Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
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Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Ba bandi déjà kolela!!!
Ba kolela na munoko ya mboka!!!
Mais ba lobaki que communauté internationale ekopesa mbongo ya élection.
Processus électoral: la communauté internationale appelée à «jouer franc jeu»
http://www.radiookapi.net/2015/11/29/actualite/politique/processus-electoral-la-communaute-internationale-appelee-jouer-franc
L’Union nationale des démocrates fédéralistes (Unadef) appelle la communauté internationale à "jouer franc jeu" au cours du processus électoral congolais.
Le président de ce parti de l’opposition, membre du G7, a lancé cet appel à l’ouverture de son congrès, samedi 28 novembre, à Kinshasa.
Charles Mwando Nsimba dit ne pas comprendre que la communauté internationale qui exige la publication d’un calendrier réaliste et respectant les délais constitutionnels, appuie également la tenue du dialogue.
Cette position jugée ambigüe de la communauté internationale risque, selon lui, de favoriser le glissement du mandat présidentiel au-delà de 2016.
«La communauté internationale a des jeux flous. Le fait d’adhérer par, peut-être humour, d’adhérer par l’ouïe aussi, c’est jouer le jeu du glissement. C’est un danger. Là, je voudrais que la communauté internationale joue franc jeu», a dénoncé Charles Mwando.
Il a estimé que l’évaluation des mécanismes d’Addis-Abeba peut se faire parallèlement à l’application des dispositions constitutionnelles, c’est-à-dire calendrier, programmation des élections.
«Nous avons mission de lutter, nous avons mission d’empêcher la résurgence de la dictature » a poursuivi le président de l’Unadef.
Comme les autres ténors de G7, Charles Mwando a jugé inopportun le dialogue politique, annoncé par le chef de l’Etat.
Le G7 regroupe les sept partis politiques exclus de la Majorité présidentielle, après avoir interpellé à travers une lettre ouverte en septembre dernier, le président Joseph Kabila, sur la nécessité d’organiser des élections dans le délai constitutionnel pour une alternance politique en RDC.
Ba kolela na munoko ya mboka!!!
Mais ba lobaki que communauté internationale ekopesa mbongo ya élection.
Processus électoral: la communauté internationale appelée à «jouer franc jeu»
http://www.radiookapi.net/2015/11/29/actualite/politique/processus-electoral-la-communaute-internationale-appelee-jouer-franc
L’Union nationale des démocrates fédéralistes (Unadef) appelle la communauté internationale à "jouer franc jeu" au cours du processus électoral congolais.
Le président de ce parti de l’opposition, membre du G7, a lancé cet appel à l’ouverture de son congrès, samedi 28 novembre, à Kinshasa.
Charles Mwando Nsimba dit ne pas comprendre que la communauté internationale qui exige la publication d’un calendrier réaliste et respectant les délais constitutionnels, appuie également la tenue du dialogue.
Cette position jugée ambigüe de la communauté internationale risque, selon lui, de favoriser le glissement du mandat présidentiel au-delà de 2016.
«La communauté internationale a des jeux flous. Le fait d’adhérer par, peut-être humour, d’adhérer par l’ouïe aussi, c’est jouer le jeu du glissement. C’est un danger. Là, je voudrais que la communauté internationale joue franc jeu», a dénoncé Charles Mwando.
Il a estimé que l’évaluation des mécanismes d’Addis-Abeba peut se faire parallèlement à l’application des dispositions constitutionnelles, c’est-à-dire calendrier, programmation des élections.
«Nous avons mission de lutter, nous avons mission d’empêcher la résurgence de la dictature » a poursuivi le président de l’Unadef.
Comme les autres ténors de G7, Charles Mwando a jugé inopportun le dialogue politique, annoncé par le chef de l’Etat.
Le G7 regroupe les sept partis politiques exclus de la Majorité présidentielle, après avoir interpellé à travers une lettre ouverte en septembre dernier, le président Joseph Kabila, sur la nécessité d’organiser des élections dans le délai constitutionnel pour une alternance politique en RDC.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Les mêmes élections en France et en RFA ?
Même si on ne possede pas des connaissances élementaires en DROIT CONSTITUTIONNEL** La France et la RFA ne possede pas le même système électoral..pour la simple raison..
¤ RFA. un État "fédéral"
La RFA n´organise jamais des élections "présidentielles" comme la France La RFA (comme la Suède ou la Grande Bretagne) est un état fédéral..où le "chancelier" est le leader des partis ou du parti qui detient la majorité au Parlement *
L élection du Président "fédéral" de la RFA est indirecte..car il est voté par les parlementaires et ne possede pas un pouvoir "executif" (comme en Suède avec un Roi..ou en GB avec la Reine..ou en Israel ect..)
L´Allemagne est une république fédérale et son système électoral basé sur la démocratie "parlementaire" n´a rien de comparable avec la France où non seulement il faut élire un Président de la République, mais (aussi) ce président doit posseder une majorité au Parlement
Le système de la RFA est proche du système de la Suéde avec seule difference que le Roi n´est pas voté, mais ne possede pas de pouvoir executif, il a un pouvoir symbolique comme chef de l´État...comme en RFA, Grande Bretagne, Israel, Finlande..
C´est comprehensible..que le coût des élections en France soit superieur á celui de la RFA où l´élection la plus importante est l´élection parlementaire*
¤ CHANGER LA CONSTITUTION DU CONGO..Á 11 MOIS DES ELECTIONS ?
Mr Jim qui n´aime jamais aborder la question des sanctions envers ceux qui ont été si imcompetants, qui ont violés plusieures fois la Constitution, qui ont detournés le budget de la Ceni.. va convenir avec nous que proposer de changer la Constitution á 11 mois des élections via un "dialogue" n est pas souhaitable..Même lui même n accepte sans doute pas cette option
Troll est en faveur d´une constitution du genre qu´on trouve en RFA (et en Suède) Savez-vous qu´en Suède, cette question de l´élection des gouverneurs de province ne se pose pas?
Ce que le processus électoral est le même á tout le niveau: La majorité au Parlement (á chambre unique) designe le PM, au niveau des "Communes"..le parti politique ou l´alliance des partis politiques qui ont la majorité désignent automatiquement l´executif de la Commune ect..
Un système simple: Parlement á chambre unique, des mini-parlements au niveau local qui reprend le même principe qu´au niveau national
Si la RDC ne pouvait avoir qu´un "Président" de la République sans pouvoir executif, et un PM qui exprime la "majorité au Parlement" á chambre unique au lieu de s´encombrer d´un "senat" impotant ...les congolais vont gagner dans la gestion de l´État et la transparence*
Mais ce genre de débat n´est pas á l´ordre du jour quand il faut affermir la démocratie et renforcer le respect de la constitution
Même si on ne possede pas des connaissances élementaires en DROIT CONSTITUTIONNEL** La France et la RFA ne possede pas le même système électoral..pour la simple raison..
¤ RFA. un État "fédéral"
La RFA n´organise jamais des élections "présidentielles" comme la France La RFA (comme la Suède ou la Grande Bretagne) est un état fédéral..où le "chancelier" est le leader des partis ou du parti qui detient la majorité au Parlement *
L élection du Président "fédéral" de la RFA est indirecte..car il est voté par les parlementaires et ne possede pas un pouvoir "executif" (comme en Suède avec un Roi..ou en GB avec la Reine..ou en Israel ect..)
L´Allemagne est une république fédérale et son système électoral basé sur la démocratie "parlementaire" n´a rien de comparable avec la France où non seulement il faut élire un Président de la République, mais (aussi) ce président doit posseder une majorité au Parlement
Le système de la RFA est proche du système de la Suéde avec seule difference que le Roi n´est pas voté, mais ne possede pas de pouvoir executif, il a un pouvoir symbolique comme chef de l´État...comme en RFA, Grande Bretagne, Israel, Finlande..
C´est comprehensible..que le coût des élections en France soit superieur á celui de la RFA où l´élection la plus importante est l´élection parlementaire*
¤ CHANGER LA CONSTITUTION DU CONGO..Á 11 MOIS DES ELECTIONS ?
Mr Jim qui n´aime jamais aborder la question des sanctions envers ceux qui ont été si imcompetants, qui ont violés plusieures fois la Constitution, qui ont detournés le budget de la Ceni.. va convenir avec nous que proposer de changer la Constitution á 11 mois des élections via un "dialogue" n est pas souhaitable..Même lui même n accepte sans doute pas cette option
Troll est en faveur d´une constitution du genre qu´on trouve en RFA (et en Suède) Savez-vous qu´en Suède, cette question de l´élection des gouverneurs de province ne se pose pas?
Ce que le processus électoral est le même á tout le niveau: La majorité au Parlement (á chambre unique) designe le PM, au niveau des "Communes"..le parti politique ou l´alliance des partis politiques qui ont la majorité désignent automatiquement l´executif de la Commune ect..
Un système simple: Parlement á chambre unique, des mini-parlements au niveau local qui reprend le même principe qu´au niveau national
Si la RDC ne pouvait avoir qu´un "Président" de la République sans pouvoir executif, et un PM qui exprime la "majorité au Parlement" á chambre unique au lieu de s´encombrer d´un "senat" impotant ...les congolais vont gagner dans la gestion de l´État et la transparence*
Mais ce genre de débat n´est pas á l´ordre du jour quand il faut affermir la démocratie et renforcer le respect de la constitution
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Troll a écrit: Les mêmes élections en France et en RFA ?
Même si on ne possede pas des connaissances élementaires en DROIT CONSTITUTIONNEL** La France et la RFA ne possede pas le même système électoral..pour la simple raison..
¤ RFA. un État "fédéral"
La RFA n´organise jamais des élections "présidentielles" comme la France La RFA (comme la Suède ou la Grande Bretagne) est un état fédéral..où le "chancelier" est le leader des partis ou du parti qui detient la majorité au Parlement *
L élection du Président "fédéral" de la RFA est indirecte..car il est voté par les parlementaires et ne possede pas un pouvoir "executif" (comme en Suède avec un Roi..ou en GB avec la Reine..ou en Israel ect..)
L´Allemagne est une république fédérale et son système électoral basé sur la démocratie "parlementaire" n´a rien de comparable avec la France où non seulement il faut élire un Président de la République, mais (aussi) ce président doit posseder une majorité au Parlement
Le système de la RFA est proche du système de la Suéde avec seule difference que le Roi n´est pas voté, mais ne possede pas de pouvoir executif, il a un pouvoir symbolique comme chef de l´État...comme en RFA, Grande Bretagne, Israel, Finlande..
C´est comprehensible..que le coût des élections en France soit superieur á celui de la RFA où l´élection la plus importante est l´élection parlementaire*
¤ CHANGER LA CONSTITUTION DU CONGO..Á 11 MOIS DES ELECTIONS ?
Mr Jim qui n´aime jamais aborder la question des sanctions envers ceux qui ont été si imcompetants, qui ont violés plusieures fois la Constitution, qui ont detournés le budget de la Ceni.. va convenir avec nous que proposer de changer la Constitution á 11 mois des élections via un "dialogue" n est pas souhaitable..Même lui même n accepte sans doute pas cette option
Troll est en faveur d´une constitution du genre qu´on trouve en RFA (et en Suède) Savez-vous qu´en Suède, cette question de l´élection des gouverneurs de province ne se pose pas?
Ce que le processus électoral est le même á tout le niveau: La majorité au Parlement (á chambre unique) designe le PM, au niveau des "Communes"..le parti politique ou l´alliance des partis politiques qui ont la majorité désignent automatiquement l´executif de la Commune ect..
Un système simple: Parlement á chambre unique, des mini-parlements au niveau local qui reprend le même principe qu´au niveau national
Si la RDC ne pouvait avoir qu´un "Président" de la République sans pouvoir executif, et un PM qui exprime la "majorité au Parlement" á chambre unique au lieu de s´encombrer d´un "senat" impotant ...les congolais vont gagner dans la gestion de l´État et la transparence*
Mais ce genre de débat n´est pas á l´ordre du jour quand il faut affermir la démocratie et renforcer le respect de la constitution
Mr Troll,
Je n´ai vraiment rien appris de tout ce que vous avez écrit sur la différence entre les élections en RFA et en France. Celui qui est renseigné qu´il soit en Afrique ou partout ailleurs devrait le savoir. Jim KK vote en RFA depuis plusieurs années et sa femme peut voter non seulement en RFA mais aussi en France ! Bon passons.
Lorsque j´ai dit « mêmes élections » je faisais justement allusion à la finalité de ces élections :
En France on vote les parlementaires et le président tandis qu´ en RFA on vote les parlementaires et ces derniers votent le chancelier et le président (fonction honorifique).
Nous avons ici deux modes de scrutin différend. Le premier (celui de la France) est couteux et l´autre (celui de la RFA) pas. L´un n´est pas plus démocratique que l´autre !
Alors pour quelle raison la RDC ne peut pas utiliser le mode de scrutin le mieux adapté pour elle et en fonction de son budget???
Remarquez aussi que je parle de RFA, donc je sais que l´Allemagne est un état fédéral. Donc pas vraiment besoin d´avoir des notions en droit constitutionnel.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Sauf que..
Troll vote en Suède depuis plus près de 20 ans bientôt Lol..le système suèdois est plus proche du système de la RFA
La RFA un état fédéral...avec un parlement unique..et un président sans pouvoir executif..Le coût doit-être moinde sans doute?
La France qui semble avoir inspirée la RDC, avec une "présidentielle", une élection parlementaire...et un "senat" Lol, le coût est enorme
[color=#0066cc]C´est une question de "droit constitutionnel"..Nous ne pouvons que remercier le Colonel de la Gendarmerie Mpongo Mokako, prof de droit constitutionnel á l´UNIKIN..qui avait assuré notre formation dans ce domaine á Maluku avec la 1ère promotion de la GaCi[/color]
Le coût des élections entre une République et un État fédéral? Mieux vaut atteindre après 11 mois pour que les congolais commencent á discuter sur cette question..et choisir un système plus pratique..où il faut se passer du "Senat" et appliquer le même principe de l´Assemblée Nationale au niveau des provinces où on ne peut plus "voter" des gouverneurs, mais laisser les majorités..designer les gouverneurs
Troll vote en Suède depuis plus près de 20 ans bientôt Lol..le système suèdois est plus proche du système de la RFA
La RFA un état fédéral...avec un parlement unique..et un président sans pouvoir executif..Le coût doit-être moinde sans doute?
La France qui semble avoir inspirée la RDC, avec une "présidentielle", une élection parlementaire...et un "senat" Lol, le coût est enorme
[color=#0066cc]C´est une question de "droit constitutionnel"..Nous ne pouvons que remercier le Colonel de la Gendarmerie Mpongo Mokako, prof de droit constitutionnel á l´UNIKIN..qui avait assuré notre formation dans ce domaine á Maluku avec la 1ère promotion de la GaCi[/color]
Le coût des élections entre une République et un État fédéral? Mieux vaut atteindre après 11 mois pour que les congolais commencent á discuter sur cette question..et choisir un système plus pratique..où il faut se passer du "Senat" et appliquer le même principe de l´Assemblée Nationale au niveau des provinces où on ne peut plus "voter" des gouverneurs, mais laisser les majorités..designer les gouverneurs
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Troll a écrit: Sauf que..
Troll vote en Suède depuis plus près de 20 ans bientôt Lol..le système suèdois est plus proche du système de la RFA
La RFA un état fédéral...avec un parlement unique..et un président sans pouvoir executif..Le coût doit-être moinde sans doute?
La France qui semble avoir inspirée la RDC, avec une "présidentielle", une élection parlementaire...et un "senat" Lol, le coût est enorme
C´est une question de "droit constitutionnel"..Nous ne pouvons que remercier le Colonel de la Gendarmerie Mpongo Mokako, prof de droit constitutionnel á l´UNIKIN..qui avait assuré notre formation dans ce domaine á Maluku avec la 1ère promotion de la GaCi
Le coût des élections entre une République et un État fédéral? Mieux vaut atteindre après 11 mois pour que les congolais commencent á discuter sur cette question..et choisir un système plus pratique..où il faut se passer du "Senat" et appliquer le même principe de l´Assemblée Nationale au niveau des provinces où on ne peut plus "voter" des gouverneurs, mais laisser les majorités..designer les gouverneurs
Svp, ne nous perdons pas dans des inductions rapides où l'on opposerait des déficits administratifs comme ceux relatifs aux coûts prohibitifs d'une élection que n'importe quel Etat a l'impératif de réguler quelle que soit son archictecture institutionnelle !
La "République" ne s'oppose nulle part à un système fédéral : la RFA fédérale comme les Usa autant fédéraux restent des Républiques aussi valables que la France jacobine !
Le coût des élections de chacun si il a à y avoir quelque part avec son système institutionnel ne dédouane personne de le rendre moins coûteux : ainsi la différence en cette matière entre la France et l'Allemagne tient moins à leur système qu'à une culture d'efficacité administrative et financière différente entre les deux connue de tous...
Ainsi c'est clair que le Congo de "JK" qui convoque une orthodoxie financière pour justifier une retouche institutionnelle impromptue à son avantage plus qu'à celui du pays manipule son monde...
Il a plus à discipliner sa gabegie visible ailleurs notamment sur la corruption institutionnalisée avec les prédations et enrichissements personnels qui sont les leurs que des ridicules gesticulation sur des économies nécessaires mais qui sont ici soit dérisoires soit dépendantes des choix situés plus hauts...
N'importe quoi lorsqu'on lit certains fanatiques qui croient nous entuber alors qu'ils ne trompent qu'eux-mêmes et nous dévoilent leur "incompétence" notoire quant à la gestion publique cachée derrière leurs diplômes...
N'importe quoi mais encore faut-il comprendre ses propres limites...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Troll a écrit:
Le coût des élections entre une République et un État fédéral? Mieux vaut atteindre après 11 mois pour que les congolais commencent á discuter sur cette question..et choisir un système plus pratique..où il faut se passer du "Senat" et appliquer le même principe de l´Assemblée Nationale au niveau des provinces où on ne peut plus "voter" des gouverneurs, mais laisser les majorités..designer les gouverneurs [/b]
Il faut adapter notre système électoral en fonction de notre budget.
On peut le faire maintenant pendant le dialogue ou après le dialogue.
Les politiciens congolais doivent réfléchir là-dessus.
Jim KK est fanatique de la liberté d´opinion. Et il va la garder farouchement tout en restant tolérant envers
ceux qui ont une opinion contraire!
N´en déplaise à ceux qui proclament leur compétence sur internet.
Vraiment aboyer comme ... peut …
Bon na leki na nga tala kaka
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC : l’UDPS ne participera pas au dialogue « made in Kabila » ( on va voir!!!)
http://www.radiookapi.net/2015/12/01/actualite/politique/rdc-ludps-ne-participera-pas-au-dialogue-made-kabila
L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) ne participera pas au dialogue politique « made in Kabila », a affirmé mardi 1er décembre, le secrétaire national en charge des Relations extérieures, Félix Tshisekedi. Il accuse le chef de l'Etat, Joseph Kabila, de vouloir organiser un dialogue à sa manière et de tenter de modifier le système électoral.
« Nous ne participerons pas à un dialogue made in Kabila. Il fallait laisser à la communauté internationale, au Secrétaire général de l’ONU de designer un facilitateur », a déclaré Félix Tshisekedi.
Lundi 30 novembre dans la soirée, dans une ordonnance lue à la télévision nationale, le chef de l'Etat a annoncé que le dialogue se déroulera sous la co-modération majorité-opposition.
Selon Félix Tshisekedi, le seul dialogue auquel le parti souscrit reste celui qui sera convoqué par un facilitateur international neutre.
« L’UDPS participera au dialogue qui se placera sous l’égide de la communauté internationale, donc un dialogue à la sauce Kabila ne nous intéresse pas », a-t-il insisté.
Pour lui, le dialogue que prône l’UDPS aura comme priorités notamment de discuter de l’organisation des élections législatives et présidentielle dans les délais constitutionnels.
« Et il [Joseph Kabila] le sait très bien déjà, parce que nous avons eu deux rounds des pré-discussions avant dialogue. Donc, il sait très bien que ce dialogue doit se tenir de manière concertée. Il faut que nous nous entendions à la fois sur la date, le lieu et les thèmes, etc. Or, nous voyons qu’il est en train de diriger tout seul les choses, en essayant d’imposer sa vision. Et ça nous disons non », a poursuivi le secrétaire national en charge des Relations extérieures du parti d’Etienne Tshisekedi. Alors c´est ca vraiment le vrai problème
Félix Tshisekedi dit ne pas comprendre « la précipitation » de Joseph Kabila dans la convocation de ce forum national. (Qui avait donné l´ Ultimatum???)
« Nous ne comprenons pas cette précipitation. Elle cache manifestement quelques choses, d’autant plus que dans son discours, Mr Kabila a été totalement aphone sur les problèmes qui le concernent c’est-à-dire la fin de son mandat, l’alternance démocratique », a ajouté l’UDPS.
Les membres du G7-exclus de la majorité présidentielle et désormais dans l’opposition-et ceux de la Dynamique de l’opposition ont également rejeté le dialogue annoncé par Joseph Kabila. Ils disent s’en tenir à la tenue des élections présidentielle et législatives prévues en novembre 2016.
L’UDPS avait entamé des négociations avec les émissaires du chef de l'Etat en vue de participer au dialogue politique. Ces pourparlers ont été rompus quelque temps après pour éviter le «glissement».
Le parti d’Etienne Tshisekedi dit attendre le dialogue politique qui sera convoqué par un médiateur international neutre, à designer par le Secrétaire général de l’Onu.
Le Secrétaire général adjoint du PPRD, parti présidentiel, avait affirmé que «toute l’opposition sera (à ce forum), avec Tshisekedi en tête.»
http://www.radiookapi.net/2015/12/01/actualite/politique/rdc-ludps-ne-participera-pas-au-dialogue-made-kabila
L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) ne participera pas au dialogue politique « made in Kabila », a affirmé mardi 1er décembre, le secrétaire national en charge des Relations extérieures, Félix Tshisekedi. Il accuse le chef de l'Etat, Joseph Kabila, de vouloir organiser un dialogue à sa manière et de tenter de modifier le système électoral.
« Nous ne participerons pas à un dialogue made in Kabila. Il fallait laisser à la communauté internationale, au Secrétaire général de l’ONU de designer un facilitateur », a déclaré Félix Tshisekedi.
Lundi 30 novembre dans la soirée, dans une ordonnance lue à la télévision nationale, le chef de l'Etat a annoncé que le dialogue se déroulera sous la co-modération majorité-opposition.
Selon Félix Tshisekedi, le seul dialogue auquel le parti souscrit reste celui qui sera convoqué par un facilitateur international neutre.
« L’UDPS participera au dialogue qui se placera sous l’égide de la communauté internationale, donc un dialogue à la sauce Kabila ne nous intéresse pas », a-t-il insisté.
Pour lui, le dialogue que prône l’UDPS aura comme priorités notamment de discuter de l’organisation des élections législatives et présidentielle dans les délais constitutionnels.
« Et il [Joseph Kabila] le sait très bien déjà, parce que nous avons eu deux rounds des pré-discussions avant dialogue. Donc, il sait très bien que ce dialogue doit se tenir de manière concertée. Il faut que nous nous entendions à la fois sur la date, le lieu et les thèmes, etc. Or, nous voyons qu’il est en train de diriger tout seul les choses, en essayant d’imposer sa vision. Et ça nous disons non », a poursuivi le secrétaire national en charge des Relations extérieures du parti d’Etienne Tshisekedi. Alors c´est ca vraiment le vrai problème
Félix Tshisekedi dit ne pas comprendre « la précipitation » de Joseph Kabila dans la convocation de ce forum national. (Qui avait donné l´ Ultimatum???)
« Nous ne comprenons pas cette précipitation. Elle cache manifestement quelques choses, d’autant plus que dans son discours, Mr Kabila a été totalement aphone sur les problèmes qui le concernent c’est-à-dire la fin de son mandat, l’alternance démocratique », a ajouté l’UDPS.
Les membres du G7-exclus de la majorité présidentielle et désormais dans l’opposition-et ceux de la Dynamique de l’opposition ont également rejeté le dialogue annoncé par Joseph Kabila. Ils disent s’en tenir à la tenue des élections présidentielle et législatives prévues en novembre 2016.
L’UDPS avait entamé des négociations avec les émissaires du chef de l'Etat en vue de participer au dialogue politique. Ces pourparlers ont été rompus quelque temps après pour éviter le «glissement».
Le parti d’Etienne Tshisekedi dit attendre le dialogue politique qui sera convoqué par un médiateur international neutre, à designer par le Secrétaire général de l’Onu.
Le Secrétaire général adjoint du PPRD, parti présidentiel, avait affirmé que «toute l’opposition sera (à ce forum), avec Tshisekedi en tête.»
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Jim KK a écrit:RDC: Joseph Kabila annonce le dialogue politique national
http://www.radiookapi.net/2015/11/28/actualite/politique/joseph-kabila-convoque-le-dialogue-politique-national
Dans un message radiotélévisé, le chef de l’Etat Joseph Kabila a annoncé samedi 28 novembre 2015 la convocation d’un «dialogue politique national inclusif », sans précision de date ni de lieu. Il a lancé un « appel ultime» à ceux qui hésitent encore à rejoindre cette voie des négociations pour donner sa chance à la «relance du processus électoral.»
«Après avoir recueilli vos avis directement et à travers ceux qui ont porté vos voix aux consultations, mes chers compatriotes, j’ai décidé ce jour de la convocation d’un dialogue politique national inclusif et de la mise en place subséquente d’un comité préparatoire pouvant régler tous les aspects liés à son organisation», a déclaré Joseph Kabila.
Selon lui, «la tâche de la co-modération de ces assises pourra bénéficier de l’accompagnement d’une facilitation internationale qui aura à offrir ses bons offices en cas de difficultés majeures.»
L’ordre du jour
Dans son message, Joseph Kabila a évoqué des points qui devraient être débattus au cours de ce dialogue. Il s’agit de sujets sur lesquels des «divergences profondes d’opinions apparaissent sur la scène nationale au point de menacer l’unité et la stabilité du pays»:
•Le fichier électoral
•Le calendrier électoral
•La sécurisation des élections
•Le financement des élections
•Le rôle des partenaires extérieurs dans ce processus
«Au-delà de la sécurisation physique et matérielle des candidats et électeurs, le problème de se pose à ce niveau est celui du rôle que devait jouer la classe politique, et chacun de nous, dans la promotion d’un environnement favorable à un processus électoral apaisé», a-t-il indiqué.
«Dans quel état d’esprit doit-on aller aux élections ? Doit-on brûler le pays parce qu’on a perdu une élection ou l’exposer à des revendications violentes ? », s’est interrogé le chef de l’Etat congolais.
Pour Joseph Kabila, l’apport des partenaires de la RDC au processus électoral ne doit pas ouvrir la porte à l’ingérence extérieure dans les affaires intérieures du pays
____________________________________________
Comme le président J. Kabila l´a souligné, je trouve qu´ il faut réformer le mode de scrutin en RDC!!!
Le coût des élections en 2006: 500 millions de Dollars et financé à 100% par la communauté internationale. Le budget du pays était de moins de 3 milliards de Dollars.
Le coût des élections en 2011: 700 millions de Dollars et financé à plus de 90% par la RDC. Le budget du pays était de 7 milliards de Dollars.
Une petite comparaison (mais il faudra plus tard entrer en detail):
Le coût de l´ élection présidentielle et les legislatives de 2012 en France était de 604 millions d´euros. Budget de la France en 2012: plus de 360 milliards d´euro!
En France on parle des élections très chères à organiser et des mesures sont prises pour économiser de l´argent prochainement.
http://www.20minutes.fr/societe/1484463-20141120-election-presidentielle-legislatives-coute-604-millions-euros-2012
En Allemangne le coût de ces élections ne dépasse pas 200 millions d´euros!!! En 2013 par exemple lorsque Angela Merkel avait gagné encore on parle de 169 millions d´euros.
Alors la RDC et la France sont-elles vraiment plus démocratiques que la RFA???????????????????????????
Je trouve ca vraiment une bêtise pour la RDC d´organiser les élections qui coutent plus de 1 milliard de Dollar alors que le budget même du pays est vraiment faible, piètre voire ridicule!
Je trouve aussi que l’émancipation de la RDC passe par « l’invention » d´un processus électoral compatible au budget de notre pays et répondant mieux aux aspirations des peuples de la RDC que la réplication formelle des modèles élaborés par les démocraties occidentales.
Imperium
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
L’opposition contre un changement du mode du scrutin présidentiel en RDC: C´est votre droit
http://www.radiookapi.net/2015/12/01/actualite/politique/rdc-lopposition-contre-un-changement-du-mode-du-scrutin-presidentiel
Les membres du G7-exclus de la majorité présidentielle et désormais dans l’opposition-et ceux de la Dynamique de l’opposition désapprouvent un changement du mode de scrutin présidentiel.
Au cours de son discours annonçant le dialogue politique national, le chef de l’Etat Joseph Kabila avait plaidé pour que soit engagée « dès à présent une réflexion sur un système électoral avec des modalités de vote peu coûteuses ».
Les opposants redoutent que cet appel du président conduise au changement du mode de scrutin présidentiel qui se ferait désormais au second degré. Actuellement, la constitution prévoit que le chef de l’Etat soit élu au terme d’un scrutin au suffrage universel direct.
Pour le G7 et la Dynamique de l’opposition qui se sont réunis lundi 30 novembre à Kinshasa, le changement de ce mode de scrutin présage un glissement du mandat présidentiel, en violation de la constitution.
« C’est clair que si nous quittons notre mode de scrutin actuel pour éventuellement élire le président de la République au second degré par un groupe de députés par acclamation, nous disons que c’est très grave. C’est un coup d’Etat constitutionnel », a déclaré Vital Kamerhe, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC).
Pour lui, un changement du mode de scrutin présidentiel relève de la « haute trahison ». L’opposant appelle la population à défendre la démocratie.
« Nous devons barrer la route à une telle imposture, en nous mettant d’abord ensemble comme nous venons de le faire et en demandant à notre population de défendre la démocratie et la constitution », lance le président de l’UNC.
Non au dialogue
Le G7 et la Dynamique de l’opposition rejettent également le dialogue annoncé par Joseph Kabila.
Ils disent s’en tenir à la tenue des élections présidentielle et législatives prévues en novembre 2016.
Christophe Lutundula, du G7, dit croire que « ce mariage » avec la Dynamique de l’opposition pourra faire échec à toute tentative de modification de la constitution.
« J’y crois parce que la volonté de sauvegarder la constitution et la démocratie est unique et inébranlable. Aujourd’hui nous avons des objectifs communs. Nous avons le patrimoine constitutionnel commun que nous voulons tous sauvegarder », a soutenu Lutundula.
L’opposition soupçonne le chef de l’Etat Joseph Kabila de vouloir rester au pouvoir au-delà de son deuxième et dernier mandat qui s’achève en 2016.
Vers une révision de la constitution ?
L’Association africaine de défense des droits de l’homme (Asadho) s’inquiète aussi de la proposition du chef de l’Etat sur le mode de scrutin.
Pour cette ONG, penser à modifier le mode de scrutin présidentiel ouvrirait la voie à la révision de la constitution.
« Cette proposition du chef de l’Etat va entraîner la modification de l’article 70 de la constitution qui institue le vote du président de la République au suffrage universel direct », indique Jean-Claude Katende, président de l'Asadho.
http://www.radiookapi.net/2015/12/01/actualite/politique/rdc-lopposition-contre-un-changement-du-mode-du-scrutin-presidentiel
Les membres du G7-exclus de la majorité présidentielle et désormais dans l’opposition-et ceux de la Dynamique de l’opposition désapprouvent un changement du mode de scrutin présidentiel.
Au cours de son discours annonçant le dialogue politique national, le chef de l’Etat Joseph Kabila avait plaidé pour que soit engagée « dès à présent une réflexion sur un système électoral avec des modalités de vote peu coûteuses ».
Les opposants redoutent que cet appel du président conduise au changement du mode de scrutin présidentiel qui se ferait désormais au second degré. Actuellement, la constitution prévoit que le chef de l’Etat soit élu au terme d’un scrutin au suffrage universel direct.
Pour le G7 et la Dynamique de l’opposition qui se sont réunis lundi 30 novembre à Kinshasa, le changement de ce mode de scrutin présage un glissement du mandat présidentiel, en violation de la constitution.
« C’est clair que si nous quittons notre mode de scrutin actuel pour éventuellement élire le président de la République au second degré par un groupe de députés par acclamation, nous disons que c’est très grave. C’est un coup d’Etat constitutionnel », a déclaré Vital Kamerhe, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC).
Pour lui, un changement du mode de scrutin présidentiel relève de la « haute trahison ». L’opposant appelle la population à défendre la démocratie.
« Nous devons barrer la route à une telle imposture, en nous mettant d’abord ensemble comme nous venons de le faire et en demandant à notre population de défendre la démocratie et la constitution », lance le président de l’UNC.
Non au dialogue
Le G7 et la Dynamique de l’opposition rejettent également le dialogue annoncé par Joseph Kabila.
Ils disent s’en tenir à la tenue des élections présidentielle et législatives prévues en novembre 2016.
Christophe Lutundula, du G7, dit croire que « ce mariage » avec la Dynamique de l’opposition pourra faire échec à toute tentative de modification de la constitution.
« J’y crois parce que la volonté de sauvegarder la constitution et la démocratie est unique et inébranlable. Aujourd’hui nous avons des objectifs communs. Nous avons le patrimoine constitutionnel commun que nous voulons tous sauvegarder », a soutenu Lutundula.
L’opposition soupçonne le chef de l’Etat Joseph Kabila de vouloir rester au pouvoir au-delà de son deuxième et dernier mandat qui s’achève en 2016.
Vers une révision de la constitution ?
L’Association africaine de défense des droits de l’homme (Asadho) s’inquiète aussi de la proposition du chef de l’Etat sur le mode de scrutin.
Pour cette ONG, penser à modifier le mode de scrutin présidentiel ouvrirait la voie à la révision de la constitution.
« Cette proposition du chef de l’Etat va entraîner la modification de l’article 70 de la constitution qui institue le vote du président de la République au suffrage universel direct », indique Jean-Claude Katende, président de l'Asadho.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC: les confessions religieuses jugent le dialogue politique « nécessaire »
http://www.radiookapi.net/2015/12/01/actualite/politique/rdc-les-confessions-religieuses-jugent-le-dialogue-politique
Les chefs des confessions religieuses ont invité lundi 30 novembre la population et les hommes de bonne volonté à participer au dialogue politique national convoqué par le président Joseph Kabila. Ils estiment que ce forum des nécessaire pour assurer un aboutissement heureux du processus électoral.
Réunies au siège de la Commission d’intégrité et médiation électorale (CIME), les confessions religieuses, à l'exception de l’église catholique, ont indiqué que le dialogue politique inclusif est nécessaire pour régler les différends dans le pays.
« Nous confessions religieuses de la RDC, prenant la mesure de la crise du processus électoral en RDC, réaffirmons la nécessité et l’opportunité d’un échange fraternel ouvert et sans contraintes, entre les nationaux autour de toutes les questions majeures qui déterminent l’aboutissement heureux du processus électoral », a déclaré le Révérend Delphin Elebe Kapaly, représentant légal de l’église Kimbanguiste et président de la CIME.
La même source appelle les acteurs politiques au sens de responsabilité.
« Nous invitons vivement tous les hommes politiques et tous les délégués à ce dialogue, à bien prendre la mesure de la responsabilité qui leur incombe et de la grande confiance que toute la nation fait reposer sur eux», a ajouté le Révérend Delphin Elebe Kapaly.
Dans un message adressé à la nation le dimanche, le chef de l’Etat Joseph Kabila a annoncé la convocation d’un «dialogue politique national inclusif ».
Ce forum doit notamment débattre de :
Fichier électoral
Calendrier électoral
Sécurisation des élections
Financement des élections
Rôle des partenaires extérieurs dans ce processus
La CIME est un cadre d’échange d’informations électorales et de dialogue permanent qui vise à gérer par la médiation les tensions électorales, avant, pendant et après les élections. Elle a été créée en 2014. Les évêques catholiques s’y sont retirés, trois semaines après sa création.
http://www.radiookapi.net/2015/12/01/actualite/politique/rdc-les-confessions-religieuses-jugent-le-dialogue-politique
Les chefs des confessions religieuses ont invité lundi 30 novembre la population et les hommes de bonne volonté à participer au dialogue politique national convoqué par le président Joseph Kabila. Ils estiment que ce forum des nécessaire pour assurer un aboutissement heureux du processus électoral.
Réunies au siège de la Commission d’intégrité et médiation électorale (CIME), les confessions religieuses, à l'exception de l’église catholique, ont indiqué que le dialogue politique inclusif est nécessaire pour régler les différends dans le pays.
« Nous confessions religieuses de la RDC, prenant la mesure de la crise du processus électoral en RDC, réaffirmons la nécessité et l’opportunité d’un échange fraternel ouvert et sans contraintes, entre les nationaux autour de toutes les questions majeures qui déterminent l’aboutissement heureux du processus électoral », a déclaré le Révérend Delphin Elebe Kapaly, représentant légal de l’église Kimbanguiste et président de la CIME.
La même source appelle les acteurs politiques au sens de responsabilité.
« Nous invitons vivement tous les hommes politiques et tous les délégués à ce dialogue, à bien prendre la mesure de la responsabilité qui leur incombe et de la grande confiance que toute la nation fait reposer sur eux», a ajouté le Révérend Delphin Elebe Kapaly.
Dans un message adressé à la nation le dimanche, le chef de l’Etat Joseph Kabila a annoncé la convocation d’un «dialogue politique national inclusif ».
Ce forum doit notamment débattre de :
Fichier électoral
Calendrier électoral
Sécurisation des élections
Financement des élections
Rôle des partenaires extérieurs dans ce processus
La CIME est un cadre d’échange d’informations électorales et de dialogue permanent qui vise à gérer par la médiation les tensions électorales, avant, pendant et après les élections. Elle a été créée en 2014. Les évêques catholiques s’y sont retirés, trois semaines après sa création.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Article 64, rappel à l'ordre du procureur général de la république.
http://mobile.topcongo.fm/article/article-64-rappel-a-l-ordre-du-procureur-general-de-la-republique-1176
Dans une communication a la presse, Floribert Kabange Numbi (photo) a évoqué l'article 64 de la Constitution qui est, selon lui, abusivement utilisé à des fins politiques.
Selon lui, la convocation du dialogue et sa tenue ne doivent aucunement servir de prétexte pour inciter la population à la violence.
Article 64, Alinéa 1er Tout congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d'invididus qui prend le pouvoir par la force ou qui l'exerce en violation des dispositions de la présente constitution.
Il invite ainsi tous ceux qui font des déclarations incitant à la violence de ne pas se borner à l'alinéa 1er de cet article dont ils font d'ailleurs une lecture biaisée mais à lire et relire l'alinéa 2 du même article.
Article 64, Alinéa 2, Toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la nation et l'Etat qui est punie conformément à la loi.
Le Procureur général de la république rappelle que "tout individu ou groupe d'invididus qui conspirerait contre les institutions constitutionnellement établies ne l'aura fait que dans la seule intention avérée de
les renverser, ce qui tombe dans les prévisions de l'alinéa 2 de l'art 64, infraction imprescriptible contre la nation".
http://mobile.topcongo.fm/article/article-64-rappel-a-l-ordre-du-procureur-general-de-la-republique-1176
Dans une communication a la presse, Floribert Kabange Numbi (photo) a évoqué l'article 64 de la Constitution qui est, selon lui, abusivement utilisé à des fins politiques.
Selon lui, la convocation du dialogue et sa tenue ne doivent aucunement servir de prétexte pour inciter la population à la violence.
Article 64, Alinéa 1er Tout congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d'invididus qui prend le pouvoir par la force ou qui l'exerce en violation des dispositions de la présente constitution.
Il invite ainsi tous ceux qui font des déclarations incitant à la violence de ne pas se borner à l'alinéa 1er de cet article dont ils font d'ailleurs une lecture biaisée mais à lire et relire l'alinéa 2 du même article.
Article 64, Alinéa 2, Toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la nation et l'Etat qui est punie conformément à la loi.
Le Procureur général de la république rappelle que "tout individu ou groupe d'invididus qui conspirerait contre les institutions constitutionnellement établies ne l'aura fait que dans la seule intention avérée de
les renverser, ce qui tombe dans les prévisions de l'alinéa 2 de l'art 64, infraction imprescriptible contre la nation".
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
LE "PGR" FLORY AU MOIS DE JANVIER 2015
Au mois de janvier 2015, le PGR Flory était invisible..comme tous les dirigeants de l´État congolais Pendant près d´une semaine, il s´était mis á l´abris..quand les kinois étaient dans la rue
Quand il se met en vedette dans cette histoire "politique", le mois de janvier 2016 risque d´être plus chaud que celui de cette année:idea:
Monsieur le PGR aura sans doute le temps de faire un sejour en prison s´il reste vivant en cas d´insurection "legale" de l´article 64
Au mois de janvier 2015, le PGR Flory était invisible..comme tous les dirigeants de l´État congolais Pendant près d´une semaine, il s´était mis á l´abris..quand les kinois étaient dans la rue
Quand il se met en vedette dans cette histoire "politique", le mois de janvier 2016 risque d´être plus chaud que celui de cette année:idea:
Monsieur le PGR aura sans doute le temps de faire un sejour en prison s´il reste vivant en cas d´insurection "legale" de l´article 64
GHOST
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Dialogue politique : Lambert Mende dénonce les contradictions des positions de l’UDPS
http://www.radiookapi.net/2015/12/02/actualite/politique/dialogue-politique-lambert-mende-denonce-les-contradictions-des
Le gouvernement de la RDC dénonce les contradictions actuelles de la position de l’Union démocratique pour le progrès social (UDPS) quant à sa participation au dialogue politique initié par le président de la République, Joseph Kabila. Dans un point de presse tenu mercredi 2 décembre, son porte-parole, Lambert Mende évoque la position favorable à ce forum du président de ce parti de l’opposition Etienne Tshisekedi et la position défavorable de son fils, Félix Tshisekedi.
« Avec la multiplication des contradictions de ce parti politique, on y perd un peu son latin. Nous préférons peut-être considérer les points convergents que nous trouvons dans le communiqué signé par le président de ce part, M. Etienne Tshisekedi », a affirmé Lambert Mende.
Dans une interview accordée à Radio Okapi, le secrétaire national de l’UDPS en charge des relations extérieures, Félix Tshisekedi a indiqué que son parti ne prendra pas part au dialogue politique « made in Kabila », accusant le président de la République de tentative de « glissement » de son mandat qui prend fin en novembre 2016.
Le porte-parole du gouvernement dit ne pas préférer commenter la position de Félix Tshisekedi.
« Certains partis sont habitués à des postures d’auto-valorisation. Nous n’allons pas nous mettre à nous formaliser chaque fois qu’un cadre du parti voulant se mettre en valeur comme un faucon s’exprime », a déclaré Lambert Mende.
Le porte-parole du gouvernement a confirmé la tenue prochaine de ce rendez-vous politique convoqué selon lui en toute légalité :
« Nous préférons considérer positivement la prise d’acte de M. Etienne Tshisekedi de la convocation par la seule autorité habilitée à convoquer un tel forum dans notre pays, Joseph Kabila et le rapprochement entre les deux personnalités étant donné que le président a dit qu’en cas de difficulté, une co-médiation internationale est possible »
Lambert Mende a rappelé que M. Tshisekedi semble mettre beaucoup d’importances à cette médiation internationale.
« Les portes ne sont pas fermées », a-t-il assuré.
Concernant le dernier message de l’Eglise catholique rappelant le respect des délais constitutionnels par le régime en place le porte-parole du gouvernement a aussi rappelé que l’évocation du sang et l’appel à l’insurrection sont inacceptables et doivent être sanctionnés.
http://www.radiookapi.net/2015/12/02/actualite/politique/dialogue-politique-lambert-mende-denonce-les-contradictions-des
Le gouvernement de la RDC dénonce les contradictions actuelles de la position de l’Union démocratique pour le progrès social (UDPS) quant à sa participation au dialogue politique initié par le président de la République, Joseph Kabila. Dans un point de presse tenu mercredi 2 décembre, son porte-parole, Lambert Mende évoque la position favorable à ce forum du président de ce parti de l’opposition Etienne Tshisekedi et la position défavorable de son fils, Félix Tshisekedi.
« Avec la multiplication des contradictions de ce parti politique, on y perd un peu son latin. Nous préférons peut-être considérer les points convergents que nous trouvons dans le communiqué signé par le président de ce part, M. Etienne Tshisekedi », a affirmé Lambert Mende.
Dans une interview accordée à Radio Okapi, le secrétaire national de l’UDPS en charge des relations extérieures, Félix Tshisekedi a indiqué que son parti ne prendra pas part au dialogue politique « made in Kabila », accusant le président de la République de tentative de « glissement » de son mandat qui prend fin en novembre 2016.
Le porte-parole du gouvernement dit ne pas préférer commenter la position de Félix Tshisekedi.
« Certains partis sont habitués à des postures d’auto-valorisation. Nous n’allons pas nous mettre à nous formaliser chaque fois qu’un cadre du parti voulant se mettre en valeur comme un faucon s’exprime », a déclaré Lambert Mende.
Le porte-parole du gouvernement a confirmé la tenue prochaine de ce rendez-vous politique convoqué selon lui en toute légalité :
« Nous préférons considérer positivement la prise d’acte de M. Etienne Tshisekedi de la convocation par la seule autorité habilitée à convoquer un tel forum dans notre pays, Joseph Kabila et le rapprochement entre les deux personnalités étant donné que le président a dit qu’en cas de difficulté, une co-médiation internationale est possible »
Lambert Mende a rappelé que M. Tshisekedi semble mettre beaucoup d’importances à cette médiation internationale.
« Les portes ne sont pas fermées », a-t-il assuré.
Concernant le dernier message de l’Eglise catholique rappelant le respect des délais constitutionnels par le régime en place le porte-parole du gouvernement a aussi rappelé que l’évocation du sang et l’appel à l’insurrection sont inacceptables et doivent être sanctionnés.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Dialogue politique : le procureur général met en garde contre toute incitation à la violence
http://www.radiookapi.net/2015/12/02/actualite/politique/dialogue-politique-le-procureur-general-met-en-garde-contre-toute
Le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, met en garde tous ceux qui incitent la population à la violence, en se servant du dialogue politique comme prétexte. Au cours d’un point de presse organisé mercredi 2 décembre à Kinshasa, il promet que les auteurs de tels actes seront passibles à des peines prévues par la loi.
« La Convocation du dialogue et la tenue de celui-ci ne doivent aucunement servir de prétexte pour inciter la population à la violence », avertit Flory Kabange Numbi.
Le Président de la République, Joseph Kabila, a annoncé samedi dernier, la convocation d'un dialogue politique qui se tiendra à Kinshasa, sous la co-modération de la Majorité présidentielle et de l'opposition. Ce forum portera essentiellement sur le processus électoral. Plusieurs opposants rejettent cette initiative, la qualifiant de tentative de glissement du mandat présidentiel.
Dans son discours avec la presse, le Procureur général de la République rappelle aux auteurs d’incitation à la violence la lecture non abusive de l’article 64, alinéa 1er et 2 de la Constitution.
Selon cet article, « Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution ».
A ce sujet, Flory Kabange Numbi s’interroge :
« Il existe à l’heure actuelle un individu ou un groupe d’individus qui tente de prendre le pouvoir par la force ? La deuxième question est celle de savoir si les institutions démocratiquement installées dans ce pays exercent le pouvoir en violation de la Constitution. »
Le procureur général de la République invite tous ceux qui font des déclarations incitant à la violence de ne pas se borner à l’alinéa 1er de cet article dont ils font d’ailleurs, à l’en croire, une lecture biaisée, mais à lire et à relire l’alinéa 2 qui dispose:
« Toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la Nation qui est punie conformément à la loi.»
Répondant aux questions des journalistes concernant la libération de certains prisonniers politiques et leaders d’opinion en détention en prison, le Procureur général de la République confirme la relaxation des condamnés pour bientôt.
La grâce présidentielle attendue ne concerne pas les personnes qui ne sont pas encore jugées, précise-t-il.
Quant aux enquêtes menées sur l’affaire de fosse commune de Maluku, Flory Kabange affirme que les investigations se poursuivent.
http://www.radiookapi.net/2015/12/02/actualite/politique/dialogue-politique-le-procureur-general-met-en-garde-contre-toute
Le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, met en garde tous ceux qui incitent la population à la violence, en se servant du dialogue politique comme prétexte. Au cours d’un point de presse organisé mercredi 2 décembre à Kinshasa, il promet que les auteurs de tels actes seront passibles à des peines prévues par la loi.
« La Convocation du dialogue et la tenue de celui-ci ne doivent aucunement servir de prétexte pour inciter la population à la violence », avertit Flory Kabange Numbi.
Le Président de la République, Joseph Kabila, a annoncé samedi dernier, la convocation d'un dialogue politique qui se tiendra à Kinshasa, sous la co-modération de la Majorité présidentielle et de l'opposition. Ce forum portera essentiellement sur le processus électoral. Plusieurs opposants rejettent cette initiative, la qualifiant de tentative de glissement du mandat présidentiel.
Dans son discours avec la presse, le Procureur général de la République rappelle aux auteurs d’incitation à la violence la lecture non abusive de l’article 64, alinéa 1er et 2 de la Constitution.
Selon cet article, « Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution ».
A ce sujet, Flory Kabange Numbi s’interroge :
« Il existe à l’heure actuelle un individu ou un groupe d’individus qui tente de prendre le pouvoir par la force ? La deuxième question est celle de savoir si les institutions démocratiquement installées dans ce pays exercent le pouvoir en violation de la Constitution. »
Le procureur général de la République invite tous ceux qui font des déclarations incitant à la violence de ne pas se borner à l’alinéa 1er de cet article dont ils font d’ailleurs, à l’en croire, une lecture biaisée, mais à lire et à relire l’alinéa 2 qui dispose:
« Toute tentative de renversement du régime constitutionnel constitue une infraction imprescriptible contre la Nation qui est punie conformément à la loi.»
Répondant aux questions des journalistes concernant la libération de certains prisonniers politiques et leaders d’opinion en détention en prison, le Procureur général de la République confirme la relaxation des condamnés pour bientôt.
La grâce présidentielle attendue ne concerne pas les personnes qui ne sont pas encore jugées, précise-t-il.
Quant aux enquêtes menées sur l’affaire de fosse commune de Maluku, Flory Kabange affirme que les investigations se poursuivent.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Pour le ministre Lambert Mende, Felix T. Tshisekedi a pété plus haut que son cul
Lambert Mende dénigre et attaque Félix Tshisekedi sans pitié
Lambert Mende dénigre et attaque Félix Tshisekedi sans pitié
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Dialogue: un parti de la majorité plaide pour un consensus
http://www.radiookapi.net/2015/12/03/actualite/politique/dialogue-un-parti-de-la-majorite-plaide-pour-un-consensus
La Convention des fédéralistes pour la démocratie chrétienne (Cofedeco), un parti politique de la Majorité présidentielle, appelle la communauté internationale à s’investir pour dégager un consensus autour du dialogue politique annoncé par le chef de l’Etat.
« Nous demandons à la communauté internationale de s’investir comme à l’époque de Sun-city. J’aimerais que la Monusco joue ce rôle pour faire comprendre à tout le monde qu’il n’y a qu’un seul remède : le dialogue national inclusif », a déclaré, mercredi 2 décembre, Venant Tshipasa, le président de ce parti au cours d’une conférence de presse à Kinshasa.
Selon lui, seul le dialogue peut régler toutes les divergences qui divisent la classe politique congolaise.
« Pour réussir les élections, il y a des préalables : le budget, les nouveaux majeurs, le fichier électoral, le calendrier électoral consensuel. Il faudrait qu’on parle de tous ces éléments au dialogue », a-t-il estimé.
Il a appelé la population congolaise à s’approprier le dialogue et « à ne pas suivre ceux qui les appellent à protester à travers la marche ».
Dans une ordonnance lue lundi à la télévision publique, le chef de l’Etat Joseph Kabila a convoqué le dialogue politique auquel devrait participer des représentants de la majorité, de l’opposition et de la société civile. La date du début de ce forum n’a pas été annoncée.
Plusieurs partis de l’opposition, notamment les membres de la Dynamique de l’opposition et du G7, ont annoncé qu’ils n’y prendront pas part.
L’UDPS qui est favorable à ce dialogue conditionne sa participation par la présence d’un facilitateur étranger.
Elle a annoncé qu’elle ne prendrait pas part à un dialogue organisé dans les conditions fixées par le président Kabila.
http://www.radiookapi.net/2015/12/03/actualite/politique/dialogue-un-parti-de-la-majorite-plaide-pour-un-consensus
La Convention des fédéralistes pour la démocratie chrétienne (Cofedeco), un parti politique de la Majorité présidentielle, appelle la communauté internationale à s’investir pour dégager un consensus autour du dialogue politique annoncé par le chef de l’Etat.
« Nous demandons à la communauté internationale de s’investir comme à l’époque de Sun-city. J’aimerais que la Monusco joue ce rôle pour faire comprendre à tout le monde qu’il n’y a qu’un seul remède : le dialogue national inclusif », a déclaré, mercredi 2 décembre, Venant Tshipasa, le président de ce parti au cours d’une conférence de presse à Kinshasa.
Selon lui, seul le dialogue peut régler toutes les divergences qui divisent la classe politique congolaise.
« Pour réussir les élections, il y a des préalables : le budget, les nouveaux majeurs, le fichier électoral, le calendrier électoral consensuel. Il faudrait qu’on parle de tous ces éléments au dialogue », a-t-il estimé.
Il a appelé la population congolaise à s’approprier le dialogue et « à ne pas suivre ceux qui les appellent à protester à travers la marche ».
Dans une ordonnance lue lundi à la télévision publique, le chef de l’Etat Joseph Kabila a convoqué le dialogue politique auquel devrait participer des représentants de la majorité, de l’opposition et de la société civile. La date du début de ce forum n’a pas été annoncée.
Plusieurs partis de l’opposition, notamment les membres de la Dynamique de l’opposition et du G7, ont annoncé qu’ils n’y prendront pas part.
L’UDPS qui est favorable à ce dialogue conditionne sa participation par la présence d’un facilitateur étranger.
Elle a annoncé qu’elle ne prendrait pas part à un dialogue organisé dans les conditions fixées par le président Kabila.
Jim KK
POURQUOI PAS AU CONGO???
L'Equateur approuve la réélection présidentielle illimitée
La majorité présidentielle du Congrès équatorien a approuvé ...
La majorité présidentielle du Congrès équatorien a approuvé jeudi une réforme constitutionnelle permettant la réélection illimitée du chef de l'Etat, ce qui fait de ce pays le troisième d'Amérique latine à entériner une telle mesure, après le Nicaragua et le Venezuela
http://www.20minutes.fr/monde/1743793-20151204-equateur-approuve-reelection-presidentielle-illimitee
La majorité présidentielle du Congrès équatorien a approuvé ...
La majorité présidentielle du Congrès équatorien a approuvé jeudi une réforme constitutionnelle permettant la réélection illimitée du chef de l'Etat, ce qui fait de ce pays le troisième d'Amérique latine à entériner une telle mesure, après le Nicaragua et le Venezuela
http://www.20minutes.fr/monde/1743793-20151204-equateur-approuve-reelection-presidentielle-illimitee
zobattants
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Dialogue: les portes restent ouvertes pour quiconque, assure Alain Atundu
http://www.radiookapi.net/2015/12/04/actualite/politique/dialogue-les-portes-restent-ouvertes-pour-quiconque-assure-alain
Le porte-parole de la Majorité présidentielle (MP), Alain Atundu indique que les portes restent ouvertes pour quiconque qui veut participer au dialogue annoncé par le chef de l’Etat.
Il a réagi ainsi au lendemain du refus de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi de participer au dialogue, convoqué par Joseph Kabila. Son secrétaire national en charge des relations extérieures, Félix Tshisekedi a même accusé le président de la République de tentative de « glissement » de son mandat qui prend fin en novembre 2016.
Pour Alain Atundu, il est normal que le parti d’Etienne TshisekediI pose un certain nombre de conditions, mais le chef de l’Etat use de ses droits constitutionnels pour convoquer ce dialogue.
«Le président Kabila est dans son rôle. D’ailleurs l’Accord d’Addis-Abeba lui reconnait ce rôle. Le dialogue est un appel à se réunir, à se tenir la main dans la main pour aller dans la même direction, en chantant la même chanson. Le président prendra ses responsabilités en fonction des impératifs de son devoir de chef d’Etat et des exigences morales, de sa conscience républicaine», a souligné le porte-parole de la MP.
Il estime par ailleurs que le dialogue n’est pas un défi et le pays ne peut pas être pris en otage par une seule personne.
«L’UDPS pose un certain nombre de conditions, et ça c’est normal. Lorsqu’on va vers des enjeux importants, chacun à sa posture de départ et au bout du compte, on se parle pour avoir, pour dégager la position commune», a poursuivi Alain Atundu.
En novembre dernier, le bureau politique de la Majorité présidentielle avait invité la population congolaise à accompagner le président de la République dans le dialogue politique «pour la quête vers une démocratie normale».
Pour la famille politique du chef de l’Etat, seul le dialogue permettra aux différentes forces de se mettre d’accord sur des questions politiques importantes.
http://www.radiookapi.net/2015/12/04/actualite/politique/dialogue-les-portes-restent-ouvertes-pour-quiconque-assure-alain
Le porte-parole de la Majorité présidentielle (MP), Alain Atundu indique que les portes restent ouvertes pour quiconque qui veut participer au dialogue annoncé par le chef de l’Etat.
Il a réagi ainsi au lendemain du refus de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi de participer au dialogue, convoqué par Joseph Kabila. Son secrétaire national en charge des relations extérieures, Félix Tshisekedi a même accusé le président de la République de tentative de « glissement » de son mandat qui prend fin en novembre 2016.
Pour Alain Atundu, il est normal que le parti d’Etienne TshisekediI pose un certain nombre de conditions, mais le chef de l’Etat use de ses droits constitutionnels pour convoquer ce dialogue.
«Le président Kabila est dans son rôle. D’ailleurs l’Accord d’Addis-Abeba lui reconnait ce rôle. Le dialogue est un appel à se réunir, à se tenir la main dans la main pour aller dans la même direction, en chantant la même chanson. Le président prendra ses responsabilités en fonction des impératifs de son devoir de chef d’Etat et des exigences morales, de sa conscience républicaine», a souligné le porte-parole de la MP.
Il estime par ailleurs que le dialogue n’est pas un défi et le pays ne peut pas être pris en otage par une seule personne.
«L’UDPS pose un certain nombre de conditions, et ça c’est normal. Lorsqu’on va vers des enjeux importants, chacun à sa posture de départ et au bout du compte, on se parle pour avoir, pour dégager la position commune», a poursuivi Alain Atundu.
En novembre dernier, le bureau politique de la Majorité présidentielle avait invité la population congolaise à accompagner le président de la République dans le dialogue politique «pour la quête vers une démocratie normale».
Pour la famille politique du chef de l’Etat, seul le dialogue permettra aux différentes forces de se mettre d’accord sur des questions politiques importantes.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Atundu on en veut pas de votre dialogue. Ekomi ya makasi? Bientôt il y aura une loi qui va nous obliger??? On en veut pas. Vous serez chassés du pouvoir!!!Jim KK a écrit:Dialogue: les portes restent ouvertes pour quiconque, assure Alain Atundu
http://www.radiookapi.net/2015/12/04/actualite/politique/dialogue-les-portes-restent-ouvertes-pour-quiconque-assure-alain
Le porte-parole de la Majorité présidentielle (MP), Alain Atundu indique que les portes restent ouvertes pour quiconque qui veut participer au dialogue annoncé par le chef de l’Etat.
Il a réagi ainsi au lendemain du refus de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi de participer au dialogue, convoqué par Joseph Kabila. Son secrétaire national en charge des relations extérieures, Félix Tshisekedi a même accusé le président de la République de tentative de « glissement » de son mandat qui prend fin en novembre 2016.
Pour Alain Atundu, il est normal que le parti d’Etienne TshisekediI pose un certain nombre de conditions, mais le chef de l’Etat use de ses droits constitutionnels pour convoquer ce dialogue.
«Le président Kabila est dans son rôle. D’ailleurs l’Accord d’Addis-Abeba lui reconnait ce rôle. Le dialogue est un appel à se réunir, à se tenir la main dans la main pour aller dans la même direction, en chantant la même chanson. Le président prendra ses responsabilités en fonction des impératifs de son devoir de chef d’Etat et des exigences morales, de sa conscience républicaine», a souligné le porte-parole de la MP.
Il estime par ailleurs que le dialogue n’est pas un défi et le pays ne peut pas être pris en otage par une seule personne.
«L’UDPS pose un certain nombre de conditions, et ça c’est normal. Lorsqu’on va vers des enjeux importants, chacun à sa posture de départ et au bout du compte, on se parle pour avoir, pour dégager la position commune», a poursuivi Alain Atundu.
En novembre dernier, le bureau politique de la Majorité présidentielle avait invité la population congolaise à accompagner le président de la République dans le dialogue politique «pour la quête vers une démocratie normale».
Pour la famille politique du chef de l’Etat, seul le dialogue permettra aux différentes forces de se mettre d’accord sur des questions politiques importantes.
Admin- Admin
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC: l’Opposition républicaine prête à prendre part au dialogue
http://www.radiookapi.net/2015/12/06/actualite/politique/rdc-lopposition-republicaine-prete-prendre-part-au-dialogue
L’opposition républicaine, sous l’autorité morale de Léon Kengo wa Dondo, se dit prête à prendre part au dialogue, annoncé par le chef de l’Etat.
Cette plate-forme a livré sa position au cours d’un colloque organisé, samedi 5 décembre, au Centre culturel du collège Boboto, à Kinshasa.
«L’opposition républicaine participera au dialogue national inclusif dans le respect de la constitution et des lois de la République. Elle accepte d’y participer en vue du règlement des contingences techniques liées à l’organisation des élections apaisées et crédibles», a indiqué le président de ce colloque, Michel Bongongo.
Cette plate-forme dit vouloir participer à ce dialogue pour consolider le pacte républicain qui assure aux Congolais la paix sur le territoire national.
Il y a deux semaines, où le chef de l’Etat congolais avait proposé à l’Organisation des Nations unies (ONU), les noms de quatre personnes susceptibles d'assurer une médiation internationale dans le dialogue politique.
Joseph Kabila avait proposé les noms de l'ancien secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, du président angolais Eduardo Dos Santos, du président de l'Assemblée nationale sénégalaise, Moustapha Niasse, et de l'envoyé spécial de l'Onu pour les Grands Lacs, Saïd Djinnit.
La majeure partie des autres composantes de l'opposition refuse ce dialogue, y voyant une manœuvre du président Kabila, au pouvoir depuis 2001, pour contourner l'interdiction constitutionnelle qui lui est faite de se représenter en 2016.
http://www.radiookapi.net/2015/12/06/actualite/politique/rdc-lopposition-republicaine-prete-prendre-part-au-dialogue
L’opposition républicaine, sous l’autorité morale de Léon Kengo wa Dondo, se dit prête à prendre part au dialogue, annoncé par le chef de l’Etat.
Cette plate-forme a livré sa position au cours d’un colloque organisé, samedi 5 décembre, au Centre culturel du collège Boboto, à Kinshasa.
«L’opposition républicaine participera au dialogue national inclusif dans le respect de la constitution et des lois de la République. Elle accepte d’y participer en vue du règlement des contingences techniques liées à l’organisation des élections apaisées et crédibles», a indiqué le président de ce colloque, Michel Bongongo.
Cette plate-forme dit vouloir participer à ce dialogue pour consolider le pacte républicain qui assure aux Congolais la paix sur le territoire national.
Il y a deux semaines, où le chef de l’Etat congolais avait proposé à l’Organisation des Nations unies (ONU), les noms de quatre personnes susceptibles d'assurer une médiation internationale dans le dialogue politique.
Joseph Kabila avait proposé les noms de l'ancien secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, du président angolais Eduardo Dos Santos, du président de l'Assemblée nationale sénégalaise, Moustapha Niasse, et de l'envoyé spécial de l'Onu pour les Grands Lacs, Saïd Djinnit.
La majeure partie des autres composantes de l'opposition refuse ce dialogue, y voyant une manœuvre du président Kabila, au pouvoir depuis 2001, pour contourner l'interdiction constitutionnelle qui lui est faite de se représenter en 2016.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Dialogue: Clément Kanku appelle Joseph Kabila à se prononcer sur la fin de son mandat
http://www.radiookapi.net/2015/12/06/actualite/politique/dialogue-clement-kanku-appelle-joseph-kabila-se-prononcer-sur-la-fin
Le Mouvement pour le renouveau (MR) demande au président Joseph Kabila de se prononcer clairement sur la question de la fin de son mandat présidentiel pour favoriser l’exclusivité au dialogue national qu’il a décidé de convoquer. Dans une déclaration samedi 5 décembre à Kinshasa, le président de ce parti de l’opposition, Clément Kanku, estime qu’une telle précision ramènera ceux de l’opposition politique qui boycottent ce dialogue à y participer.
Devant la presse, Clément Kanku a déclaré:
«Le Mouvement pour le renouveau est acquis à tout mode de sortie de crise à travers le dialogue. Mais nous disons, donner toutes les chances à un dialogue constructif, c’est tenir compte des conditions que nous sommes en train de poser et que nous avons toujours posées, c’est-à-dire, que le dialogue soit inclusif. Pour qu’il soit inclusif, le chef de l’Etat doit donner le gage de confiance à ceux qui redoutent de ce dialogue aujourd’hui.» (Je respecterai la constitution de la république. Combien de fois doit-il le dire?? Ce n´est pas suffisant??)
Le MR demande ainsi au chef de l’Etat «de se ressaisir, de prendre son courage pour dire au peuple congolais qu’il ne sera pas candidat, qu’il ne va pas violer la constitution».
Ce parti de l’opposition se dit prêt à aller au dialogue dans «les conditions où il n’y aura pas de confusion sur cette question.»
Certains partis de l’opposition rejettent en effet le dialogue prôné par le chef de l’Etat Joseph Kabila, dont le dernier mandat constitutionnel expire en décembre 2016. Ils redoutent une manœuvre visant à permettre à ce dernier de « glisser» au-delà de ce délai.
Ce que la Majorité présidentielle qualifie de procès d’intention.
Par ailleurs, le président du MR en appelle vivement à l’unité de l’opposition pour bien faire face à la Majorité présidentielle.
Pour lui, ce forum devrait traiter des questions qui touchent essentiellement aux élections, des questions qui vont permettre à ce que le processus électoral se fasse dans de meilleures conditions.
http://www.radiookapi.net/2015/12/06/actualite/politique/dialogue-clement-kanku-appelle-joseph-kabila-se-prononcer-sur-la-fin
Le Mouvement pour le renouveau (MR) demande au président Joseph Kabila de se prononcer clairement sur la question de la fin de son mandat présidentiel pour favoriser l’exclusivité au dialogue national qu’il a décidé de convoquer. Dans une déclaration samedi 5 décembre à Kinshasa, le président de ce parti de l’opposition, Clément Kanku, estime qu’une telle précision ramènera ceux de l’opposition politique qui boycottent ce dialogue à y participer.
Devant la presse, Clément Kanku a déclaré:
«Le Mouvement pour le renouveau est acquis à tout mode de sortie de crise à travers le dialogue. Mais nous disons, donner toutes les chances à un dialogue constructif, c’est tenir compte des conditions que nous sommes en train de poser et que nous avons toujours posées, c’est-à-dire, que le dialogue soit inclusif. Pour qu’il soit inclusif, le chef de l’Etat doit donner le gage de confiance à ceux qui redoutent de ce dialogue aujourd’hui.» (Je respecterai la constitution de la république. Combien de fois doit-il le dire?? Ce n´est pas suffisant??)
Le MR demande ainsi au chef de l’Etat «de se ressaisir, de prendre son courage pour dire au peuple congolais qu’il ne sera pas candidat, qu’il ne va pas violer la constitution».
Ce parti de l’opposition se dit prêt à aller au dialogue dans «les conditions où il n’y aura pas de confusion sur cette question.»
Certains partis de l’opposition rejettent en effet le dialogue prôné par le chef de l’Etat Joseph Kabila, dont le dernier mandat constitutionnel expire en décembre 2016. Ils redoutent une manœuvre visant à permettre à ce dernier de « glisser» au-delà de ce délai.
Ce que la Majorité présidentielle qualifie de procès d’intention.
Par ailleurs, le président du MR en appelle vivement à l’unité de l’opposition pour bien faire face à la Majorité présidentielle.
Pour lui, ce forum devrait traiter des questions qui touchent essentiellement aux élections, des questions qui vont permettre à ce que le processus électoral se fasse dans de meilleures conditions.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Processus électoral: les envoyés internationaux prônent l’enrôlement de nouveaux majeurs
http://www.radiookapi.net/2015/12/11/actualite/politique/processus-electoral-les-envoyes-internationaux-pronent-lenrolement-de
Le groupe d’envoyés internationaux pour la région des Grands Lacs préconisent l’enrôlement de nouveaux majeurs.
Ces jeunes sont estimés à environ 7 millions, soit plus de 20% du corps électoral congolais, selon un rapport de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), publié en novembre dernier.
Ces diplomates ont fait cette recommandation, vendredi 11 décembre, au sortir d’une audience avec le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), à Kinshasa.
«Le lancement de l’enregistrement des électeurs ou l’actualisation de la liste électorale est un élément très important. Nous avons échangé avec le président comment ceci peut se faire dans le meilleur délai. Ça sera un signe fort et une dynamique qui assure la population et les partenaires pour aller vers les élections», a indiqué l’envoyé spécial de l’Union européenne dans les Grands lacs, Koen Vervaeke.
Il a également exprimé la volonté de l’Union européenne de soutenir le processus électoral congolais.
Pour Koen Vervaeke, seul les Congolais sont les premiers à dénouer la crise liée à leur processus électoral:
«Nous n’avons pas un schéma, c’est aux acteurs congolais d’arriver à un consensus. Le schéma est tracé par le peuple congolais par sa constitution qui est le cadre légal. Ce qui est important, ce que le résultat des élections soit accepté par tous».
En septembre dernier, ces envoyés internationaux avaient souligné l'importance de la tenue en RDC des élections présidentielle et législative «dans les délais constitutionnels avec la participation de toutes les personnes éligibles».
Ils avaient par ailleurs réaffirmé le soutien de la communauté internationale à la RDC pour organiser des élections transparentes, crédibles et inclusives.
http://www.radiookapi.net/2015/12/11/actualite/politique/processus-electoral-les-envoyes-internationaux-pronent-lenrolement-de
Le groupe d’envoyés internationaux pour la région des Grands Lacs préconisent l’enrôlement de nouveaux majeurs.
Ces jeunes sont estimés à environ 7 millions, soit plus de 20% du corps électoral congolais, selon un rapport de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), publié en novembre dernier.
Ces diplomates ont fait cette recommandation, vendredi 11 décembre, au sortir d’une audience avec le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), à Kinshasa.
«Le lancement de l’enregistrement des électeurs ou l’actualisation de la liste électorale est un élément très important. Nous avons échangé avec le président comment ceci peut se faire dans le meilleur délai. Ça sera un signe fort et une dynamique qui assure la population et les partenaires pour aller vers les élections», a indiqué l’envoyé spécial de l’Union européenne dans les Grands lacs, Koen Vervaeke.
Il a également exprimé la volonté de l’Union européenne de soutenir le processus électoral congolais.
Pour Koen Vervaeke, seul les Congolais sont les premiers à dénouer la crise liée à leur processus électoral:
«Nous n’avons pas un schéma, c’est aux acteurs congolais d’arriver à un consensus. Le schéma est tracé par le peuple congolais par sa constitution qui est le cadre légal. Ce qui est important, ce que le résultat des élections soit accepté par tous».
En septembre dernier, ces envoyés internationaux avaient souligné l'importance de la tenue en RDC des élections présidentielle et législative «dans les délais constitutionnels avec la participation de toutes les personnes éligibles».
Ils avaient par ailleurs réaffirmé le soutien de la communauté internationale à la RDC pour organiser des élections transparentes, crédibles et inclusives.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Dialogue: « Il reste encore quelques différences d’approche », affirme Saïd Djinnit
http://www.radiookapi.net/2015/12/10/actualite/politique/dialogue-il-reste-encore-quelques-differences-dapproche-affirme-said
Après avoir rencontré la classe politique la semaine passée, l’envoyé spécial du Secrétaire général des Nations unies dans la région des Grands Lacs, Saïd Djinnit est à nouveau en RDC. Il a rencontré jeudi 10 décembre à Kinshasa, le président de la République, Joseph Kabila.
Sur ses consultations avec la classe politique congolaise au sujet du dialogue, Saïd Djinnit indique réserver la primeur de ses conclusions à Ban Ki-moon.
Il affirme cependant avoir noté quelques convergences ainsi que des différences d’approche.
«Je réserve d’abord le rapport sur les informations recueillies au Secrétaire général de l’Onu et des autorités de Nations unies. J’ai partagé mes impressions avec le président de la République ce matin, il y a certainement un certain nombre de convergence sur un certain nombre des choses, mais il reste encore quelques différences d’approche sur d’autres questions liées au dialogue», a-t-il déclaré dans un entretien accordé à Radio Okapi.
La semaine dernière, Saïd Djinnit a consulté la classe politique congolaise ainsi des représentants de la société civile au sujet du dialogue politique convoqué par le président Joseph Kabila.
«Certains évidement sont prêts pour se joindre au dialogue et d’autres non. Vous savez très bien que des partis d’opposition notamment la Dynamique de l’opposition et le G7 maintiennent le rejet de ce dialogue. Evidemment, je réserve le rapport sur les informations recueillies au Secrétaire général des Nations unies», a-t-il fait savoir.
Le chef de l’Etat congolais a convoqué un dialogue politique. Mais la date du début de ce forum n’est pas encore connue.
L’UDPS, le principal parti de l’opposition, exige une médiation internationale avant de prendre part à ce forum.
http://www.radiookapi.net/2015/12/10/actualite/politique/dialogue-il-reste-encore-quelques-differences-dapproche-affirme-said
Après avoir rencontré la classe politique la semaine passée, l’envoyé spécial du Secrétaire général des Nations unies dans la région des Grands Lacs, Saïd Djinnit est à nouveau en RDC. Il a rencontré jeudi 10 décembre à Kinshasa, le président de la République, Joseph Kabila.
Sur ses consultations avec la classe politique congolaise au sujet du dialogue, Saïd Djinnit indique réserver la primeur de ses conclusions à Ban Ki-moon.
Il affirme cependant avoir noté quelques convergences ainsi que des différences d’approche.
«Je réserve d’abord le rapport sur les informations recueillies au Secrétaire général de l’Onu et des autorités de Nations unies. J’ai partagé mes impressions avec le président de la République ce matin, il y a certainement un certain nombre de convergence sur un certain nombre des choses, mais il reste encore quelques différences d’approche sur d’autres questions liées au dialogue», a-t-il déclaré dans un entretien accordé à Radio Okapi.
La semaine dernière, Saïd Djinnit a consulté la classe politique congolaise ainsi des représentants de la société civile au sujet du dialogue politique convoqué par le président Joseph Kabila.
«Certains évidement sont prêts pour se joindre au dialogue et d’autres non. Vous savez très bien que des partis d’opposition notamment la Dynamique de l’opposition et le G7 maintiennent le rejet de ce dialogue. Evidemment, je réserve le rapport sur les informations recueillies au Secrétaire général des Nations unies», a-t-il fait savoir.
Le chef de l’Etat congolais a convoqué un dialogue politique. Mais la date du début de ce forum n’est pas encore connue.
L’UDPS, le principal parti de l’opposition, exige une médiation internationale avant de prendre part à ce forum.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
RDC: Joseph Kabila veut un processus électoral «fruit d’un consensus librement dégagé»
http://www.radiookapi.net/2015/12/14/actualite/politique/rdc-joseph-kabila-veut-un-processus-electoral-fruit-dun-consensus
Le président Joseph Kabila Kabange prononçant son discours sur l’état de la nation en décembre 2012 devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès.
« J’en appelle au sens élevé des responsabilités de tous afin qu’au sortir du dialogue national nous soyons plus unis dans la mise en œuvre d’un processus électoral authentiquement congolais, fruit d’un consensus librement dégagé », a déclaré lundi 14 décembre dans son discours sur l’état de la nation prononcé devant le Parlement réuni en congrès.
Pour Joseph Kabila, ce dialogue est l’occasion pour les Congolais de se réunir pour régler eux-mêmes leurs divergences.
« Ce n’est pas par la violence que nous règlerons nos divergences. Ce n’est pas non plus des Nations unies, de l’Orient ou de l’Occident que viendront les solutions à nos problèmes, mais plutôt de nous-mêmes et par le dialogue entre les Congolais et les Congolaises mus par la fibre patriotique », a martelé le chef de l’Etat.
Au sujet du début de ce dialogue, Joseph Kabila n’a pas donné de date précise, évoquant un démarrage « à brève échéance ».
« La mise en place en cours du comité préparatoire et celle prochaine de la facilitation internationale permettront à brève échéance le démarrage effectif dudit dialogue avec pour objectif de trouver des solutions consensuelles aux questions majeures qui minent le processus électoral, ouvrant la voie à des élections crédibles et apaisées », a estimé le président de la République.
« Il n’y aura ni le sang ni la sueur »
Joseph Kabila a également mis en garde ceux qui s’opposent au dialogue, préférant la violence.
« Je ne permettrai pas que les sacrifices consentis ensemble au cours de dernière années pour bâtir la paix soient compromis, sous quelque prétexte que ce soit, par ceux qui, de mauvaise foi et de manière délibérée, choisiront de rester enfermés dans leur posture négativiste, refusant le dialogue au profit des complots contre la République et en promettant sang et sueur à notre peuple. Il n’y aura ni l’un ni l’autre », a-t-il lancé.
Pour lui, le peuple congolais aura à choisir entre deux projets de société pour les prochaines élections.
« Là où il lui est promis la mort, nous l’assurons que tout sera mis en œuvre pour la vie. Là où on veut tout détruire, notre engagement c’est de construire et de développer sans relâche. A notre peuple de choisir lors des élections lequel des deux projets de société lui convient le mieux », a indiqué Joseph Kabila.
Réduire le coût des élections
Joseph Kabila est revenu sur l’idée de revoir les modalités de vote lors des prochaines élections pour réduire le coût des élections.
« Je demeure persuadé que l’option à lever sur les modalités de vote prévues à l’article 47 de la loi électorale à savoir, soit le vote par bulletin à papier soit le vote électronique, pourrait contribuer à réduire substantiellement le coût des opérations électorales », a-t-il affirmé.
http://www.radiookapi.net/2015/12/14/actualite/politique/rdc-joseph-kabila-veut-un-processus-electoral-fruit-dun-consensus
Le président Joseph Kabila Kabange prononçant son discours sur l’état de la nation en décembre 2012 devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès.
« J’en appelle au sens élevé des responsabilités de tous afin qu’au sortir du dialogue national nous soyons plus unis dans la mise en œuvre d’un processus électoral authentiquement congolais, fruit d’un consensus librement dégagé », a déclaré lundi 14 décembre dans son discours sur l’état de la nation prononcé devant le Parlement réuni en congrès.
Pour Joseph Kabila, ce dialogue est l’occasion pour les Congolais de se réunir pour régler eux-mêmes leurs divergences.
« Ce n’est pas par la violence que nous règlerons nos divergences. Ce n’est pas non plus des Nations unies, de l’Orient ou de l’Occident que viendront les solutions à nos problèmes, mais plutôt de nous-mêmes et par le dialogue entre les Congolais et les Congolaises mus par la fibre patriotique », a martelé le chef de l’Etat.
Au sujet du début de ce dialogue, Joseph Kabila n’a pas donné de date précise, évoquant un démarrage « à brève échéance ».
« La mise en place en cours du comité préparatoire et celle prochaine de la facilitation internationale permettront à brève échéance le démarrage effectif dudit dialogue avec pour objectif de trouver des solutions consensuelles aux questions majeures qui minent le processus électoral, ouvrant la voie à des élections crédibles et apaisées », a estimé le président de la République.
« Il n’y aura ni le sang ni la sueur »
Joseph Kabila a également mis en garde ceux qui s’opposent au dialogue, préférant la violence.
« Je ne permettrai pas que les sacrifices consentis ensemble au cours de dernière années pour bâtir la paix soient compromis, sous quelque prétexte que ce soit, par ceux qui, de mauvaise foi et de manière délibérée, choisiront de rester enfermés dans leur posture négativiste, refusant le dialogue au profit des complots contre la République et en promettant sang et sueur à notre peuple. Il n’y aura ni l’un ni l’autre », a-t-il lancé.
Pour lui, le peuple congolais aura à choisir entre deux projets de société pour les prochaines élections.
« Là où il lui est promis la mort, nous l’assurons que tout sera mis en œuvre pour la vie. Là où on veut tout détruire, notre engagement c’est de construire et de développer sans relâche. A notre peuple de choisir lors des élections lequel des deux projets de société lui convient le mieux », a indiqué Joseph Kabila.
Réduire le coût des élections
Joseph Kabila est revenu sur l’idée de revoir les modalités de vote lors des prochaines élections pour réduire le coût des élections.
« Je demeure persuadé que l’option à lever sur les modalités de vote prévues à l’article 47 de la loi électorale à savoir, soit le vote par bulletin à papier soit le vote électronique, pourrait contribuer à réduire substantiellement le coût des opérations électorales », a-t-il affirmé.
Jim KK
Re: Les élections en RDC: modification de la loi electorale, dialogue, le gouvernement congolais autorise la diaspora congolaise de voter, le recensement, les manifestations contre la loi électorale
Pourquoi veut-il obliger tout le monde à participer à son dialogue? Soki moto alingi te, tika ye tranquille.Jim KK a écrit:
Joseph Kabila a également mis en garde ceux qui s’opposent au dialogue, préférant la violence.
Comme on dit chez nous : Ngombi lu nkuena, wa losa ku manuadidi mamba ko vedire on ne peut pas forcer une vache à s´abreuver lorsqu´elle n´a pas soif.
Arafat
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