DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
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GHOST
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Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
FORMATION JURIDIQUE
Nous avons beaucoups des raisons d´en vouloir Mobutu..mais il avait pris soin de faire progresser notre intellect
¤ Professeur NYABIRUNGU il est parlementaire en ce moment..Il était notre professeur de droit penal
¤ Professeur MPONGO MOKAKO, colonel juriste gendarme, était notre professeur de droit constitutionel
¤ Professeur BOMPAKA, était notre professeur de droit civil
Ceux qui sont passés par la faculté de droit de l´UNIKIN dans les années ´85 devraient se souvenir de ces "savants" juristes
Sans complexe, Troll possede des "amis" généraux et colonels dans la Police qui avaient fait les mêmes études que lui
L´actuel général GALENGA á Lubumbashi..par exemple, était le chef de notre promotion Sans complexe, nous possedons les bases juridiques necessaires pour lire une "constitution"
Nous avons beaucoups des raisons d´en vouloir Mobutu..mais il avait pris soin de faire progresser notre intellect
¤ Professeur NYABIRUNGU il est parlementaire en ce moment..Il était notre professeur de droit penal
¤ Professeur MPONGO MOKAKO, colonel juriste gendarme, était notre professeur de droit constitutionel
¤ Professeur BOMPAKA, était notre professeur de droit civil
Ceux qui sont passés par la faculté de droit de l´UNIKIN dans les années ´85 devraient se souvenir de ces "savants" juristes
Sans complexe, Troll possede des "amis" généraux et colonels dans la Police qui avaient fait les mêmes études que lui
L´actuel général GALENGA á Lubumbashi..par exemple, était le chef de notre promotion Sans complexe, nous possedons les bases juridiques necessaires pour lire une "constitution"
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Sir Troll,Troll a écrit:
En bref, plus de 20 ans après..Troll possede les notions de base du droit constitutionel Dans une démocratie "constitutionnelle", il est inconcevable que le président puisse désigner un PM en dehors de la majorité parlementaire
Je ne mets pas en doute vos connaissances en matière juridique (notamment du droit constitutionnel) mais dans le contexte actuel en RDC, la majorité parlementaire est considerée conmme celle ayant participé au dialogue, faites le calcul dans l´hémicycle et vous conviendrez avec moi que les pro-dialogue sont majoritaires. Partant de ce constat, il est tout à fait normal qu´un opposant pro dialogue soit nommé premier ministre étant donné qu´il fait partie de cette majorité parlementaire.
Arafat
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Abou AMAR
Thanx pour avoir "clarifié" le sujet: La RDC possede une "nouvelle majorité parlementaire"* Ceux des partis politiques de l´opposition qui ont signés l´accord font partie de la majorité
Ainsi, pour se conformer avec la constitution** Kabila va designer.. un PM issue de sa "nouvelle majorité"
En conformité..avec la constitution, Kamerhe et cie vont cesser de figurer dans l´opposition une fois qu´ils ont pris place dans le gouvernement*
L´argument qui affirme que "le PM est designé dans l´opposition" après le dialogue est faux Ce que dans la strategie de Kabila, "l´opposition" allait cesser d´exister après la signature de l´accord..tout simplement
Il suffit de lire les commentaires de Busa et Kamerhe qui qualifient le speech de Kabila " d´historique" pour admettre qu´ils ont cessés d´ être des "opposants"
LA GUERRE DE LA CONSTITUTION ? WAIT AND SEE
Thanx pour avoir "clarifié" le sujet: La RDC possede une "nouvelle majorité parlementaire"* Ceux des partis politiques de l´opposition qui ont signés l´accord font partie de la majorité
Ainsi, pour se conformer avec la constitution** Kabila va designer.. un PM issue de sa "nouvelle majorité"
En conformité..avec la constitution, Kamerhe et cie vont cesser de figurer dans l´opposition une fois qu´ils ont pris place dans le gouvernement*
L´argument qui affirme que "le PM est designé dans l´opposition" après le dialogue est faux Ce que dans la strategie de Kabila, "l´opposition" allait cesser d´exister après la signature de l´accord..tout simplement
Il suffit de lire les commentaires de Busa et Kamerhe qui qualifient le speech de Kabila " d´historique" pour admettre qu´ils ont cessés d´ être des "opposants"
LA GUERRE DE LA CONSTITUTION ? WAIT AND SEE
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Tiens! un opposant doit-il toujours dire le contraire de ce que dit le président? Si le président de la république dit que la pelouse du stade est verte, l´opposant serait-il dans l´obligation de repondre forcement que la pelouse du stade est grise, tout simplement pour le plaisir de le contredire?Troll a écrit:
Il suffit de lire les commentaires de Busa et Kamerhe qui qualifient le speech de Kabila " d´historique" pour admettre qu´ils ont cessés d´ être des "opposants"
LA GUERRE DE LA CONSTITUTION ? WAIT AND SEE
Arafat
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Ce n’est de ma part ni une contestation d’expert (j’avoue manquer de formation et de diplômes de droit constitutionnel ! ) ni non plus une polémique vite lancée ; j’ai évoqué ce point (=PM à choisir dans la majorité) dans le cadre d’un conseil pour un combat meilleur de l’opposition au vu de son quasi-immobilisme et en me basant sur le(mon) bon sens et sur ma petite expérience de la pratique constitutionnelle française que je vis et dont notre système semi-présidentiel s’inspire très largement…
Je maintiens que les opposants Congolais rabâchent ce reproche sans le documenter et selon moi se trompent de cible, cet argumentaire est non seulement mineur mais surtout n’accroît nullement leurs capacités de résistance et de contre-attaque du pouvoir…
Quelques questions peuvent nous éclairer :
- C’est savoir ce que sont une « Majorité parlementaire » et une « Majorité Présidentielle » ?
- C’est de déterminer « ce qui dans la Constitution est indicatif et ce qui dedans pose une contrainte »… ?
- Ou encore ce qui dans le fonctionnement de l’Exécutif et du Législatif est dicté par la Constitution, relève de la loi organique ou encore des règlements intérieurs si pas par des usages acquis càd une certaine jurisprudence ?
- Et enfin quelles sont les caractéristiques propres du « régime semi-présidentiel même dans son usage chez-nous » ?
Que lit-on dans la Constitution ?
Vu de la Constitution ou du moins de la lecture que j’en fais on découvre « qu’une majorité parlementaire se construit, se négocie et fonctionne au gré des règles que se choisit de l’Assemblée (face au Gouvernement) plutôt qu’elle n’est imposée en bloc d’un coup…
Ce qui semble acquis, indiscutable est que la « majorité parlementaire » = le parti ou le groupe de partis politiques détenant la majorité des sièges à l’Assemblée nationale n’impose dans le régime semi-présidentiel qu’une contrainte : la responsabilité du Gouvernement devant l’AN, le PR est ainsi obligé de choisir son PM au sein de cette majorité sinon le Gouvernement risque d’y être renversé. Selon mon observation en France, la (re)composition de la majorité parlementaire se fait autour des échéances électorales nationales mais aussi autres importantes comme ce qui se passe en ce moment au Congo…
On ne peut non plus ignorer la réalité d’une Majorité présidentielle = parti ou groupe de partis soutenant le PR élu ; elle peut coïncider avec la majorité parlementaire donnant ainsi au PR un espace plus large pour choisir son PM et ainsi une marge de manœuvre plus importante…
A noter que sans être théorisée dans la Constitution, l’usage en France a consacré la réalité de la « cohabitation », le cas où le camp présidentiel perd la majorité parlementaire et le PR obligé de choisir le PM, chef du gouvernement dans le camp opposé (faute de démissionner lui-même ?)… Aussi qu’une démocratie n’est foncièrement viable que si la majorité au pouvoir a en face d’elle une « opposition parlementaire identifiée et respectée » jusque dans certains pays à lui accorder « un statut bien codifié »…
N’empêche que dans le système semi-présidentiel, la nomination du PM reste le privilège laissé au PR, disposant ainsi d’un choix totalement libre (à l’époque de la nomination de Raffarin comme PM qui avait provoqué quelques frictions dans son camp Chirac l’avait rappelé)… Preuve de plus, le PM nommé n’a pas à obtenir avant de pouvoir prendre ses fonctions l’accord de l’Assemblée nationale, donc aucune forme d'investiture, aucun lien juridique entre sa nomination et un quelconque vote parlementaire sauf que l’efficacité et l’éthique lui imposent de privilégier une cohabitations avec un PM venu du(es) parti(s) adverse(s) parce que majoritaires au Parlement mais rien de strictement constitutionnel là-dedans mais du constitutionnalisme qui s’élabore avec les usages…
La cessation de fonctions du PM n’est pas non plus expressément organisée par l’Assemblée sauf qu’elle entraîne la démission de l’ensemble du Gouvernement sauf aussi que sa démission peut être provoquée par l’Assemblée nationale à travers sa motion de censure ou le refus d’approuver sa déclaration de politique générale…
Bref dans le régime semi-présidentiel même à la Congolaise, le PR élu au suffrage universel a des prérogatives propres par rapport au reste de l’Exécutif (le Gouvernement proprement-dit) seule sa validité au cours de l’exercice est soumise au contrôle du Législatif (et plus souvent l’AN) pouvant aller jusqu’à provoquer sa chute…
Tous ces aboyeurs autour d’une prétendue violation de règles n’ont rien compris à l’essentiel et ceux dans l’opposition qui s’attardent là-dessus ne font que faire perdre du temps à leur plateforme, la caravane du pouvoir aura encore plus le loisir de passer, car ils n’obtiendront rien de cette lecture étriquée de la Constitution que l’usage dément au Congo comme ailleurs…
Si jouissant de ses prérogatives JK accepte de nommer un PM venu de l’opposition il demandera à sa majorité parlementaire de le soutenir comme le parti ou le groupe de partis derrière le PM le soutiendront : un faux problème donc sur la nécessité de choisir le PM dans la majorité parlementaire, celle-ci se formera autour de lui à cette occasion pas habituelle…
Il y’a donc d’autres cibles à privilégier pour réussir l’estocade contre JK (et même son allié du jour, le « kamerhéon ») que les incantations stériles sur le respect strict de la Constitution (sa lettre)…
La réalité va vite nous prouver que face un autocrate rusé et soutenu même à la marge dans le pays mais ne manquant pas d’appuis dehors surtout parmi des voisins qui comptent, il faut beaucoup plus intelligent, plus courageux et plus concret que le vent des paroles même pleines de bons sentiments parce que naïves, trop idéalistes, peu réalistes : voilà mon seul champ de bataille !
Qui vivra verra…
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Je maintiens que les opposants Congolais rabâchent ce reproche sans le documenter et selon moi se trompent de cible, cet argumentaire est non seulement mineur mais surtout n’accroît nullement leurs capacités de résistance et de contre-attaque du pouvoir…
Quelques questions peuvent nous éclairer :
- C’est savoir ce que sont une « Majorité parlementaire » et une « Majorité Présidentielle » ?
- C’est de déterminer « ce qui dans la Constitution est indicatif et ce qui dedans pose une contrainte »… ?
- Ou encore ce qui dans le fonctionnement de l’Exécutif et du Législatif est dicté par la Constitution, relève de la loi organique ou encore des règlements intérieurs si pas par des usages acquis càd une certaine jurisprudence ?
- Et enfin quelles sont les caractéristiques propres du « régime semi-présidentiel même dans son usage chez-nous » ?
Que lit-on dans la Constitution ?
Article 78 Le Président de la République nomme le Premier ministre au sein de la majorité parlementaire après consultation de celle-ci. Il met fin à ses fonctions sur présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement. Si une telle majorité n'existe pas, le Président de la République confie une mission d'information à une personnalité en vue d'identifier une coalition. La mission d'information est de trente jours renouvelable une seule Jois. Le Président de la République nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions sur proposition du Premier ministre. …
Article 90 (…)La composition du Gouvernement tient compte de la représentativité nationale. Avant d'entrer en fonction, le Premier ministre présente à l'Assemblée nationale le programme du Gouvernement. Lorsque ce programme est approuvé à la majorité absolue des membres qui composent l'Assemblée nationale, celle-ci investit le Gouvernement….
Article 91 Le Gouvernement définit, en concertation avec le Président de la République, la politique de la Nation et en assume la responsabilité. (…)
Article 112 Chaque Chambre du Parlement adopte son Règlement intérieur. Le Règlement intérieur détermine notamment: 1. la durée et les règles de fonctionnement du Bureau, les pouvoirs et prérogatives de son Président ainsi que des autres membres du Bureau; 2. le nombre, le mode de désignation, la composition, le rôle et la compétence de ses commissions permanentes ainsi que la création et le fonctionnement des commissions spéciales et temporaires; 3. l'organisation des services administratifs dirigés par un Secrétaire général de l'administration publique de chaque Chambre; 4. le régime disciplinaire des députés et des sénateurs; 5. les différents modes de scrutin, à l'exclusion de ceux prévus expressément par la présente Constitution. Avant d'être mis en application, le Règlement intérieur est obligatoirement transmis par le Président du Bureau provisoire de la Chambre intéressée à la Cour constitutionnelle qui se prononce sur sa conformité à la Constitution dans un délai de quinze jours. Passé ce délai, le Règlement intérieur est réputé conforme. Les dispositions déclarées non conformes ne peuvent être mises en application…..
Article 146 Le Premier ministre peut, après délibération du Conseil des ministres, engager devant l'Assemblée nationale la responsabilité du Gouvernement sur son programme, sur une déclaration de politique générale ou sur le vote d'un texte. L'Assemblée nationale met en cause la responsabilité du Gouvernement ou d'un membre du Gouvernement par le vote d'une motion de censure ou de défiance. La motion de censure contre le Gouvernement n'est recevable que si elle est signée par un quart des membres de l'Assemblée nationale. La motion de défiance contre un membre du Gouvernement n'est recevable que si elle est signée par un dixième des membres de l'Assemblée nationale. Le débat et le vote ne peuvent avoir lieu que quarante huit heures après le dépôt de la motion. Seuls sont recensés les votes favorables à la motion .de censure ou de défiance qui ne peut être adoptée qu'à la majorité absolue des membres composant l'Assemblée nationale. Si la motion de censure ou de défiance est rejetée, ses signataires ne peuvent en proposer une nouvelle au cours de la même session. Le programme, la déclaration de politique générale ou le texte visé à l'alinéa 1er est considéré comme adopté sauf si une motion de censure est votée dans les conditions prévues aux alinéas 2 et 3 du présent article. Le Premier ministre a la faculté de demander au Sénat l'approbation d'une déclaration de politique générale.
Article 147 Lorsque l'Assemblée nationale adopte une motion de censure, le Gouvernement est réputé démissionnaire. Dans ce cas, le Premier ministre remet la démission du Gouvernement au Président de la République dans les vingt quatre heures. Lorsqu'une motion de défiance contre un membre du Gouvernement est adoptée, celui-ci est réputé démissionnaire.
Article 148 En cas de crise persistante entre le Gouvernement et l'Assemblée nationale, le Président de la République peut, après consultation du Premier ministre et des Présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, prononcer la dissolution de l'Assemblée nationale. Aucune dissolution ne peut intervenir dans l'année qui suit les élections, ni pendant les périodes de l'état d'urgence ou de siège ou de guerre, ni pendant que la République est dirigée par un Président intérimaire. A la suite d'une dissolution de l'Assemblée nationale, la Commission électorale nationale indépendante convoque les électeurs en vue de l'élection, dans le délai de soixante jours suivant la date de publication de l'ordonnance de dissolution, d'une nouvelle Assemblée nationale. (...)
Vu de la Constitution ou du moins de la lecture que j’en fais on découvre « qu’une majorité parlementaire se construit, se négocie et fonctionne au gré des règles que se choisit de l’Assemblée (face au Gouvernement) plutôt qu’elle n’est imposée en bloc d’un coup…
Ce qui semble acquis, indiscutable est que la « majorité parlementaire » = le parti ou le groupe de partis politiques détenant la majorité des sièges à l’Assemblée nationale n’impose dans le régime semi-présidentiel qu’une contrainte : la responsabilité du Gouvernement devant l’AN, le PR est ainsi obligé de choisir son PM au sein de cette majorité sinon le Gouvernement risque d’y être renversé. Selon mon observation en France, la (re)composition de la majorité parlementaire se fait autour des échéances électorales nationales mais aussi autres importantes comme ce qui se passe en ce moment au Congo…
On ne peut non plus ignorer la réalité d’une Majorité présidentielle = parti ou groupe de partis soutenant le PR élu ; elle peut coïncider avec la majorité parlementaire donnant ainsi au PR un espace plus large pour choisir son PM et ainsi une marge de manœuvre plus importante…
A noter que sans être théorisée dans la Constitution, l’usage en France a consacré la réalité de la « cohabitation », le cas où le camp présidentiel perd la majorité parlementaire et le PR obligé de choisir le PM, chef du gouvernement dans le camp opposé (faute de démissionner lui-même ?)… Aussi qu’une démocratie n’est foncièrement viable que si la majorité au pouvoir a en face d’elle une « opposition parlementaire identifiée et respectée » jusque dans certains pays à lui accorder « un statut bien codifié »…
N’empêche que dans le système semi-présidentiel, la nomination du PM reste le privilège laissé au PR, disposant ainsi d’un choix totalement libre (à l’époque de la nomination de Raffarin comme PM qui avait provoqué quelques frictions dans son camp Chirac l’avait rappelé)… Preuve de plus, le PM nommé n’a pas à obtenir avant de pouvoir prendre ses fonctions l’accord de l’Assemblée nationale, donc aucune forme d'investiture, aucun lien juridique entre sa nomination et un quelconque vote parlementaire sauf que l’efficacité et l’éthique lui imposent de privilégier une cohabitations avec un PM venu du(es) parti(s) adverse(s) parce que majoritaires au Parlement mais rien de strictement constitutionnel là-dedans mais du constitutionnalisme qui s’élabore avec les usages…
La cessation de fonctions du PM n’est pas non plus expressément organisée par l’Assemblée sauf qu’elle entraîne la démission de l’ensemble du Gouvernement sauf aussi que sa démission peut être provoquée par l’Assemblée nationale à travers sa motion de censure ou le refus d’approuver sa déclaration de politique générale…
Bref dans le régime semi-présidentiel même à la Congolaise, le PR élu au suffrage universel a des prérogatives propres par rapport au reste de l’Exécutif (le Gouvernement proprement-dit) seule sa validité au cours de l’exercice est soumise au contrôle du Législatif (et plus souvent l’AN) pouvant aller jusqu’à provoquer sa chute…
Tous ces aboyeurs autour d’une prétendue violation de règles n’ont rien compris à l’essentiel et ceux dans l’opposition qui s’attardent là-dessus ne font que faire perdre du temps à leur plateforme, la caravane du pouvoir aura encore plus le loisir de passer, car ils n’obtiendront rien de cette lecture étriquée de la Constitution que l’usage dément au Congo comme ailleurs…
Si jouissant de ses prérogatives JK accepte de nommer un PM venu de l’opposition il demandera à sa majorité parlementaire de le soutenir comme le parti ou le groupe de partis derrière le PM le soutiendront : un faux problème donc sur la nécessité de choisir le PM dans la majorité parlementaire, celle-ci se formera autour de lui à cette occasion pas habituelle…
Il y’a donc d’autres cibles à privilégier pour réussir l’estocade contre JK (et même son allié du jour, le « kamerhéon ») que les incantations stériles sur le respect strict de la Constitution (sa lettre)…
La réalité va vite nous prouver que face un autocrate rusé et soutenu même à la marge dans le pays mais ne manquant pas d’appuis dehors surtout parmi des voisins qui comptent, il faut beaucoup plus intelligent, plus courageux et plus concret que le vent des paroles même pleines de bons sentiments parce que naïves, trop idéalistes, peu réalistes : voilà mon seul champ de bataille !
Qui vivra verra…
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Abu AMAR
Kamerhe a cessé d´être "opposant"..soki o tie tembe, o ko mona ndenge a ko koma plus "kabiliste" que Mende to "Kabila to tondi yo nanu te" Pesa tango, surtout soki a komi "PM"
LA FRANCE, CETTE "DÉMOCRATIE" QUI TARDE Á EVOLUER...
Á la fin du cours du droit constitutionnel, le colonel Mpongo Mokako s´était amusé á nous faire executer une exercice ..en comparant plusieures constitutions de l´époque:) Bien que "militaire", il nou avait laissé le loisir de commenter la constitution du MPR qui s´inspirait de celle de la Chine ou de l´ex URSS:D ...
La France..? Comparez la constitution de ce pays avec celles des "Monarchies" constitutionnelles de l´Europe, vous serez surpris de constater que les constitutions de ces "monarchies" sont plus en avance que celle de la France:idea:
Pour un pays qui a eu une "révolution", le président en France est plus un "roi ou un empereur" voté..sans responsabilité devant le parlement:idea: En bref, la France n´est pas un bon exemple de démocratie....en Occident, elle est restée vers les années ´50 tout simplement Aucun chef de gouvernement, aucun président en Occident possede autant de pouvoir que le président en France*
¤ LA BATAILLE EST DANS LA RUE ET NON DANS UNE ARROGANCE D´UN PRESIDENT "LIMITÉ"
Ces pays voisins qu´on nous cite ici...combien d´entre eux peuvent financer une partie du budget du prochain gouvernement? Combien d´entre eux peuvent importer les minerais de la RDC? Combien d´entre eux peuvent financer les élections futures de la RDC?
Quand BUSH Jr est entré á la Maison Blanche, il avait donné l´ordre á tous ces pays africains en guerre au Congo de decamper Aucun de ces pays soit-disant "puissants" n´avait osé narguer Bush
La guerre de la constitution va se derouler dans la rue Ceux qui semble-t-il vont avoir le "pouvoir" seront très vite "usés" face á la contestation de la rue Même s´ils utilisent ce fameux "pouvoir" pour reprimer les congolais l´issue de cette guerre est previsible
Quand Matata quitte, le budget est de moins de 5 milliards de $ Sans la logistique de l´ONU, enrôler les électeurs va coûter des centaines des millions de $ en leasing des avions ou des hélicoptères
En bref, la RDC sera dans une crise financière dans moins de 6 mois au cas où les "sanctions" de l´UE et des USA vont compliquer encore plus l´équation
WAIT AND SEE
Kamerhe a cessé d´être "opposant"..soki o tie tembe, o ko mona ndenge a ko koma plus "kabiliste" que Mende to "Kabila to tondi yo nanu te" Pesa tango, surtout soki a komi "PM"
LA FRANCE, CETTE "DÉMOCRATIE" QUI TARDE Á EVOLUER...
Á la fin du cours du droit constitutionnel, le colonel Mpongo Mokako s´était amusé á nous faire executer une exercice ..en comparant plusieures constitutions de l´époque:) Bien que "militaire", il nou avait laissé le loisir de commenter la constitution du MPR qui s´inspirait de celle de la Chine ou de l´ex URSS:D ...
La France..? Comparez la constitution de ce pays avec celles des "Monarchies" constitutionnelles de l´Europe, vous serez surpris de constater que les constitutions de ces "monarchies" sont plus en avance que celle de la France:idea:
Pour un pays qui a eu une "révolution", le président en France est plus un "roi ou un empereur" voté..sans responsabilité devant le parlement:idea: En bref, la France n´est pas un bon exemple de démocratie....en Occident, elle est restée vers les années ´50 tout simplement Aucun chef de gouvernement, aucun président en Occident possede autant de pouvoir que le président en France*
¤ LA BATAILLE EST DANS LA RUE ET NON DANS UNE ARROGANCE D´UN PRESIDENT "LIMITÉ"
Ces pays voisins qu´on nous cite ici...combien d´entre eux peuvent financer une partie du budget du prochain gouvernement? Combien d´entre eux peuvent importer les minerais de la RDC? Combien d´entre eux peuvent financer les élections futures de la RDC?
Quand BUSH Jr est entré á la Maison Blanche, il avait donné l´ordre á tous ces pays africains en guerre au Congo de decamper Aucun de ces pays soit-disant "puissants" n´avait osé narguer Bush
La guerre de la constitution va se derouler dans la rue Ceux qui semble-t-il vont avoir le "pouvoir" seront très vite "usés" face á la contestation de la rue Même s´ils utilisent ce fameux "pouvoir" pour reprimer les congolais l´issue de cette guerre est previsible
Quand Matata quitte, le budget est de moins de 5 milliards de $ Sans la logistique de l´ONU, enrôler les électeurs va coûter des centaines des millions de $ en leasing des avions ou des hélicoptères
En bref, la RDC sera dans une crise financière dans moins de 6 mois au cas où les "sanctions" de l´UE et des USA vont compliquer encore plus l´équation
WAIT AND SEE
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Qu’est-ce que vraiment les Congolais auraient à gagner à se mesurer à la France, que valent tous ces discours des Congolais qui connaissent à peine la longue et riche histoire de la France mais prétendent en connaître mieux que les Français eux-mêmes alors que ceux-ci connaissent leurs propres faiblesses et leurs forces ?
Je vis en France, je la connais un peu mieux que ceux qui en parlent de loin géographiquement et intellectuellement : bien des choses y marchent aujourd’hui moins bien parfois plus qu’ailleurs mais les Français en sont conscients et croyez-moi, ils ont les outils pour y remédier dans l’avenir !
Ailleurs, quel grand pays n’est pas en grande débandade aujourd’hui en pleine mondialisation, même la grande Amérique ne vient-elle pas de l’apprendre à ses dépens avec l’arrivée surprise de Trump… ?
C’est une dangereuse fuite en avant cette comparaison maladroite, nos défis sont nôtres et pas chez les autres et si les opposants Congolais ne se contentent tantôt qu’à appeler ou à désapprouver le fameux « régime spécial » comme anticonstitutionnel tantôt à faire de même sur le PM qui ne devrait pas venir de l’opposition alliée soi-disant ne faisant pas partie de la majorité parlementaire, tantôt… ; on est mal barré et bonjour la « présidence à vie de « JK » »…
Les actions utiles sont ailleurs : au lieu du fameux « niet » à tout des radicaux, il faut attaquer « JK » là où il croit nous enrégimenter, par exemple profiter des bons offices qu’il a demandés à la Genco pour y poser des conditions moins intransigeantes pourvu qu’on y obtienne des garanties non d’un après 19 décembre sans lui mais à en obtenir un délai plus raisonnable et des gages d’une compétition saine à l’issue de cette période transitoire !
Méditez ces paroles combien justes et bien-à-propos de Braeckman : « …dans son adresse le président a subtilement renversé les rôles. Il a dénoncé « ceux qui tenteraient de s’emparer du pouvoir par la force…, mais n’a rien dit de ceux qui essayent d’y rester, en ayant la force de leur côté…"» Voilà où il faut le prendre à la gorge : lui prouver méthodiquement que « le vrai coupable c’est lui qui veut rester en usant de la loi de la force qu’il détient à sa place et non ceux qui selon lui tenteraient de s’emparer du pouvoir par la force qu’ils n’ont pas sauf celle du peuple et de la loi » !
C’est ça être à la fois réaliste et efficace mais aussi se placer dans « l’esprit de la Constitution » car sa « lettre stricte » nous l’avons déjà ratée ! La rue, osons espérer qu’elle devienne notre alliée décisive mais la rue appartient à tous même à nos adversaires ! Pour nous en assurer la pleine mesure nous avons une démonstration politique à faire pour la prendre à témoin ; voilà nous aurions tort à négliger la négociation via la Cenco qui nous a été offerte ; c’est une piste !
Voilà ma position !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Je vis en France, je la connais un peu mieux que ceux qui en parlent de loin géographiquement et intellectuellement : bien des choses y marchent aujourd’hui moins bien parfois plus qu’ailleurs mais les Français en sont conscients et croyez-moi, ils ont les outils pour y remédier dans l’avenir !
Ailleurs, quel grand pays n’est pas en grande débandade aujourd’hui en pleine mondialisation, même la grande Amérique ne vient-elle pas de l’apprendre à ses dépens avec l’arrivée surprise de Trump… ?
C’est une dangereuse fuite en avant cette comparaison maladroite, nos défis sont nôtres et pas chez les autres et si les opposants Congolais ne se contentent tantôt qu’à appeler ou à désapprouver le fameux « régime spécial » comme anticonstitutionnel tantôt à faire de même sur le PM qui ne devrait pas venir de l’opposition alliée soi-disant ne faisant pas partie de la majorité parlementaire, tantôt… ; on est mal barré et bonjour la « présidence à vie de « JK » »…
Les actions utiles sont ailleurs : au lieu du fameux « niet » à tout des radicaux, il faut attaquer « JK » là où il croit nous enrégimenter, par exemple profiter des bons offices qu’il a demandés à la Genco pour y poser des conditions moins intransigeantes pourvu qu’on y obtienne des garanties non d’un après 19 décembre sans lui mais à en obtenir un délai plus raisonnable et des gages d’une compétition saine à l’issue de cette période transitoire !
Méditez ces paroles combien justes et bien-à-propos de Braeckman : « …dans son adresse le président a subtilement renversé les rôles. Il a dénoncé « ceux qui tenteraient de s’emparer du pouvoir par la force…, mais n’a rien dit de ceux qui essayent d’y rester, en ayant la force de leur côté…"» Voilà où il faut le prendre à la gorge : lui prouver méthodiquement que « le vrai coupable c’est lui qui veut rester en usant de la loi de la force qu’il détient à sa place et non ceux qui selon lui tenteraient de s’emparer du pouvoir par la force qu’ils n’ont pas sauf celle du peuple et de la loi » !
C’est ça être à la fois réaliste et efficace mais aussi se placer dans « l’esprit de la Constitution » car sa « lettre stricte » nous l’avons déjà ratée ! La rue, osons espérer qu’elle devienne notre alliée décisive mais la rue appartient à tous même à nos adversaires ! Pour nous en assurer la pleine mesure nous avons une démonstration politique à faire pour la prendre à témoin ; voilà nous aurions tort à négliger la négociation via la Cenco qui nous a été offerte ; c’est une piste !
Voilà ma position !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
"Un gentleman, c´est quelqu´un qui sait jouer de la cornemuse mais n´en joue pas"
Troll réside depuis assez longtemps en Europe et a travaillé dans plusieurs pays...pour comprendre les differences entre les occidentaux ..
La France ne nous impressione pas sur le plan historique, ni surtout sur sa "démocratie"¤ Il suffit de voir le retard des colonies francophones en Afrique par rapport aux anglophones.... pour admettre que la France comme réference
Troll a eu depuis l´enfance l´histoire de la France disponible...avant tout grâce aux ouvrages d´Alexandre Dumas.. ..et ensuite, le journal Le Canard Enchainé était disponible chaque semaine
Une fois de plus, la France ne peut pas impressioner quelqu´un qui réside en RFA, deux victoires militaires écrasantes en deux guerres, ni aux USA ..pays qui a sauvé la France deux fois face á l´Allemagne, ni même la Grande Bretagne, mieux organisée, plus civilisée,plus démocratique:scratch:
La France comme réference ..démocratique:nonono: un pays des Rois-presidents "faineants" qui continue á retarder le progrès politique en Afrique:nonono: ..
..Un gentleman c´est quelqu´un qui sait jouer...
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Sa trahison l'avait déjà placé à la merci de kabila. C'est ça la politique.
il faut voir loin.
il faut voir loin.
until a écrit:si tu vais parler de tshisekedi, adresses toi à ceux qui font sa mopap comme tu le fais pour le kameleon. Mois je parle du kameleon et je te dis " wait and see" car il s'est engagé sur la voie de cain, de nguz, de birindua etc. c'est une question de quelque semaines pour que tu puisses evaluer pendant combient de temps le kameleon sera premier ministre. et encore, il peut ne pas le devenir.
Arafat a écrit:Que je sois dans la logique du diable ou que tu sois dans la logique de Dieu, là n´est pas le problème. Comme tu dis que c´est prematuré de discuter avec moi sur ce sujet, j´attends que tu me dises le moment opportun pour le faire, à moins que ça soit lors de la résurrection de Simon Kimbangau mais dans l´entre-temps, explique nous plutôt pourquoi Tshisekedi se cachait derrière "l´intérêt des Congolais" pour négocier la primature en faveur de son fils. On ne profite pas du peuple pour ses propres intérêts.until a écrit:visiblement, tu es dans la mopap pour le kameleon, alors ke moi je ne suis pas dans la mopap pour ki ke ce soit, donc il est premature' pour discuter avec toi sur ce sujet, car ce n'est plus la logique mais le fanatisme. Alors, comme je te l'ai dit: wait and see
Comme on dit chez nous : Zonza kua zonza Ngoma, ku taku kwa ndoumba ko vedire on ne se sert pas des fesses d´une femme pour jouer au tam-tam
until
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Ah, la constitution de retour ?
En vacances, nous lisons de temps en temps vos interventions sur CD Ceux qui disaient tout haut qu´il n´ya plus question de refaire un "dialogue inclusif" après celui de la cité de l´OUA sont depassés en ce moment
Il existe aussi une autre "race" d´intervenants qui ont été aussi á la pointe pour affirmer que cette constitution n´était plus la réference ultime, juste un document qu´on peut .. mettre entre parenthèse ..Eux aussi se retrouvent devant cette constitution
http://www.radiookapi.net/2016/12/25/societe/cardinal-monsengwo-il-est-revolu-le-temps-ou-lon-prenait-le-pouvoir-par
Monsengwo son message s´adresse au Rassemblement où certains n´ont jamais..beaucoups de respect pour la constitution tout comme les "faucons" du PPRD qui se retrouvent contraint de se plier á des negociations qu´ils ne voulaient pas
Ah, la constitution de retour? Attendons la fin du weekend prochain avant de continuer cette conversation
"PAX AMERICANA"
Les USA ont été contre une "révolution" dans la rue, car ne souhaitant plus repeter les experiences horribles de l´Irak, la Syrie ou la Lybie et même pire celle de la chute de Mobutu
L´option des USA semble écarter les "invasions " du Congo par des pays voisins pour imposer un président, tout comme un coup d´État militaire du genre de l´Egypte, et surtout pas une révolution du genre de la Lybie et la Syrie qui va detruire le peu d´infrastructures que le Congo possede et plonger le pays dans une longue guerre civile
Cette option passe par la constitution Les congolais doivent voter et élire le prochain président cette obligation est non-negociable Ni la majorité qui possedait une stratégie "d ´accordéon" où les élections pouvaient se tenir le plus loin possible dans l´avenir Ni l´opposition, en tout cas une partie de l´opposition qui rêvaient d´un "regime special" sans loi, sans respect de la constitution n´a pu imposer son approche
Faire voter les congolais est l´option de la PAX AMERICANA Une option qui ne sera pas "populaire" dans les deux factions dans les quelles l´autre compte sur le contrôle de l´armée et la police, tandis que la seconde faction compte sur le nombre, la masse des congolais qui une fois dans la rue, va gagner la confrontation au prix des centaines des morts
WAIT AND SEE Ne soyons pas si pressés, attendons le weekend prochain
En vacances, nous lisons de temps en temps vos interventions sur CD Ceux qui disaient tout haut qu´il n´ya plus question de refaire un "dialogue inclusif" après celui de la cité de l´OUA sont depassés en ce moment
Il existe aussi une autre "race" d´intervenants qui ont été aussi á la pointe pour affirmer que cette constitution n´était plus la réference ultime, juste un document qu´on peut .. mettre entre parenthèse ..Eux aussi se retrouvent devant cette constitution
http://www.radiookapi.net/2016/12/25/societe/cardinal-monsengwo-il-est-revolu-le-temps-ou-lon-prenait-le-pouvoir-par
Monsengwo son message s´adresse au Rassemblement où certains n´ont jamais..beaucoups de respect pour la constitution tout comme les "faucons" du PPRD qui se retrouvent contraint de se plier á des negociations qu´ils ne voulaient pas
Ah, la constitution de retour? Attendons la fin du weekend prochain avant de continuer cette conversation
"PAX AMERICANA"
Les USA ont été contre une "révolution" dans la rue, car ne souhaitant plus repeter les experiences horribles de l´Irak, la Syrie ou la Lybie et même pire celle de la chute de Mobutu
L´option des USA semble écarter les "invasions " du Congo par des pays voisins pour imposer un président, tout comme un coup d´État militaire du genre de l´Egypte, et surtout pas une révolution du genre de la Lybie et la Syrie qui va detruire le peu d´infrastructures que le Congo possede et plonger le pays dans une longue guerre civile
Cette option passe par la constitution Les congolais doivent voter et élire le prochain président cette obligation est non-negociable Ni la majorité qui possedait une stratégie "d ´accordéon" où les élections pouvaient se tenir le plus loin possible dans l´avenir Ni l´opposition, en tout cas une partie de l´opposition qui rêvaient d´un "regime special" sans loi, sans respect de la constitution n´a pu imposer son approche
Faire voter les congolais est l´option de la PAX AMERICANA Une option qui ne sera pas "populaire" dans les deux factions dans les quelles l´autre compte sur le contrôle de l´armée et la police, tandis que la seconde faction compte sur le nombre, la masse des congolais qui une fois dans la rue, va gagner la confrontation au prix des centaines des morts
WAIT AND SEE Ne soyons pas si pressés, attendons le weekend prochain
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Ne mélangeons pas tout sinon nos bons sentiments finiront par confiner en un angélisme naïf intéressé : la Constitution a été moult fois violée, elle vient encore de l’être davantage ce 20 décembre avec un ‘JK’ toujours présent à la tête du pays alors que son dernier mandat venait d’expirer… C’est un fait, à l’ignorer on risque de le revoir…
Alors qu’on l’appelle « Régime spécial » ou « Conseil National de la Transition » ou « Haute Autorité de la Transition », c’est foncièrement la même chose, plus qu'un classique « organe d'appui à la démocratie » comme on en a connu par le passé parce qu'il touche directement la Loi fondamentale, c'est d’abord « un dispositif politico-juridique ad hoc » pour rafistoler ce qui le peut de la Constitution violée, les justifications dans un sens ou dans un autre ne satisferont pas davantage tous les « constitutionnalistes » ; c’est selon !
Ce dispositif n’est donc ni complètement constitutionnel dans le sens où il serait inscrit à la lettre dans notre Constitution ni non plus pleinement anticonstitutionnel dans le sens où il obéit à l’esprit démocratique et règlementaire de la Constitution… (Au mieux le peuple souverain par la voix de ses délégués s'engage à faire face à une énième crise de légitimité de ses institutions et de ses gouvernants de façon consensuelle ! )
Notre bonne foi peut nous pousser à crier victoire à un « retour de la Constitution », rien n’est pourtant plus faux, « la lettre de la Constitution » aurait consisté à destituer ‘JK’ coupable de sa violation en se maintenant anticonstitutionnellement à la tête du pays, ce n’est pas ce qui a été fait ou sera vraisemblablement fait…
En revanche « l’esprit de la Constitution » qui est un ensemble de textes faits et adoptés démocratiquement par le peuple Congolais permet à celui-ci via ses représentants à apporter un « Acte constitutionnel additif provisoire à côté de la Constitution » par un compromis entre les différentes forces politiques et sociales pour gérer provisoirement le pays jusqu’à l’alternance, jusqu’au retour d’un fonctionnement normal des institutions !
C’est donc le paradoxe de l’accord qui s’annonce, pas à la lettre constitutionnel, et vous verrez des personnes avisées continuer à dénoncer à raison son inconstitutionnalité, il peut être valablement défendu comme répondant à l’esprit de la Constitution parce qu’il permet de régler la crise née de sa violation délibérée qui constituait pourtant un crime grave de haute trahison !
Notre « Etat de droit » est encore balbutiant et aux grands maux des remèdes exceptionnels même s’agissant de la Loi fondamentale !
Entre-temps ne nous emballons peut-être pas trop vite, attendons que le compromis soit effectivement signé entre les différentes parties pour l’intérêt supérieur du pays, il ne l’est pas encore… Et même signé sous les clauses acceptables qu'on a lues, il faudra en attendre la pleine application sans oublier que cela demande que le pouvoir ait et donne les meilleurs moyens notamment financiers à sa bonne application...
Voilà mon avis !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Alors qu’on l’appelle « Régime spécial » ou « Conseil National de la Transition » ou « Haute Autorité de la Transition », c’est foncièrement la même chose, plus qu'un classique « organe d'appui à la démocratie » comme on en a connu par le passé parce qu'il touche directement la Loi fondamentale, c'est d’abord « un dispositif politico-juridique ad hoc » pour rafistoler ce qui le peut de la Constitution violée, les justifications dans un sens ou dans un autre ne satisferont pas davantage tous les « constitutionnalistes » ; c’est selon !
Ce dispositif n’est donc ni complètement constitutionnel dans le sens où il serait inscrit à la lettre dans notre Constitution ni non plus pleinement anticonstitutionnel dans le sens où il obéit à l’esprit démocratique et règlementaire de la Constitution… (Au mieux le peuple souverain par la voix de ses délégués s'engage à faire face à une énième crise de légitimité de ses institutions et de ses gouvernants de façon consensuelle ! )
Notre bonne foi peut nous pousser à crier victoire à un « retour de la Constitution », rien n’est pourtant plus faux, « la lettre de la Constitution » aurait consisté à destituer ‘JK’ coupable de sa violation en se maintenant anticonstitutionnellement à la tête du pays, ce n’est pas ce qui a été fait ou sera vraisemblablement fait…
En revanche « l’esprit de la Constitution » qui est un ensemble de textes faits et adoptés démocratiquement par le peuple Congolais permet à celui-ci via ses représentants à apporter un « Acte constitutionnel additif provisoire à côté de la Constitution » par un compromis entre les différentes forces politiques et sociales pour gérer provisoirement le pays jusqu’à l’alternance, jusqu’au retour d’un fonctionnement normal des institutions !
C’est donc le paradoxe de l’accord qui s’annonce, pas à la lettre constitutionnel, et vous verrez des personnes avisées continuer à dénoncer à raison son inconstitutionnalité, il peut être valablement défendu comme répondant à l’esprit de la Constitution parce qu’il permet de régler la crise née de sa violation délibérée qui constituait pourtant un crime grave de haute trahison !
Notre « Etat de droit » est encore balbutiant et aux grands maux des remèdes exceptionnels même s’agissant de la Loi fondamentale !
Entre-temps ne nous emballons peut-être pas trop vite, attendons que le compromis soit effectivement signé entre les différentes parties pour l’intérêt supérieur du pays, il ne l’est pas encore… Et même signé sous les clauses acceptables qu'on a lues, il faudra en attendre la pleine application sans oublier que cela demande que le pouvoir ait et donne les meilleurs moyens notamment financiers à sa bonne application...
Voilà mon avis !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
¤ LE "CENSEUR"
Quand nous avions posté "Le retour de la Constitution" très recement, un "censeur" de ce site s´est permis (comme d´habitude depuis..) de remettre en question la place incontournable de la Constitution au Congo
En ce premier jour de l´an 2017, les congolais se tournent pourtant vers leur Constitution afin de ne pas tomber dans le piège de la "révolution dans la rue" ou de la "repression violente"
¤ ELECTIONS "CONSTITUTIONNELLES"
Le président "sortant" de la RDC á qui un Accord accorde un "rallonge" de près de 11 mois sur son dernier mandat...souligne la place des élections comme le prescrit la Constitution*
"...Seul, notre peuple, dans sa souveraineté, devra demeurer la source de pouvoir dans notre pays par la voix des urnes."
http://www.rfi.fr/afrique/20170101-voeux-2017-presidents-africains-paix-et-reconciliation
http://www.radiookapi.net/2016/12/31/actualite/politique/rdc-les-defis-majeurs-de-joseph-kabila.pour-2017
Aveux d´un président entouré des "faucons" qui lui ont fait croire qu´il était l´avatar de Mobutu et pouvait refaire le même parcours ? Wait and see*
¤ ENFIN, LES DEBATS CONTRADICTOIRES AVANT LES ELECTIONS
Joseph n´étant plus candidat, va devoir designer un "dauphin" ...mais le plus important pour l´an 2017 est la campagne électorale..
Pour la première fois, les congolais auront droit á des débats contradictoires entre les candidats.. En effet, si l´accord est mis en application, l´espace médiatique devenant "libre" va (enfin) nous offrir le plaisir de decouvrir les candidats á la présidence
La démocratie au Congo a grandement besoin d´évoluer vers la lutte, la confrontation des idées, des programmes, des concepts Quand Joseph s´efface, cette possibilité de voir les candidats s´exprimer librement devient de plus en plus proche de l´accomplissement
¤ EXIT LES "JURISTES ET LES PHILOSOPHES", IN LES ECONOMISTES EN 2017
Nous allons avoir besoin des "juristes" sur la scène politique pour faire respecter la constitution mais, les congolais ont grandement besoin des "économistes", une nouvelle génération des hommes politiques capables d´expliquer comment gerer les ressources nationales, comment mettre en place la bonne gouvernance et mieux comment obtenir les capitaux internationaux
Ce qu´un pays comme l´Ethiopie réalise depuis avant 1960 avec sa compagnie aérienne, l´une de plus rentable de la planète Ce que l´Ethiopie réalise avec les capitaux chinois depuis quelques années, ne sont pas des actions que les congolais seraient incapables de réaliser*
Ainsi, en 2017..moins des "philosophes" sans capacités intellectuelles dans la gestion d´un État, et encore moins des juristes qui assoment les gens avec les articles des lois qu´ils sont les premiers á violer, mieux des économistes..des gestionaires pour faire avancer la RDC
¤ LA CONSTITUTION Á L´AUBE DES "REVISIONS"
Même si l´accord de la "transition" interdit un réferendum ou qu´on touche á la constitution pendant 12 mois de l´an 2017...cette constitution va certainement subir des revisions en l´an 2018:face:
* COÛT DES INSTITUTIONS... Si les congolais souhaitent reduire le coût du fonctionement des institutions, dissoudre le SENAT est une option possible..]b]En effet, pourquoi ne pas avoir un parlement á chambre unique comme dans les démocraties parlementaires Nordiques [/b]
* L´EXIGEANCE D´ORGANISER LES ELECTIONS Ne faut-il pas cette fois ici prevenir le "glissement" en mettant dans la constitution une exigeance de la preparation des élections 12 mois avant la fin du mandat président en fonction au lieu d´attendre 3 mois
* LA CENI... Fin 2017, les congolais devraient sans doute commencer á réflechir sur les possibilités de se passer de la CENI..et de s´inscrire dans la logique des vielles démocraties où le gouvernement organise regulièrement les élections
Á suivre
Quand nous avions posté "Le retour de la Constitution" très recement, un "censeur" de ce site s´est permis (comme d´habitude depuis..) de remettre en question la place incontournable de la Constitution au Congo
En ce premier jour de l´an 2017, les congolais se tournent pourtant vers leur Constitution afin de ne pas tomber dans le piège de la "révolution dans la rue" ou de la "repression violente"
¤ ELECTIONS "CONSTITUTIONNELLES"
Le président "sortant" de la RDC á qui un Accord accorde un "rallonge" de près de 11 mois sur son dernier mandat...souligne la place des élections comme le prescrit la Constitution*
"...Seul, notre peuple, dans sa souveraineté, devra demeurer la source de pouvoir dans notre pays par la voix des urnes."
http://www.rfi.fr/afrique/20170101-voeux-2017-presidents-africains-paix-et-reconciliation
http://www.radiookapi.net/2016/12/31/actualite/politique/rdc-les-defis-majeurs-de-joseph-kabila.pour-2017
Aveux d´un président entouré des "faucons" qui lui ont fait croire qu´il était l´avatar de Mobutu et pouvait refaire le même parcours ? Wait and see*
¤ ENFIN, LES DEBATS CONTRADICTOIRES AVANT LES ELECTIONS
Joseph n´étant plus candidat, va devoir designer un "dauphin" ...mais le plus important pour l´an 2017 est la campagne électorale..
Pour la première fois, les congolais auront droit á des débats contradictoires entre les candidats.. En effet, si l´accord est mis en application, l´espace médiatique devenant "libre" va (enfin) nous offrir le plaisir de decouvrir les candidats á la présidence
La démocratie au Congo a grandement besoin d´évoluer vers la lutte, la confrontation des idées, des programmes, des concepts Quand Joseph s´efface, cette possibilité de voir les candidats s´exprimer librement devient de plus en plus proche de l´accomplissement
¤ EXIT LES "JURISTES ET LES PHILOSOPHES", IN LES ECONOMISTES EN 2017
Nous allons avoir besoin des "juristes" sur la scène politique pour faire respecter la constitution mais, les congolais ont grandement besoin des "économistes", une nouvelle génération des hommes politiques capables d´expliquer comment gerer les ressources nationales, comment mettre en place la bonne gouvernance et mieux comment obtenir les capitaux internationaux
Ce qu´un pays comme l´Ethiopie réalise depuis avant 1960 avec sa compagnie aérienne, l´une de plus rentable de la planète Ce que l´Ethiopie réalise avec les capitaux chinois depuis quelques années, ne sont pas des actions que les congolais seraient incapables de réaliser*
Ainsi, en 2017..moins des "philosophes" sans capacités intellectuelles dans la gestion d´un État, et encore moins des juristes qui assoment les gens avec les articles des lois qu´ils sont les premiers á violer, mieux des économistes..des gestionaires pour faire avancer la RDC
¤ LA CONSTITUTION Á L´AUBE DES "REVISIONS"
Même si l´accord de la "transition" interdit un réferendum ou qu´on touche á la constitution pendant 12 mois de l´an 2017...cette constitution va certainement subir des revisions en l´an 2018:face:
* COÛT DES INSTITUTIONS... Si les congolais souhaitent reduire le coût du fonctionement des institutions, dissoudre le SENAT est une option possible..]b]En effet, pourquoi ne pas avoir un parlement á chambre unique comme dans les démocraties parlementaires Nordiques [/b]
* L´EXIGEANCE D´ORGANISER LES ELECTIONS Ne faut-il pas cette fois ici prevenir le "glissement" en mettant dans la constitution une exigeance de la preparation des élections 12 mois avant la fin du mandat président en fonction au lieu d´attendre 3 mois
* LA CENI... Fin 2017, les congolais devraient sans doute commencer á réflechir sur les possibilités de se passer de la CENI..et de s´inscrire dans la logique des vielles démocraties où le gouvernement organise regulièrement les élections
Á suivre
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
AH!!!
nous revoici avec les fantasmes de notre sergeant...
c' est bien lui qui disait que decembre 2016 Kabila partira qu'il le veuille ou pas...
Janvier 2017, Kabila est toujours president du congo
C' est le meme sergeant infirmier qui criait a tue tete que la rue rien que la rue...
Aujourd'hui il se remet a la constitution au lieu de prendre le pouvoir dans la rue comme au burkinafaso...
Et il revient comme si de rien n'etait... il nous recommence avec ses fantasme a la Executive Outcome.
OHHH les americains... oohhh les suedois....oooh les mindele....
katuka di!!!!va lecher les *** de tes mindele
Bonne annee a toi Troll
nous revoici avec les fantasmes de notre sergeant...
c' est bien lui qui disait que decembre 2016 Kabila partira qu'il le veuille ou pas...
Janvier 2017, Kabila est toujours president du congo
C' est le meme sergeant infirmier qui criait a tue tete que la rue rien que la rue...
Aujourd'hui il se remet a la constitution au lieu de prendre le pouvoir dans la rue comme au burkinafaso...
Et il revient comme si de rien n'etait... il nous recommence avec ses fantasme a la Executive Outcome.
OHHH les americains... oohhh les suedois....oooh les mindele....
katuka di!!!!va lecher les *** de tes mindele
Bonne annee a toi Troll
zobattants
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Troll a écrit:¤ LE "CENSEUR"
Quand nous avions posté "Le retour de la Constitution" très recement, un "censeur" de ce site s´est permis (comme d´habitude depuis..) de remettre en question la place incontournable de la Constitution au Congo
En ce premier jour de l´an 2017, les congolais se tournent pourtant vers leur Constitution afin de ne pas tomber dans le piège de la "révolution dans la rue" ou de la "repression violente"
¤ ELECTIONS "CONSTITUTIONNELLES"
Le président "sortant" de la RDC á qui un Accord accorde un "rallonge" de près de 11 mois sur son dernier mandat...souligne la place des élections comme le prescrit la Constitution*
"...Seul, notre peuple, dans sa souveraineté, devra demeurer la source de pouvoir dans notre pays par la voix des urnes."
http://www.rfi.fr/afrique/20170101-voeux-2017-presidents-africains-paix-et-reconciliation
http://www.radiookapi.net/2016/12/31/actualite/politique/rdc-les-defis-majeurs-de-joseph-kabila.pour-2017
Aveux d´un président entouré des "faucons" qui lui ont fait croire qu´il était l´avatar de Mobutu et pouvait refaire le même parcours ? Wait and see*
¤ ENFIN, LES DEBATS CONTRADICTOIRES AVANT LES ELECTIONS
Joseph n´étant plus candidat, va devoir designer un "dauphin" ...mais le plus important pour l´an 2017 est la campagne électorale..
Pour la première fois, les congolais auront droit á des débats contradictoires entre les candidats.. En effet, si l´accord est mis en application, l´espace médiatique devenant "libre" va (enfin) nous offrir le plaisir de decouvrir les candidats á la présidence
La démocratie au Congo a grandement besoin d´évoluer vers la lutte, la confrontation des idées, des programmes, des concepts Quand Joseph s´efface, cette possibilité de voir les candidats s´exprimer librement devient de plus en plus proche de l´accomplissement
¤ EXIT LES "JURISTES ET LES PHILOSOPHES", IN LES ECONOMISTES EN 2017
Nous allons avoir besoin des "juristes" sur la scène politique pour faire respecter la constitution mais, les congolais ont grandement besoin des "économistes", une nouvelle génération des hommes politiques capables d´expliquer comment gerer les ressources nationales, comment mettre en place la bonne gouvernance et mieux comment obtenir les capitaux internationaux
Ce qu´un pays comme l´Ethiopie réalise depuis avant 1960 avec sa compagnie aérienne, l´une de plus rentable de la planète Ce que l´Ethiopie réalise avec les capitaux chinois depuis quelques années, ne sont pas des actions que les congolais seraient incapables de réaliser*
Ainsi, en 2017..moins des "philosophes" sans capacités intellectuelles dans la gestion d´un État, et encore moins des juristes qui assoment les gens avec les articles des lois qu´ils sont les premiers á violer, mieux des économistes..des gestionaires pour faire avancer la RDC
¤ LA CONSTITUTION Á L´AUBE DES "REVISIONS"
Même si l´accord de la "transition" interdit un réferendum ou qu´on touche á la constitution pendant 12 mois de l´an 2017...cette constitution va certainement subir des revisions en l´an 2018:face:
* COÛT DES INSTITUTIONS... Si les congolais souhaitent reduire le coût du fonctionement des institutions, dissoudre le SENAT est une option possible..]b]En effet, pourquoi ne pas avoir un parlement á chambre unique comme dans les démocraties parlementaires Nordiques [/b]
* L´EXIGEANCE D´ORGANISER LES ELECTIONS Ne faut-il pas cette fois ici prevenir le "glissement" en mettant dans la constitution une exigeance de la preparation des élections 12 mois avant la fin du mandat président en fonction au lieu d´attendre 3 mois
* LA CENI... Fin 2017, les congolais devraient sans doute commencer á réflechir sur les possibilités de se passer de la CENI..et de s´inscrire dans la logique des vielles démocraties où le gouvernement organise regulièrement les élections
Á suivre
Svp, svp, même avec des slogans, des superficialités et amalgames diverses il n’est pourtant pas difficile de comprendre que ce n’est pas la méconnaissance de l’importance de la Constitution dans nos pays qui la fait violer par nos potentats, en la violant ils savent très bien le sacrilège qu’ils commettent comme un brigand de grand chemin commet ses crimes non en ne les reconnaissant pas comme tels mais parce qu’il est un criminel, il sait très bien qu’attrapé il en répondra !
Alors nous satisfaire des slogans comme « retour de la Constitution » relève d’une vue bien réductrice car sa référence nécessaire dans le règlement de la crise n’a jamais fait défaut (même un apprenti dictateur comme 'JK' n'a pas hésité à la vanter et à s'en réclamer dans son dernier discours à la Nation...) et ici avec ce dénouement on voit encore plus que la peur de sa violation n’a pas empêché qu’on la viole au point que pour régler la crise on ne s’est pas contenté de faire appel à sa « lettre stricte » qui aurait purement et simplement renvoyé à ses chères études le PR sortant coupable de « glissement » dès le 19 décembre passé, notre démocratie balbutiante avec des institutions encore faibles n’en a pas encore les moyens…
On a plutôt fait appel à son « esprit » démocratique pour nous en sortir par un « consensus hors Constitution » mais pleinement valide car il est l’affaire de tous les Congolais à travers ses représentants !
« Qu'on le veuille ou non, il faut avant toute exploitation d'abord composer avec la vérité juridique, constitutionnelle de l'accord du 31 décembre selon laquelle quels que soient ses mérites de règlement pacifique et réaliste il est bel et bien hors-Constitution qui elle, dit clairement que le deuxième et dernier mandat de 'JK' a expiré, le seul argument qui tempère cette sévère sentence est que cet accord a été obtenu sur un consensus large des Congolais via ses représentants ! C'est là où on peut parler non d'un banal « retour de la Constitution » qu'aucun Congolais n'a jamais renvoyé mais plutôt du « respect de son esprit » ! Voilà l'analyse que je défends !
C’est peut-être difficile à le comprendre mais la cause principale de nos errements c'est « une contestation, une crise itérative de légitimité de nos institutions et de nos gouvernants » non pas faute des règles à respecter, d’une Constitution adaptée mais d’abord parce que notre culture politique encore « traditionaliste » a tendance à reposer sur des hommes (forts) plutôt que sur des institutions (fortes) !
Voilà pourquoi je disais et répète qu’avec des slogans réducteurs comme « retour de la Constitution » on s’éloigne de la réalité qu’on vit et ainsi on risque de voir se répéter les mêmes crises car on a refusé de regarder à fond nos mœurs politiques !
J'accepte tout à fait que légitimement on conteste mes tentatives d’analyse mais je ne laisserai personne qui à court d’arguments ou pour sa publicité propre prétendre que je ne m’y lance de ma part que pour entretenir une « polémique » quelconque ; arguments contre arguments, la bonne foi, les bons sentiments s'ils sont nécessaires ne suffisent pas, voici ce que j'attends d'un échange intelligent !
Et surtout ici l’essentiel est celui-là, loin de nos querelles propres fabriquées à l’occasion : la seule préoccupation qui vaille c’est la juste appréciation de la situation pour le bien concret de notre pays !
A bon entendeur………….
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
EXPLOREZ VOTRE "IGNORANCE" PENDANT L`AN 2017
http://www.bbc.com/futur/story/20160105-the-man-who-studies-the-spread-of-ignorance
Semi-lettré
[color=#ff3399]Semi-literate people....Many more can be considered "semi-literate" because they have learned to deciphe and write a few simple Words or sentences[/color]
http://www.bbc.com/futur/story/20160105-the-man-who-studies-the-spread-of-ignorance
Semi-lettré
[color=#ff3399]Semi-literate people....Many more can be considered "semi-literate" because they have learned to deciphe and write a few simple Words or sentences[/color]
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
A lire sur la place de "l'Accord global et inclusif" du 31 décembre 2016 dans notre "ordre constitutionnel" le communiqué complet du Professeur Mbata, constitutionnaliste Congolais de renom qui avec son Institut (l'IDGPA)a fait de la défense des Constitutions au Congo et en Afrique son cheval de bataille au niveau inter-universitaire !
Il insiste en faisant bien le distinguo sans amalgames : l'Accord a bel et bien violé la Constitution en confirmant le "glissement" de 'JK' à la tête du pays au delà de son dernier mandat mais en même temps il a le mérite d'avoir installé un dispositif juridico-politique et un délai convenable pour le retour au cours institutionnel normal !
C'est la même lecture que nous tentons sans autre polémique ni passion de la situation en évitant de mélanger les faits !
A bon entendeur !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Il insiste en faisant bien le distinguo sans amalgames : l'Accord a bel et bien violé la Constitution en confirmant le "glissement" de 'JK' à la tête du pays au delà de son dernier mandat mais en même temps il a le mérite d'avoir installé un dispositif juridico-politique et un délai convenable pour le retour au cours institutionnel normal !
C'est la même lecture que nous tentons sans autre polémique ni passion de la situation en évitant de mélanger les faits !
A bon entendeur !
ndonzwau a écrit:Compatriotiquement!
[...]
"Communiqué de l’IDGPA (Institut pour la démocratie, la gouvernance, la paix et le développement en Afrique
Respect de la Constitution et compromis politique du centre interdiocésain de Kinshasa"
1. L’IDGPA a suivi avec une attention soutenue les pourparlers du « Dialogue national inclusif » qui viennent de se dérouler au Centre interdiocésain de Kinshasa sous les bons offices de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) en vue de tenter de régler les problèmes liés à la crise de légalité et de légitimité résultant de la non-tenue de l’élection présidentielle dans le délai constitutionnel en République démocratique du Congo (RDC) alors que le mandat du Président de la République est arrivé à son terme le 19 décembre 2016 et que la Constitution n’autorise aucune prolongation.
2. L’IDGPA constate que cette non-tenue de l’élection présidentielle constitue un manquement grave à la Constitution de la part de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui a mandat d’organiser les élections, du gouvernement qui ne lui a pas accordé les moyens nécessaires, du Président de la République qui doit veiller au respect de la Constitution et au fonctionnement régulier des institutions telles que la CENI et le gouvernement, et de la Cour constitutionnelle qui a « juridiquement » accompagné le « glissement » à travers son Arrêt du 17 octobre 2016 en réponse à une requête pourtant irrecevable de la CENI.
3. Le train de la démocratie ayant dangereusement déraillé, les Congolais devraient conjuguer leurs efforts pour le ramener sur la voie. C’est uniquement dans cette logique que devaient se situer les pourparlers du « Dialogue national inclusif » du Centre interdiocésain de Kinshasa.
4. Tout en précisant qu’aucun accord ni compromis entre acteurs politiques ne saurait prévaloir sur la loi fondamentale du pays, l’IDGPA qui a fait de la défense de la Constitution son cheval de bataille pour la démocratie, la bonne gouvernance, le développement et la paix en Afrique considère que le « Compromis politique global et inclusif » du Centre interdiocésain de Kinshasa énerve la Constitution congolaise du 18 février 2006 mais il aurait le mérite de faciliter un retour rapide à l’ordre juridique institué par cette Constitution.
5. L’IDGPA se réjouit que les parties aient finalement compris que la vie de la Nation - et non son inanition - réside dans le respect de la Constitution et qu’il y a une vie après la présidence dans la mesure où le Compromis politique du Centre interdiocésain de Kinshasa prévoit notamment ce qui suit :
- L’élection présidentielle ainsi que les élections législatives et provinciales doivent se tenir en 2017 ;
- Pendant la période précédant ces élections, la Constitution de la République ne peut pas faire l’objet de changement par voie référendaire tout comme elle ne peut pas être révisée dans les matières verrouillées à l’article 220 ni dans aucune autre matière ;
- Le Président de la République dont le mandat a expiré le 19 décembre 2016 ne briguera pas un troisième mandat ;
- Les droits humains tels que consacrés par la Constitution et les différents instruments internationaux auxquels la RDC est partie doivent être respectés et protégés avec comme conséquence la fin des arrestations et détentions arbitraires, la libération des prisonniers politiques ou d’opinion, ainsi que la révision des décisions iniques rendues par des magistrats véreux et corrompus en violation de leur serment de rendre la justice en toute indépendance et au nom du peuple.
6. L’IDGPA déplore cependant que le Compromis politique soit muet sur le manque d’indépendance de la Cour constitutionnelle qui devait pourtant jouer un grand rôle dans la défense de l’ordre constitutionnel.
7. Le principal garant de la démocratie et de la Constitution étant le peuple congolais lui-même, l’IDGPA lui demande de mettre en place son propre comité de suivi pour s’assurer que les acteurs politiques et sociaux signataires du Compromis politique du Centre interdiocésain de Kinshasa respectent leurs engagements et s’opposer à tout report de l’élection présidentielle et des élections législatives et provinciales après 2017.
8. L’histoire politique de la RDC est jonchée de textes de constitutions, compromis et accords qui n’ont jamais été respectés. Plusieurs documents juridiques souvent signés dans la plus grande solennité ont été rejetés, reniés ou contournés aussitôt après leur signature ou à peine l’encre utilisée avait-elle séché suite au manque de culture de respect des textes et de la parole donnée dans le chef de nombreux dirigeants politiques.
9. En marge de la célébration du 11eme anniversaire de son entrée en vigueur, le 18 février 2017, l’IDGPA organisera un séminaire de réflexion sur la Constitution de la République dans le cadre d’une évaluation citoyenne de l’application du Compromis du Centre interdiocésain de Kinshasa et du suivi du processus de retour à l’ordre constitutionnel en 2017. Les représentants des institutions publiques, ceux des milieux scientifiques et universitaires, des partis politiques, des organisations non gouvernementales, spécialement celles de défense des droits humains, des églises, des médias, de la jeunesse estudiantine, et des mouvements citoyens y seront conviés.
10. Pour l’IDGPA, l’année 2017 devra marquer la fin des crises politiques récurrentes dues notamment à la contestation de la légitimité des institutions et de leurs animateurs par le retour à l’ordre constitutionnel et la tenue des élections nationales et provinciales libres et transparentes qui permettront l’alternance démocratique tant souhaitée en RDC après plusieurs décennies de régimes autoritaires et des violations systématiques des droits humains.
11. La souveraineté nationale appartenant au peuple congolais, il est impératif qu’il continue de veiller, debout, en vue de la réalisation en 2017 de l’alternance démocratique à laquelle il aspire depuis l’accession du pays à l’indépendance le 30 juin 1960 pour bâtir un pays plus beau qu’avant qui serve aussi de locomotive à la renaissance africaine.
Fait à Kinshasa, le 2 janvier 2017
Prof André Mbata MANGU
Directeur Exécutif de l’IDGPA
Email : amangu@idgpa.org "
[...]
"RDC: "L'accord entérine le putsch de Kabila""
° http://www.lalibre.be/actu/international/rdc-l-accord-enterine-le-putsch-de-kabila-586a89c2cd708a17d5558f01
Un responsable de la Majorité présidentielle remet en cause l’accord de la Cenco.
Coup de tonnerre, ce lundi 2 janvier en début de soirée. Joseph Koko Nyangi, secrétaire général adjoint de la Majorité présidentielle (MP) a appelé à la tenue d’un nouveau dialogue, rejetant ainsi les conclusions péniblement obtenues par les évêques catholiques 48h plus tôt. M. Koko Nyangi, par ailleurs ministre du gouvernement Badibanga, a évoqué trois motifs pour justifier sa position : le manque d’inclusivité de cet accord (le MLC a pourtant annoncé qu’il le signerait prochainement), l’obligation pour le Rassemblement de l’opposition de présenter ses... excuses pour les morts tombés lors des journées de manifestations qu’elle a organisées et, enfin, le fait que cet accord ne contienne pas de référence à la possibilité d’organiser un référendum, cheval de bataille du président Kabila pour tenter de se maintenir au pouvoir, comme "Lalibre.be" l’évoquait dès le 29 décembre. Une déclaration qui n’a pas été relayée ce lundi par les cadors de la majorité, mais la parole du secrétaire général adjoint de la MP lors d’un point presse à Kinshasa, relaté aussi par le site d’informaton Actualite.cd, n’a rien d’une discussion d’arrière-salle de café.
Démonstration par l’absurde
L’accord de la Saint-Sylvestre est décidément bien loin de faire l’unanimité; parmi les plus critiques, avant cette sortie, les mouvements citoyens congolais qui exigeaient le respect inconditionnel de la Constitution et donc le départ du président Joseph Kabila au 19 décembre, date de la fin de son second et dernier mandat.
Floribert Anzuluni, le coordinateur de Filimbi et du Front citoyen 2016, ne cache pas son scepticisme à la lecture de cet accord de partage du pouvoir en RDC. Accord qui doit amener le pays vers des élections crédibles et apaisées en décembre 2017.
"Je tiens d’abord à féliciter sincèrement la Cenco(Conférence épiscopale nationale du Congo) pour son engagement en faveur de la paix", lance Floribert Anzuluni en préambule. Mais lorsque l’on aborde le fond de l’accord, la lecture se fait plus critique, beaucoup plus critique. "Cet accord me laisse très perplexe. La classe politique congolaise, toutes tendances confondues, a pris le peuple en otage. Ce texte avalise le putsch constitutionnel de Monsieur Kabila." Floribert Anzuluni explique cette lecture par le fait que le "président illégitime depuis le 20 décembre dernier" conserve tous ses pouvoirs. "Il est surréaliste de voir que c’est lui qui nomme encore le Premier ministre."
Le nom de Floribert Anzuluni est inscrit dans le texte de l’accord. En effet, avec six autres opposants (emprisonnés ou en exil), il est repris sur la liste qui a occupé longuement la commission "décrispation". Cette commission étudiait notamment le "dossier" Moïse Katumbi, ex-gouverneur du Katanga devenu la bête noire de Joseph Kabila. "Le fait qu’ils ont décidé de stopper les poursuites à mon encontre prouve qu’elles étaient illégales. Des centaines de jeunes sont encore en prison pour leurs idées. Pour moi, cette décision ne change rien. Je considérais que les poursuites avaient déjà disparu parce que le régime qui les a décidées n’existe plus depuis le 20 décembre." Avec de telles critiques, on comprend que les mouvements citoyens congolais n’entendent pas rentrer dans les rangs. "Cet accord crée le trouble dans les esprits des Congolais. Il démobilise la population du combat contre le maintien au pouvoir de Kabila. Mais nous n’abdiquerons pas. Nous allons continuer à manifester pacifiquement notre désaccord, à organiser des sit-in pour montrer notre opposition.""
[...]
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
ELECTIONS
Quand Troll osait parler des élections et d´une campagne électorale.. tala ku tseki
http://www.africa243.com/2017/01/la-majorite-presidentielle-annon/
Enfin, le PPRD se lance dans la preparation des élections comme si Joé Kanambe leur a (enfin) signifié qu´ils devraient se preparer aux élections au lieu de perdre du temps á tenter de saborder son deal avec le Pape
Les élections..enfin..acceptées ?
[color=#0066cc]Wait and see[/color]
Quand Troll osait parler des élections et d´une campagne électorale.. tala ku tseki
http://www.africa243.com/2017/01/la-majorite-presidentielle-annon/
Enfin, le PPRD se lance dans la preparation des élections comme si Joé Kanambe leur a (enfin) signifié qu´ils devraient se preparer aux élections au lieu de perdre du temps á tenter de saborder son deal avec le Pape
Les élections..enfin..acceptées ?
[color=#0066cc]Wait and see[/color]
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Je venais pour poster cette histoire de la majorite. Le deal de la Cenco a scelle le sort de Kabila et ses poulains, ca explique pkoi ils ont cherche depuis longtps a tergiverser, au point mm de s'accrocher aux reclamation du MLC.
Maintenant q les M23 reclament aussi leurs parts, la MP ne saura plus sauter dessus, car JK a tranche, les signatures n'etaient pas sous reserve, et renouvelle sa confiance a la cenco, donc mandat c bon.
Un peu tot pour la champagne, mais g vu ca sur twitter
Maintenant q les M23 reclament aussi leurs parts, la MP ne saura plus sauter dessus, car JK a tranche, les signatures n'etaient pas sous reserve, et renouvelle sa confiance a la cenco, donc mandat c bon.
Un peu tot pour la champagne, mais g vu ca sur twitter
Hiro-Hito- Admin
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
RDCONGOLAIS, RDCONGOLAIS, QU'est-ce qui arrive a vos caboches???
Mais, mais, mais LA CON-STITUTION a ete abolie Sous Vos YEUX pas La Signature de ce meme Accord issu de Ce Dialogue, entre Guilemets, Inclusif en la date du Trente & Un Decembre L'An Deux-Mille-Dix-Sept par Les Membres de La Mouvance des Parvenus, ceux de Rais-Assemble-Ment sous La Supervision de SAINTS CONS.
Pas la peine de Faire des desser-tations long-metragiques...C'est pourtant bien CLAIRE que Kanambe a NON pas reussi a glisser, mais a se maintenir au pouvoir via L'Aide du Rais-Assembe-Ment & La Coallition des Saints Cons. Qui Va Nier Cette Evidence
Ou sont passes les Deux Moises qui etaient senses conduire Le Peuple Vers La Terre Promise??? Ils ont abandonne Le Peuple dans La Mer Rouge...Le Fameux Carton Rouge, C'est au Peuple qu'il a ete attribue...
Voila Pourquoi Le Peuple KONGOLOIS A BESOIN DE D-A-V-I-D...De-terre-Mination Active Vers L'Independance Developpementale.
Cavalier
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Hiro-Hito a écrit:Je venais pour poster cette histoire de la majorite. Le deal de la Cenco a scelle le sort de Kabila et ses poulains, ca explique pkoi ils ont cherche depuis longtps a tergiverser, au point mm de s'accrocher aux reclamation du MLC.
Maintenant q les M23 reclament aussi leurs parts, la MP ne saura plus sauter dessus, car JK a tranche, les signatures n'etaient pas sous reserve, et renouvelle sa confiance a la cenco, donc mandat c bon.
Un peu tot pour la champagne, mais g vu ca sur twitter
"Aubin Minaku n’a pas déclaré sa candidature à la présidentielle, dément son cabinet"
° https://actualite.cd/2017/01/06/aubin-minaku-na-declare-candidature-a-presidentielle-dement-cabinet/
Le cabinet du président de l’Assemblée nationale et secrétaire général de la Majorité présidentielle s’insurge contre une effigie qui circule sur l’internet présentant Aubin Minaku Ndjalandjoko comme candidat de la Majorité présidentielle à la prochaine élection présidentielle en RDC.« Aussi se réserve t- il le droit de saisir les instances judiciaires compétentes quant à ce » poursuit la brève.« L’Hon. Aubin Minaku, constant dans sa discipline politique, souligne avec force qu’il demeure et demeurera loyal et fidèle à l’Autorité morale de la MP, S.E Joseph Kabila Kabange, Président de la République, Chef de l’Etat » indique une brève communication du cabinet de Minaku à Actualite.cd.
Le bureau du secrétaire générale de la majorité présidentielle attribue cette oeuvre aux personnes « mal intentionnées ».
«Présidentielle, l’alternance est encore possible. Un seul homme, Aubin Minaku», peut-on lire sur l’effigie en vogue sur les réseaux sociaux."
Au-delà des arnaques possibles sur le net qui peuvent cibler Minaku, il faut convenir que si vu le contexte nouveau autour du dernier accord la kanambie va s'engager peut-être un peu plus à parler plus clairement "succession", la suite sans 'JK', ce n'est pas vraiment un scoop Minaku en son possible dauphin...
Dans certains cercles parallèles qui sans être tout à fait kanambistes, il y'a belle lurette que Minaku est pressenti et encouragé comme tel, et au sein de la majorité elle-même cette possibilité sans y faire l'unanimité est déjà tant bien que mal au débat...
Qui sera le candidat dauphin de son raïs ?
Il y'a beaucoup de chances que ce soit d'abord l'affaire des candidats eux-mêmes : la place reviendra sans doute à celui qui s'y sera imposé plutôt que cela dépendra d'abord des ordres de leur "autorité morale"...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Il ne faut pas se voiler la face, Minaku sera bel et bien le dauphin, on se souvient encore de la lutte fraticide (en vue du positionnement) qui avait lieu entre lui et l´ancien premier ministre Matata et maintenant que Boshab est hors-jeu, la route est grandement balisée pour Minaku..à moins que Mova puisse tenter quelque chose.ndonzwau a écrit:
Au-delà des arnaques possibles sur le net qui peuvent cibler Minaku, il faut convenir que si vu le contexte nouveau autour du dernier accord la kanambie va s'engager peut-être un peu plus à parler plus clairement "succession", la suite sans 'JK', ce n'est pas vraiment un scoop Minaku en son possible dauphin...
Dans certains cercles parallèles qui sans être tout à fait kanambistes, il y'a belle lurette que Minaku est pressenti et encouragé comme tel, et au sein de la majorité elle-même cette possibilité sans y faire l'unanimité est déjà tant bien que mal au débat...
Qui sera le candidat dauphin de son raïs ?
Il y'a beaucoup de chances que ce soit d'abord l'affaire des candidats eux-mêmes : la place reviendra sans doute à celui qui s'y sera imposé plutôt que cela dépendra d'abord des ordres de leur "autorité morale"...
Compatriotiquement!
Arafat
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
zobattants a écrit:AH!!!
nous revoici avec les fantasmes de notre sergeant...
c' est bien lui qui disait que decembre 2016 Kabila partira qu'il le veuille ou pas...
Janvier 2017, Kabila est toujours president du congo
C' est le meme sergeant infirmier qui criait a tue tete que la rue rien que la rue...
Aujourd'hui il se remet a la constitution au lieu de prendre le pouvoir dans la rue comme au burkinafaso...
Et il revient comme si de rien n'etait... il nous recommence avec ses fantasme a la Executive Outcome.
OHHH les americains... oohhh les suedois....oooh les mindele....
katuka di!!!!va lecher les *** de tes mindele
Bonne annee a toi Troll
Troll est un kadogo qui se meconnait...
Imperium
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Arafat a écrit:Il ne faut pas se voiler la face, Minaku sera bel et bien le dauphin, on se souvient encore de la lutte fraticide (en vue du positionnement) qui avait lieu entre lui et l´ancien premier ministre Matata et maintenant que Boshab est hors-jeu, la route est grandement balisée pour Minaku..à moins que Mova puisse tenter quelque chose.ndonzwau a écrit:
Au-delà des arnaques possibles sur le net qui peuvent cibler Minaku, il faut convenir que si vu le contexte nouveau autour du dernier accord la kanambie va s'engager peut-être un peu plus à parler plus clairement "succession", la suite sans 'JK', ce n'est pas vraiment un scoop Minaku en son possible dauphin...
Dans certains cercles parallèles qui sans être tout à fait kanambistes, il y'a belle lurette que Minaku est pressenti et encouragé comme tel, et au sein de la majorité elle-même cette possibilité sans y faire l'unanimité est déjà tant bien que mal au débat...
Qui sera le candidat dauphin de son raïs ?
Il y'a beaucoup de chances que ce soit d'abord l'affaire des candidats eux-mêmes : la place reviendra sans doute à celui qui s'y sera imposé plutôt que cela dépendra d'abord des ordres de leur "autorité morale"...
Compatriotiquement!
La majorité au pouvoir ne veut être prise au dépourvu et veut à l’occasion prouver qu’elle reste une grande force politique qui même sans ‘JK’ prétend à conduire ce pays : à (au moins) un an des élections générales elle est la première à lancer la campagne…
A n’en point douter elle en a les moyens financiers, logistiques et humains, elle ne dirige pas une démocrature africaine pour rien, ajouterons-nous et peut même surprendre en passant à travers les mailles de dépit général dont elle souffre…
Sauf à ajouter de suite que si elle doit réaliser cet exploit elle le devra non pas tant à ses gros moyens mais à l’aide des tripatouillages (comme d’habitude dirons-nous) et surtout « grâce » à la faiblesse de l’offre qu’elle aura en face : une opposition mal organisée et divisée avec des candidats peu vertébrés et multiples risque de louper encore une fois la présidentielle et de perdre bien des sièges aux législatives et aux provinciales…
Mais même avec des moyens financiers moindres si l’opposition se muscle sur ses convictions notamment sans se laisser acheter à la première occasion, sur son organisation notamment avec plus d’union et si les élections sont véritablement libres et transparentes elle ne peut rater les prochaines élections notamment la présidentielle, la volonté de changement est immense dans le pays et peu de Congolais se satisfont du bilan de ‘ JK’ ; ils n’en veulent plus…
En effet je n’y vois aucun candidat à même d’inquiéter même avec une campagne débordante en cadeaux électoraux, en achats de consciences et de ravir l’adhésion majoritaire à travers le pays face à un candidat unique crédible en face , par exemple Katumbi…
La majorité a les moyens d’entrer en campagne dès maintenant et très vite à mon avis elle arrivera à « discipliner » ses prétendants pour sortir des candidats unis à tous les niveaux comme le dit Minaku dans son lancement ! Et au niveau de la présidentielle malgré les ambitions et rivalités, elle sera à même de sortir un candidat unique, les mécontents risquent même de prendre la porteà leurs risques…
Hélas dans l’opposition cette organisation et cette stratégie n’existent pas, de plus les finances ne suivent pas pour commencer à leur tour leurs campagnes des maintenant… En outre les rivalités, les chapelles, la course au gâteau y sont souvent insatiables immense qu’ellse aveuglent sur la stratégie d’union gagnante !
Attendons voir mais déjà on découvre là pourquoi peut-être un homme plutôt populaire et qui ne manque pas de moyens comme Katumbi fait si peur à ‘JK’ car si son dauphin perd, il se trouvera moins en sécurité judiciaire, financière, physique et politique…
Sinon vu toutes ses dispositions que ce soit Minaku ou un autre car ils arriveront bien à en choisir un, disais-je, je n’en vois pas encore de solide à affoler les électeurs à travers le pays si le scrutin est crédible…
"RDC : la majorité lance une centrale électorale en vue de la présidentielle"
° http://www.rfi.fr/afrique/20170110-rdc-majorite-centrale-electorale-presidentielle-aubin-minaku
Les discussions se poursuivent sur la période de transition en République démocratique du Congo (RDC). Il n’y a toujours pas de compromis sur le partage du pouvoir ni sur la date exacte des élections. Pourtant, la majorité a lancé une centrale, en grande pompe, ce lundi 9 janvier, dans un hôtel connu de la capitale. Il s’agit d’une centrale électorale pour se mettre en ordre de bataille pour les élections à venir. Pas de détails sur son fonctionnement, ni sur sa composition. Pourtant, l'initiative ressemble à un premier pas vers la désignation d'un leader, même si Aubin Minaku, secrétaire général de la majorité, ne veut pas encore parler d'un candidat, en particulier.[size=11Comme par le passé, la majorité présidentielle alignera des candidats à tous les niveaux. Ce n’est ni le moment ni le contexte de les désigner aujourd’hui.
Aubin Minaku
10-01-2017 - Par Sonia Rolley[/size]00:00
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Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
° http://www.rfi.fr/afrique/20170110-rdc-majorite-centrale-electorale-presidentielle-aubin-minaku
Les discussions se poursuivent sur la période de transition en République démocratique du Congo (RDC). Il n’y a toujours pas de compromis sur le partage du pouvoir ni sur la date exacte des élections. Pourtant, la majorité a lancé une centrale, en grande pompe, ce lundi 9 janvier, dans un hôtel connu de la capitale. Il s’agit d’une centrale électorale pour se mettre en ordre de bataille pour les élections à venir. Pas de détails sur son fonctionnement, ni sur sa composition. Pourtant, l'initiative ressemble à un premier pas vers la désignation d'un leader, même si Aubin Minaku, secrétaire général de la majorité, ne veut pas encore parler d'un candidat, en particulier.
EXPLORONS NOTRE IGNORANCE EN L´AN 2017
Le petit morveux qui se moquait de Troll se retrouve entrain d´avaler sa morve en ce moment quand il apprend que MINAKU est entrain de preparer les "primaires" du PPRD
Les discussions se poursuivent sur la période de transition en République démocratique du Congo (RDC). Il n’y a toujours pas de compromis sur le partage du pouvoir ni sur la date exacte des élections. Pourtant, la majorité a lancé une centrale, en grande pompe, ce lundi 9 janvier, dans un hôtel connu de la capitale. Il s’agit d’une centrale électorale pour se mettre en ordre de bataille pour les élections à venir. Pas de détails sur son fonctionnement, ni sur sa composition. Pourtant, l'initiative ressemble à un premier pas vers la désignation d'un leader, même si Aubin Minaku, secrétaire général de la majorité, ne veut pas encore parler d'un candidat, en particulier.
EXPLORONS NOTRE IGNORANCE EN L´AN 2017
Le petit morveux qui se moquait de Troll se retrouve entrain d´avaler sa morve en ce moment quand il apprend que MINAKU est entrain de preparer les "primaires" du PPRD
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