Le M23 etait serieux donc?
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Re: Le M23 etait serieux donc?
L´arsenal du M23, une preuve de plus contre Kagame et Museveni..visite guidée des attachés militaires:shock:
L´histoire de l´arsenal du M23 devient..une bombe:face: quand des "attachés militaires"...qui sont avant tout des "diplomates espions" experts en matière de Défense..font une "inspection" au Kivu:face:
Selon la Radio Okapi, des attachés militaires ont fait une visite guidée..par le gouverneur du Nord Kivu..et leur impression:o ils sont tout simplement surpris par la quantité enorme des armes et des munitions laissée par le M23:shock:
Pire, il ya deux camions militaires Rwandais comme preuve de plus que Kagame est très lié avec cette preparation d´une longue guerre qu´il comptait faire au Kivu
L´identification des orgines de ces armes..va certainement indiquer clairement que Museveni et Kagame sont les parrains du M23...Savez-vous qu´il existe une résolution de l´ONU qui a placée un embargo contre la livraison des équipements militaires aux milices..au Congo
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L´histoire de l´arsenal du M23 devient..une bombe:face: quand des "attachés militaires"...qui sont avant tout des "diplomates espions" experts en matière de Défense..font une "inspection" au Kivu:face:
Selon la Radio Okapi, des attachés militaires ont fait une visite guidée..par le gouverneur du Nord Kivu..et leur impression:o ils sont tout simplement surpris par la quantité enorme des armes et des munitions laissée par le M23:shock:
Pire, il ya deux camions militaires Rwandais comme preuve de plus que Kagame est très lié avec cette preparation d´une longue guerre qu´il comptait faire au Kivu
L´identification des orgines de ces armes..va certainement indiquer clairement que Museveni et Kagame sont les parrains du M23...Savez-vous qu´il existe une résolution de l´ONU qui a placée un embargo contre la livraison des équipements militaires aux milices..au Congo
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GHOST
Re: Le M23 etait serieux donc?
[quote="Cour Supreme"]
Uganda affirme que les rebelles M23 qui se trouvent dans son territoire ne sont pas des prisonniers de guerre! s'ils sont citoyens Congolais en asyle...il y a une loi qui regit cela...soit on leur donne l'asyle soit on les retourne dans leur pays d'origine...La question de savoir ce que ce pays fera de leur fils ne devrait plus concerner l'Uganda au moment ou il pense que ces individus ne remplissent pas les conditions pour recevoir de l'asyle....
Master Cour Supreme
C´est parfois la faute..des journalistes qui ne savent pas poser des bonnes questions...L´Ouganda a signé un Accord á Addis-Abeba qui interdit d´accorder "asile" ou d´heberger...des milices armées en guerre contre les pays voisins..
Comment ce ministre peut oser affirmer qu´ils "protegent" les leaders du M23 quand une resolution de l´ONU l´interdit:roll:
C´est la faute des journalistes...ce qu´on peut toujours demander aux Ougandais s´ils vont accepter que la RDC accorde l´asile et protege..les membres du LRA qui luttent contre Museveni:D ?
Makenga est sous sanction de l´ONU..AUCUN pays au monde ne peut lui accorder asile et protection:nonono: Nous ne sommes pas surpris des declarations de l´Ouganda..qui a tenté á tout prix de proteger le M23 pendant les negociations..
Uganda affirme que les rebelles M23 qui se trouvent dans son territoire ne sont pas des prisonniers de guerre! s'ils sont citoyens Congolais en asyle...il y a une loi qui regit cela...soit on leur donne l'asyle soit on les retourne dans leur pays d'origine...La question de savoir ce que ce pays fera de leur fils ne devrait plus concerner l'Uganda au moment ou il pense que ces individus ne remplissent pas les conditions pour recevoir de l'asyle....
Master Cour Supreme
C´est parfois la faute..des journalistes qui ne savent pas poser des bonnes questions...L´Ouganda a signé un Accord á Addis-Abeba qui interdit d´accorder "asile" ou d´heberger...des milices armées en guerre contre les pays voisins..
Comment ce ministre peut oser affirmer qu´ils "protegent" les leaders du M23 quand une resolution de l´ONU l´interdit:roll:
C´est la faute des journalistes...ce qu´on peut toujours demander aux Ougandais s´ils vont accepter que la RDC accorde l´asile et protege..les membres du LRA qui luttent contre Museveni:D ?
Makenga est sous sanction de l´ONU..AUCUN pays au monde ne peut lui accorder asile et protection:nonono: Nous ne sommes pas surpris des declarations de l´Ouganda..qui a tenté á tout prix de proteger le M23 pendant les negociations..
GHOST
Re: Le M23 etait serieux donc?
Le général Olenga commente la victoire de l’armée congolaise
Nommé chef d’état major des forces terrestres après la suspension du général Amisi, soupçonné de trahison, le général François Olenga est un nationaliste de la première heure : opposant au président Mobutu, il étudia en Tchéquie, puis fut longtemps réfugié en Allemagne et il ne revint au Congo que dans le sillage de Laurent –Désiré Kabila, lorsque ce dernier entreprit, durant la guerre de 1996-97, de chasser le dictateur, avec le soutien des armées du Rwanda et de l’Ouganda. C’est dire si Olenga, devenu officier au sein de l’armée gouvernementale, où il fut, entre autres, chargé de la logistique, participa à toutes les guerres et rencontra personnellement les principaux acteurs de la région, les présidents du Rwanda et de l’Ouganda et aussi l’actuel ministre de la défense rwandais James Kabarebe qui, après la première guerre du Congo, occupa durant quelques mois les fonctions de chef d’état major de l’armée congolaise.
Aujourd’hui, le général Olenga estime que les vexations subies sur le front de l’Est ont été lavées : « lorsque, dans une interview au « Soir », Kabarebe a osé déclarer que l’armée congolaise ne serait même pas capable de tuer un rat, je me suis senti furieux, humilié. Mais c’est sur le terrain que j’ai voulu répondre et aujourd’hui c’est chose faite : le M23 et ses alliés ont été boutés hors du pays… »
« Durant des mois, avec l’appui du chef de l’Etat, nous avons procédé à la réorganisation, au rééquipement de l’armée et surtout nous avons engagé des unités qui jusque là n’avaient pas été engagées au Kivu, dont des commandos formés par la Belgique. Ces derniers venaient de Kindu, d’autres formés par les Américains provenaient de Kisangani et d’autres encore avaient été formés par les Chinois. Lorsque fin août, le M23 a repris les combats, nous avons répliqué et le bilan a été positif, malgré des pertes qui se sont élevées à 78 morts et 200 blessés dans nos rangs. Nous avons alors repris 13 positions et beaucoup de matériel, des canons sans recul, des munitions, des appareils de communication Motorola…Nous avons compris que cette fois nous serions en mesure de gagner la guerre… »...
...
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2013/11/08/le-general-olenga-commente-la-victoire-de-larmee-congolaise/
Nommé chef d’état major des forces terrestres après la suspension du général Amisi, soupçonné de trahison, le général François Olenga est un nationaliste de la première heure : opposant au président Mobutu, il étudia en Tchéquie, puis fut longtemps réfugié en Allemagne et il ne revint au Congo que dans le sillage de Laurent –Désiré Kabila, lorsque ce dernier entreprit, durant la guerre de 1996-97, de chasser le dictateur, avec le soutien des armées du Rwanda et de l’Ouganda. C’est dire si Olenga, devenu officier au sein de l’armée gouvernementale, où il fut, entre autres, chargé de la logistique, participa à toutes les guerres et rencontra personnellement les principaux acteurs de la région, les présidents du Rwanda et de l’Ouganda et aussi l’actuel ministre de la défense rwandais James Kabarebe qui, après la première guerre du Congo, occupa durant quelques mois les fonctions de chef d’état major de l’armée congolaise.
Aujourd’hui, le général Olenga estime que les vexations subies sur le front de l’Est ont été lavées : « lorsque, dans une interview au « Soir », Kabarebe a osé déclarer que l’armée congolaise ne serait même pas capable de tuer un rat, je me suis senti furieux, humilié. Mais c’est sur le terrain que j’ai voulu répondre et aujourd’hui c’est chose faite : le M23 et ses alliés ont été boutés hors du pays… »
« Durant des mois, avec l’appui du chef de l’Etat, nous avons procédé à la réorganisation, au rééquipement de l’armée et surtout nous avons engagé des unités qui jusque là n’avaient pas été engagées au Kivu, dont des commandos formés par la Belgique. Ces derniers venaient de Kindu, d’autres formés par les Américains provenaient de Kisangani et d’autres encore avaient été formés par les Chinois. Lorsque fin août, le M23 a repris les combats, nous avons répliqué et le bilan a été positif, malgré des pertes qui se sont élevées à 78 morts et 200 blessés dans nos rangs. Nous avons alors repris 13 positions et beaucoup de matériel, des canons sans recul, des munitions, des appareils de communication Motorola…Nous avons compris que cette fois nous serions en mesure de gagner la guerre… »...
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joss0
Re: Le M23 etait serieux donc?
Le complot de Lambert Mende en complicité avec les autorités Ougandaises pour gonfler le nombre du M23 en effectif de 1700 hommes dévoilé par la presse internationale
Mathilde
Re: Le M23 etait serieux donc?
Ngbanda mis en applicationjoss0 a écrit:Le général Olenga commente la victoire de l’armée congolaise
...
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2013/11/08/le-general-olenga-commente-la-victoire-de-larmee-congolaise/
Ngbanda qui aime tant le concept d´infiltration..et surtout celui de semer la mefiance dans le camp adverse en laissant croire qu´il possede ses agents au sein des proches de Kanambe.. a trouvé un bon étudiant avec F Olenga:P
En effet, quand F Olenga affirme qu´il a infiltré le M23...on retrouve exactement la tactique preferée de l´Apareco:D
Mais au fond, ce que C Braeckman n´a pas remarquée est la nouvelle "attitude" des FARDC..qui appliquent la "censure" ..de plus en plus, les responsables de l´armée congolaise..s´expriment moins, ne laissent même pas les journalistes faire des reportages et prendre des images des unités spéciales, ni des équipements..ni même interroger les responsables des unités sur le terrain
Au contraire, on laisse le Colonel Ndala Mamadou ou Olivier Hamuli..comme la "vitrine" de l´armée, quand la grande majorité des acteurs militaires sont á l´ombre:roll: Certainement, c´est sur conseil des Chinois, Americains ou SudAf..qui possedent une expertise dans le renseignement militaire
Ceux qui parlent d´une guerre sans "cadavres" ont oubliés que lors de la prise de Kibati, les images des FARDC entrain de danser et pisser sur des cadavres du M23...avaient provoquées une crise avec l´ONU..qui exigeait des sanctions
Ainsi, une censure est appliquée..et comme FOlenga l´exprime si bien..les connaissances de contre-espionage militaire sont vitales pour gagner une guerre:arrow:
]b]James Kabarebe a compris pour la seconde fois de quoi sont capables les congolais decidés et determinés...lors de son raid á Kitona avec l´objectif de capturer Kin s´était soldé par une defaite totale..quand les kinois avaient pris les choses en main:face: Cette fois ici, Kabarebe est entrain de voir de lui même que la guerre est maintenant juste á la porte du Rwanda[/b]
Les congolais qui étaient incapables de tuer un rat:D ont infligés une grande defaite aux Rwandais arrogant..et avec 300 tonnes d´équipement militaire entre les mains des congolais, pas des soucis á se faire pour la suite face aux FDLR
GHOST
Re: Le M23 etait serieux donc?
Oui il faut craindre cette histoire des infiltrés de M 23 à Kinshasa surtout, ceux qui sont autour de chef de l'etat, si Museveni parle de 1700 rebelles présentement en Ouganda, car il veut les integrés dans FARDC new look mais il arrevera qu'avec l'aide des infiltrés de Kinshasa. Mais ce qui me rassure se trouve dans le dire du général Olenga, les officiers qui ont fait la guerre sont dans l'ombre, personne ne les connait, ni à Kinshasa, ni Goma, ni même à Kampala et Kigali. Voila ce qui me rassure, autre sujet de rassurence c'est la determination des Sudafs et des tanzaniens d'en finir avec cette histoire, voyons de passage que malgré les morts de militaires tanzaniens, leur opinion reste derrière leur président.
piélé de dongo
Re: Le M23 etait serieux donc?
Huit corps des vaillants soldats des FARDC tombés sur le champ d'honneur mis en terre ce samedi à Goma
joss0
Re: Le M23 etait serieux donc?
Why the M23 were not rebels but ‘Rwanda government troops’
Western multinational corporations operating in eastern Congo have deep ties to the criminal extortion, money-laundering, racketeering and theft behind the plunder and depopulation in the Great Lakes countries. John Bredenkamp, Billy Rautenbach, Dan Gertler, Philippe De Moerloose, Elwyn Blattner… we know who the “untouchables” are, the white collar war criminals behind the high-tech genocide, but they are never, ever mentioned by the western media system, unless they have built some wattle-and-daub school, insulting the African people, but pleasing their affluent sponsors…
The western propaganda system is again trotting out the tired refrain that “rebels in Congo have been defeated.” The latest so-called “rebels” — the M23 forces — are actually Rwandan government troops, not rebels. (True Congolese “rebels” – such as the Mai Mai [also spelled Mayi-Mayi] are always denigrated by the international corporate media system.)
Reports now appearing in the western mass media are that the “M23 rebels” have “surrendered in Uganda”, or “turned themselves in” in Rwanda. This is nonsense, since these are Rwandan Defense Forces, most of them formerly National Congress for the Defence of the People (CNDP) “rebels”, formerly Congolese Rally for Democracy “rebels”, formerly of the Rwandan Patriotic Army/Movement (RPA/RPF), formerly Ugandan People’s Defense Forces (UPDF), formerly National Resistance Army/Movement (NRA/M) troops. (This is especially true of commanders, e.g.: James Kabarebe, Laurent Nkundabatware, and many others). The varying incarnations of “rebels” in eastern Congo have all and always been backed by Ugandan President Yoweri Museveni and Rwandan President Paul Kagame, in turn backed by the USA, UK and Israel. M23 is the same: another predominantly Tutsi army serving the Tutsi/Hema elites — not the people of Uganda or the people of Rwanda/Burundi and the bain of innocent men, women and children wherever they go.
Pages: 1 2 3 4
http://www.thelondoneveningpost.com/why-the-m23-were-not-rebels-but-rwanda-government-troops/
Western multinational corporations operating in eastern Congo have deep ties to the criminal extortion, money-laundering, racketeering and theft behind the plunder and depopulation in the Great Lakes countries. John Bredenkamp, Billy Rautenbach, Dan Gertler, Philippe De Moerloose, Elwyn Blattner… we know who the “untouchables” are, the white collar war criminals behind the high-tech genocide, but they are never, ever mentioned by the western media system, unless they have built some wattle-and-daub school, insulting the African people, but pleasing their affluent sponsors…
The western propaganda system is again trotting out the tired refrain that “rebels in Congo have been defeated.” The latest so-called “rebels” — the M23 forces — are actually Rwandan government troops, not rebels. (True Congolese “rebels” – such as the Mai Mai [also spelled Mayi-Mayi] are always denigrated by the international corporate media system.)
Reports now appearing in the western mass media are that the “M23 rebels” have “surrendered in Uganda”, or “turned themselves in” in Rwanda. This is nonsense, since these are Rwandan Defense Forces, most of them formerly National Congress for the Defence of the People (CNDP) “rebels”, formerly Congolese Rally for Democracy “rebels”, formerly of the Rwandan Patriotic Army/Movement (RPA/RPF), formerly Ugandan People’s Defense Forces (UPDF), formerly National Resistance Army/Movement (NRA/M) troops. (This is especially true of commanders, e.g.: James Kabarebe, Laurent Nkundabatware, and many others). The varying incarnations of “rebels” in eastern Congo have all and always been backed by Ugandan President Yoweri Museveni and Rwandan President Paul Kagame, in turn backed by the USA, UK and Israel. M23 is the same: another predominantly Tutsi army serving the Tutsi/Hema elites — not the people of Uganda or the people of Rwanda/Burundi and the bain of innocent men, women and children wherever they go.
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Mathilde
Re: Le M23 etait serieux donc?
Exactement, la` c'est connu. Dans tout grand crime, il y a un blanc derriere qu'on appelle "le mastermind", il est le financier du crime et ainsi le premier beneficiaire. Lui il ne fait pas de sales besognes, ses employes' les font a` sa place. Ce mastermind après benefice, etabli des hopitaux et des chaines des medias qui ferront qu'une bonne presse de lui. Vous autres dependez de ses hopitaux et medias pour des services et payez. Enfin de compte, azolia bino double, azolia bino deux fois. Babengaka yango "jeu mundele".Mathilde a écrit:Why the M23 were not rebels but ‘Rwanda government troops’
Western multinational corporations operating in eastern Congo have deep ties to the criminal extortion, money-laundering, racketeering and theft behind the plunder and depopulation in the Great Lakes countries. John Bredenkamp, Billy Rautenbach, Dan Gertler, Philippe De Moerloose, Elwyn Blattner… we know who the “untouchables” are, the white collar war criminals behind the high-tech genocide, but they are never, ever mentioned by the western media system, unless they have built some wattle-and-daub school, insulting the African people, but pleasing their affluent sponsors…
The western propaganda system is again trotting out the tired refrain that “rebels in Congo have been defeated.” The latest so-called “rebels” — the M23 forces — are actually Rwandan government troops, not rebels. (True Congolese “rebels” – such as the Mai Mai [also spelled Mayi-Mayi] are always denigrated by the international corporate media system.)
Reports now appearing in the western mass media are that the “M23 rebels” have “surrendered in Uganda”, or “turned themselves in” in Rwanda. This is nonsense, since these are Rwandan Defense Forces, most of them formerly National Congress for the Defence of the People (CNDP) “rebels”, formerly Congolese Rally for Democracy “rebels”, formerly of the Rwandan Patriotic Army/Movement (RPA/RPF), formerly Ugandan People’s Defense Forces (UPDF), formerly National Resistance Army/Movement (NRA/M) troops. (This is especially true of commanders, e.g.: James Kabarebe, Laurent Nkundabatware, and many others). The varying incarnations of “rebels” in eastern Congo have all and always been backed by Ugandan President Yoweri Museveni and Rwandan President Paul Kagame, in turn backed by the USA, UK and Israel. M23 is the same: another predominantly Tutsi army serving the Tutsi/Hema elites — not the people of Uganda or the people of Rwanda/Burundi and the bain of innocent men, women and children wherever they go.
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regarder et bien voir
Re: Le M23 etait serieux donc?
Tous ces morts n'auraient ps eu lieu n'eut-ete' les reseaux mafieuses au sommet de l'Etat. Que les responsables congolais de leur mort, payent severement. Paix et consolation sinceres a` leurs familles.joss0 a écrit:
Huit corps des vaillants soldats des FARDC tombés sur le champ d'honneur mis en terre ce samedi à Goma
regarder et bien voir
Re: Le M23 etait serieux donc?
Tres bien dit, voice un autre exemple d'agressivite' (qui manqué a` l'Opposition). C'est pareil champ d'actions qui peuvent tourmenter politiquement son adversaire politique. C'est une idee' realistique et essentielle qui doit etre repetee' directement et personnellement aux oreilles des opposants s'ils voudront ecouter. Si on peut avoir quelqu'un parmi nous pour le faire. Une creation ou des activites' a` la creation d'un nouveau tribunal de type international pour des crimes au Congo, va deconcentrer, tous les vautours concernes' dans des crimes, de travailler a` se positioner après 2016. Ils n'auront plus sommeil et ca les empecherait de bien reflechir ou caremment d'abandonner la course aux pouvoirs dans l'esprit que la prison les guette.djino a écrit:Tribunaux Mixtes et Tribunaux internationales : Le Choix est claire. Nous devons militer pour un tribunal International, car il n'est un secret pour personne que le Justice au Congo n'existe pas . Mêler les Congolais dans une affaire aussi sensible et de telle importance est un vrai danger. Je crains que ces juges Congolais qui seront impliqués dans ce jugement soient menacés voire disparaître ....
C'est une affaire très sensible ... Au point beaucoup de l'AMP et surtout des anciens rebelles soient impliqués , ... A mon avis il n'y a pas que Kagame et Museveni qui s'inquiètent , Kabila aussi s'en inquiète ...
C'est maintenant que l'opposition doit faire preuve d'imagination, d'ingéniosité et d'inventivité pour créer une Coalition qui mettra la Pression aux USA pour la création d'un tribunal Pénale Internationale au Congo ....
L'opposition doit saisir cette occasion en OR pour faire tomber KABILA avant 2016
Un tribunal International Pour le Congo (TPIC) est plus qu'une arme , Que l'opposition se saisisse de ce dossier ...
L'Afrique n'a pas encore de fils et de filles
regarder et bien voir
Re: Le M23 etait serieux donc?
'RDC: silence assourdissant de Kigali depuis la débâcle du M23
° http://www.jeuneafrique.com/actu/20131109T125911Z20131109T125848Z/rdc-silence-assourdissant-de-kigali-depuis-la-debacle-du-m23.html
Le Rwanda, sous pression internationale pour lâcher le M23, est muré dans un silence assourdissant depuis la défaite du mouvement rebelle face aux troupes de la République démocratique du Congo (RDC) appuyées par l'ONU.
Les rebelles du Mouvement du 23 Mars (M23), qui ont annoncé mardi renoncer aux armes après leur déroute, se sont réfugiés en masse en Ouganda - un pays également accusé de les soutenir - en attendant la signature, lundi, d'un accord de paix avec Kinshasa.
Une centaine de rebelles blessés ont aussi franchi la frontière rwandaise - la seule information lâchée depuis mardi par Kigali.
Sollicité plusieurs fois par l'AFP, le Rwanda, qui a toujours nié soutenir les rebelles congolais, n'a jamais donné suite.
Tout au plus la ministre rwandaise des Affaires étrangères Louise Mushikiwabo s'inquiétait-elle lundi soir sur une radio locale, alors que le M23 était "chassé du territoire" de la RDC, d'une progression vers les frontières de son pays des FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda).
Parmi ces rebelles hutu rwandais figurent des auteurs du génocide rwandais contre les Tutsi en 1994, qui sévissent depuis dans l'est congolais et continuent, selon Kigali, de menacer son régime.
Le silence du Rwanda est d'autant plus remarqué qu'il tranche avec les menaces de riposte que proférait Kigali il y a quelques semaines contre l'armée de RDC quand des obus tombaient sur son territoire, à la frontière de la région congolaise du Nord-Kivu où s'affrontaient le M23 et les forces de Kinshasa.
Kigali est intervenu à plusieurs reprises, parfois déguisé en rébellion locale, dans l'ex-Zaïre, invoquant un droit de poursuite des rebelles des FDLR, notamment au cours des deux guerres régionales sur le sol congolais (1996-1997 et 1998-2003).
Dès la deuxième guerre du Congo, ses incursions au Nord-Kivu, riche province minière de l'est de la RDC qui attise les convoitises, lui valent des critiques.
Dissensions internes
Mais c'est surtout l'émergence de la rébellion la plus récente, le M23, qui déclenche les foudres d'alliés de poids comme les Etats-Unis.
Les rebelles du M23, qui combattaient l'armée congolaise depuis avril 2012, sont essentiellement des Tutsi congolais issus d'une précédente rébellion, déjà liée au Rwanda, et qui avaient été intégrés aux forces de RDC après un accord de paix en 2009.
Plusieurs de ses membres, dont son chef militaire Sultani Makenga, font l'objet de sanctions onusiennes et américaines pour des atrocités perpétrées au Nord-Kivu (meurtres, viols, recrutement d'enfants. . . ).
Pour protester contre le soutien rwandais aux rebelles, les Etats-Unis ont d'abord suspendu 200. 000 dollars d'aide militaire à ce petit pays de la région des Grands Lacs, puis pris de nouvelles sanctions début octobre, le privant au moins partiellement d'aide militaire pour 2014.
Londres, traditionnel allié, Stockholm, La Haye et Berlin ont également partiellement gelé leur aide, pour les mêmes raisons.
"Le Rwanda a poussé le bouchon un peu loin dans son pari sur le M23", estime l'analyste indépendant belge Kris Berwouts.
Du coup, "les partenaires traditionnels du Rwanda sont allés bien au-delà des pires craintes" de Kigali, longtemps protégé par la culpabilité de l'Occident honteux de sa passivité lors du génocide, a ajouté M. Berwouts.
Selon les analystes, la débâcle du M23, en partie due à une intervention inhabituellement musclée de la brigade de l'ONU chargée de rétablir la paix dans la région, s'expliquerait aussi par d'intenses pressions du Conseil de sécurité et des Etats-Unis pour que Kigali ne réagisse pas lors de l'offensive.
"Kagame n'avait pas le choix" et ne pouvait pas intervenir, relevait un spécialiste de la région avant même l'annonce du dépôt des armes par le M23.
La discrétion du Rwanda, disent les analystes, s'explique aussi par des dissensions internes au sein du régime. A Kigali, une partie des hauts responsables resterait favorable à une présence et une influence au Nord-Kivu pour, au-delà des intérêts miniers, continuer d'y traquer les FDLR. Pour d'autres, le jeu n'en vaudrait plus forcément la chandelle.
Reste à savoir quelle sera l'attitude de la brigade de l'ONU vis-à-vis des FDLR et des nombreuses autres milices qui terrorisent les populations du Nord-Kivu depuis 20 ans."
"La RDC s'inspire de la Colombie pour la réintégration de guérilleros
(AFP 09/11/13) "
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/la-rdc-sinspire-de-la-colombie-pour-la-reintegration-de-guerilleros
"(...)Après la fin du M23, le Rwanda s’irrite des lenteurs de l’ONU contre les FDLR
Le Conseil de sécurité de l’ONU a pris acte de la dissolution du M23 dans l’est de la RDC. La réunion a été marquée par les remontrances de l’ambassadeur rwandais qui reproche à l’ONU de ne pas déployer les mêmes efforts contre les rebelles hutus du FDLR.
La passe d’arme a opposé l’ambassadeur rwandais Eugène Gasana au chef de la force de l’ONU en RDC. Martin Kobler a promis que la Monusco chassera les FDLR comme les autres groupes armés. « Insuffisant », a tonné le diplomate rwandais qui veut que l’ONU fasse du désarmement des FDLR une priorité. « Je me fiche du M23. Faites ce que vous voulez avec eux a lancé l’ambassadeur de Kigali. Ce qui m’importe ce sont les FDLR. Vous devez vous en occuper ». Eugène Gasana s’en est pris au Conseil de sécurité responsable selon lui d’avoir laissé en 1994 les génocidaires hutus se mêler aux réfugiés en RDC.
Visiblement très agité, l’ambassadeur rwandais s’est levé et a quitté la salle du Conseil. La mission rwandaise à l’ONU assure que l’ambassadeur était simplement en retard pour un autre rendez-vous, mais que le Rwanda veillera à que la Monusco s’attaque aux FDLR avec la même énergie que celle déployée contre le M23."
° http://www.rfi.fr/afrique/20131107-rdc-fin-militaire-m23-negociations-kampala-fdlr-onu
"RDC: l'ONU va renforcer les frontières pour empêcher des rebelles de fuir"
° http://www.romandie.com/news/n/_RDC_l_ONU_va_renforcer_les_frontieres_pour_empecher_des_rebelles_de_fuir91071120130158.asp
"RDC : le M23 veut exister politiquement après avoir été vaincu militairement"
° http://www.rfi.fr/afrique/20131105-rdc-m23-veut-exister-politiquement-apres-avoir-ete-vaincu-militairement-sultani-makenga-monusco-fdlr
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=4036:l-armee-ougandaise-confirme-la-presence-de-sultani-makenga-sur-son-territoire&catid=85&Itemid=472
° http://www.rfi.fr/afrique/20131109-rdc-rwanda-m23-lache-etats-unis-onu-hrw
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=3973:le-m23-doit-repondre-de-ses-crimes&catid=85&Itemid=472
° http://www.rfi.fr/afrique/20131108-rdc-combien-rebelles-m23-sont-ils-passes-rwanda
Comppatriotiquement!
ndonzwau
Re: Le M23 etait serieux donc?
VICTOIRE FARDC CONTRE M23 les Images Que le Gouvernement ne montre Jamais
Mathilde
Re: Le M23 etait serieux donc?
██►►►INFO : URGENCE POUR LA NATION►█████
Une centaine de militaires de l’armée rwandaise (RDF) ont établi leur position dans la localité Murambi, à environ 3 kilomètres au nord-est de l’aéroport international de Goma en territoire de Nyiragongo (Nord-Kivu), ont indiqué dimanche 10 novembre des sources de la société civile du Nord-Kivu. Murambi est une localité frontalière au Rwanda. Dominique Bofondo, l’administrateur du territoire de Nyiragongo, confirme cette présence.
« Le gouverneur de province m’a demandé de partir là bas [à Murambi]. Je suis parti, j’ai moi-même vu un nombre important de troupes rwandaises. Ce qui m’a inquiété c’est qu’ils ont quitté [les soldats rwandais] la frontière et sont maintenant sur le sol congolais », affirme Dominique Bofondo.
Ces militaires rwandais se sont installés « là où les FARDC faisaient leur patrouille », précise ce chef local.
D’après lui, ces militaires rwandais ont profité du vide laissé par les FARDC qui étaient parties à Rutshuru combattre le M23 pour s’installer à Murambi.
Dominique Bofondo estime que le gouvernement congolais devrait « faire de cette question une urgence et ne pas la négliger au risque que cela ne coûte très cher ».
Les responsables du mécanisme conjoint de vérification des frontières de la Conférence internationale sur la région de grands lacs (CIRGL) n’ont pas encore réagi à cette allégation.
Lire aussi sur radiookapi.net:
LORD MBAKAMA
Re: Le M23 etait serieux donc?
Les masques tombent enfin, Bas les masques !
Le Rwanda fait tomber le masque : Le Rwanda entre au Congo au visage découvert. Il ne se cache plus derrière des pseudos rebellions AFDL, RCD, CNDP , M-23 c'est du passé !
La patate chaude pour Joseph, et surtout pour les USA .. Le Rwanda défie la Communauté Internationale , les USA en premier !
FARA - FARA , ébandi sik'oyo !
Pendant ce Temps, La Tantine Robinson renvoie Kinshasa à Kampala ou se trouve refugié MAKENGA !!! Et si nous écoutions NGBANDA qui en son temps disait que KAMPALA n'était pas Neutre dans le Conflit !!
Comment KAMPALA pourrait il en même temps arbitrer les négociations et héberger les Tueurs du M-23 , Chez Lui !
Wait and see
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djino
CHRONOLOGIE DES FAITS DE LA GUERRE ÉCLAIR DU CONGO vs M23 Depuis Aout 2013
CHRONOLOGIE DES FAITS DE LA GUERRE ÉCLAIR DU CONGO vs M23 Depuis Aout 2013
Par InfoDiasporaRDC Online
5 novembre 2013, par notre Correspondant au Nord-Kivu, RDC
Cette semaine passée, le monde entier a assisté avec étonnement à la défaite et au délogement des troupes agresseurs du M23/RDF. Les troupes de Paul Kagame ont été balayés par les combattants de la liberté de différentes Régions du Congo réorganisés au sein des FARDC.
RDF/M23 ont été délogés suite à une opération vigoureuse, sans injonction du gouvernement congolais, par les vaillants FARDC, sous les ordres du général Olenga et le commandement d’opérations du colonel Mamadou Moustafa Ndala, suivie de la pression intense qu`a subi Paul kagame de la part du gouvernement Americain et Britannique. La récente défaite du RDF/M23 du dictateur Paul Kagame a laissé les stratèges militaires dans la région choqués et étonnés.
Selon une source fiable, un officier supérieur au sein de l’armée ougandaise (UPDF ), cet officier de la deuxième division basée à Mbarara a déclaré que « la défaite du M23/RDF est difficile à croire, elle a été la défaite la plus rapide de l’histoire militaire car ils ont été écrasés dans les quatre jours. C’est quand même fascinant de considérer que le territoire qu`ils occupaient et duquel ils sont délogés est plus grand que le Rwanda lui-même ! » fin de citation.
Cet officier supérieur de l’UPDF a continué de dire à notre correspondant que : « RDF/M23 avaient déployé des bataillons des forces spéciales au Congo et ils étaient bien équipés avec des armes très sophistiquées, mais ils ont lamentablement été défaits. C’est un grand signe que le personnel du RDF n’est plus prêt à mourir pour Paul Kagame et ses intérêts démesurés au Congo ».
Dans la note qui suit, nous vous livrons les faits majeurs de cette guerre dont le monde entier se souviendra pendant longtemps pour éviter ces genres d’aventures d’invasions barbares au Congo. Notre correspondant sur les lieux des Opérations militaires nous relate, images à l’appui (mais ne peuvent être diffusées en ce moment) et veut essayer d’expliquer aux Congolais les derniers événements chronologiques de cette guerre partant de Juillet – Aout 2013 jusqu’à la récente défaite de RDF/M23 de Hitler rwandais Paul Kagame au Congo de Kimbangu.
L’historique des Opérations de la guerre éclair au Congo
Après la défaite du RDF/M23, en Août dernier, par les forces des FARDC, le dictateur Paul Kagame avait ordonné à son commandant militaire de rester à Gisenyi ( Rubavu ) et faire un plan pour récupérer le territoire perdu et la ville principale de Goma qui a échappé aux offensives du RDF/M23. Pendant l’offensive d’Août 2013 pour capturer Goma, lors d’une réunion militaire qui a eu lieu le 27 août 2013 au village Urugwiro, le dictateur Paul Kagame avait ordonné au général Patrick Nyamvumba d’aller camper à Rubavu, « je ne veux pas vous voir à Kigali avant que Goma tombe entre nos mains », criait kagame à son officier.
Mais tous les Congolais ont vu le résultat de cette guerre de Juillet-Aout 2013 : les forces de RDF/M23 ont été décimées par les FARDC, et l’intervention de Mary Robnison, Yoweri Museveni, Justine Greening – UE Catherine Asthon avait sauvé le RDF/M23, qui en débande avait lancé des obus sur Goma tuant plusieurs civiles en RDC, voire chez eux au Rwanda à Gisenyi pour créer une crise majeure. La communauté internationale avait alors demandé aux FARDC, par la voix du Secrétaire général des Nations Unies Ban-Ki-Moon d’arrêter l’offensive contre les agresseurs rwandais. Kinshasa est all é de nouveau à la table des négociations à Kampala, en dépit de ce cycle de guerre qui a été commencé par Paul Kagame avec la complicité à peine voilée de "Joseph kabila" et les crimes horribles de leurs troupes sur la population congolaise.
Les défaites de Juillet et Août derniers avaient laissé le RDF/M23 bouleversé, démoralisé; les officiers supérieurs du RDF/M23 ne pouvaient pas croire ce qu’ils voyaient sur le champ de bataille. (En bat du texte, SUIVEZ LA VIDEO de la débâcle de M23/RDF en Août 2013 grâce à la vigilance et à la pression de la population congolaise au Nord-Kivu en particulier contre le double jeu du gouvernement et la complicité de «Joseph kabila » )
Un officier subalterne de RDF au rang de capitaine et qui faisait partie de la force battue à Mutaho a déclaré sous anonymat aux soldats de la MONUSCO que : «lorsque nous présentions nos rapports aux officiers supérieurs de RDF sur les raisons de nos défaites, le pire, c’est qu’ils nous ont ri au large et certains d’entre nous, ont été emprisonnés pour la cause de la défaite d’Août. Ce que je peux dire, c’est que nous sommes fatigués de mourir dans des guerres idiotes. »
La préparation des guerres de RDF/M23 pour récupérer le territoire perdu en Juillet et Août 2013.
De notre correspondant particulier sur les lieux :
Après la défaite d’Août, le 5 Août 2013, le dictateur Paul Kagame avait convoqué au Village Urugwiro le général Patrick Nyamvumba, le général Jack Nziza (l’un des assassin direct du président Juvénal Habyarimana en avril 1994), le général Joseph Demali, le général Jérôme Ngendahimana, le général Moubarak Muganga, le général Emmanuel Ruvusha, le général Eric Murokore, le général Jonson Hodari, Le colonel Innocent Kaina, le colonel Deo Rusanganwa, le lieutenant-colonel Joseph Karegire et Major Gérard Ntashamaje. Au cours de cette réunion qui a eu lieu au milieu de la nuit, le dictateur Paul Kagame a humilié le commandant de sa garde présidentielle, le général Jonson Hodari en lui ordonnant de quitter la réunion.
Le général Johnson Hodari est maintenant sur Agatebe pour simplement le fait d’être un ami proche de la famille du général Charles Kayonga. Les deux généraux, Kayonga et Hodari sont encore sous une surveillance intense de la DMI et ils sont aussi au chômage comme la majorité des Rwandais.
Au cours de cette réunion, le dictateur Kagame a été informé sur la raison pour laquelle le RDF/M23 a été défait. Ces généraux auraient soulevé la question de la formation, le moral, le nombre du personnel et de logistique, mais un Paul Kagame désemparé, aurait dit à ces généraux: «vous les gars à chaque fois vous venez avec les mêmes excuses ridicules. » Le dictateur criminel Kagame a alors ordonné au général Eric Murokore de se déplacer et aller rester au Congo en tant que commandant suprême des opérations du M23/RDF, et le Major Gérard Ntashamaje a également été désigné à agir en tant que nouveau commissaire politique pour le M23/RDF au Congo.
Avec l'appui de "Joseph kabila" et James Kabarebe, le Major, Gérard Ntashamaje est le vrai leader politico-militaire du M23.
Le Dictateur Paul Kagame a ordonné à son bras droit assassin Jack Nziza de fournir le soutien logistique nécessaire aux soldats de RDF/M23 au Congo. Lors de la réunion il a été convenu que les forces au Congo devraient être militairement prêtes à récupérer les territoires perdus et de regagner le respect militaire de la RDF comme une armée formidable.
La préparation militaire des FARDC après avoir battu le RDF/M23 en Août2013
Après avoir battu le M23/RDF en Juillet et en Août de cette année 2013 , les FARDC n’ont pas perdu du temps à célébrer leur récente victoire.
Car les FARDC connaissent bien le jeu de Kagame de faire semblant dialoguer et combattre en même temps, les officiers supérieurs des FARDC savaient bien que le RDF/M23 avait demandé des négociations seulement pour trouver un espace de respiration et une chance de se réorganiser pour une future offensive.
Chronologie des faits septembre – octobre 2013
Le 7 Septembre 2013, le général François Olenga, le commandant des forces terrestres a rencontré les commandants des opérations au Nord Kivu pour les féliciter pour leurs récentes victoires au front. Il a également déclaré à ces commandants que l’ennemi planifie et se regroupe pour attaquer de nouveau la RDC.
Le 11 Septembre 2013, un bataillon FARDC, nouvellement entrainé, arrive à Goma de Kamanyola. Ce bataillon bien formé connu sous le nom de 809 bataillon a été déployé autour de la zone de Kibati pour renforcer les bataillons d’infanterie 41, 805 et 806. Ces bataillons spéciaux FARDC étaient stationnés à Kibati – Kiwanja et dans le parc national des Virunga entre Busenene et Kalengera.
Le 13 Septembre 2013, les hauts officiers de RDF, le General Eric Murokore, le lieutenant-colonel Joseph Karengire et le lieutenant-colonel Deo Rusanganwa traversent la frontière au Congo avec 5 nouveaux bataillons de RDF qui sont bien équipés.
Ces bataillons étaient accompagnés de l’unité mécanisée de la RDF qui était basée à Gabiro, l’unité mécanisée a traversé avec des canons d’artillerie et les chars T55. Ces forces ont été placées sur la ligne de front à l’intérieur de Kibumba – Rumangabo – Rutshuru.
Le RDF/M23 a commencé alors à creuser et à construire des bunkers de terre profonde, stationnant leurs pièces d’artillerie lourde et de concentrer un grand nombre de soldats rwandais au sein de leur tout au plus première ligne de front dans la préparation d’une attaque contre les FARDC.
Le 22 Septembre 2013, après avoir reçu des informations du renseignement que le RDF/M23 est fortement déployé à l’intérieur du Congo et aux alentours de la frontière avec le Rwanda et l`Ouganda, le major général Lucien Bauma Ambamba, commandant de la huitième région militaire (Nord Kivu), a demandé le renforcement. Les nouvelles Brigades ont commencé à arriver du sud Kivu et ces Brigades sont commandées par les vaillants commandants FARDC anti- Joseph Kabila et anti Kagame qui ont perdu beaucoup de leurs camarades au front en raison des dictats piégés de "Joseph kkabila" chaque fois que les FARDC voulaient en finir avec les RDF/M23. Ces brigades étaient entre autres 107, 106, 103 et 102 qui sont respectivement déterminées à chasser les troupes rwandaises une fois pour toute du territoire congolais.
Ces brigades ont été déployées par le colonel Mamadou Moustapha Ndala dans l’axe, Kibumba – Rumangabo – Rutshuru.
Le 28 Septembre 2013, l’arrivée des drones Falcon et des hélicoptères d’attaque au sol, Rooivalk d’Afrique du Sud. A cette époque, les FARDC ont également transporté les nouvelles armes lourdes à Goma, comme les chars T – 55 et T-72 , BM- 24 et RM- 70 qui sont des systèmes de missiles tirés par des véhicules, deux autres MI- 24 et MI-8 hélicoptères d’attaque au sol ont également été déployées et les armes d’artillerie qui comprenaient les 2S7 203mm, D – 30 122mm, et AT-4 ont également été fournies à des unités d’artillerie des FARDC par les troupes tanzaniennes de la Brigade d`Intervention rapide hostiles à Paul Kagame.
La guerre d’Octobre 2013
Le 14 Octobre 2013, le M23 à partir de la station de leurs défenses de Kanyamahoro sur le sol congolais ont attaqué et bombardé les positions des FARDC, mais les FARDC ont répondu par un barrage de tirs d’artillerie. A ce jour la milice de Raia Mtomboki et les faux Maï- Maï Cheka de Paul Kagame ont été ordonnées par Kigali d’attaquer les défenses des FDLR imaginaires comme fait de diversion pour détourner l’attention au M23/RDF.
Le 17 Octobre 2013, le lieutenant-colonel Claude Barinda de RDF ordonne une offensive pour déloger les défenses des FARDC à Kanyamahoro dans le but de gagner les zones minières entre Kibumba et Goma. Cette attaque a également été repoussée par les FARDC et le RDF/M23 a dû se replier vers leurs défenses.
Le 20 Octobre 2013, les pourparlers de Kampala échouent et les délégués congolais décident de retourner chez eux à Kinshasa. Après avoir été « d’accord » certains point relatifs à la fin de la guerre, à part la question d’amnistie et de l’intégration militaire des criminels rwandais aux FARDC, les pourparlers ont été suspendus. Les délégués internationaux qui comprenaient : Russ Feingold, le représentant des USA et Martin Kobler de la MONUSCO ont aussi quitté Kampala après la suspension de la réunion.
Le 23 Octobre 2013, des unités des FARDC et vrais Maï-Maï Congolais attaquent les positions de faux Maï Maï Cheka dans Misoke, Bweru et Gasake. Les milices de Kagame Maï-Maï Cheka ont été neutralisées et vaincues et leur quartier général à Pinga ( Masisi ) aurait été saisi par les unités des FDLR du colonel Caleb aka Vedaste Hatangumuremyi, puis récupéré par les troupes loyalistes.
Le 24 Octobre 2013, à 20h00, date fatidique pour le M23/RDF, les ordres viennent de Kigali ordonnant le General Eric Murokore et le colonel Innocent Kaina pour commencer leur offensive pour attaquer la ville de Goma. Les forces de RDF/M23, sur la colline de Kanyamahoro décident d’attaquer la ligne de défense avancée des FARDC qui était stationnées à l’intérieur de la Route Nationale 2, qui va de Goma à Kibumba. Le général François Olenga, sans attendre l’avis controverse de « joseph kabila », donne l’ordre au général Lucien Bauma Ambamba du 8ème région militaire du Nord-Kivu de libérer toute la région.
Le Général Lucien Bauma a ordonné à son commandant d’opérations, le Colonel Mamadou Moustapha Ndala des FARDC pour lancer l’offensive de libération. Ce soir-là, le colonel Ndala a commandé les brigades basées dans l’axe Kibumba – Rumangabo – Rutshuru pour attaquer. Le Colonel Ndala savait que la colline de Kanyamahoro devait être vite libérée avant l’avancee des forces de Kibumba, Rumangabo et Rutshuru.
Les défenses de RDF/M23 à Kanyamahoro ont été détruites en quelques heures des combats, les hélicoptères Rooivalk ont aplaties les bunkers de RDF/M23. Les forces de M23/RDF se sont précipitamment retirées et ont pris la fuite vers Kibumba.
Le 25 Octobre 2013, à 4: h00 du matin, les troupes des FARDC, qui progressaient avec une puissance de feu hors du commun, ont détruit les défenses des forces de M23/RDF stationnées à Kibumba et Rugari avec des barrages d’artillerie très puissante qui ont duré toute la nuit. Ces défenses de RDF/M23 étaient tenues par des forces spéciales du Rwanda soutenues par des chars T-55 et commandées par le lieutenant-colonel Joseph Karegire. Mais à la surprise des FARDC l’ennemi n’a pas longtemps résisté, car ils se sont rapidement retirés vers la frontière avec le Rwanda et c’est au cours de cette retraite que les officiers supérieurs du M23/RDF ont été blessés dont le colonel Vianney Kazarama et le major André Muzungu.
Pendant la journée du 25 octobre 2013, face à cette nouvelle donne, le Ministre des Affaires étrangères britanniques et le Secrétaire d’ Etat Américain John Kerry ont chacun appelé le dictateur Paul Kagame et lui ont signifié avec des propos clairs et sans ambages de ne plus envoyer des renforts à ses troupes envahisseurs en débandade en RDC. Ce fut un cauchemar pour pour Hitler africain. Il piqua une crise dans l’immédiat.
Les troupes rwandaises du M23 / RDF ont reculé vers Bugeshi à l’intérieur du Rwanda et les blessés ont été transportés à l’hôpital de Ruhengeri pour le traitement. Ce jour- là le Colonel Kazarama, le Colonel Joseph Karegire , le colonel Claude Karinda, etc; ont traversé vers le Rwanda.
Le 26 Oc tobre 2013: l’ensemble de Kibumba est libéré par les FARDC et le gouverneur du Nord-Kivu, visite Kibumba pour célébrer avec la population locale fortement soulagée par cette victoire des FARDC. Sur ce même jour, les 103 et 106 brigades arrivent dans les périphéries de Rutshuru et Kiwanja, et la guerre de Rutshuru a commencé.
Les forces kagamiennes du M23/RDF à Rumangabo ont commencé à se retirer sous le couvert de la nuit, la résistance du RDF/M23 était minime. Sur ce même jour, un bataillon du RDF/M23 dirigée par le Major Alan Musiime a essayé d’ aider les soldats du RDF piégés à Hehu, avant d’être repoussé violemment par les unités d’artillerie des FARDC appuyées par des hélicoptères d’attaque MI-24, avec l’appui (un peu hésitant de la MONUSCO au départ) et de la brigade d’ intervention rapide.
Le 27 Oc tobre 2013, la guerre autour de Rutshuru s’intensifie et les forces du RDF/M23 après avoir été attaquées à trois fronts différents, ont commencé leur retrait vers Bunagana. La MONUSCO ne pouvait plus faire marche-arrière comme avant, il ne devait que continuer à appuyer les FARDC déterminées à chasser définitivement les troupes rwandaises, malgré les appels à la cessation des hostilités lanés par la France et l`ONU. Les forces du RDF/M23 dans Kiwanja et Rutshuru centre étaient sous le commandement du lieutenant-colonel Gaceri Musana, mais ses forces n’ont pas longtemps résisté, lui et ses troupes restantes ont fui vers Bunagana.
Ce même jour Kiwanja a été capturé par les FARDC aux environs de 13h00, heure locale.
Le 28 Octobre 2013, après la libération de Kibumba, Kiwanja, Rutshuru centre et Rumangabo, les unités d’artillerie terrestre des FARDC et de la puissance de l’air ont neutralisé et détruit une unité d’artillerie du RDF/M23, qui était stationnée sur la colline de Hehu, et comme en juillet et Aout derniers, pas un seule soldat du RDF/M23 de cette unité a survécu à l’ assaut des FARDC à Hehu.
A Rutshuru, Martin Kobler, représentant du Secrétaire genéral des nations Unies au Congo fait un aveu publique très choquant et déclare officiellement la fin de la cohabitation de la MONUSCO avec les troupes agresseurs M23/RDF de Paul Kagame.
« Jusqu’à maintenant, on avait ici des casques bleus qui ont eu une certaine cohabitation avec le M23. Je suis arrivé ici il y a deux mois et demi et le M23 était là dans ce bâtiment, c’est la cohabitation. C’est la fin de la cohabitation maintenant avec les groupes rebelles », a déclaré Martin Kobler. Lire l declaration de martin Kobler sur radio okapi.net, le lien ci-dessous a la fin du texte.
Le 29 Octobre 2013, au fur et à mesure que les FARDC et la brigade d’intervention de l’ONU approchaient Bunagana, les hauts officiers militaires du RDF/M23 ont commencé à courir vers le Rwanda tandis que les dirigeants politiques M23/RDF ont traversé à travers l’Ouganda. En ce jour les hauts officiers de RDF, le major général Eric Murokore, le colonel Innoc ent Kaina , le major Gérard Nashamaje, le lieutenant-colonel Gaceri Musana, Major Ngenzi, Major Ibra Mweru, le major Olivier Rumuba, et bon nombre de leurs hommes armés etc. ont traversé au Rwanda à travers Runyoni.
A Bunagana les FARDC n’ont rencontré aucune résistance parce que tous les éléments du RDF/M23 avaient fui la ville principale. En ce moment crucial, le M23/RDF s’était retiré d’une zone qu ìl occupait en RDC, plus grande que le Rwanda en seulement quatre jours. Cette défaite militaire et retrait ont laissé tout le monde très étonné, même les USA.
Le 05 Novembre 2013, tout le territoire contrôlé par le RDF/M23 est conquis par les FARDC. Les soldats rwandais qui résistaient encore ont pris fuite en débandade vers le Rwanda, les autres vers l’Ouganda.
Où sont ces officiers rwandais de l’armée du RDF/M23?
Après avoir traversé la frontière pour rentrer chez eux au Rwanda, le 29 Octobre 2013, le General Eric Murokore a été arrêté et emmené à Kigali et aujourd’hui il est toujours en résidence surveillée pour son incapacité à exécuter des missions mauvaises et belliqueuses du dictateur Kagame au Congo. Le lieutenant-colonel Joseph Karegire est également en résidence surveillée à cause de ses échecs depuis juillet 2013 au Congo. Les officiers supérieurs du M23 ont été autorisés à vivre chez leurs parents au Rwanda, et pour ceux qui ont de parents, mais qui ne peuvent pas les accueillir, sont campés à Byumba.
Un officier supérieur du RDF qui est familier avec cette situation a révélé que « Kagame ne peut pas se permettre d’arrêter les officiers supérieurs rwandais du M23, il sait maintenant qu’il est détesté par les officiers Tutsis rwandais envoyés au Nord Kivu sous couvert d’une fausse rébellion pour leur avoir vendu un projet noir et irréaliste d’un «territoire Hima – Tutsi.» Ces «rwandophones » (en réalité tutsi rwandais) de cette aventure barbare au Nord -Kivu au Congo sont maintenant désireux d’avoir écouté des conseils de leurs frères dans le Sud-Kivu de ne pas faire confiance à Paul Kagame.»
Les officiers supérieurs du RDF se promènent avec leurs têtes basses dans la honte, le Rwanda n’a pas de véritables généraux, c’est un lot
de caporaux portant les grades des généraux.
Ils gagnaient du terrain en RDC à cause de la trahison du gouvernement congolais qui a incorporé beaucoup (plusieurs milliers) d`officiers rwandais dans l`Armée nationale du Congo et surtout à cause «Joseph kabila » qui travaille avec et pour Paul Kagame pour affaiblir et balkaniser le Congo (la RDC). Des sources fiables renseignent que le dictateur Paul Kagame est aujourd’hui en très mauvaise humeur et sa paranoïa s’est augmentée, il sent qu’il a été saboté par ses commandants envoyés en RDC, et même « Joseph kabila» qui est toujours fidèle à Paul Kagame ne serait pas épargné de cette colère paranoïaque de son mentor Hitler rwandais Paul Kagame.
Les Congolais doivent demeurer très vigillants. La lutte pour la liberté prend du temps mais les agresseurs sont toujours vaincus.
C’est aux Congolais maintenant de renaître et de prendre les choses en main avant que «Joseph kabila» et Paul Kagame complôtent encore contre le Congo une autre aventure belliqueuse avec l`appui de Museveni &Co.
Pour obtenir la vraie victoire totale, les Congolais doivent:
*rejeter catégoriquement et avec force l’intégration des troupes rwandaises M23/RDF dans les FARDC et dans d'autres institutions congolaises, car c`est le même projet fétiche et diabolique de "Joseph kabila", Paul Kagame et Museveni.
* rejeter la formation d’un semblant de gouvernement dit de « cohésion nationale» avec «Joseph kabila »et Azarias Ruberwa, ... et exiger leur arrestation par les FARDC;
* faire pression pour exiger la démission illico du gouvernement en place.
*Les FARDC doivent continuer à renforcer leurs positions et faire des ratissages pour déloger rapidement tous les infiltrés rwandais hauts gradés et subalternes dans l’Armée nationale Congolaise FARDC avec l' appui de toute la population congolaise.
La victoire sera totale et réelle seulement après la chute de «Joseph kabila» et l`assainissement des FARDC.
La balle est entre les mains des Congolais.
LE DIEU DU KONGO (RDC) EST TOUT PUISSANT.
Correspondance Particulière sur le front du Nord-Kivu, RDC,
05 Novembre 2013
Par InfoDiasporaRDC Online
5 novembre 2013, par notre Correspondant au Nord-Kivu, RDC
Cette semaine passée, le monde entier a assisté avec étonnement à la défaite et au délogement des troupes agresseurs du M23/RDF. Les troupes de Paul Kagame ont été balayés par les combattants de la liberté de différentes Régions du Congo réorganisés au sein des FARDC.
RDF/M23 ont été délogés suite à une opération vigoureuse, sans injonction du gouvernement congolais, par les vaillants FARDC, sous les ordres du général Olenga et le commandement d’opérations du colonel Mamadou Moustafa Ndala, suivie de la pression intense qu`a subi Paul kagame de la part du gouvernement Americain et Britannique. La récente défaite du RDF/M23 du dictateur Paul Kagame a laissé les stratèges militaires dans la région choqués et étonnés.
Selon une source fiable, un officier supérieur au sein de l’armée ougandaise (UPDF ), cet officier de la deuxième division basée à Mbarara a déclaré que « la défaite du M23/RDF est difficile à croire, elle a été la défaite la plus rapide de l’histoire militaire car ils ont été écrasés dans les quatre jours. C’est quand même fascinant de considérer que le territoire qu`ils occupaient et duquel ils sont délogés est plus grand que le Rwanda lui-même ! » fin de citation.
Cet officier supérieur de l’UPDF a continué de dire à notre correspondant que : « RDF/M23 avaient déployé des bataillons des forces spéciales au Congo et ils étaient bien équipés avec des armes très sophistiquées, mais ils ont lamentablement été défaits. C’est un grand signe que le personnel du RDF n’est plus prêt à mourir pour Paul Kagame et ses intérêts démesurés au Congo ».
Dans la note qui suit, nous vous livrons les faits majeurs de cette guerre dont le monde entier se souviendra pendant longtemps pour éviter ces genres d’aventures d’invasions barbares au Congo. Notre correspondant sur les lieux des Opérations militaires nous relate, images à l’appui (mais ne peuvent être diffusées en ce moment) et veut essayer d’expliquer aux Congolais les derniers événements chronologiques de cette guerre partant de Juillet – Aout 2013 jusqu’à la récente défaite de RDF/M23 de Hitler rwandais Paul Kagame au Congo de Kimbangu.
L’historique des Opérations de la guerre éclair au Congo
Après la défaite du RDF/M23, en Août dernier, par les forces des FARDC, le dictateur Paul Kagame avait ordonné à son commandant militaire de rester à Gisenyi ( Rubavu ) et faire un plan pour récupérer le territoire perdu et la ville principale de Goma qui a échappé aux offensives du RDF/M23. Pendant l’offensive d’Août 2013 pour capturer Goma, lors d’une réunion militaire qui a eu lieu le 27 août 2013 au village Urugwiro, le dictateur Paul Kagame avait ordonné au général Patrick Nyamvumba d’aller camper à Rubavu, « je ne veux pas vous voir à Kigali avant que Goma tombe entre nos mains », criait kagame à son officier.
Mais tous les Congolais ont vu le résultat de cette guerre de Juillet-Aout 2013 : les forces de RDF/M23 ont été décimées par les FARDC, et l’intervention de Mary Robnison, Yoweri Museveni, Justine Greening – UE Catherine Asthon avait sauvé le RDF/M23, qui en débande avait lancé des obus sur Goma tuant plusieurs civiles en RDC, voire chez eux au Rwanda à Gisenyi pour créer une crise majeure. La communauté internationale avait alors demandé aux FARDC, par la voix du Secrétaire général des Nations Unies Ban-Ki-Moon d’arrêter l’offensive contre les agresseurs rwandais. Kinshasa est all é de nouveau à la table des négociations à Kampala, en dépit de ce cycle de guerre qui a été commencé par Paul Kagame avec la complicité à peine voilée de "Joseph kabila" et les crimes horribles de leurs troupes sur la population congolaise.
Les défaites de Juillet et Août derniers avaient laissé le RDF/M23 bouleversé, démoralisé; les officiers supérieurs du RDF/M23 ne pouvaient pas croire ce qu’ils voyaient sur le champ de bataille. (En bat du texte, SUIVEZ LA VIDEO de la débâcle de M23/RDF en Août 2013 grâce à la vigilance et à la pression de la population congolaise au Nord-Kivu en particulier contre le double jeu du gouvernement et la complicité de «Joseph kabila » )
Un officier subalterne de RDF au rang de capitaine et qui faisait partie de la force battue à Mutaho a déclaré sous anonymat aux soldats de la MONUSCO que : «lorsque nous présentions nos rapports aux officiers supérieurs de RDF sur les raisons de nos défaites, le pire, c’est qu’ils nous ont ri au large et certains d’entre nous, ont été emprisonnés pour la cause de la défaite d’Août. Ce que je peux dire, c’est que nous sommes fatigués de mourir dans des guerres idiotes. »
La préparation des guerres de RDF/M23 pour récupérer le territoire perdu en Juillet et Août 2013.
De notre correspondant particulier sur les lieux :
Après la défaite d’Août, le 5 Août 2013, le dictateur Paul Kagame avait convoqué au Village Urugwiro le général Patrick Nyamvumba, le général Jack Nziza (l’un des assassin direct du président Juvénal Habyarimana en avril 1994), le général Joseph Demali, le général Jérôme Ngendahimana, le général Moubarak Muganga, le général Emmanuel Ruvusha, le général Eric Murokore, le général Jonson Hodari, Le colonel Innocent Kaina, le colonel Deo Rusanganwa, le lieutenant-colonel Joseph Karegire et Major Gérard Ntashamaje. Au cours de cette réunion qui a eu lieu au milieu de la nuit, le dictateur Paul Kagame a humilié le commandant de sa garde présidentielle, le général Jonson Hodari en lui ordonnant de quitter la réunion.
Le général Johnson Hodari est maintenant sur Agatebe pour simplement le fait d’être un ami proche de la famille du général Charles Kayonga. Les deux généraux, Kayonga et Hodari sont encore sous une surveillance intense de la DMI et ils sont aussi au chômage comme la majorité des Rwandais.
Au cours de cette réunion, le dictateur Kagame a été informé sur la raison pour laquelle le RDF/M23 a été défait. Ces généraux auraient soulevé la question de la formation, le moral, le nombre du personnel et de logistique, mais un Paul Kagame désemparé, aurait dit à ces généraux: «vous les gars à chaque fois vous venez avec les mêmes excuses ridicules. » Le dictateur criminel Kagame a alors ordonné au général Eric Murokore de se déplacer et aller rester au Congo en tant que commandant suprême des opérations du M23/RDF, et le Major Gérard Ntashamaje a également été désigné à agir en tant que nouveau commissaire politique pour le M23/RDF au Congo.
Avec l'appui de "Joseph kabila" et James Kabarebe, le Major, Gérard Ntashamaje est le vrai leader politico-militaire du M23.
Le Dictateur Paul Kagame a ordonné à son bras droit assassin Jack Nziza de fournir le soutien logistique nécessaire aux soldats de RDF/M23 au Congo. Lors de la réunion il a été convenu que les forces au Congo devraient être militairement prêtes à récupérer les territoires perdus et de regagner le respect militaire de la RDF comme une armée formidable.
La préparation militaire des FARDC après avoir battu le RDF/M23 en Août2013
Après avoir battu le M23/RDF en Juillet et en Août de cette année 2013 , les FARDC n’ont pas perdu du temps à célébrer leur récente victoire.
Car les FARDC connaissent bien le jeu de Kagame de faire semblant dialoguer et combattre en même temps, les officiers supérieurs des FARDC savaient bien que le RDF/M23 avait demandé des négociations seulement pour trouver un espace de respiration et une chance de se réorganiser pour une future offensive.
Chronologie des faits septembre – octobre 2013
Le 7 Septembre 2013, le général François Olenga, le commandant des forces terrestres a rencontré les commandants des opérations au Nord Kivu pour les féliciter pour leurs récentes victoires au front. Il a également déclaré à ces commandants que l’ennemi planifie et se regroupe pour attaquer de nouveau la RDC.
Le 11 Septembre 2013, un bataillon FARDC, nouvellement entrainé, arrive à Goma de Kamanyola. Ce bataillon bien formé connu sous le nom de 809 bataillon a été déployé autour de la zone de Kibati pour renforcer les bataillons d’infanterie 41, 805 et 806. Ces bataillons spéciaux FARDC étaient stationnés à Kibati – Kiwanja et dans le parc national des Virunga entre Busenene et Kalengera.
Le 13 Septembre 2013, les hauts officiers de RDF, le General Eric Murokore, le lieutenant-colonel Joseph Karengire et le lieutenant-colonel Deo Rusanganwa traversent la frontière au Congo avec 5 nouveaux bataillons de RDF qui sont bien équipés.
Ces bataillons étaient accompagnés de l’unité mécanisée de la RDF qui était basée à Gabiro, l’unité mécanisée a traversé avec des canons d’artillerie et les chars T55. Ces forces ont été placées sur la ligne de front à l’intérieur de Kibumba – Rumangabo – Rutshuru.
Le RDF/M23 a commencé alors à creuser et à construire des bunkers de terre profonde, stationnant leurs pièces d’artillerie lourde et de concentrer un grand nombre de soldats rwandais au sein de leur tout au plus première ligne de front dans la préparation d’une attaque contre les FARDC.
Le 22 Septembre 2013, après avoir reçu des informations du renseignement que le RDF/M23 est fortement déployé à l’intérieur du Congo et aux alentours de la frontière avec le Rwanda et l`Ouganda, le major général Lucien Bauma Ambamba, commandant de la huitième région militaire (Nord Kivu), a demandé le renforcement. Les nouvelles Brigades ont commencé à arriver du sud Kivu et ces Brigades sont commandées par les vaillants commandants FARDC anti- Joseph Kabila et anti Kagame qui ont perdu beaucoup de leurs camarades au front en raison des dictats piégés de "Joseph kkabila" chaque fois que les FARDC voulaient en finir avec les RDF/M23. Ces brigades étaient entre autres 107, 106, 103 et 102 qui sont respectivement déterminées à chasser les troupes rwandaises une fois pour toute du territoire congolais.
Ces brigades ont été déployées par le colonel Mamadou Moustapha Ndala dans l’axe, Kibumba – Rumangabo – Rutshuru.
Le 28 Septembre 2013, l’arrivée des drones Falcon et des hélicoptères d’attaque au sol, Rooivalk d’Afrique du Sud. A cette époque, les FARDC ont également transporté les nouvelles armes lourdes à Goma, comme les chars T – 55 et T-72 , BM- 24 et RM- 70 qui sont des systèmes de missiles tirés par des véhicules, deux autres MI- 24 et MI-8 hélicoptères d’attaque au sol ont également été déployées et les armes d’artillerie qui comprenaient les 2S7 203mm, D – 30 122mm, et AT-4 ont également été fournies à des unités d’artillerie des FARDC par les troupes tanzaniennes de la Brigade d`Intervention rapide hostiles à Paul Kagame.
La guerre d’Octobre 2013
Le 14 Octobre 2013, le M23 à partir de la station de leurs défenses de Kanyamahoro sur le sol congolais ont attaqué et bombardé les positions des FARDC, mais les FARDC ont répondu par un barrage de tirs d’artillerie. A ce jour la milice de Raia Mtomboki et les faux Maï- Maï Cheka de Paul Kagame ont été ordonnées par Kigali d’attaquer les défenses des FDLR imaginaires comme fait de diversion pour détourner l’attention au M23/RDF.
Le 17 Octobre 2013, le lieutenant-colonel Claude Barinda de RDF ordonne une offensive pour déloger les défenses des FARDC à Kanyamahoro dans le but de gagner les zones minières entre Kibumba et Goma. Cette attaque a également été repoussée par les FARDC et le RDF/M23 a dû se replier vers leurs défenses.
Le 20 Octobre 2013, les pourparlers de Kampala échouent et les délégués congolais décident de retourner chez eux à Kinshasa. Après avoir été « d’accord » certains point relatifs à la fin de la guerre, à part la question d’amnistie et de l’intégration militaire des criminels rwandais aux FARDC, les pourparlers ont été suspendus. Les délégués internationaux qui comprenaient : Russ Feingold, le représentant des USA et Martin Kobler de la MONUSCO ont aussi quitté Kampala après la suspension de la réunion.
Le 23 Octobre 2013, des unités des FARDC et vrais Maï-Maï Congolais attaquent les positions de faux Maï Maï Cheka dans Misoke, Bweru et Gasake. Les milices de Kagame Maï-Maï Cheka ont été neutralisées et vaincues et leur quartier général à Pinga ( Masisi ) aurait été saisi par les unités des FDLR du colonel Caleb aka Vedaste Hatangumuremyi, puis récupéré par les troupes loyalistes.
Le 24 Octobre 2013, à 20h00, date fatidique pour le M23/RDF, les ordres viennent de Kigali ordonnant le General Eric Murokore et le colonel Innocent Kaina pour commencer leur offensive pour attaquer la ville de Goma. Les forces de RDF/M23, sur la colline de Kanyamahoro décident d’attaquer la ligne de défense avancée des FARDC qui était stationnées à l’intérieur de la Route Nationale 2, qui va de Goma à Kibumba. Le général François Olenga, sans attendre l’avis controverse de « joseph kabila », donne l’ordre au général Lucien Bauma Ambamba du 8ème région militaire du Nord-Kivu de libérer toute la région.
Le Général Lucien Bauma a ordonné à son commandant d’opérations, le Colonel Mamadou Moustapha Ndala des FARDC pour lancer l’offensive de libération. Ce soir-là, le colonel Ndala a commandé les brigades basées dans l’axe Kibumba – Rumangabo – Rutshuru pour attaquer. Le Colonel Ndala savait que la colline de Kanyamahoro devait être vite libérée avant l’avancee des forces de Kibumba, Rumangabo et Rutshuru.
Les défenses de RDF/M23 à Kanyamahoro ont été détruites en quelques heures des combats, les hélicoptères Rooivalk ont aplaties les bunkers de RDF/M23. Les forces de M23/RDF se sont précipitamment retirées et ont pris la fuite vers Kibumba.
Le 25 Octobre 2013, à 4: h00 du matin, les troupes des FARDC, qui progressaient avec une puissance de feu hors du commun, ont détruit les défenses des forces de M23/RDF stationnées à Kibumba et Rugari avec des barrages d’artillerie très puissante qui ont duré toute la nuit. Ces défenses de RDF/M23 étaient tenues par des forces spéciales du Rwanda soutenues par des chars T-55 et commandées par le lieutenant-colonel Joseph Karegire. Mais à la surprise des FARDC l’ennemi n’a pas longtemps résisté, car ils se sont rapidement retirés vers la frontière avec le Rwanda et c’est au cours de cette retraite que les officiers supérieurs du M23/RDF ont été blessés dont le colonel Vianney Kazarama et le major André Muzungu.
Pendant la journée du 25 octobre 2013, face à cette nouvelle donne, le Ministre des Affaires étrangères britanniques et le Secrétaire d’ Etat Américain John Kerry ont chacun appelé le dictateur Paul Kagame et lui ont signifié avec des propos clairs et sans ambages de ne plus envoyer des renforts à ses troupes envahisseurs en débandade en RDC. Ce fut un cauchemar pour pour Hitler africain. Il piqua une crise dans l’immédiat.
Les troupes rwandaises du M23 / RDF ont reculé vers Bugeshi à l’intérieur du Rwanda et les blessés ont été transportés à l’hôpital de Ruhengeri pour le traitement. Ce jour- là le Colonel Kazarama, le Colonel Joseph Karegire , le colonel Claude Karinda, etc; ont traversé vers le Rwanda.
Le 26 Oc tobre 2013: l’ensemble de Kibumba est libéré par les FARDC et le gouverneur du Nord-Kivu, visite Kibumba pour célébrer avec la population locale fortement soulagée par cette victoire des FARDC. Sur ce même jour, les 103 et 106 brigades arrivent dans les périphéries de Rutshuru et Kiwanja, et la guerre de Rutshuru a commencé.
Les forces kagamiennes du M23/RDF à Rumangabo ont commencé à se retirer sous le couvert de la nuit, la résistance du RDF/M23 était minime. Sur ce même jour, un bataillon du RDF/M23 dirigée par le Major Alan Musiime a essayé d’ aider les soldats du RDF piégés à Hehu, avant d’être repoussé violemment par les unités d’artillerie des FARDC appuyées par des hélicoptères d’attaque MI-24, avec l’appui (un peu hésitant de la MONUSCO au départ) et de la brigade d’ intervention rapide.
Le 27 Oc tobre 2013, la guerre autour de Rutshuru s’intensifie et les forces du RDF/M23 après avoir été attaquées à trois fronts différents, ont commencé leur retrait vers Bunagana. La MONUSCO ne pouvait plus faire marche-arrière comme avant, il ne devait que continuer à appuyer les FARDC déterminées à chasser définitivement les troupes rwandaises, malgré les appels à la cessation des hostilités lanés par la France et l`ONU. Les forces du RDF/M23 dans Kiwanja et Rutshuru centre étaient sous le commandement du lieutenant-colonel Gaceri Musana, mais ses forces n’ont pas longtemps résisté, lui et ses troupes restantes ont fui vers Bunagana.
Ce même jour Kiwanja a été capturé par les FARDC aux environs de 13h00, heure locale.
Le 28 Octobre 2013, après la libération de Kibumba, Kiwanja, Rutshuru centre et Rumangabo, les unités d’artillerie terrestre des FARDC et de la puissance de l’air ont neutralisé et détruit une unité d’artillerie du RDF/M23, qui était stationnée sur la colline de Hehu, et comme en juillet et Aout derniers, pas un seule soldat du RDF/M23 de cette unité a survécu à l’ assaut des FARDC à Hehu.
A Rutshuru, Martin Kobler, représentant du Secrétaire genéral des nations Unies au Congo fait un aveu publique très choquant et déclare officiellement la fin de la cohabitation de la MONUSCO avec les troupes agresseurs M23/RDF de Paul Kagame.
« Jusqu’à maintenant, on avait ici des casques bleus qui ont eu une certaine cohabitation avec le M23. Je suis arrivé ici il y a deux mois et demi et le M23 était là dans ce bâtiment, c’est la cohabitation. C’est la fin de la cohabitation maintenant avec les groupes rebelles », a déclaré Martin Kobler. Lire l declaration de martin Kobler sur radio okapi.net, le lien ci-dessous a la fin du texte.
Le 29 Octobre 2013, au fur et à mesure que les FARDC et la brigade d’intervention de l’ONU approchaient Bunagana, les hauts officiers militaires du RDF/M23 ont commencé à courir vers le Rwanda tandis que les dirigeants politiques M23/RDF ont traversé à travers l’Ouganda. En ce jour les hauts officiers de RDF, le major général Eric Murokore, le colonel Innoc ent Kaina , le major Gérard Nashamaje, le lieutenant-colonel Gaceri Musana, Major Ngenzi, Major Ibra Mweru, le major Olivier Rumuba, et bon nombre de leurs hommes armés etc. ont traversé au Rwanda à travers Runyoni.
A Bunagana les FARDC n’ont rencontré aucune résistance parce que tous les éléments du RDF/M23 avaient fui la ville principale. En ce moment crucial, le M23/RDF s’était retiré d’une zone qu ìl occupait en RDC, plus grande que le Rwanda en seulement quatre jours. Cette défaite militaire et retrait ont laissé tout le monde très étonné, même les USA.
Le 05 Novembre 2013, tout le territoire contrôlé par le RDF/M23 est conquis par les FARDC. Les soldats rwandais qui résistaient encore ont pris fuite en débandade vers le Rwanda, les autres vers l’Ouganda.
Où sont ces officiers rwandais de l’armée du RDF/M23?
Après avoir traversé la frontière pour rentrer chez eux au Rwanda, le 29 Octobre 2013, le General Eric Murokore a été arrêté et emmené à Kigali et aujourd’hui il est toujours en résidence surveillée pour son incapacité à exécuter des missions mauvaises et belliqueuses du dictateur Kagame au Congo. Le lieutenant-colonel Joseph Karegire est également en résidence surveillée à cause de ses échecs depuis juillet 2013 au Congo. Les officiers supérieurs du M23 ont été autorisés à vivre chez leurs parents au Rwanda, et pour ceux qui ont de parents, mais qui ne peuvent pas les accueillir, sont campés à Byumba.
Un officier supérieur du RDF qui est familier avec cette situation a révélé que « Kagame ne peut pas se permettre d’arrêter les officiers supérieurs rwandais du M23, il sait maintenant qu’il est détesté par les officiers Tutsis rwandais envoyés au Nord Kivu sous couvert d’une fausse rébellion pour leur avoir vendu un projet noir et irréaliste d’un «territoire Hima – Tutsi.» Ces «rwandophones » (en réalité tutsi rwandais) de cette aventure barbare au Nord -Kivu au Congo sont maintenant désireux d’avoir écouté des conseils de leurs frères dans le Sud-Kivu de ne pas faire confiance à Paul Kagame.»
Les officiers supérieurs du RDF se promènent avec leurs têtes basses dans la honte, le Rwanda n’a pas de véritables généraux, c’est un lot
de caporaux portant les grades des généraux.
Ils gagnaient du terrain en RDC à cause de la trahison du gouvernement congolais qui a incorporé beaucoup (plusieurs milliers) d`officiers rwandais dans l`Armée nationale du Congo et surtout à cause «Joseph kabila » qui travaille avec et pour Paul Kagame pour affaiblir et balkaniser le Congo (la RDC). Des sources fiables renseignent que le dictateur Paul Kagame est aujourd’hui en très mauvaise humeur et sa paranoïa s’est augmentée, il sent qu’il a été saboté par ses commandants envoyés en RDC, et même « Joseph kabila» qui est toujours fidèle à Paul Kagame ne serait pas épargné de cette colère paranoïaque de son mentor Hitler rwandais Paul Kagame.
Les Congolais doivent demeurer très vigillants. La lutte pour la liberté prend du temps mais les agresseurs sont toujours vaincus.
C’est aux Congolais maintenant de renaître et de prendre les choses en main avant que «Joseph kabila» et Paul Kagame complôtent encore contre le Congo une autre aventure belliqueuse avec l`appui de Museveni &Co.
Pour obtenir la vraie victoire totale, les Congolais doivent:
*rejeter catégoriquement et avec force l’intégration des troupes rwandaises M23/RDF dans les FARDC et dans d'autres institutions congolaises, car c`est le même projet fétiche et diabolique de "Joseph kabila", Paul Kagame et Museveni.
* rejeter la formation d’un semblant de gouvernement dit de « cohésion nationale» avec «Joseph kabila »et Azarias Ruberwa, ... et exiger leur arrestation par les FARDC;
* faire pression pour exiger la démission illico du gouvernement en place.
*Les FARDC doivent continuer à renforcer leurs positions et faire des ratissages pour déloger rapidement tous les infiltrés rwandais hauts gradés et subalternes dans l’Armée nationale Congolaise FARDC avec l' appui de toute la population congolaise.
La victoire sera totale et réelle seulement après la chute de «Joseph kabila» et l`assainissement des FARDC.
La balle est entre les mains des Congolais.
LE DIEU DU KONGO (RDC) EST TOUT PUISSANT.
Correspondance Particulière sur le front du Nord-Kivu, RDC,
05 Novembre 2013
regarder et bien voir
Re: Le M23 etait serieux donc?
Incompréhensible : L'ONU propose l'intégration des combattants du M23
« Je crois que l’accord ou le papier ou encore le document était conçu pour finir une guerre. Maintenant que la guerre a pris fin, il faut faire une solution pour réintégrer les combattants du M23 », a déclaré le patron de la Monusco.
Le patron de la Monusco, Martin Kobler, a appelé mardi 12 novembre à Goma au Nord-Kivu, le gouvernement congolais et le M23 à ne pas exclure l’option politique, malgré la fin de la guerre dans la partie Est de la République démocratique du Congo (RDC).
De retour de Kampala, il a souligné Kinshasa et les rebelles ne se sont pas entendus sur la forme du document à signer. « Comment appeler ce papier qui est sur la table : déclaration ? Conclusion ou accord ? C’était la différence mais pas la substance », a affirmé le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en RDC, Martin Kobler.
Lundi 11 novembre dans la soirée, le gouvernement congolais et les représentants du M23 n’ont pas signé un accord à Kampala comme initialement prévu. Kinshasa avait évoqué le problème de l’intitulé du document à signer, refusant de signer « un accord ». La délégation gouvernementale souhaite signer « une déclaration ».
Pour Martin Kobler, ce texte était conçu avant la fin de la guerre.
« Je crois que l’accord ou le papier ou encore le document était conçu pour finir une guerre. Maintenant que la guerre a pris fin, il faut faire une solution pour réintégrer les combattants du M23 », a déclaré le patron de la Monusco.
Il a appelé toutes les parties, le M23, le gouvernement et le facilitateur « à prendre [en compte] ces étapes et de remplir ce qui était dans le papier ».
Dans un communiqué publié lundi dans la soirée depuis Entebbe, les envoyés spéciaux de la communauté internationale présents à Kampala ont regretté que les deux parties n’aient pas conclu un accord à Kampala.
Ils ont noté que Kinshasa et le M23 « n’ont pas exprimé de différences sur les points importants du projet de document » à parafer mais ne sont pas parvenues à un accord sur le format ».
Au cours d’une adresse à la télévision publique, le chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila, avait déclaré mercredi 30 octobre que les victoires des Forces armées de la RDC (FARDC) contre les rebelles du M23 n’avait pas « pour conséquence de rendre caduques les options politiques et diplomatiques pour rétablir une paix durable ».
L’armée congolaise a fait subir aux rebelles une série de revers. Le 5 novembre, elle a repris le contrôle de toutes les localités occupées que les rebelles occupaient depuis plus d’une année. Ce succès militaire des FARDC a poussé le M23 à annoncer la fin de la rébellion le 10 novembre.
Avec Radio Okapi
http://radiookapi.net/actualite/2013/11/12/rdc-martin-kobler-invite-kinshasa-le-m23-ne-pas-exclure-loption-politique/
« Je crois que l’accord ou le papier ou encore le document était conçu pour finir une guerre. Maintenant que la guerre a pris fin, il faut faire une solution pour réintégrer les combattants du M23 », a déclaré le patron de la Monusco.
Le patron de la Monusco, Martin Kobler, a appelé mardi 12 novembre à Goma au Nord-Kivu, le gouvernement congolais et le M23 à ne pas exclure l’option politique, malgré la fin de la guerre dans la partie Est de la République démocratique du Congo (RDC).
De retour de Kampala, il a souligné Kinshasa et les rebelles ne se sont pas entendus sur la forme du document à signer. « Comment appeler ce papier qui est sur la table : déclaration ? Conclusion ou accord ? C’était la différence mais pas la substance », a affirmé le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en RDC, Martin Kobler.
Lundi 11 novembre dans la soirée, le gouvernement congolais et les représentants du M23 n’ont pas signé un accord à Kampala comme initialement prévu. Kinshasa avait évoqué le problème de l’intitulé du document à signer, refusant de signer « un accord ». La délégation gouvernementale souhaite signer « une déclaration ».
Pour Martin Kobler, ce texte était conçu avant la fin de la guerre.
« Je crois que l’accord ou le papier ou encore le document était conçu pour finir une guerre. Maintenant que la guerre a pris fin, il faut faire une solution pour réintégrer les combattants du M23 », a déclaré le patron de la Monusco.
Il a appelé toutes les parties, le M23, le gouvernement et le facilitateur « à prendre [en compte] ces étapes et de remplir ce qui était dans le papier ».
Dans un communiqué publié lundi dans la soirée depuis Entebbe, les envoyés spéciaux de la communauté internationale présents à Kampala ont regretté que les deux parties n’aient pas conclu un accord à Kampala.
Ils ont noté que Kinshasa et le M23 « n’ont pas exprimé de différences sur les points importants du projet de document » à parafer mais ne sont pas parvenues à un accord sur le format ».
Au cours d’une adresse à la télévision publique, le chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila, avait déclaré mercredi 30 octobre que les victoires des Forces armées de la RDC (FARDC) contre les rebelles du M23 n’avait pas « pour conséquence de rendre caduques les options politiques et diplomatiques pour rétablir une paix durable ».
L’armée congolaise a fait subir aux rebelles une série de revers. Le 5 novembre, elle a repris le contrôle de toutes les localités occupées que les rebelles occupaient depuis plus d’une année. Ce succès militaire des FARDC a poussé le M23 à annoncer la fin de la rébellion le 10 novembre.
Avec Radio Okapi
http://radiookapi.net/actualite/2013/11/12/rdc-martin-kobler-invite-kinshasa-le-m23-ne-pas-exclure-loption-politique/
Mathilde
Re: Le M23 etait serieux donc?
La RDC le pays le moins souverain du monde, elle est tout le temps sous des ordres invisibles:
Alors que le M23 est battu et défait, L’ACHARNEMENT OCCIDENTAL POUR UN ACCORD POLITIQUE A KAMPALA DEVIENT SUSPECT
Pourquoi demander à la RDC ce que l’on ne demande pas au Rwanda par rapport aux FDLR ? Les forces alliées occidentales avaient-elles conclu un accord politique avec l’Allemagne défaite ? Puisque, selon Roussel Fiengold, le Rwanda, qui est une « nation souveraine », ne peut pas dialoguer avec les forces négatives que sont les FDLR, doit-on comprendre que la RDC, que l’on pousse à négocier avec une force négative qu’était le M23, n’est pas une « nation souveraine » ?
Alors que le M23 est battu et défait, L’ACHARNEMENT OCCIDENTAL POUR UN ACCORD POLITIQUE A KAMPALA DEVIENT SUSPECT
Pourquoi demander à la RDC ce que l’on ne demande pas au Rwanda par rapport aux FDLR ? Les forces alliées occidentales avaient-elles conclu un accord politique avec l’Allemagne défaite ? Puisque, selon Roussel Fiengold, le Rwanda, qui est une « nation souveraine », ne peut pas dialoguer avec les forces négatives que sont les FDLR, doit-on comprendre que la RDC, que l’on pousse à négocier avec une force négative qu’était le M23, n’est pas une « nation souveraine » ?
regarder et bien voir
Re: Le M23 etait serieux donc?
Au delà de la sémantique, pourquoi KInshasa dit non
Réhabiliter les rebelles ? Le Congo dit non, à l’unanimité
Kinshasa,
Non, trois fois non. Pour une fois, c’est l’unanimité au Congo : la classe politique, majorité et opposition côte à côte, l’opinion publique s’exprimant autant dans les associations que dans la rue et les forces armées qui s’en tiennent à leur victoire militaire et consolident leur contrôle sur le Nord Kivu, tous approuvent les négociateurs qui, à Kampala, ont claqué la porte et refusé de signer le document que leur présentait le médiateur ougandais. « Le match est fini, le boxeur M23 a été mis dans les cordes, on ne peut le faire remonter sur le ring » expliquent les vendeurs de journaux, proposant des quotidiens aux manchettes qui se ressemblent toutes. En termes plus politiques, Seraphin Ngwej, le conseiller diplomatique du chef de l’Etat, ne dit pas autre chose : « comment pouvons nous accepter que l’on mette sur pied d’égalité un mouvement qualifié de « force négative » par les Nations unies, qui a été vaincu sur le terrain militaire, avec un gouvernement légitime ? »
« Accord de paix » ou simple « déclaration » ? La question n’était pas seulement sémantique. Ayant vaincu militairement ses adversaires, qui, mis en débandade se sont repliés dans les pays voisins (non sans se démultiplier, passant de quelques centaines de rebelles en déroute à 1700 combattants accueillis en Ouganda…) Kinshasa n’entend pas signer autre chose qu’un document par lequel le M23 accepte de mettre fin à la guerre. Bref, une capitulation en rase campagne, traduisant le nouveau rapport de forces établi à la fois sur le terrain des opérations et sur le plan diplomatique, où Kinshasa a pu compter sur le soutien de ses alliés d’Afrique australe.
Du côté de la branche politique du M23, refusant l’idée d’une reddition pure et simple, on exige toujours un « accord », assorti de certaines conditions, entre autres en ce qui concerne la réintégration des combattants au sein des forces congolaises, ce qui suscite plus que des réticences au sein d’une armée requinquée et qui n’entend plus être infiltrée par des hommes à la loyauté douteuse.
A l’instar des négociateurs congolais à Kampala, Seraphin Ngwej n’hésite plus à mettre en cause la neutralité du médiateur ougandais, le ministre de la défense Crispus Kyonga : « cette fois, il a abattu ses cartes, démontré qu’il a un autre agenda que celui de simples bons offices, qu’en réalité il ne cherche qu’à sauver la mise du M23… »
Un négociateur congolais, qui participait au sommet de Pretoria, qui avait rassemblé voici huit jours les présidents des pays de la région des Grands Lacs (Paul Kagame brillant par son absence) et les chefs des Etats d’Afrique australe, raconte lui aussi comment le président ougandais Museveni fut apostrophé par ses pairs : « terminez votre travail » lui intima le vieux président ougandais Mugabe tandis que le président Kabila, d’un calme olympien, assénait « nous, nous n’avons jamais menti à personne » et précisait «il est temps que tout cela s’arrête, désormais nous n’avons plus de temps à perdre… » (ce qui est un euphémisme, alors que depuis onze mois, tous frais payés par le gouvernement congolais, les pourparlers de Kampala tournent en rond…)
« A chaque fois que nous avons conclu un accord de paix, une nouvelle rébellion, peu de temps après, a resurgi de ses cendres et désormais nous voulons mettre fin à ce cycle infernal » ajoute Seraphin Ngwej, estimant que « la victoire militaire des forces congolaises aura une onde de choc dans les pays voisins, l’Ouganda et le Rwanda, qui, depuis vingt ans avaient misé sur la fragilisation de la RDC… »
Galvanisées par la victoire militaire, assurées du soutien de la force d’intervention africaine (Malawi, Afrique du Sud et surtout Tanzanie, qui a perdu trois officiers au cours des combats) les autorités congolaises se montrent désormais intransigeantes.
Le consensus est tel que l’on peut se demander si le « gouvernement d’unité nationale », toujours en gestation et qui risque de ressembler à un paquebot sur lequel toutes les forces politiques trouveraient leur place au soleil est encore réellement nécessaire. « Au lieu de satisfaire les politiciens qui veulent leur part du gâteau, le président ferait mieux de laisser travailler le Premier Ministre Matata Mponyo… On ne change pas une équipe qui vient de gagner… » assurent les vendeurs de journaux…
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2013/11/12/au-dela-de-la-semantique-pourquoi-kinshasa-dit-non/
Réhabiliter les rebelles ? Le Congo dit non, à l’unanimité
Kinshasa,
Non, trois fois non. Pour une fois, c’est l’unanimité au Congo : la classe politique, majorité et opposition côte à côte, l’opinion publique s’exprimant autant dans les associations que dans la rue et les forces armées qui s’en tiennent à leur victoire militaire et consolident leur contrôle sur le Nord Kivu, tous approuvent les négociateurs qui, à Kampala, ont claqué la porte et refusé de signer le document que leur présentait le médiateur ougandais. « Le match est fini, le boxeur M23 a été mis dans les cordes, on ne peut le faire remonter sur le ring » expliquent les vendeurs de journaux, proposant des quotidiens aux manchettes qui se ressemblent toutes. En termes plus politiques, Seraphin Ngwej, le conseiller diplomatique du chef de l’Etat, ne dit pas autre chose : « comment pouvons nous accepter que l’on mette sur pied d’égalité un mouvement qualifié de « force négative » par les Nations unies, qui a été vaincu sur le terrain militaire, avec un gouvernement légitime ? »
« Accord de paix » ou simple « déclaration » ? La question n’était pas seulement sémantique. Ayant vaincu militairement ses adversaires, qui, mis en débandade se sont repliés dans les pays voisins (non sans se démultiplier, passant de quelques centaines de rebelles en déroute à 1700 combattants accueillis en Ouganda…) Kinshasa n’entend pas signer autre chose qu’un document par lequel le M23 accepte de mettre fin à la guerre. Bref, une capitulation en rase campagne, traduisant le nouveau rapport de forces établi à la fois sur le terrain des opérations et sur le plan diplomatique, où Kinshasa a pu compter sur le soutien de ses alliés d’Afrique australe.
Du côté de la branche politique du M23, refusant l’idée d’une reddition pure et simple, on exige toujours un « accord », assorti de certaines conditions, entre autres en ce qui concerne la réintégration des combattants au sein des forces congolaises, ce qui suscite plus que des réticences au sein d’une armée requinquée et qui n’entend plus être infiltrée par des hommes à la loyauté douteuse.
A l’instar des négociateurs congolais à Kampala, Seraphin Ngwej n’hésite plus à mettre en cause la neutralité du médiateur ougandais, le ministre de la défense Crispus Kyonga : « cette fois, il a abattu ses cartes, démontré qu’il a un autre agenda que celui de simples bons offices, qu’en réalité il ne cherche qu’à sauver la mise du M23… »
Un négociateur congolais, qui participait au sommet de Pretoria, qui avait rassemblé voici huit jours les présidents des pays de la région des Grands Lacs (Paul Kagame brillant par son absence) et les chefs des Etats d’Afrique australe, raconte lui aussi comment le président ougandais Museveni fut apostrophé par ses pairs : « terminez votre travail » lui intima le vieux président ougandais Mugabe tandis que le président Kabila, d’un calme olympien, assénait « nous, nous n’avons jamais menti à personne » et précisait «il est temps que tout cela s’arrête, désormais nous n’avons plus de temps à perdre… » (ce qui est un euphémisme, alors que depuis onze mois, tous frais payés par le gouvernement congolais, les pourparlers de Kampala tournent en rond…)
« A chaque fois que nous avons conclu un accord de paix, une nouvelle rébellion, peu de temps après, a resurgi de ses cendres et désormais nous voulons mettre fin à ce cycle infernal » ajoute Seraphin Ngwej, estimant que « la victoire militaire des forces congolaises aura une onde de choc dans les pays voisins, l’Ouganda et le Rwanda, qui, depuis vingt ans avaient misé sur la fragilisation de la RDC… »
Galvanisées par la victoire militaire, assurées du soutien de la force d’intervention africaine (Malawi, Afrique du Sud et surtout Tanzanie, qui a perdu trois officiers au cours des combats) les autorités congolaises se montrent désormais intransigeantes.
Le consensus est tel que l’on peut se demander si le « gouvernement d’unité nationale », toujours en gestation et qui risque de ressembler à un paquebot sur lequel toutes les forces politiques trouveraient leur place au soleil est encore réellement nécessaire. « Au lieu de satisfaire les politiciens qui veulent leur part du gâteau, le président ferait mieux de laisser travailler le Premier Ministre Matata Mponyo… On ne change pas une équipe qui vient de gagner… » assurent les vendeurs de journaux…
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2013/11/12/au-dela-de-la-semantique-pourquoi-kinshasa-dit-non/
joss0
Re: Le M23 etait serieux donc?
Kagame s'isole de plus en plus,
A prendre avec precaution, le language utilise ds l'article prette aux critiques.
Il semble que Museveni aurait adopte la mm position q Kikwete, et ici Je dois donner credit a Kamerhe qui disait, depuis avant Kikwete q Kagame doit se mettre a table avec son opposition armee.
http://www.afroamerica.net/AfricaGL/2013/11/10/maybe-it-is-time-to-talk-to-your-armed-opposition-ugandan-yoweri-museveni-tells-rwandan-general-paul-kagame/
A prendre avec precaution, le language utilise ds l'article prette aux critiques.
Il semble que Museveni aurait adopte la mm position q Kikwete, et ici Je dois donner credit a Kamerhe qui disait, depuis avant Kikwete q Kagame doit se mettre a table avec son opposition armee.
http://www.afroamerica.net/AfricaGL/2013/11/10/maybe-it-is-time-to-talk-to-your-armed-opposition-ugandan-yoweri-museveni-tells-rwandan-general-paul-kagame/
Hiro-Hito- Admin
Re: Le M23 etait serieux donc?
[quote="Hiro-Hito"
http://www.afroamerica.net/AfricaGL/2013/11/10/maybe-it-is-time-to-talk-to-your-armed-opposition-ugandan-yoweri-museveni-tells-rwandan-general-paul-kagame/
[/quote]
Empereur HH..La fin d´un cycle ?
L´article que vous apportez fait état d une "recommandation" de la SADC...or la SADC est cette "Brigade Africaine" qui contribue á la victoire des FARDC..
Entre les lignes, on fait comprendre á Kagame que son argument des FDLR ne Marche plus, ce que très prochainement les FDLR seront defait et la suite logik est que ces "Rwandais FDLR" doivent retourner chez eux au Rwanda.
Le Congo ne peut leur accorder asile et aucun pays ne voudra d´eux, la seule destination des FDLR est le Rwanda..et Kagame doit se faire violence en comprenant qu´il doit necessairement ouvrir un dialogue avec ces FDLR qui vont retourner chez eux
Oui, isolé et sa fin commence á devenir comme celle de Savimbi ou Mobutu:oops:
http://www.afroamerica.net/AfricaGL/2013/11/10/maybe-it-is-time-to-talk-to-your-armed-opposition-ugandan-yoweri-museveni-tells-rwandan-general-paul-kagame/
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Empereur HH..La fin d´un cycle ?
L´article que vous apportez fait état d une "recommandation" de la SADC...or la SADC est cette "Brigade Africaine" qui contribue á la victoire des FARDC..
Entre les lignes, on fait comprendre á Kagame que son argument des FDLR ne Marche plus, ce que très prochainement les FDLR seront defait et la suite logik est que ces "Rwandais FDLR" doivent retourner chez eux au Rwanda.
Le Congo ne peut leur accorder asile et aucun pays ne voudra d´eux, la seule destination des FDLR est le Rwanda..et Kagame doit se faire violence en comprenant qu´il doit necessairement ouvrir un dialogue avec ces FDLR qui vont retourner chez eux
Oui, isolé et sa fin commence á devenir comme celle de Savimbi ou Mobutu:oops:
GHOST
Re: Le M23 etait serieux donc?
Attention, attention !
Je ne sais pas si c'est moi qui vois le complot partout où 'l'âme tutsie" revendique, n'empêche que je sens à travers certaines lectures comme une sourdine bien orchestrée, (comme savent si bien le planifier les Rwandais tutsi éternelles victimes d'un génocide-fond-de-commerce), monter subrepticement vers un procès en règle des Congolais demain, coupables de chasse aux sorcières à l'endroit de leurs "frères du Congo"... D'ici qu'ils organisent et provoquent des scénarii bien accusateurs, nous sommes partis pour d'autres aventures...
Le Gouvernement Congolais, la Monusco, les Ong... se devraient de s'organiser d'ores et déjà pour circonscrire toute manipulation de ce genre ! Surtout que la qualité de Tutsi ne dédouane personne d'être coupable de droit commun et encore moins de crimes comme de trahison à sa Patrie...
Compatriotiquement!
Je ne sais pas si c'est moi qui vois le complot partout où 'l'âme tutsie" revendique, n'empêche que je sens à travers certaines lectures comme une sourdine bien orchestrée, (comme savent si bien le planifier les Rwandais tutsi éternelles victimes d'un génocide-fond-de-commerce), monter subrepticement vers un procès en règle des Congolais demain, coupables de chasse aux sorcières à l'endroit de leurs "frères du Congo"... D'ici qu'ils organisent et provoquent des scénarii bien accusateurs, nous sommes partis pour d'autres aventures...
Le Gouvernement Congolais, la Monusco, les Ong... se devraient de s'organiser d'ores et déjà pour circonscrire toute manipulation de ce genre ! Surtout que la qualité de Tutsi ne dédouane personne d'être coupable de droit commun et encore moins de crimes comme de trahison à sa Patrie...
'LAMBERT MENDE : « IL N’Y A PAS DE CHASSE AUX SORCIÈRES » AU NORD-KIVU
° http://www.lepotentielonline.com/site2/index.php?option=com_content&view=article&id=4151:lambert-mende-il-n-y-a-pas-de-chasse-aux-sorcieres-au-nord-kivu&catid=90:online-depeches&Itemid=517
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) a réagi mardi 12 novembre 2013 aux « arrestations » présumées de « civils accusés d’avoir collaboré avec le M23 » dans la province du Nord-Kivu, affirmant qu’«il n’y a pas de chasse aux sorcières ».
« Le gouvernement s’en tient au mot d’ordre du président de la République qui a dit qu’il n’y a pas de chasse aux sorcières. L’heure est à la cohésion nationale. Seuls les crimes et délits peuvent faire l’objet de poursuites judiciaires », a déclaré le ministre des Médias Lambert Omalanga, porte-parole du gouvernement congolais à Lepotentielonline.com.
Arrestations de « collabos » présumés
L’ex-député Enock Ruberangabo et plusieurs habitants ont indiqué lundi à l’AFP que « des civils accusés d'avoir collaboré avec l'ex-rébellion M23 ont été arrêtés ces derniers jours dans les zones de l'Est de la RDC reprises par l'armée ».
« On cherche à identifier qui a collaboré ou facilité les activités du M23. Je connais au moins six civils qui ont été arrêtés, je crois pour enquête. Ce sont des voisins qui les ont dénoncés », a déclaré Bruno, un habitant de Rutshuru, à 80 kilomètres au nord de Goma (Nord-Kivu).
Un autre a signalé à Kiwanja, sous couvert d'anonymat, qu'il connaissait « une dizaine de personnes arrêtées (qui) travaillaient dans les services du M23 », précisant que « d'autres sont accusées d'avoir manigancé des enrôlements de jeunes pour le M23 ».
« A Bunagana, sept personnes arrêtées sur accusation d'avoir collaboré avec le M23 ont été toutes relâchées hier, mais cela crée une peur dans la communauté », a déclaré à l'AFP Enock Ruberangabo, basé au Sud-Kivu.
Interrogé, le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, a affirmé qu'il n'avait donné « aucun ordre pour arrêter quelqu'un parce qu'il appartient à une communauté donnée » et qu'il n'avait « pas été informé d'arrestations de soutiens présumés du M23 »
"RD. Congo: Kinshasa règle ses comptes dans le Kivu
(L'Inter 12/11/13)
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rd-congo-kinshasa-regle-ses-comptes-dans-le-kivu
Après avoir défait le M23 dans le nord Kivu, les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, (FARDC) sont à la recherche des collabos de l'ex- rébellion. Plusieurs personnes surtout des Tutsi Congolais ont été interpellées. Pendant ce temps à Kampala en Ouganda, les deux parties en conflit devaient signer un accord mettant fin à la crise. L'armée régulière de la Rdc qui contrôle Goma, la capitale du Nord Kivu depuis la déroute du M23, il y a une semaine, est à la recherche de tous ceux qui ont collaboré avec les rebelles pendant les 18 mois qu'ils ont passé dans cette riche province du Congo. Dans le viseur des soldats du pouvoir, il y a principalement les Tutsi congolais, l'ethnie dont sont issus les insurgés du M23. A Bunagana, le fief politique du M23 à une centaine de kilomètres au nord de Goma, 7 personnes ont été interpellées puis relâchées. Elles ont pour la plupart été dénoncées par leurs voisins. Ces arrestations dénoncées par les organisations des droits de l'homme, interviennent au moment où devait être signé à Kampala, la capitale ougandaise, un accord de paix entre le pouvoir congolais et le mouvement du 23 mars, (M23). Mais l'on craint fort que cet accord ne soit sans lendemain, vu le nombre indéterminé de groupes rebelles qui opèrent dans cette région de l'Est de la RDC.(...)"
"RDC: arrestations de civils accusés d'avoir collaboré avec le M23 (habitants)
(AFP 11/11/13)"
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-arrestations-de-civils-accuses-davoir-collabore-avec-le-m23-habitants
"Olivier Nduhungirehe : "La RDC et la Monusco n'ont plus d'excuses pour ne pas neutraliser les FDLR"
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20131112144537/rwanda-fdlr-kinshasa-kigali-rwanda-olivier-nduhungirehe-la-rdc-et-la-monusco-n-ont-plus-d-excuses-pour-ne-pas-neutraliser-les-fdlr.html
Après la défaite du Mouvement du 23-Mars (M23) dans l'est de la RDC, le Rwanda appelle l'armée congolaise et la Monusco à s'attaquer "en priorité" aux éléments des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). Un "groupe armé pas comme les autres", selon Olivier Nduhungirehe, représentant permanent adjoint de Kigali au Conseil de sécurité de l'ONU. Interview(...)"
"RDC : de l'AFDL de Kabila au M23 de Makenga, la fin d'un cycle ?
°http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20131111040147/joseph-kabila-rcd-rdc-laurent-desire-kabila-retrospective-rdc-de-l-afdl-de-kabila-au-m23-de-makenga-la-fin-d-un-cycle.html
Une lance-roquettes abandonnée par le M23 à Tshanzu, le 7 novembre 2013. © MONUSCO/Alexandre Essome
La défaite militaire du Mouvement du 23-mars (M23) amorce-t-elle la fin d’un cycle de violences dans le Kivu ? AFDL, RCD, CNDP, M23, etc. Retour sur les dates clés des rébellions qui ont secoué l’est de la RDC ces deux dernières décennies.
Les rebellions successives dans le Kivu ressemblent à l'histoire des frères ennemis. Depuis l'Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) en 1996 jusqu'au Mouvement du 23-Mars (M23) en 2012, ce sont souvent des anciens compagnons d'armes qui se sont retournés les uns contre les autres pour se faire la guerre. Un cycle infernal de violences qui a duré près de deux décennies, entraînant la mort de près de huit millions de personnes. Autrement dit, un des conflits les plus meurtriers depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Dans ces conflits du Kivu, les différents acteurs se connaissent donc. Joseph Kabila par exemple, l'actuel président de la République, et Sultani Makenga, le chef militaire du M23, ont en commun l'AFDL. Rebelles, tous les deux ont participé à la première guerre de "libération" qui a mis fin, le 17 mai 1997, aux 32 ans du régime de Mobutu Sese seko. Il en est de même de plusieurs autres commandants et leaders politiques des mouvements rebelles qui se sont succédé dans l’est de la RDC (voir illustration ci-dessous).Retour sur un cycle de 17 ans de rébellions dans le Kivu.
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Le M23 etait serieux donc?
Exclusivité: Fara à fara entre les députés rwandais et congolais
OMG
OMG
Mathilde
Re: Le M23 etait serieux donc?
Martin Köbler : « il faut rapidement une solution pour les éléments M23
en Ouganda »
Depuis Goma où il se trouve Martin Köbler, Représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu en RD Congo, a réagi au dernier développement de l’actualité nationale caractérisé par l’échec de la signature d’un acte officiel de fin de guerre entre les forces gouvernementales de la RDC et les éléments armés du M23. « J’étais là à Kampala, il y a quelques jours avec les autres Envoyés spéciaux afin d’assister à la fin des pourparlers. C’est regrettable. Les 5 émissaires ont regretté qu’il n’y ait pas eu la signature de ce document. Mais, nous sommes de l’avis que le processus de Kampala doit continuer… »
En effet, ces envoyés spéciaux de la communauté internationale présents à Kampala pour la signature d’un accord de paix entre le gouvernement de la RDC et le M23 regrettent que les deux parties n’aient pas conclu un accord lundi 11 novembre à Kampala. Dans un communiqué publié dans la soirée depuis Entebbe, ils ont noté que « les parties n’ont pas exprimé de différences sur les points importants du projet de document » à parafer mais ne sont pas parvenues à un accord sur le format ».
Formels, les envoyés spéciaux indiquent que « malgré un changement dans la situation militaire, il importe qu’il y ait une conclusion politique au dialogue ». D’où l’invitation aux parties à résoudre les différences en ce qui concerne le format du document et à rester attachées à un règlement pacifique du conflit.
Ils soulignent en outre que « toute solution doit permettre la poursuite de l’obligation de rendre compte pour ceux qui ont commis des crimes de guerre, des crimes de génocide et des crimes contre l’humanité, y compris les crimes de violence sexuelle et de recrutement d’enfants soldats, ainsi que d’autres violations graves des droits de l’homme ».
Son regret est davantage marqué par le fait qu’il n’y avait pas de « différence dans la substance : l’amnistie, la réintégration, les questions de propriété, le régime sécuritaire, etc., sauf sur seulement le format, le titre de ce document… ». Conscient que le rapport de forces a changé maintenant avec la fin des combats, Martin Köbler a rappelé qu’il y a des ex combattants du M23 qui ont trouvé refuge dans des camps en Ouganda.
Ainsi pour lui, le problème politique demeure, malgré la disparition du problème militaire. « C’est pourquoi il faut continuer et on doit trouver aussi rapidement une solution pour les ex combattants réfugiés en Ouganda. Kampala dit qu’ils sont près de 1400, qu’il faut vérifier. Ce sont vos compatriotes, ce sont des Congolais qui ne peuvent pas rester toujours là-bas… »
Concernant justement le sort de ces combattants, Martin Köbler a indiqué que lui et les autres envoyés spéciaux ont clarifié leur position : pas d’amnistie pour les criminels de guerre, les responsables des violences sexuelles et des enrôlements d’enfants.
Il a rappelé qu’avec ses proches collaborateurs, il a parcouru la zone frontalière ougando-rwando-congolaise pour voir, entre autres, la manière de contrôle des limites par la Monusco. Avec le commandant des Forces armées de la RDC, il a conféré sur le même sujet : le contrôle des frontières.
Partisan invétéré de la consolidation et de la restauration de l’autorité de l’Etat dans les zones libérées, l’Allemand a réitéré son vœu de voir l’Etat reprendre tous ses attributs, après le rétablissement de la paix.
Tshieke Bukasa
en Ouganda »
Depuis Goma où il se trouve Martin Köbler, Représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu en RD Congo, a réagi au dernier développement de l’actualité nationale caractérisé par l’échec de la signature d’un acte officiel de fin de guerre entre les forces gouvernementales de la RDC et les éléments armés du M23. « J’étais là à Kampala, il y a quelques jours avec les autres Envoyés spéciaux afin d’assister à la fin des pourparlers. C’est regrettable. Les 5 émissaires ont regretté qu’il n’y ait pas eu la signature de ce document. Mais, nous sommes de l’avis que le processus de Kampala doit continuer… »
En effet, ces envoyés spéciaux de la communauté internationale présents à Kampala pour la signature d’un accord de paix entre le gouvernement de la RDC et le M23 regrettent que les deux parties n’aient pas conclu un accord lundi 11 novembre à Kampala. Dans un communiqué publié dans la soirée depuis Entebbe, ils ont noté que « les parties n’ont pas exprimé de différences sur les points importants du projet de document » à parafer mais ne sont pas parvenues à un accord sur le format ».
Formels, les envoyés spéciaux indiquent que « malgré un changement dans la situation militaire, il importe qu’il y ait une conclusion politique au dialogue ». D’où l’invitation aux parties à résoudre les différences en ce qui concerne le format du document et à rester attachées à un règlement pacifique du conflit.
Ils soulignent en outre que « toute solution doit permettre la poursuite de l’obligation de rendre compte pour ceux qui ont commis des crimes de guerre, des crimes de génocide et des crimes contre l’humanité, y compris les crimes de violence sexuelle et de recrutement d’enfants soldats, ainsi que d’autres violations graves des droits de l’homme ».
Son regret est davantage marqué par le fait qu’il n’y avait pas de « différence dans la substance : l’amnistie, la réintégration, les questions de propriété, le régime sécuritaire, etc., sauf sur seulement le format, le titre de ce document… ». Conscient que le rapport de forces a changé maintenant avec la fin des combats, Martin Köbler a rappelé qu’il y a des ex combattants du M23 qui ont trouvé refuge dans des camps en Ouganda.
Ainsi pour lui, le problème politique demeure, malgré la disparition du problème militaire. « C’est pourquoi il faut continuer et on doit trouver aussi rapidement une solution pour les ex combattants réfugiés en Ouganda. Kampala dit qu’ils sont près de 1400, qu’il faut vérifier. Ce sont vos compatriotes, ce sont des Congolais qui ne peuvent pas rester toujours là-bas… »
Concernant justement le sort de ces combattants, Martin Köbler a indiqué que lui et les autres envoyés spéciaux ont clarifié leur position : pas d’amnistie pour les criminels de guerre, les responsables des violences sexuelles et des enrôlements d’enfants.
Il a rappelé qu’avec ses proches collaborateurs, il a parcouru la zone frontalière ougando-rwando-congolaise pour voir, entre autres, la manière de contrôle des limites par la Monusco. Avec le commandant des Forces armées de la RDC, il a conféré sur le même sujet : le contrôle des frontières.
Partisan invétéré de la consolidation et de la restauration de l’autorité de l’Etat dans les zones libérées, l’Allemand a réitéré son vœu de voir l’Etat reprendre tous ses attributs, après le rétablissement de la paix.
Tshieke Bukasa
regarder et bien voir
Re: Le M23 etait serieux donc?
LAMBERT MENDE ACCEPTE D' INTÉGRER LE M23 Cas par Cas aux FARDC
Kiadi ....pfffffff
Mathilde
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