Il est vraiment intéressant notre président

Dans la logique vue ce qui se passe, il ne devrait pas voyager mais notre vénéré à des priorités........mawa plein. Jamais là où il faut.

Notre vénéré président ngoweooooooo kimokonzi elengi tic tac tic tac, le sang appelle le sang.

"Tout le monde sera là, at-il affirmé, content de lui, mais évidemment pas Kabila. Peut-être qu'il a eu peur de ne pas retrouver sa place, à son retour à Kinshasa..."
Sourires autour de la salle. Ce n'est pourtant pas drôle...."

Museveni avait declaré un jour : L´incapacité de Kabila est notoire, son inaptitude de diriger un aussi grand pays comme le Congo n´est plus à demontrer.
Mais pourquoi a-t-il peur de se présenter aux sommets? Putain de merde

v

Lubumbashi: Joseph Kabila inaugure l’hôtel Grand Karavia






sous Actualité, Katanga, Société. La fiin sur radio okapi












inauguration de l'hôtel Karavia de Lubumbashi

Le grand Karavia hôtel de Lubumbashi vient d’être inauguré ce mardi
15 juin pendant les après-midi par le président de la République,
Joseph Kabila.
Cet hôtel à 5 étoiles est opérationnel mais partiellement. Le
projet de réhabilitation de l’hôtel Karavia a été exécuté par
l’entreprise Lonrho, une firme britannique. Le cout des travaux est à
20 millions de dollars américains.
Signalons que ces travaux de réfection totale devraient en principe
se clôturer le 15 mai 2010 comme l’avait laissé entendre le
représentant de l’entrepreneur sur l’ouvrage.
Cependant, malgré ce retard, l’ouverture de tout à l’heure n’est pas
totale. Ce sont les parties communes : cuisine, réception ainsi que 60
premières chambres sur 250 qui seront ouverts au public.
Ces travaux, ont connu au moins deux interruptions suite à l’arrivé tardive des matériaux.=============================================================================
20 millions de dollars pour réhabilté un hôtel quand il y a des impayés de salares, quand les salaires ne suivent pas le coùt de la vie etc etc et notre vénéré président trouve sa présence trés importante.
Pour ça des minstres se déplacent mais quand est ce qu'ils iront portés assistance à tout ceux qu'on pillent, violent, massacres tous les jours??? A Brazza SASSOU n'en peut plus, quand est ce qu'ils vont rénstaller nos soeurs et frères?? au kivu baza kotelengana ils s'en occupperont quand??,

Bayation. Sista boni??, nake kotika mère na ambassade azua passeport na ye, lobi 300 forumeurs BRAVOOOOOOOOOOO
Tonto Ricos oza kaka??

v

Selon " La Prospérité " qui a publié l'information lundi matin, il nous revient que les mandataires de l'Office de gestion du fret multimodal et leurs collègues de l'Autorité de l'Aviation civile restent en place. Ce, malgré les arrêtés de mise en place décidée par Laure Marie Kawanda, ministre des Transports et Voies des communications, en violation de l'article 81 de la Constitution du 18 février 2006.

Ainsi en a décidé le chef de l'Etat, Joseph Kabila Kabange qui, à travers son directeur de cabinet, a écrit une lettre au 1er ministre Adolphe Muzito, lui demandant d'instruire la ministre des Transports de rapporter purement et simplement les actes pris, en raison des irrégularités manifestes dont ils sont couverts.

Les mandataires publics rappelle Gustave Beya Siku, directeur de cabinet du chef de l'Etat, sont nommés, relevés de leurs fonctions et le cas échéant révoqués par ordonnance du Président de la République, sur proposition du gouvernement, délibérée en conseil des ministres conformément aux dispositions de l'article 81 de la Constitution. Et de préciser : " Quoique la suspension soit considérée comme une mesure conservatoire, elle doit reposer rigoureusement sur les principes intangibles de transparence et de respect du droit de la défense.



Informer préalablement le conseil des ministres

Ce qui suppose, en amont que des faits mis à leur charge soient portés préalablement à la connaissance du Conseil des ministres et qu'une procédure disciplinaire régulière soit ouverte à cet effet, à leur égard.

Donc pour Joseph Kabila, tous les mandataires nommés par ordonnance présidentielle, restent en place jusqu'à la désignation, dans le respect du principe de parallélisme de forme et de compétence, de nouveaux mandataires. Voilà qui ne manquera pas de calmer les ardeurs de la ministre des Transports et Voies des communications qui a amené un vent de chambardement total dans son secteur, mais qui malheureusement, viole la Constitution, la procédure régulière et surtout empiète sur les prérogatives réservées au seul chef de l'Etat.

En effet, dans sa lettre adressée à Mme la ministre des Transports, le Premier ministre a été bref. Il a dénoncé des vices qui entachent cette procédure de suspension et a demandé à la ministre de rapporter les arrêtés ministériels pris à cet effet et de lui faire un rapport circonstancié.

A l'Ogefrem, le personnel doit s'estimer heureux d'avoir combattu le bon combat, un combat de la légalité. Il faut rappeler en passant que ce personnel avait demandé au chef de l'Etat de s'impliquer pour rétablir l'ordre. C'est chose faite ce jour.

Jean- Pierre Seke

Le rendez-vous sera matinal. Neuf heures, la meilleure heure. Celle de la lumière orangée, avant le gris des pots d’échappement, quand la grande machine urbaine ne s’est pas encore emballée et que les retards de la journée - inévitables avec les embouteillages - n’ont pas encore été accumulés. Coup de fil préalable, juste par précaution. « Il est occupé », me répond-on. « Nous avions rendez-vous dans un quart d’heure, pouvez-vous vous assurer que cela tient toujours, s’il vous plaît-Monsieur ? » « C’est-à-dire qu’il est un peu pris. » « Pouvez-vous seulement lui poser la question ? Ce serait vraiment très aimable à vous. » « Il est dans la chambre », finit par lâcher la voix gênée avant de raccrocher.

C’était trop simple. Il ne fallait pas l’oublier : « Kin » a beau être encore un peu « la belle » au lever du soleil, les grands-quelqu’uns sont si grands qu’ils ne se lèvent pas pour un journaliste à 8 h 45. Reconfigurer la journée, rester à sa place, ne plus rêver des premières mains et s’en tenir aux secondes. Elles sont petites mais, au moins, fidèles. À moins que… Deux minutes après avoir raccroché, la voix rappelle : « Bon, en fait, il vous attend dans quinze minutes au bureau ‘chose’ à côté du bâtiment ‘truc’. »

Aussitôt dit, mais pas aussitôt fait. Attente sur des canapés en cuir dans l’antichambre climatisée du bureau « chose ». Défilé de cerbères à la voix qui porte. En bout de cortège, l’un d’eux tient un gros cartable dans la main gauche. C’est le signe annonciateur du boss. Un pas plus lent se fait entendre dans l’escalier. Le boss arrive, traverse le couloir puis gagne son bureau. Cinq minutes plus tard, il se décide à recevoir les visiteurs de l’antichambre. La porte s’ouvre, ça y est, il est là, devant.

Carnet de notes et questions sont prêts. Stratégie : commencer par des interrogations précises liées à la fonction - honorifique - du monsieur aujourd’hui, puis dévier peu à peu, pour finir par des sujets beaucoup plus essentiels, n’ayant rien à voir avec le point de départ, mais que le rang, le poids et le passé du monsieur lui permettent de trancher avec un avis acéré : durée du mandat du chef de l’État, traque des rebelles hutus dans l’Est du pays, rébellion dans la province de l’Équateur…

Il faudra cependant vite dire : « Adieu veau, vache, cochon et couvée. » Comme dans la fable, le pot au lait vole en éclats dès les premiers pas. À part « bonjour », « j’ai un rendez-vous dans une heure à 30 km de la ville », « au revoir » et, au milieu, quelques mots protocolaires, on ne tirera rien du grand-quelqu’un. Il est là, à côté, sur le canapé, mais communique à sa façon.

Voici la méthode : son assistant installe un ordinateur portable sur la petite table basse, appuie sur « Power », puis sur « Volume » et ouvre un fichier Power Point présentant les activités de son patron. Les paragraphes, lus par la voix sortant des haut-parleurs, s’enchaînent à l’écran. Le ton est pompeux, les phrases sont vides comme des slogans sur papier glacé. Le boss, lui, regarde sa montre de temps en temps et, muni d’un stylo fermé, souligne quelques mots-clés à l’écran en synchronisant son geste avec la voix off. Il n’ouvrira la bouche qu’une fois la présentation terminée pour répondre à deux questions très factuelles, tout en montrant qu’il est pressé. Et hop, trois petits tours et le rendez-vous est terminé. Le bel effort ! Le spectacle valait bien un Paris-Kinshasa via Bruxelles et Yaoundé.

Maryse où Marine MEUNIER journaliste à Jeune Afrique kieeeeee trop fort notre président.

*CNMM a écrit:

Le Potentiel a écrit:
Sur instruction du Président de la République
Des dictionnaires Larousse « édition spéciale RDC » pour 14 millions d’élèves et 470.000 enseignants

"Pour la première fois en Afrique, un président a décidé d’offrir un dictionnaire aux élites et aux enfants du pays dont il a la charge.
L’éducation étant « le prix à payer pour que les RDCongolais puissent vivre heureux » et le..."

http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=97836&id_edition=5022

Du jamais vu en AFRIQUE..... Félicitation Rais

Flick de Kolwezi a écrit:Pourquoi pas que l´enseignement soit gratuit comme nous le trouvons dans des pays occidentaux et nous le pays pauvre, nous devons depenser tant d´argent pour l´accés á une éducation que le pays pourrait en bénéficier au futur.

djino a écrit:

Flick de Kolwezi a écrit:Pourquoi pas que l´enseignement soit gratuit comme nous le trouvons dans des pays occidentaux et nous le pays pauvre, nous devons depenser tant d´argent pour l´accés á une éducation que le pays pourrait en bénéficier au futur.

L'enseignement primaire est devenu gratuit en RDC

VLe président Joseph Kabila prend en charge les obsèques du journaliste Amisi Masudi Tambwe
Kinshasa, 15/02/2011 / Politique
Touché profondément par la mort du journaliste Amisi Masudi Tambwe de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC), le Chef de l’Etat a dépêché la directrice adjointe de son cabinet pour aller consoler la veuve en l’assurant de sa prise en charge des obsèques du défunt ainsi que des orphelins en âge scolaire

Le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, a décidé de prendre en charge les obsèques et les enfants en âge scolaire du journaliste Nestor Amisi Masudi Tambwe de la Radio-télévision nationale congolaise (RTNC) décédé samedi à la Clinique Riviera, dans la commune de Bandalungwa, à Kinshasa.

Cette prise en charge a été annoncée par Mme Louise Mayuma Kasende, directrice de cabinet adjointe du Chef de l’Etat en charge des questions politique, juridique et socioculturelle, qui est allée réconforter, lundi, au nom du Président de la République, la veuve et les enfants du défunt.


La directrice de cabinet adjointe du Chef de l’Etat, qui était accompagnée du Pr. Masuga Ruganika, conseiller principal du Chef de l’Etat au collège socio­culturel, a ainsi rassuré la veuve et la famille éplorées, avant d’harmoniser avec la famille du défunt le programme des obsèques. Ce programme prévoit la levée du corps de la clinique Ngaliema jeudi pour le site ASSANEF, à Lingwala, où vont se dérouler les obsèques.

L’inhumation interviendra vendredi au cimetière musulman de Kintambo, après les cérémonies rituelles à la mosquée de Sitas, à Barumbu. Nestor Amisi Masudi Tambwe a fait ses débuts dans la presse à la direction provinciale de la RTNC/Kisangani, dans la province Orientale, avant d’être transféré au siège de la RTNC à Kinshasa, rappelle-t-on.

Lors de sa dernière visite dans la capitale diamantifère, Joseph Kabila avait apporté un chèque de 10 millions de dollars Us.

http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=581781&no_categorie=

C'est quoi son salaire pour faire des dons à la MIBA

Bla bla et rebla bla depuis 10 ans.


http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=17307