EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Conférence de presse conjointe de 20 ONGDH de la RDC dénonçant la détention illégale et prolongée de l’honorable Eugène Diomi Ndongala
par mpp le 2 décembre 2013
par mpp le 2 décembre 2013
CONFERENCE DE PRESSE CONJOINTE DE 20 ONG DES DROITS DE L’HOMME,
LE 2 DECEMBRE 2013 A 11H00, AV. KASONGO N°12, Kinshasa, Gombe
Déclaration conjointe de 20 Ongdh de la RDC sur la détention illégale et prolongée de l’honorable Eugène Diomi Ndongala
Lundi 2 décembre 2013 à Kinshasa au siège de l’Acaj sur Kasongo 12/A Socimat/Gombe en RDC
Dans son discours du 7 septembre dernier devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès, à l’occasion de l’inauguration des travaux des "Concertations nationales" le président, Joseph Kabila avait annoncé sa volonté de décrisper l’atmosphère politique en prenant des mesures de mise en liberté conditionnelle, grâce et amnistie en faveur particulièrement de certains prisonniers.
Il ajoutait : "Je vous annonce, par ailleurs, qu’une grâce présidentielle est à l’étude en attendant le vote par le Parlement d’une loi d’amnistie".
Les concertations nationales ont donné corps à cette volonté car les participants à ces assises ont exigé la libération de tous les prisonniers politiques pour rendre possible la réconciliation et la cohésion nationale.
Une liste de 7 personnalités qui auraient dû être immédiatement libérées, a été rédigée et coulée dans une résolution des concertations nationales ; elle reprend les noms de Muhindo Nzangi, Eugène Diomi Ndongala, Pierre-Jacques Chalupa, Kutino Fernando, Nzaghi Muhingo, Eric Kikunsa, Firmin Yangambi et Palata.
Malheureusement, au regard de constat fait sur terrain, les organisations de la société civile de défense et de promotion des droits de l’homme que nous sommes, nous constatons que le chef de l’Etat, Joseph Kabila, est entrain d’opérer une libération sélective des prisonniers politiques.
Par preuve, l’Honorable Eugène Diomi Ndongala dont l’état de santé ne fait que se détériorer, est encore détenu illégalement dans la prison centrale de Makala, malgré les recommandations des concertations nationales demandant sa libération.
Voilà pourquoi Nous estimons que le député Eugène Diomi Ndonganla est un prisonnier personnel du Chef de l’Etat car son cas est devenu une AFFAIRE D’ETAT.
C’est pourquoi nous demandons au Président Joseph Kabila de prendre la décision annonçant la libération d’Eugène Diomi Ndongala, comme il l’a fait pour d’autres prisonniers. Nous saluons les gestes de magnanimité déjà accomplis, toutefois nous estimons que la cohésion nationale ne peut se réaliser que par la libération de tous les prisonniers politiques, sans discrimination partisane ou sélective de sa part.
En effet, la cohésion nationale tant recherchée par le Président Joseph Kabila ne se décrète pas, mais elle se manifeste par les actes de décrispation politique.
La libération de l’Honorable Eugène Diomi Ndongala serait, à notre avis, un geste fort de la part du Chef de l’Etat Joseph Kabila, pour cimenter la nation surtout après la mise en déroute du M23 par les FARDC au Nord-Kivu, aussi grâce à l’implication active de la communauté internationale.
Pour rappel, Eugène Diomi Ndongala est jusqu’à ce jour aux arrêts au CPRK de Kinshasa. Son mandat de député national a été invalidé de manière cavalière alors qu’il était placé en détention illégalement, tout cela ayant provoqué la vive indignation même de l’Union Interparlementaire, UIP en sigle.
Le calvaire de l’opposant Eugène Diomi Ndongala
Diomi Ndongala fut enlevé le 27 juin 2012, le jour où fut lancé un montage politico-judiciaire basé sur une fantaisiste affaire de mœurs. Prétextant ces fausse accusations, la Police a profité pour occuper sans titre le siège de la Démocratie Chrétienne – le parti politique de l’opposition dont Diomi Ndongala est le Président National – pendant plusieurs mois et piller aussi bien tous les biens de valeur que toute la documentation et les archives du parti.
Enlevé le 27/06/2012 alors qu’il se rendait à une manifestation politique dont il était l’organisateur, le député Diomi Ndongala a été détenu au secret pendant trois mois et libéré la nuit du 12 octobre 2012, à la veille de la tenue du Sommet de la Francophonie à Kinshasa, à titre de décrispation politique sur le front des droits de l’homme, un front de dénonciation ouvert par le Président François Hollande quelques jours avant son déplacement pour Kinshasa.
L’Honorable Eugène Diomi Ndongala subira une semaine après sa libération une délicate intervention chirurgicale à la suite des mauvais traitements subis.
Une fois reprises les activités politiques, il sera encore enlevé nuitamment le 8 avril et par la suite placé en détention.
La Cours Suprême de Justice avait pris, depuis le mois d’avril, trois arrêts assignant l’Honorable Eugène Diomi Ndongala en résidence surveillée mais le Procureur Général de la République, à qui revient la mise en application des décisions de la Haute Cours, refusa scandaleusement de les appliquer.
L’état de santé de l’Honorable Eugène Diomi Ndongala ne cesse de se détériorer au jour le jour suite au déni des soins médicaux adéquats dont il est victime. Lors de son enlèvement suivi de sa détention au secret, Diomi Ndongala a été soumis à la torture et aux traitements cruels, inhumains et dégradants en vue de lui arracher des aveux.Récemment, l’Organisation Mondiale contre la Torture a lancé un appel en sa faveur afin qu’il ne soit plus soumis à des traitements inhumains et dégradants et surtout afin qu’il puisse être pris en charge médicalement car il est frappé par une paralysie au côté droit de son corps déclenchée par les coups subis en détention et au moment des enlèvements violents dont il a été victime.
Pour nous, les Ondgh, la détention de Diomi Ndongala est une affaire politique visant à réduire au silence ce député de l’opposition, à cause de son engagement direct dans la campagne présidentielle en faveur d’Etienne Tshisekedi.
Eugène DIOMI NDONGALA, un homme politique qui, depuis son combat politique depuis plus vingt ans adhère à la lutte politique non violente.Proche d’Etienne TSHISEKEDI et chantre frénétique du combat en faveur du triomphe de la vérité des urnes des scrutins du 28 novembre 2011, Eugène Diomi est selon notre analyse de son cas, victime d’un harcèlement politico-judiciaire de longue date à cause de ses opinions politiques.
Mesdames et Messieurs de la presse, il serait incorrect de notre part de tenir ce point sur le dossier de l’honorable Eugène Diomi Ndongala sans évoquer avec vous le dossier d’autres congolais qui croupissent à ce jour dans les cachots de l’ANR et Demiap , prisons …
C’est le cas de 18 personnes dont Mme Marie José Kabungama et son fils Katumba Mupoyi Madudu. Ces congolais ont été arrêtés arbitrairement et accusés dans une affaire imaginaire du « Coup d’Etat » contre le premier ministre Augustin Matata Ponyo et le président Joseph Kabila avec des machettes et des bouteilles en plastiques dans le dossier inscrit au no RMP V 0 25/PGR/SMM dont le Député Eugène Diomi Ndongala est accusé d’être l’auteur de ce mouvement insurrectionnel.
C’est ici une occasion pour nous de réclamer leur libération.
Mais pourquoi pas aussi la libération des militaires, policiers et civils membres de l’UNC, MLC ; RCD/N et Mai-Mai dont Willy Mishiki, ancien vice-ministre de l’Agriculture détenu aujourd’hui à la prison militaire de Ndolo à Kinshasa.
Recommandations
Face à la détention illégale et prolongée de l’Honorable Eugène Diomi Ndongala, nous les ONGDH recommandons :
- Au Président de la République, en sa qualité de garant de la nation et magistrat suprême et conformément à son engagement à respecter les décisions des Concertations Nationales, d’ordonner la libération immédiate d’Eugène Diomi Ndongala.
Cette libération devrait être élargie aussi à d’autres personnes qui ont été impliquées dans le fumeux dossier dit de « l’Imperium » comme Madame Jose Marie KABUNGAMA de l’UDPS, M. Verdict Kituntwa, journaliste et attaché de presse de la DEMOCRATIE CHRETIENNE ou encore Katumba Stallone.
Ces congolais méritent d’être libérés après des mois de détention au secret et emprisonnement illégal.
- A la Communauté Internationale de s’impliquer afin de plaider pour la libération sans conditions de M. Eugène DIOMI NDONGALA qui demeure le principal prisonnier politique emprisonné actuellement en République Démocratique du Congo. Il sied de souligner que l’inapplication de la résolution demandant sa libération fait de la « réconciliation » et la « cohésion nationale » recommandées par l’Accord Cadre d’Addis-Abeba, des vœux pieux sans concrétisation.
-A la Monusco de s’impliquer très activement pour le respect de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba qui prône la réconciliation nationale dans le sens inclusif.
Fait à Kinshasa lundi 2 Décembre 2013
Les signataires
-1. Ligue des Electeurs (LE) ;
-2. Fondation Bill Clinton pour la Paix (FBCP) ;
-3. Œuvres Sociales pour le Développement (OSD) ,
-4. Association Congolaise pour l’Accès à la Justice(ACAJ)
-5. Association Africaine de défense des droits de l’homme( ASADHO)
-6. Les Amis de Nelson Mandela pour les Droits de l’Homme (ANMDH) ;
-7. Ligue pour la paix et les droits de l’homme( LIPADHO)
-8. Association de l’homme et Secours aux détenus (ASAD)
-9. Observatoire Congolais des droits humains (OCDH) ;
-10. Anges du Ciel (AC) ;
-11. Comité Droits de l’Homme Maintenant (CDHM) ;
-12. Centre des Droits Humains et humanitaire (CDH) ;
-13. Comité d’observateurs des Droits de l’homme(CODHO)
-14. Toges Noires (TN) ;
-15. Femmes Solidaires pour la Paix et le Développement (FSPD)
- 16. Actes
-17. Dieu des droits de l’homme Universel(DDU)
-18. Alliance Mondiale pour les droits de l’homme AMODDH
-19. ACAT
-20. Centre international de formation en Droits Humains et Développement (CIFDH/D)
http://democratiechretienne.org/2013/12/02/conference-de-presse-conjointe-de-20-ongdh-de-la-rdc-denoncant-la-detention-illegale-et-prolongee-de-lhonorable-eugene-diomi-ndongala/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LE SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE INVITE DE PAULINE SIMONET AU JOURNAL TV DE FRANCE 24 POUR REVENDIQUER LA LIBERATION DU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
20 Ongdh recommandent à Kabila d’ordonner la libération d’Eugène Diomi Ndongala/TEMPETE DES TROPIQUES
par mpp le 3 décembre 2013
*
par mpp le 3 décembre 2013
*
Écrit par Stone |
Mardi, 03 Décembre 2013 09:33 |
20 Ongdh recommandent à Kabila d’ordonner la libération d’Eugène Diomi Ndongala Elles demandent à la Communauté internationale de s’impliquer très activement pour le respect de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba qui prône la réconciliation nationale en vue de la décrispation du climat politique en RDC Ces Ongdh ont également déploré la libération sélective des prisonniers politiques, au lieu d’appliquer cette disposition telle que prévue dans les recommandations issues des concertations nationales. D’ailleurs, ces organisations ont pris Joseph Kabila aux mots en rappelant que dans son discours du 7 septembre dernier devant les deux chambres du Parlement réunies en Congrès, à l’occasion de l’inauguration des travaux des "Concertations nationales", il avait annoncé sa volonté de décrisper l’atmosphère politique en prenant des mesures de mise en liberté conditionnelle, grâce et amnistie en faveur particulièrement des prisonniers. Il avait même ajouté que "Je vous annonce, par ailleurs, qu’une grâce présidentielle est à l’étude en attendant le vote par le Parlement d’une loi d’amnistie". Les concertations nationales avaient donné corps à cette volonté car les participants à ces assises ont exigé la libération de tous les prisonniers politiques pour rendre possible la réconciliation et la cohésion nationale. Pour y parvenir, une liste de 7 personnalités qui auraient dû être immédiatement libérées, a été rédigée et coulée dans une résolution des concertations nationales, reprenant les noms de Muhindo Nzangi, Eugène Diomi Ndongala, Pierre-Jacques Chalupa, Kutino Fernando, Nzaghi Muhingo, Eric Kikunsa, Firmin Yangambi et Palata. Et de poursuivre, " c’est pourquoi nous demandons au président Joseph Kabila de prendre la décision annonçant la libération d’Eugène Diomi Ndongala, comme il l’a fait pour d’autres prisonniers. Nous saluons les gestes de magnanimité déjà accomplis, toutefois nous estimons que la cohésion nationale ne peut se réaliser que par la libération de tous les prisonniers politiques, sans discrimination partisane ou sélective de sa part ". Mesdames et Messieurs de la presse, il serait malhonnête de notre part de tenir ce point sur le dossier du numéro un de la Démocratie Chrétienne (DC) sans évoquer avec vous le dossier d’autres congolais qui croupissent à ce jour dans les cachots de l’ANR et Demiap , prisons … Ces organisations membres de la société civile ont profité de cette occasion pour soulever aussi le cas de 18 personnes dont Mme Marie José Kabungama et son fils Katumba Mupoyi Madudu. Ces congolais ont été arrêtés arbitrairement, s’indignent-elles, et accusés dans une affaire imaginaire du " Coup d’Etat " contre le premier ministre et le chef de l’Etat avec des machettes et des bouteilles en plastiques dans le dossier inscrit au no RMP V 0 25/PGR/SMM dont Diomi Ndongala est accusé d’être l’auteur de ce mouvement insurrectionnel. " C’est ici une occasion pour nous de réclamer leur libération ", ont-elles soutenu, comme également la remise en liberté des militaires, policiers et civils membres de l’UNC, MLC, RCD/N et Mai-Mai dont Willy Mishiki, ancien vice-ministre de l’Agriculture détenu aujourd’hui à la prison militaire de Ndolo à Kinshasa. Il faut signaler que ces Ongdh ont exigé que la libération d’Eugène Diomi Ndongala devra être élargie aussi à d’autres personnes qui ont été impliquées dans le fumeux dossier dit de " l’Imperium " comme Madame José Marie Kabungama de l’UDPS, M. Verdict Mituntwa, journaliste et attaché de presse de la Démocratie chrétienne (DC) ou encore Katumba Stallone. A la Communauté internationale, il leur est demandé de s’impliquer afin de plaider pour la libération sans conditions du leader de la DC. Car, la non application de la résolution demandant sa libération fait de la " réconciliation " et la " cohésion nationale " recommandées par l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, des vœux pieux sans concrétisation. Ces Ongdh demandent enfin à la Monusco de s’impliquer très activement pour le respect de cet accord d’Addis-Abeba qui prône la réconciliation nationale dans le sens inclusif.Signalons par ailleurs que les 20 Ongdh signataires de cette déclaration sont, Ligue des Electeurs (LE), Fondation Bill Clinton pour la Paix (FBCP) ; Œuvres Sociales pour le Développement (OSD), Association Congolaise pour l’Accès à la Justice(ACAJ), Association Africaine de défense des droits de l’homme(ASADHO), Les Amis de Nelson Mandela pour les Droits de l’Homme (ANMDH), Ligue pour la paix et les droits de l’homme (LIPADHO), Association de l’homme et Secours aux détenus (ASAD), Observatoire Congolais des droits humains (OCDH), Anges du Ciel (AC), Comité Droits de l’Homme Maintenant (CDHM), Centre des Droits Humains et humanitaire (CDH), Comité d’observateurs des Droits de l’homme(CODHO), Toges Noires (TN), Femmes Solidaires pour la Paix et le Développement (FSPD), Actes, Dieu des droits de l’homme Universel(DDU), Alliance Mondiale pour les droits de l’homme AMODH, ACAT et Centre international de formation en Droits Humains et Développement (CIFDH/D). LA TEMPETE DES TROPIQUES DU 03/12/2013 http://democratiechretienne.org/2013/12/03/20-ongdh-recommandent-a-kabila-dordonner-la-liberation-deugene-diomi-ndongalatempete-des-tropiques/ |
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RADIO TOP CONGO: LA QUESTION DE LA LIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES AU CENTRE DE L’ACTUALITE – DIOMI ET KUTINO ET LES AUTRES PRISONNIERS DESIGNES PAR LES CONCERTATIONS NATIONALES DOIVENT ETRE LIBERES
le 4 décembre 2013
thhttps://www.youtube.com/watch?v=FTcrFRI0rhU
le 4 décembre 2013
thhttps://www.youtube.com/watch?v=FTcrFRI0rhU
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Manifeste d'un combattant http://udpsmultimedia.com/2013/04/16/diomi-ndongalamanifeste-dun-combattant/ … #rdc #drc #congo
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Hommage à Mandela : Il faut libérer les « Mandelas » d’aujourd’hui ! /AGORAVOX
par mpp le 12 décembre 2013
par mpp le 12 décembre 2013
Hommage à Mandela : Il faut libérer les « Mandelas » d’aujourd’hui !
Il faut libérer tous les prisonniers politiques d’un bout à l’autre de la planète. C’est sûrement le plus bel hommage qu’on puisse rendre à Nelson Mandela. L’histoire retiendra que de nombreux Chefs d’Etat et de gouvernement se sont rendus mardi 10 décembre en Afrique du Sud pour s’associer à l’hommage planétaire à Nelson Mandela. Le héros sud-africain aura particulièrement marqué la conscience de l’humanité par son sacrifice : 27 ans de prison en raison de son engagement et de ses convictions politiques. Reste que le plus bel hommage qu’on pourrait lui rendre se résume en une phrase : « Libérez tous les prisonniers politiques ! » Et il y en a tellement dans le monde, en commençant par le Continent africain.
Cas du Rwanda et du Congo
Des prisonniers politiques, il y en a tellement dans le monde. Intéressons-nous à deux d’entre eux, dont les noms ne risquent pas d’être entendus dans les grands médias, en dépit de la noblesse de leur lute. Ils restent des anonymes, des criminels, des terroristes. Officiellement. Mais même leurs geôliers savent qu’ils sont détenus en raison de leurs convictions politiques. Quelques années avant eux, Mandela fut, lui aussi, détenu, officiellement, pour des infractions de droit commun. Mais les gens ne sont pas dupes.
La Rwandaise Victoire Ingabire
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Ainsi, au Rwanda, par exemple, Madame Victoire Ingabire, présentée parfois comme la « Aung San Suu Kyi rwandaise », est toujours en prison. Ses ennuis commencent lorsqu’elle se présente à l’élection présidentielle de 2006 avec des revendications qui déplaisent fortement au régime de Paul Kagamé. Victoire Ingabire réclame, entre autre, l’ouverture démocratique, la poursuite en justice des crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par les membres du FPR (parti au pouvoir), la reconnaissance de la souffrance et le droit à la mémoire de toutes les victimes. Elle est assignée à résidence surveillée puis incarcérée le 14 octobre 2010.
Il n’y a pas beaucoup de gens dans le monde qui se bousculent pour réclamer sa libération. Même les Etats-Unis de Barack Obama, représentés en Afrique du Sud pour rendre hommage à Mandela, restent assez discrets sur le cas Ingabire. La prisonnière politique avait pourtant pris la précaution de faire assurer sa défense par un avocat américain, Maitre Peter Erlinder, professeur de droit à l’Université William-Mitchell, dans le Minnesota.
Mais le 28 mai 2010, l’avocat américain est lui-même arrêté par la police rwandaise, placé en détention et inculpé du crime de « négation du génocide » pour lequel on risque 25 ans de prison au Rwanda. Malgré les protestations internationales, l’homme restera en prison jusqu’au 18 juin 2010 avant de quitter le pays.
Les « démocraties occidentales » restent discrètes sur la répression politique au Rwanda. Parce que, sur le fond, c’est toujours difficile de se mettre à dos un régime politique, même le plus inique. Des raisons diplomatiques…
Mandela en fit l’amère expérience, puisque quasiment tous les pays représentés aux cérémonies des obsèques de Mandela entretenaient de bonnes relations et réalisaient de juteuses affaires avec le régime d’apartheid.
Le Congolais Eugène Diomi Ndongala
De l’autre côté de la frontière rwandaise, en République démocratique du Congo, un homme est en train de devenir un prisonnier politique de la même lignée. Eugène Diomi Ndongala, candidat à l’élection présidentielle de 2006, et élu député en 2011, croupit toujours en prison. Ses ennuis sont liés à la contestation (non violente) du régime actuel de Kabila issu des guerres d’agression et d’élections frauduleuses de 2006 et 2011.
Il s’attire les foudres du pouvoir en s’engageant derrière l’opposant historique Etienne Tshisekedi qu’il considère comme le « Président élu » aux termes des élections de 2011. Enlevé plusieurs fois et torturé par les agents des services de renseignement, Diomi Ndongala est maintenu en détention, bien évidemment en violation de la Constitution, mais aussi en violation des arrêts de la Cour suprême qui avait tranché en faveur d’un régime plus humain : la résidence surveillée.
Bien évidemment, et c’est le cas de tous les prisonniers politiques, Diomi Ndongala est officiellement poursuivi pour des infractions de droit commun basées sur des faits que journalistes et avocats ont depuis longtemps battus en brèche.
Certains « Mandelas » n’atteignent même pas la case prison. Ils sont enlevés, assassinés, contraints à l’exil. Au Congo, le nom de Floribert Chebeya[1] continue de résonner dans la tête des gens. Au Rwanda, même certains rescapés du génocide y passent. Bien d’autres ont carrément choisi de fuir le pays. L’exil des rescapés. Un comble.
En définitive, si cela parait tellement réconfortant de saluer la mémoire de Mandela, celui-ci apprécierait par-dessus tout, que ses semblables d’alors, les prisonniers politiques d’aujourd’hui, retrouvent la liberté. Que des poursuites fantaisistes s’estompent et que ces hommes et ces femmes retrouvent la liberté de conduire librement leurs peuples vers les idéaux pour lesquels un homme sacrifia 27 ans de sa vie.
Boniface MUSAVULI
[1] Floribert Chebeya fut un militant des droits de l’Homme en République Démocratique du Congo. Il a été assassiné en juin 2010 par la police alors qu’il s’apprêtait à déposer un dossier à la Cour Pénale Internationale concernant les massacres des populations dans la Province littorale du Bas-Congo.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/hommage-a-mandela-il-faut-liberer-144924
Cas du Rwanda et du Congo
Des prisonniers politiques, il y en a tellement dans le monde. Intéressons-nous à deux d’entre eux, dont les noms ne risquent pas d’être entendus dans les grands médias, en dépit de la noblesse de leur lute. Ils restent des anonymes, des criminels, des terroristes. Officiellement. Mais même leurs geôliers savent qu’ils sont détenus en raison de leurs convictions politiques. Quelques années avant eux, Mandela fut, lui aussi, détenu, officiellement, pour des infractions de droit commun. Mais les gens ne sont pas dupes.
La Rwandaise Victoire Ingabire
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Ainsi, au Rwanda, par exemple, Madame Victoire Ingabire, présentée parfois comme la « Aung San Suu Kyi rwandaise », est toujours en prison. Ses ennuis commencent lorsqu’elle se présente à l’élection présidentielle de 2006 avec des revendications qui déplaisent fortement au régime de Paul Kagamé. Victoire Ingabire réclame, entre autre, l’ouverture démocratique, la poursuite en justice des crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par les membres du FPR (parti au pouvoir), la reconnaissance de la souffrance et le droit à la mémoire de toutes les victimes. Elle est assignée à résidence surveillée puis incarcérée le 14 octobre 2010.
Il n’y a pas beaucoup de gens dans le monde qui se bousculent pour réclamer sa libération. Même les Etats-Unis de Barack Obama, représentés en Afrique du Sud pour rendre hommage à Mandela, restent assez discrets sur le cas Ingabire. La prisonnière politique avait pourtant pris la précaution de faire assurer sa défense par un avocat américain, Maitre Peter Erlinder, professeur de droit à l’Université William-Mitchell, dans le Minnesota.
Mais le 28 mai 2010, l’avocat américain est lui-même arrêté par la police rwandaise, placé en détention et inculpé du crime de « négation du génocide » pour lequel on risque 25 ans de prison au Rwanda. Malgré les protestations internationales, l’homme restera en prison jusqu’au 18 juin 2010 avant de quitter le pays.
Les « démocraties occidentales » restent discrètes sur la répression politique au Rwanda. Parce que, sur le fond, c’est toujours difficile de se mettre à dos un régime politique, même le plus inique. Des raisons diplomatiques…
Mandela en fit l’amère expérience, puisque quasiment tous les pays représentés aux cérémonies des obsèques de Mandela entretenaient de bonnes relations et réalisaient de juteuses affaires avec le régime d’apartheid.
Le Congolais Eugène Diomi Ndongala
De l’autre côté de la frontière rwandaise, en République démocratique du Congo, un homme est en train de devenir un prisonnier politique de la même lignée. Eugène Diomi Ndongala, candidat à l’élection présidentielle de 2006, et élu député en 2011, croupit toujours en prison. Ses ennuis sont liés à la contestation (non violente) du régime actuel de Kabila issu des guerres d’agression et d’élections frauduleuses de 2006 et 2011.
Il s’attire les foudres du pouvoir en s’engageant derrière l’opposant historique Etienne Tshisekedi qu’il considère comme le « Président élu » aux termes des élections de 2011. Enlevé plusieurs fois et torturé par les agents des services de renseignement, Diomi Ndongala est maintenu en détention, bien évidemment en violation de la Constitution, mais aussi en violation des arrêts de la Cour suprême qui avait tranché en faveur d’un régime plus humain : la résidence surveillée.
Bien évidemment, et c’est le cas de tous les prisonniers politiques, Diomi Ndongala est officiellement poursuivi pour des infractions de droit commun basées sur des faits que journalistes et avocats ont depuis longtemps battus en brèche.
Certains « Mandelas » n’atteignent même pas la case prison. Ils sont enlevés, assassinés, contraints à l’exil. Au Congo, le nom de Floribert Chebeya[1] continue de résonner dans la tête des gens. Au Rwanda, même certains rescapés du génocide y passent. Bien d’autres ont carrément choisi de fuir le pays. L’exil des rescapés. Un comble.
En définitive, si cela parait tellement réconfortant de saluer la mémoire de Mandela, celui-ci apprécierait par-dessus tout, que ses semblables d’alors, les prisonniers politiques d’aujourd’hui, retrouvent la liberté. Que des poursuites fantaisistes s’estompent et que ces hommes et ces femmes retrouvent la liberté de conduire librement leurs peuples vers les idéaux pour lesquels un homme sacrifia 27 ans de sa vie.
Boniface MUSAVULI
[1] Floribert Chebeya fut un militant des droits de l’Homme en République Démocratique du Congo. Il a été assassiné en juin 2010 par la police alors qu’il s’apprêtait à déposer un dossier à la Cour Pénale Internationale concernant les massacres des populations dans la Province littorale du Bas-Congo.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/hommage-a-mandela-il-faut-liberer-144924
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LE DOSSIER EUGENE DIOMI NDONGALA S’INVITE AU SOMMET FRANCE – AFRIQUE /INTERPRETE DU 16.12.13
par mpp le 17 décembre 2013
http://democratiechretienne.org/2013/12/17/le-dossier-eugene-diomi-ndongala-discute-au-somme-france-afrique-interprete-du-16-12-13/
par mpp le 17 décembre 2013
http://democratiechretienne.org/2013/12/17/le-dossier-eugene-diomi-ndongala-discute-au-somme-france-afrique-interprete-du-16-12-13/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LETTRE N°1 D’EUGENE DIOMI NDONGALA AUX CONGOLAIS: "CE QUI TUE EN MASSE LES CONGOLAIS EST LA PEUR"
par mpp le 19 décembre 2013
LA RDC EN PLEINE ENTROPIE POLITIQUE
Les images de Kabila embourbé dans la boue jusqu’u cou à l’Est de la RDC est une image qui est restée gravée dans mon esprit, car elle symbolise parfaitement l’état d’apathie dans lequel se trouve mon pays en ce moment :
Kinshasa, Cprk, 19/12/2013
Votre compatriote,
Eugène Diomi Ndongala,
Prisonnier Politique en RDC
http://wp.me/p18AQh-21K
par mpp le 19 décembre 2013
EUGENE DIOMI NDONGALA : « MON ENGAGEMENT POLITIQUE POUR LE CONGO DEMEURE LIBRE, VOILA POURQUOI JE LANCE A PARTIR D’AUJOURD’HUI CETTE RUBRIQUE EDITORIALE SUR LA RDC ET LES QUESTIONS POLITIQUES MAJEURES QUE JE VEUX COMMENCER A TRAITER SYSTEMATHIQUEMENT A PARTIR DE MA CELLULE OU JE SUIS ILLEGALEMENT EMPRISONNE EN TANT QUE PRISONNIER POLITIQUE.
EUGENE DIOMI NDONGALA :
LETTRE AUX CONGOLAIS, N° 1
CE QUI TUE EN MASSE LES CONGOLAIS EST LA PEUR.LA RDC EN PLEINE ENTROPIE POLITIQUE
Les images de Kabila embourbé dans la boue jusqu’u cou à l’Est de la RDC est une image qui est restée gravée dans mon esprit, car elle symbolise parfaitement l’état d’apathie dans lequel se trouve mon pays en ce moment :
les accords politiques avec la communauté internationale, avec les rebelles, s’additionnent mais la RDC, plutôt que reprendre le chemin de la remise sur les rails du processus de démocratisation, semble œuvrer dans le sens contraire : la mise en place d’une dictature à vie.
Les Concertations nationales, en tant que forum politique complétement « téléguidé » ont donné lieu quand même à quelques allures d’espoir de redynamisation de la vie politique interne du pays. Mais, comme d’habitude, au-delà des grands discours et des chorégraphies folkloriques habituelles, les congolais ont vite compris que le pouvoir kabiliste ne veut pas respecter ses propres engagements souscrits par sa propre majorité lors de ce forum politique largement boycotté, d’ailleurs, par l’opposition politique.
Un cas frappant de cette inapplication systématique est celui de la libération des prisonniers politiques, dont la résolution des concertations nationales reste inappliquée à ce jour.
Alors que l’Accord-Cadre d’Addis-Abeba prône la réconciliation nationale et la relance du processus de démocratisation, brusquement interrompu par la fraude électorale à grande échelle des élections de novembre 2011, nous assistons, en toute vraisemblance, à un processus contraire, avec, à la clé, une prévisible révision constitutionnelle pour éterniser Joseph Kabila à la tête de la RDC.
Cette image de Kabila qui pousse son 4×4 dans la boue des pistes de la province Orientale hante mon esprit car elle est représentative de l’impasse politique actuelle.
La politique de faux habillage dialectique est toujours d’actualité alors que le manque de dialogue entre la vraie opposition et « majorité » issu de la fraude électorale est incontestable.
Au moment où j’ écris mes réflexions que, en toute modestie, je désire partager avec mes compatriotes, il me semble qu’un vide de pouvoir s’annonce en RDC, un vide à peine colmaté par le dynamisme du nouveau représentant spécial du S.G. de l’Onu en RDC, le « vert » Martin Kobler, qui d’ailleurs semble être puni par le refus de Kabila de le rencontrer depuis son accréditation…
Si l’on gratte la surface de la fine couche de peinture étalée pour cacher la passivité kabiliste, on se rend vite compte que ce pays est actuellement sans un vrai gouvernement, l’actuel étant « de facto » démissionnaire » ; avec une assemblée nationale et un sénat en vacance alors que le budget de l’ état pour 2014 n’est pas voté et surtout avec la signature par le CIRGL/SADC d’un conclusion des pour-parler de Kampala alors que l’application essentiel de cet accord – qui veut cacher son nom à cause d’une diatribe byzantine dont la « Kabilie » détient le secret – comme la démobilisation des combattants insurgés de tout bord (m23, mai-mai etc.) demeure sans prise en charge à ce jour :combien de temps encore ces insurgés qui se sont rendus résisteront à dormir à la belle étoile, sans nourriture et sous la pluie, avant de reprendre le chemin de la brousse ?
Sans vouloir entrer dans les détails de l’opportunité ou moins de signer l’accord de paix avec le M23 plutôt qu’avec ses parrains, il ne faut pas oublier que le prétexte du lancement de la rébellion/agression fut la non application des accords précédents de mars 2009. Des lors, il me semble nécessaire au moins de ne pas se replacer dans la position, encore une fois, en signant des accords, devant une pléthore de témoins internationaux, et par la suite de ne pas donner application à ces engagements souscrits au nom de la république.
Sans DDR, plan de démobilisation, et Amnistie, la RDC ne fera que se placer, encore une fois, dans la même position de mars 2009 et, en toute vraisemblance, les mêmes préalables donneront lieu à des nouveaux prétextes visant la déstabilisation permanente de la RDC.
En d’autres termes, « nul novo sub soli », malgré l’application systématique de la politique du maquillage esthétique à la consommation extérieure :
- aucune fracture politique n’est colmatée ;- le choix de la politique économique dite de la « modernité » à la place de la promotion du développement qui passe par la construction des infrastructures de base, la promotion de l’agriculture et le démarrage de l’industrialisation du pays, demeure à la base des basses performances économiques de la RDC, en terme de revenu pro-capita et même d’indice de développement humain, IDH, le plus bas au monde.
Les congolais doivent apprendre à oublier la peur et comprendre que leur futur est en danger.Dans ces conditions, les congolais demeurent dans le désespoir pour le futur de leur pays, dont certaines puissances visent ouvertement la désintégration prétextant l’incapacité du régime actuel – qu’elles-mêmes soutiennent – de gouverner la RDC.
Kinshasa, Cprk, 19/12/2013
Votre compatriote,
Eugène Diomi Ndongala,
Prisonnier Politique en RDC
http://wp.me/p18AQh-21K
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
DANS UNE LETTRE OUVERTE ADRESSEE AUX CONGOLAIS: "CE QUI TUE EN MASSE LES CONGOLAIS C’EST LA PEUR"/ Tempête des Tropiques du 20.12.13
http://democratiechretienne.org/2013/12/19/lettre-n1-deugene-diomi-ndongala-aux-congolais-ce-qui-tue-en-masse-les-congolais-est-la-peur/
http://democratiechretienne.org/2013/12/19/lettre-n1-deugene-diomi-ndongala-aux-congolais-ce-qui-tue-en-masse-les-congolais-est-la-peur/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
L’opposant Moni Della plaide pour la libération de Diomi Ndongala et Kuthino
par mpp le 22 décembre 2013
L’opposant Moni Della plaide pour la libération de Kuthino et Diomi
22 December 2013 Slide
par mpp le 22 décembre 2013
L’opposant Moni Della plaide pour la libération de Kuthino et Diomi
22 December 2013 Slide
(KINSHASA)- L’opposant Moise Moni Della, président d’une autre aile des Forces acquises au changement a plaidé pour la libération de Diomi Ndongala, du pasteur Kuthino Fernando et d’autres prisonniers d’opinion qui croupissent injustement, a-t-il déploré, dans diverses prisons disséminées à travers la république.
Dans sa déclaration faite à la presse, le secrétaire général du Rcd-N a fustigé l’acharnement des cadres et militants de son parti. ‘‘Nous saisissons de l’occasion pour dénoncer l’acharnement du pouvoir contre le Rcd-N-parti membre des FAC, ses dirigeants, ses cadres, militants et ses sympathisants’’, a déclaré Moni Della. A cette occasion, il a déploré la non validation du mandat de la sénatrice Chantale Ngalula-cadre de son parti par l’assemblée nationale en remplacement du Roger Lumbala invalidé pour absentéisme. Pour lui, cette manière d’agir est une illustration incontestable qui frustre l’esprit de la cohésion nationale prôné par les concertations nationales. Par ailleurs, le leader des Forces acquises au changement a remercié le chef de l’état, Joseph Kabila pour avoir pris la décision salutaire de lever les barrières de police devant la résidence du président Etienne Tshisekedi et avoir permis aussi la libération de Pierre-Jacques Chalupa. Les responsables de cette plateforme de l’opposition ont aussi salué la victoire des Fardc sur le M23. ‘‘Nous rendons hommage à nos vaillants militaires qui se sont acquittés de leur devoir sacré, celui de défendre l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale de la RDC’’, a indiqué Moni Della, qui, au nom des Fac, a exprimé également sa grande compassion à la mémoire de tous les militaires et civils tués dans l’Est du pays. Au pouvoir en place, les ténors des Fac ont demandé de consolider la paix parce que gagner la guerre, selon Moise Moni Della, ne signifie pas gagner la paix. ‘‘Rappelez-vous que depuis la création de l’Etat d’Israël, celui-ci a été confronté à cinq guerres contre ses voisins arabes. Israël a gagné toutes ces guerres mais jusqu’à présent, il n’a pas encore gagné la paix’’, a prévenu Moise Moni Della. Les Forces acquises au changement ont insisté sur le caractère individuel de l’amnistie que devra bénéficier les ex-éléments du M23. Il est impensable d’amnistier ceux qui ont commis des crimes de guerre, de crimes contre l’humanité et crimes de génocide, a averti l’opposant Moni Della. Cette plateforme politique de l’opposition pense cependant que le pardon peut être accordé aux autres civils, militaires du M23 ainsi qu’aux groupes armés non coupables de ces crimes odieux.
http://www.7sur7.cd/?p=543
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Dans une lettre ouverte adressée aux Congolais Eugène Diomi Ndongala : « ce qui tue en masse les Congolais c’est la peur »
22 December 2013 Colonne2
De sa cellule au Cprk où il est détenu, Eugène Diomi Ndongala a adressé une lettre aux Congolais depuis le jeudi 19décembre 2013, lettre que l’on peut aussi lire sur le site de son parti (ww.democratiechreenne.org) et dans laquelle il promet de le faire désormais régulièrement pour réveiller la conscience de ses compatriotes.
Dans le premier paragraphe de cette lettre ouverte, il soutient que « ce qui tue en masse les Congolais c’est la peur ».
Faisant l’analyse de la situation sociopolitique de la République démocratique du Congo (RDC), Diomi Ndongala pense que les accords politiques avec la communauté internationale et avec les rebelles s’additionnent. Mais la RDC, plutôt que de reprendre le chemin de la remise sur les rails du processus de démocratisation, semble œuvrer dans le sens contraire : la mise en place d’une dictature à vie.
Pour lui, les Concertations nationales, en tant que forum politique, ont donné quand même lieu à quelques espoirs de redynamisation de la vie politique interne du pays. Mais, poursuit-il, comme d’habitude, au-delà des grands discours et des chorégraphies folkloriques habituelles, les Congolais ont vite compris que le pouvoir ne veut pas respecter ses propres engagements souscrits par sa propre majorité lors de ce forum politique d’ailleurs largement boycotté par l’opposition politique.
Un cas frappant de cette inapplication systématique est celui de la libération des prisonniers politiques, dont la résolution des concertations nationales reste inappliquée à ce jour.
“Alors que l’Accord-cadre d’Addis-Abeba prône la réconciliation nationale et la relance du processus de démocratisation, brusquement interrompu par la fraude électorale à grande échelle des élections de novembre 2011, nous assistons, en toute vraisemblance, à un processus contraire, avec, à la clé, une prévisible révision constitutionnelle pour s’éterniser au pouvoir “, peut-on lire.
Toujours dans sa lettre ouverte, Diomi constate qu’un vide de pouvoir s’annonce en RDC, “ un vide à peine colmaté par le dynamisme du nouveau représentant spécial du SG de l’Onu en RDC, Martin Kobler
“. Il se rend compte que la RDC est actuellement sans un vrai gouvernement, l’actuel étant de facto “ démissionnaire “, avec une Assemblée nationale et un sénat en vacances, “alors que le budget de l’Etat pour 2014 n’est pas voté…”
Dans son dernier paragraphe, par rapport aux derniers documents signés avec le M23 plutôt qu’avec ses parrains, dans le cadre de la paix à l’Est de la RDC, il fait remarquer qu”il ne faut pas oublier que le prétexte du lancement de la rébellion/agression fut la non application des accords précédents de mars 2009. Dès lors, il me semble nécessaire au moins de ne pas se replacer dans la position, encore une fois, en signant des accords devant une pléthore de témoins internationaux, et par la suite de ne pas donner application à ces engagements souscrits au nom de la République “.
Pour l’auteur, sans DDR, sans plan de démobilisation et amnistie, “la RDC ne fera que se placer, encore une fois, dans la même position de mars 2009 et, en toute vraisemblance, les mêmes préalables donneront lieu à de nouveaux prétextes visant la déstabilisation permanente de la RDC “.
Il conclut en disant que malgré l’application systématique de la politique du maquillage esthétique à la consommation extérieure, aucune fracture politique n’est colmatée, le choix de la politique économique dite de la” modernité” à la place de la promoti6n du développement qui passe par la construction des infrastructures de base, la promotion de l’agriculture et le démarrage de l’industrialisation du pays, demeure à la base des basses performances économiques de la RDC, en terme de revenu pro-capita et même d’indice de développement humain, IDH, le plus bas au monde.
Dans ces conditions, selon lui, les Congolais demeurent dans le désespoir pour le futur de leur pays. Raison pour laquelle il les exhorte à apprendre à oublier la peur et à comprendre que leur futur est en danger.
LEFILS MATADY
22 December 2013 Colonne2
De sa cellule au Cprk où il est détenu, Eugène Diomi Ndongala a adressé une lettre aux Congolais depuis le jeudi 19décembre 2013, lettre que l’on peut aussi lire sur le site de son parti (ww.democratiechreenne.org) et dans laquelle il promet de le faire désormais régulièrement pour réveiller la conscience de ses compatriotes.
Dans le premier paragraphe de cette lettre ouverte, il soutient que « ce qui tue en masse les Congolais c’est la peur ».
Faisant l’analyse de la situation sociopolitique de la République démocratique du Congo (RDC), Diomi Ndongala pense que les accords politiques avec la communauté internationale et avec les rebelles s’additionnent. Mais la RDC, plutôt que de reprendre le chemin de la remise sur les rails du processus de démocratisation, semble œuvrer dans le sens contraire : la mise en place d’une dictature à vie.
Pour lui, les Concertations nationales, en tant que forum politique, ont donné quand même lieu à quelques espoirs de redynamisation de la vie politique interne du pays. Mais, poursuit-il, comme d’habitude, au-delà des grands discours et des chorégraphies folkloriques habituelles, les Congolais ont vite compris que le pouvoir ne veut pas respecter ses propres engagements souscrits par sa propre majorité lors de ce forum politique d’ailleurs largement boycotté par l’opposition politique.
Un cas frappant de cette inapplication systématique est celui de la libération des prisonniers politiques, dont la résolution des concertations nationales reste inappliquée à ce jour.
“Alors que l’Accord-cadre d’Addis-Abeba prône la réconciliation nationale et la relance du processus de démocratisation, brusquement interrompu par la fraude électorale à grande échelle des élections de novembre 2011, nous assistons, en toute vraisemblance, à un processus contraire, avec, à la clé, une prévisible révision constitutionnelle pour s’éterniser au pouvoir “, peut-on lire.
Toujours dans sa lettre ouverte, Diomi constate qu’un vide de pouvoir s’annonce en RDC, “ un vide à peine colmaté par le dynamisme du nouveau représentant spécial du SG de l’Onu en RDC, Martin Kobler
“. Il se rend compte que la RDC est actuellement sans un vrai gouvernement, l’actuel étant de facto “ démissionnaire “, avec une Assemblée nationale et un sénat en vacances, “alors que le budget de l’Etat pour 2014 n’est pas voté…”
Dans son dernier paragraphe, par rapport aux derniers documents signés avec le M23 plutôt qu’avec ses parrains, dans le cadre de la paix à l’Est de la RDC, il fait remarquer qu”il ne faut pas oublier que le prétexte du lancement de la rébellion/agression fut la non application des accords précédents de mars 2009. Dès lors, il me semble nécessaire au moins de ne pas se replacer dans la position, encore une fois, en signant des accords devant une pléthore de témoins internationaux, et par la suite de ne pas donner application à ces engagements souscrits au nom de la République “.
Pour l’auteur, sans DDR, sans plan de démobilisation et amnistie, “la RDC ne fera que se placer, encore une fois, dans la même position de mars 2009 et, en toute vraisemblance, les mêmes préalables donneront lieu à de nouveaux prétextes visant la déstabilisation permanente de la RDC “.
Il conclut en disant que malgré l’application systématique de la politique du maquillage esthétique à la consommation extérieure, aucune fracture politique n’est colmatée, le choix de la politique économique dite de la” modernité” à la place de la promoti6n du développement qui passe par la construction des infrastructures de base, la promotion de l’agriculture et le démarrage de l’industrialisation du pays, demeure à la base des basses performances économiques de la RDC, en terme de revenu pro-capita et même d’indice de développement humain, IDH, le plus bas au monde.
Dans ces conditions, selon lui, les Congolais demeurent dans le désespoir pour le futur de leur pays. Raison pour laquelle il les exhorte à apprendre à oublier la peur et à comprendre que leur futur est en danger.
LEFILS MATADY
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Jean-Pierre Mbelu : « la RDC, un état fantôme », les prisonniers politiques Diomi Ndongala et Kutino…/VIDEO DE JEAN PIERRE MBELU, ANLYSTE POLITIQUE CONGOLAIS
par mpp le 23 décembre 2013
https://youtu.be/cqo_IQmq6mM
http://democratiechretienne.org/2013/12/23/jean-pierre-mbelu-la-rdc-un-etat-fantome-les-prisonniers-politiques-diomi-ndongala-et-kutino-video-de-jean-pierre-mbelu-anlyste-politique-congolais/
par mpp le 23 décembre 2013
https://youtu.be/cqo_IQmq6mM
http://democratiechretienne.org/2013/12/23/jean-pierre-mbelu-la-rdc-un-etat-fantome-les-prisonniers-politiques-diomi-ndongala-et-kutino-video-de-jean-pierre-mbelu-anlyste-politique-congolais/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RDC : Diomi Ndongala appelle les Congolais à surpasser leur peur /DEPECHE DE BRAZZAVILLE DU 23/12/2013
Publié le décembre 23, 2013 par mpp
Réponse
RDC : Diomi Ndongala appelle les Congolais à surpasser leur peur /DEPECHE DE BRAZZAVILLE DU 23/12/2013
par mpp le 23 décembre 2013
RDC : Diomi Ndongala appelle les Congolais à surpasser leur peur
Samedi 21 Décembre 2013 – 13:30
Abonnez-vous
Current Size: 100%
Le politicien, membre de l’opposition, a décidé de lancer une rubrique éditoriale sur le pays et les questions politiques majeures, en vue de continuer à contribuer, malgré son incarcération, sur la marche de la Nation.
Dans une lettre écrite à partir de sa cellule de la Prison centrale de Makala, à Kinshasa, le président de la Démocratie chrétienne (DC) et porte-parole de la majorité présidentielle populaire (MPP), Eugène Diomi Ndongala, a exhorté les Congolais à se surpasser de leur peur et de comprendre que leur futur est en danger. Dans cette première correspondance, le député invalidé et remplacé a décrit l’ « entropie politique » que vit le pays.
Dans son courrier, Eugène Diomi a décrié les derniers accords signés entre le gouvernement et le groupe rebelle M23 ainsi que le revirement pris par le forum national organisé dernièrement. « Les accords politiques avec la communauté internationale, avec les rebelles, s’additionnent mais la République démocratique du Congo (RDC), plutôt que de reprendre le chemin de la remise sur les rails du processus de démocratisation, semble œuvrer dans le sens contraire : la mise en place d’une dictature à vie », a-t-il noté.
De l‘avis du président de la DC, les concertations nationales, en tant que forum politique complètement « téléguidé », ont donné lieu quand même à quelques allures d’espoir de redynamisation de la vie politique interne du pays. « Mais, comme d’habitude, au-delà des grands discours et des chorégraphies folkloriques habituelles, les Congolais ont vite compris que le pouvoir ne veut pas respecter ses propres engagements souscrits par sa propre majorité lors de ce forum politique », a-t-il écrit. De son avis, la non-application de la résolution des concertations sur la libération des prisonniers politiques est l’exemple patent de la situation décriée.
Pour Eugène Diomi, en effet, alors que l’Accord-cadre d’Addis-Abeba prône la réconciliation nationale et la relance du processus de démocratisation, le pays assisterait à un processus contraire avec, à la clé, une prévisible révision constitutionnelle pour éterniser Joseph Kabila à la tête du pays.
Manque de dialogue entre opposition et majorité
Dans sa réflexion, le porte-parole de la MPP a décrié une « politique de faux habillage dialectique », qui serait toujours d’actualité alors que le manque de dialogue entre la vraie opposition et « majorité » est incontestable. « Au moment où j’écris mes réflexions que, en toute modestie, je désire partager avec mes compatriotes, il me semble qu’un vide de pouvoir s’annonce en RDC, un vide à peine colmaté par le dynamisme du nouveau représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en RDC, le vert Martin Kobler », a-t-il dit. Pour Eugène Diomi, en effet, si l’on grattait la surface de la fine couche de peinture étalée pour cacher la « passivité kabiliste », on se rendrait vite compte que ce pays est actuellement sans un vrai gouvernement, l’actuel étant de facto démissionnaire, « avec une assemblée nationale et un Sénat en vacances alors que le budget de l’état pour 2014 n’est pas voté et surtout avec la signature par le Cirgl/Sadc d’une conclusion des pourparlers de Kampala alors que l’application essentielle de cet accord demeure sans prise en charge à ce jour ».
Application des accords signés
« Combien de temps encore ces insurgés qui se sont rendus résisteront à dormir à la belle étoile, sans nourriture et sous la pluie, avant de reprendre le chemin de la brousse ? », s’est demandé Diomi Ndongala.
Pour le président de la DC, en effet, il ne faut pas oublier que le prétexte du lancement de la rébellion/agression fut la non-application des accords précédents de mars 2009. « Des lors, il me semble nécessaire au moins de ne pas se replacer dans la position, encore une fois, en signant des accords, devant une pléthore de témoins internationaux, et par la suite de ne pas donner application à ces engagements souscrits au nom de la République », a-t-il soutenu.
Lucien Dianzenza
http://democratiechretienne.org/2013/12/23/rdc-diomi-ndongala-appelle-les-congolais-a-surpasser-leur-peur-depeche-de-brazzaville-du-23122013/
Publié le décembre 23, 2013 par mpp
Réponse
RDC : Diomi Ndongala appelle les Congolais à surpasser leur peur /DEPECHE DE BRAZZAVILLE DU 23/12/2013
par mpp le 23 décembre 2013
RDC : Diomi Ndongala appelle les Congolais à surpasser leur peur
Samedi 21 Décembre 2013 – 13:30
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Le politicien, membre de l’opposition, a décidé de lancer une rubrique éditoriale sur le pays et les questions politiques majeures, en vue de continuer à contribuer, malgré son incarcération, sur la marche de la Nation.
Dans une lettre écrite à partir de sa cellule de la Prison centrale de Makala, à Kinshasa, le président de la Démocratie chrétienne (DC) et porte-parole de la majorité présidentielle populaire (MPP), Eugène Diomi Ndongala, a exhorté les Congolais à se surpasser de leur peur et de comprendre que leur futur est en danger. Dans cette première correspondance, le député invalidé et remplacé a décrit l’ « entropie politique » que vit le pays.
Dans son courrier, Eugène Diomi a décrié les derniers accords signés entre le gouvernement et le groupe rebelle M23 ainsi que le revirement pris par le forum national organisé dernièrement. « Les accords politiques avec la communauté internationale, avec les rebelles, s’additionnent mais la République démocratique du Congo (RDC), plutôt que de reprendre le chemin de la remise sur les rails du processus de démocratisation, semble œuvrer dans le sens contraire : la mise en place d’une dictature à vie », a-t-il noté.
De l‘avis du président de la DC, les concertations nationales, en tant que forum politique complètement « téléguidé », ont donné lieu quand même à quelques allures d’espoir de redynamisation de la vie politique interne du pays. « Mais, comme d’habitude, au-delà des grands discours et des chorégraphies folkloriques habituelles, les Congolais ont vite compris que le pouvoir ne veut pas respecter ses propres engagements souscrits par sa propre majorité lors de ce forum politique », a-t-il écrit. De son avis, la non-application de la résolution des concertations sur la libération des prisonniers politiques est l’exemple patent de la situation décriée.
Pour Eugène Diomi, en effet, alors que l’Accord-cadre d’Addis-Abeba prône la réconciliation nationale et la relance du processus de démocratisation, le pays assisterait à un processus contraire avec, à la clé, une prévisible révision constitutionnelle pour éterniser Joseph Kabila à la tête du pays.
Manque de dialogue entre opposition et majorité
Dans sa réflexion, le porte-parole de la MPP a décrié une « politique de faux habillage dialectique », qui serait toujours d’actualité alors que le manque de dialogue entre la vraie opposition et « majorité » est incontestable. « Au moment où j’écris mes réflexions que, en toute modestie, je désire partager avec mes compatriotes, il me semble qu’un vide de pouvoir s’annonce en RDC, un vide à peine colmaté par le dynamisme du nouveau représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en RDC, le vert Martin Kobler », a-t-il dit. Pour Eugène Diomi, en effet, si l’on grattait la surface de la fine couche de peinture étalée pour cacher la « passivité kabiliste », on se rendrait vite compte que ce pays est actuellement sans un vrai gouvernement, l’actuel étant de facto démissionnaire, « avec une assemblée nationale et un Sénat en vacances alors que le budget de l’état pour 2014 n’est pas voté et surtout avec la signature par le Cirgl/Sadc d’une conclusion des pourparlers de Kampala alors que l’application essentielle de cet accord demeure sans prise en charge à ce jour ».
Application des accords signés
« Combien de temps encore ces insurgés qui se sont rendus résisteront à dormir à la belle étoile, sans nourriture et sous la pluie, avant de reprendre le chemin de la brousse ? », s’est demandé Diomi Ndongala.
Pour le président de la DC, en effet, il ne faut pas oublier que le prétexte du lancement de la rébellion/agression fut la non-application des accords précédents de mars 2009. « Des lors, il me semble nécessaire au moins de ne pas se replacer dans la position, encore une fois, en signant des accords, devant une pléthore de témoins internationaux, et par la suite de ne pas donner application à ces engagements souscrits au nom de la République », a-t-il soutenu.
Dans son état de lieu, Eugène Diomi Ndongala pense que, malgré l’application systématique de la politique du maquillage esthétique à la consommation extérieure, aucune fracture politique n’est colmatée alors que le choix de la politique économique dite de la « modernité » à la place de la promotion du développement qui passe par la construction des infrastructures de base, la promotion de l’agriculture et le démarrage de l’industrialisation du pays, demeure à la base des basses performances économiques du pays.De son avis, un plan de désarmement, démobilisation et réinsertion ni l’amnistie, le pays ne fera que se placer, encore une fois, dans la même position de mars 2009. Et, en toute vraisemblance, les mêmes préalables donneront lieu à des nouveaux prétextes visant sa déstabilisation permanente.
Lucien Dianzenza
http://democratiechretienne.org/2013/12/23/rdc-diomi-ndongala-appelle-les-congolais-a-surpasser-leur-peur-depeche-de-brazzaville-du-23122013/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FLASH : LE PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA HOSPITALISE EN URGENCE CE MATIN APRES AVOIR PIQUE UNE CRISE DANS SA CELLULE http://wp.me/p18AQh-22r
La Démocratie Chrétienne, DC en sigle, tient à informer la communauté nationale et internationale que son président National, M. Eugène Diomi Ndongala, a été hospitalisé en urgence ce matin à la Clinique Ngaliema, après avoir été retrouvé en état d’inconscience dans sa cellule. Il sied de rappeler que depuis plusieurs mois, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique en RDC, a été détenu illégalement et privé de soins malgré la grave détérioration de son état de santé.
La crise qu’il a eu ce matin n’est qu’un énième épisode après un déni de soins appropriés dont il a été privé pendant plusieurs mois.
Nous espérons son rétablissement et qu’en fin il puisse être pris en charge convenablement.
Le président Eugène Diomi Ndongala est actuellement maintenu en observation dans le pavillon des urgences de la clinique Ngaliema, sous surveillance « militaire ».
Fait à Kinshasa, le 27/12/13
Marc Mawete
Porte-Parole de la Démocratie Chrétienne, DC
http://democratiechretienne.org/2013/12/27/flash-le-president-eugene-diomi-ndongala-hospitalise-en-urgence-ce-matin-apres-avoir-pique-une-crise-dans-sa-cellule/
La Démocratie Chrétienne, DC en sigle, tient à informer la communauté nationale et internationale que son président National, M. Eugène Diomi Ndongala, a été hospitalisé en urgence ce matin à la Clinique Ngaliema, après avoir été retrouvé en état d’inconscience dans sa cellule. Il sied de rappeler que depuis plusieurs mois, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique en RDC, a été détenu illégalement et privé de soins malgré la grave détérioration de son état de santé.
La crise qu’il a eu ce matin n’est qu’un énième épisode après un déni de soins appropriés dont il a été privé pendant plusieurs mois.
Nous espérons son rétablissement et qu’en fin il puisse être pris en charge convenablement.
Le président Eugène Diomi Ndongala est actuellement maintenu en observation dans le pavillon des urgences de la clinique Ngaliema, sous surveillance « militaire ».
Fait à Kinshasa, le 27/12/13
Marc Mawete
Porte-Parole de la Démocratie Chrétienne, DC
http://democratiechretienne.org/2013/12/27/flash-le-president-eugene-diomi-ndongala-hospitalise-en-urgence-ce-matin-apres-avoir-pique-une-crise-dans-sa-cellule/
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Eliezer Ntambwe
Eugène Diomi Dongala azo risqué ko kufa soki azui soins médicaux y'a malamu te,azali n'a clinique Ngaliema na imposition ya ba konzi oyo baboyi akende na centre Nganda,
Est ce que asali AVC to Diomi azali empoisonné?
Muasi naye a répondre biso na interview auti ko accorder biso oyo bokolanda na www.congomikili.com pe na www.tokomiwapi.com et puis na CKTV na 22h00 heure de Kinshasa
Eugène Diomi Dongala azo risqué ko kufa soki azui soins médicaux y'a malamu te,azali n'a clinique Ngaliema na imposition ya ba konzi oyo baboyi akende na centre Nganda,
Est ce que asali AVC to Diomi azali empoisonné?
Muasi naye a répondre biso na interview auti ko accorder biso oyo bokolanda na www.congomikili.com pe na www.tokomiwapi.com et puis na CKTV na 22h00 heure de Kinshasa
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Je ne comprends pas l'indifference de la crasse politique congolaise, surtout les soit-disant opposants qui ont participe au concert national. Ils disent quoi exactement de cette situation? Ils attendent qu'il meurt pour s'indigner ou quoi?! Et l'Udps, les Forces acquises au changement? Ne comprennent-ils pas qu'ils sont eux aussi a la merci de Joseph et ses sbires?
Tsippora
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Tsippora a écrit:Je ne comprends pas l'indifference de la crasse politique congolaise, surtout les soit-disant opposants qui ont participe au concert national. Ils disent quoi exactement de cette situation? Ils attendent qu'il meurt pour s'indigner ou quoi?! Et l'Udps, les Forces acquises au changement? Ne comprennent-ils pas qu'ils sont eux aussi a la merci de Joseph et ses sbires?
Ils savent tous ce qu'il avait fait et ce qu'il est. pour lui. laissez la justice faire son travail.
Imperium
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CAS DIOMI, EN RIRE OU EN PLEURER ?
Est-ce qu’il est légitime de pleurer quand on laisse quelqu’un mourir sans rien faire ? Un homme qui souffre a-t-il besoin de notre tristesse ou de notre aide ? La tristesse et les pleurs sont-ils les seules armes à notre disposition ?
Si tel est le cas, moi j’en ris. Les congolais ne cessent de prouver que c’est une peine perdue de se battre pour eux. Car l’ingratitude et la peur sont les preuves de leur reconnaissance.
Il m’arrive de me demander de qui Diomi est prisonnier ? Certains me diront des rwandais. Mais notre cher Diomi n’est pas prisonnier à Kigali !
Diomi est le prisonnier du silence des congolais en général et de la classe politique irresponsable, composée de ces affamés opposants politiques qui méritent la même sanction les traitres de PPRD.
En effet, ce sont les congolais qui ont jugé Diomi, les gardiens de sa prison sont congolais, la ville de son emprisonnement se trouve au Congo.
N’est-ce pas rigolo, le cas Diomi ?
Cher Diomi, ton peuple attend ta mort pour montrer qu’il t’aime !
Noël KUELA
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Les nouvelles de diomi dongala, ezalaki nzala nde elalisaki ye kambaki, même neveux na ye kota ayaka lisusu korendre visite te, bino moko boyebi degat ya nzala + diabète.
Arrêter de voir à ce monsieur comme un prisonnier politique, aujourd'hui si Dutroux ou DSK étaient des congolais ils seriaient classés par des cons mbata contre Kanambe. En verité les cons mbatisme est devenus, yeux de diaspora, tous les brigands et delinquents de tout genre qui veulent se dedouaner de leurs faits et méfaits. dont forghet que budi dia kongo, enyelé, les kulunas sont considerés par les cons mbatas comme des heros, des libérateurs. Même si la guerre et le trouble se passent à l'est du pays, Budi dia kongo comme ils menacent, arrêtent et torturent les ressortisants des autres provinces dans le bas congo une provine de l'ouest, il est vu comme libérateur; les enyelés violent et tuent en machettes leurs voisins en partenant d'un autre tribus de l'équateur, une province de nord -ouest, ils sont vu comme libérateurs par les tuffi mbatas. Les kulunas qui menancent, volent et tues à Kinshasa ont été utilisés par Bemba comme militaires contre l'armée nationale et vu par la diaspora comme libérateur.
Heureusement que Dutroux n'est pas congolais ou sinon Ngbanda allait déjà signer à la place comme à l'époque d'eric LENGE.
Diomi ne vaut même pas 1% des voix dans les élections nationales, ça sera une erreur pour Kabila de le considerer comme prisonnier politique., Il est ignoré par Tshisekedi car c'est lui ci sait qu'il ne vaut rien en terme des voix électorales.
En europe les con mbatisme est remplis des hiboux de ngbanda, d'ailleurs Troll ne se cache même plus.
Arrêter de voir à ce monsieur comme un prisonnier politique, aujourd'hui si Dutroux ou DSK étaient des congolais ils seriaient classés par des cons mbata contre Kanambe. En verité les cons mbatisme est devenus, yeux de diaspora, tous les brigands et delinquents de tout genre qui veulent se dedouaner de leurs faits et méfaits. dont forghet que budi dia kongo, enyelé, les kulunas sont considerés par les cons mbatas comme des heros, des libérateurs. Même si la guerre et le trouble se passent à l'est du pays, Budi dia kongo comme ils menacent, arrêtent et torturent les ressortisants des autres provinces dans le bas congo une provine de l'ouest, il est vu comme libérateur; les enyelés violent et tuent en machettes leurs voisins en partenant d'un autre tribus de l'équateur, une province de nord -ouest, ils sont vu comme libérateurs par les tuffi mbatas. Les kulunas qui menancent, volent et tues à Kinshasa ont été utilisés par Bemba comme militaires contre l'armée nationale et vu par la diaspora comme libérateur.
Heureusement que Dutroux n'est pas congolais ou sinon Ngbanda allait déjà signer à la place comme à l'époque d'eric LENGE.
Diomi ne vaut même pas 1% des voix dans les élections nationales, ça sera une erreur pour Kabila de le considerer comme prisonnier politique., Il est ignoré par Tshisekedi car c'est lui ci sait qu'il ne vaut rien en terme des voix électorales.
En europe les con mbatisme est remplis des hiboux de ngbanda, d'ailleurs Troll ne se cache même plus.
piélé de dongo
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Ozongi? Na kanisa tango nyonso oyo ozwi ezalaki po na kosukolisa ba photo ebele oyo okangaki le 21 décembre dernier, comme tu l'avais promis. Pesela biso nanu les nouvelles du concert depuis arrivée ya orchestre jusqu'au départ. Y avait-il une foule nombreuse? Po ngai na ndima yo, namona bilili. Au cas contraire, oza na yo vil menteur.
King David
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
EH mais il perdu le 21,22,23,24,25,26,27,28,... Ela !!!!makolo ekomi kilo. Mais on cherche kk a sauver la face c wonte
King David a écrit:Ozongi? Na kanisa tango nyonso oyo ozwi ezalaki po na kosukolisa ba photo ebele oyo okangaki le 21 décembre dernier, comme tu l'avais promis. Pesela biso nanu les nouvelles du concert depuis arrivée ya orchestre jusqu'au départ. Y avait-il une foule nombreuse? Po ngai na ndima yo, namona bilili. Au cas contraire, oza na yo vil menteur.
Invité- Invité
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Mawa Mathy il suffi seulement de regarder les effort de Kota une foi je lavais dit einh que sujet ya Kota eza mpiaka mais coe je parle tjrs en parabole les gens ne me comprennent pas akufa kk tala ba R.I.P tii naba mur ya facebook mais ba Congolais toyebi ko defendre ba leader na biso te toza na culture ya trahison toza na culture ya sacrifice te,que pena
Mathilde a écrit:
CAS DIOMI, EN RIRE OU EN PLEURER ?
Est-ce qu’il est légitime de pleurer quand on laisse quelqu’un mourir sans rien faire ? Un homme qui souffre a-t-il besoin de notre tristesse ou de notre aide ? La tristesse et les pleurs sont-ils les seules armes à notre disposition ?
Si tel est le cas, moi j’en ris. Les congolais ne cessent de prouver que c’est une peine perdue de se battre pour eux. Car l’ingratitude et la peur sont les preuves de leur reconnaissance.
Il m’arrive de me demander de qui Diomi est prisonnier ? Certains me diront des rwandais. Mais notre cher Diomi n’est pas prisonnier à Kigali !
Diomi est le prisonnier du silence des congolais en général et de la classe politique irresponsable, composée de ces affamés opposants politiques qui méritent la même sanction les traitres de PPRD.
En effet, ce sont les congolais qui ont jugé Diomi, les gardiens de sa prison sont congolais, la ville de son emprisonnement se trouve au Congo.
N’est-ce pas rigolo, le cas Diomi ?
Cher Diomi, ton peuple attend ta mort pour montrer qu’il t’aime !
Noël KUELA
Invité- Invité
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Del Cielo
Olobi kaka verite toyebi ko defendre ba leaders na biso te , des laches et peureux etondi mboka wana grrrrrrrrrrr !!! Dieu merci, il est bien vivant, on vient de le ramener a la prison de Makala malgre son mauvais etat de sante. Soni,pasi na mawa....mboka wana mibali bazali te !! .
Olobi kaka verite toyebi ko defendre ba leaders na biso te , des laches et peureux etondi mboka wana grrrrrrrrrrr !!! Dieu merci, il est bien vivant, on vient de le ramener a la prison de Makala malgre son mauvais etat de sante. Soni,pasi na mawa....mboka wana mibali bazali te !! .
laelce_luz del Cielo a écrit:Mawa Mathy il suffi seulement de regarder les effort de Kota une foi je lavais dit einh que sujet ya Kota eza mpiaka mais coe je parle tjrs en parabole les gens ne me comprennent pas akufa kk tala ba R.I.P tii naba mur ya facebook mais ba Congolais toyebi ko defendre ba leader na biso te toza na culture ya trahison toza na culture ya sacrifice te,que penaMathilde a écrit:
CAS DIOMI, EN RIRE OU EN PLEURER ?
Est-ce qu’il est légitime de pleurer quand on laisse quelqu’un mourir sans rien faire ? Un homme qui souffre a-t-il besoin de notre tristesse ou de notre aide ? La tristesse et les pleurs sont-ils les seules armes à notre disposition ?
Si tel est le cas, moi j’en ris. Les congolais ne cessent de prouver que c’est une peine perdue de se battre pour eux. Car l’ingratitude et la peur sont les preuves de leur reconnaissance.
Il m’arrive de me demander de qui Diomi est prisonnier ? Certains me diront des rwandais. Mais notre cher Diomi n’est pas prisonnier à Kigali !
Diomi est le prisonnier du silence des congolais en général et de la classe politique irresponsable, composée de ces affamés opposants politiques qui méritent la même sanction les traitres de PPRD.
En effet, ce sont les congolais qui ont jugé Diomi, les gardiens de sa prison sont congolais, la ville de son emprisonnement se trouve au Congo.
N’est-ce pas rigolo, le cas Diomi ?
Cher Diomi, ton peuple attend ta mort pour montrer qu’il t’aime !
Noël KUELA
Dernière édition par Mathilde le 29/12/2013, 2:50 am, édité 1 fois
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Eliezer Ntambwe
Obligé de rentrer en prison sans subir les examens ni soins pour lequel il a été amené aux cliniques Ngaliema,Diomi Dongala demandent aux Agents de l ordre venu pour le ramener en prison de le tuer avant de le ramener,c est dans cette discussion qu il est tombé de son lit de malade pour se cogner la tête sur le pavement,actuellement il est dans l inconscience et aucun médecin ne s occupe de lui etant donné que celui qui est surplace passe sont temps a porter des jugements sur le malade au lieu de le soigner d'abord, avec tout le risque de faire une hémorragie interne.
Voila l etat actuel de Diomi Dongala
BreakingNews – L’Opposant Diomi Ngongala enlevé à Ngaliema par des personnes lourdement armées.
http://voicedafrique.com/2013/12/28/breakingnews-lopposant-diomi-ngongala-enleve-a-ngaliema-par-des-personnes-lourdement-armees/
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