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A SUPPOSER LE GLISSEMENT INÉVITABLE, QUE SERAIT ALORS UNE TRANSITION ACCEPTABLE ?

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A SUPPOSER LE GLISSEMENT INÉVITABLE, QUE SERAIT ALORS UNE TRANSITION ACCEPTABLE ? - Page 6 Empty Re: A SUPPOSER LE GLISSEMENT INÉVITABLE, QUE SERAIT ALORS UNE TRANSITION ACCEPTABLE ?

Message  ndonzwau 31/3/2016, 8:32 pm

"ONU : la RDC sous haute surveillance !
° http://www.lephareonline.net/onu-rdc-haute-surveillance/
Le Conseil de Sécurité des Nations Unies a décidé, hier jeudi 31 mars 2016, de prolonger pour la nième fois et pour douze nouveaux mois, le mandat de la Monusco (Mission des Nations Unies pour la Stabilisation au Congo) et de maintenir, comme par le passé, ses effectifs à hauteur de 21.000 soldats et policiers. Ses membres ont simplement pris acte de la recommandation du Secrétaire des Nations Unies, Ban ki-moon, préconisant le retrait d’au moins 1.700 casques bleus.

Les observateurs notent que le plaidoyer de Raymond Tshibanda, ministre congolais des Affaires Etrangères en faveur du retrait progressif des forces onusiennes du territoire congolais, n’a pas convaincu grand monde. Les Nations Unies ont, au contraire, réaffirmé leur position bien connue du pouvoir de Kinshasa, à savoir qu’elles ne pourraient envisager une réduction des effectifs que lorsqu’elles auront constaté des progrès importants dans la protection des populations civiles ainsi que dans la traque des forces négatives à l’Est.

Elections apaisées, libres et crédibles(...)"



"Controverse autour de l’article 75 de la Constitution congolaise
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10693
Notre pays, la République démocratique du Congo est confronté à une difficulté liée à la lecture et/ou à l’interprétation de sa Constitution.
Je dois tout d’abord saluer la force intellectuelle de mon ami et Confrère Adar Binzunga dans son analyse de l’article 75 de la Constitution congolaise. Mais je dois tout de suite avouer que j’ai une autre lecture de cet article.


Ma lecture constitutionnelle se rapproche plus de celle de Monsieur Moise Katumbi.
Que dit l’article 75 de la Constitution de la Rdc? "En cas de vacance (de la Présidence de la République) pour cause de décès, de démission ou pour toute autre cause d’empêchement définitif, les fonctions de Président de la République, à l’exception de celles mentionnées aux articles 78, 81 et 82 sont provisoirement exercées par le Président du Sénat", peut-on lire.
La constitution établit deux catégories d’empêchements au sommet de l’Etat à savoir :

1) les empêchements physiques : décès, maladie, démission du président de la République.
Le président est dans l’impossibilité physique de poursuivre son mandat, vacance à la tête de l’Etat, le président du Sénat hérite provisoirement des fonctions du chef de l’Etat à l’exception des celles mentionnées aux articles 78, 81 et 82 de la Loi fondamentale;
2) les autres empêchements: la Constitution nomme cela littéralement "toute autre cause d’empêchement définitif".

On peut aisément y mettre l’hypothèse dans laquelle le Président de la République se trouve en fin de mandat et n’a pas de successeur élu au suffrage universel tel que le prévoit la Constitution. En clair, le gouvernement en place n’a pas organisé les élections présidentielles. Le Président sortant se voit sans mandat. Comment s’en sortir?
C’est simple. Il suffira de lire la Constitution, son article 75 prévoit ce cas précis dans sa formule " tout autre cas d’empêchement définitif".

On est ici dans un cas d’empêchement définitif. Le président sortant est sans mandat non seulement par défaut d’élection mais surtout parce qu’il ne peut plus se présenter devant le peuple souverain. Il s’agit en réalité d’un empêchement légal ou mieux d’un empêchement constitutionnel: le président sortant a épuisé toutes ses cartes : deux mandats de 5 ans.
Les fonctions présidentielles sont alors provisoirement exercées par le président du Sénat dans les limites de l’article 75 de la Constitution.
Guylain Mafuta Laman, Avocat au barreau de Bruxelles et à la CPI"



""Dialogue" : Où est passé le "Facilitateur" Edem Kodjo?
Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=10683

A SUPPOSER LE GLISSEMENT INÉVITABLE, QUE SERAIT ALORS UNE TRANSITION ACCEPTABLE ? - Page 6 Kodjo
L’ancien Premier ministre togolais Edem Kodjo, envoyé spécial de l’UA au Congo-Kinshasa.

Quatre mois après son laïus du 28 novembre 2015 dans lequel il avait "décidé" la convocation d’un "Dialogue politique national inclusif", le "raïs", alias "Papa roméo", alias commandant suprême des FARDC, des "Bana Mura" et de la police nationale attend désespérément le démarrage de ce forum. Il comptait sur "Papa" Edem Kodjo" pour convaincre "Tatu Etienne" mais aussi les opposants regroupés dans la "Dynamique" et le G7 cher à "Moïse" à participer à ce forum. Des "Balobiens" et des "Balobiennes, dixit Seseskul, racontent que "Papa Edem" serait hospitalisé depuis une semaine au pays de François Hollande. Il serait dans un "état sérieux".


Selon mon ami qui sait tout sur tout et presque tout sur rien sur les potins de Kinshasa-lez-immondices, le Complicateur, que dis-je, le Facilitateur Edem Kodjo serait interné dans un hôpital parisien. Il souffrirait de la sciatique. Le sinistre, pardon, le ministre des Affaires étrangères Raymond Tshibanda l’aurait joint au téléphone en lui disant : "Grand frère, vous nous avez lâché!". "La santé d’abord mon jeune frère...", aurait répondu le "doyen Kodjo".

A en croire mon ami, le Vieux Kodjo pourrait bientôt se déclarer "définitivement indisponible" pour poursuivre la mission que la présidente de la Commission de l’Union africaine, Nkosazana Dlamini Zuma, lui a confiée depuis le 14 janvier dernier. L’ami de rappeler que dans un communiqué publié le 14 janvier 2016, l’ex-épouse Zuma encourageait "les partis politiques, la majorité, l’opposition, la société civile, les religieux et les forces vives à se réunir afin de trouver un consensus non seulement pour préserver les acquis dans le domaine de la paix, la stabilité, la sécurité et le développement mais aussi pour consolider le processus démocratique ".

Mon ami de souligner que la démarche de Nkosazana a été accueillie avec la plus grande méfiance. "Pourquoi donc?", lui ai-je demandé avec ma candeur habituelle. Mon ami qui aime s’entendre parler de me rétorquer : "Tu dors ou quoi! N’as-tu pas suivi que lors de sa sortie le 19 décembre 2015, le Front Citoyen 2016 a dénoncé une tentative de coup d’Etat constitutionnel en cours au pays?" J’ai compris que le silence de "Mama Nkosazana" sur le respect de la Constitution a irrité non seulement Tatu Etienne mais aussi les "amis" de "Vital" et ceux de "Moïse". "Nkosazana" a été mal inspirée de ne pas "encourager" le "Président-raïs" à cesser de multiplier des artifices pour empêcher la tenue de l’élection présidentielle dans les délais constitutionnels.

Mon ami qui sait décidément tout sur rien m’a confié que lors des entretiens avec des politiciens kongomani, "Papa Kodjo" avait à plusieurs reprises sorti de sa bouche le mot "Transition" pour sortir la République très très démocratique du Congo de l’impasse. "Cette approche avait fortement déplu", assure l’ami qui rappelle que l’ancien "Premier" togolais s’était rendu le 17 février à Luanda pour s’entretenir avec le "vieux crocodile" José Edouardo dos Santos, alias "Zedu", avant de rejoindre Addis Abeba 48 heures après.

Doté d’un esprit machiavélique, mon ami de me souffler ces mots dans le creux de l’oreille: "Décidément, le ’raïs’ a de la scoumune. Tous ceux qui plaident son cas finissent toujours par avoir des problèmes de santé". Il poursuit sur un ton de maître d’école: "Tu as l’air de n’avoir jamais entendu le mot ’scoumoune’ qui veut dire tout simplement la malchance". Il se reprend en ajoutant : "En avril 2015, notre cher Monsieur l’abbé Apollinaire Malumalu est tombé malade après avoir défendu à cor et à cri les intérêts du rais. Maintenant, c’est le doyen Kodjo qui est hors course. A qui le tour?"

Pour mon ami, il y a urgence de prévenir le successeur de Malumalu à mettre fin à son "excès de zèle". "Norbert Nangaa, dit-il, doit lire les signes de temps. Il est au service d’une cause désespérée. Il doit arrêter de s’entêter en multipliant des entourloupettes pour pérenniser le pouvoir du ’président-raïs’". L’ami, qui est resté très pieux en dépit de son érudition, de me citer un passage biblique tiré de l’Ecclésiaste 7 : 19. Il me tend la Bible. Je lis : "La sagesse donne au sage plus de force que dix chefs de guerre réunis dans une ville"."



Compatriotiquement !


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# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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Message  ndonzwau 6/4/2016, 1:28 am

"La Problématique de l’Indépendance de la CENI/RDC
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=9642
L’une des résolutions du dialogue Inter-Congolais à Sun-City en Afrique du Sud concernait uniquement et Spécialement les délégués de la Société Civile, à savoir ; ex-CEI devenue à ce jour CENI.
En effet, non impliquée dans le partage équitable et équilibré (SIC) du gâteau politique du Système 1+4, la Société civile avait pour devoir de gérer exclusivement la commission chargée de l’Organisation des élections du fait de son caractère apolitique et neutre, évitant ainsi de réduire le taux de contestations quant aux élections en RDC.

Sur le terrain au pays, cependant, pour des raisons inavouées, un groupe de malins a convaincu nos parlementaires de la transition d’introduire la politique de quota dans le sanctuaire CEI (CENI) laissant les miettes à la Société civile, prétextant de lui en laisser la présidence du bureau.
On comprend aisément que depuis cette incursion des politiciens dans le sacrosaint, l’opposition et la Majorité Présidentielle se sont partagé des postes au sein du bureau de la centrale électorale et y ont emmené du désordre voulu.

On l’a vu en 2006 où il y a même eu des affrontements militaires en pleine ville de Kinshasa. En 2011, les choses se sont aggravées après les élections présidentielle et législatives nationales entachées de beaucoup d’irrégularités à tous les niveaux. Or, si on avait laissé la société civile s’occuper seule des élections, on aurait évité toute cette farce électorale et ces jeux de Ping Pong auxquels on assiste actuellement ; à tel point que pour le commun de mortels, le vocable « vote » ou « élection » est remplacé par le mot « nomination ». La CENI qui devait organiser les élections, c’est elle-même qui vote les candidats (députés, sénateurs etc.) et ce, à la place de vrais électeurs.

C’est ainsi que, après chaque publication des résultats des élections, les vaincus et les vainqueurs ne se sont jamais mis d’accord sur les résultats publiés sauf-une fois n’est pas coutume, les deux parties aux élections de 2011 (y compris les partenaires étrangers) se sont accordées sur les irrégularités ayant entaché les dites élections.
Depuis lors, la CENI se comporte en « entraineur » du jeu de la classe politique congolaise au lieu de jouer en « arbitre impartial » de la compétition électorale : elle oublie son rôle traditionnel d’institution d’appui à la démocratie, devenant une caisse de résonnance de la classe politique congolaise qui lui dicte ce qu’elle doit faire. Elle a cessé d’être la boussole de la situation politique en RDC, et en cas d’obstacle, que peut-elle faire pour nous en sortir ? Voilà quelques questions que l’homme de la rue se pose.

Il est conseillé à toute la classe politique congolaise de laisser la société civile, seule, s’occuper de l’organisation des élections, car, les représentants de la majorité et ceux de l’opposition actuellement au sein de la CENI ne sont pas à leur place, ce qui n’assure pas l’indépendance de cette centrale électorale.
Pour vous rafraichir la mémoire, l’auto-exclusion du G7 de la Majorité présidentielle il n’y a pas longtemps, a conduit aux démissions spectaculaires de ses membres des institutions du pays, y compris certains personnages importants du Bureau de la CENI, ce qui a paralysé momentanément le fonctionnement de cette dernière. Un autre fait ahurissant devenu congolais, c’est que les membres du Bureau de la CENI, y compris ceux issus à la demande de leur hiérarchie! Un principe général du Droit dit : « nul ne peut être juge et partis ».

Il est à craindre que les représentants de l’opposition comme ceux de la Majorité ne se comportent en témoins de la réussite ou de l’échec des candidats d’un camp donné. Ils doivent plutôt renter jouer leur rôle dans la politique à l’instar des acteurs politiques qui viennent de quitter la CENI.
Nettoyons celle-ci des politiciens parce qu’elle est l’apanage de la Société civile, apolitique et neutre, d’où son indépendance.
(Par Stanis LUABEYA KAMANJI, Analyste Indépendant)"


"ELECTION NE RIME PAS TOUJOURS AVEC DÉMOCRATIE
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article7146
Faut-il réinventer la démocratie en Afrique ? Ce n’est pas un sujet de mémoire. Encore moins de thèse. Même si ça pouvait légitimement l’être. Ce questionnement a fait l’objet d’un débat hier dimanche lors d’une émission sur RFI.

En ce temps où des élections se tiennent ou se préparent ça et là à travers le Continent, la question a une consonance particulière. D’autant que très souvent, la tendance est à réduire la problématique de démocratie aux seules élections estampillées " libres, démocratiques, crédibles et transparentes". Une kyrielle d’épithètes dont la redondance ne gêne personne. Pourvu que les élections soient proclamées ainsi. Surtout par les observateurs internationaux. Et si le scenario est celui du Bénin ou du Sénégal, des félicitations pleuvent pour saluer l’alternance au pouvoir et donc forcément la démocratie.
Les choses ne sont peut-être pas aussi simples que le laissent supposer certains spécialistes de l’Afrique. Si les élections font partie de l’arsenal du dispositif appelé " démocratie ", elles ne sont pas synonyme de démocratie.
De même qu’une hirondelle ne fait le printemps, le seul fait pour un peuple d’être invité à intervalle régulier à élire son président de la République ne suffit toujours pas comme garantie de démocratie. Le plus important est ce qui se passe entre deux élections. A savoir, outre la séparation claire des pouvoirs et des partis à vrai ancrage sociologique, l’existence des contre- pouvoirs réels susceptibles de garantir les libertés d’expression et les débats publics. Ou, plus exactement, de faciliter la participation du plus grand nombre au débat sur la marche du pays. Par contre-pouvoir, on entend notamment la presse, les syndicats, les mouvements associatifs citoyens indépendants du pouvoir politique.
Sans ces contre-pouvoirs, on aura beau aller d’alternance en alternance via les urnes sans que nécessairement la gouvernance procède de la démocratie. Le peuple n’étant consulté que lorsque la machine électorale est mise en marche. Entre deux consultations électorales, la gestion est faite de prédation, d’arrestations, de confusion de genres, bref des abus inhérents à la concentration des pouvoirs entre les mains d’un homme ou clan au pouvoir. "


"LE DÉBAT AFRICAIN
Comment repenser la démocratie en Afrique ?
° http://www.rfi.fr/emission/20160403-comment-repenser-democratie-afrique
Des textes fondamentaux retouchés, une pléthore de postulants, des candidats menacés voire embastillés, des élections parfois boycottées, et des résultats souvent contestés, des observateurs internationaux trop souvent arrangeants... Pourquoi près de trente ans après la chute du mur de Berlin et le sommet fondateur de La Baule, l'Afrique éprouve-t-elle autant de mal à adopter le modèle démocratique? Est-il vraiment adapté au continent? 

Avec :
- Célestine Zanou, ancienne candidate aux élections présidentielles béninoises, ancienne directrice de cabinet du président Kérékou
- Jean-Emmanuel Pondi, politologue, professeur de Sciences politiques, secrétaire général de l’Université de Yaoundé I, chef du Département de Politique internationale à l'IRIC (Institut des Relations Internationales du Cameroun)
- Francis Kpatinde, journaliste et enseignant à Sciences Po Paris
- Antoine Glaser, journaliste, ancien rédacteur en chef de la Lettre du Continent, auteur de « Arrogant comme un Français en Afrique », éd. Fayard."


"LA 2277, CÔTÉ FACE ET…PILE
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article7161
La 2277. Elle a tout d’une résolution piège. Couperet même. Voire carrément coupe-gorge. C’est la résolution du moment. Ce sera, à n’en point douter, la référence reine chaque fois qu’il sera question d’apprécier la situation politique rd congolaise.
Quid de la taille et du mandat de la Monusco ? Réponse : la 2277. Quid du Dialogue ? Encore la 2277. Quid des échéances électorales dont le summum est la présidentielle ? La même résolution y pourvoit. Bref, par rapport à tous les enjeux de l’heure, le Conseil de sécurité de l’Onu a fixé le cadre. Son cadre.
Reste que si vue de New York l’équation rd congolaise peut paraître un tantinet simple, pas sûr qu’il en soit vraiment ainsi sur le terrain. A moins de neuf mois de la tenue des élections présidentielle et législatives, rien ne renseigne sur le moindre début des préparatifs de rendez-vous électoral.
L’harmonisation du calendrier électoral mille fois évoquée par les uns et les autres ressemble à ce jour à une simple hypothèse d’école. Le toilettage du fameux fichier électoral est, certes, sur toutes les bouches, mais rien dans le sens de son nécessaire assainissement et mise à jour n’a été entrepris jusqu’ici. Et la commande du matériel électoral dans tout ça ? Mystère.

A moins d’être dans une bulle, on ne voit pas dans l’état actuel des choses, comment les élections pourraient se tenir dans le délai, en temps voulu ou à bonne date, c’est selon. Pas plus qu’on ne voit pas comment sans une concertation politique préalable façon " palabre à l’africaine " appelée Dialogue, la route des élections apaisées pourrait être balisée.
Car une chose est d’aller aux urnes, une autre est de réussir l’après-scrutin.
Dans un pays sous- continent comme la RDC, les lendemains des peuvent avoir l’arrière-goût de chaos. En ce moment où le terrorisme se mondialise, un feu allumé à Kinshasa pourrait avoir des conséquences bien au-delà de la région Afrique centrale-Grands lacs."

° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=9643


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Message  Libre Examen 6/4/2016, 2:23 pm

A l’allure où vont les choses, on peut d’ores et déjà prévoir, qu’il est fort probable qu’il arrive au Congo-Kinshasa ce qui arrive chez ses voisins. Au Congo Kinshasa, il risque même de ne pas y avoir élection. Au Congo-Kinshasa, grâce à la kabilisation de l’opposition, l’atterrissage peut être encore plus doux. Après le 19 décembre 2017, beaucoup de ces opposants vont, en effet, retourner à leur amour. C’est un spectacle bien familier dans la vie politique du Congo-Zaïre. Cela ne surprendra personne, sinon seulement ceux qui se prêtent à ce jeu pour trouver des raisons de toujours justifier ces genres de comportement.
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Message  ndonzwau 8/4/2016, 2:41 pm

"Multipartisme en Afrique : les bons comptes des « présidents-fondateurs »
Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/07/multipartisme-en-afrique-les-bons-comptes-des-presidents-fondateurs_4898117_3212.html

A SUPPOSER LE GLISSEMENT INÉVITABLE, QUE SERAIT ALORS UNE TRANSITION ACCEPTABLE ? - Page 6 4898116_3_ab7c_un-bureau-de-vote-a-niamey-durant-les_9556126fbd076c73ad3b713609d6e8d0

Dans quel domaine l’Afrique a-t-elle accompli des progrès spectaculaires ces deux dernières décennies ? La téléphonie mobile est la réponse qui vient, à juste titre, à l’esprit de la plupart d’entre nous. On trouve désormais quasiment au moins un téléphone portable dans chaque village africain. Même là où l’électricité fait défaut.

Il y a pourtant bien un autre domaine, certes moins visible à première vue, dans lequel le continent a effectué un saut extraordinaire : celui du nombre de formations politiques par pays. On est passé en effet d’une Afrique dominée majoritairement par le parti unique ou le parti-Etat, au lendemain des indépendances nationales, à un continent où la démocratisation se manifeste désormais par la forte inflation de formations politiques.
La République démocratique du Congo compte ainsi 477 partis politiques, leCameroun enregistre 291 formations politiques, le Sénégal en affiche 255, leMali présente 171 partis politiques et le Burkina Faso 113 formations politiques. A quoi correspondent ces chiffres qui donnent le vertige ?

En tout cas, pas au nombre d’ethnies et de religions. Pas même à la démographie nationale. Les jeunes démocraties africaines ont cru bien faireen simplifiant les conditions de création des partis politiques. Le piège semble aujourd’hui se refermer sur elles. Le lexique de droit constitutionnel définit les partis politiques comme « des associations qui concourent à l’expression du suffrage en proposant des programmes et en présentant des candidats aux élections ».
Deux éléments sont donc généralement pris en compte pour reconnaître uneformation politique : d’une part, la recherche et la mobilisation des soutiens à travers l’élaboration et la défense des projets de société et des programmes de gouvernement et, d’autre part, la sélection et la proposition des candidats aux différents scrutins afin qu’ils défendent et exécutent, à l’occasion, les projets de société soumis aux électeurs.

Des coquilles vides

Dans de nombreux pays africains, les partis politiques se sont progressivement transformés en coquilles vides sans projet de société véritable et sans moyen de participer aux différents scrutins nationaux. Ils ne tiennent même plus leurs instances statutaires et réglementaires : congrès, bureaux exécutifs, assemblées générales…
Certaines formations politiques n’ont pas de siège, ni même de secrétariat. Le parti se résume finalement au président-fondateur, à son épouse, qui en est souvent la trésorière, à sa belle-fille qui assure le commissariat aux comptes et aux membres de « la famille africaine ». C’est-à-dire les frères, les cousins, les neveux, les oncles…
Ainsi, sur 171 formations politiques recensées en 2010 au Congo-Brazzaville, seulement 41 étaient en règle. Ailleurs, la situation n’est guère plus brillante : sur les 140 partis politiques répertoriés en Côte d’Ivoire en 2015, moins de la moitié se conforme scrupuleusement à la charte des partis.

Autres pays, autres travers : dans d’autres cas, le parti se confond avec « le président-fondateur » : une sorte de personnalité indéboulonnable, omnisciente et omnipotente. Il en est président à vie. Ce fut le cas d’Abdoulaye Wade avec le Parti démocratique sénégalais (PDS) ; c’est encore le cas d’Henri Konan Bédié avec le Parti démocratique de Côte d’Ivoire-Rassemblement démocratique africain (PDCI-RDA), de Paul Biya avec le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) ou d’Idriss Déby Itno avec le Mouvement patriotique du salut (MPS).
« Le président-fondateur » se trouve naturellement au-dessus des textes : il annonce des mesures qui sont ensuite forcément entérinées par les instances du parti : bureau politique ou congrès. Et gare aux récalcitrants qui tenteraient de remettre en cause la décision du père fondateur. On a eu la preuve de cette dérive en Côte d’Ivoire avec l’appel de Daoukro par lequel le président annonçait en mars 2015 son soutien total à Alassane Ouattara et décidait que le PDCI n’aurait pas de candidat à la présidentielle d’octobre 2015.
A quelques détails près, c’est aussi le cas au Sénégal avec la promesse des dirigeants de l’Alliance des forces de progrès (AFP) de Moustapha Niasse de ne pas présenter de candidat face à Macky Sall lors de la prochaine présidentielle.

Un business en or

La noble démarche de créer une formation politique pour participer au débat démocratique, contribuer à la formation civique et politique des citoyens a été dévoyée puis transformée en moyen de lever des fonds. En Afrique de l’Ouest, l’une des pistes des présidents-fondateurs des partis politiques pour « faire de l’argent » était de se rendre à Tripoli pour rencontrer « le Guide de la révolution libyenne ». On en revenait avec quelques milliers de dollars et souvent même une ou deux Toyota 4X4, pour les plus chanceux.

Les présidents-fondateurs d’Afrique centrale aimaient, quant à eux, prendre le chemin de Libreville pour être reçus par feu le président gabonais Omar Bongo Ondimba. De nombreux dirigeants de partis racontent en être sortis avec des mallettes de 76 000 euros voire bien plus.
Dans les deux cas, inutile de penser que l’argent obtenu dans la capitale libyenne ou gabonaise va être reversé dans les comptes du parti. Pourquoi d’ailleurs se soumettre à tant de rigueur puisque, très souvent, les finances du parti se confondent avec la poche du président-fondateur. Il s’y ajoute pour lui la possibilité de décrocher des subventions publiques. En l’absence des critères précis d’attribution des fonds publics, les formations politiques réclament souvent un traitement égalitaire. Par exemple, sous la dernière transition militaro-civile de 2015 au Burkina Faso, plusieurs partis avaient exigé une répartition égalitaire des 500 millions de francs CFA (800 000 euros) de subventions publiques prévues pour les 113 partis.

Au-delà de ces avantages en espèces sonnantes et trébuchantes, le président-fondateur peut négocier le ralliement du parti à la majorité aupouvoir. Qu’importe qu’il y ait un accord de gouvernement préalable ou une proximité idéologique. L’essentiel étant de rejoindre l’équipe au pouvoir et d’être « à la mangeoire ». Résultat, on retrouve en Afrique des majorités se réclamant de gauche avec des partis ultra-libéraux ou inversement. Certains alliés du libéral Macky Sall au Sénégal se définissent comme sociaux-démocrates. De même, des libéraux transfuges du Mouvement national pour la société de développement (MNSD) ou de la Convention démocratique et sociale (CDS) se retrouvent dans la majorité formée au Niger autour du président social-démocrate Mahamadou Issoufou.

Une tutelle totalement dépassée

L’existence d’un nombre de partis sans commune mesure avec les réalités démocratiques n’a pu être possible que parce que les autorités de tutelle (ministère de l’intérieur, ministère de l’administration) ont renoncé à assumerleurs responsabilités. Tantôt faute de moyens. En effet, comment le ministère malien de l’administration peut-il s’assurer que les 171 partis que compte le pays tiennent régulièrement leurs instances ? Comment surveiller au Tchad les activités de 70 partis politiques ? Cette mission de contrôle devient quasiment impossible dans les cas de la République démocratique du Congo (RDC) avec 477 formations politiques et du Cameroun avec 291 partis politiques. Dans un cas comme dans l’autre, le suivi des partis politiques devait être assuré par une direction du ministère qui ne compte, dans le meilleur scénario, que cinquante à cent agents qui n’ont pas que cette occupation.
Les ministères de tutelle renoncent par ailleurs volontairement à exercer leurs prérogatives de contrôle pour éviter des démêlés avec des partis membres de la majorité au pouvoir. Et faute de parvenir à appliquer la charte des partis aux alliés, ils choisissent de ne l’imposer à personne. Mais, pour faire bonne figure, des communiqués sont souvent diffusés à la radio et à la télévision nationales appelant les partis politiques à se conformer à la législation en vigueur. Pour l’instant, l’espoir d’autorégulation n’a pas permis de mettre de l’ordre dans la jungle des partis politiques. Sans revenir au parti unique, l’Afrique doit sérieusement revisiter la notion du multipartisme intégral afin que le nombre de partis dans chaque pays corresponde à une vitalité démocratique réelle.
Seidik Abba, journaliste et écrivain, auteur d’Entretiens avec Boubakar Ba. Un Nigérien au destin exceptionnel (L’Harmattan, 2015)."
Elections africaines, réapprendre à compter
En Afrique, le printemps des dinosaures
Quand l’observation des élections en Afrique vire au mercenariat


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Message  ndonzwau 12/4/2016, 1:51 am

"Sans objet !
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=9695
Décidément, c’est au jour le jour que le marigot politique congolais s’agite. Tout fait ou geste posé par un acteur politique est diversement commenté. Soit dans le bon. Tout comme dans le mauvais sens. Parfois même par les siens, ou encore par ceux-là qui trouvent toujours quelque chose à redire selon leurs visées.  C’est le cas notamment, de la résolution 2277 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, de la tenue du dialogue, de la désignation d’Edem Kodjo, en qualité de Facilitateur du Dialogue, par la présidente de la Commission de l’Union Africaine. Ces faits ont constitué la quintessence du point de presse du G7 du samedi, 9 avril 2016. Sans détour, les cadres de cette plateforme de l’opposition ont salué la résolution 2277. Ils considèrent qu’elle répond aux desideratas des congolais quant, notamment, au respect de la Constitution et à l’organisation des élections dans les délais constitutionnels. Ce faisant, le G7 dit réitérer son engagement à s’impliquer activement dans la mise en œuvre de toutes les dispositions de cette résolution. Cette structure, qui fait parler d’elle ce jour-ci par ses prises de position, invite instamment le pouvoir en place à se plier à l’exécution de cette résolution, faute pour lui de subir des sanctions venant de la communauté internationale, dont l’isolement diplomatique qui se révèle chaque fois néfaste pour le pays et sa population.

Or, il s’avère que cette résolution n’a pas enchanté le Gouvernement, qui estime que les points de vue défendus par son Représentant, Raymond Tshibanda, Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale, n’ont pas été pris en compte. A ce stade, la question est de savoir si le Gouvernement va s’exécuter totalement ou s’il va s’en tenir aux dispositions qui lui paraissent favorables dans la résolution. C’est notamment, la tenue du dialogue. Nul doute que ces assises ont fait l’objet de controverse. Ceux qui y ont souscrit et ceux qui ne veulent plus en entendre parler. Après que Nkosazana Zuma, la présidente de la Commission de l’Union Africaine, ait jeté son dévolu sur Edem Kodjo, le désignant comme facilitateur du dialogue politique au Congo-Kinshasa, ce choix est pris aux pincettes par le G7. Ce regroupement politique considère que dans le fond, le dialogue préconisé par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila, est sans objet. Non seulement qu’il rejette l’offre de participer à ces assises, mais aussi somme le facilitateur à s’abstenir de toute attitude tendant à jouer au «petit malin», pour étendre le mandat de Kabila, par quelques astuces ou stratagèmes. Alors, qui suivre, dès lors que l’on sait que le pays, la République Démocratique du Congo, reste le seul dénominateur commun."



"RDC : l’opposition défend «l’ingérence acceptable» des Nations unies
° http://www.rfi.fr/afrique/20160410-rdc-opposition-ingerence-resolution-2277-tshibanda-kamitatu-g7-ewanga-unc
En République démocratique du Congo (RDC), l'opposition a réagi aux propos du ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, et de son collègue de la Communication, Lambert Mende. Ceux-ci ont qualifié « d'irresponsable » la résolution 2277 du Conseil de sécurité des Nations unies qui demande au gouvernement d'organiser les élections dans le délai constitutionnel. La Dynamique de l'opposition parle d'une « ingérence acceptable ». Pour Olivier Kamitatu, du G7, la RDC est signataire de la charte des Nations unies au terme de laquelle les pays membres s'engagent à respecter les décisions du Conseil de sécurité. Le G7 a organisé une conférence de presse, samedi 9 avril.(...)"


"LA 2277 VUE DE L’OPPOSITION ET DE LA MAJORITÉ"
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article7216

"LE G7 N’ACCEPTERA PAS UN « 3ÈME FAUX PENALTY »"
°  http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=14361:le-g7-n-acceptera-pas-un-3eme-faux-penalty&catid=85:a-la-une&Itemid=472

"Révision du fichier électoral. RDC : la CENI plante le décor ! "
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=9694

° http://www.lephareonline.net/dialogue-elections-monusco-kinshasa-refuse-tutelle-nations-unies/


Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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Message  ndonzwau 13/4/2016, 1:35 am

"Kinshasa n’aime pas les experts américains trop critiques"
°  http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/12/kinshasa-n-aime-pas-les-experts-americains-trop-critiques_4900859_3212.html

"La RDC doit « conjurer tout risque de retour en arrière »"
° http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/12/la-rdc-doit-conjurer-tout-risque-de-retour-en-arriere_4900611_3212.html

"O. Kamitatu indique à J. Kabila le chemin d’une retraite politique paisible."
° http://7sur7.cd/new/o-kamitatu-indique-a-j-kabila-le-chemin-dune-retraite-politique-paisible/

"Dialogue en RDC : le Front citoyen boude (toujours) Kabila, Tshisekedi pose un ultimatum"
°  http://www.jeuneafrique.com/317058/politique/dialogue-rdc-front-citoyen-boude-toujours-kabila-tshisekedi-pose-ultimatum/


Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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Message  Libre Examen 15/4/2016, 5:18 pm

Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il n’y a pas dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?
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Message  Admin 15/4/2016, 6:05 pm

Libre Examen a écrit:Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il n’y a pas dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

RÉPONSE SIMPLE!

Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il y a dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?
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Message  Libre Examen 15/4/2016, 6:33 pm

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Libre Examen a écrit:Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il n’y a pas dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

RÉPONSE SIMPLE!

Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il y a dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

Réponse tout aussi simple Admin mais longue. Pour l’UDPS, le dialogue est un des moyens, même si elle considère que c’est le meilleur moyen, par lesquels on peut arriver à obtenir la tenue d’élections présidentielles et crédibles dans le délai constitutionnel. L’UDPS n’a jamais, en aucun moment, soutenu que le dialogue est le seul moyen pour obtenir la tenue des élections dans le délai constitutionnel. Elle a toujours soutenu si nous ne pouvons l’obtenir par le dialogue, nous allons nous en remettre au peuple congolais. En effet, Félix Tshisekedi dans quelques une de ses entrevues n’a jamais écarté la possibilité de l’échec du dialogue. Donc la question ne se pose pour ceux qui sont pour le dialogue parce qu’ils reconnaissent la possibilité d’un échec. Par contre, ceux qui s’opposent à la tenue du dialogue, soutiennent que l’UDPS cherche à permettre la violation de la Constitution et par conséquent la non-tenue des élections présidentielles et législatives dans le délai constitutionnel. Mutatis Mutandis, cela implique que puisque c’est le dialogue qui va faire en sorte qu’on les élections présidentielles et législatives n’aient pas lieu dans le délai constitutionnel, s’il n’y a pas dialogue alors les élections présidentielles et législatives auront lieu dans le délai constitutionnel. Ainsi, il appartient à ceux qui s’opposent au dialogue de donner l’assurance qu’au cas où, il n’y a pas dialogue, il n’y a aucun doute que les élections présidentielles et législatives auront lieur dans le délai constitutionnel.
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Message  Admin 15/4/2016, 7:55 pm

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Libre Examen a écrit:Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il n’y a pas dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

RÉPONSE SIMPLE!

Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il y a dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

Réponse tout aussi simple Admin mais longue. Pour l’UDPS, le dialogue est un des moyens, même si elle considère que c’est le meilleur moyen, par lesquels on peut arriver à obtenir la tenue d’élections présidentielles et crédibles dans le délai constitutionnel. L’UDPS n’a jamais, en aucun moment, soutenu que le dialogue est le seul moyen pour obtenir la tenue des élections dans le délai constitutionnel. Elle a toujours soutenu si nous ne pouvons l’obtenir par le dialogue, nous allons nous en remettre au peuple congolais. En effet, Félix Tshisekedi dans quelques une de ses entrevues  n’a jamais écarté la possibilité de l’échec du dialogue. Donc la question ne se pose pour ceux qui sont pour le dialogue parce qu’ils reconnaissent la possibilité d’un échec. Par contre, ceux qui s’opposent à la tenue du dialogue, soutiennent que l’UDPS cherche à permettre la violation de la Constitution et par conséquent la non-tenue des élections présidentielles et législatives dans le délai constitutionnel. Mutatis Mutandis, cela implique que puisque c’est le dialogue qui va faire en sorte qu’on les élections présidentielles et législatives n’aient pas lieu dans le délai constitutionnel,  s’il n’y a pas dialogue alors les élections  présidentielles et législatives auront lieu dans le délai constitutionnel. Ainsi, il appartient à ceux qui s’opposent au dialogue de donner l’assurance qu’au cas où, il n’y a pas dialogue, il n’y a aucun doute que les élections présidentielles et législatives auront lieur dans le délai constitutionnel.

Pendant très longtemps je croyais que tu faisais semblant mais je commence à croire que ce n’est pas le cas.

Cher Libre Examen, je crois que tu fais trop de fixation sur ton parti (udps) mais je te rappelle que ce dialogue concerne en réalité 2 parties.  Notre crainte c’est plus du cote de l’autre partie, dont les intentions avérées s’affichent clairement sur une stratégie de glissement et cela en vue de nous plonger devant une crise constitutionnelle qui va (dans leurs plans) nous emmener a adopter une nouvelle constitution, dans la quelle, la limite du mandat présidentiel ne sera plus verrouillé à 2. Et ainsi, le président actuel compte se représenter.  

Partant de ça, et à ce moment (qlqs mois des échéances) on peut logiquement prévoir qu’un dialogue avec les tenants de cette stratégie aura pour effet de leur concéder quelque chose.

Tu sais mon frère,  on est dans un espace public ou l’on ne peut pas dire toujours tout ce qu’on sait mais bon … prenons le conditionnel,  et restons dans le cadre des hypothèses,  de la logique et du bon sens … Admettons par exemple que ces 2 parties qui veulent cette transition se présentent avec leurs revendications. On aura d’une part le camp qui veut que cette transition se passe avec Tshisekedi à la tête et l’autre camp avec Kabila à la tête. (Même si ça ne sera pas le cas), mais admettons mêmes qu’ils soient en égalité. Admettons même que tous les membres ne fassent pas comme ceux qui s’étaient fait corrompre en allant au parlement, mais qu'ils restent incorruptibles.
Nous aurons donc 2 camps et le médiateur devra couper la poire en 2.
Il y aura une transition divisée en 2 périodes, la 1ere avec Kabila président et la 2ieme avec E T.
Et bien dans ces 2 ans sous Kabila, il pourra organiser un référendum à la Sassou et nous n’aurons plus aucun moyen constitutionnel de l’écarter.

Des scénarios de ce genre, il en existe quelques uns (j'en sais qlq chose)

C’est pour cette raison que moi (je ne parle pour tout le monde) je considère que l’Udps est tombé dans le piège de Kabila et œuvre (consciemment ou non) à accompagner Kabila dans cette stratégie.
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Message  Libre Examen 15/4/2016, 9:33 pm

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Libre Examen a écrit:Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il n’y a pas dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

RÉPONSE SIMPLE!

Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il y a dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

Réponse tout aussi simple Admin mais longue. Pour l’UDPS, le dialogue est un des moyens, même si elle considère que c’est le meilleur moyen, par lesquels on peut arriver à obtenir la tenue d’élections présidentielles et crédibles dans le délai constitutionnel. L’UDPS n’a jamais, en aucun moment, soutenu que le dialogue est le seul moyen pour obtenir la tenue des élections dans le délai constitutionnel. Elle a toujours soutenu si nous ne pouvons l’obtenir par le dialogue, nous allons nous en remettre au peuple congolais. En effet, Félix Tshisekedi dans quelques une de ses entrevues  n’a jamais écarté la possibilité de l’échec du dialogue. Donc la question ne se pose pour ceux qui sont pour le dialogue parce qu’ils reconnaissent la possibilité d’un échec. Par contre, ceux qui s’opposent à la tenue du dialogue, soutiennent que l’UDPS cherche à permettre la violation de la Constitution et par conséquent la non-tenue des élections présidentielles et législatives dans le délai constitutionnel. Mutatis Mutandis, cela implique que puisque c’est le dialogue qui va faire en sorte qu’on les élections présidentielles et législatives n’aient pas lieu dans le délai constitutionnel,  s’il n’y a pas dialogue alors les élections  présidentielles et législatives auront lieu dans le délai constitutionnel. Ainsi, il appartient à ceux qui s’opposent au dialogue de donner l’assurance qu’au cas où, il n’y a pas dialogue, il n’y a aucun doute que les élections présidentielles et législatives auront lieur dans le délai constitutionnel.

Pendant très longtemps je croyais que tu faisais semblant mais je commence à croire que ce n’est pas le cas.

Cher Libre Examen, je crois que tu fais trop de fixation sur ton parti (udps) mais je te rappelle que ce dialogue concerne en réalité 2 parties.  Notre crainte c’est plus du cote de l’autre partie, dont les intentions avérées s’affichent clairement sur une stratégie de glissement et cela en vue de nous plonger devant une crise constitutionnelle qui va (dans leurs plans) nous emmener a adopter une nouvelle constitution, dans la quelle, la limite du mandat présidentiel ne sera plus verrouillé à 2. Et ainsi, le président actuel compte se représenter.  

Partant de ça, et à ce moment (qlqs mois des échéances) on peut logiquement prévoir qu’un dialogue avec les tenants de cette stratégie aura pour effet de leur concéder quelque chose.

Tu sais mon frère,  on est dans un espace public ou l’on ne peut pas dire toujours tout ce qu’on sait mais bon … prenons le conditionnel,  et restons dans le cadre des hypothèses,  de la logique et du bon sens … Admettons par exemple que ces 2 parties qui veulent cette transition se présentent avec leurs revendications. On aura d’une part le camp qui veut que cette transition se passe avec Tshisekedi à la tête et l’autre camp avec Kabila à la tête. (Même si ça ne sera pas le cas), mais admettons mêmes qu’ils soient en égalité. Admettons même que tous les membres ne fassent pas comme ceux qui s’étaient fait corrompre en allant au parlement, mais qu'ils restent incorruptibles.
Nous aurons donc 2 camps et le médiateur devra couper la poire en 2.
Il y aura une transition divisée en 2 périodes, la 1ere avec Kabila président et la 2ieme avec E T.
Et bien dans ces 2 ans sous Kabila, il pourra organiser un référendum à la Sassou et nous n’aurons plus aucun moyen constitutionnel de l’écarter.

Des scénarios de ce genre, il en existe quelques uns (j'en sais qlq chose)

C’est pour cette raison que moi (je ne parle pour tout le monde) je considère que l’Udps est tombé dans le piège de Kabila et œuvre (consciemment ou non) à accompagner Kabila dans cette stratégie.

Admin,

La situation devant laquelle nous nous trouvons aujourd’hui ne peut que donner lieu qu’à figurer des conjectures. Que divers scenarios possibles se discutent est tout compréhensible.

Mais je constate simplement que tu ne peux pas donner l’assurance que s’il n’y pas dialogue que les différents scénarios que tu brosses n’auront pas lieu. Tout comme, il n’y a aucune assurance que s’il n’y a pas dialogue, tout se déroulera dans le délai constitutionnel et qu’il n’y aura pas violation. Il n’y a aucune option qui renferme en elle une certitude absolue.

Quant à ce que l’UDPS soit tombée dans le piège de Joseph Kabila, si cela est vrai, ce serait donc depuis mai 2014 que l’UDPS est tombée dans ce piège quand la communauté internationale a suggéré l’idée du dialogue pendant que Joseph Kabila y était opposé. Car, c’est à partir de moment que l’UDPS a commencé à promouvoir le dialogue. Quelques temps après, bien avant que l’UDPS ait publié sa feuille de route, l’opposition contre le dialogue s’est organisée. Ces simples faits, à moins que tu ne présentes des faits contraires, démontre que l’UDPS avait embrassé l’idée du dialogue bien avant que Joseph Kabila y adhère. Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo était alors pratiquement le seul à faire la promotion du dialogue pendant que tout le monde, y compris Joseph Kabila y était opposé.

Alors veux-tu bien préciser à partir de quel moment l’UDPS est tombée dans le piège de Joseph Kabila et sur base de quels faits en dehors des scenarios possibles.
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Message  Admin 15/4/2016, 10:56 pm

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Libre Examen a écrit:Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il n’y a pas dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

RÉPONSE SIMPLE!

Peut-on nous assurer aujourd’hui, sans aucun doute, à 100%, que s’il y a dialogue, les élections présidentielles et législatives crédibles auront lieu dans le délai constitutionnel ?

Réponse tout aussi simple Admin mais longue. Pour l’UDPS, le dialogue est un des moyens, même si elle considère que c’est le meilleur moyen, par lesquels on peut arriver à obtenir la tenue d’élections présidentielles et crédibles dans le délai constitutionnel. L’UDPS n’a jamais, en aucun moment, soutenu que le dialogue est le seul moyen pour obtenir la tenue des élections dans le délai constitutionnel. Elle a toujours soutenu si nous ne pouvons l’obtenir par le dialogue, nous allons nous en remettre au peuple congolais. En effet, Félix Tshisekedi dans quelques une de ses entrevues  n’a jamais écarté la possibilité de l’échec du dialogue. Donc la question ne se pose pour ceux qui sont pour le dialogue parce qu’ils reconnaissent la possibilité d’un échec. Par contre, ceux qui s’opposent à la tenue du dialogue, soutiennent que l’UDPS cherche à permettre la violation de la Constitution et par conséquent la non-tenue des élections présidentielles et législatives dans le délai constitutionnel. Mutatis Mutandis, cela implique que puisque c’est le dialogue qui va faire en sorte qu’on les élections présidentielles et législatives n’aient pas lieu dans le délai constitutionnel,  s’il n’y a pas dialogue alors les élections  présidentielles et législatives auront lieu dans le délai constitutionnel. Ainsi, il appartient à ceux qui s’opposent au dialogue de donner l’assurance qu’au cas où, il n’y a pas dialogue, il n’y a aucun doute que les élections présidentielles et législatives auront lieur dans le délai constitutionnel.

Pendant très longtemps je croyais que tu faisais semblant mais je commence à croire que ce n’est pas le cas.

Cher Libre Examen, je crois que tu fais trop de fixation sur ton parti (udps) mais je te rappelle que ce dialogue concerne en réalité 2 parties.  Notre crainte c’est plus du cote de l’autre partie, dont les intentions avérées s’affichent clairement sur une stratégie de glissement et cela en vue de nous plonger devant une crise constitutionnelle qui va (dans leurs plans) nous emmener a adopter une nouvelle constitution, dans la quelle, la limite du mandat présidentiel ne sera plus verrouillé à 2. Et ainsi, le président actuel compte se représenter.  

Partant de ça, et à ce moment (qlqs mois des échéances) on peut logiquement prévoir qu’un dialogue avec les tenants de cette stratégie aura pour effet de leur concéder quelque chose.

Tu sais mon frère,  on est dans un espace public ou l’on ne peut pas dire toujours tout ce qu’on sait mais bon … prenons le conditionnel,  et restons dans le cadre des hypothèses,  de la logique et du bon sens … Admettons par exemple que ces 2 parties qui veulent cette transition se présentent avec leurs revendications. On aura d’une part le camp qui veut que cette transition se passe avec Tshisekedi à la tête et l’autre camp avec Kabila à la tête. (Même si ça ne sera pas le cas), mais admettons mêmes qu’ils soient en égalité. Admettons même que tous les membres ne fassent pas comme ceux qui s’étaient fait corrompre en allant au parlement, mais qu'ils restent incorruptibles.
Nous aurons donc 2 camps et le médiateur devra couper la poire en 2.
Il y aura une transition divisée en 2 périodes, la 1ere avec Kabila président et la 2ieme avec E T.
Et bien dans ces 2 ans sous Kabila, il pourra organiser un référendum à la Sassou et nous n’aurons plus aucun moyen constitutionnel de l’écarter.

Des scénarios de ce genre, il en existe quelques uns (j'en sais qlq chose)

C’est pour cette raison que moi (je ne parle pour tout le monde) je considère que l’Udps est tombé dans le piège de Kabila et œuvre (consciemment ou non) à accompagner Kabila dans cette stratégie.

Admin,

La situation devant laquelle nous nous trouvons aujourd’hui ne peut que donner lieu qu’à figurer des conjectures. Que divers scenarios possibles se discutent est tout compréhensible.

Mais je constate simplement que tu ne peux pas donner l’assurance que s’il n’y pas dialogue que les différents scénarios que tu brosses n’auront pas lieu. Tout comme, il n’y a aucune assurance que s’il n’y a pas dialogue, tout se déroulera dans le délai constitutionnel et qu’il n’y aura pas violation. Il n’y a aucune option qui renferme en elle une certitude absolue.

Quant à ce que l’UDPS soit tombée dans le piège de Joseph Kabila, si cela est vrai, ce serait donc depuis mai 2014 que l’UDPS est tombée dans ce piège quand la communauté internationale a suggéré l’idée du dialogue pendant que Joseph Kabila y était opposé. Car, c’est à partir de moment que l’UDPS a commencé à promouvoir le dialogue. Quelques temps après, bien avant que l’UDPS ait publié sa feuille de route, l’opposition contre le dialogue s’est organisée. Ces simples faits, à moins que tu ne présentes des faits contraires, démontre que l’UDPS avait embrassé l’idée du dialogue bien avant que Joseph Kabila y adhère. Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo était alors pratiquement le seul à faire la promotion du dialogue pendant que tout le monde, y compris Joseph Kabila y était opposé.

Alors veux-tu bien préciser à partir de quel moment l’UDPS est tombée dans le piège de Joseph Kabila et sur base de quels faits en dehors des scenarios possibles.

Assurance?

Oh si je peux te donner cette assurance disons tenter une réponse.  Sans dialogue, donc sans un allié de taille dans l'opposition. Le clan Kabila ne pourrait se lancer dans un tel scénario parce que ça prend une légitimation pour obtenir ce glissement or sans ce glissement, ils n'ont pas d'autre option. C’est la raison pour laquelle le dialogue n’a jamais pu démarrer faute de partenaire pour cette noce si corrosive pour notre pays.

Le piège ?

Ok, Je vais te le dire bien que je me répète en faites et depuis un petit moment je crois.
L'Udps est tombée dans le piège parce qu'elle ne participe pas au dialogue qu'elle a recherché mais plutôt a celui voulu par Kabila, au moment voulu par le même Kabila, avec le facilitateur choisi par Kabila pour aller dans le sens voulu par Kabila. C'est ça le piège.
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Message  Libre Examen 15/4/2016, 11:47 pm

Je voudrai répondre en y allant au début d'une affirmation à la fois. Si c'est faux qu'on me reprenne.

Le premier homme politique congolais à s'être opposé au dialogue est Joseph Kabila.
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Message  Admin 15/4/2016, 11:59 pm

Libre Examen a écrit:Je voudrai répondre en y allant au début d'une affirmation à la fois. Si c'est faux qu'on me reprenne.

Le premier homme politique congolais à s'être opposé au dialogue est Joseph Kabila.

Nuance, il avait opté pour une autre chose, qui lui convenait mieux et il l’a appelée concertation.
Aujourd’hui il fait un peu la même chose. Il détourne tout toujours. Je viens de lire que l’allié Steve Mbikayi menace de se retirer, on lui refuse un d’être dans le comité préparatoire
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Message  Libre Examen 16/4/2016, 12:45 am

Admin a écrit:
Libre Examen a écrit:Je voudrai répondre en y allant au début d'une affirmation à la fois. Si c'est faux qu'on me reprenne.

Le premier homme politique congolais à s'être opposé au dialogue est Joseph Kabila.

Nuance, il avait opté pour une autre chose, qui lui convenait mieux et il l’a appelée concertation.
Aujourd’hui il fait un peu la même chose. Il détourne tout toujours. Je viens de lire que l’allié Steve Mbikayi menace de se retirer, on lui refuse un d’être dans le comité préparatoire

Lorsqu'en mai 2014, la communauté internationale avait tenu une série de rencontrée avec la classe politique Co glaise, les concertations avaient déjà eu lieu. C'est à la suite de ces rencontres que' a été proposée l'idée d'un dialogue politique inclusif.

Joseph Kabila s'est alors opposé à toute idée du dialogue et a demandé à son camp de ne plus prend part à ces rencontres.
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Message  Admin 16/4/2016, 2:36 am

Libre Examen a écrit:
Admin a écrit:
Libre Examen a écrit:Je voudrai répondre en y allant au début d'une affirmation à la fois. Si c'est faux qu'on me reprenne.

Le premier homme politique congolais à s'être opposé au dialogue est Joseph Kabila.

Nuance, il avait opté pour une autre chose, qui lui convenait mieux et il l’a appelée concertation.
Aujourd’hui il fait un peu la même chose. Il détourne tout toujours. Je viens de lire que l’allié Steve Mbikayi menace de se retirer, on lui refuse un d’être dans le comité préparatoire

Lorsqu'en mai 2014, la communauté internationale avait tenu une série de rencontrée avec la classe politique Co glaise, les concertations avaient déjà eu lieu. C'est à la suite de ces rencontres que' a été proposée l'idée d'un dialogue politique inclusif.

Joseph Kabila s'est alors opposé à toute idée du dialogue et a demandé à son camp de ne plus prend part à ces  rencontres.
Justement il choisit le temps, le médiateur, la cadre, etc. Bref c'est son dialogue
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Message  Admin 16/4/2016, 2:57 am

L'allié Steve Mbikayi menace de se retirer.  Le dialogue "inclusif" mais son comité préparatoire est "exclusif" Rolling Eyes


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Message  Libre Examen 16/4/2016, 4:14 am

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Libre Examen a écrit:Je voudrai répondre en y allant au début d'une affirmation à la fois. Si c'est faux qu'on me reprenne.

Le premier homme politique congolais à s'être opposé au dialogue est Joseph Kabila.

Nuance, il avait opté pour une autre chose, qui lui convenait mieux et il l’a appelée concertation.
Aujourd’hui il fait un peu la même chose. Il détourne tout toujours. Je viens de lire que l’allié Steve Mbikayi menace de se retirer, on lui refuse un d’être dans le comité préparatoire

Lorsqu'en mai 2014, la communauté internationale avait tenu une série de rencontrée avec la classe politique Co glaise, les concertations avaient déjà eu lieu. C'est à la suite de ces rencontres que' a été proposée l'idée d'un dialogue politique inclusif.

Joseph Kabila s'est alors opposé à toute idée du dialogue et a demandé à son camp de ne plus prend part à ces  rencontres.
Justement il choisit le temps,  le médiateur,  le cadre,  etc.  Bref c'est son dialogue

Mettons-nous d'abord d'accord sur une chose. Joseph Kabila est le premier homme politique congolais à s'être prononcé contre le dialogue tel qu'il a été proposé à la classe politique congolaise par la communauté internationale en mai 2014 ? La question, il me semble, est simple et mériterait un oui ou un non.
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Message  Admin 16/4/2016, 12:24 pm

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Libre Examen a écrit:Je voudrai répondre en y allant au début d'une affirmation à la fois. Si c'est faux qu'on me reprenne.

Le premier homme politique congolais à s'être opposé au dialogue est Joseph Kabila.

Nuance, il avait opté pour une autre chose, qui lui convenait mieux et il l’a appelée concertation.
Aujourd’hui il fait un peu la même chose. Il détourne tout toujours. Je viens de lire que l’allié Steve Mbikayi menace de se retirer, on lui refuse un d’être dans le comité préparatoire

Lorsqu'en mai 2014, la communauté internationale avait tenu une série de rencontrée avec la classe politique Co glaise, les concertations avaient déjà eu lieu. C'est à la suite de ces rencontres que' a été proposée l'idée d'un dialogue politique inclusif.

Joseph Kabila s'est alors opposé à toute idée du dialogue et a demandé à son camp de ne plus prend part à ces  rencontres.
Justement il choisit le temps,  le médiateur,  le cadre,  etc.  Bref c'est son dialogue

Mettons-nous d'abord d'accord sur une chose. Joseph Kabila est le premier homme politique congolais à s'être prononcé contre le dialogue tel qu'il a été proposé à la classe politique congolaise par la communauté internationale en mai 2014 ? La question, il me semble, est simple et mériterait un oui ou un non.

Ah oui la question est simple et méritait un "oui" . Suspect venant de quelqu'un qui a l'habitude de répondre toujours par une série des questions à des questions simples qui ne demandent que "oui ou non" .... Quelle métamorphose ! Quoique ma réponse est claire , au cas où tu n'aurais pas saisi, la réponse est non et elle tient encore car ce dialogue n'est pas celui souhaité par la classe politique dans sa majorité ni la communauté internationale.
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Message  Libre Examen 16/4/2016, 1:35 pm

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Libre Examen a écrit:Je voudrai répondre en y allant au début d'une affirmation à la fois. Si c'est faux qu'on me reprenne.

Le premier homme politique congolais à s'être opposé au dialogue est Joseph Kabila.

Nuance, il avait opté pour une autre chose, qui lui convenait mieux et il l’a appelée concertation.
Aujourd’hui il fait un peu la même chose. Il détourne tout toujours. Je viens de lire que l’allié Steve Mbikayi menace de se retirer, on lui refuse un d’être dans le comité préparatoire

Lorsqu'en mai 2014, la communauté internationale avait tenu une série de rencontrée avec la classe politique Co glaise, les concertations avaient déjà eu lieu. C'est à la suite de ces rencontres que' a été proposée l'idée d'un dialogue politique inclusif.

Joseph Kabila s'est alors opposé à toute idée du dialogue et a demandé à son camp de ne plus prend part à ces  rencontres.
Justement il choisit le temps,  le médiateur,  le cadre,  etc.  Bref c'est son dialogue

Mettons-nous d'abord d'accord sur une chose. Joseph Kabila est le premier homme politique congolais à s'être prononcé contre le dialogue tel qu'il a été proposé à la classe politique congolaise par la communauté internationale en mai 2014 ? La question, il me semble, est simple et mériterait un oui ou un non.

Ah oui la question est simple et méritait un "oui" . Suspect  venant de quelqu'un qui a l'habitude de répondre toujours par une série des questions à des questions simples qui ne demandent que "oui ou non" .... Quelle métamorphose !  Quoique ma réponse est claire , au cas où tu n'aurais pas saisi, la réponse est non et elle tient encore car ce dialogue n'est pas celui souhaité par la classe politique dans sa majorité ni la communauté internationale.  

Voilà qui est bien parce que nous différons dés le point de départ. Je vais être absent de chez moi mais à mon retour je vais aller chercher un extrait dans un sujet ici même sur CD qui montre la position de Joseph Kabila dès le départ lorsque la communauté internationale avait convoqué des réunions avec la classe politique congolaise en mai 2014 si je ne me trompe las, réunions auxquelles ont, entre participé, Vital Kamerhe et Martin Fayulu. Ensuite, ne mettrais aussi à la disposition de tous, un extrait tiré de la résolution 2277 dans laquelle, le Conseil de Sécurité convie la classe politique congolaise à tenir un dialogue politique inclusif afin de pouvoir tenir des élections libres, crédibles et apaisées dans le délai constitutionnel. Et mis ainsi devant les faits, on laissera ceux qui nous lisent apprécier par eux-mêmes lieu de nous laisser berner par nos interprétations.

Et pour restituer tout le monde dans le contexte, je crois que je mettrais aussi la photo de Félix Antoine Tsheisekedi Tshilombo et Vital Kamerhe à la sortie d'une réunion qui avait réuni toute l'opposition après les rencontres avec la communauté internationale.


Dernière édition par Libre Examen le 16/4/2016, 1:58 pm, édité 1 fois
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Message  Libre Examen 16/4/2016, 1:43 pm

Admin a écrit:
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Libre Examen a écrit:Je voudrai répondre en y allant au début d'une affirmation à la fois. Si c'est faux qu'on me reprenne.

Le premier homme politique congolais à s'être opposé au dialogue est Joseph Kabila.

Nuance, il avait opté pour une autre chose, qui lui convenait mieux et il l’a appelée concertation.
Aujourd’hui il fait un peu la même chose. Il détourne tout toujours. Je viens de lire que l’allié Steve Mbikayi menace de se retirer, on lui refuse un d’être dans le comité préparatoire

Lorsqu'en mai 2014, la communauté internationale avait tenu une série de rencontrée avec la classe politique Co glaise, les concertations avaient déjà eu lieu. C'est à la suite de ces rencontres que' a été proposée l'idée d'un dialogue politique inclusif.

Joseph Kabila s'est alors opposé à toute idée du dialogue et a demandé à son camp de ne plus prend part à ces  rencontres.
Justement il choisit le temps,  le médiateur,  la cadre,  etc.  Bref c'est son dialogue

Ce n'est pas encore le temps de juger de la composition finale de ceux qui participeront au dialogue. Mais la composition préparatoire comprend 12 membres du pouvoir, 12 membres de l'opposition et 6 membres de la société civile. L'UDPS dans sa feuille de route propose une structure paritaire entre le pouvoir et l'opposition.
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Message  ndonzwau 16/4/2016, 5:14 pm

LE,

Vos propos au sujet de la séquence des actes de la CI sur le dialogue sont inexacts ! Vous en faites une interprétation orientée et non fidèle aux faits tels qu'ils se sont déroulés !

La CI n'a pas attendu de proposer le dialogue en 2014 mais dès février 2013 avec le fameux Accord-cadre d'Addis et sa résolution 2098 auxquels d'ailleurs a toujours fait explicitement référence l'Udps dans sa justification d'un dialogue initié par la CI...
Ces textes invitaient en effet en février 2013 à "la réconciliation nationale, à la tolérance et à la démocratisation" c'est écrit noir sur blanc !
Les "Concertations" seront agitées dans la suite pour ne se concrétiser qu'en septembre 2013...


ndonzwau a écrit:[...]
Svp, ce n'est pas parce qu'on va asséner un mensonge mille fois qu'il va devenir une vérité !
Les premiers à avoir voulu d'un dialogue sont d'abord Fayulu puis dans la suite Kamerhe dès le lendemain des dernières élections, début 2012 pour rechercher une légitimité perdue par ce scrutin controversé !
Par la suite ils se constitueront même en une Coalition pour le Vrai Dialogue (CVD)...
Donc pas l'Udps en mai 2014 comme on nous le chante ici !
Et cela dans le cadre seulement d'une recherche de solution aux élections frauduleuses de novembre 2011 car s'agissant du souhait du dialogue entre Congolais, c'est une idée qui court depuis au moins dix ans dont beaucoup de leaders et forces politiques se sont fait l'écho depuis au moins 2006 !

Les premiers à avoir refusé ce dialogue sont Tshisekedi avec son Udps qui à l'époque n'attendaient qu'on leur amène "JK" ligoté, tout à la (re)conquête de leur "Imperium" et "JK" avec son clan qui n'entendaient pas mettre en doute leur victoire frauduleuse par un dialogue quelconque !

Un peu plus tard avec la percée du M23 lorsque il sera question de défendre l'intégrité territoriale ainsi violée et dans la suite du fameux Accord international sous l'égide des NU d'Addis qui statuait à sa façon de cette flambée de violence à l'Est, "JK" agitera la prétendue  nécessité d'une cohésion nationale et surfera dessus pour aboutir aux fumeuses "Concertations" auxquelles les leaders et forces politiques majeurs de l'opposition y compris l'Udps refuseront de participer...

Voilà les faits visibles de tous et pas des fioritures qui enrobent la réalité selon ses vœux !
Pour revenir au dialogue, qui s'y prête sait bien que la négociation exige un compromis où l'on donne pour recevoir de son côté : que compte y concéder l'Udps et compte-t-elle y gagner ? Que compte donner son interlocuteur, JK", et compte-t-il y gagner ?
Ne prenez donc pas pour des gogos les Congolais qui refusent ce dialogue : c'est justement par peur des concessions inacceptables pour eux au profit du pouvoir qu'ils rechignent d'y aller...

Pourquoi l'Udps accepte-t-elle d'y aller ou plus exactement que compte-t-elle y gagner; on ne va pas nous faire croire que c'est seulement pour les seuls beaux yeux de la République qu'elle y va quand même ? De même pour leurs interlocuteurs en face...
N'est-il pas alors condescendant sinon plus de balayer d'un revers de la main satisfait les inquiétudes et refus des anti-dialogue ?
Compatriotiquement!



Compatriotiquement!



# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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Message  Libre Examen 17/4/2016, 2:17 pm

ndonzwau a écrit:LE,

Vos propos au sujet de la séquence des actes de la CI sur le dialogue sont inexacts ! Vous en faites une interprétation orientée et non fidèle aux faits tels qu'ils se sont déroulés !

La CI n'a pas attendu de proposer le dialogue en 2014 mais dès février 2013 avec le fameux Accord-cadre d'Addis et sa résolution 2098 auxquels d'ailleurs a toujours fait explicitement référence l'Udps dans sa justification d'un dialogue initié par la CI...
Ces textes invitaient en effet en février 2013 à "la réconciliation nationale, à la tolérance et à la démocratisation" c'est écrit noir sur blanc !
Les "Concertations" seront agitées dans la suite pour ne se concrétiser qu'en septembre 2013...


ndonzwau a écrit:[...]
Svp, ce n'est pas parce qu'on va asséner un mensonge mille fois qu'il va devenir une vérité !
Les premiers à avoir voulu d'un dialogue sont d'abord Fayulu puis dans la suite Kamerhe dès le lendemain des dernières élections, début 2012 pour rechercher une légitimité perdue par ce scrutin controversé !
Par la suite ils se constitueront même en une Coalition pour le Vrai Dialogue (CVD)...
Donc pas l'Udps en mai 2014 comme on nous le chante ici !
Et cela dans le cadre seulement d'une recherche de solution aux élections frauduleuses de novembre 2011 car s'agissant du souhait du dialogue entre Congolais, c'est une idée qui court depuis au moins dix ans dont beaucoup de leaders et forces politiques se sont fait l'écho depuis au moins 2006 !

Les premiers à avoir refusé ce dialogue sont Tshisekedi avec son Udps qui à l'époque n'attendaient qu'on leur amène "JK" ligoté, tout à la (re)conquête de leur "Imperium" et "JK" avec son clan qui n'entendaient pas mettre en doute leur victoire frauduleuse par un dialogue quelconque !

Un peu plus tard avec la percée du M23 lorsque il sera question de défendre l'intégrité territoriale ainsi violée et dans la suite du fameux Accord international sous l'égide des NU d'Addis qui statuait à sa façon de cette flambée de violence à l'Est, "JK" agitera la prétendue  nécessité d'une cohésion nationale et surfera dessus pour aboutir aux fumeuses "Concertations" auxquelles les leaders et forces politiques majeurs de l'opposition y compris l'Udps refuseront de participer...

Voilà les faits visibles de tous et pas des fioritures qui enrobent la réalité selon ses vœux !
Pour revenir au dialogue, qui s'y prête sait bien que la négociation exige un compromis où l'on donne pour recevoir de son côté : que compte y concéder l'Udps et compte-t-elle y gagner ? Que compte donner son interlocuteur, JK", et compte-t-il y gagner ?
Ne prenez donc pas pour des gogos les Congolais qui refusent ce dialogue : c'est justement par peur des concessions inacceptables pour eux au profit du pouvoir qu'ils rechignent d'y aller...

Pourquoi l'Udps accepte-t-elle d'y aller ou plus exactement que compte-t-elle y gagner; on ne va pas nous faire croire que c'est seulement pour les seuls beaux yeux de la République qu'elle y va quand même ? De même pour leurs interlocuteurs en face...
N'est-il pas alors condescendant sinon plus de balayer d'un revers de la main satisfait les inquiétudes et refus des anti-dialogue ?
Compatriotiquement!



Compatriotiquement!



# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #


Puisque je dispose de quelques temps, je vais une réponse brève et claire.

Est-ce que la communauté internationale a organisé des rencontres avec toute la classe polique congolaise, opposition et pouvoir compris en mai 2014 ? Vrai ou Faux ? Vrai

Est-ce que la communauté internationale a proposé lors de ses rencontres à la classe politique congolaise d'organiser un dialogue inclusif ? Vrai ou Faux ? Vrai

Est-ce Joseph Kabila est le premier homme politique congolais à s'être opposé à cette proposition précise de la communauté internationale issue des rencontres avec la classe politique en mai 2014 ? Vrai ou Faux ? Vrai

Joseph Kabila avait-il donné l'ordre à son camp de plus prendre part à ces rencontres ? Vrai ou Faux ? Vrai

Chacun de nous peut faire cet exercice et y répondre en toute conscience et honnêtement.

On peut remonter à l'aube de temps, cela ne va pas changer le fait que ces événements ont eu lieu, et ne les rend pas inexacts ou mensonges. Ces événements ont eu lieu et sont réels. Dire qu'un événement a eu lieu à un moment ce  n'est ni dire ni nier qu'il puisse avoir eu des événements qui l'ont précédé. Dire qu'un enfant est né à une date ne veut pas dire qu'il n'y a pas eu quelque chose qui a fait que cet enfant soit né á ladite date.

Ce qui est  mensonge et inexact, c'est de nier et de vouloir  faire croire qu'il n'y a pas eu des rencontres en mai 2014 au cours desquelles la communauté internationale avait proposé à la classe politique congolaise de tenir un dialogue inclusif. C'est une évidence.

Maintenant quand quelqu'un s'évertue à nier les évidences ou a faire croire qu'elles n'ont jamais eu lieu, ou qu'elles seraient inexactes ou mensongères parce sue selon son suprême jugement, le problème est plus profond que d'être d'accord ou pas sur des choix différents. C'est peut-être de la haine. Et dans ce cas, il n'y a rien qu'on puisse y faire.
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Message  Libre Examen 18/4/2016, 5:02 pm


Avions-nous indiqué qu’Etienne Tshisekedi avait appelé la communauté internationale à réagir dès la proclamation des résultats de l'élection présidentielle en décembre 2011 ? Si nous ne l’avions pas fait, eh bien, c’est fait maintenant. En voilà donc pour une autre inexactitude et mensonge !
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Message  GHOST 18/4/2016, 5:16 pm

Smile LE "DIALOGUE" ?

Comme Steve Mbikayi l´exprime si bien: C´est LEUR dialogue

Affirmer que Kanambe serait contre le "dialogue" Sad ...toutes ces rencontres secrètes avec l´UDPS (Italie, Espagne, France, Pays Bas, Monaco..) démontrent que Kanambe n´a jamais été opposé á un "dialogue" Laughing Il a eu un "dialogue" avec l´UDPS tout le temps

¤ Si Kanambe a toujours "negocié" son dialogue, il ne le fait qu´en fonction de ses interêts What a Face S´il n´avait rien á gagner dans ce dialogue, il n´allait pas perdre son temps á negocier en permanence avec Tshitshi @

¤ Le seul changement dans ce processus négocié entre le PPRD et l´UDPS est l´intrusion de l´ONU qui s´invite avec l´exigeance du respect de la constitution et pire sa participation au processus électoral http://fr.allafrica.com/stories/201604170147.html "La Monusco fournira assistance logistique et technique á la CENI"

Selon NAANGA, cette semaine..les experts en informatique de l´ONU arrivent á Kin pour mettre au point la revision du fichier électoral I love you
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