DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
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Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
ENTRE LES USA, LA CENCO...ET MÊME UN MEMBRE DE LA MAJORITE...CONSTANTE POSITION*
Les USA ne vont pas changer leur position ..et continuent d´affirmer que le respect de la constitution et les élections le plus rapidement possible..en particulier l´élection présidentielle
http://www.radiookapi.net/2016/09/14/actualite/politique/elections-en-rdc-les-etats-unis-appellent-au-respect-de-lesprit-de-la
La CENCO dont la participation au dialogue n´est pas encore remise en cause, ne se reserve pas non... Shadari qui felicitait kamerhe pour la fameuse concession doit se tirer la barbe de rage en ce moment sans doute
http://www.radiookapi-net/2016/09/14/actualite/politique/rdc-la-cenco-favorable-la-presidentielle-avant-toute-autre-election
Thomas Lokondo..membre de la majorité (PPRD?) n´a jamais eu sa langue dans la poche. ..il aime dire tout haut ce qu´il pense
http://www.radiookapi.net/actualite/politique/ordre-des-scrutins-la-presidentielle-avant-les-locales-soutient
La concession de l´opposition au dialogue sur le délai qui viole la constitution aura du mal á prendre racine.. WAIT AND SEE
Les USA ne vont pas changer leur position ..et continuent d´affirmer que le respect de la constitution et les élections le plus rapidement possible..en particulier l´élection présidentielle
http://www.radiookapi.net/2016/09/14/actualite/politique/elections-en-rdc-les-etats-unis-appellent-au-respect-de-lesprit-de-la
La CENCO dont la participation au dialogue n´est pas encore remise en cause, ne se reserve pas non... Shadari qui felicitait kamerhe pour la fameuse concession doit se tirer la barbe de rage en ce moment sans doute
http://www.radiookapi-net/2016/09/14/actualite/politique/rdc-la-cenco-favorable-la-presidentielle-avant-toute-autre-election
Thomas Lokondo..membre de la majorité (PPRD?) n´a jamais eu sa langue dans la poche. ..il aime dire tout haut ce qu´il pense
http://www.radiookapi.net/actualite/politique/ordre-des-scrutins-la-presidentielle-avant-les-locales-soutient
La concession de l´opposition au dialogue sur le délai qui viole la constitution aura du mal á prendre racine.. WAIT AND SEE
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Troll a écrit: ENTRE LES USA, LA CENCO...ET MÊME UN MEMBRE DE LA MAJORITE...CONSTANTE POSITION*
Les USA ne vont pas changer leur position ..et continuent d´affirmer que le respect de la constitution et les élections le plus rapidement possible..en particulier l´élection présidentielle
http://www.radiookapi.net/2016/09/14/actualite/politique/elections-en-rdc-les-etats-unis-appellent-au-respect-de-lesprit-de-la
La CENCO dont la participation au dialogue n´est pas encore remise en cause, ne se reserve pas non... Shadari qui felicitait kamerhe pour la fameuse concession doit se tirer la barbe de rage en ce moment sans doute
http://www.radiookapi-net/2016/09/14/actualite/politique/rdc-la-cenco-favorable-la-presidentielle-avant-toute-autre-election
Thomas Lokondo..membre de la majorité (PPRD?) n´a jamais eu sa langue dans la poche. ..il aime dire tout haut ce qu´il pense
http://www.radiookapi.net/actualite/politique/ordre-des-scrutins-la-presidentielle-avant-les-locales-soutient
La concession de l´opposition au dialogue sur le délai qui viole la constitution aura du mal á prendre racine.. WAIT AND SEE
Sir Troll,
Nous vous concédons ceci : tant que la date prévue de l’échéance constitutionnelle n’est pas dépassée, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle dans le délai constitutionnel. Même à un jour de cette date, il sera mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle. Même à la date même de l’échéance constitutionnelle, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle.
Libre Examen
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Libre Examen a écrit:Troll a écrit:[...]
Sir Troll,
Nous vous concédons ceci : tant que la date prévue de l’échéance constitutionnelle n’est pas dépassée, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle dans le délai constitutionnel. Même à un jour de cette date, il sera mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle. Même à la date même de l’échéance constitutionnelle, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle.
Bien sûr nous aurions raison de convoquer la variable « mathématique », elle vaut pour tous les phénomènes sur cette terre mais si l’on veut rester correct disons même « scientifique » jusqu’au bout et coller à la situation « spécifique » qui est la nôtre, on est en droit de placer « l’équation mathématique » à « sa place », càd accessoire sinon non rédhibitoire en tant que telle, ce n’est pas elle qui configure l’issue dans un sens ou dans un autre de l’affaire !
C’est d’abord la « volonté politique » qui détermine tout : nous sommes encore mathématiquement dans les délais constitutionnels jusqu’au 19 décembre mais ce qui peut nous en sortir ce n’est pas tant le décompte scientifique des jours ou des mois mais ce que politiquement on peut décider d’ici là !
Cela signifie que si ce pouvoir qui aujourd'hui garde la maîtrise de la décision et du calendrier décidait aujourd'hui de se conformer aux délais constitutionnels, le scrutin se passerait dans le temps, on trouverait les réadaptations techniques nécessaires, n'en doutez point !
A propos il n’est pas inutile de souligner ou de rappeler que "120 jours plus tard ou un peu plus de la fin du mandats, nous serons toujours dans les clous des délais constitutionnels si l’on atteste de la « vacance » du pouvoir et de la « période intermédiaire » que cette même Constitution a légiférée"…
Ailleurs, je ne sais pas trop, il faut demander l’avis des constitutionnalistes, un « Acte Constitutionnel de Transition » additif rendu nécessaire par la « crise » et qui forcément fixerait un délai plus long à la période transitoire, constitue-t-il une « véritable sortie de la Constitution ou sa (ré)adaptation » ?
Là-dessus, se posent deux questions majeures :
- Le problème de ceux qui doivent être « légitimement et légalement les mandataires du peuple » pour une telle décision importantissime pour le pays : le Parlement en cours, les délégués ad hoc choisis dans les différentes forces politiques et sociales ou les quelques participants épars à ce dialogue ?
- Le calendrier qui doit y donner lieu : avant la fin du mandat ou après ?
Lorsque Perriello parle non de la Constitution mais de « l’esprit de la Constitution » ne fait-il pas aussi allusion à un tel procédé juridique ?
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
ndonzwau a écrit:Libre Examen a écrit:Troll a écrit:[...]
Sir Troll,
Nous vous concédons ceci : tant que la date prévue de l’échéance constitutionnelle n’est pas dépassée, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle dans le délai constitutionnel. Même à un jour de cette date, il sera mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle. Même à la date même de l’échéance constitutionnelle, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle.
Bien sûr nous aurions raison de convoquer la variable « mathématique », elle vaut pour tous les phénomènes sur cette terre mais si l’on veut rester correct disons même « scientifique » jusqu’au bout et coller à la situation « spécifique » qui est la nôtre, on est en droit de placer « l’équation mathématique » à « sa place », càd accessoire sinon non rédhibitoire en tant que telle, ce n’est pas elle qui configure l’issue dans un sens ou dans un autre de l’affaire !
C’est d’abord la « volonté politique » qui détermine tout : nous sommes encore mathématiquement dans les délais constitutionnels jusqu’au 19 décembre mais ce qui peut nous en sortir ce n’est pas tant le décompte scientifique des jours ou des mois mais ce que politiquement on peut décider d’ici là !
Cela signifie que si ce pouvoir qui aujourd'hui garde la maîtrise de la décision et du calendrier décidait aujourd'hui de se conformer aux délais constitutionnels, le scrutin se passerait dans le temps, on trouverait les réadaptations techniques nécessaires, n'en doutez point !
A propos il n’est pas inutile de souligner ou de rappeler que "120 jours plus tard ou un peu plus de la fin du mandats, nous serons toujours dans les clous des délais constitutionnels si l’on atteste de la « vacance » du pouvoir et de la « période intermédiaire » que cette même Constitution a légiférée"…
Ailleurs, je ne sais pas trop, il faut demander l’avis des constitutionnalistes, un « Acte Constitutionnel de Transition » additif rendu nécessaire par la « crise » et qui forcément fixerait un délai plus long à la période transitoire, constitue-t-il une « véritable sortie de la Constitution ou sa (ré)adaptation » ?
Là-dessus, se posent deux questions majeures :
- Le problème de ceux qui doivent être « légitimement et légalement les mandataires du peuple » pour une telle décision importantissime pour le pays : le Parlement en cours, les délégués ad hoc choisis dans les différentes forces politiques et sociales ou les quelques participants épars à ce dialogue ?
- Le calendrier qui doit y donner lieu : avant la fin du mandat ou après ?
Lorsque Perriello parle non de la Constitution mais de « l’esprit de la Constitution » ne fait-il pas aussi allusion à un tel procédé juridique ?
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Bref, tout est acceptable pourvu que ce soit ce que Dom veut.
Libre Examen
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Libre Examen a écrit:ndonzwau a écrit:Libre Examen a écrit:Troll a écrit:[...]
Sir Troll,
Nous vous concédons ceci : tant que la date prévue de l’échéance constitutionnelle n’est pas dépassée, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle dans le délai constitutionnel. Même à un jour de cette date, il sera mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle. Même à la date même de l’échéance constitutionnelle, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle.
Bien sûr nous aurions raison de convoquer la variable « mathématique », elle vaut pour tous les phénomènes sur cette terre mais si l’on veut rester correct disons même « scientifique » jusqu’au bout et coller à la situation « spécifique » qui est la nôtre, on est en droit de placer « l’équation mathématique » à « sa place », càd accessoire sinon non rédhibitoire en tant que telle, ce n’est pas elle qui configure l’issue dans un sens ou dans un autre de l’affaire !
C’est d’abord la « volonté politique » qui détermine tout : nous sommes encore mathématiquement dans les délais constitutionnels jusqu’au 19 décembre mais ce qui peut nous en sortir ce n’est pas tant le décompte scientifique des jours ou des mois mais ce que politiquement on peut décider d’ici là !
Cela signifie que si ce pouvoir qui aujourd'hui garde la maîtrise de la décision et du calendrier décidait aujourd'hui de se conformer aux délais constitutionnels, le scrutin se passerait dans le temps, on trouverait les réadaptations techniques nécessaires, n'en doutez point !
A propos il n’est pas inutile de souligner ou de rappeler que "120 jours plus tard ou un peu plus de la fin du mandats, nous serons toujours dans les clous des délais constitutionnels si l’on atteste de la « vacance » du pouvoir et de la « période intermédiaire » que cette même Constitution a légiférée"…
Ailleurs, je ne sais pas trop, il faut demander l’avis des constitutionnalistes, un « Acte Constitutionnel de Transition » additif rendu nécessaire par la « crise » et qui forcément fixerait un délai plus long à la période transitoire, constitue-t-il une « véritable sortie de la Constitution ou sa (ré)adaptation » ?
Là-dessus, se posent deux questions majeures :
- Le problème de ceux qui doivent être « légitimement et légalement les mandataires du peuple » pour une telle décision importantissime pour le pays : le Parlement en cours, les délégués ad hoc choisis dans les différentes forces politiques et sociales ou les quelques participants épars à ce dialogue ?
- Le calendrier qui doit y donner lieu : avant la fin du mandat ou après ?
Lorsque Perriello parle non de la Constitution mais de « l’esprit de la Constitution » ne fait-il pas aussi allusion à un tel procédé juridique ?
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Bref, tout est acceptable pourvu que ce soit ce que Dom veut.
LE, svp, épargnez-moi cette paranoïa et cette mégalomanie et autres enfantillages; j’en ai assez de mes obsessions et de mes péchés à gérer, ne m’en rajoutez pas d’autres, les vôtres ou ceux que votre généreuse imagination pond !
Si vous êtes à court d’arguments, le silence est le meilleur remède !
Si vous êtes allergique aux propos qui vous sont contraires, un forum de discussions n’est peut-être pas le meilleur lieu à fréquenter pour vous !
Si vous n'avez pas assez de substance pour ne pas vous sentir obligé d'accepter ce que l'autre dit au lieu de le contredire ou le laisser à sa parole, je ne peux rien pour vous...
Sinon laissez-moi tenter mes analyses à la mesure de mes moyens et les autres interagir au besoin avec moi sans acrimonie !
Merci par avance !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
ndonzwau a écrit:Libre Examen a écrit:ndonzwau a écrit:Libre Examen a écrit:Troll a écrit:[...]
Sir Troll,
Nous vous concédons ceci : tant que la date prévue de l’échéance constitutionnelle n’est pas dépassée, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle dans le délai constitutionnel. Même à un jour de cette date, il sera mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle. Même à la date même de l’échéance constitutionnelle, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle.
Bien sûr nous aurions raison de convoquer la variable « mathématique », elle vaut pour tous les phénomènes sur cette terre mais si l’on veut rester correct disons même « scientifique » jusqu’au bout et coller à la situation « spécifique » qui est la nôtre, on est en droit de placer « l’équation mathématique » à « sa place », càd accessoire sinon non rédhibitoire en tant que telle, ce n’est pas elle qui configure l’issue dans un sens ou dans un autre de l’affaire !
C’est d’abord la « volonté politique » qui détermine tout : nous sommes encore mathématiquement dans les délais constitutionnels jusqu’au 19 décembre mais ce qui peut nous en sortir ce n’est pas tant le décompte scientifique des jours ou des mois mais ce que politiquement on peut décider d’ici là !
Cela signifie que si ce pouvoir qui aujourd'hui garde la maîtrise de la décision et du calendrier décidait aujourd'hui de se conformer aux délais constitutionnels, le scrutin se passerait dans le temps, on trouverait les réadaptations techniques nécessaires, n'en doutez point !
A propos il n’est pas inutile de souligner ou de rappeler que "120 jours plus tard ou un peu plus de la fin du mandats, nous serons toujours dans les clous des délais constitutionnels si l’on atteste de la « vacance » du pouvoir et de la « période intermédiaire » que cette même Constitution a légiférée"…
Ailleurs, je ne sais pas trop, il faut demander l’avis des constitutionnalistes, un « Acte Constitutionnel de Transition » additif rendu nécessaire par la « crise » et qui forcément fixerait un délai plus long à la période transitoire, constitue-t-il une « véritable sortie de la Constitution ou sa (ré)adaptation » ?
Là-dessus, se posent deux questions majeures :
- Le problème de ceux qui doivent être « légitimement et légalement les mandataires du peuple » pour une telle décision importantissime pour le pays : le Parlement en cours, les délégués ad hoc choisis dans les différentes forces politiques et sociales ou les quelques participants épars à ce dialogue ?
- Le calendrier qui doit y donner lieu : avant la fin du mandat ou après ?
Lorsque Perriello parle non de la Constitution mais de « l’esprit de la Constitution » ne fait-il pas aussi allusion à un tel procédé juridique ?
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Bref, tout est acceptable pourvu que ce soit ce que Dom veut.
LE, svp, épargnez-moi cette paranoïa et cette mégalomanie et autres enfantillages; j’en ai assez de mes obsessions et de mes péchés à gérer, ne m’en rajoutez pas d’autres, les vôtres ou ceux que votre généreuse imagination pond !
Si vous êtes à court d’arguments, le silence est le meilleur remède !
Si vous êtes allergique aux propos qui vous sont contraires, un forum de discussions n’est peut-être pas le meilleur lieu à fréquenter pour vous !
Si vous n'avez pas assez de substance pour ne pas vous sentir obligé d'accepter ce que l'autre dit au lieu de le contredire ou le laisser à sa parole, je ne peux rien pour vous...
Sinon laissez-moi tenter mes analyses à la mesure de mes moyens et les autres interagir au besoin avec moi sans acrimonie !
Merci par avance !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dites-le SIRE, dites-le,... Ne vous revenez pas,...
Libre Examen
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
[quote="Troll"]
¤ LES DEUX FACTIONS
En réalité, il n´existe que deux factions politiques...Et ces factions recrutent aussi bien dans la majorité que dans l´opposition..Pire, même dans la fameuse "societé civile"
* La première faction qualifiée de "NAIVE" lutte pour le respect de la constitution:inlove: Dans l´entendement de cette faction, aucun arrangement politique ne peut se prevaloir de faire du bien au Congo, de sauver la paix sociale, sans le respect de la constitution:inlove:
L´élection elle même doit se conformer á la constitution et non se soumettre á un arrangement politique:nonono:
*La seconde faction qualifiée de "REALISTE" ne vise que le pouvoir.. Cette faction si puissante, car ayant ses defenseurs dans la majorité et l´opposition a acceptée de facto que la constitution ne DOIT pas être respectée..
Selon la comprehension de cette faction, un "arrangement politique" via le dialogue peut se substituer á la constitution
Ces "réalistes" affirment que les élections doivent attendre... Vous allez lire de temps en temps que "la RDC doit avoir des élections crédibles et appaisée"..Ce qui signifie que la RDC doit passer par une transition où un arrangement politique qui remplace la constitution impose une transition
RENDEZ-VOUS DU "WAIT AND SEE"
Vous vous souvenez de deux "factions" au Congo Ce samedi (semble-t-il ) la faction "réaliste" qui a toujours souhaitée se "partager" le pouvoir pendant une transition va remporter la victoire ... Les congolais vont se voir imposer une "transition" qui ne figure pas dans la constitution
:idea:http://www.jeuneafrique.com/357517/politique/rdc-kamerhe-caresse-reve-de-donner-a-kabila-loccasion-de-partir-coup-de-feu/
Mais Kamerhe, rusé se reserve sur porte de sortie ..."¤c´est le peuple qui reste souverain:s´il rejette l´accord et veut en découdre avec le pouvoir ...nous allons nous plier"
Selon Kamerhe, ce 15 septembre va decider du "destin" de Kanambe... Wait and see:@:
Kamerhe est "lucide", il sait d´avance qu´un accord au camp Tshatshi ne peut jamais remplacer la constitution
¤ LES DEUX FACTIONS
En réalité, il n´existe que deux factions politiques...Et ces factions recrutent aussi bien dans la majorité que dans l´opposition..Pire, même dans la fameuse "societé civile"
* La première faction qualifiée de "NAIVE" lutte pour le respect de la constitution:inlove: Dans l´entendement de cette faction, aucun arrangement politique ne peut se prevaloir de faire du bien au Congo, de sauver la paix sociale, sans le respect de la constitution:inlove:
L´élection elle même doit se conformer á la constitution et non se soumettre á un arrangement politique:nonono:
*La seconde faction qualifiée de "REALISTE" ne vise que le pouvoir.. Cette faction si puissante, car ayant ses defenseurs dans la majorité et l´opposition a acceptée de facto que la constitution ne DOIT pas être respectée..
Selon la comprehension de cette faction, un "arrangement politique" via le dialogue peut se substituer á la constitution
Ces "réalistes" affirment que les élections doivent attendre... Vous allez lire de temps en temps que "la RDC doit avoir des élections crédibles et appaisée"..Ce qui signifie que la RDC doit passer par une transition où un arrangement politique qui remplace la constitution impose une transition
RENDEZ-VOUS DU "WAIT AND SEE"
Vous vous souvenez de deux "factions" au Congo Ce samedi (semble-t-il ) la faction "réaliste" qui a toujours souhaitée se "partager" le pouvoir pendant une transition va remporter la victoire ... Les congolais vont se voir imposer une "transition" qui ne figure pas dans la constitution
:idea:http://www.jeuneafrique.com/357517/politique/rdc-kamerhe-caresse-reve-de-donner-a-kabila-loccasion-de-partir-coup-de-feu/
Mais Kamerhe, rusé se reserve sur porte de sortie ..."¤c´est le peuple qui reste souverain:s´il rejette l´accord et veut en découdre avec le pouvoir ...nous allons nous plier"
Selon Kamerhe, ce 15 septembre va decider du "destin" de Kanambe... Wait and see:@:
Kamerhe est "lucide", il sait d´avance qu´un accord au camp Tshatshi ne peut jamais remplacer la constitution
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Libre Examen a écrit:ndonzwau a écrit:Libre Examen a écrit:ndonzwau a écrit:Libre Examen a écrit:Troll a écrit:[...]
Sir Troll,
Nous vous concédons ceci : tant que la date prévue de l’échéance constitutionnelle n’est pas dépassée, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle dans le délai constitutionnel. Même à un jour de cette date, il sera mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle. Même à la date même de l’échéance constitutionnelle, il sera toujours mathématiquement possible de tenir l’élection présidentielle.
Bien sûr nous aurions raison de convoquer la variable « mathématique », elle vaut pour tous les phénomènes sur cette terre mais si l’on veut rester correct disons même « scientifique » jusqu’au bout et coller à la situation « spécifique » qui est la nôtre, on est en droit de placer « l’équation mathématique » à « sa place », càd accessoire sinon non rédhibitoire en tant que telle, ce n’est pas elle qui configure l’issue dans un sens ou dans un autre de l’affaire !
C’est d’abord la « volonté politique » qui détermine tout : nous sommes encore mathématiquement dans les délais constitutionnels jusqu’au 19 décembre mais ce qui peut nous en sortir ce n’est pas tant le décompte scientifique des jours ou des mois mais ce que politiquement on peut décider d’ici là !
Cela signifie que si ce pouvoir qui aujourd'hui garde la maîtrise de la décision et du calendrier décidait aujourd'hui de se conformer aux délais constitutionnels, le scrutin se passerait dans le temps, on trouverait les réadaptations techniques nécessaires, n'en doutez point !
A propos il n’est pas inutile de souligner ou de rappeler que "120 jours plus tard ou un peu plus de la fin du mandats, nous serons toujours dans les clous des délais constitutionnels si l’on atteste de la « vacance » du pouvoir et de la « période intermédiaire » que cette même Constitution a légiférée"…
Ailleurs, je ne sais pas trop, il faut demander l’avis des constitutionnalistes, un « Acte Constitutionnel de Transition » additif rendu nécessaire par la « crise » et qui forcément fixerait un délai plus long à la période transitoire, constitue-t-il une « véritable sortie de la Constitution ou sa (ré)adaptation » ?
Là-dessus, se posent deux questions majeures :
- Le problème de ceux qui doivent être « légitimement et légalement les mandataires du peuple » pour une telle décision importantissime pour le pays : le Parlement en cours, les délégués ad hoc choisis dans les différentes forces politiques et sociales ou les quelques participants épars à ce dialogue ?
- Le calendrier qui doit y donner lieu : avant la fin du mandat ou après ?
Lorsque Perriello parle non de la Constitution mais de « l’esprit de la Constitution » ne fait-il pas aussi allusion à un tel procédé juridique ?
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Bref, tout est acceptable pourvu que ce soit ce que Dom veut.
LE, svp, épargnez-moi cette paranoïa et cette mégalomanie et autres enfantillages; j’en ai assez de mes obsessions et de mes péchés à gérer, ne m’en rajoutez pas d’autres, les vôtres ou ceux que votre généreuse imagination pond !
Si vous êtes à court d’arguments, le silence est le meilleur remède !
Si vous êtes allergique aux propos qui vous sont contraires, un forum de discussions n’est peut-être pas le meilleur lieu à fréquenter pour vous !
Si vous n'avez pas assez de substance pour ne pas vous sentir obligé d'accepter ce que l'autre dit au lieu de le contredire ou le laisser à sa parole, je ne peux rien pour vous...
Sinon laissez-moi tenter mes analyses à la mesure de mes moyens et les autres interagir au besoin avec moi sans acrimonie !
Merci par avance !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dites-le SIRE, dites-le,... Ne vous revenez pas,...
On nous explique que Joseph Kabila peut rester au moins encore 120 jours après le 19 décembre 2016 car c’est conforme à Constitution et on nous ordonne de nous taire et d’aller voir ailleurs.
Libre Examen
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Que se dessine-t-il pour notre pays ? On risque d’avoir à la tête de trois de nos institutions, trois Congolais soupçonnés, à tort ou à raison, d’être d’origine étrangère, plus précisément des originaires des pays que nous accusons d’alimenter les guerres dans l’Est du pays.
Libre Examen
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
...DISSOUDRE LE PARLEMENT, L´AUTRE OPTION POUR SE PASSER DE LA CONSTITUTION ?
Les "2" presidents des chambres du Parlement congolais... d´abord Kengo ensuite Minaku affirment (lire sur radio Okapi) que ce dialogue ne peut s´affranchir de la constitution
KENGO L´application de constitution lui profite...dès le 19 septembre, si la CENI ne convôque pas l´électorat Kabila n´aura que trois mois pour quitter le Palais de la Nation:idea:
Ce que selon la Constitution, le Senat ne peut être remplacé que par des élections senatoriales;) Donc, KENGO est "légitimement" le président de la RDC après le 19 decembre...président pendant 90 ou 120 jours dont la mission essentielle sera d´organiser l´élection présidentielle (où il ne sera pas candidat lui même )
On peut comprendre pourquoi le vieux renard KENGO insiste sur le respect de la constitution et sera en première ligne pour soutenir le Rassemblement si les decisions du dialogue violent la constitution
MINAKU Lui aussi...hem, le mandat des deputés prend fin au mois de fevrier 2017 ..Si MINAKU affiche cette posture "légaliste", ce que la guerre interne au sein de la majorité et surtout au sein du PPRD, semble l´écarter en cas de la création d´un "gouvernement de la transition"
Une fois de plus, la constitution indique que le "gouvernement est issue de la majorité au parlement" En cas de la "fabrication" d´une nouvelle majorité, MINAKU (comme MATATA) sera "sacrifié" pour allonger la présence de Kabila á la tête de l´État congolais
D´où cette réaction "constitutionelle" de sa part
Janvier 2015, MINAKU n´a pas hésité á mettre en garder les "faucons" de son propre camp qui avaient reprimés les manifestations dans la capitale MINAKU sait sans doute qu´une confrontation dans la capitale ou pire les grandes villes du pays...s´il ya des massacres, lui comme président de l´Assemblée sera automatiquement sur la liste des "sanctions ciblées"
DISSOUDRE LE PARLEMENT ?
Kanambe possede (encore) cette option.. En effet, s´il veut imposer les decisions du dialogue, dissoudre le Senat et l´Assemblée ..lui apporte un avantage immense: Il va gerer le pays par "DECRET" jusqu´á la tenue des élections..Exit KENGO, exit MINAKU...la seule "institution" légale sera la présidence de la République
Scenario d´Apocalypse vont dire les lecteurs
WAIT AND SEE
Les "2" presidents des chambres du Parlement congolais... d´abord Kengo ensuite Minaku affirment (lire sur radio Okapi) que ce dialogue ne peut s´affranchir de la constitution
KENGO L´application de constitution lui profite...dès le 19 septembre, si la CENI ne convôque pas l´électorat Kabila n´aura que trois mois pour quitter le Palais de la Nation:idea:
Ce que selon la Constitution, le Senat ne peut être remplacé que par des élections senatoriales;) Donc, KENGO est "légitimement" le président de la RDC après le 19 decembre...président pendant 90 ou 120 jours dont la mission essentielle sera d´organiser l´élection présidentielle (où il ne sera pas candidat lui même )
On peut comprendre pourquoi le vieux renard KENGO insiste sur le respect de la constitution et sera en première ligne pour soutenir le Rassemblement si les decisions du dialogue violent la constitution
MINAKU Lui aussi...hem, le mandat des deputés prend fin au mois de fevrier 2017 ..Si MINAKU affiche cette posture "légaliste", ce que la guerre interne au sein de la majorité et surtout au sein du PPRD, semble l´écarter en cas de la création d´un "gouvernement de la transition"
Une fois de plus, la constitution indique que le "gouvernement est issue de la majorité au parlement" En cas de la "fabrication" d´une nouvelle majorité, MINAKU (comme MATATA) sera "sacrifié" pour allonger la présence de Kabila á la tête de l´État congolais
D´où cette réaction "constitutionelle" de sa part
Janvier 2015, MINAKU n´a pas hésité á mettre en garder les "faucons" de son propre camp qui avaient reprimés les manifestations dans la capitale MINAKU sait sans doute qu´une confrontation dans la capitale ou pire les grandes villes du pays...s´il ya des massacres, lui comme président de l´Assemblée sera automatiquement sur la liste des "sanctions ciblées"
DISSOUDRE LE PARLEMENT ?
Kanambe possede (encore) cette option.. En effet, s´il veut imposer les decisions du dialogue, dissoudre le Senat et l´Assemblée ..lui apporte un avantage immense: Il va gerer le pays par "DECRET" jusqu´á la tenue des élections..Exit KENGO, exit MINAKU...la seule "institution" légale sera la présidence de la République
Scenario d´Apocalypse vont dire les lecteurs
WAIT AND SEE
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
En vérité selon mon pauvre entendement à ce stade, la principale question que pose aujourd’hui le dialogue et si l’on veut perdre son temps celle du génie diabolique de Kamerhe (vs Tshitshi ?), c’est comment légalement et légitimement rendre (ou non ?) ses résolutions opposables à tous…
Légalement nous ne pouvons d’abord que nous reporter au commentaire mou qu’en fait Kengo : « il n’est ni un Parlement ni une Assemblée Constituante »…
En fait son avis convoque l’inédit, le complexe, l’embarras de la situation : nous nous retrouvons dans un cas « extraordinaire » auquel les lois et textes en cours ne donnent pas une réponse lisible, évoquer cette hypothèse est déjà la preuve que ce dialogue pose un problème structurel sérieux au fonctionnement normal de nos institutions, que nous affrontons de fait une crise générale, autant politique et sociale que juridique…
Devant elle qu’est-ce qui reste légal et quoi ne le serait pas ?
Légitimement càd vu de l’adhésion qu’y apporte ou pas la majorité de la population, ce dialogue est aussi une intrusion qui « l’énerve autant qu’il la déstabilise » : à se demander par exemple qu’en penserait-elle si son « inclusiveté » avait été parfaite, si toutes les forces politiques et sociales y avaient pris part démontrerait clairement si en était encore besoin sa boussole désarticulée d’emblée…
Au passage, se souvient-on encore qu’en 2006 l’Udps grande force politique et sociale du pays avait à terme décidé de ne pas être partie prenante aux élections mais que cela n’a empêché ni dedans ni dehors de prendre acte de ses résultats et le pays de continuer à fonctionner de manière convenue depuis…
Bref, le génie diabolique de ce dialogue et celui de Kamerhe est peut-être d’en avoir fait de fait contrairement à ce que pense légitimement (et légalement ?) Kengo, un acte légal, un Parlement et une Assemblée Constituante, sinon un sujet capital à investir pour le pays… Et là-dessus la participation de Kamerhe s’avère bien comme cette caution qui risque de rendre au final ses résolutions opposables à tous de gré ou de force si l’issue du dialogue offre dans un sens ou un autre une sortie pacifique à la crise actuelle comme on le préssent !
Ainsi donc, qu’on le veuille ou non l’issue du dialogue risque fort d’être validée dedans et dehors, une « paix des braves » indispensable qui arrangera beaucoup de monde !
A l’heure où je tente mon analyse, je ne sais tout de ses conclusions finales notamment ce qu’il aura décidé des contours futurs de l’après 19 décembre, le délai accepté de la Transition, la place exacte de « JK », celle des élus du Parlement national et des assemblées provinciales comme celle des forces sociales organisées et last not least celle des participants à ce dialogue…
Mais d’ores et déjà on peut supposer sans trop se tromper qu’au moins il décidera la poursuite de la présence de « JK » à la tête du pays qui partagera alors l’exécutif avec une nouvelle équipe gouvernementale dans laquelle entreront des représentants des forces politiques étiquetées jusque-là de l’opposition…
Y’aura-t-il une contestation politique et sociale et même populaire à même de bousculer significativement ce bel ordonnancement ? Elle est prévue en force dès le 19 septembre très prochain, date d’entrée en « préavis » contre « JK » mais sera-t-elle décisive ? Difficile d’y répondre…
Les Américains (et le reste de la CI) qui tiennent au départ de « JK » au terme de son dernier mandat réagiront-ils décisivement pour imposer un autre scénario conforme à leurs plans ou se contenteront-ils des conclusions de ce dialogue, pourvu qu’elles n’enjambent pas une certaine « ligne rouge » à leur convenance, « l’esprit de la Constitution » comme dit Perriello ?
Là non plus, on n’a pas encore de réponse ; attendons la suite…………..
Vous l’aurez compris, personnellement ce dernier enchaînement des faits me déplait autant qu’il m’inquiète pour l’avenir du pays que je voulais autre mais nous voici devant et « un fait accompli » et une « imprévisibilité » de la situation sur lesquels ni moi ni certains autres patriotes Congolais n’ont hélas grande prise…
Pauvres de nous ; que nous réserve ce futur alors que le pouvoir en place semble encore avoir réussi à nous dribbler et que notre classe politique ne l’a contré en une résistance ni très patriote ni efficace tandis que la CI plus généreuse dans ses paroles promène peut-être un agenda hypocrite pour le peuple Congolais, indifférent à l’immédiat qui pourtant va décider de beaucoup pour son avenir !!!
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Légalement nous ne pouvons d’abord que nous reporter au commentaire mou qu’en fait Kengo : « il n’est ni un Parlement ni une Assemblée Constituante »…
En fait son avis convoque l’inédit, le complexe, l’embarras de la situation : nous nous retrouvons dans un cas « extraordinaire » auquel les lois et textes en cours ne donnent pas une réponse lisible, évoquer cette hypothèse est déjà la preuve que ce dialogue pose un problème structurel sérieux au fonctionnement normal de nos institutions, que nous affrontons de fait une crise générale, autant politique et sociale que juridique…
Devant elle qu’est-ce qui reste légal et quoi ne le serait pas ?
Légitimement càd vu de l’adhésion qu’y apporte ou pas la majorité de la population, ce dialogue est aussi une intrusion qui « l’énerve autant qu’il la déstabilise » : à se demander par exemple qu’en penserait-elle si son « inclusiveté » avait été parfaite, si toutes les forces politiques et sociales y avaient pris part démontrerait clairement si en était encore besoin sa boussole désarticulée d’emblée…
Au passage, se souvient-on encore qu’en 2006 l’Udps grande force politique et sociale du pays avait à terme décidé de ne pas être partie prenante aux élections mais que cela n’a empêché ni dedans ni dehors de prendre acte de ses résultats et le pays de continuer à fonctionner de manière convenue depuis…
Bref, le génie diabolique de ce dialogue et celui de Kamerhe est peut-être d’en avoir fait de fait contrairement à ce que pense légitimement (et légalement ?) Kengo, un acte légal, un Parlement et une Assemblée Constituante, sinon un sujet capital à investir pour le pays… Et là-dessus la participation de Kamerhe s’avère bien comme cette caution qui risque de rendre au final ses résolutions opposables à tous de gré ou de force si l’issue du dialogue offre dans un sens ou un autre une sortie pacifique à la crise actuelle comme on le préssent !
Ainsi donc, qu’on le veuille ou non l’issue du dialogue risque fort d’être validée dedans et dehors, une « paix des braves » indispensable qui arrangera beaucoup de monde !
A l’heure où je tente mon analyse, je ne sais tout de ses conclusions finales notamment ce qu’il aura décidé des contours futurs de l’après 19 décembre, le délai accepté de la Transition, la place exacte de « JK », celle des élus du Parlement national et des assemblées provinciales comme celle des forces sociales organisées et last not least celle des participants à ce dialogue…
Mais d’ores et déjà on peut supposer sans trop se tromper qu’au moins il décidera la poursuite de la présence de « JK » à la tête du pays qui partagera alors l’exécutif avec une nouvelle équipe gouvernementale dans laquelle entreront des représentants des forces politiques étiquetées jusque-là de l’opposition…
Y’aura-t-il une contestation politique et sociale et même populaire à même de bousculer significativement ce bel ordonnancement ? Elle est prévue en force dès le 19 septembre très prochain, date d’entrée en « préavis » contre « JK » mais sera-t-elle décisive ? Difficile d’y répondre…
Les Américains (et le reste de la CI) qui tiennent au départ de « JK » au terme de son dernier mandat réagiront-ils décisivement pour imposer un autre scénario conforme à leurs plans ou se contenteront-ils des conclusions de ce dialogue, pourvu qu’elles n’enjambent pas une certaine « ligne rouge » à leur convenance, « l’esprit de la Constitution » comme dit Perriello ?
Là non plus, on n’a pas encore de réponse ; attendons la suite…………..
Vous l’aurez compris, personnellement ce dernier enchaînement des faits me déplait autant qu’il m’inquiète pour l’avenir du pays que je voulais autre mais nous voici devant et « un fait accompli » et une « imprévisibilité » de la situation sur lesquels ni moi ni certains autres patriotes Congolais n’ont hélas grande prise…
Pauvres de nous ; que nous réserve ce futur alors que le pouvoir en place semble encore avoir réussi à nous dribbler et que notre classe politique ne l’a contré en une résistance ni très patriote ni efficace tandis que la CI plus généreuse dans ses paroles promène peut-être un agenda hypocrite pour le peuple Congolais, indifférent à l’immédiat qui pourtant va décider de beaucoup pour son avenir !!!
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 16/9/2016, 6:06 pm, édité 2 fois
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Sérieusement ! C’eut-été Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le qualifierait-on de génie diabolique ou simplement de génie ? Ben que non !
Libre Examen
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Y’aurait-il quelques génies à être foncièrement malhonnête ! Point d’étonnant à cela. Depuis l’indépendance, nous avons été soumis et avons adopté le us et coutumes, et une culture revalorisant, la malhonnêteté, le vol, l’infidélité, la tricherie, l’arrogance, l’injure, l’insulte, le dénigrement de l’autre, la traitrise, la déification de soi et la chosification de l’autre, etc. Et celui qui excelle dans tout ceci est un génie. C’est une culture où il est permis de voler intelligemment, ou l’on est accoutumé à entendre des expressions du genre « aza misou clair ». Une culture où les valeurs sont confondues. Et, nous y baignons tous.
Libre Examen
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
DIALOGUE, VERS LA POLITIQUE DE "L´ISOLATION" ?
Thambwe Mwamba, avocat, et pour ceux qui n´étaient pas "adultes" pendant la CNS, membe fondateur de l´UDI..est coriace
Curieusement, c´est lui qui est le "front figur" (nos excuses, nous pensons en suèdois ) de la nouvelle politique stratégique de Kanambe
Contrairement á She Okitundu qui ne possede ni le niveau d´éducation solide, ni surtout une experience professionnelle remarquable (car son CV en Suisse:cyclops: )...Thambwe Mwamba est l´un des "Kengo boys" technocrate par excelence qui a analysé les effets du dialogue
Quand T Mwamba affirme que "la RDC va financer elle même les élections" c´est une parade "nationaliste" et isolationiste... Le gang de Kanambe sait d´avance que l´option qu´ils sont entrain de prendre va avoir des repercusions diplomatiques..
La RDC dont le budget national est toujours "completé" par les pays membres de l´UE, les USA et le Canada semble vouloir se passer de ces "aides" financières au cas où l´option d´un prolongement de Kanambe sera contestée par ces paternaires
Alexis Tambwe exprime sans doute ..implicitement que Kanambe est preparé pour defier ses "parrains" et compte transformer la RDC en Corée du Nord, Cuba ou Zimbabwe s´il le faut..
En réalité, cette volontée affichée de prendre en charge le financement des élections est aussi une astuce machiavelique: L´enrôlement des électeurs dependant du financement interne sera sans doute fait á compte goûte ..Une ou deux ans par province ..et des "pauses" afin de rassembler l´argent Avec la Vitesse d´un escargot ce processus va prendre öe temps qu´il faudra*
Isoler la RDC afin de rester au pouvoir ? L´ONU sera sans doute la première victime de cette politique..car sa mission militaire doit necessairement quitter la RDC au cas où..Tandis que les relations avec l´UE ou les USA seront dans une grande instabilité
NOSTRADAMUS Troll n´aime pas lire la boule de cristal..mais Thambwe Mwamba semble si confiant en lui même que la projection mentale dans le futur ..ne peut qu´être ..malheureuse
WAIT AND SEE demain samedi
Thambwe Mwamba, avocat, et pour ceux qui n´étaient pas "adultes" pendant la CNS, membe fondateur de l´UDI..est coriace
Curieusement, c´est lui qui est le "front figur" (nos excuses, nous pensons en suèdois ) de la nouvelle politique stratégique de Kanambe
Contrairement á She Okitundu qui ne possede ni le niveau d´éducation solide, ni surtout une experience professionnelle remarquable (car son CV en Suisse:cyclops: )...Thambwe Mwamba est l´un des "Kengo boys" technocrate par excelence qui a analysé les effets du dialogue
Quand T Mwamba affirme que "la RDC va financer elle même les élections" c´est une parade "nationaliste" et isolationiste... Le gang de Kanambe sait d´avance que l´option qu´ils sont entrain de prendre va avoir des repercusions diplomatiques..
La RDC dont le budget national est toujours "completé" par les pays membres de l´UE, les USA et le Canada semble vouloir se passer de ces "aides" financières au cas où l´option d´un prolongement de Kanambe sera contestée par ces paternaires
Alexis Tambwe exprime sans doute ..implicitement que Kanambe est preparé pour defier ses "parrains" et compte transformer la RDC en Corée du Nord, Cuba ou Zimbabwe s´il le faut..
En réalité, cette volontée affichée de prendre en charge le financement des élections est aussi une astuce machiavelique: L´enrôlement des électeurs dependant du financement interne sera sans doute fait á compte goûte ..Une ou deux ans par province ..et des "pauses" afin de rassembler l´argent Avec la Vitesse d´un escargot ce processus va prendre öe temps qu´il faudra*
Isoler la RDC afin de rester au pouvoir ? L´ONU sera sans doute la première victime de cette politique..car sa mission militaire doit necessairement quitter la RDC au cas où..Tandis que les relations avec l´UE ou les USA seront dans une grande instabilité
NOSTRADAMUS Troll n´aime pas lire la boule de cristal..mais Thambwe Mwamba semble si confiant en lui même que la projection mentale dans le futur ..ne peut qu´être ..malheureuse
WAIT AND SEE demain samedi
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Soyons bien clair, quelqu’un qui portait officiellement un prénom chrétien dans une université zaïroise ne pouvait être Zaïrois. A moins bien sûr qu’il ne soit un génie selon le sens qu’on donne ici à ce mot.
Libre Examen
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
ndonzwau a écrit:En vérité selon mon pauvre entendement à ce stade, la principale question que pose aujourd’hui le dialogue et si l’on veut perdre son temps celle du génie diabolique de Kamerhe (vs Tshitshi ?), c’est comment légalement et légitimement rendre (ou non ?) ses résolutions opposables à tous…
Légalement nous ne pouvons d’abord que nous reporter au commentaire mou qu’en fait Kengo : « il n’est ni un Parlement ni une Assemblée Constituante »…
En fait son avis convoque l’inédit, le complexe, l’embarras de la situation : nous nous retrouvons dans un cas « extraordinaire » auquel les lois et textes en cours ne donnent pas une réponse lisible, évoquer cette hypothèse est déjà la preuve que ce dialogue pose un problème structurel sérieux au fonctionnement normal de nos institutions, que nous affrontons de fait une crise générale, autant politique et sociale que juridique…
Devant elle qu’est-ce qui reste légal et quoi ne le serait pas ?
Légitimement càd vu de l’adhésion qu’y apporte ou pas la majorité de la population, ce dialogue est aussi une intrusion qui « l’énerve autant qu’il la déstabilise » : à se demander par exemple qu’en penserait-elle si son « inclusiveté » avait été parfaite, si toutes les forces politiques et sociales y avaient pris part démontrerait clairement si en était encore besoin sa boussole désarticulée d’emblée…
Au passage, se souvient-on encore qu’en 2006 l’Udps grande force politique et sociale du pays avait à terme décidé de ne pas être partie prenante aux élections mais que cela n’a empêché ni dedans ni dehors de prendre acte de ses résultats et le pays de continuer à fonctionner de manière convenue depuis…
Bref, le génie diabolique de ce dialogue et celui de Kamerhe est peut-être d’en avoir fait de fait contrairement à ce que pense légitimement (et légalement ?) Kengo, un acte légal, un Parlement et une Assemblée Constituante, sinon un sujet capital à investir pour le pays… Et là-dessus la participation de Kamerhe s’avère bien comme cette caution qui risque de rendre au final ses résolutions opposables à tous de gré ou de force si l’issue du dialogue offre dans un sens ou un autre une sortie pacifique à la crise actuelle comme on le préssent !
Ainsi donc, qu’on le veuille ou non l’issue du dialogue risque fort d’être validée dedans et dehors, une « paix des braves » indispensable qui arrangera beaucoup de monde !
A l’heure où je tente mon analyse, je ne sais tout de ses conclusions finales notamment ce qu’il aura décidé des contours futurs de l’après 19 décembre, le délai accepté de la Transition, la place exacte de « JK », celle des élus du Parlement national et des assemblées provinciales comme celle des forces sociales organisées et last not least celle des participants à ce dialogue…
Mais d’ores et déjà on peut supposer sans trop se tromper qu’au moins il décidera la poursuite de la présence de « JK » à la tête du pays qui partagera alors l’exécutif avec une nouvelle équipe gouvernementale dans laquelle entreront des représentants des forces politiques étiquetées jusque-là de l’opposition…
Y’aura-t-il une contestation politique et sociale et même populaire à même de bousculer significativement ce bel ordonnancement ? Elle est prévue en force dès le 19 septembre très prochain, date d’entrée en « préavis » contre « JK » mais sera-t-elle décisive ? Difficile d’y répondre…
Les Américains (et le reste de la CI) qui tiennent au départ de « JK » au terme de son dernier mandat réagiront-ils décisivement pour imposer un autre scénario conforme à leurs plans ou se contenteront-ils des conclusions de ce dialogue, pourvu qu’elles n’enjambent pas une certaine « ligne rouge » à leur convenance, « l’esprit de la Constitution » comme dit Perriello ?
Là non plus, on n’a pas encore de réponse ; attendons la suite…………..
Vous l’aurez compris, personnellement ce dernier enchaînement des faits me déplait autant qu’il m’inquiète pour l’avenir du pays que je voulais autre mais nous voici devant et « un fait accompli » et une « imprévisibilité » de la situation sur lesquels ni moi ni certains autres patriotes Congolais n’ont hélas grande prise…
Pauvres de nous ; que nous réserve ce futur alors que le pouvoir en place semble encore avoir réussi à nous dribbler et que notre classe politique ne l’a contré en une résistance ni très patriote ni efficace tandis que la CI plus généreuse dans ses paroles promène peut-être un agenda hypocrite pour le peuple Congolais, indifférent à l’immédiat qui pourtant va décider de beaucoup pour son avenir !!!
Compatriotiquement!
PS
En réponse à ma question d’entrée, « Comment le pouvoir va rendre (ou non ?) légalement et légitimement les résolutions de ce dialogue opposables à tous ?» j’ai commencé ci-dessus par commenter davantage le cadre qu’il nous a tracé mais en même temps je ne faisais que supposer les conclusions futures plus que probables qui n’ont pas encore été proclamées…
Je ne me suis pas assez étendu sur les modalités finales pratiques et les bases juridiques sur lesquelles il les appuierait… « la place exacte de « JK », celle des élus du Parlement national et des assemblées provinciales comme celle des forces sociales organisées et last not least celle des participants à ce dialogue… ? », m’étais-je interrogé…
C’est le lieu ici de qualifier en d’autres termes les intentions du pouvoir dans ce scénario : une tentative audacieuse mais pas si illégitime de revêtir un pacte d’abord corporatiste encore plus informel dans la mesure où une frange significative de l‘opposition et combien représentative dans le pays est absente, d’un sceau constitutionnel ; c’est d’ailleurs ce que lui reproche cette dernière !
Notons au passage que la démarche, commencer par une négociation privée quasi informelle pour ensuite la rendre officielle, légale et même constitutionnelle n’a rien d’inhabituelle ni d’illicite ; c’est le chemin habituel de beaucoup de lois démocratiquement adoptées dans maints parlements du monde qui viennent des propositions boutiquées des maintes loges privées…
Alors comment au final le pouvoir conclura-t-il ce dialogue ? Le valider par un vote parlementaire avec les élus en place, ce qui d’ailleurs peut n’être qu’une formalité vu sa majorité au Parlement et sa coutume d’achats de voix des élus en général et dans l’opposition à laquelle il faut ajouter sa capacité à enrôler de voix supplémentaires comme le démontre la composition des participants au dialogue ?
Se constituera-t-il un cadre d’exception à la fois « exécutif et législatif » par exemple en dissolvant le Parlement actuel pour gouverner selon des modalités aussi exceptionnelles avec un Exécutif renforcé prépondérant ramené à l’institution PR et un Législatif réduit au carré des participants au dialogue ?
Voilà comment le pouvoir rendrait légalement et sans doute légitimement les résolutions du dialogue opposables à tous et voilà des questions dont on attend incessamment les réponses…
C’est aussi en insister en conséquence que les bons vœux des opposants qui crient à la non représentativité d’un dialogue non-inclusif, à la violation de la Constitution feraient mieux de transformer leurs incantations vertueuses en actions bien ciblées et vigoureuses …………
Nos analyses se confondent souvent de bonne foi patriotique en prophéties de réussite (auto-réalisatrices ?) à travers lesquelles nous prenons volontiers nos souhaits pour la réalité faisant fi sans trop nous en rendre de la dure réalité qui est devant nous…
Cette dernière est qu’une fois de plus l’autocratie qui nous assomme risque fort de perpétuer son règne par défi faute de résistance efficace de la part de ses adversaires et de notre peuple grâce à un dialogue qu’elle a instrumentalisé avec ruse…
Réveillons-nous, réfléchissons et agissons juste !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
....LA CENCO, DONNE SON AVIS...ENFIN..
La CENCO si..silencieuse..et discrete depuis deux semaines, s´exprime
http://www.rfi.fr/afrique/20160916-rdc-ceni-commission-election-cour-constitutionnelle-report-presidentielle
Il n´ya plus des "secrets" même quand le gouvernement a pris soin d´intervenir la diffusion in live des travaux au dialogue
La réaction de la CENCO après l´audition de la CENI dont NAANGA..a semble-t-il refusé de donner une date precise des élections, même avec la refonte totale du fichier
Quand la CENCO dit ouvertement que "la CENI sort de son rôle constitutionnel" quand elle ne donne ni calendrier, ni date des élections..
Well, attendons la fin de ce samedi pour nous assurer que les évêques ont "enfin" pris la decision de rejoindre ceux qui luttent pour le respect de la constitution
WAIT AND SEE
La CENCO si..silencieuse..et discrete depuis deux semaines, s´exprime
http://www.rfi.fr/afrique/20160916-rdc-ceni-commission-election-cour-constitutionnelle-report-presidentielle
Il n´ya plus des "secrets" même quand le gouvernement a pris soin d´intervenir la diffusion in live des travaux au dialogue
La réaction de la CENCO après l´audition de la CENI dont NAANGA..a semble-t-il refusé de donner une date precise des élections, même avec la refonte totale du fichier
Quand la CENCO dit ouvertement que "la CENI sort de son rôle constitutionnel" quand elle ne donne ni calendrier, ni date des élections..
Well, attendons la fin de ce samedi pour nous assurer que les évêques ont "enfin" pris la decision de rejoindre ceux qui luttent pour le respect de la constitution
WAIT AND SEE
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
NAANGA ET LA "DATE"
Naanga même au "dialogue" il n´a pas été capable de rafistoler une date precise Même si on lui accorde le "report", Naanga ne possede pas (encore) une date
Malgré tout le système informatique perfectioné où les projections peuvent se faire même avec le "test" électoral dans la "petite" province du Nord Ubangi, Naanga possede une petite idée sur une "date" aproximative des scrutins
¤ LES JUGES DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE
Dèjà moins crédibles á cause d´une interpretation "politique" d´un article de la constitution ces pauvres juges vont devoir se pencher sur cette histoire de la CENI...que la constitution impose la convocation de l´électorat le 19 septembre
*Dialogue? Pendant deux semaines, même avec toutes les ressources politiques dont ils beneficient, il n´ya pas eu un "consensus" pour une date precise des élections*
Eux qui semble-t-il pouvaient obtenir un "compromis" sur la "refonte totale" du fichier, n´ont pas pas eu la sagesse de choisir une date*
¤ LA "DATE"
En réalité NAANGA a proposé un "calendrier" qui fait peur á tous le monde Contraintes techniques? Il n´ya pas si longtemps que Thambwe Mwamba**disait tout haut "qu´ils vont financer eux même les élections"donc la contrainte financière n´existe pas*
Contrainte "technique", la logistique? Si Naanga roule pour une date lointaine l´ONU ne peut pas apporter son back up, ni les pays qui peuvent financer les choses
*En face des juges de la Cour Constitutionnelle, Naanga devrait (aussi) apporter une date..les juges ne peuvent "l´aider" que si lui même apporte une date
*Pourquoi Naanga est incapable d´apporter une date? Les juges ne peuvent l´aider qu´avec une "date"*
La date, cette date qui fait peur
WAIT AND SEE
Naanga même au "dialogue" il n´a pas été capable de rafistoler une date precise Même si on lui accorde le "report", Naanga ne possede pas (encore) une date
Malgré tout le système informatique perfectioné où les projections peuvent se faire même avec le "test" électoral dans la "petite" province du Nord Ubangi, Naanga possede une petite idée sur une "date" aproximative des scrutins
¤ LES JUGES DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE
Dèjà moins crédibles á cause d´une interpretation "politique" d´un article de la constitution ces pauvres juges vont devoir se pencher sur cette histoire de la CENI...que la constitution impose la convocation de l´électorat le 19 septembre
*Dialogue? Pendant deux semaines, même avec toutes les ressources politiques dont ils beneficient, il n´ya pas eu un "consensus" pour une date precise des élections*
Eux qui semble-t-il pouvaient obtenir un "compromis" sur la "refonte totale" du fichier, n´ont pas pas eu la sagesse de choisir une date*
¤ LA "DATE"
En réalité NAANGA a proposé un "calendrier" qui fait peur á tous le monde Contraintes techniques? Il n´ya pas si longtemps que Thambwe Mwamba**disait tout haut "qu´ils vont financer eux même les élections"donc la contrainte financière n´existe pas*
Contrainte "technique", la logistique? Si Naanga roule pour une date lointaine l´ONU ne peut pas apporter son back up, ni les pays qui peuvent financer les choses
*En face des juges de la Cour Constitutionnelle, Naanga devrait (aussi) apporter une date..les juges ne peuvent "l´aider" que si lui même apporte une date
*Pourquoi Naanga est incapable d´apporter une date? Les juges ne peuvent l´aider qu´avec une "date"*
La date, cette date qui fait peur
WAIT AND SEE
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
On se projette dans des supputations en tenant compte des 16 mois et un jour, ceci suppose que la refonte du fichier électoral prendra fin entre juin et juillet 2017. Un membre de la société civile avait declaré hier qu´on pourra alors convoquer les élections 120 jours après. Ce qui nous conduit vers le mois de novembre 2017, un an de sursis pour Kabila.Troll a écrit:
*Pourquoi Naanga est incapable d´apporter une date? Les juges ne peuvent l´aider qu´avec une "date"*
La date, cette date qui fait peur
WAIT AND SEE
Arafat
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Mbuta ARAFAT
Les 16 mois de Naanga commence au mois de fevrier 2016... Il ne possede pas le "droit" de deborder la constitution ...Au contraire, LUCHA propose la formule utilisée au Nigeria et en Afrique du Sud très recement Dans ces deux pays, on a a pas eu besoin d´un fichier électoral**Les gens ont tout simplement votés....et en comptant les "votes" on a proclamé le resultat*
Cette approche est légale...car l´électorat pour la présidence est la RDC, toute la RDC
¤ TOM PERRIELLO "EXPULSÉ" DE LA RDC ?
On apprend qu´un deputé du PPRD a menacé Tom P á l aéroportr de Ndjili...et le porte parole du PPRD demande au gouvernement d´interdire á l´envoyé des USA de sejourner au Congo ?
Ultime confrontation? WAIT AND SEE durant cette journée du 19 septembre
Les 16 mois de Naanga commence au mois de fevrier 2016... Il ne possede pas le "droit" de deborder la constitution ...Au contraire, LUCHA propose la formule utilisée au Nigeria et en Afrique du Sud très recement Dans ces deux pays, on a a pas eu besoin d´un fichier électoral**Les gens ont tout simplement votés....et en comptant les "votes" on a proclamé le resultat*
Cette approche est légale...car l´électorat pour la présidence est la RDC, toute la RDC
¤ TOM PERRIELLO "EXPULSÉ" DE LA RDC ?
On apprend qu´un deputé du PPRD a menacé Tom P á l aéroportr de Ndjili...et le porte parole du PPRD demande au gouvernement d´interdire á l´envoyé des USA de sejourner au Congo ?
Ultime confrontation? WAIT AND SEE durant cette journée du 19 septembre
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
:sniff: PREAVIS EN LETTRES DE SANG
Les kinois ont donnés leur sang afin de faire parvenir la lettre du préavis á Kanambe
Le sang versé au eu un impact psychologique sur les évêques catholique qui apportaient une "caution morale" au dialogue
[i]Contrairement á Mende et Kamerhe qui parlent des "jeunes drogués pillards" manipulés[/i], (comme si on pouvait droguer des millions des kinois par le Rassemblement ), la CENCO elle parle "du sang de nos frères et soeurs qui a été versé pour le respect de la constitution"
http://www.rfi.fr/afrique/20160920-violences-rdc-cenco-suspend-participation-dialogue-national
:drunken:Quand la CENCO "suspend" sa participation en posant des conditions "drastiques", c´est la rupture avec le gouvernement Ce que la CENCO exige explicitement que dans le document de l´accord, Joé Kanambe doit s´engager á ne pas être candidat.. Ensuite, le report des élections doit-être le plus court que possible..accompagné d´un plan crédible d´execution
¤ Francois Hollande
http://www.jeuneafrique.com/358958/politique/rd-congo-apres-deux-jours-de-violence-retour-calme-incertain-a-kinshasa/
L´un des pays "membre permanent" du Conseil de sécurité de l´ONU, la France dont le président accuse ouvertement le gouvernement congolais d´être responsable des massacres des kinois
F Hollande insiste sur la tenue des élections et le respect de la constitution
Le dialogue est désormais dans la rue..tout comme le respect de la constitution depend de la rue
WAIT AND SEE
Les kinois ont donnés leur sang afin de faire parvenir la lettre du préavis á Kanambe
Le sang versé au eu un impact psychologique sur les évêques catholique qui apportaient une "caution morale" au dialogue
[i]Contrairement á Mende et Kamerhe qui parlent des "jeunes drogués pillards" manipulés[/i], (comme si on pouvait droguer des millions des kinois par le Rassemblement ), la CENCO elle parle "du sang de nos frères et soeurs qui a été versé pour le respect de la constitution"
http://www.rfi.fr/afrique/20160920-violences-rdc-cenco-suspend-participation-dialogue-national
:drunken:Quand la CENCO "suspend" sa participation en posant des conditions "drastiques", c´est la rupture avec le gouvernement Ce que la CENCO exige explicitement que dans le document de l´accord, Joé Kanambe doit s´engager á ne pas être candidat.. Ensuite, le report des élections doit-être le plus court que possible..accompagné d´un plan crédible d´execution
¤ Francois Hollande
http://www.jeuneafrique.com/358958/politique/rd-congo-apres-deux-jours-de-violence-retour-calme-incertain-a-kinshasa/
L´un des pays "membre permanent" du Conseil de sécurité de l´ONU, la France dont le président accuse ouvertement le gouvernement congolais d´être responsable des massacres des kinois
F Hollande insiste sur la tenue des élections et le respect de la constitution
Le dialogue est désormais dans la rue..tout comme le respect de la constitution depend de la rue
WAIT AND SEE
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Doit-on en deduire que la CENCO tout comme Kamerhe participe aussi à la violation de la constitution? Ou c´est tout simplement le bon sens ou du moins la bonne foi.Troll a écrit::
:drunken:Quand la CENCO "suspend" sa participation en posant des conditions "drastiques", c´est la rupture avec le gouvernement Ce que la CENCO exige explicitement que dans le document de l´accord, Joé Kanambe doit s´engager á ne pas être candidat.. Ensuite, le report des élections doit-être le plus court que possible..accompagné d´un plan crédible d´execution
Arafat
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
Madame Braeckman in the house
La révolution mentale Braeckman était l´une de ces journalistes qui défendait Kanambe:pale: Maintenant qu´elle a changée de "camp"
En tout cas, PRÉAVIS..le message est passé, le préavis a été deposé...Toute la planète est informée avec une lettre de préavis:bounce: ensanglanté
:silent:http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2016/09/19/le-president-doit-sortir-du-silence/
Maintenant, la constitution est plus visible, plus que jamais , plus au centre qu´avant le 19 septembre:star:
La révolution mentale Braeckman était l´une de ces journalistes qui défendait Kanambe:pale: Maintenant qu´elle a changée de "camp"
En tout cas, PRÉAVIS..le message est passé, le préavis a été deposé...Toute la planète est informée avec une lettre de préavis:bounce: ensanglanté
:silent:http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2016/09/19/le-president-doit-sortir-du-silence/
Maintenant, la constitution est plus visible, plus que jamais , plus au centre qu´avant le 19 septembre:star:
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
:idea: LE "CANDIDAT" DE LA MAJORITE
http://www.voaafrica.com/a/rdc-le-conseil-de-securite-de-l-onu-souligne-l-importance-cruciale-de-l-election/352061.html
Après un "préavis sanglant" en toute logique, les travaux du dialogue ne peuvent plus tourner en rond autour de la tenue de l´élection présidentielle
Quand l´ONU reprend notre "mantra" sur le respect de la constitution l´élection présidentielle devient l´objectif principale de ce dialogue
CANDIDAT DE LA MAJORITÉ ?
Pendant ces deux semaines des travaux au dialogue la fameuse majorité aurait été plus concentrée pour obtenir un "report" de plus ou moins deux ans avec la complicité de Kamerhe
Le préavis sanglant remet en question cette option..comme au mois de janvier 2015 quand une autre manifestation aussi sanglante avait fait obstacle aux modifications de la loi électorale
Si Kanambe accepte son "destin" et surtout accepte qu´il ne peut pas obtenir deux sans de ralonge...á la fin du dialogue, la majorité n´aura plus de choix: ils doivent se choisir un candidat
Comment expliquer que le dialogue va prendre fin avec..une date des élections..et même un calendrier électoral Si l´ONU/UE/USA font entendre leur voix..y compris la CENCO..dans plus ou moins de 6 mois, la RDC va organiser une élection présidentielle
6 mois pour une campagne présidentielle...alors la majorité n´a plus de choix: il n´y aura pas de "transition" élastique, il est plus que temps d´accepter que Kanambe doit quitter..et se choisir un "dauphin" devrait-être l´urgence logique ..
En nous reservant le droit...de nous tromper WAIT AND SEE
http://www.voaafrica.com/a/rdc-le-conseil-de-securite-de-l-onu-souligne-l-importance-cruciale-de-l-election/352061.html
Après un "préavis sanglant" en toute logique, les travaux du dialogue ne peuvent plus tourner en rond autour de la tenue de l´élection présidentielle
Quand l´ONU reprend notre "mantra" sur le respect de la constitution l´élection présidentielle devient l´objectif principale de ce dialogue
CANDIDAT DE LA MAJORITÉ ?
Pendant ces deux semaines des travaux au dialogue la fameuse majorité aurait été plus concentrée pour obtenir un "report" de plus ou moins deux ans avec la complicité de Kamerhe
Le préavis sanglant remet en question cette option..comme au mois de janvier 2015 quand une autre manifestation aussi sanglante avait fait obstacle aux modifications de la loi électorale
Si Kanambe accepte son "destin" et surtout accepte qu´il ne peut pas obtenir deux sans de ralonge...á la fin du dialogue, la majorité n´aura plus de choix: ils doivent se choisir un candidat
Comment expliquer que le dialogue va prendre fin avec..une date des élections..et même un calendrier électoral Si l´ONU/UE/USA font entendre leur voix..y compris la CENCO..dans plus ou moins de 6 mois, la RDC va organiser une élection présidentielle
6 mois pour une campagne présidentielle...alors la majorité n´a plus de choix: il n´y aura pas de "transition" élastique, il est plus que temps d´accepter que Kanambe doit quitter..et se choisir un "dauphin" devrait-être l´urgence logique ..
En nous reservant le droit...de nous tromper WAIT AND SEE
GHOST
Re: DIALOGUE ? LA CONSTITUTION EN DANGER..
J’avais soutenu, il y a un peu longtemps de cela, me basant sur les expériences passées que les probabilités étaient fortes pour que Joseph Kabila soit encore Président le 20 décembre 2016. Certains s’en sont indignés. Mais voilà qu’ils nous abreuvent, aujourd’hui, à l’idée des accommodements raisonnables ou acceptables.
Libre Examen
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