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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA

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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Empty Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA

Message  KOTA 23/8/2014, 2:56 am

Revirement de la situation : La Majorité surprend avec le schéma du vrai dialogue
par FreeDiomi le 22 août 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Opposition-politique-congolaise
Revirement de la situation : La Majorité surprend avec le schéma du vrai dialogue
 vendredi 22 août 2014 10:38
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Tempete_02
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Palais_P
La dissolution de l’actuel Parlement et la formation d’un nouveau gouvernement composé de la vraie Opposition et de la mouvance présidentielle pour conduire le pays aux élections envisagées.
Depuis les élections bâclées du 28 novembre 2011, l’Opposition politique congolaise ne cessait d’exiger le dialogue avec la Majorité présidentielle (MP) en vue de trouver une solution à la crise de légitimité qui rongeait déjà la République démocratique du Congo. Mais le pouvoir en place s’opposait catégoriquement à cette démarche. Selon le ministre Lambert Mende, par exemple, “le temps des conciliabules est révolu “, avait-il plusieurs fois déclaré lors de ses différents points de presse à Kinshasa, soutenant que l’Opposition n’a qu’à attendre 2016 pour gagner les élections si elle entend gouverner ce pays.
Mais aujourd’hui, on constate un virage à 190°.
 
Le discours a complètement changé. Le même porte-parole du gouvernement trouve aujourd’hui opportun d’aller au dialogue avec l’Opposition pour trouver la solution aux problèmes du pays, tel qu’il l’a souligné lors de son dernier point de presse tenu au début du mois d’août dans son cabinet de travail.
Dans la même logique de volteface, le secrétaire général de la Majorité présidentielle, Aubain Minaku, vient d’accorder une interview à Colette Braeckman, à qui il a confié que “ nous devons construire ce pays avec l’Opposition “. Un discours jamais tenu depuis trois ans .par la famille politique de Joseph Kabila. Pourtant, dans les recommandations de l’accord-cadre d’Addis-Abeba, il avait été clairement demandé
 
à Kinshasa d’organiser un dialogue sincère avec l’Opposition et toutes les couches de la population dans le souci de l’unité du pays, et régler la problématique de légitimité en RD Congo.
Cette disposition n’est jamais respectée.
A la place, ce sont des « concertations nationales » qui avaient été organisées, les règles du jeu édictées par Joseph Kabila, alors qu’il constitue Lui aussi un problème pour l’Opposition.
Les prémisses étant mal posées, ces “ concertations ont lamentablement échoué, les résolutions issues de ces assises souffrant de leur exécution. Par exemple, le gouvernement d’union nationale souhaité par les délégués aux concertations et promis par l’initiateur Kabila depuis dix mois aujourd’hui, ne verra plus jamais le jour, laisse-t-on entendre.
 
Washington est-il pour quelque chose ?
 
Il faut souligner que la Majorité au pouvoir a adopté le langage du dialogue depuis le retour de la délégation de Kinshasa de Washington à la suite du sommet Usa-Afrique. Bien d’observateurs se demandent si l’injonction est venue de l’administration Obama pour une fin de mandat apaisée pour Joseph Kabila. Surtout que la voie de la révision de la constitution, boudée aussi bien par les Congolais que par la communauté internationale, devient de plus en plus incertaine, pourtant une occasion de prolonger le mandat du pouvoir actuel.
 
La formule
Selon des indiscrétions, le fameux dialogue’ interviendra au mois de septembre prochain, soit dans quelques mois. Il réunira les véritables figures de l’Opposition congolaise ainsi que les plateformes et partis de cette classe politique.
Mais au préalable, renseigne-t-on, Joseph Kabila devra dissoudre le parlement. Raison pour laquelle ce dialogue, à en croire des sources, se tiendra au Palais du peuple. Au finish, il y aura un nouveau parlement et un gouvernement de transition, avec pour mission de conduire le pays aux élections véritablement libres, transparentes, démocratiques et justes.
 
Selon cette logique, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de Malumalu, tombera avec tous ses animateurs, en remplacement d’une nouvelle institution, avec des animateurs plus crédibles, qui organisera les élections en 2016. Quant au gouvernement et au parlement qui seront nouvellement installés, ils seront composés aussi bien de délégués de l’Opposition, de la Majorité que de la société civile. Comme Joseph Kabila restera à. la tête du pays jusqu’en 2016, le premier sera issu de l’Opposition. On renseigne que même les prisonniers politiques pourront recouvrer leur liberté et faire partie soit de l’exécutif, soit du législatif.

LEFILS M.

http://democratiechretienne.org/2014/08/22/revirement-de-la-situation-la-majorite-surprend-avec-le-schema-du-vrai-dialogue/
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Message  KOTA 27/8/2014, 2:58 pm




L’INVITE DU JOURNAL TV D’AFRICA 24: FREDDY KITA, S.G. DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC
par FreeDiomi le 27 août 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Africa24
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Africa24
https://www.dailymotion.com/video/x24kt77_l-invite-du-jour-freddy-kita-bukusu-republique-democratique-du-congo_news
L’INVITE DU JOUR – Freddy KITA BUKUSU… par AFRICA24
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Message  Admin 27/8/2014, 3:44 pm

J'aime bien Kita
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Message  KOTA 29/8/2014, 1:22 am

LA FERME DE KINGAKATI ET LE NOUVEL ORDRE POLITIQUE KABILISTE



EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 4df6a-la-ferme-des-animaux

LA FERME DE KINGAKATI ET LE NOUVEL ORDRE POLITIQUE KABILISTE

La « majorité » kabiliste, accoutumée à la gouvernance par défi, s’est réunie dans la « ferme de Kingakati » il y a trois jours. Cela m’a rappelé immédiatement le célèbre livre de George Orwell intitulé « La ferme des animaux », qui peint une parfaite allégorie des dérives totalitaires d’un régime décadent s’emparant subitement du pouvoir absolu.
Cette transfiguration de la ferme en un lieu de haute politique m’a rappelé le passage du livre de Orwell où les cochons, devenus maitres de la ferme, confisquent le pouvoir et décident d’élaborer leur nouvelle constitution sur mesure. Un article, en particulier, résume l’idéologie totalitaire des cochons putschistes :
« Tous les animaux de la ferme sont égaux mais certains sont plus égaux que les autres »…
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 G_10315_01

Il me semble qu’un projet scélérat comme celui des cochons putschistes de la ferme orwelienne vienne d’être élaboré dans la bourgade de Kingakati, à la périphérie de Kinshasa, qui désormais fait office de Palais de la Nation…
Face à vents et marées et surtout à l’hostilité de la grande majorité des congolais qui n’ont jamais connu l’alternance politique, une poignée d’anciens mobutismes qui ont convolés à des noces contre nature avec les héritiers de leurs bourreaux afdliens, auraient décidé de prendre tout un peuple en otage en lui ôtant tout espoir d’un avenir meilleur.
Cette abomination politique qui nait du mobutisme agonissant qui s’est uni pour le bien et pour le pire avec le conglomérat d’aventuriers de l’AFDL, vise à faire tabula rasa de l’ordre constitutionnel actuel afin de lancer un Nouveau Ordre Politique qui ne sera pas érigé sur le socle d’idéaux forts, positifs et républicains mais sur un seul pilier « idéologique » qui est l’établissement d’une présidence à vie en faveur du locataire du palais de la nation qui ambitionne, désormais, en devenir le propriétaire…
Le Nouvel Ordre Politique Kabiliste s’apparente à une dictature qui ferait reculer la RDC de la « Démocrature » actuelle à une « Dictature »  décomplexée n’ayant plus honte de cacher son ambition de confisquer le pouvoir politique après l’avoir conquis par la force et la fraude électoral.
Nous congolais, nous savions déjà que les rebelles de l’Afdl nous avaient menti : ils nous avaient promis la fin du mobutisme et la Démocratie ; à la place, il nous ont jeté dans un bourbier qui débouchera, si les Congolais n’en prennent pas garde, dans une dictature revisitée, fondée sur des scrutins fictifs et sur l’abolition de toute alternance politique ; dans cette optique, le mot « changement » n’ aura plus aucune signification, comme celui de « droits civils et politiques », du « droit d’expression » ou bien de celui de « manifestation publique ». Le développement de la RDC serait-il possible sans le respect des équilibres démocratiques, du principe des « check and balance », celui de la « responsabilité politique » ou bien en absence de la « sécurité juridique » qui découle d’un état de droit ?

Et quelle serait-elle l’identité de ces nouveaux « Constituants » qui risquent de ramener la RDC un demi-siècle en arrière ?


Seraient-ils les membres de l’actuelle Assemblée Nationale issue de la fraude électorale de 2011 qui se joigneraient aux membres de l’actuel Senat dont le mandat a expiré depuis des années ?
Ces « élus » dont la majorité est constituée de personnages nominés, auraient- ils la légitimité ainsi que la crédibilité pour revêtir la noble toge du Constituant ?
Le Nouvel Ordre Politique Kabiliste est un dessein scélérat qui risque d’importer avec lui la RDC toute entière.
Le peuple congolais doit s’armer de son courage et sa détermination pour faire échec à ce plan méphistophélique, orchestré par un groupe d’individus qui n’on aucun souci pour le futur de cette nation.

Il faut dire NON au Nouvel Ordre Kabiliste car il risque de détruire l’unité nationale et réduire le concept de gouvernance d’un des pays le plus importants d’Afrique à la simple volonté du « prince ».

Devant les convulsions de la machine politique qui cherche le pouvoir absolu, le peuple congolais n’a aucun autre moyen constitutionnel que celui prévu par l'Art 64 de l’actuelle Constitution :



 "Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution…"



Eugène Diomi Ndongala,

Carnet d'un Prisonnier Politique en RDC
http://diomiponakongo.wordpress.com/2014/08/28/la-ferme-de-kingakati-et-le-nouvel-ordre-politique-kabiliste/
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Message  KOTA 29/8/2014, 8:06 pm



EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Captur10

http://democratiechretienne.org/2014/08/29/declaration-politique-la-democratie-chretienne-denonce-la-volonte-de-la-la-majorite-kabiliste-de-mettre-en-place-un-nouvel-ordre-politique-en-rdc-en-dehors-de-tout-consensus-national/
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Message  KOTA 30/8/2014, 1:59 pm

FLASH: FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, SERA L’ INTERVENANT POUR L’AFRIQUE A L’UNIVERSITE D’ETE DU PS FRANCAIS A LA ROCHELLE
par FreeDiomi le 30 août 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Universitedete
 
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Ob_c1efd7_freddy-kita-democratie-chretienne-2014
Freddy Kita, S.G. de la Démocratie Chrétienne, DC
FLASH: FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, SERA L’ INTERVENANT AFRIQUE A L’UNIVERSITE D’ETE DU PS FRANCAIS A LA ROCHELLE
Le Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne, Monsieur Freddy Kita, interviendra cet après-midi au débat publique sur l’Afrique en Générale et le RDC en particulier qui se tiendra à la Rochelle, en France,  à l’occasion de la tenue de l’Université d’ Eté du parti Socialiste Français.
Son intervention sera axée sur:

1. La grave situation de tension politique qui caractérise en ce moment la RDC à cause de la volonté unilatérale de mettre en place un Nouvel Ordre Politique afin de permette, coute que coute, la confiscation du pouvoir par la "majorité factice" en place au Congo Kinshasa;

2. Les graves violations systématiques des droits de l’homme ainsi que des libertés civiles et politiques des congolais;

3. Le scandale de la détention des prisonniers politiques et particulièrement le cas du Président National de la Démocratie Chrétienne, Eugène DIOMI NDONGALA, otage politique du régime et détenu sur la base d’un procédure viciée, nulle et en violation aussi bien de la Constitution Congolaise que des lois de la République.


Marc Mawete,
Porte-Parole Adj. DC
 

http://democratiechretienne.org/2014/08/30/flash-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-sera-l-intervenant-pour-lafrique-a-luniversite-dete-du-ps-francais-a-la-rochelle/
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Message  KOTA 1/9/2014, 5:11 pm

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Tempet10

La DC contre un nouvel ordre politique en RDC en dehors du consensus national



 A travers une déclaration politique
Le parti cher à Diomi Ndongala demande aux forces politiques de la MP de renoncer à leur projet funeste et d’amorcer plutôt un virage en direction de l’ensemble de la sensibilité politique congolaise afin d’établir un dialogue franc
Dans une déclaration politique rendue publique le vendredi 29 août dernier, le bureau politique de la Démocratie Chrétienne(DC), parti cher au prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala,dénonce le danger que court la République Démocratique du Congo à cause de la volonté de la Majorité présidentielle (MP) de faire promulguer une nouvelle Constitution qui devrait faire tabula rasa de l’ordre institutionnel actuel, afin d’établir un nouvel ordre politique kabiliste en RDC.
La DC souligne que l’actuelle Constitution en vigueur en RDC a été promulguée à la suite de l’accord politique global, signé à Pretoria en 2001 par toutes les composantes de la société congolaise.
Un important acte juridique
L’acte juridique d’importance capitale consistant à adopter et promulguer une nouvelle constitution, poursuit le porte-parole de la DC, Marc Mawete, qui a signé la déclaration, ne peut absolument être l’affaire ni d’une majorité ni d’une famille politique isolée car l’élaboration, l’adoption et la promulgation d’une nouvelle Constitution impliquent un consensus national.
Ce consensus national, à en croire la DC, est actuellement inexistant en RDC, aussi bien au sein de la Majorité que de l’Opposition politique congolaise.D’autant plus qu’il serait inacceptable, illégitime et inopportun que les membres de l’actuelle Assemblée nationale, se réunissant avec les membres de l’actuel Sénat, soient éligibles pour constituer l’Assemblée constituante devant élaborer une nouvelle loi fondamentale.
En effet, poursuit le bureau politique de ce parti de l’Opposition, la crédibilité des députés nationaux est sujette à caution à la suite de fraudes massives ayant caractérisée les dernières élections législatives de 2011, alors que les sénateurs sont hors mandat depuis des années.Le projet d’élaborer une nouvelle Constitution dans un conteste politique extrêmement tendu, en dehors et contre la volonté des Congolais, estime cette formation politique, pourrait placer la RDC dans une situation de vide juridique capable d’embraser l’ensemble du territoire national.
Renoncer à un funeste projet
Voilà pourquoi la Démocratie Chrétienne demande aux forces politique qui animent la majorité kabiliste de renoncer à leur projet funeste et d’amorcer plutôt un virage en direction de l’ensemble de la sensibilité politique congolaise afin d’établir un dialogue franc, sincère et responsable sur l’avenir de la République Démocratique du Congo.
Pour que ce dialogue soit crédible et inclusif, la Démocratie Chrétienne exige la libération immédiate et sans conditions des prisonniers politiques congolais Eugène Diomi Ndongala, Porte-parole de la plateforme Politique Majorité Présidentielle Populaire (MPP).
 Par Stone
http://latempete.info/la-dc-contre-un-nouvel-ordre-politique-en-rdc-en-dehors-du-consensus-national/
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Message  KOTA 2/9/2014, 11:52 am

A la Rochelle, Freddy Kita amplifie la voix d’Eugène Diomi Ndongala prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila !/REVEIL FM



par FreeDiomi le 2 septembre 2014

A la Rochelle, Freddy Kita amplifie la voix d’Eugène Diomi Ndongala prisonnier politique personnel d’alias Joseph Kabila !

Par Freddy Mulongo, mardi 2 septembre 2014 à 08:44 :: Radio Réveil FM International :: #5050 :: rss

Freddy Kita est le Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne, parti d’Eugène Diomi Ndongala qui croupit à la prison de Makala, à Kinshasa en République démocratique du Congo. Ce dernier est le prisonnier personnel de celui qui trône par usurpation et défi à la tête de la République démocratique démocratique du Congo, le pseudo "Joseph Kabila". Invité à l’université d’été du parti socialiste du 28 au 31 août 2014, parti au pouvoir actuellement en France, avec sa simplicité débonnaire Freddy Kita est un acteur politique et lobbyiste hors pair. La voix d’Eugène Diomi Ndongala, président de démocratie chrétienne a été entendue à La Rochelle.



EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 0000freddymulongokitafreddy2
Jean-Christophe Cambadélis, Premier Secrétaire du Parti Socialiste et Freddy kita, Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne (RDC) à la Rochelle. Photo Réveil FM International
 
Le mal d’Eugène Diomi Ndongala est d’avoir eu le courage de dénoncer le hold-up électoral d’alias Joseph Kabila et sa bande des mammouths joséphistes fraudeurs et mafieux, élu député national d’avoir refusé d’aller siéger au Palais du peuple avec des sénateurs et députés godillots applaudisseurs d’un Kadogo qui est arrivé à Kinshasa avec des bottes de jardinier et une kalachnikov en bandoulière, qui par un tour de passe-passe a pris le pouvoir et a déjà planqué plus de 17 milliards de dollars américains dans les îles vierges britanniques. Face au terrorisme d’Etat instauré par alias Joseph Kabila pour contrôler le Congo, Eugène Diomi Ndongala est un vrai frondeur ! Radical, le jour de son énième arrestation par le régime d’usurpation et imposture, il voulait mettre en place la plateforme dénommée "Majorité Présidentielle Populaire (MPP) qui considère Etienne Tshisekedi comme le "véritable vainqueur" du scrutin du 28 novembre 2011.
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 0000freddymulongokitafreddy
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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 0000freddymulongokitafreddy5
Freddy Kita, Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne (RDC) à la Rochelle. Photos Réveil FM International
Infatigable, partout, Freddy Kita dénonce la machination politique dont serait victime son président. Trois ans après le scrutin présidentiel, il se refuse toujours à reconnaître la réélection usurpée d’alias Joseph Kabila. Eugène Diomi Ndongala est en prison pour avoir semble-t-il violé deux filles mineures. Lorsqu’on sait de quoi sont capables les agents de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), la Gestapo d’alias Joseph Kabila, on ne peut pas s’étonner. La justice congolaise n’a jamais présenté les deux filles mineures à la barre. Elles sont des arlésiennes qu’on ne voit jamais.
Par contre tous les Kulunas au col blanc qui essaiment le PPRD-MP-Parti-Etat des vrais criminels sont protégés, ils se la coulent douce avec 4X4 neuves, villas, billets verts… Des mafieux ventripotents ont pris en otage les institutions de la République pour satisfaire leurs bas instincts.
Eugène Diomi Ndongala sortira-t-il de la prison ? Oui, si les pressions internationales continuent de s’exercer sur le dénommé alias "Joseph Kabila". Et Freddy Kita, le lieutenant du président de Démocratie Chrétienne a pris son bâton de pèlerin pour une tournée européenne et mondiale afin d’amplifier la voix d’Eugène Diomi Ndongala que le régime de Kinshasa voudrait étouffer. A l’université d’été du parti socialiste à la Rochelle, Freddy Kita s’est entretenu avec la majorité des personnalités socialistes: Manuel Valls, Christiane Taubira, Najat Vallaud-Belkacem, Claude Bartelone…
http://reveil-fm.com/index.php/2014/09/02/5050-a-la-rochelle-freddy-kita-amplifie-la-voix-de-diomi-ndongala-prisonnier-politique-personnel-d-alias-joseph-kabilahttp://reveil-fm.com/index.php/2014/09/02/5050-a-la-rochelle-freddy-kita-amplifie-la-voix-de-diomi-ndongala-prisonnier-politique-personnel-d-alias-joseph-kabila
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Message  KOTA 4/9/2014, 9:18 pm

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Message  KOTA 4/9/2014, 11:49 pm



[img(341.79999999999995px,120.80000000000001px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/04/acaj2014.jpg?w=513&h=182[/img]
COMMUNIQUE DE PRESSE N° 08/ACAJ/2014
« M. DIOMI NDONGALA a été condamné par une chambre irrégulière.
Il doit être remis en liberté sans condition »
Kinshasa, le 04 septembre 2014

L’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) demande au Premier Président de la Cour Suprême de Justice (CSJ) de constater que M. Eugène DIOMI NDONGALA a été jugé et condamné par une chambre composée de manière irrégulière, et qu’il doit être remis en liberté.

 
 La Cour suprême de justice, faisant office de Cour de Cassation a condamné Eugène DIOMI, en date du 26 mars 2014, à la peine de dix de prison ferme et au paiement de la somme de quatre millions de francs congolais à titre d’amende, et ce à l’issue d’un procès non équitable organisé sous RP. 014/CR.
Dans sa lettre n° 37/ACAJ/PN/GK/2014 du 02 septembre 2014, ACAJ a communiqué au Premier Président de la CSJ le condensé de ses observations juridiques sur le déroulement du procès. Elle espère recevoir sa position avant leur publication incessante.
Il s’agit notamment de :
1.      La narration des faits telle qu’elle résulte de la décision de condamnation n’est pas cohérente, mais plutôt tendancieuse. A titre d’exemple, elle n’indique pas le lieu et le temps où le présumé père des filles serait parti à la découverte de l’immeuble de M. Eugène DIOMI. Le nom du prétendu père des filles n’est pas révélé dans la décision de la CSJ. L’irruption intentionnelle de la jeep de la police au lieu où le prétendu père des filles aurait frappé ses deux filles ne parait pas être une circonstance fortuite, mais résultant d’un stratagème aménagé afin de justifier l’arrestation de cet opposant politique.
2.      M. DIOMI n’a jamais eu l’occasion de présenter ses moyens de défense par rapport aux faits lui imputés. Il était non seulement malade et physiquement dans l’impossibilité de prendre la parole, mais que la CSJ avait refusé, à l’audience du 12 mars 2014 à laquelle le dossier était pris en délibéré, de le renvoyer même à un très court délai pour lui permettre de préparer sa défense avec ses avocats qui venaient de se retirer en signe de protestation contre la jonction au fond des exceptions d’ordre public qu’ils avaient soulevées dont celle contestant la filiation du prétendu père avec les filles. La CSJ avait adopté une position partisane, manquant ainsi à son obligation d’impartialité. Son refus de rouvrir les débats, pourtant sollicité par M. Eugène DIOMI, prouve à suffisance son manque d’impartialité.
3.      M. Eugène DIOMI a été jugé et condamné par une chambre composée de cinq juges au lieu de sept comme le prescrit l’article 35 de la loi organique n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire. Il n’a pas été jugé par son juge naturel ou compétent devant être entendu comme une chambre constituée de sept membres dont quatre présidents et trois conseillers les plus anciens.
L’ACAJ a relevé que dans le dossier concernant le député Jean Bertrand EWANGA (RP. 017/CR), la CSJ a siégé à sept juges, même si elle mentionne qu’il n’y a pas présence de quatre présidents et trois conseillers les plus anciens. Il est en résidence surveillée.
Donc, la CSJ a violé l’article 12 de la constitution qui interdit tout traitement discriminatoire. Elle ne s’était même pas intéressée à savoir pourquoi le Ministère public avait détenu, pendant l’instruction, M. Eugène DIOMI à la prison CPRK en lieu et place d’une résidence surveillée comme elle l’avait ordonné à trois reprises.

La condamnation de M. Eugène DIOMI manque de force exécutoire, et donc est nulle, car rendue en violation des instruments juridiques nationaux et internationaux.

L’ACAJ rappelle le Premier Président de la CSJ qu’en droit international des droits de l’homme, les sanctions qui n’ont pas respecté les normes internationales sont considérées comme des actes de torture au sens de l’article premier de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
L’ACAJ félicite M. Eugène DIOMI pour avoir adressé au Premier Président de la CSJ sa requête de prise à partie contre les cinq magistrats qui avaient siégé dans son dossier, ainsi que la République démocratique du Congo comme civilement responsable, aux fins d’obtenir l’indemnisation pour différents préjudices subis du fait de sa condamnation en violation de la loi.
L’ACAJ encourage vivement M. Eugène DIOMI à se pourvoir devant les organes de traités des Nations Unies afin de défendre fermement ses droits au cas où la justice congolaise ne répond pas positivement à ses requêtes.
Pour tout contact :
Me Georges Kapiamba, président de l’ACAJ
Email : kapiambag@gmail.com, acajasbl@yahoo.fr

http://democratiechretienne.org/2014/09/04/m-diomi-ndongala-a-ete-condamne-par-une-chambre-irreguliere/
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Message  KOTA 5/9/2014, 9:04 am

Nouveau
gouvernement :
l’opposition décline !

Les acteurs de l’opposition politique regroupés au sein des Forces Politiques et Sociales pour l’Unité d’Action ont décidé hier jeudi 4 septembre à l’issue d’une rencontre à Notre  Dame de Fatima à Gombe, de tourner le dos au gouvernement de cohésion nationale dont la mise en place a été annoncée avant la rentrée parlementaire du 15 septembre 2014.  
Les membres de ce regroupement politique comprenant des partis politiques dont l’UDPS, l’UNC, l’ECIDE, etc. s’en tiennent à la tenue d’un vrai dialogue national politique conformément à l’esprit et à la lettre de l’accord-cadre d’Addis-Abeba ainsi qu’à la résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations-Unies  pour décanter la crise de légitimité issue, selon eux, des élections chaotiques du 28 novembre 2011.
 
          Le secrétaire Général de l’UDPS, Me Bruno Mavungu a souligné dans une déclaration lue au nom de ses pairs, que ce dialogue aura pour but de neutraliser les velléités dictatoriales du pouvoir en place et d’aborder en outre les objectifs prévus par l’accord-cadre d’Addis–Abeba avec tous les problèmes liés au processus électoral en RDC. Dont entre autres la restructuration de la CENi et la mise en place d’un calendrier électoral consensuel.
          A cet effet, les Forces politiques et sociales ont réitéré leur confiance à la communauté internationale  dans sa démarche d’accompagner la RDC dans la recherche des solutions appropriées aux causes profondes de la crise politique actuelle. Elles ont réaffirmé également leur engagement solennel à combattre toute initiative d’élaboration d’une nouvelle constitution qui constitue, à leurs yeux, un coup d’Etat. Tout en rappelant leur déclaration du 25 juin 2014 rejetant catégoriquement la monarchisation présidentielle, les acteurs de l’opposition ont, par la bouche de Bruno Mavungu, fait l’éloge du sommet  USA-Afrique  dont l’esprit rejoint leurs positions maintes fois exprimées, à savoir celle d’empêcher les chefs d’Etats africains fin mandat de modifier la constitution pour se maintenir au pouvoir.
 
Libérer les prisonniers politiques

          Concernant les prisonniers politiques, ces acteurs politiques de l’opposition ont réitéré leur exigence permanente de libérer sans conditions tous les détenus d’opinion tels que le pasteur kutino, l’honorable Diomi et le président fédéral de l’UDPS Mbuji-Mayi Bruno Kabatshi.

S’agissant du cas de l’honorable, Jean Bertrand Ewanga, ses compagnons de lutte ont  dénoncé vigoureusement l’instrumentalisation de la justice par le pouvoir et considèrent Jean Bertrand Ewanga comme un détenu politique tout en exigeant sa libération immédiate et sans conditions. Pour les précités, le secrétaire General de l’UNC n’a jamais  commis les infractions d’offense au chef de d’Etat  ni de discrimination raciale lui imputées par le Parquet General de la République.
 
Enquête indépendante sur la mort de Bahuma
          Dans un autre registre,  les acteurs de l’opposition se sont dit profondément consternés par la mort  du General  Bahuma et exigent une enquête indépendante pour déterminer les causes réelles du décès de ce digne officier supérieur des FARDC. Avant de révéler que trois officiers supérieurs des FARDC, notamment le Général Mbuja Mabe, le général Mamadou et le Général Jean-Lucien Bahuma, tous ayant servi à l’Est pour combattre les ennemis de la RDC et défendre l’intégrité territoriale, ont trouvé la mort dans des circonstances suspectes.
          Abordant la question relative aux tracés des frontières entre les RDC et le Rwanda, les Forces Politiques et Sociales ont mis en garde quiconque, en ce, compris le pouvoir en places, qui par toutes manouvres d’aliénation ou balkanisation  tenterait  de toucher une partie du territoire de la RDC minime soit -elle en violation des tracés frontalières telles que fixées par la conférence international de Berlin de 1885. Le clou de cette déclaration a été sans nul doute l’organisation d’une marche de protestation par l’opposition le 13 septembre 2014 avec pour objectif de demander à la Monusco de convoquer le dialogue prévu dans l’Accord-cadre d’Addis-Abeba et la résolution 2098 du conseil de sécurité de Nations Unies. Ensuite d’exiger la libération des détenus politiques et d’opinion et enfin de dénoncer toutes les tentatives de réviser la constitution en vigueur ou d’en élaborer une nouvelle.
 
Eric Wemba
LE PHARE 05/09/14
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Message  KOTA 5/9/2014, 7:08 pm

d’Adhésion Online à la Démocratie Chrétienne, D.C.
LA LIBERATION DE DIOMI NDONGALA DE NOUVEAU SUR LA SELLETTE / DEPECHE DE BRAZZAVILLE
par FreeDiomi le 5 septembre 2014
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Affaire Diomi Ndongala : l’Acaj exige la remise en liberté du député condamné irrégulièrement


 5Septembre 2014

  • L’ONG fait constater que cet opposant avait été jugé et condamné par une chambre composée de manière irrégulière.

L’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) est revenu sur les incohérences qui ont entaché la procédure dans l’affaire du député Eugène Diomi Ndongala et qui ont dénoté la décision de la Cour suprême de justice (CSJ) dans la condamnation de dix ans de prison ferme et au paiement de quatre millions de francs congolais à titre d’amende. C’était lors d’une conférence de presse organisée le 4 septembre à son siège situé à Gombe.
En effet, Eugène Diomi Ndongala devrait être remis, sans condition, en liberté, étant donné que la CSJ de qui il attendait justice n’a pas pu la lui procurer, les magistrats ayant fait preuve du mépris total de la loi. « Diomi a été dépêché de manière délibérée à pouvoir se défendre. Il n’a pas eu droit à des juges indépendants et impartiaux », a fustigé le président de l’Acaj, Me Georges Kapiamba, qui appuie la prise à partie de ce député incarcéré contre les cinq magistrats qui ont siégé dans son affaire.
L’Acaj affirme avoir transmis au premier président de la CSJ, dans une correspondance du 2 septembre, le condensé de ses observations juridiques sur le déroulement du procès. Dans ce document dans lequel cette ONG a fustigé l’instrumentalisation de cette instance, l’Acaj a notamment relevé toutes les incohérences qui ont entaché le déroulement de ce procès et la décision prise par cette instance. « Nous avons notamment relevé les incohérences qui ont dénotée la décision de la CSJ, qui n’a pas eu le temps d’instruire ce dossier de manière objective », a expliqué Me Georges Kapiamba. Avec cette décision, a-t-il poursuivi, nous avons à suffisance de preuves que les juges qui ont siégé n’étaient pas indépendants et impartiaux.
Pour cette ONG, en effet, Diomi Ndongala n’a jamais eu l’occasion de présenter ses moyens de défense par rapport aux faits qu’on lui a imputés. « Il était non seulement malade et physiquement dans l’impossibilité de  prendre la parole, mais que la CSJ avait refusé, à l’audience du 12 mars 2014 à laquelle le dossier était pris en délibéré, de le renvoyer même à un très court délai pour lui permettre de préparer sa défense avec  ceux qui venaient de se retirer en signe de protestation… », a souligné le juriste.

Deux poids, deux mesures





L’Acaj, qui s’inspire également de l’affaire Ewanga dans laquelle l’accusé est en résidence surveillée, a noté que Diomi Ndongala a été jugé par une chambre de cinq juges au lieu de sept comme le prescrit la loi en la matière. « Il n’a pas été jugé par son juge naturel ou compétent devant être entendu comme une chambre constituée de sept membres dont quatre présidents et trois conseillers les plus anciens », a dénoncé Me Georges Kapiamba. Pour ce juriste, la CSJ, dans cette affaire du président de la Démocratie chrétienne (DC), était instrumentalisée et partiale. Ce qui l’a poussé à violer l’article 12 de la Constitution, qui interdit tout traitement discriminatoire. « Elle ne s’était même pas intéressée à savoir pourquoi le ministère public avait détenu, pendant l’instruction, Eugène Diomi à la CPRK en lieu et place d’une résidence surveillée comme elle l’avait ordonné à trois reprises », a expliqué le juriste.
Respect de la loi.

Pour l’Acaj, en effet, la condamnation d’Eugène Diomi manque de force exécutoire et donc est nulle, car rendue en violation des instruments juridiques nationaux et internationaux. « L’Acaj rappelle au premier président de la CSJ qu’en droit international des droits de l’Homme, les sanctions qui n’ont pas respecté les normes internationales sont considérées comme des actes de torture », a souligné Me Georges Kapiamba.

C’est dans cette optique que cette ONG encourage Eugène Diomi dans sa requête adressée au premier président de la CSJ de prendre à partie les cinq magistrats, qui ont siégé dans son affaire, ainsi que la RDC comme civilement responsable, aux fins d’obtenir des indemnisations pour différents préjudices subis du fait de cette condamnation en violation de la loi. L’Acaj l’encourage également à se pourvoir devant les instances internationales afin de défendre ses droits au cas où la justice congolaise ne répondrait pas positivement à ses requêtes.

Lucien Dianzenza

http://democratiechretienne.org/2014/09/05/la-liberation-de-diomi-ndongala-de-nouveau-sur-la-sellette-depeche-de-brazzaville/

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Message  KOTA 5/9/2014, 10:11 pm

ACAJ relève : Eugène Diomi Ndongala condamné par une chambre irrégulière /LE POTENTIEL
par FreeDiomi le 5 septembre 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Lepotentiel5914

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Lepotentiel5914


ACAJ relève : Eugène Diomi Ndongala condamné par une chambre irrégulière

  • 5 septembre 2014

Écrit par Donatien Ngandu Mupompa 
[url=http://www.lepotentielonline.com/images/photos/COURS SUPREME DE JUSTICE.jpg]EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Cours%20supreme%20de%20justice_200_177[/url]
Cour suprême de justice
 

L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) demande au premier président de la Cour suprême de justice (CSJ) de constater que M. Eugène Diomi Ndongala a été jugé et condamné par une chambre composée de manière irrégulière, et qu’il doit être remis en liberté.

 
 

Dans un point de presse tenu hier jeudi 4 septembre au siège de l’ONGDH « Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) », Me Georges Kapiamba, président de cette structure, a démontré que M.  Eugène Diomi Ndongala a été condamné par une chambre non composée régulièrement.

Au cours de cette rencontre avec les professionnels des médias, à laquelle ont été associés les membres du parti politique « Démocratie chrétienne, le président de l’ACAJ a commencé par souligner que la Cour suprême de justice, faisant office de Cour de cassation, a condamné Eugène Diomi, en date du 26 mars 2014, à la peine de dix ans de prison ferme et au paiement de la somme de quatre millions de francs congolais à titre d’amende, et ce, à l’issue d’un procès non équitable organisé sous RP. 014/CR.
Dans sa lettre n° 37/ACAJ/PN/GK/2014 du 2 septembre 2014, a déclaré Me Kapiamba, ACAJ a communiqué au premier président de la CSJ le condensé de ses observations juridiques sur le déroulement du procès. Elle espère recevoir sa position avant leur publication incessante.
Il s’agit notamment de la narration des faits telle qu’elle résulte de la décision de condamnation. Elle n’est pas cohérente, mais plutôt tendancieuse. A titre d’exemple, a-t-il dit, elle n’indique pas le lieu et le temps où le présumé père des filles serait parti à la découverte de l’immeuble de M. Eugène Diomi. Le nom du prétendu père des filles n’est pas révélé dans la décision de la CSJ. L’irruption intentionnelle de la jeep de la police au lieu où le prétendu père des filles aurait frappé ses deux filles ne paraît pas être une circonstance fortuite, mais résultant d’un stratagème aménagé afin de justifier l’arrestation de cet opposant politique.
L’ACAJ constate aussi que M. Diomi n’a jamais eu l’occasion de présenter ses moyens de défense par rapport aux faits lui imputés. Il était non seulement malade et physiquement dans l’impossibilité de prendre la parole, mais que la CSJ avait refusé, à l’audience du 12 mars 2014 à laquelle le dossier était pris en délibéré, de le renvoyer même à un très court délai pour lui permettre de préparer sa défense avec ses avocats qui venaient de se retirer en signe de protestation contre la jonction au fond des exceptions d’ordre public qu’ils avaient soulevées. Dont celle contestant la filiation du prétendu père avec les filles. La CSJ avait adopté une position partisane, manquant ainsi à son obligation d’impartialité. Son refus de rouvrir les débats, pourtant sollicité par M. Eugène Diomi, prouve à suffisance son manque d’impartialité.
 

Cinq membres au lieu de sept

Ensuite, Me Georges Kapiamba a fait remarquer que M. Eugène Diomi a été jugé et condamné par une chambre composée de cinq juges au lieu de sept comme le prescrit l’article 35 de la loi organique n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire. Il n’a pas été jugé par son juge naturel ou compétent devant être entendu comme une chambre constituée de sept membres, dont quatre présidents et trois conseillers les plus anciens.

L’ACAJ a relevé que dans le dossier concernant le député Jean Bertrand Ewanga (RP. 017/CR), la CSJ a siégé à sept juges, même si elle mentionne qu’il n’y a pas présence de quatre présidents et trois conseillers les plus anciens. Il est en résidence surveillée.

Pour l’ACAJ, donc, la CSJ a violé l’article 12 de la Constitution qui interdit tout traitement discriminatoire. Elle ne s’était même pas intéressée à savoir pourquoi le ministère public avait détenu, pendant l’instruction, M. Eugène Diomi à la prison centrale de Makala, en lieu et place d’une résidence surveillée comme elle l’avait ordonné à trois reprises. 
Cette association en conclut que la condamnation de M. Eugène Diomi manque de force exécutoire. Elle est donc nulle car rendue en violation d’instruments juridiques nationaux et internationaux. L’ACAJ rappelle le premier président de la CSJ qu’en droit international des droits de l’homme, les sanctions qui n’ont pas respecté les normes internationales sont considérées comme des actes de torture au sens de l’article premier de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
L’ACAJ félicite M. Eugène Diomi pour avoir adressé au premier président de la CSJ sa requête de prise à partie contre les cinq magistrats qui avaient siégé dans son dossier, ainsi que la République démocratique du Congo comme civilement responsable, aux fins d’obtenir l’indemnisation pour différents préjudices subis du fait de sa condamnation en violation de la loi.
Enfin, l’ACAJ encourage vivement M. Eugène Diomi à se pourvoir devant les organes de traités afin de défendre fermement ses droits au cas où la justice congolaise ne répondrait pas positivement à ses requêtes.

http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=10388:acaj-releve-eugene-diomi-ndongala-condamne-par-une-chambre-irreguliere&catid=88:sociale&Itemid=514

http://democratiechretienne.org/2014/09/05/acaj-releve-eugene-diomi-ndongala-condamne-par-une-chambre-irreguliere-le-potentiel/
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Message  KOTA 5/9/2014, 11:17 pm

LE SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE AU JOURNAL DES AUDITEURS D’AFRICA N° 1 SUR LA QUESTIONE DE LA VOLONTE UNILIATERALE DU REGIME KABILA DE MODIFIER LA CONSTITUTION / AFRICA N° 1


http://www.africa1.com/IMG/mp3/jda_-_04_09_14_-_pad.mp3  Suspect

par FreeDiomi le 5 septembre 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Freddy-kita-african1http://www.africa1.com/IMG/mp3/jda_-_04_09_14_-_pad.mp3




http://www.africa1.com/IMG/mp3/jda_-_04_09_14_-_pad.mp3




http://www.africa1.com/IMG/mp3/jda_-_04_09_14_-_pad.mp3

CLIQUEZ SUR L’ IMAGE OU BIEN SUR LE LIEN POUR ECOUTER LE JOURNAL DES AUDITEURS ET LE SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE
 
http://www.africa1.com/spip.php?article47179
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Message  KOTA 6/9/2014, 3:17 pm

Diomi : ACAJ exhume des irrégularités de sa condamnation et exige sa libération /TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 5 septembre 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Freediomi81
Diomi : ACAJ exhume des irrégularités de sa condamnation et exige sa libération
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Diomi2juillet14-001

 
Le leader de la DC encouragé à se pourvoir devant les organes de traités des Nations Unies afin de défendre fermement ses droits au cas où la justice congolaise ne répondait pas positivement à ses requêtes
L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) exhume des irrégularités ayant entouré la condamnation de du député Eugène Diomi Ndongala, et exige sa libération immédiate et sans conditions. L’Ong des droits de l’homme a fait cette déclaration hier jeudi 4 septembre à son siège de Kinshasa, lors d’un point de presse animé par son président, Me Georges Kapiamba.
 » Diomi Ndongala a été condamné par une chambre irrégulière. Il doit être remis en liberté sans condition « , a-t-il déclaré devant les journalistes présents à ce rendez-vous.
En outre, L’ACAJ demande au premier président de la Cour suprême de justice (CSJ) de constater que Diomi Ndongala a été jugé et condamné par une chambre composée de manière irrégulière, et doit être remis en liberté.
Elle lui rappelle également qu’en droit international des droits de l’homme, les sanctions qui n’ont pas respecté les normes internationales sont considérées comme des actes de torture au sens de l’article premier de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Pour cette Ong, cette condamnation manque de force exécutoire, et donc est nulle, car rendue en violation des instruments juridiques nationaux et internationaux.
L’ACAJ félicite par ailleurs Eugène Diomi pour avoir adressé au premier président de la CSJ sa requête de prise à partie contre les cinq magistrats qui avaient siégé dans son dossier, ainsi que la République démocratique du Congo comme civilement responsable, aux fins d’obtenir l’indemnisation pour différents préjudices subis du fait de sa condamnation en violation de la loi. Elle l’encourage vivement à se pourvoir devant les organes de traités des Nations Unies afin de défendre fermement ses droits au cas où la justice congolaise ne répond pas positivement à ses requêtes.
Un condensé d’observations juridiques chez le 1er président de la CSJ
La Cour suprême de justice, faisant office de Cour de Cassation, a condamné Eugène Diomi, en date du 26 mars 2014, à la peine de 10 ans de prison ferme et au paiement de la somme de 4 millions de FC à titre d’amende, et ce à l’issue d’un procès non équitable organisé sous RP. 014/CR. Dans sa lettre n° 37/ACAJ/PN/GK/2014 du 02 septembre 2014, ACAJ a communiqué au premier président de la CSJ le condensé de ses observations juridiques sur le déroulement du procès. Elle espère recevoir sa position avant leur publication incessante.
Il s’agit notamment de :
1. La narration des faits telle qu’elle résulte de la décision de condamnation n’est pas cohérente, mais plutôt tendancieuse.
A titre d’exemple, elle n’indique pas le lieu et le temps où le présumé père des filles serait parti à la découverte de l’immeuble de M. Eugène Diomi.
Le nom du prétendu père des filles n’est pas révélé dans la décision de la Csj. L’irruption intentionnelle de la Jeep de la police au lieu où le prétendu père des filles aurait frappé ses deux filles ne parait pas être une circonstance fortuite, mais résultant d’un stratagème aménagé afin de justifier l’arrestation de cet opposant politique.
2. Diomi n’a jamais eu l’occasion de présenter ses moyens de défense par rapport aux faits lui imputés. Il était non seulement malade et physiquement dans l’impossibilité de prendre la parole, mais que la Csj avait refusé, à l’audience du 12 mars 2014 à laquelle le dossier était pris en délibéré, de le renvoyer même à un très court délai pour lui permettre de préparer sa défense avec ses avocats qui venaient de se retirer en signe de protestation contre la jonction au fond des exceptions d’ordre public qu’ils avaient soulevées dont celle contestant la filiation du prétendu père avec les filles. La CSJ avait adopté une position partisane, manquant ainsi à son obligation d’impartialité. Son refus de rouvrir les débats, pourtant sollicité par M. Eugène DIOMI, prouve à suffisance son manque d’impartialité.
3. Eugène Diomi a été jugé et condamné par une chambre composée de cinq juges au lieu de sept comme le prescrit l’article 35 de la loi organique n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire. Il n’a pas été jugé par son juge naturel ou compétent devant être entendu comme une chambre constituée de sept membres dont quatre présidents et trois conseillers les plus anciens.
L’ACAJ a relevé que dans le dossier concernant le député Jean Bertrand Ewanga, sous RP. 017/CR, la CSJ a siégé à sept juges, même si elle mentionne qu’il n’y a pas présence de quatre présidents et trois conseillers les plus anciens. Ewanga est en résidence surveillée.
Donc, conclut Georges Kapiamba, la CSJ a violé l’article 12 de la Constitution, qui interdit tout traitement discriminatoire.
Elle ne s’était même pas intéressée à savoir pourquoi le Ministère public avait détenu, pendant l’instruction, Eugène Diomi à la prison CPRK, en lieu et place d’une résidence surveillée, comme elle l’avait ordonné à trois reprises.
Par Stone

http://democratiechretienne.org/2014/09/05/diomi-acaj-exhume-des-irregularites-de-sa-condamnation-et-exige-sa-liberation-tempete-des-tropiques/
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Message  KOTA 7/9/2014, 12:04 pm

Le SG de la DC dénonce la machination politique dont est victime son leader /TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 5 septembre 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Kita-cambadelis1
Le SG de la DC dénonce la machination politique dont est victime son leader
 

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Freddy-kita[img(487.79999999999995px,324.79999999999995px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/09/kita-cambadelis.jpg?w=620[/img]
Invité à l’Université d’été du Ps à La Rochelle
Freddy Kita, Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne (DC), parti cher à Eugène Diomi Ndongala, dénonce la machination politique dont est victime son leader.
Invité à l’Université d’été du parti socialiste du 28 au 31 août dernier à La Rochelle, formation politique au pouvoir actuellement en France, Freddy Kita a profité de cette occasion pour y porter haut la voix d’Eugène Diomi Ndongala.
 » Le mal d’Eugène Diomi Ndongala est d’avoir eu le courage de dénoncer le hold-up électoral de 2011 « , a-t-il dit aux socialistes français. Et d’ajouter que son leader a été élu député national, mais a refusé de siéger au Palais du peuple avec des  » applaudisseurs « .
Pour ce haut cadre de la DC, Diomi Ndongala est un vrai radical. Le jour de son énième arrestation, a-t-il rappelé, il voulait mettre en place la plateforme dénommée  » Majorité présidentielle populaire  » (MPP) qui considère Etienne Tshisekedi comme le  » véritable vainqueur  » du scrutin du 28 novembre 2011. Freddy Kita dit qu’Eugène Diomi Ndongala est en prison pour ses opinions politiques, alors que tous les  » Kulunas en cravate  » qui saignent en blanc les caisses de l’Etat congolais, de vrais criminels, sont protégés. Ils se la coulent douce avec 4X4 neuves, villas, billets verts…
Eugène Diomi Ndongala sortira-t-il de la prison ?
A la question de savoir si le président national de la DC sortira de la prison, Freddy Kita a répondu  » Oui « . Mais à condition que les pressions internationales continuent de s’exercer sur Kinshasa.

Ce lieutenant du n°1 de la Démocratie Chrétienne a pris son bâton de pèlerin pour une tournée européenne et mondiale afin d’amplifier la voix d’Eugène Diomi Ndongala que le régime de Kinshasa voudrait étouffer.

A l’Université d’été du Parti socialiste à La Rochelle, Kita s’est entretenu avec la majorité des personnalités socialistes, parmi lesquelles Manuel Valls, Christiane Taubira, Najat Vallaud-Belkacem ou encore Claude Bartelone.
Par Stone

http://democratiechretienne.org/2014/09/05/le-sg-de-la-dc-denonce-la-machination-politique-dont-est-victime-son-leader-tempete-des-tropiques/
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Message  KOTA 7/9/2014, 4:30 pm

Démocratie Chrétienne, DC, ses cadres traqués / R.D.CONGO NEWS
par FreeDiomi le 6 septembre 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Conference-de-presse-du-bureau-politique-dc
 
Démocratie Chrétienne, DC, ses cadres traqués
DétailsPublié le vendredi 5 septembre 2014 10:45
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 CongoNewsrdc
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Sit-in-monusco-19-07-12-dc-liberez-diomi
Les services spéciaux cherchent à tout prix à rentabiliser leurs missions officielles. Jean Paul Itoupa est la dernière victime, mieux la partie visible de l’iceberg de ces pratiques qui dévalorisent le système de sécurité.
Itoupa est le secrétaire général adjoint de la démocratie chrétienne, un parti politique de l’opposition dont Eugene Diomi Ndongala est le président national.
Ce feuilleton d’espionnage a débouché par son arrestation sur la route des poids lourds aux encablures de la 12èmerue dans la commune de Limete par deux agents des services spéciaux. A en croire des sources bien informées, l’un des agents était de l’agence nationaledes renseignements-ANR et l’autre de la détection militaire des activités anti-patrie-DEMIAP qui, poliment, se sont présentés devant Itoupa en brandissant leurs cartes de service assorties d’un ordre de mission collectif pour identifier et retracer toutes personnes suspectes depuis les expulsions en cascade de Brazzaville. Le secrétaire général adjoint de la démocratie chrétienne-DC a vite compris qu’il avait à faire aux professionnels de la sécurité et à son tour a décliné son identité. Malheureusement, cela ne suffisait pas, l’équipe mixte exige de procéder à la fouille de son sac. Il est midi, cela risque d’attirer la curiosité des passants d’où il faut le faire à l’ abri, constate-t-on. Le sous-commissariat de la 12èmerue, près de la station Total, est le cadre idéal pour cette opération.

Arrivé à ce poste de police, un capitaine de la police a participé à la fouille. Parmi les effets trouvés dans le sac, trois documents confirment les caractères dangereux de la personne à savoir : sa carte de la démocratie chrétienne, une copie de la lettre ouverte de Diomi adressée à Obama la veille de la rencontre USA et Afrique.

Une lettre largement exploitée par les médias écrits et audiovisuels, dont la lecture a été faite dans la salle de Notre Dame de Fatima devant les membres du parti et des invités. Et enfin une autre déclaration de la plate forme de la majorité populaire présidentielle dans laquelle des vives critiques contre le régime de Kabila dont la traque de service de sécurité contre Patrizia Diomi, l’épouse du porte parole de la  MPP.
Tout compte fait, ces trois documents jugés suspects lui valent une amande de 500 dollars américains. Sur place, Itoupa fauché, il a fallu appeler et attendre jusqu’à 17 heures pour que ses frères viennent payer 50 dollars américains pour relâcher le secrétaire de Diomi. Curieusement, sans établir le moindre procès verbal de la personne qui était minutieusement filée et retracée depuis des semaines. C’est clair que certains agents des services spéciaux rentabilisent les missions confiées par la hiérarchie.
Samuel Mbuta
 http://democratiechretienne.org/2014/09/06/democratie-chretienne-dc-ses-cadres-traques-r-d-congo-news/
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Message  KOTA 7/9/2014, 5:02 pm

Opposition : mobilisation, ce samedi 13 septembre, avec deux mots d’ordre: touche pas à la Constitution et libérez les porisonnier politiques
par FreeDiomi le 7 septembre 2014
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Opposition : monstre mobilisation, ce samedi 13 septembre

 
[img(299.79999999999995px,224.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2014/08/10584057_10203765939736580_9154593877615170989_n.jpg?w=450&h=338[/img]
Au moins 30 partis de l’Opposition  parmi ceux qui avaient boycotté la concertation nationale, agissant sous la bannière des Forces Politiques et Sociales, appellent à une manifestation monstre, ce samedi 13 septembre. C’est à l’issue de la réunion de ce jeudi 4 septembre en salle paroissiale notre Dame de Fatima.
 
La décision est signée, en première ligne,  UNC de Vital Kamerhe,  l’Udps représentée  par son Secrétaire général, Mavungu,  Ecidé de Martin Fayulu,  la MPP, la DC de Diomi Ndongala, l’Udemo de Zanga Mobutu, P.T.de Stev Mbikay, Radeco/Fac représentée par Mme Tatcher ainsi que la principale branche de la Société Civile que conduit Christoffer Ngoyi.
 
Le mouvement  de colère   s’étendra   dans toutes les provinces du pays  avec pour seul message : NE TOUCHE PAS A MA CONSTITUTION. C’est la suite logique du meeting du 4 août 2014 dont les images ont fait le tour du monde. La fièvre passée,  le camp Kabliste revient à ses provocations.
 
L’on comprendra que les derniers conciliabules de Kingakati dont la substance est la reconduction de Joseph Kabila à la tête du pays en violation des prescrits de la Constitution ( art.220),  ont eu l’effet de mettre le feu aux poudres.
 

L’Opposition en appelle à la libération des prisonniers politiques et d’opinion notamment l’Honorable Eugène Diomi Ndongala, Président National de la DC,  le Pasteur Kouthino Fernando, Bruno Kabatshi,  Bertrand Ewanga et tant d’autres.  Toutes es détentions de prisonniers politiques démontrent à quel point la justice congolaise est inféodée à l’individu "Joseph Kabila" et à son régime liberticide

 
S’agissant de l’éventuelle mise en place du gouvernement dit de cohésion nationale, l’Opposition qualifie un tel exercice de comédie de mauvais goût. 
 
Pour tout dire : 
 
Participons collectivement au mouvement de colère prévu ce Samedi 13 septembre 2014. 

#RDC Mobilisation,13 septembre, avec deux mots d’ordre: touche pas à la Constitution + libérez les prisonniers politiques. http://democratiechretienne.org/2014/09/07/opposition-mobilisation-ce-samedi-13-septembre-avec-deux-mots-dordre-touche-pas-a-la-constitution-et-liberez-les-porisonnier-politiques/
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Message  KOTA 7/9/2014, 8:20 pm

10 Clés pour comprendre l’échec et les raisons de départ de Joseph Kabila à la tête de la RDC avant 2016
par FreeDiomi le 7 septembre 2014
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Peuple-ecrase-par-armc3a9c3a9-dite-republicaine

10 Clés pour comprendre l’échec et les raisons de départ de Joseph Kabila à la tête de la RDC avant 2016

Par Augustin Ramazani
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Kab
1. La RDC n’est pas un Etat de Droit  
Depuis la mort de son père Laurent Désiré Kabila le 16 janvier 2001, monsieur Joseph Kabila vient de réaliser 14 ans, plus d’une décennie à la tête de la République Démocratique du Congo (RDC). Monsieur Joseph Kabila n’a pas réussi, durant plus d’une décennie à la tête du pays, à faire de la RDC un Etat de Droit garantissant nos libertés fondamentales, individuelles et collectives.

En RDC, il n’y a plus de liberté d’expression et de la presse. Monsieur Joseph Kabila vient d’interdire plus de 60 journaux, plusieurs médias sont fermés. Les journalistes sont arrêtés et les hommes œuvrant pour les Droits de l’homme sont égorgés, les opposants, non "adversaires" mais "ennemis", sont arrêtés et mis en prison (les députés Eugène Diomi Ndongala, Bruno Kabatshia, Kutino, Eric Kikunda, Yangambi, etc…ndlr)

La RDC, malgré sa révolution de la modernité, reste une dynastie négrière : policière, corrompue et sanguinaire à la solde de monsieur Joseph Kabila et de son club des affairistes. Monsieur Joseph Kabila, durant plus d’une décennie, n’a pas réussi à mettre fin à la crise qui secoue l’Est de la RDC parce que la violence dans les villages et les villes de l’Est se poursuit de plus bel. La révolution de la modernité se veut un masque idéologique et démagogique pour piller sans vergogne les richesses de la RDC avec son club affairiste.
2. La RDC n’est plus une République     
Avec monsieur Joseph Kabila, la RDC a perdu ses fonctions régaliennes républicaines et étatiques parce qu’inféodées à sa dictature. Le parlement, l’anr, l’armée, la police, la justice, la Ceni, la Cour Suprême de Justice, la Banque centrale…sont des institutions supposées être au service de la souveraineté de l’Etat congolais et pourtant elles sont au service de monsieur Joseph Kabila. Dans un contexte politique de non séparation des pouvoirs, le risque est certain que monsieur Joseph Kabila instaure une tyrannie en RDC s’il ne part pas avant 2016.
3. Pillage systématique de la RDC par les Congolais au pouvoir et par les Compagnies Multinationales capitalistes occidentaux, asiatiques et africaines
Monsieur Joseph Kabila est présumé avoir accumulé entre 15 à 17 milliards des fonds détournés de la RDC, ceux qui sont autour du capitaine son clan de Katangais s’engouffrent dans le business et remplissent des coffres des Paradis fiscaux dans les îles vierges britanniques à la moquerie du peuple congolais. Certains officiers militaires se donnent à cœur joie au trafic des minerais et des armes sans être jugés ou sanctionnés par la justice, vitrine de monsieur Joseph Kabila et sa bande. Cette richesse revient d’office au peuple congolais et doit lui être restituée tôt ou tard. De plus, c’est avec monsieur Joseph Kabila, et depuis l’AFDL que les Sociétés multinationales occidentales, asiatiques et africaines se donnent à cœur joie à l’exploitation mafieuse, illicite et au pillage des richesses de la RDC. La RDC est devenue un déversoir des pilleurs qui se livrent à l’exploitation indue des richesses du pays comme si c’est devenu leurs propres richesses. Enfin, les pays voisins comme le Rwanda et l’Ouganda se mêlent à la danse. Depuis l’entrée de l’AFDL en RDC en 1996 jusqu’aujourd’hui, ils se réjouissent d’exploiter les richesses du pays sous la bénédiction des autorités de Kinshasa.
4. L’Absence d’une éthique politique en RDC
La corruption, le clientélisme, le favoritisme et d’autres antivaleurs comme la criminalité, la torture, la répression de toute opposition politique, bref une vision guerrière du politique…sème un climat malsain et insécure dans le pays. Ces antivaleurs battent son plein dans le Gouvernement de monsieur Joseph Kabila et au milieu de ses proches. Les agents de la Fonction publique, les chefs des entreprises étatiques comme les chefs militaires et de la police en complicité avec monsieur Joseph Kabila s’enrichissent scandaleusement en RDC. Ils se construisent des villas sans connaître l’origine des fonds et sans être poursuivis. Ils pillent et volent, vivent de la corruption sous la protection de monsieur Joseph Kabila parce que ce dernier ne vit que de la grande corruption. C’est pourquoi la petite corruption s’installe en RDC aux sus et aux vus de tous. La croissance économique actuelle de 6 à 7% observée en moyenne ces dernières années, est très insuffisante pour soutenir et conduire le développement endogène et autocentré en RDC. De ce fait, l’économie congolaise est une économie chancelante de prédation et de violence, mal intégrée dans l’économie mondiale, depuis la colonisation, la post colonie et la mondialisation. La RDC avec monsieur Joseph Kabila devient un pays dont l’économie reste à désirer avec un produit intérieur brut (PIB) de. En d’autres termes, chaque Congolais aujourd’hui vit avec 0,30$/jour/habitant. Ces statistiques présentent des incidences négatives et graves sur les recettes de l’Etat, la production économique, la consommation intérieure, l’épargne, et l’investissement…En RDC, il faut lutter contre l’évasion fiscale et le chômage, la corruption et l’impunité. Le chômage constitue l’un de fléau majeur de la société congolaise, il touche plus de 70% de la population active.
5. Le viol de la souveraineté étatique et populaire aux conséquences désastreuses pour la RDC et l’Afrique des Grands Lacs : Le génocide humain et sexuel
Les accords occultes, cachés et non honorés avec le Rwanda et l’Ouganda endeuillent la RDC, depuis plus d’une décennie, avec un bilan lourd de plus de 8 millions des morts. Il s’agit d’un génocide humain dont les conséquences sont lourdes et ne peuvent pas être oubliées si tôt dans la mémoire des Congolais. Ce génocide oublié devra tôt ou tard être puni. Ces accords perpétuent des massacres, des crimes contre l’humanité, des crimes de guerre et des viols des femmes. Nous pouvons qualifier cette situation affreuse de viol des femmes, en attendant sous peu la CPI sur la RDC, de génocide sexuel. Les viols perpétrés contre les femmes ne régressent pas, 300.000 viols répertoriés au premier trimestre 2014 à l’Est de la RDC. De ce fait, des accords contractés sans que le Parlement et le peuple congolais ne soient partie prenante, soutiennent la mafia kabiliste et mettent la RDC en mauvaise posture avec ses voisins. De plus, la RDC a perdu sa souveraineté territoriale et populaire, ses frontières sont devenues un passoir. Les forces rwandaises, ougandaises, et burundaises y entrent comme en terrain conquis. L’Est de la RDC n’est pas sous la protection du gouvernement de Kinshasa. La RDC devient un carrefour où les milices naissent et renaissent, où les milices pillent, tuent et violent en toute impunité, et quelquefois avec la complicité et sous la bénédiction de monsieur Joseph Kabila.
6. Pour un régime civil démocratiquement élu en RDC
Monsieur Joseph Kabila est un militaire à la tête d’un pays comme la RDC. Rares sont les militaires qui œuvrent à la civilité politique, plutôt ils travaillent pour instaurer des monarchies politiques. Le propre des régimes militaires c’est la militarisation des territoires dont les militaires dirigent, c’est de semer la terreur pour faire peur à leur peuple, bref, c’est le machiavélisme politique pour dominer et asseoir leur pouvoir pour s’y maintenir longtemps. Aussi, ce pays s’appelle désormais la République Démocratique du Congo. Il n’est que démocratique de nom avec une administration politique décentralisée. Mais la décentralisation n’est jamais opérationnelle sur terrain. Monsieur Joseph Kabila lui-même devant son clan politique a reconnu que la Constitution de Liège n’est pas suivie parce que le 40% des recettes qui doivent être rétrocédées aux provinces, son Gouvernement ne l’a jamais appliqué. De plus, la subdivision du pays en 26 provinces demeure une promesse non tenue dans sa révolution de la modernité. Enfin, a-t-on besoin d’un militaire comme président à la tête de l’Etat congolais ? Aussi longtemps que la RDC ne changera pas de régime politique passant d’un régime militaire à un régime civil démocratiquement élu, la RDC ne retrouvera jamais la paix et ne sera jamais une démocratie moderne. La RDC n’a pas besoin d’un homme fort comme monsieur Joseph Kabila mais des institutions fortes d’une démocratie directe comme un parlement fort et une justice indépendante qui dirigent et sanctionnent ; et les institutions fortes d’une démocratie indirecte comme le Contrôle des Finances publiques et l’éthique publique.
7. La révolution de la Modernité n’est pas une révolution du social mais un masque démagogique
Avec monsieur Joseph Kabila, la fracture sociale s’est aggravée. Considérablement, il existe un grand écart entre les riches et les pauvres. Le Gouvernement de Kabila n’a pas réussi à investir dans l’amélioration des conditions de vie de la population congolaise. Certains Congolais vivent dans des logements insalubres, des villes et villages abandonnés n’ont pas d’eau potable et d’électricité. L’on constate une non-autosuffisance alimentaire dans le pays. Plus de 75 % de la population n’a pas de nourriture et ne mange pas assez, n’a pas de vêtements surtout les populations congolaises déplacées à l’intérieur de leur propre pays à cause des conflits et des guerres civiles. Monsieur Joseph Kabila et son gouvernement ne prennent pas au sérieux la santé et l’éducation des Congolais. Les insuffisances constatées dans la qualité des soins de santé et de l’enseignement dispensés nous inquiètent quand à l’avenir de la RDC. Les routes de déserte agricole sont négligées. La révolution de la modernité est une régression, qu’une progression dans l’avenir à cause du caractère insuffisant et délabré des infrastructures économiques de base, notamment celles de transport et de communication, pour le développement de la RDC.
8. La RDC n’exerce plus son leadership politique dans la région des Grands Lacs africains
Avec monsieur Joseph Kabila, la RDC dans la région des Grands Lacs, a perdu son leadership politique. Le pays est devenu l’un des plus pauvres et plus endettés de la planète. Il a été classé, l’an dernier, en termes d’effort d’intégration comme pays plus pauvre et plus endetté de la planète. Le pays est classé au rouge comme un pays très dangereux pour les investisseurs où il ne faudrait pas séjourner parce qu’il vit désormais dans des conflits récurrents et chroniques qui détruisent les tissus sociaux et plongent le peuple dans une insécurité sans fin et une misère sempiternelle.
9. La confiscation du droit du souverain primaire
Depuis les indépendances, le peuple congolais ne semble guère avoir exercé son droit du souverain primaire. Au moment de la décolonisation, pour la première fois, le peuple fut convoqué pour qu’il élise ses dirigeants, après cette première législature, crédible et transparente, son droit de souverain primaire lui fut arraché jusqu’aux élections de 2006. Depuis lors, les élections chaotiques de 2011 organisées par monsieur Joseph Kabila ont clairement manifesté sa volonté de confisquer le droit du souverain primaire du peuple congolais. La fin du mandat présidentiel de monsieur Joseph Kabila, à l’issue duquel, constitutionnellement, il ne pourrait plus se représenter, plonge lui et son équipe dans la torpeur par rapport aux échéances électorales de 2016. De ce fait, monsieur Joseph Kabila et ses thuriféraires affichent clairement leurs intentions avouées et inavouées de confisquer le droit du souverain primaire, malgré la pression de la Communauté internationale. Le peuple congolais n’est pas dupe, il ne se laissera pas faire. Le peuple congolais agira pour écarter monsieur Joseph Kabila et sa bande. Cette tentative de confiscation du droit primaire du peuple congolais se veut les dernières manœuvres dilatoires de monsieur Joseph Kabila et de son gouvernement.
10. La balkanisation de la RDC
Avec monsieur Joseph Kabila, les étrangers ont réussi à s’infiltrer dans toutes les institutions de la République jusqu’à la présidence. La RDC est réellement balkanisée à l’Est comme à l’Ouest sous la supervision du Rwanda et de l’Ouganda. Ce n’est pas avec monsieur Joseph Kabila que la RDC deviendra un Etat de Droit avec une justice indépendante pour tous et une gestion saine et transparente des biens publics.

Professeur Augustin Ramazani Bishwende.



Université d’Ottawa – Faculté des Sciences sociales.
École d’Études Politiques/School of Political Studies – Sociologie et Anthropologie
Canada (Amérique du Nord)
http://desc-wondo.org/10-cles-pour-comprendre-lechec-et-les-raisons-de-depart-de-joseph-kabila-a-la-tete-de-la-rdc-avant-2016-augustin-ramazani/


http://democratiechretienne.org/2014/09/07/10-cles-pour-comprendre-lechec-et-les-raisons-de-depart-de-joseph-kabila-a-la-tete-de-la-rdc-avant-2016/
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Message  KOTA 8/9/2014, 1:31 pm

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Captur10

LE WEB JOURNAL DU 08/09/2014: TOUTE L ACTUALITE BRULANTE DE LA RDC....http://paper.li/fsddc/1383407914


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“Free Diomi”
“Free Diomi”, by Diomi Ndongala Free: WEB JOURNAL QUOTIDIEN - Eugène Diomi Ndongala, Président de la Démocratie Chrétienne, prisonnier politique en RDC
paper.li|Par SmallRivers
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Message  KOTA 9/9/2014, 4:46 pm

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Comm-dc-09-09-141

LA DEMOCRATIE CHRETIENNE EXIGE LA LIBERATION IMMEDIATE ET SANS CONDITIONS DE SON PRESIDENT NATIONAL, EUGENE DIOMI NDONGALA, DETENU ILLEGALEMENT A LA SUITE D’UN PROCES POLITIQUE  DEPOURVU DE LEGALITE, NON  EXECUTOIRE ET NUL


Le Bureau politique de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle, tient à informer l’opinion tant nationale qu’internationale,   qu’en date du 01/09/2014 le collectif des Avocat du Président National de la DC a introduit une requête de libération de  leur client à cause des irrégularités flagrantes ayant vicié la parodie de procès politique qui a abouti à sa condamnation scélérate.

En effet, il ressort de leur analyse et dénonciation, une différence de traitement entre les dossiers similaires concernant le  député Ewanga par rapport  au traitement singulier et discriminatoire réservé au député Eugène Diomi Ndongala.

Dans les cas, il apparait une réelle différence de traitement de forme de ces deux dossiers, alors que, du point de vue formel,  ils sont identiques.


Dans la procédure concernant le Président Diomi Ndongala, la Cour suprême de Justice a manifestement violé, de manière flagrante, l’art.34 de la loi organique n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence de juridiction de l’ordre judiciaire.

Cette disposition exige que la Cour de Cassation siégeant en 1° et dernier ressort, comprenne 7 magistrats. Force est de constater que dans l’arrêt d’Eugène Diomi Ndongala, la Cour Suprême de Justice de la République Démocratique du Congo,  a siégé à 5 au lieu de 7 magistrats.

Au contraire, dans la procédure concernant le député Ewanga, la Cour Suprême de Justice siège curieusement à 7 magistrats.

Il convient d’admettre que la Cour,  qui a respecté la loi organique plus haut indiquée a été respectée dans l’Affaire Ewanga ,  l’a superbement ignorée pour le Président Diomi Ndongala ; voilà pourquoi nous dénonçons  que  l’arrêt condamnant Eugène Diomi Ndongala est dépourvu de légalité.


D’où, il ressort que l’arrêt prononcé contre Eugène Diomi ndongala étant dépourvu de légalité, manque de force exécutoire et il est, par conséquent,  NUL.

En effet, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique du régime Kabila depuis 2 ans, a été jugé par une chambre incompétente, dont le seul objectif était de l’emprisonner à n’importe quel prix, sur la base d’injonctions politiques qui déshonorent la magistrature et minent les fondations de l’Etat de Droit en RDC. Il suffit de rappeler que le Député de la DC, tout en étant placé en résidence surveillée par 4 ordonnances de la CSJ, il a été maintenu en prison et son mandat invalidé alors qu’il été illégalement détenu.

La conséquence légale de la  nullité du procès Diomi Ndongala, que nous dénonçons formellement  prenant l’opinion nationale et internationale à témoins, est que le Président National de la DC , n’ayant pas été jugé dans la forme prescrite par la loi en matière de Cour de Cassation, n’a  pas été jugé par son juge naturel  et, par conséquent, il doit être immédiatement libéré,  sa détention étant illégale.

Vu le manque de réponse de la part du président de la Cour suprême de Justice à cette revendication légale, légitime et conforme au droit, le collectif des Avocats du Président National de la Démocratie Chrétienne ont déposé le 04 septembre 2014 une REQUETE DE PRISE A PARTIE contre les Magistrats ayant violé expressément  la loi et les droits fondamentaux de M Eugène Diomi Ndongala ;

Il s’agit des juges suivants :
1.NGOIE KALENDA ,
2.BUSHIRI IMANI MWATA ,
3.MULAMBA MWAMBA ,
4.IBANDA DUDU ,
5.MWANGILWA MUSALI.

Ces juges sont pris à partie et ils devront répondre pour « dol » car il apparaît que leur volonté de ne pas se conformer à l’art. 34 de la loi régissant la composition de la Chambre en matière de Cassation ne procède pas de l’ignorance de la loi mais plutôt d’une faute grave et sérieuse qui s’assimile au dol et elle ouvre la voie à cette dénonciation formelle à leur encontre.

Il sied de souligner que la violation de droit est avérée d’autant que dans les mêmes conditions, la Cour Suprême de Justice faisant office de la Cour de Cassation, dans la cause 017/CR Jean Bertand Ewanga, a siégé à sept juges, conformément  aux dispositions de la loi organique n°13/011-b du 11 avril 2013 portant organisation et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire.

Dans la plainte contre les juges, le collectif des avocats demande à la CSJ de
1.constater que ceux-ci ont délibérément violé l’art.34 de la loi organique n° 13/011-b du 11 avril 2013, portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire en siégeant à cinq plutôt qu’ à sept ;
2.d’annuler le RP 014/CR du 26 mars 2014 émis contre Eugène Diomi Ndongala  et le remettre immédiatement en liberté;
3.Condamner la République Démocratique du Congo, civilement responsable «  in solidum » avec les 5 magistrats, à l’équivalent en francs congolais de deux millions de dollars, de dommages et intérêts.


Vu ce qui précède, la Démocratie Chrétienne exige la libération immédiate et sans condition du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, victime d’un harcèlement politico-judiciaire de longue date, sa détention n’ayant plus aucune fondation légale.

Il reste entendu que si la CSJ continuera son déni de justice envers le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, à cause d’injonctions politiques scélérates,   la Démocratie Chrétienne s’engage à tout mettre en œuvre afin que les instances de Justice Internationales se saisissent  de ce cas extrême de violation des droits de l’homme ainsi que de violations des droits civils et politiques d’un opposant politique  qui est incarcéré illégalement depuis deux ans à cause de ses opinions et son noble  combat politique pour la vérité des urnes.

Vérité et Justice pour le Congo,

Fait à Kinshasa, le 09/09/2014,

Marc Mawete,

Porte-Parole,

Démocratie Chrétienne, DC

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Message  KOTA 10/9/2014, 12:34 pm

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Diomi-pris-pol1
Affaire Diomi : une requête de prise à partie déposée contre 5 magistrats /TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 10 septembre 2014
    

A la suite d’un procès « politique » dépourvu de légalité

Ces derniers sont accusés de « violer expressément » la loi et les droits fondamentaux du leader de la DC dont la libération immédiate est exigées
Dans une déclaration rendue publique hier mardi 9 septembre 2014 et signée par son porte-parole, Marc Mawete, la Démocratie chrétienne (DC), à travers son bureau politique, informe l’opinion tant nationale qu’internationale qu’en date du 1er septembre 2014, les avocats d’Eugène Diomi Ndongala ont introduit une requête de libération de leur client à cause des irrégularités flagrantes ayant vicié la parodie de « procès politique » qui a abouti à sa condamnation scélérate.
En effet, il ressort de leur analyse et dénonciation une différence de traitement entre les dossiers similaires concernant le député Ewanga par rapport au traitement singulier et discriminatoire réservé au député Eugène Diomi Ndongala.
Dans les cas, il apparait une réelle différence de traitement de forme de ces deux dossiers, alors que, du point de vue formel, ils sont identiques.

Dans la procédure concernant Diomi Ndongala, la Cour suprême de Justice a manifestement violé, de manière flagrante, l’article 34 de la loi organique n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence de juridiction de l’ordre judiciaire, peut-on lire dans cette déclaration.

Cette disposition, poursuit-elle, exige que la Cour de Cassation, siégeant en 1er et dernier ressort, comprenne 7 magistrats. Force est de constater que dans l’arrêt de l’affaire Eugène Diomi Ndongala, la Cour Suprême de Justice de la République Démocratique du Congo a siégé à 5 au lieu de 7 magistrats.
Au contraire, dans la procédure concernant le député Ewanga, la Cour Suprême de Justice siège curieusement à 7 magistrats.
Il convient d’admettre que la Cour qui a respecté la loi organique plus haut indiquée dans l’affaire Ewanga, l’a superbement ignorée pour Diomi.

« Voilà pourquoi nous dénonçons le fait que l’arrêt condamnant Eugène Diomi Ndongala est dépourvu de légalité. D’où, il ressort que l’arrêt prononcé contre Eugène Diomi Ndongala étant dépourvu de légalité, manque de force exécutoire et est, par conséquent, nul ».

Le bureau politique de la DC fait savoir qu’Eugène Diomi Ndongala a été jugé par une chambre incompétente dont le seul objectif était de « l’emprisonner à n’importe quel prix ». Il suffit de rappeler que le député de la DC, tout en étant assigné à résidence par 4 ordonnances de la CSJ, a été maintenu en prison et son mandat invalidé alors qu’il été illégalement détenu.
La conséquence légale de la nullité du procès Diomi Ndongala, soutiennent les avocats, est que le président national de la DC, n’ayant pas été jugé dans la forme prescrite par la loi en matière de Cour de Cassation, n’a pas été jugé par son juge naturel et, par conséquent, doit être immédiatement libéré, sa détention étant illégale.
Vu le manque de réponse de la part du président de la Cour suprême de Justice à cette revendication légale, légitime et conforme au droit, le collectif des avocats du leader de la DC ont déposé le 4 septembre 2014 une requête de prise à partie contre les magistrats ayant « violé expressément » la loi et les droits fondamentaux de Diomi.
Ces juges sont pris à partie et devront répondre pour « dol » car il apparaît que leur volonté de ne pas se conformer à l’article 34 de la loi régissant la composition de la Chambre en matière de Cassation ne procède pas de l’ignorance de la loi mais plutôt d’une faute grave et sérieuse qui s’assimile au dol.

Dans la plainte contre les juges, le collectif des avocats demande à la CSJ de constater que ceux-ci ont délibérément violé l’article 34 de la loi organique n°13/011-b du 11 avril 2013, portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire en siégeant à cinq plutôt qu’à sept ; d’annuler le RP 014/CR du 26 mars 2014 émis contre Eugène Diomi Ndongala et le remettre immédiatement en liberté; de condamner la République Démocratique du Congo, civilement responsable «  in solidum » avec les 5 magistrats, à l’équivalent en Francs congolais de deux millions de dollars de dommages et intérêts.

Vu ce qui précède, la DC exige la libération immédiate et sans condition du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, victime d’un harcèlement politico-judiciaire de longue date, sa détention n’ayant plus aucune fondation légale.

« Il reste entendu que si la CSJ continue son déni de justice envers Diomi Ndongala, la Démocratie Chrétienne s’engage à tout mettre en œuvre afin que les instances de la Justice Internationale se saisissent de ce cas extrême de violation des droits de l’homme ainsi que de violation des droits civils et politiques d’un opposant politique incarcéré illégalement depuis deux ans à cause de ses opinions et son noble combat politique pour la vérité des urnes », conclut cette déclaration.
Par Stone
 
http://latempete.info/affaire-diomi-une-requete-de-prise-a-partie-deposee-contre-5-magistrats-2/


http://democratiechretienne.org/2014/09/10/affaire-diomi-une-requete-de-prise-a-partie-deposee-contre-5-magistrats-tempete-des-tropiques/
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Message  KOTA 10/9/2014, 1:55 pm

Procès Diomi, l’ACAJ accuse Kitoko Kimpele
par FreeDiomi le 10 septembre 2014
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Politique 10 septembre 2014

Procès Diomi, l’ACAJ accuse Kitoko Kimpele

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 26 Kitoko-kimpele

 

 
Le premier président de la Cour suprême de justice, Jérôme Kitoko Kimpele est l’homme orchestre de la détention illégale d’Eugène Diomi Ndongala. L’ACAJ, l’association des Congolais pour l’accès à la justice via son président national, Georges Kapambia, a, au cours d’une conférence de presse, accusé Kitoko Kimpele de manigancer l’arrestation du président national du DC-Démocratie chrétienne.
L’ACAJ exige à Kitoko Kimpele de constater que Diomi Ndongala a été jugé et condamné par une chambre illégale. Face à cette irrégularité, l’ACAJ demande la liberté de Diomi sans conditions. Dans une correspondance datée du 2 septembre, l’ACAJ exige à Kimpele de considérer et condenser les observations judiciaires soulevées sur le déroulement du procès Diomi enfin que ce dernier recouvre sa liberté. Kapambia affirme que Diomi a été jugé et condamné par une chambre composée de cinq juges au lieu de sept comme le prescrit l’article 35 de la loi organique du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétences des juridictions de l’ordre judiciaire. Et de poursuivre : « Diomi n’a jamais eu l’occasion de présenter ses moyens de défense par rapport aux faits lui imputés. Il était non seulement malade et physiquement dans l’impossibilité de prendre la parole. Mais la CSJ avait refusé à l’audience du 12 mars 2014, à la laquelle le dossier était pris en délibéré, la narration des faits résultante de la décision de condamnation incohérente mais plutôt tendancieuse, lit-on dans le communiqué de presse de l’ACAJ. Pour l’ACAJ, la CSJ a violé l’article 12 de la constitution qui interdit tout traitement discriminatoire. La cour ne s’est même pas interrogée de savoir pourquoi le ministère public avait détenu pendant l’instruction Diomi à la prison de Makala en lieu et place d’une résidence surveillée comme elle l’avait ordonnée à trois reprises. L’ACAJ rappelle à Kitoko Kimpele qu’en droit international et en droit de l’homme, les sanctions qui n’ont pas respecté les normes internationales sont considérées comme des actes de torture au sein de l’article 1er de la convention contre la torture et autres peines ou traitement cruels, inhumains ou dégradants. L’ACAJ affirme que la condamnation de Diomi manque des exécutoires et donc est nulle, car la décision est rendue en violation des instruments juridiques nationaux et internationaux.
yves buya

http://democratiechretienne.org/2014/09/10/proces-diomi-lacaj-accuse-kitoko-kimpele/
KOTA
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Message  KOTA 10/9/2014, 2:42 pm

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Affaire Diomi : une requête de prise à partie déposée contre 5 magistrats /TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 10 septembre 2014
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A la suite d’un procès « politique » dépourvu de légalité

Ces derniers sont accusés de « violer expressément » la loi et les droits fondamentaux du leader de la DC dont la libération immédiate est exigées
Dans une déclaration rendue publique hier mardi 9 septembre 2014 et signée par son porte-parole, Marc Mawete, la Démocratie chrétienne (DC), à travers son bureau politique, informe l’opinion tant nationale qu’internationale qu’en date du 1er septembre 2014, les avocats d’Eugène Diomi Ndongala ont introduit une requête de libération de leur client à cause des irrégularités flagrantes ayant vicié la parodie de « procès politique » qui a abouti à sa condamnation scélérate.
En effet, il ressort de leur analyse et dénonciation une différence de traitement entre les dossiers similaires concernant le député Ewanga par rapport au traitement singulier et discriminatoire réservé au député Eugène Diomi Ndongala.
Dans les cas, il apparait une réelle différence de traitement de forme de ces deux dossiers, alors que, du point de vue formel, ils sont identiques.

Dans la procédure concernant Diomi Ndongala, la Cour suprême de Justice a manifestement violé, de manière flagrante, l’article 34 de la loi organique n° 13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétence de juridiction de l’ordre judiciaire, peut-on lire dans cette déclaration.

Cette disposition, poursuit-elle, exige que la Cour de Cassation, siégeant en 1er et dernier ressort, comprenne 7 magistrats. Force est de constater que dans l’arrêt de l’affaire Eugène Diomi Ndongala, la Cour Suprême de Justice de la République Démocratique du Congo a siégé à 5 au lieu de 7 magistrats.
Au contraire, dans la procédure concernant le député Ewanga, la Cour Suprême de Justice siège curieusement à 7 magistrats.
Il convient d’admettre que la Cour qui a respecté la loi organique plus haut indiquée dans l’affaire Ewanga, l’a superbement ignorée pour Diomi.

« Voilà pourquoi nous dénonçons le fait que l’arrêt condamnant Eugène Diomi Ndongala est dépourvu de légalité. D’où, il ressort que l’arrêt prononcé contre Eugène Diomi Ndongala étant dépourvu de légalité, manque de force exécutoire et est, par conséquent, nul ».

Le bureau politique de la DC fait savoir qu’Eugène Diomi Ndongala a été jugé par une chambre incompétente dont le seul objectif était de « l’emprisonner à n’importe quel prix ». Il suffit de rappeler que le député de la DC, tout en étant assigné à résidence par 4 ordonnances de la CSJ, a été maintenu en prison et son mandat invalidé alors qu’il été illégalement détenu.
La conséquence légale de la nullité du procès Diomi Ndongala, soutiennent les avocats, est que le président national de la DC, n’ayant pas été jugé dans la forme prescrite par la loi en matière de Cour de Cassation, n’a pas été jugé par son juge naturel et, par conséquent, doit être immédiatement libéré, sa détention étant illégale.
Vu le manque de réponse de la part du président de la Cour suprême de Justice à cette revendication légale, légitime et conforme au droit, le collectif des avocats du leader de la DC ont déposé le 4 septembre 2014 une requête de prise à partie contre les magistrats ayant « violé expressément » la loi et les droits fondamentaux de Diomi.
Ces juges sont pris à partie et devront répondre pour « dol » car il apparaît que leur volonté de ne pas se conformer à l’article 34 de la loi régissant la composition de la Chambre en matière de Cassation ne procède pas de l’ignorance de la loi mais plutôt d’une faute grave et sérieuse qui s’assimile au dol.

Dans la plainte contre les juges, le collectif des avocats demande à la CSJ de constater que ceux-ci ont délibérément violé l’article 34 de la loi organique n°13/011-b du 11 avril 2013, portant organisation, fonctionnement et compétence des juridictions de l’ordre judiciaire en siégeant à cinq plutôt qu’à sept ; d’annuler le RP 014/CR du 26 mars 2014 émis contre Eugène Diomi Ndongala et le remettre immédiatement en liberté; de condamner la République Démocratique du Congo, civilement responsable «  in solidum » avec les 5 magistrats, à l’équivalent en Francs congolais de deux millions de dollars de dommages et intérêts.

Vu ce qui précède, la DC exige la libération immédiate et sans condition du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, victime d’un harcèlement politico-judiciaire de longue date, sa détention n’ayant plus aucune fondation légale.

« Il reste entendu que si la CSJ continue son déni de justice envers Diomi Ndongala, la Démocratie Chrétienne s’engage à tout mettre en œuvre afin que les instances de la Justice Internationale se saisissent de ce cas extrême de violation des droits de l’homme ainsi que de violation des droits civils et politiques d’un opposant politique incarcéré illégalement depuis deux ans à cause de ses opinions et son noble combat politique pour la vérité des urnes », conclut cette déclaration.
Par Stone
 
http://latempete.info/affaire-diomi-une-requete-de-prise-a-partie-deposee-contre-5-magistrats-2/
 
KOTA
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Message  Admin 10/9/2014, 4:42 pm

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