fait état depuis la veille d’une demande du Premier ministre de se faire établir une lettre par le patron de la BIAC, la Banque Internationale pour l’Afrique Centrale, l’ex-BIAO.
Il aurait acquis le Cercle Élaïs via un crédit bancaire.
«Refus de Salanville sur le conseil de l’ambassade de France».
ÇA POURRIT FORT.
Si Jeannine Mabunda Lieko passe pour la grande accusée - le Député Fidèle Babala, un proche de Jean-Pierre Bemba Gombo l’a crucifié avant de l’avoir entendue -, les Députés originaires de l’Équateur ont fait bloc derrière la ministre aux airs d’éternelle ado.
«Pensez-vous que nous, de Équateur, nous allons lâcher notre sœur au moment où on nous culpabilise dans l’affaire Enyele...?»
Un Député hurle. Ambiance!
Celui-là a la chance de ne jamais mettre la langue dans sa poche.
Alors, est-on ici pour la manifestation de la vérité ou, au contraire, pour des règlements de comptes?
«Nous voici en plein dans du théâtre de chez nous», lance un Député dépité, qui quitte aussitôt la salle.
«Le Palais du Peuple a cessé d’être», marmonne-t-il.
Il n’y retournera que quand il y fera bon vivre.
En clair, pas avant longtemps...
C’est clair.
Le délai qui a été octroyé à la ministre depuis une semaine a permis de faire le rappel des troupes... Ainsi marche le Palais du peuple!
Un journaliste témoigne :
«Dès que nous publions un dossier fumant dans nos colonnes, des Députés nous assiègent :
«Ndeko, il fallait ocentrer ngai loso oyo!
Bana na Afrique du Sud, mpiaka!» (Frère, tu aurais dû me refiler ce dossier savoureux!
La famille en Afrique du Sud galère!).
Et de poursuivre : «Parfois, on fait des coups ensemble.
Il y en a qui ne peuvent pas nous regarder dans le blanc des yeux».
Sans blague!
En clair, les Députés ont donc donné la chasse sur tout ce qui bouge et tireraient, sans sommation, autour d’eux!
De là, à comprendre le grand train de vie de certains d’entre eux!
Sièges de partis tapissés et dans les beaux quartiers, bureaux art-déco, calendres féroces tout-terrain, costars de grandes marques, etc.
Et si nos Députés de 2006 ne valaient pas plus que leurs devanciers, ceux de 1960?
Soit il y a cinquante ans...
Bien sûr que ce train de vie de nouveau riche est souvent celui du Député d’opposition.
Du moins, à en croire les membres de la majorité parlementaire.
- «Voyez notre train de vie...
Voyez le leur. Par ces temps-ci, il fait bon d’être aux extrêmes (les bancs de l’opposition) pour faire le sniper et se faire dorloter plutôt que dans la Majorité où toute position de franc-tireur est interdite...
Pourtant, il y a peu, ce sont les Députés d’opposition qui juraient.
«Nous ne jouerons plus ce jeu-là!
Nous ne lancerons plus de censure. Cela enrichit les Députés de la Majorité qui sont reçus nuitamment afin de voter contre nous», confie l’un des leurs.
Si des Députés de la Majorité reconnaissent qu’il leur arrive d’avoir un rond de table avec telle ou telle personnalité du Gouvernement, la moisson est souvent trop maigre.
«On repart souvent avec 500 dollars et eux pleurnichent qu’ils ne gèrent désormais plus rien et auraient pu nous donner plus s’ils avaient gardé la gestion» ... des Finances publiques.
Un homme du pré carré approche et apporte du bémol.
«Ce n’est ni sur le Trésor public, ni sur les frais de fonctionnement, ni, encore moins, sur leurs émoluments que les ministres se servent.
Ils se servent sur les contrats.
Une simple signature au bas d’une feuille de papier peut valoir jusqu’à 1 million de dollars, payé anticipativement en espèces sonnantes et trébuchantes ou sur un compte à l’étranger.
Cela ne laisse aucune trace...».
Vous aurez donc beau chercher des preuves, vous n’en trouverez pas.
Pourtant, entre-temps, au centre des affaires, ça rivalise d’enrichissement illicite.
Député d’opposition MLC qui a jeté le discrédit sur le Premier ministre Adolphe Muzito Fumunsi sur ses avoirs (compagnies aériennes, quartiers entiers acquis au centre des affaires, érection de cité nouvelle à kinkole, etc.), Jean-Lucien Bussa Tongba a raison.
Nous ne devrions pas pinailler sur les détails.
«Par cette motion, nous voulons engager un débat de fond, un débat de société...»,
nous déclarait-il (édition n°1045, datée 4 mai).
Certes, la Majorité a beau jeu de dire:
«Nous soutenons ce Gouvernement par principe :
parce qu’il est issu de nos rangs. Et par principe, nous devons nous montrer loyaux...»
Le problème (éd. cit.), est de savoir si par principe, les élus du peuple ne doivent pas relayer les aspirations du peuple et, par principe, être ce qu’ils ont toujours été, à savoir, les représentants du Peuple souverain...
Puis : «Le peuple nous regarde...»
C’est, futé, Jean-Lucien Bussa Tongba qui parle.
Eux, ils préparent déjà le discours de 2011 et veulent jeter la Majorité en pâture.
Reste que la vengeance étant un plat qui se mitonne, et se mange froid, l’opposition doit mieux articuler ses accusations.
Il semble, aux dires de certains tabloïds, qu’elle pourrait avoir de la peine à prouver ses accusations.
Aveuglée dans son acharnement de salir le Gouvernement (ou, aux dires de certains, à le faire chanter), elle n’aurait pas pris les précautions les plus élémentaires.
Mercredi 5 mai, le président Évariste Boshab Mabudj était hors de lui, rappelant le principe d’un débat «à la loyale».
Suivant le tempo du Député (Maj.) du Nord-Kivu Jean-Louis Ernest Kyaviro Malemo qui, ulcéré par la mauvaise pente, intervenait par motion d’ordre.
Rappelant le danger qui guettait la Ière Législature de la IIIème République.
Il faut dire que dans ce dossier de corruption et d’enrichissement illicite, les moins visibles ne sont pas les moins fortunés.
"l y a ceux qui sont portés par le bling bling.
Dès le 1er million de dollars, ils veulent tout faire voir :
lunettes en or Cartier, montres Hublot, calendres féroces 4x4 à 100.000 euros, femmes et enfants expédiés aux quarte coins du monde avec sacs de dollars, châteaux - c’est fort dangereux - érigés dans la Capitale quand les plus malins continuent d’habiter dans des maisons petits prix INSS..."
Tous pourtant se servent sur la bête.
C’est le cas en Ituri où des kits repas de nos militaires engagés se retrouvent au marché de Kisangani!
Y a pas photo: tout le monde connaît le savant mécanisme de corruption et d’enrichissement illicite. Celui par exemple qui se manifeste tant au centre des affaires avec des immeubles à plusieurs étages qui poussent à vue d’œil.
Jamais, nulle part dans l’histoire de ce pays, on n’avait vu une telle bulle immobilière que rien, économiquement, ne justifie... Pour faire holà et redevenir crédible aux yeux de nos partenaires qui n’ignorent rien, il suffit de le vouloir. Sinon, nous ne sortirons jamais de l’auberge.
Pas avec des Kuluna cul-de-jatte - c’est du petit rien, reconnaît le Garde des Sceaux Luzolo Bambi lui-même.
C’est avec des Kuluna col blanc.
Qui friment. Qui continuent de courir la rue.
Qui noircissent tant l’image de ce pays.
LeSoftonline 07/05/2010
T. MATOTU
http://www.lesoftonline.net/phil.php?id=1419
Dernière édition par *CNMM le 10/5/2010, 1:55 am, édité 2 fois
*CNMM
Re: Le Gouvernement Muzito.
Que faut-il pour que le gars ci-haut puisse écrire d'une manière lisible !
N'était-il pas tombé dans un tonneau de lotoko dans l'enfance ???
Pas possible !
R.Branco
N'était-il pas tombé dans un tonneau de lotoko dans l'enfance ???
Pas possible !
R.Branco
Dernière édition par Rody Branco le 10/5/2010, 11:41 am, édité 1 fois
taty
Re: Le Gouvernement Muzito.
Le gouvernement n'est pas la solution à notre problème ; le problème c'est le gouvernement. Ronald Reagan
Les élus du Sud-Kivu viennent d'adresser au Premier ministre un mémorandum qui fera date. Tant il porte des signatures qui parlent d'elles-mêmes. C'est un document qui contient des informations que chacun d'entre nous se doit de lire pour se faire une idée de la manière dont les choses se passent dans ce pays. Ce mémorandum est une sonnette d'alarme qu'il faut comprendre comme étant destiné à corriger certaines faiblesses dans la manière dont fonctionne l'Etat. C'est un mémorandum d'appel à l'ordre, de réparation - plutôt que de discorde ou de chantage. Que chacun le lise avec son intelligence. Car, il appelle à s'interroger pour mieux avancer ensemble.
Mémorandum des députés nationaux du Sud-Kivu adressé à Son Excellence Monsieur le Premier ministre, chef du gouvernement central de la République démocratique du Congo
http://www.lobservateur.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=1834:dans-un-memorandum-poignant-adresse-au-premier-ministre&catid=44:politique&Itemid=58
Admin- Admin
Re: Le Gouvernement Muzito.
http://www.lobservateur.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=1834:dans-un-memorandum-poignant-adresse-au-premier-ministre&catid=44:politique&Itemid=58[/quote[/url]]Admin a écrit:
Les députés nationaux du Sud-Kivu dénoncent et accusent…
Le gouvernement n'est pas la solution à notre problème ; le problème c'est le gouvernement. Ronald Reagan
Les élus du Sud-Kivu viennent d'adresser au Premier ministre un mémorandum qui fera date. Tant il porte des signatures qui parlent d'elles-mêmes. C'est un document qui contient des informations que chacun d'entre nous se doit de lire pour se faire une idée de la manière dont les choses se passent dans ce pays. Ce mémorandum est une sonnette d'alarme qu'il faut comprendre comme étant destiné à corriger certaines faiblesses dans la manière dont fonctionne l'Etat. C'est un mémorandum d'appel à l'ordre, de réparation - plutôt que de discorde ou de chantage. Que chacun le lise avec son intelligence. Car, il appelle à s'interroger pour mieux avancer ensemble.
Mémorandum des députés nationaux du Sud-Kivu adressé à Son Excellence Monsieur le Premier ministre, chef du gouvernement central de la République démocratique du Congo
[url=http://www.lobservateur.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=1834:dans-un-memorandum-poignant-adresse-au-premier-ministre&catid=44:politique&Itemid=58
Admin,
est-ce le meme memo critique par JP Mbelu dans un article publie il y a deux semaines? Le fond de la critique est: Ces deputes se trompent de cible.Muzito est bleu sur la question securitaire en general. Il est tenu a l'ecart de grandes decisions.
Les deputes ont ecrit qu'il n'y a pas d'opposant parmi eux. Tous sont membres de l'AMP et donc soutiennent l'alliance AMP+PALU+UDEMO. Autrement dit que Muzito ne puisse pas rejeter leur message comme il le ferait s'il emanait de l'opposition.
Decamo Fils
TO BOYI LOKUTA, HYPOCRISIE, INTOX, MÉDIOCRITÉ INTELLECTUELLE, MALHONNÊTETÉ INTELLECTUELLE, AFFABULATIONS, DIFFAMATIONS, CALOMNIES, JALOUSIE, MOTEMA LIKUNDU !
Joachim DIANA G. a écrit:
J.L. BUSA : le déballeur déballé
(RDC - Kinshasa : L'Avenir Quotidien, Lundi 10/05/2010)
"...De la SNEL à la présidence de la République à l’époque de MOBUTU, JL BUSA a laissé une histoire pas très luisante, de 1992 à 1997.
*Deux villas jumelées achetées à Binza par Busa avec l’argent des fonctionnaires de la Présidence de la République.
*Sur 500 dollars de prime à chaque joueur lors ..."
http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=525224&no_categorie=
*CNMM
Re: Le Gouvernement Muzito.
Un pays composé d'une élite maffieuse. Fallait-il attendre le déballage de Muzito pour en faire autant à Busa ???
Pauvre Congo !
R.Branco
Pauvre Congo !
R.Branco
*CNMM a écrit:Joachim DIANA G. a écrit:
J.L. BUSA : le déballeur déballé
(RDC - Kinshasa : L'Avenir Quotidien, Lundi 10/05/2010)
"...De la SNEL à la présidence de la République à l’époque de MOBUTU, JL BUSA a laissé une histoire pas très luisante, de 1992 à 1997.
*Deux villas jumelées achetées à Binza par Busa avec l’argent des fonctionnaires de la Présidence de la République.
*Sur 500 dollars de prime à chaque joueur lors ..."
http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=525224&no_categorie=
taty
Re: Le Gouvernement Muzito.
*Premier à écrire, Adolphe Muzito voulait en avoir le cœur net sur les allégations de Jean-Lucien Bussa au sujet de ce que ce dernier a versé dans le panier de la corruption ou de l’enrichissement illicite en RD. Congo. Le Premier Ministre exigeait, le 28 avril, des preuves à défaut desquelles, il réclamait des excuses solennelles ainsi qu’un démenti formel. Au cas contraire, il se réserverait le droit de saisir l’Assemblée Nationale en vue d’obtenir la levée des immunités parlementaires de Bussa, avant de le déférer devant les cours et tribunaux compétents, pour diffamation. Evariste Boshab, a, à son tour, écrit à Bussa, pour lui demander de fournir des preuves de ses affirmations sur les biens « attribués » à Adolphe Muzito. En réaction, Jean-Lucien Bussa renvoie Evariste Boshab aux dispositions des articles 164, 180 et 185 du Règlement Intérieur. Dans une lettre déposée hier, en début d’après-midi, Bussa, a-t-on appris, rappelle cependant à Boshab que l’unique fenêtre d’opportunité était, pour le Premier Ministre, d’exiger le plus rapidement possible, l’institution d’une commission d’enquête chargée de vérifier les faits ainsi allégués, avant de les confirmer ou infirmer.
Fidèle Babala, un autre Député Mlc, serait, lui aussi, dans une affaire analogue, avec ses accusations contre Jeannine Mabunda sur la transformation des ex-entreprises publiques. Fini donc la collecte des signatures. Dimanche 9 mai dernier, en la résidence de François Muamba Tshishimbi, l’Opposition a mis sa dernière touche sur les étapes préalables. Ce mercredi 12 mai, au plus tard, la motion de censure contre Adolphe Muzito Fumunsi sera déposée sur la table de Boshab. Des sources croisées renseignent à La Prospérité, le Quotidien de l’avenue de la paix, à Mont Fleuri, que l’Opposition en a également fini avec ses ultimes stratagèmes, pour en découdre avec le Premier Ministre. Discours, motionnaires, visées, raisons… ont été fiévreusement affûtés, comme des armes, pour des troupes prêtes à se lancer dans une guerre sans merci. Aujourd’hui, en fin de la soirée, les choses pourraient davantage prendre une autre tournure, avec la fin des travaux des assemblées parlementaires de l’Afrique francophone, à Kinshasa. Boshab sera libre.
Muzito qui a, du reste, ouvert ces travaux lundi, dans la matinée, au Grand Hôtel Kinshasa, sera plus ou moins dégagé de ces invités de la RD. Congo, venus de tous les coins du continent noir. Bussa Tongba pourrait, de son côté, se sentir en situation de récupérer du poil de la bête, pour appuyer sur la gâchette, avant les dernières empoignades entre la Majorité et l’Opposition, au Palais du Peuple, à Lingwala. Décor planté… Le 28 avril, Adolphe Muzito adressait une lettre à Evariste Boshab. Il exigeait, en effet, des preuves des affirmations de Bussa. Les termes de référence de cette lettre du Premier Ministre étaient clairs. « Au regard de dispositions légales en vigueur et du Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale, je considère que ces propos sont malveillants et constituent des attaques contre ma personne et des imputations dommageables, qui n’ont aucune relation avec la question orale de politique générale adressée à un Premier Ministre.
Ainsi, je demande que l’intéressé vous fournisse les preuves de ses affirmations, ou à défaut des preuves, j’exige qu’un démenti soit fait et des excuses me soient présentées dans les mêmes circonstances et mêmes conditions que les déclarations ont été faites. Autrement, je me réserve le droit de recourir aux Cours et Tribunaux pour que justice me soit faite », soulignait-il, sans ambages. Ce week-end, Evariste Boshab, a, à son tour, écrit à Jean-Lucien Bussa, élu de Budjala, à l’Equateur, pour lui demander d’accorder le bénéfice de l’urgence à réunir et présenter au Bureau de l’Assemblée Nationale, des preuves de ses affirmations sur les biens prétendument attribués au Premier Ministre. En réaction, Jean-Lucien Bussa renvoie Evariste Boshab aux dispositions des articles 164, 180 et 185 du Règlement Intérieur.
Dans une lettre déposée hier, en début d’après-midi, Bussa rappelle cependant à Boshab que l’unique fenêtre d’opportunité était, pour le Premier Ministre, d’exiger le plus rapidement possible, l’institution d’une commission d’enquête chargée de vérifier les faits ainsi allégués, avant de les confirmer ou infirmer. Babala sur les mêmes traces Fidèle Babala, un autre Député Mlc, serait, lui aussi, dans une affaire analogue, avec ses accusations contre Jeannine Mabunda sur les ex-entreprises publiques transformées. Une lettre de Boshab lui aurait été adressée en vue d’exiger des preuves de détournement imputé à la Ministre du Portefeuille. Là aussi, l’exercice parait risqué. D’autant plus que l’intéressé serait prêt à ramener Boshab au pied des textes régissant la Chambre Basse du Parlement. Contrairement au cas Bussa, Babala s’appuyerait, d’une manière ou d’une autre, sur la Commission d’enquête déjà créée, pour échapper à la furie.( La prospérité)
================================================================================================================
Tous des voleurs, on devraient les licencier tous mawa plein.
Fidèle Babala, un autre Député Mlc, serait, lui aussi, dans une affaire analogue, avec ses accusations contre Jeannine Mabunda sur la transformation des ex-entreprises publiques. Fini donc la collecte des signatures. Dimanche 9 mai dernier, en la résidence de François Muamba Tshishimbi, l’Opposition a mis sa dernière touche sur les étapes préalables. Ce mercredi 12 mai, au plus tard, la motion de censure contre Adolphe Muzito Fumunsi sera déposée sur la table de Boshab. Des sources croisées renseignent à La Prospérité, le Quotidien de l’avenue de la paix, à Mont Fleuri, que l’Opposition en a également fini avec ses ultimes stratagèmes, pour en découdre avec le Premier Ministre. Discours, motionnaires, visées, raisons… ont été fiévreusement affûtés, comme des armes, pour des troupes prêtes à se lancer dans une guerre sans merci. Aujourd’hui, en fin de la soirée, les choses pourraient davantage prendre une autre tournure, avec la fin des travaux des assemblées parlementaires de l’Afrique francophone, à Kinshasa. Boshab sera libre.
Muzito qui a, du reste, ouvert ces travaux lundi, dans la matinée, au Grand Hôtel Kinshasa, sera plus ou moins dégagé de ces invités de la RD. Congo, venus de tous les coins du continent noir. Bussa Tongba pourrait, de son côté, se sentir en situation de récupérer du poil de la bête, pour appuyer sur la gâchette, avant les dernières empoignades entre la Majorité et l’Opposition, au Palais du Peuple, à Lingwala. Décor planté… Le 28 avril, Adolphe Muzito adressait une lettre à Evariste Boshab. Il exigeait, en effet, des preuves des affirmations de Bussa. Les termes de référence de cette lettre du Premier Ministre étaient clairs. « Au regard de dispositions légales en vigueur et du Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale, je considère que ces propos sont malveillants et constituent des attaques contre ma personne et des imputations dommageables, qui n’ont aucune relation avec la question orale de politique générale adressée à un Premier Ministre.
Ainsi, je demande que l’intéressé vous fournisse les preuves de ses affirmations, ou à défaut des preuves, j’exige qu’un démenti soit fait et des excuses me soient présentées dans les mêmes circonstances et mêmes conditions que les déclarations ont été faites. Autrement, je me réserve le droit de recourir aux Cours et Tribunaux pour que justice me soit faite », soulignait-il, sans ambages. Ce week-end, Evariste Boshab, a, à son tour, écrit à Jean-Lucien Bussa, élu de Budjala, à l’Equateur, pour lui demander d’accorder le bénéfice de l’urgence à réunir et présenter au Bureau de l’Assemblée Nationale, des preuves de ses affirmations sur les biens prétendument attribués au Premier Ministre. En réaction, Jean-Lucien Bussa renvoie Evariste Boshab aux dispositions des articles 164, 180 et 185 du Règlement Intérieur.
Dans une lettre déposée hier, en début d’après-midi, Bussa rappelle cependant à Boshab que l’unique fenêtre d’opportunité était, pour le Premier Ministre, d’exiger le plus rapidement possible, l’institution d’une commission d’enquête chargée de vérifier les faits ainsi allégués, avant de les confirmer ou infirmer. Babala sur les mêmes traces Fidèle Babala, un autre Député Mlc, serait, lui aussi, dans une affaire analogue, avec ses accusations contre Jeannine Mabunda sur les ex-entreprises publiques transformées. Une lettre de Boshab lui aurait été adressée en vue d’exiger des preuves de détournement imputé à la Ministre du Portefeuille. Là aussi, l’exercice parait risqué. D’autant plus que l’intéressé serait prêt à ramener Boshab au pied des textes régissant la Chambre Basse du Parlement. Contrairement au cas Bussa, Babala s’appuyerait, d’une manière ou d’une autre, sur la Commission d’enquête déjà créée, pour échapper à la furie.( La prospérité)
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Tous des voleurs, on devraient les licencier tous mawa plein.
mongo elombe
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