APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
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GRAVE DENI DE JUSTICE AU TRIPAIX DE MATETE SUR INJONCTION SUPEREIURE DE L’ADMINISTRATION JUDICIARE NATIONALE, VIS-A-VIS DE LA PLAINTE Y INTRODUITE PAR LE DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA POUR DIFFAMATION, IMPUTATIONS DOMMAGEABLES ET ASSOCIATIOND E MA
GRAVE DENI DE JUSTICE AU TRIPAIX DE MATETE SUR INJONCTION SUPEREIURE DE L’ADMINISTRATION JUDICIARE NATIONALE, VIS-A-VIS DE LA PLAINTE Y INTRODUITE PAR LE DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA POUR DIFFAMATION, IMPUTATIONS DOMMAGEABLES ET ASSOCIATIOND E MALFAITEURS A L’ENCONTRE DE M. KAMBALA KENNEDY ET SES DEUX COMPLICES
par mpp le 21 décembre 2012
http://democratiechretienne.org/2012/12/21/grave-deni-de-justice-au-tripaix-de-matete-sur-injonction-supereiure-de-ladministration-judiciare-nationale-vis-a-vis-de-la-plainte-y-introduite-par-le-depute-national-eugene-diomi-ndongala-pour-di/
par mpp le 21 décembre 2012
http://democratiechretienne.org/2012/12/21/grave-deni-de-justice-au-tripaix-de-matete-sur-injonction-supereiure-de-ladministration-judiciare-nationale-vis-a-vis-de-la-plainte-y-introduite-par-le-depute-national-eugene-diomi-ndongala-pour-di/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
QUAND L ASSEMBLEE NATIONALE VEUT VIOLER LA CONSTITUTION POUR DES RAISONS POLITIQUES
DU RESPECT IMPERATIF DE LA JUSTICE CONSTITUTIONNELLE PAR L’ASSEMBLEE NATIONALE EN TANT QUE LEGISLATEUR
Ainsi a-t-il été jugé : « On ne saurait dispenser le législateur, dans l’exercice de sa compétence, du respect des principes et des règles de valeur constitutionnelle qui s’imposent à tous les organes de l’Etat. » (Conseil Constitutionnel français, Décisions du 16 janvier et du 11 février 1982).
Messieurs Duverger et Robert admettent l’idée que le juge constitutionnel constitue un contre-poids nécessaire au bon fonctionnement du système. Et la principale conséquence à tirer est que le législateur est soumis comme tous les organes de l’Etat au respect de la Constitution, corollaire de la plénitude de la réalisation de l’Etat de droit.
Il infère donc que la saisine de la Cour Constitutionnelle par l’Honorable DIOMI NDONGALA NZO MAMBU se fondant sur les articles 8 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et 162 de la Constitution vaut une question prioritaire de constitutionnalité posée à l’Assemblée Nationale comme instance administrative ou à tout le moins disciplinaire, lorsque le réquisitoire, fondement des poursuites à charge du Député National, porte atteinte aux droits et libertés que la Constitution garantit. La priorité qui caractérise cette question astreint l’Assemblée Nationale à surseoir jusqu’au videment de la saisine du juge constitutionnel sous R. const 233/TSR. D’ailleurs, le Procureur Général lui-même a déjà reçu la requête de l’Honorable Député National pour son avis avant la tenue de la plénière mixte de la Cour Suprême de Justice en discussion de l’étude du rapporteur désigné par le Premier-Président de la Haute Cour et ce, avant la fixation d’audience en vue du délibéré.
La surséance par l’Assemblée Nationale à l’examen du réquisitoire est incontournable.
Fait à Kinshasa, le 28/12/2012.
Me. Richard Bondo
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
ALERTE / L’HONORABLE DIOMI NDONGALA ARRETE ENCORE UNE FOIS PAR L ANR AUJOURD HUI 28/12/2012. IL ETAIT EN TRAIN D’ ETRE ACHEMINE PAR LA FORCE A UNE DESTINATION INCONNUE. FAISANT RESISTANCE, IL A PERMIS AUX ACCOMPAGNATEURS DE PREVENIR LA MONUSCO AVANT QUE LES AGENTS DE L’ ANR L ENLEVENT ENCORE UNE FOIS.
IL SIED DE RAPPELLER QUE LE DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA A DEJA FAIT L’ OBJET D UNE SEQUESTRATION DE 100 JOURS PAR LES SERVICES DE SECURITE CONGOLAIS.
IL EST EN CE MOMENT RETENUS PAR DES AGENTS DE L’ ANR EN ATTENDANT LA VENUE SUR PLACE DU DIRECTEUR DE L’ ANR.
large diffusion svp
IL SIED DE RAPPELLER QUE LE DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA A DEJA FAIT L’ OBJET D UNE SEQUESTRATION DE 100 JOURS PAR LES SERVICES DE SECURITE CONGOLAIS.
IL EST EN CE MOMENT RETENUS PAR DES AGENTS DE L’ ANR EN ATTENDANT LA VENUE SUR PLACE DU DIRECTEUR DE L’ ANR.
large diffusion svp
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Ton honorable Diomi est-il toujours membre d'une assemblee nationale de la republique dictatoriale du congo?
Cette assemblee ne reconnait elle pas Kabila comme president elu ???
S'il croit a la verite des urnes ne devrait il pas demissioner de cette assemblee??
Ton oncle aza avantirie...
furthermore, nous attendons toujours la liste du gouvernement du president legitemement elu selon le resultat final du centre Carter...
toleka...
Cette assemblee ne reconnait elle pas Kabila comme president elu ???
S'il croit a la verite des urnes ne devrait il pas demissioner de cette assemblee??
Ton oncle aza avantirie...
furthermore, nous attendons toujours la liste du gouvernement du president legitemement elu selon le resultat final du centre Carter...
toleka...
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
IL EST ENFERME DANS UN BUREAU DE L ANR DEPUIS DESORMAIS 4 HEURES. UN COLONEL DE LA MONSUCO EST EN TRAIN DE SUIVRE LA SITUATION DE PRES POUR EMPECHER QU IL SOIT AMENE ENCORE DANS UNE DESTINATION INCONNUE. NOUS CRAIGNONS LA NUIT CAR ILS PEUVENT LE FAIRE DISPARAITRE AU COURS DE LA NUIT.
DES DEPUTES DE L OPPOSITION SONT EN TRAIN DE FAIRE LE DEPLACEMENT POUR SURVEILLER DIRECTEMENT LA SITTUATION: LE DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA EST DESORMAIS TRAITE COMME UN SOUS-CITOYEN, SANS DROIT MEME PAS A LA VIE ET A L INTEGRITE PHISIQUE, ALORS QUE NOUS AVONS AUSSI DE FORT DOUTE QU IL AIT ETE EMPOISONNE AU COURS DE SA PRECEDENTE DETENTION.
S.V. AGISSONS AVANT LA NUIT
DES DEPUTES DE L OPPOSITION SONT EN TRAIN DE FAIRE LE DEPLACEMENT POUR SURVEILLER DIRECTEMENT LA SITTUATION: LE DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA EST DESORMAIS TRAITE COMME UN SOUS-CITOYEN, SANS DROIT MEME PAS A LA VIE ET A L INTEGRITE PHISIQUE, ALORS QUE NOUS AVONS AUSSI DE FORT DOUTE QU IL AIT ETE EMPOISONNE AU COURS DE SA PRECEDENTE DETENTION.
S.V. AGISSONS AVANT LA NUIT
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
BISENGIMANA ET KALEV EN PERSONNE SUR PLACE. LE COLONEL DIALLO DE LA MONUSCO AUSSI. LES DEPUTES DEL OPPOSITION EN ROUTE. HALTE A LA REPRESSION POLITIQUE: EUGENE DIOMINDONGALA A DROIT ALA VIE, A L INTEGRITE PHYSIQUE ET A SES PLEINS DROITS CIVILS ET POLITIQUES. LE BRAS SECULIER DE LA REPRESSION POLITIQUE SE DEPLACE: LE PLAN DE L ENIEME ENLEVEMENT A ECHOUE MAIS PERSONNE PAYERA LE POTS CASSES CAR LE KALEV, BISENGIMANA CROIENT AVOIR DROIT DE VIE ET DE MORT SUR TOUS LES CONGOLAIS...A SUIVRE
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
BISENGIMANA ET KALEV EN PERSONNE SUR PLACE. LE COLONEL DIALLO DE LA MONUSCO AUSSI. LES DEPUTES DEL OPPOSITION EN ROUTE. HALTE A LA REPRESSION POLITIQUE: EUGENE DIOMINDONGALA A DROIT ALA VIE, A L INTEGRITE PHYSIQUE ET A SES PLEINS DROITS CIVILS ET POLITIQUES. LE BRAS SECULIER DE LA REPRESSION POLITIQUE SE DEPLACE: LE PLAN DE L ENIEME ENLEVEMENT A ECHOUE MAIS PERSONNE PAYERA LE POTS CASSES CAR LE KALEV, BISENGIMANA CROIENT AVOIR DROIT DE VIE ET DE MORT SUR TOUS LES CONGOLAIS...A SUIVRE
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
KOTA a écrit:ALERTE / L’HONORABLE DIOMI NDONGALA ARRETE ENCORE UNE FOIS PAR L ANR AUJOURD HUI 28/12/2012. IL ETAIT EN TRAIN D’ ETRE ACHEMINE PAR LA FORCE A UNE DESTINATION INCONNUE. FAISANT RESISTANCE, IL A PERMIS AUX ACCOMPAGNATEURS DE PREVENIR LA MONUSCO AVANT QUE LES AGENTS DE L’ ANR L ENLEVENT ENCORE UNE FOIS.
IL SIED DE RAPPELLER QUE LE DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA A DEJA FAIT L’ OBJET D UNE SEQUESTRATION DE 100 JOURS PAR LES SERVICES DE SECURITE CONGOLAIS.
IL EST EN CE MOMENT RETENUS PAR DES AGENTS DE L’ ANR EN ATTENDANT LA VENUE SUR PLACE DU DIRECTEUR DE L’ ANR.
large diffusion svp
KOTA a écrit:IL EST ENFERME DANS UN BUREAU DE L ANR DEPUIS DESORMAIS 4 HEURES. UN COLONEL DE LA MONSUCO EST EN TRAIN DE SUIVRE LA SITUATION DE PRES POUR EMPECHER QU IL SOIT AMENE ENCORE DANS UNE DESTINATION INCONNUE. NOUS CRAIGNONS LA NUIT CAR ILS PEUVENT LE FAIRE DISPARAITRE AU COURS DE LA NUIT.
DES DEPUTES DE L OPPOSITION SONT EN TRAIN DE FAIRE LE DEPLACEMENT POUR SURVEILLER DIRECTEMENT LA SITTUATION: LE DEPUTE NATIONAL EUGENE DIOMI NDONGALA EST DESORMAIS TRAITE COMME UN SOUS-CITOYEN, SANS DROIT MEME PAS A LA VIE ET A L INTEGRITE PHISIQUE, ALORS QUE NOUS AVONS AUSSI DE FORT DOUTE QU IL AIT ETE EMPOISONNE AU COURS DE SA PRECEDENTE DETENTION.
S.V. AGISSONS AVANT LA NUIT
KOTA a écrit:BISENGIMANA ET KALEV EN PERSONNE SUR PLACE. LE COLONEL DIALLO DE LA MONUSCO AUSSI. LES DEPUTES DEL OPPOSITION EN ROUTE. HALTE A LA REPRESSION POLITIQUE: EUGENE DIOMINDONGALA A DROIT ALA VIE, A L INTEGRITE PHYSIQUE ET A SES PLEINS DROITS CIVILS ET POLITIQUES. LE BRAS SECULIER DE LA REPRESSION POLITIQUE SE DEPLACE: LE PLAN DE L ENIEME ENLEVEMENT A ECHOUE MAIS PERSONNE PAYERA LE POTS CASSES CAR LE KALEV, BISENGIMANA CROIENT AVOIR DROIT DE VIE ET DE MORT SUR TOUS LES CONGOLAIS...A SUIVRE
C'est comme ça qu'ils voulaient voir Lumbala se laisser traiter, voilà pourquoi ils sont outragés de voir que Lumbala soit résolu à ne pas se laisser faire et soit résolu à utiliser les mêmes armes et les mêmes individus que Joseph Kabila.
Libre Examen
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Diomi est intelligent. Il est entrain de monter un scénario de son propre enlèvement car il l'avait il n'y a pas longtemps. Son arrestation profite à qui? Il attend la nuit pour qu'il aille se terrer dans sa cachette.
King David
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
VOC- ARRESTATION DE DIOMI NDONGALA , GENERAL BISENGIMANA S'EXPRIME
link
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
King David a écrit:Diomi est intelligent. Il est entrain de monter un scénario de son propre enlèvement car il l'avait il n'y a pas longtemps. Son arrestation profite à qui? Il attend la nuit pour qu'il aille se terrer dans sa cachette.
Regardez ça: https://www.youtube.com/watch?v=CTBs8Vm4gSk
L'explication de Bisengimana est totalement confuse.
Mwana Ya Lola
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
voila la question...
son "arrestation" profite a qui???
il est cuit, diomi...
son "arrestation" profite a qui???
il est cuit, diomi...
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
zobattants a écrit:voila la question...
son "arrestation" profite a qui???
il est cuit, diomi...
Drôle de question !
Son arrestation profite à ceux qui l'ont arrêté.
Aussi, en quoi est-il cuit ?
Mwana Ya Lola
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
King David a écrit:Diomi est intelligent. Il est entrain de monter un scénario de son propre enlèvement car il l'avait il n'y a pas longtemps. Son arrestation profite à qui? Il attend la nuit pour qu'il aille se terrer dans sa cachette.
voila la question...
son "arrestation" profite a qui???
il est cuit, diomi...
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
28/12/2012 21H00 LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA VIENT D ETRE LIBERE. LES PRESSIONS VENANT DE TOUTES PARTS ONT OBLIGE LES SERVICES A LAISSER PRISE. VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Soyons quand même sérieux et ayons un peu la logique des choses.
Diomi est une grande personnalité polique après tout.
Il a bien su qu´il lui a été interdit de quitter le pays,
mais wana mutu makasi ki pomba nde mutu etindi ye abima na nko.
Il a quand même des avocats pour lutter contre cette injustice.
Pourquoi se faire humilier ainsi, alors qu´il peut sortir victorieux dans cette affaire.
Au lieu que la pression extérieure jouée pour la libérer cette fois-ci.
Cette pression devrait pas seulement attendre son arrestation, mais plutôt,
faire que son droit soit d´abord respecté.
Diomi est une grande personnalité polique après tout.
Il a bien su qu´il lui a été interdit de quitter le pays,
mais wana mutu makasi ki pomba nde mutu etindi ye abima na nko.
Il a quand même des avocats pour lutter contre cette injustice.
Pourquoi se faire humilier ainsi, alors qu´il peut sortir victorieux dans cette affaire.
Au lieu que la pression extérieure jouée pour la libérer cette fois-ci.
Cette pression devrait pas seulement attendre son arrestation, mais plutôt,
faire que son droit soit d´abord respecté.
Flick de Kolwezi
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Flick de Kolwezi a écrit:Soyons quand même sérieux et ayons un peu la logique des choses.
Diomi est une grande personnalité polique après tout.
Il a bien su qu´il lui a été interdit de quitter le pays,
mais wana mutu makasi ki pomba nde mutu etindi ye abima na nko.
Il a quand même des avocats pour lutter contre cette injustice.
Pourquoi se faire humilier ainsi, alors qu´il peut sortir victorieux dans cette affaire.
Au lieu que la pression extérieure jouée pour la libérer cette fois-ci.
Cette pression devrait pas seulement attendre son arrestation, mais plutôt,
faire que son droit soit d´abord respecté.
Mais est-ce que cette interdiction que quitter le territoire lui avait été préalablement signifié par le parquet ?
Selon certaines sources, cela n'a jamais été fait (v. article Congoindependant). Si c'est le cas, tout ceci relève de l'arbitraire.
Cette histoire de viol n'ira nulle par, tout le monde le sait. Le pouvoir veut juste faire taire le dernier étendard de Tshisekedi.
A ce rythme, les extrémistes du camp Kabila vont entraîner leur chef dans un trou, comme ce fut le cas avec Mobutu.
Mwana Ya Lola
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Eugène DIOMI NDONGALA : Le dernier de mohicans !/CONGOINDEPENDANT
par mpp le 29 décembre 2012
Eugène DIOMI NDONGALA : Le dernier de mohicans !
28/12/2012 16:59:00KongoTimes!
Font size:
Eugène Diomi Ndongala et Etienne Tshisekedi
Le pouvoir kabiliste tente d’isoler davantage Tshisekedi et surtout de faire taire le « dernier de mohicans » qui lui sert de « porte-voix ». Et si Diomi était victime d’une cabale politico-judiciaire?
En partance pour Brazzaville, vendredi 28 décembre, le député national Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne (DC), a été arrêté, aux alentours de 13 heures, par des agents de l’Agence nationale de renseignements (ANR) agissant «sur ordre de la haute hiérarchie». Proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Diomi a été retenu durant plusieurs heures dans un local de l’ANR au Beach Ngobila. Il aurait été relâché sans connaître le motif de cette arrestation « temporaire ». Il lui est cependant interdit de quitter le territoire national. Un cas d’excès de pouvoir.
Interdiction de quitter le pays
Kinshasa. Vendredi 28 décembre. Il est environ 13 h00 lorsque l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala se présente à la débarcadère du Beach Ngobila. Il doit prendre le bateau faisant la navette, au quotidien, entre Kinshasa et Brazzaville. Le voyage n’aura pas lieu. C’est en ce moment que des agents de l’ANR l’ont invité à les suivre dans un bureau. On apprenait dans la soirée que Diomi aurait été relâché vers 19h00. «Il lui a été signifié l’interdiction de quitter le territoire national», a déclaré Rigobert Kuta, chargé des relations extérieures du cartel pro-Tshisekedi dit «Majorité présidentielle populaire». Qui a ordonné l’interpellation de ce membre de l’opposition? Pourquoi ?
A en croire les agents de l’ANR dont question, ils agissaient «sur ordre de la haute hiérarchie». Rien de bien étonnant quand on connaît les méthodes usitées par les «hommes» de Kalev Mutond. Des méthodes qui n’ont rien à envier à celles d’une police politique qui échappe à tout contrôle tant démocratique que judiciaire. Cette police ne rend compte qu’à un seul homme : «Joseph Kabila». Pendant plusieurs heures, Diomi a été privé de la liberté locomotrice sans qu’un fonctionnaire daigne lui notifier les motifs de cette décision. Il a été relâché dans les mêmes conditions en apprenant cependant qu’il lui est désormais interdit de quitter le territoire national. Au nom de quel principe? Inimaginable dans un Etat affublé de l’épithète «démocratique» où le pluralisme politique est pourtant consacré par la Constitution. Etrangement, les membres de l’opposition continuent à être traités comme de minables «agents subversifs».
«Président élu»
Pour comprendre les ennuis de Diomi Ndongala, il n’est pas sans intérêt de remonter aux élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011. Des consultations politiques chahutées par les observateurs tant nationaux qu’internationaux. Ceux-ci ont dénoncé les irrégularités – c’est un euphémisme – qui ont entaché les opérations électorales. Diomi fait partie de la grande majorité de la population qui croît dur comme fer que le scrutin présidentiel a été remporté par Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Autrement dit, «Joseph Kabila» ne serait qu’un usurpateur. Il se maintient à la tête de l’Etat par la force des armes et surtout par «défi».
Elu député national du district kinois de la Funa lors des législatives précitées, Diomi a rejoint le «front du refus» en refusant de siéger dans la nouvelle Assemblée nationale. Doté d’un bagou indéniable, l’homme est devenu au fil du temps, le dernier «soutien politique» du leader de l’UDPS dont il n’hésite pas à gratifier du titre de «Président élu». Au grand dam du «clan kabiliste». Dès le lendemain des élections, le président de la DC s’est radicalisé. Rien d’étonnant qu’il soirt dans le «viseur» des sbires du « raïs ».
Le 20 décembre 2011, «Joseph Kabila» organise la cérémonie de son investiture à la Cité de l’Union Africaine. Une manifestation «honorée» par la présence d’un seul chef d’Etat : le Zimbabwéen Robert Mugabe. C’est le début d’un isolément diplomatique qui ne dit pas son nom. Quarante-huit heures après, Etienne Tshisekedi wa Mulumba – qui revendique la victoire à l’élection présidentielle – commettait la maladresse de prêter serment, à son tour, en qualité de «Président élu» brouillant davantage son image. La cérémonie a lieu en sa résidence à Limete. Le bras de fer est aussi déclenché. Disposant de l’appareil d’Etat, «Joseph» fait déployer, dès janvier 2012, des éléments de la garde présidentielle dans le périmètre où se trouve la résidence de son challenger. Le leader de l’UDPS est ainsi « assigné en résidence » de facto. Chaque sortie doit faire l’objet d’une autorisation donnée par le patron de la police, Charles Bisengimana.
Après le déclenchement de la guerre entre les FARDC et les rebelles du M23, Diomi Ndongala décide d’organiser le samedi 23 juin dernier un office religieux «pour soutenir» les forces loyalistes déployées au Nord Kivu. En guise de «Guest star», Tshisekedi – qui était manifestement filé par les «agents» – a fait une entrée triomphale dans la Cathédrale Notre Dame à Lingwala. Il semble que c’est au cours de cette «réunion politioco-religieuse» qu’a germé l’idée de «formaliser» l’existence d’un cartel politique pro-Tshisekedi dénommé
«Majorité présidentielle populaire» (MPP); à ne pas confondre avec la «Majorité présidentielle» (MP) qui soutient «Joseph Kabila». La cérémonie de signature de la charte était fixée à mercredi 27 juin au même endroit.
«Cabale politico-judiciaire? »
Le même mercredi, une nouvelle se répand comme une traînée de poudre : «Diomi Ndongala a été enlevé!». Un mystère planait sur le service ayant diligenté l’arrestation et le lieu de détention. «Il devait présider la cérémonie de signature de la «charte» de la «MPP». Le 17 juillet, le très sectaire procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, adressait un réquisitoire au président de l’Assemblée nationale, le PPRD Aubin Minaku, lui demandant la levée de l’immunité parlementaire du député national Diomi Ndongala. Et ce «en vue de permettre d’exercer des poursuites judiciaires à sa charge devant la juridiction compétente du chef de viol (…)». Qui a arrêté l’opposant Diomi ? La question est restée longtemps sans réponse.
Dans un communiqué daté du 8 août 2012, l’association de défense des droits humains «La Voix des Sans Voix» (VSV) écrivait notamment que «M. Diomi Ndongala aurait été initialement détenu au Bureau II de la garde républicaine avant d’être transféré au cachot de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), département de sécurité intérieure dans une cellule de «haute sécurité». Coup de théâtre. Le 11 octobre dernier, Diomi fait sa réapparition. Le visage est envahi par une barbe digne d’un combattant « taliban ». Il a été déposé par des «inconnus» à quelques mètres du Centre supérieur militaire dans la commune de Ngaliema.
Samedi 22 décembre, Diomi a fait partie des invités de marque à l’occasion de la commémoration du quatre-vingtième anniversaire d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Il semble que le président de la DC aurait, comme à son habitude, clamé haut et fort que «Tshi-Tshi» est et reste le «Président élu». «Le pouvoir se livre à un forcing pour obtenir la levée de l’immunité parlementaire de Diomi, confie Rigobert Kuta. On assiste à un véritablement acharnement. C’est bien dommage de constater que la solidarité fait défaut au sein des parlementaires de l’opposition». Notons que Diomi n’a jamais accepté de siéger dans la nouvelle Représentation nationale. En s’en prenant à lui, le pouvoir kabiliste tente d’isoler davantage Tshisekedi et surtout de faire taire le « dernier de mohicans » qui lui sert de « porte-voix ». Et si Diomi était victime d’une cabale politico-judiciaire?
[B.A.W/Congoindépendant]
http://democratiechretienne.org/2012/12/29/eugene-diomi-ndongala-le-dernier-de-mohicans-congoindependant/
par mpp le 29 décembre 2012
Eugène DIOMI NDONGALA : Le dernier de mohicans !
28/12/2012 16:59:00KongoTimes!
Font size:
Eugène Diomi Ndongala et Etienne Tshisekedi
Le pouvoir kabiliste tente d’isoler davantage Tshisekedi et surtout de faire taire le « dernier de mohicans » qui lui sert de « porte-voix ». Et si Diomi était victime d’une cabale politico-judiciaire?
En partance pour Brazzaville, vendredi 28 décembre, le député national Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne (DC), a été arrêté, aux alentours de 13 heures, par des agents de l’Agence nationale de renseignements (ANR) agissant «sur ordre de la haute hiérarchie». Proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Diomi a été retenu durant plusieurs heures dans un local de l’ANR au Beach Ngobila. Il aurait été relâché sans connaître le motif de cette arrestation « temporaire ». Il lui est cependant interdit de quitter le territoire national. Un cas d’excès de pouvoir.
Interdiction de quitter le pays
Kinshasa. Vendredi 28 décembre. Il est environ 13 h00 lorsque l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala se présente à la débarcadère du Beach Ngobila. Il doit prendre le bateau faisant la navette, au quotidien, entre Kinshasa et Brazzaville. Le voyage n’aura pas lieu. C’est en ce moment que des agents de l’ANR l’ont invité à les suivre dans un bureau. On apprenait dans la soirée que Diomi aurait été relâché vers 19h00. «Il lui a été signifié l’interdiction de quitter le territoire national», a déclaré Rigobert Kuta, chargé des relations extérieures du cartel pro-Tshisekedi dit «Majorité présidentielle populaire». Qui a ordonné l’interpellation de ce membre de l’opposition? Pourquoi ?
A en croire les agents de l’ANR dont question, ils agissaient «sur ordre de la haute hiérarchie». Rien de bien étonnant quand on connaît les méthodes usitées par les «hommes» de Kalev Mutond. Des méthodes qui n’ont rien à envier à celles d’une police politique qui échappe à tout contrôle tant démocratique que judiciaire. Cette police ne rend compte qu’à un seul homme : «Joseph Kabila». Pendant plusieurs heures, Diomi a été privé de la liberté locomotrice sans qu’un fonctionnaire daigne lui notifier les motifs de cette décision. Il a été relâché dans les mêmes conditions en apprenant cependant qu’il lui est désormais interdit de quitter le territoire national. Au nom de quel principe? Inimaginable dans un Etat affublé de l’épithète «démocratique» où le pluralisme politique est pourtant consacré par la Constitution. Etrangement, les membres de l’opposition continuent à être traités comme de minables «agents subversifs».
«Président élu»
Pour comprendre les ennuis de Diomi Ndongala, il n’est pas sans intérêt de remonter aux élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011. Des consultations politiques chahutées par les observateurs tant nationaux qu’internationaux. Ceux-ci ont dénoncé les irrégularités – c’est un euphémisme – qui ont entaché les opérations électorales. Diomi fait partie de la grande majorité de la population qui croît dur comme fer que le scrutin présidentiel a été remporté par Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Autrement dit, «Joseph Kabila» ne serait qu’un usurpateur. Il se maintient à la tête de l’Etat par la force des armes et surtout par «défi».
Elu député national du district kinois de la Funa lors des législatives précitées, Diomi a rejoint le «front du refus» en refusant de siéger dans la nouvelle Assemblée nationale. Doté d’un bagou indéniable, l’homme est devenu au fil du temps, le dernier «soutien politique» du leader de l’UDPS dont il n’hésite pas à gratifier du titre de «Président élu». Au grand dam du «clan kabiliste». Dès le lendemain des élections, le président de la DC s’est radicalisé. Rien d’étonnant qu’il soirt dans le «viseur» des sbires du « raïs ».
Le 20 décembre 2011, «Joseph Kabila» organise la cérémonie de son investiture à la Cité de l’Union Africaine. Une manifestation «honorée» par la présence d’un seul chef d’Etat : le Zimbabwéen Robert Mugabe. C’est le début d’un isolément diplomatique qui ne dit pas son nom. Quarante-huit heures après, Etienne Tshisekedi wa Mulumba – qui revendique la victoire à l’élection présidentielle – commettait la maladresse de prêter serment, à son tour, en qualité de «Président élu» brouillant davantage son image. La cérémonie a lieu en sa résidence à Limete. Le bras de fer est aussi déclenché. Disposant de l’appareil d’Etat, «Joseph» fait déployer, dès janvier 2012, des éléments de la garde présidentielle dans le périmètre où se trouve la résidence de son challenger. Le leader de l’UDPS est ainsi « assigné en résidence » de facto. Chaque sortie doit faire l’objet d’une autorisation donnée par le patron de la police, Charles Bisengimana.
Après le déclenchement de la guerre entre les FARDC et les rebelles du M23, Diomi Ndongala décide d’organiser le samedi 23 juin dernier un office religieux «pour soutenir» les forces loyalistes déployées au Nord Kivu. En guise de «Guest star», Tshisekedi – qui était manifestement filé par les «agents» – a fait une entrée triomphale dans la Cathédrale Notre Dame à Lingwala. Il semble que c’est au cours de cette «réunion politioco-religieuse» qu’a germé l’idée de «formaliser» l’existence d’un cartel politique pro-Tshisekedi dénommé
«Majorité présidentielle populaire» (MPP); à ne pas confondre avec la «Majorité présidentielle» (MP) qui soutient «Joseph Kabila». La cérémonie de signature de la charte était fixée à mercredi 27 juin au même endroit.
«Cabale politico-judiciaire? »
Le même mercredi, une nouvelle se répand comme une traînée de poudre : «Diomi Ndongala a été enlevé!». Un mystère planait sur le service ayant diligenté l’arrestation et le lieu de détention. «Il devait présider la cérémonie de signature de la «charte» de la «MPP». Le 17 juillet, le très sectaire procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, adressait un réquisitoire au président de l’Assemblée nationale, le PPRD Aubin Minaku, lui demandant la levée de l’immunité parlementaire du député national Diomi Ndongala. Et ce «en vue de permettre d’exercer des poursuites judiciaires à sa charge devant la juridiction compétente du chef de viol (…)». Qui a arrêté l’opposant Diomi ? La question est restée longtemps sans réponse.
Dans un communiqué daté du 8 août 2012, l’association de défense des droits humains «La Voix des Sans Voix» (VSV) écrivait notamment que «M. Diomi Ndongala aurait été initialement détenu au Bureau II de la garde républicaine avant d’être transféré au cachot de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), département de sécurité intérieure dans une cellule de «haute sécurité». Coup de théâtre. Le 11 octobre dernier, Diomi fait sa réapparition. Le visage est envahi par une barbe digne d’un combattant « taliban ». Il a été déposé par des «inconnus» à quelques mètres du Centre supérieur militaire dans la commune de Ngaliema.
Samedi 22 décembre, Diomi a fait partie des invités de marque à l’occasion de la commémoration du quatre-vingtième anniversaire d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Il semble que le président de la DC aurait, comme à son habitude, clamé haut et fort que «Tshi-Tshi» est et reste le «Président élu». «Le pouvoir se livre à un forcing pour obtenir la levée de l’immunité parlementaire de Diomi, confie Rigobert Kuta. On assiste à un véritablement acharnement. C’est bien dommage de constater que la solidarité fait défaut au sein des parlementaires de l’opposition». Notons que Diomi n’a jamais accepté de siéger dans la nouvelle Représentation nationale. En s’en prenant à lui, le pouvoir kabiliste tente d’isoler davantage Tshisekedi et surtout de faire taire le « dernier de mohicans » qui lui sert de « porte-voix ». Et si Diomi était victime d’une cabale politico-judiciaire?
[B.A.W/Congoindépendant]
http://democratiechretienne.org/2012/12/29/eugene-diomi-ndongala-le-dernier-de-mohicans-congoindependant/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
RD-CONGO: Eugéne Diomi Ndongala de nouveau enlèvé et libéré
RD-CONGO: Eugéne Diomi Ndongala serait de nouveau enlèvé et libéré
Posté par Guylain Gustave Moke Munsche Mvula ⋅ 28 décembre 2012⋅ Poster un commentaire
Classé dans Etienne Tshisekedi, Eugéne Diomi Ndongala, Joseph Kabila, Kinshasa, Ngaliema, Union for Democracy and Social Progress (Democratic Republic of the Congo)
Le président de la Démocratie chrétienne (DC), un parti d’opposition congolaise Eugène Diomi Ndongala, serait de nouveau enlèvé par les services de sécurité ce vendredi aprés midi á [url=http://maps.google.com/maps?ll=-4.325,15.3222222222&spn=0.1,0.1&q=-4.325,15.3222222222 (Kinshasa)&t=h]Kinshasa[/url].
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D’aprés des sources concordantes, l’honorable Eugéne Diomi Ndongala serait enfin libéré, suite á l’intervention de la mission des Nations Unies á Kinshas (MONUSCO) et certains députés de l’opposition, qui seraient venus s’assurer de sa libération sans condition.
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Eugène Diomi Ndongala (à gauche) aux côtés du leader du principal parti d’opposition Etienne Tshisekedi, le 22 juin 2012, quelques jours avant sa disparition.
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C’est la deuxiéme fois consécutive que ce dernier soit arreté dans des conditions louches et inopinées. L’honorable Eugéne Diomi Ndongala, un proche d’Etienne Tshisekedi, le candidat déchu de l’élection présidentielle du Novembre 2011, s’est fait l’avocat du peuple Congolais depuis une décennie.
Opposant farouche au régime Kléptocrate et sécuritocrate de Joseph Kabila, il dévoile á travers ses websites, ses meetings populaires et interviews, la corruption, l’abus de droit de l’homme, la souffrance du peuple congolais, infligéé par le régime sans vision de Joseph Kabila. Il est cependant devenu la béte noire des agents de l’ANR, et de certains députés de la majorité présidentielle, mais qui plus est, l’ennemie personnel de Joseph Kabila.
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»Il dérange et il faut le museler », explique le député Martin Fayulu, pour qui les méthodes du pouvoir sont connues.
En 2011, le 12 décembre 2001, vers 7h15’, madame Patricia Cicci Diomi, épouse de monsieur Eugène Diomi Ndongala (président du Front pour la Survie de la Démocratie) a été agressée par deux hommes armés en tenue militaire qui lui ont barré la route à 200 m de sa résidence sise avenue Kamanyola, non loin de la cité de l’OUA, dans la commune de [url=http://maps.google.com/maps?ll=-4.34888888889,15.2527777778&spn=0.1,0.1&q=-4.34888888889,15.2527777778 (Ngaliema)&t=h]Ngaliema[/url].
En 2012, Mr. Eugéne Diomi Ndongala fut enlevé et détenu dans un lieu secret, par les agents de l’ANR pour l’interroger au sujet des actions que mènerait le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi, pour conquérir le pouvoir. Aprés plus de 100 jours de détention arbitraire et sans être jugé, il fut relaché suite á la pression exercéé par la France á la veille de la tenue du sommet de la Francophonie á Kinshasa.
En Octobre cette année, une procédure de la levée de l’immunité d’Eugéne Diomi Ndongala a été entamée par le pouvoir en place. Après la lecture des réquisitoires du procureur, le président de l’[url=http://maps.google.com/maps?ll=48.861899,2.318605&spn=1.0,1.0&q=48.861899,2.318605 (National%20Assembly%20of%20France)&t=h]Assemblée nationale[/url], Aubin Minaku, avait évoqué la nécessité d’entendre ce dernier conformément au règlement intérieur de son institution.
Le bureau de la chambre basse du Parlement avait accordé vingt-quatre heures au député Eugène Diomi Ndongala.
Le président de l’Assemblée nationale avait également annoncé la mise en place « dans les prochains jours » d’une commission qui doit statuer sur la question de la levée de l’immunité de ce dernier avant une prise de position officielle de la chambre basse du parlement.
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Le plus grand péché d’Eugéne Diomi Ndongala serait d’être un opposant farouche et vertebré á Joseph Kabila. A maintes réprises, il a repoussé les »intermediaires » du pouvoir, qui ont tenté d’acheter sa conscience avec une somme d’argent exorbitante, comme l’ont fait certains de ses amis.
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Par Guylain Gustave Moke
WordPress/AFP
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Ci c´est vrai, donc la politique congolaise ne mérite même plus d´être un sujet des débats.Mwana Ya Lola a écrit:Flick de Kolwezi a écrit:Soyons quand même sérieux et ayons un peu la logique des choses.
Diomi est une grande personnalité polique après tout.
Il a bien su qu´il lui a été interdit de quitter le pays,
mais wana mutu makasi ki pomba nde mutu etindi ye abima na nko.
Il a quand même des avocats pour lutter contre cette injustice.
Pourquoi se faire humilier ainsi, alors qu´il peut sortir victorieux dans cette affaire.
Au lieu que la pression extérieure jouée pour la libérer cette fois-ci.
Cette pression devrait pas seulement attendre son arrestation, mais plutôt,
faire que son droit soit d´abord respecté.
Mais est-ce que cette interdiction que quitter le territoire lui avait été préalablement signifié par le parquet ?
Selon certaines sources, cela n'a jamais été fait (v. article Congoindependant). Si c'est le cas, tout ceci relève de l'arbitraire.
Cette histoire de viol n'ira nulle par, tout le monde le sait. Le pouvoir veut juste faire taire le dernier étendard de Tshisekedi.
A ce rythme, les extrémistes du camp Kabila vont entraîner leur chef dans un trou, comme ce fut le cas avec Mobutu.
Flick de Kolwezi
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
CA FAIT LONGTEMPS QU EN RDC ON NE FAIT PLUS DE LA POLITIQUE DANS LE SENS LE PLUS NOBLE DU TERME; VOILA POURQUOI NOUS PRONONS LE CHANGEMENT
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Le changement commence par l'individu ...
Diomi n'est pas saint dans la gestion de la chose publique.
Il a ete vire en tant que minsitre a cause de son incompetence vole d'argent, nepotisme, etc...
Le peuple merite ses leaders...
je ne mentione meme pas cette histoire des fesses...
Diomi n'est pas saint dans la gestion de la chose publique.
Il a ete vire en tant que minsitre a cause de son incompetence vole d'argent, nepotisme, etc...
Le peuple merite ses leaders...
je ne mentione meme pas cette histoire des fesses...
zobattants
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
ZOBA TU REALTE TJRS DE FAUSSE INFORMATIONS: KABILA A LIMOGE DIOMI DU GOUVERNEMENT D UNION NATIONALE CAR CELUI CI LE GENAIT DANS L APPROPRIATION DE SA PART DES RICHESSES MINIERE: EN PARTICULIER, DIOMI NDONGALA AVAIT CLAIREMENT EXPLIQUE A KABILA QUE LE CONTRAT EMAXON AURAIT AMENE LA MIBA A LA FAILLITE: CHOSE QUIS EST BIEN REALISEE...
DE PLUS, LA PUBLICATION TOUS LES JOUR SUR LE SITE DU MINISTERE DES MINES DE TOUTES LES EXPORTATIONS DETAILLES ET LEGALES EMPECHAIT LE TRAFIQUE DES MINIERES ADOPTE COMME MODUS OPERANDI PAR UNE CERTAINS MAFIA QUI NE POUVAIT PAS ACCEPTER LA TRANSPARENCE DANS LE SECTEUR: SI VOUS VOULEZ ON PEUT DEVOILER D AUTRES "SECRETS" D ETAT...A VOUS DE NOUS DIRE SI NOUS DEVONS CONTINUER....
DE PLUS, LA PUBLICATION TOUS LES JOUR SUR LE SITE DU MINISTERE DES MINES DE TOUTES LES EXPORTATIONS DETAILLES ET LEGALES EMPECHAIT LE TRAFIQUE DES MINIERES ADOPTE COMME MODUS OPERANDI PAR UNE CERTAINS MAFIA QUI NE POUVAIT PAS ACCEPTER LA TRANSPARENCE DANS LE SECTEUR: SI VOUS VOULEZ ON PEUT DEVOILER D AUTRES "SECRETS" D ETAT...A VOUS DE NOUS DIRE SI NOUS DEVONS CONTINUER....
KOTA
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