EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Quand l’UDPS consciente crache sur les consultations de Kabila au Palais de la Nation / C-NEWS
par FreeDiomi le 16 juin 2015
Quand l’UDPS consciente crache sur les consultations de Kabila au Palais de la Nation
[img(199.8px,132.8px)]http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2014/06/tshisekediUDPS.jpg[/img]
La tentative du mariage Kabila-Tshisekedi concoctée, voulue, planifiée et souhaitée à tout prix par certains avortée. Freddy Pindi, porte-parole de la cellule d’appui à la présidence (l’équivaillent du bureau politique) de l’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS/ Tshisekedi, expliquait à une équipe de C-News le week-end, les raisons de volte-face de son parti sur le fameux dialogue, qu’envisage Joseph Kabila pour résoudre la crise politique au pays. Pindi s’appuyant entre autres sur l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et à la ré¬solution 2098 du Conseil de sécurité des Nations- Unies, note que Joseph Kabila a manqué des tacs dans ses démarches consultatives du Palais de la nation, pour n’avoir pas suivi et appliqué telles qu’elles, les orientations contenues dans ces deux importants documents.
L’ex président de la Ligue de jeunes de l’UDPS –actuellement secrétaire national adjoint à la mobilisation, membre et porte-parole de la cellule d’appui à la président du parti, accuse Joseph Kabila -fin mandat- plutôt de tenter d’aggraver la crise que de la résoudre. Le jeune acteur politique rappelle qu’après le holdup électoral mené et opéré des mains de maître par l’équipe Daniel Ngoy Mulunda –lequel holdup a porté Joseph Kabila de nouveau à la magistrature suprême ; le président de l’UDPS Etienne Tshisekedi, considéré non seulement par le seul Pindi comme le président de la République élu, mais aussi par des millions des R-dcongolais avait plaidé à l’époque auprès de la communauté internationale afin que celle-ci s’implique pour résoudre la crise de légitimité issue des élections non transparentes de 2011. La communauté internatio¬nale, selon Pindi avait fait sourde oreille, jusque le jour où la crise s’était amplifiée notamment au Nord-Kivu avec la chute de la ville de Goma et des nombreuses atrocités exercées sur la population par les groupes armés. Et Freddy Pindi de rapporter : «c’est en ce moment-là seulement que la communauté internationale a compris la gravité de la situation et s’est engagée pour résoudre le conflit». Alors que si cette dernière avait suivi l’appel de Tshisekedi on ne serait peut-être pas dans cette situa¬tion, explique Pindi. Et de poursuivre que malgré tout, cette communauté internationale a fini par produire les deux documents dans lesquels, elle insiste sur le dialogue chapeauté par son médiateur, comme seule voie pour résoudre la crise. Kabila, argumente Pindi, au lieu de bondir sur cette voie, dit-il : «le président sortant a cherché à se maintenir au pouvoir en convoquant les concertations nationales des tristes mémoires, qui par-dessus tout n’ont été qu’un échec». Celles-ci ont produit près de 800 recommandations dont 100 prioritaires.
Voilà que ces recommandations ne sont pas encore appliquées, que l’homme cherche un autre dialogue. «Pendant que nous nous attendions à ce que Kabila s’inscrive dans l’esprit et la lettre de l’Accord-cadre, des résolutions 2098, 2147 et 2211, pour faciliter les choses en laissant l’initiative de dialogue au représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en RD-Congo, Martin Kobbler, voilà que Joseph Kabila vient de nouveau de compliquer la situation en initiant des consultations à son bureau avec certains opposants et les membres de sa famille politique», développe le porte-parole de la très stratégique cellule d’appui à la président de l’UDPS, alors que lui-même Kabila, selon Pindi constitue le vrai problème dans la crise. Pindi annonce par ailleurs qu’à travers ces consultations qui ne vont d’ailleurs pas produire grand-chose, Kabila compte surtout trainer les pas pour espérer prolonger son séjour au Palais de la nation. Et Pindi de vociférer que ça ne passera pas.
http://democratiechretienne.org/2015/06/16/quand-ludps-consciente-crache-sur-les-consultations-de-kabila-au-palais-de-la-nation-c-news/
par FreeDiomi le 16 juin 2015
Quand l’UDPS consciente crache sur les consultations de Kabila au Palais de la Nation
[img(199.8px,132.8px)]http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2014/06/tshisekediUDPS.jpg[/img]
La tentative du mariage Kabila-Tshisekedi concoctée, voulue, planifiée et souhaitée à tout prix par certains avortée. Freddy Pindi, porte-parole de la cellule d’appui à la présidence (l’équivaillent du bureau politique) de l’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS/ Tshisekedi, expliquait à une équipe de C-News le week-end, les raisons de volte-face de son parti sur le fameux dialogue, qu’envisage Joseph Kabila pour résoudre la crise politique au pays. Pindi s’appuyant entre autres sur l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et à la ré¬solution 2098 du Conseil de sécurité des Nations- Unies, note que Joseph Kabila a manqué des tacs dans ses démarches consultatives du Palais de la nation, pour n’avoir pas suivi et appliqué telles qu’elles, les orientations contenues dans ces deux importants documents.
L’ex président de la Ligue de jeunes de l’UDPS –actuellement secrétaire national adjoint à la mobilisation, membre et porte-parole de la cellule d’appui à la président du parti, accuse Joseph Kabila -fin mandat- plutôt de tenter d’aggraver la crise que de la résoudre. Le jeune acteur politique rappelle qu’après le holdup électoral mené et opéré des mains de maître par l’équipe Daniel Ngoy Mulunda –lequel holdup a porté Joseph Kabila de nouveau à la magistrature suprême ; le président de l’UDPS Etienne Tshisekedi, considéré non seulement par le seul Pindi comme le président de la République élu, mais aussi par des millions des R-dcongolais avait plaidé à l’époque auprès de la communauté internationale afin que celle-ci s’implique pour résoudre la crise de légitimité issue des élections non transparentes de 2011. La communauté internatio¬nale, selon Pindi avait fait sourde oreille, jusque le jour où la crise s’était amplifiée notamment au Nord-Kivu avec la chute de la ville de Goma et des nombreuses atrocités exercées sur la population par les groupes armés. Et Freddy Pindi de rapporter : «c’est en ce moment-là seulement que la communauté internationale a compris la gravité de la situation et s’est engagée pour résoudre le conflit». Alors que si cette dernière avait suivi l’appel de Tshisekedi on ne serait peut-être pas dans cette situa¬tion, explique Pindi. Et de poursuivre que malgré tout, cette communauté internationale a fini par produire les deux documents dans lesquels, elle insiste sur le dialogue chapeauté par son médiateur, comme seule voie pour résoudre la crise. Kabila, argumente Pindi, au lieu de bondir sur cette voie, dit-il : «le président sortant a cherché à se maintenir au pouvoir en convoquant les concertations nationales des tristes mémoires, qui par-dessus tout n’ont été qu’un échec». Celles-ci ont produit près de 800 recommandations dont 100 prioritaires.
Voilà que ces recommandations ne sont pas encore appliquées, que l’homme cherche un autre dialogue. «Pendant que nous nous attendions à ce que Kabila s’inscrive dans l’esprit et la lettre de l’Accord-cadre, des résolutions 2098, 2147 et 2211, pour faciliter les choses en laissant l’initiative de dialogue au représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en RD-Congo, Martin Kobbler, voilà que Joseph Kabila vient de nouveau de compliquer la situation en initiant des consultations à son bureau avec certains opposants et les membres de sa famille politique», développe le porte-parole de la très stratégique cellule d’appui à la président de l’UDPS, alors que lui-même Kabila, selon Pindi constitue le vrai problème dans la crise. Pindi annonce par ailleurs qu’à travers ces consultations qui ne vont d’ailleurs pas produire grand-chose, Kabila compte surtout trainer les pas pour espérer prolonger son séjour au Palais de la nation. Et Pindi de vociférer que ça ne passera pas.
CPL’homme s’interroger : «comment dialoguer avec un homme à la tête d’un régime tyran, qui viole les droits de l’homme et la liberté des citoyens. Un régime qui n’a pas froid aux yeux pour jeter les opposants et journalistes en prisons sans infraction ni jugements. Les cas du président de la DC, Eugène Diomi Ndongala, du secrétaire général de l’UNC, Jean-Bertrand Ewanga, le directeur de CONGONEWS Mike Mukebayi, Christopher Ngoy de droit de l’homme et d’autres politiciens com¬me Jean-Claude Muyambo, Vano Kiboko, les jeunes gens de Filimbi et des nombreux combattants de l’UDPS parmi lesquels nos présidents de Lubumbashi- Mbuji-Mayi, Bruno Tshibangu et Kabashi et des militants de l’opposition gardés dans des nombreux prisons et cachots de la République, même dans la prison militaire de Ndolo, on y garde des civiles». Cette tyrannie est loin de se terminer, explique Pindi –rapportant que pas plus tard, un autre combattant Nalu Kembo Chadrac, président du Parlement-Débout du marché de Liberté dans la commune de Masina a été appréhen¬dé, et l’UDPS a été informé de la nouvelle par Lubama Boloko Jeanne, membre de la famille Nalu. Ces traques il y en a tous les jours à l’UDPS, dévoile Pindi, pré¬cisant que l’UDPS compte beaucoup de ses fils et filles dans des prisons et que le pouvoir doit arrêter de faire broyer du noir à nos combattants s’il tient à décrisper le climat politique et surtout libérer les prisonniers politiques. Stève Mbikayi a qui Kabila a confié un travail dans ce sens devrait lui faire part de nos exigences, a conclu Freddy Pindi. Qui estime que le dialogue dans la formule Kabila n’a aucun sens. S‘il compte organiser les choses très bien, dit-il : «Kabila n’a qu’à prendre en compte les éléments contenus dans la feuille de route de l’UDPS remise au patron de l’ANR, son émissaire auprès des opposants, que de chercher midi à 14 heures».
http://democratiechretienne.org/2015/06/16/quand-ludps-consciente-crache-sur-les-consultations-de-kabila-au-palais-de-la-nation-c-news/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LE SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE CONDUIT UNE DELEGATION PANAFRICAINE CHEZ ETIENNE TSHISEKEDI
http://t.co/nFZ8dkBIGv
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Communiqué de presse des ONG des droits de l’homme sur le Dialogue Politique
18 juin 2015 FreeDiomi RDCcongo, Dialogue, DRC, PREALABLES, PRISONNIERS POLITIQUE ET D OPINION, RDC
http://acaj-asbl.org/2015/06/18/communique-de-presse-des-ong-des-droits-de-lhomme-sur-le-dialogue-politique/
18 juin 2015 FreeDiomi RDCcongo, Dialogue, DRC, PREALABLES, PRISONNIERS POLITIQUE ET D OPINION, RDC
http://acaj-asbl.org/2015/06/18/communique-de-presse-des-ong-des-droits-de-lhomme-sur-le-dialogue-politique/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
PAS DE DIALOGUE SANS LIBERATION PREALABLE DES PRISONNIERS POLITIQUES / FREDDY KITA, SG DE LA DC A AFRIKARABIA
par FreeDiomi le 20 juin 2015
Dialogue en RDC : « Kabila a toujours cherché à diviser l’opposition »
02 juin 2015
Le secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), Freddy Kita, dont le président Diomi Ndongala est emprisonné depuis deux ans, explique à Afrikarabia pourquoi son parti ne participera pas au dialogue national proposé par le président Joseph Kabila sans la libération préalable des prisonniers politiques.
Afrikarabia : Freddy Kita, le président Joseph Kabila souhaite ouvrir un dialogue national avec les « forces vives » de RDC. Participerez-vous à ce dialogue ?
Freddy Kita : A la Démocratie chrétienne (DC), nous ne serons pas partie prenante à ce dialogue sans la libération des prisonniers politiques dont le leader politique de l’opposition Eugène Diomi Ndongala. Il faut se rappeler qu’en 2012, il y a déjà eu l’accord cadre d’Addis-Abeba dans le lequel Joseph Kabila s’était engagé à convoquer un dialogue national. Ce qu’il n’a jamais fait. A notre grande surprise, en 2013, il a décidé d’organiser les Concertations nationales, mais encore une fois, les recommandations de ces Concertations n’ont jamais été appliquées. Et notamment la libération des prisonniers politiques, dont Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie Chrétienne, mais aussi tous les autres. Aujourd’hui, monsieur Kabila décide qu’il faut dialoguer avec l’opposition, qu’il a toujours sous-estimée et cherché à diviser. Nous pensons qu’il y a quelque chose de flou qui se cache derrière cet appel au dialogue. Nous connaissons tous Joseph Kabila : il a les armes, l’argent du Trésor public, l’imperium et il se réveille un matin pour dialoguer avec nous. Il faudrait d’abord que monsieur Kabila applique les quelques 600 recommandations des Concertations nationales… et après, nous verrons sa bonne foi.
Afrikarabia : Les principaux partis d’opposition ont rejeté l’offre de dialogue de Joseph Kabila. Seule l’UDPS l’a accepté, à la condition qu’il se déroule sous l’égide de la communauté internationale. Est-ce que vous comprenez cette position de l’UDPS dont on connaît l’intransigeance avec le pouvoir ?
Freddy Kita : Le Président Diomi Ndongala avait lancé le 17 avril 2012 la Majorité présidentielle populaire (MPP) pour revendiquer la victoire d’Etienne Tshisekedi aux élections de 2011 (l’UDPS et la DC n’ont jamais reconnu la légitimité de Joseph Kabila après les élections chaotiques de 2011, ndlr). Dans la feuille de route de l’UDPS, on parle de dialogue pour faire reconnaître à Joseph Kabila sa défaite et qu’il remette « l’impérium » à Etienne Tshisekedi. Le problème, c’est que je ne crois pas que monsieur Kabila acceptera ce genre de condition. Donc tout cela ne sert à rien, surtout parce que il n’y a pas de bonne fois dans cette démarche.
Afrikarabia : Si on ne peut pas négocier l’imperium avec Joseph Kabila, que peut-on négocier ? Le calendrier électoral ?
Freddy Kita : Depuis la publication du calendrier par la Commission électorale (CENI), nous savons que ce calendrier est irréalisable. On ne peut pas organiser sept élections en l’espace d’un an, c’est impossible. Mais attention, on ne peut pas parler du calendrier des élections avec monsieur Kabila. Il y a une CENI pour cela, qui est censée être indépendante pour discuter avec les différents partis politiques. Je demande donc à mes amis politiques de faire un seul bloc et de marcher la main dans la main.
Afrikarabia : Que souhaiteriez-vous dire à Félix Tshisekedi ?
Freddy Kita : C’est un allié et un frère. Je le soutiens dans ses combats, mais je crois que l’heure est arrivée pour un grand rassemblement de toute l’opposition politique congolaise.
Afrikarabia : Le président de la Démocratie chrétienne, Eugène Diomi Ndongala est détenu depuis avril 2013 pour une affaire de moeurs que vous dénoncez être un « montage grossier ». Où en est-on dans cette affaire ?
Freddy Kita : Nous n’avons jamais cessé de le dire : Diomi Ndongala est le prisonnier politique personnel de Joseph Kabila. Le patron de l’ANR (les services de renseignements congolais, ndlr), monsieur Kalev, sait de quoi je parle. C’est son agence qui est derrière l’arrestation de Diomi Ndongala et de quelques militants de la DC. L’ANR a aussi planifié le saccage du siège du parti. Après l’UDPS, la DC est le plus ancien parti d’opposition populaire au Congo. Son « procès » en mars 2014 n’a été qu’une condamnation arbitraire… en l’absence de l’accusé ! Nous ne sommes pas dans une Etat de droit. Nous attendons maintenant que la Commission internationale des droits de l’homme à Genève puisse émettre une décision. Il y a déjà eu une lettre de « rappel à l’ordre », envoyée par Genève aux autorités de Kinshasa. Et nous demandons que Diomi Ndongala puisse être autorisé à voyager pour se faire soigner, car il est malade.
Afrikarabia avec DC
http://democratiechretienne.org/2015/06/20/pas-de-dialogue-sans-liberation-prealable-des-prisonniers-politiques-freddy-kita-sg-de-la-dc-a-afrikarabia/
par FreeDiomi le 20 juin 2015
Dialogue en RDC : « Kabila a toujours cherché à diviser l’opposition »
02 juin 2015
Le secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), Freddy Kita, dont le président Diomi Ndongala est emprisonné depuis deux ans, explique à Afrikarabia pourquoi son parti ne participera pas au dialogue national proposé par le président Joseph Kabila sans la libération préalable des prisonniers politiques.
Afrikarabia : Freddy Kita, le président Joseph Kabila souhaite ouvrir un dialogue national avec les « forces vives » de RDC. Participerez-vous à ce dialogue ?
Freddy Kita : A la Démocratie chrétienne (DC), nous ne serons pas partie prenante à ce dialogue sans la libération des prisonniers politiques dont le leader politique de l’opposition Eugène Diomi Ndongala. Il faut se rappeler qu’en 2012, il y a déjà eu l’accord cadre d’Addis-Abeba dans le lequel Joseph Kabila s’était engagé à convoquer un dialogue national. Ce qu’il n’a jamais fait. A notre grande surprise, en 2013, il a décidé d’organiser les Concertations nationales, mais encore une fois, les recommandations de ces Concertations n’ont jamais été appliquées. Et notamment la libération des prisonniers politiques, dont Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie Chrétienne, mais aussi tous les autres. Aujourd’hui, monsieur Kabila décide qu’il faut dialoguer avec l’opposition, qu’il a toujours sous-estimée et cherché à diviser. Nous pensons qu’il y a quelque chose de flou qui se cache derrière cet appel au dialogue. Nous connaissons tous Joseph Kabila : il a les armes, l’argent du Trésor public, l’imperium et il se réveille un matin pour dialoguer avec nous. Il faudrait d’abord que monsieur Kabila applique les quelques 600 recommandations des Concertations nationales… et après, nous verrons sa bonne foi.
Afrikarabia : Les principaux partis d’opposition ont rejeté l’offre de dialogue de Joseph Kabila. Seule l’UDPS l’a accepté, à la condition qu’il se déroule sous l’égide de la communauté internationale. Est-ce que vous comprenez cette position de l’UDPS dont on connaît l’intransigeance avec le pouvoir ?
Freddy Kita : Le Président Diomi Ndongala avait lancé le 17 avril 2012 la Majorité présidentielle populaire (MPP) pour revendiquer la victoire d’Etienne Tshisekedi aux élections de 2011 (l’UDPS et la DC n’ont jamais reconnu la légitimité de Joseph Kabila après les élections chaotiques de 2011, ndlr). Dans la feuille de route de l’UDPS, on parle de dialogue pour faire reconnaître à Joseph Kabila sa défaite et qu’il remette « l’impérium » à Etienne Tshisekedi. Le problème, c’est que je ne crois pas que monsieur Kabila acceptera ce genre de condition. Donc tout cela ne sert à rien, surtout parce que il n’y a pas de bonne fois dans cette démarche.
Afrikarabia : Si on ne peut pas négocier l’imperium avec Joseph Kabila, que peut-on négocier ? Le calendrier électoral ?
Freddy Kita : Depuis la publication du calendrier par la Commission électorale (CENI), nous savons que ce calendrier est irréalisable. On ne peut pas organiser sept élections en l’espace d’un an, c’est impossible. Mais attention, on ne peut pas parler du calendrier des élections avec monsieur Kabila. Il y a une CENI pour cela, qui est censée être indépendante pour discuter avec les différents partis politiques. Je demande donc à mes amis politiques de faire un seul bloc et de marcher la main dans la main.
Afrikarabia : Que souhaiteriez-vous dire à Félix Tshisekedi ?
Freddy Kita : C’est un allié et un frère. Je le soutiens dans ses combats, mais je crois que l’heure est arrivée pour un grand rassemblement de toute l’opposition politique congolaise.
Afrikarabia : Le président de la Démocratie chrétienne, Eugène Diomi Ndongala est détenu depuis avril 2013 pour une affaire de moeurs que vous dénoncez être un « montage grossier ». Où en est-on dans cette affaire ?
Freddy Kita : Nous n’avons jamais cessé de le dire : Diomi Ndongala est le prisonnier politique personnel de Joseph Kabila. Le patron de l’ANR (les services de renseignements congolais, ndlr), monsieur Kalev, sait de quoi je parle. C’est son agence qui est derrière l’arrestation de Diomi Ndongala et de quelques militants de la DC. L’ANR a aussi planifié le saccage du siège du parti. Après l’UDPS, la DC est le plus ancien parti d’opposition populaire au Congo. Son « procès » en mars 2014 n’a été qu’une condamnation arbitraire… en l’absence de l’accusé ! Nous ne sommes pas dans une Etat de droit. Nous attendons maintenant que la Commission internationale des droits de l’homme à Genève puisse émettre une décision. Il y a déjà eu une lettre de « rappel à l’ordre », envoyée par Genève aux autorités de Kinshasa. Et nous demandons que Diomi Ndongala puisse être autorisé à voyager pour se faire soigner, car il est malade.
Afrikarabia avec DC
http://democratiechretienne.org/2015/06/20/pas-de-dialogue-sans-liberation-prealable-des-prisonniers-politiques-freddy-kita-sg-de-la-dc-a-afrikarabia/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
05 06 15 - LETTRE OUVERTE A LA CLASSE POLITIQUE DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO N/Réf : 030 /CE/FD/JCK/ASADHO/2015
L’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme (ASADHO) apporte sa contribution au débat national relatif au devenir de la RDC, au regard du dialogue en préparation face aux enjeux du long cycle électoral programmé mais controversé
Au Président de la République ;
A la Majorité Présidentielle ;
Aux acteurs politiques de l’opposition ;
Concerne : Le dialogue politique en RD Congo.
Monsieur le Président de la République ;
L’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme, ASADHO en sigle, vous adresse le présent courrier pour vous faire part de ses préoccupations en rapport avec la situation politique qui prévaut en République Démocratique du Congo en ce moment.
En tant qu’organisation engagée dans les questions des droits de l’Homme et du développement démocratique, l’ASADHO est toujours intervenue par ses écrits pour attirer votre attention et celle de notre classe politique sur certains problèmes qui rongent notre société et qui l’affaiblissent face aux multiples prédateurs nationaux et internationaux qui ne veulent pas de notre développement tant économique, social que démocratique.
Aucune nation ne peut faire face à ce genre de dangers, si ses citoyens, sa classe politique, sont divisés par des intérêts de diverses natures, ne se rencontrent pas pour parler et se mettre d’accord sur les choses qu’ils peuvent faire ensemble, en dépit de leurs divergences. La grandeur de la classe politique d’un pays se met en exergue quand elle sait trouver des compromis sur des questions difficiles et urgentes.
Fort malheureusement, Monsieur le Président de la République, pendant vos 14 ans de règne à la tête de notre pays, il nous semble que vous avez usé trop peu de votre position stratégique de symbole de l’unité nationale pour impulser pareilles rencontres.
En 2013, conscient de la fracture sociale et politique créée par les élections de 2011, l’impunité, les violations des droits de l’Homme, vous avez convoqué les concertations nationales. Ces concertations n’ont pas connu la participation de toutes les forces sociales et politiques à cause du fait que leurs conception, objectifs et agenda ont été imposés par votre famille politique à l’ensemble du peuple congolais.
Il est vrai que ces concertations ont été organisées, mais il est aussi vrai que leurs conclusions et résolutions ont eu un impact très limité. Elles n’ont pas résolu les vrais problèmes qui fragilisent notre pays dont le manque de cohésion nationale, la méfiance entre ceux qui dirigent le pays et le reste des forces sociales et politiques, l’insécurité qui continue à exposer beaucoup de congolais à la mort, mauvaises préparation et organisation des élections pour ne citer que cela.
Il n’est pas superflus de relever qu’à la veille des grandes échéances électorales de 2016, les mêmes problèmes identifiés ci-dessus demeurent et s’aggravent au point que si rien n’est fait le pays risque de ne pas rassurer le commun des mortels.
Le flou artistique sur votre représentation ou non à l’élection présidentielle de 2016 fait partie de problèmes qui aggravent la psychose tant au sein de votre famille politique qu’au sein de l’opposition politique et de toutes les forces sociales de la RD Congo.
Ainsi le besoin d’organiser de meilleures élections en 2015 et 2016, de préparer une alternative politique responsable et d’échanger sur d’autres questions d’intérêt national a conduit certaines forces politiques et sociales démocratiques à exiger un « Vrai dialogue ».
Votre responsabilité dans le contexte actuel est grande, car l’avenir du Congo dépend en grande partie de la manière dont vous, Monsieur le Président de la République, allez gérer tous les problèmes soulevés ci-dessus.
Au-delà des problèmes politiques, économiques et sociaux auxquels notre pays fait face actuellement, nous nous réjouissons du fait que vous avez engagé des concertations avec les différentes forces politiques et sociales pour explorer la possibilité d’organiser le dialogue sur certaines questions d’intérêt national.
Dans son communiqué de presse n°010/ASADHO/2015 du 11 mai 2015 intitulé « L’ASADHO soutient le dialogue entre les forces politiques et sociales dans le respect de la constitution et de l’alternance », l’ASADHO a encouragé l’idée du dialogue. Nous estimons que c’est une voie par excellence pour éviter au pays des évènements pareils à ceux qui sont arrivés au Burkina Fasso et qui sont en cours au Burundi où les citoyens sont tués inutilement par les forces de sécurité.
Pour montrer votre volonté irréversible de créer des conditions d’apaisement et de cohésion nationale, il est important que vous donniez des signaux clairs en libérant tous les leaders d’opinion, les défenseurs des droits de l’Homme, les journalistes qui sont actuellement en prison pour une ou autre raison.
Enfin, Monsieur le Président de la République, pour que ledit dialogue produise des résultats qui renforceraient notre jeune démocratie, il est important qu’il soit organisé dans le seul intérêt de trouver des compromis qui permettront au pays de respecter les droits de l’Homme, d’organiser des élections crédibles et de renforcer notre démocratie dans le respect strict des dispositions constitutionnelles actuelles.
Il est important que votre implication soit amplement sollicitée en vue de veiller à ce que le dialogue soit organisé dans les conditions différentes de celles des concertations nationales. Le temps passe vite et il est mieux d’agir maintenant.
Aux leaders de l’Opposition politique,
Mesdames et messieurs ;
Nous savons que tous leaders politiques de l’opposition ne partagent pas le même point de vue au sujet de l’opportunité et ou de la participation au dialogue initié par le Président Joseph KABILA. Les uns soutiennent le dialogue et veulent y participent alors que les autres sont d’un avis contraire.
Pour nous et au regard des arguments avancés par les uns et par les autres, vous avez tous raison. Mais sachez que si rien n’est fait, les congolais risquent d’être exposés à des troubles sociaux politiques dont personne ne peut imaginer ni l’ampleur ni les conséquences. Ce qui se passe dans les autres pays africains doit nous servir des leçons pour éviter d’autres morts.
Si vous les politiciens, en premier lieu, vous ne faites rien pour trouver des compromis pour des élections et alternance politique paisibles, nous conclurons que vous n’aimez pas ce pays et que vous n’êtes plus dignes de le diriger.
C’est ici le lieu indiqué pour rappeler encore au Président Joseph KABILA qu’il est appelé à organiser un dialogue sincère, honnête et où le bonheur du Congo doit être au-dessus de tout intérêt individuel de garder le pouvoir.
La responsabilité du Président de la République et de son gouvernement d’organiser un dialogue responsable est grande. Toute tentative du Président de la République d’organiser le dialogue pour ses intérêts personnels ou de sa famille politique sera suicidaire pour tous les congolais. L’échec de ce dialogue à la veille des échéances électorales ouvrirait les portes à tous les démons.
Nous rappelons aux leaders de l’opposition qu’il est précoce de parler d’un glissement de calendrier électoral qui aboutirait à la prolongation du mandat du président Joseph KABILA sans qu’on ne soit en possession de l’agenda du dialogue.
Si le Président de la République a le droit de faire une proposition d’agenda pour le dialogue, il est clair que l’agenda final doive être le fruit d’un large consensus de toutes les forces politiques et sociales de la République Démocratique du Congo. L’agenda du genre de celui qui était imposé aux concertations nationales n’est pas acceptable.
Il nous parait aussi clair que toutes les questions liées à la révision de la constitution et à la prolongation du mandat du Président de la République devraient être proscrites de l’agenda du dialogue.
Ainsi, nous appelons tous les partis politiques de l’opposition de participer au dialogue défini comme ci-dessus pour le bien de notre pays.
Telle est notre contribution au débat actuel sur l’organisation d’un vrai dialogue pour notre pays.
Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, Mesdames et Messieurs, l’expression de nos sentiments de parfaite considération.
Pour l’ASADHO
Me Jean Claude KATENDE
Président National
--------------------------------
« Le pouvoir politique ne peut pas faire du bien s’il n’est pas entre les mains d’une femme ou d’un homme de bien »
Maître Jean Claude Katende
Avocat au Barreau de LUBUMBASHI
Président National de l'ASADHO
Tél :+¨243 811 729 908, + 243 9970 32 984
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
SANS LA LIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES, LA DEMARCHE DE KABILA DE LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION NE SERA PAS CREDIBLE CAR ELLE SERA TJRS TAXEE D UNE ENIEME INSTRUMENTALISATION DE LA JUSTICE A DES FINS POLITIQUES.
LES ONGDH DE LA RDC
« Lutte contre la corruption par le Président Joseph Kabila, ne pas instrumentaliser la Justice à des fins politiques » / COMMUNIQUE DES ONGDH
par FreeDiomi le 29 juin 2015
COMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT
« Lutte contre la corruption par le Président Joseph Kabila, ne pas instrumentaliser la Justice à des fins politiques »
Le Collectif des organisations non gouvernementales des droits de l’homme et de bonne gouvernance saluent l’initiative prise par le Président Joseph Kabila Kabange de passer à la phase décisive, bien que ce soit tard, dans la lutte contre la corruption et le blanchiment des capitaux en faisant une dénonciation auprès du Parquet général de la république depuis plus de 48 heures. Une pareille démarche était attendue depuis longtemps pour éradiquer ce fléau durable ou tout au moins en diminuer sensiblement l’ampleur.
La RDC est classée, depuis plusieurs décennies, dans la tranche variant entre 75 et 100 % de corruption étatique au monde[1] sans que le Parquet Général de la République n’engage des enquêtes sérieuses et efficaces pouvant déboucher sur des poursuites judiciaires, et ce, malgré des multiples dénonciations des parlementaires et des ONG de la société civile nationales et internationales. Le Parquet Général de la République s’est montré inerte si pas complaisant ou limité dans plusieurs dossiers relatifs à la corruption, au détournement des deniers publics et au blanchiment des capitaux lui soumis par le passé.
Nos organisations relèvent que l’inféodation de la plupart de hauts magistrats, qui coiffent l’ordre judiciaire, au gouvernement ne garantit pas d’enquête indépendante et impartiale. Et le fait que des sources fiables aient évoqué notamment le nom de Monsieur Moïse Katumbi Chapwe, gouverneur de la province du Katanga, qui s’était publiquement opposé, comme la majorité des congolais, à la modification de la constitution pour donner un troisième mandat au Président Joseph Kabila, nous pousse à craindre une éventuelle instrumentalisation de la justice à des fins purement politiques à la veille de l’élection présidentielle de 2016.
Le Collectif des ONG des droits de l’homme et bonne gouvernance dénoncent toute démarche tendant à faire organiser des procès spectaculaires, dans le but déclaré de combattre la corruption, mais qui en réalité viserait des opposants, concurrents ou adversaires politiques.
Nos organisations rappellent que plusieurs leaders de l’opposition et de la société civile croupissent déjà à la prison de Makala à cause de leurs opinions et n’ont pas droit au procès équitable.
Pour rassurer l’opinion publique de son indépendance et impartialité, le Parquet Général de la République devra étendre son enquête à tous les cas lui soumis antérieurement par les parlementaires et ONG des droits de l’homme et bonne gouvernance impliquant des anciens collaborateurs du Cabinet du Président de la République, des anciens Premier Ministre et ministres, mandataires publiques et sociétés publiques et privées des secteurs minier, forestier et pétrolier.
Nos organisations vont soumettre, incessamment, au Parquet Général de la République des informations relatives aux autres dossiers impliquant des personnes précitées.
Nos organisations considèrent qu’à dix mois des élections législatives et présidentielle de 2016, le Président Joseph Kabila a la responsabilité principale faire libérer tous les prisonniers politiques et d’opinons et faire conclure un consensus national pour l’organisation des élections provinciales, législatives et présidentielle transparentes et équitables dans les délais constitutionnels pour une alternance démocratique.
De ce qui précède, le Collectif des organisations des droits de l’homme et bonne gouvernance, tout en insistant pour que le Parquet Général de la République fasse preuve d’indépendance et impartialité, recommande :
· Au Président de la République, de s’assurer que sa dénonciation viserait pas certaines personnalités politiques à cause notamment de leur opposition à un troisième mandat, et de faire libérer tous les prisonniers politiques et d’opinion avant le dialogue politique ;
· Au Procureur Général de la République, d’agir avec indépendance et impartialité et prendre en compte tous les cas de corruption et blanchiment des capitaux notamment ceux relatifs au détournement de 30. 000.000 USD de la SNEL provenant de paiement de facture consommation de l’électricité faite par la République du Congo- Brazzaville, à la fraude douanière à Kasumbalesa, à Matadi au Bas-Congo, dans la province du Nord-Kivu…, aux secteurs pétrolier, minier et forestier.
Fait à Kinshasa, le 27 juin 2015
Les organisations des droits de l’homme et bonne gouvernance signataires :
– Association congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ)
– Centre des droits de l’homme et du droit international humanitaire (CDH)
– JUSTITIA Asbl
– Humanisme et Droits Humains (HDH)
– Fondation Bill Clinton pour la paix (FBC)
– Ligue contre la corruption (LICOF)
– Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC)
– Observatoire Nationale de la Jeunesse (ONJ)
– Ordre des Mérites Sociaux (ORMES)
– Justice pour tous en RDC (JTR)
– Union d’Afrique contre la Corruption et la Fraude (UACF)
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[1] Consulter la mappe monde de la corruption publiée par Transparency International et bien d’autres
http://acaj-asbl.org/2015/06/29/communique-de-presse-des-ongdh-sur-la-plainte-du-chef-de-letat-pour-la-corruption/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
55 ANS d ‘indépendance: Le Cardinal Monsengwo plaide pour la libération des prisonniers politiques au cours de l’homélie à la cathédrale Notre Dame du Congo, le 30 Juin 2015
http://democratiechretienne.org/2015/07/02/55-ans-d-independancele-cardinal-monsengwo-plaide-pour-la-liberation-des-prisonniers-politiques/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Palais de congrès: Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne, homme politique et lobbyiste au 6è Forum de l’action internationale / FREDDY MULONGO
par FreeDiomi le 4 juillet 2015
Palais de congrès: Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne, homme politique et lobbyiste au 6è Forum de l’action internationale des collectivités à Paris Par Freddy Mulongo Radio Réveil FM International
Freddy Mulongo au 6è Forum de l’action internationale des collectivités à Paris. Photo Réveil FM International
Eugène Diomi Ndongala, le président de Démocratie Chrétienne et prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila, ne doit surtout pas se décourager. A l’extérieur, son emprisonnement politique par alias Joseph Kabila, le taxididacte et incapacitaire de Kingakati qui règne par défi grâce à la mafia internationale, est connu voire même très connu. A cheval entre Kinshasa et les capitales européennes, Freddy Kita, le Secrétaire Général ne loupe aucune occasion pour parler de Eugène Diomi Ndongala emprisonné pour des raisons farfelues afin de mieux le museler. Avant son retour à Kinshasa, Freddy Kita vient de rencontrer des personnalités politiques françaises au 6è Forum de l’action internationale des collectivités à Paris et a pu les sensibiliser sur le cas Eugène Diomi Ndongala.
« Connais-toi toi même » dirait Socrate, le philosophe Grec. Freddy Kita se connait-il ? Avec un carnet d’adresses bien fourni, à faire pâlir plus d’un politicailleur ventripotent sans envergure, Freddy Kita aurait dû s’en enorgueillir mais il demeure calme et serein. C’est la Force tranquille ! Le Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne, agit, contacte, parle, discute, dialogue avec des hommes et femmes politiques pour faire avancer la cause de son président c’est-à-dire la libération pure et simple d’Eugène Diomi Ndongala de la prison de Makala. Freddy Kita est un homme de foi, il ne fonctionne pas par des sentiments. La politique il s’y est engagé pour défendre les convictions et valeurs démocratiques, Freddy Kita récuse en premier l’injustice. Depuis que son président Eugène Diomi Ndongala est arbitrairement emprisonné par le régime tortionnaire de Kinshasa, Freddy Kita a pris son bâton de pèlerin pour parcourir le monde, toujours en point de chute à Kinshasa, afin de défendre le fils de Diomi Ndongala, dont le père avait financièrement contribué pour que les Joseph Kasa-Vubu, Patrice Emery Lumumba et autres se rendent à la table ronde à Bruxelles pour arracher l’indépendance aux colons Belges.
Hyacinthe Wodobodé, Maire de Bangui en République Centrafricaine et Freddy Kita , Sg de Démocratie Chrétienne. Photo Réveil FM International
Pas de chance pour alias Joseph Kabila ! Après avoir massacré les Bundu Dia Kongo, truandé Armand Tungulu, assassiné Floribert Chebeya, l’icône des droits humains en RDC, truandés les disciples de Joseph Mukungubila…alias Joseph Kabila , après 14 ans de barbaries, crimes, massacres, assassinats et sauvageries à l’égard du peuple congolais, l’imposteur voudrait organiser un dialogue à 16 mois de son départ pour s’incruster au pouvoir. Freddy Kita ne va pas sur le dos de la cuillère, on ne dialogue pas avec un imposteur, tricheur et fraudeur qui a pris le peuple congolais en otage et qui règne par défi. Tout sera fait pour accompagner son départ, qu’il pleuve, vente ou neige à Kinshasa.
Freddy Kita a compris une chose, face à un tigre en carton qui règne en autocrate dans un pays africain. Il faut chercher et le dénoncer non pas uniquement dans les médias, il faut surtout toucher ses marionnettistes qui souvent sont en Occident. Alias Joseph Kabila, tricheur en 2006 et fraudeur en 2011 doit partir en 2016, avec ou sans le soutien de ses mafieux internationaux.
http://blogs.mediapart.fr/blog/freddy-mulongo/030715/palais-de-congres-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-homme-politique-et-lobbyiste-au-6e
par FreeDiomi le 4 juillet 2015
Palais de congrès: Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne, homme politique et lobbyiste au 6è Forum de l’action internation
03 juillet 2015 | Par Freddy MulongoPalais de congrès: Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne, homme politique et lobbyiste au 6è Forum de l’action internationale des collectivités à Paris Par Freddy Mulongo Radio Réveil FM International
Freddy Mulongo au 6è Forum de l’action internationale des collectivités à Paris. Photo Réveil FM International
Eugène Diomi Ndongala, le président de Démocratie Chrétienne et prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila, ne doit surtout pas se décourager. A l’extérieur, son emprisonnement politique par alias Joseph Kabila, le taxididacte et incapacitaire de Kingakati qui règne par défi grâce à la mafia internationale, est connu voire même très connu. A cheval entre Kinshasa et les capitales européennes, Freddy Kita, le Secrétaire Général ne loupe aucune occasion pour parler de Eugène Diomi Ndongala emprisonné pour des raisons farfelues afin de mieux le museler. Avant son retour à Kinshasa, Freddy Kita vient de rencontrer des personnalités politiques françaises au 6è Forum de l’action internationale des collectivités à Paris et a pu les sensibiliser sur le cas Eugène Diomi Ndongala.
« Connais-toi toi même » dirait Socrate, le philosophe Grec. Freddy Kita se connait-il ? Avec un carnet d’adresses bien fourni, à faire pâlir plus d’un politicailleur ventripotent sans envergure, Freddy Kita aurait dû s’en enorgueillir mais il demeure calme et serein. C’est la Force tranquille ! Le Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne, agit, contacte, parle, discute, dialogue avec des hommes et femmes politiques pour faire avancer la cause de son président c’est-à-dire la libération pure et simple d’Eugène Diomi Ndongala de la prison de Makala. Freddy Kita est un homme de foi, il ne fonctionne pas par des sentiments. La politique il s’y est engagé pour défendre les convictions et valeurs démocratiques, Freddy Kita récuse en premier l’injustice. Depuis que son président Eugène Diomi Ndongala est arbitrairement emprisonné par le régime tortionnaire de Kinshasa, Freddy Kita a pris son bâton de pèlerin pour parcourir le monde, toujours en point de chute à Kinshasa, afin de défendre le fils de Diomi Ndongala, dont le père avait financièrement contribué pour que les Joseph Kasa-Vubu, Patrice Emery Lumumba et autres se rendent à la table ronde à Bruxelles pour arracher l’indépendance aux colons Belges.
Hyacinthe Wodobodé, Maire de Bangui en République Centrafricaine et Freddy Kita , Sg de Démocratie Chrétienne. Photo Réveil FM International
Pas de chance pour alias Joseph Kabila ! Après avoir massacré les Bundu Dia Kongo, truandé Armand Tungulu, assassiné Floribert Chebeya, l’icône des droits humains en RDC, truandés les disciples de Joseph Mukungubila…alias Joseph Kabila , après 14 ans de barbaries, crimes, massacres, assassinats et sauvageries à l’égard du peuple congolais, l’imposteur voudrait organiser un dialogue à 16 mois de son départ pour s’incruster au pouvoir. Freddy Kita ne va pas sur le dos de la cuillère, on ne dialogue pas avec un imposteur, tricheur et fraudeur qui a pris le peuple congolais en otage et qui règne par défi. Tout sera fait pour accompagner son départ, qu’il pleuve, vente ou neige à Kinshasa.
Freddy Kita a compris une chose, face à un tigre en carton qui règne en autocrate dans un pays africain. Il faut chercher et le dénoncer non pas uniquement dans les médias, il faut surtout toucher ses marionnettistes qui souvent sont en Occident. Alias Joseph Kabila, tricheur en 2006 et fraudeur en 2011 doit partir en 2016, avec ou sans le soutien de ses mafieux internationaux.
http://blogs.mediapart.fr/blog/freddy-mulongo/030715/palais-de-congres-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-homme-politique-et-lobbyiste-au-6e
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Ce que je crois ! Parce que je sais ! /BAMBA DI LELO
par FreeDiomi le 11 juillet 2015
Ce que je crois ! Parce que je sais !
Et c’est ça, que Joseph Kabila fait semblant, peut-être, de ne pas reconnaître, c’est-à-dire que son pouvoir est en perdition totale. Que plus rien ne va au Congo Kinshasa, et que le malaise social s’accentue de jour en jour. De là, sans doute, la surconsommation du miel contre la surconsommation qui rend obèses, certains hommes politiques congolais, habitués de se promener, par précaution, avec un flacon de miel dans la poche de leur pantalon !
De là aussi, le fait de chercher à rester au pouvoir par ruse, en dépit d’un bilan calamiteux, est de la dérive dictatoriale délirante !
Dans son discours du 30 juin 2015 à la Nation, dans lequel il illustre davantage son mépris pour le peuple congolais, Joseph Kabila ne mentionne nulle part sa décision de quitter la Présidence le 19 décembre 2016, à minuit selon la prescription de l’article 220 de la Constitution.
Dès lors, que Bamba di Lelo soit rêveur, dépassé ou inconscient, tout cela est dépourvu d’intérêt et donc, n’a pas à être examiné !
Une chose est certaine : les termes de la Constitution sont applicables à tout le monde en République Démocratique du Congo et il n’y a pas eu de modification quelconque des textes ! Une certitude existe : le temps qui passe continue son cours, nous sommes le 10 juillet 2015 et nous approchons de la date du départ inéluctable de Joseph Kabila du poste de Président de la République du Congo Kinshasa, le 19 décembre 2016, à minuit !
Bref, Daniel Makila et Gaspard Mugaruka bin Mubibi doivent se rappeler de Jules César, lorsqu’il disait que tous les hommes sont égaux, mais qu’ils ne sont pas tous pareils ! C’est dire que si les deux compatriotes cités ci-dessus ont vendu leur âme au diable pour le plaisir du ventre, Bamba di Lelo plutôt, initie le sens de son combat pour la libération de son pays, afin de remettre le Congo sur les rails, et par voie de conséquence, tracer les voies possibles de sortie de crise en vue de permettre à chacun de vivre, et de jouir pleinement des richesses de notre patrimoine commun !
Une manière donc, temporairement, d’effacer la tristesse des cœurs !
Bamba di Lelo
Docteur en Sciences Politiques de l’UCL
Analyste des Questions politiques du Congo
E.-mail : jbadil@hotmail.be
CONGOINDEPENDANT.COM
par FreeDiomi le 11 juillet 2015
Ce que je crois ! Parce que je sais !
Bamba-di-Lelo
Daniel Makila, Gaspard Mugaruka bin Mubibi et avec eux, l’ensemble des membres actifs, sympathisants du PPRD et ceux de la Majorité présidentielle, sont particulièrement agités et ne savent plus à quel saint se vouer face au départ imminent, obligatoire et impératif de leur mentor Joseph Kabila Kabange. Ce dernier est frappé par une crise profonde de légitimité, mais qui, malheureusement, s’entête à vouloir, à tout prix, essayer de se maintenir au pouvoir contre la volonté de la majorité du peuple congolais. Et de fait, cette majorité ne laisse aucune fenêtre d’opportunité à ce dernier de renouveler son mandat présidentiel, du fait des prescrits de la Constitution du pays.
Tout cela c’est ce que je crois également, du fait de l’évidence ! Et ce que je sais, de surcroît, c’est que dans notre univers, il y a des signes du temps qui ne trompent pas, et que ces signes et/ou ces phénomènes suscitent, voire provoquent un certain électro choc dans le subconscient des initiés à s’en accommoder comme ils peuvent, et ce, pour éviter le pire qui reste à venir !Et c’est ça, que Joseph Kabila fait semblant, peut-être, de ne pas reconnaître, c’est-à-dire que son pouvoir est en perdition totale. Que plus rien ne va au Congo Kinshasa, et que le malaise social s’accentue de jour en jour. De là, sans doute, la surconsommation du miel contre la surconsommation qui rend obèses, certains hommes politiques congolais, habitués de se promener, par précaution, avec un flacon de miel dans la poche de leur pantalon !
De là aussi, le fait de chercher à rester au pouvoir par ruse, en dépit d’un bilan calamiteux, est de la dérive dictatoriale délirante !
Dans son discours du 30 juin 2015 à la Nation, dans lequel il illustre davantage son mépris pour le peuple congolais, Joseph Kabila ne mentionne nulle part sa décision de quitter la Présidence le 19 décembre 2016, à minuit selon la prescription de l’article 220 de la Constitution.
En outre, il évite de se prononcer ouvertement, pour libérer certains dignes et vaillants fils de ce pays, de la prison centrale de Makala où ils sont détenus à ce jour pour des infractions imaginaires. Il s’agit, faut-il le rappeler, de : Eugéne Diomi Ndongala, Eddy Kapend, Georges Leta Mangasa Bertrand Ewanga, Jean Claude Muyambu, Vano Kiboko et consorts, tous privés de la liberté et de la chaleur familiale, pour le plaisir d’un imposteur qui s’estime, en droit de décider, en dehors du Dieu créateur, de la vie ou de la mort des Congolais !
Comme fait de circonstance complémentaire qu’il faut rappeler, qu’en mi-juin 2016, des ONG de Défense des droits de l’homme « congolaises » et internationales, avaient demandé la libération sans « condition » de deux activistes congolais, particulièrement Bauma et Makwambala poursuivis notamment pour complot contre la personne ou la vie du Chef de l’Etat, et tentative de renversement des institutions de la République. (Aveux obtenus, malheureusement sous l’effet de la torture, quelques jours plus tôt !). Un rapport d’enquête parlementaire congolais, avait pourtant conclu, contre la justice et le service des Renseignements congolais (ANR), que le mouvement « FILIMBI » n’avait rien d’un mouvement « terroriste ». L’acte d’accusation ne prend donc en compte, aucun élément crédible en droit pénal. On s’aperçoit d’ailleurs que, depuis janvier 2015, plusieurs de mes concitoyens, opposés à l’idée d’un troisième mandat de Joseph Kabila, ont été arrêtés et conduits dans une « destination encore inconnue à ce jour ».
Comment, dès lors, dans cette ambiance délétère, et dans une telle pression maintenue à l’égard du peuple, ne peut-on pas comprendre la révolte et qu’enfin de compte, tout cela précipite la chute d’un régime essoufflé ?Dès lors, que Bamba di Lelo soit rêveur, dépassé ou inconscient, tout cela est dépourvu d’intérêt et donc, n’a pas à être examiné !
Une chose est certaine : les termes de la Constitution sont applicables à tout le monde en République Démocratique du Congo et il n’y a pas eu de modification quelconque des textes ! Une certitude existe : le temps qui passe continue son cours, nous sommes le 10 juillet 2015 et nous approchons de la date du départ inéluctable de Joseph Kabila du poste de Président de la République du Congo Kinshasa, le 19 décembre 2016, à minuit !
Bref, Daniel Makila et Gaspard Mugaruka bin Mubibi doivent se rappeler de Jules César, lorsqu’il disait que tous les hommes sont égaux, mais qu’ils ne sont pas tous pareils ! C’est dire que si les deux compatriotes cités ci-dessus ont vendu leur âme au diable pour le plaisir du ventre, Bamba di Lelo plutôt, initie le sens de son combat pour la libération de son pays, afin de remettre le Congo sur les rails, et par voie de conséquence, tracer les voies possibles de sortie de crise en vue de permettre à chacun de vivre, et de jouir pleinement des richesses de notre patrimoine commun !
Une manière donc, temporairement, d’effacer la tristesse des cœurs !
Bamba di Lelo
Docteur en Sciences Politiques de l’UCL
Analyste des Questions politiques du Congo
E.-mail : jbadil@hotmail.be
CONGOINDEPENDANT.COM
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
DECLARATION POLITIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE FACE A L’IMPASSE POLITIQUE ACTUELLE QUI RISQUE D’ABOUTIR A UNE CRISE POLITIQUE MAJEURE ET MORTIFERE POUR LE PEUPLE CONGOLAIS
par FreeDiomi le 16 juillet 2015
[*]La caducité objective de l’actuel calendrier électoral publié par la commission électorale « indépendante », CENI en sigle, qui d’ailleurs avait fait l’objet d’ âpres critiques aussi bien de la population congolaise que des analystes politiques, à cause de son caractère irréaliste, certainement dû à son manque d’indépendance;
[*] La mise en place de nouvelles entités administratives à la hâte, sans programmation et sans budget, accompagnée d’une mise en place des institutions provinciales qui n’est pas conforme à l’actuelle Constitution en vigueur ;
[*]La prétendue tenue d’un dialogue politique censé résoudre l’impasse politique actuelle surtout en matière électorale, qui demeure un « leurre » sans aucun signe concret de lancement et organisation dans un délai raisonnable et qui soit respectueux des préalables de l’ opposition politique.
[/list]
Fait à Kinshasa, le 16/07/2015
Marc Mawete,
Porte parole Adj
DC
http://democratiechretienne.org/2015/07/16/declaration-politique-de-la-democratie-chretienne-face-a-limpasse-politique-actuelle-qui-risque-daboutir-a-une-crise-politique-majeure-et-mortifere-pour-le-peuple-congolais/
par FreeDiomi le 16 juillet 2015
Le bureau politique de la Démocratie Chrétienne, DC, s’est réunie ce 14 juillet 2015 afin de dénoncer la grave impasse politique que vit la République Démocratique du Congo en ce moment, impasse qui risque d’aboutir à une crise politique majeure et mortifère pour le peuple congolais.
En effet, la DC constate que l’impasse politique actuelle se caractérise par :
[list="text-align: justify;"][*]La caducité objective de l’actuel calendrier électoral publié par la commission électorale « indépendante », CENI en sigle, qui d’ailleurs avait fait l’objet d’ âpres critiques aussi bien de la population congolaise que des analystes politiques, à cause de son caractère irréaliste, certainement dû à son manque d’indépendance;
[*] La mise en place de nouvelles entités administratives à la hâte, sans programmation et sans budget, accompagnée d’une mise en place des institutions provinciales qui n’est pas conforme à l’actuelle Constitution en vigueur ;
[*]La prétendue tenue d’un dialogue politique censé résoudre l’impasse politique actuelle surtout en matière électorale, qui demeure un « leurre » sans aucun signe concret de lancement et organisation dans un délai raisonnable et qui soit respectueux des préalables de l’ opposition politique.
[/list]
A la place, les congolais ont eu droit a une sorte de monologue de M. Kabila qui tend à infantiliser le peuple congolais plutôt que l’éclairer, une fois pour toute, sur sa réelle volonté de respecter le limite de mandats présidentiels, selon les termes et les temps strictement définis par la Constitution en vigueur.
4. La Démocratie Chrétienne constate qu’aucun signe concret de décrispation politique devant précéder le lancement effectif d’un véritable processus électoral digne de ce nom n’est observé, malgré les nombreux engagements dans ce sens de M. Kabila, signataire de l’Accord Global d’Addis-Abeba qui, surtout dans son volet interne, est resté lettre morte à ce jour. Egalement, les résolutions du Forum politique nomme Concertations Politiques sont restées sans suite, même en ce qui concerne les prisonniers politiques nommément cités par les résolutions politiques et qui croupissent encore dans les geôles du régime Kabila : nous citons le Président Eugene Diomi Ndongala, M. Kikunda et M. Kikunda et M. Yangambi.
Face a cette situation générale d’impasse politique qui risque de se transformer bientôt en une crise politique majeure, la Démocratie Chrétienne alerte l’opinion nationale et internationales sur les conséquences dangereuses pour la paix en RDC de la « stratégie du chaos » qui manifestement est prônée par les actuels animateurs des institutions politiques issus des élections frauduleuses de 2011, dans l’objectif néfaste et irresponsable d’ amener le pays face à une situation d’absence aussi bien de dialogue politique que d’organisation d’ élections crédibles et respectueuses des contraintes constitutionnelles.
C’est pourquoi la Démocratie Chrétienne invite particulièrement l’opposition politique congolaise et la société civile progressistes à ne pas céder à toute forme de compromission qui risquerait de compromettre le futur de la nation congolaise et mettre définitivement un terme à son processus de démocratisation déjà gravement entaché par des violations massives des droits de l’homme ainsi que des droits civils et politiques des citoyens congolais.
En effet, les manœuvres politiciennes du régime ne doivent pas faire oublier au peuple congolais les massacres qui se poursuivent aussi bien a l’Est qu’a l’ ouest de la RDC, dans le Nord Kivu et à Kinshasa avec la multiplication de fausses communes qui ne font l’ objet d’ aucune enquête indépendante, alors que la répression politique continue à être exercée sur l’ opposition politique et la société civile afin de réduire au silence toute forme de revendication démocratique et de liberté d’ expression.
Le phénomène de la multiplication des prisonniers politiques et l’instrumentalisation de la justice sont les symptômes les plus graves d’ une société malade à cause de la privation de ses libertés fondamentales et la chosification de ses citoyens qui sont expressément privés de la voix de ceux qui osent parler en leur nom afin que la gabegie financière, les détournements de l’ argent du contribuable congolais à travers une gestion non budgétaire des recettes publiques se poursuivent, alors que la RDC demeure le pays le plus pauvre au monde par revenu pro – capita.
Comment ne pas évoquer le détournement de plus de 700 millions de dollars consacrés par les budgets nationaux de 2012 à 2014 aux élections, volatilisé sans qu’aucune explication ne soit donnée au contribuable congolais, alors que le régime Kabila, se prévalant de ses propres turpitudes, évoque la question du manque de ressources financières afin de justifier son inaction en ce qui concerne l’organisation effectives des scrutins électoraux ?
Face à ces dérives dignes d’un pays à l’abandon et dominé par la répression politique et la mauvaise gouvernance, il sied de se demander, comme justement fait un partie éclairée de la diaspora congolaise, que pouvons–nous nous attendre d’un processus électoral piège et congelé, qui évolue, de plus, dans un conteste de répression politique et violation massive des droits humains ?
Voilà pourquoi la Démocratie Chrétienne estime que le moment est venu de cesser d’accompagner ce régime dans sa stratégie mortifère du Chaos et de lui demander des comptes, avant que ses stratégies mortifères de confiscation du pouvoir n’aboutissent à des nouveaux massacres.
Marc Mawete,
Porte parole Adj
DC
http://democratiechretienne.org/2015/07/16/declaration-politique-de-la-democratie-chretienne-face-a-limpasse-politique-actuelle-qui-risque-daboutir-a-une-crise-politique-majeure-et-mortifere-pour-le-peuple-congolais/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Dans une déclaration politique : La DC décrie l’impasse politique actuelle et craint une crise majeure en RDC / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 17 juillet 2015
Dans une déclaration politique : La DC décrie l’impasse politique actuelle et craint une crise majeure en RDC
Cette formation politiqueestime que le moment est venu de cesser d’accompagner ce régime dans sa stratégie du chaos, et de lui demander des comptes, avant que ses manœuvres de confiscation du pouvoir n’aboutissent à une hécatombe
Dans une déclaration politique faite hier jeudi 16 juillet 2015 à Kinshasa et signée par son porte-parole adjoint, Marc Mawete, le bureau politique de la Démocratie Chrétienne(DC)annonce qu’il s’est réunimardi 14 juillet 2015 afin de dénoncer la » grave impasse politique » que vit la République Démocratique du Congo en ce moment, impasse qui risque d’aboutir à une crise politique majeure et mortifère pour le peuple congolais.
En effet, la DC constate que l’impasse politique actuelle se caractérise par la caducité objective de l’actuel calendrier électoral publié par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui, d’ailleurs, avait fait l’objet d’ âpres critiques aussi bien de la population congolaise que des analystes politiques, à cause de son caractère irréaliste, certainement dû à son manque d’indépendance; la mise en place de nouvelles entités administratives à la hâte, sans programmation et sans budget, accompagnée d’une mise en place des institutions provinciales qui n’est pas conforme à l’actuelle Constitution en vigueur ; la prétendue tenue d’un dialogue politique censé résoudre l’impasse politique actuelle, surtout en matière électorale, qui demeure un » leurre » sans aucun signe concret de lancement et d’organisation dans un délai raisonnable et qui soit respectueux des préalables de l’ Opposition politique.
L’Opposition politique et la société civile interpelées
Raison pour laquelle la DC invite particulièrement l’Opposition politique congolaise et la société civile progressistes à ne pas céder à toute forme de compromission qui risquerait de compromettre le futur de la nation congolaise et de mettre définitivement un terme à son processus de démocratisation déjà gravement entaché par des violations massives des droits de l’homme ainsi que des droits civils et politiques des citoyens congolais.
http://latempete.info/dans-une-declaration-politique-la-dc-decrie-limpasse-politique-actuelle-et-craint-une-crise-majeure-en-rdc
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DECLARATION POLITIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE FACE A l’IMPASSE POLITIQUE ACTUELLE QUI RISQUE D’ABOUTIR A UNE CRISE POLITIQUE MAJEURE ET MORTIFERE POUR LE PEUPLE CONGOLAIS
http://democratiechretienne.org/2015/07/16/declaration-politique-de-la-democratie-chretienne-face-a-limpasse-politique-actuelle-qui-risque-daboutir-a-une-crise-politique-majeure-et-mortifere-pour-le-peuple-congolais/
par FreeDiomi le 17 juillet 2015
Dans une déclaration politique : La DC décrie l’impasse politique actuelle et craint une crise majeure en RDC
Cette formation politiqueestime que le moment est venu de cesser d’accompagner ce régime dans sa stratégie du chaos, et de lui demander des comptes, avant que ses manœuvres de confiscation du pouvoir n’aboutissent à une hécatombe
Dans une déclaration politique faite hier jeudi 16 juillet 2015 à Kinshasa et signée par son porte-parole adjoint, Marc Mawete, le bureau politique de la Démocratie Chrétienne(DC)annonce qu’il s’est réunimardi 14 juillet 2015 afin de dénoncer la » grave impasse politique » que vit la République Démocratique du Congo en ce moment, impasse qui risque d’aboutir à une crise politique majeure et mortifère pour le peuple congolais.
En effet, la DC constate que l’impasse politique actuelle se caractérise par la caducité objective de l’actuel calendrier électoral publié par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui, d’ailleurs, avait fait l’objet d’ âpres critiques aussi bien de la population congolaise que des analystes politiques, à cause de son caractère irréaliste, certainement dû à son manque d’indépendance; la mise en place de nouvelles entités administratives à la hâte, sans programmation et sans budget, accompagnée d’une mise en place des institutions provinciales qui n’est pas conforme à l’actuelle Constitution en vigueur ; la prétendue tenue d’un dialogue politique censé résoudre l’impasse politique actuelle, surtout en matière électorale, qui demeure un » leurre » sans aucun signe concret de lancement et d’organisation dans un délai raisonnable et qui soit respectueux des préalables de l’ Opposition politique.
Face a cette situation générale d’impasse politique qui risque de se transformer bientôt en une crise politique majeure, la DC alerte l’opinion nationale et internationales sur les conséquences dangereuses pour la paix en RDC de la » stratégie du chaos » qui manifestement est prônée par le pouvoir en place, dans l’objectif deconduire le pays à une situation d’absence aussi bien de dialogue politique que d’organisation d’ élections crédibles et respectueuses des contraintes constitutionnelles.La DC constate qu’aucun signe concret de décrispation politique devant précéder le lancement effectif d’un véritable processus électoral digne de ce nom n’est observé, malgré les nombreux engagements dans ce sens de Joseph Kabila, signataire de l’Accord cadre d’Addis-Abeba qui, surtout dans son volet interne, est resté lettre morte à ce jour.
Egalement, note ce parti de l’Opposition, les résolutions des Concertations nationales sont restées sans suite, même en ce qui concerne les prisonniers politiques nommément cités par les résolutions politiques et qui croupissent encore dans les geôles du régime Kabila, parmi lesquels Eugene DiomiNdongala, Kikunda, Yangambi…
L’Opposition politique et la société civile interpelées
Raison pour laquelle la DC invite particulièrement l’Opposition politique congolaise et la société civile progressistes à ne pas céder à toute forme de compromission qui risquerait de compromettre le futur de la nation congolaise et de mettre définitivement un terme à son processus de démocratisation déjà gravement entaché par des violations massives des droits de l’homme ainsi que des droits civils et politiques des citoyens congolais.
La DC évoque aussi le » détournement » de plus de 700 millions $US consacrés dans les budgets nationaux de 2012 à 2014 aux élections, volatilisés sans qu’aucune explication ne soit donnée au contribuable congolais, alors que la MP évoque la question du manque de ressources financières afin de justifier son inaction en ce qui concerne l’organisation effectives des scrutins électoraux.Pour le parti cher à Eugène DiomiNdongala, les manœuvres politiciennes actuelles ne doivent pas faire oublier au peuple congolais les massacres qui se poursuivent aussi bien a l’Est qu’a l’Ouest de la RDC, avec la multiplication de fausses communes qui ne font l’objet d’aucune enquête indépendante, alors que la répression politique continue à être exercée sur l’Opposition politique et la société civile afin de réduire au silence toute forme de revendication démocratique et de liberté d’expression.
» Le phénomène de la multiplication des prisonniers politiques et l’instrumentalisation de la justice sont les symptômes les plus graves d’une société malade à cause de la privation de ses libertés fondamentales et la chosification de ses citoyens qui sont expressément privés de la voix de ceux qui osent parler en leur nom afin que la gabegie financière, les détournements de l’argent du contribuable congolais à travers une gestion non budgétaire des recettes publiques se poursuivent, alors que la RDC demeure le pays le plus pauvre au monde par revenu pro-capita « , peut-on lire dans cette déclaration.
Par StoneFace à toutes ces gravités, la Démocratie Chrétienne estime que le moment est venu de cesser d’accompagner ce régime dans sa stratégie » mortifère du chaos » et de lui demander des comptes, avant que ses stratégies de confiscation du pouvoir n’aboutissent à une hécatombe.
http://latempete.info/dans-une-declaration-politique-la-dc-decrie-limpasse-politique-actuelle-et-craint-une-crise-majeure-en-rdc
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DECLARATION POLITIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE FACE A l’IMPASSE POLITIQUE ACTUELLE QUI RISQUE D’ABOUTIR A UNE CRISE POLITIQUE MAJEURE ET MORTIFERE POUR LE PEUPLE CONGOLAIS
http://democratiechretienne.org/2015/07/16/declaration-politique-de-la-democratie-chretienne-face-a-limpasse-politique-actuelle-qui-risque-daboutir-a-une-crise-politique-majeure-et-mortifere-pour-le-peuple-congolais/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
J'avais suivi hier que Mike M, avait été libéré.
Ou en est-on avec Diomi Ndongala ? Ainsi que l'amnistie des prisonniers politique qui devait se faire normalement avant le dialogue ?
Ou en est-on avec Diomi Ndongala ? Ainsi que l'amnistie des prisonniers politique qui devait se faire normalement avant le dialogue ?
El-Shaman
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
MUKEBAY N A PAS ETE "LIBERE": IL A PURGE SA PEINE
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
...."Meanwhile, the State Department’s public condemnations of unlawful detentions and non-credible charges against dissenters have been sporadic and failed to highlight specific cases".
FOREIGN AFFAIRS: How the United States Risks Reigniting Chaos in Congo / By Stephen R. Weissman, John Prendergast, Anthony W. Gambino, and Sasha Lezhnev
par FreeDiomi le 18 juillet 2015
http://democratiechretienne.org/2015/07/18/foreign-affairs-how-the-united-states-risks-reigniting-chaos-in-congo-by-stephen-r-weissman-john-prendergast-anthony-w-gambino-and-sasha-lezhnev/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://democratiechretienne.org/la-persecution-du-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CLARTE DES FAITS ET NON-FAITS RESPONSABLES DU REGIME POLITIQUE ACTUEL DE LA RDC/ ALBERT KISUKIDI
par FreeDiomi le 23 juillet 2015
– Pout tout acteur politique, faire et ou ne rien faire, tout est décision d’acte politique –
Tous les partis politiques représentés dans les institutions congolaises au Senat, à l’Assemblée Nationale et dans les provinces font partie intégrante du régime politique actuel de la RDC.
L’existence d’une opposition à une majorité en garantit et l’existence et la consistance.
Tout ce qui s’est fait de 2007 jusqu’à ces jours et ce qui se fera jusqu’aux ultimes heures de l’année 2016 est de la responsabilité solidaire d’une majorité qui aura proposé et d’une opposition qui aura contrôlé accepté ou refusé les actes du gouvernement au jour le jour. .
Un régime comme celui du MPR-PARI UNIQUE-PARTI/ETAT, il était l’unique responsable de tout, alors que dans un régime démocratique sont responsables tous ceux qui participent à l’exercice du pouvoir et à son contrôle. ou alors on démissionne ou l’on déserte les institutions du régime si l’on ne tient pas à le cautionner ou à le contrôler.
L’on a vite oublié que l’opposition parlementaire fut mollassonne en laissant se modifier la Constitution en ramenant l’élection présidentielle de 2 tours à un tour.
Alors qu’elle aurait pu empêcher la révision constitutionnelle qui exigeait l’approbation des 3/5 des Parlementaires réunis en Congrès autant dans la gestion du quorum à atteindre que dans la gestion des votes des congressistes..
L’opposition parlementaire ne leva pas le doigt non plus pour empêcher le tripotage de la disposition constitutionnelle de la décentralisation devant donner les moyens tant matériels qu’humains aux provinces de la RDC pour se développer, à savoir les transferts des compétences par la retenue à la source des 40 % des recettes nationales produites en, provinces.
Au cas où l’existence de l’institution comme CENI n’est pas prévue par la Constitution, l’on aurait du mal à imaginer que le Ministère de l’Intérieur se soit délesté de son devoir et les parlementaires de leurs prérogatives souveraines pour être maître du processus capitale du maintien de la démocratie qu’est l’organisation des élections en régime démocratique
De 2007 à ces jours, presque 8 ans, aucune initiative de projet gouvernemental, aucune initiative d’une proposition parlementaire émanant d’un parlementaire ou groupe des parlementaires (majorité ou opposition, isolées ou confondues) n’avaient été enregistrés pour l’organisation du recensement de la population totale de la RDC.
Le seul honneur qui reste à l’opposition parlementaire congolaise si elle ne veut pas ternir son blason , c’est de tout faire pour que la Constitution soit respectée quant aux dispositions interdisant au président de la République en exercice de concourir pour la troisième fois.
© Albert Kisukidi
16 juillet, 2015
http://democratiechretienne.org/2015/07/23/clarte-des-faits-et-non-faits-responsables-du-regime-politique-actuel-de-la-rdc-albert-kisukidi/
par FreeDiomi le 23 juillet 2015
CLARTE DES FAITS ET NON-FAITS RESPONSABLES DU REGIME POLITIQUE ACTUEL DE LA RDC
Tous les partis politiques représentés dans les institutions congolaises au Senat, à l’Assemblée Nationale et dans les provinces font partie intégrante du régime politique actuel de la RDC.
L’existence d’une opposition à une majorité en garantit et l’existence et la consistance.
Tout ce qui s’est fait de 2007 jusqu’à ces jours et ce qui se fera jusqu’aux ultimes heures de l’année 2016 est de la responsabilité solidaire d’une majorité qui aura proposé et d’une opposition qui aura contrôlé accepté ou refusé les actes du gouvernement au jour le jour. .
Un régime comme celui du MPR-PARI UNIQUE-PARTI/ETAT, il était l’unique responsable de tout, alors que dans un régime démocratique sont responsables tous ceux qui participent à l’exercice du pouvoir et à son contrôle. ou alors on démissionne ou l’on déserte les institutions du régime si l’on ne tient pas à le cautionner ou à le contrôler.
L’on a vite oublié que l’opposition parlementaire fut mollassonne en laissant se modifier la Constitution en ramenant l’élection présidentielle de 2 tours à un tour.
Alors qu’elle aurait pu empêcher la révision constitutionnelle qui exigeait l’approbation des 3/5 des Parlementaires réunis en Congrès autant dans la gestion du quorum à atteindre que dans la gestion des votes des congressistes..
L’opposition parlementaire ne leva pas le doigt non plus pour empêcher le tripotage de la disposition constitutionnelle de la décentralisation devant donner les moyens tant matériels qu’humains aux provinces de la RDC pour se développer, à savoir les transferts des compétences par la retenue à la source des 40 % des recettes nationales produites en, provinces.
Au cas où l’existence de l’institution comme CENI n’est pas prévue par la Constitution, l’on aurait du mal à imaginer que le Ministère de l’Intérieur se soit délesté de son devoir et les parlementaires de leurs prérogatives souveraines pour être maître du processus capitale du maintien de la démocratie qu’est l’organisation des élections en régime démocratique
De 2007 à ces jours, presque 8 ans, aucune initiative de projet gouvernemental, aucune initiative d’une proposition parlementaire émanant d’un parlementaire ou groupe des parlementaires (majorité ou opposition, isolées ou confondues) n’avaient été enregistrés pour l’organisation du recensement de la population totale de la RDC.
Le seul honneur qui reste à l’opposition parlementaire congolaise si elle ne veut pas ternir son blason , c’est de tout faire pour que la Constitution soit respectée quant aux dispositions interdisant au président de la République en exercice de concourir pour la troisième fois.
Oui Eugene Diomi Ndongal jusqu’à preuve du contraire est le seul à n’avoir rien cautionné pour être tenu solidairement responsable de ce qui aura été réalisé en bien comme en mal par le régime de la Constitution de Liège.Au fait l’on peut valablement considérer qu’Eugène Diomi Ndongala, dans les faits d’exiger la « vérité des urnes » er d’avoir suivi le mot d’ordre de boycotter de siéger au Parlement tant qu’elle ne fût rétablie la « vérité des urnes » .
© Albert Kisukidi
16 juillet, 2015
http://democratiechretienne.org/2015/07/23/clarte-des-faits-et-non-faits-responsables-du-regime-politique-actuel-de-la-rdc-albert-kisukidi/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
VIDEO: Emery Okundji, député national de la RDC, membre du Fonus évoque le cas d’Eugène Diomi Ndongala, le prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila/FREDDY MULONGO
par FreeDiomi le 24 juillet 2015Freddy Mulongo
Emery Okundji, député national de la RDC, membre du Fonus évoque le cas d’Eugène Diomi Ndongala, le prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila, l’imposteur qui règne par défi à la tête de la RDC.
Réveil-FM: Émery Okundji, député national de la RDC répond à Réveil FM International 2
https://www.youtube.com/embed/NvI9IgFvcjY
http://democratiechretienne.org/2015/07/24/video-emery-okundji-depute-national-de-la-rdc-membre-du-fonus-evoque-le-cas-deugene-diomi-ndongala-le-prisonnier-politique-personnel-dalias-joseph-kabilafreddy-mulongo/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
NON, DIOMI NDONGALA N’EST PAS MORT / COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DU 27/07/2015
par FreeDiomi le 27 juillet 2015
par FreeDiomi le 27 juillet 2015
COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE
NON, DIOMI NDONGALA N’EST PAS MORT
Chers Compatriotes, les informations graves et néfastes concernant le leader de notre Parti, notre frère, l’Honorable Diomi Ndongala, Président de la Démocratie Chrétienne, doivent être démenties. J’ai l’honneur de donner la bonne information aux Congolais et au monde.
L’Honorable Eugène Diomi Ndongala est VIVANT et emprisonné, toujours privé de soin de santé. Même si son état de santé demeure toujours préoccupant, il n’est pas mort comme ont voulu faire croire les fausses rumeurs faites circuler à partir de Kinshasa en République Démocratique du Congo par une sources non autrement identifiée et qui a émus un grand nombre de congolais. Beaucoup de compatriotes et amis de la RDC ont voulu contacter à ce sujet les dirigeants de la DC.
L’ état de santé du Président Eugène Diomi Ndongala est certes grave.
Il demeure le prisonnier politique personnel de Monsieur Kabila Joseph.
EXIGEONS TOUS ENSEMBLE SA LIBERATION IMMEDIATE ET SANS CONDITIONS.
Veuillez agréer, chers compatriotes, l’expression de mes sentiments patriotiques et les plus fraternels.
Fait à Paris, le lundi 27 Juillet 2015
Freddy KITA
Chevalier de la Paix
Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne
@ : sgfreddykita@yahoo.fr
http://democratiechretienne.org/2015/07/27/non-diomi-ndongala-nest-pas-mort-communique-de-la-democratie-chretienne-du-27072015/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Freddy Kita honoré et élevé au rang du « Chevalier de la Paix » à Assisi dans les terres de Saint-François Assises/FREDDY MULONGO
par FreeDiomi le 28 juillet 2015Italie: Freddy Kita honoré et élevé au rang du « Chevalier de la Paix » à Assisi dans les terres de Saint-François Assises
Par Freddy Mulongo, lundi 27 juillet 2015 à 20:17 :: Radio Réveil FM International ::Assisi en Italie, Freddy Kita élevé au rang de « Chevalier de la paix ». Photo Réveil FM International
FreddyDans la voiture qui nous amène de Rome à Ponte d’Assisi Perugia dans la région de Saint François d’Assise, Freddy kita est demeuré silencieux durant ce voyage de 261 km. Un silence sans doute méditatif. La paix passe par le pardon des violences et des offenses. Freddy Kita a été le seul congolais de la RDC, pays dont les violences et atteintes aux droits humains sont légions, à être honoré et élevé au titre de « Chevalier de la paix ».
Le passeport universel de Freddy Kita. Photo Réveil FM International
Le passeport universel de Freddy Kita. Photo Réveil FM International
La vie politique se construit brique par brique mais en ayant une fondation solide faite des valeurs, convictions républicaines et démocratiques. Depuis l’arrestation et l’emprisonnement arbitraire à Makala d’Eugène Diomi Ndongala, président de Démocratie Chrétienne et prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila, Freddy Kita qui vit à Kinshasa est devenu un pèlerin par la force des événements. Le Secrétaire Général de DC parcourt le monde pour informer. Alors que la politicaillerie congolaise est pleine des seigneurs de guerre, des criminels patentés, des tueurs blanchis par le « 1+4=0″, après le dialogue intercongolais avec son partage équitable et équilibré entre composantes et entités mais aussi par des coteries politiques mafieuses. Pèlerin, stratège, Freddy kita qui n’a jamais pris une arme pour tuer afin de défendre ses idées politiques est un homme heureux mais surtout serein avec cette élévation.
Dossier du reportage photographique en cours.
http://reveil-fm.com/index.php/2015/07/27/5664-italie-freddy-kita-honore-et-eleve-au-rang-du-chevalier-de-la-paix-a-assi-dans-les-terres-de-saint-francois-assises
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
PERSISTANCE DE LA PERCEPTION, AU SEIN DE L’UNION EUROPEENNE (UE), SUR L’OPTION KABILISTE POUR UN BRAS DE FER A MENER AVEC LE CONSEIL DE SECURITE DE L’ONU QUE D’AVOIR A LIBERER M. EUGENE DIOMI NDONGALA APRES LA CONDAMNATION EFFECTIVE DE LA RDC PAR LA COUR INTERNATIONALE DES DROITS DE L’HOMME DES NATIONS UNIES A GENEVE / JOURNAL INTERPRETE DU 29/07/15
par FreeDiomi le 29 juillet 2015CLIQUEZ SUR LA PHOTO DE CHAQUE PAGE DU JOURNAL POUR AGRANDIR LE FICHIER
http://democratiechretienne.org/2015/07/29/persistance-de-la-perception-au-sein-de-lunion-europeenne-ue-sur-loption-kabiliste-pour-un-bras-de-fer-a-mener-avec-le-conseil-de-securite-de-lonu-que-davoir-a-liberer-m-eugene-diomi-ndon/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
KOTA a écrit:Freddy Kita honoré et élevé au rang du « Chevalier de la Paix » à Assisi dans les terres de Saint-François Assises/FREDDY MULONGO
par FreeDiomi le 28 juillet 2015Italie: Freddy Kita honoré et élevé au rang du « Chevalier de la Paix » à Assisi dans les terres de Saint-François Assises
Par Freddy Mulongo, lundi 27 juillet 2015 à 20:17 :: Radio Réveil FM International ::
Assisi en Italie, Freddy Kita élevé au rang de « Chevalier de la paix ». Photo Réveil FM International
FreddyDans la voiture qui nous amène de Rome à Ponte d’Assisi Perugia dans la région de Saint François d’Assise, Freddy kita est demeuré silencieux durant ce voyage de 261 km. Un silence sans doute méditatif. La paix passe par le pardon des violences et des offenses. Freddy Kita a été le seul congolais de la RDC, pays dont les violences et atteintes aux droits humains sont légions, à être honoré et élevé au titre de « Chevalier de la paix ».
Le passeport universel de Freddy Kita. Photo Réveil FM International
Le passeport universel de Freddy Kita. Photo Réveil FM International
La vie politique se construit brique par brique mais en ayant une fondation solide faite des valeurs, convictions républicaines et démocratiques. Depuis l’arrestation et l’emprisonnement arbitraire à Makala d’Eugène Diomi Ndongala, président de Démocratie Chrétienne et prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila, Freddy Kita qui vit à Kinshasa est devenu un pèlerin par la force des événements. Le Secrétaire Général de DC parcourt le monde pour informer. Alors que la politicaillerie congolaise est pleine des seigneurs de guerre, des criminels patentés, des tueurs blanchis par le « 1+4=0″, après le dialogue intercongolais avec son partage équitable et équilibré entre composantes et entités mais aussi par des coteries politiques mafieuses. Pèlerin, stratège, Freddy kita qui n’a jamais pris une arme pour tuer afin de défendre ses idées politiques est un homme heureux mais surtout serein avec cette élévation.
Dossier du reportage photographique en cours.
http://reveil-fm.com/index.php/2015/07/27/5664-italie-freddy-kita-honore-et-eleve-au-rang-du-chevalier-de-la-paix-a-assi-dans-les-terres-de-saint-francois-assises
Ok la demoncratie chretienne.. Le groupe occulte " Knights of Malta" n' a rien de chretien... tour oyo bolingi bopesa mboka na ba chevaliers ya Malta???
Pardon, bo changez kombo ya parti nabino car il n y a rien de chretien dans ce que vous etes devenus... L' un de vous est violeur, l' autre est devenu occultiste...
http://alalumieredunouveaumonde.blogspot.ca/2013/07/blackwater-les-chevaliers-de-malte.html
zobattants
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
NI DIALOGUE, NI ELECTIONS DANS UN CLIMAT DE REPRESSION POLITIQUE
par FreeDiomi le 30 juillet 201530 juillet 2015
Au regard de ses faits et gestes : J.Kabila n’a plus le coeur au Dialogue
424 Vues 0par admin
[img(197.8px,197.8px)]http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2015/07/kabilaDiallogue-200x200.jpg[/img]
Mais les Congolais qu’il a consultés tiennent au respect du délai constitutionnel
Voici aujourd’hui plus de deux mois que le chef de l’Etat, Joseph Kabila, a personnellement saisi quelques partis politiques phares de l’Opposition pour leur demander de se joindre à lui, autour d’une table, en vue de trouver des solutions à la crise qui ronge la République démocratique du Congo, question d’organiser des élections apaisées.
Après cette démarche, l’initiateur de ce dialogue a consulté la classe politique, la société civile, les religieux, les journalistes, les chefs coutumiers ainsi que les étudiants pour baliser le chemin des pourparlers.
De manière générale, les Congolais consultés n’ont juré que sur le respect du délai constitutionnel pour les prochaines élections, outre les inquiétudes concernant l’objet à débattre dans ce dialogue. C’est la principale substance qui a été vidée bien avant le rendez-vous. Néanmoins, une frange importante de l’Opposition s’est inscrite en faux contre cette démarche, estimant qu’il s’agit d’un stratagème pour obtenir le glissement et demeurer au pouvoir au-delà de 2016.
Une nouvelle transition ?
Cette lecture a pris forme, quelques jours plus tard, lorsqu’un des leaders du Kongo-Central, supposé farouche opposant au régime en place, a brusquement tourné casaque pour débiter des propos incendiaires contre la démocratie en République démocratique du Congo.
Pour lui, une nouvelle transition de trois ans serait la bienvenue, question d’organiser de bonnes élections. Il a été fortement appuyé par plusieurs ténors de la Majorité présidentielle, lors des débats télévisés sur la situation générale du pays.
A l’opinion de se demander, si, en cinq ans, ces scrutins ne sont pas organisés, comment cela sera-t-il possible en trois ans?
Aujourd’hui, la question cruciale du découpage territorial vient d’être réglée sans le dialogue. La RD Congo est passée de 11 à 26 provinces, avec toutes les conséquences qui en découlent tant sur le plan administratif, économique, financier que politique.
Le go est donné, sans le dialogue, pour l’élection des gouverneurs des provinces découpées. Les futurs députés provinciaux ont déjà déposé leurs candidatures, sans le dialogue, aux Bureaux de Traitement des Candidatures (BTRC) de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
Le Parti lumumbiste unifié d’Antoine Gizenga récolte des fonds pour soutenir ses candidats à tous les niveaux. La CENI vient de trouver la solution à l’enrôlement des nouveaux majeurs, sans pour autant qu’il y ait dialogue. C’est en janvier 2016 qu’ils seront enregistrés, à en croire le porte-parole de cette institution chargée d’organiser les élections.
Ainsi donc, désormais sans objet, le dialogue perd toute sa substance.
Les yeux de tous les Congolais sont braqués vers la date du 27 novembre 2016. Tous ceux qui se sont compromis pendant la période des consultations connaitront leur sort à travers les urnes. Cela a, d’ailleurs, aidé le peuple congolais à distinguer le bon grain de l’ivraie, à 16 mois de la présidentielle et des législatives nationales.
En plus, pour l’instant, ce dialogue n’est plus d’actualité dans les microcosmes politiques. C’est dépassé. Lors de son tout dernier point de presse organisé à Kinshasa, le porte-parole du gouvernement n’a plus confirmé comme auparavant, ni infirmé la tenue de ce rendez-vous.
Il a nuancé en disant, » une fois les consultations terminées, le chef de l’Etat appréciera les recommandations des uns et des autres, et décidera, seul, s’il y aura dialogue « .
Aussi, il faut noter les appels incessants de la communauté internationale sur le respect de la Constitution dans les pays africains dont les dirigeants sont fin mandats.
Le n°1 de Human Rights Watch, l’ambassadeur de France en RDC, Barack Obama… ont multiplié des déclarations dans le sens de se limiter à deux mandats, en vue d’une alternance, ce qui occasionnera le décollage du continent africain, à en croire le président des Etats-Unis lors de son discours à l’Union africaine.
5 millions de dollars gaspillés
L’amnistie a plutôt fait la part belle aux rebelles du M23, qui ont pourtant fait couler le sang de milliers de Congolais. Au lieu de gaspiller l’argent du contribuable congolais par des initiatives sans lendemain, il serait mieux de mettre cette enveloppe à la disposition de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), quitte à elle de l’affecter à l’organisation d’un scrutin.[img(347.79999999999995px,476.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/09/rapport20concertations20nationales202.jpg?w=525&h=722[/img]Du 7 septembre 2013 au 5 octobre 2013, la République démocratique du Congo a perdu inutilement plus de 5 millions $US pour organiser des » concertations » dites nationales pour réconcilier tous les Congolais et faire face à la situation à l’Est. Malheureusement, ce conclave a davantage divisé la classe politique. Ses principales recommandations, notamment la libération des prisonniers politiques injustement détenus dans des prisons, n’ont jamais été exécutées.
Par Lefils Matady
http://democratiechretienne.org/2015/07/30/ni-dialogue-ni-elections-dans-un-climat-de-repression-politique/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
url=https://servimg.com/view/15358233/100][/url]
https://paper.li/fsddc/1383407914
le journal du 03/08/2015
https://paper.li/fsddc/1383407914
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
KOTA a écrit:url=https://servimg.com/view/15358233/100][/url]le journal du 03/08/2015
https://paper.li/fsddc/1383407914
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