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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA

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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Empty Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA

Message  KOTA 25/2/2015, 9:34 pm

DIOMI NDONGALA NOMME JEAN-PIERRE BOKA KAPELLA PORTE PAROLE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE
par FreeDiomi le 25 février 2015



[img(325.79999999999995px,216.8px)]http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2014/06/diomis.jpg[/img]

Dans le but de redynamiser son parti politique, le Président National de la Démocratie chrétienne (DC) a procédé à une nomination importante au sommet de cette formation politique. Dans un acte de nomination signé du 24 janvier 2015, Eugène Diomi Ndongala a nommé Jean-Pierre Boka Kapella au poste de porte-parole de ce parti politique. Cette nomination apporte un autre souffle à la DC et à sa stratégie de communication déjà très efficace.
Cette nomination a été signée conformément aux textes qui régissent la Démocratie Chrétienne et est considérée par les cadres de cette formation politique comme un coup d’accélération pour la préparation des enjeux politiques à venir. En effet, malgré la privation arbitraire de liberté de son président, la DC poursuit inlassablement son combat politique.
Aussitôt nommé, le nouveau porte-parole de la Démocratie Chrétienne s’est mis au travail et ne manque pas de donner le point de vue du parti par rapport aux questions politiques du pays quand l’actualité l’exige.
C’est ainsi que la Démocratie Chrétienne, par l’entremise de Jean-Pierre Boka demande qu’un consensus national soit immédiatement recherché après la publication du calendrier global des élections générales par la Commission nationale électorale indépendante.
Incarcéré injustement depuis avril 2013 au CPRK, le prisonnier politique  Eugene Diomi Ndongala a été condamné sur la base d un procès nul et non advenu dont le caractère éminemment politique n ‘est plus à démontrer.
Au mois de janvier de la même année, cet opposant qui a été élu député national en 2011 a vu son immunité parlementaire levée alors qu’il était illégalement détenu en tant qu’député  et en violation de 3 ordonnances de la CSJ le plaçant en résidence surveillée et jamais appliquées. Un peu avant le lancement de la  plate forme « Majorité Présidentielle Populaire », proche de Tshisekedi qu’il considère comme le président élu de la RDC, Eugène Diomi Ndongala, Porte-Parole de la MPP a été enlevé et détenu au secret pendant 3 mois.
Pour l’opinion nationale et internationales, toutes les épreuves imposée à  Diomi NDONGALA n’ont qu’un seul auteur : le pouvoir actuel issu de la fraude électorale que Diomi n’a cessé de dénoncer.
« Nonobstant la persécution politique,  Eugene Diomi poursuit son combat et son engagement politique en faveur des opprimés tout comme son parti politique » nous confirme Jean -Pierre Boka Kapella, Porte -Parole de la DC.
Il sied de rappeler qu’en septembre 2014, le Président Diomi Ndongala a porté plainte contre la RDC près du Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies de Genève, pour la violation de la part de la RD Congo de plusieurs dispositions du Pacte International Relatif aux Droits Civils et Politiques.
En vertu de la signature, par la RDC,  du Protocole Facultatif du traité plus haut cité, le Congo-Kinshasa a reconnu la compétence du Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies, à statuer sur les plaintes des citoyens contre des Etats qui violent les dispositions du Pacte International Relatif aux Droits civils et politiques.
Agissant comme instance de justice internationale, les  décisions  du Comité sont contraignantes pour les Etats signataires du Pacte International ainsi que du protocole facultatif.
Voilà pourquoi, comme nous confirme Jean Pierre Boka Kapella, la DC est très confiante quant à l’issue  positive  de la procédure entamée par son Président National,  car ainsi la vraie justice sera dite et Diomi Ndongala libéré. Dommage que la RDC subira la honte d’une condamnation grave en matière des droits de l’homme qui entachera définitivement la crédibilité du régime en place face à la communauté internationale.
CN/DC
KOTA
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Message  KOTA 3/3/2015, 6:19 pm

RDC – Apport négatif de la justice congolaise à l’état de droit

par FreeDiomi le 3 mars 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Carricature-magistrats-corrompus
Extrait/

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Diomi-porte-plainte-contre-la-rdcQue voyons-nous dans nos palais de justice? :

-La Cour suprême de justice commettant des dénis de justice en refusant d’examiner les requêtes des magistrats illégalement révoqués en 2009. Il en est de même des fonctionnaires de l’Etat révoqués entre 2009 et 2010, parmi lesquels certains n’avaient jamais fait l’objet d’aucune action disciplinaire comme l’exige le statut du personnel de carrière des services publics de l’Etat ;

-La Cour suprême rendant ses décisions la nuit en l’absence des parties au procès comme s’il y avait quelque chose à cacher  ( cas Eugène Diomi Ndongala);

-Disparition miraculeuse, au greffe de la CSJ, du dossier de Me Firmin Yangambi et consorts alors qu’ils attendaient le prononcé de l’arrêt depuis octobre 2011;
-Des « Kuluna » envahissant aisément et en toute impunité le périmètre de la CSJ, scandant des slogans favorables au pouvoir et perturbant l’audience de la Haute Cour pour réclamer la condamnation du député Ewanga sans que le ministère public s’aperçoive que l’ordre public est troublé.
-Des « Bakata-machins » menaçant depuis plus d’une année l’intégrité du territoire national mais priés gentiment d’intégrer les forces armées sans que la justice enquête pour mettre hors d’état de nuire les vrais instigateurs. Pareil traitement aurait-il pu être appliqué aux probables « Bakata-Bandundu » ou «  Bakata-Equateur »?;

-Le Procureur général de la République n’appréciant pas à sa juste valeur l’opportunité des poursuites dans l’intérêt de la cohésion nationale et toujours prompt à mettre la main sur les opposants pour des cas mineurs et douteux ( cas Eugène Diomi Ndongala) pendant que ceux qui ont le sang des Congolais sur leurs mains ou qui sont cités dans le pillage des ressources naturelles du pays circulent librement et /ou sont amnistiés;

-Le Procureur général de la République prompt à collaborer avec la CPI pour une infraction qui relève de la compétence de la justice congolaise alors que le Rwandais Bosco Ntaganda, poursuivi par la même Cour pour des crimes graves et imprescriptibles se la coulait douce au vu et au su des toutes les autorités de la justice;

-Le Procureur général de la République qui se distingue par un mauvais exemple en refusant d’exécuter une décision de la Cour suprême de justice assignant à résidence surveillée un prévenu ou accordant à un autre (tous opposants) la liberté provisoire ( cas du député Eugène Diomi Ndongala, assigné trois fois en résidence mais sans exécution à cause de la « rébellion » du PGR);

-De nombreux cas d’assassinat, d’enlèvement, de bastonnade et de tortures commis à l’endroit des journalistes et des leaders d’opinions qui demeurent non élucidés;
-Sur ordre du Procureur général de la République, des juges du Tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe furent jetés en prison en octobre 2009 pour avoir accordé la liberté provisoire à l’Administrateur délégué général de l’Ogefrem et à son Administrateur directeur technique alors que les faits mis à charge de ces mandataires n’ont jamais été établis jusqu’à ce jour;
-Des gestionnaires des entreprises du portefeuille de l’Etat impliqués dans les rapports d’enquêtes parlementaires mais jamais inquiétés par la justice;
-Des politiciens rendus célèbres par des discours distillant la haine tribale et ethnique au Katanga mais jamais interpelés par la justice;
-Le Conseil supérieur de la magistrature observant impuissant (aux dires de nos amis œuvrant dans cet organe) l’embourgeoisement scandaleux des magistrats devenus plus affairistes qu’hommes de lois sans qu’aucune action disciplinaire soit ouverte à leur charge conformément au statut des magistrats;
-Des magistrats du parquet se disputant l’attribution des dossiers civils demandés en communication juste pour monnayer leur avis. Le dernier cas en date a eu lieu au Parquet général près la Cour d’appel de la Gombe il y a plus ou moins 20 jours, etc.
Arrêtons-nous là.

Conclusion

Ces quelques cas, qui ne constituent que l’extrême pointe de l’iceberg, prouvent à suffisance que bonnes ou mauvaises, les lois d’un pays n’ont d’effet et de sens que ce qu’en font ceux et celles qui sont chargés de les appliquer, en l’occurrence les magistrats. Malgré le contexte institutionnel très restrictif dans lequel ils avaient évolué, nous avons vu comment sous la deuxième République les magistrats se sont surpassés tant bien que mal pour laisser à la postérité des références procédurales et jurisprudentielles faisant oublier celles de l’époque coloniale. Dès que l’ouverture démocratique a pointé à l’horizon, plusieurs magistrats ont posé des actes courageux destinés à libérer le pouvoir judiciaire des griffes de la dictature et indiquant, pour la troisième République, que cette institution allait s’imposer comme dernier rempart contre les violations de la loi d’où qu’elles viennent et comme garant des droits et libertés fondamentaux et de l’équilibre des institutions.

Alors qu’on est effectivement dans cette troisième République tant rêvée, les magistrats ont annihilé leur propre combat et craché sur les sacrifices, parfois humains, de tout un peuple pour l’avènement de la démocratie et de l’Etat de droit. En dépit des textes législatifs leur accordant plus clairement leur indépendance et la gestion par eux-mêmes du Conseil supérieur de la magistrature qui était jadis présidé par le Président de la République, ils ont cassé l’élan qui allait rendre à la justice congolaise ses lettres de noblesse. A ce jour, de la Cour suprême de justice et du Parquet général de la République jusqu’au tribunal de grande instance et du parquet de la République près ce tribunal, très rares (c’est vrai et vérifiable) sont les magistrats qui occupent leur grade ou qui exercent leurs fonctions dans le respect du cadre tracé par la loi. Allant ainsi à contrecourant de l’Etat de droit, ils se sont fait enfermer dans le piège de l’instrumentalisation politicienne de sorte qu’ils ne méritent plus de la confiance du peuple au nom duquel la justice est rendue (Art.149 al.1er de la Constitution). Ayant donc manifestement failli à leur noble mission, ils doivent s’attendre tôt ou tard à la vraie purge qui remettra les pendules à l’heure pour rebâtir, à partir des brebis non galeuses (heureusement, il y en a encore) une justice véritablement troisième pouvoir et digne d’un pays qui se veut démocratique.

L’histoire a ceci de particulier qu’elle finit toujours par rattraper ceux qui la défient.

Par Jean-Bosco Kongolo M.

Juriste&Criminologue

C A N A D A

http://democratiechretienne.org/2015/03/03/rdc-apport-negatif-de-la-justice-congolaise-a-letat-de-droit/
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Message  KOTA 7/3/2015, 9:35 pm

LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE UN PROCESSUS ELECTORAL NON INCLUSIF ET LE SOUBASSEMENT POLITIQUE DU DECOUPAGE DE CERTAINES PROVINCES

par FreeDiomi le 7 mars 2015
    
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Capture070315
*COMMUNIQUE B-POL/DC N° 5 DU 07/03/2015 – LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE UN PROCESSUS ELECTORAL NON INCLUSIF ET LE SOUBASSEMENT POLITIQUE DU DECOUPAGE DE CERTAINES PROVINCES

Le Bureau politique de la Démocratie Chrétienne s’est réuni ce 06/03/2015 afin de prendre position par rapport à l’actualité politique du moment, particulièrement sur
- les connotations inconstitutionnelles de certaines phases du processus électoral tel que configuré par le calendrier de la Ceni;
- le découpage administratif sans préparation lancé par le régime Kabila à la veille d’importantes échéances électoral;
- le non-respect de la part de l’actuel Gouvernement dit de cohésion national, ayant comme programme politique la mise en application des décisions du forum politique appelé « Concertations Nationales », de la résolution exigeant la libération des prisonniers politiques nommément cités, dont la libération est, pour la DC, un préalable d’inclusivité incontournable.

Focalisant son attention sur l’inclusivité de ce processus électoral, la  Démocratie Chrétienne tient à manifester toute sa préoccupation et indignation par rapport au choix inconstitutionnel de l’actuel Bureau de la Ceni, d’exclure 5 générations de jeunes congolais de certaines échéances électorales.

 La Démocratie Chrétienne souligne que « le droit de vote » et le « droit à se porter candidat » des citoyens congolais est un droit civil et politique garanti par l’art. 5 de la Constitution  et par le « Pacte International relatif aux droits civils et politiques » et il ne peut être restreint que dans les cas prévus par la Loi Fondamentale  actuellement en vigueur en RDC.
Il sied aussi de souligner que l’utilisation de l’ancien fichier électoral  de 2011 qui contenait, selon certains experts et observateurs, presque  9 millions d’électeurs fictifs, est inadéquat pour constituer la base d’un énième cycle électoral, ayant été à la base de la fraude électorale massive des élections de 2011.
Voilà pourquoi  la DC invite les jeunes congolais à rester vigilants et refuser d’être traités comme des citoyens de deuxième zone à cause de prises de position inconstitutionnelles  de certains fonctionnaires du très contesté bureau de la « Commission Nationale Indépendante des Elections » qui ont élaboré un calendrier électoral irréaliste et basé sur la discrimination des citoyens congolais ( lire la dernière déclaration politique de la DC ici ).
Par rapport aussi à l’exclusion de certains congolais du droit de vote, le bureau  politique de la Démocratie Chrétienne fait noter qu’ un grand nombre de citoyens se plaignent de l’impossibilité de se procurer des duplicata de leurs cartes d’électeurs, le processus prévu à cet effet  par la Ceni s’estompant au niveau des dépôts de plaintes de perte de cartes d électeurs,  qui est monnayé dans les commissariats de la police nationale et même par la décision d’impliquer les communes avec une taxe  – dite quittance – ad hoc exigée aux citoyens demandeurs. Et malgré avoir payé aussi bien la PNC que la commune, la majorité des citoyens n’obtiennent pas le duplicata de la carte d’électeur indispensable tant pour voter que pour être élu.
Dans ce contexte de chaos organisé basé sur la  volonté politique d’exclure certaines  groupes de citoyens du processus électoral, la Démocratie Chrétienne réitère sa demande de revenir sur les fondations de l’actuel processus électoral en prévoyant l’identification des électeurs, d’autant plus qu’au moment où nous couchons ses lignes, curieusement deux organes se disputent l’organisation d’un recensement général de la population  contre l’organisation duquel la population congolaise s’est déjà exprimée le 19/20/21 janvier 2015 par des manifestations de masse:
d’un côté il y aura  l’Onip, n’ayant pas encore démarré son travail de recensement faute de moyens logistiques et qui est censé recenser la population  et le BCR, le Bureau Central du Recensement qui, selon l’actuel Ministre du Plan, aurait la charge de démarrer un recensement général de la population  mais –souligne-t-on – sans lien avec le processus électoral : ce qui ajoute du chaos à un processus déjà problématique, où on en sait plus qui fait quoi et pourquoi….
Dans ce conteste flou et dangereux pour la paix en RDC, la DC réitère sa proposition d’invertir l’ordre du calendrier électoral, donnant priorité à  l’élection présidentielle prévue, selon le timing constitutionnel  de l’ art. 73 de la Constitution, en septembre 2016, et cela après une nouvelle identification des électeurs qui ne prive personne de son droit légitime au vote. On donnerait ainsi   au nouveau président élu la lourde charge d’organiser, selon les règles, les autres scrutins à venir.

La Démocratie Chrétienne prévient qu’en cas de non-respect des préalables indispensables pour un processus électoral transparent, respectueux des dispositions constitutionnel et inclusif, notre parti appellera la population au  boycott, refusant que les citoyens congolais soient  appelés, encore une fois,  après les précédents de 2006 et de 2011,  à « voter » mais pas « élire » leurs dirigeants.

En cas de persistance de la part de l’actuel bureau de la Ceni, de sa volonté d’ exclure des citoyens congolais du vote, la Démocratie Chrétienne se réserve le droit de porter plainte contre la RDC et la Ceni,  auprès du Comité des Nations Unies Chargé du Contrôle  du  respect des dispositions du « Pacte International relatif aux droits civils et politiques » par les Etats signataires, et cela pour violations dudit traité international, en vertu de son « Protocole facultatif » souscrit par la RDC.

 Le bureau politique de la DC tient à alerter l’opinion nationale et internationale sur les conséquences fâcheuses d’une application tardive – après 9 ans de retard – et sans aucune préparation, du découpage administratif débouchant dans le démembrement de plusieurs provinces de la RDC.

Ce processus, lancé sans être budgétisé, risque de déboucher dans une multiplication d’entités administratives sans légitimation démocratique et qui ne seront pas la matérialisation du principe de la décentralisation administrative restée lettre morte jusqu’à ce jour en RDC.
Privées jusqu’à présent de ressources et même d’autonomie réelle de gestion financière et sécuritaire,  les provinces sont restées pendant 9 ans des entités essentiellement burocratiques et budgétivores, incapables de lancer le développement local des 11 provinces de la RDC.
En réponse aux menaces indépendantistes de certaines provinces, comme le Katanga, le régime Kabila à chercher à neutraliser cet élan en se rappelant, avec 9 ans de retard, de la décentralisation administrative, qui a été certainement un des points faibles de la gouvernance kabiliste. Plutôt que soigner le mal, les actuels dirigeants, essayent d’effacer les symptômes des velléités indépendantistes.
Vu le soubassement politique de cette décision non programmée (l’exécutif se donne 5 ans pour rendre les nouvelles entités administratives viables ),  le bureau politique se questionne sur   les conséquences de ce choix « politique » dans le cas où les provinces visées par le démembrement refuseraient  de coopérer, au niveau des assemblées provinciales,  en vue de leur propres mise à mort….
Cela étant, la Démocratie Chrétienne appelle les congolais à la vigilance surtout  dans le cas où aucun consensus national ne soit dégagé aussi bien sur la formation du bureau de la Ceni, le calendrier électoral que sur les préalables incontournables pour des élections inclusives, transparentes et démocratiques.
La Démocratie Chrétienne invite les autres forces politiques et sociales à ne pas chercher des  solutions palliatives, comme la proposition d’un calendrier qui exclue la participation de citoyens congolais au vote ou bien lançant des propositions qui sont toujours en contradiction avec la loi électorale dernièrement modifiées et qui maintient le recensement général de la population comme nécessité incontournable pour la tenue de certaines  élections.

 D’autant plus qu’ en ce qui concerne l’élection présidentielle, la Démocratie Chrétienne se demande toujours sur quel fichier électoral  cette élection cruciale pourrait-elle se tenir, vu qu’elle est déconnectée aussi bien du recensement général des électeurs que de toute nouvelle identification des électeurs…

En effet,  au stade actuel, l’élection présidentielle comme les élections locales ou provinciales, ne pourraient se tenir que  sur la base de l’ancien fichier électoral lequel  exclue aussi bien  5 générations de citoyens congolais récemment devenus majeurs d’âge  que, dans les faits,  tous les congolais qui auraient égaré leur carte d’électeur, le mécanisme pour les duplicata mis  en place étant onéreux et inefficace.
Egalement, le bureau politique de la Démocratie Chrétienne invite les partis d’opposition ayant des membres au bureau de la Ceni de les retirer en conformité à leur engagement plusieurs fois rendu publique mais jamais respecté.

En ce qui concerne le programme politique de  l’actuel gouvernement dit de « Cohésion Nationale », la Démocratie Chrétienne constate que l’actuel exécutif, plutôt que donner stricte application aux résolutions du forum politique dont il est issu, les « Concertations Nationales », il est en train de donner une application sélective des décision des différentes thématiques en ce qui concerne le dossier des prisonniers politiques et d’opinion.

En effet, la deuxième résolution contenue dans le Rapport de la thématique Gouvernance et Démocratie  prévoyait  la libération d’un liste de prisonniers politiques et d’opinion qui a été appliquée d’un manière sélective puisqu’à ce jour 3 prisonniers politiques restent en prison : il s’agit du Président National de la Démocratie Chrétienne, l’Honorable Eugène Diomi Ndongala, M. Eric Kikunda  (DC) et M Firmin Yangambi.

La Démocratie Chrétienne invite l’exécutif dit de « cohésion nationale » issu des concertations nationales à plus de cohérence et au respect de  ses propres engagements programmatiques,  pour sa  propre crédibilité politique et à prôner l’inclusivité du processus électoral en cours, en libérant les prisonniers politiques nommément cités dans la liste des concertations nationales et en reconnaissant le « droit de vote » ainsi que l’éligibilité  des jeunes congolais qui ont entre 18 et 23 ans.

Vérité et Justice pour le Congo,
 Fait à Kinshasa, le 07/03/2015
Le Porte Parole,
Jean-Pierre Boka Kapella
[img(91.80000000000001px,78.80000000000001px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/09/cache-dc.jpg?w=144&h=126[/img]

http://democratiechretienne.org/2015/03/07/la-democratie-chretienne-denonce-un-processus-electoral-non-inclusif-et-le-soubassement-politique-du-decoupage-de-certaines-provinces/
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Message  KOTA 8/3/2015, 4:21 pm

Martin Fayulu face à la diaspora congolaise d’Allemagne: "JE ME BAT AU QUOTIDIEN POUR LA LIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES"



EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Martin-Fayulu-300x169
Martin Fayulu, député national et président de l’Ecidé (Engagement pour la Citoyenneté et le Développement) était ce samedi, 07 mars 2015 à Cologne  pour s’entretenir avec la diaspora congoaise de cette partie d’Allemagne sur la situation politique de la République Démocratique du Congo.
Dans son mot d’introduction, il a expliqué à l’assistance qu’il voulait juste rencontrer la diaspora et dire aux Congolais que le Congo est une affaire de toutes et de tous. Le développement du Congo dépend de toutes les filles et de tous les fils du Congo. Il a remercié la diaspora pour le travail abattu dans la sensibilisation de la communauté internationale sur les problèmes de la RDC et pour l’apport financier de cette diaspora dans le soutien des familles restées au pays. Il attend encore de cette diaspora des idées concrètes nécessaires  pour chasser kabila du pouvoir. Car, a-t-il reconnu, “notre problème pour nous Congolais, c’est Kabila”.
Dans le jeu de questions-réponses qui a suivi, plusieurs thèmes ont été abordés pêle-mêle. Nous retiendrons principalement son voyage  aux Etats-Unis, les élections de 2016,  l’unité de l’opposition,  la libération des prisonniers politiques et les événements de janvier 2015.
De son voyage aux Etats-Unis
Les intervenants voulaient savoir ce que monsieur Fayulu était parti faire au pays d’Obama. Serait-ce pour aller rendre compte sur les derniers événements qui se sont déroulés en RDC ou pour aller chercher le pouvoir? Monsieur Fayulu leur a confirmé qu’il y était allé répondre à une invitation du Sénat et du Congrès américains qui organisent chaque année des petits-déjeuners des prières pour tous les chrétiens.
Des élections présidentielles de 2016
Plusieurs questions ont été posées en rapport avec les élections de 2016. Y aura-t-il un candidat unique? Si oui quels sont les critères exigés d’un candidat unique de l’opposition? Est-ce que monsieur Fayulu sera candidat à l’élection présidentielle de 2016? Pourquoi aller aux élections organisées par Malu-Malu considéré comme conseiller de Kabila? Sans langue de bois, monsieur Fayulu a répondu à toutes ces questions.  Selon lui, les membres de l’opposition acquis au changement ont signé un contrat de confiance. Ils se sont assigné, à travers ce contrat de confiance, certains objectifs à atteindre. Le moment venu, ils feront connaître à la population s’il y aura un candidat unique ou pas. Il a donc invité l’assistance à la patience. A propos du candidat unique de l’opposition, il a avancé quelques critères: le futur candidat devra d’abord être accepté par le peuple. Il devra jouir d’une bonne  intégrité morale, il devra montrer son parcours politique, etc. “Certains autres critères, c’est vous le peuple qui devrez nous les donner”, a conclu monsieur Fayulu. Toujours selon Martin Fayulu, les opposants n’iront pas aux élections dans les conditions actuelles déterminées par Malu-Malu. Ils sont en train de travailler dessus pour obtenir un calendrier consensuel tenant compte des réalités sur terrain. Car soutient-il, la CENI a surchargé le calendrier électoral sur le plan budgétaire et sur le plan opérationnel pour obtenir le glissement tant décrié par l’opposition. Il faudra donc rester vigilant.
De l’unité de l’opposition
Plutôt qu’une question, c’est un souhait exprimé par beaucoup: L’unité de l’opposition pour parler un même langage et élaborer un programme commun et unique en vue de l’alternance voulue par tous. Monsieur Fayulu s’est dit prêt à s’effacer en toute humilité pour un autre candidat, s’il le faut. Il souhaite  l’unité non seulement de l’opposition mais aussi de la diaspora tout entière pour faire bloc contre Kabila.

Des prisonniers politiques

Le Président de l’association africaine de Cologne et des environs, le docteur Denis kapuku Mukuna, quant à lui, a voulu connaître les actions que l’opposition a entreprises pour la libération des prisonniers politiques Diomi Ndongala, Ewanga, Muyambo et Ngoyi. Monsieur Fayulu a expliqué comment il se bat personnellement au quotidien pour leur libération. Mais la volonté de la diaspora est de voir toute l’opposition se mobiliser pour leur libération immédiate.


Des événements du 19, 20 et 21 janvier 2015
La remarque est venue de Jules Makofo de l’UDPS. Il ne comprend pas comment les membres de l’opposition ayant initié la manifestation du 19 janvier avaient abandonné les manifestants seuls contre les forces de l’ordre de kabila et pourquoi ils n’avaient pas suspendu leur participation aux séances de l’Assemblée Nationale afin d’exiger la libération des manifestants arrêtés lors de ce soulèvement populaire.
La rencontre commencée vers 17 heures 30 s’est terminée vers 20 heures 30. Nous déplorons la modération qui n’a pas exactement joué son rôle. Pour quelques dizaines de participants présents dans la salle, le modérateur distribuait la parole selon les visages des gens. Certains gardaient la parole plus longtemps que prévu sans le moindre rappel à l’ordre. Ce qui fait que nous ne pouvions pas poser les questions que nous avions pourtant préparées à l’intention de monsieur Fayulu. C’est dommage!
Voici quelques photos de la rencontre: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 PICT0213-300x225EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 PICT0214-300x225
Lumbamba Kanyiki
www.kasaidirect.com
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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Empty Témoignage de satisfaction du retour de mon MARI

Message  MIRINDA1 9/3/2015, 2:24 pm

Personnellement, je suis depuis 5 ans avec mon MARI, et nous nous entendons très bien et
le 13 NOVEMBRE 2014 il m’envoie un message soit disant " JE NE POURRAI PLUS CONTINUER AVEC TOI " Ce fut le début de ma détresse . Je me pose la question de savoir COMMENT IL POURRA CHANGER BRUSQUEMENT SANS AUCUNE RAISON, toutes mes tentatives à le ramener sur la bonne voie sont vaines puisqu'il est ferme sur sa décision de ne plus me revoir ni entendre parler de moi . J'ai essayé par tous les moyens sans résultat .
Le 17 DECEMBRE 2014 par hasard j'ai consulté un site d'annonces et l'annonce du médium voyant AMAGNON me parait convaincant et je me suis confiée à lui et au bout de 7 jours il m'est revenu et il y a l'harmonie dans notre couple .Il a fait et mon commerce se prospère et un essor considérable Je voudrais partager ceci avec vous les internautes vous qui vivez ou avez des proches qui sont dans de telles situations pour vous dire que c'est possible de récupérer son ex ou de consolider le couple avec le médium voyant AMANGNON en l'appelant au 00229.68890380 ou en lui envoyant de messages . Numéro de téléphone: 00229.96714770 ou le 00229.68890380.

A Bientôt

MIRINDA1


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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Empty Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA

Message  KOTA 9/3/2015, 5:03 pm

La DC dénonce un processus électoral non inclusif et le découpage territorial aux colorations politiques / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 9 mars 2015
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La DC dénonce un processus électoral non inclusif et le découpage territorial aux colorations politiques

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Cette formation politique s’indigne de l’exclusion de cinq générations de jeunes congolais de certaines échéances électorales
Dans un communiqué du Bureau politique de la Démocratie chrétienne (DC) du 7 mars 2015, signé par son porte-parole Jean-Pierre Boka Kapella, cette formation politique chère à Eugène Diomi Ndongala dénonce un processus électoral non inclusif et le découpage territorial aux colorations politiques. Ce constat malheureux a été fait lors d’une réunion tenue le vendredi 6 mars pour prendre position par rapport à l’actualité politique du moment.
En effet, peut-on lire dans ce communiqué, la Démocratie Chrétienne manifeste toute sa préoccupation et indignation par rapport au choix  » inconstitutionnel  » de l’actuel Bureau de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), d’exclure cinq générations de jeunes congolais de certaines échéances électorales.
La DC souligne que  » le droit de vote  » et le  » droit à se porter candidat  » des citoyens congolais est un droit civil et politique garanti par l’art. 5 de la Constitution et par le  » Pacte International relatif aux droits civils et politiques  » et il ne peut être restreint que dans les cas prévus par la Loi fondamentale actuellement en vigueur en RDC.
Le Bureau politique de la DC souligne que l’utilisation de l’ancien fichier électoral de 2011 qui contenait, selon certains experts et observateurs, presque 9 millions d’électeurs fictifs, est inadéquat pour constituer la base d’un énième cycle électoral, ayant été à l’origine de la fraude électorale massive des élections de 2011. Raison pour laquelle elle invite les jeunes congolais à rester vigilants et refuser d’être traités comme des citoyens de deuxième zone à cause de prises de position inconstitutionnelles de ceux qui ont élaboré un  » calendrier électoral irréaliste et basé sur la discrimination des citoyens congolais « .
Toujours par rapport à l’exclusion de certains Congolais du droit de vote, la DC note qu’un grand nombre de citoyens se plaignent de l’impossibilité de se procurer des duplicata de leurs cartes d’électeurs, le processus prévu à cet effet par la Ceni s’estompant au niveau des dépôts de plaintes de perte de cartes d électeurs.  » La majorité des citoyens n’obtiennent pas le duplicata de la carte d’électeur indispensable tant pour voter que pour être élu « , regrette-t-elle.
Ainsi, la Démocratie Chrétienne réitère sa demande de revenir sur les fondations de l’actuel processus électoral en prévoyant l’identification des électeurs, d’autant plus qu’au moment présent, deux organes se disputent l’organisation d’un recensement général de la population. Pourtant, la population congolaise s’est déjà exprimée les 19, 20 et 21 janvier 2015 par des manifestations de masse.
D’un côté, l’Onip, qui n’a pas encore démarré son travail de recensement faute de moyens logistiques, et le BCR, le Bureau Central du Recensement qui, selon l’actuel ministre du Plan, aurait la charge de démarrer un recensement général de la population, mais, souligne-t-on, sans lien avec le processus électoral. On en sait plus qui fait quoi et pourquoi.

Dans ce conteste flou et dangereux pour la paix en RDC, la DC réitère sa proposition d’invertir l’ordre du calendrier électoral, donnant priorité à l’élection présidentielle prévue, selon le timing constitutionnel de l’art. 73 de la Constitution, en septembre 2016, et cela après une nouvelle identification des électeurs qui ne prive personne de son droit légitime au vote. On donnerait ainsi au nouveau président élu la lourde charge d’organiser, selon les règles, les autres scrutins à venir.

La DC prévient qu’en cas de non-respect des préalables indispensables pour un processus électoral transparent,  » notre parti appellera la population au boycott, refusant que les citoyens congolais soient appelés, encore une fois, après les précédents de 2006 et de 2011, à voter mais pas élire leurs dirigeants » .

En cas de persistance de la part de l’actuel bureau de la Ceni, dans sa volonté d’exclure des citoyens congolais du vote, la DC se réserve le droit de porter plainte contre la RDC et la Ceni, auprès du Comité des Nations Unies Chargé du Contrôle du respect des dispositions du Pacte International relatif aux droits civils et politiques par les Etats signataires, et cela pour violations dudit traité international, en vertu de son  » Protocole facultatif  » souscrit par la RDC.
Un découpage territorial aux contours politiques
Le Bureau politique de la DC tient à alerter l’opinion nationale et internationale sur les conséquences fâcheuses d’une application tardive, après 9 ans de retard et sans aucune préparation, du découpage administratif débouchant sur le démembrement de plusieurs provinces de la RDC.
Ce processus, lancé sans être budgétisé, risque de déboucher sur une multiplication d’entités administratives sans légitimation démocratique et qui ne seront pas la matérialisation du principe de la décentralisation administrative restée lettre morte jusqu’à ce jour en RDC.
Privées jusqu’à présent de ressources et même d’autonomie réelle de gestion financière et sécuritaire, poursuit cette formation politique, les provinces formation politique, les provinces sont restées pendant 9 ans des entités essentiellement  » burocratiques et budgétivores « , incapables de lancer le développement local des 11 provinces de la RDC.
En réponse aux menaces indépendantistes de certaines provinces, comme le Katanga, estime la DC, Kinshasa cherche à neutraliser cet élan en se rappelant, avec 9 ans de retard, de la décentralisation administrative.  » Plutôt que soigner le mal, les actuels dirigeants, essayent d’effacer les symptômes des velléités indépendantistes « , précise le communiqué.
Vu le soubassement politique de cette décision non programmée (l’exécutif se donne 5 ans pour rendre les nouvelles entités administratives viables ), le bureau politique de la DC se demande sur les conséquences de ce choix  » politique  » dans le cas où les provinces visées par le démembrement refuseraient de coopérer, au niveau des Assemblées provinciales, en vue de leur propre mise à mort…
La Démocratie Chrétienne appelle les Congolais à la vigilance surtout dans le cas où aucun consensus national ne soit dégagé aussi bien sur la formation du bureau de la Ceni, le calendrier électoral que sur les préalables incontournables pour des élections inclusives, transparentes et démocratiques.
La Démocratie Chrétienne invite les autres forces politiques et sociales à ne pas chercher des solutions palliatives comme la proposition d’un calendrier qui exclut la participation des citoyens congolais au vote, ou lançant des propositions qui sont toujours en contradiction avec la loi électorale dernièrement modifiée et qui maintient le recensement général de la population comme nécessité incontournable pour la tenue de certaines élections.
En ce qui concerne l’élection présidentielle, la DC se demande toujours sur quel fichier électoral cette élection cruciale pourrait se tenir, vu qu’elle est déconnectée aussi bien du recensement général des électeurs que de toute nouvelle identification des électeurs…
Car, au stade actuel, l’élection présidentielle comme les élections locales ou provinciales, ne pourraient se tenir que sur la base de l’ancien fichier électoral lequel exclut aussi bien cinq générations de citoyens congolais récemment devenus majeurs d’âge que, dans les faits, tous les Congolais qui auraient égaré leur carte d’électeur, le mécanisme pour les duplicata mis en place étant onéreux et inefficace.
Egalement, le Bureau politique de la Démocratie Chrétienne invite les partis de l’opposition ayant des membres au bureau de la Ceni à les retirer en conformité à leur engagement plusieurs fois rendu public, mais jamais respecté.
Le non respect des engagements du gouvernement de cohésion nationale
Le parti cher à Eugène Diomi Ndongala fustige le non respect, de la part de l’actuel gouvernement dit de cohésion nationale, de son programme politique qui est la mise en application des décisions du forum politique appelé  » Concertations nationales « , particulièrement de la résolution exigeant la libération des prisonniers politiques nommément cités. Car, pour ce parti, cette libération est un préalable d’inclusivité  » incontournable « .

Malheureusement, jusqu’à ce jour, l’honorable Eugène Diomi Ndongala, Eric Kikunda et Firmin Yangambi croupissent toujours au Cprk.

La Démocratie Chrétienne invite l’exécutif dit de  » cohésion nationale  » issu des concertations nationales à plus de cohérence et au respect de ses propres engagements pour sa propre crédibilité politique, en libérant les prisonniers politiques, et la Ceni à reconnaitre le droit de vote ainsi que l’éligibilité des jeunes congolais qui ont entre 18 et 23 ans.
Par Stone
http://democratiechretienne.org/2015/03/09/la-dc-denonce-un-processus-electoral-non-inclusif-et-le-decoupage-territorial-aux-colorations-politiques-tempete-des-tropiques/
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Message  KOTA 14/3/2015, 4:43 pm

LES ANALYSES FAITES PAR LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DE M. EUGENE DIOMI NDONGALA PROUVENT QUE SEULE L ‘ELECTION PRESIDENTIELLE EST POSSIBLE EN SEPTEMBRE 2016 / L’ INTERPRETE
par FreeDiomi le 14 mars 2015
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 http://democratiechretienne.org/2015/03/14/les-analyses-faites-par-la-democratie-chretienne-de-m-eugene-diomi-ndongala-prouvent-que-seule-l-election-presidentielle-est-possible-en-septembre-2016-l-interprete/
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Message  KOTA 15/3/2015, 4:20 pm

LA VRAIE OPPOSITION ET LA VRAIE SOCIETE CIVILE REUNIES AU CPRK:EUGENE DIOMI NDONGALA, MUYAMBO, KIKUNDA, EWANGA, YANGAMBI, NGOY, KIBOKO, KABATSHI  - LES VRAIS HEROS DE LA RESISTANCE CONGOLAISE


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Message  KOTA 17/3/2015, 11:45 pm

LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE: « PLUS DE 50 ARRESTATIONS ARBITRAIRES DEPUIS LE 15/03/2013 A KINSHASA ET A GOMA A LA SUITE DU LANCEMENT DU MOUVEMENT CITOYEN CONGOLAIS « FILIMBI »: LE REGIME KABILA A TRANSFORME LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO N UNE IMMENSE PRISON A CIEL OUVERT/ Déclaration politique du 17/03/2015
par FreeDiomi le 17 mars 2015
    
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DECLARATION POLITIQUE DU 17/03/2015

PLUS DE 50 ARRESTATIONS ARBITRAIRES DEPUIS LE 15/03/2013 A KINSHASA ET A GOMA  A LA SUITE DU LANCEMENT DU MOUVEMENT CITOYEN CONGOLAIS « FILIMBI »:

LE REGIME KABILA A TRANSFORME LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO EN UNE IMMENSE PRISON A CIEL OUVERT

La Démocratie Chrétienne tient à manifester toute sa solidarité avec les victimes congolaises et étrangères de l’intolérance politique du régime Kabila qui, depuis dimanche 15 mars 2015, se sont ajouté à la longue liste de prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons-mouroirs de la République Démocratique du Congo, à cause de leurs opinions politiques.
Notre indignation est particulièrement adressée contre les services de sécurité congolais qui, plutôt que travailler pour désamorcer les véritables et nombreuses menaces à la paix et à la sécurité de notre pays, excellent chaque jour un peu plus dans les montages sécuritaires contre des innocents, instrumentalisant la justice afin de faire taire tout voix dissidente au Congo Kinshasa.
Les dernières victimes des accusations surréalistes de ce régime décadent sont les militants des mouvements citoyens du Sénégal, du Burkina Faso et de la RDC, qui se nomment Yenamarre, Balai Citoyen, Lucha et le dernier né, Filimbi, qui ont été embastillés avec des journalistes, des artistes et musiciens pour avoir organisé une conférence-débat sur la participation des jeunes au processus électoral.
La liberté d’expression étant le socle de tous les droits fondamentaux de la personne, il sied de dénoncer que le droit de réunion, la libre expression et le droit 0manifester ne sont plus reconnus , dans les faits, en RDC : ce 17 mars 2015, un groupe de jeunes, journalistes et activistes des droits de l’homme ont été encore arrêtés à Goma, à l’occasion d’une manifestation pacifique réclamant la libération de tous les activistes des Droits de l’Homme, les journalistes et les artistes illégalement enlevés par les services de sécurité dimanche 15 mars 2015 à Kinshasa.
Toutes les 52 personnes arrêtées à ce jour dans le contexte de celui qu’on peut appeler « l ‘Affaire Filimbi », ont été victimes d’actes de violence, bastonnades, coups de matraque et ils sont privés de leurs droits fondamentaux, comme l’assistance de leurs avocats, tout en étant placées en détention au secret, sans aucun contact avec leurs familles.
En d’autres termes, ils sont soumis à des tortures.
 

Certes, cela n’est pas nouveau dans un pays comme la RDC où des opposant de haut rang comme Eugène Diomi Ndongala sont incarcérés et condamnes à des lourdes peines, à la suite de montages grossiers,   pour le simple fait d’avoir revendiqué la vérité des urnes après les élections bâclées et contestées de novembre 2011.

 
En effet, aucun pays en Afrique, sauf la RDC caporalisée par le régime Kabila, aurait pu enlever et placer en détention au secret, entre les mains des barbouzes des services de sécurité, les leaders des mouvements africains désormais « historiques » comme le sénégalais « Y’ en a marre » et le burkinabé « Balai Citoyen », dont le rôle de conscientisation des jeunes africains n’est plus à démontrer.
Cela pouvait arriver seulement au Congo-Kinshasa, où un apparat répressif politico-militaire et kleptocrate s’est approprié du pouvoir et compte le conserver par la force contournant la Loi Fondamentale actuellement en vigueur.
Ce que le pouvoir Kabila ne voulait pas que les jeunes congolais sachent dans les échanges avec leurs aînés, est que ses conseilleurs ont élaboré, en complicité avec une Commission Électorale partisane, un calendrier électoral et un code électoral qui, dans les faits, excluent du vote tous les jeunes majeurs d’âge, entre 18 et 24 ans, en violation de l’art. 5 de la Constitution.
D’autant plus que les jeunes congolais ont été le « fer de lance » des manifestations du 19/20/21 janvier 2015 à travers lesquelles ils ont manifesté leur volonté d’empêcher toute forme de prolongation inconstitutionnelle du mandat de l’actuel « président » dont la légitimité est sujette à contestation. Cette lutte a été payée par le sang de plus de 40 innocents fauchés par les balles tirées par l’Armée appelée à les maîtriser avec des armes de guerre.
La Démocratie Chrétienne ne peut que soutenir la jeunesse congolaise dans sa lutte vers l’émancipation politique et dans son combat pour le respect des droits civils et politiques des congolais.
Aussi, salue-t-elle la bravoure, le courage et l’esprit de solidarité des leaders des mouvements citoyens panafricains qui, au péril de leur vie, ont volé au secours de la jeunesse congolaise en leur fournissant les seules et véritables « armes » dont elle a besoin, c’est à dire la pensée politique, la recherche de la dignité et de la liberté par la lutte pacifique et non violente.
Ils ne pouvaient pas imaginer que cela aurait été considéré comme un acte « insurrectionnel » par l’actuel exécutif congolais, comme l’actuel Ministre de l’Information du gouvernement Kabila a bien eu le courage et l’irresponsabilité de déclarer, cela n’étant que la dernière de ses extravagances communicationnelles.

Le combat des jeunes leaders panafricains et congolais des mouvement citoyens rejoint celui des prisonniers politiques congolais, comme Eugène Diomi Ndongala, Christophe Ngoy, Eric Kikunda, Firmin Yangambi et beaucoup d’autres qui ont bravé la dictature au péril de leur vie et qui payent le prix des tortures et de la privation de leur liberté pour faire de la République Démocratique du Congo un État de Droit, respectueux des droits civils et politiques des congolais et des amis du Congo.

Le nombre des combattants de la liberté qui luttent, qui ont le courage d’ affronter les kalachnikovs et la privation injuste de leur liberté ne fait qu’augmenter et il rejoindra bientôt le seuil critique qui permettra la libération totale du Congo.

Liberté pour tous les combattants de la démocratie injustement emprisonnés en RDC ;

Liberté pour tous les prisonniers politiques de la RDC ;

Liberté pour le Congo Démocratique.

Kinshasa, 17/03/2015

Jean – Pierre Boka Kapella,
Porte-Parole de la
Démocratie Chrétienne
http://democratiechretienne.org/2015/03/17/la-democratie-chretienne-denonce/
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Message  KOTA 18/3/2015, 12:55 am

Justice instrumentalisée :Droits de l’Homme : Thambwe gesticule à Genève/ CONGOINDEPENDANT
par FreeDiomi le 17 mars 2015

Justice instrumentalisée :

Droits de l’Homme : Thambwe gesticule à Genève

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Thambwe
Le ministre congolais de la Justice et…droits de l’homme, Alexis Thambwe Mwamba
Intervenant à Genève dans le cadre de la session ordinaire de mars du Conseil des droits de l’Homme, le ministre congolais de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, a affirmé, sans rire, l’engagement du Congo démocratique de « Joseph Kabila » à respecter et protéger les droits de l’homme.
Avocat de profession, ancien « opposant armé » au régime de LD Kabila et de « Joseph », Alexis Thambwe Mwamba – à l’image de tous les politiciens congolais qui ont l’art de tourner leur veste toujours du bon côté – sert avec zèle le régime dictatorial qu’il a combattu jadis les « armes à la main ». D’abord en tant que cadre dans la rébellion pro-rwandaise du RCD (Rassemblement congolais pour la démocratie). Ensuite, dans le MLC (Mouvement de libération du Congo) de Jean-Pierre Bemba.
Après avoir servi le RCD et le MLC, « Alexis » est passé avec armes et bagages dans le clan kabiliste dit « majorité présidentielle ». L’homme a perdu de vue toutes les idées généreuses qu’il clamait à l’époque sur la démocratie et le respect des droits de l’Homme. De 2003 à 2012, il a occupé successivement les portefeuilles du Plan et des Affaires étrangères. A son crédit, aucune réforme impérissable. Bien au contraire.
A titre d’exemple, en 2009, Thambwe décide de fermer l’ambassade du Congo-Kinshasa à La Haye, aux Pays Bas. Par message n°131.1.2.1/0134/507/2009 daté du 18 mai 2009, il informe les diplomates de «prendre toutes les dispositions pour rejoindre Bruxelles à la date qui sera communiquée.» Le personnel diplomatique attend jusqu’à ce jour l’exécution de cette décision. Thambwe a quitté les Affaires étrangères en avril 2012.
Après deux années de « traversée de la savane », l’homme est de retour aux affaires dans l’équipe « Matata II ». Il dirige un ministère régalien. Celui de la Justice et droits de l’Homme. Un département ministériel qui est devenu une coquille vide. En cause, le carriérisme autant que la lâcheté qui caractérisent les titulaires successifs. Aucun magistrat du parquet ne peut mettre ses pieds dans les cachots gérés par les « services de sécurité ». Ceux-ci reçoivent leurs instructions d’un seul homme : « Joseph Kabila ».
Intervenant à Genève dans le cadre de la session ordinaire de mars du Conseil des Droits de l’homme, le ministre Thambwe a affirmé « l’engagement » du Congo démocratique « à respecter les droits de l’homme, à les promouvoir et à les protéger en punissant les violations commises tant par les dépositaires du pouvoir public que par des tiers ». Interdiction de rire.
Après ce discours imaginaire, Thambwe a retrouvé son naturel en confirmant « la ferme volonté et la disponibilité du gouvernement congolais à collaborer avec les partenaires et les défenseurs des droits de l’homme ». Il pose une condition. Faudrait-il encore que ces partenaires et défenseurs des droits l’homme « restent crédibles dans la fiabilité de leurs sources d’informations et dans la manière de traiter avec l’Etat souverain » qu’est le Congo-Kinshasa.

Les gesticulations du ministre Thambwe à Genève ne peuvent tromper personne. Qui ignore que l’appareil judiciaire congolais est devenu un appendice de la Présidence de la République? Et que le procureur général de la République et le premier président de la Cour suprême de justice obéissent au « doigt et à l’œil » à « Joseph Kabila »? Qui ignore que le ministre de la Justice fait de la figuration pendant que la police politique (ANR, Garde républicaine, ex-Demiap, police nationale) multiplie des arrestations arbitraires dans les milieux tant des opérateurs politique que des activistes des droits humains. Quelques noms sont bien connus : Eugène Diomi Ndongala, Jean-Bertrand Ewanga, Vano Kiboko, Jean-Claude Muyambo, Christopher Ngoyi, Ernest Kyaviro etc. Suspect numéro un dans l’assassinat du défenseur des droits humains Floribert Chebeya et de la « disparition » de son collaborateur Fidèle Bazana, le « général » John Numbi Banza continue à jouir de l’impunité.


A Genève, Alexis Thambwe a annoncé un « haut fait d’arme » qui témoigne de sa volonté de promouvoir les droits humains. Selon lui, son ministère vient de mettre à jour le « Vade-mecum des droits de l’homme », avec l’aide du PNUD.
Il va bientôt lancer une émission radiotélévisée pour permettre à la population d’apprendre « toutes les notions des droits de l’homme ». Quid des forces dites de sécurité qui briment impunément la population au quotidien au motif qu’elles sont intouchables?
A en croire ce ministre, le Congo-Kinshasa « tient à consolider sa « jeune démocratie » avec un régime protecteur par excellence des droits de l’homme ». Et de conclure : « C’est dans ce cadre qu’une nouvelle loi garantissant des élections libre, crédibles et transparentes a été élaboré ». Ces affabulateurs qui nous gouvernent…
B.A.W
© Congoindépendant
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Message  KOTA 24/3/2015, 2:07 pm

Congo-Kinshasa : Justice à trois vitesses / CONGOINDEPENDANT
par FreeDiomi le 24 mars 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Deni-de-justice
Congo-Kinshasa : Justice à trois vitesses
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Magistrats1
Des magistrats congolais
Répondant à la question d’une journaliste de RFI de savoir s’il n’y avait pas de contradiction entre la libération des militants pro-démocraties sénégalais et burkinabés et le maintien en détention de leurs camarades congolais, le ministre de la Communication et médias et porte-parole de « Joseph Kabila », a donné une réponse d’une légèreté navrante :  » Il n’y a pas de contradiction madame. C’est la volonté de l’autorité judiciaire qui compte ! C’est comme cela que cela se passe dans le monde entier ».
Lambert Mende Omalanga – c’est de lui qu’il s’agit -, en servile zélateur du kabilisme finissant, trouve normal que le chef de l’Etat qui représente dans une certaine mesure l’image d’un « père de famille » décide de « sauver » les étrangers tout en abandonnant ses concitoyens à leur triste sort.
Pire, Mende a menti. D’abord, parce que depuis leur arrestation le dimanche 15 mars, les activistes précités n’ont pas été présentés devant un magistrat. Leur droit de la défense a été méconnu. Ensuite, jusqu’au moment de leur expulsion, les Sénégalais et les Burkinabés ont été gardés, durant plus de 72 heures, dans un cachot de l’Agence nationale de renseignements (ANR). Le délai légal de 48 heures a été violé.
A un journaliste qui l’interrogeait sur le rôle prééminent joué par l’ANR en lieu et place du Parquet, Mende de rétorquer que « les agents de l’ANR sont des officiers de police judiciaire à compétence générale » (OPJ). Une réponse pour le moins discutable. Et ce pour la simple raison qu’un OPJ a pour mission de constater l’infraction et d’identifier l’auteur.
Compétence générale ou pas, tout OPJ, fût-il agent des services secrets, exerce ses fonctions sous l’autorité du ministère public (Parquet). Ce n’est pas un carriériste du genre Flory Kabange Numbi, l’actuel procureur général de la République, qui oserait rappeler ces règles élémentaires en matière de compétence au tout-puissant patron de l’ANR, Kalev Mutond.
Au-delà du charivari provoqué par cette affaire qualifiée pompeusement de « tentative de déstabilisation », il est un enseignement qu’il importe de retenir. A savoir que le Congo démocratique de « Joseph Kabila » a désormais une justice à trois vitesses.
La « première vitesse » est réservée aux membres de l’oligarchie au pouvoir. Des « intouchables ». Le cas du « général » John Numbi Banza, ancien chef de la police nationale, est le plus symptomatique. Suspect numéro un dans l’affaire de l’assassinat du défenseur des droits humains Floribert Chebeya Bahizire et de la « disparition » de son collaborateur Fidèle Bazana Edadi, cet « officier » bénéficie de la protection de « Joseph Kabila ». La Haute cour militaire argue qu’elle ne peut l’auditionner qu’en tant que « témoin » et non comme « prévenu ».
La « seconde vitesse » est pour les étrangers. Dès le lendemain de l’arrestation des militants pro-démocratie, les Occidentaux ont été les premiers à retrouver l’air libre. Il va sans dire que le pouvoir kabiliste a subi des pressions diplomatiques américaines, européennes et onusiennes.
En ce qui concerne les Sénégalais et les Burkinabés, Mende a reconnu que « Joseph Kabila » a décidé d’ordonner l’arrêt des poursuites contre ceux-ci suite à un « vœu » exprimé par le président sénégalais Macky Sall et dans un « souci de consolider l’unité et la cohésion du continent ».
La « dernière vitesse » est celle réservée à la grande majorité de citoyens congolais en général et aux contradicteurs du pouvoir kabiliste en particulier. Ici, le « raïs » découvre comme par enchantement qu’il importe de respecter l’indépendance de la justice.
Depuis le 15 mars, plusieurs activistes congolais ont été libérés. D’autres manquent à l’appel. Ils sont toujours écroués dans un cachot miteux de l’ANR. Leur crime est de militer pour l’alternance démocratique. Des artistes et des musiciens seraient parmi eux.

Plusieurs acteurs politiques et de la société civile sont privés de liberté à la prison de Makala ou à l’ANR tout simplement pour avoir dit « Non » à la révision constitutionnelle et « Non » à un troisième mandat pour « Joseph Kabila » en dépit de l’interdit constitutionnel. Eugène Diomi Ndongala (Démocratie Chrétienne et MPP) Jean Bertrand Ewanga Is’Ewanga (UNC), Jean-Claude Muyambo (SCODE), Bruno Kabatshi (UDPS), l’activiste de la société civile Christopher Ngoyi sont les quelques noms bien connus.

En libérant les étrangers tout en maintenant en détention des Congolais « impliqués » dans une même affaire, « Joseph Kabila » s’est disqualifié. Il donne raison à ceux qui l’ont toujours suspecté d’être un cheval de Troie au service des intérêts d’un « pouvoir d’occupation », estampillé « AFDL » (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo). Un pouvoir d’occupation qui n’a jamais fait mystère de sa volonté d’éliminer tout ce que ce grand pays compte comme élite intellectuelle.
Depuis la publication, en juin 2013, de l’ouvrage « Entre la révision de la Constitution et l’inanition de la nation » d’Evariste Boshab, « Joseph Kabila » a multiplié des messages non-verbaux sans équivoques. Des messages qui attestent que l’homme n’entend en aucun cas quitter le pouvoir par la voie des urnes. Il incombe aux Congolais de les décrypter et d’en tirer les conséquences qui s’imposent.
Dans une interview accordée à « Jeune Afrique », le même « Kabila » avait déclaré: « Nous avons combattu Mobutu les armes à la main en prenant des risques pour nos vies ». Le « raïs » et ses parrains bien connus considèrent-ils le Congo-Kinshasa comme un butin de guerre?
Baudouin Amba Wetshi


http://democratiechretienne.org/2015/03/24/congo-kinshasa-justice-a-trois-vitesses-congoindependant/
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Message  KOTA 24/3/2015, 6:22 pm

DECLARATION POLITIQUE DE L’UDPS DU 23/03/2015
par FreeDiomi le 24 mars 2015
 
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Dec-pol-udps-du-230315-1

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Dec-pol-udps-du-230315-2

DÉCLARATION POLITIQUE DE L’UDPS du 23/03/2015

En rapport avec l’évolution de la situation politique en RD. Congo l’UDPS rend public la déclaration dont la teneur suit :
 I. LA PROLONGATION DU MANDAT DE LA MONUSCO
L’UDPS fait siens les arguments développés par Mr Martin KOBLER pour solliciter le maintien de la MONUSCO en RD. Congo ainsi que le retrait progressif de ses troupes.
L’UDPS rappelle que dans sa feuille de route pour la sortie de crise en RD. Congo, son Excellence Dr Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA Président élu de la RD. Congo et Président de l’UDPS a non seulement plaidé pour le maintien de la MONUSCO mais a aussi suggéré que celle-ci soit dotée d’une autre mission en rapport avec les élections futures.
En conséquence, l’UDPS demande au Conseil de Sécurité de l’ONU :
1) Le maintien de la MONUSCU en RD. Congo ;
2) Confier à la MONUSCO la mission de soutien des élections futures conformément à la Feuille de route de son Président.
 II. HARCÈLEMENT DE LA PRESSE
L’UDPS condamne la confiscation des médias publics ainsi que le harcèlement des médias privés.
L’UDPS exige le rétablissement du signal sans conditions de :
RLTV, RTCE, de CKTV, Canal Futur et toutes les radios communautaires fermées injustement par le régime
 III. DES VIOLATIONS RÉPÉTÉES DES DROITS DE L’HOMME
 EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO »
L’Union pour la Démocratie et Progrès Social, « UDPS » en sigle n’a cessé de dénoncer les violations des droits de l’homme en République Démocratique du Congo, pendant que les responsable au pouvoir distraient l’opinion tant nationale qu’internationale avec les prétendus « complots contre la sécurité de l’Etat ».
L’UDPS prend acte de libération des membres de deux organismes africains s’occupant de défense des droits de l’homme « Y EN MARRE ET BALLET CITOYEN » du Sénégal et du Burkina-Faso. Cependant, cet incident permet de mettre au grand jour les grandes violations systématiques des droits de l’homme.

L’UDPS déplore à cet effet l’arrestation et l’incarcération des Congolais sans respect de procédure de détention. C’est le cas du Bâtonnier Jean-Claude MUYAMBO et de Christopher NGOY MUTAMBA de la Société Civile ainsi que les leaders politiques DIOMI NDONGALA, Jean Bertrand EWANGA.

Nous ne pouvons passer sous silence des membres de l’UDPS, NGANDU LUMU FILBERT détenu à la DEMIAP depuis plus de 5 mois, Bruno TSHIBANGU Vice-Président Fédéral de l’UDPS/Lubumbashi, Bruno KABANGU TSHIZUBU, « KABATSHI Vice-Président Fédéral de l’UDPS/Mbuji-Mayi. Ce dernier arrêté le 03 janvier 2013 après avoir assisté à une émission d’une Radio catholique de Mbuji-Mayi sera arrêté et transféré le même soir à Kinshasa.
Détenu pendant 5 mois au CPRK ex prison Makala et renvoyé encore à Mbuji-Mayi vers 03 heures du matin où il a été jugé et condamné à 12 mois de servitude pénale principale.
Non content de cette condamnation, le Ministère Public interjeta appel et au niveau d’appel, le prévenu KABANGU TSHIZUBU verra sa peine doublée.
Depuis lors, ses Avocats introduisent une requête de mise en liberté provisoire auprès de la Cour Suprême de Justice, la cause a été instruite plaidée et prise en délibéré depuis le 17 novembre 2014. La Cour Suprême de Justice ne se prononce toujours pas.
Des cas semblables sont légion et l’UDPS demande aux Combattants et aux autres sympathisants de se mettre débout pour attirer l’attention de l’opinion publique sur cet acharnement et ce harcèlement judiciaire contre les leaders de l’opposition et les activistes des droits de l’homme.
Devant l’ampleur du mal et du danger contre la démocratie, l’UDPS lance un appel à la solidarité et à la manifestation pacifique pour aider la justice congolaise et notamment la Cour Suprême de Justice à exercer pleinement son indépendance face aux pressions de l’Exécutif.
Sur instruction du chef du parti, le Secrétaire Général se rendra personnellement à Mbuji-Mayi pour consoler Mr Bruno KABANGU TSHIZUBU KABATSHI.

 En nous référant à tous ces dossiers, nous devons tous mettre fin à l’acharnement judiciaire sur les citoyens.

Fait à Kinshasa, le 23 mars 2015
Bruno MAVUNGU PUATI
Secrétaire Général

http://democratiechretienne.org/2015/03/24/declaration-politique-de-ludps-du-23032015/
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Message  KOTA 25/3/2015, 10:08 pm

Grosse pression sur Kabila : Une délégation des députés européens attendus à Kinshasa début avril
par FreeDiomi le 25 mars 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Diomi-ewanga

 EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 CNews
25 mars 2015
Grosse pression sur Kabila : Une délégation des députés européens attendus à Kinshasa début avril
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Joseph_kabila_president_rdc-200x200

 A la veille d’un processus électoral, jusqu’ici non consensuel et qui menace la fragile stabilité de la RD-Congo chèrement acquise, la pression sur Joseph Kabila n’est pas prête de retomber. Sur Kabila « pèse une présomption de pyromane » nous a confié un diplomate. Vigilante, la communauté internationale ne relâche pas sa pression sur le régime, elle qui s’était fait avoir en 2011 ne veut plus se faire rouler à nouveau. Tirant les leçons du passé, elle est en mode « prévenir plutôt que guérir ». Sa pression va crescendo. C’est dans une ambiance politiquement délétère ( arrestations diverses et expulsions des activistes des droits humains, etc) qu’une délégation des parlementaires de l’Union européenne (UE) est attendue début avril en Rd-Congo. Au menu de leurs discussions avec les autorités rd-congolaises : processus électoral et droits humains, essentiellement. La délégation de l’UE va rencontrer le président du Sénat, Léon Kengo Wa Dondo, et le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku. Les parlementaires sont préoccupés par l’incarcération de leurs homologues députés à cause de leurs opinions politiques.

C’est le cas notamment du Secrétaire général de l’UNC, Jean Bertrand Ewanga et Eugène  Diomi Ndongala  (DC et MPPqui croupissent à la prison de Makala (CPRK). DIOMI NDONGALA et  Ewanga partagent cette galère avec d’autres anciens parlementaires comme le bâtonnier Jean-Claude Muyambo et VanoKiboko. Bondée la prison de Makala ne refuse pas du monde, elle en veut encore plus. Ainsi sont retenus illégalement les activistes des droits humains et des journalistes, notamment : Christopher Ngoy et Mike Mukebay. Les uns et les autres le sont pour des motifs aussi simplistes que fallacieux comme l’ont démontré « l’affaire y en a marre ». Une affaire qui a fini de forger, une bonne fois pour toute, l’opinion nationale et internationale sur la vraie nature du régime de Kinshasa. Les rapports entre la communauté internationale et le régime de Kinshasa n’ont jamais été aussi tendus. Preuve supplémentaire, l’empressement suspect à faire partir la Monusco au nom d’une souveraineté frelatée. En fait, à l’approche de grands enjeux électoraux, la Monusco est devenue un témoin plus que gênant pour le régime soupçonné de préparer le chaos. La Monusco ne veut plus jouer au Ponce Pilate comme elle l’avait fait en 2011, elle qui a un mandat de stabilisation ne peut pas s’offrir le luxe de laisser derrière elle un chaos après avoir investi des milliards en RD-Congo. Cette question de la Monusco sera aussi abordée par la délégation de l’UE. La délégation des parlementaires aura fort à faire pour ramener les autorités rd-congolaises aux bons sentiments. Les parlementaires UE ont donc du pain sur la planche car Kinshasa se braque de plus en plus
lorsqu’il s’agit des droits humains et du processus électoral sur lequel pèse une vingtaine de contrainte dont une, budgétaire, qui constitue le véritable goulot d’étranglement des élections futures.


 http://democratiechretienne.org/2015/03/25/grosse-pression-sur-kabila-une-delegation-des-deputes-europeens-attendus-a-kinshasa-debut-avril/
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Message  KOTA 25/3/2015, 10:17 pm

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Yenamarre-video







https://www.youtube.com/watch?v=3YNfdXcBNws


http://democratiechretienne.org/2015/03/25/video-le-porte-parole-de-la-dc-de-diomi-m-boka-kapella-intervient-sur-rtvs1-dans-lemission-quastions-brulantes/
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Message  KOTA 26/3/2015, 6:21 pm

Après les USA et l’UE, le Canada condamne, à son tour, les arrestations du régime de Kabila et éxige le respect des lois (un état de droit)
mars 26, 2015

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Harper-et-kabila1
Le Canada condamne avec fermeté  les arrestations arbitraires des prisonniers politiques et activistes congolais et demande le respect des lois qui régissent la liberté d’éxpression et d’opinion.
Et, en même temps, une source très crédible dans le gouvernement canadien qui préfère rester sous anonymat : « le Canada est certainement très préoccupé par les arrestations récentes et l’impact sur le climat politique qui met en jeu la conduite d’un processus électoral transparent, crédible et paisible. »
A RELIRE : Attention! Le Canada met la RDC en « ROUGE »
Sur ce, l’association Les Oubliés de la Planète, par l’entremise de son directeur Jean-Luc Kienge, remercie les autorités canadiennes qui ont pris leur temps pour répondre favorablement à nos requêtes et qui continuent à nous aider dans le processus de nos demarches pour la libération des prisonniers politiques en RDC.

L’association Les oubliés de la planète ne cesse de militer pour la libération des prisonniers politiques et récemment, des jeunes activistes de LUCHA et de FILIMBI et félicite, par la même occasion, le gouvernement du Canada pour avoir eu le temps de condamner les arrestations dont sont victimes plusieurs congolais et activistes en RDC et, profite, par la même occasion, pour lui demander de ne pas s’arrêter aux condamnations mais d’éxiger aussi la libération de tous ces prisonniers politiques (Eric Kikunda, Jean-Claude Muyambo, Diomi Ndongala, Vano Kiboko, Christopher Ngoyi, etc…) et d’appliquer, comme les Etats-Unis, des sanctions ciblés sur les individus qui sont déjà en manœuvre pour perturber les élections de 2016 et la marche vers la vraie démocratie pour un retour à la stabilité de la RDC.


http://coraliekiengeshow.com/2015/03/26/apres-les-usa-et-lue-le-canada-condamne-a-son-tour-les-arrestations-du-regime-de-kabila-et-exige-le-respect-des-lois-un-etat-de-droit/
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Message  KOTA 26/3/2015, 6:40 pm

L’arrestation des activistes pro-démocratie, des opposants et défenseurs des droits de l’homme préjudicie l’image de la RDC »

par FreeDiomi le 26 mars 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Mpp1
Rigobert Kuta, représentant de la MPP /Benelux de Diomi Ndongala : « L’arrestation des activistes pro-démocratie, des opposants et défenseurs des droits de l’homme préjudicie l’image de la RDC »

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Cheik-fita-kuta-amba-wetshi

 

La Majorité présidentielle populaire (MPP), plateforme chère au président Eugène Diomi Ndongala, demande à la communauté internationale – en réaction à l’arrestation à Kinshasa des leaders sénégalais, burkinabè et congolais des mouvements citoyens pro-démocratie – d’exiger au président de la RD Congo et à son gouvernement de respecter les prescrits de la Constitution en matières de libertés d’expression, d’association et des réunions.

« L’arrestation arbitraire de ces figures célèbres des associations citoyennes illustre un comportement très préjudiciable à l’image de la République démocratique du Congo (RDC) », souligne le chargé des Relations extérieures de la MPP, Rigobert Kuta, dans un communiqué datant de Bruxelles (Belgique).
Il souligne que « cette situation est un mauvais signal pour les futures élections en RDC, qui doit interpeller la communauté internationale, la Francophonie et l’Union africaine pour une libération de tous les prisonniers politiques ».

Kuta appelle les principaux acteurs du régime congolais à « éviter de défier la communauté internationale et à rechercher une bonne politique de bon voisinage avec ses pairs africains et avec l’ensemble des Congolais pour apaiser les tensions politiques qui s’amplifient de jour en jour » dans le pays. Pour ce faire, il demande la libération du leader de l’opposition Eugène Diomi Ndongala, Porte-parole de la MPP.

La MPP salue la bravoure et la contribution de ces jeunes militants africains aux échanges sur la bonne gouvernance et à l’instauration d’une « société réellement démocratique » en RDC.
Une plainte pour « arrestation arbitraire »
Me Sylvain Lumu a déposé lundi 23 mars 2015 une « plainte contre inconnu pour enlèvement, arrestation arbitraire, détention et perquisitions illégales ainsi que pour violation des droits garantis aux particuliers », renseigne une copie de la lettre adressée au procureur général de RDC.
Selon cette plainte, qui viserait à « défendre ces sept militants pro-démocratie arrêtés », d’autres personnes restaient détenues, sans pouvoir en indiquer le nombre ni l’identité.
Parmi les militants qu’il défend figurent Fred Bauma, du mouvement Lutte pour le changement (Lucha) basé à Goma (Nord-Kivu) dans l’est du pays, et Mi-Yangu Kiakwama kia Kiziki, membre du mouvement « Filimbi » et fils du député national Gilbert Kiakwama.
« Vendredi, l’appartement de ce dernier a fait l’objet d’une perquisition forcée », a dénoncé Me Lumu, qui demande au procureur général « des investigations et des poursuites pénales contre les responsables de ces présumées arrestations arbitraires ».
En marge d’une motion du député d’opposition Gilbert Kiakwama, père du militant de « Filimbi » arrêté, « une mission d’information doit être mise en place pour étudier toute l’affaire ; chaque groupe parlementaire va désigner un député dès demain (mardi)», a indiqué lundi un député du même camp, Juvénal Munubo.
Le but est de « s’enquérir de la situation, de faire la lumière sur ce qu’on reproche à ces jeunes » et aussi de savoir où ils sont détenus », a-t-il expliqué.
Le 15 mars 2015, les forces de l’ordre ont arrêté une trentaine de personnes, dont trois militants sénégalais, un Burkinabè et plusieurs Congolais qui avaient participé à une rencontre sur la bonne gouvernance et la démocratie, en plein débat sur un éventuel troisième mandat du président congolais Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001.
Une partie des personnes arrêtées, dont des journalistes et un diplomate américain, ont été libérées le 15 mars au soir.
Les militants étrangers, accusés de s’être rendus en RDC pour préparer des « actes de violence », ont été expulsés de la RDC le 18 mars. Le lendemain de ces expulsions, six militants et rappeurs congolais ont été libérés. Cette affaire a éclaté dans un climat politique tendu en RDC.
140 organisations montent au créneau
Selon RFI, 140 organisations de la société civile ont lancé un appel pour demander la libération de la dizaine de militants détenus depuis dimanche 15 mars à l’Agence nationale des renseignements (ANR). Elles dénoncent le « deux poids deux mesures » dans cette affaire, après la libération des activistes de Y en a marre et du Balai citoyen.
L’Association pour l’accès à la justice (ACAJ) fait partie des organisations signataires de l’appel. Elle « dénonce le silence des autorités sur une pratique, celle d’arrestations et de maintiens en détention décidés, explique-t-elle, par la seule Agence nationale des renseignements et en violation de la Constitution qui prévoit entre autres le droit de visite des familles et de recevoir les conseils d’un avocat ».
« Il n’existe aucune loi en République démocratique du Congo sur laquelle ce service peut fonder le pouvoir de pouvoir interpeller des citoyens, sans titre, et les enfermer dans des cachots sans droit de se faire visiter par les membres des familles ou d’obtenir l’assistance de leurs conseils. Ça n’existe pas », a martelé le président de l’ACAJ.
« Les responsables de (l’Agence nationale des renseignements) continuent à agir comme s’ils n’étaient pas soumis à l’autorité de la loi », a souligné Me Georges Kapiamba.
Il a ajouté que son association a écrit plusieurs lettres adressées au ministre de l’Intérieur, au ministre de la Justice, au Premier ministre et jusqu’au niveau du président de la République « pour attirer leur attention sur ces violations graves des droits fondamentaux ».
Dans ses correspondances, l’ACAJ estime qu’il fallait « prendre des dispositions rapidement pour y mettre fin et sécuriser ainsi tous les citoyens sur l’étendue de la République démocratique du Congo ».

« Et malheureusement, nous constatons que rien n’est fait et (que) les responsables de ce service continuent à agir comme s’ils n’étaient pas soumis à l’autorité de la loi. Voilà la situation dans laquelle nous nous retrouvons, avec la multiplication des prisonniers d’opinion », conclue-t-elle.

Aucun responsable du gouvernement ou du parquet n’était disponible samedi 21 mars pour répondre à ces questions de procédure soulevées par l’ACAJ.


http://democratiechretienne.org/2015/03/26/rigobert-kuta-representant-de-la-mpp-benelux-de-diomi-ndongala-larrestation-des-activistes-pro-democratie-des-opposants-et-defenseurs-des-droits-de-lhomme-prejudicie-li/
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Message  KOTA 27/3/2015, 5:33 pm



FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE CONTREDIT MINAKU SUR RFI: « NON, LA RDC N’EST UN ETAT DE DROIT ET LES CAS QUI LE PROUVENT SONT LEGIONS, DONT CELUI D’EUGENE DIOMI NDONGALA »

par FreeDiomi le 27 mars 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Freddy-kita-rfi-250315
          http://www.rfi.fr/emission/20150326-rdc-justice-freddy-kita-eugene-diomi-ndongala-aubin-minaku/


http://democratiechretienne.org/2015/03/27/freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-contredit-minaku-sur-rfi-non-la-rdc-nest-un-etat-de-droit-et-les-cas-qui-le-prouvent-sont-legions-dont-celui-deugene-diomi-ndongala/
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Message  KOTA 29/3/2015, 8:20 pm

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 19/ACAJ/2014: « Le Gouvernement congolais empêche M. Eugène DIOMI à se faire soigner »
19 novembre 201421 novembre 2014 FreeDiomi droits civils et politiques, DROITS DE L'HOMME, RDCEUGENE DIOMI NDONGALA

*EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Lettre-transmission-comm-acaj-deni-soin
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Diomi-aux-urgences
COMMUNIQUE DE PRESSE N° 19/ACAJ/2014

«Le Gouvernement congolais empêche M. Eugène DIOMI à se faire soigner »

Kinshasa, le 19 novembre 2014- L’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) est profondément préoccupée par le refus du Gouvernement congolais à prendre des mesures nécessaires pour permettre à M. Eugène DIOMI NDONGALA d’accéder aux soins que requiert son état de santé.

Le 8 octobre 2014, le Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies a demandé au Gouvernement congolais de prendre des mesures urgentes pour fournir une assistance médicale appropriée à M. Eugène DIOMI NDONGALA et prévenir tout préjudice irréparable.

Le 31 octobre 2014, M. Eugène DIOMI a adressé la lettre n° 34/CAB/GK&EM/2014 au Premier Ministre et Chef du Gouvernement pour demander à ce que lesdites mesures soient rapidement prises car son état de santé est en train de se dégrader du jour au jour. Il l’a aussi informé qu’à la suite de l’AVC qu’il avait connu en décembre 2013, il lui faut en urgence des examens  de : scanner cérébral, scanner cervical, d’une radio de l’épaule droite; des examens complets biomédicaux et de toxicologie ainsi qu’une hospitalisation suivie d’au moins douze séances de kinésithérapie lui prescrits il y a plus de dix mois, mais qu’il n’a jamais passés à cause des restrictions qui lui sont illégalement imposées.
Plus de deux semaines après, aucune disposition concrète n’est prise à la prison Makala afin de permettre d’accéder aux soins requis. La direction de la prison de Makala dit n’avoir toujours pas reçu des instructions y afférentes.
L’ACAJ déplore énormément l’attitude du Gouvernement dans ce cas, car il traduit une volonté de ne pas respecter les droits fondamentaux garantis aux personnes en détention.
L’ACAJ rappelle le Gouvernement qu’au terme du principe 24 de l’Ensemble des principes des Nations Unies pour la protection des personnes soumises à une forme quelconque de détention ou d’emprisonnement, les Etats ont l’obligation de leur faire bénéficier des soins et traitements médicaux chaque fois que le besoin s’en fera sentir. Et l’article 18, alinéa 5 de la Constitution prescrit que « Tout détenu doit bénéficier d’un traitement qui préserve sa vie, sa santé physique et mentale ainsi que sa dignité ».
Les membres de l’ACAJ qui ont rendu visite récemment à M. Eugène DIOMI NDONGALA à la prion de Makala l’ont trouvé très affaibli, épuisé et incapable de parler normalement, ni de bouger…

« Le Gouvernement congolais doit exécuter de bonne foi les mesures urgentes lui notifiées par le Comité des droits de l’homme en faveur de M. Eugène DIOMI NDONGALA. Car la RDC a reconnu l’autorité de ses décisions en ratifiant le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi que son Premier protocole facultatif », à déclaré Me Didier Kalemba, Chargé de protection à l’ACAJ.

Pour tout contact presse :
Me Didier Kalemba, chargé de protection à l’ACAJ
Téléphone : +243 81 268 6222
Email : acajasbl@yahoo.fr
Website :www.acaj-asbl.org
****************************************
LIRE AUSSI:

  • COMMUNIQUE DE PRESSE N° 08/ACAJ/2014:« M. Eugène DIOMI NDONGALA a été condamné par une chambre irrégulière. Il doit être remis en liberté sans condition » 4 septembre 2014
  • «En quête de la Justice, le prisonnier politique DIOMI NDONGALA a déposé plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’homme des Nations Unies à Genève» / COMMUNIQUE DE PRESSE N° 10/ACAJ/2014 29 septembre 2014


  • COMMUNIQUE DE PRESSE N° 14/ACAJ/2014 -« Le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a notifié à la RDC des mesures conservatoires dans l’intérêt de M. Eugène DIOMI NDONGALA » 14 octobre 2014
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Message  KOTA 1/4/2015, 6:52 pm

LETTRE DE LA DC ET MPP A L’UDPS EN REPONSE A LA TRANSMISSION OFFICIELLE DE »LA FEUILLE DE ROUTE DE SORTIE DE CRISE DU PRESIDENT ETIENNE TSHISEKEDI »
par FreeDiomi le 1 avril 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Lettre-dc-mpp-sur-feuille-de-route-udps-1-001
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Lettre-dc-mpp-sur-feuille-de-route-udps-1-001
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Lettre-a-udps-sur-feuille-de-route-2-001
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Lettre-a-mavubgu-reaction-d-mpp-feuille-de-route-3-001
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Lettre-a-mavungu-dc-mpp-sur-feuille-de-route-udps-4-001
http://democratiechretienne.org/2015/04/01/lettre-de-la-dc-et-mpp-a-ludps-en-reponse-a-la-transmisssion-offielle-dela-feuille-de-route-de-sortie-de-crise-du-president-etienne-tshisekedi/
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Message  KOTA 4/4/2015, 12:53 pm

La Démocratie Chrétienne et la MPP d’accord avec la « Feuille de route » de l’Udps / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 3 avril 2015


EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Tempete-du-02042015-001
*
Dans une correspondance adressée au secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social, la Démocratie chrétienne (Dc) et la Majorité présidentielle populaire (Mpp) approuvent la  » Feuille de route de l’Udps pour la sortie de crise  » en République démocratique du Congo.
En effet, la DC et la Mpp ont souhaité soumettre à l’attention du SG de l’Udps, dans le cadre de la création d’un  » pôle progressiste de l’Opposition politique congolaise  » qui assume pleinement son leadership au sein de cette composante, aussi bien dans le contexte particulier de la préparation du dialogue que dans l’objectif plus général de sa meilleure visibilité et redynamisation, ce qui suit.
Les deux structures de l’Opposition avouent avoir, déjà, publiquement soutenu, depuis le 11 juin 2014, au cours d’une déclaration politique rendue publique lors d’une conférence de presse, l’initiative de Martin Kobler, celle d’organiser un dialogue politique inclusif, conformément à l’esprit et à la lettre de la Résolution 2098 du Conseil de sécurité de l’Onu et de l’Accord cadre d’Addis-Abeba.
La DC et la MPP estiment que la crise de légitimité découlant de la fraude électorale de 2011 ne peut trouver de solutions appropriées qu’à travers un dialogue national devant se pencher, entre autres, sur le lancement d’un processus électoral fiable.  » Nos formations politiques rejettent le calendrier électoral proposé par la Ceni, car irréaliste et irréalisable « , peut-on lire.
» L’adoption, par le Conseil de sécurité de l’Onu, de la Résolution n°2147, encore plus explicite que la n°2098, ne peut que constituer le soubassement juridique de la feuille de route telle qu’élaborée par Etienne Tshisekedi Wa Mulumba… « .
Elles félicitent l’Udps d’avoir mis au centre de l’actuelle crise politique et institutionnelle qui frappe la RDC depuis novembre 2011,  » la crise de légitimité qui découle de la mise en place des institutions politiques issues de la fraude électorale.
Nous partageons pleinement cette prise de position qui constitue la clé de lecture la plus importante pour envisager de comprendre et résoudre la crise politique qui frappe la République démocratique du Congo depuis des années « , martèlent la DC et la MPP.
Dans cette optique, l’organisation du dialogue autour de deux pôles politiques les plus représentatifs, l’UDPS et alliés d’un côté, et la Majorité présidentielle accompagnée des animateurs des instituions de l’autre, paraît logique pour la DC et la MPP.
Néanmoins, elles estiment qu’il serait opportun d’envisager une ouverture aux forces politiques  » indépendantes  » qui ne se reconnaitraient pas dans la composante MP. Cette troisième composante pourrait comprendre six membres, autant que la composante  » Société civile  » qu’il serait opportun de prendre en compte.
Il reste entendu que la sélection des membres de la composante  » Indépendante  » et celle de la  » Société civile  » reviendrait aux deux composantes principales au dialogue que sont Etienne Tshisekedi et alliés ainsi que Joseph Kabila et alliés, assumant aussi un rôle de  » Comité préparatoire « . Cela permettrait de couper court à toute critique concernant l’inclusivité et la représentativité du dialogue, comme demandé par la Résolution 2147.
In fine, dans l’objectif d’assurer l’inclusivité et la représentativité du dialogue politique en gestation, la DC et la MPP estiment qu’il est incontournable de poser le préalable de la libération des prisonniers politiques à toute rencontre avec Joseph Kabila.
Du couplage législatives-présidentielle
Pour la DC et la MPP, actuellement, le jumelage des législatives nationales et la présidentielle est impossible en l’absence d’un nouvel aménagement législatif, les élections législatives demandant la tenue du recensement général de la population et l’élection présidentielle étant liée, selon l’actuel code électoral, au fichier électoral de 2011.
Voilà pourquoi il y a trois orientations possibles à emprunter pour surmonter ces problèmes et, plus en général, les incohérences du calendrier électoral présenté par la Ceni. Les trois scenarii sont : une nouvelle modification de la loi électorale, identifier à nouveau les électeurs et donner priorité à l’élection présidentielle, et mettre en place une transition politique avec ses organes ad hoc, qui serait chargée de la mise en route d’un processus électoral fiable, tout en écartant les institutions politiques issues de la fraude électorale.
Par Stone
http://latempete.info/la-dc-et-la-mpp-daccord-avec-la-feuille-de-route-de-ludps/

http://democratiechretienne.org/2015/04/03/la-democratie-chretienne-et-la-mpp-daccord-avec-la-feuille-de-route-de-ludps-tempete-des-tropiques/
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Message  KOTA 4/4/2015, 10:56 pm

L’heure a sonné, pour Joseph Kabila, de dégager !  
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Bamba
Bamba-di-Lelo
Toutes les conditions sont réunies pour chasser Joseph Kabila du pouvoir avant le 19 décembre 2016. Il n’y a aucun doute sur le fait que Joseph Kabila est devenu Chef d’Etat du Congo, par la survenue fortuite du décès de Laurent Désiré Kabila, se cramponne instinctivement à son poste de Président. Et pourtant, l’homme n’est qu’un simple parvenu, un irresponsable et un petit homme du peuple très ignorant, qui ne s’intéresse qu’aux aspects les plus protocolaires, et aucunement aux préoccupations d’une bonne gouvernance. Dans tout cela se conclut le manque total d’une vision d’Etat et donc d’une politique quelconque du destin du Congo.

Ce qui intéresse fondamentalement Joseph Kabila, depuis sa prise de fonction, à la mort de Laurent Désiré Kabila, c’est de percevoir les meilleures dividendes et privilèges par force de l’impunité, dont il bénéficie par illégitimité, dans ses fonctions présidentielles.


Eugène Diomi Ndongala, Jean Claude Muyambo, Christopher Ngoy, et tant d’autres Congolais, qui ont osé élever la voix contre les agissements rétrogrades et barbares de Joseph Kabila, croupissent en prison, cachés aux regards des témoins, obligés de subir, selon l’humeur du « Raïs », des tortures et sévices corporels dégradants, insupportables pour un être vivant, né libre.



En ce moment, Jean Claude Muyambo, ancien député national et ancien Bâtonnier de l’Ordre des Avocats du Katanga à Lubumbashi est en détention, sans raison valable, à la prison centrale de Makala. Ce dernier a failli perdre l’usage de ses jambes, du fait que ses orteils ont été brisés sous les tortures subies, par les tortionnaires de Joseph Kabila, qui se considèrent comme seuls maîtres du Congo, et par conséquent, au-dessus des lois. De cette manière, joseph Kabila montre au monde entier, que son régime politique est une dictature.

Partout dans le pays, et tout récemment à Béni, la population congolaise est victime d’une répression sanglante. On vit donc, dans un vécu de psychose inconnue jusqu’alors ! Malgré tous les cris de détresse et les souffrances, qu’endure le peuple congolais, Joseph Kabila reste aphone. Il ne veut pas abandonner le pouvoir. Bien au contraire, il élabore d’une manière machiavélique, des stratagèmes et subterfuges pour retarder l’avènement d’une alternance démocratique apaisée dans le pays.

En effet, joseph Kabila lui-même n’a jamais éclairé le peuple ni révélé le sens de ses véritables intentions. Comme lors des élections de 2006 et 2011, il envisagera de susciter un état de chaos, dans le pays, pour justifier une prolongation du pouvoir, au-delà de 2016, par un Etat de siège qu’il proclamera sans l’avis du Parlement, ni du Sénat, dont la majorité des membres d’ailleurs, sont déjà acquis, pour la cause du régime d’occupation. D’autant que la corruption est, à cet égard, mise entièrement à contribution.

Entre autres choses, on ne peut ignorer qu’Evariste Boshab, matière grise du PPRD, avait, depuis un certain temps, publié un livre dont le titre est « Entre la révision de la Constitution et l’inanition de la nation ». Ce livre prédit la disparition de l’Etat congolais, si on ne « révisait » pas la Constitution actuelle, pour permettre à Joseph Kabila de briguer un troisième mandat. Ici, l’auteur considère que les Congolais sont des moutons de Panurge, donc des « nains intellectuellement », incapables d e se prendre en charge pour construire leur destin collectif.

Dans son discours du 23 octobre 2013, devant les deux chambres réunies, Joseph Kabila, a recommandé aux Parlementaires, insidieusement, de modifier le mode d’élection des Députés provinciaux par un suffrage indirect, lors des élections de 2015 et 2016.

N’ayant pas froid aux yeux, le Pasteur Théodore Mugaru, pendant sa campagne sur la Révision de la Constitution, n’a pas hésité de dire que le nom de Dieu manquait dans l’actuelle « Constitution », mais qu’il fallait l’ajouter absolument.

Toutes ces manœuvres dilatoires n’ont pour but que de modifier la Constitution, pour permettre à Joseph Kabila d’empiler un troisième mandat, pourtant interdit par l’article 220 de notre Constitution.

Dans l’entretemps, tous les Congolais, épris de l’esprit de paix et de justice, se regardent et se posent de nombreuses questions face au danger imminent qui guette le Congo et son peuple ; ils doivent se décider, comme un seul homme, de faire appel du patriotisme de tous, afin de chasser Joseph Kabila du pouvoir avant 2016.

Toutes les conditions sont réunies pour que les Congolais relèvent la tête face à l’ennemi.

Bamba di Lelo

Docteur en Sciences Politiques de l’UCL
Analyste des Questions politiques du Congo
E.mail : jbadil@hotmail.be
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9818
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Message  KOTA 5/4/2015, 9:33 pm

HALTE AUX MASSACRES EN RDC: LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXIGE UNE ENQUETE INDEPENDANTE SUR LA DECOUVERTE D’UNE FOSSE COMMUNE CONTENANT 425 CORPS A MALUKU, PRES DE KINSHASA
par FreeDiomi le 5 avril 2015
    


EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Halte-aux-massacres

DECLARATION POLITIQUE
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXIGE UNE ENQUETE INDEPENDANTE SUR LA DECOUVERTE D’UNE FOSSE COMMUNE CONTENANT 425 CORPS A MALUKU, PRES DE KINSHASA
La Démocratie Chrétienne avait dénoncé, au cours d’une intervention sur le plateau de la télévision de  France 24 de son Secrétaire Général, M. Freddy Kita, que les civils congolais sauvagement abattus par la police et surtout par l’armée congolaise, à la suite des manifestations populaires du 19/20/21 janvier 2015 contre une modification inconstitutionnelle de la loi électorale, se comptaient en plusieurs centaines de victimes portées disparues à Kinshasa.
 (Voici le lien https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=qaZ5X9fw6YA ).
A la dénonciation de la DC avait fait écho celle du défenseur des Droits de l’Homme, M. Chystopher Ngoy, qui avait alerté l’opinion internationale, à propos de la présence de la Garde Républicaine à l’intérieur de l’Hôpital Mama Yemo, à Kinshasa. M. Ngoy avait dénoncé, selon ses propres mots, que  des éléments de  la Garde Républicaine en civil exécutaient les blessés et empêchaient que des soins urgents ne soient administrés aux blessés réputés de l’opposition politique.
(Voici le lien du témoignage de M Ngoy http://www.rtbf.be/info/monde/detail_avant-d-etre-enleve-il-denoncait-des-exactions-de-soldats-de-kabila?id=8877941).
Quelques minutes après son témoignage téléphonique recueilli par la télévison belge RTBF, le défenseur des Droits de l’Homme Chrystopher Ngoy sera enlevé et détenu au secret par les services de sécurité congolais.
Il est actuellement détenu en tant que prisonnier politique à l’instar d’Eugène Diomi Ndongala, Kiboko, Kikunda, Yangambi, Kabatshi et tous ceux qui ont voulu dénoncer les dérives totalitaires du régime Kabila.
Face à l’étendue  des massacres de civils au cours des manifestations du 19/20/21 janvier 2015, même le Cardinal Laurent Monsengwo avait réagi sur la Radio Vaticana, demandant au gouvernement congolais « d’arrêter de tuer les congolais ».
(Voici le lien du fichier  audio de la Radio Vaticana: http://media02.radiovaticana.va/audio/audio2/mp3/00462476.mp3).
Depuis une dizaine de jours, la population de la bourgade de Maluku multipliait les alertes à la presse  dénonçant des odeurs nauséabondes en provenance d’un champ.
Alertée, la Mission de Stabilisation de l’Onu en RDC, Monusco, avec l’aide de la Croix Rouge, a déterré 425 cadavres du lieu dénoncé par la population de Maluku. Dans la fosse commune, des corps étaient entassés comme des restes de boucherie.
Connaissant la pratique néfaste de la police et de l’armée congolaises de confisquer les corps des personnes abattues au cours des manifestations politiques, la DC estime que l’identification des corps enterrés nuitamment à Maluku et la cause de la mort de ces citoyens congolais doivent faire l’objet d’une enquête internationale indépendante, le gouvernement de la RDC ne pouvant pas être juge et partie dans cette affaire gravissime dans laquelle il est mis en cause.
En effet, les massacres ne font que se multiplier dans l’impunité la plus totale, aussi bien à l’Ouest qu’à l’Est de la RDC, sans que les responsabilités ne soient clairement établies. L’impunité expose les civils congolais à des nouveaux massacres en série, dont l’objectif est de terroriser le peuple congolais pour confisquer le pouvoir par la force.
Voilà pourquoi,  il faut immédiatement mettre un terme à cette guerre qu’un apparat polico-militaire irresponsable, criminel et illégitime mène contre le peuple congolais depuis des années, dans l’ impunité la plus totale.

Vérité et Justice pour le Congo,

Fait  Kinshasa, le  05/04/2015

Jean-Pierre Boka Kapella,
Porte-parole,
de la Démocratie Chrétienne

http://democratiechretienne.org/2015/04/05/halte-aux-massacres-en-rdc-la-democratie-chretienne-exige-une-enquete-independante-sur-la-decouverte-dune-fosse-commune-contenant-425-corps-a-maluku-pres-de-kinshasa/
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Message  KOTA 8/4/2015, 7:57 pm

COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DU 07/04/2015: TENTATIVE D’EXFILTRATION DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA DE SA CELLULE VERS UNE DESTINATION INCONNUE
par FreeDiomi le 7 avril 2015








EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Logodcpetit

COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DU 07/04/2015:

TENTATIVE D’EXFILTRATION DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA DE SA CELLULE VERS UNE DESTINATION INCONNUE





 
Ce matin, 07/04/2015 à environ 10h00, un groupe de 4 agents se sont présentés devant la porte de la cellule du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala ayant, entre leurs mains, une document sans aucune référence juridique et sans motivation, demandant l’exfiltration de Diomi Ndongala, prétendument vers le Parquet Général.
Il sied de rappeler ce qui suit:
1. Fin septembre 2014, Eugène Diomi Ndongala a introduit une plainte auprès du Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies  de Genève, contre la RDC, à cause des montages politico-judiciaires dont il est victime, qui ont abouti à un condamnation politique à 10 ans de prison ferme alors que son droit à la défense ainsi qu’ à un procès équitable  devant son juge naturel n’ ont pas été respectes; même sa « prise à partie » contre les  juges qui ont prononcé, la nuit et en catimini,  sa condamnation nulle et non advenue, pour ne pas avoir respecté ni son droit à la défense ni la correcte composition de la chambre, a été superbement ignorée à ce jour, alors qu’il s’agit d’un grave déni de justice de la part du Président de la Cour Suprême de Justice.
2. A partir du 08/04/2015, le Comité des Droits de l ‘homme de Genève prendra l’affaire en délibéré et curieusement c’est justement la veille de cette date que le régime Kabila essaye soit d’exfiltrer Eugène Diomi Ndongala vers un lieu de détention éloigné de sa famille  – comme il avait déjà menacé de faire – soit  de monter un énième dossier étant convaincu que la plainte contre la RDC aboutira à une condamnation de cette dernière, à cause des graves violations de droit et de procédure qui ont entaché  le procès du leader de l’opposition politique.
3. L’Avocat du Président Eugène Diomi Ndongala, Me Patrick Mutombo, accouru au CPRK pour s’enquérir de la situation, son client étant malade, a fait l’objet d’une brève arrestation, les autorités  lui reprochant d’ avoir assister son client au CPRK..
4. Il sied aussi de rappeler que le Comité des Droits de l’Homme de Genève avait informé formellement le gouvernement de la RDC du dépôt de la plainte de Diomi Ndongala le 08/10/2014, lui demandant, au même moment, de lui envoyer ses moyens de défense dans le délai de 6 mois ainsi que de donner application urgente à des mesures conservatoires concernant l’état de santé dégradé du prisonnier Eugène Diomi Ndongala. Plusieurs rapports médicaux demandant l’hospitalisation dans un lieu de soin approprié, ont été établis sans que le gouvernement de la RDC ne commence à donner application aux mesures conservatoires exigées par le Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies et qui sont appuyées par ces mêmes  rapports.
Face à cette situation, la Démocratie Chrétienne dénonce:

–  La tentative suspecte d’exfiltrer le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, malade, de sa cellule, pour des raisons et une destination qui reste à établir.









Craignant une condamnation internationale de la RDC sur le dossier Diomi Ndongala, le régime Kabila essayerai de charger celui-ci, injustement emprisonné depuis 2 ans, par des nouvelles charges pour le maintenir coute que coute en prison.

– En violation de l’art. 18 de la Constitution et refusant de donner application aux mesures conservatoires exigées par le comité des Droits de l’Homme des Nations Unies, le Président Eugène Diomi Ndongala est toujours privé de soins urgents et nécessaires, surtout après avoir subi un AVC le 28 décembre 2013, et avoir été exfiltré par des militaires des urgences de la clinique Ngaliema, sans avoir subi aucun soins ou bien examen urgents prescrits par les médecins. Il est nécessaire de rappeler que cette exfiltration nocturne avait été effectuée par un commando GR lourdement armé à 22h00 et de manière extrêmement violente, avec des coups et brimades à l’encontre des membres de la famille Diomi Ndongala.

Face à cette inconcevable persécution qui continue, la DC prend à témoin l’opinion nationale et internationale sur la volonté du régime Kabila de porter atteinte à l’intégrité physique du  symbole vivant de la résistance congolais qui est Eugène Diomi Ndongala.

Vérité et Justice pour le Congo
Marc Mawete,
Porte-Parole ajoint,
DC

http://democratiechretienne.org/2015/04/07/communique-de-la-democratie-chretienne-du-07042015-tentative-dexfiltration-du-president-eugene-diomi-ndongala-de-sa-cellule-vers-une-destination-inconnue/?hc_location=ufi
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Message  KOTA 8/4/2015, 8:27 pm

La justice harcèle encore M. Diomi Ndongala et arrestation arbitraire de son conseil à la prison de Makala /COMMUNIQUE DE PRESSE N° 06/ACAJ/2015
8 avril 20158 avril 2015 FreeDiomi DRC, DROIT A LA LIBRE EXPRESSION, DROITS DE L'HOMME, JUSTICE, RDCcongo, DRC, EUGENE DIOMI NDONGALA, OPPOSITION, RDC, REPRESSION POLITIQUE

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 06/ACAJ/2015

La justice harcèle encore M. Diomi Ndongala

Arrestation arbitraire de son Conseil à la prison de Makala


Kinshasa, le 07 avril 2015 – L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) dénonce le énième harcèlement judiciaire contre M. Eugène Diomi Ndongala, Président du parti politique Démocratie Chrétienne, et l’arrestation de son Conseil à la prison de Makala par des agents de sécurité.

 Ce mardi 07 avril 2015, sur ordre du Parquet Général de la République quatre agents ont contraint M. Diomi Ndongala, malade depuis plusieurs mois, à comparaitre devant un magistrat pour être entendu sur de nouveaux faits. Il est désormais placé sous régime pénitentiaire de rigueur et privé de droit de communiquer avec sa famille et ses avocats.

 Son avocat Me Patrick Mutombo[1], qui est intervenu pour obtenir l’ajournement de sa comparution pour raison de santé a été arrêté et détenu au bureau du Directeur de la prison pendant une heure au motif qu’il aurait empêché M. Diomi Ndongala d’aller comparaitre devant le magistrat et communiqué avec la radio RFI dans l’enceinte de la prison sur cette affaire. Les agents de sécurité l’ont brutalisé et ravi ses téléphones. Le Directeur de la prison l’a traité de «avocat médiocre» et menacé de le faire humilier s’il continuait à contester la légalité de son arrestation et de le faire poursuivre devant le tribunal suivant la procédure de flagrance (comparution urgente).

 « Nous condamnons fermement ce énième harcèlement judiciaire contre M. Diomi Ndongala ainsi que l’arrestation et la détention arbitraires de son Avocat par les agents de sécurité. Nous rappelons que depuis plusieurs mois le Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies a demandé au Gouvernement de permettre à M. Diomi Ndongala d’accéder aux soins médicaux que requiert son état de santé, mais sans succès, a déclaré Me Georges Kapiamba, Président de l’ACAJ.

 « Le Gouvernement doit veiller à ce que les avocats s’entretiennent librement avec toutes personnes en détention et les assistent sans entraves. Une enquête indépendante doit être menée afin d’identifier tous les agents de sécurité qui ont brutalisé, malmené, arrêté,  détenu et menacé Me Patrick Mutombo alors qu’il assisté légalement son client M. Diomi Ndongola, a-t-il ajouté.

 L’ACAJ exige la levée immédiate la mesure de quasi isolement pénitentiaire qui frappe actuellement M. Diomi Ndongala.


Pour toute information complémentaire, contactez :
Me Georges Kapiamba, Président de l’ACAJ
Téléphone : +243 81 404 36 41
Email : kapiambag@gmail.com et acajasbl@yahoo.fr


 
 



[1] Me Patrick Mutombo est avocat et membre de l’ACAJ.
il:kapiambag@gmail.com


http://acaj-asbl.org/2015/04/08/la-justice-harcele-encore-m-diomi-ndongala-et-arrestation-arbitraire-de-son-conseil-ala-prison-de-makala-communique-de-presse-n-06acaj2015/
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Message  KOTA 8/4/2015, 8:45 pm

L’ACAJ dénonce le harcèlement de la justice contre Diomi Ndongala et l’arrestation arbitraire de son avocat/TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 8 avril 2015
[img=(300px,94px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/03/diomi-porte-plainte-contre-la-rdc.jpg?w=300[/img]
 
L’ACAJ dénonce le harcèlement de la justice contre Diomi Ndongala et l’arrestation arbitraire de son avocat

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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 32 Diomi-prisonier-politique-rdc


Dans un communiqué publié hier mardi 7 avril 2015, l’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) dénonce le énième harcèlement judiciaire contre Eugène Diomi Ndongala, président du parti politique  » Démocratie Chrétienne  » (DC), et l’arrestation de son avocat par des agents de sécurité à la Prison centrale de Makala.
En effet, peut-on lire dans le communiqué, hier mardi 7 avril 2015, sur ordre du Parquet général de la République, quatre agents ont contraint Diomi Ndongala, malade depuis plusieurs mois, à comparaitre devant un magistrat pour être entendu sur de nouveaux faits. Il est désormais placé sous régime pénitentiaire de rigueur et privé de droit de communiquer avec sa famille et ses avocats.
Son avocat, Me Patrick Mutombo, qui est intervenu pour obtenir l’ajournement de sa comparution pour raison de santé, poursuit le communiqué, a été arrêté et détenu pendant une heure au motif qu’il aurait empêché Diomi Ndongala d’aller comparaitre devant le magistrat et aurait accordé une interview à RFI (Radio France Internationale) dans l’enceinte de la prison sur cette affaire.
» Nous condamnons fermement ce énième harcèlement judiciaire contre Diomi Ndongala ainsi que l’arrestation et la détention arbitraires de son avocat par les agents de sécurité.
Nous rappelons que depuis plusieurs mois, le Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies a demandé au gouvernement de permettre à Diomi Ndongala d’accéder aux soins médicaux que requiert son état de santé, mais sans succès « , a déclaré Me Georges Kapiamba, président de l’ACAJ.

» Le Gouvernement doit veiller à ce que les avocats s’entretiennent librement avec toute personne en détention et les assistent sans entraves. Une enquête indépendante doit être menée afin d’identifier tous les agents de sécurité qui ont brutalisé, malmené, arrêté, détenu et menacé Me Patrick Mutombo, alors qu’il assistait légalement son client, Diomi Ndongola « , a-t-il ajouté.

L’ACAJ exige la levée immédiate de la mesure de quasi isolement pénitentiaire qui frappe actuellement M. Diomi Ndongala.
Par Stone
http://latempete.info/lacaj-denonce-le-harcelement-de-la-justice-contre-diomi-ndongala-et-larrestation-arbitraire-de-son-avocat/


http://democratiechretienne.org/2015/04/08/lacaj-denonce-le-harcelement-de-la-justice-contre-diomi-ndongala-et-larrestation-arbitraire-de-son-avocattempete-des-tropiques/
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