EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://paper.li/fsddc/1383407914
LE WEB JOURNAL DU 11/09/2014 - TOUTE L ACTUALITE BRULANTE DE LA RDC
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
[*]Phare:
[*]Views: 237
Politique 9 septembre 2014
L’Opposition confirme sa marche le samedi 13 septembre 2014
237 Vues 3par admin
Après avoir lancé des messages invitant la Majorité présidentielle à renoncer à son projet de révision de la Constitution, qui n‟ont pas récolté un assouplissement de la posture de cette famille politique, les Forces politiques et sociales de la RDC reviennent à la charge en projetant pour le samedi 13 septembre prochain, l‟organisation d‟une marche pacifique à Kinshasa. C‟est ce qui ressort de leur communiqué remis hier lundi 8 septembre 2014 à la presse, dont copie a été réservée au Phare. Usant des moyens légaux leur reconnus par la Constitution, les Forces politiques et sociales de la RDC lancent cette manifestation politique pour demander à la Monusco, de convoquer sans tarder le Dialogue politique, selon l‟esprit de l‟Accord-cadre d‟Addis-Abeba et la résolution 2098 des Nations Unies. Mais c‟est aussi pour dire non à toute tentative de révision de la Constitution actuelle ou l‟élaboration d‟une nouvelle Constitution. Les acteurs politiques et sociaux qui déplorent la crispation de la vie politique, l‟absence de cohésion nationale, à la suite de nombreux cas de frustrations infligées à l‟opposition et à la société civile, tiennent à ce que les tenants du pouvoir puissent entendre la voix de la raison, en se mettant à l‟écoute des autres forces politiques et sociales qui sont leurs partenaires, et non leurs ennemis, comme ils voudraient le faire croire.
La manière recommandable de pouvoir susciter la décrispation politique, afin de ramener la paix des coeurs et la tranquillité des esprits, est de convoquer un vrai dialogue avec toutes les forces politiques et sociales toutes tendances confondues de ce pays. L‟exclusion de l‟opposition à tout ce qui touche à la vie de la nation, la discrimination dans l‟octroi du bénéfice de la loi d‟amnistie, la répression des manifestations politiques de quelques partis politiques d‟opposition et la suspension du signal des chaînes de télévision de l‟opposition, constituent à leurs yeux, des entraves au libre exercice de la démocratie qui doit se nourrir du contrepoids de l‟opposition et de forces sociales. S‟agissant du programme de la marche de samedi 13 septembre 2014, l‟un des membres de cette famille politique de l‟opposition a signalé que conformément aux dispositifs de l‟article 28 de la Constitution, une lettre d‟information a été adressée le 4 septembre 2014, au gouverneur de la ville de Kinshasa, avec ampliation au ministre de l‟Intérieur et Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, ainsi qu‟au représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies. Et pour que cette manifestation politique pacifique soit encadrée par les services de la police, les Forces politiques et sociales de la RDC ont dévoilé l‟itinéraire de la marche qui partira de la Gare centrale de Kinshasa, en empruntant le boulevard du 30 Juin, et en suivant l‟avenue Kasa-Vubu pour aboutir au Rond-point Victoire dans la commune de Kalamu. A leur niveau, des recommandations ont été formulées à l‟endroit de leurs partisans et militants pour que cette manifestation politique puisse se dérouler dans le strict respect de la loi et dans la quiétude. Nous osons espérer que les autorités de la ville de Kinshasa qui se déclarent attachées à la démocratie, feront montre du respect des libertés individuelles et collectives dans l‟organisation des manifestations pacifiques de l‟opposition.
[*]Views: 237
Politique 9 septembre 2014
L’Opposition confirme sa marche le samedi 13 septembre 2014
237 Vues 3par admin
Après avoir lancé des messages invitant la Majorité présidentielle à renoncer à son projet de révision de la Constitution, qui n‟ont pas récolté un assouplissement de la posture de cette famille politique, les Forces politiques et sociales de la RDC reviennent à la charge en projetant pour le samedi 13 septembre prochain, l‟organisation d‟une marche pacifique à Kinshasa. C‟est ce qui ressort de leur communiqué remis hier lundi 8 septembre 2014 à la presse, dont copie a été réservée au Phare. Usant des moyens légaux leur reconnus par la Constitution, les Forces politiques et sociales de la RDC lancent cette manifestation politique pour demander à la Monusco, de convoquer sans tarder le Dialogue politique, selon l‟esprit de l‟Accord-cadre d‟Addis-Abeba et la résolution 2098 des Nations Unies. Mais c‟est aussi pour dire non à toute tentative de révision de la Constitution actuelle ou l‟élaboration d‟une nouvelle Constitution. Les acteurs politiques et sociaux qui déplorent la crispation de la vie politique, l‟absence de cohésion nationale, à la suite de nombreux cas de frustrations infligées à l‟opposition et à la société civile, tiennent à ce que les tenants du pouvoir puissent entendre la voix de la raison, en se mettant à l‟écoute des autres forces politiques et sociales qui sont leurs partenaires, et non leurs ennemis, comme ils voudraient le faire croire.
C‟est dans ce cadre qu‟ils ne cessent de réclamer la libération de tous les détenus politiques et d‟opinion, tels que l‟honorable Jean Bertrand Ewanga, le président Diomi Ndongala, le pasteur Kuthino Fernando, et tant d‟autres qui moisissent dans les prisons pour leurs opinions contraires à celles des dirigeants actuels.
La manière recommandable de pouvoir susciter la décrispation politique, afin de ramener la paix des coeurs et la tranquillité des esprits, est de convoquer un vrai dialogue avec toutes les forces politiques et sociales toutes tendances confondues de ce pays. L‟exclusion de l‟opposition à tout ce qui touche à la vie de la nation, la discrimination dans l‟octroi du bénéfice de la loi d‟amnistie, la répression des manifestations politiques de quelques partis politiques d‟opposition et la suspension du signal des chaînes de télévision de l‟opposition, constituent à leurs yeux, des entraves au libre exercice de la démocratie qui doit se nourrir du contrepoids de l‟opposition et de forces sociales. S‟agissant du programme de la marche de samedi 13 septembre 2014, l‟un des membres de cette famille politique de l‟opposition a signalé que conformément aux dispositifs de l‟article 28 de la Constitution, une lettre d‟information a été adressée le 4 septembre 2014, au gouverneur de la ville de Kinshasa, avec ampliation au ministre de l‟Intérieur et Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, ainsi qu‟au représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies. Et pour que cette manifestation politique pacifique soit encadrée par les services de la police, les Forces politiques et sociales de la RDC ont dévoilé l‟itinéraire de la marche qui partira de la Gare centrale de Kinshasa, en empruntant le boulevard du 30 Juin, et en suivant l‟avenue Kasa-Vubu pour aboutir au Rond-point Victoire dans la commune de Kalamu. A leur niveau, des recommandations ont été formulées à l‟endroit de leurs partisans et militants pour que cette manifestation politique puisse se dérouler dans le strict respect de la loi et dans la quiétude. Nous osons espérer que les autorités de la ville de Kinshasa qui se déclarent attachées à la démocratie, feront montre du respect des libertés individuelles et collectives dans l‟organisation des manifestations pacifiques de l‟opposition.
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Procès politique : Eugène Diomi Ndongala DETENU ILLEGALEMENT /KONGOTIMES
par FreeDiomi le 12 septembre 2014
kongotimes.logo
Procès politique : Eugène Diomi Ndongala DETENU ILLEGALEMENT
11/09/2014 16:28:00 KongoTimes!
Eugène DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
Le Bureau politique de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle, tient à informer l’opinion tant nationale qu’internationale, qu’en date du 01/09/2014 le collectif des Avocat du Président National de la DC a introduit une requête de libération de leur client à cause des irrégularités flagrantes ayant vicié la parodie de procès politique qui a abouti à sa condamnation scélérate.
En effet, il ressort de leur analyse et dénonciation, une différence de traitement entre les dossiers similaires concernant le député Ewanga par rapport au traitement singulier et discriminatoire réservé au député Eugène Diomi Ndongala.
Dans les cas, il apparait une réelle différence de traitement de forme de ces deux dossiers, alors que, du point de vue formel, ils sont identiques.
Dans la procédure concernant le Président Diomi Ndongala, la Cour suprême de Justice a manifestement violé, de manière flagrante, l’art.34 de la loi organique n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence de juridiction de l’ordre judiciaire.
Cette disposition exige que la Cour de Cassation siégeant en 1° et dernier ressort, comprenne 7 magistrats. Force est de constater que dans l’arrêt d’Eugène Diomi Ndongala, la Cour Suprême de Justice de la République Démocratique du Congo, a siégé à 5 au lieu de 7 magistrats.
Au contraire, dans la procédure concernant le député Ewanga, la Cour Suprême de Justice siège curieusement à 7 magistrats.
Il convient d’admettre que la Cour, qui a respecté la loi organique plus haut indiquée a été respectée dans l’Affaire Ewanga , l’a superbement ignorée pour le Président Diomi Ndongala ; voilà pourquoi nous dénonçons que l’arrêt condamnant Eugène Diomi Ndongala est dépourvu de légalité.
D’où, il ressort que l’arrêt prononcé contre Eugène Diomi ndongala étant dépourvu de légalité, manque de force exécutoire et il est, par conséquent, NUL.
En effet, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique du régime Kabila depuis 2 ans, a été jugé par une chambre incompétente, dont le seul objectif était de l’emprisonner à n’importe quel prix, sur la base d’injonctions politiques qui déshonorent la magistrature et minent les fondations de l’Etat de Droit en RDC. Il suffit de rappeler que le Député de la DC, tout en étant placé en résidence surveillée par 4 ordonnances de la CSJ, il a été maintenu en prison et son mandat invalidé alors qu’il été illégalement détenu.
La conséquence légale de la nullité du procès Diomi Ndongala, que nous dénonçons formellement prenant l’opinion nationale et internationale à témoins, est que le Président National de la DC , n’ayant pas été jugé dans la forme prescrite par la loi en matière de Cour de Cassation, n’a pas été jugé par son juge naturel et, par conséquent, il doit être immédiatement libéré, sa détention étant illégale.
Vu le manque de réponse de la part du président de la Cour suprême de Justice à cette revendication légale, légitime et conforme au droit, le collectif des Avocats du Président National de la Démocratie Chrétienne ont déposé le 04 septembre 2014 une REQUETE DE PRISE A PARTIE contre les Magistrats ayant violé expressément la loi et les droits fondamentaux de M Eugène Diomi Ndongala ;
Il s’agit des juges suivants :
NGOIE KALENDA ,
BUSHIRI IMANI MWATA ,
MULAMBA MWAMBA ,
IBANDA DUDU ,
MWANGILWA MUSALI.
Ces juges sont pris à partie et ils devront répondre pour « dol » car il apparaît que leur volonté de ne pas se conformer à l’art. 34 de la loi régissant la composition de la Chambre en matière de Cassation ne procède pas de l’ignorance de la loi mais plutôt d’une faute grave et sérieuse qui s’assimile au dol et elle ouvre la voie à cette dénonciation formelle à leur encontre.
Il sied de souligner que la violation de droit est avérée d’autant que dans les mêmes conditions, la Cour Suprême de Justice faisant office de la Cour de Cassation, dans la cause 017/CR Jean Bertand Ewanga, a siégé à sept juges, conformément aux dispositions de la loi organique n°13/011-b du 11 avril 2013 portant organisation et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire.
Dans la plainte contre les juges, le collectif des avocats demande à la CSJ de
constater que ceux-ci ont délibérément violé l’art.34 de la loi organique n° 13/011-b du 11 avril 2013, portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire en siégeant à cinq plutôt qu’ à sept ;
d’annuler le RP 014/CR du 26 mars 2014 émis contre Eugène Diomi Ndongala et le remettre immédiatement en liberté;
Condamner la République Démocratique du Congo, civilement responsable « in solidum » avec les 5 magistrats, à l’équivalent en francs congolais de deux millions de dollars, de dommages et intérêts.
Vu ce qui précède, la Démocratie Chrétienne exige la libération immédiate et sans condition du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, victime d’un harcèlement politico-judiciaire de longue date, sa détention n’ayant plus aucune fondation légale.
Il reste entendu que si la CSJ continuera son déni de justice envers le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, à cause d’injonctions politiques scélérates, la Démocratie Chrétienne s’engage à tout mettre en œuvre afin que les instances de Justice Internationales se saisissent de ce cas extrême de violation des droits de l’homme ainsi que de violations des droits civils et politiques d’un opposant politique qui est incarcéré illégalement depuis deux ans à cause de ses opinions et son noble combat politique pour la vérité des urnes.
Vérité et Justice pour le Congo,
Fait à Kinshasa, le 09/09/2014,
Marc Mawete,
Porte-Parole,
Démocratie Chrétienne, DC
Published By http://www.KongoTimes.info – © KongoTimes! – All Rights Reserved.
http://democratiechretienne.org/2014/09/12/proces-politique-eugene-diomi-ndongala-detenu-illegalement-kongotimes/
par FreeDiomi le 12 septembre 2014
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Procès politique : Eugène Diomi Ndongala DETENU ILLEGALEMENT
11/09/2014 16:28:00 KongoTimes!
Eugène DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
Le Bureau politique de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle, tient à informer l’opinion tant nationale qu’internationale, qu’en date du 01/09/2014 le collectif des Avocat du Président National de la DC a introduit une requête de libération de leur client à cause des irrégularités flagrantes ayant vicié la parodie de procès politique qui a abouti à sa condamnation scélérate.
En effet, il ressort de leur analyse et dénonciation, une différence de traitement entre les dossiers similaires concernant le député Ewanga par rapport au traitement singulier et discriminatoire réservé au député Eugène Diomi Ndongala.
Dans les cas, il apparait une réelle différence de traitement de forme de ces deux dossiers, alors que, du point de vue formel, ils sont identiques.
Dans la procédure concernant le Président Diomi Ndongala, la Cour suprême de Justice a manifestement violé, de manière flagrante, l’art.34 de la loi organique n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence de juridiction de l’ordre judiciaire.
Cette disposition exige que la Cour de Cassation siégeant en 1° et dernier ressort, comprenne 7 magistrats. Force est de constater que dans l’arrêt d’Eugène Diomi Ndongala, la Cour Suprême de Justice de la République Démocratique du Congo, a siégé à 5 au lieu de 7 magistrats.
Au contraire, dans la procédure concernant le député Ewanga, la Cour Suprême de Justice siège curieusement à 7 magistrats.
Il convient d’admettre que la Cour, qui a respecté la loi organique plus haut indiquée a été respectée dans l’Affaire Ewanga , l’a superbement ignorée pour le Président Diomi Ndongala ; voilà pourquoi nous dénonçons que l’arrêt condamnant Eugène Diomi Ndongala est dépourvu de légalité.
D’où, il ressort que l’arrêt prononcé contre Eugène Diomi ndongala étant dépourvu de légalité, manque de force exécutoire et il est, par conséquent, NUL.
En effet, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique du régime Kabila depuis 2 ans, a été jugé par une chambre incompétente, dont le seul objectif était de l’emprisonner à n’importe quel prix, sur la base d’injonctions politiques qui déshonorent la magistrature et minent les fondations de l’Etat de Droit en RDC. Il suffit de rappeler que le Député de la DC, tout en étant placé en résidence surveillée par 4 ordonnances de la CSJ, il a été maintenu en prison et son mandat invalidé alors qu’il été illégalement détenu.
La conséquence légale de la nullité du procès Diomi Ndongala, que nous dénonçons formellement prenant l’opinion nationale et internationale à témoins, est que le Président National de la DC , n’ayant pas été jugé dans la forme prescrite par la loi en matière de Cour de Cassation, n’a pas été jugé par son juge naturel et, par conséquent, il doit être immédiatement libéré, sa détention étant illégale.
Vu le manque de réponse de la part du président de la Cour suprême de Justice à cette revendication légale, légitime et conforme au droit, le collectif des Avocats du Président National de la Démocratie Chrétienne ont déposé le 04 septembre 2014 une REQUETE DE PRISE A PARTIE contre les Magistrats ayant violé expressément la loi et les droits fondamentaux de M Eugène Diomi Ndongala ;
Il s’agit des juges suivants :
NGOIE KALENDA ,
BUSHIRI IMANI MWATA ,
MULAMBA MWAMBA ,
IBANDA DUDU ,
MWANGILWA MUSALI.
Ces juges sont pris à partie et ils devront répondre pour « dol » car il apparaît que leur volonté de ne pas se conformer à l’art. 34 de la loi régissant la composition de la Chambre en matière de Cassation ne procède pas de l’ignorance de la loi mais plutôt d’une faute grave et sérieuse qui s’assimile au dol et elle ouvre la voie à cette dénonciation formelle à leur encontre.
Il sied de souligner que la violation de droit est avérée d’autant que dans les mêmes conditions, la Cour Suprême de Justice faisant office de la Cour de Cassation, dans la cause 017/CR Jean Bertand Ewanga, a siégé à sept juges, conformément aux dispositions de la loi organique n°13/011-b du 11 avril 2013 portant organisation et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire.
Dans la plainte contre les juges, le collectif des avocats demande à la CSJ de
constater que ceux-ci ont délibérément violé l’art.34 de la loi organique n° 13/011-b du 11 avril 2013, portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire en siégeant à cinq plutôt qu’ à sept ;
d’annuler le RP 014/CR du 26 mars 2014 émis contre Eugène Diomi Ndongala et le remettre immédiatement en liberté;
Condamner la République Démocratique du Congo, civilement responsable « in solidum » avec les 5 magistrats, à l’équivalent en francs congolais de deux millions de dollars, de dommages et intérêts.
Vu ce qui précède, la Démocratie Chrétienne exige la libération immédiate et sans condition du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, victime d’un harcèlement politico-judiciaire de longue date, sa détention n’ayant plus aucune fondation légale.
Il reste entendu que si la CSJ continuera son déni de justice envers le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, à cause d’injonctions politiques scélérates, la Démocratie Chrétienne s’engage à tout mettre en œuvre afin que les instances de Justice Internationales se saisissent de ce cas extrême de violation des droits de l’homme ainsi que de violations des droits civils et politiques d’un opposant politique qui est incarcéré illégalement depuis deux ans à cause de ses opinions et son noble combat politique pour la vérité des urnes.
Vérité et Justice pour le Congo,
Fait à Kinshasa, le 09/09/2014,
Marc Mawete,
Porte-Parole,
Démocratie Chrétienne, DC
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://congo4live.com/2014/09/12/tv5-diomi-ndongala-justice-arbitraire-et-proces-nul-en-rdc/
TV5 : DIOMI NDONGALA-JUSTICE ARBITRAIRE ET PROCÈS NUL EN RDC
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
La DC dénonce la différence de traitement des dossiers Diomi et Ewanga de la part des Juges de la CSJ /TEMPETE DES TROPIQUES
•La Tempête des Tropiques•
14 heures
tempete120914 001
Dans une déclaration faite hier à Kinshasa
Dans une déclaration lue hier jeudi 11 septembre 2014 par Me Maguy Yabakuli, conseillère politique en charge des Affaires juridiques, la Démocratie chrétienne (DC) dénonce, après analyse, la différence de traitement entre les dossiers similaires concernant le député Ewanga par rapport au traitement « singulier » et « discriminatoire » réservé au député Eugène Diomi Ndongala.
A en croire la Démocratie chrétienne, « dans les cas, il apparaît une réelle différence de traitement de forme de ces deux dossiers, alors que, du point de vue formel, ils sont identiques », peut-on lire dans cette déclaration.
Pour cette formation politique, dans la procédure concernant le leader de la DC, la Cour suprême de justice a « manifestement violé », de manière « flagrante », l’article 34 de la loi organique n°13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence de juridiction de l’ordre judiciaire.
Cette disposition exige que la Cour de cassation siégeant en premier et dernier ressort comprenne sept magistrats. Force est de constater que dans l’arrêt d’Eugène Diomi Ndongala, la Cour suprême de justice de la République démocratique du Congo a siégé à cinq au lieu de sept magistrats.
Au contraire, dans la procédure concernant Ewanga, la Cour suprême de justice a curieusement siégé à sept magistrats. Il convient d’admettre que la Cour qui a observé la loi organique ci-haut indiquée, a été respectée dans l’affaire Ewanga, l’a ignorée pour Diomi Ndongala.
D’où, « il ressort que l’arrêt prononcé contre Eugène Diomi Ndongala étant dépourvu de légalité, manque de force exécutoire et est, par conséquent, nul », conclut la déclaration de la Démocratie chrétienne.
Il faut rappeler que les cinq juges qui ont rendu cet arrêt sont pris à partie et devront répondre pour « dol ». Car il apparaît que leur volonté de ne pas se conformer à l’article 34 de la loi régissant la composition de la chambre en matière de cassation ne procède pas de l’ignorance de la loi mais plutôt d’une « faute grave et sérieuse » qui s’assimile au dol et elle ouvre la voie à cette dénonciation formelle à leur encontre.
Par Stone
http://wp.me/18AQh
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Diomi akomi koteka ba voitures en provenance du Japon maintenant?KOTA a écrit:
zobattants
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
A QUAND LA LIBERATION DU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA DETENU ILLEGALEMENT DEPUIS 2 ANS ?
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
DEVOIR DE MEMOIRE....
DIOMI NDONGALA ARRACHE DU LIT D’HOPITAL PAR DES MILITAIRES / TEMPETE DES TROPIQUESpar FreeDiomi le 6 janvier 2014
[img(588.8px,1023.8000000000001px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/01/tempete-311213-000.jpg?w=884&h=1536[/img]
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
ENLEVEMENT DE M.LLE FUALA ANNIE, SŒUR DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA, CETTE NUIT A 3H00 DU MATIN DE SON APPARTEMENT VERS UNE DESTINATION INCONNUE / Communiqué de la DC du 17/09/14
par FreeDiomi le 17 septembre 2014
Fait à Kinshasa, le 17/09/14
Marc Mawete,
Porte-Parole
DC
http://democratiechretienne.org/2014/09/17/enelevement-de-m-lle-fuala-annie-soeur-du-president-eugene-diomi-ndongala-cette-nuit-a-3h00-du-matin-de-son-appartement-vers-une-destination-inconnue-communique-de-la-dc-du-170914/
par FreeDiomi le 17 septembre 2014
COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC du 17/09/2014
ENLEVEMENT DE M.LLE FUALA ANNIE, SŒUR DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA, CETTE NUIT A 3H00 DU MATIN, DE SON APPARTEMENT VERS UNE DESTINATION INCONNUE
La Démocratie Chrétienne, DC, tient à dénoncer, avec la dernière énergie, l’enlèvement d’ Annie Fuala, membre de la DC et sœur du Président National de la Démocratie Chrétienne, M. Eugène Diomi Ndongala.
M.lle Annie a été enlevé à 3h00 du matin par un commande composé de militaires qui ont défalqué le mur de la parcelle sise sur Avenue Colonel Ebeya, N° 7, à Kinshasa – Gombe – et ils ont par la suite forcé et détruit la porte d’entrée de son appartement tirant la jeune dame par la force de son lit, en pleine nuit.
M.lle Annie Fuala, âgée de 25 ans, a été amené par la suite vers une destination inconnue et la famille craint pour son intégrité physique.
La famille Diomi et les membres de la DC ont multiplié les recherches de Annie Fauala toute la nuit dans les différents cachots légales et illégaux de la police, sans succès.
Il sied de souligner que cet enlèvement scélérat de la sœur du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala fait suite aux intimidations, filatures et menaces dont a été victime M.me Diomi Ndongala il y a seulement quelques semaines.
La Démocratie Chrétienne exige la libération immédiate de M.lle Annie Faula et elle met en garde les auteurs de cet acte criminel pour tout ce que pourra lui arriver.
La DC et la famille Diomi exigent de connaitre immédiatement le lieu de détention au secret de Mlle Annie, faute de quoi elles seront dans l’obligation de saisir toutes les instances nationales et internationales pour dénoncer cet énième enlèvement barbare dont est victime, encore une fois, un membre de la famille Diomi et cela afin d’assurer l’intégrité physique de M.lle Annie Fuala.
Vérité et justice pour le Congo,Fait à Kinshasa, le 17/09/14
Marc Mawete,
Porte-Parole
DC
http://democratiechretienne.org/2014/09/17/enelevement-de-m-lle-fuala-annie-soeur-du-president-eugene-diomi-ndongala-cette-nuit-a-3h00-du-matin-de-son-appartement-vers-une-destination-inconnue-communique-de-la-dc-du-170914/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Une plainte pour enlèvement de la sœur de Diomi a été offciellement déposée à l Auditorat Supérieur Militaire de Kinshasa -Gombe cet après -midi par les avocats de la famille #diomi #rdc
DIOMI NDONGALA ET SA FAMILLE VIVENT DANS UN ETAT DE "MORT CIVILE" A KINSHASA
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
PLAINTE A L’AUDITORAT SUPERIEUR MILITAIRE DENONCANT L’ENLEVEMENT DE ANNIE FUALA PETITE SOEUR D’EUGENE DIOMI NDONGALA, CETTE NUIT A 3H00 DU MATIN
par FreeDiomi le 17 septembre 2014
[img(700.8px,557.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/09/plainte-annie2.png?w=819&h=384[/img]
http://democratiechretienne.org/2014/09/17/plainte-a-lauditorat-superieur-militaire-denoncant-lenlevement-de-annie-fuala-petite-soeur-deugene-diomi-ndongala-cette-nuit-a-3h00-du-matin/
par FreeDiomi le 17 septembre 2014
[img(700.8px,557.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/09/plainte-annie2.png?w=819&h=384[/img]
http://democratiechretienne.org/2014/09/17/plainte-a-lauditorat-superieur-militaire-denoncant-lenlevement-de-annie-fuala-petite-soeur-deugene-diomi-ndongala-cette-nuit-a-3h00-du-matin/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Annie Fuala a été libérée tard hier dans la soirée. Pas d inculpation d aucune sorte. Pas de documentation légale justifiant son enlèvement nocturne. Elle est en état de choc. Ainsi va le Congo sous le régime Kabila.
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
La VSV invite "Joseph Kabila" à faire relaxer les opposants emprisonnés /vsv
par FreeDiomi le 19 septembre 2014
par FreeDiomi le 19 septembre 2014
Communiqué de presse : La VSV invite "Joseph Kabila" à faire relaxer les opposants emprisonnés Une vue de la clôture de la Prison centrale de Makala Dans un communiqué daté du jeudi 18 septembre, l’association de défense des droits humains "La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme" (VSV) exprime ses "vives inquiétudes" suite aux menaces que le pouvoir politique congolais fait planer sur la liberté d’expression et d’opinion. L’association cite à l’appui les brimades infligées à des représentants des forces politiques de l’opposition. Elle commence par épingler la condamnation, le jeudi 11 septembre dernier, du député national Jean-Bertrand Ewanga Is’Ewanga, secrétaire général de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC), à 12 mois de prison ferme par la Cour Suprême de Justice (CSJ). L’association de déplorer un "procès expéditif" estimant que la CSJ a laissé, à cette occasion, l’impression d’une "justice injuste". Une justice qui obéit "au doigt et à l’œil" aux injonctions "des autorités politiques notamment celles de la famille politique du président de la République".
"Pour une frange importante de l’opinion, poursuit le texte, la condamnation rapide de Jean Bertrand Ewanga renforce la stratégie visant à semer la peur et la terreur parmi les opposants politiques et toutes les personnes susceptibles d’élever éventuellement la voix en vue d’émettre des points de vue divergents à l’approche des élections". La VSV invite "Joseph Kabila" "en sa qualité de magistrat suprême" à faire remettre en liberté, par une mesure de grâce, les opposants politiques Eugène Diomi Ndongala, Jean-Bertrand Ewanga, Bruno Kabangu et Elie Kapend… respectivement président de «Démocratie Chrétienne» (DC), secrétaire général de l’UNC, président fédéral de l’UDPS/Kasaï Oriental, président du Front de Libération Nationale du Congo (FLNC). Pour ce groupement, un tel geste serait de nature à "contribuer à l’apaisement du climat politique et à la vraie cohésion nationale" dans le pays. B.A.W Ci-après le texte intégral du communiqué de la VSV :La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) exprime ses vives inquiétudes consécutivement aux menaces qui pèsent sur certaines valeurs de la démocratie dont entre autres la liberté d’expression et d’opinion à la base des frustrations et autres déboires dont des opposants politiques sont victimes en République Démocratique du Congo (RDCongo). Le dernier cas en date est la condamnation, jeudi 11 septembre 2014, par la Cour Suprême de Justice (CSJ) à douze (12) mois de prison ferme du Député National Jean Bertrand Ewanga Isewanga, secrétaire général du parti politique de l’opposition «Union pour la Nation Congolaise» (UNC), et ce, à l’issue d’un procès expéditif tenu en «procédure de flagrance», pour «offense au chef de l’Etat et outrage aux deux présidents du Parlement et au Premier ministre». Initialement poursuivi par le Procureur Général de la République pour délit d’offense au chef de l’Etat, monsieur Joseph Kabila et pour incitation à la haine raciale et tribale à travers des propos tenus lors du meeting organisé par l’opposition politique, lundi 04 août 2014, à la place Sainte Thérèse dans la commune de N’djili, l’opposant politique a rejeté en bloc tous les faits lui reprochés et l’opinion publique qui a suivi les images du meeting sus évoqué n’a jusqu’à présent pas vu ni entendu les extraits des propos outrageant le Chef de l’Etat. De même, malgré les exceptions soulevées et les vices de procédure relevés par la défense de l’accusé, la CSJ a fait montre de l’administration d’une justice injuste et donnant bien l’impression d’obéir à l’œil et au doigt des autorités politiques notamment celles de la famille politique du Président de la République. Aussi, une frange importante de l’opinion publique pense que la condamnation rapide de l’opposant politique Jean Bertrand Ewanga renforce la stratégie visant à semer la peur et la terreur parmi les opposants politiques et toutes les personnes susceptibles d’élever éventuellement la voix en vue d’émettre des points de vue divergents à l’approche des élections. Toutes proportions gardées, la VSV saisit cette occasion pour rappeler à tous les acteurs politiques de la République Démocratique du Congo, toutes tendances confondues, le respect strict de l’honneur et de la dignité de toute personne ou personnalité, l’élégance dans les propos ainsi que le respect mutuel en vue de contribuer positivement à la consolidation de la fragile démocratie en République Démocratique du Congo. Point n’est besoin de rappeler que les mesures de grâce présidentielles sont d’une grande utilité lorsqu’elles sont prises à temps et au moment où les bénéficiaires jouissent d’un état physique, mental, psychologique, moral… n’inspirant aucune inquiétude et suspicion. Fait à Kinshasa, le 18 septembre 2014. La Voix des Sans Voix pour les droits de l’Homme (VSV) © Congoindépendant 2003-2014 |
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
https://www.facebook.com/video.php?v=759664704095447&set=vb.581329788595607&type=2&theater
Votre journal #Afrique de ce jeudi. Au sommaire, #Ebola au menu du Conseil de sécurité des Nations unies, une opération de sensibilisation qui tourne au drame en #Guinée, la République démocratique du Congo où l'opposition à la modification constitutionnelle est de plus en plus forte. On en parle avec notre invité. A demain !
https://www.facebook.com/video.php?v=759664704095447&set=vb.581329788595607&type=2&theater
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
L’ASADHO accuse Kinshasa de faire taire les opposants politiques: les cas des députés Eugène Diomi Ndongala et Ewanga en exergue / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 26 septembre 2014
Preuve, en date du 5 août 2014 à 3heures du matin, le Député national Jean Bertrand Ewanga, Secrétaire général de l’Union pour la Nation Congolaise était enlevé de sa réisdence par les éléments des Services Spéciaux de la Police Nationale et de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR), pour être détenu illégalement au cachot de l’ANR à la suite de ses interventions faites à l’occasion du meeting de l’opposition politique tenue à la place Sainte Thérèse à N’djili en date du 04 août 2014, au motif qu’il aurait commis les infractions d’outrages au Chef de l’Etat et de discrimination raciale et tribale.
Il sera condamné, en date du 11 septembre 2014, à l’issue d’une procédure de flagrance au cours de laquelle ses droits fondamentaux n’étaient pas respectés par la Cour Suprême de Justice, à une peine de servitude pénale principale de 12 mois fermes pour « outrage au Chef de l’état », en violation de l’article 8 de la loi n°07/008 du 04 décembre 2007 portant statut politique de l’opposition qui dispose que : « L’opposition politique a notamment le droit de critiquer l’action du Gouvernement et le cas échéant de formuler des contres propositions … ».
L’Ongdh relève que le cas de Jean Bertrand Ewanga n’est pas isolé. Il s’inscrit dans la stratégie du Gouvernement de faire taire tout opposant politique qui ne partage pas la ligne politique de la Majorité présidentielle.
En août 2013, il a été condamné à 3 ans de servitude pénale principale par la même Cour Suprême de justice, siégeant toujours en procédure de flagrance, au motif qu’il avait outragé le Chef de l’Etat par le fait d’avoir critiqué la politique mise en place par le Président Joseph Kabila au sujet de la gestion de la guerre à l’est du pays.
Ainsi donc, l’ASADHO invite le gouvernement de la RDC a cesser tout acte tendant à se servir de l’appareil judiciaire pour faire taire les opposants politiques ou tout autre Congolais qui critiquent la politique du gouvernement ou du Président de la République et libérer les prisonniers politiques qui croupissent encore dans les geôles d’état à cause de leurs opinions politiques.
KALONJI MUK.
DC avec Tempête des tropiques
http://democratiechretienne.org/2014/09/26/lasadho-accuse-kinshasa-de-faire-taire-les-opposants-politiques-les-cas-des-deputes-eugene-diomi-ndongala-et-ewanga-en-exergue-tempete-des-tropiques/
par FreeDiomi le 26 septembre 2014
L’ASADHO accuse Kinshasa de faire taire les opposants politiques
Dans un communiqué, l’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme (ASADHO) se dit préoccupée par les atteintes à répétition que le gouvernement de la RDC porte aux droits reconnus à l’opposition politique en se servant de l’appareil judiciaire. Selon l’ASADHO, depuis le début de la législature actuelle, tout leader de l’opposition qui mobilise la population contre un projet ou un programme de la majorité au pouvoir fait l’objet de menaces, intimidations et poursuites qui aboutissent à des condamnations judiciaires.L’Ongdh se base sur les cas des arrestations et détentions arbitraires des personnalités de l’opposition politique comme Eugène Diomi, Jean Bertrand Ewanga.
Preuve, en date du 5 août 2014 à 3heures du matin, le Député national Jean Bertrand Ewanga, Secrétaire général de l’Union pour la Nation Congolaise était enlevé de sa réisdence par les éléments des Services Spéciaux de la Police Nationale et de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR), pour être détenu illégalement au cachot de l’ANR à la suite de ses interventions faites à l’occasion du meeting de l’opposition politique tenue à la place Sainte Thérèse à N’djili en date du 04 août 2014, au motif qu’il aurait commis les infractions d’outrages au Chef de l’Etat et de discrimination raciale et tribale.
Il sera condamné, en date du 11 septembre 2014, à l’issue d’une procédure de flagrance au cours de laquelle ses droits fondamentaux n’étaient pas respectés par la Cour Suprême de Justice, à une peine de servitude pénale principale de 12 mois fermes pour « outrage au Chef de l’état », en violation de l’article 8 de la loi n°07/008 du 04 décembre 2007 portant statut politique de l’opposition qui dispose que : « L’opposition politique a notamment le droit de critiquer l’action du Gouvernement et le cas échéant de formuler des contres propositions … ».
L’Ongdh relève que le cas de Jean Bertrand Ewanga n’est pas isolé. Il s’inscrit dans la stratégie du Gouvernement de faire taire tout opposant politique qui ne partage pas la ligne politique de la Majorité présidentielle.
Un autre cas est celui de Mohindo Nzangi, député national élu de la province du Nord-Kivu.Tel est aussi le cas d’Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne et Député national de l’opposition.
Au lendemain de la proclamation du Président Joseph Kabila vainqueur de l’élection présidentielle de 2011, une élection marquée par des fraudes généralisées, Monsieur Eugène Diomi Ndongala avait créé un Mouvement dénommé « Majorité présidentielle populaire » ayant notamment pour objet de soutenir l’action d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba qui s’était autoproclamé Président de la République et qui aurait été pris par le Président Joseph Kabila.
A cause de son activisme au sein de ce mouvement, Monsieur Eugène Diomi Ndongala sera enlevé et détenu au secret par l’ ANR pendant plusieurs jours avant d’être livré à la justice au motif qu’il aurait commis l’infraction de viol sur mineures.A l’issue d’un procès non équitable, sans garantie ni respect des droits fondamentaux lui reconnus par les instruments juridiques nationaux et internationaux relatifs aux droits humains, devant la Cour suprême de justice, il sera condamné, au mois de mars 2014, à une peine de servitude pénale principale de 10 ans à la suite d’un procès nul car vicié même dans la composition de la chambre de la Cour Suprême de Justice l’ayant jugé.
En août 2013, il a été condamné à 3 ans de servitude pénale principale par la même Cour Suprême de justice, siégeant toujours en procédure de flagrance, au motif qu’il avait outragé le Chef de l’Etat par le fait d’avoir critiqué la politique mise en place par le Président Joseph Kabila au sujet de la gestion de la guerre à l’est du pays.
Elle considère la condamnation du Député national Jean Bertrand Ewanga comme un avertissement fait à tout celui qui oserait s’opposer à l’agenda du pouvoir de changer la Constitution pour donner au Président Joseph Kabila la possibilité de se représenter à l’élection présidentielle de 2016.L’ASADHO relève que ces arrestations et détentions illégales opérées par l’ANR et condamnations prononcées par la Cour suprême de justice contre les membres de l’opposition ou contre tous ceux qui critiquent la politique des autorités congolaises ne sont pas de nature à consolider le jeu démocratique en République démocratique du Congo.
Ainsi donc, l’ASADHO invite le gouvernement de la RDC a cesser tout acte tendant à se servir de l’appareil judiciaire pour faire taire les opposants politiques ou tout autre Congolais qui critiquent la politique du gouvernement ou du Président de la République et libérer les prisonniers politiques qui croupissent encore dans les geôles d’état à cause de leurs opinions politiques.
KALONJI MUK.
DC avec Tempête des tropiques
http://democratiechretienne.org/2014/09/26/lasadho-accuse-kinshasa-de-faire-taire-les-opposants-politiques-les-cas-des-deputes-eugene-diomi-ndongala-et-ewanga-en-exergue-tempete-des-tropiques/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Climat politique : le gouvernement accusé de museler les opposants /ADJAC
par FreeDiomi le 27 septembre 2014
Concernant ces publicités
par FreeDiomi le 27 septembre 2014
[img(576.8px,185.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/09/capture2709141.png?w=866&h=279[/img]Climat politique : le gouvernement accusé de museler les opposants
Samedi 27 Septembre 2014 – 15:02
Selon l’Association africaine de défense des droits de l’Homme (Asadho), le pouvoir se servirait de l’appareil judiciaire pour atteindre son objectif.
Selon l’Association africaine de défense des droits de l’Homme (Asadho), le pouvoir se servirait de l’appareil judiciaire pour atteindre son objectif.
L’Asadho a fait constater, dans un communiqué du 25 septembre, que depuis le début de la législature actuelle, tout leader de l’opposition qui mobilise la population contre un projet ou un programme de la majorité au pouvoir fait l’objet des menaces, intimidations et poursuites qui aboutissent à des condamnations judiciaires. Ce constat à amené cette ONG à accuser le gouvernement de « faire taire les opposants politiques en se servant de l’appareil judiciaire ».
Dans ce réquisitoire, l’ONG a rappelé le cas du secrétaire général de l’Union pour la Nation congolaise, le député national Jean Bertrand Ewanga, qui a été enlevé, le 5 août à trois heures du matin, à sa résidence par les éléments des Services spéciaux de la police et de l’Agence nationale de renseignements (ANR), pour être détenu « illégalement » au cachot de ce service.
Il a été reconnu à sa charge les infractions d’outrages au chef de l’État et de discrimination raciale et tribale, à la suite de ses interventions faites à l’occasion du meeting de l’opposition politique tenue à la place Sainte-Thérèse à N’djili, le 4 août. Le député national sera condamné, le 11 septembre, « à l’issue d’une procédure de flagrance au cours de laquelle ses droits fondamentaux n’étaient pas respectés par la Cour suprême de justice (CSJ) », à une peine de servitude pénale principale de douze mois fermes pour « outrage au chef de l’état ».
Violation des lois de la République
Selon l’Asadho, cette condamnation est en violation de la loi portant statut politique de l’opposition qui dispose, en son article 8, que « l’opposition politique a notamment le droit de critiquer l’action du gouvernement et, le cas échéant, de formuler des contres propositions… ». « Il y a lieu de relever que le cas de M. Jean Bertrand Ewanga n’est pas isolé, il s’inscrit dans la stratégie du gouvernement de faire taire tout opposant politique qui ne partage pas la ligne politique de la majorité présidentielle », a soutenu cette ONG.
Au gouvernement de la République, cette ONG a sollicité de cesser tout acte tendant à se servir de l’appareil judiciaire pour faire taire les opposants politiques ou tous autres Congolais qui critiquent la politique du gouvernement ou du président de la République. Alors qu’aux autorités judiciaires, il a été recommandé de s’opposer à l’instrumentalisation de l’appareil judiciaire par les autorités politiques et de se constituer en rempart pour la promotion et la protection de la démocratie.
Dans ce réquisitoire, l’ONG a rappelé le cas du secrétaire général de l’Union pour la Nation congolaise, le député national Jean Bertrand Ewanga, qui a été enlevé, le 5 août à trois heures du matin, à sa résidence par les éléments des Services spéciaux de la police et de l’Agence nationale de renseignements (ANR), pour être détenu « illégalement » au cachot de ce service.
Il a été reconnu à sa charge les infractions d’outrages au chef de l’État et de discrimination raciale et tribale, à la suite de ses interventions faites à l’occasion du meeting de l’opposition politique tenue à la place Sainte-Thérèse à N’djili, le 4 août. Le député national sera condamné, le 11 septembre, « à l’issue d’une procédure de flagrance au cours de laquelle ses droits fondamentaux n’étaient pas respectés par la Cour suprême de justice (CSJ) », à une peine de servitude pénale principale de douze mois fermes pour « outrage au chef de l’état ».
Violation des lois de la République
Selon l’Asadho, cette condamnation est en violation de la loi portant statut politique de l’opposition qui dispose, en son article 8, que « l’opposition politique a notamment le droit de critiquer l’action du gouvernement et, le cas échéant, de formuler des contres propositions… ». « Il y a lieu de relever que le cas de M. Jean Bertrand Ewanga n’est pas isolé, il s’inscrit dans la stratégie du gouvernement de faire taire tout opposant politique qui ne partage pas la ligne politique de la majorité présidentielle », a soutenu cette ONG.
Devant ces faits, cette ONG a exhorté le président de la République à faire respecter la Constitution et les autres lois du pays, en faisant cesser toutes atteintes des autorités politiques et judiciaires aux droits reconnus à l’opposition politique; et d’accorder la grâce présidentielle à tout Congolais actuellement en détention à cause de ses opinions politiques.L’Asadho a également épinglé le cas Diomi Ndongola, qui serait également emprisonné pour son activisme politique. « À cause de son activisme au sein de ce mouvement [ la Majorité présidentielle populaire, qu’il a créée pour soutenir la prise de l’impérium du pouvoir par Étienne Tshisekedi], M. Eugene Diomi Ndongala sera enlevé et détenu au secret par l’ANR pendant plusieurs jours avant d’être livré à la justice au motif qu’il aurait commis l’infraction de viol sur mineures », a expliqué cette ONG. L’Asadho a noté qu’à l’issue d’un procès non équitable, sans garantie et respect des droits fondamentaux qui lui ont été reconnus par les instruments juridiques nationaux et internationaux relatifs aux droits humains, devant la CSJ, le président de la Démocratie chrétienne sera condamné, au mois de mars, à une peine de servitude pénale principale de dix ans. Cette ONG a adjoint à ces deux cas, celui du député national Mohindi Nzangi, qui a été condamné à trois ans de servitude pénale principale par la même CSJ, siégeant toujours en procédure de flagrance, au motif qu’il avait outragé le chef de l’État par le fait d’avoir critiqué la politique mise en place pour gérer la guerre à l’est du pays. « Ces arrestations et détentions illégales opérées par l’ANR et condamnations prononcées par la CSJ contre les membres de l’opposition ou contre tous ceux qui critiquent la politique des autorités congolaises ne sont pas de nature à consolider le jeu démocratique en RDC. Elles sont une atteinte à la démocratie », a noté cette ONG.
Au gouvernement de la République, cette ONG a sollicité de cesser tout acte tendant à se servir de l’appareil judiciaire pour faire taire les opposants politiques ou tous autres Congolais qui critiquent la politique du gouvernement ou du président de la République. Alors qu’aux autorités judiciaires, il a été recommandé de s’opposer à l’instrumentalisation de l’appareil judiciaire par les autorités politiques et de se constituer en rempart pour la promotion et la protection de la démocratie.
Lucien Dianzenza
http://www.adiac-congo.com/content/climat-politique-le-gouvernement-accuse-de-museler-les-opposants-20819Concernant ces publicités
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RDC : Protégeons notre Nation / COMMUNIQUE DE JOSEPH MUKUNGUBILA
par FreeDiomi le 27 septembre 2014
Conférence épiscopale nationale du Congo
Communiqué du bureau de Joseph Mukungubila suite à la “LETTRE DES EVEQUES DE LA CONFERENCE EPISCOPALE NATIONALE DU CONGO REUNIS A ROME, AUX FIDELES CATHOLIQUES ET AUX HOMMES ET FEMMES DE BONNE VOLONTE DE LA RD CONGO”
Suite à la lettre adressée par la CENCO aux fidèles catholiques et au peuple congolais le 14 Septembre 2014 depuis Rome, nous, membres du bureau de Joseph Mukungubila, témoignons de notre réjouissance et partageons pleinement les préoccupations des évêques catholiques en faveur de notre peuple.
Nous nous associons à la prière qu’ils ont fait monter au “Seigneur (..) pour qu’il bénisse notre Peuple, qu’il lui montre un visage bienveillant et plein de grâce et qu’il lui accorde la paix !”.
Dans cette lettre, les évêques catholiques affirment avoir partagé avec le pape François “les joies et les espoirs, les peines et les souffrances du peuple congolais”.
En réponse, le pape les a exhortés “à apporter [leur] contribution pour l’avenir heureux de notre nation”.
En vertu de ce message du pape, nous les appelons à militer et à peser de tout leur poids, afin que soit mis en place un dialogue entre les différents fils et filles du Congo, de toutes tendances confondues, sans exclusion.
Ce dialogue devra trouver une solution définitive au problème congolais et restaurer la paix dont notre peuple est privé depuis au moins 20 ans avec un bilan, selon les estimations, compris entre 6 et 10 millions de morts à cause des guerres et des massacres successifs.
Les évêques catholiques du Congo affirment que modifier l’article 220 de la constitution “serait faire marche en arrière sur le chemin de la construction de notre démocratie et compromettre gravement l’avenir harmonieux de la Nation.
Après toutes les guerres et tribulations connues en RD Congo, [ils sont] persuadés que les citoyens et les hommes politiques qui aiment vraiment ce pays autant que [eux] tous, éviteront d’engager la Nation dans une voie sans issue”.
En d’autres mots, ils mettent la stabilisation du pays et l’équilibre des pouvoirs au centre de leurs préoccupations.
Partant de ce constat, nous voulons rappeler que les échéances électorales précédentes, sensées garantir la paix et la stabilité, ont donné lieu à de graves crises; des accusations de fraudes massives avec effusion de sang notamment lors des affrontements armés dans la capitale congolaise, entre les troupes de Bemba et celles d’alias Kabila en 2006, puis lors des massacres de manifestants pacifiques majoritairement pro-Tshisekedi en novembre 2011.
L’analyse et le diagnostic de ces crises “électorales” n’ayant pas été faits, nous craignons que dans l’état actuel des choses, la simple non-modification de l’article 220 ne suffise pas. En effet, la RD Congo traverse une crise institutionnelle profonde et sans précédent.
Le pays est dans une insécurité totale due notamment à plusieurs dizaines de milices congolaises et étrangères qui continuent à sévir sur le territoire, les frontières étant poreuses et violées constamment. La justice non indépendante et fortement politisée n’est plus un recours pour une population , victime en outre d’une misère généralisée.
Plusieurs acteurs politiques, dont la contribution à l’avancée du pays est nécessaire, sont aujourd’hui emprisonnés ou en exil. Il est donc impérieux, avant d’aller aux élections, de passer par un dialogue entre Congolais, pour trouver une solution définitive à ces crises.
Nous exigeons préalablement la libération de tous les prisonniers politiques tels que Diomi Ndongala, Bruno Kabangu, Bertrand Ewanga, tous les disciples et partisans de Joseph Mukungubila et d’autres; puis le retour des exilés politiques, avec des garanties pour leur sécurité et leurs libertés de mouvement et d’expression.
par FreeDiomi le 27 septembre 2014
RDC : Protégeons notre Nation
septembre 22, 2014
Conférence épiscopale nationale du Congo
Communiqué du bureau de Joseph Mukungubila suite à la “LETTRE DES EVEQUES DE LA CONFERENCE EPISCOPALE NATIONALE DU CONGO REUNIS A ROME, AUX FIDELES CATHOLIQUES ET AUX HOMMES ET FEMMES DE BONNE VOLONTE DE LA RD CONGO”
Suite à la lettre adressée par la CENCO aux fidèles catholiques et au peuple congolais le 14 Septembre 2014 depuis Rome, nous, membres du bureau de Joseph Mukungubila, témoignons de notre réjouissance et partageons pleinement les préoccupations des évêques catholiques en faveur de notre peuple.
Nous nous associons à la prière qu’ils ont fait monter au “Seigneur (..) pour qu’il bénisse notre Peuple, qu’il lui montre un visage bienveillant et plein de grâce et qu’il lui accorde la paix !”.
Dans cette lettre, les évêques catholiques affirment avoir partagé avec le pape François “les joies et les espoirs, les peines et les souffrances du peuple congolais”.
En réponse, le pape les a exhortés “à apporter [leur] contribution pour l’avenir heureux de notre nation”.
En vertu de ce message du pape, nous les appelons à militer et à peser de tout leur poids, afin que soit mis en place un dialogue entre les différents fils et filles du Congo, de toutes tendances confondues, sans exclusion.
Ce dialogue devra trouver une solution définitive au problème congolais et restaurer la paix dont notre peuple est privé depuis au moins 20 ans avec un bilan, selon les estimations, compris entre 6 et 10 millions de morts à cause des guerres et des massacres successifs.
Les évêques catholiques du Congo affirment que modifier l’article 220 de la constitution “serait faire marche en arrière sur le chemin de la construction de notre démocratie et compromettre gravement l’avenir harmonieux de la Nation.
Après toutes les guerres et tribulations connues en RD Congo, [ils sont] persuadés que les citoyens et les hommes politiques qui aiment vraiment ce pays autant que [eux] tous, éviteront d’engager la Nation dans une voie sans issue”.
En d’autres mots, ils mettent la stabilisation du pays et l’équilibre des pouvoirs au centre de leurs préoccupations.
Partant de ce constat, nous voulons rappeler que les échéances électorales précédentes, sensées garantir la paix et la stabilité, ont donné lieu à de graves crises; des accusations de fraudes massives avec effusion de sang notamment lors des affrontements armés dans la capitale congolaise, entre les troupes de Bemba et celles d’alias Kabila en 2006, puis lors des massacres de manifestants pacifiques majoritairement pro-Tshisekedi en novembre 2011.
L’analyse et le diagnostic de ces crises “électorales” n’ayant pas été faits, nous craignons que dans l’état actuel des choses, la simple non-modification de l’article 220 ne suffise pas. En effet, la RD Congo traverse une crise institutionnelle profonde et sans précédent.
Le pays est dans une insécurité totale due notamment à plusieurs dizaines de milices congolaises et étrangères qui continuent à sévir sur le territoire, les frontières étant poreuses et violées constamment. La justice non indépendante et fortement politisée n’est plus un recours pour une population , victime en outre d’une misère généralisée.
Plusieurs acteurs politiques, dont la contribution à l’avancée du pays est nécessaire, sont aujourd’hui emprisonnés ou en exil. Il est donc impérieux, avant d’aller aux élections, de passer par un dialogue entre Congolais, pour trouver une solution définitive à ces crises.
Nous exigeons préalablement la libération de tous les prisonniers politiques tels que Diomi Ndongala, Bruno Kabangu, Bertrand Ewanga, tous les disciples et partisans de Joseph Mukungubila et d’autres; puis le retour des exilés politiques, avec des garanties pour leur sécurité et leurs libertés de mouvement et d’expression.
La RD Congo n’est pas actuellement une démocratie. Sans le règlement de cette crise institutionnelle profonde, il y a tout lieu de craindre que 2016 conduise à un nouveau bain de sang.
Les évêques catholiques demandent également “à tous les curés et catéchistes de lire à l’intention des fidèles, [leur]message « Protégeons notre Nation »” .
Une fois encore, nous nous réjouissons de la mise à contribution des structures et des réseaux catholiques pour le bien du peuple et la survie de la nation.
L’appel ainsi lancé par l’église catholique du Congo aux “nombreux fils et filles de notre peuple (..) pour protéger la Nation” ne peut être ignoré et nous nous y associons. La référence au martyr de Clémentine Anuarite Nengapeta dont c’est l’année du cinquantenaire, nous renvoie au martyr du peuple congolais dont le sang n’a cessé d’être versé dès l’indépendance, et plus encore à partir de l’invasion rwandaise que nous vivons depuis 1996.
Nous demandons à tous les acteurs politiques, civils, militaires et à tout le peuple, ceux qui aiment réellement la patrie, le Congo, de répondre favorablement à notre adresse et à celle des évêques.
Le voeu de l’église catholique de “confier la destinée de ce pays à Christ” est partagé. Qu’il plaise au Créateur de nous accorder cette grâce.
____________
Le Bureau du Prophète de l’Eternel Joseph Mukungubila
http://democratiechretienne.org/2014/09/27/rdc-protegeons-notre-nation-communique-de-joseph-mukungubila/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA SAISIT LA JUSTICE INTERNATIONALE ET PORTE PLAINTE CONTRE LA R.D.CONGO POUR VIOLATION DU TRAITE INTERNATIONAL RELATIF AUX DROITS CIVILS ET POLITIQUES
par FreeDiomi le 29 septembre 2014
par FreeDiomi le 29 septembre 2014
COMMUNIQUE DE PRESSE N° 10/ACAJ/2014
«En quête de la justice, le prisonnier politique DIOMI NDONGALA a déposé plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’homme des Nations Unies à Genève»
Le 26 mars 2014, la Cour suprême de justice a, en violation des lois n° 13/010 du 19 février 2013 relative à la procédure devant la Cour de cassation et n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétences des juridictions de l’ordre judiciaire ainsi que des garanties d’un procès équitable, condamné M. Eugène DIOMI NDONGALA à la peine de dix ans de prison ferme. La Cour l’a jugé et condamné, en siégeant à cinq juges au lieu de sept, et sans qu’il ait eu possibilité de se faire assister de ses conseils.
Cette condamnation est intervenue après qu’il ait été enlevé le 27 juin 2012 par des agents de services de sécurité alors qu’il se rendait à une cérémonie de signature de la charte du regroupement politique de l’opposition dénommée « Majorité populaire » prévue à la cathédrale Notre Dame du Congo à Kinshasa, et détenu au secret pendant trois mois et treize jours. Pendant trois mois et treize jours de cette détention, il fut interrogé notamment sur sa relation avec M. Etienne TSHISEKEDI, président de l’UDPS et sur la prétendue « récupération de l’impérium » après les élections de novembre 2011, qu’il continuait à contester.
Les différentes plaintes adressées aux autorités judiciaires compétentes, contre inconnus, pour enlèvement et détention au secret n’ont jamais été instruites. Le 27 décembre 2013, il fut arraché brutalement de son lit d’hospitalisation de la clinique Ngaliema par des hommes en uniforme de la police et retourné dans sa cellule de la prison de Makala alors qu’il venait d’y être admit, en urgence, pour des examens et soins médicaux de suite d’un accident vasculaire cérébrale.
Les appels à sa libération, à une enquête indépendante et au respect de son droit aux soins médicaux appropriés, lancés par plusieurs organisations gouvernementales internationales ainsi que des organisations non gouvernementales des droits de l’homme furent ignorés par les autorités congolaises.
C’est pourquoi, avec l’assistance de l’ACAJ, M. DIOMI NDONGALA a déposé depuis quatre jours une plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’homme des Nations Unies à Genève, en Suisse, pour voir violation des droits fondamentaux lui garantis par les articles 9, 10 et 14 du Pacte International relatif aux droits civils et politiques que la RDC a déjà ratifié. Il demande au Comité des droits de l’homme qu’il constate ces violations et exige de la RDC de:
- annuler la condamnation de la Cour suprême de justice prononcée sous RP. 014/CR et qu’il soit remis en liberté;
- lui payer une réparation adéquate pour les dommages subis de suite de son enlèvement, sa détention au secret, la privation de soins de santé et sa condamnation;
- reconnaitre publiquement ces violations des droits fondamentaux et de lui présenter solennellement des excuses ;
- s’engager à ce que ce genre des violations ne se reproduisent plus;
- indiquer des dispositions concrètes qu’elle va prendre afin de faire cesser les atteintes répétées à l’indépendance du Pouvoir judiciaire ;
Rappel du mandat du Comité des droits de l’homme :
Le Comité des droits de l’homme est un organe conventionnel des Nations Unies. Il est établi en vertu de l’article 28 du Pacte International relatif aux droits civils et politiques. Il est composé de 18 membres appelés « Experts », qui sont des personnalités de haute moralité et possédant une expérience juridique, acquise en tant que juristes, magistrats ou universitaires ainsi que dans le domaine des droits de l’homme. Ils sont élus par l’Assemblée Générale des Nations unies. Le secrétariat du Comité est assuré par le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies et il est basé au Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève (Suisse).
Le Comité a pour tâche de surveiller et de contrôler l’application des obligations incombant aux Etats parties en vertu du Pacte. Il a quatre fonctions ci-après:
-recevoir et examiner les rapports des Etats parties sur les mesures qu’ils ont prises pour donner effet aux droits énoncés dans le Pacte ;
-émettre des observations dites générales où sont analysées dans le détail les obligations de fond et de procédure qui incombent aux Etats parties, pour les aider à donner effet aux dispositions du Pacte ;
-recevoir et examiner des plaintes, également appelées « communications », émanant des particuliers qui affirment être victimes d’une violation par un Etat partie des droits qui leur sont reconnus dans le Pacte ;
- examiner certaines plaintes émanant d’un Etat partie qui prétend qu’un autre Etat partie ne s’acquitte pas des obligations qu’il a contractées en vertu du Pacte.
La RDC ayant déjà ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi que son premier Protocole facultatif, a l’obligation internationale de se soumettre aux décisions prises par le Comité des droits de l’homme et les exécuter sans réserve. C’est d’ailleurs en exécution de cette obligation que la RDC avait appliqué la décision du Comité des droits de l’homme lui prescrivant la réhabilitation des 315 magistrats qu’elle avait irrégulièrement révoqués.
Pour tout contact :
Me Georges Kapiamba, Président de l’ACAJ
Téléphone : +243 81 404 36 41
Email : kapiambag@gmail.com, acajasbl@yahoo.fr
http://democratiechretienne.org/2014/09/29/le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-saisit-la-justice-internationale-et-porte-plainte-contre-la-r-d-congo-pour-violation-du-traite-international-relatif-aux-droits-civils-et-politiques/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Affaire Diomi Ndongala : la RDC traînée devant la justice internationale / AGENCE DE PRESSE ADIAC
par FreeDiomi le 29 septembre 2014
Le député national Diomi Ndongala, avec l’assistance de l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj), a déposé en début du week-end une plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’Homme des Nations unies. Cet opposant reproche au pays la violation des droits fondamentaux lui garantis par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques que la RDC a déjà ratifié.
Dans une conférence de presse tenue le 30 septembre, quatre jours après la réception de cette plainte par cette structure de l’ONU, au siège de l’Acaj, le président de cette ONG, Me Georges Kapiamba, a noté qu’Eugène Diomi sollicite du Comité des droits de l’Homme qu’il constate ces violations et exige de la RDC d’annuler la condamnation de la Cour suprême de justice (CSJ) et qu’il soit remis en liberté.
Le président de la Démocratie chrétienne attend également de cette action qu’il lui soit payée une réparation adéquate pour les dommages subis de suite de son enlèvement, sa détention au secret, la privation de soins de santé et sa condamnation, alors que la RDC devra également reconnaître publiquement ces violations des droits fondamentaux et lui présenter solennellement des excuses, s’engager à ce que ce genre des violations ne se reproduisent plus et indiquer des dispositions concrètes qu’elle va prendre afin de faire cesser des atteintes répétées à l’indépendance du pouvoir judiciaire.
Dans son exposé, le président de l’Acaj a souligné un cas d’école qui a concerné les relations entre la RDC et cette structure de l’ONU. Il s’agit de l’affaire des trois cent quinze magistrats irrégulièrement révoqués sous Mzée Laurent-Désiré Kabila qui ont, ensuite, été réhabilités en application de la décision du Comité des droits de l’Homme de l’ONU. « La RDC ayant ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi que son premier Protocole facultatif, elle a l’obligation internationale de se soumettre aux décisions prises par le Comité des droits de l’Homme et les exécuter sans réserve. C’est d’ailleurs en exécution de cette obligation que la RDC avait appliqué la décision du Comité des droits de l’Homme lui prescrivant la réhabilitation des trois cent quinze magistrats qu’elle avait irrégulièrement révoqués », a précisé Me Georges Kapiamba.
Lucien Dianzenza
Me Bopaul et Georges Kapiamba, devant la presse/Photo Adiac.
http://www.adiac-congo.com/content/affaire-diomi-ndongala-la-rdc-trainee-devant-la-justice-internationale-20929
http://democratiechretienne.org/2014/09/29/affaire-diomi-ndongala-la-rdc-trainee-devant-la-justice-internationale-agence-de-presse-adiac/
par FreeDiomi le 29 septembre 2014
Affaire Diomi Ndongala : la RDC traînée devant la justice internationale
Lundi 29 Septembre 2014 – 16:15
Le député emprisonné, qui a considéré qu’au niveau du pays, tout a été fait pour lui empêcher de bénéficier de la justice vient de saisir le Comité des droits de l’Homme des Nations unies.
Le député national Diomi Ndongala, avec l’assistance de l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj), a déposé en début du week-end une plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’Homme des Nations unies. Cet opposant reproche au pays la violation des droits fondamentaux lui garantis par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques que la RDC a déjà ratifié.
Dans une conférence de presse tenue le 30 septembre, quatre jours après la réception de cette plainte par cette structure de l’ONU, au siège de l’Acaj, le président de cette ONG, Me Georges Kapiamba, a noté qu’Eugène Diomi sollicite du Comité des droits de l’Homme qu’il constate ces violations et exige de la RDC d’annuler la condamnation de la Cour suprême de justice (CSJ) et qu’il soit remis en liberté.
Le président de la Démocratie chrétienne attend également de cette action qu’il lui soit payée une réparation adéquate pour les dommages subis de suite de son enlèvement, sa détention au secret, la privation de soins de santé et sa condamnation, alors que la RDC devra également reconnaître publiquement ces violations des droits fondamentaux et lui présenter solennellement des excuses, s’engager à ce que ce genre des violations ne se reproduisent plus et indiquer des dispositions concrètes qu’elle va prendre afin de faire cesser des atteintes répétées à l’indépendance du pouvoir judiciaire.
Une plainte soutenue par plus de trois cents pièces
Un cas de jurisprudenceDiomi Ndongala et l’Acaj ont annexé à cette plainte près de trois cents pièces justifiant l’épuisement de toutes les voies de recours au niveau du pays. Parmi les documents joints à cette plainte, il y a notamment, selon Me Georges Kapiamba, des preuves sur le vice de procédure lors de différentes audiences du procès, sur son enlèvement et son incarcération au secret, sur le déni de soins de santé, sur la non-prise de compte de différents recours et appels interjetés, etc. « Les différentes plaintes adressées aux autorités judiciaires compétentes, contre inconnus, pour enlèvement et détention au secret n’ont jamais été instruites. Le 27 décembre 2013, il fut brutalement arraché de son lit d’hospitalisation de la clinique Ngaliema par des hommes en uniforme de la police et retourné dans sa cellule de la prison de Makala alors qu’il venait d’y être admis, en urgence, pour des examens et soins médicaux de suite d’un accident vasculaire cérébrale. Les appels à sa libération, à une enquête indépendante et au respect de son droit aux soins médicaux appropriés, lancés par plusieurs organisations gouvernementales internationales ainsi que des ONG des droits de l’Homme furent ignorés par les autorités congolaises », a soutenu le président de l’Acaj, justifiant cette saisine du Comité des droits de l’Homme de l’ONU. Pour ce juriste, en effet, « c’est une plainte importante par rapport à la période que le pays est en train de traverser au cours de laquelle il y a des contestations politiques et la tentative de la révision constitutionnelle ». À en croire le président de l’Acaj qui pense que cette action ainsi que la décision du Comité des droits de l’Homme devront également jouer un rôle pédagogique, si les Nations unies ne prennent pas leur responsabilité pour rappeler la RDC à l’ordre, on assistera, d’ici l’année prochaine, « à la condamnation des opposants à de lourdes peines de prison ».
Dans son exposé, le président de l’Acaj a souligné un cas d’école qui a concerné les relations entre la RDC et cette structure de l’ONU. Il s’agit de l’affaire des trois cent quinze magistrats irrégulièrement révoqués sous Mzée Laurent-Désiré Kabila qui ont, ensuite, été réhabilités en application de la décision du Comité des droits de l’Homme de l’ONU. « La RDC ayant ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi que son premier Protocole facultatif, elle a l’obligation internationale de se soumettre aux décisions prises par le Comité des droits de l’Homme et les exécuter sans réserve. C’est d’ailleurs en exécution de cette obligation que la RDC avait appliqué la décision du Comité des droits de l’Homme lui prescrivant la réhabilitation des trois cent quinze magistrats qu’elle avait irrégulièrement révoqués », a précisé Me Georges Kapiamba.
Lucien Dianzenza
Légendes et crédits photo :
Me Bopaul et Georges Kapiamba, devant la presse/Photo Adiac.
http://www.adiac-congo.com/content/affaire-diomi-ndongala-la-rdc-trainee-devant-la-justice-internationale-20929
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RDC: l’opposant Diomi Ndongala porte plainte contre l’Etat /RADIO OKAPI
par FreeDiomi le 29 septembre 2014
Député national déchu et condamné à 10 ans de prison ferme pour viol sur mineure, Eugène Diomi Ndongala a, depuis une semaine, porté plainte contre l’Etat congolais auprès du Comité des droits de l’homme de l’Onu. Les avocats de Diomi Ndongala ont expliqué le bien-fondé de cette plainte, lundi 29 septembre, au cours d’une conférence de presse tenue dans leur cabinet à Kinshasa.
Contacté par Radio Okapi, le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende, s’est refusé de tout commentaire dans cette affaire.
En mars dernier, six ONG de défense de droits de l’homme avaient exigé la libération de Diomi Ndongala, estimant qu’il avait été condamné à cause de ces opinions politiques.
Pour manifester leur soutien à l’opposant, elles avaient lancé à Kinshasa le «Comité de soutien d’Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique».
radio okapi
par FreeDiomi le 29 septembre 2014
RDC: l’opposant Diomi Ndongala porte plainte contre l’Etat
publié il y a 2 heures, 40 minutes, | Denière mise à jour le 29 septembre, 2014 à 9:11 | Mots clés: ‘Onu’, Acaj, Diomi Ndongala,Eugene Diomi Ndongala le 16/09/2013, lors d’un procès à la cour suprême de justice à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo |
Me Georges Kapiamba a expliqué que le comité des droits de l’homme de l’Onu peut demander à ce que Diomi soit remis en liberté.Le président de l’Association congolaise d’accès à la justice (Acaj), Me Georges Kapiamba, a assuré que son client serait réhabilité dans ses droits fondamentaux, violés par la justice congolaise:
«Le comité [des droits de l’homme de l’Onu] a la compétence de recevoir la plainte de Diomi Ndongala, d’examiner sa recevabilité quant à la forme et de communiquer au Gouvernement pour ses observations et puis de statuer sur les mesures provisoires ou conservatoires que Diomi Ndongala a sollicitées. On peut plus tard répondre sur le fond, qui peut consister à constater que les dites violations sont bel et bien établies dans le chef de l’Etat».
Contacté par Radio Okapi, le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende, s’est refusé de tout commentaire dans cette affaire.
En mars dernier, six ONG de défense de droits de l’homme avaient exigé la libération de Diomi Ndongala, estimant qu’il avait été condamné à cause de ces opinions politiques.
Pour manifester leur soutien à l’opposant, elles avaient lancé à Kinshasa le «Comité de soutien d’Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique».
radio okapi
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RFI: DIOMI NDONGALA PORTE PLAINTE CONTRE LA RDC, APRES AVOIR ETE VICTIME D’UNE PROCEDURE VICIEE PAR 184 VIOLATIONS JURIDIQUES DE LA PART DU POUVOIR JUDICIARE CONGOLAIS
par FreeDiomi le 30 septembre 2014
http://democratiechretienne.org/2014/09/30/rfi-diomi-ndongala-porte-plainte-contre-la-rdc-apres-avoir-ete-victime-dune-procedure-viciee-par-184-violations-juridiques-de-la-part-du-pouvoir-judiciare-congolais-rfi/
par FreeDiomi le 30 septembre 2014
[img(78.80000000000001px,77.80000000000001px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2013/09/rfi.png?w=620[/img]
RDC: l’opposant Diomi Ndongala porte plainte contre l’Etat
Par RFI
Etienne Tshisekedi (Centre D) aux côtés d’Eugène Diomi Ndongala (Centre G) à l’église Notre-Dame de Kinshasa, le 22 Juin 2012. A L OCCASION DE LA MESSE ORGANISEE PAR LA MPP ET DIOMI NDONGALA POUR COMPATIR AVEC LES POPULATIONS DE L EST DE LA RDC / AFP PHOTO / JUNIOR DIDI KANNAH
- [img(31.799999999999997px,23.799999999999997px)]http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_43_small/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/REP-DEM-CONGO_drapeau-%5BConverti%5D_0.png[/img] République Démocratique du Congo
En République démocratique du Congo (RDC), l’opposant Eugène Diomi Ndongala se tourne vers la justice internationale. Condamné à dix ans de prison ferme pour viol sur mineure en mars dernier, l’ex-député de l’opposition a décidé de porter plainte auprès du Comité des droits de l’homme des Nations unies, à Genève, pour violation de ses droits à la défense. L’objectif, selon ses avocats, est de faire annuler le verdict pour fautes de procédure multiples, car en RDC toutes les voies de recours sont épuisées après un verdict en Cour de cassation sans possibilité de faire appel.
Cinq magistrats au lieu des sept prévus par la loi pour juger l’ex-député ; le refus d’accorder un certain nombre de soins au prévenu ou encore une détention sans contact avec ses proches pendant plus de trois mois. Pour les défenseurs d’Eugène Diomi Ndongala, de nombreux vices de procédure et violations des droits de l’homme entachent le procès contre l’opposant politique.
Au total, cent quatre-vingts vices de procédure ont été rassemblés dans un dossier et soumis au Comité international des droits de l’homme. L’objectif est faire annuler la condamnation à dix ans de prison ferme, alors qu’en RDC les voies de recours ont été épuisées.
L’espoir, c’est que l’instance onusienne décide que le procès n’était pas équitable comme l’explique Georges Kapiamba, président de l’Association pour l’accès à la justice (Acaj). Pour lui, il convient de
« constater d’abord que la RDC, dans son cas, a violé les différents droits et que, par conséquent, la RDC doit être obligée d’annuler la décision de condamnation de l’honorable Diomi Ndongala, de le remettre en liberté et aussi de pouvoir prendre des dispositions pour lui faire octroyer une réparation pour tous les dommages qu’il a subis du fait de ces poursuites irrégulières ».
Selon les avocats du député Diomi, le traité international relatif aux droits civils et politiques, signé en 1969 par Kinshasa, lie la RDC aux décisions de ce Comité international des droits de l’homme. Cependant, dans l’immédiat, l’instance onusienne a deux mois pour statuer sur la recevabilité ou non de la plainte de Diomi Ndongala.
http://www.rfi.fr/afrique/20140929-rdc-opposant-diomi-ndongala-porte-plainte-contre-etat/?aef_campaign_date=2014-09-29&aef_campaign_ref=partage_user&ns_campaign=reseaux_sociaux&ns_linkname=editorialhttp://democratiechretienne.org/2014/09/30/rfi-diomi-ndongala-porte-plainte-contre-la-rdc-apres-avoir-ete-victime-dune-procedure-viciee-par-184-violations-juridiques-de-la-part-du-pouvoir-judiciare-congolais-rfi/
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