EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Eugène Diomi Ndongala sur RFI : « je suis séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila » /RFI 23.7.13
par mpp le 23 juillet 2013
RFI
RDC -
Article publié le : mardi 23 juillet 2013 à 03:04 - Dernière modification le : mardi 23 juillet 2013 à 03:41
Eugène Diomi Ndongala sur RFI : « je suis séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila »
Eugène Diomi Ndongala
Eugène Diomi Ndongala
AFP PHOTO / JUNIOR D.KANNA
Par RFI
Diomi Ndongala parle. L’opposant congolais est détenu à la prison de Makala à Kinshasa depuis le mois d’avril. Il est accusé de viol sur mineurs et de complot contre l’autorité de l’état. La justice congolaise a prononcé une mesure de résidence surveillée à l’encontre leader de la démocratie chrétienne, mais il est toujours en prison et aujourd’hui il s’inquiète pour sa vie. Diomi Ndongala a pu parler à RFI pour témoigner de sa situation.
Diomi Ndongala va mal, sa santé se déteriore, le pouvoir ne lui épargne rien et c’est lui même qui le dit : « ma vie est menacée, parce qu’on me refuse les soins élémentaires. Je susi malade depuis trois semaines , je souffre, je ne dors presque pas. Je fais des fièvres et je en suis pas soigné. On ne veut pas me soigner. Ma vie est en danger. »
Au cour de la même année, Diomi Ndongala s’est vu retirer son immunité parlementaire, il a été accusé de viol sur mineures et de complot contre l’autorité de l’état. La justice n’a pas encore tranché sur le fonds de ces accusations mais le leader de la démocratie chrétienne estime qu’il n’est rien d’autre qu’un prisonnier personnel du pouvoir.
« Prisonnier du régime Kabila »
« Je suis prisonnier du régime Kabila, parce que je me retrouve ici, en prison, illégalement et arbitrairement. J’aurais du être chez moi à la maison, en résidence surveillée, comme l’ordonnance de la Cour suprême l’avait exigée. Je n’ai jamais commis un viol quelconque, c’est un montage. Nous avons la possibilité de le démontrer, mais la justice ne nous permet pas de le faire. Donc je suis ici séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila. »
Aujourd’hui, Diomi Ndongala n’en appelle pas à la clémence des autorités de Kinshasa, ne formule plus aucun espoir dans l’indépendance de la justice de son pays, son unique chance de survie, dit-il, c’est que la communauté internationale se saisisse en urgence de son sort.
" Eugène Diomi Ndongala
Opposant congolais, leader de la démocratie chrétienne
Ma vie est en danger. Je lance un SOS à la communauté internationale "
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http://telechargement.rfi.fr.edgesuite.net/rfi/francais/audio/modules/actu/201307/54_RDC_Son_Diomi_Ndongala.mp3
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23/07/2013 par Cyril Bensimon
http://www.rfi.fr/afrique/20130723-eugene-diomi-ndongala-rfi-vie-est-danger
par mpp le 23 juillet 2013
RFI
RDC -
Article publié le : mardi 23 juillet 2013 à 03:04 - Dernière modification le : mardi 23 juillet 2013 à 03:41
Eugène Diomi Ndongala sur RFI : « je suis séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila »
Eugène Diomi Ndongala
Eugène Diomi Ndongala
AFP PHOTO / JUNIOR D.KANNA
Par RFI
Diomi Ndongala parle. L’opposant congolais est détenu à la prison de Makala à Kinshasa depuis le mois d’avril. Il est accusé de viol sur mineurs et de complot contre l’autorité de l’état. La justice congolaise a prononcé une mesure de résidence surveillée à l’encontre leader de la démocratie chrétienne, mais il est toujours en prison et aujourd’hui il s’inquiète pour sa vie. Diomi Ndongala a pu parler à RFI pour témoigner de sa situation.
Diomi Ndongala va mal, sa santé se déteriore, le pouvoir ne lui épargne rien et c’est lui même qui le dit : « ma vie est menacée, parce qu’on me refuse les soins élémentaires. Je susi malade depuis trois semaines , je souffre, je ne dors presque pas. Je fais des fièvres et je en suis pas soigné. On ne veut pas me soigner. Ma vie est en danger. »
Au cour de la même année, Diomi Ndongala s’est vu retirer son immunité parlementaire, il a été accusé de viol sur mineures et de complot contre l’autorité de l’état. La justice n’a pas encore tranché sur le fonds de ces accusations mais le leader de la démocratie chrétienne estime qu’il n’est rien d’autre qu’un prisonnier personnel du pouvoir.
« Prisonnier du régime Kabila »
« Je suis prisonnier du régime Kabila, parce que je me retrouve ici, en prison, illégalement et arbitrairement. J’aurais du être chez moi à la maison, en résidence surveillée, comme l’ordonnance de la Cour suprême l’avait exigée. Je n’ai jamais commis un viol quelconque, c’est un montage. Nous avons la possibilité de le démontrer, mais la justice ne nous permet pas de le faire. Donc je suis ici séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila. »
Aujourd’hui, Diomi Ndongala n’en appelle pas à la clémence des autorités de Kinshasa, ne formule plus aucun espoir dans l’indépendance de la justice de son pays, son unique chance de survie, dit-il, c’est que la communauté internationale se saisisse en urgence de son sort.
" Eugène Diomi Ndongala
Opposant congolais, leader de la démocratie chrétienne
Ma vie est en danger. Je lance un SOS à la communauté internationale "
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23/07/2013 par Cyril Bensimon
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Eugène Diomi Ndongala sur RFI : « je suis séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila » /RFI 23.7.13
par mpp le 23 juillet 2013
Capture RFI 23.07.13
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Eugène Diomi Ndongala sur RFI : « je suis séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila »
Eugène Diomi Ndongala
Eugène Diomi Ndongala
AFP PHOTO / JUNIOR D.KANNA
Par RFI
Diomi Ndongala parle. L’opposant congolais est détenu à la prison de Makala à Kinshasa depuis le mois d’avril. Il est accusé de viol sur mineurs et de complot contre l’autorité de l’état. La justice congolaise a prononcé une mesure de résidence surveillée à l’encontre leader de la démocratie chrétienne, mais il est toujours en prison et aujourd’hui il s’inquiète pour sa vie. Diomi Ndongala a pu parler à RFI pour témoigner de sa situation.
Diomi Ndongala va mal, sa santé se déteriore, le pouvoir ne lui épargne rien et c’est lui même qui le dit : « ma vie est menacée, parce qu’on me refuse les soins élémentaires. Je susi malade depuis trois semaines , je souffre, je ne dors presque pas. Je fais des fièvres et je en suis pas soigné. On ne veut pas me soigner. Ma vie est en danger. »
Au cour de la même année, Diomi Ndongala s’est vu retirer son immunité parlementaire, il a été accusé de viol sur mineures et de complot contre l’autorité de l’état. La justice n’a pas encore tranché sur le fonds de ces accusations mais le leader de la démocratie chrétienne estime qu’il n’est rien d’autre qu’un prisonnier personnel du pouvoir.
« Prisonnier du régime Kabila »
« Je suis prisonnier du régime Kabila, parce que je me retrouve ici, en prison, illégalement et arbitrairement. J’aurais du être chez moi à la maison, en résidence surveillée, comme l’ordonnance de la Cour suprême l’avait exigée. Je n’ai jamais commis un viol quelconque, c’est un montage. Nous avons la possibilité de le démontrer, mais la justice ne nous permet pas de le faire. Donc je suis ici séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila. »
Aujourd’hui, Diomi Ndongala n’en appelle pas à la clémence des autorités de Kinshasa, ne formule plus aucun espoir dans l’indépendance de la justice de son pays, son unique chance de survie, dit-il, c’est que la communauté internationale se saisisse en urgence de son sort.
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Opposant congolais, leader de la Démocratie Dhrétienne
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23/07/2013 par Cyril Bensimon
http://www.rfi.fr/afrique/20130723-eugene-diomi-ndongala-rfi-vie-est-danger
http://democratiechretienne.org/2013/07/23/eugene-diomi-ndongala-sur-rfi-je-suis-sequestre-parce-que-je-moppose-au-regime-de-kabila-rfi-23-7-13/
par mpp le 23 juillet 2013
Capture RFI 23.07.13
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Eugène Diomi Ndongala sur RFI : « je suis séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila »
Eugène Diomi Ndongala
Eugène Diomi Ndongala
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Diomi Ndongala parle. L’opposant congolais est détenu à la prison de Makala à Kinshasa depuis le mois d’avril. Il est accusé de viol sur mineurs et de complot contre l’autorité de l’état. La justice congolaise a prononcé une mesure de résidence surveillée à l’encontre leader de la démocratie chrétienne, mais il est toujours en prison et aujourd’hui il s’inquiète pour sa vie. Diomi Ndongala a pu parler à RFI pour témoigner de sa situation.
Diomi Ndongala va mal, sa santé se déteriore, le pouvoir ne lui épargne rien et c’est lui même qui le dit : « ma vie est menacée, parce qu’on me refuse les soins élémentaires. Je susi malade depuis trois semaines , je souffre, je ne dors presque pas. Je fais des fièvres et je en suis pas soigné. On ne veut pas me soigner. Ma vie est en danger. »
Au cour de la même année, Diomi Ndongala s’est vu retirer son immunité parlementaire, il a été accusé de viol sur mineures et de complot contre l’autorité de l’état. La justice n’a pas encore tranché sur le fonds de ces accusations mais le leader de la démocratie chrétienne estime qu’il n’est rien d’autre qu’un prisonnier personnel du pouvoir.
« Prisonnier du régime Kabila »
« Je suis prisonnier du régime Kabila, parce que je me retrouve ici, en prison, illégalement et arbitrairement. J’aurais du être chez moi à la maison, en résidence surveillée, comme l’ordonnance de la Cour suprême l’avait exigée. Je n’ai jamais commis un viol quelconque, c’est un montage. Nous avons la possibilité de le démontrer, mais la justice ne nous permet pas de le faire. Donc je suis ici séquestré, parce que je m’oppose au régime de Kabila. »
Aujourd’hui, Diomi Ndongala n’en appelle pas à la clémence des autorités de Kinshasa, ne formule plus aucun espoir dans l’indépendance de la justice de son pays, son unique chance de survie, dit-il, c’est que la communauté internationale se saisisse en urgence de son sort.
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23/07/2013 par Cyril Bensimon
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
DIOMI NDONGALA: LE COURAGE DE LA VERITE, LA VOLONTE DU CHANGEMENT
par mpp le 23 juillet 2013
LIBEREZ-DIOMI
PRESENTATION DE L’HONORABLE EUGENE DIOMI NDONGALA, PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC EN SIGLE ET PORTE PAROLE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP EN SIGLE
DIOMI AFRIKARABIAEugène Diomi Ndongala est né à Sona Bata (Bas- Congo) le 25/12/1962, fils de Gaston Diomi Ndongala (un des pères de l’Indépendance du Congo-Kinshasa et fondateur du Mouvement National Congolais avec Patrice Lumumba) et Elisabeth Dikiadi.
Il a effectué ses études primaires à Matadi et secondaires au Séminaire de Kimvula.
Il a effectué ses études universitaires à Pérouse (Italie) en Histoire et à Rome (Italie) en Sciences Politiques.
Terminés ses études, il participe à la Conférence Nationale Souveraine dans un groupe de jeunes resortissants de la diaspora congolaise dénommé «Forces Acquises au Changement ». Il est désigné Ministre de la Jeunesse et Sport au sein de la Conférence Nationale, à l’âge de 30 ans.
Au debout des années 80 fonde la Démocratie Chrétienne Congolaises, DC en sigle, parti humaniste d’inspiration chrétienne.
Il est désigné Député pendant la transition au Haut Conseil de la République, Parlement de Transition.
Dans deux gouvernements d’Union Nationale il sera Vice-Ministre de l’Economie et des Finances.
A l’entrée de l’Afdl, il fonde le Front pour la Survie de la Démocratie, FSD en sigle, qui réunit un groupe de politiciens qui s’opposent à l’interdiction des activités politiques ordonnée unilatéralement par Laurent Désiré Kabila, les successeurs de Mobutu.
Il publie en 1998 le « Manifeste de la libre pensée politique du FSD » dans lequel il revendique la liberté d’expression et la nécessité, pour le nouveau régime, de mettre en place des institutions politiques qui reflètent une véritable Démocratie pluraliste et représentative plutôt que les Comités de Pouvoir Populaire, CPP en sigle, d’inspiration Libyenne et chinoise que Laurent Désiré Kabila soutient comme seules institutions légales du pays.
A cause de sa volonté de rejeter l’interdiction des activités politiques du régime liberticide de Laurent Désiré Kabila, il est arrêté par les services de sécurité plusieurs fois – dés 1997 jusqu’en 2001 presque tous les trois mois. Pour deux fois il est enlevé et détenu au secret par les services de sécurité de l’époque, en décembre 1997 et encore en mai 1999.
L’Union Interparlementaire (UIP) et Amnesty International, lancèrent deux appels en sa faveur aux deux occasions.
Le régime filo-marxiste de Laurent Désiré Kabila lui reprochait, entre autre, la proposition d’un Forum de pacification et reconstruction de la RDC et la revendication d’un Constitution garantissant les droits civils et politiques des congolais (à l’époque la RDC évoluant sans Constitution Légale).
Le Forum de pacification et reconstruction se matérialisera dans le Dialogue Intercongolais, où il participa en tant que chef de délégation du FSD-Démocratie Chrétienne, dans les rangs de l’opposition politique pacifique non armée.
Il est désigné Ministre des Mines dans le gouvernement issu du Dialogue Intercongolais, dans le quota réservé à l’opposition politique pacifique et non armée.
Il fut candidat Président de la République en 2006 et son parti, la Démocratie Chrétienne et alliés, présentèrent le plus grand nombre de candidats aux élections législatives et provinciales, bien avant tous les autres partis politiques.
Désigné par cooptation par les autorités traditionnelle du Bas-Congo « député Provinciale », ne pourra pas siéger malgré la Cour Suprême de Justice ait reconnu la validité de sa désignation au nom des autorités traditionnelles du Bas-Congo.
En 2010, renonce à sa candidature à l’élection présidentielle en faveur d’Etienne Tshisekedi, le leader historique de l’opposition politique pacifique en RDC.
Depuis 2010, il organisa différentes manifestation politiques pacifiques afin de revendiquer la transparence du fichier électoral, pour la tenue d’élections démocratiques et crédibles
Elu massivement en 2011 Député National dans les rangs de la Démocratie Chrétienne, dans la circonscription de la ville de Kinshasa, pour protester contre la fraude électorale massive ayant caractérisée les élections tant législatives que présidentielles, ( tout en validant son mandat en tant que député élu) , il décida de respecter le mot d’ordre du Président Etienne Tshisekedi du boycott de l’Assemblée Nationale, revendiquant, au même temps, un Dialogue Politique qui traite de la crise de légitimité qui continue à miner la crédibilité des institutions politiques en RDC.
En Avril 2012, en alliance avec l’Udps d’Etienne Tshisekedi, il lance la plateforme Politique « Majorité Présidentielle Populaire », MPP en sigle, une plateforme politique réunissant 60 partis et organisations de la société civile.
La veille de la manifestation de signature de la Charte Constitutive de la MPP, le 26/06/2013, le régime Kabila lance un montage visant à l’éliminer physiquement, au siège de la Démocratie Chrétienne.
Echappé au montage, il sera enlevé le lendemain et détenu au secret pendant trois.
Pendant sa détention au secret, le régime Kabila lança une véritable campagne de dénigrement personnel l’accusant sans preuves d’un délit de mœurs afin de salir son honorabilité et entacher sa popularité
Libéré à la veille de la tenue du Sommet de la Francophonie à Kinshasa, à titre de décrispation politique, il sera opéré le 18/10/2013 à cause des séquelles physiques de sa détention au secret.
Après sa convalescence, il reprendra en janvier 2013 ses activités politiques.
Il sera encore enlevé la nuit du 08/04/2013 et depuis détenu à la Prison CPRK de Kinshasa, où il demeure malgré deux ordonnances de la Cour Suprême aient ordonné son assignation en résidence, un député National ne pouvant pas, selon la loi congolais, être détenu en prison en détention préventive.
Le 11/04/2013, le Ministre des affaires Intérieurs apparait à la télévision nationale pour présenter 13 individus dont 1 membre de la DC et 2 de la MPP enlevés et détenus au secret depuis le 18/01/2013, les indexant comme les membres d’une conspiration appelée par lui-même « Imperium » qui aurait dû attenter à la vie de Joseph Kabila à travers les armes suivantes : 1 machette ; des bouteilles en plastique présentées comme des « Molotov », des mousses de matelas ; des téléphones portables de marque Motorola.
Malgré le caractère risible de la présentation, le Ministre de l’Intérieur accuse publiquement et sans preuves le député Diomi Ndongala de l’organisation de cette « conspiration » invraisemblable.
Depuis, le Député National Eugène Diomi Ndongala est soumis à un régime carcéral très dur, à la limite de la torture alors qu’il est détenu illégalement en prison, à cause de ses opinions politiques.
Son mandat sera invalidé par le régime Kabila prétendument à causes de ses absences dues à son arrestation et son emprisonnement illégal. L’union Interparlementaire à durement condamné cette décision politique inique et aberrant ainsi que l’harcèlement politico-judiciaires dont il est victime le "député du peuple".
Tombé gravement malade, le régime Kabila lui refuse l’assistance médicale adéquate.
Assigné en résidence par 3 ordonnances répétitives de la Cour Suprême de Justice, il est illégalement détenu à cause de la simple volonté du PGR Flory Kabange Numbi qui refuse de donner application aux décisions de la Cour Suprême.
Le 23/07/2013 l’honorable Diomi Ndongala donne une interview à Radio France Internationale dans laquelle il condamne la répression politique du régime en place en RDC; sa volonté d’exercer coute que coute son droit à la libre expression provoque l’ouverture d’un troisième dossier pénal à sa charge, alors qu’il est illégalement détenu…
Devant être immédiatement hospitalisé, le régime Kabila décide de le faire soigner dans un "camp militaire" où il refuse d’être acheminé sachant le risque qu’il court dans ce lieu de détention extra-judiciaire.
A cause du manque d’assistance médicale urgente, le Président de la Démocratie Chrétienne risque de succomber aux graves pathologies dont il souffre, cela étant manifestement le dessein inavouable du régime Kabila pour se débarrasser du fer de lance de l’opposition politique en RDC à travers un harcèlement politique violent et de longue date.
DC
http://democratiechretienne.org/2013/07/23/diomi-ndongala-le-courage-de-la-verite-la-volonte-du-changement/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Félix Tshisekedi condamne la detention politique de l'Honorable Diomi Ndongala
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
COMMUNIQUE DE PRESSE N°22/RDC/VSV/CE/2013
S.O.S OPPOSANT POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA DETENU ILLEGALEMENT ET CONDAMNE A MOURIR A PETIT FEU A LA PRISON CENTRALE DE MAKALA
La Voix des sans Voix pour les droits de l’homme (VSV) exprime ses vives craintes pour la vie de monsieur Eugène Diomi Ndongala, consécutivement à la détérioration sans précèdent de son état de santé suite à la privation des soins médicaux dont il est victime de la part des autorités congolaises, et ce, depuis son incarcération à la Prison Centrale de Makala (PCM, ex Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa, CPRK), sise Kinshasa/Selembao.
En effet, depuis trois (3) semaines, la santé de M. Eugène Diomi Ndongala, député national injustement invalidé, président du parti politique d’opposition dénommé Démocratie Chrétienne (DC) et porte parole de la « Majorité Présidentielle Populaire (MPP) » ne cesse de se détériorer du jour au jour, sans qu’il ne soit autorisé à bénéficier d’un transfèrement dans une institution hospitalière mieux outillée pour lui garantir des soins médicaux adéquats.
Pour rappel, le Président de la “DC’’ a été enlevé le 27 juin 2012, par des agents deservice de sécurité non autrement identifiés et détenu au secret avant d’être abandonné sur la route de Matadi, à Kinshasa/Ngaliema à quelques jours du démarrage du Sommet de la Francophonie qui s’est tenu à Kinshasa, du 12 au 14 octobre 2012.
Lors de son enlèvement suivi de sa détention au secret, la victime aurait été soumise à la torture et aux traitements cruels, inhumains ou dégradants en vue de lui arracher des aveux.
Il convient de signaler qu’après son premier calvaire, la victime a été de nouveau enlevée Centre Cana sis Kinshasa/Gombe, lundi 08 avril 2013, par des policiers sous commandement du Colonel Célestin Kanyama et acheminée à l’IPKIN. Le lendemain, M. Eugène Diomi Ndongala a été conduit au Parquet Général de la République où il a été entendu sur des allégations de viol de deux (2) mineures avant d’être transféré à la PCM.
Contre toute attente, l’opposant politique est accusé d’être à la tête d’un mouvement insurrectionnel dénommé “Imperium’’.
En effet, jeudi 11 avril 2013, quinze (15) personnes, en majorité sympathisants de M. Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, Président national du parti politique de l’opposition « Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS », ont été
…/…
présentées devant la presse par le Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières comme faisant partie d’un groupe de personnes recrutées par le député national, Eugène Diomi Ndongala en vue d’attenter à la vie du Chef de l’Etat, M. Joseph Kabila et à celle de son Premier Ministre, M. Augustin Matata Ponyo.
Malgré les souffrances visibles dues aux douleurs ressenties par la victime, les autorités politiques, judiciaires et pénitentiaires continuent à fouler aux pieds le droit de M. Eugène Diomi Ndongala à bénéficier des soins médicaux appropriés, et ce, en dépit des recommandations des médecins.
L’état de santé critique de M. Eugène Diomi Ndongala rappelle celui enduré par le Général Jean Yav Nawej, condamné à perpétuité dans l’affaire de l’assassinat du Président Laurent Désiré Kabila le 16 janvier 2001. Après une longue détention de plus de douze (12) ans à la PCM, le Général Jean Yav Nawej a vu son état de santé se détériorer davantage sans qu’il ne soit autorisé à temps opportun de bénéficier d’un transfèrement pour des soins appropriés que nécessitaient son état de santé. Il a été évacué tardivement en catastrophe à la suite de l’aggravation inquiétante de son état de santé plongeant déjà sa famille et ses proches dans le désespoir. Général Jean Yav Nawej a succombé dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 mai 2013, à l’ex hôpital Mama Yemo après quelques jours d’internement.
Tout porte à croire que le harcèlement et l’acharnement dont fait l’objet l’opposant politique, M. Eugène Diomi Ndongala sont consécutifs à ses activités politiques et relèvent d’une politique visant à réduire manifestement au silence les acteurs politiques de l’opposition non armée en République Démocratique du Congo.
Pour la VSV, le succès du dialogue national franc et inclusif requiert l’écoute et l’acceptation mutuelle des points de vue divergents.
Ainsi, la VSV invite-t-elle les animateurs des institutions en place à donner des signaux positifs en faveur dudit dialogue national en procédant, entre autres, à la libération sans délais ni conditions de tous les détenus politiques ainsi que d’autres personnes innocentes qui croupissent à la PCM, à la Prison militaire de Ndolo, dans les geôles de l’ANR ainsi que d’autres lieux de détention en RDCongo.
Tout compte fait, la VSV recommande à l’Etat congolais :
- le respect des règles minima de détention des Nations Unies pour le traitement des détenus et exige le transfert sans délais ni condition de M. Eugène Diomi Ndongala pour des soins médicaux appropriés ;
- la cessation de la persécution des acteurs politiques de l’opposition non armée et d’autres victimes innocentes en général et celle de M. Eugène Diomi Ndongala en particulier.
Fait à Kinshasa, le 23 juillet 2013.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
http://www.vsv-rdc.org/pdf/presse_2013_22.pdf
http://wp.me/p18AQh-1JK
S.O.S OPPOSANT POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA DETENU ILLEGALEMENT ET CONDAMNE A MOURIR A PETIT FEU A LA PRISON CENTRALE DE MAKALA
La Voix des sans Voix pour les droits de l’homme (VSV) exprime ses vives craintes pour la vie de monsieur Eugène Diomi Ndongala, consécutivement à la détérioration sans précèdent de son état de santé suite à la privation des soins médicaux dont il est victime de la part des autorités congolaises, et ce, depuis son incarcération à la Prison Centrale de Makala (PCM, ex Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa, CPRK), sise Kinshasa/Selembao.
En effet, depuis trois (3) semaines, la santé de M. Eugène Diomi Ndongala, député national injustement invalidé, président du parti politique d’opposition dénommé Démocratie Chrétienne (DC) et porte parole de la « Majorité Présidentielle Populaire (MPP) » ne cesse de se détériorer du jour au jour, sans qu’il ne soit autorisé à bénéficier d’un transfèrement dans une institution hospitalière mieux outillée pour lui garantir des soins médicaux adéquats.
Pour rappel, le Président de la “DC’’ a été enlevé le 27 juin 2012, par des agents deservice de sécurité non autrement identifiés et détenu au secret avant d’être abandonné sur la route de Matadi, à Kinshasa/Ngaliema à quelques jours du démarrage du Sommet de la Francophonie qui s’est tenu à Kinshasa, du 12 au 14 octobre 2012.
Lors de son enlèvement suivi de sa détention au secret, la victime aurait été soumise à la torture et aux traitements cruels, inhumains ou dégradants en vue de lui arracher des aveux.
Il convient de signaler qu’après son premier calvaire, la victime a été de nouveau enlevée Centre Cana sis Kinshasa/Gombe, lundi 08 avril 2013, par des policiers sous commandement du Colonel Célestin Kanyama et acheminée à l’IPKIN. Le lendemain, M. Eugène Diomi Ndongala a été conduit au Parquet Général de la République où il a été entendu sur des allégations de viol de deux (2) mineures avant d’être transféré à la PCM.
Contre toute attente, l’opposant politique est accusé d’être à la tête d’un mouvement insurrectionnel dénommé “Imperium’’.
En effet, jeudi 11 avril 2013, quinze (15) personnes, en majorité sympathisants de M. Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, Président national du parti politique de l’opposition « Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS », ont été
…/…
présentées devant la presse par le Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières comme faisant partie d’un groupe de personnes recrutées par le député national, Eugène Diomi Ndongala en vue d’attenter à la vie du Chef de l’Etat, M. Joseph Kabila et à celle de son Premier Ministre, M. Augustin Matata Ponyo.
Malgré les souffrances visibles dues aux douleurs ressenties par la victime, les autorités politiques, judiciaires et pénitentiaires continuent à fouler aux pieds le droit de M. Eugène Diomi Ndongala à bénéficier des soins médicaux appropriés, et ce, en dépit des recommandations des médecins.
L’état de santé critique de M. Eugène Diomi Ndongala rappelle celui enduré par le Général Jean Yav Nawej, condamné à perpétuité dans l’affaire de l’assassinat du Président Laurent Désiré Kabila le 16 janvier 2001. Après une longue détention de plus de douze (12) ans à la PCM, le Général Jean Yav Nawej a vu son état de santé se détériorer davantage sans qu’il ne soit autorisé à temps opportun de bénéficier d’un transfèrement pour des soins appropriés que nécessitaient son état de santé. Il a été évacué tardivement en catastrophe à la suite de l’aggravation inquiétante de son état de santé plongeant déjà sa famille et ses proches dans le désespoir. Général Jean Yav Nawej a succombé dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 mai 2013, à l’ex hôpital Mama Yemo après quelques jours d’internement.
Tout porte à croire que le harcèlement et l’acharnement dont fait l’objet l’opposant politique, M. Eugène Diomi Ndongala sont consécutifs à ses activités politiques et relèvent d’une politique visant à réduire manifestement au silence les acteurs politiques de l’opposition non armée en République Démocratique du Congo.
Pour la VSV, le succès du dialogue national franc et inclusif requiert l’écoute et l’acceptation mutuelle des points de vue divergents.
Ainsi, la VSV invite-t-elle les animateurs des institutions en place à donner des signaux positifs en faveur dudit dialogue national en procédant, entre autres, à la libération sans délais ni conditions de tous les détenus politiques ainsi que d’autres personnes innocentes qui croupissent à la PCM, à la Prison militaire de Ndolo, dans les geôles de l’ANR ainsi que d’autres lieux de détention en RDCongo.
Tout compte fait, la VSV recommande à l’Etat congolais :
- le respect des règles minima de détention des Nations Unies pour le traitement des détenus et exige le transfert sans délais ni condition de M. Eugène Diomi Ndongala pour des soins médicaux appropriés ;
- la cessation de la persécution des acteurs politiques de l’opposition non armée et d’autres victimes innocentes en général et celle de M. Eugène Diomi Ndongala en particulier.
Fait à Kinshasa, le 23 juillet 2013.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
http://www.vsv-rdc.org/pdf/presse_2013_22.pdf
http://wp.me/p18AQh-1JK
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Nous sommes en république démocratique du Congo et c 'est normal qu'on kidnappe, qu'on accuse de n'importe quoi et qu'on embastille DIOMI...Celui qui ose dire le contraire a de la haine pour kabila le démocrate....
mongo elombe
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
ACAJ:"STOP AUX TORTURES CONTRE L’HON. EUGENE DIOMI NDONGALA" /ACAJ 25/07/13
par mpp le 25 juillet 2013
ACAJ
COMMUNIQUE DE PRESSE N° 16/ACAJ/2013
« La détention du député DIOMI NDONGALA à la prison de Makala est contraire aux prescrits des ordonnances de la Cour Suprême de Justice »
Kinshasa, le 25 juillet 2013 – L’ Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) demande au Procureur Général de la République (PGR) de mettre fin à la détention préventive du député DIOMI NDONGALA hors la résidence surveillée prescrite par trois ordonnances de la Cour Suprême de Justice (CSJ).
Après son arrestation arbitraire par le colonel KANYAMA le 08/04/2013 vers 23 heures, le député DIOMI NDONGALA a été placé sous mandat d’arrêt provisoire par le PGR le 09/04/2013.
Le 15/04/2013, la CSJ a, par sa décision rendue sous RP 014/CR, ordonné sa mise à résidence surveillée, qui signifie naturellement qu’il devait être sorti de la prison de Makala et détenu à sa résidence sous surveillance policière. Mais le PGR n’a exécuté fidèlement cette ordonnance en maintenant le député DIOMI NDONGALA dans sa cellule de la prison de Makala.
A la suite de deux requêtes en mainlevée que le député DIOMI NDONGALA avait adressées à la CSJ pour notamment dénoncer la violation de l’esprit et la lettre de l’ordonnance précitée, la Cour va renouveler, les 10/05 et 02/06/2013, le maintien à résidence surveillée. Ces deux ordonnances comme la première n’ont reçu exécution fidèle de la part du PGR.
L’ACAJ mentionne qu’il existe bel et bien une différence, en droit, entre : « la prison » et « la résidence surveillée », même si les deux ont comme mission limiter la liberté de mouvement d’un accusé. La résidence surveillée offre plus d’avantages à l’accusé que la prison. Par exemple, les logements de prisonniers à la prison de Makala ne répondent pas aux règles minima des Nations Unies telles que l’hygiène, le cubage d’air, l’éclairage, la ventilation et l’existence d’installations sanitaires pouvant permettre au détenu, surtout malade comme le député DIOMI NDONGALA, de satisfaire à ses besoins naturels au moment voulu, d’une manière propre et descente.
Les membres de famille du député DIOMI DONGALA ont rapporté à l’ACAJ que ce dernier fait de crises aigues de nerf sciatique accompagnées d’autres pathologies aggravées par les mauvaises conditions de sa détention, et qu’il lui des soins appropriés dans une clinique comme Ngaliema et non à l’hôpital militaire du Camp Kokolo. Et que sa vie serait en danger s’il n’est pas transféré dans une clinique spécialisée sans délai.
L’ACAJ rappelle qu’au terme du paragraphe 22, point 2 de l’Ensemble des règles minima des Nations Unies pour le traitement des détenus, le service médical auquel le détenu malade a droit sous-entend un établissement hospitalier pourvu d’un personnel suffisamment formé, d’un matériel, d’un outillage et des produits pharmaceutiques permettant de donner les soins et le traitement convenables. Tel n’est pas le cas de l’hôpital militaire du camp Kokolo.
« Le Procureur Général de la République a l’obligation de faire transférer, sans atermoiement, le député DIOMI NDONGALA dans une clinique spécialisée, sous surveillance policière, pour qu’il reçoive en urgence des soins médicaux compatibles avec les crises de nerf sciatique et autres pathologiques atroces qu’il souffre actuellement », a déclaré Me Georges KAPIAMBA, Président de l’ACAJ.
« La détresse psychologique qu’il endure actuellement à cause de sa détention hors la résidence surveillée, sans soins médicaux appropriés sans oublier des menaces et intimidations dont il aurait fait l’objet de la part du Directeur de prison à la suite de l’interview qu’il a accordée à RFI, constituent une forme indiscutable de souffrance ou mauvais traitements au sens de l’article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui interdit formellement la torture, les traitements ou peines cruels et inhumains et les traitements ou peines dégradants » a-t-il ajouté.
L’ACAJ exige du PGR la cessation de ces mauvais traitements par l’application des ordonnances de la CSJ et son transfert dans une clinique spécialisée pour des soins appropriés, car la RDC a ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
« Pour mériter davantage la confiance de l’opinion tant nationale qu’internationale, le PGR doit éprouver le devoir moral impérieux de soutenir et de faire progresser en tout temps le respect des principes d’un Etat de Droit dans sa sphère d’action ou d’influence, quelle qu’elle soit. Il doit le faire sans se préoccuper de savoir s’il va, ce faisant, encourir la défaveur de l’autorité gouvernementale ou s’il marche à contre-courant des attentes politiques », à déclaré Me Didier KALEMBA, Chargé de protection à l’ACAJ.
« Il devra aussi s’assurer que tous les magistrats mis sous son autorité agissent ou s’efforcer à agir de façon conforme aux principes de la Primauté du Droit », a-t-il ajouté.
L’ACAJ encourage vivement la victime à saisir le Comité des Nations Unies contre la torture au cas où le PGR ne mette pas fin à la violation de droits fondamentaux lui garantis.
Elle dénonce enfin le mandat d’amener lancé contre l’un de ses Avocats, Maitre YALA TUTU, par le Parquet de grande instance de Kinshasa/Matete sous RMP 80736/023/JNT, depuis le 24/06/2013, pour « outrage au Chef de l’Etat et atteinte à la sûreté de l’Etat ». Et depuis lors, il est contraint de vivre en clandestinité pour échapper à l’arrestation.
L’ACAJ recommande l’abandon de ces poursuites pénales, car sont manifestement destinées à gêner la défense du député DIOMI NDONGALA.
Pour tout contact presse :
Me Georges Kapiamba, Président de l’ACAJ
Téléphone : +243 81 404 36 41
Email : kapiambag@gmail.com, acajasbl@yahoo.fr
Me Georges Kapiamba
Avocat
Président de l’Association Congolaise
pour l’Accès à la Justice (ACAJ)
Téléphones: + 243 99 540 45 15- 81 404 36 41
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Lire aussi:FLASH DU 25/07/13 A 10H00 : LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA, MALADE, PRIVE DE SOIN, CONTINUE A ETRE TORTURE EN PRISON SOUS ORDRE PERSONNEL DE JOSEPH KABILA
http://democratiechretienne.org/2013/07/25/%ef%bb%bfflash-du-250713-a-10h00-le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-malade-prive-de-soin-continue-a-etre-torture-en-prison-sous-ordre-personnel-de-joseph-kabila/
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http://wp.me/p18AQh-1K7
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
SIGNEZ LA PETITION
Adressée à : - Monsieur Ban Ki Moon, Secrétaire Général de l'ONU 2
- Monsieur Ban Ki Moon, Secrétaire Général de l'ONU: Qu'ils obtiennent la libération de Monsieur Eugène Diomi Ndongala,
Philippe Pasteur Kabongo-Mbaya
Pétition de
Philippe Pasteur Kabongo-Mbaya
Châtenay-Malabry, France
Merci d'avoir signé la pétition "- Monsieur Ban Ki Moon, Secrétaire Général de l'ONU: Qu'ils obtiennent la libération de Monsieur Eugène Diomi Ndongala, "
Démultipliez votre impact
Faites que votre signature en entraîne des dizaines d'autres: partagez cette pétition et demandez à vos amis de signer.
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Eugène Diomi Ndongala est né à Sona Bata (Bas- Congo) le 25/12/1962, fils de Gaston Diomi Ndongala (un des pères de l’Indépendance du Congo-Kinshasa et fondateur du Mouvement National Congolais avec Patrice Lumumba) et Elisabeth Dikiadi.
Il a effectué ses études primaires à Matadi et secondaires au Séminaire de Kimvula.
Il a effectué ses études universitaires à Pérouse (Italie) en Histoire et à Rome (Italie) en Sciences Politiques.
Terminés ses études, il participe à la Conférence Nationale Souveraine dans un groupe de jeunes ressortissants de la diaspora congolaise dénommé «Forces Acquises au Changement ». Il est désigné Ministre de la Jeunesse et Sport au sein de la Conférence Nationale, à l’âge de 30 ans.
Au début des années 80 fonde la Démocratie Chrétienne Congolaises, DC en sigle, parti humaniste d’inspiration chrétienne.
Il est désigné Député pendant la transition au Haut Conseil de la République, Parlement de Transition.
Dans deux gouvernements d’Union Nationale il sera Vice-Ministre de l’Economie et des Finances.
A l’entrée de l’Afdl (Alliance de forces démocratiques pour la libération du Congo), il fonde le Front pour la Survie de la Démocratie, FSD en sigle, qui réunit un groupe de politiciens qui s’opposent à l’interdiction des activités politiques ordonnée unilatéralement par Laurent Désiré Kabila, les successeurs de Mobutu.
Il publie en 1998 le « Manifeste de la libre pensée politique du FSD » dans lequel il revendique la liberté d’expression et la nécessité, pour le nouveau régime, de mettre en place des institutions politiques qui reflètent une véritable Démocratie pluraliste et représentative plutôt que les Comités de Pouvoir Populaire, CPP en sigle, d’inspiration Libyenne et chinoise que Laurent Désiré Kabila soutient comme seules institutions légales du pays.
A cause de sa volonté de rejeter l’interdiction des activités politiques du régime liberticide de Laurent Désiré Kabila, il est arrêté par les services de sécurité plusieurs fois – dés 1997 jusqu’en 2001 presque tous les trois mois. Pour deux fois il est enlevé et détenu au secret par les services de sécurité de l’époque, en décembre 1997 et encore en mai 1999.
L’Union Interparlementaire (UIP) et Amnesty International, lancèrent deux appels en sa faveur aux deux occasions.
Le régime philo-marxiste de Laurent Désiré Kabila lui reprochait, entre autre, la proposition d’un Forum de pacification et reconstruction de la RDC et la revendication d’un Constitution garantissant les droits civils et politiques des congolais (à l’époque la RDC évoluant sans Constitution Légale).
Le Forum de pacification et reconstruction se matérialisera dans le Dialogue Inter-congolais, où il participa en tant que chef de délégation du FSD-Démocratie Chrétienne, dans les rangs de l’opposition politique pacifique non armée.
Il est désigné Ministre des Mines dans le gouvernement issu du Dialogue Inter-congolais, dans le quota réservé à l’opposition politique pacifique et non armée.
Il fut candidat Président de la République en 2006 et son parti, la Démocratie Chrétienne et alliés, présentèrent le plus grand nombre de candidats aux élections législatives et provinciales, bien avant tous les autres partis politiques.
Désigné par cooptation par les autorités traditionnelle du Bas-Congo « député Provinciale », ne pourra pas siéger malgré la Cour Suprême de Justice ait reconnu la validité de sa désignation au nom des autorités traditionnelles du Bas-Congo.
En 2010, renonce à sa candidature à l’élection présidentielle en faveur d’Etienne Tshisekedi, le leader historique de l’opposition politique pacifique en RDC.
Depuis 2010, il organisa différentes manifestation politiques pacifiques afin de revendiquer la transparence du fichier électoral, pour la tenue d’élections démocratiques et crédibles
Elu massivement en 2011 Député National dans les rangs de la Démocratie Chrétienne, dans la circonscription de la ville de Kinshasa, pour protester contre la fraude électorale massive ayant caractérisée les élections tant législatives que présidentielles, ( tout en validant son mandat en tant que député élu) , il décida de respecter le mot d’ordre du Président Etienne Tshisekedi du boycott de l’Assemblée Nationale, revendiquant, au même temps, un Dialogue Politique qui traite de la crise de légitimité qui continue à miner la crédibilité des institutions politiques en RDC.
En Avril 2012, en alliance avec l’Udps d’Etienne Tshisekedi, il lance la plateforme Politique « Majorité Présidentielle Populaire », MPP en sigle, une plateforme politique réunissant 60 partis et organisations de la société civile.
La veille de la manifestation de signature de la Charte Constitutive de la MPP, le 26/06/2013, le régime Kabila lance un montage visant à l’éliminer physiquement, au siège de la Démocratie Chrétienne.
Echappé au montage, il sera enlevé le lendemain et détenu au secret pendant trois.
Pendant sa détention au secret, le régime Kabila lança une véritable campagne de dénigrement personnel l’accusant sans preuves d’un délit de mœurs afin de salir son honorabilité et entacher sa popularité
Libéré à la veille de la tenue du Sommet de la Francophonie à Kinshasa, à titre de décrispation politique, il sera opéré le 18/10/2013 à cause des séquelles physiques de sa détention au secret.
Après sa convalescence, il reprendra en janvier 2013 ses activités politiques.
Il sera encore enlevé la nuit du 08/04/2013 et depuis détenu à la Prison CPRK de Kinshasa, où il demeure malgré deux ordonnances de la Cour Suprême aient ordonné son assignation en résidence, un député National ne pouvant pas, selon la loi congolais, être détenu en prison en détention préventive.
Le 11/04/2013, le Ministre des affaires Intérieures apparait à la télévision nationale pour présenter 13 individus dont 1 membre de la DC et 2 de la MPP enlevés et détenus au secret depuis le 18/01/2013, les indexant comme les membres d’une conspiration appelée par lui-même « Imperium » qui aurait dû attenter à la vie de Joseph Kabila à travers les armes suivantes : 1 machette ; des bouteilles en plastique présentées comme des « Molotov », des mousses de matelas ; des téléphones portables de marque Motorola.
Malgré le caractère risible de la présentation, le Ministre de l’Intérieur accuse publiquement et sans preuves le député Diomi Ndongala de l’organisation de cette « conspiration » invraisemblable.
Depuis, le Député National Eugène Diomi Ndongala est soumis à un régime carcéral très dur, à la limite de la torture alors qu’il est détenu illégalement en prison, à cause de ses opinions politiques.
Son mandat sera invalidé par le régime Kabila prétendument à causes de ses absences dues à son arrestation et son emprisonnement illégal. L’union Interparlementaire à durement condamné cette décision politique inique et aberrant ainsi que le harcèlement politico-judiciaires dont il est victime le "député du peuple".
Tombé gravement malade, le régime Kabila lui refuse l’assistance médicale adéquate.
Assigné en résidence par 3 ordonnances répétitives de la Cour Suprême de Justice, il est illégalement détenu à cause de la simple volonté du PGR Flory Kabange Numbi qui refuse de donner application aux décisions de la Cour Suprême.
Le 23/07/2013 l’honorable Diomi Ndongala donne une interview à Radio France Internationale dans laquelle il condamne la répression politique du régime en place en RDC; sa volonté d’exercer coute que coute son droit à la libre expression provoque l’ouverture d’un troisième dossier pénal à sa charge, alors qu’il est illégalement détenu…
Devant être immédiatement hospitalisé, le régime Kabila décide de le faire soigner dans un "camp militaire" où il refuse d’être acheminé sachant le risque qu’il court dans ce lieu de détention extra-judiciaire.
A cause du manque d’assistance médicale urgente, le Président de la Démocratie Chrétienne risque de succomber aux graves pathologies dont il souffre, cela étant manifestement le dessein inavouable du régime Kabila pour se débarrasser du fer de lance de l’opposition politique en RDC à travers un harcèlement politique violent et de longue date.
La déclaration ci-dessus correspond aux informations et renseignements que notre organisation a obtenus concernant l’intéressé.
Vu l’urgence de la situation médicale de Monsieur Eugène Diomi Ndongala ;
Constatant que la Cour suprême de la RDC avait statué sur le cas de ce dernier et décidé qu’il soit libéré de la prison et suivi médicalement à son domicile ;
Conscients des méthodes d’élimination et d’intimidation auxquelles le pouvoir de Kinshasa recourt contre les opposants et les dirigeants de la société civiles qu’il considère comme gênants ;
Convaincus que ces pratiques ne peuvent contribuer ni à la stabilité du pays ni à l’édification d’une véritable démocratie en République Démocratique du Congo
Nous en appelons urgemment aux autorités gouvernementales et inter-gouvernementales impliquées dans la crise au Congo-Kinshasa.
Nous demandons aux congolais et congolaises, conscients de la gravité de la situation présente, de bien vouloir soutenir, par leur signature, cette démarche.
Sauvons Eugène Diomi Ndongala !
C’est la raison d’être de cette pétition.
Pasteur Philippe KABONGO-MBAYA,
Président
Réseau International des Amis du Prophète Jonas
(Fraternité des pasteurs démocrates, socialistes et altermondialistes en Afrique)
http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/monsieur-ban-ki-moon-secr%C3%A9taire-g%C3%A9n%C3%A9ral-de-l-onu-qu-ils-obtiennent-la-lib%C3%A9ration-de-monsieur-eug%C3%A8ne-diomi-ndongala?utm_campaign=friend_inviter_chat&utm_medium=facebook&utm_source=share_petition&utm_term=permissions_dialog_true#
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
SELON LA VOIX DES SANS VOIX DIOMI NDONGALA EST LAISSE MOURIR A PETIT FEU AU CPRK / LA TEMPETE DES TROPIQUES 26/07/2013
par mpp le 26 juillet 2013
TEMPETE 260713
TEMPETE 260713
La détention de Diomi est contraire aux prescrits des ordonnances de la CSJ
Quant à la VSV, ce député meurt à petit feu au CPRK
Dans un communiqué rendu public hier jeudi 25 juillet 2013 par L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), cette structure demande au procureur général de la République (PGR) de mettre fin à la détention préventive du député Eugène Diomi Ndongala, et le placer en résidence surveillée, tel que cela est prescrit par trois ordonnances de la Cour Suprême de Justice (CSJ).
Dans cette même logique, la Voix des sans voix a lancé, mercredi 24 juillet, un S.O.S annonçant que ce député " meurt à petit feu à la prison centrale de Makala ".
Cette Ong de défense et de promotion des droits de l’homme exprime ses vives craintes pour prisonnier, consécutivement à la détérioration sans précèdent de son état de santé suite à la privation de soins médicaux dont il est victime. Ce, depuis son incarcération au Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa, (CPRK).
ACAJ rappelle qu’il existe bel et bien une différence, en droit, entre la " prison " et la " résidence surveillée ", même si les deux ont comme mission de limiter la liberté de mouvement d’un accusé. La résidence surveillée offre plus d’avantages à l’accusé que la prison.
Par exemple, poursuit cette association, les logements de prisonniers à la prison de Makala ne répondent pas aux règles minima des Nations-Unies telles que l’hygiène, le cubage d’air, l’éclairage, la ventilation et l’existence d’installations sanitaires pouvant permettre au détenu, surtout malade comme le député Diomi Ndongala, de satisfaire à ses besoins naturels au moment voulu, d’une manière propre et descente.
Les membres de famille du député Diomi Ndongala ont rapporté à ACAJ que ce dernier fait de crises aigues de nerf sciatique accompagnées d’autres pathologies aggravées par les mauvaises conditions de sa détention, et qu’il lui faut des soins appropriés dans une clinique comme Ngaliema et non à l’hôpital militaire du Camp Kokolo. Et que sa vie serait en danger s’il n’est pas transféré dans une clinique spécialisée sans délai.
ACAJ rappelle qu’au terme du paragraphe 22, point 2 de l’ensemble des règles minima des Nations-Unies pour le traitement des détenus, le service médical auquel le détenu malade a droit sous-entend un établissement hospitalier pourvu d’un personnel suffisamment formé, d’un matériel, d’un outillage et des produits pharmaceutiques permettant de donner les soins et le traitement convenables. " Tel n’est pas le cas de l’hôpital militaire du camp Kokolo ", poursuit le communiqué. " Le procureur général de la République a l’obligation de faire transférer, sans atermoiement, le député
Diomi Ndongala dans une clinique spécialisée, sous surveillance policière, pour qu’il reçoive en urgence des soins médicaux compatibles avec les crises de nerf sciatique et autres pathologiques atroces dont il souffre actuellement ", a déclaré Me Georges Kapiamba, président de l’ACAJ.
" Pour mériter davantage la confiance de l’opinion tant nationale qu’internationale, le PGR doit éprouver le devoir moral impérieux de soutenir et de faire progresser en tout temps le respect des principes d’un Etat de Droit dans sa sphère d’action ou d’influence, quelle qu’elle soit.
Il doit le faire sans se préoccuper de savoir s’il va, ce faisant, encourir la défaveur de l’autorité gouvernementale ou s’il marche à contre-courant des attentes politiques ", à déclaré Me Didier Kalemba, Chargé de protection à l’ACAJ.
ACAJ encourage vivement la victime à saisir le Comité des Nations-Unies contre la torture, et dénonce enfin le mandat d’amener lancé contre l’un de ses Avocats, Maitre Yala Tutu, par le Parquet de grande instance de Kinshasa/Matete sous RMP 80736/023/JNT, depuis le 24/06/2013, pour " outrage au Chef de l’Etat et atteinte à la sûreté de l’Etat ". Et depuis lors, il est contraint de vivre en clandestinité pour échapper à l’arrestation.
Se lançant dans la même logique, la VSV indique que malgré les souffrances visibles dues aux douleurs ressenties par la victime, les autorités politiques, judiciaires et pénitentiaires continuent à fouler aux pieds le droit d’Eugène Diomi Ndongala à bénéficier des soins médicaux appropriés, et ce, en dépit des recommandations des médecins.
Tout porte à croire que, conclut le communiqué de la VSV, " le harcèlement et l’acharnement dont fait l’objet l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala sont consécutifs à ses activités politiques et relèvent d’une politique visant à réduire manifestement au silence les acteurs politiques de l’opposition non armée en République Démocratique du Congo ".
Pour la VSV, le succès du dialogue national franc et inclusif requiert l’écoute et l’acceptation mutuelle des points de vue divergents.
Ainsi, la VSV invite-t-elle les animateurs des institutions en place à donner des signaux positifs en faveur dudit dialogue national en procédant, entre autres, à la libération sans délais ni conditions de tous les détenus politiques ainsi que d’autres personnes innocentes qui croupissent à la PCM, à la Prison militaire de Ndolo, dans les geôles de l’ANR ainsi que d’autres lieux de détention en RD Congo.
Elle sollicite enfin le respect des règles minima de détention des Nations-Unies pour le traitement des détenus et exige le transfert sans délais ni condition de M. Eugène Diomi Ndongala pour des soins médicaux appropriés ; la cessation de la persécution des acteurs politiques de l’opposition non armée et d’autres victimes innocentes en général et celle de Diomi Ndongala en particulier.
Mise à jour le Vendredi, 26 Juillet 2013 09:08
http://democratiechretienne.org/2013/07/26/selon-la-voix-des-sans-voix-diomi-ndongala-meurt-a-petit-feu-au-cprk-la-tempete-des-tropiques-26072013/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Congo-Kinshasa: Diomi Ndongala en piteux état à la Prison centrale de Makala/Pharafina.com
Pharafina
Congo-Kinshasa: Diomi Ndongala en piteux état à la Prison centrale de Makala
MyBannerMaker_BannerDIOMI PETITION
La Voix des sans Voix pour les droits de l’Homme (VSV) exprime ses vives craintes pour la vie de M. Eugène Diomi Ndongala, consécutivement à la détérioration sans précèdent de son état de santé suite à la privation des soins médicaux. Et ce, depuis son incarcération à la Prison centrale de Makala (PCM), située à Kinshasa/Selembao.
Dans un communiqué de presse daté du mardi 23 juillet 2013, l’ONGDH « La Voix des sans Voix pour les droits de l’Homme (VSV) » annonce que depuis trois semaines, la santé de M. Eugène Diomi Ndongala, député national invalidé et président du parti politique d’opposition dénommé Démocratie Chrétienne (DC), ne cesse de se détériorer, sans qu’il ne soit autorisé à bénéficier d’un transfèrement dans une institution hospitalière mieux outillée pour lui garantir des soins médicaux adéquats.
La VSV rappelle que le président de la DC a été appréhendé le 27 juin 2012 par des agents des services de sécurité non autrement identifiés et détenu au secret avant d’être abandonné sur la route de Matadi, à Kinshasa/Ngaliema à quelques jours du démarrage du Sommet de la Francophonie qui s’est tenu à Kinshasa du 12 au 14 octobre 2012. Lors de son arrestation, suivie de sa détention au secret, la victime aurait été soumise à la torture et aux traitements cruels, inhumains ou dégradants en vue de lui arracher des aveux. Cette ONGDH signale qu’après son premier calvaire, la victime a été de nouveau arrêtée à l’hôtel CANA, à Gombe le lundi 8 avril 2013 par des policiers sous commandement du colonel Célestin Kanyama, et acheminée à l’IPKIN. Le lendemain, M. Eugène Diomi Ndongala a été conduit au Parquet général de la République où il a été entendu sur des allégations de viol sur deux mineures avant d’être transféré à la PCM.
Contre toute attente, note la VSV, l’opposant politique est accusé d’être à la tête d’un mouvement insurrectionnel dénommé "Imperium". A cet effet, elle relève que le jeudi 11 avril 2013, quinze personnes, en majorité sympathisants de M. Etienne Tshisekedi wa Mulumba, président national du parti politique de l’opposition « Union pour la démocratie et le progrès social, (UDPS) », ont été présentées devant la presse par le ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières comme faisant partie d’un groupe de personnes recrutées par le député national Eugène Diomi Ndongala en vue d’attenter à la vie du chef de l’Etat, M. Joseph Kabila et à celle de son Premier ministre, Augustin Matata Ponyo. Malgré les souffrances visibles dues aux douleurs ressenties par la victime, poursuit l’ONGDH, les autorités politiques, judiciaires et pénitentiaires continuent de fouler aux pieds le droit d’Eugène Diomi Ndongala à bénéficier des soins médicaux appropriés. Et ce, en dépit des recommandations des médecins.
Toujours selon la VSV, l’état de santé critique d’Eugène Diomi Ndongala rappelle celui enduré par le général Jean Yav Nawej, condamné à perpétuité dans l’affaire de l’assassinat du président Laurent-Désiré Kabila le 16 janvier 2001. Après une longue détention de plus de douze ans à la PCM, le général Jean Yav Nawej a vu son état de santé se détériorer davantage sans qu’il ne soit autorisé à temps opportun de bénéficier d’un transfèrement pour des soins appropriés que nécessitait son état de santé. Il a été évacué tardivement en catastrophe à la suite de l’aggravation inquiétante de son état de santé plongeant déjà sa famille et ses proches dans le désespoir. Il a succombé dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 mai 2013, à l’hôpital général de référence, ex-Mama Yemo, après quelques jours d’internement. Tout porte à croire que le harcèlement et l’acharnement dont fait l’objet l’opposant politique, Eugène Diomi Ndongala sont consécutifs à ses activités politiques.
Pour la VSV, le succès du dialogue national franc et inclusif requiert l’écoute et l’acceptation mutuelle des points de vue divergents. Ainsi, la VSV invite-t-elle les animateurs des institutions en place à donner des signaux positifs en faveur de ce dialogue national en procédant, entre autres, à la libération sans délai ni conditions, de tous les détenus politiques ainsi que d’autres personnes innocentes qui croupissent à la PCM, à la Prison militaire de Ndolo, dans les geôles de l’ANR ainsi que d’autres lieux de détention en RDC.
Tout compte fait, la VSV recommande à l’Etat congolais le respect des règles minima de détention des Nations unies pour le traitement des détenus et exige le transfert sans délai ni conditions d’Eugène Diomi Ndongala pour des soins médicaux appropriés ; la cessation de la victimisation des acteurs politiques de l’opposition non armée et d’autres victimes innocentes en général et celle d’Eugène Diomi Ndongala en particulier.
http://www.pharafina.com/actualites-africaines/item/191783-congo-kinshasa-diomi-ndongala-en-piteux-a%C2%A9tat-a%C2%A0-la-prison-centrale-de-makala
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
VIDEO /LE COLLECTIF DES ONG DH A CONSTATE QUE DIOMI NDONGALA EST GRAVEMENT MALADE AU CPRK CE 28/07/13
par mpp le 28 juillet 2013
COLLECTIF ONG DH
par mpp le 28 juillet 2013
COLLECTIF ONG DH
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CONFERENCE DE PRESSE DU COLLECTIF DES ONGDH EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO : Etat de santé alarmant de M. Eugène DIOMI NDONGALA /VIDEO
par mpp le 29 juillet 2013
collectif des ong des droits de l homme 290713
collectif des ong des droits de l homme 290713
COLLECTIF DES ONGDH EN REPUBLIQUE DEMOCRATIOQUE DU CONGO
Kinshasa, le 29 juillet 2013 - Etat de santé alarmant de M. Eugène DIOMI NDONGALA : le Collectif des ONG des droits de l’Homme exige le respect des ordonnances de la Cour Suprême de Justice par le Procureur Général de la République
Après son arrestation arbitraire le 8 avril 2013 et sa séquestration depuis plusieurs mois maintenant au Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK), les représentants des organisations de défense et promotion des droits humains se sont rendus, le dimanche 28 juillet 2013, à la prison centrale de MAKALA, dans la commune de SELEMBAO, pour rendre visite et s’enquérir de l’état de santé de M. Eugène DIOMI.
Cette délégation, conduite par Me Sylvain LUMU MBAYA, Secrétaire exécutif de la Ligue des Electeurs (LE), était composée de Me Jacob BALUISHI de L’Observatoire Congolais des Droits Humains (OCDH), Madame Philomène MUKENDI de « Anges du Ciel », Emmanuel Cole de la Fondation Bill Clinton pour la Paix(FBCP), M. Karul MULUNDA du Centre pour les Droits Humains (CDH), Madame Marie LUKUSA de la L.E., M. Godé KALONJI de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ), Amédée BOBOTOBI, membre de l’ASADHO et M. Aaron MBONGO du Comité Droit de l’Homme Maintenant (CDHM). .
Au terme de cette visite, la délégation s’est entretenue avec le député Eugène DIOMI NDONGALA qui, selon elle, est victime d’un harcèlement judicaire.
« Contrairement à ce qu’une certaine opinion laisse croire, l’état de Santé de M. Eugène DIOMI NDONGALA mérite une attention particulière de la part du gouvernement Kabila. Il éprouve des douleurs nerveuses aigues qui accablent gravement son bras droit et sa colonne vertébrale. Il lui a été administré, en dehors de tout examen spécifique préalable nécessaire, une quantité vertigineuse d’anti-inflammatoires qui ont entrainé à leur tour des douleurs gastriques intenses et des malaises au niveau de ses reins. Son bras doit être soutenu pour qu’il parvienne à serrer la main de ses visiteurs comme s’il a été atteint par une paralysie hémiplégique et lui-même ne parvient à se tenir débout durant cinq minutes », a affirmé Me Sylvain LUMU MBAYA.
C’est pourquoi, le médecin qui l’a consulté a exigé que ce leader de l’Opposition politique congolaise soit soumis à des examens spécifiques dans une clinique spécialisée de la place comme le Centre NGANDA dans la commune de KITAMBO ou l’hôpital BIAMBA MUTOMBO dans la Commune de MASINA, pour faire un bon diagnostic. Malheureusement cette demande rencontre la résistance farouche du régime en place.
Après l’interview qu’il a accordée à la Rfi, M. Eugène DIOMI NDONGALA est surveillé comme un malfrat dans sa cellule située au pavillon I de la prison centrale de MAKALA qu’il partage avec ses codétenus.
Pourtant, sur le plan judiciaire, par sa décision rendue sous RP 014/CR, le 15/04/2013, la Cour Suprême de Justice avait ordonné sa mise à résidence surveillée, qui signifie qu’il devait être sorti de la prison de MAKALA et placé sous surveillance policière à sa résidence. Cette décision demeure non-exécutée par le Procureur Général de la République qui maintient le député DIOMI NDONGALA à la prison de MAKALA comme un condamné alors qu’à ce stade de procédure, il n’est que simple prévenu.
Tout porte à croire, en définitive, que Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA, opposant farouche proche d’Etienne TSHISEKEDI et chantre frénétique du combat en faveur du triomphe de la vérité des scrutins du 28 novembre 2011, est victime d’un harcèlement judiciaire à cause de ses opinions politiques.
C’est pourquoi, le Collectif des ONGDH recommande :
- Au PGR, de respecter l’esprit et la lettre des ordonnances de la CSJ en mettant fin sans délai à la détention de M. Eugène DIOMI NDONGALA et ne pas donner l’impression qu’il reçoit d’injonction des organes politiques contrairement à l’indépendance du pouvoir judiciaire consacrée dans la Constitution de la République ;
- Au Président de la République, en sa qualité de garant de la nation et magistrat suprême, de rappeler le PGR à l’ordre afin de faire échec à son intransigeance face aux décisions judiciaires valablement rendues ;
- A la communauté internationale, de s’impliquer afin d’obtenir la libération sans conditions de M. Eugène DIOMI NDONGALA qui demeure à ce jour un détenu d’opinions politiques.
Les signataires :
-Ligue des Electeurs (LE) ;
-Observatoire Congolais des droits humains (OCDH) ;
-Anges du Ciel (AC) ;
-Fondation Bill Clinton pour la Paix (FBCP) ;
-Comité Droits de l’Homme Maintenant (CDHM) ;
-Centre des Droits Humains et humanitaire (CDH) ;
-Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) ;
Toges Noires (TN) ;
-Les Amis de Nelson Mandela pour les Droits de l’Homme (ANMDH) ;
-Œuvres Sociales pour le Développement (OSD)
Maître LUMU MBAYA SylvainAvocat au Barreau de KINSHASA/MATETE (RDC)
Secrétaire Exécutif de la Ligue des Électeurs (L.E) Expert-Formateur en droits de l’Homme et élections Bureau: 136, Av. TSHUAPA/WANGATA, Ier Niveau Appt 1/A, KINSHASA Gsm: +243/815079823 (Kinshasa) /+33/699505346 (Paris)
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
APPEL DE L’ORGANISATION MONDIALE CONTRE LA TORTURE, OMCT, EN FAVEUR DE L’HON. EUGENE DIOMI NDONGALA / 30/07/2013
par mpp le 30 juillet 2013
omct
Cas COD 300713
Déni de soins médicaux adéquats/ Crainte pour l’intégrité physique et psychologique
Le Secrétariat International de l’Organisation Mondiale Contre la Torture (OMCT) sollicite votre intervention URGENTE face à la situation suivante en République démocratique du Congo (RDC).
Brève description de la situation
Le Secrétariat International de l’OMCT a été informé par la Voix des Sans Voix pour les droits de l’homme (VSV), une organisation membre du réseau SOS-Torture de l’OMCT, de la détérioration de l’état de santé de M. Eugène Diomi Ndongala, détenu à la Prison centrale de Makala (PCM, ex Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa, CPRK), sis Kinshasa/ Selembao, suite au refus des autorités compétentes de le transférer dans un hôpital pour y recevoir des soins médicaux appropriés.
Selon les informations reçues, M. Eugène Diomi Ndongala souffre notamment d’un début de paralyse du bras droit suite aux violences subies lors de son arrestation. Le médecin visiteur de la Prison centrale de Makala et le médecin de l’hôpital militaire de référence du camp Kokolo sis Kinshasa/ Bandalungwa, qui ont examiné M. Eugène Diomi Ndongala en détention, auraient recommendé que celui-ci soit hospitalisé dans un centre médical afin d’y passer des examens et recevoir des soins adéquats.
L’OMCT a également été informée que M. Eugène Diomi Ndongala a été placé en isolement cellulaire depuis le 23 juillet 2013 suite à la diffusion d’une interview par une radio internationale.
M. Eugène Diomi Ndongala, président du parti politique d’opposition dénommé Démocratie chrétienne (DC) et porte parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP), aurait été brutalement arrêté à l’hôtel Cana à Kinshasa/ Gombe, le 8 avril 2013, par des policiers sous commandement du Colonel Célestin Kanyama et transféré à l’inspection provinciale de la Police nationale congolaise, à Kinshasa. Il serait accusé d’être à la tête d’un mouvement insurrectionnel dénomé « Imperium ».
L’OMCT est gravement préoccupée par la situation de M. Eugène Diomi Ndongala et prie les autorités compétentes de la RDC de garantir, en toutes circonstances, son intégrité physique et psychologique conformément au droit régional et international pertinent et notamment aux dispositions de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et au Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
L’OMCT demande notamment aux autorités compétentes de mettre fin à l’isolement cellulaire de M. Eugène Diomi Ndongala et de faire en sorte qu’il soit promptement transféré dans un centre médical pour y recevoir des soins médicaux adéquats.
Enfin, l’OMCT réitère sa plus vive inquiétude quant aux faits allégués ci-dessus et demande aux autorités compétentes à ce qu’une enquête immédiate, efficace, exhaustive, indépendante et impartiale soit menée, et ce afin d’identifier les responsables, de les traduire devant un tribunal civil indépendant, compétent et impartial et d’appliquer les sanctions pénales, civiles et/ou administratives prévues par la loi. Les conclusions de cette enquête doivent être rendues publiques.
Actions requises
Merci d’écrire aux autorités de la République démocratique du Congo (RDC) afin de leur demander de:
1.Garantir, en toutes circonstances, l’intégrité physique et psychologique de M. Eugène Diomi Ndongala;
2.Ordonner son transfert immédiat dans un centre médical afin qu’il puisse y recevoir des soins médicaux adéquats ;
3.Ordonner sa libération immédiate en l’absence d’accusations qui soient en accord avec les règles et les standards internationaux ou, si de telles accusations existent, le déferrer promptement devant un tribunal civil, impartial et compétent tout en garantissant ses droits procéduraux en tout temps; i.Garantir une enquête immédiate, efficace, exhaustive, indépendante et impartiale sur ces évènements, dont les conclusions seront rendues publiques, et ce afin d’identifier les responsables, de les traduire devant un tribunal civil indépendant, compétent et impartial et d’appliquer les sanctions pénales, civiles et/ou administratives prévues par la loi;
ii.Garantir un recours effectif et une réparation adéquate, y compris l’indemnisation et la réhabilitation, à la victime concernée;
iii.Garantir le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales à travers le pays selon les lois nationales et les instruments internationaux des droits de l’homme.
Adresses
•S.E M. Joseph Kabila, Président de la République, Cabinet du Président de la République, Palais de la Nation, Kinshasa/Gombe, République Démocratique du Congo, Fax +243 88 02 120, Email : cabinet_president@yahoo.fr; upp@ic.cd;
•Ministre de l’Intérieur, Sécutité, Decentralisation et Affaires Coutumières, M. Richard MUYEJ MANGEZE, Email: mininterieur@yahoo.fr
•Ministre de la Justice et Droits Humains, Madame Wivine MUMBA MATIP, Email: minjustdh@gmail.com
•Premier Ministre, Monsieur Augustin MATATA PONYO, Email: cabinet@primature.cd
•Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité, Email: presidencerdc.scs@starnet.cd, Fax: +243 13 98 882
•Président du Sénat, Monsieur Léon KENGO WA DONDO, Email: senatrdcongo@senat.cd
•Procureur Général de la République, Monsieur Flory KABANGE NUMBI, Email: pgr_rdc@yahoo.fr, Fax: 00243 1221 502
•Mission permanente de la République démocratique du Congo auprès des Nations unies, Avenue de Budé 18, 1202 Genève, Suisse, Email: missionrdc@bluewin.ch, Fax: +41 22 740.16.82.
Prière d’écrire aussi aux représentations diplomatiques de la République démocratique du Congo (RDC) dans vos pays respectifs.
***
Genève, le 30 juillet 2013.
Veuillez nous informer de toute action engagée, citez le code de cet appel dans votre réponse.
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http://democratiechretienne.org/2013/07/30/appel-de-lorganisation-mondial-contre-la-torture/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Cas Diomi : 10 Ongdh demandent à Kabila de rappeler le PGR à l’ordre
par mpp le 30 juillet 2013
Cas Diomi / tempete des tropiques du 30/07/2013 PDF Imprimer Envoyer
Écrit par Stone
Mardi, 30 Juillet 2013 09:34
A cause de la non exécution de trois ordonnances de la CSJ
Cas Diomi : 10 Ongdh demandent à Kabila de rappeler le PGR à l’ordre
collectif des ong des droits de l homme 290713Après s’être rendu ledimanche 28 juillet courant3, à la prison centrale de Makala, dans la commune de Selembao, pour rendre visite et s’enquérir de l’état de santé de l’honorable Eugène Diomi Ndongala, le collectif des organisations non gouvernementales de défense et promotion des droits humains a tenu un point de presse hier lundi 29 juillet 2013 au siège de la Ligue des Electeurs, à Kinshasa, dans la commune qui porte le même nom.
Ces Ongdh, dix au total, recommandent ainsi au procureur général de la République, vu la gravité de la situation, de respecter l’esprit et la lettre des ordonnances de la CSJ en mettant fin sans délai à la détention de Diomi Ndongala et ne pas donner l’impression qu’il reçoit des injonctions des organes politiques contrairement à l’indépendance du pouvoir judiciaire consacrée dans la Constitution de la République.
A Joseph Kabila, en sa qualité de garant de la nation et magistrat suprême, il lui est demandé de rappeler le PGR à l’ordre afin d’appliquer les décisions judiciaires valablement rendues, et à la communauté internationale de s’impliquer afin d’obtenir la libération sans conditions de ce porte-parole de la MPP qui demeure à ce jour « un détenu d’opinions politiques ».
Il faut rappeler que la délégation qui avait effectué le déplacement du CPRK était conduite par Me Sylvain Lumu Mbaya, Secrétaire exécutif de la Ligue des Electeurs (LE), qu’accompagnaient Me Jacob Baluishi de L’Observatoire Congolais des Droits Humains (OCDH), Madame Philomène Mukendi de « Anges du Ciel », Emmanuel Cole de la Fondation Bill Clinton pour la Paix(FBCP), Karul Mulunda du Centre pour les Droits Humains (CDH), Madame Marie Lukusa de la L.E., Godé Kalonji de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ), Amédée Bobotobi de l’ASADHO et Aaron Mbongo du Comité Droit de l’Homme Maintenant (CDHM). .
Au terme de cette visite, la délégation s’est entretenue avec le député Eugène Diomi Ndongala qui, selon elle, « est victime d’un harcèlement judicaire ».
« Contrairement à ce qu’une certaine opinion laisse croire, l’état de Santé de Diomi Ndongala mérite une attention particulière de la part du gouvernement. Il éprouve des douleurs nerveuses aigues qui accablent gravement son bras droit et sa colonne vertébrale.
Il lui a été administré, en dehors de tout examen spécifique préalable nécessaire, une quantité vertigineuse d’anti-inflammatoires qui ont entrainé à leur tour des douleurs gastriques intenses et des malaises au niveau de ses reins.
Son bras doit être soutenu pour qu’il parvienne à serrer la main de ses visiteurs comme s’il a été atteint par une paralysie hémiplégique et lui-même ne parvient pas à se tenir débout durant cinq minutes », affirme Me Sylvain Lumu Mbaya.
Et de poursuivre, « c’est pourquoi, le médecin qui l’a consulté a exigé que ce leader de l’Opposition politique congolaise soit soumis à des examens spécifiques dans une clinique spécialisée de la place comme le Centre Nganda dans la commune de Kintambo ou l’hôpital Biamba Marie Mutombo dans la commune de Masina, pour faire un bon diagnostic », ce qui n’est pas fait malheureusement.
Après l’interview qu’il a accordée dernièrement à Rfi, renseigne-t-on, Diomi est surveillé comme un malfrat dans sa cellule située au pavillon I de la prison centrale de Makala qu’il partage désormais avec des codétenus.
Pourtant, sur le plan judiciaire, par sa décision rendue sous RP 014/CR, le 15/04/2013, la Cour Suprême de Justice avait ordonné sa mise en résidence surveillée, qui signifie qu’il devait quitter la prison de Makala pour être placé sous surveillance policière à sa résidence.
Cette décision demeure non-exécutée par le procureur général de la République qui le maintient à la prison de Makala comme un condamné alors qu’à ce stade de procédure, il n’est que simple prévenu.
Il faut signaler par ailleurs que 10 Ongdh ont signé ce document aux allures d’une pétition, notamment la Ligue des Electeurs (LE), l’Observatoire Congolais des droits humains (OCDH), Anges du Ciel (AC), Fondation Bill Clinton pour la Paix (FBCP), Comité Droits de l’Homme Maintenant (CDHM), Centre des Droits Humains et humanitaire (CDH), Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ), Toges Noires (TN), Les Amis de Nelson Mandela pour les Droits de l’Homme (ANMDH) et Œuvres Sociales pour le Développement (OSD).
Mise à jour le Mardi, 30 Juillet 2013 09:37TEMPETE DES TROPIQUES DU 30/07/13
http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/sauvons-eug%C3%A8ne-diomi-ndongala-respect-de-la-d%C3%A9cision-de-la-cour-supr%C3%AAme-de-justice-de-la-rdc?utm_campaign=friend_inviter_chat&utm_medium=facebook&utm_source=share_petition&utm_term=permissions_dialog_false
http://democratiechretienne.org/2013/07/30/cas-diomi-10-ongdh-demandent-a-kabila-de-rappeler-le-pgr-a-lordre/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://www.omct.org/urgent-campaigns/urgent-interventions/congo-dem-republic/2013/07/d22332/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
TEMPETE DES TROPIQUES: Organe chargé de lutte contre la torture, l’OMCT lance une campagne mondiale pour Eugène Diomi Ndongala, victime de tortures et deni de soins médicaux
par mpp le 31 juillet 2013
omct 310713
Organe chargé de lutte contre la torture
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Écrit par Stone
Mercredi, 31 Juillet 2013 09:33
L’OMCT préoccupée par la détérioration de l’état de santé de Diomi Ndongala
Dans un document écrit hier mardi 30 juillet 2013 à partir de Genève, le secrétariat international de l’Organisation mondiale de lutte contre la torture (OMCT) se dit être informé par la Voix des Sans Voix pour les droits de l’homme (VSV), de la détérioration de l’état de santé d’Eugène Diomi Ndongala, détenu à la Prison centrale de Makala (PCM), suite au refus des autorités compétentes de le transférer dans un hôpital pour y recevoir des soins médicaux appropriés.
Selon les informations reçues de la VSV et parvenues à l’OMCT, « Eugène Diomi Ndongala souffre notamment d’un début de paralyse du bras droit suite aux violences subies lors de son arrestation.
Le médecin visiteur de la Prison centrale de Makala et le médecin de l’hôpital militaire de référence du camp Kokolo qui l’ont examiné auraient recommandé que celui-ci soit hospitalisé dans un centre médical afin d’y passer des examens et recevoir des soins adéquats ».
L’OMCT a également été informée que Diomi Ndongala a été placé en isolement cellulaire depuis le 23 juillet 2013 suite à la diffusion d’une interview par une radio internationale.
L’OMCT qui se dit gravement préoccupée par la situation de ce député élu de la Funa, prie les autorités compétentes de la RDC de garantir, en toutes circonstances, son intégrité physique et psychologique conformément au droit régional et international pertinent et notamment aux dispositions de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et au Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Elle demande notamment aux autorités compétentes de mettre fin à l’isolement cellulaire de Diomi et de faire en sorte qu’il soit promptement transféré dans un centre médical pour y recevoir des soins médicaux adéquats.
Enfin, l’OMCT réitère sa plus vive inquiétude quant aux faits allégués ci-dessus et demande qu’une enquête immédiate, efficace, exhaustive, indépendante et impartiale soit menée. Ce, afin d’identifier les responsables, de les traduire devant un tribunal civil indépendant, compétent et impartial et d’appliquer les sanctions pénales, civiles et/ou administratives prévues par la loi. Les conclusions de cette enquête doivent être rendues publiques.
Cette organisation mondiale demande aux autorités congolaise d’ordonner la libération de ce porte-parole de la MPP en l’absence d’accusations qui soient en accord avec les règles et les standards internationaux ou, si de telles accusations existent, le déferrer promptement devant un tribunal civil, impartial et compétent tout en garantissant ses droits procéduraux en tout temps.
Il faut signaler que l’OMCT tient à ce que Joseph Kabila soit saisi de ce problème à travers une correspondance, de même que le ministre de l’Intérieur, Sécutité, Decentralisation et Affaires Coutumières, Richard MUYEJ, sa collègue de la Justice et Droits Humains, Madame Wivine Mumba, le premier ministre Augustin Matata Ponyo, le président du Sénat, Léon Kengo Wa Dondo, le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, la Mission permanente de la République démocratique du Congo auprès des Nations-Unies, ainsi que les représentations diplomatiques de la République démocratique du Congo (RDC) d.
L’OMCT qui suit désormais de près cette situation, veut être informée de toute action qui sera engagée par rapport à ce dossier.
Mise à jour le Mercredi, 31 Juillet 2013 09:37
http://democratiechretienne.org/2013/07/31/tempete-des-tropiques-organe-charge-de-lutte-contre-la-torture-lomct-lance-une-campagne-mondiale-pour-eugene-diomi-ndongala-victime-de-tortures-et-deni-de-soins-medicaux/
par mpp le 31 juillet 2013
omct 310713
Organe chargé de lutte contre la torture
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Écrit par Stone
Mercredi, 31 Juillet 2013 09:33
L’OMCT préoccupée par la détérioration de l’état de santé de Diomi Ndongala
Dans un document écrit hier mardi 30 juillet 2013 à partir de Genève, le secrétariat international de l’Organisation mondiale de lutte contre la torture (OMCT) se dit être informé par la Voix des Sans Voix pour les droits de l’homme (VSV), de la détérioration de l’état de santé d’Eugène Diomi Ndongala, détenu à la Prison centrale de Makala (PCM), suite au refus des autorités compétentes de le transférer dans un hôpital pour y recevoir des soins médicaux appropriés.
Selon les informations reçues de la VSV et parvenues à l’OMCT, « Eugène Diomi Ndongala souffre notamment d’un début de paralyse du bras droit suite aux violences subies lors de son arrestation.
Le médecin visiteur de la Prison centrale de Makala et le médecin de l’hôpital militaire de référence du camp Kokolo qui l’ont examiné auraient recommandé que celui-ci soit hospitalisé dans un centre médical afin d’y passer des examens et recevoir des soins adéquats ».
L’OMCT a également été informée que Diomi Ndongala a été placé en isolement cellulaire depuis le 23 juillet 2013 suite à la diffusion d’une interview par une radio internationale.
L’OMCT qui se dit gravement préoccupée par la situation de ce député élu de la Funa, prie les autorités compétentes de la RDC de garantir, en toutes circonstances, son intégrité physique et psychologique conformément au droit régional et international pertinent et notamment aux dispositions de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et au Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Elle demande notamment aux autorités compétentes de mettre fin à l’isolement cellulaire de Diomi et de faire en sorte qu’il soit promptement transféré dans un centre médical pour y recevoir des soins médicaux adéquats.
Enfin, l’OMCT réitère sa plus vive inquiétude quant aux faits allégués ci-dessus et demande qu’une enquête immédiate, efficace, exhaustive, indépendante et impartiale soit menée. Ce, afin d’identifier les responsables, de les traduire devant un tribunal civil indépendant, compétent et impartial et d’appliquer les sanctions pénales, civiles et/ou administratives prévues par la loi. Les conclusions de cette enquête doivent être rendues publiques.
Cette organisation mondiale demande aux autorités congolaise d’ordonner la libération de ce porte-parole de la MPP en l’absence d’accusations qui soient en accord avec les règles et les standards internationaux ou, si de telles accusations existent, le déferrer promptement devant un tribunal civil, impartial et compétent tout en garantissant ses droits procéduraux en tout temps.
Il faut signaler que l’OMCT tient à ce que Joseph Kabila soit saisi de ce problème à travers une correspondance, de même que le ministre de l’Intérieur, Sécutité, Decentralisation et Affaires Coutumières, Richard MUYEJ, sa collègue de la Justice et Droits Humains, Madame Wivine Mumba, le premier ministre Augustin Matata Ponyo, le président du Sénat, Léon Kengo Wa Dondo, le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, la Mission permanente de la République démocratique du Congo auprès des Nations-Unies, ainsi que les représentations diplomatiques de la République démocratique du Congo (RDC) d.
L’OMCT qui suit désormais de près cette situation, veut être informée de toute action qui sera engagée par rapport à ce dossier.
Mise à jour le Mercredi, 31 Juillet 2013 09:37
http://democratiechretienne.org/2013/07/31/tempete-des-tropiques-organe-charge-de-lutte-contre-la-torture-lomct-lance-une-campagne-mondiale-pour-eugene-diomi-ndongala-victime-de-tortures-et-deni-de-soins-medicaux/
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RDC : Le PGR à l'obligation de faire transférer le député DIOMI dans une clinique spécialisée
afrique.kongotimes.info
RDC : Le PGR à l'obligation de faire transférer le député DIOMI dans une clinique spécialisée
31/07/2013 06:39:00 kongoTimes!
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image Eugène Diomi Ndongala
Les membres de famille du député Diomi Ndongala ont rapporté à l'Association Congolaise pour l'Accès à la Justice (ACAJ) que ce dernier fait de crises aigues de nerf sciatique accompagnées d'autres pathologies aggravées par les mauvaises conditions de sa détention, et qu'il lui faut des soins appropriés dans une clinique comme Ngaliema et non à l'hôpital militaire du Camp Kokolo. Et que sa vie serait en danger s'il n'est pas transféré dans une clinique spécialisée sans délai. L'ensemble des règles minima des Nations-Unies pour le traitement des détenus, le service médical auquel le détenu malade a droit sous-entend un établissement hospitalier pourvu d'un personnel suffisamment formé, d'un matériel, d'un outillage et des produits pharmaceutiques permettant de donner les soins et le traitement convenables. " Tel n'est pas le cas de l'hôpital militaire du camp Kokolo ". " Le procureur général de la République a l'obligation de faire transférer, sans atermoiement, le député Diomi Ndongala dans une clinique spécialisée, sous surveillance policière, pour qu'il reçoive en urgence des soins médicaux compatibles avec les crises de nerf sciatique et autres pathologiques atroces dont il souffre actuellement ".
Dans un communiqué rendu public hier jeudi 25 juillet 2013 par L'Association congolaise pour l'accès à la justice (ACAJ), cette structure demande au procureur général de la République (PGR) de mettre fin à la détention préventive du député Eugène Diomi Ndongala, et le placer en résidence surveillée, tel que cela est prescrit par trois ordonnances de la Cour Suprême de Justice (CSJ).
Dans cette même logique, la Voix des sans voix a lancé, mercredi 24 juillet, un S.O.S annonçant que ce député " meurt à petit feu à la prison centrale de Makala ".
Cette Ong de défense et de promotion des droits de l'homme exprime ses vives craintes pour prisonnier, consécutivement à la détérioration sans précèdent de son état de santé suite à la privation de soins médicaux dont il est victime. Ce, depuis son incarcération au Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa, (CPRK).
ACAJ rappelle qu'il existe bel et bien une différence, en droit, entre la " prison " et la " résidence surveillée ", même si les deux ont comme mission de limiter la liberté de mouvement d'un accusé. La résidence surveillée offre plus d'avantages à l'accusé que la prison.
Par exemple, poursuit cette association, les logements de prisonniers à la prison de Makala ne répondent pas aux règles minima des Nations-Unies telles que l'hygiène, le cubage d'air, l'éclairage, la ventilation et l'existence d'installations sanitaires pouvant permettre au détenu, surtout malade comme le député Diomi Ndongala, de satisfaire à ses besoins naturels au moment voulu, d'une manière propre et descente.
Les membres de famille du député Diomi Ndongala ont rapporté à ACAJ que ce dernier fait de crises aigues de nerf sciatique accompagnées d'autres pathologies aggravées par les mauvaises conditions de sa détention, et qu'il lui faut des soins appropriés dans une clinique comme Ngaliema et non à l'hôpital militaire du Camp Kokolo. Et que sa vie serait en danger s'il n'est pas transféré dans une clinique spécialisée sans délai.
ACAJ rappelle qu'au terme du paragraphe 22, point 2 de l'ensemble des règles minima des Nations-Unies pour le traitement des détenus, le service médical auquel le détenu malade a droit sous-entend un établissement hospitalier pourvu d'un personnel suffisamment formé, d'un matériel, d'un outillage et des produits pharmaceutiques permettant de donner les soins et le traitement convenables. " Tel n'est pas le cas de l'hôpital militaire du camp Kokolo ", poursuit le communiqué.
" Le procureur général de la République a l'obligation de faire transférer, sans atermoiement, le député
Diomi Ndongala dans une clinique spécialisée, sous surveillance policière, pour qu'il reçoive en urgence des soins médicaux compatibles avec les crises de nerf sciatique et autres pathologiques atroces dont il souffre actuellement ", a déclaré Me Georges Kapiamba, président de l'ACAJ.
" Pour mériter davantage la confiance de l'opinion tant nationale qu'internationale, le PGR doit éprouver le devoir moral impérieux de soutenir et de faire progresser en tout temps le respect des principes d'un Etat de Droit dans sa sphère d'action ou d'influence, quelle qu'elle soit.
Il doit le faire sans se préoccuper de savoir s'il va, ce faisant, encourir la défaveur de l'autorité gouvernementale ou s'il marche à contre-courant des attentes politiques ", à déclaré Me Didier Kalemba, Chargé de protection à l'ACAJ.
ACAJ encourage vivement la victime à saisir le Comité des Nations-Unies contre la torture, et dénonce enfin le mandat d'amener lancé contre l'un de ses Avocats, Maitre Yala Tutu, par le Parquet de grande instance de Kinshasa/Matete sous RMP 80736/023/JNT, depuis le 24/06/2013, pour " outrage au Chef de l'Etat et atteinte à la sûreté de l'Etat ". Et depuis lors, il est contraint de vivre en clandestinité pour échapper à l'arrestation.
Se lançant dans la même logique, la VSV indique que malgré les souffrances visibles dues aux douleurs ressenties par la victime, les autorités politiques, judiciaires et pénitentiaires continuent à fouler aux pieds le droit d'Eugène Diomi Ndongala à bénéficier des soins médicaux appropriés, et ce, en dépit des recommandations des médecins.
Tout porte à croire que, conclut le communiqué de la VSV, " le harcèlement et l'acharnement dont fait l'objet l'opposant politique Eugène Diomi Ndongala sont consécutifs à ses activités politiques et relèvent d'une politique visant à réduire manifestement au silence les acteurs politiques de l'opposition non armée en République Démocratique du Congo ".
Pour la VSV, le succès du dialogue national franc et inclusif requiert l'écoute et l'acceptation mutuelle des points de vue divergents.
Ainsi, la VSV invite-t-elle les animateurs des institutions en place à donner des signaux positifs en faveur dudit dialogue national en procédant, entre autres, à la libération sans délais ni conditions de tous les détenus politiques ainsi que d'autres personnes innocentes qui croupissent à la PCM, à la Prison militaire de Ndolo, dans les geôles de l'ANR ainsi que d'autres lieux de détention en RD Congo.
Elle sollicite enfin le respect des règles minima de détention des Nations-Unies pour le traitement des détenus et exige le transfert sans délais ni condition de M. Eugène Diomi Ndongala pour des soins médicaux appropriés ; la cessation de la persécution des acteurs politiques de l'opposition non armée et d'autres victimes innocentes en général et celle de Diomi Ndongala en particulier.
[Lefils Matady ]
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http://afrique.kongotimes.info/rdc/justice/6229-congo-pgr-obligation-faire-transferer-depute-diomi-clinique-specialisee-selon-communique-acaj-detention-contraire-prescrits-ordonnances-csj-quant-vsv-depute-meurt-petit-feu-cprk.html
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Kota, votre strategie n'est pas efficace.
depuis le debut de ce thread, vous ne faites que parler de Diomi. Vous oubliez qu'il n'etait pas le seul a etre arrete. Que sont devenus les autres prevenus arretes avec le seigneur Diomi? Ils ne sont pas importants comme Diomi? Eux, n'ont ils pas aussi droit a la liberte? pourquoi vous n'AVEZ JAMAIS parle d'eux???( collateral damage...?)
Pourquoi Tshisekedi ou l'UDPS n'a jamais parle de ce cas Diomi etant membre "Influent de la mouvance tshisekedist"? Suspect...
Le vaillant combattant Diomi n'est grand qu'aux yeux de kota et les membres du MuPePe?
Yango MPP ezalaka nango ndoto ya BABA?
Changez strategie. oyo ezo simba te. Raison de plus bato ba repondaka to participaka na thread oyo te
depuis le debut de ce thread, vous ne faites que parler de Diomi. Vous oubliez qu'il n'etait pas le seul a etre arrete. Que sont devenus les autres prevenus arretes avec le seigneur Diomi? Ils ne sont pas importants comme Diomi? Eux, n'ont ils pas aussi droit a la liberte? pourquoi vous n'AVEZ JAMAIS parle d'eux???( collateral damage...?)
Pourquoi Tshisekedi ou l'UDPS n'a jamais parle de ce cas Diomi etant membre "Influent de la mouvance tshisekedist"? Suspect...
Le vaillant combattant Diomi n'est grand qu'aux yeux de kota et les membres du MuPePe?
Yango MPP ezalaka nango ndoto ya BABA?
Changez strategie. oyo ezo simba te. Raison de plus bato ba repondaka to participaka na thread oyo te
zobattants
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://www.scoop.it/t/eugene-diomi-ndongala-prisonier-politique-en-rdc
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Le souhait de «Joseph KABILA» exaucé : Diomi NDONGALA risque de devenir paralysé
par mpp le 3 août 2013
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Le souhait de «Joseph KABILA» exaucé : Diomi NDONGALA risque de devenir paralysé
01/08/2013 15:33:00 kongoTimes!
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image Eugène Diomi Ndongala
Selon Me Sylvain Lumu Mbaya, secrétaire exécutif de la Ligue des Electeurs, le député Eugène Diomi Ndongala est victime d’un harcèlement judicaire de la part du régime en place. " Contrairement à la déclaration faite dernièrement par le ministre des Médias, Communication, relations avec le Parlement, Lambert Mende, l’état de Santé de Diomi Ndongala mérite une attention particulière de la part du gouvernement Kabila ", a affirmé Sylvain Lumu Mbaya. A en croire ce cadre, tout doit être fait afin d’obtenir la libération provisoire de Diomi dont l’état de santé pose un sérieux problème. Son bras droit pose problème à cause des inflammatoires qui lui ont été administrés à la prison centrale de Makala. Cette situation a causé des problèmes au niveau de ses reins et sa colonne vertébrale. Le bras droit de ce proche d’Etienne Tshisekedi tremble comme s’il souffrait de la maladie de parkinson et il ne parvient pas à se tenir débout durant cinq minutes. C’est pourquoi, le médecin du Camp Kokolo a exigé que le cas de ce leader de l’Opposition politique congolaise soit examiné dans une clinique la plus spécialisée de la place, comme le centre Nganda ou l’hôpital Biamba Mutombo, pour faire un bon diagnostic. Mais, le pouvoir en place fait la sourde oreille.
Les représentants des organisations de la société civile de défense et de promotion des droits humains se sont rendus, hier dimanche 28 juillet, à la prison centrale de Makala, dans la commune de Selembao, afin de rendre visite au député Eugène Diomi Ndongala, séquestré et détenu il y a plusieurs mois dans cet établissement pénitentiaire.
Cette délégation a été conduite par Me Sylvain Lumu Mbaya, secrétaire exécutif de la Ligue des Electeurs.
Au terme de leur descente à Makala, la délégation s’est entretenue avec le député Eugène Diomi Ndongala qui, selon elle, est victime d’un harcèlement judicaire de la part du régime en place.
" Contrairement à la déclaration faite dernièrement par le ministre des Médias, Communication, relations avec le Parlement, Lambert Mende, l’état de Santé de Diomi Ndongala mérite une attention particulière de la part du gouvernement Kabila ", a affirmé Sylvain Lumu Mbaya.
A en croire ce cadre, tout doit être fait afin d’obtenir la libération provisoire de Diomi dont l’état de santé pose un sérieux problème.
D’après les informations dont la Tempête des Tropiques s’est procuré la primeur, Diomi serait malade, son bras droit pose problème à cause des inflammatoires qui lui ont été administrés à la prison centrale de Makala.
Cette situation a causé des problèmes au niveau de ses reins et sa colonne vertébrale. Le bras droit de ce proche d’Etienne Tshisekedi tremble comme s’il souffrait de la maladie de parkinson et il ne parvient pas à se tenir débout durant cinq minutes.
C’est pourquoi, le médecin du Camp Kokolo a exigé que le cas de ce leader de l’Opposition politique congolaise soit examiné dans une clinique la plus spécialisée de la place, comme le centre Nganda ou l’hôpital Biamba Mutombo, pour faire un bon diagnostic. Mais, le pouvoir en place fait la sourde oreille.
Après l’interview qu’il a accordée à nos confrères de Rfi, Eugène Diomi Ndongala est surveillé comme un malfrat dans sa cellule située au pavillon I de la prison centrale de Makala.
Pourtant, ce député victime d’un harcèlement judiciaire de la part du gouvernement en place plaide pour la vérité des urnes et l’amélioration des conditions de vie de la population congolaise chosifiée.
Même dans sa cellule de la prison centrale de Makala, Eugène Diomi est toujours sollicité par le régime en place qui veut qu’il abandonne son combat légitime. Mais, l’homme refuse de céder à ces sollicitations.
La délégation des défenseurs des droits humains a été composée de Godé Kalonji de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice(ACAJ), Emmanuel Cole de la Fondation Bill Clinton pour la Paix(FBCP), Philomène Mukekendi de l’Anges du Ciel, Me Jacob Baluishi de l’Ocdh, Me Sylvain Lumu et Marie Lukusa de la Ligue des électeurs, ainsi que des représentants de l’Asadho, CDH et comité Droit de l’homme et Maintenant.
[GKM]
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/6247-souhait-joseph-kabila-exauce-diomi-ndongala-risque-devenir-paralyse-sequestre-detenu-plusieurs-mois-prison-makala-depute-eugene-recoit-visite-defenseurs-droits-homme.html
par mpp le 3 août 2013
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Le souhait de «Joseph KABILA» exaucé : Diomi NDONGALA risque de devenir paralysé
01/08/2013 15:33:00 kongoTimes!
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image Eugène Diomi Ndongala
Selon Me Sylvain Lumu Mbaya, secrétaire exécutif de la Ligue des Electeurs, le député Eugène Diomi Ndongala est victime d’un harcèlement judicaire de la part du régime en place. " Contrairement à la déclaration faite dernièrement par le ministre des Médias, Communication, relations avec le Parlement, Lambert Mende, l’état de Santé de Diomi Ndongala mérite une attention particulière de la part du gouvernement Kabila ", a affirmé Sylvain Lumu Mbaya. A en croire ce cadre, tout doit être fait afin d’obtenir la libération provisoire de Diomi dont l’état de santé pose un sérieux problème. Son bras droit pose problème à cause des inflammatoires qui lui ont été administrés à la prison centrale de Makala. Cette situation a causé des problèmes au niveau de ses reins et sa colonne vertébrale. Le bras droit de ce proche d’Etienne Tshisekedi tremble comme s’il souffrait de la maladie de parkinson et il ne parvient pas à se tenir débout durant cinq minutes. C’est pourquoi, le médecin du Camp Kokolo a exigé que le cas de ce leader de l’Opposition politique congolaise soit examiné dans une clinique la plus spécialisée de la place, comme le centre Nganda ou l’hôpital Biamba Mutombo, pour faire un bon diagnostic. Mais, le pouvoir en place fait la sourde oreille.
Les représentants des organisations de la société civile de défense et de promotion des droits humains se sont rendus, hier dimanche 28 juillet, à la prison centrale de Makala, dans la commune de Selembao, afin de rendre visite au député Eugène Diomi Ndongala, séquestré et détenu il y a plusieurs mois dans cet établissement pénitentiaire.
Cette délégation a été conduite par Me Sylvain Lumu Mbaya, secrétaire exécutif de la Ligue des Electeurs.
Au terme de leur descente à Makala, la délégation s’est entretenue avec le député Eugène Diomi Ndongala qui, selon elle, est victime d’un harcèlement judicaire de la part du régime en place.
" Contrairement à la déclaration faite dernièrement par le ministre des Médias, Communication, relations avec le Parlement, Lambert Mende, l’état de Santé de Diomi Ndongala mérite une attention particulière de la part du gouvernement Kabila ", a affirmé Sylvain Lumu Mbaya.
A en croire ce cadre, tout doit être fait afin d’obtenir la libération provisoire de Diomi dont l’état de santé pose un sérieux problème.
D’après les informations dont la Tempête des Tropiques s’est procuré la primeur, Diomi serait malade, son bras droit pose problème à cause des inflammatoires qui lui ont été administrés à la prison centrale de Makala.
Cette situation a causé des problèmes au niveau de ses reins et sa colonne vertébrale. Le bras droit de ce proche d’Etienne Tshisekedi tremble comme s’il souffrait de la maladie de parkinson et il ne parvient pas à se tenir débout durant cinq minutes.
C’est pourquoi, le médecin du Camp Kokolo a exigé que le cas de ce leader de l’Opposition politique congolaise soit examiné dans une clinique la plus spécialisée de la place, comme le centre Nganda ou l’hôpital Biamba Mutombo, pour faire un bon diagnostic. Mais, le pouvoir en place fait la sourde oreille.
Après l’interview qu’il a accordée à nos confrères de Rfi, Eugène Diomi Ndongala est surveillé comme un malfrat dans sa cellule située au pavillon I de la prison centrale de Makala.
Pourtant, ce député victime d’un harcèlement judiciaire de la part du gouvernement en place plaide pour la vérité des urnes et l’amélioration des conditions de vie de la population congolaise chosifiée.
Même dans sa cellule de la prison centrale de Makala, Eugène Diomi est toujours sollicité par le régime en place qui veut qu’il abandonne son combat légitime. Mais, l’homme refuse de céder à ces sollicitations.
La délégation des défenseurs des droits humains a été composée de Godé Kalonji de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice(ACAJ), Emmanuel Cole de la Fondation Bill Clinton pour la Paix(FBCP), Philomène Mukekendi de l’Anges du Ciel, Me Jacob Baluishi de l’Ocdh, Me Sylvain Lumu et Marie Lukusa de la Ligue des électeurs, ainsi que des représentants de l’Asadho, CDH et comité Droit de l’homme et Maintenant.
[GKM]
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
INTERVIEW AVEC PATRIZIA DIOMI NDONGALA: DIKTATS POLITIQUES POUR TORTURER ET EXECUTER DIOMI AU CPRK
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
par Philippe Pasteur Kabongo-Mbaya
Organisateur de la pétition
Chères amies, chers amis, je vous remercie de tout cœur. Nous près de 700 a avoir signé cette pétition. En le faisant, vous avez confirmé votre sens de justice, votre sollicitude envers Eugène Diomi Ndongala, votre attachement aux valeurs de la démocratie, et simplement le sens de votre propre dignité. Que Dieu vous bénisse. Nous devons atteindre notre objectif de 1000 signatures et nous y arriverons grâce à vous. Faites connaitre cette pétition autours de vous. Car "séquestré", comme il le dit par un pouvoir illégitime et inique, Eugène Diomi Ndongala est aussi gravement malade et ne peut aujourd'hui compter que sur des femmes et des hommes de votre qualité. Oui, que Dieu vous bénisse parmi les gens de Bien et qui sont bienfaisant.
http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/sauvons-eug%C3%A8ne-diomi-ndongala-respect-de-la-d%C3%A9cision-de-la-cour-supr%C3%AAme-de-justice-de-la-rdc?utm_campaign=friend_inviter_chat&utm_medium=facebook&utm_source=share_petition&utm_term=permissions_dialog_true
KOTA
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