EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
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Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
BO ZA NA BANGO MAYELE ? BA NANI ?
La montre infernale continue de faire TIC-TAC-TIC-TAC.. Tant que vous ne serez pas capable de stoper la montre, vous avancez vers votre fin..
Combien des "partis politiques" ont acceptés d´aller rencontrer Kanambe Même pas ceux de sa "majorité"
TIC TAC, la montre infernale roule..
La montre infernale continue de faire TIC-TAC-TIC-TAC.. Tant que vous ne serez pas capable de stoper la montre, vous avancez vers votre fin..
Combien des "partis politiques" ont acceptés d´aller rencontrer Kanambe Même pas ceux de sa "majorité"
TIC TAC, la montre infernale roule..
GHOST
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
Troll a écrit: BO ZA NA BANGO MAYELE ? BA NANI ?
La montre infernale continue de faire TIC-TAC-TIC-TAC.. Tant que vous ne serez pas capable de stoper la montre, vous avancez vers votre fin..
Combien des "partis politiques" ont acceptés d´aller rencontrer Kanambe Même pas ceux de sa "majorité"
TIC TAC, la montre infernale roule..
Le Congo n´aura pas une fin ! Vous vous trompez
To kozala na batu nyonso tout mayele (majorité ou opposition) oyo bakanisi qu´ils vont continuer à berner le peuple congolais. Le peuple veut des élections bien organisées et apaisées. Ceux qui croient que c´est le moment de faire encore de manœuvres politiques ils se trompent royalement !
Le dialogue est nécessaire pour les élections apaisées!
Jim KK
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
Lambert Mende à Tom Nalinowsi : « Ce dialogue n’est pas l’affaire des étrangers »
http://radiookapi.net/actualite/2015/06/07/lambert-mende-tom-nalinowsi-ce-dialogue-nest-pas-laffaire-des-etrangers/
Le dialogue proposé par le Président Joseph Kabila n’est pas l’affaire des étrangers, a affirmé samdi 6 juin, le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende. Il réagissait aux propos du secrétaire d’Etat américain adjoint à la démocratie et aux droits de l’homme, Tom Nalinowski. De passage à Kinshasa, il a déclaré que ce dialogue ne devra pas retarder les élections.
Selon Lambert Mende, c’est un procès d’intention et une ingérence inacceptable dans une affaire intérieure d’un pays souverain.
« Ce dialogue n’est pas l’affaire des étrangers. C’est une affaire des Congolais. C’est un cas type d’une affaire intérieure et domestique. Nous nous pouvons que rejeter toute tentative d’immixtion des officiels étrangers de quelque pays que ce soit », a déclaré le porte-parole du Gouvernement.
Lambert Mende se dit par ailleurs disposé à recevoir des conseils d’amis « mais pas d’injonctions 54 ans après l’indépendance ».
« Ceci ne peut être accepté par aucun Congolais digne de ce nom », a-t-il soutenu.
Le chef de l’Etat a entamé depuis lundi 1er juin les consultations présidentielles avec les différentes couches sociales, en vue de préparer un éventuel dialogue. Certaines organisations sont pour l’organisation d’un dialogue en vue d’amender le calendrier électoral. D’autres par contre s’y opposent et estiment que cela risque d’entraîner un “glissement” du mandat du Président de la République.
La Constitution de la RDC limite le mandat du Président de la République à deux.
http://radiookapi.net/actualite/2015/06/07/lambert-mende-tom-nalinowsi-ce-dialogue-nest-pas-laffaire-des-etrangers/
Le dialogue proposé par le Président Joseph Kabila n’est pas l’affaire des étrangers, a affirmé samdi 6 juin, le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende. Il réagissait aux propos du secrétaire d’Etat américain adjoint à la démocratie et aux droits de l’homme, Tom Nalinowski. De passage à Kinshasa, il a déclaré que ce dialogue ne devra pas retarder les élections.
Selon Lambert Mende, c’est un procès d’intention et une ingérence inacceptable dans une affaire intérieure d’un pays souverain.
« Ce dialogue n’est pas l’affaire des étrangers. C’est une affaire des Congolais. C’est un cas type d’une affaire intérieure et domestique. Nous nous pouvons que rejeter toute tentative d’immixtion des officiels étrangers de quelque pays que ce soit », a déclaré le porte-parole du Gouvernement.
Lambert Mende se dit par ailleurs disposé à recevoir des conseils d’amis « mais pas d’injonctions 54 ans après l’indépendance ».
« Ceci ne peut être accepté par aucun Congolais digne de ce nom », a-t-il soutenu.
Le chef de l’Etat a entamé depuis lundi 1er juin les consultations présidentielles avec les différentes couches sociales, en vue de préparer un éventuel dialogue. Certaines organisations sont pour l’organisation d’un dialogue en vue d’amender le calendrier électoral. D’autres par contre s’y opposent et estiment que cela risque d’entraîner un “glissement” du mandat du Président de la République.
La Constitution de la RDC limite le mandat du Président de la République à deux.
Jim KK
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
C'est parfois effarant d'observer les incessantes saillies démagogiques de nos politiciens et leurs relais complaisants même ici sur CD ! La propagande pire la manipulation restent certes des maux les mieux partagées par tous les hommes politiques à travers le monde n'empêche que le fâcheux chez nous dans nos républiques bananières en l'occurrence au Congo est que les contre-pouvoirs sont peu efficaces : nos autocrates limitent l'accès de leurs contradicteurs aux médias les plus accessibles aux populations comme les radios-télévisions publiques...
Bref, quand nos politiciens s 'accusent à qui-mieux-mieux de manœuvres politiciennes, les moins coupables ne sont pas toujours ceux qui parlent plus fort et partout...
Qui est ici le plus à la manœuvre politicienne, celui qui initie ce fameux dialogue ou celui qui répond par "non" ou d'ailleurs par "oui" ? Pour le savoir, le moyen le plus imparable est de se demander pourquoi ce dialogue a-t-il été demandé par "JK" et à n'y point se fier aux justifications officielles même et surtout lorsqu'elles sont proclamées par le camp qui gouverne ! En communication politique l'essentiel est souvent ce qui n'est pas dit !
Quelle coupable complaisance aux aboiements du Maître des céans ce serait de notre part car après tout c'est d'abord lui qui mène la danse même si l'opposition n'est pas toujours en reste et quelles consentantes dupes nous serions si pour tout diagnostic nous nous en limitions à affirmer que le dialogue est utile ou que celui-ci n'a été voulu par "JK" que pour les seuls beaux yeux de sa population, pour la seule paix des ménages qui a été si longtemps ignorée par ce même pouvoir qui gouverne par défi ?
Lorsque l'on entend le tchaku national convoquer l'ingérence étrangère ou des prétendus grands principes patriotiques de son Chef, on croirait que ce dernier n'a pas de passé, et surtout n'a pas un bilan dont il devrait rendre compte au pays !
C'est justement ce bilan négatif qui a produit toutes ces impasses qu'on le soupçonne de cacher et de s'en laver par un dialogue biaisé !
Je viens d'écouter les déclarations de Ne Muanda Nsemi dans une vidéo tournée sans doute à la sortie de son audience chez le PR : croit-il vraiment que c'est d'un courage et d'une lucidité surnaturels que d'être pour le dialogue ? Ça ne mange pas de pain de le proclamer encore faut-il ne pas se contenter des avis trop définitifs, d'amalgames ici et là et même de propagande de positionnement derrière des propos où l'on croit s'ériger en l'église au milieu du village comme il le fait ?
Celui dont le ventre crie famine ne peut facilement converser d'égal à égal avec celui qui est repu et a la capacité de distribuer postes et prébendes, nous le savons tous comme nous rêverions bien que les assassins signalent les crimes car après tout ce sont les premiers informés; ils ne le font pas parce que justement ce sont des criminels; attention donc d'attendre une chose de celui qui n'aurait aucun intérêt à le faire de lui-même !
Par exemple jusque quand Muanda situe-t-il sa fameuse impossibilité de faire des élections crédibles ? A jamais ou a-t-il une recette pour rendre cela possible et laquelle !
Ce n'est pas sérieux; on veut le dialogue mais comme dans l'auberge espagnole de l'histoire chacun vient avec ce qu'il a et du coup grand danger que barbares et athéniens s'y comprennent ! Une regrettable Tour de Babel là où la seule question qui vaille, la préparation d'élections saines aurait pourtant suffi à décanter rapidement le débat en trouvant les conditions qui doivent être remplies d'ici novembre 2016 càd dans près de 16 mois pour y arriver !
Vous savez, le propre des familles désunies c'est de ne se rencontrer que lors des enterrements : on voudrait enterrer le seul dialogue qui vaille qu'on ne s'y prendrait pas autrement ! Comme d'habitude on ânonne les prétendues bonnes solutions sans prendre la mesure de leur faisabilité, comme d'habitude pour toute autocratie, elle promet monts et merveilles mais à la fin n'apporte que la misère, l'arbitraire !
Voilà la vraie manœuvre politicienne : on brouille exprès les cartes en prétendant que la situation est insoluble parce que les contradicteurs seraient de mauvaise foi alors que la volonté politique de divers protagonistes et d'abord ici celle du pouvoir qui gouverne et doit donc organiser ces élections aurait vite trouvé les moyens pour l'intérêt supérieur de la Nation, pour lui éviter le chaos !
Ainsi en vérité si JK veut trouver consensuellement par le dialogue des outils pour un processus électoral par le dialogue, si son réel objectif est celui-là, comme a dit un grand esprit « Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. », il a donc qu'à 'énoncer clairement à ses interlocuteurs le bon et clair objet de son fameux dialogue càd discuter de bonnes conditions à installer pour un processus électoral crédible et constitutionnel ! Il convaincra aussi vite fait ces derniers qui n'attendent que ça et la question sera ainsi vite réglée d'autant que ces derniers y ont planché et soumis leurs solutions à la Ceni et à qui de droit !
Il est dès lors absurde et malveillant de leur rejeter facilement des torts ou prétendre qu'ils jouent de la manœuvre politicienne pour ne pas comprendre que "JK" lui ne s'en tient qu'à cet essentiel comme je lis ici et ailleurs ! Si cela traîne ou finit par capoter c'est que ses contradicteurs ont découvert que "JK" comme d'habitude ne joue que de la ruse pour les entuber !
Dans une discussion, le difficile, ce n'est pas tant de défendre son opinion, c'est de la connaître et de l'assumer : JK est-il assez convaincu et assez sincère sur ce qu'il déclare vouloir ou ne veut-il user que de la ruse pour garder la main et le pouvoir ?
Répétons-le : ici comme ailleurs si le dialogue est nécessaire, il n'est pas suffisant pour résoudre la crise, seules des élections transparentes et constitutionnelles y arriveront c'est pourquoi tout doit être fait pour les obtenir si nous voulons éviter un chaos supplémentaire à notre pays !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Bref, quand nos politiciens s 'accusent à qui-mieux-mieux de manœuvres politiciennes, les moins coupables ne sont pas toujours ceux qui parlent plus fort et partout...
Qui est ici le plus à la manœuvre politicienne, celui qui initie ce fameux dialogue ou celui qui répond par "non" ou d'ailleurs par "oui" ? Pour le savoir, le moyen le plus imparable est de se demander pourquoi ce dialogue a-t-il été demandé par "JK" et à n'y point se fier aux justifications officielles même et surtout lorsqu'elles sont proclamées par le camp qui gouverne ! En communication politique l'essentiel est souvent ce qui n'est pas dit !
Quelle coupable complaisance aux aboiements du Maître des céans ce serait de notre part car après tout c'est d'abord lui qui mène la danse même si l'opposition n'est pas toujours en reste et quelles consentantes dupes nous serions si pour tout diagnostic nous nous en limitions à affirmer que le dialogue est utile ou que celui-ci n'a été voulu par "JK" que pour les seuls beaux yeux de sa population, pour la seule paix des ménages qui a été si longtemps ignorée par ce même pouvoir qui gouverne par défi ?
Lorsque l'on entend le tchaku national convoquer l'ingérence étrangère ou des prétendus grands principes patriotiques de son Chef, on croirait que ce dernier n'a pas de passé, et surtout n'a pas un bilan dont il devrait rendre compte au pays !
C'est justement ce bilan négatif qui a produit toutes ces impasses qu'on le soupçonne de cacher et de s'en laver par un dialogue biaisé !
Je viens d'écouter les déclarations de Ne Muanda Nsemi dans une vidéo tournée sans doute à la sortie de son audience chez le PR : croit-il vraiment que c'est d'un courage et d'une lucidité surnaturels que d'être pour le dialogue ? Ça ne mange pas de pain de le proclamer encore faut-il ne pas se contenter des avis trop définitifs, d'amalgames ici et là et même de propagande de positionnement derrière des propos où l'on croit s'ériger en l'église au milieu du village comme il le fait ?
Celui dont le ventre crie famine ne peut facilement converser d'égal à égal avec celui qui est repu et a la capacité de distribuer postes et prébendes, nous le savons tous comme nous rêverions bien que les assassins signalent les crimes car après tout ce sont les premiers informés; ils ne le font pas parce que justement ce sont des criminels; attention donc d'attendre une chose de celui qui n'aurait aucun intérêt à le faire de lui-même !
Par exemple jusque quand Muanda situe-t-il sa fameuse impossibilité de faire des élections crédibles ? A jamais ou a-t-il une recette pour rendre cela possible et laquelle !
Ce n'est pas sérieux; on veut le dialogue mais comme dans l'auberge espagnole de l'histoire chacun vient avec ce qu'il a et du coup grand danger que barbares et athéniens s'y comprennent ! Une regrettable Tour de Babel là où la seule question qui vaille, la préparation d'élections saines aurait pourtant suffi à décanter rapidement le débat en trouvant les conditions qui doivent être remplies d'ici novembre 2016 càd dans près de 16 mois pour y arriver !
Vous savez, le propre des familles désunies c'est de ne se rencontrer que lors des enterrements : on voudrait enterrer le seul dialogue qui vaille qu'on ne s'y prendrait pas autrement ! Comme d'habitude on ânonne les prétendues bonnes solutions sans prendre la mesure de leur faisabilité, comme d'habitude pour toute autocratie, elle promet monts et merveilles mais à la fin n'apporte que la misère, l'arbitraire !
Voilà la vraie manœuvre politicienne : on brouille exprès les cartes en prétendant que la situation est insoluble parce que les contradicteurs seraient de mauvaise foi alors que la volonté politique de divers protagonistes et d'abord ici celle du pouvoir qui gouverne et doit donc organiser ces élections aurait vite trouvé les moyens pour l'intérêt supérieur de la Nation, pour lui éviter le chaos !
Ainsi en vérité si JK veut trouver consensuellement par le dialogue des outils pour un processus électoral par le dialogue, si son réel objectif est celui-là, comme a dit un grand esprit « Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. », il a donc qu'à 'énoncer clairement à ses interlocuteurs le bon et clair objet de son fameux dialogue càd discuter de bonnes conditions à installer pour un processus électoral crédible et constitutionnel ! Il convaincra aussi vite fait ces derniers qui n'attendent que ça et la question sera ainsi vite réglée d'autant que ces derniers y ont planché et soumis leurs solutions à la Ceni et à qui de droit !
Il est dès lors absurde et malveillant de leur rejeter facilement des torts ou prétendre qu'ils jouent de la manœuvre politicienne pour ne pas comprendre que "JK" lui ne s'en tient qu'à cet essentiel comme je lis ici et ailleurs ! Si cela traîne ou finit par capoter c'est que ses contradicteurs ont découvert que "JK" comme d'habitude ne joue que de la ruse pour les entuber !
Dans une discussion, le difficile, ce n'est pas tant de défendre son opinion, c'est de la connaître et de l'assumer : JK est-il assez convaincu et assez sincère sur ce qu'il déclare vouloir ou ne veut-il user que de la ruse pour garder la main et le pouvoir ?
Répétons-le : ici comme ailleurs si le dialogue est nécessaire, il n'est pas suffisant pour résoudre la crise, seules des élections transparentes et constitutionnelles y arriveront c'est pourquoi tout doit être fait pour les obtenir si nous voulons éviter un chaos supplémentaire à notre pays !
- Code:
“On n’emmène pas de saucisses quand on va à Francfort.”
“La patrie d'un cochon se trouve partout où il y a du gland.”
“Une discussion est impossible avec quelqu'un qui prétend ne pas chercher la vérité, mais déjà la posséder.”
“C'est abréger et s'épargner mille discussions que de penser de certaines gens qu'ils sont incapables de parler juste, et de condamner ce qu'ils disent, ce qu'ont dit, ce qu'ils diront.”
“La démagogie est à la démocratie ce que la prostitution est à l’amour.”
"Joseph Kabila a deux fers au feu
° http://www.lalibre.be/actu/international/joseph-kabila-a-deux-fers-au-feu-55745e8a35709a87ac7ce123
Selon le calendrier publié par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) en février dernier, le nouveau cycle électoral au Congo doit s’ouvrir le 25 octobre prochain, avec les scrutins locaux (qui n’ont eu lieu ni en 2006 ni en 2011) et provinciaux (qui n’ont pas eu lieu en 2011).
Des retards semblent, cependant, déjà rendre ce calendrier impossible à respecter. Le 2 juin, la Ceni a annoncé l’ajournement de l’inscription des candidats pour les locales et municipales. Ce n’est que le 3 juin que le gouvernement a remis à l’Assemblée nationale le projet de loi sur la répartition des sièges par circonscription. Il faudra attendre qu’Assemblée et Sénat adoptent le texte - ce qui a peu de chance d’intervenir avant la fin de la session en cours, le 15 juin - et qu’il soit promulgué pour que la Ceni enregistre les candidatures aux scrutins locaux et municipaux.
Quant aux provinciales, la Ceni a reçu 17 410 candidatures pour… 711 sièges à pourvoir, soit 23 candidats par siège (contre 17 par siège en 2006).
L’opposition, qui soupçonne le président Joseph Kabila de vouloir retarder les élections afin de rester en place après la fin de son second mandat constitutionnel, en décembre 2016, demande le renvoi des élections locales à plus tard.
Les kabilistes pourraient invoquer le manque d’argent pour retarder les scrutins, les bailleurs de fonds ayant indiqué qu’ils ne mettraient la main à la poche que pour des élections régulières et respectueuses de la Constitution.
Découvrez l'intégralité de l'analyse dans la Sélection ABONNES(...)"
"Bornes intangibles !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6664
En analyste politique averti, il appert que les avis et considérations des personnes consultées par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila, constituent une véritable mine des matières à exploiter lors de la tenue du dialogue national. Celui-ci devient incontournable. C’est un fait. Parce qu’il se dégage, dans l’ensemble, que c’est l’option choisie par toutes les parties, excepté un groupe d’opposants.
A ce niveau, l’on serait même enclin à soutenir que la boucle est en train de se boucler sur ce tournant de l’histoire du second quinquennat de Joseph Kabila. Pendant que les idées fourmillent encore dans la tête des congolais pour savoir quelle orientation prendre désormais, face aux enjeux et défis qui s’imposent à chacun et à tous, un coup de gueule vient de l’Oncle Sam. Par la voix de son Sous-secrétaire d’Etat à la Démocratie, aux Droits de l’Homme et aux Travailleurs, Tom Malinowski, les Etats-Unis d’Amérique expriment leur perception de l’avenir du Congo-RDC à l’orée 2016.
Du constat fait de la situation du pays les dix ou vingt dernières années, c’est le progrès qui est vanté. Nul doute qu’en matière de lutte contre les forces négatives, des avancées sont notables. A ce jour, quelques poches de résistance restent à éradiquer. Le travail de fond se réalise ; encore qu’il y a eu changement à la tête du commandement des opérations sur terrain, pour raison de plus d’efficacité. Il en est de même de la lutte contre les violences sexuelles. D’autres matières ont été évoquées par le représentant d’Obama, en tournée dans la région des Grands Lacs. Il s’agit des élections, des concertations nationales en vue du dialogue. Quelques membres du Gouvernement, acteurs de l’opposition politique, représentants de la société civile, ont été conviés aux échanges par le diplomate américain. De ce qui précède, l’on ne s’en doute guère de voir les Etats-Unis d’Amérique s’appesantir sur les élections et le respect des délais constitutionnels. Tom y est revenu, comme tant d’autres émissaires du Gouvernement Obama.
En fait, il a tracé les bornes que l’on ne peut franchir, sous quelques prétextes. Ayant souscrit aux élections, partant des consultations en cours, devant aboutir au dialogue qu’ils appuient ardemment, invitant par la même occasion l’opposition politique à ne point s’y dérober, les USA insistent pour que rien ne puisse expliquer ou justifier un quelconque dépassement de délai prévu par la constitution. D’autres acteurs politiques congolais ont aussi planché dans le même sens. Le message est-il compris ? Sans nul doute. La déclaration a été publique. Le Gouvernement a-t-il réagi ? Evidemment, par la voie du Ministre des Affaires Etrangères, qui estime qu’il est des matières qui relèvent de la souveraineté nationale. En clair, ce sont là des bornes qui sont tracées et que les uns et les autres ne peuvent franchir. Les rapports de forces au plan international se mesure à ces prises de position. Comprenne, qui veut."
"Dialogue : Z’Ahidi, Muamba & Mbikayi consultés !"
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6665
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=201868&Actualiteit=selected
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/06/dialogue-zahidi-ngoma-prone-debat-sur-la-question-electorale/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/07/lambert-mende-tom-nalinowsi-ce-dialogue-nest-pas-laffaire-des-etrangers/
° http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/actualites/2321-flash-audio-dialogue-avec-l-imposteur-rwandais-alias-joseph-kabila-le-sne-jose-ilunga-renvoie-dos-a-dos-tshisekedi-monsengwo.html
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6666&rubrique=POLITIQUE
° http://www.lalibre.be/actu/international/financement-des-elections-en-rdc-le-fmi-recommande-de-jouer-sur-les-impots-5570651335709a87ac70803a
° http://information.tv5monde.com/en-continu/rdc-l-eglise-catholique-espere-arriver-un-consensus-sur-le-calendrier-electoral-36316
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
¤ FACILITATEUR...AFRICAIN
Selon www.rfi.fr Joé reprend les consultations..cette fois ici avec son propre "gang" Il a eu la "sagesse" de ne pas commencer avec les "faucons" et autre flatteurs du genre Mende..
Mais la plus grande innovation serait la nouvelle position de Kanambe qui accepte l´idée d´un "facilitateur désigné par le Conseil de Sécurité de l´ONU"
Mende qui s´en prenait au Sécrètaire d´Etat des USA recement en disant tout haut que le "dialogue ne concerne que les Congolais" doit avaler plus de...salive et "retropedaler" comme d´habitude
QUE RECHERCHE KANAMBE? "UNE RECONCILIATION INSPIRÉE PAR L`AFRIQUE DU SUD"
Quand Kanambe parle avec la CENCO et Monsegwo...nous trouvons une sorte d´ouverture..ce que ses relations avec l´église Catholique sont mauvaises..mais il aura besoin de l´influence des évêques Catholiques s´il souhaite se retirer sans se retrouver devant la justice un jour..
*Quand Kanambe prefère rencontrer le leader de Bundu Dia Kongo, Mwanda N´semi est aussi l´un de ceux qui peut inquieter Kanambe quand il quitte le pouvoir..Les massacres des membres de Bundu Dia Kongo..y compris la fosse commune de Maluku..sont des dossiers qui ne peuvent pas garantir á Kanambe...de se la couler douce..dans sa retraite de "ex Président"
Si Kanambe est malin, la formule SudAf qui avait permis aux leaders de l´Apartheid de se faire "absoudre" et de ne pas se retrouver devant la justice..est son salut.. Il n´y a pas des prescriptions quand il s´agit des crimes contre l´Humanité
Un "facilitateur"..why not ? WAIT AND SEE
Selon www.rfi.fr Joé reprend les consultations..cette fois ici avec son propre "gang" Il a eu la "sagesse" de ne pas commencer avec les "faucons" et autre flatteurs du genre Mende..
Mais la plus grande innovation serait la nouvelle position de Kanambe qui accepte l´idée d´un "facilitateur désigné par le Conseil de Sécurité de l´ONU"
Mende qui s´en prenait au Sécrètaire d´Etat des USA recement en disant tout haut que le "dialogue ne concerne que les Congolais" doit avaler plus de...salive et "retropedaler" comme d´habitude
QUE RECHERCHE KANAMBE? "UNE RECONCILIATION INSPIRÉE PAR L`AFRIQUE DU SUD"
Quand Kanambe parle avec la CENCO et Monsegwo...nous trouvons une sorte d´ouverture..ce que ses relations avec l´église Catholique sont mauvaises..mais il aura besoin de l´influence des évêques Catholiques s´il souhaite se retirer sans se retrouver devant la justice un jour..
*Quand Kanambe prefère rencontrer le leader de Bundu Dia Kongo, Mwanda N´semi est aussi l´un de ceux qui peut inquieter Kanambe quand il quitte le pouvoir..Les massacres des membres de Bundu Dia Kongo..y compris la fosse commune de Maluku..sont des dossiers qui ne peuvent pas garantir á Kanambe...de se la couler douce..dans sa retraite de "ex Président"
Si Kanambe est malin, la formule SudAf qui avait permis aux leaders de l´Apartheid de se faire "absoudre" et de ne pas se retrouver devant la justice..est son salut.. Il n´y a pas des prescriptions quand il s´agit des crimes contre l´Humanité
Un "facilitateur"..why not ? WAIT AND SEE
GHOST
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"RDC: le président Kabila reprend ses consultations
° http://www.rfi.fr/afrique/20150608-rdc-le-president-kabila-reprend-consultations/
En RDC, le président Joseph Kabila va poursuivre les consultations avec les différentes composantes de la population. Après l'opposition, il recevra des acteurs politiques de sa mouvance. Devant le refus de l'opposition de répondre à l'invitation du chef de l'Etat, on parle de la nomination dans les jours qui viennent d'un facilitateur d'origine africaine pour faciliter le prochain dialogue.
Cette semaine, il est prévu d’autres rencontres avec des acteurs politiques, parmi lesquels ceux de la majorité. La société civile devrait aussi être reçue par le président de la République. Les ambassadeurs ont été programmés pour clôturer la série.
Les grandes formations de l’opposition ont en tout cas décliné l’offre du président Joseph Kabila. L’UDPS, qui y était favorable dès le départ, a fait volte-face en décriant le processus mis en place. Pour le parti d’Etienne Tshisekedi et pour certaines autres formations, il faut un dialogue avec un facilitateur nommé par la communauté internationale.
Selon certaines sources, le Conseil de sécurité de l’ONU serait en voie de désigner un facilitateur d’origine africaine. Ce qui devrait permettre de réunir autour d’une même table pouvoir et opposition.
"RDC : Joseph Kabila cherche la sortie
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-joseph-kabila-cherche-la-sortie/
Après avoir renoncé à modifier la Constitution et la loi électorale, le président congolais est en quête d’un consensus politique pour se maintenir au pouvoir après 2016. Mais la convocation d’un « dialogue national » pour apaiser le climat politique et discuter du calendrier électoral ne trouve pas preneurs.
Pour un observateur de la vie politique congolaise, le dialogue national de Joseph Kabila « risque de se limiter au parti présidentiel et à ses alliés »
Joseph Kabila continue ses consultations en vue du dialogue national qu’il appelle de ses voeux. Mais pour l’instant, on ne se bouscule pas autour du Chef de l’Etat. Les principaux partis d’opposition ont décliné l’offre et veulent discuter du calendrier électoral, un des motifs de la crise politique, seulement avec la Commission électorale et non avec le président Kabila. Seuls quelques petits partis d’opposition et des alliés de la majorité présidentielle ont accepté d’être « consulté » par Joseph Kabila. Causes de ce manque d’enthousiasme pour le dialogue national : un grand flou sur le contenu du rendez-vous. L’objectif du dialogue et ses contours restent jusqu’à aujourd’hui inconnus. Pourtant, derrière la volonté de dialogue et d’apaisement du climat politique voulus par le président congolais, se cache un dilemme difficile à résoudre.
Sortie « par le haut » ou « par le bas »
Au pouvoir depuis 2001 et après une longue période de transition politique, Joseph Kabila doit normalement quitter le pouvoir fin 2016, la Constitution lui interdisant de briguer un troisième mandat consécutif. Seulement voilà, à seulement 43 ans, on peut difficilement imaginer que Joseph Kabila veuille quitter le pouvoir. C’est en tout cas ce que pense l’opposition qui tire la sonnette d’alarme depuis la réélection contestée du président congolais de novembre 2011. Depuis cette date, Joseph Kabila cherche la sortie. D’abord « par le haut », en essayant de se maintenir au pouvoir au-delà de 2016, mais aussi « par le bas », tentant d’anticiper son départ du pouvoir. Autant le dire tout de suite, le président Kabila privilégie encore la sortie « par le haut » en s’accrochant à son fauteuil. Mais plus le temps passe, plus les portes du pouvoir se ferment devant celui qui était encore, il y a 14 ans, le plus jeune chef d’Etat de la planète.
Des solutions qui s’éloignent
En un peu plus d’un an, la possibilité de modifier la Constitution pour pouvoir se représenter en 2016 s’est définitivement éloignée du président Kabila. Il y a tout d’abord eu la pression internationale : John Kerry à Kinshasa, puis François Hollande à Dakar ont vivement conseillé à Joseph Kabila de « respecter la Constitution » et donc de ne pas briguer un nouveau mandat. Il y a ensuite eu la chute aussi inattendue que rapide du président Blaise Compaoré au Burkina Faso. Un président qui souhaitait, lui aussi, « tripatouiller » la Constitution pour se maintenir au pouvoir. Une douche froide pour Kinshasa, qui cherche tout de même à jouer la montre en modifiant la loi électorale et lier l’élection présidentielle de 2016 à un recensement global de la population, qui prendrait au minimum… trois ans. Un tour de passe passe que la rue kinésie ne digère pas : trois jours d’émeutes dans la capitale, assortis d’une répression violente, ont raison du texte dont l’alinéa litigieux est rapidement amendé.
« Glissement » : la manière douce
Reste le calendrier. Si Joseph Kabila ne peut décemment jouer sur la Constitution et les textes, il peut encore « rallonger » son mandat en faisant traîner la mise en place des futures élections. Et dans cette stratégie du « glissement » du calendrier électoral, Joseph Kabila est plutôt bien parti. La Commission électorale (CENI) doit en effet organiser sept scrutins en moins de deux ans, sans fichier électoral fiable, sans moyens financiers suffisant et dans un flou institutionnel causé par un opportun redécoupage des provinces. Dans cette stratégie du « glissement », Joseph Kabila cherche donc rapidement un consensus politique autour de sa personne afin de pouvoir se maintenir au pouvoir, en dehors de tout cadre constitutionnel. Une première tentative de « gouvernement de cohésion national », issu des Concertations de 2013, n’a pas atteint son objectif, Josep Kabila cherche donc un nouveau consensus deux ans plus tard, avec la mise en place d’un « dialogue national ». La ficelle étant un peu grosse, aucun gros poisson n’a mordu à l’hameçon.
Transition-bis ?
Pour le moment, Joseph Kabila a pu s’entretenir avec les chefs religieux et quelques leaders politiques de second plan. Sans surprise, le Cardinal Laurent Monsengwo, très critique sur la présidence Kabila, a exigé « qu’on ne déborde pas sur les délais constitutionnels ». Des partis d’opposition plus « modestes » comme le PT de Steve Mbikayi, le RCD de Ruberwa ou Clément Kanku, prônent également « le respect de la Constitution », « un calendrier électoral consensuel », mais aussi « le report de certaines élections ». Même son de cloche de Ne Muamda Nsemi, député de « Congo Pax » (ex-Bundu dia Kongo), qui en a profité pour qualifier de « travail bâclé », le calendrier de la CENI. Avant de déclarer que « ces problèmes doivent d’abord être réglés avant d’aller aux élections. Peu importe le délai que ça pourra prendre ». En écoutant Ne Muamda Nsemi, on se demande en fait, si ce n’est pas cela que voulait entendre Joseph Kabila : un calendrier irréaliste que personne ne veut et dont la faute reposerait uniquement sur la CENI. Des prétextes qui amèneraient le président Kabila à repousser le calendrier électoral et ouvrirait la porte à une période de transition politique. Ce « glissement » conduirait alors Joseph Kabila « hors-mandat », et lui permettrait alors de se représenter à la prochaine élection présidentielle, la période de transition « remettant les compteurs à zéro ».
Avertissement américain
On peut dire qu’avec cet appel au dialogue national, le président Kabila ne baisse pas les bras sur la possibilité de se maintenait au pouvoir après 2016. Peut-être finira-t-il par plier et par désigner un « dauphin » pour porter les couleurs de sa majorité politique, mais pour le moment, on en est encore loin, comme le montre ce dernier rappel à l’ordre de Tom Malinowski, secrétaire d’État américain adjoint à la Démocratie et aux droits de l’Homme. Pour ce haut responsable US, « le dialogue devrait uniquement être concentré sur les problèmes électoraux et ne pas servir de prétexte pour retarder les élections ». Et de conclure, faisant allusion à la crise burundaise : « la limite des mandats est bonne pour la démocratie et la stabilité ». Le message est clair."
"Kabila se concerte avec Monsengwo : Le jeu du chat et de la souris -
Germain Nzinga Makitu
° http://desc-wondo.org/kabila-se-concerte-avec-monsengwo/#sthash.z6VFmTIs.dpuf
La rencontre de Joseph Kabila avec l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo Pasinya du mardi 2 juin 2015 a fait couler beaucoup d’encre et de salive. Une très large couverture médiatique a été réservée à cet événement qui s’inscrivait dans le cadre des concertations nationales que le président congolais a initiées avec les différentes couches sociales. Au-delà des images et des discours de bonnes intentions, il sied à tout chercheur sérieux de comprendre les non-dits, les mobiles secrets qui guident de part et d’autre les deux poids lourds de la scène nationale congolaise (Kabila et Monsengwo) à pouvoir se rencontrer en dépit de la haine qu’ils se vouent l’un à l’autre. Les lignes qui suivent s’emploieront à aller derrière le décor de l’événement pour déceler le jeu du chat et de la souris et appréhender les vérités invisibles que cachent les images et les discours protocolaires qui ont défilé à la télévision nationale. L’important, c’est de comprendre quels sont les intérêts des protagonistes de ce face à face soit dans l’acte de sollicitation de l’autre partenaire à une rencontre (Joseph Kabila) soit dans l’acceptation de répondre positivement à ladite sollicitation (Laurent Monsengwo).(...)"
"Après la Monusco : l’UDPS et sa «feuille de route» à l’UE]
° http://www.lephareonline.net/apres-la-monusco-ludps-et-sa-feuille-de-route-a-lue/
Après en avoir discuté avec le staff de la Monusco le mardi 02 juin 2015, l’état-major politique de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) est allé défendre sa « feuille de route » le samedi 06 juin auprès de la représentation de l’Union Européenne à Kinshasa. Pour ce faire, le banc du parti d’Etienne Tshisekedi était composé de Bruno Mavungu (Secrétaire général), Bruno Tshibala (Secrétaire général adjoint charge des questions politiques et juridiques, porte-parole) et Joseph Kapika, Secrétaire national chargé des Finances. Il convient de signaler que Félix Tshisekedi (Secrétaire national aux Relations Extérieures), parti représenter l’UDPS au Congrès du Parti Socialiste en France, était absent au rendez-vous. Du côté de l’Union Européenne, il y avait Michel Dumont, son représentant résident, assisté de ses proches collaborateurs.(...)"
"Pistes et voies de règlement pacifique des crises:Un Kabiliste plaide pour un dialogue vraiment inclusif
° http://latempete.info/pistes-et-voies-de-reglement-pacifique-des-crisesun-kabiliste-plaide-pour-un-dialogue-vraiment-inclusif/
Différent des concertations nationales de triste mémoire, ce forum doit être représentatif et aborder les points cruciaux en vue d’un nouvel ordre politique et de l’organisation des élections démocratiques et transparentes
Sénateur honoraire de son état, Crispin Kabasele Tshimanga est un Kabiliste qui n’est plus à présenter depuis qu’il est à la tête du parti politique dénommé Union des démocrates socialistes, UDS en sigle.
A travers une déclaration politique du comité directeur de sa formation politique rendue publique le samedi 6 mai, il demande au Président Joseph Kabila » de bien vouloir tout mettre en œuvre, en sa qualité de Garant de l’unité nationale et de la cohésion nationale, pour que le dialogue national soit réellement inclusif et rassemble les représentants de différentes couches de la population congolaise dans sa riche diversité « .(...)"
"Dialogue national en RDC : appel à prendre en compte les questions sécuritaires
° http://www.jeuneafrique.com/actu/20150608T161230Z20150608T161201Z/dialogue-national-en-rdc-appel-prendre-en-compte-les-questions-s-curitaires.html
Le dialogue national prôné par le président congolais Joseph Kabila afin d'assurer des élections apaisées en République démocratique du Congo devra se pencher sur les questions sécuritaires dans l'est du pays, ont déclaré lundi à Kinshasa des représentants de cette région.
"La sécurité de l'ensemble du processus électoral de 2015-2016 dépendra des réponses données aux défis sécuritaires dans l'Est, notamment à Beni", a déclaré Teddy Kataliko, président de l'ONG Société civile du territoire de Beni, lors d'une conférence de presse.(...)"
"UN BÉMOL À LA CROISADE AMÉRICAINE
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4383
"Dialogue et respect du délai constitutionnel:Washington soutient la Cenco et Mgr Monsengwo
° http://latempete.info/dialogue-et-respect-du-delai-constitutionnelwashington-soutient-la-cenco-et-mgr-monsengwo/
"Soutenant la tenue d’un dialogue : RD Congo, les Etats-Unis mettent en garde contre tout glissement !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6677&rubrique=NATION
"Washington réaffirme son opposition au glissement en Afrique !
° http://www.lephareonline.net/washington-reaffirme-son-opposition-au-glissement-en-afrique/
"LEÇONS DU PREDIALOGUE DE HONORIUS KISIMBA NGOY ET LES CHANCES DE REUSSITE DU DIALOGUE
QUE LES CONGOLAISES ET CONGOLAIS QUI PARTICIPERONT À CE DIALOGUE FASSENT PREUVE DE NATIONALISME ET DE DÉPASSEMENT
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4388
"DIALOGUE : PROF. MUYIMA NDJOKO OSÉE SONNE LA TROMPETTE
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4391
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4384
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
RECU HIER PAR KABILA AU PALAIS DE LA NATION Kengo : « Il n’y a pas d’argent pour organiser toutes les élections »
http://www.hot243.com/2015/06/recu-hier-par-kabila/
http://www.hot243.com/2015/06/recu-hier-par-kabila/
djino
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
djino a écrit:
Cher Compatriote Ally Ntumba,
Je viens d'écouter votre analyse et si vous permettez...
Quels amalgames à la fin, quelles approximations d'analyses et quelles conclusions vite satisfaites bombardées à la cantonade !
Oui selon moi , vous vous acharnez à tirer des faits souvent pertinents une interprétation toujours linéaire sinon trop orientée !!!
Les bons sentiments y compris votre légitime(!) allégeance à Ya Tshistshi, nous le savons tous, n'ont jamais suffi à faire ou à juger d'une bonne politique au point que beaucoup parfois emportés par leurs sympathies idéologiques, si légitimes et justes soient-elles et par une capacité d'expertise trop satisfaite, sont vite pris au piège de la manipulation tendue expresse pour dérouter la bonne intelligence de la situation pourvu que leur observation épouse cette propagande !
En effet qui de nos hommes politiques et parmi nous citoyens juges que nous sommes, sauf extrême trahison visible à la face du visage, ce qui n'est pas toujours donné, est exempt de tout impair, a toujours eu raison et au contraire l'autre toujours tort ? Surtout si notre appréciation se base non sur ce que fait réellement l'un ou l'autre mais sur ce qu'il est si pas à partir de ce qu'on croit qu'il est ?
Pas la peine de détailler les paroles et actes des uns et des autres même à partir de vos avis, ils sont connus et nous voilà ainsi ici comme dans une Tour de Babel dans laquelle plus nous nous parlons encore moins nous nous comprenons et pourtant le principe et les voies et moyens d'un bon dialogue, celui que tous les Congolais attendent càd celui qui peut baliser des élections crédibles et apaisées ne devraient souffrir d'autant d'incompréhension !
Qu'en est-il ?
L'exigence constitutionnelle est que "JK" ne se représente pas après ses deux mandats présidentiels de 5 ans (et en tout 15 ans de présence à la tête du pays) et que les prochains scrutins présidentiel et législatifs aient lieu fin 2016 ?
Est-ce cela d'après vous qu'il veut réellement promouvoir dans son dialogue ? Certains en doutent et appréhendent un possible marché de dupes et vous vous précipitez à dénier à ces derniers leur à-propos mais tout à applaudir "JK" et le camp du oui ! Quel dangereux parti-pris !
Par un pragmatisme tout patriotique, perso, quoi que les "nonistes" l'aient consigné noir sur blanc dans leurs feuilles de route et mémorandums, quoi que de leur part, "chat échaudé craint l'eau froide", ils craignent légitimement des possibles manipulations de dernière minute dans un face à face, j'irais quand même jusqu'à leur conseiller d'aller aux fumeuses Consultations signifier de vive voix à l'initiateur du non moins fumeux dialogue leurs préoccupations ! C'est dire mon souci comme le vôtre, Mr Ntumba et comme celui de tous les Congolais d'éviter de mauvaises élections qui risquer de nous faire aller tout droit encore dans le mur !
Revenons à l'essentiel : quelles sont les modalités d'une bonne élection ? Elles sont connues de tous et exposées partout... Ceux qui sont réservés sur ce dialogue à l'UDPS, MLC, UNC et toutes les autres forces alliées mais aussi chez certains de la Majorité, sont d'accord sur des préalables et accompagnements essentiels ! Ce sont le respect des délais constitutionnels, la réactualisation d'un fichier électoral (écoutez à cet effet le diagnostic et propositions qu'en fait Badibanga) qui notamment devrait comprendre l'enrôlement des nouveaux majeurs, un calendrier allégé et moins coûteux qui postpose à après 2016 les laborieuses élections électorales, l'adoption de nouvelles lois parlementaires en accord, la matérialisation de "la réconciliation, la tolérance et la démocratisation" par la libération des prisonniers politiques et des médias opposants et ainsi que par la neutralité des forces de l'ordre et des services de renseignements, une redéfinition représentative des circonscriptions électorales, l'acquisition et la mise à disponibilité de tous les outils nécessaires au juste et bon déroulement du scrutin et enfin une restructuration de la Ceni de façon à la rendre plus républicaine et moins soumise aux oukases du régime...
Qui veut-on alors manipuler en proclamant, comme vous le faites et certains avec vous que ceux qui refusent le dialogue initié par "JK" seraient contre le seul bon dialogue dont l'objet devrait de rendre possibles les conditions énoncées ci-dessus ?
Par quel effet d'envoûtement ou par quelle ignorance crasse coupable peut-on prétendre que ceux qui disent ici "non" au dialogue de "JK" ne seraient pas préoccupés par l'ordre et la stabilité après ce scrutin ? Où avez-vous vu, entendu ou lu une telle intention de leur part ?
Mutatis mutandi si "JK" accepte cet objet de dialogue consacré exclusivement à la question électorale pourquoi s'acharne-t-il alors à en réinventer un autre à sa sauce alors que via la Ceni et autres organes d'accompagnement et de conseil, il serait totalement opérationnel d'ores et déjà, tous les protagonistes ayant déjà fait part de leurs observations ? Ne serait-ce pas alors parce qu'il veut s'en approprier la conduite pour y défendre à sa façon l'arbitraire et l'illégitimité dont on l'accuse et qui est justement l'étiologie principale de notre crise ?
Non, cher Compatriote, soyez plus vigilant, prenez garde que votre bonne volonté ne vous joue des tours, vous fasse prendre au piège des manœuvres dilatoires du régime ! Ça n'en demeurera pas moins une naïveté coupable et un grave déficit d'expertise ! Vous n'avez pas le droit d'amalgamer à ce point les faits, de transformer par un tour de passe passe inacceptable le pompier pyromane et machiavélique manœuvrier qu'est aussi "JK" en un homme de paix innocent et inoffensif, en un gestionnaire responsable !
Ça se saurait depuis qu'il est là car il a bien un passé, un bilan affreux dont il doit rendre compte au pays ! C'est celui qui fait légitimement douter ses contradicteurs ; ne renversons pas les rôles en nous forçant de prendre un mirage pour la mer !
C'est d'abord à lui à prouver qu'il veut réellement changer sa gouvernance et pas à culpabiliser trop rapidement ses divers contradicteurs, Udps ou pas !
C'est cela contrairement à vos certitudes qui fait légitimement douter plus d'un du dialogue tel que proposé par "JK" !!!
Voilà mon pauvre avis sur vos proclamations !
- Code:
"Le pessimiste se plaint du vent, l'optimiste espère qu'il change, le réaliste ajuste ses voiles !”
“Etre ignorant de son ignorance est la maladie de l'ignorant.”
"Je hais le vice et le crime. Mais, en regard de la naïveté, je crois que je préfère encore le vice et le crime."
"La soumission obtuse n'est pas vertu mais démission."
"C'est toujours sur une démission collective que les tyrans fondent leur puissance."
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Dernière édition par ndonzwau le 10/6/2015, 3:08 am, édité 1 fois (Raison : ")
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"(...)Dialogue et processus électoral
ACP nous tient au courant de l’agenda des consultations. « Les délégations de l’opposition républicaine, de la Société civile et du regroupement des femmes reçues par le Chef de l’Etat » Les concertations des représentants des forces vives de la Nation, initiées par le Président Joseph Kabila, se sont poursuivies lundi au Palais de la Nation, avec les délégations de l’Opposition républicaine, de la Société civile et du Regroupement des femmes conduites respectivement par Léon Kengo Wa Dondo, Cathy Kalanga et Elysée Minembwe.
Forum des As titre « Reçu hier par le chef de l’Etat au Palais de la nation, Kengo : Il n’y a pas d’argent pour organiser toutes les élections » (° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4396 )
Il indique que le chef de file de l’Opposition Républicaine soutient le dialogue, et que les élections prévues en 2015 en RD Congo pourraient connaître un léger report de calendrier. Non pas à cause d’une absence de volonté politique. Plutôt, faute de moyens financiers nécessaires. C’est ce qu’a déclaré hier lundi le 8 juin, Léon Kengo Wa Dondo, au sortir d’un entretien de plusieurs dizaines de minutes avec le Président de la République Joseph Kabila.
La Prospérité titre« Dialogue national : Clément Kanku exige un maximum de garde-fous contre le glissement » (° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6679 ) Au nom de son parti le Mouvement pour le Renouveau, Clément Kanku Bukasa a réagi positivement à la prise de position des Etats-Unis relative au dialogue politique qui va, bientôt, se dérouler à Kinshasa entre le pouvoir, l’opposition et les acteurs de la société civile. Selon cette dernière, les USA circonscrivent les discussions au seul processus électoral et qu’il n’est pas question de cautionner une quelconque prolongation des mandats. Pour Clément Kanku, la position américaine vient en soutien au MR qui invite tous les opposants au dialogue, pourvu qu’ils signent tous un document contre toute tentative de glissement des mandats.
Mais La Prospérité relaie aussi le point de vue exprimé lundi à Kinshasa devant un grand nombre des journalistes de la presse tant locale qu’étrangère, par le ministre Lambert Mende au sujet du dialogue prôné par le chef de l’Etat : ’’Les Congolais sont capables de se parler entre eux, sans médiation étrangère, remuant le doigt dans la plaie afin de déceler les erreurs dont on se serait rendu coupable et pour lesquelles, l’on n’arrive toujours pas à s’accorder les violons voici de décennies durant’’. Il n’a pas caché son indignation face à l’exigence d’une certaine Opposition congolaise, de ne participer à un dialogue que si le représentant du Secrétaire général des Nations unies à Kinshasa en assurait le leadership.
L’Avenir titre en manchette « Lambert Mende Omalanga : le dialogue passe par-dessus tout ».
En effet, face à la presse hier, le ministre des Médias et communication, porte-parole du gouvernement, a brandi le dialogue comme le seul instrument, qui passe par-dessus tout, aux réels maux qui rongent la République. Lambert Mende, qui a appelé les acteurs politiques à aller aux consultations qui précèdent le dialogue initié par le Chef de l’Etat, a affirmé qu’il n’y a qu’en se parlant qu’on va trouver des solutions aux problèmes de la république, et que les Congolais sont la clé à leurs propres problèmes et non toujours passer par des intermédiaires étrangers.
(A force de taper sur les « étrangers », Lambert Mende finira par faire passer les Congolais pour un peuple xénophobe ! En réalité, ce n’est pas leur caractère « étranger » qui le dérange, mais leur neutralité. Accepter que la convocation, la modération, la coordination… ou quelque nom qu’on puisse donner à la chose, que le contrôle, enfin, d’un éventuel « dialogue » puisse être confié à quelqu’un sur qui la RDC a peu de prise, c’est aller vers un dialogue qui n’entérinera pas la légitimité du pouvoir actuel. Il faut rappeler que les élections de novembre-décembre 2011 ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant.(...) ,NdlR)(...)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=201886&Actualiteit=selected
Notre Kengo National nous sort victorieux son diagnostic cinglant : "Il n’y a pas d’argent pour organiser toutes les élections"... Et tout aussi satisfait son traitement imparable : il nous faut un "dialogue" pour résoudre le problème !
On est où là ? Président du Sénat, se croit-il toujours spectateur opportuniste ou n'est-il pas quelque part comptable avec ce pouvoir avec qui il gouverne et qui nous pond un calendrier électoral qu'il n'a aucune capacité financière d'honorer ou voulait-t-il s'en tirer subrepticement pour donner des raisons de rester éternellement à la tête du Sénat ?
En quoi le dialogue peut-il pallier à une planification gouvernementale absente sinon par des feuilles de bananes sur une plaie gangrenée en attente d'amputation ou pire ?
Veut-il dire éternellement adieu aux élections pour des règnes à vie ou devrons-nous saucissonner les scrutins pour alléger leur poids financier ?
C'est exactement une des propositions des contradicteurs qui a été repoussée par la Ceni donc par ce régime! Marché de dupes s'il y'en a pour pérenniser l'enfer de notre pays et de ses populations au profit d'une classe régnant par défi : voilà où le dialogue version kanambiste veut nous conduire, voilà ce que l'opportuniste et rusé Kengo veut entériner au travers de ses prétendus grands principes !
Plus complice avec le pouvoir que parlant au nom de la Nation, ne soyons pas trop naïfs...
Lambert Mende, "appelle les acteurs politiques à aller aux consultations qui précèdent le dialogue initié par le Chef de l’Etat et affirme qu’il n’y a qu’en se parlant qu’on va trouver des solutions aux problèmes de la république, et que les Congolais sont la clé à leurs propres problèmes et non toujours passer par des intermédiaires étrangers."
De qui se moque-t-il ce clown, plus mollusque qu'il se croit vertébré ?
De quoi subsiste le Congo de son Gouvernement ?
Malgré ses proclamations souverainistes tout Congolais un peu avisé fier de sa souveraineté soit-il sait que ce sont là des paroles en l'air car tous nos domaines régaliens qui sont donc du ressort de notre Etat, sont largement assurés par "cet étranger" qu'il veut verbalement brocarder ignorant que la main qui donne a toujours quelque légitimité et quelque capacité à imposer aussi...
Ailleurs, c'est bien de retrouver l'intérêt du dialogue entre nous mais où était-il depuis que son pouvoir règne par l'arbitraire, le musellement de ces citoyens et d'abord pourquoi le reconnait-il aujourd'hui si ce n'est pour reconnaître sans pouvoir l'assumer qu'il avait fait défaut dans le passé ?
Personne n'en est vraiment dupe : tous les Congolais sont pour un réel dialogue qui puisse nous réconcilier mais celui-ci suppose d'abord de son bon objet qui au delà de la question électorale incessante devra rendre compte du bilan du pouvoir que les élections crédibles vont exactement sanctionner !
Ne nous laissons pas abuser; la préparation de celles-ci est le seul objet qui vaille pour nous mettre vraiment à table, prétendre à en finir avec la querelle de légitimité par le simple dialogue à ce stade est un piège auquel par exemple l'Udps s'est laissée prendre mais en ait ne peut plus se résoudre à 16 mois de la fin du mandat par ce biais !
Si la question électorale est aussi la préoccupation de Mende et de son administration, chiche qu'ils acceptent d'abord de répondre aux doléances du peuple à travers les observations de ses réels contradicteurs prêtes à la Ceni et ailleurs et on verra la suite !
En ayant à l'esprit qu'une Ceni responsable et indépendante suffit à cette discussion, toute autre manœuvre risquant fort de n'être qu'une ruse pour tenter d'échapper aux responsabilités, de dénaturer ainsi tout dialogue et de nous replonger dans le chaos de la médiocrité et de la perversité qui nous sont devenues mortellement coutumières !
A bon entendeur...
- Code:
"Ce qu'on appelle stratégie consiste essentiellement à passer les rivières sur des ponts et à franchir les montagnes par les cols."
"Bon renard ne se prend pas deux fois au même piège."
"Il n’y a pas plus malin que le renard, et pourtant les marchés regorgent de sa peau."
"N'oubliez pas que celui qui est assez malin pour vous rendre la liberté le sera aussi pour vous asservir."
Compatriotiquement!
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"ET LE CONGO PROFOND DANS TOUT ÇA ?
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4402
Voici une dizaine de jours que le Raïs reçoit du monde. Du beau monde même. Tout le gotha kinois ou presque. Toutes loges confondues. Normal parce qu’il s’agit des consultations nationales ! Nationales vraiment ? Pas tout à fait.
Manquent encore à l’appel les forces vives de l’intérieur du pays. Ce pays profond ou réel que Kinshasa ne saurait prétendre représenter. Tant ce pays-continent est pluriel et ses réalités forcément complexes.
Comment tâter les pouls de " l’arrière-pays " si l’on ne se contente que de la devanture qu’est la capitale ? Quelle est l’opinion du congolais habitant le Grand Nord en proie au terrorisme des ADF/NALU ? Peut-être pas seulement.
Plus généralement, comment les compatriotes de l’Est appréhendent-ils le processus électoral dans un contexte où la paix, encore fragile, peut à tout moment être remise en question ? On peut multiplier les questions à l’infini par rapport à tel ou tel autre coin de ce vaste pays.
Kinshasa n’est pas le Zaïre aimait à dire feu le Président Mobutu. Il avait mille fois raison. Près de vingt ans après la disparition du Maréchal, ce constat n’a pas pris la moindre ride. Dans bien des circonstances, la tendance est à considérer, à tort, l’opinion kinoise comme l’exact reflet de l’opinion nationale.
Certes, Kinshasa est le siège des institutions nationales. Il est vrai aussi que l’on trouve dans la mégapole congolaise quasiment toutes les ethnies du pays. Mais, c’est à oublier que, dans la plupart des cas, il s’agit des originaires de telle ou telle province qui vivent depuis des lustres dans la capitale. Et qui sont devenus Kinois !
Nombre d’entre eux sont même coupés de réalités de leur milieu d’origine. Même dans l’univers très respectable des chefs coutumiers, il en est, hélas, qui ont pris leurs quartiers …à Kinshasa.
Trêve de procès d’intention par rapport aux consultations voulues nationales. Les portes du Palais ne se sont pas encore refermées. Tout comme le Président pourrait faire l’itinérance pour écouter, cette fois- ci, les représentants du Congo profond. Kinshasa n’étant pas la RDC."
"Enlisement !
° http://www.laprosperiteonline.com/index.php/rasoir/1107-enlisement
A quand notre tour pour être consulté ? Que dirons-nous après que tant d’autres aient été consultés par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila ? Ce sont là des questions qui taraudent l’esprit de ceux-là qui attendent leur tour. Ils sont encore nombreux, semble-t-il, parce qu’aucune liste n’est connue au finish. Déjà, d’autres organisations et personnalités s’activent, pour tenter de s’inviter à la fête, si pas de forcer la main pour y être conviées. Ce n’est qu’une observation. Pour plus précis qu’on puisse l’être, il y a, depuis le début des consultations, quelques grandes idées recensées, parce qu’elles reviennent du bout des lèvres de tous ceux qui défilent au Palais de la nation. Les prendre en ordre épars, il y a la nécessité d’organiser le dialogue. S’il est un groupe, non de moindre, qui reste en marge ou qui boude cette approche pour inopportunité, pour les autres, c’est la tenue du dialogue qui permettra de vider les questions qui divisent, entre autres, la tenue des élections notamment, la postposition d’autres échéances, le respect de la constitution, partant du délai constitutionnel, la non représentation de Kabila à la présidentielle 2016, la formation d’un éventuel gouvernement de transition, la question du glissement tant redouté, la libération des prisonniers politiques… A ces questions principales, d’autres questions, subsidiaires, viennent s’ajouter.
A les examiner de fond en comble, il se dégage qu’elles revêtent un caractère sectaire. Comme la demande de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS, qui estime pouvoir faire inscrire, sans être consultée, la question du contentieux électoral de 2011, suivi de la récupération de l’imperium. L’église catholique, par le biais de ses prélats, sollicitent l’ouverture de la chaîne de télévision RTCE. D’autres sont sur les dossiers de l’équilibre dans l’accès aux médias publics, d’autres encore sur la question de la médiation. Si le dialogue va se tenir sous l’égide de la communauté internationale et ce, conformément à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba. De cet éventail des matières, trois à quatre petites considérations. De un, c’est à quand la fin des consultations ? De deux, peut-on limiter le nombre des personnes ou organisations à consulter ? De trois, compte tenu des redites dans les propos des uns et des autres, n’y a-t-il pas lieu pour le Chef de l’Etat de lever l’option ? Voilà ce que les congolais attendent, présentement. Ce sera au cours d’une conférence de presse ou à l’occasion des festivités du 30 juin, dans son discours de circonstance ? En tout cas, personne ne sait entrer dans le secret du Raïs. Toujours est-il qu’au nom de son pouvoir discrétionnaire, il peut, après avoir ainsi recueilli les avis des uns et des autres, temporiser pour que la tension baisse ou, alors prendre à chaud le dossier et se prononcer. Quoi qu’il en soit, et encore que les consultations se poursuivent, c’est une sorte d’enlisement qui s’observe. C’est un fait."
"Elections et découpage : la MP campe sur ses positions
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12584:elections-et-decoupage-la-mp-campe-sur-ses-positions&catid=85:a-la-une&Itemid=472Chantage, pressions et menaces
Alors que la majorité des forces vives de la nation aux consultations demandent une modification du calendrier électoral, les poids lourds de la MP voguent à contre courant. Ils ne jurent que par le respect du calendrier global de la CENI et la mise en œuvre du découpage territorial. Faisant fi des problèmes de financement, la MP soutient que si le gouvernement a validé le calendrier de la CENI, c’est qu’il doit avoir les moyens de son organisation. Bref, la MP campe sur ses positions et n’entend pas bouger d’un seul iota. (...)"
"RDC: la majorité politique pour le dialogue et le calendrier électoral
° http://www.rfi.fr/afrique/20150610-rdc-majorite-politique-le-dialogue-le-calendrier-electoral/
[/b]
En RDC, le président Kabila poursuit ses consultations en vue d'un prochain dialogue. Mardi, il a discuté avec une délégation de la majorité conduite par Aubin Minaku, le secrétaire exécutif de cette famille politique également président de l'Assemblée nationale. La majorité est ouverte au dialogue prôné par le chef de l'Etat, et soutient le calendrier électoral global arrêté par la Commission électorale nationale indépendante (Céni).
La majorité est d’accord avec le dialogue selon les principes mis en place par le chef de l’Etat. Même si aucun accord n’a encore été trouvé en son sein concernant un éventuel troisième mandat du président Kabila, cette majorité affirme soutenir le calendrier électoral global publié par la Céni.
« Sur la question du calendrier électoral, le calendrier global, nous notons une fois de plus que c’est à la suite d’une demande pressante et insistante de l’opposition congolaise et de la société civile, que la Céni a eu à adopter un calendrier électoral. Nous soutenons ce calendrier électoral, tout en restant raisonnables, tout en contribuant afin qu’effectivement ce calendrier électoral soit respecté par tous », confirme Aubin Minaku.
Deux autres groupes politiques ont été reçus au palais de la Nation ce mardi : le MLC/Libéral, une dissidence du MLC qui est dirigé par le vice-Premier ministre, Thomas Luhaka, et l’opposition dite citoyenne de Justin Bitakwira, un transfuge de l’UNC de Vital Kamerhe. Ces deux groupes se sont inscrits dans la logique du dialogue."
"J+9 DES CONSULTATIONS AU PALAIS DE LA NATION
2015 : LA MP S’EN TIENT AU CALENDRIER DE LA CENI !
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4404
* Pour sa part, le MLC/L de Thomas Luhaka s’inscrit dans la logique d’une table ronde pour un chronogramme adapté aux nouveaux défis.
Les consultations du Palais de la Nation poursuivent leur bonhomme de chemin. Au neuvième jour de ces consultations, hier mardi le 9 juin, le Président Joseph Kabila s’est entretenu avec trois délégations. La première, celle de la Majorité présidentielle (MP), conduite par son Secrétaire général Aubin Minaku. Le second groupe a été celui du Mouvement de libération du Congo libéral (MLC/L), sous la conduite de Thomas Luhaka. Enfin, les délégués de l’Opposition citoyenne, une nouvelle plate-forme politique pilotée par « l’homme-proverbe », Justin Bitakwira.
« Nous de la Majorité présidentielle (MP), sommes prêts, derrière les Institutions de la République et l’autorité morale de la Majorité, Joseph Kabila, à dialoguer en tout temps dans le respect des principes mis en place par le chef de l’Etat », a déclaré Aubin Minaku, à l’issue d’un long entretien hier mardi le 9 juin, avec le Président Joseph Kabila au Palais de la Nation.
Aubin Minaku a été à la tête d’une forte délégation d’une quarantaine de dignitaires de la MP. Deux questions ont été au centre de cette audience qui a eu lieu en début de soirée. A savoir, le dialogue et le processus électoral. En ce qui concerne le calendrier électoral, la Majorité présidentielle, par la bouche de son Secrétaire général, fait quelque peu sa levée de bouclier. « Nous soutenons le calendrier électoral global rendu public par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), mais tout en restant raisonnables en y contribuant afin que ce chronogramme soit respecté par tous : les institutions de la République qui doivent soutenir la Ceni, la Ceni elle-même, les acteurs politiques ainsi que la population », a déclaré Aubin Minaku.
L’OPPOSITION PRISE DANS SON PROPRE PIEGE ?(...)"
"Chantage, pressions et menaces : Forcing pour un dialogue de façade
° http://latempete.info/chantage-pressions-et-menaces-forcing-pour-un-dialogue-de-facade/
Le front du refus de plus en plus poussé à intégrer la démarche du Forum projeté par la Majorité
Comme on peut le constater, le pays vit jusqu’à ce jour au rythme des consultations qui se poursuivent sans désemparer au Palais de la Nation, sous la haute main de Joseph Kabila.
Hier mardi 9 juin c’était au tour du bureau politique de la Majorité présidentielle d’être reçu par l’illustre leader politique, le peloton devant être bouclé incessamment par les ambassadeurs et Chef de missions diplomatiques accrédités en RD Congo !
Mais il y a lieu d’indiquer que ces consultations, qui sont appelées à préparer la tenue du dialogue politique inclusif, deviennent au fil des jours un moyen de chantage, un véhicule de pressions voire de menaces, dirigé contre les forces du changement pour les amener à s’y impliquer.
En effet, alors que la participation des formations politiques et des organisations de la société civile n’est pas obligatoire, une campagne médiatique systématique et décisive orchestrée par le pouvoir s’efforce de persuader le public au sujet d’une soi-disant incontournabilité de ce forum, dont la vocation serait de conférer la qualité de parti aux partis politiques, la qualité de politiciens aux leaders politiques et la qualité de leader aux leaders des organisations de la société civile.
Erreur n’est pas compte !
La même campagne, qui véhicule des idées reçues contre les états étrangers qui coopèrent étroitement avec la RDC dans différents domaines, veut faire croire à la Nation que l’absence de leader de forces de changement au dialogue voulu par Joseph Kabila enlèvera à ces derniers leur honneur, leur dignité, leur crédibilité et leur ascendant moral dans leurs milieux habituels respectifs de vie, au point de les rendre inéligibles lors de la tenue des élections majeures jumelées du 27 novembre 2016.
Enfin, la campagne médiatique battue tous azimuts actuellement pour faire changer d’avis aux leaders des forces du changement en rapport avec le dialogue politique projeté, s’efforce de faire croire à l’opinion nationale que ces derniers ont lourdement péché en partageant le point de vue exprimé par le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique, qui estime que la Constitution du pays doit être scrupuleusement respecté dans son esprit et sa lettre et que l’époque des Chefs d’Etats à vie est définitivement révolue !
Erreur n’est pas compte. Les forces du statu quo, qui ont cru que les pressions et menaces contre les forces du changement pour les amener à s’impliquer, ont fait fausse route, car le front du refus constitué par les forces du changement est considéré de par le monde (et à juste titre) comme une forme originale d’expression démocratique.
Il y a également erreur lorsqu’on s’ingénie à faire croire à l’opinion nationale que le dialogue politique inclusif, » made by » Kabila, ne sera pas une panacée, encore moins une blanchisserie pour les barons de la Majorité présidentielle et autres mandataires de l’Etat, qui se seront compromis dans l’exercice de leur mandat avant le 27 novembre 2016 !"
"Financement des élections, Aubin Minaku : ‘‘la volonté politique est là, le reste c’est le travail du Gouvernement’’
° http://www.laprosperiteonline.com/index.php/2015-02-10-09-20-43/politique/1110-financement-des-elections-aubin-minaku-la-volonte-politique-est-la-le-reste-c-est-le-travail-du-gouvernement
Les consultations présidentielles continuent leur cours au Palais de la Nation. Le mardi 8 juin 2015, le Président de la République a reçu, tour à tour, le Bureau politique de la Majorité présidentielle, le Mouvement de Libération du Congo/Libéral et une délégation de l’Opposition citoyenne. Toutes les délégations ont échangé avec Joseph Kabila sur deux points essentiels, hormis quelques cas spécifiques. Il s’agit du processus électoral et le dialogue. S’agissant du calendrier électoral, la Majorité présidentielle, par la voix de son Secrétaire Exécutif, Aubin Minaku, soutient qu’il y a eu une demande pressante et insistante de l’Opposition congolaise et de la Société civile. Tenant compte de ces exigences, la Commission Electorale Nationale Indépendante a mis en place un calendrier électoral global que nous soutenons.(...)"
"Minaku, Matata, Kyungu, Mova, Mwando, Lumbi … hier chez Kabila
(Le Phare Online 10/06/15)
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/minaku-matata-kyungu-mova-mwando-lumbi-hier-chez-kabila#sthash.pQiwmFRQ.dpuf
"PROCESSUS ÉLECTORAL : LES RÉSERVES DE KENGO
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12573:processus-electoral-les-reserves-de-kengo&catid=85:a-la-une&Itemid=472
Au Palais de la nation, le chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, poursuit les consultations en vue d’un dialogue politique. Hier lundi, parmi les hôtes du président de la République, il y avait Léon Kengo wa Dondo, en sa double casquette de président du Sénat et de chef de file de l’opposition républicaine. Si Léon Kengo adhère finalement au principe du dialogue, il a exprimé de sérieuses réserves sur la capacité de la CENI à réunir des fonds nécessaires pour couvrir tout le cycle électoral. Ce qui n’a pas laissé indifférent le chef de l’Etat. Ce mardi, Léon Kengo devra transmettre un note technique au chef de l’Etat pour contourner cette impasse.(...)"
"Consultations : Kabila va bientôt trancher !
° http://www.laprosperiteonline.com/index.php/2015-02-10-09-20-43/politique/1113-consultations-kabila-va-bientot-trancher
*C’est le tour des patrons de presse de rencontrer, ce mercredi 10 juin, le Président Joseph Kabila dans le cadre des consultations nationales. Le Palais de la Nation ne désemplit pas depuis plus d’une semaine. Les églises, les mouvements associatifs et politiciens y défilent à longueur de journée. Après 9 jours de contact direct avec ses invités, Joseph Kabila doit, en principe, s’être fait une idée précise de ce que veulent les Congolais. Même si on peut trouver à redire sur l’échantillon, pas très représentatif, des personnes jusque-là consultées, l’essentiel a déjà été dit.
Evidemment que le public suit, jour après jour, par médias interposés, le condensé des audiences du Président de la République. Dès le premier jour, c’est-à-dire, le 1er juin, Mgr Marini Bodho, de l’Eglise du Christ au Congo, demandait au Chef de l’Etat de lever une option à l’issue des consultations sans passer, forcément, par un dialogue structuré du genre Sun City ou CNS.(...)"
"RDC: l’opposition républicaine veut inverser le calendrier électoral"
° http://www.rfi.fr/afrique/20150609-rdc-opposition-republicaine-veut-une-inversion-calendrier-electoral/
"Difficultés de financement des élections: la raison d’aller droit à l’essentiel
° http://latempete.info/difficultes-de-financement-des-elections-la-raison-daller-droit-a-lessentiel/
Nombreux sont ceux qui avertissent sur le risque de ne pas organiser l’ensemble du cycle électoral 2015-2016 pour raison de budget insuffisant, une des contraintes déjà relevée par la CENI
Organiser l’ensemble du cycle électoral 2015-2016 paraît de plus en plus difficile au regard des moyens financiers que les échéances électorales en cours exigent. De nombreux experts en matière électorale et des opérateurs politiques ont relevé ces difficultés de financements des élections.
Ils ont aussi relevé le caractère trop serré du calendrier électoral global publié en février dernier par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
Ainsi, face à ces difficultés de financements des élections, des voix s’élèvent pour dire que c’est la raison d’aller à l’essentiel. Les propositions vont, une fois de plus, dans le sens de se passer des élections urbaines, municipales et locales pour privilégier les provinciales, les législatives nationales et la présidentielle.
Problèmes de finances
L’objectif est de résoudre les difficultés financières pour organiser l’ensemble du cycle. Surtout quand on sait que la CENI, dans ses 27 contraintes, a relevé les problèmes de finances que le gouvernement devrait résoudre dans le meilleur délai,afin d’éviter un éventuel blocage de la structure chargée de l’organisation des élections dans le pays.
Des difficultés financières que le président du Sénat, Léon KengowaDondo, a expliquées au chef de l’Etat, Joseph Kabila, au cours de leur rencontre de lundi dans le cadre des consultations présidentielles en cours pour la perspective d’un « Dialogue » dans le pays.
Le président du Sénat a soutenu avoir dit au Président de la République que « les élections exigent beaucoup d’argent. Dans le budget 2015, les ressources allouées aux élections ne sont pas suffisantes « . Il a aussi déclaré : « Où allons-nous trouver cet argent pour organiser les élections locales, municipales, provinciales, des gouverneurs et sénatoriales cette année ».
Différence entre Concertations nationales et Dialogue
Il faut relever que Léon Kengo a été reçu par Joseph Kabila grâceà sa casquette d’autorité morale de la plateforme « Opposition républicaine », qui avait pris part aux Concertations nationales de 2013.
Il a explicité sur la différence entre les Concertations nationales et le Dialogue initié par le Président de la République. Ainsi, pour l’autorité morale de l’Opposition républicaine, « les Concertations nationales ont produit plus de 700 recommandations alors quepar le Dialogue, le président de la République voudrait consulter toute la classe politique et sociale sur l’organisation des élections de manière apaisée »."
"Consultations : controverse au sein de la Société civile"
° http://latempete.info/consultations-controverse-au-sein-de-la-societe-civile/
"DIALOGUE : KABILA ET TSHISEKEDI APPELÉS À S’ACCORDER SUR L’ESSENTIEL"
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4405
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=201887&Actualiteit=selected
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"Le calendrier global de la CENI est totalement obsolète
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9986
Martin Fayulu Madidi
‘’Dialogue ou pas, la CENI exécute son calendrier’’ ! C’est l’intitulé de l’article de Monsieur Dorcas Nsomue, publié dans le journal le ‘’Phare’’ du 03 juin 2015, rapportant les propos de Monsieur Jean-Pierre Kalamba, Rapporteur de la CENI, lors de sa conférence de presse du mardi 02 juin 2015.
A la lecture de cet article, non sans pincement au cœur, nous nous sommes posé deux questions, à savoir : Jusques à quand prendra-t-on les Congolais pour des idiots et de quel calendrier Monsieur Kalamba parle-t-il ?
Nous voudrions affirmer ici que la CENI, à ce jour, ne respecte pas son calendrier qui, du reste, a été qualifié par plusieurs observateurs d’incohérent. Plusieurs activités prévues avant la fin du mois de mai 2015 n’ont jamais été réalisées. La CENI navigue donc à vue et va tout droit vers l’inconnu.
En effet, lorsque le 12 février 2015, la CENI avait publié son calendrier formellement global, et apparemment respectueux de délais constitutionnels, l’Opposition congolaise avait, dans sa déclaration du 27 février 2015, relevé le fait que le calendrier de la CENI était inconstitutionnel en ce qu’il violait l’article 5 de la Constitution et qu’il était intentionnellement surchargé afin de le rendre irréaliste, hypothétique, onéreux et aléatoire.
Il apparaissait donc clairement que la finalité de la démarche de la CENI était de bloquer la machine pour obtenir un glissement au-delà de 2016 en faveur de Monsieur Kabila.
Toutefois, l’Opposition avait décelé un acquis important qui ressortait de ce calendrier, celui de la confirmation du principe de l’intangibilité de l’article 220 de la Constitution grâce à l’assurance que le nouveau Président élu prêtera serment le 20 décembre 2016.
Réaffirmant qu’elle était prête pour aller aux élections, l’Opposition avait cependant refusé de s’engager tête baissée dans un processus gibbeux et biaisé, comme ce fût le cas en 2006 et en 2011.
Ainsi, dans un élan patriotique et animée par le souci d’un processus transparent et apaisé, elle avait entrepris d’apporter sa contribution en formulant une contre-proposition de calendrier qui consistait essentiellement à l’organisation des élections provinciales, des gouverneurs et vice-gouverneurs, des Sénateurs, prioritaires parce que suspendues au cours du cycle électoral 2011-2016 ainsi que des élections présidentielle et législatives, qui doivent obéir aux contraintes de la Constitution.
Toutes ces élections devraient être précédées de l’enrôlement de tous les électeurs afin de mettre à jour le fichier électoral.
Quant aux élections locales, municipales et urbaines qui sont beaucoup plus complexes, l’Opposition avait proposé de les postposer après 2016 pour une programmation plus rationnelle.
Le 03 mars 2015, l’Opposition avait déposé officiellement sa contre-proposition à la CENI et cette dernière avait promis une réponse formelle qui n’est jamais arrivée formellement.
Mais, c’est par voie de presse que nous avons obtenu des réponses à travers les propos de Messieurs Jean Pierre Kalamba et Apollinaire MaluMalu.
En effet après l’audience du 03 mars accordée à l’Opposition, le Rapporteur de la CENI a dit aux journalistes : ‘’Nous les avons reçus par civilisation…’’ ! Nous supposons qu’il voulait dire ‘’civilité’’.
Et l’Abbé MaluMalu, le 16 avril, revenu précipitamment au pays après trois mois d’absence déclarera : ‘’Ce n’est plus le moment de penser que la CENI va encore changer son calendrier. Nous allons tenir le calendrier. Il ne faut pas croire qu’il y aura une élection sacrifiée. Il n’y en aura pas. Nous allons organiser toutes les élections. Il n’y a aucun doute, on va vers les élections. S’il y a encore des personnes qui ne savent pas que le train des élections est en marche, et bien des signes avant-coureurs sont là. Nous avons tenu le pari qu’il n’y aura pas de changement de dates pour les candidatures ». Dont acte ! Nous demandons aujourd’hui à Monsieur MaluMalu de nous montrer ces signes avant-coureurs.
MaluMalu feignait néanmoins d’ignorer qu’à cette date-là, le 16 avril, les activités 4 à 10 prévues dans son calendrier global n’étaient toujours pas réalisées. Pourtant, en tant ‘’qu‘expert’’ en matière électorale, il doit bien savoir qu’une opération électorale est composée d’une série d’activités qui sont en interaction et s’influencent mutuellement.
Devant cette défiance caractérisée de la CENI et sa défaillance à répondre à la contre-proposition de l’Opposition, celle-ci est revenue à la charge en introduisant, le 27 avril auprès de la même CENI, un mémorandum contenant ses préoccupations, sous forme de préalables notamment celui de l’enrôlement des électeurs. L’Opposition s’était même vue obligée de donner un ultimatum de 48 heures à la CENI le 29 avril afin qu’elle réponde à ses préoccupations. Rien n’y est fait.
Soudain, l’opération de dépôt des candidatures pour les provinciales, qui devait prendre fin le 5 mai, a été prolongée à l’initiative de la CENI elle-même, jusqu’au 25 mai sur toute l’étendue de la RDC.
Puis, ayant réalisé le peu d’engouement que la population accordait à ce processus (25% seulement de remise de dossiers), la CENI conviera en catastrophe l’Opposition ainsi que la majorité à une réunion présidée via vidéo-conférence, le 25 mai par MaluMalu en personne pour, toute honte bue, négocier avec les acteurs politiques une deuxième prolongation de cette opération au 30 mai, contrairement à ses suffisances un mois plus tôt, sans mentionner l’incidence négative de cette prolongation sur les activités prévues du point 15 au point 18 de son calendrier.
A ce jour, toutes les activités liées aux élections urbaines, municipales et locales ont été carrément ‘’ajournées’ – dixit le Rapporteur de la CENI - en attendant l’adoption de la loi sur la répartition des sièges dont le projet a été presque rejeté par les députés lors de la séance plénière de l’Assemblée nationale du vendredi 5 juin courant. Le député Mayo Mambeke a même qualifié le projet de loi du Gouvernement de faux, d’inconstitutionnel et d’inopportun. Quel embarras pour le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur et Sécurité, porteur du projet !
Il y a deux choses intéressantes qu’il faut relever lors de la conférence-vidéo entre la classe politique et Monsieur MaluMalu en date du 25 mai :
La première c’est la demande expresse de Monsieur MaluMalu, pour le maintien du format de forum de discussions du 25 mai ainsi que la promesse ferme de discuter des préalables posés par l’Opposition à son retour au pays dans la semaine du 01 au 06 juin 2015.
La deuxième c’est la déclaration faite par le rapporteur de la CENI, pour qui ‘’la CENI ne pourrait revoir son calendrier que si les acteurs politiques de toutes les tendances se mettaient d’accord sur un document juridiquement valable et opposable à tous. Elle verra dans ce cas-là comment concilier son calendrier et celui que pourraient proposer les acteurs politiques’’ !
Qui croire maintenant ? Est-ce la personne qui a dit ‘’qu’il n’y aura pas de changement de dates pour le dépôt des candidatures aux provinciales’’ ou celui qui attend des acteurs politiques un ‘’document juridiquement valable et opposable à tous’’?
Le forum promis pour des discussions sur les préalables posés par l’Opposition peut encore attendre !
En définitive, Monsieur Kabila joue sur deux tableaux politiques : la CENI et le dialogue.
D’une part, c’est lui qui, d’après le Vice-président de la CENI, qui va ‘’convoquer les ministres clés du gouvernement pour échanger sur le financement des élections’’, alors que c’est la contrainte numéro 2 (actualisation du plan de décaissement des fonds pour les élections) qui devait être exécutée par le Gouvernement depuis le 22 février 2015. Allez y comprendre quelque chose !
D’autre part, c’est lui qui consulte. Et, il prend son temps en auscultant les horizons tout en reléguant certains problèmes cruciaux au second plan tels que l’enquête internationale sur le charnier de Maluku, les massacres et les tueries de Beni. Comment comprendre par ailleurs ce silence assourdissant sur le lauréat du prix Christophe Mérieux 2015, notre brave frère le Dr Jean-Jacques Muyembe qui a été récompensé pour ses travaux sur le virus Ebola ?
Seulement voilà, tout ce qui est fait contre le temps et la volonté du peuple est voué à l’échec et nous disons : les élections présidentielle et législatives doivent absolument se tenir le 27 novembre 2016 et la passation civilisée du pouvoir le 20 décembre 2016, conformément à la Constitution !
C’était le combat héroïque des Congolais qui avaient gagné les rues de Kinshasa et des villes de certaines provinces du pays dans la semaine du 19 au 25 janvier 2015. Certains sont morts, d’autres sont en prison et dans les hôpitaux, et d’autres encore garderont longtemps les stigmates de ce combat ! On ne peut pas accepter que leur sacrifice soit vain. Ça serait irresponsable et criminel !
Martin M. Fayulu
Député, Président de l’ECiDé et Coordonnateur des FAC"
Le "dialogue" tel que proposé par "JK" est un "marché de dupes" : il y cherche non à rassembler les Congolais autour d'un processus électoral consensuel et démocratique, non à éviter le chaos au pays mais d'abord à sauver sa peau coupable d'un bilan négatif en se donnant les moyens illégitimes et illégaux de le laver et ainsi permettre la pérennisation d'une façon ou d'une autre de son système !
N'importe lequel des Congolais le juge ou l'accepte ne doit oublier cette vérité sinon il se porterait complice d'un fossoyeur du pays !
Au contraire son refus de l'accepter comme tel est le seul acte patriotique qui vaille aujourd'hui !
Notre utile contribution à nous tous Congolais est dés lors de nous organiser pour rendre efficace ce refus, pour obtenir que ce pouvoir capitule forcé sur son projet sinistre !
- Code:
"Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire."
"L'essence même de la tromperie ne réside pas dans le mensonge que l'on profère, mais dans les vérités que l'on avance pour étayer le mensonge."
Notre défiance justifie la tromperie d’autrui."
"Notre cœur est engagé à fond dans la cause de la patrie, mais notre esprit doit rester vigilant et clair, prêt à juger."
"Rien n'est plus capable d'ôter tous les bons sentiments, que de marquer de la défiance."
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
..KENGO...PLUS MALIN QUE "KINDOLO"
Kengo continue de derouter et de..derouler sa machine: Pas d´argent pour les élections Une fois ..Troll disait que Malu Malu est le plus grand stratège..qui va enfoncer Kanambe..
Reliez les deux stratègies de Malu Malu et Kengo
Quand Malu Malu demandait 1 milliards $ l´autre face de cette demande est que les pays donateurs ...s´invitent au processus électoral et de ce fait, ces pays donateurs vont influencer non seulement le nombre des élections, mais aussi le nom du futur président du Congo
Mr JIM se rappele comment Mende se moquait des USA dont J Kerry avait dit explicitement qu´ils avaient quelques millions$ reservés pour les élections Les congolais s´attendaient á une somme enorme proche du milliard $ de Malu Malu...mais maintenant, ils se rendent compte que cette petite somme des USA est stratègique..quand la RDC ne possede même pas 25 % de l´argent qu´exige la CENI
Kengo est entrain de dire tout simplement: Acceptons l´argent des USA, acceptons aussi leur conditions..qui consistent á ne faire que "deux élections" (selon une resolution de l´ONU)
Malu Malu sejourne comme par hasard aux USA depuis qu´il a quitté l´Afrique du Sud et depuis, selon ceux de l´opposition il a changé son speech..et "negocie" maintenant avec ceux de l´ opposition par le canal d´un "dialogue"
CONGE
Nous allons reprendre nos activités vers fin juillet... Ne sous estimez pas Kengo
Kengo continue de derouter et de..derouler sa machine: Pas d´argent pour les élections Une fois ..Troll disait que Malu Malu est le plus grand stratège..qui va enfoncer Kanambe..
Reliez les deux stratègies de Malu Malu et Kengo
Quand Malu Malu demandait 1 milliards $ l´autre face de cette demande est que les pays donateurs ...s´invitent au processus électoral et de ce fait, ces pays donateurs vont influencer non seulement le nombre des élections, mais aussi le nom du futur président du Congo
Mr JIM se rappele comment Mende se moquait des USA dont J Kerry avait dit explicitement qu´ils avaient quelques millions$ reservés pour les élections Les congolais s´attendaient á une somme enorme proche du milliard $ de Malu Malu...mais maintenant, ils se rendent compte que cette petite somme des USA est stratègique..quand la RDC ne possede même pas 25 % de l´argent qu´exige la CENI
Kengo est entrain de dire tout simplement: Acceptons l´argent des USA, acceptons aussi leur conditions..qui consistent á ne faire que "deux élections" (selon une resolution de l´ONU)
Malu Malu sejourne comme par hasard aux USA depuis qu´il a quitté l´Afrique du Sud et depuis, selon ceux de l´opposition il a changé son speech..et "negocie" maintenant avec ceux de l´ opposition par le canal d´un "dialogue"
CONGE
Nous allons reprendre nos activités vers fin juillet... Ne sous estimez pas Kengo
GHOST
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
LE CONCEPT D INVERSION DU CALENDRIER ELECTORAL EST DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE
KOTA
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"(...)Processus électoral, finances et dialogue
L’agence ACP annonce « Consultations : le Président Joeph Kabila s’entretien avec les ambassadeurs et les gouverneurs ». (° http://acpcongo.com/acp/rdc-consultations-le-president-joseph-kabila-sentretient-avec-les-ambassadeurs-et-les-gouverneurs-de-province/ )
Tous ces invités, indique-t-elle, se sont déclarés favorables à la tenue d’un dialogue inclusif pour des élections apaisées en République démocratique du Congo. Selon l’ACP, le Chef de l’Etat a chargé les gouverneurs de consulter à leur tour toutes les couches en province. Le porte-parole des gouverneurs de province, Julien Paluku a rappelé, au sortir de l’audience qu’en 2006, les élections ont débouché sur la violence, tout comme en 2011. C’est ainsi que le Chef de l’Etat a estimé qu’il est essentiel de préserver la paix et la sécurité.
AFP, de son côté, explique que « Face aux 22 ambassadeurs, Joseph Kabila a tenu à expliquer le sens de sa démarche : consulter un maximum d'acteurs de la vie politique congolaise pour décider si oui ou non il y a besoin d'ouvrir un dialogue sur les questions qui bloquent : le calendrier électoral, le budget de financement, la sécurisation du scrutin, ou encore le découpage territorial.
L'objectif ne serait pas de retarder les scrutins, comme l'en accusent certains, a assuré le président, mais - après des élections mouvementées en 2006 et 2011 -, d'aller aux urnes dans un climat apaisé et consensuel. « La Constitution, c'est notre Bible », a-t-il encore affirmé. « C'est la preuve d'une certaine ouverture et d'une volonté de rassurer », analysent certains diplomates. Et ce, même si le président a répété que pour lui « tous les scrutins sont importants, les élections locales comme la présidentielle ».
Pas un mot non plus sur la possibilité que la communauté internationale joue un rôle de médiateur dans ce dialogue, comme le réclame le premier parti d'opposition l'UDPS. Les ambassadeurs occidentaux de leur côté ont rappelé leurs priorités : respecter la Constitution et la limite des mandats, mais aussi soutenir de façon prioritaire le scrutin législatif et présidentiel.
Car au dire de plusieurs observateurs les retards sont déjà trop nombreux pour organiser les locales en octobre prochain. Pas un centime n'a encore été décaissé pour acheter des urnes, ni de budget débloqué. Une question cruciale, que les ambassadeurs comptent aborder dès aujourd'hui lors d'une réunion avec la Commission électorale nationale indépendante ».
« Financement des élections en Rd Congo : Ambassadeurs -Ceni : le point ce matin ! », titre Forum des As. (° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4430 )
D’ores et déjà, écrit-il, Martin Köbler réitère sa disponibilité à offrir ses bons offices au dialogue en perpective. En ce qui concerne la tenue effective des élections, Jean-Michel Dumont pense qu’il appartient à la CENI d’établir un calendrier faisable et réaliste.
FdA raconte qu’une rencontre des ambassadeurs accrédités en RD Congo et le bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) est prévue aujourd’hui vendredi 12 juin à Kinshasa. La déclaration a été faite par le Représentant de l’Union européenne en RD Congo, Jean-Michel Dumont, au sortir de l’audience accordée par le Président Joseph Kabila, à une délégation de 23 diplomates, dans le cadre des consultations politiques initiées depuis lundi le 1er juin courant.
« Estimant que les conditions ne sont pas réunies : Ne Muanda Nsemi pour une transition de trois ans », note encore. Forum des As. (° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4431 )Ce député national de l’opposition préconise la formule « 1+4 » comme autrefois, c’est-à-dire un président de la République assiste de quatre vice-présidents.
« Kongo Dieto 1833 ». Telle est la référence de la dernière publication de l’ancien chef de « Bundu dia Kongo ». Après avoir été reçu par le Chef de l’Etat, dans le cadre des consultations au Palais de la nation, explique FdA, le député Ne Muanda Nsemi largue sa formule pour sortir de la crise politique actuelle. Car, pour ce leader Kongo, il n’y a pas mille manières pour sortir de cette crise. Sa recette demeure loin de plaire à ses pairs de l’Opposition politique et à la communauté internationale. Le « grand maître de la sagesse Kongo » ne redoute nullement le glissement. A ses yeux, « la crainte du glissement n’est pas un talisman qui va améliorer tous les paramètres déficients du moment ».
(Entendre faire une référence positive au « 1+4 », qui a été couvert de malédictions pendant toute la Transition, cela étonne un peu. De toute manière, s’il devait s’avérer qu’il faut « jouer les prolongations », cela n’empêcherait pas JKK de s’en aller en décembre 2016. Resterait alors à mettre en place un « intérimaire » quelconque, à qui il serait sans doute sage de ne pas donner le titre de « président »,susceptible de lui donner des idées… La présence de 4 VP était, elle, liée aux « composantes et entités » - gouvernement de Kinshasa, deux « oppositions armées » et l’opposition non armée – qui n’existent plus en tant que telles. NdlR)
Le Pharetitre «Elections: Kobler et Dumond épinglent trois obstacles: le budget, le calendrier et le fichier électoral» (° http://www.lephareonline.net/elections-kobler-et-dumond-epinglent-trois-obstacles-le-budget-le-calendrier-et-le-fichier-electoral/ )
« Après le repos observé au dixième jour, le Chef de l’Etat, Joseph Kabila a repris, hier jeudi 11 juin, les consultations. Le programme du jour prévoyait successivement des entretiens avec les membres du corps diplomatique accrédités en RD Congo, les gouverneurs de provinces, et Christian Badibangi avec une délégation de six personnes. Au sortir de l’audience qui a duré près de deux heures, trois des ambassadeurs reçus se sont exprimés. Il s’agit du doyen du corps diplomatique en Rdc le Camerounais Chungong Ayafor, du Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en Rdc et chef de la Monusco Martin Köbler, et du Chef de la mission de l’Union européenne en Rdc Jean Michel Dumond.
Le doyen du corps diplomatique a laissé entendre que les ambassadeurs ont rencontré le chef de l’Etat à sa demande. Et à l’occasion, Joseph Kabila leur a fait sa communication à l’issue de laquelle la communauté internationale qu’ils représentaient a compris le sens des consultations qu’il mène.
Ils repartent avec la promesse du chef de l’Etat de leur communiquer, à l’issue des consultations, l’option qu’il aura levée après avoir recueilli les avis des uns et des autres. C’est à l’issue de cet exercice, a-t-souligné, que le chef de l’Etat jugera de la nécessité ou non d’organiser le dialogue.
Pour sa part, Martin Köbler a tenu à souligner que cette rencontre était importante pour dissiper beaucoup de rumeurs au sujet des relations entre Kinshasa et les diplomates accrédités. Avant d’indiquer que le chef de l’Etat leur a donné des précisions sur les consultations qu’il mène depuis le début du mois. L’échange s’est bien passé, a-t-il assuré. Invité à clarifier sa déclaration faite la veille où il s’est dit disposé à offrir ses bons offices pour faciliter la tenue du dialogue entre Congolais, le patron de la Monusco (Mission des Nations unies pour la stabilisation au Congo) a réaffirmé sa position :«Dans ma déclaration, j’ai dit que nous sommes tout à fait prêt à accorder le plein soutien de la communauté internationale pour les élections ». Ces dernières, a-t-il poursuivi, devraient se tenir suivant les principes de la résolution des Nations Unies, de consensus, pour organiser des élections libres, crédibles et paisibles selon les standards internationaux.
En outre, Martin Köbler a insisté sur le respect de la constitution en exprimant le vœu de voir la présidentielle et les législatives se tenir avant novembre 2016.
Revenant sur sa disponibilité d’offrir des bons offices aux Congolais pour le dialogue, il a indiqué que cela devrait se faire naturellement par consensus entre deux parties.
«Nous ne sommes pas des acteurs politiques. Si les partenaires sont d’accord, nous pouvons offrir les bons offices, une facilitation mais aussi un témoignage positif si les partenaires le désirent ».
Enfin, Martin Köbler a indiqué qu’il a attiré l’attention du chef de l’Etat sur le rôle positif de la Monusco et de la communauté internationale sur les sujets qui doivent être résolus rapidement : la question de nouveaux majeurs, le fichier électoral, le calendrier électoral, et le budget. « J’ai attiré l’attention du président sur le rôle positif de la Monusco et de la communauté internationale sur les sujets qui doivent être résolus rapidement : la question de nouveaux majeurs, la question du fichier électoral, la question du calendrier électoral, et la question budgétaire ».
Même son de cloche chez l’ambassadeur Jean Michel Dumond de la Délégation de l’Union européenne en République Démocratique du Congo. «Nous sommes en faveur du dialogue pour trouver des solutions aux problèmes qui se posent : le calendrier électoral, le budget, le fichier électoral », a déclaré le représentant de l’UE à Kinshasa, en renseignant que le chef de l’Etat leur a demandé de jouer un rôle positif.
«Nous avons répondu en tant que UE de jouer un rôle positif pour que les élections soient libres, transparentes et démocratiques, tenues selon les échéances constitutionnelles et dans un climat apaisé, et que l’UE est prête en principe à apporter son appui au processus électoral. Et nous en discuterons demain avec la Ceni, au comité de partenariat avec la Ceni puisqu’il appartient à la Ceni d’établir un calendrier faisable et réaliste », a-t-il précisé.
Le chef de l’Etat charge les Gouverneurs de « consulter » aussi en provinces
Derniers du jour à être reçus, les gouverneurs de provinces ont fait savoir qu’ils ont passé en revue avec le chef de l’Etat la situation générale du pays. Surtout qu’on s’approche des élections, a souligné Julien Paluku, le rapportait au nom du groupe. Il a rappelé, à ce sujet, que les élections de 2006 et de 2011 ont été entachées de violences.
Raison pour laquelle Joseph Kabila a particulièrement souligné la nécessité de préserver la paix et la sécurité qui doivent régner en cette période sur l’ensemble du territoire national congolais. Le deuxième grand message de Joseph Kabila à ses représentants en provinces est cette recommandation faite aux gouverneurs de consulter, à leur tour dans leurs provinces respectives, toutes les couches de la population en vue de recueillir les avis des uns et des autres en rapport avec le dialogue national. Ils devraient lui faire un rapport détaillé sur les intentions des Citoyens du Congo profond. Ces consultations doivent démarrer dès la semaine prochaine ».
La communauté internationale s’est dite favorable en faveur du dialogue pour trouver solution aux problèmes qui se posent (calendrier électoral, fichier électoral et budget), indique L’Avenir, faisant lui aussi le point de cette même rencontre du Palais de la Nation. «Elle est prête à jouer un rôle positif pour les élections qui soient libres, transparentes, démocratiques, tenues selon les échéances constitutionnelles et dans le climat politique apaisé. Elle est aussi prête en principe à apporter son appui au processus électoral et les modalités seront définies aujourd’hui lors de la réunion du comité de partenariat avec la CENI», note le quotidien citant les diplomates reçus par le chef de l’Etat.
«Des Diplomates au Palais de la Nation : l’UE pour un calendrier réaliste et réalisable», titre également La Prospérité. (° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6739 ) L’ambassadeur Chungong Ayafor a expliqué, à l’issue d’un long entretien, que Joseph Kabila a assuré que qu’il s’agissait naturellement des consultations et non du dialogue. «Si par la suite, le Président Kabila est convaincu de par les conclusions de ces concertations qu’il faille organiser le dialogue, il nous tiendra informer de son contenu, de la durée, du format et des participants », a fait savoir le doyen des ambassadeurs accrédités en RDC.
Outre les ambassadeurs, poursuit le journal, Joseph Kabila a reçu également les gouverneurs de province auxquels il a confié une mission spéciale. « Le Chef de l’Etat nous a chargé d’une mission spéciale. Cette mission consiste à étendre les consultations à toutes les couches sociales de la Société civile, Partis politiques et personnalités de manière à ce qu’ensemble nous comprenions que ce pays vient de loin et par conséquent nous puissions préserver la paix, la stabilité et la sécurité», a déclaré Julien Paluku, porte-parole des gouverneurs, cité par le quotidien.
L’éditorialiste de Forum des As se penche ce matin sur « ces interlocuteurs-clés qui manquent encore à l’appel» au Palais de la Nation. « (° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4428 ) Plus qu’un bémol tout de même. L’absence jusqu’ici des têtes couronnées de l’Opposition qui fait et pose véritablement problème. Celle avec laquelle le Pouvoir devrait trouver un modus vivendi à la fois pour des élections apaisées et pour des lendemains de scrutins frappés du sceau de stabilité des institutions et surtout du pays. En somme l’opposition par laquelle devrait passer le nécessaire compromis historique», indique le journal.
«Cette opposition-là est principalement incarnée par un parti, l’UDPS et un homme, Etienne Tshisekedi. », estime ce journal.
(On voit mal ce que vient faire ici l’expression « compromis historique ». Reprise à la vie politique italienne à la fin des années ’70, l’expression désignait une coalition mathématiquement possible mais politiquement difficile à réaliser : elle aurait réunis au pouvoir la Démocratie Chrétienne et le Parti Communiste. La chose ne s’est pas faite et l’Italie a plongé dans les berlusconneries. Il s’agissait donc d’un accord de partage du pouvoir, alors qu’en RDC il ne s’agit que de bonne conduite en période électorale.
Il est également curieux de lire que l’obstacle le plus important est l’UDPS de Tshisekedi. ETwM n’a guère plus d’intérêt que JKK à ce que l’on se penche de trop près sur les élections de novembre-décembre 2011. Elles ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant.(...) Mais, en toute objectivité, il y a eu en 2011 DEUX tentatives de coup d’état : celle de JKK, qui a réussi, et celle – inspirée de Ouattara en Côte d’Ivoire sans en avoir les moyens – de Tshiisekedi qui a échoué. Rater son coup d’Etat reste un crime, non un signe de bonne conduite.
Les élections de 2011 avaient été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus[1]. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir pour les fraudeurs ! NdlR)(...)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=201949&Actualiteit=selected
"RDC: Kabila tente de rassurer le corps diplomatique
° http://www.rfi.fr/afrique/20150611-rdc-kabila-tente-rassurer-le-corps-diplomatique-ambassade-presidentielle-constitution-limite-mandats/
Après les partis de la majorité et la société civile mercredi, c'était au tour des ambassadeurs accrédités en RDC et des gouverneurs d'être reçus par le président Kabila dans un avant-dernier round de consultations qui se terminaient ce jeudi avec les patrons de presse. Une série de rencontres destinées à décider s’il y a lieu d'organiser un dialogue national ou non.
Face aux 22 ambassadeurs, Joseph Kabila a tenu à expliquer le sens de sa démarche :consulter un maximum d'acteurs de la vie politique congolaise pour décider si oui ou non il y a besoin d'ouvrir un dialogue sur les questions qui bloquent : le calendrier électoral, le budget de financement, la sécurisation du scrutin, ou encore le découpage territorial.
L'objectif ne serait pas de retarder les scrutins, comme l'accusent certains, a assuré le président, mais - après des élections mouvementées en 2006 et 2011 -, d'aller aux urnes dans un climat apaisé et consensuel. « La Constitution, c'est notre Bible », a-t-il encore affirmé. « C'est la preuve d'une certaine ouverture et d'une volonté de rassurer », analysent certains diplomates. Et ce, même si le président a répété que pour lui « tous les scrutins sont importants, les élections locales comme la présidentielle ».
Pas un centime décaissé
Pas un mot non plus sur la possibilité que la communauté internationale joue un rôle de médiateur dans ce dialogue, comme le réclame le premier parti d'opposition l'UDPS. Les ambassadeurs occidentaux de leur côté ont rappelé leurs priorités : respecter la Constitution et la limite des mandats, mais aussi soutenir de façon prioritaire le scrutin législatif et présidentiel.
Car au dire de plusieurs observateurs les retards sont déjà trop nombreux pour organiser les locales en octobre prochain. Pas un centime n'a encore été décaissé pour acheter des urnes, ni de budget débloqué. Une question cruciale, que les ambassadeurs comptent aborder dès aujourd'hui lors d'une réunion avec la Commission électorale nationale indépendante.
"Consultations au Palais de la Nation : moisson abondante attendue du Congo profond"
° http://www.lephareonline.net/consultations-au-palais-de-la-nation-moisson-abondante-attendue-du-congo-profond/
"Des Diplomates au Palais de la Nation : l’UE pour un calendrier réaliste et réalisable"
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6739
"Consultations présidentielles : les ambassadeurs insistent sur le respect de la Constitution"
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/11/consultations-presidentielles-les-ambassadeurs-insistent-sur-le-respect-de-la-constitution/?utm_source=feednanga.com&utm_medium=referral&utm_campaign=Feednanga%20-%20Most%20shared%20links
"Dialogue : l’Udps disposée à rencontrer Kabila !"
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6743&rubrique=POLITIQUE
"Dialogue : la jeunesse congolaise s’insurge contre la démarche !"
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6735
° http://groupelavenir.org/dialogue-national-des-questions-electorales-au-centre/
° http://groupelavenir.org/l-mende-le-dialogue-passe-par-dessus-tout/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/11/dialogue-la-monusco-est-prete-offrir-ses-bons-offices/
° http://www.lephareonline.net/dialogue-politique-mushi-bonane-la-rdc-est-assez-majeure-pour-traiter-ses-problemes-seule/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/11/jusitn-bitakwira-steve-mbikayi-exclus-du-groupe-parlementaire-unc-allies/
"(...)Dialogue / Elections
La Prospérité nous informe que «Kobler encourage Kabila!» (° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6709 ), à propos du dialogue national que prône le chef de l’Etat congolais.
Ce dialogue doit d’ailleurs être permanent pour le bon fonctionnement des institutions de la RDC. C’est ainsi que, poursuit le journal, le chef de la Monusco «a salué les consultations engagées, depuis plus d’une semaine, par le Président de la République, M. Joseph Kabila Kabange, avec la classe politique congolaise, les forces vives de la nation et la communauté internationale. Toutefois, il ne peut offrir ses bons offices que si et seulement si les parties prenantes au processus électoral les lui demandaient. Et, dans ce cas, il agirait sur base de la résolution 2211 du Conseil de sécurité de l’Onu qui, évidemment, circonscrit le cadre d’une telle mission, dans la prévention des conflits. »[
De son côté, Le Pharedécèle «le syndrome des gouvernements d’union nationale» (° http://www.lephareonline.net/rd-congo-le-syndrome-des-gouvernements-dunion-nationale/ ), au regard du développement de la donne politique en RDC. « Se dirige-t-on vers un glissement consensuel par le biais d’un gouvernement d’union nationale de transition pour soit disant garantir l’organisation des élections apaisées et réellement démocratiques ? », s’interroge le journal, ajoutant qu’à l’heure actuelle, personne ne peut se hasarder à tenter le moindre pari sur ce qui va se passer dans quatre ou six mois ; car rien n’est sûr au regard du remue-ménage observé dans les états-majors politiques tout comme au sein des organisations de la société civile. «Qu’on le veuille ou non, l’ouverture des consultations politiques initiées par le chef de l’Etat au Palais de la Nation a été l’élément déclencheur de ces mouvements qui commencent à prendre les allures d’un bouleversement inattendu sur l’échiquier sociopolitique», analyse le quotidien.
«Et Joseph Kabila se reposa au 10ème jour !» (° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4418 ), titre Forum des As[/size], qui précise que, jusque là, le gros lot a été expédié lors des consultations du Palais de la Nation. «Comme Dieu au 7ème jour de la création, Joseph Kabila s’est reposé mercredi, au 10ème jour des consultations du Palais de la Nation. Aucune délégation d’hommes politiques n’a été ni invitée ni reçue. Cependant, des sources concordantes renseignent que les audiences avec le Chef de l’Etat pourraient reprendre dès ce jeudi. Mais aucun détail n’a été fourni sur l’identité de ces invités du Palais présidentiel», signale ce quotidien.
Sous le titre « Dialogue : Angèle Makombo propose des pistes nouvelles à Kabila ! » (°http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6711 ), La Prospérité[/size] annonce que la LIDEC dit oui au dialogue, mais un dialogue qui soit circonscrit aux questions électorales. Un dialogue inclusif et non pléthorique. Un dialogue d’au moins 7 à 10 jours au maximum. Inclusif en ce qu’il devrait comprendre les délégués de la Majorité, de l’Opposition et de la Société civile, le tout avec une forte représentation de la femme. Des questions à examiner au cours de ce dialogue sont, entre autres, le réajustement du calendrier électoral, avec comme résultat, le report des locales, municipales et urbaines à la fin 2017, le maintien des élections provinciales en octobre 2015, des sénatoriales, des élections des gouverneurs et vice-gouverneurs en janvier 2016, des législatives et présidentielle, le 27 novembre 2016. Les délégués au dialogue, selon Angèle Makombo, auront aussi à débattre des questions relatives au fichier électoral notamment, l’enrôlement de nouveaux majeurs. Elle envisage, par ailleurs, la révision de l’article 71 non verrouillé de la Constitution afin de ramener l’élection présidentielle à deux tours. C’est pour plus de légitimité, dit-elle.
La Prospérité titre « CENI : le retour de Malumalu annoncé ! ».
A l’en croire, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) annonce le retour à Kinshasa de son Président, M. l’Abbé Apollinaire MUHOLONGU MALUMALU, après un long séjour médical à l’extérieur du pays. Le Projet de loi portant répartition des sièges par circonscription électorale pour les élections des Conseillers des communes, des secteurs et chefferies est en examen au Parlement. Après son adoption par les deux Chambres et sa promulgation par le Président de la République, la CENI convoquera l’électorat pour l’inscription des candidats à ces scrutins.
A l’occasion des consultations initiées par JKK (° http://groupelavenir.org/a-loccasion-de-consultations-initiees-par-le-chef-de-letat/ ), signale L’Avenir, la société civile dans sa diversité a adressé un mémorandum à tous les acteurs politiques congolais, en proie aux divergences qui mettent la population dans une position contraignante, précise le quotidien. Elle les invite au dialogue pour le bien-être de la population. Quant à la facilitation du dialogue, les organisations de la Société civile proposent une facilitation bipartite consensuelle et concertée, c’est-à-dire composée de deux personnalités, l’une de la communauté internationale et l’autre de la communauté nationale ayant une notoriété internationale et nationale éprouvée issue de la Société civile.
« Médiation au dialogue : l’Onu offre ses bons offices » (° http://lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12595:mediation-au-dialogue-l-onu-offre-ses-bons-offices&catid=85&Itemid=472 ) , titre en manchette Le Potentiel. Pendant plus d’une semaine, la Président de la république a recueilli les avis et positions des uns et des autres, écrit le journal. De toute évidence, il ne devait plus tarder à rendre publiques ses conclusions. Si le dialogue fait presque l’unanimité, de profondes divergences sont apparues autour de la notion de médiation. Alors qu’on amorce le «dernier virage dans les consultations engagées par le chef de l’Etat en vue d’un dialogue politique», Le Potentiel fait état de la « main tendue de la Monusco», relayant les propos du chef de la Monusco. Mercredi devant la presse, Martin Kobler, chef de la Monusco, s’est dit prêt à offrir ses bons offices. «Nous sommes neutres. Nous nous basons sur les résolutions de l’accord-cadre d’Addis-Abeba», a rassuré Martin Kobler. Le journal estime que rien n’est encore acquis pour l’instant. «Dans la mesure où c’est dans les rangs de la Majorité présidentielle que les Nations unies, incarnées par la Monusco, trouvent leurs farouches opposants», note le quotidien.
(Que la neutralité vienne de la Monusco, envisagée par Le Potentiel, ou de la « facilitation bipartite consensuelle et concertée de deux personnalités » décrite par L’Avenir elle risque d’être malvenue. Car la difficulté sur laquelle achoppent toutes les tentatives de dialogue, c’est précisément que le pouvoir n’accepte le dialogue qu’ à la condition d’être sûr qu’il ne sera PAS neutre et aura soin de ne pas remettre en cause les résultats fictifs du scrutin de 2011. Il faut rappeler que les élections de novembre-décembre 2011 ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant. NdlR)(...)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=201906&Actualiteit=selected
"CONSULTATIONS : VOICI LE MÉMO DES ORGANISATION DE LA SOCIÉTÉ CIVILE"
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4419
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"L’Abbé Malumalu annonce la poursuite des consultations avec la classe politique congolaise.
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6744&rubrique=POLITIQUE
Dans sa conclusion et en réponse aux différents intervenants du jour, le président de la Commission Electorale Nationale Indépendante, l’Abbé Apollinaire MUHOLONGU MALUMALU a indiqué que son institution a déjà entamé des consultation à tous les niveaux avec les acteurs et parties prenantes au processus électoral. Il a annoncé la tenue prochaine, à la demande des acteurs politiques de la Majorité et de l’Opposition, de la deuxième réunion de haut niveau avec les Chefs des Partis politiques afin d’échanger en profondeur sur la faisabilité du processus électoral au regard des enjeux de l’heure et des défis de calendrier, défis de financement et défis opérationnels. A cette occasion, il sera procédé à une réévaluation du processus électoral afin d’en tirer les leçons en tenant compte des différents défis de faisabilité. Cette réunion avec les acteurs politiques est projetée pour la semaine prochaine, a-t-il déclaré.
Avant de clore cette réunion de deux heures, les délégués du gouvernement, ont fait savoir qu’à la suite de la rencontre du Chef de l’Etat avec les délégués de la Communauté Internationale, il a été réaffirmé la volonté gouvernementale de financer les élections dans les limites des moyens disponibles. Le ministre des finances a annoncé que les discussions sur le plan de décaissement des finances destinées aux élections nationales vont s’intensifier, dès la semaine prochaine.
Le Comité de Partenariat des Elections est un cadre permanent d’échange et d’évaluation périodique du processus électoral en République Démocratique du Congo. Il est présidé par le Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) avec comme membres des représentants et délégués de haut niveau du Gouvernement, des Nations Unies, des Etats-Unis d’Amérique, de l’Union Européenne, de l’Union Africaine et des ONGs internationales impliquées dans l’accompagnement du processus électoral."
"Dialogue : médiation et contenu divisent encore
° http://latempete.info/dialogue-mediation-et-contenu-divisent-encore/
Il est important de prendre en compte les irréductibles divergences qui apparaissent déjà pour éviter d’engager des dépenses inutiles
Le dialogue politique inclusif est fiévreusement préparé par le pouvoir en fonction des dividendes politiques qu’il veut en tirer, malgré et contre tout, tandis que les forces politiques de l’opposition et alliés se disent prêtes à y prendre part, mais moyennant certaines conditions !
En passant en revue les préparatifs de deux pôles opposés, des spécialistes des questions de la RDC constatent avec effarement que l’avenir de ce forum, déjà très problématique au départ, s’assombrit toujours davantage. Et pour cause ?
Inévitable blocage en vue !
En effet, il apparait, de par les conclusions provisoires tirées des consultations menées tour à tour par Joseph Kabila auprès des représentants bien inspirés de sa famille politique et de ceux des forces de l’opposition et alliés, que les protagonistes des deux camps n’ont pas évolué d’un iota dans leur position initiale : la famille politique à laquelle appartient Joseph Kabila tient mordicus à l’intangibilité du calendrier électoral surchargé publié par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), avec ses effets d’entraînement, notamment un certain glissement en violation flagrante de la Constitution, tandis que les forces politiques de l’opposition et alliés conditionnent leur participation audit dialogue à la médiation de la communauté internationale, que la famille politique précitée récuse farouchement !
En synthétisant les deux positions, on peut affirmer sans crainte d’être contredit que la médiation internationale exigée par les forces de l’opposition et Alliés et le contenu concret de l’ordre du jour de ce forum (où serait consignée en bonne place la question des élections provinciales, communales et locales), seront les principaux facteurs de blocage de celui-ci !
En conclusion, il est important de prendre en compte les irréductibles divergences qui apparaissent déjà pour éviter d’engager des dépenses inutiles, qui ressemblent à des nuages qui n’apportent pas de pluies."
"A peine rentré au pays :Malumalu face aux dossiers brulants de la Ceni"
° http://latempete.info/a-peine-rentre-au-pays-malumalu-face-aux-dossiers-brulants-de-la-ceni/
Qu'est-ce encore ce pataquès ? On finit par y perdre son latin !
Alors que dès le lendemain des élections volées de novembre 2011 quelques patriotes lucides et responsables réclamaient un "vrai dialogue national" pour tenter de résoudre d'une manière négociée la querelle de légitimité qui en était suivie, le pouvoir n'en voyait aucune utilité, l'UDPS elle et certains autres n'attendaient que leur Imperium et la majorité des Congolais accueillit cette proposition dans l'indifférence !
Quand le pouvoir bousculé par la guerre de l'Est avec le M23 entonna à son tour le chant de la "cohésion nationale" pour inviter toute la Nation à s'unir et sauver la patrie menacée; il finit par accoucher des "Concertations Nationales" qui au lieu d'être un rassemblement de tous les Congolais ne fut qu'un attrape-nigaud pour débaucher des mendiants à sa cause sectaire...
Aujourd'hui "JK" comme par hasard initie son dialogue : certains sentant le marché de dupe le récusent, d'autres l'acceptent en s'illusionnant que celui-ci deviendrait par miracle une "réconciliation, tolérance et démocratisation" recommandée par les résolutions 2098 et 2011 de l'Accord d'Addis et en réclamant même qu'il soit arbitré par la CI alors que tout est clair que c'est "JK" qui en veut et le contrôle... Si tant est que à Kingakati ou au Palais de la Nation, la Majorité au pouvoir répète que les élections auront lieu comme prévu selon le calendrier qu'il a commandité à sa CENI !
Alors que vient encore faire ici le souhait de Malu Malu de continuer à écouter les forces politiques et sociales pour, semble-t-il,tenir compte de leurs propositions alors qu'hier et avant-hier, la même Ceni répétait par la bouche de son Vice-Président que son calendrier sera maintenu, dialogue ou pas ? Malu² veut encore des discussions pour quoi faire ? Si la Ceni a changé de cap, il vaudrait mieux qu'elle nous le confirme clairement, cela aidera beaucoup à décrisper l'ambiance surchauffée !
Encore une fois par quelque bout qu'on veuille prendre ce fumeux dialogue voulu par "JK", il reste un piège qu'on ne peut affronter que bien armé et non naïf de quelques bons sentiments !
Si notre drame était aussi de nous croire assez forts pour résister aux traquenards de la dictature alors que reconnaître notre impuissance actuelle nous aiderait à mesurer ses causes et ainsi à mieux nous y armer ?
Attendons voir...
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Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
Chers amis,
Permettez-moi un retour en arrière qui nous refixera utilement les idées, du moins je l'espère !
Lorsque j'ai initié ce sujet, "En sommes-nous aujoourd'hui à nous satisfaire d'un "dialogue" pouvoir/opposition réduit à une confrontation "JK" vs Tshisekedi (et son UDPS) ? Quel est le bon diagnostic de ce qui semble se préparer devant nous ?", je ne me (nous) cherchais, vous en doutez bien, que surtout personne ne se trompe là-dessus, que le judicieux regard loin de spéculations et des partis-pris sur cette affaire de dialogue telle que nous l'apercevions afin d'en déduire, si possible, la bonne attitude face à elle !
Je basais donc mon sujet non seulement sur le surprenant choix du dialogue qu'avait fait l'Udps mais aussi sur la non moins surprenante initiative qu'en avait prise "JK" !
En effet, selon moi cette aventure inédite nécessitait un décodage particulier !
J'avoue entre-temps que l'explication de textes qu'en avaient donnée l'Udps et plus particulièrement son porte-parole Bruno Tshibala m'avait laissé songeur ! Je n'étais pas loin de la trouver trop téméraire et au-delà de l’opportunisme intelligent que je lui trouvais, je m'étais interrogé sur sa dimension risquée jusqu'à me demander si ce Tshibala n'était pas une éminence grise ambiguë et pourquoi pas une âme damnée en Rapoustine de F Tshisekedi ?
Depuis l'Udps a quelque peu révisé sa position : le côté "conditionnel" semble avoir pris le pas sur le "oui" quasi exclusif initial... Tant mieux mais cela ne leur a pas empêché une succession de mises au point bienvenues mais parfois bien "propagandistes" (ça serait notre réception de leur message qui serait biaisée) nous plongeant dans un clair-obscur qui ne nous éclaire pas davantage...
Bref, je me trompe peut-être mais moi je trouve hasardeuses les prémisses du syllogisme que nous sert l'Udps particulièrement à travers Tshibala !
Passons sur leur côté comminatoire (asséner la singularité de l'Udps) et attardons-nous sur leur sagesse !
Je serais à côté de la plaque si je discutais la forte et légitime notoriété du Lider Maximo et de son parti Udps : ils la tiennent par leur histoire peuplée d'actes de résistance contre la dictature qui ont scellé avec le peuple leur leadership de la lutte pour la démocratie et l’état de droit faisant d'eux le premier parti parmi les opposants, en actions et en nombre d'adhérents à leur lutte…
Mais a-t-on pour autant besoin et surtout est-il efficace pour cette noble cause de décréter l'Udps unique force politique qui veut le changement et partant la seule interlocutrice du pouvoir comme semble l'argumenter Tshibala ? Et le statut du premier opposant les dispenserait-il de commetre des erreurs dans leur parcours ?
Je sais, il n'est pas toujours possible de discuter de Ya Tshistshi et de l'Udps sans passion mais voilà d'où partait mon interrogation ! Je trouve cette position inadéquate et dangereuse car sectaire, méprisante pour les autres et injuste envers ce même peuple d'où l'Udps tire sa légitimité ! Je me dis que celui-ci n'est pas aussi sectaire : il applaudit la geste héroïque du Sphinx (et de son parti), son vote pour lui en novembre 2011 en témoigne, mais pas toujours contre d'autres forces qu'il voit cheminer dans ce même sens !
Dans tous les cas, à mon humble avis, à sanctifier à ce point l'Udps on prend aussi le risque de l'opposer aux autres membres de l'opposition alors que l'impératif d'un front uni au sein des forces acquises au changement s'impose aux yeux de tous : même F Tshisekedi, si je ne m'abuse, est convaincu qu'un parti, fut-il l'Udps, ne serait capable de gagner tout seul surtout dans les conditions qui sont les nôtres, càd une dictature, un tour unique à la présidentielle...
Voici dessous des liens qui glanent d'abord les positions internes à l'UDPS sur le dialogue proposé par "JK" (n'épiloguons pas à l'infini, la vérité est qu'aujourd'hui nous avons à répondre à celui-là)...
Mon propos ici est que je serais fort reconnaissant aux cdforumeurs à travers leur entendement de ceux-ci et leurs réflexions propres de me donner davantage leur diagnostic de ces remue-ménages pour mieux comprendre ensemble où nous allons ou devons aller dans ce fumeux dialogue devenu une véritable Tour de Babel disais-je ailleurs, dans laquelle plus nous nous parlons moins nous semblons nous comprendre !
Sinon vous aurez compris : je reste convaincu que sans la participation officielle de l'opposition la plus représentative au régime et d'abord sans celle de l'Udps, à la scène publique, notre pays ne trouvera pas des voies de sortie durablement efficaces du tunnel où nous sommes plongés...
Voilà pourquoi je suis quasiment obsédé à trouver des conditions réalistes qui incluent l'Udps et le reste de l'Opposition dans la boîte et à travers, à exiger aussi une responsable et claire attitude de la part de la direction de l'Udps (comme aux autres d'ailleurs) pour nous éviter un chaos d'élections encore une fois contestées !
Merci par avance à tous !
Compatriotiquement!
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Permettez-moi un retour en arrière qui nous refixera utilement les idées, du moins je l'espère !
Lorsque j'ai initié ce sujet, "En sommes-nous aujoourd'hui à nous satisfaire d'un "dialogue" pouvoir/opposition réduit à une confrontation "JK" vs Tshisekedi (et son UDPS) ? Quel est le bon diagnostic de ce qui semble se préparer devant nous ?", je ne me (nous) cherchais, vous en doutez bien, que surtout personne ne se trompe là-dessus, que le judicieux regard loin de spéculations et des partis-pris sur cette affaire de dialogue telle que nous l'apercevions afin d'en déduire, si possible, la bonne attitude face à elle !
Je basais donc mon sujet non seulement sur le surprenant choix du dialogue qu'avait fait l'Udps mais aussi sur la non moins surprenante initiative qu'en avait prise "JK" !
En effet, selon moi cette aventure inédite nécessitait un décodage particulier !
J'avoue entre-temps que l'explication de textes qu'en avaient donnée l'Udps et plus particulièrement son porte-parole Bruno Tshibala m'avait laissé songeur ! Je n'étais pas loin de la trouver trop téméraire et au-delà de l’opportunisme intelligent que je lui trouvais, je m'étais interrogé sur sa dimension risquée jusqu'à me demander si ce Tshibala n'était pas une éminence grise ambiguë et pourquoi pas une âme damnée en Rapoustine de F Tshisekedi ?
Depuis l'Udps a quelque peu révisé sa position : le côté "conditionnel" semble avoir pris le pas sur le "oui" quasi exclusif initial... Tant mieux mais cela ne leur a pas empêché une succession de mises au point bienvenues mais parfois bien "propagandistes" (ça serait notre réception de leur message qui serait biaisée) nous plongeant dans un clair-obscur qui ne nous éclaire pas davantage...
Bref, je me trompe peut-être mais moi je trouve hasardeuses les prémisses du syllogisme que nous sert l'Udps particulièrement à travers Tshibala !
Passons sur leur côté comminatoire (asséner la singularité de l'Udps) et attardons-nous sur leur sagesse !
Je serais à côté de la plaque si je discutais la forte et légitime notoriété du Lider Maximo et de son parti Udps : ils la tiennent par leur histoire peuplée d'actes de résistance contre la dictature qui ont scellé avec le peuple leur leadership de la lutte pour la démocratie et l’état de droit faisant d'eux le premier parti parmi les opposants, en actions et en nombre d'adhérents à leur lutte…
Mais a-t-on pour autant besoin et surtout est-il efficace pour cette noble cause de décréter l'Udps unique force politique qui veut le changement et partant la seule interlocutrice du pouvoir comme semble l'argumenter Tshibala ? Et le statut du premier opposant les dispenserait-il de commetre des erreurs dans leur parcours ?
Je sais, il n'est pas toujours possible de discuter de Ya Tshistshi et de l'Udps sans passion mais voilà d'où partait mon interrogation ! Je trouve cette position inadéquate et dangereuse car sectaire, méprisante pour les autres et injuste envers ce même peuple d'où l'Udps tire sa légitimité ! Je me dis que celui-ci n'est pas aussi sectaire : il applaudit la geste héroïque du Sphinx (et de son parti), son vote pour lui en novembre 2011 en témoigne, mais pas toujours contre d'autres forces qu'il voit cheminer dans ce même sens !
Dans tous les cas, à mon humble avis, à sanctifier à ce point l'Udps on prend aussi le risque de l'opposer aux autres membres de l'opposition alors que l'impératif d'un front uni au sein des forces acquises au changement s'impose aux yeux de tous : même F Tshisekedi, si je ne m'abuse, est convaincu qu'un parti, fut-il l'Udps, ne serait capable de gagner tout seul surtout dans les conditions qui sont les nôtres, càd une dictature, un tour unique à la présidentielle...
Voici dessous des liens qui glanent d'abord les positions internes à l'UDPS sur le dialogue proposé par "JK" (n'épiloguons pas à l'infini, la vérité est qu'aujourd'hui nous avons à répondre à celui-là)...
Mon propos ici est que je serais fort reconnaissant aux cdforumeurs à travers leur entendement de ceux-ci et leurs réflexions propres de me donner davantage leur diagnostic de ces remue-ménages pour mieux comprendre ensemble où nous allons ou devons aller dans ce fumeux dialogue devenu une véritable Tour de Babel disais-je ailleurs, dans laquelle plus nous nous parlons moins nous semblons nous comprendre !
Sinon vous aurez compris : je reste convaincu que sans la participation officielle de l'opposition la plus représentative au régime et d'abord sans celle de l'Udps, à la scène publique, notre pays ne trouvera pas des voies de sortie durablement efficaces du tunnel où nous sommes plongés...
Voilà pourquoi je suis quasiment obsédé à trouver des conditions réalistes qui incluent l'Udps et le reste de l'Opposition dans la boîte et à travers, à exiger aussi une responsable et claire attitude de la part de la direction de l'Udps (comme aux autres d'ailleurs) pour nous éviter un chaos d'élections encore une fois contestées !
Merci par avance à tous !
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"Guest blog: Le dialogue politique entre clair et obscur
Jean Kenge Mukengeshayi est l'ancien redacteur en chef du Phare.
° http://congosiasa.blogspot.fr/2015/06/guest-blog-le-dialogue-politique-entre.html
C’est au début du mois de juin que le chef de l’Etat congolais a entamé des consultations sur le dialogue politique national. Chefs coutumiers, leaders religieux, acteurs de l’opposition comme de la majorité ont fait le déplacement au Palais de la Nation. Jeudi 11 juin était le tour des ambassadeurs, conduits par le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU et patron de la MONUSCO, Martin Kobler. Face au président congolais, les ambassadeurs ont insisté sur le respect de la constitution, avant de promettre que la communauté internationale jouerait un rôle positif sur les points tels que le fichier électoral, les nouveaux majeurs, le calendrier électoral et les questions budgétaires.
S’il faut s’en tenir au nombre des invités reçus par Joseph Kabila ainsi qu’à l’engouement suscité par son appel, force est d’admettre que les consultations ont récolté un succès plutôt mitigé. Les déclarations faites par les uns comme les postures adoptées par d’autres ont en effet démontré que le chemin reste encore long vers la mise en œuvre effective du dialogue politique.
Divergences
De ces déclarations et postures, il ressort que le premier obstacle dans la mise en œuvre du dialogue réside dans la fracture qui traverse la classe politique, particulièrement au sein de l’opposition. Ainsi, l’Udps qui avait été la première à lancer l’idée de ces assises a refusé de s’associer aux consultations présidentielles. Elle a en plus émis deux préalables qu’elle considère comme des conditions sine qua non. Premièrement : le dialogue doit s’inscrire dans le cadre de l’Accord cadre d’Addis-Abeba. Deuxièmement : le dialogue devra se dérouler sous médiation internationale.
Une posture qui ne peut que satisfaire la communauté internationale très préoccupée par la stabilité de la RDC – et donc de la sous-région – et qui entend par conséquent rester au cœur du dossier congolais par le biais de l’accord d’Addis-Abeba et des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité qui l’ont accompagné. Plusieurs analystes ont cependant noté que la volte-face de l’UDPS a coïncidé avec l’apparition des premiers signes de division au sein du parti d’Étienne Tshisekedi entre les pro-dialogue, réunis autour du secrétaire général Bruno Mavungu et dont le principal animateur est Félix Tshilombo Tshisekedi, fils d’Étienne, et les anti-dialogue dont la figure de proue est le conseiller politique du leader de l'UDPS, Valentin Mubake Nombi.
Ces divisions s’ajoutent à celles de l’opposition dans son ensemble, dont plusieurs composantes ont, contrairement à l'UDPS, rejeté le principe même du dialogue. C’est le cas du MLC de Jean-Pierre Bemba Gombo, de l’UNC de Vital Kamerhe, et de la plateforme Forces Acquises au Changement dirigée par Martin Fayulu. Tous présentent un artifice destiné à conduire, derrière un faux consensus, à un glissement du mandat présidentiel.
Flou autour de l’agenda
Question capitale : que vaudrait, au nom de la stabilité et d’un processus électoral apaisé, un dialogue auquel ne participeraient pas l’Udps comme principale force politique de l’opposition et, bien sûr, le MLC et l’UNC ?
L’autre défi de taille concerne l’agenda des assises. L’UNC, le MLC, les FAC ainsi que d’autres forces politiques et sociales opposées au dialogue stipulent que la seule question qui mérite d’être discutée à ce stade est celle du calendrier électoral, dont il faut expurger les élections locales et même provinciales, afin d’alléger le coût et le délai du processus. Un ordre également validé par l’Udps qui a exclu toute perspective d’une nouvelle transition ou d’un gouvernement d’union nationale qui conduirait au non respect de la constitution en matière de mandat présidentiel.
C’est monseigneur Laurent Monsengwo Pasinya, archevêque de la ville de Kinshasa, qui a justement résumé la question qui hante le microcosme politique congolais à la suite de sa rencontre avec le chef de l’État : «dialoguer oui, mais dialoguer sur quoi ? »
Du coup, la question de l’agenda se retrouve au cœur de toutes les stratégies des acteurs politiques congolais, quand bien même certains évitent de l’évoquer publiquement. Là où d’aucuns pensent que Joseph Kabila devrait impérativement se prononcer à l’issue des consultations sur l’objet du dialogue, d’autres, comme Stève Mbikayi du Parti Travailliste, proposent la création d’une commission préparatoire chargée de proposer à la fois le contenu et les contours du dialogue.
Prudente, la majorité qui s’est également rendue aux consultations préfère brandir l’argument de la recherche d’un climat apaisé pour aller aux élections. Réponse de l’opposition : tant qu’un ordre du jour précis n’aura pas été défini, c’est bien là l’arbre qui risque de cacher la forêt du glissement."
"Dialogue : l’Udps disposée à rencontrer Kabila !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6743&rubrique=POLITIQUE
‘’L’Udps est disposée à rencontrer Monsieur Joseph Kabila lui-même aussitôt après l’ouverture officielle du dialogue politique prévu par l’accord-cadre d’ Addis-Abeba’’. C’est ce qu’a déclaré Bruno Tshibala, porte-parole du parti d’Etienne Tshisekedi, dans une mise au point de cette formation politique sur les consultations du palais de la nation.
Le tapis rouge du palais de la nation ne recevra, certainement, pas les responsables de l’Union pour la démocratie et le progrès social. Pour cause, cette formation politique de l’opposition dite ‘’radicale’’, semble n’avoir des yeux que sur un dialogue d’un tout autre format. Lequel ? Celui qui serait conforme aux dispositions de l’accord-cadre d’Addis-Abeba. Sur ces derniers, dans l’entendement de l’Udps, ce forum quoique national devrait être convoqué par le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies, Martin Kobler.
Pour tordre certaines rumeurs les plus folles, la fille ainée de l’opposition fixe-t-elle l’opinion tant nationale qu’internationale. Devoir de mémoire oblige, le parti d’Etienne Tshisekedi va au fond des choses en partant des origines de la crise actuelle.
Elections de 2011 et accord-cadre
A la suite des élections controversées de 2011, une crise politique s’est installée dans la république, affirme-t-on à l’Udps. Ce, suite au ‘‘hold-up électoral’’ qui aurait été opéré. Ainsi, la nécessité de mettre les dignes fils du pays ensemble pour élaguer les problèmes de légitimités et autres crises notamment, celui causé par le M-23.
Après avoir remis à l’émissaire de Joseph Kabila, la feuille de route d’Etienne Tshisekedi, l’Udps se dit étonné de voir la convocation ou les invitations aux consultations du palais de la nation car il attendait de recevoir un feedback de la feuille de route. ‘’L’Udps reste ouverte aux contacts politiques avec les compatriotes et la famille politique de Monsieur Joseph Kabila’’ et elle serait même disposée à rencontrer Monsieur Kabila mais le cadre par excellence pour le faire est le dialogue, celui qui, selon l’entendement de ce parti, serait conforme aux prescrits de l’Accord-cadre."
"Consultations : mise au point de l’UDPS
° http://www.lephareonline.net/consultations-mise-au-point-de-ludps/
En vue de mettre fin aux interprétations tendancieuses consécutives aux réserves de l’UDPS de répondre à l’invitation de se rendre aux consultations initiées par Monsieur Joseph KABILA, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS en sigle, fait la mise au point suivante:
1. Aussitôt après la publication de faux résultats de l’élection présidentielle du 28 Novembre 2011, le Président élu et Président de l’UDPS a été le premier à réclamer le dialogue politique afin de résoudre la crise politique que venaient de créer ceux qui avaient pris la responsabilité d’opérer ce hold up électoral .
2. Le Président élu et Président de l’UDPS avait pris cette option du dialogue après que les responsables politiques au plus haut niveau du monde l’aient contacté personnellement pour lui demander de faire tout ce qui était en son pouvoir afin de prévenir un soulèvement populaire qui pointait à l’horizon avec comme conséquence de remettre la République Démocratique du Congo en ruine. Attentif, le Président élu avait effectivement demandé au peuple de rester serein en attendant le règlement pacifique de la crise.
3. A travers l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et les trois Résolutions subséquentes du Conseil de Sécurité de l’Onu, la communauté internationale a préconisé à son tour le dialogue politique comme seul moyen de mettre fin à la crise et chargé le Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONU d’aider à la tenue de ce forum, en vue de parvenir à un consensus et permettre un atterrissage en douceur au terme du processus électoral en cours.
4. Après avoir réalisé l’incontournabilité du dialogue, en tant qu’engagement pris par la RDC, Monsieur Joseph KABILA, à son tour, a dépêché, il y a peu, son émissaire en la personne de l’Administrateur Général de l’ANR et Conseiller politique, Monsieur KALEV MUTOND, auprès de l’UDPS pour signifier à notre Parti son acceptation du dialogue politique.
A cette occasion, Monsieur KALEV a demandé de connaitre ce que doivent être pour l’UDPS, les termes de référence, le format et les autres aspects liés à l’organisation de ce dialogue.
5. La Feuille de route du 18 Février 2015 du Président élu et Président du Parti, Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, lui a été remise étant donné qu’elle contient des réponses sur les différentes préoccupations et aspects liés à ce dialogue.
6. L’UDPS a été quelque peu surprise qu’en lieu et place d’une réaction à cette Feuille de route voire du feedback attendu, elle sera plutôt invitée aux consultations du Palais de la Nation.
7. L’UDPS, qui reste fervente partisane du dialogue, ne pouvait pas prendre part à ces consultations pour des raisons de méthodologie.
8. L’UDPS reste ouverte aux contacts politiques avec les compatriotes de la famille politique de Monsieur Joseph KABILA.
9.L’UDPS est disposée à rencontrer Monsieur Joseph KABILA lui-même aussitôt après l’ouverture officielle du dialogue politique prévu par l’Accord-cadre d’Addis-Abeba sous la médiation internationale.
10.Le leitmotiv de tous ceux qui aiment véritablement le Congo est de mettre fin, par ce dialogue politique, à l’actuelle crise grave et d’obtenir un processus électoral apaisé dans les délais qu’impose la Constitution de notre pays.
Fait à Kinshasa, le 04 Juin 2015.
Bruno Tshibala Nzenzhe
Porte-parole"
"Dialogue : l’UDPS pose encore des conditions !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6542
*Le oui, mais…. de l’UDPS à l’offre de dialogue offerte par le Président Joseph Kabila à ses opposants a de quoi surprendre. On croyait, après la mise au point du Porte-Parole de l’UDPS, Bruno Tshibala, que la participation d’Etienne Tshisekedi et son parti était totalement acquise. Mais, son fils Tshilombo Félix, qui a habitué le public à des déclarations tonitruantes, ces dernières semaines, a fait une sortie médiatique dans la presse étrangère. Il déclare que l’UDPS ne participera au dialogue que sous l’égide de la Communauté internationale. Il ne sera nullement question d’aller à la mangeoire, prévient-il. Que cache cette rhétorique ?
Chaque jour qui passe enregistre son lot de réactions et contre-réactions au dialogue national, une initiative du Président Joseph Kabila. Le jeudi 28 mai aura été riche en boutades. Le Député national Franck Diongo, une figure d’Opposition Aile Fatima, a pleinement justifié le refus de dialoguer avec le pouvoir. Cela, pour plusieurs raisons. D’abord, parce que ses collègues opposants et lui-même n’ont pas l’intention de cautionner une nouvelle transition à l’issue du dialogue. Ensuite, les matières devant faire l’objet des discussions sont essentiellement techniques et non politiques. La CENI, dit-on, n’a pas besoin d’un dialogue politique pour enrôler les nouveaux majeurs sur les listes électorales. Il en est de même pour l’audit du fichier électoral qui exige l’expertise des intelligences éprouvées. Franck Diongo, dans sa démonstration, n’est pas convaincu qu’un dialogue est nécessaire pour obliger la CENI à observer sa neutralité. La Centrale électorale ne peut que respecter les dispositions constitutionnelles, ainsi que la loi qui organise son fonctionnement. Autrement, le dialogue est inopportun.
La réplique de Mende
Lambert Mende, qui s’est exprimé en qualité de membre du Bureau Politique de la Majorité Présidentielle, a une toute autre lecture des faits. Selon lui, le dialogue du Président n’a pas pour finalité de déboucher sur une transition. Le Président Joseph Kabila a, seulement, répondu à une demande pressante de l’Opposition, l’UDPS principalement. Fort de toutes les réactions recueillies, le Président va examiner la faisabilité du dialogue. Mende se demande à qui reviendrait la faute si jamais le dialogue n’était pas organisé.
L’effet contagion
Visiblement, les explications de Lambert Mende, en renfort à l’émissaire du Chef de l’Etat, ne mobilisent pas grand-monde dans les rangs de l’Opposition. Le mercredi 27 mai, le clan Kengo a réservé une fin de non-recevoir au légat du Président de la République. L’Opposition Républicaine, en effet, dans une déclaration politique, a jugé inutile la tenue d’un nouveau dialogue national, pour des raisons que les Concertations nationales aveint passé en revue tous les problèmes du pays. S’il y a une action à mener, c’est d’appliquer toutes les résolutions, surtout les 100 prioritaires.
Peu avant, c’est Vital Kamerhe de l’Union pour la Nation qui haranguait la foule à Goma, chef-lieu de la Province du Nord-Kivu. Il a souligné l’inopportunité du dialogue politique, arguant que la fin du mandat présidentiel interviendrait le 19 décembre 2016. Bien avant Kamerhe, le MLC avait rejeté l’offre de dialogue. Tout compte fait, à l’exception de l’UDPS, presque la quasi-totalité des partis d’Opposition, ayant pignon sur rue, ne sont pas favorables à l’idée d’aller dialoguer.
Comment débloquer la situation ?
A analyser les positions des uns et des autres, on se rend bien compte que les divergences sont difficiles à surmonter. L’UDPS et le Pouvoir n’ont pas la même conception des objectifs du dialogue. Ils sont loin de se mettre d’accord sur les termes de référence et, c’est le nœud du problème, sur la présidence des débats. La Majorité voudrait que le Président Joseph Kabila, parce qu’il a pris l’initiative, assure la direction des débats. Pourtant, l’UDPS s’en remet à la Communauté internationale. Comment procéder pour concilier les points de vue opposés ? Pour certains, il faudrait respecter l’esprit des Résolutions 2098 et 2211 du Conseil de Sécurité. Ce qui énerve les souverainistes. Alors, va-t-on laisser le processus électoral se poursuivre normalement ? Dans ces cas, il faudrait évacuer les contraintes extérieures à la CENI, susceptibles d’impacter négativement sur l’organisation des élections. "
"OPPOSITION DE LA CHAISE PLEINE A RESULTAT ZERO
DIALOGUE : TSHISEKEDI RECADRE LES OPPOSANTS
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4251
* Comment obtenir un calendrier électoral consensuel et des élections apaisées sans se parler ?
La première à réclamer haut et fort le dialogue politique prévu par l’Accord-cadre signé à Addis-Abeba en Ethiopie, l’Opposition ne semble plus aujourd’hui, c’est-à-dire au fur et à mesure que ce forum s’approche, se montrer disposée à y prendre part. Mais, en tout cas pas toute l’Opposition. Car, la locomotive de cette même Opposition, à savoir l’Union pour la démocratie et progrès social cher à Etienne Tshisekedi, demeure sur la ligne du dialogue consacré par l’Accord signé à Addis-Abeba. L’UDPS insiste sur la tenue d’un dialogue politique global et inclusif pour résoudre la crise politique actuelle face à une " Opposition de la chaise pleine à résultat zéro" en parlant même de " procès d’intention, de gesticulations diverses et autres fuites en avant qui ne cadrent nullement avec les nobles objectifs du dialogue ". Etienne Tshisekedi recadre ainsi l’Opposition par rapport au dialogue.
A en croire la plupart des observateurs avisés, le dialogue politique initié par Joseph Kabila, en sa qualité de chef d’Etat, constitue la dernière chance pour la RDC. Car, indique-t-on, l’enjeu dépasse largement les équations politiques individuelles des uns et des autres.
En tant que pays post-conflit, la RDC, qui n’a pas cessé d’être sous la menace des forces centrifuges à l’intérieur comme à l’extérieur, a plus que jamais besoin de tout, sauf du chaos. Si jamais un chaos advenait, il n’épargnerait personne. Parce que tous se retrouvent dans le même bateau.
Toutes les forces patriotiques ont intérêt à ce que le dialogue se tienne. Sinon, on ne verrait pas comment lever des hypothèques qui planent sur la RD Congo en s’ignorant, en ne se parlant pas. Voilà qui justifie d’ailleurs la tenue effective du dialogue tant attendu.
LE DIALOGUE FACE A LA MENACE DE BALKANISATION
Sinon, comment envisager les élections crédibles et transparentes si les acteurs concernés refusent de se mettre autour d’une même table ? Comment régler la problématique du calendrier électoral, évacuer l’épouvantail 2016 ou négocier l’horizon 2016 au mieux des intérêts du pays si on ne peut pas dialoguer ou sans un minimum d’échange entre acteurs politiques et sociaux représentatifs ? Cela passe forcément par le dialogue. Comment conjurer la menace réelle des forces centrifuges lorsqu’on sait que le projet funeste de balkanisation de la RDC n’a jamais quitté les esprits de ses concepteurs ? D’ailleurs, une crise politico-institutionnelle grave à Kinshasa pourrait bien contribuer à faire le lit de tous ceux qui ne jurent que par le saucissonnage de la RDC. C’est dire que la menace de la balkanisation est bien réelle et n’a jamais quitté certaines officines qui n’attendent que l’occasion pour sévir.
Voilà pourquoi, aux yeux de bon nombre d’observateurs, la position actuelle de l’UDPS, locomotive de l’Opposition hier comme aujourd’hui, mérite d’être soutenue. Car, qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, mises à part certaines de ses revendications qui tiennent de la posture, Tshisekedi met le doigt sur la plaie en appelant au dialogue. Le leader de l’UDPS a donc le mérite de rester sur cette ligne depuis longtemps. Surtout au regard du " yoyo " auquel s’adonnent aujourd’hui bien d’autres leaders de l’Opposition qui, hier, réclamaient le même dialogue.
Si ce compromis historique venait à se concrétiser, Etienne Tshisekedi gagnerait le seul galon qui lui fait encore défaut depuis l’époque du maréchal Mobutu, celui d’homme d’Etat. Car, si Ya Tshitshi est incontestablement l’icône de la résistance au régime Mobutu, pionnier de la lutte pour la démocratie, modele de constance, il a raté plusieurs occasions de s’affirmer comme un homme d’Etat.
LES BASES DU RECADRAGE POLITIQUE DE L’UDPS
Là où certaines forces de l’Opposition n’avancent aucune raison plausible, en dehors de la fameuse peur du glissement, l’ "UDPS étale, à travers sa dernière mise au point, les bases même de la tenue du dialogue politique. Le dialogue politique, insiste-t-on à la 10ème rue Limete, tire d’ailleurs son origine de l’Accord-cadre signé le 24 février 2013 par onze chefs d’Etat africains réunis à Addis-Abeba, en Ethiopie à la demande du secrétaire général des Nations unies. C’est ce qui a donné mandat au Représentant spécial du SG de l’ONU de promouvoir par ses bons offices le dialogue politique. C’est qui a poussé Etienne Tshisekedi à rendre publique la feuille de route, le 18 février 2015, indiquant la voie de sortie de la crise qui sévit en RDC. L’UDPS roule donc pour l’Accord-cadre d’Addis-Abeba à travers la demande du dialogue.
" Notre peuple demande à chacun de se ressaisir pour qu’à travers le dialogue politique, nous puissions tous ensemble mettre fin à l’impasse qui bloque le fonctionnement de notre pays", indique le porte-parole de l’UDPS, Bruno Tshibala Nzenzhe, dans la mise au point de son parti. En fait, à travers cette réaction, le parti cher au " Lider maximo " tente de faire comprendre à certaines forces politiques de l’Opposition la nécessité de prendre part au dialogue tel que recommandé par l’Accord-cadre d’Addis-Abeba. Car, pourquoi ceux qui avaient tant milité pour la tenue du dialogue devraient-ils se rétracter juste au moment où Joseph Kabila leur tend la main afin de concrétiser ce qui avait été décidé à Addis-Abeba ? C’est à croire que ce dialogue n’était bon que quand Joseph Kabila n’en avait pas encore déclenché le processus. Mais, une fois qu’il a décidé de le réaliser comme prévu, ceux qui l’exigeaient hier s’en méfient aujourd’hui.
L’INTERET NATIONAL POUR UN DIALOGUE PLUTOT PROCHE
Les observateurs, au regard de la cacophonie actuelle au sein de l’Opposition, au sujet du dialogue, s’interrogent pourquoi rejeter une offre du chef de l’Etat pour des raisons jugées opportunistes. Lorsqu’ils se rendent compte que le front du refus est surtout constitué des personnalités qui se retrouvent dans le champ institutionnel comme des députés nationaux et autres qui reconnaissent à Joseph Kabila la qualité de garant constitutionnel et qui reconnaissent également la pertinence de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.
L’intérêt national, tanche-t-on, recommande que le dialogue se tienne même le plus tôt possible. Car, il ne faut pas placer des obstacles devant un dialogue politique à même de afin de favoriser la tenue des élections crédibles et transparentes dans un climat apaisé."
"UDPS ira au dialogue !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6421
*Au nom d’Etienne Tshisekedi, le porte-parole de l’UDPS, Bruno Tshibala, a fait une mise au point en rapport avec le prochain dialogue politique. Il soutient que l’UDPS ira à ce dialogue, pour résoudre le contentieux électoral de 2011 et préparer les élections générales de 2015-2016. Par ailleurs, Bruno Tshibala renvoie aux études, les opposants qui ne trouvent plus d’opportunité de dialoguer avec le pouvoir.
Depuis la confirmation de la tenue du dialogue par le Président de la République, la Majorité observe un silence-radio, l’Opposition se déchire. Hier mardi 19 mai 2015, l’UDPS a voulu administrer une leçon au groupe de Fatima, allusion faite, ici, aux opposants qui se sont réunis, le lundi 18 mai, pour rejeter l’offre de dialogue du Chef de l’Etat. L’UDPS n’approuve pas ce comportement qui n’honore pas les politiciens congolais. Surtout que, d’après Bruno Tshibala, ces contradictions proviennent des opposants qui avaient participé activement aux Concertations nationales de 2013. Ce n’est pas pour la première fois que Bruno Tshibala s’illustre dans une rhétorique aussi violente vis-à-vis d’autres opposants. En janvier, pendant que les manifestants, hostiles à la nouvelle loi électorale, étaient aux prises avec les forces de l’ordre, dans les rues de Kinshasa, Bruno Tshibala faisait publier un communiqué pour demander aux militants de l’UDPS de se désolidariser du mouvement. Il y a peu, depuis Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu où il tenait un meeting, Félix Tshisekedi, le fils du Vieux, annonçait que l’UDPS participerait sans conditions aux élections provinciales et locales. Si discussion, il devrait y avoir, Félix Tshisekedi l’envisageait pour la présidentielle.
Les points de divergence
Avant la dernière prise de position radicale du Groupe de Fatima, les politiciens se divisaient sur les termes de référence et le format du dialogue. Certains, comme l’ancien Vice-Président de la République, Z’Ahidi Arthur Ngoma, ont circonscrit le dialogue aux seules questions électorales dans le respect des délais constitutionnels. Les détenteurs de cette thèse s’appuient sur les dispositions de la Résolution 2211 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, notamment, les paragraphes 19 et 20 qui sont très explicites quant au contenu du dialogue entre le Gouvernement, les opposants et les autres acteurs impliqués dans l’organisation des élections. La Résolution recommandait de privilégier la présidentielle et les législatives nationales. Les discussions, proprement dites, devaient porter sur les modalités de constitution du fichier électoral, ainsi que le financement des élections. La 2211 désignait la personne devant présider le dialogue. La mission de bons offices revenait au représentant du Secrétaire Général de l’ONU.
Dans l’entendement de l’UDPS, le dialogue à venir mettra face-à-face Etienne Tshisekedi et le Président Joseph Kabila en vue d’aboutir à la réconciliation, la démocratie et à la tenue des élections libres, transparentes, crédibles et apaisées. Le Groupe de Fatima, qui comprend, entre autres, Vital Kamerhe, Jean-Lucien Bussa, Ingele Ifoto, Matthieu Kalele ka-Bila, Martin Mukonkole, Alain Mbaya, Lisanga Bonganga, Delly Sessanga et Jean-Claude Vuemba, redoute l’institution d’une nouvelle transition politique, par conséquent, le dépassement des délais constitutionnels. Un avis partagé par le MLC de Jean-Pierre Bemba. L’UDPS tente de rassurer qu’elle ne cautionnera pas une seule minute de glissement des mandats. Vital Kamerhe, avec son UNC, mettait Tshisekedi en garde dans sa volonté de récupération de l’impérium. Le risque de se faire rouler dans la farine était trop grand, disait Kamerhe.
Y a-t-il une alternative au dialogue ?
C’est la question qui mérite d’être posée. Selon le Groupe de Fatima qui juge inopportun le dialogue, les principales revendications au sujet de l’inversion du calendrier électoral peuvent trouver une réponse au niveau de la CENI. Mais, la Centrale électorale se présente comme un organe technique. Elle défend les opérations électorales en cours. Dans moins d’une semaine, le 25 mai, la CENI va mettre fin à la réception des candidatures aux élections provinciales. La moisson est toutefois maigre. D’autres étapes sont prévues. Quoi qu’il en soit, le dialogue reste, du moins pour le moment, la voie indiquée pour détendre le climat politique en RDC. Il reste à en définir les contours."Dialogue avec Kabila: Mise au point de l'UDPS
"Ma réponse à Bruno Tshibala sur l'appel à l’Unité du Parti.
Sam Fév 14, 2015 8:28 am
KABEYA TSHILUMBAYI Bernard
Représentant Adjoint de L’UDPS France"
° http://www.udps.be/beluxx/viewtopic.php?t=2887
° http://ladynamiquecongolaise.com/udps-appel-a-lunite-par-bruno-tshibala-nzenzhe-cofondateur-de-ludps/
° http://www.johnimagetv.com/2015/05/bruno-tshibala-porte-parole-de-ludps.html
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/05/29/elections-en-rdc-kabila-lance-des-consultations-en-vue-d-un-dialogue_4643576_3212.html
° http://en.ytplay.pk/watch/K-006LK8Oyw
° http://www.afrik.com/rdc-revirement-de-l-udps-de-tshisekedi-qui-accepte-le-dialogue-national
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=201691&Actualiteit=selected
° http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/actualites/1134-video-mise-au-point-et-analyse-de-lactualite-politique-de-la-rdc-par-mme-candide-okeke-directrice-de-cabinet-du-president-national-de-lapareco.html
° http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/actualites/1134-video-mise-au-point-et-analyse-de-lactualite-politique-de-la-rdc-par-mme-candide-okeke-directrice-de-cabinet-du-president-national-de-lapareco.html
° http://www.congonline.com/Forum1/Forum05/Kashala07.htm
"Dialogue : les consultations vont s’étendre dans les provinces à travers les gouverneurs."
° http://www.julienpaluku.com/plus/actualites/7898-dialogue-les-consultations-vont-s-etendre-dans-les-provinces-a-travers-les-gouverneurs
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
ndonzwau a écrit:"L’Abbé Malumalu annonce la poursuite des consultations avec la classe politique congolaise.
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6744&rubrique=POLITIQUE
Dans sa conclusion et en réponse aux différents intervenants du jour, le président de la Commission Electorale Nationale Indépendante, l’Abbé Apollinaire MUHOLONGU MALUMALU a indiqué que son institution a déjà entamé des consultation à tous les niveaux avec les acteurs et parties prenantes au processus électoral. Il a annoncé la tenue prochaine, à la demande des acteurs politiques de la Majorité et de l’Opposition, de la deuxième réunion de haut niveau avec les Chefs des Partis politiques afin d’échanger en profondeur sur la faisabilité du processus électoral au regard des enjeux de l’heure et des défis de calendrier, défis de financement et défis opérationnels. A cette occasion, il sera procédé à une réévaluation du processus électoral afin d’en tirer les leçons en tenant compte des différents défis de faisabilité. Cette réunion avec les acteurs politiques est projetée pour la semaine prochaine, a-t-il déclaré.
Avant de clore cette réunion de deux heures, les délégués du gouvernement, ont fait savoir qu’à la suite de la rencontre du Chef de l’Etat avec les délégués de la Communauté Internationale, il a été réaffirmé la volonté gouvernementale de financer les élections dans les limites des moyens disponibles. Le ministre des finances a annoncé que les discussions sur le plan de décaissement des finances destinées aux élections nationales vont s’intensifier, dès la semaine prochaine.
Le Comité de Partenariat des Elections est un cadre permanent d’échange et d’évaluation périodique du processus électoral en République Démocratique du Congo. Il est présidé par le Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) avec comme membres des représentants et délégués de haut niveau du Gouvernement, des Nations Unies, des Etats-Unis d’Amérique, de l’Union Européenne, de l’Union Africaine et des ONGs internationales impliquées dans l’accompagnement du processus électoral."
"Dialogue : médiation et contenu divisent encore
° http://latempete.info/dialogue-mediation-et-contenu-divisent-encore/
Il est important de prendre en compte les irréductibles divergences qui apparaissent déjà pour éviter d’engager des dépenses inutiles
Le dialogue politique inclusif est fiévreusement préparé par le pouvoir en fonction des dividendes politiques qu’il veut en tirer, malgré et contre tout, tandis que les forces politiques de l’opposition et alliés se disent prêtes à y prendre part, mais moyennant certaines conditions !
En passant en revue les préparatifs de deux pôles opposés, des spécialistes des questions de la RDC constatent avec effarement que l’avenir de ce forum, déjà très problématique au départ, s’assombrit toujours davantage. Et pour cause ?
Inévitable blocage en vue !
En effet, il apparait, de par les conclusions provisoires tirées des consultations menées tour à tour par Joseph Kabila auprès des représentants bien inspirés de sa famille politique et de ceux des forces de l’opposition et alliés, que les protagonistes des deux camps n’ont pas évolué d’un iota dans leur position initiale : la famille politique à laquelle appartient Joseph Kabila tient mordicus à l’intangibilité du calendrier électoral surchargé publié par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), avec ses effets d’entraînement, notamment un certain glissement en violation flagrante de la Constitution, tandis que les forces politiques de l’opposition et alliés conditionnent leur participation audit dialogue à la médiation de la communauté internationale, que la famille politique précitée récuse farouchement !
En synthétisant les deux positions, on peut affirmer sans crainte d’être contredit que la médiation internationale exigée par les forces de l’opposition et Alliés et le contenu concret de l’ordre du jour de ce forum (où serait consignée en bonne place la question des élections provinciales, communales et locales), seront les principaux facteurs de blocage de celui-ci !
En conclusion, il est important de prendre en compte les irréductibles divergences qui apparaissent déjà pour éviter d’engager des dépenses inutiles, qui ressemblent à des nuages qui n’apportent pas de pluies."
"A peine rentré au pays :Malumalu face aux dossiers brulants de la Ceni"
° http://latempete.info/a-peine-rentre-au-pays-malumalu-face-aux-dossiers-brulants-de-la-ceni/
Qu'est-ce encore ce pataquès ? On finit par y perdre son latin !
Alors que dès le lendemain des élections volées de novembre 2011 quelques patriotes lucides et responsables réclamaient un "vrai dialogue national" pour tenter de résoudre d'une manière négociée la querelle de légitimité qui en était suivie, le pouvoir n'en voyait aucune utilité, l'UDPS elle et certains autres n'attendaient que leur Imperium et la majorité des Congolais accueillit cette proposition dans l'indifférence !
Quand le pouvoir bousculé par la guerre de l'Est avec le M23 entonna à son tour le chant de la "cohésion nationale" pour inviter toute la Nation à s'unir et sauver la patrie menacée; il finit par accoucher des "Concertations Nationales" qui au lieu d'être un rassemblement de tous les Congolais ne fut qu'un attrape-nigaud pour débaucher des mendiants à sa cause sectaire...
Aujourd'hui "JK" comme par hasard initie son dialogue : certains sentant le marché de dupe le récusent, d'autres l'acceptent en s'illusionnant que celui-ci deviendrait par miracle une "réconciliation, tolérance et démocratisation" recommandée par les résolutions 2098 et 2011 de l'Accord d'Addis et en réclamant même qu'il soit arbitré par la CI alors que tout est clair que c'est "JK" qui en veut et le contrôle... Si tant est que à Kingakati ou au Palais de la Nation, la Majorité au pouvoir répète que les élections auront lieu comme prévu selon le calendrier qu'il a commandité à sa CENI !
Alors que vient encore faire ici le souhait de Malu Malu de continuer à écouter les forces politiques et sociales pour, semble-t-il,tenir compte de leurs propositions alors qu'hier et avant-hier, la même Ceni répétait par la bouche de son Vice-Président que son calendrier sera maintenu, dialogue ou pas ? Malu² veut encore des discussions pour quoi faire ? Si la Ceni a changé de cap, il vaudrait mieux qu'elle nous le confirme clairement, cela aidera beaucoup à décrisper l'ambiance surchauffée !
Encore une fois par quelque bout qu'on veuille prendre ce fumeux dialogue voulu par "JK", il reste un piège qu'on ne peut affronter que bien armé et non naïf de quelques bons sentiments !
Si notre drame était aussi de nous croire assez forts pour résister aux traquenards de la dictature alors que reconnaître notre impuissance actuelle nous aiderait à mesurer ses causes et ainsi à mieux nous y armer ?
Attendons voir...
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PS
"Elections en RDC: la Céni fait le point sur les blocages
° http://www.rfi.fr/afrique/20150613-rdc-ceni-elections-calendrier-reunion-ambassadeurs-kinshasa-ong/
En RDC, après plus de six mois d'absence du président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), les ambassadeurs accrédités à Kinshasa ainsi que des représentants d'ONG et les bailleurs de fonds de la communauté internationale ont tenu une réunion avec la Céni, vendredi 12 juin, pour parler des élections à venir et des retards pris.
Depuis l'annonce d'un calendrier global, en février dernier, aucune réunion ne s'était tenue avec les ambassadeurs et principaux bailleurs de fonds. La rencontre de vendredi devait donc servir à faire le point, principalement sur les problèmes identifiés.
Il a d’abord fallu parler du budget, et de l'absence de données, à ce jour, sur ce que le gouvernement va financer et sur le milliard de dollars que vont coûter les sept scrutins à venir. Le ministre des Finances était bien là mais pas le ministre de l'Intérieur, ni celui du Budget.
Ont également été évoqués les débats sur le fichier électoral et sur le calendrier, très chargé, des élections. Sur ce dernier point, la Céni s’est dite ouverte au dialogue.
« Le président a promis aux ambassadeurs et aux chefs de missions diplomatiques qu’on a déjà démarré un cadre de concertation sous un format restreint avec les acteurs de l’opposition et de la majorité. S’il est transgressé et qu’il y a nécessité de revoir le calendrier, la Céni n’y voit pas un pêché. Mais on dit bien qu’il faut que ce soit seulement dans des conditions où tous les acteurs sont [d'accord], une fois pour toutes, sur les termes de ce que l’on peut faire », a déclaré, à RFI, Jean-Pierre Kalamba Mulumba, rapporteur de la Céni.
Reste que pour le moment, opposition et majorité ne sont pas d'accord sur le fait de décaler, ou non, certains scrutins pour garantir la tenue de la présidentielle dans les délais.
De leur côté, les partenaires et notamment la Mission de l'ONU au Congo a précisé que l'aide financière et logistique ne serait accordée qu'à certaines conditions comme l'existence d'un espace politique apaisé où chaque opinion peut s'exprimer ou encore le respect des droits de l'homme et la tenue d' élections crédibles."
"L'ONU soutiendra les élections en RDC si le processus est "crédible" (Monusco)
(AFP 12/06/15)
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/lonu-soutiendra-les-elections-en-rdc-si-le-processus-est-credible-monusco
Le directeur de la division des Affaires politiques de la Mission de l'ONU en RDC (Monusco), Ray Torres.
La communauté internationale veut avoir l'assurance que le processus électoral en cours en République démocratique du Congo sera "crédible" avant de pouvoir y apporter son soutien, a déclaré vendredi un responsable onusien à Kinshasa.
"Le conseil de sécurité nous a demandé de conditionner [notre] appui logistique et technique [aux élections] à certains points", a déclaré à la presse le directeur de la division des Affaires politiques de la Mission de l'ONU en RDC (Monusco), Ray Torres.
"Il est important pour les Nations unies qu'il y ait pendant la période pré-électorale, électorale, et même après élection un espace politique adéquat, que les droits de l'Homme soient protégés et promus, que le processus, en soi, soit crédible", a ajouté M. Torres.
M. Torres s'exprimait à l'issue d'une rencontre avec la Commission électorale nationale indépendante (Céni) et certains membres du gouvernement.
La situation politique est tendue en RDC à l'approche d'une série de scrutins devant s'achever en novembre 2016 par une élection présidentielle à laquelle la Constitution interdit au président Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001, de se présenter.
L'opposition dans son ensemble et une partie de la majorité soupçonnent M. Kabila de chercher à tout faire pour se maintenir au pouvoir au-delà du terme de son mandat.
Les principales tendances de l'opposition jugent irréaliste le calendrier électoral annoncé par la Céni, qui prévoit la tenue de quatre scrutins au suffrage direct (et plusieurs autres élections indirectes) en treize mois.
Début juin, le président Joseph Kabila a entamé des consultations politiques en vue de la tenue d'un "dialogue national" destiné à obtenir un consensus sur les élections.
L'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti historique de l'opposition, a déclaré être prête à y participer, à condition que ce dialogue soit animé par un médiateur étranger.
Les deux autres grands partis de l'opposition ont déjà signifié leur refus, voyant dans ces discussions une manœuvre du chef de l'Etat pour retarder son départ.
L'Union européenne et les Etats-Unis, qui ont dit à plusieurs reprises être prêt à soutenir financièrement l'organisation des élections en RDC, tardent à débloquer des fonds au profit de la Céni.
Lors d'une rencontre avec M. Kabila, jeudi, les représentants de l'Union européenne et des Nations unies ont indiqué que l'ONU et l'UE comptaient limiter leur soutien, sous conditions, à la présidentielle et aux législatives de 2016."
PPS
Aux (mes) dernières infos(!) "JK", le monstre froid impuni fomenterait un plan encore plus diabolique : au cas où il n'obtiendrait pas un dialogue crédible (càd avec la participation des opposants représentatifs dont d'abord l'Udps (gare encore à elle!!!) et selon son projet), il en conclurait un à sa dévotion et surtout s'y préparerait à défier la CI en récusant exprès toutes ses recommandations avec sous le coude une résistance militaire dissuasive à toute intervention même armée de sa part !
Bref le chaos stratégique en réponse au soulèvement populaire inévitable auquel il répondra sans le moindre ménagement et en profitera pour légitimer un état d'urgence !
Quoi de mieux pour s'arroger tous les droits pendant encore longtemps bien au delà de 2016 !
Son armée, sa police, ses services de renseignement et ses alliés voisins seraient fins prêts pour cette solution finale à travers le pays et aux frontières...
A bon entendeur...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
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ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
ndonzwau a écrit:[..]
PPS
Aux (mes) dernières infos(!) "JK", le monstre froid impuni fomenterait un plan encore plus diabolique : au cas où il n'obtiendrait pas un dialogue crédible (càd avec la participation des opposants représentatifs dont d'abord l'Udps (gare encore à elle!!!) et selon son projet), il en conclurait un à sa dévotion et surtout s'y préparerait à défier la CI en récusant exprès toutes ses recommandations avec sous le coude une résistance militaire dissuasive à toute intervention même armée de sa part !
Bref le chaos stratégique en réponse au soulèvement populaire inévitable auquel il répondra sans le moindre ménagement et en profitera pour légitimer un état d'urgence !
Quoi de mieux pour s'arroger tous les droits pendant encore longtemps bien au delà de 2016 !
Son armée, sa police, ses services de renseignement et ses alliés voisins seraient fins prêts pour cette solution finale à travers le pays et aux frontières...
A bon entendeur...
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"12 Juin 2015
Flash : "Joseph Kabila" prépare-t-il la "guerre"?
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9989
Un char amphibie lors d’une parade militaire à Kinshasa
Selon des habitants de la ville de Lubumbashi, plusieurs chars amphibies sont arrivés jeudi 11 juin dans le chef-lieu de la Province du Katanga. Les observateurs s’interrogent sur le bien-fondé du déploiement de ces engins dans une Région qui n’est nullement le théâtre d’un conflit armé. Selon des analystes, les villes de Kinshasa, Lubumbashi et Goma seraient dans le "viseur" des "super faucons" du pouvoir kabiliste. Des "durs" du régime décidés à "aider" le "raïs" à arracher le "glissement" du calendrier électoral "par le dialogue ou par la force". Dans son article sur le défi auquel seront confrontés les présidents des deux Congo en 2016 (voir J.A. n °2839), le journaliste François Soudan, parlant de "Joseph Kabila", semble confirmer la volonté de celui-ci de vendre chèrement sa peau. "(...) : 2016 ne sera pas l’année de son dernier mot"; (...) on oublie un peu vite que, puisqu’il (Ndlr: "Joseph Kabila") contrôle l’usage légitime de la force et l’appareil sécuritaire, rien ne pourra se faire sans lui ni contre lui". Le dernier mot a été accordé par Soudan à Zoé "Kabila" : "J’espère que le prochain président saura maintenir notre unité".
Info Congo Indépendant "
Compatriotiquement!
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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"Dialogue : Kabila se dévoile !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6822&rubrique=POLITIQUE
*Il a parlé hier aux patrons de presse, du haut de son strapontin du Palais de la Nation, à la lisière de la Gombe. Serein mais déterminé, Kabila a, au fait, affiché une passion telle qu’il prêt à tout, y compris à se casser en mille morceaux, pourvu que les intérêts du Congo et la dignité de son peuple, la sauvegarde de sa souveraineté et la réalisation de son émergence puissent aujourd’hui plus que jamais triompher. Voilà pourquoi, lui qui a plus de dix mille choses à faire par jour, ne lésine pas sur les moyens pour s’acquitter de cette ambition sublime. Elections et calendrier électoral, sécurisation des élections, enrôlement des jeunes majeurs, financement des élections et, enfin, accompagnement ou non de la communauté internationale au processus électoral. Tels sont, en effet, les cinq dossiers clés qui méritent bien de figurer à l’ordre du jour du dialogue qui sera, très bientôt, convoqué. Le Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, qui n’exclut pas l’éventualité d’y inscrire d’autres matières, estime, plutôt, que les fils et filles de ce pays ont le droit et la liberté de se retrouver autour d’une table, pour lever des options fondamentales sur ces cinq dossiers qui, croit-il, revêtent un caractère prioritaire, si l’on veut favoriser la tenue des élections apaisées en RD. Congo. Tout en bannissant la réédition des incidents, tiraillements bigarrés ainsi que tous les autres événements hideux qui, en 2006 et 2011, avaient empoisonné le climat politique et sécuritaire dans le pays avant, pendant et après les élections, le Président de la République a, avec le recul de temps, résolu de se mettre à l’écoute de tout le monde, au travers des consultations, avant de passer, bien sûr, à l’acte, en déterminant, le moment venu, le format, les thèmes, le nombre de participants, le délai et la facilitation ou la médiation, éventuelle, pour la tenue effective de ce Dialogue, voulu national et inclusif. De son côté, la presse congolaise qui, par ailleurs, souhaite la tenue des élections apaisées, a proposé au Chef de l’Etat que ce dialogue ainsi envisagé, puisse déboucher notamment, sur un compromis politique autour d’un calendrier électoral réaliste. Plaidant pour des solutions rapides à ses problèmes spécifiques, outre l’épineuse question de l’aide de l’Etat qui, jusqu’ici, est demeurée entière, la presse a également demandé à Joseph Kabila, d’ordonner la relaxation des journalistes embastillés et la réouverture de quelques médias fermés. Un moratoire sur les arrestations des journalistes, par exemple, serait, exige-t-elle, l’une des meilleures actions pour l’assainissement de l’atmosphère politique et l’éclosion de la liberté de la presse et d’opinion, à la veille des échéances électorales.(...)"
"LES DESSOUS DE LA RENCONTRE ENTRE LE CHEF DE L’ETAT ET LA PRESSE CONGOLAISE
DIALOGUE : KABILA DÉVOILE LE NŒUD GORDIEN
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4489
* Le Président égrène, tel un chapelet, les cinq points pouvant nécessiter que les Congolais se mettent autour d’une table pour des élections apaisées.
Les cordonniers sont les plus mal chaussés. Dans la même veine, la presse parle de tout et de tout le monde, sauf d’elle-même. Hier jeudi 18 juin 2015, les responsables de médias congolais ont sacrifié au rituel du Palais de la nation. Consultations obligent. Occasion pour les journalistes de parler de leur lecture des enjeux de l’heure au chef de l’Etat et du rôle qui est le leur en cette période. Occasion surtout pour les majors de la presse congolaise de recueillir…quelques confidences du Président. Une saison au Palais.(...)"
"RDC : les élections pourront coûter 900 millions USD, selon Léon Kengo
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/18/rdc-les-elections-pourront-couter-900-millions-usd-selon-leon-kengo/
"Tripartite Ceni-Majorité-Opposition : José Makila interpelle Malumalu !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6816
° http://latempete.info/les-opposants-exigent-la-mise-en-place-dune-commission-tripartite-ceni-opposition-majorite/
° http://www.lephareonline.net/reactivation-de-la-commission-tripartite-lopposition-saisit-malumalu/
*Dans une lettre adressée à l’Abbé Malumalu, Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante, l’opposition politique congolaise, par le biais de José Makila, insiste sur la mise sur pied d’une commission tripartite CENI-MAJORITE-OPPOSITION qui devrait se pencher d’urgence sur les questions soulevées par l’opposition, en rapport avec le calendrier global électoral publié le 12 février 2015. Il faut souligner que l’idée de la création de cette commission est venue du Président de la CENI lors de son intervention dans une vidéo conférence réalisée en date du 25 mai dernier dans la salle des conférences de cette institution d’appui à la démocratie. Cette lettre, signée par José Makila, en sa qualité de Modérateur ad intérim de l’opposition, a pour objet d’attirer l’attention de l’Abbé Président Malumalu sur le fait que des nombreux problèmes auxquels la CENI fait actuellement face dans l’exécution de son calendrier, et vu le temps qui reste, l’opposition politique congolaise estime que cette commission devrait rapidement être mise sur pied, pour leur permettre d’avoir un calendrier global électoral consensuel devant conduire à l’organisation des élections transparentes et apaisées. Ci-dessous, l’intégralité de cette lettre adressée au Président de la CENI ! (...)"
"L’ordre du jour !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6815
Une délégation des responsables des organes de presse écrite et audiovisuelle, 39 personnes triées sur le volet, ont rencontré, jeudi 18 juin 2015, le Président de la République, Joseph Kabila, dans le cadre des Consultations pré- dialogue, à la Cité de l’Union Africaine. Même si la rencontre n’avait rien d’une conférence de presse pour que le Président se prête à des questions de journaliste sur le déroulement des Consultations, les professionnels des médias invités ont réussi à présenter à Joseph Kabila les difficultés de tout genre auxquelles fait face la presse nationale congolaise dans le travail de tous les jours. Ils ont surtout sollicité un moratoire des arrestations des journalistes. Mais, si le Président de la République les a convoqués, c’est dire qu’il avait des choses à communiquer. Son intervention a duré deux heures. Deux longues heures pour administrer la leçon du patriotisme aux journalistes congolais. Au finish, le message est passé. Puisqu’ils se sont engagés à accompagner le processus électoral en commençant par appuyer la tenue du dialogue politique. Un dialogue pour lequel le Président Joseph Kabila a circonscrit, pour la première fois, l’ordre du jour en cinq axes.
On cite, dans l’ordre, les élections et le calendrier électoral, la sécurisation des élections, le financement des élections, l’enrôlement de nouveaux majeurs et, enfin, la participation de la Communauté internationale au processus électoral. Toutes ces questions constituent, du point de vue du Président de la République, des matières devant faire l’objet du dialogue. Les opposants, eux, estiment que la CENI peut rectifier le tir en tenant compte des moyens à sa disposition. Ici, le problème n’est pas de savoir qui a tort ou qui a raison. C’est le Congo qu’il faut préserver. Les intérêts égoïstes devraient passer après. Joseph Kabila se pose, intérieurement, plusieurs questions. Il se demande ce qu’il doit faire et comment le faire pour que la paix règne au pays avant, pendant et après les élections. Il s’interroge sur la finalité d’une élection qui pourrait déboucher au chaos. Allusion faite clairement ici au climat très tendu observé en 2011 en marge des élections législatives et présidentielle du mois de novembre. Aucun candidat Président n’était en mesure de tenir son meeting de fin de campagne.
Déjà en 2006, l’abbé Apollinaire Malumalu, alors et toujours Président de la CEI (CENI), était obligé de proclamer les résultats de la présidentielle dans un blindé de la force onusienne. Maintenant que Joseph Kabila a donné l’ordre du jour du dialogue, en attendant les conclusions des Consultations, faut-il oui ou non aller dialoguer ? Pour le Président, la réponse est connue. C’est oui. Parce que c’est la voix de la sagesse. Si par l’absurde, la tendance générale se dessine contre le dialogue, il faudra en tirer toutes les conséquences. Cette hypothèse, le Président ne le souhaite pas"
"RDC: Joseph Kabila appelle les médias à travailler pour l’intérêt de la nation
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/19/rdc-joseph-kabila-appelle-les-medias-travailler-pour-linteret-de-la-nation/
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6821
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12635:rencontre-joseph-kabila-patrons-de-la-presse-il-faut-se-parler-pour-eviter-ce-que-la-rdc-a-connu-aux-elections-de-2006-et-2011&catid=90:online-depeches
"Kabila : « Les consultations ne sont ni un rêve… ni une vision »
° http://www.lephareonline.net/kabila-les-consultations-ne-sont-ni-un-reve-ni-une-vision/
"Après les consultations présidentielles : Vers une réunion d’évaluation avec les institutions étatiques
° http://latempete.info/apres-les-consultations-presidentielles-vers-une-reunion-devaluation-avec-les-institutions-etatiques/
Des initiatives plus déterminantes pour un avenir très proche en RDC pourraient avoir lieu la semaine prochaine
L’heure des évaluations serait déjà arrivée après environ 30 jours de laborieuses consultations menées par Joseph Kabila à Kinshasa avant d’être relayé par les gouverneurs dans leurs provinces respectives !
En effet, Joseph Kabila avait pris langue avec différents groupes d’intérêt politiques, économiques et socio-culturels représentés dans la capitale du pays.
Au nombre de ces groupes sont venus s’ajouter des Ambassadeurs et des Chefs de missions diplomatiques accrédités en RDC avant de retrouver dans le lot des éminents invités des Députés nationaux et des Sénateurs avant de clôturer la longue série de consultés de la semaine par desreprésentants de la presse nationale conduits auprès de Joseph Kabila par le ministre en charge de l’information et Porte-parole du gouvernement Lambert MendeOmalanga !
Une réunion interinstitutionnelle pourquoi faire
Mais que va-t-il donc se passer après les consultations menées par J. Kabila à Kinshasa ? Quel temps prendront encore les consultations présentement orchestrées par les gouverneurs de provinces à la demande expresse et pour le compte de Joseph Kabila avant la tenue du dialogue politique inclusif très attendu par tous ?
Des informations de sources généralement bien informées indiquent sans plus de précisions que les plus hautes instances politiques du pays ont convoqué une réunion inter institutionnelle (regroupant différentes institutions étatiques) dont les assises sont prévues ce week-end dans la Capitale du pays.
Selon les mêmes sources, cette réunion dont on dit qu’elle sera d’une importance capitale a pour but d’aplanir toutes les divergences apparues au coursde consultations menées par Joseph Kabila.
De là on s’empresse à affirmer que Joseph Kabila partirait de ses observations accumulées au cours de trois semaines de consultations écoulées pour tirer toutes les leçons des avis et considération exprimées par les groupes et personnalités rencontrés par le précité.
Sauf changement de dernière minute, c’est la semaine prochaine que Joseph Kabila pourrait s’adresser à la nation pour annoncer son point de vue sur les options éventuelles à lever concernant la marche à suivre dans le recherche de solutions aux différents problèmes soulevés par toutes les parties au cours des consultations qui se poursuivent encore de nos jours en provinces !"
"RDC: consultations politiques dans les provinces
° http://www.rfi.fr/afrique/20150618-rdc-consultations-politiques-provinces-kabila/
"Un "dialogue" sans thème ni objectif
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10009
Quel objectif poursuit donc "Joseph Kabila" à travers les "consultations préliminaires" qu’il a amorcées depuis le 2 mai dernier en chargeant le patron de l’ANR (Agence nationale de renseignements), Kalev Mutond, à prendre langue avec les directions de l’UDPS, de l’UNC et du MLC? C’est la question qui taraude les observateurs de la politique nationale congolaise.
Depuis le 8 juin, "Joseph Kabila" a repris le "dossier". Il a commencé des "consultations préliminaires" avec les "forces vives" de la Nation. Un aveu implicite de la déconfiture de la mission confiée initialement à Kalev, un personnage antipathique, perçu par ses interlocuteurs comme un "bourreau". Un bourreau qui va à la rencontre de ses victimes.
Près de deux semaines après la montée en première ligne du "raïs", le flou reste total. L’homme reste muet non seulement sur le thème mais aussi sur l’objectif poursuivi. "Joseph" a oublié qu’il est à a tête d’un régime aux allures jacobines. L’impulsion doit venir du sommet ou ne viendra pas. En attendant, les interlocuteurs du Président se perdent en conjectures. (...)"
"RD Congo: Est-il opportun pour l’opposition de dialoguer avec un Président en fin de mandat ?
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12630:rd-congo-est-il-opportun-pour-l-opposition-de-dialoguer-avec-un-president-en-fin-de-mandat&catid=90:online-depeches
(...)
Cette divergence de vue sur la participation ou non à ce dialogue politique initié par le pouvoir en place crée une énième crise qui secoue et divise la classe politique congolaise.
Partant de l'hypothèse qu’il serait inopportun pour l'opposition congolaise de dialoguer avec un régime en fin de mandat, le Bureau International d’Études pour la Paix et le Développement (BIEPD) a élaboré cette étude qui vise à démontrer dans le contexte de la crise actuelle en RDC que le dialogue demeure l'approche la plus efficace.(...)"
"RDC : des enjeux électoraux connus d’avance
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10012
Officiellement, plusieurs compatriotes Congolais affirment que les consultations et le dialogue sont nécessaires pour des élections apaisées et respectueuses de la Constitution. Aucune remise en question du processus historique, politico-économique et social auquel a abouti la guerre de l’AFDL ne semble plus permise. Ces compatriotes ont endossé ‘’la fausse histoire ‘’ de la chasse de Mobutu par Laurent-Désiré Kabila. Ceux d’entre eux qui ont suivi le petit documentaire intitulé ‘’Le conflit au Congo. La vérité dévoilée’’ l’ont rapidement oublié. Cet autre documentaire, ‘’Rwanda’s untold story’’, n’a pas su bousculer leurs convictions. Faisant la politique de l’autruche, ils passent à côté de certains enjeux capitaux de la politique menée au Congo-Kinshasa. Nous en étudions trois. Ils nous semblent cruciaux.(...)"
"Kabeya N’Kashama Mutoke: « Le dialogue ne peut pas se faire n’importe comment, au risque de conduire à l’inverse des résultats escomptés »
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12634:kabeya-n-kashama-mutoke-le-dialogue-ne-peut-pas-se-faire-n-importe-comment-au-risque-de-conduire-a-l-inverse-des-resultats-escomptes&catid=90:online-depeches
La classe politique congolaise en République démocratique du Congo (RDC) réagit diversement au dialogue national proposé par le président Joseph Kabila. Les uns sont pour et les autres le jugent inopportun.
Interrogé par Lepotentielonline.com, Kabeya N'Kashama-Mutoke, secrétaire national adjoint aux relations extérieures chargé de la Francophonie et des relations avec les partis politiques étrangers au sein du Congrès des Démocrates pour le Progrès Social (CDPS), donne le point de vue de son parti sur ce sujet.(...)"
"Face B des Consultations : PPRD - MSR, deux visions opposées !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6793&rubrique=POLITIQUE
"RDC: toujours pas de dialogue entre le pouvoir et l’opposition
° http://www.rfi.fr/afrique/20150617-rdc-toujours-pas-dialogue-entre-le-pouvoir-opposition-kabila-makila/
° http://www.lephareonline.net/lopposition-persiste-et-signe-non-a-tout-dialogue-initie-par-kabila/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/17/rdc-consultations-minaku-il-faut-dabord-vider-les-arrieres-electoraux/
° http://www.lephareonline.net/kabila-et-deputes-daccord-les-arrieres-electoraux-dabord/
"Consultations à Kinshasa : Martin Fayulu repousse l’offre de Kimbuta
° http://www.lephareonline.net/consultations-a-kinshasa-martin-fayulu-repousse-loffre-de-kimbuta/
° http://www.lephareonline.net/consultations-a-kinshasa-kimbuta-diongo-langage-des-sourds/
° http://latempete.info/franck-diongo-voit-dans-les-consultations-nationales-un-piege/
"Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10008
"Ça chauffe !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6794
Ils étaient près de 350 Députés nationaux au rendez-vous avec le Chef de l’Etat, Joseph Kabila, à la Cité de l’Union Africaine hier, mardi 16 juin 2015, un jour après la clôture de la session ordinaire de mars. La rencontre s’inscrivait dans le cadre de l’opération consultations en vue du dialogue national. De ce face-à-face, trois questions majeures : dialogue, élections et installation de nouvelles provinces. Du dialogue, une évidence se précise. C’est le vœu de tout le monde, a-t-on fait savoir. En effet, à la position clairement exprimée par la représentation nationale, se joint celles d’autres partis politiques et groupes sociaux déjà consultés. Ils ont planché dans le même sens. Seulement, ils tracent une limite à ne pas franchir. C’est-à-dire, oui au dialogue, mais ne pas sortir du délai constitutionnel, ni chambouler ce qui est considéré comme acquis, au plan institutionnel. Il est aussi des partis politiques qui ont rejeté l’offre du dialogue ; estimant qu’elle est inopportune. C’est aussi l’expression de la démocratie. Point n’est besoin de les en vouloir ou de leur tirer à boulet rouge.(...)"
"A L’ÈRE ET À L’HEURE DES ÉLECTIONS « PRIORITAIRES » !
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4468
Le Potentiel titre « Dialogue politique en vue : Etienne Tshisekedi sollicité pour organiser l’opposition en ordre dispersé » ° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=201988&Actualiteit=selected
° http://groupelavenir.org/recevant-les-groupes-parlementaires-et-les-presidents-des-assemblees-provinciales/
° http://www.rfi.fr/afrique/20150615-rdc-gouverneurs-appeles-poursuivre-consultations-dialogue-national-joseph-kabila/
"Consultations nationales : seul Kabila est habilité à convoquer le dialogue
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6748
"En attendant le dialogue sous condition : derrière Tshisekedi, Lisanga décline les Consultations!
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6765
"Gagnez du temps !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6768
"Freddy Matungulu dit non à un dialogue de dupes
° http://latempete.info/freddy-matungulu-dit-non-a-un-dialogue-de-dupes/
Pour » Congo Na Biso « , le gouvernement et la Majorité présidentielle ne sont pas crédibles
à tous les niveaux
A travers un communiqué de presse publié le week-end dernier, Freddy Matungulu, président du parti politique Congo Na Biso (CNB), dit non à un dialogue de dupes. Pour lui, l’expérience des concertations nationales de 2013 a clairement établi que le gouvernement et la Majorité présidentielle » ne sont pas crédibles à tous les niveaux « . » Dans ces conditions, comment peut-on dialoguer avec eux ? « , se demande Congo Na Biso.
Ce parti réitère donc son refus de participer au dialogue politique aux contours flous. Il exclut toute implication compromettante dans un dialogue de dupes.
Au regard de la mauvaise foi manifeste des dirigeants en place, Congo Na Biso ne participerait au dialogue que si les deux conditions suivantes sont réunies, peut-on lire dans ce communiqué de presse. Premièrement, que les discussions se déroulent sous la médiation d’une personnalité neutre très respectée de la trempe de Koffi Annan, par exemple.
Deuxièmement, qu’il y ait un accord préalable sur les matières à examiner, qui doivent explicitement exclure le « glissement » et toute idée de formation d’un nouveau gouvernement.
Du positionnement de Congo Na Biso
Congo Na Biso, à en croire le communiqué, est « l’Eglise au milieu du village ». Cette formation politique s’identifie à la population congolaise et veut être alliée de tout acteur politique fiable qui souhaite et recherche dans les faits, pas en paroles seulement, le bien-être du peuple congolais. Congo Na Biso entend donc tracer son propre chemin avec tous ceux qui partagent sa vision politique.
D’ailleurs, Freddy Matungulu a des ambitions au plus haut sommet de l’Etat. Pour y parvenir, il a ménagé sa monture à travers Congo Na Biso.
Il rêve d’un Congo grand, avec un peuple digne. Son retour à Kinshasa est pour bientôt. L’opinion nationale sera fixée le moment venu"
° http://www.lephareonline.net/depot-des-candidatures-pour-les-elections-provinciales-la-ceni-fait-etat-de-700-doublons/
° http://www.lephareonline.net/decoupage-arrieres-electoraux-loi-sur-la-repartition-des-sieges-porte-ouverte-au-glissement/
° http://latempete.info/respect-du-calendrier-electoral-et-rejet-du-projet-de-loi-sur-la-repartition-des-sieges-la-ceni-en-difficulte/
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4458
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4470
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4458
° http://www.lephareonline.net/kabila-et-deputes-daccord-les-arrieres-electoraux-dabord/
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12625:kinshasa-kabila-et-les-senateurs-envisagent-la-tenue-de-toutes-les-elections-en-une-fois-et-leur-financement-a-moins-de-900-millions-usd&catid=90:online-depeches
http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-reprise-du-signal-de-la-chaine-de-leglise-catholique-apres-cinq-mois-de-coupure
° http://www.lephareonline.net/processus-electoral-kengo-dit-non-a-deux-calendriers/
° http://latempete.info/consultations-presidentielles-hier-la-session-extraordinaire-tres-envisagee/
° http://latempete.info/consultations-presidentielles-en-vue-du-dialogue-politique-jonas-tshombela-tire-les-choses-au-clair/
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6773
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/12/steve-mbikayi-il-est-hors-des-questions-je-sois-derriere-kamerhe/
""Joseph Kabila" : "La démocratie commence à nous coûter très cher..."
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10010
"Joseph Kabila" commence-t-il à tomber le masque? Selon des sources bien informées, la phrase citée en titre a été prononcée, mardi 16 juin, par l’homme qui avait promulgué, un certain 18 février 2006, la Constitution qui régit le Congo-Kinshasa. Une Constitution qui met un accent particulier notamment sur "l’Etat de droit", "l’alternance démocratique" et la nécessité de "contrer toute tentative de dérive dictatoriale". "Joseph Kabila" a articulé ces mots lors de sa rencontre avec 250 députés nationaux. Ceux-ci étaient conduits à la Cité de l’Union Africaine que leur président Aubin Minaku.
Selon plusieurs sources présentes à cet entretien, "Joseph Kabila" a commencé par s’assurer qu’il n’y avait pas des "oreilles ennemies" dans la salle. "J’espère qu’il n’y a pas de camera et que personne n’enregistre cette rencontre", lançait-il. Et d’ajouter avec une pointe d’amertume : "J’espère que nous sommes en famille. Car ces derniers temps, dès qu’on dit quelque chose c’est vite sortie à l’extérieur".
Après ces précautions oratoires, "Joseph Kabila" s’est lâché : "Je trouve que la démocratie commence à nous coûter très cher! En 2006, il a fallu débourser 450 millions de dollars américains. En 2011, il ne fallait pas moins de 700 millions". Après un petit moment de silence, il poursuit : "Je commence à me demander si nous avons besoin de démocratie ou de développement. L’argent englouti dans les élections ne devait-il pas servir plutôt aux projets de développement?".
Il ne faut surtout pas compter sur Aubin Minaku pour divulguer ce genre d’"anecdotes". Dans son compte-rendu d’entretien, le président de l’Assemblée nationale s’est contenté de déclarer que les élections auront bel et bien lieu en dépit des "contraintes d’ordre financier". Le locuteur d’afficher le même optimisme en ce qui concerne le découpage territorial.
Le numéro un du bureau de la Chambre basse du Parlement a, par ailleurs, réitéré sa déclaration faite le 13 mai dernier à l’issue d’une réunion tenue à la ferme de Kingakati sous la présidence de "Joseph Kabila". A savoir que le "calendrier électoral global" doit être appliqué tel que prévu. Autrement dit, le processus électoral doit commencer par les élections locales, municipales, urbaines et provinciales". Vive le "glissement"!
A en croire Minaku, "Joseph Kabila" attacherait une "haute importance" à la démocratie locale. Tiens! Tiens! C’est ainsi "qu’il est impérieux d’organiser une session extraordinaire à l’Assemblée nationale afin que soit adopté le projet de loi portant répartition des sièges pour les élections locales". Le texte dont question a été rejeté suite à des "incohérences graves" commises au niveau du ministère de l’Intérieur. Un député de commenter : "Joseph Kabila trouve toujours de l’argent lorsque ses intérêts personnels sont en jeu. En 2011, il avait, grâce à ses amis juifs et indopakistanais, trouvé les 750 millions nécessaires pour l’élection présidentielle et les législatives. Pour les autres scrutins, le président de la défunte Commission électorale indépendante, Daniel Mulunda Ngoy, répétait à qui voulait l’entendre : il n’y a pas d’argent".
Combien coûtent les élections?
Mercredi 17 juin, "Joseph Kabila" a reçu, au même lieu, le président du sénat, Léon Kengo wa Dondo, et une délégation composée de 70 sénateurs.
A l’issue de cette entrevue, le numéro un de la Chambre haute du Parlement a fixé l’opinion sur le coût des scrutins à organiser au nombre de sept. Selon lui, les consultations politiques à venir nécessiteraient un montant de 900 millions de dollars américains. «On avait prévu au départ 1 milliards 200 millions $ US, aujourd’hui avec le rabattement, on arrive grosso modo à 900 millions. Mais c’est toujours beaucoup», a-t-il dit.
On s’éloigne ainsi de l’estimation maximaliste faite le 12 février par le vice-président de CENI, Mpungwe Somwe. Comment est-on passé de 1 milliards 200 millions à 900 millions? Mystère. Aucune ventilation des dépenses n’a été mise à la disposition du public.
Lors d’un séjour à Bruxelles, le président de la CENI, Apollinaire Malumalu, a été "auditionné" le 21 janvier 2014 à la Commission des Relations extérieures de la chambre et du sénat du Royaume de Belgique. Il avait, à cette occasion, estimé le coût de l’ensemble des opérations électorales à 750.212.788 $ US.
Pour éviter une nouvelle crise post-électorale, des voix commencent à s’élever pour plaider en faveur d’un "calendrier consensuel". Un calendrier qui donne préséance à l’élection présidentielle couplée aux législatives. Ces scrutins seront suivis par le vote au niveau provincial et sénatorial. C’est l’avis des représentants des forces politiques et sociales. C’est également le point de vue de la "communauté internationale". On le sait, la contribution financière de celle-ci est attendue et souhaitée. L’objectif, disent les défenseurs de ce calendrier inversé, serait "de minimiser le coût et de garantir l’impartialité des pouvoirs publics."
Le dernier mot revient à un analyste politique kinois : "Etrangement, au cours des deux rencontres avec les parlementaires, le 16 et 17 juin, Joseph Kabila est apparu absent et méconnaissable. Il semblait ailleurs. L’homme a perdu de sa superbe. Il n’a donné aucune orientation aux consultations préliminaires devant aboutir au dialogue. Je commence à me demander franchement s’il y a un capitaine à bord du navire Congo...""
RDC: le gouvernement rétablit le signal des médias catholiques après cinq mois de coupure
° http://www.voaafrique.com/content/le-gouvernement-retablit-le-signal-des-medias-catholiques-apres-cinq-mois-de-coupure/2828120.html
° http://radiookapi.net/en-bref/2015/06/19/kinshasa-reouverture-de-radio-elykia-rtce/
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-reprise-du-signal-de-la-chaine-de-leglise-catholique-apres-cinq-mois-de-coupure
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"Elections en RDC: les divergences perdurent
° http://www.rfi.fr/afrique/20150620-election-presidentielle-rdc-joseph-kabila-critiques-parlement-dondo/
En RDC, voilà quinze jours que le président congolais a initié des consultations avec tous les acteurs de la société civile. Cette semaine, il a reçu les députés, les sénateurs, les patrons de presse et les étudiants. A chaque fois, le message est le même : il faut aller aux élections dans un climat apaisé et soutenir le processus de paix initié par le parti au pouvoir. Reste que les différentes personnalités que Joseph Kabila a rencontrées ont exprimé des points de vue divergents. Les plus flagrantes étant celles entre la chambre basse et la chambre haute.
Pour le président de l'Assemblée nationale, Aubin Minaku, plus question de toucher au calendrier électoral. Toutes les élections sont importantes et il faut toutes les organiser.
Mais cette exigence ne dit rien sur la façon de procéder pour respecter ce calendrier. Le gouvernement n'a toujours pas annoncé quelle somme sera débloquée pour financer les sept scrutins. Aucun matériel électoral n'a été commandé. Enfin, la loi sur la répartition des sièges, préalable à l'organisation des locales a été rejetée par les députés. Une session extraordinaire devrait être convoquée sous peu pour permettre l'adoption de cette fameuse loi.
De son côté, le Sénat a eu des propos beaucoup plus critiques sur le processus en cours. Son président, Léon Kengo Wa Dondo, a proposé de revoir le calendrier pour le rendre plus réalisable, quitte à regrouper un certain nombre de scrutins. Il a aussi appelé à ce que l'enveloppe de plus d'un milliard de dollars pour financer les élections soit réduite.
Enfin, selon lui, il faut absolument intégrer les nouveaux majeurs. Ces cinq ou dix millions de jeunes — personne ne sait exactement — devenus majeurs après 2011, pour qu'ils puissent voter à chacune des élections. Ces positions plutôt éloignées de celles de la majorité rappellent l'appartenance du président du Sénat à l'opposition.
Face à ces divergences, Joseph Kabila a prévu d'organiser une réunion entre les deux chambres. L'objectif est d'harmoniser leurs positions, car ces divisions risquent de ne pas être tenables très longtemps. Cette réunion inter-institutionnelle devrait être organisée en début de semaine prochaine."
"Félix Tshisekedi : "Je n’ai jamais signé de pacte avec Joseph Kabila"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10015
Après plusieurs semaines passées à Kinshasa et dans l’arrière-pays, Félix Tshisekedi Tshilombo, secrétaire national de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), chargé des Relations extérieures, a animé, vendredi 19 juin, un point de presse au "Press Club Brussels" situé à un jet de pierres du siège de l’Union Européenne. Dans un mot introductif d’une durée de dix minutes chrono, l’orateur a évoqué deux sujets. D’une part, la nécessité d’un "dialogue" pour conjurer "le chaos post-électoral annoncé" et d’autre part, les "rumeurs" faisant étant d’un pacte qu’il aurait conclu avec "Joseph Kabila".(...)""FLASH !Confidences de Kalev Mutond à Bruxelles & Reunion « discrète » de la MONUSCO à Nairobi !Kalev Mutond s’est confié à ses proches à Bruxelles: « Honoré Ngbanda est insaisissable et «Joseph Kabila» ne quittera pas le pouvoir en 2016 ! »
° http://www.apareco-rdc.com/index.php/a-la-une/actualites/2340-flash-confidences-de-kalev-mutond-a-bruxelles-reunion-discrete-de-la-monusco-a-nairobi.html
Dans sa parution du 11 juin 2015, L’œil du Patriote avait alerté les patriotes résistants congolais de la diaspora européenne de la présence impromptue à Bruxelles de l’ange exterminateur d’Hyppolite Kanambe. Notre rédaction félicite la vigilance et la mobilisation des patriotes de Bruxelles qui ont déniché et localisé la taupe malgré la protection de 10 agents civils de sécurité belge commis à sa protection durant tout son séjour. Jamais un chef des services congolais n’a bénéficié d’une telle escorte de sécurité. Durant tout son séjour, le prétentieux patron de l’A.N.R. a été obligé de raser les murs. Signe que la peur a réellement changé de camp !
Effectivement, pour rencontrer ses proches, Kalev leur a donné rendez-vous dans un coin secret de Bruxelles où il a eu un échange avec eux. L’un des sujets principaux fut la Résistance congolaise. Personne parmi les taupes de Kalev n’a su lui fournir la moindre indication sur les mouvements du leader de la résistance. Devant ce constat, Kalev leur fit savoir la difficulté qu’ils éprouvent au niveau des services civils et militaires à localiser Honoré Ngbanda pour le neutraliser: «le raïs exerce une forte pression sur nous pour le neutraliser, mais malgré tous les moyens énormes que nous avons déployés, Ngbanda demeure toujours insaisissable. Et c’est l’homme qui dérange et dénonce tous nos plans d’action jusqu’ici.» Abordant ensuite le fameux problème du dialogue national, ses proches lui ont demandé la raison de ses activités débordantes de ce dernier temps. Kalev n’y est pas allé par quatre chemins : «Sachez que l’avenir du pays est aujourd’hui incertain pour nous. Il est important que chacun de nous sache bien se tenir car nous sommes engagés dans une droite ligne maintenant. Il faut savoir préparer les moyens de survie pour demain. Nous nous attendons à tout, même au pire. Car ceux des Congolais qui croient naïvement que le raïs va leur céder le pouvoir en 2016 attendront très longtemps ! C’est une question de vie ou de mort! C’est pourquoi je me prépare en conséquence pour l’avenir. C’est le temps de se faire de l’argent avant que le déluge arrive.» Kalev sait de quoi il parle. Il est en contact avec les diplomates et les agents des services américains à Kinshasa qui ne lui cachent plus leur détermination à se débarrasser de leur ancienne marionnette Hyppolite Kanambe.Réunion «discrète» de la Monusco à Nairobi : James Kabarebe y annonce l’envoi de 5000 militaires rwandais en renfort à l’Est de la RDC!
Les auteurs du complot de la balkanisation de la RD-Congo sont loin de lâcher prise. Nos antennes basées à Kigali et à Kinshasa nous confirment que le patron de la Monusco a convoqué au courant du mois de mai dernier à Nairobi au Kenya, une réunion «discrète» sur la situation en RD-Congo. Cette messe noire a réuni trois délégations : le Rwanda et l’Ouganda qui étaient représentés par James Kabarebe, la délégation du gouvernement de la RD-Congo était conduite par François Mwamba et la Communauté internationale était représentée par la Monusco dont le patron présidait la réunion qu’il avait convoquée. Dès l’ouverture de la réunion, la délégation du gouvernement congolais fut traduite à la barre par le patron de la Monusco qui l’interpela pour savoir d’abord combien d’éléments des FDLR ont été capturés par les FARDC depuis qu’elles ont déclenché l’opération pour leur neutralisation ; et à combien d’hommes le gouvernement congolais estime la composition actuelles des FDLR opérant sur le territoire congolais. Comme un prévenu devant ses juges, François Mwamba et son groupe se mettent à rendre compte à leurs maîtres. Le chef de la délégation congolaise répond qu’ils ont tués jusqu’ici 4 éléments FDLR et qu’ils estimaient leur nombre à 4000 hommes. Après cet exposé timoré, James Kabarebe tonne : «Quatre tués seulement depuis que vous avez reçu la mission! Combien de temps vous faudra –t-il pour les exterminer ? Vous prétendez que leur nombre est de 4000. Mais je vous informe que selon notre évaluation, leur nombre est estimé à 150 000 hommes. Voilà pourquoi nous avons décidé de renforcer nos troupes en RD-Congo. Je vous informe que nous allons envoyer 5000 hommes supplémentaires pour renforcer les 15.000 hommes de notre armée sur le terrain de l’opération. »
Interloqué par cette déclaration du général et ministre rwandais de la Défense, François Mwamba se retire avec son groupe hors de la salle de la réunion et appelle « Joseph Kabila » au téléphone pour lui rendre compte du déroulement de la réunion et de la déclaration du délégué du Rwanda. En guise de toute réponse, « Kabila » demande à la délégation congolaise de ne pas répondre et de plier bagage pour rentrer à Kinshasa. C’est sa manière de prendre acte des décisions annoncées par le Rwanda !
La classe politique congolaise actuelle porte une lourde responsabilité sur le processus de balkanisation en cours en RD-Congo à cause de son incompétence et son insouciance. Dans aucun pays d’Afrique la communauté internationale se moque des dirigeants politiques comme au Congo. Hier, la Monusco s’est dotée d’une Brigade spéciale d’intervention « rapide » pour neutraliser les « forces négatives » dont les FDLR. La Monusco a donné aux FDLR un ultimatum qui a expiré au mois de janvier 2015 pour recourir à la force. Brusquement, le représentant du Rwanda à Kinshasa, « Joseph Kabila » décide de lancer l’offensive tout seul, sans la Monusco. Et la Monusco laisse faire ! « Kabila » place des généraux rwandais à la tâte de l’opération qui ne produit aucun résultat. Et voilà que la même Monusco et le Rwanda en profitent pour décider d’envoyer les troupes rwandaises en RD-Congo pour terminer le boulot ! De qui se moque-t-on ? Quelle est cette élite congolaise incapable de comprendre le jeu qui se joue entre les deux dirigeants rwandais à Kigali et à Kinshasa avec la complicité de la Monusco ?
Comme ne cesse de le dire le leader de la Résistance congolaise Monsieur Honoré Ngbanda, l’ennemi du Congo c’est le Congolais lui-même d’abord! Les patriotes congolais doivent maintenant cibler TOUS les collabos congolais qui composent passivement ou activement avec l’ennemi de la nation. Nous sommes arrivés à un tournant décisif où le niveau de la tolérance est zéro ! La jeunesse doit sanctionner tout homme ou toute femme politique qui favorise de près ou de loin l’œuvre diabolique de l’occupation et de la balkanisation de la RD-Congo, notre pays.
Paris, le 19 juin 2015
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE"
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: EN SOMMES-NOUS AUJOURD'HUI A NOUS SATISFAIRE D'UN "DIALOGUE" POUVOIR/OPPOSITION RÉDUIT A UNE CONFRONTATION "JK" VS TSHISEKEDI (ET SON UDPS) ? QUEL EST LE BON DIAGNOSTIC DE CE QUI SEMBLE SE PRÉPARER DEVANT NOUS ?
"RDC: début d’une semaine très politique
° http://www.rfi.fr/afrique/20150622-rdc-debut-semaine-politique-joseph-kabila-parlement-elections-presidentielle-2016-o/
La semaine s’annonce chargée pour les hommes et les femmes politiques congolais et notamment pour le président Joseph Kabila. Lors de la dernière ligne droite des consultations, il sera question des futures élections locales. Le chef de l'Etat va s'entretenir avec les présidents des deux chambres du Parlement. Il pourrait dévoiler aux députés le contenu des doléances des citoyens.
Les dernières consultations du président Kabila doivent avoir lieu cette semaine. Les musiciens et les magistrats seraient parmi les derniers sur la liste. Et pour clôturer, le chef de l’Etat a prévu de convoquer une réunion interinstitutionnelle, dont une rencontre avec le président des deux chambres du Parlement.
C’est de cette réunion interinstitutionnelle que pourra être convenue la date de la convocation de la session extraordinaire du Parlement. Une session qui a été annoncée la semaine dernière à l’issue de la rencontre entre le président Kabila et les députés nationaux et que les membres de l’opposition avaient boycottée.
Cette session extraordinaire sera destinée à examiner le projet de loi sur la répartition des sièges pour les élections. Avec la possibilité d’adopter le texte qui, il y a une dizaine de jours, avait été rejeté à l’Assemblée nationale, aussi bien par l’opposition que par la majorité. Et déjà, l’opposition a décidé de sécher les séances de cette session extraordinaire, aux motifs qu’il s’agit d’un stratagème pour le président Kabila de se maintenir au pouvoir."
""Dialogue" : Qu’est ce qui fait courrir "Joseph Kabila"?
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10018
Depuis lundi 1er juin, "Joseph Kabila" dont le second et dernier mandat à la tête de l’Etat congolais expire le 19 décembre 2016 à minuit, "consulte" les "forces vives". Dans quel but? L’homme ne montre guère le chemin en indiquant la motivation de sa démarche. Il se contente de poser des questions sur le calendrier électoral, la sécurisation et le financement des élections, l’enrôlement de nouveaux majeurs. Cet activisme inhabituel de la part d’un responsable politique qui devrait être occupé à faire ses "cartons" surprend. Où voudrait-il en venir? "Joseph Kabila" voudrait-il, à l’instar de certains potentats africains, signifier à "son" peuple qu’il a le choix entre "lui ou le chaos"? Le jeudi 18 juin, "Kabila" a reçu une quarantaine de représentants de la presse congolaise. L’échange trahit d’un côté l’amnésie d’un pouvoir agonisant et de l’autre, la vénalité de quelques "confrères" qui ont semblé ignorer qu’un organe de presse - un vrai - est avant tout un "contre-pouvoir". Un "chien de garde" de la démocratie. Et non un instrument de propagande ou un agent publicitaire.
Une parenthèse. "Joseph Kabila" a reçu le vendredi 19 juin, les "représentants" des jeunes. On imagine que ceux-ci étaient les dignes "ambassadeurs" de la jeunesse congolaise. Et qu’ils étaient allés dire au chef de l’Etat l’aspiration de cette jeunesse oubliée à besoin d’un autre avenir. Hélas non!
Présidente d’une certaine "Union panafricaine de la jeunesse", une certaine Francine Muyumba a estimé que les "consultations" menées par "Joseph Kabila" "constituent un moment historique pour le devenir de la nation". "Moment historique" par rapport à quoi? L’organisation des élections générales constitue-t-elle un "moment historique"? Muyumba d’avouer que "Joseph Kabila" "a demandé aux jeunes d’éviter d’être manipulés par qui que ce soit, de protéger la souveraineté et l’intégrité territoriales de la RDC". On est où là? D’aucuns ne manqueront pas de s’esclaffer. Qui manipule qui dans ce pays où les puissants médias publics sont au service exclusif du "clan kabiliste"? Chef de l’Etat, "Joseph Kabila" ignore-t-il qu’il incombe non pas aux "jeunes" mais à l’armée de maintenir l’indépendance nationale et de défendre l’intégrité du territoire? Fermons la parenthèse.
Qu’est ce qui fait courir « Joseph Kabila » ? Pourquoi dépense-t-il tant d’énergie à «consulter» les « forces vives » sur l’avenir du pays alors qu’il se trouve à quelques dix-sept mois de l’expiration de son second et dernier mandat ? A-t-il encore un "rêve" à proposer? Lequel? Le rôle du Président sortant ne doit-il pas se limiter à assurer le bon fonctionnement des institutions jusqu’à la passation du pouvoir avec le Président entrant? Quelle est la motivation profonde de cet activisme socio-politique?
Le jeudi 18 juin, "Joseph Kabila" a reçu les représentants de la presse kinoise. Au nombre de quarante. De quoi ont-ils parlé?
La lecture de quelques comptes rendus laisse apparaître que la "consultation" a tourné autour de quatre points : le calendrier électoral global, la sécurisation et le financement des élections, l’enrôlement de nouveaux majeurs.
Les mêmes comptes rendus confirment que "Joseph Kabila" ne propose aucun thème ou objectif. Il se contente de poser des questions sur les matières reprises ci-haut. L’homme donne l’impression d’avoir un "agenda secret". Les consultations ne seraient qu’un immense écran de fumée.
Certains confrères ont osé écrire que "le chef de l’Etat est soucieux des enjeux de l’heure". Quels sont ces enjeux? Il semble que "Joseph Kabila" voudrait éviter au pays de connaître des violences post-électorales comme ce fut le cas en 2006 et 2011. Parlons-en! Qui était à la base des violences en 2006 et 2011? Qui menace la paix et la sécurité dans ce pays?
A propos du calendrier électoral, des observateurs ont du mal à concilier le manque d’argent claironné par le pouvoir kabiliste et la hargne avec laquelle ce même pouvoir défend le maintien du chronogramme tel que publié le 12 février dernier par la CENI (Commission électorale nationale indépendante). Autrement dit, le processus électoral devrait commencer par les élections locales, urbaines et municipales. Des élections dispendieuses. La rationalité n’impose-t-elle pas de donner priorité aux "élections majeures", à savoir la présidentielle, les législatives, les provinciales et les sénatoriales?
Un pouvoir imprévoyant
Il est surprenant d’entendre "Joseph Kabila" évoquer le manque d’argent pour financer les consultations politiques. "Elu" en 2011, l’homme pouvait-il ignorer que les citoyens allaient rentrer aux urnes en 2016 et qu’il fallait prévoir des dotations budgétaires annuelles pour faire face, le moment venu, à cette dépense? "Joseph Kabila", qui concentre les trois pouvoirs entre ses mains, n’a-t-il pas failli par imprévoyance?
Comme pour flatter le "patriotisme" de ses "interlocuteurs", il a brandi sous forme de question "le risque d’ingérence" en cas de contribution de la "communauté internationale" dans le financement des élections. Comble d’ironie, quand on sait qu’en 2006, la même communauté internationale a apporté une contribution égale à 85% du budget électoral. A l’époque, rien n’était trop beau pour permettre à "Joseph" de poser son postérieur sur le fauteuil présidentiel.
La question relative aux nouveaux majeurs s’est déroulée sur la même tonalité. Nul ne sait qui va décider quoi!
A maintes reprises, "Joseph Kabila" a fait allusion à la nécessité de se remettre à la "voie de la sagesse". Selon lui, il s’agit de se mettre autour d’une table pour "dialoguer".
Coïncidence ou pas, cette allusion à la "voie de la sagesse" n’est pas sans rappeler un "débat" (voir le site 7sur 7.cd) proposé par un mystérieux personnage qui se dissimule derrière une simple adresse mail (formationrdc2015@gmail.com). Le débat propose s’articule sur une question : "Entre le bon sens et l’alternance absolue : Qu’en pensez-vous?". On peut lire notamment : "Plusieurs Congolais, de façon unanime, pensent qu’il faudrait accorder un 3ème Mandat à Joseph Kabila non pas parce qu’on l’aime mais parce que demain, nous ne puissions pas nous retrouver dans la même situation que les Libyens après Kadhafi, les Irakiens après Saddam Hussein, les Egyptiens après Hosni Moubarak, (...)".
On le voit, certaines officines politiques tentent de manipuler l’opinion en présentant maladroitement "Joseph Kabila" en "homme providentiel".
Contre-pouvoir
On ne pourrait s’empêcher de regretter que les représentants des médias se soient présentés face à "Kabila" en "auxiliaires" du pouvoir politique. Des quémandeurs.
Ils ont raté l’occasion de signifier poliment mais fermement à "Joseph Kabila" les atteintes infligées au quotidien à la liberté de la presse. Des atteintes qui s’illustrent par l’arrestation des journalistes et la fermeture des médias aux lignes éditoriales politiquement incorrectes. Il est vrai que la délégation a demandé la libération des journalistes en détention et la réouverture de quelques médias fermés. C’est le cas notamment de RLTV et de CKTV.
Ils ont raté également l’occasion de faire comprendre à "Joseph Kabila" que la presse a besoin de l’aide publique à la presse et non d’une "obole" pour se comporter en "griot" d’un acteur politique fut-il chef de l’Etat.
Les représentants des médias ont enfin raté l’occasion de faire remarquer au "raïs" que le "respect de la vérité" est le premier devoir contenu dans la déontologie journalistique. Et que la presse fait partie de la société civile. Elle est et reste, à ce titre, un contre-pouvoir pour la simple raison que sa mission première est la défense de l’intérêt général.
Le jeudi 18 juin, "Joseph Kabila" a mis à nu sa volonté de transformer les journalistes en militants d’une cause. Celle de son maintien indéfiniment à la tête de l’Etat. Et ce, sous prétexte que la souveraineté nationale et l’intégrité du territoire ne pourraient être mieux garanties qu’aussi longtemps qu’il trônera à la tête du pays.
Le message du "raïs" commence à devenir "limpide" : "C’est moi ou le chaos!" "Joseph Kabila constitue une menace potentielle pour la paix et l’intégrité du territoire national", commente un confrère présent à cette entrevue à la Cité de l’Union Africaine."
"Parlement: l’opposition annonce son boycott d’une éventuelle session extraordinaire
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/22/parlement-lopposition-annonce-son-boycott-dune-eventuelle-session-extraordinaire/
Les groupes parlementaires de l’opposition refusent de participer à une session extraordinaire qui serait convoquée pour débattre du projet de loi portant répartition des sièges par circonscription électorale pour les élections municipales et locales. Ce texte avait été recalé par la plénière de l’Assemblée nationale pour «des incohérences et de fausses statistiques». Dans leur déclaration faite dimanche 21 juin à Kinshasa, les Forces politiques et sociales réunies au sein de la «Dynamique pour l’unité d’action de l’opposition», estiment qu’une telle session contribuerait « à faire glisser le calendrier électoral.»
«A cette étape, l’opposition n’entend pas cautionner une démarche qui vise à juste faire valoir les élections locales comme un argument supplémentaire qui contribue à faire glisser le calendrier électoral. C’est ce que nous refusons», a affirmé le député Delly Sessanga, lisant la déclaration commune des membres de la Dynamique pour l’unité d’action de l’opposition.
Le président de l’Envol a évoqué les préalables posés par les opposants pour la suite apaisée du processus électoral:
«Nous pensons que les élections locales, pour lesquelles on veut convoquer une session extraordinaire, doivent impérativement être postposées afin de tenir compte des exigences légales et constitutionnelles, qui veulent que non seulement les nouveaux majeurs soit enrôlés, mais que l’on puisse clarifier la cartographie des entités à la base qui ont été créées en désordre.»
La Dynamique pour l’unité d’action de l’opposition regroupe plusieurs partis et cartels politiques de l’opposition, dont l’UDPS, le MLC, l’UNC, l’Ecidé, RCD/KML, l’Udemo.
Le président Joseph Kabila a souligné la semaine dernière la nécessité de convoquer une session parlementaire pour notamment examiner et adopter le projet de loi portant répartition des sièges pour les élections locales. Il l’a exprimé lors d’un entretien avec une délégation de députés conduite par Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale, dans le cadre de ses consultations en vue d’un dialogue national."
° http://www.lephareonline.net/lopposition-dit-non-a-la-session-extraordinaire-du-parlement/
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6834
° http://latempete.info/dans-une-declaration-rendue-publique-hier-lopposition-rejette-la-session-extraordinaire/
"Anticiper!
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6832
Le week-end, le décor d’une crise politique a été planté en RDC. L’Opposition parlementaire –Assemblée nationale et Sénat- a rejeté la session extraordinaire du Parlement convoquée pour le 1er juillet prochain. Une session à laquelle le Président de la République, qui en est à l’origine, a inscrit 3 points à l’ordre du jour. Parmi ces points, il y a l’examen et adoption de la loi portant répartition des sièges aux locales, ainsi que la loi portant Statut des chefs coutumiers. Les parlementaires de l’Opposition, devenus très allergiques à tout ce qui peut alourdir le processus électoral, tel un chien échaudé qui craint l’eau, voient en la session de juillet une occasion pour le pouvoir de mettre en place des mécanismes de glissement. C’est aussi pour les mêmes motivations que les opposants au Président Joseph Kabila ont rejeté l’offre des consultations en prévision du dialogue national censé détendre l’atmosphère politique avant, pendant et après les élections de 2015 et 2016. Déjà en décembre 2014, les Députés de l’Opposition avaient jugé inopportune la session parlementaire extraordinaire relative à la loi électorale, fortement contestée par la rue en janvier 2015. Le rejet de la session extraordinaire de juillet 2015 intervient quelques jours après que le Président de la République ait circonscrit, au cours d’une rencontre avec les responsables des organes de presse, les matières devant être débattues au dialogue.
D’après ce qui a été rapporté, le dialogue se penchera sur cinq thématiques : les élections et le calendrier électoral, la sécurisation du processus électoral, le financement des élections, l’enrôlement des jeunes majeurs, et, enfin, l’accompagnement de la Communauté internationale. A l’analyse, on réalise que chacun des 6 points envisagés a une incidence sur le processus électoral. Le calendrier électoral du 12 février dernier, qualifié de global, a connu du retard dans son exécution. Certaines contraintes extérieures soulevées par la CENI n’ont pas été évacuées. Le 25 octobre prochain, la CENI a prévu de cumuler les provinciales aux locales. Or, jusqu’à ce jour, les candidats aux locales n’ont jamais été convoqués, faute de loi sur la répartition des sièges. Certains, comme le Président du Sénat, Léon Kengo, militent pour un calendrier unique, l’argent faisant défaut. La Majorité, au sortir d’une audience accordée par le Président Joseph Kabila, continue à affirmer le contraire. Tout le monde sait que l’enrôlement des jeunes nécessite un réaménagement du calendrier. S’il n’y avait pas eu les délais constitutionnels, les choses seraient plus faciles. Or, pour toutes les questions susceptibles d’empiéter sur les délais constitutionnels, un compromis politique est obligatoire. Sinon, c’est ouvrir grande la voie à la crise de légitimité et, dans une certaine mesure, de légalité avant d’en arriver à une crise institutionnelle. D’où, l’importance du dialogue politique pour fixer les choses.
Pendant que le Président Joseph Kabila consulte dans le but de créer les conditions d’un dialogue, l’on apprend que Tshisekedi Etienne, Président national de l’UDPS, va entamer, à Limete, ses consultations. A l’UDPS, on veut fédérer les partis d’Opposition pour un dialogue qui respecte l’esprit et la lettre de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, ainsi que les Résolutions 2211 et 2098 du Conseil de Sécurité de l’ONU. L’idée des Consultations séparées, d’un côté, ceux qui vont au Palais de la Nation ou à la Cité de l’Union Africaine, de l’autre, ceux qui iront à la rencontre de Tshisekedi, signifie que les acteurs politiques congolais ont conscience qu’à un moment ou un autre, il faudra discuter."
"AU TERME DE SES CONSULTATIONS AVEC DES FORCES VIVES DE LA NATION
KABILA À L’HEURE DES CHOIX
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article4501
Sauf changement de dernière minute, le chef de l’Etat devrait avoir bouclé, le week-end dernier, ou alors il devrait le faire en ce début de semaine, les consultations qu’il a initiées avec les forces vives de la nation et plusieurs autres invités. L’objectif est connu de tous, c’est de déblayer la voie en faveur de la tenue du dialogue politique national devant aplanir le chemin vers les élections. Trois semaines après, tous les regards sont tournés vers Joseph Kabila pour connaître la suite des évènements. Que va donc dire le Président ? La question est sur toutes les lèvres, tant de l’ensemble des Congolais que de la communauté internationale. Tout le monde attend, le souffle coupé. " Kabila seul devant sa conscience ", voilà qui résume le suspense actuel fait de tant d’interrogations sur l’avenir même du Congo-Kinshasa.(...)"
"4 vérités dans un mémo sur le Dialogue : Ligue du Peuple, Didier Mumengi répond à l’appel de Kimbuta ! "
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6846&rubrique=NATION
"Président de l´Alliance des forces congolaises/AFC : Prof Longa Fuamba Fanfan à la tête de la délégation de la diaspora au dialogue "
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6833
"Dialogue : le réveil du Congo profond…"
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6830
"Elections provinciales : la CENI convoque la Majorité et l’Opposition !"
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=6835
"RDC : le Gouvernement invité à se prononcer « clairement » sur le financement des élections"
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/20/rdc-le-gouvernement-invite-se-prononcer-clairement-sur-le-financement-des-elections/
"Entre le bon sens et l’alternance absolue : Qu’en pensez-vous
° http://7sur7.cd/new/entre-le-bon-sens-et-lalternance-absolu-quen-pensez-vous/
Plusieurs Congolais de façon unanime pensent qu’il faudrait accorder un 3ème Mandat à Joseph Kabila non pas parce qu’on l’aime mais parce que demain, nous ne puissions pas nous retrouver dans la même situation que les Lybiens après Kadhafi, les Irakiens après Saddam Hussein, les Egyptiens après Hosni Moubarak, les Tunisiens après Benali, les Brésiliens après LOULA et tout près de nous, nous ne voudrions pas que la RDC vive le sort de la RCA. Nous contemplons avec triste les dégâts usés par l’alternance dans tous ces pays jadis prospère aujourd’hui réduits en hécatombe. Ces pays sont abandonnés à triste sort.
Pour la continuité de la relance économique et de la stabilité politique gage du développement des Etats. C’est ce que tout le monde cherche et veut. En chine il n’y a pas la démocratie, mais le monde entier investit en chine à cause de la stabilité politique crée par les chinois.
La démocratie est une bonne chose cependant n’oublions pas que c’est aussi un moyen utilisé par les occidentaux pour déstabiliser les Etats du tiers monde à travers l’instrumentalisation de certains opposants à leur solde.
Ces politiciens qui ne respectent pas les constitutions de leurs partis politiques. Ils n’utilisent par chartes des voies démocratiques pour désigner leurs représentants dans les institutions par contre ces derniers exigent les respects de textes.
Nous ne nous laissons pas influencer par ces politiciens, qui sont des égoïstes, qu’ils se trouvent. Sinon, il faut appeler le déluge. Nous ne voulons pas du déluge, nous voulons le bonheur de ce extérieur du pays, tout le monde en parle ; Le Congo est entrain de décoller…
Envoyez vos commentaires à : formationrdc2015@gmail.com "
° http://7sur7.cd/new/face-aux-contraintes-financieres-la-majorite-veut-sacrifier-la-presidentielle-2016/
° http://www.lephareonline.net/kingakati-kabila-met-les-jeunes-en-garde-contre-lintox/
° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=12644:rdc-les-jeunes-exigent-l-enrolement-des-nouveaux-majeurs-s-engagent-a-oeuvrer-pour-un-processus-electoral-apaise&catid=90:online-depeches
° http://groupelavenir.org/elections-apaisees-vers-lenrolement-des-nouveaux-majeurs/
° http://radiookapi.net/emissions-2/parole-aux-auditeurs/2015/06/22/faut-il-organiser-les-elections-en-une-fois-ou-selon-le-calendrier-de-la-ceni/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/21/ngoyi-kasanji-il-est-bon-quon-degage-une-solution-par-rapport-au-calendrier-electoral/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/22/doublons-aux-provinciales-la-ceni-accorde-10-jours-aux-partis-pour-corriger-leurs-listes/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/10/aubin-minaku-aux-consultations-nous-soutenons-le-calendrier-electoral/
° http://radiookapi.net/actualite/2015/06/03/rdc-provinciales-17-410-candidatures-receptionnees-pour-711-sieges/
° http://7sur7.cd/new/minaku-cet-homme-travaille-contre-les-interets-de-joseph-kabila/comment-page-1/
° http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/pour-eviter-une-crise-interinstitutionnelle-kabila-tente-de-reconcilier-kengo-et-minaku
° http://www.rfi.fr/afrique/20150619-grands-lacs-mieux-defendre-activistes-droits-homme/
Compatriotiquement!
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