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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA

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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Empty Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA

Message  KOTA 22/7/2014, 9:11 pm

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Message  KOTA 22/7/2014, 10:18 pm

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Message  KOTA 28/7/2014, 7:44 pm

LETTRE OUVERTE D’EUGENE DIOMI NDONGALA AU PRESIDENT BARACK OBAMA
par FreeDiomi le 28 juillet 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Capture280714



LETTRE OUVERTE
 

A S.E. Barack Hussein Obama,
Président des Etats Unis d’Amérique,
c/o Ambassade des Usa à Kinshasa, RDC
 

Monsieur le Président,
 
Je m’adresse à vous au nom de la liberté d’expression et des libertés civiles et politiques, en tant que valeurs universelles bafouées en République Démocratique du Congo.


A cet effet, je tiens à soumettre à votre attention les cas des prisonniers politiques qui croupissent en ce moment dans les « mouroirs » qui sont les prisons congolaises, à cause de leurs opinions politiques.

Je souhaite exprimer ma profonde préoccupation concernant la volonté du gouvernement Kabila de modifier l’actuelle Constitution afin de prolonger le nombre de mandats du président sortant. Dans cette optique, je vous demande de prendre des mesures immédiates, conformément à votre dernier message au Congrès des Etats Unis concernant le Congo-Kinshasa, afin de protéger la paix ainsi que le droit à l’alternance politique en tant que pilier d’une vraie démocratie « gouvernante » et non « gouvernée », en République Démocratique du Congo.
Les dernières élections présidentielles et législatives qui ont eu lieu au Congo-Kinshasa en novembre 2011 ont été caractérisées par la fraude et le manque de crédibilité des résultats publiés par une Commission Electorale « Dépendante » au point qu’il est légitime de se poser la question suivante sur la capacité juridique de la majorité issue de cette fraude massive :

                           L’actuel régime politique au pouvoir en RDC peut-il revendiquer la légalité, la légitimité ainsi que l’opportunité de modifier l’actuelle Constitution ?

J’ estime que l’actuelle Majorité conjoncturelle manque de la légalité, de la légitimité et même de l’opportunité de modifier la Loi Fondamentale pour se pérenniser au pouvoir.

Il est nécessaire qu’il se tienne un vrai Débat National sur les limites d’un pouvoir issu d’élections contestables et contestées ainsi que sur la nécessité de respecter les droits fondamentaux des citoyens congolais qui continuent à être piétinés ; un Débat que votre administration pourrait soutenir, dans le respect de la Résolution 2098/2013 du CSNU, afin de promouvoir la paix et la démocratie en RDC, des valeurs qui préoccupent votre Administration, comme témoigne votre dernier message au Congrès concernant la République Démocratique du Congo et les ordonnances y afférant.

Il serait impossible de parler de Démocratie et Droits de l’Homme au Congo Kinshasa sans évoquer la question des détenus politiques, une catégorie de citoyens congolais dont je fais partie à cause de ma revendication de la « vérité des urnes » en RDC.

Les tentatives d’obstruction de ma liberté de mouvement, ma détention au secret alors que j’étais Député élu de la ville de Kinshasa dans les rangs de l’opposition politique, mon invalidation cavalière en tant que Député National, la violation de tous mes droits afin de me neutraliser politiquement à travers un montage politico-judiciaire débouchant sur une parodie de procès politique inique et irrespectueux des droits de la défense, tout cela a abouti à une condamnation scélérate qui   constitue une violation des obligations auxquelles la RDC est soumise au titre du droit international. A cela s’ajoutent les tortures physiques et morales dont je suis quotidiennement soumis et la volonté de mes tortionnaires me de placer, avec ma famille, dans une situation de « mort civile ».

Les fausses accusations portées contre ma personne et mon incarcération ne sont malheureusement pas  des cas isolés.

Sous le gouvernement Kabila, un nombre sans précédent de poursuites ont été engagées contre des opposants politiques, des défenseurs des droits de l’homme et des enquêtes à caractère intrusif des services de sécurité sont systématiquement lancées en vue d’identifier les sources et traquer les journalistes qui révèlent des informations sensibles dans l’intérêt général. Cette tendance obsessionnelle du gouvernement Kabila à réprimer l’opposition politique et son aversion pour toute manifestation publique promue par celle-ci, est anti-démocratique et ne peut plus durer à l’ère actuelle, au moment où l’Afrique a besoin de la normalisation du Congo-Kinshasa, après de décennies de guerres et violations massives des droits de l’homme, pour qu’un Congo nouveau puisse émerger en Afrique Centrale, un Congo que nous voulons respectueux des libertés individuelles et collectives et capable de profiter de ses immenses potentialités économiques.

Au contraire, un Congo qui demeurerait malade économiquement, politiquement et diplomatiquement risquerait de plomber l’élan pas seulement de la région de l’Afrique Centrale mais aussi de l’Afrique toute entière.
J’estime que les mesures répressives des libertés individuelles ainsi que la volonté de continuer à détenir des opposants à cause de leurs opinions politiques constituent des stratégies politiques dangereuses pour les équilibres instables de la région des Grands Lacs et une violation directe de l’engagement souscrit à Addis-Abeba, à l’occasion de la signature de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba, de promouvoir le processus de démocratisation et la réconciliation en RDC.

Vous n’êtes pas sans savoir que les réformes nécessaires et urgentes de la justice, de l’armée et des services de sécurité sont volontairement oubliées par le régime en place à Kinshasa qui persiste dans son inertie décadente dans le but d’occulter ses actes répréhensibles, la mauvaise gouvernance, la corruption généralisée, les abus des droits de l’homme.

De même, tous ceux qui dénoncent l’indifférence de l’actuel régime vers les problèmes réels des citoyens congolais, leur pauvreté extrême et généralisée, leur manque d’information deviennent, ipso-facto, des hommes et des femmes à abattre.
Je juge extrêmement préoccupant que l’actuel gouvernement congolais continue d’évoquer des urgences sécuritaires pour justifier les morts de citoyens désarmés qui sont immolés sur l’autel d’une prétendue « stabilité répressive », comme a été le cas le 30 décembre 2013 et le 22 juillet 2014 à Kinshasa.
Les Etats-Unis reconnaissent depuis longtemps le rôle essentiel du respect des Droits de l’Homme et des Droits Civils et Politiques dans l’établissement de bons rapports entre les états et surtout entre les peuples.
Par conséquent, je prie votre Administration de:


  • Soutenir la libération des opposants et prisonniers politiques détenus injustement en RDC, sur la base de faux dossiers montés par les services de sécurité afin de les éloigner de la scène politique ;
  • Soutenir l’Alternance et l’Alternative politique en RDC ;
  • Soutenir la tenue d’un Débat ou Dialogue National sur la reprise du processus de démocratisation de la RDC ;
  • Poursuivre la protection des Droits de l’Homme ainsi que des Droits Civils et Politiques des citoyens congolais, au nom du droit international  (La Déclaration Universelle des Droits de l ‘Homme ainsi que le Traité International Relatif aux droits civils et politiques) ;
  • Soutenir l’adoption par le Congrès de sanctions contre tous ceux qui s’opposent à la relance du processus de démocratisation en RDC et au droit inaliénable des citoyens congolais aussi bien de « voter » qu’ « élire » effectivement leurs dirigeants, sur la base d’élections libres, démocratiques, crédibles et respectueuses des échéances constitutionnelles.



En ce qui me concerne, je suis prêt à payer – et je paye déjà – le prix pour vivre un jour dans une société libre.


Je vous prie d’agréer, monsieur le Président, l’expression de ma haute considération distinguée.


Kinshasa, le 27/07/2014


Eugène Diomi Ndongala,


Président National de la Démocratie Chrétienne, DC,
Porte-Parole de la Majorité Présidentielle Populaire, MPP,
Prisonnier Politique en RDC
http://t.co/Ejdd6icUuy
KOTA
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Message  KOTA 29/7/2014, 3:09 pm

Barack Obama appelé à soutenir la libération des prisonniers politiques en RDC /TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 29 juillet 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Obama-et-prisonniers-politiques
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Tempete-des-tropiques290714-001
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Obama-et-prisonniers-politiques
Barack Obama appelé à soutenir la libération des prisonniers politiques en RDC
Le président américain invité à prendre des mesures immédiates, conformément à son dernier message au Congrès concernant le Congo-Kinshasa, afin de protéger la paix ainsi que le droit à l’alternance politique.
Dans une déclaration rendue publique hier lundi 28 juillet par le bureau politique de la Démocratie chrétienne, cette structure attire l’attention du président américain Barack Obama sur la question des prisonniers politiques qui croupissent en ce moment dans les mouroirs “ que sont les prisons congolaises, injustement détenus à cause de leurs opinions politiques, cas d’Eugène Diomi Ndongala et bien d’autres. La DC exprime également sa profonde préoccupation concernant la volonté de l’actuel gouvernement congolais de modifier l’actuelle Constitution afin de prolonger le nombre de mandats du président sortant. Ce parti demande donc à Obama de prendre des mesures immédiates, conformément à son dernier message au Congrès des Etats Unis concernant le Congo-Kinshasa, afin de protéger la paix ainsi que le droit à l’alternance politique en tant que pilier d’une vraie démocratie “ gouvernante “ et non “ gouvernée “, en République Démocratique du Congo.
Majorité sans légalité
La DC rappelle que les dernières élections présidentielles et législatives qui ont eu lieu au Congo-Kinshasa en novembre 2011 ont été caractérisées par la fraude et le manque de crédibilité des résultats. Ce qui la pousse à dire que l’actuelle Majorité manque de légalité, de légitimité et même de l’opportunité de modifier la loi fondamentale pour se pérenniser au pouvoir.
Le parti cher à Diomi Ndongala pense qu’il est nécessaire de tenir un vrai débat national que l’administration Obama pourrait soutenir, dans le respect de la Résolution 2098/ 2013 du CSNU, afin de promouvoir la paix et la démocratie en RDC. Dans cette logique, poursuit la DC. Il serait impossible de parler de la démocratie et des droits de l’Homme au Congo-Kinshasa sans évoquer la question des détenus politiques, une catégorie de citoyens congolais dont fait partie l’honorable Eugène Diomi Ndongala, “ à cause de sa revendication de la vérité des urnes “ en RDC. La DC porte à la connaissance de Barack Obama les tentatives d’obstruction de la liberté de mouvement de son leader, sa détention au secret alors qu’il était député élu de la ville de Kinshasa dans les rangs de l’opposition politique, son invalidation cavalière, la violation de tous ses droits afin de le neutraliser politiquement à travers un “ montage politico-judiciaire” débouchant sur une “ parodie de procès politique inique et irrespectueux “ des droits de la défense, assortie d’une condamnation scélérate qui constitue une violation des obligations auxquelles la RDC est soumise au titre du droit international.
Mesures répressives
A en croire cette formation politique, les mesures répressives des libertés individuelles ainsi que la volonté de continuer à détenir des opposants à cause de leurs opinions politiques constituent une violation directe de l’engagement souscrit à Addis-Abeba, à l’occasion de la signature de l’Accord Cadre, de promouvoir le processus de démocratisation et la réconciliation en RDC. Le parti cher à Diomi prie donc l’administration américain de soutenir la libération des opposants et prisonniers politiques détenus injustement en RDC, soutenir l’alternance politique en RDC, la tenue d’un débat national sur la reprise du processus de démocratisation de la RDC, l’adoption par le Congrès de sanctions contre tous ceux qui s’opposent à la relance du processus de démocratisation en RDC et au droit inaliénable des citoyens congolais aussi bien de “ voter” que d” élire ‘ effectivement leurs dirigeants, sur la base des élections libres, démocratiques, crédibles et respectueuses des échéances constitutionnelles.
STONE
TEMPETE DES TROPIQUES

http://democratiechretienne.org/2014/07/29/barack-obama-appele-a-soutenir-la-liberation-des-prisonniers-politiques-en-rdc-tempet/
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Message  Admin 29/7/2014, 3:50 pm

Dernièrement j’étais à Kinshasa (début juillet) et on m'a montré l'immeuble de Diomi en construction.
Vraiment cet homme a sacrifié son confort pour ce combat politique! Il y a certainement un héroïsme que je salue très respectueusement.
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Message  KOTA 29/7/2014, 4:26 pm

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Accusee-recept-usa-001
juil292014
LETTRE OUVERTE D’EUGENE DIOMI NDONGALA AU PRESIDENT BARACK OBAMA /CARNET D’UN PRISONNIER POLITIQUE EN RDC http://congo4live.com/2014/07/29/lettre-ouverte-deugene-diomi-ndongala-au-president-barack-obama-carnet-dun-prisonnier-politique-en-rdc/
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Message  KOTA 29/7/2014, 9:47 pm



EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Capturerfi
Kabila veut maintenant la mort civile d'Eugène Diomi Ndongala/RFI
https://www.youtube.com/watch?v=BSlOUFNfVeU
https://www.youtube.com/watch?v=BSlOUFNfVeU
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Message  KOTA 31/7/2014, 4:52 pm


DECLARATION POLITIQUE CONJOINTE DE LA MPP ET DE LA DC / KINSHASA, SALLE DE FATIMA, 31/07/2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Declaration-pol-dc-mpp-entete

DECLARATION POLITIQUE CONJOINTE DE LA MPP ET DE LA DC
Salle de Fatima, le 31/07/2014 à 12h30
La Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle, un regroupement politique réunissant des personnalités politiques, des partis politiques et associations de la société civile progressistes, s’est réunie récemment avec le bureau politique de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle,  pour analyser et évaluer la situation sociale, économique, politique et diplomatique du pays et pour proposer des pistes de solution à la regression du processus de démocratisation en cours en R.D.Congo.
DE L’HISTORIQUE ET DE LA MISSION DE LA MPP
Au lendemain de l’organisation et du déroulement du scrutin présidentiel et législatif de novembre 2011, le tissu social du pays s’est effiloché d’avantage à cause des résultats chaotiques et dépourvus de crédibilité proclamés par la Commission Electorale dite « Indépendante ».
L’opinion se souvient que lors de la fameuse « investiture » de monsieur Kabila en décembre 2011, aucune personnalité politique étrangère de très haut rang n’a fait le déplacement à Kinshasa  à cause de le hold-up électoral qui venait d’être opéré au grand jour au vu et au su de tous les congolais et des observateurs électoraux de bonne foi. De plus, le peuple congolais  était tenu à distance de cet évènement qui avait eu lieu à l’intérieur d’un camp militaire ultra-protégé et qui n’avait donné lieu à aucune réjouissance populaire…
 C’est sur cet élan  de réappropriation du processus de démocratisation manifestement en panne et en régression en RDC qu’  est né la Majorité Présidentielle Populaire,  MPP en sigle, en tant que  structure de pression regroupant les personnalités et partis politiques ainsi que les associations revendiquant la reconnaissance nationale et internationale de la victoire du Président élu démocratiquement Monsieur ETIENNE TSHISEKEDI,  à laquelle s’ajoute la voix des députés réellement élus mais gommés par un Commission Electorale dite « Indépendante ».
  Les échos de ces revendications de la légitimité du président élu Etienne TSHISEKEDI et celle des députés réellement élus,  ont été entendus par la communauté internationale qui,  par l’Accord Cadre d’ADDIS ABEBA,  en février 2013, a demandé  notamment à monsieur KABILA  – qui en était le signataire –  de reformer de l’armée, les services de sécurité et de relancer le processus de démocratisation au Congo- Kinshasa.
UNE HISTOIRE DE LUTTE ET DE SACRIFICE POUR UN IDEAL
La veille de la cérémonie programmée de signature par plus de 50 partis politiques de la Charte Constitutive de la MPP, M. EUGENE DIOMI NDONGALA, Président National de la Démocratie Chrétienne, Initiateur de la MPP et  son Porte – parole, alors Député National Elu de la  ville de Kinshasa,  est devenu l’homme à abattre et à neutraliser par le gouvernement KABILA : il a fait l’objet d’une détention au secret et par la suite d’un véritable harcèlement politico-judiciaire pour le faire taire en tant que fer de lance de l’opposition politique congolaise.
Avec lui, d’autres membre de la MPP ont été aussi détenus au secrets par les services de sécurité et par la suite incriminés sur la base d’un montage fallacieux dit « Groupe Insurrectionnel Diomi Ndongala » que le pouvoir lui-même a laissé tomber.
Le harcèlement politico-judiciaire dont il est victime notre porte-parole,  qui est actuellement un prisonnier politique de ce régime, découle de sa détermination dans son  combat pour la vérité des urnes et de sa dénonciation ferme et cohérente de la crise de légitimité qui frappe les institutions présidentielle et législative depuis novembre 2011.
Hanté par l’obsession de se maintenir  au pouvoir par la force,  le régime  emploiera tous les moyens pour faire taire l’initiateur de la MPP : emprisonnement illégal, procès politique scélérat et inique, condamnation sans preuve de culpabilité et surtout le soumettant à des tortures physique et morales arrivant jusqu’à lui nier des soins de santé,  et le plaçant enfin  dans une situation de mort civile.
A cause de  la détermination  aussi bien de sa famille politique, de son parti  et que du porte –parole de la MPP lui-même,  malgré son arrestation, plusieurs membres de sa  famille politique et même l’épouse de M. Diomi, M.me PATRIZIA DIOMI, font actuellement  l’objet de menaces, tortures morales  et intimidations de la part des services de sécurité.
A ce jour s’ajoute également la volonté dévoilée au grand jour, par le régime Kabila,  de vouloir anéantir  Monsieur DIOMI NDONGALA en le dépossédant de tous ses bien, comme cela arrivait en Union Soviétique, pour les prisonniers politiques  incarcérés par de ce régime liberticide d’une autre époque.
C’est pourquoi la MPP et la DC  continuent et sont déterminées à exiger la libération de monsieur EUGENE DIOMI NDONGALA, DETENU POLITIQUE  ET PRIVE de M. KABILA ainsi que des autres détenus d’opinion à l’instar du pasteur Fernando KUTINO et Mr KABATSHI.
Dans cette optique, nous comptons organiser dans les jours à venir une Marche Populaire en coordination avec les forces progressistes de la RDC, demandant la libération de tous les prisonniers politiques.
DE LA SITUATION POLITIQUE ACTUELLE
Dans son obsession de  gouverner par défi,  contre la volonté du souverain primaire, ce régime de « facto » en place à Kinshasa a essayé de déjouer l’attention de la communauté internationale par rapport à l’Accord Cadre d’ADDIS ABEBA, convoquant et organisant une Concertation Nationale complétement contrôlée par la majorité au pouvoir,  dont les résolutions demeurent lettre morte à ce jour, laminant ainsi la cohésion nationale et affaiblissant le leadership national.
 La meilleure illustration de cette décadence institutionnelle a éclaté sur le plan interne à deux reprises au cours des derniers mois : les assauts des prétendus groupes  d’hommes, non autrement identifiés, de camps militaires à Kinshasa et ailleurs,  sont la preuve d’un malaise généralisé qui couve dans la société congolaise.
L’éloignement  de l’ancienne frange de l’opposition ayant pris part aux Concertations Nationales de ce processus biaisé justifie  à suffisance l’impérieuse nécessité de tenir un dialogue global, inclusif, franc et sincère afin d’apaiser les tensions internes et externes en perspective des échéances électorales à venir.
Sur cette question électorale, la MPP  et la DC réaffirment, dans la situation politique actuelle,  l’intangibilité de l’actuelle Constitution,   adoptée par referendum populaire à suffrage universel direct le 18 février 2006 et surtout  le respect du nombre et de la durée de mandats présidentiels qu’elle garantit.
De plus, La MPP et la DC considère qu’il serait impossible de lancer un processus électoral crédible et démocratique  en RDC sans avoir traité le précèdent contentieux électoral et surtout maintenant en détention les prisonniers politiques.
 
En conclusion,
 la MPP et la DC exigent :

  • la tenue un dialogue inclusif, franc et sincère d’ailleurs prévu par la Résolution 2098 / 13 du Conseil de Sécurité de l’Onu ; dans cette optique, la MPP et DC comptent utiliser tous les moyens légaux prévus par la Constitution en vigueur en RDC dont son article 64, afin de contrer toute démarche funeste visant le maintien du pouvoir par la force de l’actuelle majorité factice ;



  • Le respect des toutes les dispositions de l’actuelle Constitution, dont la révision serait illégale, illégitime et inopportune à la veille d’un nouveau cycle électoral ;


  • La libération des prisonniers politiques arbitrairement incarcérés en RDC, à cause d’une Justice asservie au pouvoir exécutif et cela afin de relancer le processus de démocratisation manifestement en panne et en régression en République Démocratique du Congo.

 
 
 
Vérité et  Justice pour le Congo,
Le peuple d’abord,
 
Fait à Kinshasa le 31/07/2014
Pour la MPP,                                                         Pour la Démocratie Chrétienne,
La Coordinatrice,                                                         Le Secrétaire Permanent,
M.me Pascalina Kudura                                              Jean Paul Itoupa        


http://democratiechretienne.org/
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Message  KOTA 31/7/2014, 11:47 pm

OPEN LETTER TO PRESIDENT BARACK OBAMA / by EUGENE DIOMI NDONGALA
par FreeDiomi le 31 juillet 2014

 EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Accusee-recept-usa-0011
OPEN LETTER TO PRESIDENT BARACK OBAMA
Kinshasa, 7/27/2014
Mr. Président,
                      I am writing to you in the name of freedom of speech, civil and political freedoms, as universal values flouted in Democratic Republic of Congo.
                      For this purpose, I want to submit to your attention the case of political prisoners languishing at this time in  “death houses”, which are  the congolese prisons, because of their political opinions.
                       I would like to express my profound concern regarding the will of congolese government to amend the actual Constitution in order to extend the number of term of the outgoing president
                       With this in mind, I ask you to take immediate actions according to your last message to  United States Congress, concerning Congo Kinshasa, in order to protect the peace and right of political alternation as the fundamental element of a true democracy.
                     The last presidential and legislative election that occurred in Congo in November 2011, have been characterized by fraud and lack of credibility of the results published by the electoral commission.
                     That is why  it is legitimate to ask the following question regarding the legal capacity of a political majority based on a massive electoral fraud :
                            ” Can the current political majority in DRC  claim  Legality, Legitimacy as well as  Opportunity to amend the actual Constitution?”
                            I believe that the current conjectural majority lack of Legality, Legitimacy and even Opportunity to amend the fundamental law in order to sustain in power.
                             It is necessary that a real national debate take place on the limits of power after questionable and contested elections as well as the necessity to respect the fundamental rights of Congolese citizens who continue to be victims of this unfair government.
                             A debate that your administration should support, in the respect of the resolution 2098/ 2013 of CSNU, to promote peace an democracy in DRC, those values that have a real importance for your administration.   You have shown it  in your last message to the Congress concerning DRC and his  subsequent Order.
                             It would be impossible to talk about democracy and human rights in Congo without mentioning the issue of political prisoners, a category of Congolese citizens to which I belong because of my claim of election transparency in DRC.
                            The tentative to obstruct my freedom of movement,   whereas I was an elected deputy of the city of Kinshasa in the ranks of the political opposition, my illegal invalidation as national deputy, the violation of all my rights in order to neutralize me through a parody of trial that were unfair and disrespectful of the rights of defence, all these persecutions have led to a rogue sentence that constitutes a violation of the obligations to which the DRC is subject under the international law.
                                Additionally, I am subject to physical and moral tortures and the will of my torturers to place my family in a situation of “civil death”.
                               Unfortunately, the false accusations against me and my imprisonment are not isolated cases in Congo – Kinshasa.
                               Under the Kabila government, a large number of lawsuits have been brought against political opponents, defenders of human rights and intrusive investigation by the security services are systematically  ordered to identify sources and to track journalists who denounces sensitive information  concerning their country.
                                This obsessive tendency of the Kabila government to repress political opponents and its aversion to any public manifestation promoted by the opposition, is undemocratic and cannot continue at the present era, when Africa needs a free Congo.
                                In order to allow the emergence  of a New Congo in Central Africa region, a Congo that we want respectful of individual and collective freedoms and able to take advantage of its enormous economic potentialities, Congolese people need the rule of law in their country.
                                  I believe that the adoption of repressive measures against individual freedoms as well as the willingness to  detain  political opponents,  constitute a political strategy that is dangerous for instable Great Lakes equilibriums, violating the commitment signed in Addis Ababa Global Accord, to promote democratic process and reconciliation in DRC.
                                   You are certainly aware that necessary and urgent reforms of Justice, Army, and Security Services are deliberately forgotten by the kabila regime, which persists in its decadent inertia,  in order to conceal its reprehensible acts, bad governance, general corruption and abuse of human rights.
                                    Similarly, all those who denounce the indifference of the actual regime regarding real issues of Congolese citizen such as their extreme and widespread poverty, their lack of information,  are considered as enemies to destroy.
                                     I find it extremely worrying that the current Congolese government continues to use security emergencies to justify deaths of unarmed citizens who are scarified in the name of  repressive stability, as in December 30,  2013 and in July 22,  2014 at Kinshasa.
                                     The United States support human rights in order to establish good relations among states and among peoples.
 Consequently, I pray your administration to :

  •  Support the release of political prisoners unjustly detained because of false records assembled by the security services to keep them away from the political scene;
  •  Support the political Alternation in DRC;
  • Support the holding of a national debate about the resumption of democratic process in DRC;
  • Continue to protect human rights as well as civil and political freedoms of Congolese citizens, and this in the name of international conventions (the Universal Declaration of Human Rights as well as the International Agreement on Civil and Political Rights).
  • Support the adoption by the American congress of sanctions against all those who conspire against democratic process in DRC and the inalienable right of Congolese citizens to vote   as well as to elect their leaders by free elections.


In my case, I am ready to pay –  and I am already paying –  the price to live one day in a free society.
Respectfully yours,
Eugène DIOMI NDONGALA,
Chairman of Christian Democratic Party ,
Political Prisoner.

*****************************************************************************************************
*****************************************************************************************************
 OPEN LETTER IN FRENCH:
LETTRE OUVERTE D’EUGENE DIOMI NDONGALA AU PRESIDENT BARACK OBAMA
28 juillet 2014
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Message  KOTA 1/8/2014, 2:12 am

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Message  zobattants 1/8/2014, 3:41 am

Kota et sa clique croient toujours a l' innoncence de Diomi...
Continuez a rever!
Attendez Lisanga Bonganga exiger et obtenir l' amnistie  des violeurs, de traitres( lumbala)...
Par contre, nous autres, nous voulons l' application de la loi... meme si elle est dure sed lex.
Vous voulez un Etat de Droit? Tshisekedi et son mupepe( mpp) veulent un Etat de Droit? Bien, vous voila servi
Laissez l' Etat du congo chemine lentement mais surement vers un Etat de droit ou la justice est aveugle... meme pour un president du parti politique, fils d' un ancien agent de la CIA , selon Ne Muanda Nsemi
 silent

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L 'enfant terrible de l' opposition farouche!!!!! Ye wana.. kie kie kie...

zobattants


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Message  KOTA 2/8/2014, 11:24 am

VIDEO/DECLARATION POLITIQUE DC / MPP – 31/07/2014
par FreeDiomi le 31 juillet 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Dc-mpp-31-714

 
 
 
 
 
 
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Declaration-pol-dc-mpp-entete

DECLARATION POLITIQUE CONJOINTE DE LA MPP ET DE LA DC / KINSHASA, SALLE DE FATIMA, 31/07/2014
 le 31 juillet 2014

 
 DECLARATION POLITIQUE CONJOINTE DE LA MPP ET DE LA DC
Salle de Fatima, le 31/07/2014 à 12h30
La Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle, un regroupement politique réunissant des personnalités politiques, des partis politiques et associations de la société civile progressistes, s’est réunie récemment avec le bureau politique de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle,  pour analyser et évaluer la situation sociale, économique, politique et diplomatique du pays et pour proposer des pistes de solution à la regression du processus de démocratisation en cours en R.D.Congo.
DE L’HISTORIQUE ET DE LA MISSION DE LA MPP
Au lendemain de l’organisation et du déroulement du scrutin présidentiel et législatif de novembre 2011, le tissu social du pays s’est effiloché d’avantage à cause des résultats chaotiques et dépourvus de crédibilité proclamés par la Commission Electorale dite « Indépendante ».
L’opinion se souvient que lors de la fameuse « investiture » de monsieur Kabila en décembre 2011, aucune personnalité politique étrangère de très haut rang n’a fait le déplacement à Kinshasa  à cause de le hold-up électoral qui venait d’être opéré au grand jour au vu et au su de tous les congolais et des observateurs électoraux de bonne foi. De plus, le peuple congolais  était tenu à distance de cet évènement qui avait eu lieu à l’intérieur d’un camp militaire ultra-protégé et qui n’avait donné lieu à aucune réjouissance populaire…
 C’est sur cet élan  de réappropriation du processus de démocratisation manifestement en panne et en régression en RDC qu’  est né la Majorité Présidentielle Populaire,  MPP en sigle, en tant que  structure de pression regroupant les personnalités et partis politiques ainsi que les associations revendiquant la reconnaissance nationale et internationale de la victoire du Président élu démocratiquement Monsieur ETIENNE TSHISEKEDI,  à laquelle s’ajoute la voix des députés réellement élus mais gommés par un Commission Electorale dite « Indépendante ».
  Les échos de ces revendications de la légitimité du président élu Etienne TSHISEKEDI et celle des députés réellement élus,  ont été entendus par la communauté internationale qui,  par l’Accord Cadre d’ADDIS ABEBA,  en février 2013, a demandé  notamment à monsieur KABILA  – qui en était le signataire –  de reformer de l’armée, les services de sécurité et de relancer le processus de démocratisation au Congo- Kinshasa.
UNE HISTOIRE DE LUTTE ET DE SACRIFICE POUR UN IDEAL
La veille de la cérémonie programmée de signature par plus de 50 partis politiques de la Charte Constitutive de la MPP, M. EUGENE DIOMI NDONGALA, Président National de la Démocratie Chrétienne, Initiateur de la MPP et  son Porte – parole, alors Député National Elu de la  ville de Kinshasa,  est devenu l’homme à abattre et à neutraliser par le gouvernement KABILA : il a fait l’objet d’une détention au secret et par la suite d’un véritable harcèlement politico-judiciaire pour le faire taire en tant que fer de lance de l’opposition politique congolaise.
Avec lui, d’autres membre de la MPP ont été aussi détenus au secrets par les services de sécurité et par la suite incriminés sur la base d’un montage fallacieux dit « Groupe Insurrectionnel Diomi Ndongala » que le pouvoir lui-même a laissé tomber.
Le harcèlement politico-judiciaire dont il est victime notre porte-parole,  qui est actuellement un prisonnier politique de ce régime, découle de sa détermination dans son  combat pour la vérité des urnes et de sa dénonciation ferme et cohérente de la crise de légitimité qui frappe les institutions présidentielle et législative depuis novembre 2011.
Hanté par l’obsession de se maintenir  au pouvoir par la force,  le régime  emploiera tous les moyens pour faire taire l’initiateur de la MPP : emprisonnement illégal, procès politique scélérat et inique, condamnation sans preuve de culpabilité et surtout le soumettant à des tortures physique et morales arrivant jusqu’à lui nier des soins de santé,  et le plaçant enfin  dans une situation de mort civile.
A cause de  la détermination  aussi bien de sa famille politique, de son parti  et que du porte –parole de la MPP lui-même,  malgré son arrestation, plusieurs membres de sa  famille politique et même l’épouse de M. Diomi, M.me PATRIZIA DIOMI, font actuellement  l’objet de menaces, tortures morales  et intimidations de la part des services de sécurité.
A ce jour s’ajoute également la volonté dévoilée au grand jour, par le régime Kabila,  de vouloir anéantir  Monsieur DIOMI NDONGALA en le dépossédant de tous ses bien, comme cela arrivait en Union Soviétique, pour les prisonniers politiques  incarcérés par de ce régime liberticide d’une autre époque.
C’est pourquoi la MPP et la DC  continuent et sont déterminées à exiger la libération de monsieur EUGENE DIOMI NDONGALA, DETENU POLITIQUE  ET PRIVE de M. KABILA ainsi que des autres détenus d’opinion à l’instar du pasteur Fernando KUTINO et Mr KABATSHI.
Dans cette optique, nous comptons organiser dans les jours à venir une Marche Populaire en coordination avec les forces progressistes de la RDC, demandant la libération de tous les prisonniers politiques.
DE LA SITUATION POLITIQUE ACTUELLE
Dans son obsession de  gouverner par défi,  contre la volonté du souverain primaire, ce régime de « facto » en place à Kinshasa a essayé de déjouer l’attention de la communauté internationale par rapport à l’Accord Cadre d’ADDIS ABEBA, convoquant et organisant une Concertation Nationale complétement contrôlée par la majorité au pouvoir,  dont les résolutions demeurent lettre morte à ce jour, laminant ainsi la cohésion nationale et affaiblissant le leadership national.
 La meilleure illustration de cette décadence institutionnelle a éclaté sur le plan interne à deux reprises au cours des derniers mois : les assauts des prétendus groupes  d’hommes, non autrement identifiés, de camps militaires à Kinshasa et ailleurs,  sont la preuve d’un malaise généralisé qui couve dans la société congolaise.
L’éloignement  de l’ancienne frange de l’opposition ayant pris part aux Concertations Nationales de ce processus biaisé justifie  à suffisance l’impérieuse nécessité de tenir un dialogue global, inclusif, franc et sincère afin d’apaiser les tensions internes et externes en perspective des échéances électorales à venir.
Sur cette question électorale, la MPP  et la DC réaffirment, dans la situation politique actuelle,  l’intangibilité de l’actuelle Constitution,   adoptée par referendum populaire à suffrage universel direct le 18 février 2006 et surtout  le respect du nombre et de la durée de mandats présidentiels qu’elle garantit.
De plus, La MPP et la DC considère qu’il serait impossible de lancer un processus électoral crédible et démocratique  en RDC sans avoir traité le précèdent contentieux électoral et surtout maintenant en détention les prisonniers politiques.
 
En conclusion,
 la MPP et la DC exigent :

  • la tenue un dialogue inclusif, franc et sincère d’ailleurs prévu par la Résolution 2098 / 13 du Conseil de Sécurité de l’Onu ; dans cette optique, la MPP et DC comptent utiliser tous les moyens légaux prévus par la Constitution en vigueur en RDC dont son article 64, afin de contrer toute démarche funeste visant le maintien du pouvoir par la force de l’actuelle majorité factice ;



  • Le respect des toutes les dispositions de l’actuelle Constitution, dont la révision serait illégale, illégitime et inopportune à la veille d’un nouveau cycle électoral ;


  • La libération des prisonniers politiques arbitrairement incarcérés en RDC, à cause d’une Justice asservie au pouvoir exécutif et cela afin de relancer le processus de démocratisation manifestement en panne et en régression en République Démocratique du Congo.

 
 
 
Vérité et  Justice pour le Congo,
Le peuple d’abord,
 
Fait à Kinshasa le 31/07/2014
Pour la MPP,                                                         Pour la Démocratie Chrétienne,
Porte-Parole Adjointe,                                            Le Secrétaire Permanent,
M.me Pascalina Kudura                                              Jean Paul Itoupa 
 
*****************
LETTRE OUVERTE D’EUGENE DIOMI NDONGALA AU PRESIDENT BARACK OBAMA

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Accusee-recept-usa-001

LETTRE OUVERTE D’EUGENE DIOMI NDONGALA AU PRESIDENT BARACK OBAMA
par FreeDiomi
LETTRE OUVERTE
 

A S.E. Barack Hussein Obama,
Président des Etats Unis d’Amérique,
c/o Ambassade des Usa à Kinshasa, RDC
 

Monsieur le Président,
 
Je m’adresse à vous au nom de la liberté d’expression et des libertés civiles et politiques, en tant que valeurs universelles bafouées en République Démocratique du Congo.
A cet effet, je tiens à soumettre à votre attention les cas des prisonniers politiques qui croupissent en ce moment dans les « mouroirs » qui sont les prisons congolaises, à cause de leurs opinions politiques.
Je souhaite exprimer ma profonde préoccupation concernant la volonté du gouvernement Kabila de modifier l’actuelle Constitution afin de prolonger le nombre de mandats du président sortant. Dans cette optique, je vous demande de prendre des mesures immédiates, conformément à votre dernier message au Congrès des Etats Unis concernant le Congo-Kinshasa, afin de protéger la paix ainsi que le droit à l’alternance politique en tant que pilier d’une vraie démocratie « gouvernante » et non « gouvernée », en République Démocratique du Congo.
Les dernières élections présidentielles et législatives qui ont eu lieu au Congo-Kinshasa en novembre 2011 ont été caractérisées par la fraude et le manque de crédibilité des résultats publiés par une Commission Electorale « Dépendante » au point qu’il est légitime de se poser la question suivante sur la capacité juridique de la majorité issue de cette fraude massive :
                           L’actuel régime politique au pouvoir en RDC peut-il revendiquer la légalité, la légitimité ainsi que l’opportunité de modifier l’actuelle Constitution ?
J’ estime que l’actuelle Majorité conjoncturelle manque de la légalité, de la légitimité et même de l’opportunité de modifier la Loi Fondamentale pour se pérenniser au pouvoir.
Il est nécessaire qu’il se tienne un vrai Débat National sur les limites d’un pouvoir issu d’élections contestables et contestées ainsi que sur la nécessité de respecter les droits fondamentaux des citoyens congolais qui continuent à être piétinés ; un Débat que votre administration pourrait soutenir, dans le respect de la Résolution 2098/2013 du CSNU, afin de promouvoir la paix et la démocratie en RDC, des valeurs qui préoccupent votre Administration, comme témoigne votre dernier message au Congrès concernant la République Démocratique du Congo et les ordonnances y afférant.
Il serait impossible de parler de Démocratie et Droits de l’Homme au Congo Kinshasa sans évoquer la question des détenus politiques, une catégorie de citoyens congolais dont je fais partie à cause de ma revendication de la « vérité des urnes » en RDC.
Les tentatives d’obstruction de ma liberté de mouvement, ma détention au secret alors que j’étais Député élu de la ville de Kinshasa dans les rangs de l’opposition politique, mon invalidation cavalière en tant que Député National, la violation de tous mes droits afin de me neutraliser politiquement à travers un montage politico-judiciaire débouchant sur une parodie de procès politique inique et irrespectueux des droits de la défense, tout cela a abouti à une condamnation scélérate qui   constitue une violation des obligations auxquelles la RDC est soumise au titre du droit international. A cela s’ajoutent les tortures physiques et morales dont je suis quotidiennement soumis et la volonté de mes tortionnaires me de placer, avec ma famille, dans une situation de « mort civile ».
Les fausses accusations portées contre ma personne et mon incarcération ne sont malheureusement pas  des cas isolés.
Sous le gouvernement Kabila, un nombre sans précédent de poursuites ont été engagées contre des opposants politiques, des défenseurs des droits de l’homme et des enquêtes à caractère intrusif des services de sécurité sont systématiquement lancées en vue d’identifier les sources et traquer les journalistes qui révèlent des informations sensibles dans l’intérêt général. Cette tendance obsessionnelle du gouvernement Kabila à réprimer l’opposition politique et son aversion pour toute manifestation publique promue par celle-ci, est anti-démocratique et ne peut plus durer à l’ère actuelle, au moment où l’Afrique a besoin de la normalisation du Congo-Kinshasa, après de décennies de guerres et violations massives des droits de l’homme, pour qu’un Congo nouveau puisse émerger en Afrique Centrale, un Congo que nous voulons respectueux des libertés individuelles et collectives et capable de profiter de ses immenses potentialités économiques.
Au contraire, un Congo qui demeurerait malade économiquement, politiquement et diplomatiquement risquerait de plomber l’élan pas seulement de la région de l’Afrique Centrale mais aussi de l’Afrique toute entière.
J’estime que les mesures répressives des libertés individuelles ainsi que la volonté de continuer à détenir des opposants à cause de leurs opinions politiques constituent des stratégies politiques dangereuses pour les équilibres instables de la région des Grands Lacs et une violation directe de l’engagement souscrit à Addis-Abeba, à l’occasion de la signature de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba, de promouvoir le processus de démocratisation et la réconciliation en RDC.
Vous n’êtes pas sans savoir que les réformes nécessaires et urgentes de la justice, de l’armée et des services de sécurité sont volontairement oubliées par le régime en place à Kinshasa qui persiste dans son inertie décadente dans le but d’occulter ses actes répréhensibles, la mauvaise gouvernance, la corruption généralisée, les abus des droits de l’homme.
De même, tous ceux qui dénoncent l’indifférence de l’actuel régime vers les problèmes réels des citoyens congolais, leur pauvreté extrême et généralisée, leur manque d’information deviennent, ipso-facto, des hommes et des femmes à abattre.
Je juge extrêmement préoccupant que l’actuel gouvernement congolais continue d’évoquer des urgences sécuritaires pour justifier les morts de citoyens désarmés qui sont immolés sur l’autel d’une prétendue « stabilité répressive », comme a été le cas le 30 décembre 2013 et le 22 juillet 2014 à Kinshasa.
Les Etats-Unis reconnaissent depuis longtemps le rôle essentiel du respect des Droits de l’Homme et des Droits Civils et Politiques dans l’établissement de bons rapports entre les états et surtout entre les peuples.
Par conséquent, je prie votre Administration de:

  • Soutenir la libération des opposants et prisonniers politiques détenus injustement en RDC, sur la base de faux dossiers montés par les services de sécurité afin de les éloigner de la scène politique ;
  • Soutenir l’Alternance et l’Alternative politique en RDC ;
  • Soutenir la tenue d’un Débat ou Dialogue National sur la reprise du processus de démocratisation de la RDC ;
  • Poursuivre la protection des Droits de l’Homme ainsi que des Droits Civils et Politiques des citoyens congolais, au nom du droit international  (La Déclaration Universelle des Droits de l ‘Homme ainsi que le Traité International Relatif aux droits civils et politiques) ;
  • Soutenir l’adoption par le Congrès de sanctions contre tous ceux qui s’opposent à la relance du processus de démocratisation en RDC et au droit inaliénable des citoyens congolais aussi bien de « voter » qu’ « élire » effectivement leurs dirigeants, sur la base d’élections libres, démocratiques, crédibles et respectueuses des échéances constitutionnelles.


En ce qui me concerne, je suis prêt à payer – et je paye déjà – le prix pour vivre un jour dans une société libre.
Je vous prie d’agréer, monsieur le Président, l’expression de ma haute considération distinguée.
Kinshasa, le 27/07/2014
Eugène Diomi Ndongala,
Président National de la Démocratie Chrétienne, DC,
Porte-Parole de la Majorité Présidentielle Populaire, MPP,
Prisonnier Politique en RDC
http://t.co/Ejdd6icUuy
******************************************************

  • OPEN LETTER TO PRESIDENT BARACK OBAMA / by EUGENE DIOMI NDONGALA /English Version



http://democratiechretienne.org/2014/07/31/videodeclaration-politique-dc-mpp-31072014/
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Message  KOTA 4/8/2014, 1:44 pm

VIDEO: DEJA AVANT LE MEETING du 04/08 ON DEMANDE LA LIBERATION DE #DIOMI http://congo4live.com/2014/08/03/ehhhhinspection-na-lieu-ya-meetingsg-b-mavungujc-vuembaa-kabuyabana-ndjili-baleli-diomi/  #rdc #drc #congo #diomi #freediomi

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Message  KOTA 4/8/2014, 6:25 pm


TSUNAMI POPULAIRE A NDJILI SAINT THERESE AU MEETING DES FORCES POPLITIQUES ET SOCIALES (OPPOSITION POLITIQUE): LES PREMIERES IMAGES
LES INTERVENANTS: M. JOSEPH KAPIKA, MADAME PASCALINA KUDURA AU NOM DE LA MPP/DC, M. MVMBA, M.ME THACKER, M. KITOKO, M. MWENZE KONGOLO ET D’AUTRES
L HON MVEMBA,  M.ME KUDURA DE LA MPP/DC   AINSI QUE M. JOSEPH KAPIKA – PORTE – PAROLE DE L’UDPS, ONT TOUS  EXIGE DANS LEURS DISCOURS,  LA LIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES DONT LE PLUS CELEBRE, EUGENE DIOMI NDONGALA: EN CE MOMENT LA FOULE A L UNISSONS A CHANTE : LIBEREZ-LIBEREZ – LIBEREZ DIOMI NDONGALA.
POINT COMMUN DE TOUS LES ORATEURS: LE BILAN CATASTROPHIQUE DE JOSEPH KABILA ET LE REJET ABSOLU DE L OPPOSITION POLITIQUE DE TOUTE MODIFICATION DE LA CONSTITUTION
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 10505345_10203780088015645_6133422209742116539_n
LES IMAGES VIDEO A SUIVRE DANS QUELQUES HEURES
 
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 10584057_10203765939736580_9154593877615170989_nEUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 995576_337782433042010_4203446616485371420_n
http://democratiechretienne.org/
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Message  KOTA 4/8/2014, 6:37 pm

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Message  Admin 4/8/2014, 8:11 pm

BRAVO!!!!!!!!!
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Message  Admin 4/8/2014, 8:37 pm

En même temps au Congo Bazza voisin il y a aussi eu un meeting populaire similaire avec le même combat!
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Message  GHOST 4/8/2014, 9:11 pm

Very Happy Very Happy Mr l´Admn

... Razz Razz Sur RFI..Sasou se..compare á Angela Merkel Embarassed Laughing lol! lol! Il a tout simplement oublié subitement que A Merkel n´est pas la "présidente" de la RFA et ne doit ses mandats de "PM" que par le canal des victoires aux élections parlementaires..où une coalition lui permet de continuer á diriger le Gouvernement lol! EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 152108 EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 152108 

BAVOOOOOO !


C´était la toute première manifestation "auttorisée" á Kin depuis plus de 5 ans EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 170322 EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 170322 La peur d´Obama est le commencement de la sagesse lol! 
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Message  KOTA 5/8/2014, 2:42 pm

RDC – Freddy Kita dela DC: "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"/JEUNE AFRIQUE
par FreeDiomi le 5 août 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Dc-logo-diomi
 
RDC – Freddy Kita : "Kabila n’a plus d’autre option, il doit partir en 2016 !"
Joseph Kabila(657)Freddy Kita(2)

 
04/08/2014 à 17:42 Par Trésor Kibangula
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Bt_texteMoins EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Bt_textePlus EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Bt_imprimer EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Bt_envoyer2  EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Bt_partager





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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 004082014171752000000rdcongoFreddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), le 4 août 2014 à Paris. © Elena Blum/J.A.
L’opposition congolaise a tenu lundi un "meeting populaire" à Kinshasa. De passage à Paris, un de ses membres, Freddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), explique à "Jeune Afrique" le sens de cette mobilisation. Interview.
Appel à la mobilisation au Nord-Kivu, "meeting populaire" à Kinshasa, l’opposition congolaise passe à l’offensive. Malgré l’absence de certains de ses leaders – Vital Kamerhe, Martin Fayulu, Félix Tshisekedi notamment – qui séjournent à Washington, plusieurs partis qui s’opposent au projet gouvernemental de révision constitutionnelle, ont organisé, le 4 août, un rassemblement à la place Sainte-Thérèse, dans le sud-est de la capitale congolaise.
"C’est désormais l’heure de l’action, a confié à Jeune Afrique Lydie Omanga, conseillère de Vital Kamerhe, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC), satisfaite de la "réussite" de la manifestation qui s’est déroulée dans le calme. En présence de différents opposants politiques dont Mwenze Kongolo, ancien ministre de la Justice sous Laurent-Désiré Kabila, Bruno Mavungu, secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jean-Lucien Busa, transfuge du Mouvement pour la libération du Congo (MLC) ainsi que quelques représentants de la société civile kinoise.
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Tsho-tsha
M.me Kudura de la MPP/DC Oratrice au Meeting de l’Opposition à Sainte Thèrese
De passage à Paris,  Freddy Kita, secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC, opposition), a de son côté salué la démarche, soulignant que "c’est le début de la mobilisation du peuple".
Jeune Afrique : Peut-on considérer que l’opposition congolaise est plus que jamais déterminée à barrer la route à une éventuelle modification de la Constitution pouvant permettre au président Joseph Kabila de se représenter en 2016 ?
Freddy Kita : Ce n’est pas une affaire d’opposition politique, mais c’est le peuple congolais dans son ensemble qui veut dire "non" à ce pouvoir qui le gouverne par défi. Aujourd’hui, l’économie de la RDC se trouve par terre, les conditions sociales de la population laissent à désirer, l’insécurité bat son plein, mais Joseph Kabila cherche encore à s’accrocher au pouvoir. Le peuple, lui, est fatigué. Il se lève pour montrer son indignation. C’est le début de la mobilisation du peuple.
Que répondez-vous à la majorité au pouvoir lorsqu’elle affirme que tout projet de révision constitutionnelle n’est pas forcément illégal, dès lors qu’il ne touche pas aux articles verrouillés de la Constitution ?
Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir.
Pourquoi doit-on toujours modifier la Constitution lorsqu’on s’approche des échéances électorales en RDC ? Avant la présidentielle de 2011, la majorité mécanique au Parlement a ramené le scrutin à un tour et aujourd’hui elle cherche encore à bidouiller le texte constitutionnel pour permettre à son champion de briguer un autre mandat. Nous ne sommes pas d’accord. Si elle tient à son projet de révision, elle doit attendre la fin du processus électoral de 2016. Nous savons que Joseph Kabila a peur de quitter le pouvoir. Peur de se retrouver demain devant la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes qu’il a commis dans le pays. Mais, il n’y a plus d’autre option : en 2016, il doit partir !
Le départ de Kabila en 2016 semble être un objectif qui réunit l’opposition congolaise, réputée pour ses divisions et ses luttes internes…
Même 10 enfants issus d’une même famille ne parlent jamais un même langage. L’important est qu’ils se reconnaissent tous d’un même père. C’est le cas aujourd’hui de l’opposition congolaise. Au-delà de nos divergences, nous faisons bloc pour nous opposer à toute modification de la Constitution.
>> Lire aussi : Kabila ou la stratégie du félin
Au même moment à Washington s’ouvre le Sommet États-Unis – Afrique, qu’est-ce que votre parti, la Démocratie chrétienne (DC), et l’opposition en RDC attendent-elles de cette rencontre à laquelle participe également le président Joseph Kabila ?
C’est aux Congolais de résoudre les problèmes de la RDC. Nous devons donc continuer à nous mobiliser pour nous prendre en charge. La communauté internationale n’est là que pour nous accompagner dans cette démarche.
En attendant, le leader de votre parti, Eugène Diomi Ndongala, condamné pour viol, continue à croupir en prison et les parties civiles demandent désormais des dommages et intérêts importants…
Ce n’est pas une surprise. Nous savons que Joseph Kabila est derrière ce scénario.  C’est un père de famille. Un grand leader politique.Après sa condamnation arbitraire, il continue de mener son combat depuis sa cellule…
Il publie chaque semaine le "Carnet d’un prisonnier politique".
C’est ce qui dérange et qui a provoqué ce nouveau rebondissement de l’affaire au civil.
Jeuneafrique.com

http://democratiechretienne.org/2014/08/05/rdc-freddy-kita-dela-dc-kabila-na-plus-dautre-option-il-doit-partir-en-2016-jeune-afrique/


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Message  KOTA 5/8/2014, 2:44 pm



VIDEO : INTEGRALITE DU MEETING DE L’OPPOSITION TSHO TSHA A NDJILI SAINTE THERESE

       5 août 2014
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Message  KOTA 5/8/2014, 7:06 pm

La MPP et la DC s’opposent au maintien du pouvoir par la force en RDC / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 5 août 2014
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La MPP et la DC s’opposent au maintien du pouvoir par la force en RDC

  • La Tempête des Tropiques


Dans une déclaration politique conjointe 
Au cours d’une déclaration commune faite jeudi 31 juillet à la paroisse Notre Dame de Fatima, la Majorité présidentielle populaire (MPP), et la Démocratie chrétienne (DC) comptent utiliser tous les moyens légaux prévus par la Constitution en vigueur en RDC, dont son article 64, afin de contrer toute démarche funeste visant le maintien du pouvoir par la force de l’actuelle majorité.
Les deux structures politiques exigent la tenue un dialogue inclusif, franc et sincère, prévu par la Résolution 2098/13 du Conseil de Sécurité de l’Onu, et insistent sur le respect des toutes les dispositions de l’actuelle Constitution, dont la révision serait illégale, illégitime et inopportune à la veille d’un nouveau cycle électoral.
Aussi, elles recommandent la libération des prisonniers politiques arbitrairement incarcérés en RDC afin de relancer le processus de démocratisation manifestement en panne et en régression.
Cette déclaration a été lue et signée par Pascaline Kudura, porte parole ajointe de la MPP, contresignée par Jean-Paul Itoupa pour le compte de la Démocratie chrétienne.
De la situation politique actuelle
 A partir des analyses et observations faites sur la situation politique en République démocratique du Congo, la MPP et la DC condamnent l’obsession de la Majorité présidentielle (MP) de vouloir à tout prix gouverner par défi, contre la volonté du souverain primaire. Ce régime, estiment-elles, a essayé de déjouer l’attention de la communauté internationale par rapport à l’Accord cadre d’Addis-Abeba, en organisant des concertations nationales « complètement contrôlées par la majorité au pouvoir, dont les résolutions demeurent lettre morte à ce jour, laminant ainsi la cohésion nationale et affaiblissant le leadership national », peut-on lire dans cette déclaration.
 La MPP et la DC réaffirment, dans la situation politique actuelle, l’intangibilité de l’actuelle Constitution, adoptée par referendum populaire à suffrage universel direct et promulguée le 18 février 2006, et surtout le respect du nombre et de la durée du mandat présidentiel qu’elle garantit.De plus, La MPP et la DC considèrent qu’il serait impossible de lancer un processus électoral crédible et démocratique en RDC sans avoir traité le précédent contentieux électoral.
Elles dénoncent également le harcèlement politico-judiciaire dont est victime le porte-parole de la MPP, Eugène Diomi Ndongala, actuellement prisonnier politique, à cause de sa détermination dans son combat pour la vérité des urnes.  De même, poursuit la déclaration, les membres de sa famille politique et biologique dont son épouse Patrizia Diomi, malgré son arrestation, font actuellement l’objet de menaces, tortures morales  et intimidations.  Il faut signaler que la MPP a réaménagé son staff dirigeant pour beaucoup plus de dynamisme et d’efficacité, par rapport aux enjeux politiques de l’heure.
 Par Lefils Matady
http://democratiechretienne.org/2014/08/05/la-mpp-et-la-dc-sopposent-au-maintien-du-pouvoir-par-la-force-en-rdc-tempete-des-tropiques/
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Message  zobattants 5/8/2014, 7:10 pm

KOTA a écrit:La MPP et la DC s’opposent au maintien du pouvoir par la force en RDC / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 5 août 2014
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La MPP et la DC s’opposent au maintien du pouvoir par la force en RDC

  • La Tempête des Tropiques


Dans une déclaration politique conjointe 
Au cours d’une déclaration commune faite jeudi 31 juillet à la paroisse Notre Dame de Fatima, la Majorité présidentielle populaire (MPP), et la Démocratie chrétienne (DC) comptent utiliser tous les moyens légaux prévus par la Constitution en vigueur en RDC, dont son article 64, afin de contrer toute démarche funeste visant le maintien du pouvoir par la force de l’actuelle majorité.
Les deux structures politiques exigent la tenue un dialogue inclusif, franc et sincère, prévu par la Résolution 2098/13 du Conseil de Sécurité de l’Onu, et insistent sur le respect des toutes les dispositions de l’actuelle Constitution, dont la révision serait illégale, illégitime et inopportune à la veille d’un nouveau cycle électoral.
Aussi, elles recommandent la libération des prisonniers politiques arbitrairement incarcérés en RDC afin de relancer le processus de démocratisation manifestement en panne et en régression.
Cette déclaration a été lue et signée par Pascaline Kudura, porte parole ajointe de la MPP, contresignée par Jean-Paul Itoupa pour le compte de la Démocratie chrétienne.
De la situation politique actuelle
 A partir des analyses et observations faites sur la situation politique en République démocratique du Congo, la MPP et la DC condamnent l’obsession de la Majorité présidentielle (MP) de vouloir à tout prix gouverner par défi, contre la volonté du souverain primaire. Ce régime, estiment-elles, a essayé de déjouer l’attention de la communauté internationale par rapport à l’Accord cadre d’Addis-Abeba, en organisant des concertations nationales « complètement contrôlées par la majorité au pouvoir, dont les résolutions demeurent lettre morte à ce jour, laminant ainsi la cohésion nationale et affaiblissant le leadership national », peut-on lire dans cette déclaration.
 La MPP et la DC réaffirment, dans la situation politique actuelle, l’intangibilité de l’actuelle Constitution, adoptée par referendum populaire à suffrage universel direct et promulguée le 18 février 2006, et surtout le respect du nombre et de la durée du mandat présidentiel qu’elle garantit.De plus, La MPP et la DC considèrent qu’il serait impossible de lancer un processus électoral crédible et démocratique en RDC sans avoir traité le précédent contentieux électoral.
Elles dénoncent également le harcèlement politico-judiciaire dont est victime le porte-parole de la MPP, Eugène Diomi Ndongala, actuellement prisonnier politique, à cause de sa détermination dans son combat pour la vérité des urnes.  De même, poursuit la déclaration, les membres de sa famille politique et biologique dont son épouse Patrizia Diomi, malgré son arrestation, font actuellement l’objet de menaces, tortures morales  et intimidations.  Il faut signaler que la MPP a réaménagé son staff dirigeant pour beaucoup plus de dynamisme et d’efficacité, par rapport aux enjeux politiques de l’heure.
 Par Lefils Matady
http://democratiechretienne.org/2014/08/05/la-mpp-et-la-dc-sopposent-au-maintien-du-pouvoir-par-la-force-en-rdc-tempete-des-tropiques/

Kabila ne gouverne pas par defi, Kota... il gouverne par mandat qui expire en 2016...
Changez vos discours, esi enzuluki... Vous avez encore perdu la bataille parce que vous manquez des strateges ...

zobattants


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Message  KOTA 5/8/2014, 7:33 pm

Démonstration de force de l’Opposition à N’Djili /LA TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 5 août 2014
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Démonstration de force de l’Opposition à N’Djili

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Promesse tenue hier à la Place Sainte Thérèse
L’Udps, l’Unc, l’Ecidé, la Dc, la Mpp, la Cvd, les Fac, le Mpcr, le Cder… invitent Joseph Kabila à un dialogue d’ici la fin du mois d’octobre afin  » d’organiser son départ en douceur « 
Comme annoncé il y a de cela une semaine, l’Opposition politique congolaise s’est réunie hier lundi 4 août 2014 à la Place Sainte Thérèse/Ndjili, dans la commune qui porte le même nom, à l’Est de la ville de Kinshasa, afin de mobiliser la population contre toute révision constitutionnelle dans le sens de prolonger le nombre de mandats de Joseph Kabila.
Une véritable démonstration de force, au regard du nombre très élevé de Congolais venus nombreux suivre le message d’espoir, sans achat de conscience, ni promesse de billets de banque au terme de la manifestation. L’important était d’être rassuré que l’actuel régime cédera effectivement le bâton de commandement en 2016, tel que prévu dans la constitution, et qu’il n’y aura aucune révision allant dans le sens de toucher à l’article 220 au profit d’une poignée de Congolais qui ne pensent qu’à leurs propres ventres et à ceux de leurs enfants.
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 10584057_10203765939736580_9154593877615170989_n
En ligne d’attaque, L’UDPS d’Etienne Tshisekedi représentée par le SG Bruno Mavungu, l’UNC de Vital Kamerhe, la MPP à travers Pascaline Kudura, la DC de Diomi Ndongala, les Fac de Martin Fayulu, le RCD/K Ml de Mbusa Nyamwisi, l’Ecidé, le Cder de Jena-Lucien Bussa, le Mpcr Jean-Claude Mvuemba Luzamba, l’Udemo de Nzanga Mobutu, l’Upc de Thomas Lubanga Dillo, ainsi que les alliés de la société civile représentés par Christopher Ngoy Mutamba, président de la société civile du Congo.
Le bloc est donc constitué pour faire respecter la constitution à travers le départ du régime actuel après les élections de 2016. Et, au besoin, lui garantir la sécurité après avoir libéré le fauteuil présidentiel. Ces opposants invitent en effet Joseph Kabila, à un dialogue d’ici la fin du mois d’octobre, afin  » d’organiser son départ en douceur « .
Dans son message, Bruno Mavungu, secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), a déclaré que l’Opposition veut amener Joseph Kabila à ce dialogue pour organiser son départ en douceur, de manière à préserver la paix dans le pays.
A en croire ce haut cadre de l’Udps, ce dialogue serait conforme à l’accord d’Addis-Abeba signé le 24 février 2013 par onze chefs d’Etats africains. » Joseph Kabila a fait sortir un autre jeu en parlant des élections. La famille politique de Mr Kabila est actrice dans ces élections. Nous attendons le retour de Kabila des Etats-Unis, pour que nous allions au dialogue pour organiser son départ « , a affirmé Bruno Mavungu.
Le SG de l’Udps a indiqué que son parti a adressé des correspondances à Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations Unies et au président américain, Barack Obama, pour leur faire part de la manière dont le pays est dirigé par Joseph Kabila en dénonçant les violations des droits de l’homme perpétrées par les forces de défense et sécurité.
Pascaline Kudura, porte-parole a.i de la Majorité présidentielle populaire (MPP), a évoqué le cas des personnalités politiques de l’Opposition qui croupissent dans des prisons pour leurs opinions. L’exemple le plus illustratif étant celui de l’honorable Eugène Diomi Ndongala, incarcéré au Cprk pour sa lutte de la vérité des urnes, à la suite des élections bâclées de 2011.
De son coté, Jean-Bertrand Ewanga, secrétaire général de l’Union pour la nation congolaise (UNC,) pense que le dialogue inclusif, selon l’accord cadre d’Addis-Abeba, ne devait pas laisser place aux concertations nationales qui, du reste  » constituent un échec « .
 » Ces concertations nationales ont été une tricherie de M. Kabila. La résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations unies exige un dialogue inclusif. Il a monté une histoire à sa taille, et les résultats c’est ce que nous connaissons. Il veut réviser la constitution et cherche le referendum. Nous devons l’obliger à partir « , a-t-il indiqué.
Quant aux expulsions de Brazzaville et de l’Angola, JB Ewanga pense que c’est l’une des preuves que le pays est mal dirigé.S’agissant de la révision constitutionnelle, tous les ténors de l’opposition et quelques représentants de la société civile présents hier au terrain Sainte Thérèse ont dit  » niet « .
Un leader d’un parti a lancé un slogan  » Tout sauf Kabila en 2016  » en appelant l’opposition à l’unisson.
Malgré l’absence d’Etienne Tshisekedi, Vital Kamerhe et Martin Fayulu, la population s’était mobilisée pour répondre à l’appel.Chose étrange, le meeting a été autorisé par le gouverneur de la ville de Kinshasa. Les éléments de la police ont été dépêchés sur le lieu afin d’encadrer les manifestants, pour éviter le débordement surtout que c’était une manifestation publique.
L’opinion se pose la question de savoir pourquoi le pouvoir en place, bien connu pour sa répression sanglante contre les manifestations de l’opposition, a autorisé cette fois-ci un tel rassemblement.
Certains analystes pensent que le sommet Usa-Afrique auquel prend part Joseph Kabila, ouvert depuis hier lundi 4 août 2014 à Washington, aurait sans nul doute une forte influence sur l’évènement de Kinshasa.
Car un seul coup de feu serait entendu à Washington, et cela ternirait davantage l’image du n°1 Congolais à qui l’administration Obama a déjà demandé de ne pas réviser la constitution et ne pas se maintenir au pouvoir après 2016. Le pouvoir en place a autorisé donc cette manifestation de l’Opposition pour montrer à la face du monde qu’en RDC, les manifestations publiques sont permises. Alors que c’est complètement le contraire qui se fait.
Car la répression a toujours été accompagnée de bastonnades, maltraitances, arrestations, incarcérations et tortures, sans compter l’usage de bombes lacrymogènes, voire de tirs à balles réelles.

Par Lefils Matady

http://latempete.info/demonstration-de-force-de-lopposition-a-ndjili/



*******************************************
LIRE AUSSI:VIDEO : INTEGRALITE DU MEETING DE L’OPPOSITION TSHO TSHA A NDJILI SAINTE THERESE
http://democratiechretienne.org/2014/08/05/demonstration-de-force-de-lopposition-a-ndjili-la-tempete-des-tropiques/
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Message  KOTA 8/8/2014, 8:37 pm

L’AFFAIRE "EUGENE DIOMI NDONGALA", LE DOSSIER POLITIQUE AYANT LE PLUS "COULE’ " JOSEPH KABILA LORS DU RECENT SOMMET USA/AFRICA DE WASHINGTON – JOURNAL INTERPRETE DU 08/08/2014
par FreeDiomi le 8 août 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 Interprete-du-8814-001
*CLIQUEZ SUR L IMAGER POUR AGRANDIR L ARTICLE
http://democratiechretienne.org/2014/08/08/laffaire-eugene-diomi-ndongala-le-dossier-politique-ayant-le-plus-coule-joseph-kabila-lors-du-recent-sommet-udaafrica-de-washington-journal-interprete-du-08082014/
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Message  KOTA 8/8/2014, 9:44 pm

08 août 2014

Kabila, la présidence à vie, la prison à vie ou le retour au Rwanda
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 24 98078137
Les assassinats et trahisons
Il a tué. Trop tué. La population lui reproche les meurtres des Bundu dia Kongo, des activistes des droits de l'homme Chebeya et son chauffeur Mazana, d'Armand Tungulu, etc. Il a trahi la République Démocratique du Congo par son soutien au M23. La preuve en est la réhabilitation du général Amisi Tango four, l'ancien chef des forces terrestres des FARDC. Cet officier supérieur a été suspendu le 22 novembre 2012 pour avoir vendu, selon les experts des Nations Unies, les armes aux groupes rebelles. Il était aussi régulièrement cité dans les détournements des soldes des soldats engagés au front contre le M23. Dernièrement, la MONUSCO a pris acte de sa réhabilitation par Kabila , mais regretté qu'une enquête n'ait pas été initiée pour connaître la vérité. Du temps où il dirigeait les opérations à l'Est, il était fait état des ordres contradictoires qu'il recevait de la "hiérarchie" dans la direction des opérations contre les groupes rebelles. Ce qui a causé la perte de plusieurs de nos frères, des viols de nos soeurs, les déplacements de la population à l'intérieur comme à l'extérieur. Inutilement. Kabila aurait eu peur de mettre Amisi en accusation pour ne pas se tirer une balle dans le pied? Ce qui se dit sur Amisi l'est aussi pour John Numbi. La justice de Kabila s'est refusée de mettre en accusation cet officier qui était à un certain moment le bras droit de Kabila en matière de sécurité. C'est lui qui aurait ordonné les massacres des Bundu dia Kongo sur ordre de la "hiérarchie". C'est lui qui aurait aussi ordonné les meurtres de Chebeya et de Mazana.
Plusieurs dossiers de meurtres dorment dans les placards et attendent de sortir le moment venu, comme celui des massacres de N'djili à deux jours des élections du 28 novembre 2011, la disparition de plusieurs membres de l'UDPS pendant la même période et la mise en résidence surveillée du président Tshisekedi Wa Mulumba. Kabila a tué. Trop tué. Il s'est aussi enrichi, lui et sa famille pendant que le peuple clochardisé croupit dans la misère qui ne dit pas son nom.
Les détournements et les pillages
La fortune de Kabila est estimée à 17 milliards de dollars. Son épouse a des concessions à Goma estimées à plusieurs millions de dollars. Son frère Zoé est un grand homme d'affaires au Katanga où il s'est accaparé des affaires juteuses dans les mines, dans l'immobilier jusqu'aux timbres-poste! Le limogeage de directeur général de la Gecamines serait lié à ses démêlées avec le frère de Kabila, entendez Zoé Kabila.
La peur du jugement populaire a atteint même ses thuriféraires qui se sont enrichis de façon illicite en un temps record. Certains ont peur d'être poursuivis pour détournements des fonds.  C'est le cas de Boshab qui aurait détourné les fonds du temps où il était président de l'Assemblée Nationale. Un autre dossier connu, c'est celui de l'accident de son fils le 02 janvier 2012 sur le boulevard du 30 juin. Cinq personnes en étaient décédées.
Les arrestations arbitraires et le musellement des opposants
Les portes de la prison de Makala sont largement ouvertes pour les opposants. Les plus connus sont Kutino, Diomi Ndongala et Kabatshi. Le dernier en date, c'est le secrétaire général de l'UNC, Jean-Bertrand Ewanga, accusé pour outrage au chef de l'Etat. Outrage parce qu'il aurait dit: "Kabila rentre au Rwanda" ou "Kabila est Rwandais". Le président américain Barack Obama était aussi traité de Kenyan par les Républicains. Depuis qu'il leur a présenté son attestation de naissance, les choses sont rentrées dans l'ordre et plus personne n'en parle. Kabila n'a jamais abordé ce sujet et n'a jamais prouvé qu'il était le fils biologique de Laurent-Désiré Kabila. Il continue à entretenir le suspens. Alors, dire qu'il est Rwandais et qu'il rentre au Rwanda ne constitue ni un outrage au chef de l'Etat, ni un acte qualifié de tribalisme ou racisme. Etre Rwandais n'est pas une injure! Mais les Congolais n'acceptent et n'accepteront pas d'être dirigés par un Rwandais!
Bref, Kabila et ses griots ont des mains pleines de sang des Congolais. Ils ont pillé le Congo plus que ne l'ont fait les Mobutistes en trois décennies. C'est pourquoi ils se battent becs et ongles pour leur survie. Tout comme Kompaoré au Burkina Faso poursuivi par le sang de Thomas Sankara qu'il avait fait assassiner pour prendre le pouvoir il y a près de trente ans. Tous les arguments qu'ils avancent pour justifier le bien fondé d'une révision constitutionnelle ne tiennent pas débout. Et pourtant les exemples ne manquent pas. Aucune dictature n'est éternelle. Ils devaient tirer des leçons sur les Mobutistes ou sur Ceaoucescu de la Roumanie. Désormais Kabila a le choix entre la présidence à vie, la prison à vie ou le retour au Rwanda. Qui vivra, verra.
Lumbamba Kanyiki

http://grandkasai.canalblog.com/archives/2014/08/08/30376609.html
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