EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Diomi Ndongala porte plainte contre la RDC auprès du CDH des Nations Unies / LE POTENTIEL
par FreeDiomi le 30 septembre 2014
par FreeDiomi le 30 septembre 2014
Diomi Ndongala porte plainte contre la RDC auprès du CDH des Nations Unies
Publié le 30 septembre 2014Écrit par Donatien Ngandu Mupompa
Violation des droits fondamentaux
En quête de justice, le prisonnier Eugène Diomi Ndongala a déposé plainte contre la République démocratique du Congo auprès du Comité des droits de l’Homme des Nations unies à Genève pour violation de ses droits fondamentaux.Hier lundi 29 septembre, l’ONGDH « Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) a tenu un point de presse à son siège pour faire part de la plainte que vient d’introduire le prisonnier Eugène Diomi Ndongala, président du parti politique « Démocratie Chrétienne », contre la République démocratique du Congo auprès du Comité des droits de l’Homme des Nations unies, pour violation de ses droits fondamentaux.
Relatant les faits, le président de l’ACAJ, Me Georges Kapiamba a commencé par relever que le 26 mars 2014, la Cour suprême de justice a, en violation de la loi n° 13/010 du 19 février 2013 relative à la procédure devant la Cour de cassation et celle n°13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétences des juridictions de l’ordre judiciaire ainsi que des garanties d’un procès équitable, condamné M. Eugène Diomi Ndongala à la peine de dix ans de prison ferme. La Cour l’a jugé et condamné, en siégeant à cinq juges au lieu de sept, et sans qu’il ait eu possibilité de se faire assister de ses conseils.
Il a renchéri : « Cette condamnation est intervenue après qu’il ait été enlevé le 27 juin 2012 par des agents des services de sécurité alors qu’il se rendait à une cérémonie de signature de la charte du regroupement politique de l’opposition dénommée ’’Majorité populaire’’ prévue à la cathédrale Notre-Dame du Congo à Kinshasa, et détenu au secret pendant trois mois et treize jours. Pendant trois mois et treize jours de cette détention, il fut interrogé notamment sur sa relation avec M. Etienne Tshisekedi, président de l’UDPS et sur la prétendue « récupération de l’impérium » après les élections de novembre 2011, qu’il continuait à contester ».
L’intervenant a aussi souligné que les différentes plaintes adressées aux autorités judiciaires compétentes, contre inconnus, pour enlèvement et détention au secret n’ont jamais été instruites. Le 27 décembre 2013, il fut arraché brutalement de son lit d’hospitalisation de la clinique Ngaliema par des hommes en uniforme de la police et retourné dans sa cellule de la prison de Makala alors qu’il venait d’y être admis, en urgence, pour des examens et soins médicaux de suite d’un accident vasculaire cérébrale.
Les appels à sa libération, à une enquête indépendante et au respect de son droit aux soins médicaux appropriés, lancés par plusieurs organisations gouvernementales internationales ainsi que des organisations non gouvernementales des droits de l’Homme furent ignorés par les autorités congolaises.
C’est pourquoi, avec l’assistance de l’ACAJ, M. Diomi Ndongala a déposé depuis quatre jours une plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’Homme des Nations unies à Genève, en Suisse, pour violation des droits fondamentaux garantis par les articles 9[1], 10[2] et 14[3] du Pacte international relatif aux droits civils et politiques que la RDC a déjà ratifié.
Il demande au comité qu’il constate ces violations et exige de la RDC d’annuler la condamnation de la Cour suprême de justice prononcée sous RP. 014/CR et qu’il soit remis en liberté ; qu’il lui paye une réparation adéquate pour les dommages subis des suites de son enlèvement, sa détention au secret, la privation de soins de santé et sa condamnation; qu’il reconnaisse publiquement ces violations des droits fondamentaux et lui présente solennellement des excuses.
Aussi, Diomi Ndongala prie-t-il le Comité des droits de l’Homme de demander à la RDC de s’engager à ce que ce genre de violations ne se reproduisent plus; et qu’elle indique des dispositions concrètes qu’elle va prendre afin de faire cesser les atteintes répétées à l’indépendance du Pouvoir judiciaire.
Mandat du Comité des droits de l’Homme
Le Comité des droits de l’Homme est un organe conventionnel des Nations unies. Il est établi en vertu de l’article 28 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Il est composé de 18 membres appelés « Experts », qui sont des personnalités de haute moralité et possédant une expérience juridique, acquise en tant que juristes, magistrats ou universitaires ainsi que dans le domaine des droits de l’homme. Ils sont élus par l’Assemblée générale des Nations unies. Le secrétariat du comité est assuré par le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies et il est basé au Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme à Genève (Suisse).Le comité a pour tâche de surveiller et de contrôler l’application des obligations incombant aux Etats parties en vertu du Pacte. Il a quatre fonctions, à savoir recevoir et examiner les rapports des Etats parties sur les mesures qu’ils ont prises pour donner effet aux droits énoncés dans le Pacte ; émettre des observations dites générales où sont analysées dans le détail les obligations de fond et de procédure qui incombent aux Etats parties, pour les aider à donner effet aux dispositions du Pacte ; recevoir et examiner des plaintes, également appelées « communications », émanant des particuliers qui affirment être victimes d’une violation par un Etat partie des droits qui leur sont reconnus dans le Pacte ; examiner certaines plaintes émanant d’un Etat partie qui prétend qu’un autre Etat partie ne s’acquitte pas des obligations qu’il a contractées en vertu du Pacte.
La RDC ayant déjà ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi que son premier Protocole facultatif, a l’obligation internationale de se soumettre aux décisions prises par le Comité des droits de l’Homme et les exécuter sans réserve. C’est d’ailleurs en exécution de cette obligation que la RDC avait appliqué la décision du Comité des droits de l’homme lui prescrivant la réhabilitation de 315 magistrats qu’elle avait irrégulièrement révoqués.
http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=10915:diomi-ndongala-porte-plainte-contre-la-rdc-aupres-du-cdh-des-nations-unies&catid=88:sociale&Itemid=514
http://democratiechretienne.org/2014/09/30/diomi-ndongala-porte-plainte-contre-la-rdc-aupres-du-cdh-des-nations-unies-le-potentiel/
KOTA
DIOMI NDONGALA PORTE PLAINTE CONTRE L’ETAT CONGOLAIS / LE PALMARES
[img(600.8px,673.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/09/palmares1-001.jpg?w=860&h=584[/img] [img(600.8px,701.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/09/palmares2-001.jpg?w=872&h=578[/img]
http://democratiechretienne.org/2014/09/30/diomi-ndongala-porte-plainte-contre-letat-congolais-le-palmares/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://democratiechretienne.org/2014/09/30/diomi-traine-letat-congolais-en-justice-lobjectif/
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
BBC: LE COMITE DES DROITS DE L’HOMME DE GENEVE RECONNAIT AVOIR RECU LA PLAINTE DE L’OPPOSANT CONGOLAIS EUGENE DIOMI NDONGALA
par FreeDiomi le 1 octobre 2014
Diomi Ndongala en appelle à l’ONU
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M.Ndongala espère que le Comité des droits de l’Homme de l’ONU pourra annuler sa peine.
Un opposant condamné à dix ans de prison pour viols sur mineures en République démocratique du Congo a déposé une plainte devant le Comité des droits de l’Homme de l’ONU.
Eugène Diomi Ndongala espère que cette instance internationale pourra annuler sa peine.
Dans un communiqué, l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) indique que l’intéressé veut faire reconnaître la "violation des droits fondamentaux" dont il dit avoir été victime.
http://democratiechretienne.org/2014/10/01/bbc-le-comite-des-droits-de-lhomme-de-geneve-reconnait-avoir-recu-la-plinte-de-lopposant-congolais-eugene-diomi-ndongala/
par FreeDiomi le 1 octobre 2014
Diomi Ndongala en appelle à l’ONU
- 30 septembre 2014
Partager
M.Ndongala espère que le Comité des droits de l’Homme de l’ONU pourra annuler sa peine.
Un opposant condamné à dix ans de prison pour viols sur mineures en République démocratique du Congo a déposé une plainte devant le Comité des droits de l’Homme de l’ONU.
Eugène Diomi Ndongala espère que cette instance internationale pourra annuler sa peine.
Dans un communiqué, l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) indique que l’intéressé veut faire reconnaître la "violation des droits fondamentaux" dont il dit avoir été victime.
Le Bureau des droits de l’Homme de l’ONU à Genève a confirmé avoir reçu la plainte.
Il est compétent pour examiner les plaintes de particuliers qui ont épuisé tous les recours disponibles dans leur pays.http://democratiechretienne.org/2014/10/01/bbc-le-comite-des-droits-de-lhomme-de-geneve-reconnait-avoir-recu-la-plinte-de-lopposant-congolais-eugene-diomi-ndongala/
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Diomi Ndongala se tourne vers la justice internationale -
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Eugène Diomi Ndongala a déposé il y a quatre jours, une plainte contre la RDC, au siège du Comité des droits de l’homme des Nations Unies, à Genève. Dans sa plainte, il demande à cet organisme international de constater qu’il a été victime à plusieurs reprises, de violations de la dignité de la personne humaine dans le chef des autorités congolaises. Il dénonce le caractère discriminatoire de la Justice congolaise par son refus de protéger les droits des êtres humains. Sa plainte vise également à faire constater que les autorités congolaises avaient ignoré tous les appels à sa libération, à une enquête indépendante et au respect de son droit aux soins médicaux appropriés, qui étaient lancés par plusieurs organisations non gouvernementales, ainsi que des organisations gouvernementales internationales des droits de l’homme. Les différentes plaintes adressées aux autorités compétentes par lui contre inconnus pour son enlèvement et sa détention au secret n’ont jamais été instruites, a fait savoir Me Georges Kapiamba, président de l’ACAJ, au cours d’un point de presse qu’il a organisé hier, lundi 29 septembre 2014, à la Gombe. Il a rappelé que le 27 décembre 2013, le prévenu Diomi Ndongala a été arraché brutalement de son lit de malade de la clinique Ngaliema par des hommes en uniforme de la police pour être acheminé dans sa cellule de la Prison centrale de Makala, alors qu’il venait d’y être admis en urgence pour des examens et soins médicaux de suites d’un accident vasculaire cérébrale. Le 26 mars 2014, la Cour Suprême de Justice a, en violation des lois n°13/010 du 19 février 2013 relative à la procédure devant la Cour de cassation et n°13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétences des juridictions de l’ordre judiciaire, ainsi que des garanties d’un procès équitable, avait condamné à 10 ans de prison ferme le président de la Démocratie Chrétienne (DC). Cette cour l’avait jugé tout en siégeant avec cinq juges au lieu de sept et sans qu’on ne lui ait donné la possibilité de se faire assister de ses conseils. Cette condamnation est intervenue, a indiqué Me Kapiamba après qu’il ait été enlevé le 27 juin 2012 par des agents de services de sécurité, alors qu’il se rendait à une cérémonie de signature de la charte du regroupement politique de l’opposition dénommée « Majorité populaire » prévue à la Cathédrale Notre Dame du Congo à Kinshasa, et détenu au secret trois mois et treize jours. Pendant cette détention, il a été interrogé sur sa relation avec Etienne Tshisekedi, président de l’UDPS et sur la prétendue récupération de l’impérium, après les élections de novembre 2011 qu’il continuait à contester, a martelé Me Georges Kapiamba. C’est pour cette raison que l’ACAJ et Diomi Ndongala, ont déposé une plainte contre la RDC au niveau international et exigent l’annulation du jugement prononcé sous RP 014/CR par la CSJ contre Diomi Ndongala, qu’il soit remis en liberté et qu’il soit dédommagé, afin de réparer tous les préjudices subis de suites de son enlèvement, sa détention au secret, la privation de soins de santé et sa condamnation, reconnaitre publiquement ces violations des droits fondamentaux et de lui présenter solennellement des excuses, s’engager à ce que ce genre des violations ne se reproduisent plus, indiquer des dispositions concrètes qu’elle va prendre, afin de faire cesser les atteintes répétées à l’indépendance du pouvoir judiciaire. En guise de rappel, le Comité des droits de l’homme est un organe conventionnel des Nations Unies, établi en vertu de l’article 28 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Il est composé de 18 membres appelés « experts », qui sont des personnalités de haute moralité et possédant une expérience juridique, acquise en tant que juristes, magistrats ou universitaires, ainsi que dans le domaine des droits de l’homme. Ils sont élus par l’Assemblée générale des Nations unies. Le secrétariat de ce comité est assuré par le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies et est basé au Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève. Le comité des droits de l’homme a pour tâche de surveiller et de contrôler l’application des obligations incombant aux Etats parties en vertu dudit pacte. Ses quatre fonctions sont, recevoir et examiner les rapports des Etats parties sur les mesures qu’ils ont prises pour donner effet aux droits énoncés dans le pacte, émettre des observations dites générales ou qui sont analysées dans les détails, les obligations de fond et de procédure qui incombent aux Etats parties pour les aider à donner effet aux dispositions du pacte, etc. Il y a lieu de signaler que comme la RDC a déjà ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ainsi que son premier protocole facultatif, elle a l’obligation internationale de se soumettre aux décisions prises par le comité des droits de l’homme et les exécuter sans réserve. C’est en exécution de cette obligation que la RDC avait appliqué la décision du Comité des droits de l’homme de Nations Unies lui prescrivant la réhabilitation des 315 magistrats qu’elle avait irrégulièrement révoqués.
MURIEL KADIMA/LP -
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Panic à la Kabilie : DIOMI saisit la justice internationale / KONGOTIMES
par FreeDiomi le 4 octobre 2014
Eugène DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
Le député national Diomi Ndongala, avec l’assistance de l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj), a déposé en début du week-end une plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’Homme des Nations unies. Cet opposant reproche au pays la violation des droits fondamentaux lui garantis par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques que la RDC a déjà ratifié.
Diomi Ndongala et l’Acaj ont annexé à cette plainte près de trois cents pièces justifiant l’épuisement de toutes les voies de recours au niveau du pays. Parmi les documents joints à cette plainte, il y a notamment, selon Me Georges Kapiamba, des preuves sur le vice de procédure lors de différentes audiences du procès, sur son enlèvement et son incarcération au secret, sur le déni de soins de santé, sur la non-prise de compte de différents recours et appels interjetés, etc. « Les différentes plaintes adressées aux autorités judiciaires compétentes, contre inconnus, pour enlèvement et détention au secret n’ont jamais été instruites.
Le 27 décembre 2013, il fut brutalement arraché de son lit d’hospitalisation de la clinique Ngaliema par des hommes en uniforme de la police et retourné dans sa cellule de la prison de Makala alors qu’il venait d’y être admis, en urgence, pour des examens et soins médicaux de suite d’un accident vasculaire cérébrale. Les appels à sa libération, à une enquête indépendante et au respect de son droit aux soins médicaux appropriés, lancés par plusieurs organisations gouvernementales internationales ainsi que des ONG des droits de l’Homme furent ignorés par les autorités congolaises », a soutenu le président de l’Acaj, justifiant cette saisine du Comité des droits de l’Homme de l’ONU.
Pour ce juriste, en effet, « c’est une plainte importante par rapport à la période que le pays est en train de traverser au cours de laquelle il y a des contestations politiques et la tentative de la révision constitutionnelle ». À en croire le président de l’Acaj qui pense que cette action ainsi que la décision du Comité des droits de l’Homme devront également jouer un rôle pédagogique, si les Nations unies ne prennent pas leur responsabilité pour rappeler la RDC à l’ordre, on assistera, d’ici l’année prochaine, « à la condamnation des opposants à de lourdes peines de prison ».
par FreeDiomi le 4 octobre 2014
Panic à la Kabilie : DIOMI saisit la justice internationale
03/10/2014 14:42:00 KongoTimes!
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Eugène DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
Le député national Diomi Ndongala, avec l’assistance de l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj), a déposé en début du week-end une plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’Homme des Nations unies. Cet opposant reproche au pays la violation des droits fondamentaux lui garantis par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques que la RDC a déjà ratifié.
Diomi Ndongala et l’Acaj ont annexé à cette plainte près de trois cents pièces justifiant l’épuisement de toutes les voies de recours au niveau du pays. Parmi les documents joints à cette plainte, il y a notamment, selon Me Georges Kapiamba, des preuves sur le vice de procédure lors de différentes audiences du procès, sur son enlèvement et son incarcération au secret, sur le déni de soins de santé, sur la non-prise de compte de différents recours et appels interjetés, etc. « Les différentes plaintes adressées aux autorités judiciaires compétentes, contre inconnus, pour enlèvement et détention au secret n’ont jamais été instruites.
Le 27 décembre 2013, il fut brutalement arraché de son lit d’hospitalisation de la clinique Ngaliema par des hommes en uniforme de la police et retourné dans sa cellule de la prison de Makala alors qu’il venait d’y être admis, en urgence, pour des examens et soins médicaux de suite d’un accident vasculaire cérébrale. Les appels à sa libération, à une enquête indépendante et au respect de son droit aux soins médicaux appropriés, lancés par plusieurs organisations gouvernementales internationales ainsi que des ONG des droits de l’Homme furent ignorés par les autorités congolaises », a soutenu le président de l’Acaj, justifiant cette saisine du Comité des droits de l’Homme de l’ONU.
Pour ce juriste, en effet, « c’est une plainte importante par rapport à la période que le pays est en train de traverser au cours de laquelle il y a des contestations politiques et la tentative de la révision constitutionnelle ». À en croire le président de l’Acaj qui pense que cette action ainsi que la décision du Comité des droits de l’Homme devront également jouer un rôle pédagogique, si les Nations unies ne prennent pas leur responsabilité pour rappeler la RDC à l’ordre, on assistera, d’ici l’année prochaine, « à la condamnation des opposants à de lourdes peines de prison ».
Conférence de presse
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http://afrique.kongotimes.info/rdc/justice/8245-panic-kabilie-diomi-saisit-justice-internationale-portant-plainte-contre-rdc.html
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Coup de massue politique: Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne clame "Nous irons jusqu’au bout avec la plainte du Président Diomi Ndongala contre le régime Kabila" /REVAIL FM
le 7 octobre 2014
Coup de massue politique: Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne clame "Nous irons jusqu’au bout avec la plainte du Président Diomi Ndongala contre le régime Kabila "
06 octobre 2014 | Par reveilfm
Coup de massue politique: Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne clame "Nous irons jusqu’au bout avec la plainte du Président Eugène Diomi Ndongala contre la République démocratique du Congo "Par Freddy Mulongo, lundi 6 octobre 2014 Radio Réveil FM International
DIOMI ET TSHISEKEDI A LA MESSE DE LA MPP
Député national élu Eugène Diomi Ndongala, président de Démocratie Chrétienne,
avec l’assistance de l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj),
a déposé fin septembre dernier une plainte contre la RDC auprès du Comité des
droits de l’Homme des Nations unies à Genève.
Si les partis alimentaires, digestifs et mangéristes alliés au régime des Dinosaures Mobutistes et Mammouths Joséphistes à Kinshasa n’ont aucune stratégie politique, la Démocratie Chrétienne (DC), parti d’ Eugène Diomi Ndongala vient de prouver à l’opinion nationale et internationale, qu’il est plein des stratèges. "Kibota" !
Coup de massue politique face au régime tortionnaire et sanguinaire de Kinshasa.
Les poiticards-politicailleurs-ventripotents-godillots habitués à se gratter le ventre, se curer les dents et à se pavaner et se cancaner dans leurs grosses 4X4, au lieu de s’occuper du bien être de la population congolaise n’ont rien vu venir ! Quant à l’ANR, la Gestapo d’alias Joseph Kabila qui a la mauvaise habitude d’emprisonner abusivement les acteurs politiques de l’opposition pour mieux les faire taire, elle a été bien dribblée. Depuis treize ans qu’alias Joseph Kabila trône par défi en République démocratique du Congo, son régime sanguinaire a excellé dans les atteintes massives et le non respect des droits de l’homme. Les illégitimes autorités congolaises s’assoient sur les droits de l’homme.
En effet, depuis fin septembre dernier, Monsieur Eugène Diomi Ndongala, député élu qui a renoncé à ses émoluments et refuser de sièger à l’Assemblée nationale acquis à alias Joseph Kabila, est arbitrairement emprisonné par un coup fourré monté de toute pièce par l’ANR, la Gestapo d’alias Joseph Kabila, elle vient encore une fois de le prouver les renseignements au Congo-Kinshasa n’ont qu’un seul objectif: traquer ceux qui empêchent alias Joseph Kabila, l’incapacitaire de Kingakati de dormir sur ses deux oreilles, pas plus. Or les renseignements, c’est l’Etat, ses institutions, des infrastructures, tous les citoyens et territoire que l’on protège pas uniquement un autocrate sanguinaire.
Freddy Kita, le Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne,
parti cher à Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique personnel d
'alias Joseph Kabila. Photo Réveil FM International
Freddy Kita, le Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne (DC) a pris son bâton de pèlerin, il parcourt le monde pour dénoncer l’arrestation abusive et arbitraire dont est victime son président Eugène Diomi Ndongala. La stratégie d’agir à l’intérieur de la République démocratique du Congo par le canal des avocats et que la deuxième personnalité du parti soit à l’extérieure de la RDC pour agir en porte-voix, commence à porter ses fruits.
En Occident, Eugène Diomi Ndongala est de plus en plus considéré comme le prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila. Le régime de Kinshasa avec ses fraudes électorales, habitué aux hold-up électoraux mais aussi au tripatouillage constitutionnel pour maintenir par défi en toute illégitimité, doit maintenant compter avec la plainte d’ Eugène Diomi Ndongala aux Nations unies à Genève. Pour Freddy Kita "Nous irons jusqu’au bout avec la plainte du Président Eugène Diomi Ndongala contre la République démocratique du Congo". Eugène Diomi Ndongala considère qu’au niveau de la République démocratique du Congo, tout a été fait pour l’empêcher de bénéficier de la justice a saisi le Comité des droits de l’Homme des Nations unies. Le prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila reproche au régime d’usurpation la violation des droits fondamentaux lui garantis par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques que la RDC a déjà ratifié.
Eugène Diomi Ndongala est le fils de Gaston Diomi Ndongala Mudietu, un acteur politique et pionnier de l’indépendance de la République démocratique du Congo obtenue le 30 juin 1960.
Gaston Diomi Ndongala Midietu (Mbokamosika)
Abotami na 08 août 1922 na Léopoldville. Atangi na Institut Saint Joseph na Léopoldville mpe sima akeyi na petit séminaire ya Kolo mpe sima akeyi ko continuer mpe kosilisa secondaire na Ecole ya agriculture na Kisantu.
Akoti na Ecole ya Assistance Médicale Indigènes ya Léopoldville na 1943. Neti ezalaki période ya grande guerre, azalaki na Force publique na campagne ya Birmanie na deux ans ya stage alekisaki na kati ya Force publique.
Na 1946, azui diplôme na ye ya Assistant médical.
Na 1947, azui mosala na Baningville (Bandundu, ville)
Na 1952, azui carte ya mérite civique.
Na 1952, azui mutation na Mushie.
Na 1953, azongi na Léopoldville.
Kobanda 1954 tee na 1958, abandi kokoma na ba journaux La Voix du Congolais na La Croix du Congolais.
Na juin 1956, azali kati na baye bakomi Manifeste de la Conscience Africaine.
Kati na 1955 tee na 1957, azali membre ya conseil ya Cité indigène, membre ya Comité ya Fonds Reine Elisabeth pour l’Assistance Médicale aux Indigènes au Congo belge (FO.RE.MI.)
1955 tee na 1960, Président ya Mutualité Chrétienne.
Na 1956 tee na 1957, membre ya Comité ya admission ya bana batu moindo na ba écoles ya mindele
Na 1957 tee na 1959, Président ya Triennat, membre ya Conseil de ville ya Léopoldville, membre ya Conseil ya province ya Léopoldville.
Na janvier 1958 tee na juin 1960, alongi na ba élections communale ya 1958 mpe akomi Bourgoumestre ya Ngiri-Ngiri.
Na août 1958, azali kati na batu zomi na motoba ba signer mémorandum des seize Membre ya bureau provisoire ya M.N.C. na création na yango.
Na décembre 1958, azali na Conférence ya Rassemblement des Peuples Africain, na Accra.
Na 12 janvier 1959, mundele alongoli ye Bourgoumestre ya Ngiri Ngiri mpe akangami suite na ba événements ya 04 janvier 1959 (martyrs de l’indépendance) Na janvier 1960, azongeli ebonga na ye ya Bourgoumestre. Sima mikolo, keyi na Conférence ya Rassemblement des Peuples Africain, na Tunis.
Aponami na ba élections ya mai 1960, Conseiller provincial ya Léopoldville na liste ya Alliance des Ba Kongo (A.BA.KO).
Na 3 Juin 1960, Vice-président ya Gouvernement ya Léopoldville.
Na 11 juin 1960 tee na 29 juin 1960, Président ya province ya Léopoldville.
Na 1963, akomi Commissaire général extraordinaire mpo na provincette ya Sankuru.
Na octobre 1965, aponami Sénateur national.
Na 1967 tee na 1972, Président ya Compagnie Maritime Congolaise (C.M.C.). awa nde ba bateaux minene etekemaka mingi : na 1967, « Charlesville » ; na 1968, «Elisabethville» ; 1973, « Albertville » na « Léopoldville » oyo eyaki kokoma « P.E. Lumumba ».
Na 1970 tee na 1975, Président ya Conseil d’administration ya Compagnie Générale de Produits Chimiques et Pharmaceutiques du Congo (CO.PHA.CO).
Na novembre 1970, aponami Député national ya circonscription ya Funa, na Kinshasa.
Wuta 1974 tee na 1979, Président ya Conseil d’administration ya Tuileries et Briqueteries de Kinshasa (BRI.KIN) ; Président ya Conseil d’administration ya Siemens-Zaïre.
Na 1974, na faveur ya Zaïrianisation, akomi Délégué général ya Société Papadimitrious, Administrateur na compagnie Jules Van Lancker (J.V.L.), Président ya Conseil d’administration ya La Zaïroise de Gestion et de Réalisation Immobilières (ZAI.REAL.), Administrateur Directeur général ya Société Diomi-Import, Gestionnaire principal ya ba Etablissements Diogas.
Na novembre 1975, aponami Commissaire du peuple ya circonscription ya Funa, na Kinshasa.
Na octobre 1977, aponami lisusu Commissaire du peuple ya circonscription ya Funa, na Kinshasa.
N.B. ba élections législatives esalemaki na 1977 suite na discours présidentiel ya juillet 1977, oyo esakolaki démocratisation ya M.P.R., une décentralisation ya pouvoir mpe na création ya poste ya Premier Commissaire d’Etat (Premier Ministre), coordonnateur ya action ya gouvernement. Na cadre oyo nde, ba élections générales esalemaki.
Na 1982, aponami lisusu Commissaire du peuple ya circonscription ya Funa, na Kinshasa.
Azali mpe Président ya groupe national ya Union des parlementaires africains, membre ya Rotary Club international; groupe l’Association des Cadres et Dirigeants Catholiques des Entreprises au Congo, Union Internationale des Associations Patronales Catholiques, Section Zaire (CADICEC-UNIAPAC / Zaïre), membre ya Ordre ya Rose-Croix.
Na ba distinctions honorifiques : Chevalier ya Ordre de la Couronne belge, Commandeur ya Ordre national ya Léopard na médaille de mérite agricole ya Zaïre.
Diomi Ndongala awe na mokolo mua 16 octobre 1985, na Kinshasa.
Un gouvernement responsable fait très attention que ses propres citoyens ne l’accuse pas ailleurs. A Genève, c’est le régime des applaudisseurs-jouisseurs de Kinshasa qui sera déballé. Quelque en soit l’issue la République démocratique du Congo ne sortira pas grandit de cette épreuve que va lui infliger l’un des dignes fils du Congo: Eugène Diomi Ndongala. Déjà ternie par des multiples atteintes au non respect des droits humains, l’image du régime qui gouverne par défi, sans aucune légitimité et en toute impunité, va s’écorner davantage.
Freddy Mulongo
http://blogs.mediapart.fr/blog/reveilfm/061014/coup-de-massue-politique-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-clame-nous-irons-jusquau-bout-avec
http://democratiechretienne.org/2014/10/07/coup-de-massue-politique-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-clame-nous-irons-jusquau-bout-avec-la-plainte-du-president-diomi-ndongala-contre-le-regime-kabila-revail-fm/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LA PAROLE PROPHETIQUE DE JEAN PIERRE MBELU SUR MAMADOU NDALA, L’EGLISE ET LE COMBAT DE DIOMI NDONGALA / VIDEO
par FreeDiomi le 7 octobre 2014Jean-Pierre Mbelu: le rôle prophétique de l’église et des intellectuels au Congo.
http://democratiechretienne.org/2014/10/07/la-parole-prophetique-de-jean-pierre-mbelu-sur-mamadou-ndala-leglise-et-le-combat-de-diomi-ndongala-video/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
EXTRAIT TIRE DE INGETA.COM
"Sur Diomi Ndongala et l’Etat congolais
Quand Diomi Ndongala décide de traduire l’Etat congolais en justice, ce n’est pas un acte de désespoir, c’est la continuation d’une lutte. Diomi est tombé victime de la théâtralisation de la politique. Plusieurs d’entre nous devons travailler pour faire la part des choses entre la politique théâtre, ce qui se joue chez nous depuis la guerre de l’AFDL, et la politique « politique », l’art de l’échange, du déba...t et du conflit maîtrisé pour un vivre ensemble partagé dans la paix. C’est à cela que nous devons tendre mais nous avons des difficultés. Parce que nous avons des proxies qui occupent le pays avec la complicité de l’ONU.
Si nous faisons pas la part des choses entre les élites compradores, qui opèrent à partir du Congo et qui font partie de l’ordre dominant, et les congolais qui aiment la politique politique, on risque de passer à côté de la plaque.
Vous qui, à travers le monde, pensez défendre le droit, la justice et la démocratie, je vous demande de dire si dire le droit aujourd’hui, dans un monde néolibéralisé organisant la guerre de tous contre tous, est encore possible. Tel est le sens de la requête de Diomi Ndongala....."
http://www.ingeta.com/congolais-arretons-de-croire-dans-la…/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
MON FRÈRE DIOMI JE VIENS TE CHERCHER / REDACTEUR DE L’ATLANTIQUE DU NORD
par FreeDiomi le 11 octobre 2014
par FreeDiomi le 11 octobre 2014
MON FRÈRE DIOMI
JE VIENS TE CHERCHER
[img(397.79999999999995px,163.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/encrier-du-redacteur-de-l-atlantique-du-nord.jpg?w=597&h=246[/img]
:
Mon frère Eugène Diomi
Je viens te chercher
[img(271.79999999999995px,361.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/diomi-dc.jpg?w=620[/img]
Mon frère Diomi Eugène,
Celui qui te garde prisonnier sa maison se fissure
L’oiseau qui me parle de ta captivité tous les jours
Me redis comme Malory à son amour Rochereau
Que la toiture du bourreau se dégrade de ses tuiles
Il y en a qui lui tombent en plein sur le front,
Le bourreau ne dort plus du sommeil de paix
Ses yeux sont enflammés de rouge ocre et noir
Sa vie est un cauchemar, il sait qu’en chemin
Les pas qu’il entend, ce sont les pas de Djamba.
[img(473.79999999999995px,208.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/diomi-proces.jpg?w=620[/img]
Mon frère Diomi Eugène,
Tient bon comme l’avait fait ton père en Birmanie
Il était avec Lundula des socles de British Army
Latin, Celtes, Belges, Congolais, ils l’étaient.
Quoi donc ? Avoir un brave père un oncle fort :
C’est un devoir d’actualité plus que mémoriel.
Il va falloir que de ta captivité, tu rayonnes
Puisque les prisonniers de la justice brillent
Ils ont la lampe du droit et la lumière de vie.
Avant demain, je te vois libre, fier et souverain.
[img(382.79999999999995px,510.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/gaston-diomi.jpg?w=620[/img]
Mon frère Diomi Eugène,
Ne te laisse pas fondre par l’obscurité des murs,
L’homme sombre qui est lugubre en ses pensées
Par l’orgueil et l’arrogance a cru claustrer la vérité
C’est chimère que de croire à l’arrestation du vent.
Le vent, l’air et le temps ne suspendent pas leur vol.
Dans le réduis de ce cachot des murs de Makala,
Le geôlier ne sait pas qu’en tout temps tu es libre
Et par toutes les grâces mystiques j’y viens te voir :
Je n’en dis pas trop, ils vont profaner notre secret.
[img(301.79999999999995px,402.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/djamba-jose.jpg?w=620[/img]
Mon frère Diomi Eugène
Celui qui te garde ne garde rien car sa garde est molle
Dans le sein de ta chambre carcérale tu vois l’au-delà
Cette lisière que seul celui qui s’appelle Diomi Eugène voit.
Comment ? La mystique de ton héritage t’a pourvu des dons
Je veux dire cette vertu d’être Eugène donc : propre
Et par-dessus tout tu es destiné à briser les chaînes.
Jamais personne dans les légendes de Luila, Madimba
Comme je le sais n’a su courber l’échine de Mudietu.
C’est dommage que Luambo L’Okanga est mort.
Lui, il connait le secret des Madimbadiens.
[img(343.79999999999995px,399.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/liberez-diomi-2.jpg?w=620[/img]
Mon frère Diomi Eugène
Lorsque l’Éternel ne garde la ville, celui qui la garde
C’est en vain qu’il veille, il est aveugle d’un mirage béant.
Ressaisis-toi comme Samson et attend ton l’heure
Ce moment que ta force va détacher les verrouillages.
Je ne suis pas dupe de l’instant qui te vient en visite
Tu vas faire fuir les mercenaires à ta porte d’entrée
Tout Selembao viendra t’acclamer à ta sortie des fers
Je serais là pour repartir avec toi vers les sourires
Dans ces lieux de famille desquels j’entends ta mère :
Elle dit : ‘’Diomi Mwana me vumbukidi’’. Ah ! Kiesse …
http://democratiechretienne.org/2014/10/11/mon-frere-diomi-je-viens-te-chercher-redacteur-de-latlantique-du-nord/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
[img(569.8px,199.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/capture141014.jpg?w=729&h=380[/img]
COMMUNIQUE DE PRESSE N° 14/ACAJ/2014 -« Le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a notifié à la RDC des mesures conservatoires dans l’intérêt de M. Eugène DIOMI NDONGALA »
14 octobre 201414 octobre 2014 droits civils et politiques, DROITS DE L'HOMME, RDC EUGENE DIOMI NDONGALA
COMMUNIQUE DE PRESSE N° 14/ACAJ/2014
« Le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a notifié à la RDC des mesures conservatoires dans l’intérêt de M. Eugène DIOMI NDONGALA »
Kinshasa, le 15 octobre 2014 – L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) se félicite des mesures conservatoires prises par le Comité des droits de l’homme des Nations Unies dans l’affaire qui oppose M. Eugène DIOMI NDONGALA à la République démocratique du Congo.
Le 8 octobre 2014, le Comité a, en application de l’article 92 de son règlement intérieur, demandé au Gouvernement de la RDC « de prendre en compte l’état de santé de M. Eugène DIOMI NDONGALA et toutes les mesures nécessaires pour lui fournir une assistance médicale appropriée afin d’éviter un préjudice irréparable à sa santé ».
Le Comité lui a aussi transmis la plainte de M. Eugène DIOMI pour qu’il fournisse ses observations se rapportant à la question de la recevabilité et du fond.
L’ACAJ recommande vivement au Gouvernement de la RDC d’informer, en urgence, M. Eugène DIOMI des mesures concrètes prises afin de donner effet aux prescriptions du Comité, car son état de santé est toujours préoccupant.
Pour rappel, en date du 22 septembre 2014 M. Eugène DIOMI NDONGALA a déposé plainte contre la République démocratique du Congo auprès du Comité des droits de l’homme des Nations Unies à Genève (Suisse) pour violation systématique et grave de droits à la liberté de mouvement et à la sécurité; droit à l’égalité de tous devant la loi et à l’égale protection de la loi; droit au jugé naturel, compétent et indépendant; et droit à la défense et au procès équitable garantis à tout citoyen par les articles 2, 9, 10 et 14 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans la même plainte, il avait sollicité au Comité de prescrire à la RDC des mesures conservatoires devant faire respecter son droit aux médicaux appropriés, et ce, avant l’examen de la recevabilité et le fond de sa plainte.
Pour plus d’information cliquez le lien :
http://acaj-asbl.org/resume-sur-la-persecution-politique-de-m-eugene-diomi-ndongala/
Ou visiter : www.acaj-asbl.org
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
[img(602.8px,260.79999999999995px)]https://fsddc243.files.wordpress.com/2014/09/diomi-porte-plainte-contre-rdc.png?w=905&h=392[/img]
Résumé sur la persécution politique de M. Eugène DIOMI NDONGALA
Résumé sur la persécution politique de
M. Eugène DIOMI NDONGALA
Eugène DIOMI NDONGALA est Président du parti politique de l’opposition dénommé « Démocratie Chrétienne » et proche de M. Etienne TSHISEKEDI WA MULUMBA, l’opposant emblématique du Président Joseph KABILA. Lors des élections législatives organisées en RDC, en novembre 2011, il a été élu député de la circonscription de Lukunga.
Se trouvant à la tête de plusieurs autres députés de l’opposition, il a refusé de siéger au sein de l’Assemblée Nationale exigeant préalablement « la vérité des urnes » entendue comme la reconnaissance de M. Etienne TSHISEKEDI comme vainqueur de l’élection présidentielle de novembre 2011.
Le 26 juin 2012, la police a occupé illégalement le siège de son parti sis au n° 7 B de l’avenue Colonel Ebeya, commune de Gombe, à Kinshasa avant que le Procureur Général de la République signe une réquisition d’information. Pendant ce temps, les policiers ont eu accès à l’ensemble des bureaux et plusieurs effets furent emportés. Son épouse avait écrit au Procureur Général de la République pour demander à ce que lesdits policiers évacuent les lieux sans délai, mais sans succès. Le siège était ainsi occupé pendant deux mois par la police.
Le 27 juin 2012, M. Eugène DIOMI fut enlevé par des agents de services de sécurité alors qu’il se rendait à une cérémonie de signature de la charte d’un regroupement politique de l’opposition dénommée « Majorité populaire » prévue à la cathédrale Notre Dame du Congo à Kinshasa. C’est sur la route qu’il sera enlevé et détenu au secret pendant trois mois et treize jours. Pendant sa détention, il a été interrogé sur sa relation avec M. Etienne TSHISEKEDI et la prétendue stratégie envisagée pour récupérer l’impérium après les élections de novembre 2011 qu’il contestait. Son épouse déposa une plainte contre inconnu pour enlèvement et détention au secret, par le biais de son Conseil, mais qui ne fut jamais instruite. Tous les appels à sa libération et à une enquête indépendante lancés par plusieurs organisations des droits de l’homme nationales et internationales furent totalement ignorés par les autorités congolaises.
Le 28 juin 2012, le Ministre des médias, communication et porte parole du gouvernement va annoncer publiquement qu’une importante personnalité avait été arrêtée pour « viol ». Le même jour, le Procureur Général de la République va déclarer aux médias que « M. Eugène DIOMI avait pris fuite après qu’un mandat d’arrêt ait été délivré à son endroit pour « viol sur mineurs ».
Le 10 octobre 2012, il fut libéré nuitamment et abandonné sur la route Matadi à la veille de la tenue à Kinshasa du Sommet de la Francophonie. Après sa libération, il porta plainte pour enlèvement, détention au secret et mauvais traitements auprès de l’Auditeur général des forces armées de la République démocratique du Congo le 15 octobre 2012. Cette plainte n’a jamais été instruite pourtant enrôlée sous le numéro 5576/017. Dans le même sens, il avait adressé une lettre au Président de l’Assemblée Nationale pour demander une enquête parlementaire sur son enlèvement et sa détention sans succès.
Le 13 octobre 2012, trois membres de son parti politique Démocratie Chrétienne sont enlevés, à partir de son siège situé sur l’avenue colonel Ebeya, n° 7 B, commune de Gombe à Kinshasa, par les agents de sécurité et furent détenus au secret pendant un mois dans les locaux de l’Agence nationale de renseignement (ANR). Il s’agit de sieurs Héritier KAZADI, Jean Paul MABONDO et Jean- Claude YONGO KASELE.
Le 08 janvier 2013, l’Assemblée Nationale leva son immunité parlementaire aux motifs qu’il fallu permettre au Procureur Général de la République de le poursuivre dans le cadre du dossier RMP V/022/PGR/MR/2012 alors qu’il n’avait jamais eu la possible de présenter préalablement ses moyens de défense comme le prescrit le règlement intérieur de l’Assemblée Nationale, car malade. Son invalidation lui fut notifiée suivant la lettre n° RDC/AN/CP/AM/CM/Pbk/06/1428/2013.
Le 18 janvier 2013, son Attaché de presse, M. Verdict NKOBA MITUNTIA, ainsi que 3 militants de la plate-forme politique Majorité Présidentielle Populaire (MPP), qu’il avait créée pour revendiquer la victoire de M. Etienne TSHISEKEDI, à savoir: M. Stallone KATUMBA MUMPOY, KATUMBA François et Mme KABUNGANA Marie-Josée, furent enlevés nuitamment de leurs domiciles respectifs et conduits vers une destination inconnue par des agents de sécurité, avant de réapparaitre en public lors de leur présentation, par le Ministre de l’intérieur à la presse comme faisant partie d’un « groupe » que M. Eugène DIOMI NDONGALA aurait entretenu, pour « renverser le régime en place ».
Le 08 avril 2013, il fut enlevée vers 22 heures 30 par la police, conduite par le colonel Kanyama (actuellement Général avec fonctions de Commissaire provincial de la Ville de Kinshasa), détenu d’abord dans un lieu secret, et le lendemain conduit au Parquet général de la République où il sera finalement informé de l’existence d’un mandat d’arrêt émis contre lui depuis le 18 janvier 2013 pour « viol et entretien d’un mouvement insurrectionnel dénommé imperium ». Il fut déféré devant la Cour suprême de justice par le Procureur général de la république pour « viol sur mineurs ». Le 15 avril 2013, la Cour prit la décision sous RP. 014/CR de le placer à résidence surveillée. Cette décision fut renouvelée trois fois, mais le Procureur Général de la République refusa d’en exécuter; et décida de maintenir le dans sa cellule de la prison de Makala en dépit de toutes les protestations élevées.
A la suite des sévices subis lors de sa détention au secret, il fut hospitalisé avant de subir une intervention chirurgicale. Et le 16 septembre 2013, la Cour suprême de justice avait ordonné le renvoi de son procès à 45 jours pour lui permettre de bénéficier des soins appropriés au regard de la gravité de son état de santé.
Le 27 décembre 2013, à la suite d’un accident vasculaire cérébrale, il fut admit aux urgences de la clinique Ngaliema de Kinshasa pour des examens et soins appropriés. Il fut arraché de son lit d’hôpital par des hommes en uniforme et retourné brutalement dans sa cellule de la prison de Makala sans qu’il ait passé tous les examens lui prescrits, ni tenir compte de son état de santé préoccupant. Il s’est vu privé de soins médicaux appropriés que requérait son état de santé.
Le 26 mars 2014, la Cour suprême de Justice siégeant comme Cour de cassation l’a, en violation des lois n° 13/010 du 19 février 2013 relative à la procédure devant la Cour de cassation et n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire ainsi que de la garantie des droits de la défense, condamné à la peine de dix ans de prison ferme à l’issue d’un procès totalement politique. Il n’avait jamais eu la possibilité de se défendre seul ou avec l’assistance de ses avocats. Ceux-ci ayant quiité la barre en protestation contre la jonction au fond d’une question préjudicielle liée à la contestation par lui de la filiation entre son plaignant et les « victimes ». La Cour refusa de lui accorder une remise et le condamna sans même lui avoir commis d’office un ou plusieurs avocats. La condamnation est fondée sur des preuves fabriquées et montées par les services de sécurité lors de l’occupation du siège de son parti politique. Sa persécution vise à le réduire au silence, car il dérangerait le régime en place.
LIRE AUSSI:
- COMMUNIQUE DE PRESSE N° 08/ACAJ/2014:« M. Eugène DIOMI NDONGALA a été condamné par une chambre irrégulière. Il doit être remis en liberté sans condition » 4 septembre 2014
- «En quête de la Justice, le prisonnier politique DIOMI NDONGALA a déposé plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’homme des Nations Unies à Genève» / COMMUNIQUE DE PRESSE N° 10/ACAJ/2014 29 septembre 2014
- COMMUNIQUE DE PRESSE N° 14/ACAJ/2014 -« Le Comité des droits de l’homme des Nations Unies a notifié à la RDC des mesures conservatoires dans l’intérêt de M. Eugène DIOMI NDONGALA » 14 octobre 2014
http://acaj-asbl.org/resume-sur-la-persecution-politique-de-m-eugene-diomi-ndongala/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CINQ QUESTIONS A FREDDY KITA / LE POTENTIEL 14/10/14
http://democratiechretienne.org/2014/10/15/cinq-questions-a-freddy-kita-le-potentiel-141014/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Retombées de la plainte déposée par le leader de la DC : Le Comité des droits de l’homme de l’Onu notifie à la RDC des mesures conservatoires en faveur de Diomi Ndongala /TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 15 octobre 2014
par FreeDiomi le 15 octobre 2014
Le Comité des droits de l’homme de l’Onu notifie à la RDC des mesures conservatoires en faveur de Diomi Ndongala
- La Tempête des Tropiques
Retombées de la plainte déposée par le leader de la DCCet organe de l’Onu demande à l’exécutif congolais de prendre en compte l’état de santé de ce prisonnier politique pour lui fournir une assistance médicale appropriée afin d’éviter l’irréparableDans un communiqué de presse publié hier mardi 14 octobre 2014, l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) se félicite des mesures conservatoires prises par le Comité des droits de l’homme des Nations Unies dans l’affaire qui oppose Eugène Diomi Ndongala à la République démocratique du Congo. Acaj renseigne que cet organe des Nations Unies a notifié à la République démocratique du Congo (Rdc) des mesures conservatoires dans l’intérêt d’Eugène Diomi Ndongala.En effet, le 8 octobre 2014, le Comité a, en application de l’article 92 de son règlement intérieur, demandé au gouvernement de la RDC « de prendre en compte l’état de santé de M. Eugène Diomi Ndongala et toutes les mesures nécessaires pour lui fournir une assistance médicale appropriée afin d’éviter un préjudice irréparable à sa santé ».
Le Comité lui a aussi transmis la plainte du leader de la Démocratie chrétienne (DC) pour qu’il fournisse ses observations se rapportant à la question de la recevabilité et du fond.
L’Acaj recommande vivement au gouvernement de la RDC d’informer Diomi, en urgence, de mesures concrètes prises afin de donner effet aux prescriptions du Comité, car son état de santé est toujours préoccupant.
Pour rappel, en date du 22 septembre 2014, Diomi Ndongala a déposé plainte contre la République démocratique du Congo auprès du Comité des droits de l’homme des Nations Unies à Genève (Suisse) pour violation systématique et grave de droits à la liberté de mouvement et à la sécurité; droit à l’égalité de tous devant la loi et à l’égale protection de la loi; droit au juge naturel, compétent et indépendant; et droit à la défense et au procès équitable garantis à tout citoyen par les articles 2, 9, 10 et 14 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Dans la même plainte, il avait sollicité au Comité de prescrire à la RDC des mesures conservatoires devant faire respecter son droit aux soins médicaux appropriés, et ce, avant l’examen de la recevabilité et du fond de sa plainte.
Par Stone
http://latempete.info/le-comite-des-droits-de-lhomme-de-lonu-notifie-a-la-rdc-des-mesures-conservatoires-en-faveur-de-diomi-ndongala/
http://democratiechretienne.org/2014/10/15/retombees-de-la-plainte-deposee-par-le-leader-de-la-dc-le-comite-des-droits-de-lhomme-de-lonu-notifie-a-la-rdc-des-mesures-conservatoires-en-faveur-de-diomi-ndongala-tempete-des-t/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Cette plainte auprès d'un comité des droits de l'homme de l'ONU à Genève, constitue l'action la plus intelligente qu'ait faite la défense de notre compatriote Diomi Ndongala, face à un pouvoir interne qui abuse de sa force et viole les droits de base des citoyens, opposants ou non!
En effet, dans une telle conjoncture, il faut INTERNATIONALISER L'ACTION, et s'adresser à plus fort que le pouvoir abuseur.
Et un élément clé de cette conjoncture interne est qu'actuellement, le Parlement kabiliste doit nommer les membres de l'organe nation chargé de promouvoir les droits humains en RDC. La procédure initiée en faveur de l'opposant Diomi Ndongala sera à la fois un processus d'apprentissage des règles internationales qui lient notre pays (dont le régime est tout saut indépendant et souverain, notamment aux plans financier et militaire), et une occasion pour un régime félon d'enfin se convertir à ce qui est la quintessence de la civilisation humaine du XXIème siècle, à savoir la promotion des droits de chaque être humain par celles et ceux qui - PAR DELEGATION POPULAIRE ET NON PAR MERITE OU AUTRE DROIT - représentent les Etats!
Courage à la FSDDC, au compatriote Diomi Ndongala et à sa famille, et que la défense de cet homme politique abusivement persécuté ait du souffle pour persévérer!
Nzogu bin Kyantede P R
En effet, dans une telle conjoncture, il faut INTERNATIONALISER L'ACTION, et s'adresser à plus fort que le pouvoir abuseur.
Et un élément clé de cette conjoncture interne est qu'actuellement, le Parlement kabiliste doit nommer les membres de l'organe nation chargé de promouvoir les droits humains en RDC. La procédure initiée en faveur de l'opposant Diomi Ndongala sera à la fois un processus d'apprentissage des règles internationales qui lient notre pays (dont le régime est tout saut indépendant et souverain, notamment aux plans financier et militaire), et une occasion pour un régime félon d'enfin se convertir à ce qui est la quintessence de la civilisation humaine du XXIème siècle, à savoir la promotion des droits de chaque être humain par celles et ceux qui - PAR DELEGATION POPULAIRE ET NON PAR MERITE OU AUTRE DROIT - représentent les Etats!
Courage à la FSDDC, au compatriote Diomi Ndongala et à sa famille, et que la défense de cet homme politique abusivement persécuté ait du souffle pour persévérer!
Nzogu bin Kyantede P R
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Le Comité des droits de l’homme de l’ONU préoccupé par l’état de santé d’Eugène Diomi Ndongala /LA DEPECHE DE BRAZZAVILLE
Le Comité des droits de l’homme de l’ONU préoccupé par l’état de santé d’Eugène Diomi Ndongala
15 Octobre 2014
Il s’agit là d’un des retombées de la plainte déposée par le leader de la DC au Comité des droits de l’homme des Nations unies à Genève dans laquelle il sollicitait à cette structure onusienne de prescrire à la RDC des mesures conservatoires devant faire respecter son droit aux soins médicaux appropriés.
Le Comité des droits de l’homme de l’ONU vient d’adjoindre la RDC à prendre en compte l’état de santé du président de la Démocratie chrétienne (DC) pour lui fournir une assistance médicale appropriée afin d’éviter l’irréparable. C’était à l’issue d’une réunion tenue le 8 octobre dernier. Cette structure onusienne a fait acte d’application de l’article 92 de son règlement intérieur en exigeant du gouvernement congolais la prise des mesures conservatoires que requiert l’état de santé d’Eugène Diomi Ndongala actuellement incarcéré au centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK).
L’ONU craint, en effet, que le pire n’arrive à cet opposant terrassé par la maladie et qui n’a toujours pas accès aux soins appropriés. Et pour matérialiser son vœu, la plainte que la DC a introduite auprès du Comité a été renvoyée au gouvernement afin que ce dernier fournisse des observations utiles en rapport avec le fond et la recevabilité de cette requête.
L’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) qui s’est réjouie de la suite réservée par le Comité des droits de l’homme de l’ONU à la requête de l’opposant congolais exhorte le gouvernement à informer en urgence le plaignant des mesures concrètes prises afin de donner effet aux prescriptions du Comité vue la dégradation continue de son état de santé.
Pour rappel, c’est depuis le 22 septembre qu’Eugène Diomi Ndongala avait déposé une plainte contre la RDC auprès du Comité des droits de l’homme des Nations unies à Genève (Suisse) pour plusieurs violations touchant notamment au droit à la liberté de mouvement et à la sécurité ainsi qu’au droit à l’égalité de tous devant la loi et à l’égale protection de la loi.
Avant l’examen de la recevabilité et du fond de sa plainte, l’irréductible opposant avait sollicité au Comité de prescrire à la RDC des mesures conservatoires devant faire respecter son droit aux soins médicaux appropriés.
Alain Diasso
http://www.adiac-congo.com/content/democratie-chretienne-le-comite-des-droits-de-lhomme-de-lonu-preoccupe-par-letat-de-sante
http://democratiechretienne.org/2014/10/16/le-comite-des-droits-de-lhomme-de-lonu-preoccupe-par-letat-de-sante-deugene-diomi-ndongala-la-depeche-de-brazzaville/
http://www.adiac-congo.com/content/democratie-chretienne-le-comite-des-droits-de-lhomme-de-lonu-preoccupe-par-letat-de-sante
http://democratiechretienne.org/2014/10/16/le-comite-des-droits-de-lhomme-de-lonu-preoccupe-par-letat-de-sante-deugene-diomi-ndongala-la-depeche-de-brazzaville/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CONFERENCE DE PRESSE DE MARTIN FAYULU: « LES DEPUTES EUGENE DIOMI NDONGALA ET BERTRAND EWANGA SONT SEQUESTRES PAR LE POUVOIR KABILA-PAS DE DIALOGUE SANS LIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES »
par FreeDiomi le 16 octobre 2014
par FreeDiomi le 16 octobre 2014
[img(444.79999999999995px,333.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/fayulu161014.jpg?w=668&h=501[/img]
FORCES ACQUISES AU CHANGEMENT, « FAC »
CONFERENCE DE PRESSE DU 16 OCTOBRE 2014
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
Avant toute chose, nous vous souhaitons la bienvenue en cette salle, devenue lieu mythique où s’écrit désormais l’histoire politique de notre pays et plus particulièrement celle de l’opposition congolaise.
En effet, c’est ici à Fatima que le 23 août 2011, l’opposition congolaise, amputée malheureusement de quelques partis et regroupements politiques se réclamant d’elle, avait désigné le Président Etienne Tshisekedi comme candidat commun de l’Opposition à l’élection présidentielle de novembre 2011.
– Pour sa victoire lors de cette élection ;
- En mémoire de 8.000.000 des congolais qui sont morts du fait des diverses agressions meurtrières dont notre pays est victime depuis deux décennies ;
- Pour Floribert Chebeya, Fidel Bazana, Armand Tungulu, Bapuwa Mwamba, Serge Mayeshe, Franck Ngyke et son épouse, tous victimes de l’intolérance du pouvoir en place ;
- Pour le Généraux Buza-Mabe, Mamadou Ndala, Lucien Bahuma et tous les officiers supérieurs, subalternes, soldats et matelots tombés sur le champ de batailles pour défendre l’intégrité territoriale de notre pays ;
- Pour l’Honorable Diomi Ndongala, l’Honorable Jean-Bertrand Ewanga, Bruno Kabatshi et tous les détenus politiques, victimes de l’injustice ;
- Pour notre compatriote, le Bishop Fernando Kuthino, dont le seul pêché, aura été d’être le précurseur du mouvement ‘’Sauvons le Congo’’ ;
En signe de notre reconnaissance pour leurs apports exceptionnels dans le combat pour l’avènement d’un Etat de droit et démocratique dans notre pays, leur martyr, sacrifice et courage face à l’injustice, l’iniquité et l’adversité, nous vous prions de bien vouloir vous lever pour que nous puissions tous, par des applaudissements nourris leur rendre un vibrant hommage.
Merci. La patrie ne les oubliera jamais !
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
La République Démocratique du Congo, notre pays, est à la croisée des chemins.
Sur fond d’une crise de légitimité sans précédent qui mine toujours le bon fonctionnement des institutions de la République, notre pays est aujourd’hui en dessous de la ligne de flottaison.
La République Démocratique du Congo, notre pays, est à la croisée des chemins.
Sur fond d’une crise de légitimité sans précédent qui mine toujours le bon fonctionnement des institutions de la République, notre pays est aujourd’hui en dessous de la ligne de flottaison.
Le danger est là!
En effet, de l’analyse que nous allons faire aujourd’hui de la situation de notre pays, il en ressortira clairement l’alignement, d’une série de stratégies machiavéliques savamment concoctées par les officines de Monsieur Kabila, afin d’opérer un coup d’Etat constitutionnel et conserver à tout prix le pouvoir des privilèges par l’instauration d’une monarchisation présidentielle dans notre pays.
Nous allons lui dire NON, des milliers de fois NON
Ainsi, notre Conférence de presse de ce jour portera sur les questions ci-après:
– De la révision ou du changement de la Constitution de la République ;
– De la CENI et des élections ;
– Des Concertations nationales ;
– De la Guerre et de l’Insécurité généralisée n RDC ;
– Du Budget
– Du Dialogue ;
– De la traque des Opposants ;
– De l’Unité de l’Opposition
– De la révision ou du changement de la Constitution de la République ;
– De la CENI et des élections ;
– Des Concertations nationales ;
– De la Guerre et de l’Insécurité généralisée n RDC ;
– Du Budget
– Du Dialogue ;
– De la traque des Opposants ;
– De l’Unité de l’Opposition
1. DE LA REVISION OU DU CHANGEMENT DE LA CONSTITUTION
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
Monsieur Kabila n’est pas un homme de parole !
En effet, depuis son discours d’investiture du 06 décembre 2006, il s’est prononcé au moins trois fois sur la question de la révision constitutionnelle.
Dans son discours sur l’état de la Nation du 06 décembre 2007, il a affirmé, nous citons : « Je ne peux en finir avec les réformes juridiques sans nous mettre tous en garde contre la tentation de vouloir régler tout dysfonctionnement éventuel des institutions par une révision constitutionnelle. En principe, la loi fondamentale d’un pays ne devrait être modifiée qu’en cas d’extrême nécessité, et uniquement dans l’intérêt supérieur de la Nation », fin de citation.
Le 07 décembre 2009, il disait, nous citons: « Ma position sur la problématique de la révision constitutionnelle est connue, et elle n’a pas varié. On ne devrait y recourir qu’avec parcimonie, comme dernier recours, et dans le strict respect des dispositions pertinentes de la Constitution en vigueur ».
Pourtant, en janvier 2011, sa mouvance, sûrement « sous son impulsion » avait initié et opéré une révision intempestive de la Constitution qui a désarticulé les équilibres et rationalités qu’elle a institués.
C’est ainsi, par exemple, que si la modification de l’article 71 n’avait pas réduit les droits des congolais de se présenter deux fois devant les urnes pour choisir leur Président, les problèmes actuels de la dévaluation de l’institution président de la République et/ ou de sa légitimité ne se seraient pas posés!
Alors qu’à la clôture des ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’ le 23 octobre 2013 Monsieur Kabila déclarait enfin, nous citons: « Comme les délégués à ces assises, je suis pour le respect par tous de l’esprit et de la lettre de la Constitution de la République dans son ensemble, telle qu’adoptée par le référendum populaire en 2005 ». C’est malheureusement son gouvernement qui initie encore aujourd’hui un projet de révision constitutionnelle déposée à l’Assemblée nationale.
Monsieur Kabila n’est pas un homme de parole !
En effet, depuis son discours d’investiture du 06 décembre 2006, il s’est prononcé au moins trois fois sur la question de la révision constitutionnelle.
Dans son discours sur l’état de la Nation du 06 décembre 2007, il a affirmé, nous citons : « Je ne peux en finir avec les réformes juridiques sans nous mettre tous en garde contre la tentation de vouloir régler tout dysfonctionnement éventuel des institutions par une révision constitutionnelle. En principe, la loi fondamentale d’un pays ne devrait être modifiée qu’en cas d’extrême nécessité, et uniquement dans l’intérêt supérieur de la Nation », fin de citation.
Le 07 décembre 2009, il disait, nous citons: « Ma position sur la problématique de la révision constitutionnelle est connue, et elle n’a pas varié. On ne devrait y recourir qu’avec parcimonie, comme dernier recours, et dans le strict respect des dispositions pertinentes de la Constitution en vigueur ».
Pourtant, en janvier 2011, sa mouvance, sûrement « sous son impulsion » avait initié et opéré une révision intempestive de la Constitution qui a désarticulé les équilibres et rationalités qu’elle a institués.
C’est ainsi, par exemple, que si la modification de l’article 71 n’avait pas réduit les droits des congolais de se présenter deux fois devant les urnes pour choisir leur Président, les problèmes actuels de la dévaluation de l’institution président de la République et/ ou de sa légitimité ne se seraient pas posés!
Alors qu’à la clôture des ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’ le 23 octobre 2013 Monsieur Kabila déclarait enfin, nous citons: « Comme les délégués à ces assises, je suis pour le respect par tous de l’esprit et de la lettre de la Constitution de la République dans son ensemble, telle qu’adoptée par le référendum populaire en 2005 ». C’est malheureusement son gouvernement qui initie encore aujourd’hui un projet de révision constitutionnelle déposée à l’Assemblée nationale.
Comment peut-on lui faire confiance ?
Et pour réaliser cet exploit impertinent, c’est le Secrétaire général de son parti, professeur de droit constitutionnel de son état, qui nous avait brutalement soumis à un choix existentiel en publiant un livre, «Entre la révision constitutionnelle et l’inanition de la Nation » dans lequel, tel Rambo, il pulvérise à coups de missiles l’article 220.
Il y avait désormais péril en la demeure.
Il y avait désormais péril en la demeure.
C’est ainsi que, tôt entre juillet et août 2013, les FAC avaient mené la campagne de sensibilisation sur terrain de la population sous la forme d’une pétition intitulée : ‘’Touche pas à mon 220 ; Pas de présidence à vie en RDC’’.
A plusieurs reprises, les membres des FAC avaient subi des exactions de la part de la police nationale. Mais, refusant d’obtempérer aux ordres manifestement illégaux et nous avions poursuivi notre activité de sensibilisation dont le clou devait être le meeting que nous devrions tenir au stade Vélodrome de Kintambo le 1er septembre 2013. Non seulement que l’autorité urbaine avait refusé de prendre acte de notre lettre d’information, cette activité pacifique avait été brutalement réprimée par la police et certains hauts cadres de notre regroupement avaient été irrégulièrement placés en garde à vue.
Entretemps, de la confabulation de celui que la presse internationale appelle désormais ‘’Ministre du démenti’’, il ressortait que nous leur ‘’prêtions des intentions’’ ! Ce Ministre, en effet, affirmait au monde entier que pour une fois en RDC, il y aurait en 2016 une passation civilisée de pouvoir entre un président sortant et un président entrant’’! Dont acte.
Mais, aujourd’hui, il est devenu ‘’révisionniste’’ devant l’Eternel !
Depuis, d’autres lieutenants de la mouvance Kabiliste ont été déployés sur terrain pour porter ce projet du changement carrément de la Constitution :
– une «pétition pour le changement de la Constitution » a été lancée par un membre du PPRD ;
– un «communicateur » de la mouvance Kabiliste a publié un cynique ouvrage fourre-tout intitulé : « Plaidoyer pour la IVème République » ;
– la «horde» du samedi matin sur les médias publics, notamment à la RTNC avait pris le relais médiatique du projet et fustigeait, à la limite de l’injure, toute personne ou organisation qui pensait le contraire!
– Plusieurs émissions télévisées, sous forme de débat, sont organisées à cet effet.
Là, nous n’étions plus dans le procès d’intention mais bien dans l’alignement des actes préparatoires à une tentative de renversement du régime constitutionnel. Et, pour que nul n’en prétexte l’ignorance, nous rappelons que cela constitue une infraction imprescriptible contre la Nation et l’Etat aux termes de l’article 64, alinéa 2 de la Constitution.
Face à ce danger, plusieurs personnalités, organisations politiques y compris celles appartenant à la mouvance Kabiliste ainsi des organisations de la Société civile y compris les professeurs d’universités nous ont emboîté le pas. Les pays étrangers amis et les institutions internationales nous ont également avisés des dangers de la révision intempestive de la Constitution particulièrement de l’article 220 dont l’envergure des matières qu’il égrène couvre pratiquement les 2/3 de notre texte constitutionnel. L’on ne peut donc le changer sans courir le risque d’un cas flagrant de sa violation intentionnelle et déstabiliser le pays ainsi que l’équilibre déjà précaire des pouvoirs dans les institutions.
– une «pétition pour le changement de la Constitution » a été lancée par un membre du PPRD ;
– un «communicateur » de la mouvance Kabiliste a publié un cynique ouvrage fourre-tout intitulé : « Plaidoyer pour la IVème République » ;
– la «horde» du samedi matin sur les médias publics, notamment à la RTNC avait pris le relais médiatique du projet et fustigeait, à la limite de l’injure, toute personne ou organisation qui pensait le contraire!
– Plusieurs émissions télévisées, sous forme de débat, sont organisées à cet effet.
Là, nous n’étions plus dans le procès d’intention mais bien dans l’alignement des actes préparatoires à une tentative de renversement du régime constitutionnel. Et, pour que nul n’en prétexte l’ignorance, nous rappelons que cela constitue une infraction imprescriptible contre la Nation et l’Etat aux termes de l’article 64, alinéa 2 de la Constitution.
Face à ce danger, plusieurs personnalités, organisations politiques y compris celles appartenant à la mouvance Kabiliste ainsi des organisations de la Société civile y compris les professeurs d’universités nous ont emboîté le pas. Les pays étrangers amis et les institutions internationales nous ont également avisés des dangers de la révision intempestive de la Constitution particulièrement de l’article 220 dont l’envergure des matières qu’il égrène couvre pratiquement les 2/3 de notre texte constitutionnel. L’on ne peut donc le changer sans courir le risque d’un cas flagrant de sa violation intentionnelle et déstabiliser le pays ainsi que l’équilibre déjà précaire des pouvoirs dans les institutions.
En réaction, la mouvance kabiliste a entrepris de discréditer et de menacer ces personnalités, organisations et institutions de référence qui réalisent avec nous ce danger. Elle instrumentalise le pouvoir judiciaire pour mettre hors-jeu des adversaires politiques ou les intimider. C’est le cas de Diomi Ndongala, de l’Honorable Jean-Bertrand Ewanga, de Bruno Kabatshi et de tous les autres détenus politiques.
Le régime recourt même aux voies de fait, et le cas le plus récent demeure cette attaque abjecte et sauvage dirigée contre des prêtres et des sœurs à Lodja alors qu’ils délivraient le message de la CENCO. Le régime de Monsieur Kabila n’hésite pas, au nom de la « souveraineté », à s’en prendre vertement aux institutions internationales alors qu’il en est le produit et vit aux mamelles de la même communauté internationale.
Ce comportement a un nom : C’est le terrorisme d’Etat !
Seulement, notre détermination à faire échec à ce projet machiavélique n’a d’égal que l’intériorisation responsable de notre devoir constitutionnel, celui de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou l’exerce en violation de la Constitution de la République, conformément à l’article 64 de la même Constitution. Et, par notre bouche donc, le peuple congolais lui dit NON, des milliers de fois NON !
Nous n’avons pas peur et nous ne céderons pas au chantage, ni aux menaces, ni aux diverses attaques dirigées contre nous.
Ce comportement expose la gouvernance par défi que tout le monde décrie et qui est aussi visible dans le chef d’un autre pilier, structurel cette fois-ci, dont Monsieur Kabila se sert pour le même dessein.
Il s’agit de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
Il s’agit de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
2. DE LA CENI ET DES ELECTIONS
Il est superfétatoire de revenir ici sur les conditions rocambolesques de la mise en place de la CENI et les critiques que nous avions formulées et continuons de faire contre cette institution.
Mais, que l’on retienne une chose : la CENI actuelle est un autre bras séculier sur lequel s’appuie Monsieur Kabila dans la poursuite de sa stratégie consistant à insécuriser le pays.
Souvenez-vous, c’est elle qui, dans sa feuille de route de janvier 2014, a relayé au niveau de l’Assemblée nationale notamment, la volonté de Monsieur Kabila d’organiser les élections des députés provinciaux au suffrage universel indirect en exigeant la révision querellée de l’article 197 de la Constitution. Ce qui, immanquablement, violerait l’article 220 !
Mais, que l’on retienne une chose : la CENI actuelle est un autre bras séculier sur lequel s’appuie Monsieur Kabila dans la poursuite de sa stratégie consistant à insécuriser le pays.
Souvenez-vous, c’est elle qui, dans sa feuille de route de janvier 2014, a relayé au niveau de l’Assemblée nationale notamment, la volonté de Monsieur Kabila d’organiser les élections des députés provinciaux au suffrage universel indirect en exigeant la révision querellée de l’article 197 de la Constitution. Ce qui, immanquablement, violerait l’article 220 !
Voilà pourquoi, avec d’autres organisations des Forces Politiques et Sociales, nous avions porté plainte contre MaluMalu au Parquet Général de la République.
Auparavant, au travers la campagne ‘’MaluMalu dégage’’, nous étions redescendus dans la rue avec les membres de ‘’Sauvons la RDC’’ et avions récolté près de 60.000 signatures auprès des congolais qui avaient, de ce fait, clairement dit que la CENI, avec à sa tête Monsieur MaluMalu, n’inspirait pas confiance et que cette institution devait être restructurée.
Là aussi, même méthode. A plusieurs reprises, nous avions été brutalisés par la police, intimidés et menacés.
La gouvernance par défi se portant très bien en RDC, Monsieur MaluMalu poursuit sans désemparer son projet d’organiser les élections locales que tout le monde avertit qu’elles seront, au-delà des questions financières, de cartographie, de fichier électoral et d’infrastructures, sources de tensions supplémentaires pour le pays.
Auparavant, au travers la campagne ‘’MaluMalu dégage’’, nous étions redescendus dans la rue avec les membres de ‘’Sauvons la RDC’’ et avions récolté près de 60.000 signatures auprès des congolais qui avaient, de ce fait, clairement dit que la CENI, avec à sa tête Monsieur MaluMalu, n’inspirait pas confiance et que cette institution devait être restructurée.
Là aussi, même méthode. A plusieurs reprises, nous avions été brutalisés par la police, intimidés et menacés.
La gouvernance par défi se portant très bien en RDC, Monsieur MaluMalu poursuit sans désemparer son projet d’organiser les élections locales que tout le monde avertit qu’elles seront, au-delà des questions financières, de cartographie, de fichier électoral et d’infrastructures, sources de tensions supplémentaires pour le pays.
Les observateurs sérieux affirment d’ailleurs que la feuille de route de Monsieur MaluMalu est maintenant dépassée et que techniquement il est impossible d’organiser ces élections dans les délais.
Tout compte fait, il reste que les élucubrations de Monsieur MaluMalu s’apparentent à une stratégie consistant à nous emmener à ‘’couillon-ville’’ afin de nous placer, le moment venu, devant un autre fait accompli, et obtenir un ‘’glissement’’ au-delà de 2016 au profit de Monsieur Kabila.
Qu’il soit entendu que pour les FAC et pour le peuple congolais, qu’il pleuve ou qu’il neige, il faut ABSOLUMENT organiser les élections présidentielle et législatives en 2016 conformément à la Constitution.
Avec d’autres forces politiques et sociales réellement acquises au changement, nous poursuivrons le combat contre cette cynique démarche de la mouvance Kabiliste pour faire échec à cette énième fourberie, jumelle des ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’.
Avec d’autres forces politiques et sociales réellement acquises au changement, nous poursuivrons le combat contre cette cynique démarche de la mouvance Kabiliste pour faire échec à cette énième fourberie, jumelle des ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’.
3. DES CONCERTATIONS NATIONALES
D’une part, acculé militairement par un membre de sa famille politique, en l’occurrence le CNDP alias M23, qui menaçait son « fauteuil », et dans une quête désespérée des ‘’béquilles’’ de légitimation d’autre part, Monsieur Kabila, pris de panique, va emboucher la trompette de la cohésion nationale en convoquant en septembre 2013 les ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’ comme subterfuge pour se maintenir au pouvoir.
Il va de nouveau créer l’insécurité particulièrement au sein de l’opposition politique congolaise en recrutant, toujours à coup de menaces, de chantage, de débauchage, de corruption et de promesses juteuses d’entrée au gouvernement, des « alliés de circonstance» avec pour objectif d’élargir sa mouvance et ultimement réaliser la mise à mort de la troisième république.
Pour ce faire, il va s’appuyer sur le concours intellectuel de certains «professeurs » nationaux de droit qui lui avaient vendu le projet d’une « démocratie consensuelle », ancêtre du changement de la Constitution, comme fondement philosophique d’un ordre constitutionnel nouveau en remplacement de l’orthodoxie démocratique fixée dans la Constitution en vigueur.
Les FAC avaient farouchement combattu ce projet et dans notre point de presse tenu une semaine après son discours d’ouverture de ce forum, soit le 14 septembre 2013, nous étions le premier regroupement politique à tirer la sonnette d’alarme en avertissant que Monsieur Kabila et ses alliés préparaient un « coup d’Etat constitutionnel ».
Auparavant, dans une déclaration commune faite au CEPAS le 1er juillet 2013, pratiquement toute l’opposition politique congolaise avait rejeté son ordonnance de convocation desdites ‘’Concertations’’. A la fin du mois de juillet 2013, par un mécanisme que nous avons toujours du mal encore à saisir, certains « amis » de l’opposition, signataires avec nous de la déclaration du 1er juillet 2013 se sont retirés à Limete dans un Conclave dont les conclusions demeurent pour le moins ambigües. C’est là que la brutalité et la félonie du régime en place les ont rattrapés.
Quant à nous qui avions persisté dans notre refus de participer à ce forum, parce que fidèles à notre parole et à nos engagements, Monsieur Kabila nous avait qualifiés de « réfractaires à la loi » et les congolais de la diaspora de « terroristes » ! Carrément !
Un an après ces ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’, la désillusion a gagné tous ceux qui y avaient pris part. La recherche effrénée et désespérée de la ‘’cohésion nationale’’ s’est transformée en ‘’implosion nationale’’.
D’une part, acculé militairement par un membre de sa famille politique, en l’occurrence le CNDP alias M23, qui menaçait son « fauteuil », et dans une quête désespérée des ‘’béquilles’’ de légitimation d’autre part, Monsieur Kabila, pris de panique, va emboucher la trompette de la cohésion nationale en convoquant en septembre 2013 les ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’ comme subterfuge pour se maintenir au pouvoir.
Il va de nouveau créer l’insécurité particulièrement au sein de l’opposition politique congolaise en recrutant, toujours à coup de menaces, de chantage, de débauchage, de corruption et de promesses juteuses d’entrée au gouvernement, des « alliés de circonstance» avec pour objectif d’élargir sa mouvance et ultimement réaliser la mise à mort de la troisième république.
Pour ce faire, il va s’appuyer sur le concours intellectuel de certains «professeurs » nationaux de droit qui lui avaient vendu le projet d’une « démocratie consensuelle », ancêtre du changement de la Constitution, comme fondement philosophique d’un ordre constitutionnel nouveau en remplacement de l’orthodoxie démocratique fixée dans la Constitution en vigueur.
Les FAC avaient farouchement combattu ce projet et dans notre point de presse tenu une semaine après son discours d’ouverture de ce forum, soit le 14 septembre 2013, nous étions le premier regroupement politique à tirer la sonnette d’alarme en avertissant que Monsieur Kabila et ses alliés préparaient un « coup d’Etat constitutionnel ».
Auparavant, dans une déclaration commune faite au CEPAS le 1er juillet 2013, pratiquement toute l’opposition politique congolaise avait rejeté son ordonnance de convocation desdites ‘’Concertations’’. A la fin du mois de juillet 2013, par un mécanisme que nous avons toujours du mal encore à saisir, certains « amis » de l’opposition, signataires avec nous de la déclaration du 1er juillet 2013 se sont retirés à Limete dans un Conclave dont les conclusions demeurent pour le moins ambigües. C’est là que la brutalité et la félonie du régime en place les ont rattrapés.
Quant à nous qui avions persisté dans notre refus de participer à ce forum, parce que fidèles à notre parole et à nos engagements, Monsieur Kabila nous avait qualifiés de « réfractaires à la loi » et les congolais de la diaspora de « terroristes » ! Carrément !
Un an après ces ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’, la désillusion a gagné tous ceux qui y avaient pris part. La recherche effrénée et désespérée de la ‘’cohésion nationale’’ s’est transformée en ‘’implosion nationale’’.
Qui, mieux que ceux qui y avaient pris part peuvent aujourd’hui témoigner que ce forum-là fut un fiasco?
Ils le regrettent tous aujourd’hui. Certains ‘’opposants’’ couinent en silence d’avoir accompagné la mouvance Kabiliste dans cette aventure. D’autres, plus courageux et à leur crédit, n’hésitent pas à crier haut et fort que ce fut un marché des dupes.
L’Histoire retiendra cependant que le seul mérite de ce forum aura été d’avoir réussi l’exploit d’amnistier les criminels du M23 !
L’Histoire retiendra cependant que le seul mérite de ce forum aura été d’avoir réussi l’exploit d’amnistier les criminels du M23 !
Il reste que les 670 ou 750 autres recommandations demeurent suspendues à la volonté, mieux au «pouvoir discrétionnaire » du Prince !
Il en est ainsi par exemple de celles relatives à la mise en place du fameux gouvernement dit de ‘’cohésion nationale’’ attendu par les ‘’Concertateurs’’ et qui n’est jamais arrivé ainsi que de la libération de tous les détenus politiques.
D’ailleurs, au lendemain de ces ‘’concertations’’, le député Fidel Babala, Secrétaire Général Adjoint du MLC qui avait pris part à ces ‘’Concertations’’ a été arrêté comme un vilain malfrat et transféré à la CPI alors qu’une de leurs recommandations, sous forme d’engagement, était justement d’apporter un concours consulaire aux compatriotes se trouvant à la Haye.
Comble de l’ironie, alors que Fidel Babala, Congolais et Député national de son état, a sollicité auprès de la CPI sa mise en liberté provisoire, son propre pays refuse par un avis négatif du Procureur Général de la République contre celui positif du Ministre de la Justice de l’accueillir alors que depuis la révision constitutionnelle intempestive de janvier 2011, le parquet exerce sa mission sous l’autorité du ministre de la Justice dont il est le bras séculier !
L’insécurité politique, juridique et judiciaire continue ainsi de vivre côte à côte avec l’insécurité sociale, des personnes et de leurs biens.
4. DE LA GUERRE ET DE L’INSECURITE GENERALISEE
Comme on peut s’en rendre compte, la République Démocratique du Congo est inlassablement englué dans une insécurité généralisée, mieux dans une guerre à huit-clos :
– Au Katanga, les Mai-Mai et les Bakata Katanga continuent de sévir ;
Il en est ainsi par exemple de celles relatives à la mise en place du fameux gouvernement dit de ‘’cohésion nationale’’ attendu par les ‘’Concertateurs’’ et qui n’est jamais arrivé ainsi que de la libération de tous les détenus politiques.
D’ailleurs, au lendemain de ces ‘’concertations’’, le député Fidel Babala, Secrétaire Général Adjoint du MLC qui avait pris part à ces ‘’Concertations’’ a été arrêté comme un vilain malfrat et transféré à la CPI alors qu’une de leurs recommandations, sous forme d’engagement, était justement d’apporter un concours consulaire aux compatriotes se trouvant à la Haye.
Comble de l’ironie, alors que Fidel Babala, Congolais et Député national de son état, a sollicité auprès de la CPI sa mise en liberté provisoire, son propre pays refuse par un avis négatif du Procureur Général de la République contre celui positif du Ministre de la Justice de l’accueillir alors que depuis la révision constitutionnelle intempestive de janvier 2011, le parquet exerce sa mission sous l’autorité du ministre de la Justice dont il est le bras séculier !
L’insécurité politique, juridique et judiciaire continue ainsi de vivre côte à côte avec l’insécurité sociale, des personnes et de leurs biens.
4. DE LA GUERRE ET DE L’INSECURITE GENERALISEE
Comme on peut s’en rendre compte, la République Démocratique du Congo est inlassablement englué dans une insécurité généralisée, mieux dans une guerre à huit-clos :
– Au Katanga, les Mai-Mai et les Bakata Katanga continuent de sévir ;
- Au Nord et au Sud Kivu, des forces négatives tant nationales qu’étrangères pillent minerais et plantations, violent les filles et massacres les populations ;
- Les rebelles des FDRL, qui refusent de quitter le Nord et le Sud Kivu y demeurent actifs etse livrent aux attaques, pillages, et kidnapping dans plusieurs localités de ces provinces ainsi qu’au Katanga où ils continuent de s’illustrer par plusieurs exactions ;
- Les Mai-Mai Raia Mutomboki ont repris le contrôle de plusieurs localités et les habitants de celles-ci vivent maintenant dans la brousse tandis que d’autres se sont déplacés vers des localités voisines;
- Dans les districts du Haut-Uélé et Bas-Uélé, les éléments de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) poursuivent sans désemparer leurs activités négatives et les ADF-Nalu sèment la terreur à Béni;
- Pendant près de trois ans, et malgré les démentis du gouvernement congolais, il est aujourd’hui incontestable que tout un bataillon de l’armée burundaise était basé à Kiliba, au Sud-Kivu et qu’il y menait des opérations militaires dont la nature est toujours inconnue des congolais. La confirmation de leur présence n’est pas sans rappeler le safari militaire de l’armée rwandaise il y a quelques années au Nord-Kivu;
- S’agissant du M23, des sources concordantes rapportent qu’en fait ce mouvement rebelle a feint d’avoir baissé pavillon et qu’il se préparerait à relancer la guerre contre notre pays ;
- Dans la province de l’Equateur, des groupes armés centrafricains, en l’occurrence la « Séléka » et les « Anti-Balaka », font régulièrement des incursions à Zongo et commettent des exactions non seulement contre les réfugiés centrafricains mais aussi contre les populations locales ;
- L’ONG Human Rights Watch a récemment rapporté que 100 démobilisés, des combattants et les membres de leurs familles, affaiblis par la malnutrition et les maladies sont morts à Kotakoli et a accusé le gouvernement congolais de négligence ;
- Au Kasaï-Oriental, le banditisme a atteint des proportions inquiétantes et des cas d’insécurité perpétrés par des bandits armés inquiètent de plus en plus les populations ;
- D’après les organisations locales de la Société civile du Bas-Congo, l’insécurité grandit sensiblement dans cette province et il ne se passe pas un jour sans que l’on enregistre des cas de vols à main armée ou de viols;
- Sans aucune protection et assistance, nos compatriotes ont été refoulés dernièrement de la République du Congo dans des conditions inhumaines et jusqu’à présent, les autorités de la RDC ne se préoccupent pas de dire aux congolais ce qui s’est réellement passé ;
- Quant à la ville de Kinshasa, les observateurs se demandent si elle n’est pas devenue un nouveau « Far West » car, sans compter la montée en puissance des « Kulunas », des bandits armés frappent quand ils veulent et où ils veulent. Ils assassinent des cambistes ici et là, volent, violent et s’illustrent dans des braquages et autres formes de violences à telle enseigne que vivre dans la capitale est devenu un calvaire pour ses habitants;
Devant l’impuissance manifeste de l’Etat congolais à faire face à l’insécurité généralisée reprise dans ce tableau sombre, le Représentant Spécial du Secrétaire général des Nations-Unies a dû hausser le ton dernièrement en déclarant qu’il faut mettre fin à la violence sous toutes ses formes et, en priorité, à ce qu’il a qualifié de « terrorisme sexuel » !
Malgré les dénégations du « Ministre du démenti », le dernier rapport de l’Indice Mo Ibrahim 2014 indique effectivement une nette détérioration de la situation sécuritaire du pays et de l’Etat de droit comme celle de la participation citoyenne ainsi des droits humains.
Malgré les efforts appréciables que la Monusco et les FARDC déploient sur le terrain des opérations, il est aujourd’hui clair en définitive que notre pays est en guerre.
Voilà que, dans son allocution à la 69ème Assemblée Générale de l’Organisation des Nations-Unies, Monsieur Kabila, va déclarer pince sans rire au monde entier que la République Démocratique du Congo est de nouveau un pays debout, vantant le ‘’dynamisme de son économie avec un taux de croissance au-dessus de la moyenne africaine alors que, selon l’indicateur de développement humain, notre pays, malgré ses potentialités, est classé deuxième pays le plus pauvre du monde avec 241 dollars de PIB par habitant ! Pourtant, dans son discours sur l’Etat de la Nation du 13 décembre 2008, Monsieur Kabila avait déclaré : « Ma détermination à donner un contenu réel à la promesse faite à notre peuple d’améliorer son vécu quotidien demeure inébranlable».
Devant l’impuissance manifeste de l’Etat congolais à faire face à l’insécurité généralisée reprise dans ce tableau sombre, le Représentant Spécial du Secrétaire général des Nations-Unies a dû hausser le ton dernièrement en déclarant qu’il faut mettre fin à la violence sous toutes ses formes et, en priorité, à ce qu’il a qualifié de « terrorisme sexuel » !
Malgré les dénégations du « Ministre du démenti », le dernier rapport de l’Indice Mo Ibrahim 2014 indique effectivement une nette détérioration de la situation sécuritaire du pays et de l’Etat de droit comme celle de la participation citoyenne ainsi des droits humains.
Malgré les efforts appréciables que la Monusco et les FARDC déploient sur le terrain des opérations, il est aujourd’hui clair en définitive que notre pays est en guerre.
Voilà que, dans son allocution à la 69ème Assemblée Générale de l’Organisation des Nations-Unies, Monsieur Kabila, va déclarer pince sans rire au monde entier que la République Démocratique du Congo est de nouveau un pays debout, vantant le ‘’dynamisme de son économie avec un taux de croissance au-dessus de la moyenne africaine alors que, selon l’indicateur de développement humain, notre pays, malgré ses potentialités, est classé deuxième pays le plus pauvre du monde avec 241 dollars de PIB par habitant ! Pourtant, dans son discours sur l’Etat de la Nation du 13 décembre 2008, Monsieur Kabila avait déclaré : « Ma détermination à donner un contenu réel à la promesse faite à notre peuple d’améliorer son vécu quotidien demeure inébranlable».
Aux dernières nouvelles, sûrement dans une tentative de « corriger » Monsieur Kabila dans l’hypothèse où l’on pourrait interpréter l’adjectif «debout» utilisé par ce dernier comme de la « stagnation», son Premier Ministre a dit que « la République Démocratique du Congo n’était pas seulement débout mais elle est en marche » !
Ah, oui ! Avec un budget de 9.000.000.000 de dollars ?
Ah, oui ! Avec un budget de 9.000.000.000 de dollars ?
5. DU BUDGET
Comment se réjouir quand on présente un projet de budget de 9 milliards de dollars pour un pays de 73 million d’habitants, surtout quand on sait que l’Angola voisin exécute un budget de plus de 70 milliards de dollars avec une population trois fois moins que la nôtre. Dans son projet de budget, le gouvernement n’a pas démontré aux congolais qu’il y avait une politique réelle de développement autre que celle de la prédation et de la corruption. Quelle est la place de l’agriculture dans notre pays avec un budget du secteur qui n’atteint même pas 5% du budget total. La RDC a besoin d’un plan de développement chiffré avec des projets ambitieux tels que le port en eau profonde de Banana (par ailleurs promis depuis 2009) et tant d’autres. Des projets qui vont créer des richesses et des emplois. Il faut des mesures efficaces pour soutenir l’entreprenariat et non vanter la croissance qui n’amène pas la prospérité.
Comment se réjouir quand on présente un projet de budget de 9 milliards de dollars pour un pays de 73 million d’habitants, surtout quand on sait que l’Angola voisin exécute un budget de plus de 70 milliards de dollars avec une population trois fois moins que la nôtre. Dans son projet de budget, le gouvernement n’a pas démontré aux congolais qu’il y avait une politique réelle de développement autre que celle de la prédation et de la corruption. Quelle est la place de l’agriculture dans notre pays avec un budget du secteur qui n’atteint même pas 5% du budget total. La RDC a besoin d’un plan de développement chiffré avec des projets ambitieux tels que le port en eau profonde de Banana (par ailleurs promis depuis 2009) et tant d’autres. Des projets qui vont créer des richesses et des emplois. Il faut des mesures efficaces pour soutenir l’entreprenariat et non vanter la croissance qui n’amène pas la prospérité.
Avec un tel budget, il est aujourd’hui établi que la République démocratique du Congo ne sera pas en mesure de répondre aux objectifs du millénaire en 2015 tel que recommandé par l’UNESCO.
De qui se moque-t-on alors?
Pour Monsieur Kabila et son Premier Ministre, tout va bien et même très bien en République Démocratique du Congo. Il n’y a pas de crise politique, les institutions de la République fonctionnent normalement, la sécurité est assurée sur toute l’étendue du territoire national, les élections prochaines auront lieu selon le calendrier arrêté par la CENI et que toutes les options sont prises pour que le pays en sorte plus apaisé, plus uni et plus fort !
Et, parmi ses objectifs prioritaires, il va citer la nécessité de renforcer la cohésion nationale sans se soucier de la cause profonde de son émiettement!
Pourtant, dans son discours d’investiture du 06 décembre 2006, il affirmait: «Veiller au maintien de l’unité et de la cohésion nationale retrouvées sera l’épicentre de mon action politique».
Pourtant, dans son discours d’investiture du 06 décembre 2006, il affirmait: «Veiller au maintien de l’unité et de la cohésion nationale retrouvées sera l’épicentre de mon action politique».
Mais, qu’a-t-il fait de la cohésion nationale « retrouvée » en 2006 et au maintien duquel il s’était pourtant, 7 ans auparavant, engagé à veiller ?
Avec la complicité de la CENI du tristement célèbre Ngoy Mulunda, Monsieur Kabila l’a sciemment détruit, provoquant l’insécurité institutionnelle décriée actuellement et que seul un dialogue inclusif peut réparer.
6. DU DIALOGUE
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
Le 28 novembre 2011 sera gravé dans les annales de l’histoire de notre pays comme étant la date symbolisant la plus grande forfaiture que notre pays ait connue.
En effet, après la trahison que constituait la révision constitutionnelle de janvier 2011, les élections organisées par la CENI de Monsieur Ngoy Mulunda ont été sévèrement déblatérées par tous les observateurs nationaux et internationaux. Pour le Cardinal Monsengwo, les résultats publiés n’étaient pas conformes à la vérité, ni à la justice. Pour tous les observateurs internationaux, ils n’étaient pas crédibles, donc pas véridiques et donc contestables.
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
Le 28 novembre 2011 sera gravé dans les annales de l’histoire de notre pays comme étant la date symbolisant la plus grande forfaiture que notre pays ait connue.
En effet, après la trahison que constituait la révision constitutionnelle de janvier 2011, les élections organisées par la CENI de Monsieur Ngoy Mulunda ont été sévèrement déblatérées par tous les observateurs nationaux et internationaux. Pour le Cardinal Monsengwo, les résultats publiés n’étaient pas conformes à la vérité, ni à la justice. Pour tous les observateurs internationaux, ils n’étaient pas crédibles, donc pas véridiques et donc contestables.
En février 2012, les FAC avaient commencé à réclamer le dialogue inclusif, franc et sincère pour résoudre la crise de légitimité qui s’en était suivie, notamment avec une proposition de sortie de crise discutée avec Monsieur Hervé Ladsous, Secrétaire-Général Adjoint des Nations-Unies chargé des Opérations de Maintien de la Paix.
Mais, c’était sans compter avec Monsieur Kabila qui, à l’image de sa « prestation de serment » militarisée et au rabais, avait résolument levé l’option dangereuse de la gouvernance par défi qu’il poursuit d’ailleurs en recourant à des stratagèmes politiques d’un autre âge et, dans le processus, détruisant carrément le lien cohésif national décliné dans l’exposé des motifs de la Constitution, nécessaire à la stabilité des institutions, à la paix et au développement.
Mais, c’était sans compter avec Monsieur Kabila qui, à l’image de sa « prestation de serment » militarisée et au rabais, avait résolument levé l’option dangereuse de la gouvernance par défi qu’il poursuit d’ailleurs en recourant à des stratagèmes politiques d’un autre âge et, dans le processus, détruisant carrément le lien cohésif national décliné dans l’exposé des motifs de la Constitution, nécessaire à la stabilité des institutions, à la paix et au développement.
L’enlisement dangereux de la situation a poussé la Communauté internationale, sous l’impulsion du Secrétaire Général des Nations-Unies, à s’impliquer activement.
C’est ainsi que le 24 février 2013 l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RD Congo et la région fut signé à Addis-Abeba.
C’est ainsi que le 24 février 2013 l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RD Congo et la région fut signé à Addis-Abeba.
Et pour motiver sa démarche, le 27 février 2013, le Secrétaire Général des Nations-Unies a présenté devant le Conseil de Sécurité des Nations-Unies un rapport spécial qui, en fait, est un réquisitoire imparable, fatal sur notre pays. Le sombre et sévère diagnostic contenu dans ce rapport présente l’image honteuse d’un pays en faillite.
Selon ce rapport, la RDC, par la faiblesse de ses institutions et la mauvaise gouvernance, est devenue une menace sérieuse pour la sécurité en Afrique en général et dans la région des Grands Lacs en particulier. Un ancien Chef d’Etat-Major de l’armée congolaise, devenu Ministre de la Défense d’un des pays agresseurs de la RD Congo a affirmé en août 2012, dans un silence assourdissant des autorités de Kinshasa, qu’en RD Congo il n’y a ni gouvernement, ni armée, rien. Seulement un grand vide !
Selon ce rapport, la RDC, par la faiblesse de ses institutions et la mauvaise gouvernance, est devenue une menace sérieuse pour la sécurité en Afrique en général et dans la région des Grands Lacs en particulier. Un ancien Chef d’Etat-Major de l’armée congolaise, devenu Ministre de la Défense d’un des pays agresseurs de la RD Congo a affirmé en août 2012, dans un silence assourdissant des autorités de Kinshasa, qu’en RD Congo il n’y a ni gouvernement, ni armée, rien. Seulement un grand vide !
Voilà pourquoi, le 28 mars 2013, le Conseil de Sécurité, à travers la Résolution 2098 et son annexe (l’Accord-cadre), a demandé au Représentant spécial « au moyen de ses bons offices, de s’acquitter de la tâche de faciliter un dialogue politique transparent et sans exclusive entre toutes les partie prenantes congolaises en vue de favoriser la réconciliation et la démocratisation et encourager l’organisation des élections provinciales et locales crédibles et transparentes ».
Remarquez avec nous que puisqu’il s’agit de réconciliation, de démocratisation et des élections crédibles et transparentes, Monsieur Kabila se cabre.
Pendant près de dix-huit mois depuis que l’Accord-cadre a été signé et la Résolution 2098 décidée, Monsieur Kabila ignore complètement ces instruments internationaux et refuse de s’y conformer. Il refuse donc la stabilité des institutions ainsi que la garantie de sécurité pour tous.
Plutôt donc que d’honorer sa signature apposée au bas de l’Accord-cadre, il préfère le contourner en pondant ses ‘’Concertations’’ dites ‘’nationales’’ dont les résultats sont connus de tous, c’est à dire l’exacerbation de la tension sur le plan interne et la fragilisation du pays aux fins d’achever son œuvre de destruction du tissu identitaire de notre peuple.
Sans exclure le recours à l’application de l’article 64 de la Constitution, il reste que la tenue rapide de ce dialogue conformément à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et à la Résolution 2098 du Conseil de Sécurité reste, encore pour le moment, l’option la plus raisonnable pour préserver le pays d’un bain de sang et d’un chaos certains.
Les FAC en appellent donc à l’Envoyé Spécial du Secrétaire général des Nations-Unies pour la Région des Grands-lacs, au Représentant Spécial du Secrétaire général des Nations-Unies en RDC, à l’Envoyé Spécial du Gouvernement des Etats-Unis, à l’Envoyé Spécial de l’Union Européenne, à l’Envoyé Spécial de l’Union Africaine pour qu’ils s’impliquent urgemment et efficacement afin de faciliter ce dialogue.
Les FAC en appellent donc à l’Envoyé Spécial du Secrétaire général des Nations-Unies pour la Région des Grands-lacs, au Représentant Spécial du Secrétaire général des Nations-Unies en RDC, à l’Envoyé Spécial du Gouvernement des Etats-Unis, à l’Envoyé Spécial de l’Union Européenne, à l’Envoyé Spécial de l’Union Africaine pour qu’ils s’impliquent urgemment et efficacement afin de faciliter ce dialogue.
A ce stade, il est important de fixer l’opinion tant nationale qu’internationale sur la position des FAC concernant ce dialogue. Pour nous, il s’agira de trouver un consensus sur :
– La résolution de la crise de légitimité ;
– La restructuration de la CENI ;
– L’audit du fichier électoral ;
– Le calendrier global des élections ;
– L’évaluation de la mise en œuvre de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.
Il doit être bien compris que dans l’entendement des FAC, il ne sera pas question lors ou à l’issue de ce dialogue :
1. de réviser ou de changer la Constitution actuelle,
2. de mettre en place un gouvernement d’union ou de cohésion nationale ou même de transition.
Car, pour les FAC, il faut à tout prix organiser les élections présidentielle et législatives trois mois avant l’échéance conformément à la Constitution. Ainsi, les FAC s’opposeront farouchement à toute tentative, initiative ou subterfuge allant dans le sens d’un ‘’glissement’’ au-delà de 2016!
– La résolution de la crise de légitimité ;
– La restructuration de la CENI ;
– L’audit du fichier électoral ;
– Le calendrier global des élections ;
– L’évaluation de la mise en œuvre de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba.
Il doit être bien compris que dans l’entendement des FAC, il ne sera pas question lors ou à l’issue de ce dialogue :
1. de réviser ou de changer la Constitution actuelle,
2. de mettre en place un gouvernement d’union ou de cohésion nationale ou même de transition.
Car, pour les FAC, il faut à tout prix organiser les élections présidentielle et législatives trois mois avant l’échéance conformément à la Constitution. Ainsi, les FAC s’opposeront farouchement à toute tentative, initiative ou subterfuge allant dans le sens d’un ‘’glissement’’ au-delà de 2016!
Et, préalablement à tout dialogue, nous exigerons la libération sans condition de tous les détenus politiques notamment Diomi Ndongala, l’Honorable Jean-Bertrand Ewanga, Monsieur Bruno Kabatshi.
Il est donc temps que toutes les organisations politiques se réclamant de l’Opposition puissent se prononcer maintenant sur leur entendement du dialogue que nous exigeons tous !
7. DE LA TRAQUE DES OPPOSANTS
Deux cas sérieux de l’insécurité dans laquelle se trouvent les opposants en RDC traque des opposants et qui mettent en lumière l’instrumentalisation de la Justice dans notre pays méritent d’être relevés ici. Il s’agit des ‘’condamnations ‘’ de Monsieur Diomi Ndongala et de l’Honorable Jean-Bertrand Ewanga :
– S’agissant de Monsieur Diomi Ndongala, on relève que la composition de la Cour était irrégulière et les faits qui lui sont imputés non jamais été examinés ni prouvés au débat judiciaire. Il été condamné sans être jugé par son juge naturel, à savoir la Cour de cassation (7 juges) au point qu’il a été obligé de saisir le Comité des droits de l’Homme de Genève contre cette décision inique ;
- S’agissant de l’Honorable Ewanga, non seulement que l’Arrêt de la Cour n’est pas motivé sur les éléments constitutifs de l’infraction pour laquelle il a été condamné, infraction qui par ailleurs n’existe pas dans l’arsenal juridique congolais, mais le juge s’est accaparé de l’opinion de la mouvance Kabiliste pour la convertir en infraction et condamner l’Honorable Ewanga.
D’autre part, après le retrait de ses avocats pour insécurité, et n’ayant pas renoncé à son droit d’être assisté, la Cour avait l’obligation de lui désigner un avocat d’office. Ce qui ne fut pas fait !
En un mot, nos deux compatriotes sont séquestrés sans motif !
8. DE L’UNITE DE L’OPPOSITION
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
Beaucoup des choses ont été dites récemment sur l’unité nécessaire de l’opposition. Nous ne nous attarderons pas davantage sur cette question, car les enjeux auxquels fait face notre pays sont importants et nous ne nous laisserons pas distraire par ceux qui veulent nous discréditer en recourant à un vieux procédé: le mensonge. C’est cela aussi l’insécurité à laquelle nous faisons allusion dans notre propos de ce jour.
Laissez-nous seulement vous dire que s’agissant des actions sur terrain, les FAC n’ont plus rien à prouver à personne sinon au peuple congolais.
Aguerries par les velléités dictatoriales et téméraires de la mouvance Kabiliste, les FAC sont conscientes que rien n’est encore gagné en termes d’objectifs que nous nous sommes assignés dans le cadre des Forces Politiques et Sociales pour l’Unité d’Actions.
Cependant, nous considérons que toute organisation doit respecter ses propres principes pour éviter toute sorte de dérives.
Avec responsabilité, les FAC saisissent cette occasion pour réaffirmer ici qu’aucune difficulté n’est insurmontable et l’unité de l’opposition doit se faire dans la sincérité et le respect des principes adoptés. Et sur ce point, il faut le dire tout haut, les FAC ne transigeront pas.
En tous les cas, nous poursuivrons inlassablement notre combat contre la révision ou le changement de la Constitution et nous sommes heureux que la mayonnaise du combat a pris et que des congolais à l’intérieur du pays et ceux de la diaspora, des organisations politiques et sociales de référence, en ce compris celles de la mouvance Kabiliste, ainsi que des autorités scientifiques et morales tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays s’en sont appropriés.
Ne perdons surtout pas de vue que notre cible à tous c’est l’immobilisme imposé au peuple congolais par Monsieur Kabila. Il nous faut construire une alternative crédible et tout combat dans ce sens est notre combat. Nous encourageons plus des congolais à œuvrer dans cette direction pour sauver la Nation.
De manière tout à fait incidente, permettez-nous, de saisir cette opportunité pour rappeler également à tous la position qui a toujours été la nôtre en rapport avec un débat sournois actuellement en cours dans certains salons politiques de l’opposition mais encore timide dans la presse.
Il s’agit du Porte-parole de l’opposition.
A ce sujet, la position des FAC est très claire.
Tout le temps qu’on n’aura pas résolu la question de la crise de légitimité née des élections chaotiques du 28 novembre 2011, nous considérerons les auteurs et participants à cette initiative comme complices de la « légitimation » de l’imposture.
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
Comme vous pouvez-vous en rendre compte, la situation de notre pays est très grave et la problématique de l’insécurité généralisée développée ci-haut n’est pas sans rappeler la posture adoptée par le colonisateur à la veille de son départ, poussé à la porte par les revendications indépendantistes des congolais. Le régime de la deuxième république avait aussi adoptée la même politique. Finalement, le peuple congolais avait tiré la chasse et il fut balayé de la manière que l’on sait.
L’Histoire étant un éternel recommencement, nous constatons que c’est cette même posture ou stratégie de la terre brûlée que le régime finissant de Monsieur Kabila semble prendre afin de se positionner à tort, comme le colonisateur et comme Mobutu, en élément incontournable pour la stabilité du pays et donc capable, de « sauver » la Nation congolaise !
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
Beaucoup des choses ont été dites récemment sur l’unité nécessaire de l’opposition. Nous ne nous attarderons pas davantage sur cette question, car les enjeux auxquels fait face notre pays sont importants et nous ne nous laisserons pas distraire par ceux qui veulent nous discréditer en recourant à un vieux procédé: le mensonge. C’est cela aussi l’insécurité à laquelle nous faisons allusion dans notre propos de ce jour.
Laissez-nous seulement vous dire que s’agissant des actions sur terrain, les FAC n’ont plus rien à prouver à personne sinon au peuple congolais.
Aguerries par les velléités dictatoriales et téméraires de la mouvance Kabiliste, les FAC sont conscientes que rien n’est encore gagné en termes d’objectifs que nous nous sommes assignés dans le cadre des Forces Politiques et Sociales pour l’Unité d’Actions.
Cependant, nous considérons que toute organisation doit respecter ses propres principes pour éviter toute sorte de dérives.
Avec responsabilité, les FAC saisissent cette occasion pour réaffirmer ici qu’aucune difficulté n’est insurmontable et l’unité de l’opposition doit se faire dans la sincérité et le respect des principes adoptés. Et sur ce point, il faut le dire tout haut, les FAC ne transigeront pas.
En tous les cas, nous poursuivrons inlassablement notre combat contre la révision ou le changement de la Constitution et nous sommes heureux que la mayonnaise du combat a pris et que des congolais à l’intérieur du pays et ceux de la diaspora, des organisations politiques et sociales de référence, en ce compris celles de la mouvance Kabiliste, ainsi que des autorités scientifiques et morales tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays s’en sont appropriés.
Ne perdons surtout pas de vue que notre cible à tous c’est l’immobilisme imposé au peuple congolais par Monsieur Kabila. Il nous faut construire une alternative crédible et tout combat dans ce sens est notre combat. Nous encourageons plus des congolais à œuvrer dans cette direction pour sauver la Nation.
De manière tout à fait incidente, permettez-nous, de saisir cette opportunité pour rappeler également à tous la position qui a toujours été la nôtre en rapport avec un débat sournois actuellement en cours dans certains salons politiques de l’opposition mais encore timide dans la presse.
Il s’agit du Porte-parole de l’opposition.
A ce sujet, la position des FAC est très claire.
Tout le temps qu’on n’aura pas résolu la question de la crise de légitimité née des élections chaotiques du 28 novembre 2011, nous considérerons les auteurs et participants à cette initiative comme complices de la « légitimation » de l’imposture.
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,
Comme vous pouvez-vous en rendre compte, la situation de notre pays est très grave et la problématique de l’insécurité généralisée développée ci-haut n’est pas sans rappeler la posture adoptée par le colonisateur à la veille de son départ, poussé à la porte par les revendications indépendantistes des congolais. Le régime de la deuxième république avait aussi adoptée la même politique. Finalement, le peuple congolais avait tiré la chasse et il fut balayé de la manière que l’on sait.
L’Histoire étant un éternel recommencement, nous constatons que c’est cette même posture ou stratégie de la terre brûlée que le régime finissant de Monsieur Kabila semble prendre afin de se positionner à tort, comme le colonisateur et comme Mobutu, en élément incontournable pour la stabilité du pays et donc capable, de « sauver » la Nation congolaise !
Pour les FAC, Monsieur Kabila demeure le facteur de l’insécurité généralisée en République Démocratique du Congo et l’obstacle à la paix.
L’intérêt supérieur de la Nation aujourd’hui commande que nous puissions dire : ASSEZ !
Allez, portez la bonne nouvelle sur vous et répandez ce message partout en République Démocratique du Congo et auprès de nos compatriotes de la diaspora.
Vivent les Forces Acquises au Changement
Vive la République Démocratique du Congo
Nous vous remercions.
Pour les FAC
Martin M. Fayulu
Coordonnateur
Coordonnateur
http://democratiechretienne.org/2014/10/16/conference-de-presse-de-martin-fayulu-les-deputes-eugene-diomi-ndongala-et-bertrand-ewanga-sont-sequestres-par-le-pouvoir-kabila-pas-de-dialogue-sans-liberation-des-prisonniers-politiques/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RADIO OKAPI/RDC: le gouvernement appelé à accorder à Diomi Ndongala l’accès aux soins de santé
par FreeDiomi le 17 octobre 2014
[img(487.79999999999995px,437.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/okapi171014.png?w=894&h=579[/img]
*
Diomi Ndongala aux urgences de la clinique Ngaliema
le 28/12/13 d'où il sera arraché par un commando de
la Garde Républicaine lourdement armé la nuit pour
qu'il ne reçoit pas de soin après un AVC
(accident vasculaire cérébral)
par FreeDiomi le 17 octobre 2014
[img(487.79999999999995px,437.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/okapi171014.png?w=894&h=579[/img]
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RDC: le gouvernement appelé à accorder à Diomi Ndongala l’accès aux soins de santé
publié il y a 51 minutes, | Denière mise à jour le 17 octobre, 2014 à 4:37 | sous En bref. Mots clés: Diomi, Droits de l’homme, HCDH, OpposantDiomi Ndongala aux urgences de la clinique Ngaliema
le 28/12/13 d'où il sera arraché par un commando de
la Garde Républicaine lourdement armé la nuit pour
qu'il ne reçoit pas de soin après un AVC
(accident vasculaire cérébral)
Le Haut commissariat de l’ONU aux droits de l’homme (HCDH) appelle le gouvernement congolais à faciliter à l’opposant Diomi Ndongala l’accès aux soins de santé approprié. La requête du HCDH est contenue dans une lettre adressée au gouvernement congolais dont une copie est parvenue à Radio Okapi, jeudi 16 octobre.
«Nous attendons du gouvernement congolais d’établir les contacts avec Diomi Ndongala en ce qui concerne les dispositions et mesures concrètes qui vont être prises pour lui permettre d’accéder aux soins de santé », a indiqué Me Georges Kapiamba, un des avocats de l’opposant.
Député national déchu et condamné à 10 ans de prison ferme pour viol sur mineure, Eugène Diomi Ndongala a toujours clamé son innocence, estimant son procès n’a pas été équitable et juste. Du fonds de sa cellule, il a récemment porté plainte contre la RDC au Comité international des droits de l’homme.
http://radiookapi.net/en-bref/2014/10/17/rdc-le-gouvernement-appele-accorder-diomi-ndongala-lacces-aux-soins-de-sante/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Eugène Diomi Ndongala
Après l'assassinat lâche du défenseur des droits de l' homme Floribert Chebeya au siège de l'Inspectorat Nationale de la Police; après la disparition de son beau-frère et chauffeur Bazana dans les mêmes circonstances de lieu et de temps et par les même bourreaux en uniforme; après les massacres de jeunes désœuvrés à cause de l'opération de police dite "Likofi" conduite par un officier de police baptisé par les kinois "Esprit de Mort", le régime Kabila refuse encore et tou...jours d' admettre qu'il y ait un grave problème de violence au sein de la Police congolaise. Ce déni est inacceptable car d'autres congolais seront victimes de cette "omerta" à cause de la défense scélérate des antivaleurs au sein d'un corps censé défendre et protéger les congolais. Nier la pertinence d'un rapport des Nations Unies sur la violence policière en RDC ne changera pas une réalité qui est sous les yeux de tous. RDC, un état à refonder, à partir de ses fondations, sur des nouvelles valeurs de vérité, de justice et de respect de la vie et de la dignité humaine....
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FLASH: EXPROPRIATION ILLEGALE DU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE A LA GOMBE APPARTENANT AU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
VOILA QUE LE REGIME KABILA PASSE DESORMAIS A LA VITESSE SUPERIEUR EN SE VENGEANT PAR DES EXPROPRIATIONS ILLEGALES SUR SES BIENS ET EN PRIVANT LE PARTI POLITIQUE DONT IL EST LE PRESIDENT NATIONAL, LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DE SON SIEGE, AFIN DE L’ EMPECHER DE FONCTIONNER NORMALEMENT.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE RAPPELLE QUE DE JUIN 2012 A AOUT 2012, LE SIEGE DE LA DC A ETE OCCUPE ILLEGALEMENT PENDANT 3 MOIS ET TOUS LES BIENS DE VALEUR Y CONTENUS PILLES PAR DES POLICIERS NE DISPOSANT D’ AUCUN MANDAT DE SAISIE. LA DC AVAIT DEPOSE PLUSIEURS PLAINTES AUSSI BIEN A L’ AUDITORAT MILITAIRE QU ‘ A LA BRIGADE CRIMINELLE DE LA POLICE MAIS CES PLAINTE SONT RESTE SANS SUITE ET LES BIENS PILLES JAMAIS DEDOMMAGES.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE AVEC LA DERNIERE ENERGIE CET ENIEME ABUS DONT ELLE ET SON PRESIDENT SONT VICTIMES ET PREND A TEMOIN L’ OPINION NATIONALE ET INTERNATIONALE SUR LA POURSUITE D’ ACTES ILLEGAUX DE LA PART DU REGIME EN PLACE A L’ENCONTRE DU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA ET LE PARTI D’OPPOSITION DONT IL EST LE PRESIDENT NATIONAL.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO,
FAIT A KINSHASA LE 24/10/14
MARC MAWETE,
PORTE-PAROLE DE LA
DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE INFORME L’ OPINION NATIONALE ET INTERNATIONALE QU’EN CE MOMENT DES POLICIERS NON AUTREMENT IDENTIFIES SONT EN TRAIN DE DEGUERPIR LE SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE A LA GOMBE ET TOUT L’IMMEUBLE L’ABRITANT, QUI APPARTIENT AU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA.
IL SIED DE RAPPELLER QUE L’ OPPOSANT EUGENE DIOMI NDONGALA A DEPOSE, IL Y A UN MOIS, UNE PLAINTE CONTRE LA RDC AUPRES DU COMITE DES DROITS DE L’ HOMME DES NATIONS UNIES SIEGEANT A GENEVE, A CAUSE DES TORTURES, DES VIOLATIONS MASSIVES DE DROITS DE L’ HOMME ET DE SES DROITS CIVILS ET POLITIQUES DONT IL EST VICTIME DEPUIS PRESQUE 3 ANS.SANS RESPECTER AUCUNE PROCEDURE LEGALE ET SANS AUCUN PREAVIS, DES POLICIERS SONT EN TRAIN DE PRENDRE POSSESSION ILLEGALEMENT DU SIEGE DE LA DC.
VOILA QUE LE REGIME KABILA PASSE DESORMAIS A LA VITESSE SUPERIEUR EN SE VENGEANT PAR DES EXPROPRIATIONS ILLEGALES SUR SES BIENS ET EN PRIVANT LE PARTI POLITIQUE DONT IL EST LE PRESIDENT NATIONAL, LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DE SON SIEGE, AFIN DE L’ EMPECHER DE FONCTIONNER NORMALEMENT.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE RAPPELLE QUE DE JUIN 2012 A AOUT 2012, LE SIEGE DE LA DC A ETE OCCUPE ILLEGALEMENT PENDANT 3 MOIS ET TOUS LES BIENS DE VALEUR Y CONTENUS PILLES PAR DES POLICIERS NE DISPOSANT D’ AUCUN MANDAT DE SAISIE. LA DC AVAIT DEPOSE PLUSIEURS PLAINTES AUSSI BIEN A L’ AUDITORAT MILITAIRE QU ‘ A LA BRIGADE CRIMINELLE DE LA POLICE MAIS CES PLAINTE SONT RESTE SANS SUITE ET LES BIENS PILLES JAMAIS DEDOMMAGES.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE AVEC LA DERNIERE ENERGIE CET ENIEME ABUS DONT ELLE ET SON PRESIDENT SONT VICTIMES ET PREND A TEMOIN L’ OPINION NATIONALE ET INTERNATIONALE SUR LA POURSUITE D’ ACTES ILLEGAUX DE LA PART DU REGIME EN PLACE A L’ENCONTRE DU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA ET LE PARTI D’OPPOSITION DONT IL EST LE PRESIDENT NATIONAL.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO,
FAIT A KINSHASA LE 24/10/14
MARC MAWETE,
PORTE-PAROLE DE LA
DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE L’INSECURITE JURIDIQUE QUI SEVIT EN RDC: LE CAS FLAGRANT DES OCCUPATIONS EN SERIE DES LOCAUX DI SIEGE NATIONAL DE LA DC A KINSHASA
par FreeDiomi le 25 octobre 2014
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par FreeDiomi le 25 octobre 2014
L’ INSECURITE JURIDIQUE EN RDC EST DEVENUE INTOLERABLE, SANS AUCUN SIGNE D’AMELIORATION.
BIEN AU CONTRAIRE, TOUT LAISSE CROIRE QUE L’ INSTRUMENTALISATION DE LA JUSTICE A DES FINS POLITIQUES A TOUCHE SON SOMMET HISTORIQUE.
UN EXEMPLE EST DONNE PAR LES VICISSITUDES QUI A TRAVERSE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC EN SIGLE, EN 17 ANS DE COMBAT POUR LE RESPECT DES DROITS CIVILS ET POLITIQUES DES CITOYENS CONGOLAIS.
EN EFFET, LE SIEGE NATIONAL DE NOTRE PARTI POLITIQUE DE L’OPPOSITION, LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, EST A SA QUATRIEME EXPROPRIATION ET OCCUPATION ILLEGALE DE LA PART D’ HOMMES EN ARMES ET POUR DES RAISONS POLITIQUES.
VOICI LES PRECEDENTS HISTORIQUES DE L’INSECURITE JURIDIQUE QUE NOUS SUBISSONS DEPUIS LE REGIME DE L’ AFDL ET SES HERITIERS KABILISTE ET JOSEPHISTE, JUSQU’A CE JOUR:
- EN 1997 LES ENVAHISSEURS DU FPR (FRONT PATRIOTIQUE RWANDAIS) ET LEURS ALLIES OUGANDAIS AVAIENT OCCUPE LE SIEGE DE LA DC A LA GOMBE POUR EN FAIRE LA RESIDENCE PRIVEE D’ UNE NIECE DE MUSEVENI QUI AVAIT ACCOMPAGNE LE CONGLOMERAT D’ AVENTURIERS DE L’ AFDL JUSQU ‘A KINSHASA;
- EN 1999 CE FUT LE TOUR DE L’ OBMA, OFFICE DES PRETENDUS « BIENS MAL ACQUIS », ALORS QUE L’MMEUBLE ABRITANT LE SIEGE DE LA DC AVAIT ETE BATI PAR FEU GASTON DIOMI NDONGALA ET LAISSE EN HERITAGE A SON FILS, EUGENE DIOMI NDONGALA.
- EN JUIN 2012 LES HOMMES DE KANYAMA ONT OCCUPE LE SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE PENDANT 3 MOIS LE PILLANT DE FOND EN COMBLE AVEC L’ EXCUSE BIDON DE LEUR MONTAGE POLITICO-JUDICIARE UTILISE POUR ESSAYER DE NEUTRALISER POLITIQUEMENT LE PRESIDENT NATIONAL DE LA DC, EUGENE DIOMI NDONGALA. LES NOMBREUSES PLAINTES OFFCIELLES POUR LA RESTITUTION DES BIENS PILLES AUPRES DE LA BRIGADE CRIMINELLE, LE PARQUET GENERAL, L’ AUDITORAT MILITAIRE ET L’ INSPECTION JUDICIARE SONT RESTEES LETTRE MORTE JUSQU’ A CE JOUR.
- DEPUIS LE 24/10/2014, LE SIEGE DE LA DC EST ENCORE OCCUPE ILLEGALEMENT EN MESURE DE RETORSION CONTRE LE DEPOT DE LA PART DU LEADER DE LA DC, LE PRISONNIER POLITIQUE ET RESISTANT EUGENE DIOMI NDONGALA, D’UN PLAINTE INTERNATIONALE AUPRES DU COMITE DES DROITS DE L’ HOMME DES NATIONS UNIES, A CAUSE DES PERSECUTIONS INDESCRIPTIBLES, TORTURES ET DENI DU DROIT AUX SOINS DONT IL EST VICTIME DEPUIS PRESQUE 3 ANS, POUR FLECHIR SA DETERMINATION A NE PAS ACCEPTER AUCUNE COMPROMISSION AVEC LA DICTACTURE ISSUE DE LA FRAUDE ELECTORALE….
VOILA CE QUE SUBISSENT LES VRAIS PARTIS D’ OPPOSITION QUI COMBATTENT SERIEUSEMENT LES ANTI-VALEURS DE LA DICTACTURE EN RDC:
NON A L’ INSECURITE JURIDIQUE;
NON A L’ EXPROPRIATION ILLEGALE DU SIEGE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EN TANT QUE MESURE DE RETORSION CONTRE LE PRISONNIERS POLITIQUE ET RESISTANT EUGENE DIOMI NDONGALA DETENU ARBITRAIREMENT A LA SUITE D’UN PROCES POLITIQUE ABOUTISSANT A UNE CONDAMANTION NULLE ET NON ADVENUE A CAUSE DES VIOLATIONS GRAVISSIMES DU DROIT DE LA PART DES JUGES DE LA COUR SUPREME DE JUSTICE, DONT LA PRISE A PARTIE OFFICIELLEMENT DEPOSEE PRES DU PREMIER PRESIDENT DE LA COUR SUPREME DE JUSTICE EST RESTEE LETTRE MORTE A CE JOUR, METTANT AINSI EN EXERGUE QU’ EN RDC LA JUSTICE N ‘EST PAS EGALE POUR TOUS LES CITOYENS.
LA DC CONTINUERA A DENONCER LES DERIVE TOTALITAIRES DU REGIME EN PLACE ET A SE MOBILISER, MALGRE TOUT ET CONTRE TOUTE FORME D’ INJUSTICE ET DE VIOLENCE, LUTTANT POUR LE DEMARRAGE D’UN VERITABLE PROCESSUS DE DEMOCRATISATION AU CONGO-KINSHASA, CAPABLE DE METTRE EN TERME A L’INSECURITE JURIDIQUE ENDEMIQUE QUI MINE LES FONDATIONS DU CONTRAT SOCIAL EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO
KINSHASA, 25/10/14
MARC MAWETE,
PORTE PAROLE
DC
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VIDEO/ DIOMI NDONGALA, PRISONNIER POLITIQUE EN RDC, EN SITUATION DE "MORT JURIDIQUE" EN RDC, OTAGE PERSONNEL DE JOSEPH KABILA
Dans "AFFAIRE FLORIBERT CHEBEYA"
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE LE PILLAGE DE SON SIEGE NATIONAL PAR LA PNC
****************************************************************************** COMMUNIQUE DE PRESSEde la VSV sur l’occupation du siège de la DC- N°019/RDC/VSV/CE/2012 Publié le 28 juillet 2012by mpp COMMUNIQUE DE PRESSE N°019/RDC/VSV/CE/2012 SEQUESTRATION DES JOURNALISTES, MEMBRES DE FAMILLE…Dans "Congo Kinshasa"
INTERPRETE: PRESTATIONS EPOUSTOUFLANTES DE LA DC DE DIOMI NDONGALA LE A PLACE SAINTE-THERESE A NDJILI
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DIAPORAMA DC…
DIOMI NDONGALA ET ETIENNE TSHISEKEDI 07/11/12
MANIFESTATION DES COMBATTANTS DE LONDRES
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
KOTA a écrit:
[/justify]
par FreeDiomi le 16 octobre 2014
Le Comité des droits de l’homme de l’ONU préoccupé par l’état de santé d’Eugène Diomi Ndongala
15 Octobre 2014
Ngadiadia national ...
nous ne sommes pas dupes...
Le congo est un pays souverain avec sa justice souveraine
...la place de Diomi se trouve bien la ou son ami Onusumba reside en ce moment...
Boyebisa ye to not drop the soap
zobattants
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
HISTOIRE D’ORDINAIRE SOUS-DEVELOPPEMENT: L’AFFAIRE CINAT, QUAND LA POLITIQUE EST INSTRUMENTALISEE POUR ETERNISER LE SOUS-DEVELOPPEMENT DE LA RDC
par FreeDiomi le 26 octobre 2014AFFAIRE CINAT: QUAND LE GOUVERNEMENT DE LA RDC PREFERE METTRE EN FAILLITE UNE DES RARES USINES INDUSTRIELLES DE LA RDC POURVU QUE LA REPRISE DE LA PRODUCTION NE SE FASSE PAS GRACE A L ENGAGEMENT FINANCIER D’UN FILS KONGO, EUGENE DIOMI NDONGALA
[img(498.79999999999995px,397.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2014/10/cinat-kimpese.jpg?w=501&h=400[/img]
Pour bien illustrer le calvaire qui vivent les travailleurs de la Cimenterie nationale (CINAT), une usine productrice de ciment situé à Kimpese, au Bas-Congo, cette histoire mérite d’être racontée pour démontrer à quel point les actuels détenteurs du pouvoir en RDC ne veulent pas le développement du Congo PAR les congolais eux-mêmes.
Un exemple éloquent de blocage de tout investissement et développement autonome au Bas-Congo est clairement donné par l’Affaire CINAT.
Cette cimenterie a un rôle capitale dans l’économie de la province du Bas-Congo, aussi bien pour l’emploie de plusieurs centaines de travailleurs que pour son caractère stratégique produisant du ciment localement à bas prix. Tous les congolais savent très bien qu’au jour d’aujourd’hui une grande partie du ciment utilisé à Kinshasa et ailleurs dans le pays est importé, faute de production locale.
En 2011, des responsables du Conseil d’Administration de la CINAT et du syndicat des travailleurs au chômage technique depuis trop longtemps, étaient à la recherche désespérée de financements pour relancer la production aux arrêts depuis plusieurs années, faute d’argent pour acheter le fuel, le gasoil et le gypse indispensables à la production de ciment. Aucune banque n ‘était prête à les financer pour relancer la production et le gouvernement de la RDC ignorait superbement leur appel à l’aide. Même le siège de la CINAT à Kinshasa était en train d’être vendu pour payer les fournisseurs.
Dans ce contexte de recherche de la dernière solution pour sauver la société et l ‘outil de production ainsi que soulager les travailleurs au chômage technique pendant des années, les responsable du conseil d’administration contactent Eugène DIOMI NDONGALA en tant que notable Ne-kongo soucieux du développement de sa province natale, afin de lui demander de garantir un prêt à la Cinat près d’une banque, avec ses biens immobiliers, afin de permettre la reprise de la production à la cimenterie nationale. Le conseil d’administration de la cimenterie s’engage à rembourser la garantie donné par Eugène DIOMI NDONGALA à la banque de son choix, par un remboursement petit à petit en production de leur ciment.
L’Honorable Eugène DIOMI NDONGALA, attaché au développement de sa province et au bien être des habitants de la ville de Kimpese, dont le 90% de sa population active travaille pour la cimenterie, accepte de garantir avec ses biens personnels la fourniture de gasoil, fuel et gypse pour que la CINAT reprenne à produire du ciment.
A cet effet, des biens de l’Honorable Diomi Ndongala sont placés en garantie de la fourniture des produits de base pour la production de ciment et le siège de la Ciant à Kinshasa est aussi sauvé.
La CINAT reprend ainsi, après des années de suspension de fonctionnement, à produire du ciment; les centaines de travailleurs de Kimpese ont de nouveau du travail et le marché du ciment est de nouveau approvisionné en production locale moins chère.
Après les élections frauduleuses de novembre 2011, la production de ciment est régulière jusqu’au moment où, à cause de ses prises de position en faveur de la vérité des urnes aux cotés de Etienne Tshisekedi, Eugène Diomi Ndongala devient l’homme et l’investisseur à abattre pour les détenteurs de facto du pouvoir.
Presqu’ au même moment où les services de sécurité ourdissent un montage politico-judiciaire pour arrêter l’Honorable Diomi, à la CINAT la reprise de la production est stoppée brutalement par un ordre du gouvernement Kabila d’arrêter immédiatement aussi bien la production de ciment que le contrat signé par le conseil d’administration en place avec l’Honorable Eugène Diomi Ndongala.
Pour bien souligner son adversité à la reprise de la production grâce au contrat avec Diomi, le conseil d’administration est remplacé par un nouveau staff dirigeant dont le seul objectif est d’ interrompre la production et annuler – de facto – le contrat signé avec Diomi Ndongala.
Ainsi, depuis juin 2012, la CINAT est aux arrêts de production totale et pas un seul gramme de ciment n’est sorti depuis 2012 de ces usines de productions; des centaines de travailleurs se retrouvent en chômage technique sans payement de salaire et la famine s’installe à Kimpese.
Il sied de se demander jusqu’à quel point peut-elle arriver la Haine politique dans le chef des actuels gouvernants de la RDC, qui vantent à droit et à gauche leur volonté de relancer le développement de la RDC alors que, dans les faits, ils ne font que anéantir tout efforts des vrais congolais dans ce sens.
Le gouvernement de la RDC préfère mettre aux arrêts la production de toute une société paraétatique, une des rares usines de production industrielle locale qui existent en RDC, pourvu qu’un opposant soit neutralisé politiquement et économiquement.
En effet, pas contents d’avoir provoqué la faillite de la CINAT, empêchant l’évolution du seul contrat de financement qu’elle avait pu obtenir grâce à l’engagement d’un fils du terroir, le gouvernement de la RDC utilisera des instruments illégaux pour exproprié les biens immobiliers que l’Honorable Diomi Ndongala, prisonnier politique de ce même gouvernement depuis 2012, avait donné en garantie pour la production de la stratégique usine de la CINAT et pour le bien être des travailleurs au chômage technique sans payement de salaires.
Ainsi, d’un coté, le gouvernement irresponsable de la RDC ne rembourse pas la garantie financière que Diomi Ndongala avait prêté à la CINAT et, au même moment, il fait saisir d’un manière illégale et en violation de toute procédure juridique en la matière, les mêmes biens immobiliers que l’Honorable Diomi Ndongala avait utilisé pour garantir la production industrielle de la CINAT que ce même gouvernement a interrompu, abandonnant des centaines de travailleurs au chômage: voilà jusqu’à quel point peut – elle arriver la haine politique du gouvernement issu de la fraude électorale de 2011.
Alors que le nouveau comité de gestion d’une CINAT aux arrêts totales de production désormais depuis 2 ans cherche désespérément et en vain un acheteurs étranger pour « vendre » cette usine de production locale de ciment, il suffirait que le contrat avec l’honorable Diomi Ndongala puisse continuer pour que la production reprenne dans la satisfaction générale: au moment où nous parlons, des centaines de litres de fuel, gasoil et gypse fournit à la CINAT grâce à la garantie prêtée par Diomi Ndongala restent inutilisés pour des raisons” politiques” alors qu’on cherche à aliéner à un investisseur étranger ce rare bijou de l’industrie du Bas-Congo.
Vu ce qui précède, il sied de s’interroger sur la conception de développement prônée par le gouvernement Kabila, qui préfère aliéner un outil de production, le mettre aux arrêts pourvu que la production ne se fasse pas grâce à la générosité d’un opposant politique ressortissant du Bas-Congo.
Avec ce mentalité contraire à toute logique de développement, le RDC ne pourra jamais se développer car un gouvernement qui est prêt à mettre à l’ arrêt une des rares usines industrielles de la RDC pourvu que cela ne se fasse pas grâce à la générosité et clairvoyance d’un de ses fils, ne pourra jamais œuvrer sincèrement pour le développement du grand Congo.
De plus, exproprier les citoyens congolais qui ont le courage de prendre des risques pour développer leur pays est encore plus malsain, répondant à une logique de haine politique féroce, d’insécurité juridique permanente qui est exactement antinomique aux faux slogans de cohésion nationale qui nourrissent à longueur de journée la propagande officielle.
Marc MaweteSource: syndicat des travailleurs de la Cinat
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