LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
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Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
LE MYSTERE DE L´ASSASSINAT DE LDK
Il reste Kapend ce que Joé qui avait promis de faire la lumière sur l´assassinat de LDK n a jamais eu l´intention de tenir sa parole
Certaines personnes disent que c´est avant tout par "peur" d´être assassiné lui même s´il ose vouloir creuser cette histoire, tandis que d´autre affirment que..Joé est celui qui a beneficié de ce crime..donc, il n´a aucune raison de réouvrir le procès ou de "gracier" ceux qui sont en prison á Makala
Il reste Kapend ce que Joé qui avait promis de faire la lumière sur l´assassinat de LDK n a jamais eu l´intention de tenir sa parole
Certaines personnes disent que c´est avant tout par "peur" d´être assassiné lui même s´il ose vouloir creuser cette histoire, tandis que d´autre affirment que..Joé est celui qui a beneficié de ce crime..donc, il n´a aucune raison de réouvrir le procès ou de "gracier" ceux qui sont en prison á Makala
GHOST
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
RDC : Fatou BEN SOUDA à Kinshasa, l’étau final pour le criminel «Joseph KABILA»
http://afrique.kongotimes.info/rdc/justice/5914-kabila-devant-mur-infranchissable-congo-fatou-ben-souda-kinshasa-etau-final-pour-joseph.html
Kabila, Signataire de l’accord-cadre d’Addis-Abeba, J. Kabila est entre le marteau et l’enclume.
Le gouvernement congolais a le devoir de veiller à l’application de cet accord, il a l’obligation d’arrêter et transférer tous les criminels recherchés par la justice Internationale,
Kinshasa aura-t-il le courage de livrer ces hautes personnalités ?
Par ailleurs, les propos captés auprès de nos sources à l’ambassade de France, J. Kabila est désormais dans l’étau
la procureure de la CPI arrive à Kinshasa avec des nouveaux mandats d’arrêt, et dans ce lot d’enveloppes, on parle dans ces cercles de renseignement des noms d’André Kimbuta, gouverneur actuel de la ville de Kinshasa, aussi de Zoé Kabila, qui ont été cités dans plusieurs rapports comme responsables de la répression brutale et meurtrière du 26 novembre 2011 à l’aéroport de Ndjili.
L’autre nom est celui du général Oleko, apparu dans l’enquête préliminaire fait par les interpellateurs de la CPI qui séjournent dans la discrétion à Kinshasa.
Ils ont des images de la barbarie policière lors de l’arrivée d’Etienne Tshisekedi d’Afrique du Sud en mars 2013.
Mais les plus cités sont celui de Sultani Makenga du M23, ainsi que du très célèbre général, l’intouchable John Numbu, accusé de crimes contre l’humanité dans le dossier « Budia du Congo », l’affaire ayant conduit à la mort de Floribert Chebeya et Fidele Bazzana.
L'Ultimatum expire le 14 JUIN 2013
http://afrique.kongotimes.info/rdc/justice/5914-kabila-devant-mur-infranchissable-congo-fatou-ben-souda-kinshasa-etau-final-pour-joseph.html
Kabila, Signataire de l’accord-cadre d’Addis-Abeba, J. Kabila est entre le marteau et l’enclume.
Le gouvernement congolais a le devoir de veiller à l’application de cet accord, il a l’obligation d’arrêter et transférer tous les criminels recherchés par la justice Internationale,
Kinshasa aura-t-il le courage de livrer ces hautes personnalités ?
Par ailleurs, les propos captés auprès de nos sources à l’ambassade de France, J. Kabila est désormais dans l’étau
la procureure de la CPI arrive à Kinshasa avec des nouveaux mandats d’arrêt, et dans ce lot d’enveloppes, on parle dans ces cercles de renseignement des noms d’André Kimbuta, gouverneur actuel de la ville de Kinshasa, aussi de Zoé Kabila, qui ont été cités dans plusieurs rapports comme responsables de la répression brutale et meurtrière du 26 novembre 2011 à l’aéroport de Ndjili.
L’autre nom est celui du général Oleko, apparu dans l’enquête préliminaire fait par les interpellateurs de la CPI qui séjournent dans la discrétion à Kinshasa.
Ils ont des images de la barbarie policière lors de l’arrivée d’Etienne Tshisekedi d’Afrique du Sud en mars 2013.
Mais les plus cités sont celui de Sultani Makenga du M23, ainsi que du très célèbre général, l’intouchable John Numbu, accusé de crimes contre l’humanité dans le dossier « Budia du Congo », l’affaire ayant conduit à la mort de Floribert Chebeya et Fidele Bazzana.
L'Ultimatum expire le 14 JUIN 2013
djino
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
EDDY KAPEND
Selon Congo Mikili, Eddy Kapend serait aussi mort,,á Makala..ainsi tous ceux qui "savent" et qui peuvent temoigner comment LDK avait été éliminé sont effacés un après un à la fin du mandat de Joé, tous seraient sans doute morts..
Mr Djino
La liste de la CPI est longue..John Numbi se trouve en bonne place dans l´affaire Bundu Dia Kongo..tout comme certains généraux doivent accompagner sans doute Terminator....qui ne garde pas silence..á la CPI..ceux qui lui ont livrés les armes..et participaient aux pillages des minerais ne dorment pas tranquilles
Joé de plus en plus menacé ? Wait and see La CPI est une arme au service de ceux qui decident sur la planète Si Joé rêve de modifier la constitution et de s ´accrocher au pouvoir, il faut lui donner un signal fort..
WAIT AND SEE
Selon Congo Mikili, Eddy Kapend serait aussi mort,,á Makala..ainsi tous ceux qui "savent" et qui peuvent temoigner comment LDK avait été éliminé sont effacés un après un à la fin du mandat de Joé, tous seraient sans doute morts..
Mr Djino
La liste de la CPI est longue..John Numbi se trouve en bonne place dans l´affaire Bundu Dia Kongo..tout comme certains généraux doivent accompagner sans doute Terminator....qui ne garde pas silence..á la CPI..ceux qui lui ont livrés les armes..et participaient aux pillages des minerais ne dorment pas tranquilles
Joé de plus en plus menacé ? Wait and see La CPI est une arme au service de ceux qui decident sur la planète Si Joé rêve de modifier la constitution et de s ´accrocher au pouvoir, il faut lui donner un signal fort..
WAIT AND SEE
GHOST
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
En vidéo Conférence avec le G8 KOFFI ANNAN dira :
"La République démocratique du Congo a ainsi perdu près de 1,4 milliard de dollars dans cinq contrats où des sociétés écrans ont été utilisées.
C'est presque le double du budget consacré en 2012 (par la RDC) à la santé et l'éducation"......
http://m.diasporas-news.com/Kofi-Annan-fustige-la-fraude-fiscale-fleau-pour-l-Afrique_a5954.html
"La République démocratique du Congo a ainsi perdu près de 1,4 milliard de dollars dans cinq contrats où des sociétés écrans ont été utilisées.
C'est presque le double du budget consacré en 2012 (par la RDC) à la santé et l'éducation"......
http://m.diasporas-news.com/Kofi-Annan-fustige-la-fraude-fiscale-fleau-pour-l-Afrique_a5954.html
djino
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
Compatriotiquement!"Des enlèvements se perpétuent dans la ville de Kinshasa
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=8157
Kalev Mutond, l’administrateur général de l’Agence nationale de renseignements (ANR). Photo GLM
Depuis l’an 2010, le Réseau africain de la Jeunesse en RDC est devenue la cible des autorités politiques à cause de la prise de position de ses dirigeants qui n’ont cessé de crier haut et fort en dénonçant la mauvaise gouvernance au détriment des intérêts des jeunes.
Il sied de porter à la connaissance de tous que ce réseau est un regroupement des ONGs, mouvements et associations de jeunesses réunis afin de promouvoir les intérêts des jeunes, de pousser le politique à respecter ses engagements vis-à-vis de la jeunesse.
Ce réseau, considéré comme un groupe de pression, a vu ses dirigeants être assassinés, enlevés et portés disparus.
C’est le cas de Tshovo Tshikez assassiné le 11 juillet 2011, de Makambo Ethambe assassiné le 08 janvier 2012, de Liomba Gbandungu, assassiné avec son épouse le 14 février 2012, et de Tshimanga Massangi assassiné le 06 janvier 2013 devant son domicile. Tous étaient membres du Conseil d’administration du Réseau Africain de la Jeunesse-RDC, et estimés dangereux par les autorités politiques.
Ces cas patents d’homicide n’ont été suivis d’aucune enquête judiciaire. Et pourtant il y a eu mort d’hommes, tués de sang-froid par des éléments de la police, des agents de renseignement, et d’autres cagoulés. Les instigateurs de ces homicides s’imaginent être au-dessus des lois.
Le président du Réseau Africain de la Jeunesse-RDC à l’époque, M. Sassa Pompidou, à qui le gouverneur avait convaincu de travailler avec lui pour l’épanouissement de la jeunesse de la ville parce que le développement n’a pas de couleur politique, a échappé à plus d’une fois à la mort physique. Il a été considéré comme moteur et tête pensante de ce groupe de pression. Depuis, sa famille a toujours été inquiétée. Marjo, son épouse, a été arrêtée à plusieurs reprises et violentée. Sa dernière arrestation date du mois de juin 2013 où elle a passé dix-huit jours dans les locaux de l’Agence nationale des renseignements.
En application du mandat d’arrêt émis à son nom, et suite à une confusion de nom, l’oncle paternel de M. Sassa a été arrêté dans la province de l’Equateur en fin février 2013. Après vérification, il s’est avéré que l’appréhendé n’était pas l’intéressé. Ils portent le même nom mais pas le même prénom, et ils n’ont pas le même âge, l’oncle étant plus agé : 71 ans. Auguy Sassa (oncle) a été relâché après quatres jours de détention illégale.
Monsieur Luyeye Gambinga Germain, secrétaire général du Réseau Africain de la Jeunesse-RDC, s’est vu très inquiété, sa famille et lui-même. Il a été enlevé depuis le mois de janvier 2013, et nul ne connaît le lieu de sa détention. Est-il en vie ou mort ? Nul ne le sait.
Il en est de même de plusieurs leaders de ce Réseau, notamment Ekanga Lucien et Ngalamulume André enlevés en février et avril 2011. Aucune de leurs nouvelles jusqu’à ce jour.
La famille de M. Germain Gambinga est fortement menacée pour des raisons infondées. Son épouse et son père ont été l’objet de plusieurs arrestations depuis le mois de janvier 2013. L’Etat, censé défendre ses citoyens, les martyrise.
En début du mois de juillet 2013, l’Etat vient de fermer les bureaux du Réseau Africain de la Jeunesse-RDC et les policiers et militaires ont été placés tout autour. Il n’existe plus de liberté d’opinion ni d’expression. Les jeunes sont délaissés à leur triste sort.
Plusieurs organisations de droits de l’homme ont été contactées pour faire pression afin d’élucider toutes ces situations obscures et malheureuses.
Massimango René
SGA RAJ-RDC"
ndonzwau
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
RDC/ TEMOIGNAGE DE Chouna Mangondo, journaliste:l’ANR m’a demandé d’empoisonner des opposants
http://democratiechretienne.org/2013/08/08/rdc-temoignage-de-chouna-mangondo-journalistelanr-ma-demande-dempoisonner-des-opposants/
KOTA
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
CSJ: un député MSR risque la peine de mort
Mardi, 13 Août 2013 10:48 30
Le député national Muhindo Nzingi, élu du Nord-Kivu sur la liste MSR (Mouvement Social pour la République), dont l'autorité morale est Pierre Lumbi, Conseiller spécial de Joseph Kabila en matière de Sécurité, risque la peine de mort. C'est ce qui ressort des infractions retenues à sa charge par la Cour Suprème de Justice, qui l'a jugé ce lundi 12 août en procédure de flagrance, pour outrage au Chef de l'Etat, atteinte à la Sécurité intérieure et extérieure de l'Etat et incitation de la population à la révolte. Les deux dernières infractions, selon le Code Pénal congolais, sont passibles de la peine de mort.
Entendu en l'absence de ses avocats avant une première suspension de l'audience,, il n'a pu bénéficier d'une assistance judiciaire qu'à la reprise de l'audience, un panel de quatre avocats étant descendus en catastrophe à la haute cour pour solliciter une remise, le temps de s'imprégner du dossier. Selon le président de la séance, les avocats de la défense devraient présenter leur plaidoirie ce mardi 13 août, suivie de la réquisition du ministère public et du verdict.
Mais en fait d'infractions, le député Muhindo a participé, dimanche 11 août à Goma où il était en vacances parlementaires, à une émission spéciale de la radio "Kivu One" de Magloire Paluku, consacrée à la guerre de l'Est. Dans son intervention, il a demandé au Chef de l'Etat d'engager réellement les FARDC dans cette guerre, afin de libérer les territoires occupés, faute de quoi les populations du Nord-Kivu allaient prendre leurs responsabilités, à l'instar d'autres peuples en Afrique.Aussitôt après sa sortie du studio, il a été intercepté au premier coin de la rue par un commando que l'on dit avoir agi sous les ordres d'un jeune frère du gouverneur Julien Paluku, sans titre ni droit, conduit illico presto à l'aéroport de Goma, jeté dans le premier avion en partance pour Kinshasa et placé en détention dans un cachot de l'ANR (Agence nationale des Renseignements). Lundi matin, il a subi un interrogatoire serré au Parquet général de la République avant d'être déféré devant la Cour Suprème de Justice.
A en croire des analystes politiques, l'arrestation du député Muhindo du MSR, un parti de la Majorité présidentielle, est à considérer comme un signe de la rupture entre Kabila et Pierre Lumbi, que plusieurs langues donnent partant depuis plusieurs semaines.
7sur7
condamner quelqu'un à mort à cause d'un point de vue et surtout pour défendre l'intégrité de son pays dépasse tout entendement.
IN CRO YABLE .
Mardi, 13 Août 2013 10:48 30
Le député national Muhindo Nzingi, élu du Nord-Kivu sur la liste MSR (Mouvement Social pour la République), dont l'autorité morale est Pierre Lumbi, Conseiller spécial de Joseph Kabila en matière de Sécurité, risque la peine de mort. C'est ce qui ressort des infractions retenues à sa charge par la Cour Suprème de Justice, qui l'a jugé ce lundi 12 août en procédure de flagrance, pour outrage au Chef de l'Etat, atteinte à la Sécurité intérieure et extérieure de l'Etat et incitation de la population à la révolte. Les deux dernières infractions, selon le Code Pénal congolais, sont passibles de la peine de mort.
Entendu en l'absence de ses avocats avant une première suspension de l'audience,, il n'a pu bénéficier d'une assistance judiciaire qu'à la reprise de l'audience, un panel de quatre avocats étant descendus en catastrophe à la haute cour pour solliciter une remise, le temps de s'imprégner du dossier. Selon le président de la séance, les avocats de la défense devraient présenter leur plaidoirie ce mardi 13 août, suivie de la réquisition du ministère public et du verdict.
Mais en fait d'infractions, le député Muhindo a participé, dimanche 11 août à Goma où il était en vacances parlementaires, à une émission spéciale de la radio "Kivu One" de Magloire Paluku, consacrée à la guerre de l'Est. Dans son intervention, il a demandé au Chef de l'Etat d'engager réellement les FARDC dans cette guerre, afin de libérer les territoires occupés, faute de quoi les populations du Nord-Kivu allaient prendre leurs responsabilités, à l'instar d'autres peuples en Afrique.Aussitôt après sa sortie du studio, il a été intercepté au premier coin de la rue par un commando que l'on dit avoir agi sous les ordres d'un jeune frère du gouverneur Julien Paluku, sans titre ni droit, conduit illico presto à l'aéroport de Goma, jeté dans le premier avion en partance pour Kinshasa et placé en détention dans un cachot de l'ANR (Agence nationale des Renseignements). Lundi matin, il a subi un interrogatoire serré au Parquet général de la République avant d'être déféré devant la Cour Suprème de Justice.
A en croire des analystes politiques, l'arrestation du député Muhindo du MSR, un parti de la Majorité présidentielle, est à considérer comme un signe de la rupture entre Kabila et Pierre Lumbi, que plusieurs langues donnent partant depuis plusieurs semaines.
7sur7
condamner quelqu'un à mort à cause d'un point de vue et surtout pour défendre l'intégrité de son pays dépasse tout entendement.
IN CRO YABLE .
King David
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
King David asali nini? Solola malamuAKABANGA a écrit:Ahhhhhh roi david:D
King David
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
King David a écrit:CSJ: un député MSR risque la peine de mort
Mardi, 13 Août 2013 10:48 30
Le député national Muhindo Nzingi, élu du Nord-Kivu sur la liste MSR (Mouvement Social pour la République), dont l'autorité morale est Pierre Lumbi, Conseiller spécial de Joseph Kabila en matière de Sécurité, risque la peine de mort. C'est ce qui ressort des infractions retenues à sa charge par la Cour Suprème de Justice, qui l'a jugé ce lundi 12 août en procédure de flagrance, pour outrage au Chef de l'Etat, atteinte à la Sécurité intérieure et extérieure de l'Etat et incitation de la population à la révolte. Les deux dernières infractions, selon le Code Pénal congolais, sont passibles de la peine de mort.
Entendu en l'absence de ses avocats avant une première suspension de l'audience,, il n'a pu bénéficier d'une assistance judiciaire qu'à la reprise de l'audience, un panel de quatre avocats étant descendus en catastrophe à la haute cour pour solliciter une remise, le temps de s'imprégner du dossier. Selon le président de la séance, les avocats de la défense devraient présenter leur plaidoirie ce mardi 13 août, suivie de la réquisition du ministère public et du verdict.
Mais en fait d'infractions, le député Muhindo a participé, dimanche 11 août à Goma où il était en vacances parlementaires, à une émission spéciale de la radio "Kivu One" de Magloire Paluku, consacrée à la guerre de l'Est. Dans son intervention, il a demandé au Chef de l'Etat d'engager réellement les FARDC dans cette guerre, afin de libérer les territoires occupés, faute de quoi les populations du Nord-Kivu allaient prendre leurs responsabilités, à l'instar d'autres peuples en Afrique.Aussitôt après sa sortie du studio, il a été intercepté au premier coin de la rue par un commando que l'on dit avoir agi sous les ordres d'un jeune frère du gouverneur Julien Paluku, sans titre ni droit, conduit illico presto à l'aéroport de Goma, jeté dans le premier avion en partance pour Kinshasa et placé en détention dans un cachot de l'ANR (Agence nationale des Renseignements). Lundi matin, il a subi un interrogatoire serré au Parquet général de la République avant d'être déféré devant la Cour Suprème de Justice.
A en croire des analystes politiques, l'arrestation du député Muhindo du MSR, un parti de la Majorité présidentielle, est à considérer comme un signe de la rupture entre Kabila et Pierre Lumbi, que plusieurs langues donnent partant depuis plusieurs semaines.
7sur7
condamner quelqu'un à mort à cause d'un point de vue et surtout pour défendre l'intégrité de son pays dépasse tout entendement.
IN CRO YABLE .
Et que l'on continue à nous faire avaler que celui qui fait assassiner les Congolais qui dénoncent l'agression rwandaise est en danger de se faire assassiner...Libre Examen a écrit:Que ne put-on faire raconter ou faire croire !
Que Joseph Kabila Kabange serait en danger de se faire assassiner si jamais il dénonçait le Rwanda et l'Ouganda comme des agresseurs du Congo !
Les faits ne disent-ils pas autre chose ? Ne serait-pas plutôt que tout Congolais qui ose accuserle Rwanda de Paul Kagamé et l'Ouganda court le risque de se faire assassiner par Joseph Kabila Kabange ?
Avions-nous oublié comment il a honni Vital Kamerhe parce qu'il avait osé dénoncer l'entrée de l'armée rwandaise au Kivu ?
Avions-nous oublié les menaces centre le docteur Mukwege ?
Avions-nous oublié qu'on raconte que le général Mbuza Mabe aurait été empoisonné parce qu'il était un danger contre les groupes armés soutenus par le Rwanda ?
Combien des personnalités connues du Kivu ont trouvé la mort de façon mystérieuse pace qu'elles ont osé dénoncer les agressions rwandaises ?
[...]
Ce sont plutôt les Congolais qui dénoncent le Rwanda et l'Ouganda qui sont en danger de se faire assassiner par Joseph Kabila Kananga.
Libre Examen
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
APPEL DE L’ORGANISATION MONDIALE CONTRE LA TORTURE, OMCT, EN FAVEUR DE L’HON. EUGENE DIOMI NDONGALA / 30/07/2013
http://democratiechretienne.org/2013/07/30/appel-de-lorganisation-mondial-contre-la-torture/
http://democratiechretienne.org/2013/07/30/appel-de-lorganisation-mondial-contre-la-torture/
KOTA
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
RDC : un détenu Norvégien meurt en prison
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-un-detenu-norvegien-meurt-en-prison
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-un-detenu-norvegien-meurt-en-prison
djino
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
Exclusivité: La mère de Gecoco réclame son fils disparu au mains des autorités ,..CONGOMIKILI
« Nous étions en train de faire du champ. Directement les policiers ont surgi. Ils ont commencé à nous menacer afin de sortir du site car, selon eux, le site est vendu. Donc il est interdit d’y faire le champ. Nous leur avons dit : ‘Non, nous ne quitterons pas ce site qui nous aide à vivre avec les enfants et grâce auquel les enfants étudient’. Ils ont insisté pour nous chasser. C’est ainsi que nous avons couru vers l’honorable [député] afin de venir plaider notre cause. Aussitôt arrivé, l’honorable n’avait encore dit mot que les policiers l’ont envahi. Du coup, ils ont commencé à le tabasser sauvagement. Ils ont déchiré ses habits au vu et au su de la foule. Ça nous a étonné de voir des policiers humilier un élu du peuple. C’est du jamais vu, c’est très choquant. »
http://radiookapi.net/actualite/2013/08/21/rdc-le-depute-leon-mulumba-du-pprd-sest-evade-du-cachot-du-parquet-de-matete/
Vive l'état de droit en RDC un député du PPRD s'est évadé du parquet où il devait comparaître après qu'il a été tabassé par des policiers pendant qu'il tentait de prendre fait et cause pour des femmes maraîchères qui avaient justement maille à partir avec les mêmes policiers! Un député tabassé par des policiers alors qu'il essayait d'intervenir pour ses administrés ko kamwa......kiadi yymm
« Nous étions en train de faire du champ. Directement les policiers ont surgi. Ils ont commencé à nous menacer afin de sortir du site car, selon eux, le site est vendu. Donc il est interdit d’y faire le champ. Nous leur avons dit : ‘Non, nous ne quitterons pas ce site qui nous aide à vivre avec les enfants et grâce auquel les enfants étudient’. Ils ont insisté pour nous chasser. C’est ainsi que nous avons couru vers l’honorable [député] afin de venir plaider notre cause. Aussitôt arrivé, l’honorable n’avait encore dit mot que les policiers l’ont envahi. Du coup, ils ont commencé à le tabasser sauvagement. Ils ont déchiré ses habits au vu et au su de la foule. Ça nous a étonné de voir des policiers humilier un élu du peuple. C’est du jamais vu, c’est très choquant. »
http://radiookapi.net/actualite/2013/08/21/rdc-le-depute-leon-mulumba-du-pprd-sest-evade-du-cachot-du-parquet-de-matete/
Vive l'état de droit en RDC un député du PPRD s'est évadé du parquet où il devait comparaître après qu'il a été tabassé par des policiers pendant qu'il tentait de prendre fait et cause pour des femmes maraîchères qui avaient justement maille à partir avec les mêmes policiers! Un député tabassé par des policiers alors qu'il essayait d'intervenir pour ses administrés ko kamwa......kiadi yymm
Dernière édition par Mathilde le 23/8/2013, 10:30 pm, édité 1 fois
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
Posa kolela ekomi far west monto nionso aza na pouvoir akoma gang? Bana Kigabwa batelema Zut.
Aza kofuta mpo na Gecoco lokola bakanga ye lokola DIOMI et les autres il faut le faire taire d'une autre façon donc l'atteindre par ceux qui lui sont chères.
mongo elombe
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
Les amis, n'oublions pas l'Hon. Butondo Muhindo Nzangi. Au moment où vont commencer les fameuses concertations nationales, maintenons la pression pour sa libération, sa réhabilitation, et la reconnaissance des vérités qu'il a dites (le gouverneur J.Paluku semble être parmi ceux qui donnent enfin raison à Nzangi).
Bande originale de l'enregistrement audio des propos qu'avait tenus sur radio Kivu1 le député MUHINDO NZANGI BUTONDO, élu de la ville de Goma, au Nord-Kivu (R.D.du Congo).
Arrêté quelque temps seulement après cette émission, le dimanche 11 août 2013, il avait été transféré à Kinshasa, jugé en flagrance et condamné deux jours plus tard par la Cour suprême de Justice de la RDCongo à 3 ans de prison ferme pour "atteinte à la sûreté de l'Etat", sur base des propos ci-enregistrés.
Notre objectif en rendant public ce son est de permettre à toute personne qui le souhaite de juger par elle-même du bien fondé ou non de cette condamnation. Pour notre part (nous, le mouvement citoyen LUTTE pour le CHANGEMENT - LUCHA), nous considérons Monsieur Muhindo Nzangi (qui purge actuellement sa peine à la prison de Makala à Kinshasa) comme un prisonnier d'opinion politique et ne cesserons d'exiger sa libération et sa réhabilitation. Nous espérons qu'après avoir écouté ce son, l'opinion publique nationale et internationale se mobilisera avec nous pour soutenir ce courageux jeune député, qui n'a dit que la pure vérité sur ce qui se passe dans cette province martyr du Nord-Kivu. La paix dont tout le monde parle en RDC sera impossible aussi longtemps que l'on étouffera les libres opinions des citoyens sur les problèmes qui les concerne, et dont ils ont tant souffert. Pour tout contact, écrivez-nous à lucha.rdc@gmail.com, appelez-nous au +243 99 4645 977 ou suivez-nous sur Facebook (Lucha RD Congo) et sur Twitter (@luchardc). La lutte pour la liberté et la dignité de notre Peuple continue...
https://soundcloud.com/lucha-rdcongo/les-propos-de-nzangi-sur-kivu
Député Muhindo Nzangi, la vérité qui n'était pas bonne à dire : enregistrement audio de ses propos
soundcloud.com
Bande originale de l'enregistrement audio des propos qu'avait tenus sur radio Kivu1 le député MUHINDO NZANGI BUTONDO, élu de la ville de Goma, au Nord-Kivu (R.D.du Congo).
Arrêté quelque temps seulement après cette émission, le dimanche 11 août 2013, il avait été transféré à Kinshasa, jugé en flagrance et condamné deux jours plus tard par la Cour suprême de Justice de la RDCongo à 3 ans de prison ferme pour "atteinte à la sûreté de l'Etat", sur base des propos ci-enregistrés.
Notre objectif en rendant public ce son est de permettre à toute personne qui le souhaite de juger par elle-même du bien fondé ou non de cette condamnation. Pour notre part (nous, le mouvement citoyen LUTTE pour le CHANGEMENT - LUCHA), nous considérons Monsieur Muhindo Nzangi (qui purge actuellement sa peine à la prison de Makala à Kinshasa) comme un prisonnier d'opinion politique et ne cesserons d'exiger sa libération et sa réhabilitation. Nous espérons qu'après avoir écouté ce son, l'opinion publique nationale et internationale se mobilisera avec nous pour soutenir ce courageux jeune député, qui n'a dit que la pure vérité sur ce qui se passe dans cette province martyr du Nord-Kivu. La paix dont tout le monde parle en RDC sera impossible aussi longtemps que l'on étouffera les libres opinions des citoyens sur les problèmes qui les concerne, et dont ils ont tant souffert. Pour tout contact, écrivez-nous à lucha.rdc@gmail.com, appelez-nous au +243 99 4645 977 ou suivez-nous sur Facebook (Lucha RD Congo) et sur Twitter (@luchardc). La lutte pour la liberté et la dignité de notre Peuple continue...
https://soundcloud.com/lucha-rdcongo/les-propos-de-nzangi-sur-kivu
Député Muhindo Nzangi, la vérité qui n'était pas bonne à dire : enregistrement audio de ses propos
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
Enquête 24: Qui a tué Adrien NALUMBU ? Le Poison circule dans la Fédération congolaise du Congo
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
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Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
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Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
"Procès Kabila : Qui a tué Yav Nawej et pourquoi est-il mort ?
° http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/proces-kabila-qui-a-tue-yav-nawej-142997
Condamné à perpétuité pour l’exécution de onze libanais dans l’arrêt rendu par la cour d’ordre militaire sur l’assassinat de l’ancien chef de l’Etat congolais Laurent Désiré Kabila. Le général yav nawej jean, ancien commandant militaire de la ville de Kinshasa, est décédé le jeudi 30 mai 2013 à l’hôpital général de Kinshasa après une longue maladie en prison. S’il a un secret, il a emporté.
Près de 13 ans après la mort tragique de l’ancien chef de l’Etat congolais, bien des interrogations demeurent. Le sujet reste tabou parmi la classe politique congolaise alors que le peuple est plus désireux de connaitre toute la vérité. On comprend alors pourquoi les gouvernements successifs se sont bien gardés en ont tout au moins évité de réactualiser un dossier qui pouvait devenir explosif.
La procédure, suivie devant la cour d’ordre militaire s’est déroulée sur fond d’intimidation des associations de défense des droits de l’homme et des avocats.
Les avocats des accusés n’ont pas eu accès à toutes les pièces de la procédure et les décisions de la COM ne sont, contre tout principe élémentaire de droit, susceptibles d’aucun appel.
Le verdict de la COM ne répond en rien à l’exigence de la vérité sur l’assassinat de l’ancien chef de l’Etat congolais.
Le passage du temps et les disparitions d’éléments matériels et des témoins empêcheront peut être à jamais d’atteindre une conclusion qui puisse satisfaire le besoin de chacun de donner un sens à cet événement terrible.
Le mystère persiste
Rachidi était-il le bouc-émissaire désigné par la conspiration pour protéger les véritables commanditaires de l’attentat et a-t-il été abattu par Kapend membre de cette conspiration pour éviter un procès qui aurait mis en danger les membres du complot ?
Il faut bien s’interroger sur les mobiles et les enjeux d’un tel acte. A qui l’assassinat a-t-il pu éventuellement profiter si la thèse du complot est retenue ?
Rachidi a été abattu et son procès n’a pas pu avoir lieu, on ne saura jamais ce qu’il aurait répondu au moment où il aurait été interrogé sur ses mobiles.
Fouiller le passer n’est pas toujours une chose facile et bien souvent on invoque la raison d’Etat quand on ne veut pas s’y résoudre. Le poids de l’histoire est parfois trop lourd à porter. La mort de Kabila reste un secret d’Etat mais gardons espoir la vérité ne résiste pas à l’histoire.
Le silence médiatique qui entoure ce meurtre m’amène à sortir de ma réserve pour vous faire part de mon inquiétude pour ces prisonniers politiques privés de droits fondamentaux. J’ai la conviction intime que les innocents ont été condamnés. Dieu merci il y aura toujours quelqu’un comme moi sur votre chemin pour redresser la barre.
Le général Yav Nawej victime d’une machination insidieuse.
La question que l’on se pose dans cette éventualité c’est celle de savoir qui pouvait en vouloir à Yav Nawej au point de lui vouloir la mort. Lorsqu’on sait que l’arrestation de Yav Nawej était de nature à servir d’écran de fumée qui empêcherait de voir l’auteur de l’exécution sommaire de onze ressortissants libanais dont trois mineurs.
L’exécution sommaire par des soldats congolais de onze ressortissants libanais accusés d’avoir été impliqué dans l’assassinat, le 16 janvier 2001, du défunt président de la Rd Congo Laurent Désiré Kabila a été ordonnée par le major Eric Lenge. Un homme de confiance, réputé pour la gâchette facile et son comportement de terreur, chargé d’exécuter des tâches délicates pour le compte du général major Hyppolite-joseph Kanambe Kabila. En retour, le major jouirait sans doute de l’impunité au sommet de l’Etat. Il joue le rôle déterminant dans la vague d’enlèvements, d’arrestations et torture juste après l’assassinat du Président Laurent Désiré Kabila. Le major Eric Lenge Shimba a fourni des militaires affectés à l’enlèvement et l’exécution extra judiciaire de onze libanais à Kibomango.
Les militaires impliqués dans la mort des libanais ont été poursuivis pour meurtre, tous disent d’avoir obéi à des ordres.
Les ordres venaient d’où ?
Cette question a mis la cour dans l’embarras, car au moment des faits, c’est le général-major Hyppolite-Joseph Kanambe Kabila alors le numéro deux de l’armée qui était le commandant direct de ces hommes.
La cour évitera d’approfondir la question qui pourra gêner le nouveau Président du Congo. Alors pourquoi le général-major Hyppolite-joseph Kanambe Kabila a-t-il ordonné l’assassinat de onze libanais ?
Le premier responsable et présumé coupable de ces crimes, est bel et bien Joseph Kabila. C’est lui qui devrait en premier lieu répondre des crimes imputés à ses troupes.
Ironie du sort, <<tentative de coup d’Etat manqué>> à Kinshasa dans la nuit du vendredi 11 juin 2004 par un groupe des militaires du groupe spécial de sécurité présidentielle(GSSP) sous le commandement du major Eric Lenge Shimba , officier de sécurité du GSSP, commandant GSSP/ ville de Kinshasa et proche du chef de l’Etat , général-major Hyppolite-Joseph Kanambe Kabila.
Il est surprenant que les insurgés <<encerclés>> dans une caserne par des militaires armés du GSSP réussissent à s’enfuir et traverser la ville de l’Ouest à l’Est sans rencontrer une résistance quelconque et sans qu’ils soient rapidement neutralisés.
La population a appris avec surprise dans la journée l’arrestation d’un petit nombre dont plus d’une dizaine de membres de commando tandis que le chef de file, Le major Eric Lenge Shimba et le gros du groupe auraient disparu dans la nature en abandonnant les véhicules militaires sur la route dans la province de Bas-Congo.
A vous de doter votre intelligence pour savoir un peu plus sur l’homme secret qui dirige notre pays avec défi depuis bientôt 13 ans.
Le général Yav Nawej meurt en détention
Il avait commencé des soins en prison et pendant longtemps on n’acceptait pas qu’il soit transféré à l’hôpital compte tenu de la gravité de l’infraction qu’on lui reprochait. Il était incarcéré depuis 12 ans dans la prison mouroir de Makala à Kinshasa. Le moins que l’on puisse dire, est que c’est un <<témoin gênant>> de moins pour Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila qui disparait en emportant ses secrets.
Le général Yav Nawej n’est pas mort, il a été tué, c’est un meurtre. Les règles minima sur la détention prévoient une alternative pour pallier ces insuffisances. Elles disposent en leur alinéa 2 (règle 22), que << pour les malades qui ont besoin de soins médicaux spéciaux il faut prévoir le transfert vers des établissements pénitentiaires spécialisés ou vers des hôpitaux civils. Or l’avocat de Yav Nawej dit avoir sollicité en maintes reprises le transfert de son client à l’hôpital, en vain. Mais cette autorisation administrative intervient, hélas, trop tard et c’est lorsque le cas s’est avéré grave que son transfert a été autorisé. Le moins que l’on puisse dire, c’est un homicide volontaire et non-assistance à personne en danger. Si l’homme avait une valeur pour eux, le général Yav Nawej ne serait pas mort en détention. Joseph Kabila et les autorités judiciaires doivent assumer toutes leurs responsabilités sur ce nouveau décès.
Jusqu’à quand la prison en Rd Congo restera –t-elle une zone de non-droit à la santé ? Il y a de quoi avoir honte de nos prisons ! Rappelons qu’une personne détenue est un être humain.
Pourquoi ne transfère – t- on les détenus malades qu’en phase terminale ?
Les détenus meurent et ils n’ont qu’un seul droit celui de le faire en silence pour ne pas gêner le sommeil des honnêtes citoyens persuadé qu’il ne se passe rien de grave dans le monde carcéral.
Ce que beaucoup de patriotes craignaient depuis 2001 est en train de se réaliser à savoir une mort lente mais soutenue, des présumés assassins du feu Laurent Désiré Kabila.
Battons-nous pour donner la parole à ceux pour qui on refuse le droit et la liberté d’expression en prison.
Les normes internationales et le droit congolais exigent que les morts en détention fassent, l’objet d’enquêtes exhaustives et impartiales.
Chacun sait que les vrais coupables sont dans la nature.
Il lui est reproché d’avoir attenté à la vie du chef de l’Etat, attentat commis en vue de changer le régime. Présenté avec le colonel Eddy Kapend comme étant l’âme du complot. Il a été arrêté en février 2001 et condamné à mort le 7 janvier 2003, ce général des forces de sécurité est mort suite à la négligence médicale systématique dont se plaint l’ensemble des prisonniers dans les prisons congolaises, où ils sont traités de façon inhumaine.
Dans cette affaire en effet il y’avait 30 condamnés à mort, 4 sont déjà morts faute de soins, d’autres toujours en prisons dont certains sont très malades, ils vivent un vrai calvaire dans la prison et nombreux sont ceux qui assistent impuissant à leur mort lente. Ils sentent qu’ils sont visés et qu’ils risquent la mort, à cause de la négligence médicale intentionnelle pratiqué par l’imposteur Hyppolite- joseph Kanambe. Ce criminel sent que sa fin fatidique approche, s’est résolue à exterminer tous les témoins gênant sur l’assassinat de soi-disant son <<père>>.
Parler, décrier sur les toits les pratiques de l’imposteur, peut à première vue paraître dérisoires face aux moyens matériels dont ils disposent pour imposer la mort. Croire à cela, c’est oublier que l’on peut tuer une personne mais pas la vérité. La vérité, elle, n’est pas morte empoisonnée, Joseph Kabila et autres complices, répondront devant l’histoire de leurs actes cruels, barbares, rejoignant en cela les Hitler, Staline et Cie.
Il reste pour urgent à rappeler les faits pour les moins surprenants. Dans son verdict du 7 janvier 2003, la cour d’ordre militaire (COM) de la République démocratique du Congo a condamné 30 personnes à mort à la peine capitale à l’issue d’un procès inique controversé par l’opinion internationale.
Le procès des assassins présumés de l’ancien chef de l’Etat congolais Laurent Désiré Kabila n’a été ni équitable ni transparent. La culpabilité des accusés n’a pas été démontrée de manière irréfutable.
Le pouvoir en place s’entête à maintenir en prison et indéfiniment des citoyens innocents dans le seul but de tuer.
Il est inconcevable de constater que des autorités chargées de la protection des citoyens les laissent plutôt mourir sans aucun d’âme. Une politique de non-assistance à personne en danger érigée en règle et soutenue par le plus haut sommet de l’Etat.
Les faits troublants
Lors du procès, les conclusions de l’expert en balistique et des médecins légistes, commis par la cour entrent en contradiction avec le témoignage du seul témoin oculaire, témoignage pour les moins douteux.
Pour l’expert en balistique, il lui paraissait scientifiquement impossible d’imaginer qu’une balle tirée à bout portant sur une tempe du Président avec un pistolet parabellum 9 mm reste incrustée dans le crâne.
Quant aux médecins légistes, les blessures faites par balles n’ont dû intervenir qu’après le décès, étant donné l’absence de saignement constaté sur place.
Pourquoi un médecin a –t-il été jugé pour <<vol>> lors de ce procès ?
Pourquoi l’arme du crime n’a-t-elle jamais été retrouvée ?
Emile Mota était-il présent au moment du meurtre ?
Pourquoi est- il en liberté alors qu’il brillé par des déclarations contradictoires lors du procès ?
Pourquoi l’ancien président de la cour d’ordre militaire, le général Mawele Bakongo, a été démis de ses fonctions ?
Kinshasa 5 octobre 2005, la condamnation à mort du colonel Charles Alamba Mangako, ancien procureur général près la cour d’ordre militaire, prononcée par la Haute Cour Militaire de la république démocratique du Congo. Il continue du fond de sa cellule du centre pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa, clamer son innocence. Il avait requis et obtenu la peine capitale contre une trentaine de personnes présumés avoir trempé dans le complot ayant conduit à l’assassinat de l’ancien chef de l’Etat congolais.
Autres faits surprenants
Le chargeur de l’arme du garde- corps qui aurait abattu l’ancien chef de l’Etat congolais à bout portant était plein.
Les témoins ont entendu trois détonations et pourtant quatre traces de balles ont été trouvées sur le corps.
Kinshasa 15 janvier 2001 : sur ordre du général-major Hyppolite-joseph Kanambe Kabila, chef d’Etat –major et commandant des forces terrestres, tous les militaires des forces armées résidant à Kinshasa sont désarmés. Sans explication.
Ce n’est pas, Hyppolite-joseph Kanambe Kabila qui a tiré le coup de feu fatal qui a tué L’ancien chef de l’Etat congolais Laurent Désiré Kabila, mais il ne peut pas affirmer qu’il en est étranger, ses gestes sont ceux d’un homme qui plante le décor, ou va se produire un grand événement, lourd de conséquences.
Il est curieux de constater que personne ne demandera à Hyppolite-joseph Kanambe Kabila des comptes sur son comportement pour le moins surprenant ! Sous d’autres cieux africains, à plus forte raison dans les capitales occidentales le commandant en chef des forces terrestres aurait été sommé de s’expliquer devant une commission d’enquête diligentée par l’assemblée nationale.
Libérez-les !
L’ancien président de la cour d’ordre militaire, le général Mawele Bakongo a annoncé que << le procès kabila n’est pas terminé>> les enquêtes se poursuivent. Depuis bientôt 13 ans Joseph Kabila et le gouvernement en place ne montrent aucun intérêt de rouvrir ce procès.
Je souhaite ainsi exprimer ma préoccupation quant cette situation qui perdure.
Le sort des présumés assassins de l’ancien chef de l’Etat Congolais, un scandale qui ne peut plus rester dans l’ombre. J’ai décidé à faire entendre la voix de sans voix et à faire ressurgir cette question longtemps ignorée.
Mes propos sont prétendument subversifs simplement parce qu’ils parlent d’une cause que l’on tente d’étouffer depuis bientôt 13 ans. Alors j’ai décidé d’utiliser tous les moyens à mes dispositions pour que l’on entende la voix de ceux qu’on laisse mourir au fond des cellules dans les prisons mouroir de la République. Je squatte internet pour ne pas mourir en silence et je sais cela finira par sensibiliser ceux qui ne savent pas, tandis que ceux qui savent font tout pour cacher la vérité.
Kivuila André"
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
http://democratiechretienne.org/2013/10/29/communique-de-la-fondation-bill-clinton-pour-la-paix-mort-suspecte-dun-detenu-en-prison-et-refus-de-remettre-le-corps-a-la-famille/
KOTA
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
RDC : «Joseph KABILA», incarnation du mal congolais
20/11/2013 08:43:00 KongoTimes!
image Joseph KABILA
Si «Nguz Karl i bond» pouvait revenir dans le monde des vivants ici sur terre, et partager avec nous les péripéties et inepties du régime de Joseph Kabila, il ne serait pas exclu qu’il reconsidère son accusation de l’incarnation du mal zaïrois, portée en son temps contre Mobutu Sese Seko, car ce dernier a su, tout de même, préserver la paix et l’intégrité du territoire dans sa globalité. Face à la désintégration de l’Etat congolais, l’ancien "Premier" porterait l’accusation d’«incarnation du mal congolais», en des termes appuyés, sur Joseph Kabila.
Notre thèse se fonde sur le fait que Joseph Kabila, malgré lui, a le mépris de la connaissance qui, à n’en point douter, serait un premier pas contre l’intolérance qui a conduit son régime dans l’arbitraire le plus scandaleux. N’a-t-il pas poussé les bandes armées à commettre, à travers le pays, tant d’horreurs dont les motivations demeurent l’enrichissement, l’autosatisfaction personnelle et l’abrutissement du peuple congolais ? Il porte la responsabilité d’avoir fait perdre la logique et le sens véritable de la réalité ! En sus, "Joseph" souffre d’un anti-intellectualisme évident !
Douze années après son accession à la tête de l’Etat, le Congo démocratique présente le spectacle d’un Etat en pleine liquidation, in fine en pleine cessation de paiement ! Incapable d’imposer une carrure d’homme d’Etat en face du monde, particulièrement de l’Ouganda et du Rwanda, ses voisins immédiats et agresseurs potentiels de notre territoire, en entraînant en plus une vague d’actes de vandalisme, de torture et de traitements cruels, inhumains et dégradants, contre nos filles, mères et grand’mères, du Nord et du Sud Kivu sans défense !
Plusieurs de nos soldats des FARDC sont par le passé tombés sur le champ de bataille, au début de cette guerre, avec la complicité des militaires rwandais et ougandais infiltrés dans nos forces armées et services de renseignements, par des accords bidons, sans valeur juridique réelle.
Nous faisons allusion à la présence de James Kabarebe, comme chef d’Etat major des Forces Armées congolaises, et pourtant sujet rwandais, qui est aujourd’hui, ministre de la Défense dans son pays d’origine ! Avec lui, plusieurs de ses lieutenants occupèrent des postes hautement stratégiques au sein de nos institutions ! Au sommet de l’Etat, dans le service de sécurité, la police et même dans les services générateurs de recettes publiques.
Aucune revendication de l’opposition n’est tolérée, et chaque Congolais, vivant au pays, est mis au pas par les nouveaux colonisateurs de la RDC, qui tiennent à balkaniser ce vaste pays pour le priver de ses richesses vitales, devant servir à son développement et son industrialisation ultérieure.
Nos ennemis intérieurs semblent croire que tous les Congolais ont perdu le sens de la raison ! Loin s’en faut. Car, comment peut-on faire croire aux citoyens du "Grand Congo", qui ont gagné la récente guerre, de signer un accord de paix avec les rebelles du M23 ? Est-ce qu’auparavant, y avait-il signature d’un accord lorsque l’AFDL de Laurent Désiré Kabila avait conquis les FAZ de Mobutu en 1997 ? Ou sommes-nous en face d’une mise en scène qui ne veut pas dire son nom ? Ou encore, est-on à la recherche d’arguments, pour endormir davantage les Congolais, afin de les faire vivre, un peu plus tard, l’effet de surprise qui nécessitera la balkanisation du pays ?
Nous réitérons notre affirmation de départ selon laquelle lorsqu’un ennemi est écrasé par une défaite militaire, comme on le prétend pour le gouvernement de Kinshasa, avec le M23, la logique aurait souhaité que les Forces armées congolaises, dans ce cas d’espèce, devraient dicter les conditions de paix et non pas les négocier, car les deux concepts n’ont pas le même contenu de signification ! Il en fut ainsi après la fin de la Première Guerre mondiale lorsque le 11 novembre 1918, la France victorieuse imposa ses conditions à l’Allemagne vaincue dans la forêt de Compiègne, à bord d’un wagon de chemin de fer.
Le sens de l’histoire oblige, et la France, à son tour, lorsqu’elle fut battue par Hitler, le Führer n’hésitera pas à convoquer les dirigeants français, dans la même forêt de Compiègne, à bord du même wagon de chemin de fer, pour dicter ses conditions à la France défaite. De même, une scène analogue se déroula le 8 mai 1945 lorsque les puissances alliées dictèrent au maréchal allemand Keitel les conditions de paix après la débâcle et l’écrasement des forces militaires nazies, à l’issue de la Deuxième guerre mondiale.
Puisque le porte-parole du gouvernement congolais, « Lambert », promet de signer finalement un accord de paix avec le M23, face à l’évidence, l’on peut conclure que la victoire des FARDC sur le M23, n’était qu’un décor d’illusions à faire avaler aux Congolais naïfs.
En attendant, le navire Congo ressemble plus que jamais à un vaisseau sans boussole. Kagame et Museveni imposent leur loi, face à un Joseph Kabila en crise d’imagination et d’autorité, étant lui-même un infiltré au service de ses parrains. Ceux-ci sont là pour exploiter à vil prix presque toutes les richesses du Congo, au détriment du peuple congolais mal nantis, dans un pays scandaleusement riche, mais qui laisse croître la disète à longueur des journées.
Or, du temps de Mobutu, en dépit de ses qualités et de ses défauts inhérents à la vie humaine, toute entreprise qui visait à perpétuer la misère du peuple zaïrois et de vendre une portion de la terre congolaise était annulée !
Congolais, engagez-vous pour chasser l’ennemi intérieur par un soulèvement populaire spontanée et soutenu par des actions de désobéissance civile, en suivant le modèle de la résistance de nos contemporains en France. Et pourquoi pas près de nous, en Egypte comme en Tunisie.
A présent, on n’a toujours pas entendu une famille déplorer dans n’importe quel camp militaire du pays, la mort d’un soldat tombé lors des récents combats à Goma et ses environs avec le M23. Nulle part aussi, l’on peut nous présenter les prisonniers de guerre. Pourtant, le moment est certes révolu de croire que les Congolais sont incultes et souffriraient de l’amnésie collective.
Et si « Nguz » pouvait revenir dans ce monde, il reverrait son livre sur Mobutu et confirmerait que c’est « Joseph Kabila », au regard des faits, qui est l’incarnation du mal congolais.
Congolais, mettons-nous ensemble pour construire notre propre destin. Nous devons pour cela empêcher, à travers nos actions, Joseph Kabila, de dormir tranquillement, parce qu’il tient mordicus à demeurer président de la République, à l’encontre de toutes résistances du peuple congolais.
Bamba-di-Lelo
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20/11/2013 08:43:00 KongoTimes!
image Joseph KABILA
Si «Nguz Karl i bond» pouvait revenir dans le monde des vivants ici sur terre, et partager avec nous les péripéties et inepties du régime de Joseph Kabila, il ne serait pas exclu qu’il reconsidère son accusation de l’incarnation du mal zaïrois, portée en son temps contre Mobutu Sese Seko, car ce dernier a su, tout de même, préserver la paix et l’intégrité du territoire dans sa globalité. Face à la désintégration de l’Etat congolais, l’ancien "Premier" porterait l’accusation d’«incarnation du mal congolais», en des termes appuyés, sur Joseph Kabila.
Notre thèse se fonde sur le fait que Joseph Kabila, malgré lui, a le mépris de la connaissance qui, à n’en point douter, serait un premier pas contre l’intolérance qui a conduit son régime dans l’arbitraire le plus scandaleux. N’a-t-il pas poussé les bandes armées à commettre, à travers le pays, tant d’horreurs dont les motivations demeurent l’enrichissement, l’autosatisfaction personnelle et l’abrutissement du peuple congolais ? Il porte la responsabilité d’avoir fait perdre la logique et le sens véritable de la réalité ! En sus, "Joseph" souffre d’un anti-intellectualisme évident !
Douze années après son accession à la tête de l’Etat, le Congo démocratique présente le spectacle d’un Etat en pleine liquidation, in fine en pleine cessation de paiement ! Incapable d’imposer une carrure d’homme d’Etat en face du monde, particulièrement de l’Ouganda et du Rwanda, ses voisins immédiats et agresseurs potentiels de notre territoire, en entraînant en plus une vague d’actes de vandalisme, de torture et de traitements cruels, inhumains et dégradants, contre nos filles, mères et grand’mères, du Nord et du Sud Kivu sans défense !
Plusieurs de nos soldats des FARDC sont par le passé tombés sur le champ de bataille, au début de cette guerre, avec la complicité des militaires rwandais et ougandais infiltrés dans nos forces armées et services de renseignements, par des accords bidons, sans valeur juridique réelle.
Nous faisons allusion à la présence de James Kabarebe, comme chef d’Etat major des Forces Armées congolaises, et pourtant sujet rwandais, qui est aujourd’hui, ministre de la Défense dans son pays d’origine ! Avec lui, plusieurs de ses lieutenants occupèrent des postes hautement stratégiques au sein de nos institutions ! Au sommet de l’Etat, dans le service de sécurité, la police et même dans les services générateurs de recettes publiques.
Aucune revendication de l’opposition n’est tolérée, et chaque Congolais, vivant au pays, est mis au pas par les nouveaux colonisateurs de la RDC, qui tiennent à balkaniser ce vaste pays pour le priver de ses richesses vitales, devant servir à son développement et son industrialisation ultérieure.
Nos ennemis intérieurs semblent croire que tous les Congolais ont perdu le sens de la raison ! Loin s’en faut. Car, comment peut-on faire croire aux citoyens du "Grand Congo", qui ont gagné la récente guerre, de signer un accord de paix avec les rebelles du M23 ? Est-ce qu’auparavant, y avait-il signature d’un accord lorsque l’AFDL de Laurent Désiré Kabila avait conquis les FAZ de Mobutu en 1997 ? Ou sommes-nous en face d’une mise en scène qui ne veut pas dire son nom ? Ou encore, est-on à la recherche d’arguments, pour endormir davantage les Congolais, afin de les faire vivre, un peu plus tard, l’effet de surprise qui nécessitera la balkanisation du pays ?
Nous réitérons notre affirmation de départ selon laquelle lorsqu’un ennemi est écrasé par une défaite militaire, comme on le prétend pour le gouvernement de Kinshasa, avec le M23, la logique aurait souhaité que les Forces armées congolaises, dans ce cas d’espèce, devraient dicter les conditions de paix et non pas les négocier, car les deux concepts n’ont pas le même contenu de signification ! Il en fut ainsi après la fin de la Première Guerre mondiale lorsque le 11 novembre 1918, la France victorieuse imposa ses conditions à l’Allemagne vaincue dans la forêt de Compiègne, à bord d’un wagon de chemin de fer.
Le sens de l’histoire oblige, et la France, à son tour, lorsqu’elle fut battue par Hitler, le Führer n’hésitera pas à convoquer les dirigeants français, dans la même forêt de Compiègne, à bord du même wagon de chemin de fer, pour dicter ses conditions à la France défaite. De même, une scène analogue se déroula le 8 mai 1945 lorsque les puissances alliées dictèrent au maréchal allemand Keitel les conditions de paix après la débâcle et l’écrasement des forces militaires nazies, à l’issue de la Deuxième guerre mondiale.
Puisque le porte-parole du gouvernement congolais, « Lambert », promet de signer finalement un accord de paix avec le M23, face à l’évidence, l’on peut conclure que la victoire des FARDC sur le M23, n’était qu’un décor d’illusions à faire avaler aux Congolais naïfs.
En attendant, le navire Congo ressemble plus que jamais à un vaisseau sans boussole. Kagame et Museveni imposent leur loi, face à un Joseph Kabila en crise d’imagination et d’autorité, étant lui-même un infiltré au service de ses parrains. Ceux-ci sont là pour exploiter à vil prix presque toutes les richesses du Congo, au détriment du peuple congolais mal nantis, dans un pays scandaleusement riche, mais qui laisse croître la disète à longueur des journées.
Or, du temps de Mobutu, en dépit de ses qualités et de ses défauts inhérents à la vie humaine, toute entreprise qui visait à perpétuer la misère du peuple zaïrois et de vendre une portion de la terre congolaise était annulée !
Congolais, engagez-vous pour chasser l’ennemi intérieur par un soulèvement populaire spontanée et soutenu par des actions de désobéissance civile, en suivant le modèle de la résistance de nos contemporains en France. Et pourquoi pas près de nous, en Egypte comme en Tunisie.
A présent, on n’a toujours pas entendu une famille déplorer dans n’importe quel camp militaire du pays, la mort d’un soldat tombé lors des récents combats à Goma et ses environs avec le M23. Nulle part aussi, l’on peut nous présenter les prisonniers de guerre. Pourtant, le moment est certes révolu de croire que les Congolais sont incultes et souffriraient de l’amnésie collective.
Et si « Nguz » pouvait revenir dans ce monde, il reverrait son livre sur Mobutu et confirmerait que c’est « Joseph Kabila », au regard des faits, qui est l’incarnation du mal congolais.
Congolais, mettons-nous ensemble pour construire notre propre destin. Nous devons pour cela empêcher, à travers nos actions, Joseph Kabila, de dormir tranquillement, parce qu’il tient mordicus à demeurer président de la République, à l’encontre de toutes résistances du peuple congolais.
Bamba-di-Lelo
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King David
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
S.O.S. #MuhindoNzangi : le député élu de #Goma se meurt à #Makala. Sa santé s'est détériorée sérieusement ces derniers jours, suite aux conditions inhumaines dans lesquelles il se trouve dans cette prison-mouroir surpeuplée. Des ordres auraient été donnés pour le maltraiter. Privé de soins médiaux, son espoir repose sur la mobilisation de la population de Goma et du Nord-Kivu pour laquelle il s'est tant sacrifié. Faisons large diffusion de cette alerte ! Nzangi est l'un des rares députés qui faisait son travail comme il se doit, en portant la voix de la population. Aujourd'hui, il a besoin de notre aide. Demandons aux autorités présents à Goma sa libération et son amnistie !
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CRIMES DE "JOSEPH KABILA"
RDC: Plusieurs jeunes et enfants exécutés par la police congolaise sous les ordre de Kabila:...
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
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