EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
MISE AU POINT DE LA DC PAR RAPPORT AUX DECLARATIONS MALVEILLANTES DU PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT, M. LAMBERT MENDE, CONCERNANT LES PRISONNIERS POLITIQUES DE LA RDC / COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DU 08/08/2015
par FreeDiomi le 9 août 2015
par FreeDiomi le 9 août 2015
La Démocratie Chrétienne, DC en sigle, a le regret de constater que le Porte Parole du Gouvernement de la RDC persiste dans la négation de la vérité à propos des prisonniers politiques de la RDC et particulièrement en ce qui concerne le cas du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala.
En effet, à l’occasion d’une conférence de presse du 07/08/2015, relatée par les médias officiels et faisant suite à des communications et déclarations politiques de la société civile congolaise et de l’opposition politique, le Ministre de l’information, M Lambert Mende a, comme à l’ accoutumée, distillé des contre-vérités pour attaquer ceux qui exigent la libération sans condition des prisonniers politiques détenus illégalement par le gouvernement liberticide de M Kabila.
Ce que M. Lambert Mende semble ignorer est que l’opinion nationale et internationale sont désormais très bien informée à propos des cas des prisonniers politiques de la RDC.
En ce qui concerne l’Honorable Eugène Diomi Ndongala, la Démocratie Chrétienne tient à rappeler ce qui suit:
- Le Président National de la Démocratie Chrétienne, l’Hon Eugène Diomi Ndongala, est persécuté depuis trois ans par le gouvernement kabiliste en place à cause de ses positions politiques et surtout sa décision de ne pas siéger au parlement issu de la fraude électoral de novembre 2011. Organisateur de la plateforme politique “Majorité Présidentielle Populaire”, MPP en sigle, il fera l’objet d’un montage grossier et d’une détention su secret de trois mois à la suite de laquelle il sera poursuivi aussi bien pour atteinte à la sécurité de l’ État que pour une affaire de mœurs montées par les services de sécurité et en totale absence de preuves. Son procès, qui s’est tenu à huis clos, la nuit, sans témoins ni preuves à sa charges, a été prononcé par une chambre de la Cour Suprême de Justice siégeant en tant que Cour de Cassation. La chambre de Conseil était composées par un nombre irrégulier de juges car le procès de M. Diomi Ndongala a eu lieu sans aucun respect ni des formes de droit, ni des droits de la défense. En d’autres termes le procès aboutissant à la condamnation de l’Hon Eugène Diomi Ndongala est nul et non advenu selon le droit congolais.
A cause des gravissimes violations de droit entachant son procès, le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala, condamné à une lourde peine sur la base d’accusations fantaisistes et en violation des règles de base garantissant le droit de tout accusé au respect de son juge naturel, a “pris à partie” les juges de la CSJ qui ont siégé irrégulièrement à son procès “kafkien”. Le président de la CSJ, malgré il ait été régulièrement saisi, n’a donné aucune suite à la “prise à partie” des juges, ajoutant au procès nul et non advenu , le “déni de justice” de ne pas donner aucune suite à la “prise à partie des juges” qui l’avait irrégulièrement condamné. - Etant dans l’impossibilité d’avoir une justice impartiale à laquelle s’adresser en RDC, à cause de l’instrumentalisation d’un pouvoir judiciaire à la solde du pouvoir exécutif, l’Hon. Eugène Diomi Ndongala a porté plainte contre la RDC face au Comité International des Droits de l’Homme, pour violation du Pacte International Relatif aux Droits civils et Politiques. D’ailleurs le gouvernement de la RDC a été déjà officiellement saisi par cette plainte, qui est déjà en train d’aboutir au niveau du Tribunal des Droits de l’Homme de Genève, devant lequel la Démocratie Chrétienne n’a aucun doute que la RDC sera condamnée.
- Nous avons le devoir de rappeler à M. Lambert Mende que la libération de l’Hon. Eugène Diomi Ndongala avait été déjà décidée par le Forum Politique dit, “Concertations Nationales” et plus particulièrement la Thématique Gouvernance et Démocratie qui avait adopté une résolution, confirmée par le vote du Parlement et Sénat de la RDC réunie en Congres. Également, il sied de rappeler que M Kabila avait déclaré publiquement, dans un discours à la Nation, qu’il « s’engageait à donner stricte application à toutes les résolutions des Concertations Nationales”. Des lors, il serait plus avisé, pour le porte-parole du Gouvernement, plutôt que persévérer dans les mensonges d’état, de demander à son gouvernement de donner application aux engagement souscrits et publiquement assumés, libérant le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala.
Vu ce qui précède, le porte-parole de la RDC serait mieux conseillé de véhiculer la vérité sur les prisonniers politiques dont la libération constitue, en ce moment, une revendication exigée aussi bien par l’opposition politique que par la société civile congolaises, la diaspora, sans considérer les partenaires de la RDC et les organisation internationales des droits de l’homme.
La vérité éludée par M Mende, est que l’opinion nationale et internationale exigent la libération immédiate et sans condition des prisonniers politiques en général et de l’Hon Eugène Diomi Ndongala, en particulier, car ils sont tous des innocents détenus pour des raisons politiques.
Vérité et Justice pour le Congo,
Kinshasa, 08/08/2015
Marc Mawete,
Porte-parole adj.
Démocratie Chrétienne, DC
Porte-parole adj.
Démocratie Chrétienne, DC
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
« Complots » politiques en série / LA LIBRE BELGIQUE
par FreeDiomi le 17 août 2015
« Complots » politiques en série
Marie-France Cros Publié le samedi 04 mai 2013 à 04h30 – Mis à jour le samedi 04 mai 2013 à 04h30
International Congo-Kinshasa
lors que le pouvoir présidentiel congolais est affaibli par le scandale des élections de novembre 2011 – jugées « non crédibles » – on assiste depuis quelques mois à une multiplication d’arrestations pour « complot ».Cela avait commencé fin 2012, par l’arrestation de 9 « comploteurs« , ex-militaires congolais en Angola; Amnesty international s’était alarmée de leur mise au secret et des tortures subies.
Un médecin belge arrêté
Le 4 février, le Belge d’origine congolaise Jean-Pierre Kanku, médecin anesthésiste de Hoeilaart, était arrêté avec des Congolais peu après son arrivée à Kinshasa et accusé de complot insurrectionnel contre le président Kabila, pour avoir fondé en Belgique un Mouvement Debout Congolais et avoir rencontré le député poujadiste belge Laurent Louis; des armes auraient été trouvées dans sa chambre d’hôtel.
Le 5 février, 19 Congolais membres d’une Union démocratique des Nationalistes pour le Renouveau étaient arrêtés en Afrique du Sud sous l’accusation de complot pour renverser le président Kabila et un vingtième, recherché, se livrait à la police : Etienne Taratibu Kabila, fils de l’ex-président Laurent Kabila, qui met en doute la filiation du président Joseph Kabila. Les arrestations sont opérées au moment où des accusés s’apprêtaient à prendre livraison d’un arsenal d’armes qu’un faux vendeur leur proposait – un piège, selon leurs proches.
Le 8 avril, le député Eugène Diomi Ndongala, président du parti Démocratie chrétienne, proche d’Etienne Tshisekedi et fer de lance de l’opposition à Kinshasa (c’est lui qui organisait les mouvements de protestation populaire pour « la vérité des urnes »), est arrêté sans mandat. Le 11, on apprend qu’il est accusé d’être à la tête d’un mouvement insurrectionnel, « Imperium », désireux d’attenter à la vie du président Kabila et du Premier ministre Matata. Le directeur de cabinet adjoint d’Etienne Tshisekedi est arrêté dans le même « complot ». Des bouteilles en plastique et une machette ont été saisies, s’indigne Mme Diomi, comme « preuves » du complot. Le parti de Tshisekedi, l’UDPS, a dénoncé ce « montage » comme « ridicule », mais Eugène Diomi reste en prison, bien que la Cour suprême ait ordonné qu’il soit assigné à résidence. M. Diomi avait déjà été détenu trois mois au secret, de juin à octobre 2012, après une accusation de « viol » qui avait été largement dénoncée comme non crédible.
Effarant rejet
Enfin, dans la nuit du 30 avril au 1er mai, trois hommes apparentés à l’ex-candidate à la Présidence, Me Marie-Thérèse Nlandu, qui vit en Grande-Bretagne, ainsi que le gardien, ont été arrêtés sans mandat d’arrêt après avoir été battus. La maison du couple Nlandu-Noël Mbala, où vivaient les quatre hommes, a été « saccagée et pillée », selon Me Nlandu. Celle-ci précise qu’aucun de ces parents ne fait de politique et demande leur libération, alors qu’on ignore où ils sont détenus.
Cette succession est extrêmement préoccupante. Ou ces complots sont inventés pour éliminer les opposants – comme l’affirme l’opposition – ou ils sont avérés et témoignent alors d’un effarant rejet du chef de l’Etat.
http://www.lalibre.be/actu/international/complots-politiques-en-serie-51b8fc6ee4b0de6db9ca71f2
par FreeDiomi le 17 août 2015
« Complots » politiques en série
Marie-France Cros Publié le samedi 04 mai 2013 à 04h30 – Mis à jour le samedi 04 mai 2013 à 04h30
International Congo-Kinshasa
lors que le pouvoir présidentiel congolais est affaibli par le scandale des élections de novembre 2011 – jugées « non crédibles » – on assiste depuis quelques mois à une multiplication d’arrestations pour « complot ».Cela avait commencé fin 2012, par l’arrestation de 9 « comploteurs« , ex-militaires congolais en Angola; Amnesty international s’était alarmée de leur mise au secret et des tortures subies.
Un médecin belge arrêté
Le 4 février, le Belge d’origine congolaise Jean-Pierre Kanku, médecin anesthésiste de Hoeilaart, était arrêté avec des Congolais peu après son arrivée à Kinshasa et accusé de complot insurrectionnel contre le président Kabila, pour avoir fondé en Belgique un Mouvement Debout Congolais et avoir rencontré le député poujadiste belge Laurent Louis; des armes auraient été trouvées dans sa chambre d’hôtel.
Le 5 février, 19 Congolais membres d’une Union démocratique des Nationalistes pour le Renouveau étaient arrêtés en Afrique du Sud sous l’accusation de complot pour renverser le président Kabila et un vingtième, recherché, se livrait à la police : Etienne Taratibu Kabila, fils de l’ex-président Laurent Kabila, qui met en doute la filiation du président Joseph Kabila. Les arrestations sont opérées au moment où des accusés s’apprêtaient à prendre livraison d’un arsenal d’armes qu’un faux vendeur leur proposait – un piège, selon leurs proches.
Le 8 avril, le député Eugène Diomi Ndongala, président du parti Démocratie chrétienne, proche d’Etienne Tshisekedi et fer de lance de l’opposition à Kinshasa (c’est lui qui organisait les mouvements de protestation populaire pour « la vérité des urnes »), est arrêté sans mandat. Le 11, on apprend qu’il est accusé d’être à la tête d’un mouvement insurrectionnel, « Imperium », désireux d’attenter à la vie du président Kabila et du Premier ministre Matata. Le directeur de cabinet adjoint d’Etienne Tshisekedi est arrêté dans le même « complot ». Des bouteilles en plastique et une machette ont été saisies, s’indigne Mme Diomi, comme « preuves » du complot. Le parti de Tshisekedi, l’UDPS, a dénoncé ce « montage » comme « ridicule », mais Eugène Diomi reste en prison, bien que la Cour suprême ait ordonné qu’il soit assigné à résidence. M. Diomi avait déjà été détenu trois mois au secret, de juin à octobre 2012, après une accusation de « viol » qui avait été largement dénoncée comme non crédible.
Effarant rejet
Enfin, dans la nuit du 30 avril au 1er mai, trois hommes apparentés à l’ex-candidate à la Présidence, Me Marie-Thérèse Nlandu, qui vit en Grande-Bretagne, ainsi que le gardien, ont été arrêtés sans mandat d’arrêt après avoir été battus. La maison du couple Nlandu-Noël Mbala, où vivaient les quatre hommes, a été « saccagée et pillée », selon Me Nlandu. Celle-ci précise qu’aucun de ces parents ne fait de politique et demande leur libération, alors qu’on ignore où ils sont détenus.
Cette succession est extrêmement préoccupante. Ou ces complots sont inventés pour éliminer les opposants – comme l’affirme l’opposition – ou ils sont avérés et témoignent alors d’un effarant rejet du chef de l’Etat.
http://www.lalibre.be/actu/international/complots-politiques-en-serie-51b8fc6ee4b0de6db9ca71f2
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
L’ABSENCE DE RESPECT DE KABILA A SA PROPRE PAROLE DONNEE RESPECTIVEMENT A BAN KI-MOON, AU VATICAN, AUX ETATS UNIS, A L’UNION EUROPEENNE ET AUX CONCERTATIONS NATIONALES DE LIBERER M. EUGENE DIOMI NDONGALA, FAIT L’OBJET D’UNE BRUSQUE REFLEXION A NEW YORK
par FreeDiomi le 17 août 2015
http://democratiechretienne.org/2015/08/17/labscence-de-respect-de-kabila-a-sa-propre-parole-donnee-respectivement-a-ban-ki-moon-au-vatican-aux-etats-unis-a-lunion-europeenne-et-aux-concertations-nationales-de-liberer-m-eugene-diomi-nd/
CLIQUEZ SUR CHAQUE IMAGE POUR LIRE
par FreeDiomi le 17 août 2015
http://democratiechretienne.org/2015/08/17/labscence-de-respect-de-kabila-a-sa-propre-parole-donnee-respectivement-a-ban-ki-moon-au-vatican-aux-etats-unis-a-lunion-europeenne-et-aux-concertations-nationales-de-liberer-m-eugene-diomi-nd/
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
L’Opposition signe et persiste : pas de 3ème mandat pour Kabila / LE PHARE
par FreeDiomi le 17 août 2015
L’Opposition signe et persiste : pas de 3ème mandat pour Kabila
[img(199.8px,199.8px)]http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2015/04/opposition_DRC-200x200.jpg[/img]
La Dynamique pour l’Unité d’Action de l’Opposition a organisé le vendredi 14 août 2015 dans la soirée un dîner de gala au restaurant Adeliz, dans la commune de Kasa –Vubu, en l’honneur de Jean-Bertrand Ewanga, Secrétaire général de l’UNC (Union pour la Nation Congolaise), fraîchement libéré, après avoir purgé une peine d’une année à la Prison Centrale de Makala.
Cette grande fête des retrouvailles a été marquée par la présence de plusieurs leaders de l’Opposition, notamment Martin Fayulu, Jean-Claude Vuemba, Mwenze Kongolo, Jean- Lucien Bussa, Emery Okundji, Claudel Lubaya, etc.
Dans son mot de circonstance, le modérateur du jour, Mwenze Kongolo, a exprimé sa joie de partager un repas avec les autres acteurs de l’opposition pour célébrer la sortie de prison de leur compagnon de lutte, Jean- Bertrand Ewanga, désormais un homme libre.
Mwenze Kongolo a invité les membres de la Dynamique pour l’Unité d’Action de l’Opposition à la cohésion, pour résister contre les dérives du pouvoir en place, qui ne cache plus, selon lui, ses intentions d’instaurer la monarchie présidentielle mise à nu par son ministre en charge des Relations avec le Parlement, dans son interview du mercredi 12 août à RFI.
Pour l’ancien ministre de l’Intérieur et de la Justice sous le régime de LD Kabila, il faut sauver la République en anéantissant les violations par le pouvoir en place des droits humains, des libertés publiques pourtant consignées dans la Constitution.
« Car, le danger est là : la prise en otage de toutes les institutions de la République, la confiscation du pouvoir d’Etat, le Coup d’Etat Constitutionnel permanent par la Majorité au pouvoir », a-t-il martelé, avant de rendre hommage à la bravoure et au courage de Jean-Bertrand Ewanga, qui reste imperturbable dans son combat, en dépit de son emprisonnement injuste.
Prenant la parole à son tour, Jean-Bertrand Ewanga a remercié, en son nom ainsi qu’en celui de toute sa famille, ses camarades de l’opposition qui l’ont soutenu pendant son calvaire à Makala. Il a réitéré son engagement dans le combat contre le troisième mandat de l’actuel Chef de l’Etat. Pour ce proche de Vital Kamerhe, la Constitution actuelle interdit à Joseph Kabila de concourir pour la prochaine élection présidentielle.
ERIC WEMBA
http://democratiechretienne.org/2015/08/17/lopposition-signe-et-persiste-pas-de-3eme-mandat-pour-kabila-le-phare/
par FreeDiomi le 17 août 2015
- 17 août 2015
L’Opposition signe et persiste : pas de 3ème mandat pour Kabila
[img(199.8px,199.8px)]http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2015/04/opposition_DRC-200x200.jpg[/img]
La Dynamique pour l’Unité d’Action de l’Opposition a organisé le vendredi 14 août 2015 dans la soirée un dîner de gala au restaurant Adeliz, dans la commune de Kasa –Vubu, en l’honneur de Jean-Bertrand Ewanga, Secrétaire général de l’UNC (Union pour la Nation Congolaise), fraîchement libéré, après avoir purgé une peine d’une année à la Prison Centrale de Makala.
Cette grande fête des retrouvailles a été marquée par la présence de plusieurs leaders de l’Opposition, notamment Martin Fayulu, Jean-Claude Vuemba, Mwenze Kongolo, Jean- Lucien Bussa, Emery Okundji, Claudel Lubaya, etc.
Dans son mot de circonstance, le modérateur du jour, Mwenze Kongolo, a exprimé sa joie de partager un repas avec les autres acteurs de l’opposition pour célébrer la sortie de prison de leur compagnon de lutte, Jean- Bertrand Ewanga, désormais un homme libre.
« Cest l’heure du réarmement moral pour nous engager dans des actions visant à rendre à la RDC ses vraies valeurs, l’heure pour sortir de l’univers de la falsification, de la distraction et de la caricature des concepts nobles et des fonctions publiques », a –t-il souligné. Dans la foulée, il a lancé un appel à la mobilisation de toutes les forces politiques et sociales de l’opposition en vue de se ranger en ordre utile de bataille pour gagner le combat de l’alternance démocratique, qui passe inéluctablement par la passation civilisée du pouvoir entre Joseph Kabila et son successeur qui sortira des urnes à l’issue de l’élection présidentielle du 27 novembre 2016, conformément à la Constitution .Au-delà de cet événement, il a exhorté ses pairs de l’opposition à ne pas oublier que leur combat politique arrive aujourd’hui à l’heure de vérité.
Mwenze Kongolo a invité les membres de la Dynamique pour l’Unité d’Action de l’Opposition à la cohésion, pour résister contre les dérives du pouvoir en place, qui ne cache plus, selon lui, ses intentions d’instaurer la monarchie présidentielle mise à nu par son ministre en charge des Relations avec le Parlement, dans son interview du mercredi 12 août à RFI.
Pour l’ancien ministre de l’Intérieur et de la Justice sous le régime de LD Kabila, il faut sauver la République en anéantissant les violations par le pouvoir en place des droits humains, des libertés publiques pourtant consignées dans la Constitution.
« Car, le danger est là : la prise en otage de toutes les institutions de la République, la confiscation du pouvoir d’Etat, le Coup d’Etat Constitutionnel permanent par la Majorité au pouvoir », a-t-il martelé, avant de rendre hommage à la bravoure et au courage de Jean-Bertrand Ewanga, qui reste imperturbable dans son combat, en dépit de son emprisonnement injuste.
[img(339.79999999999995px,190.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/08/kikunda-diomi-ewanga.jpg?w=620[/img]
Le Président Eugène Diomi Ndongala (au centre de la photo) avec Eric Kikunda et Bertrand Ewanga.
Enfin, Mwenze Kongolo a plaidé en faveur d’autres détenus politiques et d’opinions, notamment Eugène Diomi Ndongala, Jean-Claude Muyambo, Ernest Kyaviro…
Prenant la parole à son tour, Jean-Bertrand Ewanga a remercié, en son nom ainsi qu’en celui de toute sa famille, ses camarades de l’opposition qui l’ont soutenu pendant son calvaire à Makala. Il a réitéré son engagement dans le combat contre le troisième mandat de l’actuel Chef de l’Etat. Pour ce proche de Vital Kamerhe, la Constitution actuelle interdit à Joseph Kabila de concourir pour la prochaine élection présidentielle.
ERIC WEMBA
http://democratiechretienne.org/2015/08/17/lopposition-signe-et-persiste-pas-de-3eme-mandat-pour-kabila-le-phare/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
L’Afrique ne peut changer sans un Congo Nouveau/ DECLARATION POLITIQUE DE LA DC – LANCEMENT DE LA CAMPAGNE POLITIQUE « CONGO DESIR » – PARIS, 18/08/2015
par FreeDiomi le 1 août 2015
Congo Désir n’est pas un nouveau parti politique mais plutôt une campagne politique qui vise à promouvoir un mouvement citoyen, populaire, dont l’objectif principale est celui de fédérer toutes les sensibilités politiques pour barrer la route aux promoteurs des valeurs anticonstitutionnelles qui veulent continuer à gouverner par défi, en violant impunément la Constitution.
Avec ses 450 tribus, la RDC appartient à tous les Congolais ; enfants, jeunes et personnes âgées. La RDC va très mal. les Congolais doivent se prendre en charge. Le sursaut face aux soubresauts, c’est notre « Congo Désir »:
La RDC, qui a connu plusieurs dictatures, n’a plus besoin d’un homme fort et providentiel qui se croit au dessus de la Constitution et des lois de la République pour prendre en otage tout un peuple. Le Congo a besoin d’ institutions fortes ancrées dans la bonne gouvernance, la démocratie, le respect des droits humains et des droits civils et politiques. C’est pourquoi, les congolais doivent se mobiliser pour défendre le processus de démocratisation menacé par ceux qui veulent instaurer au Congo-Kinshasa une monarchie à vie. C’est aussi cela la motivation qui a poussé la Démocratie Chrétienne à lancer la campagne citoyenne appelé « Congo Désir« , car nous aimons les Congo dans son ensemble et nous nous refusons d’idolâtrer des individus.
par FreeDiomi le 1 août 2015
LANCEMENT DE LA CAMPAGNE POLITIQUE
» CONGO DESIR »
Hôtel Hilton,
Paris, 18 /08/2015
Mesdames, mesdemoiselles et messieurs,
Mes très chers compatriotes,
Mesdames et messieurs de la presse,
La crise politique, sécuritaire, économique et sociale en République Démocratique du Congo ne fait que s’aggraver et cela constitue une menace aussi bien pour la population congolaise que pour les autres peuples d’ Afrique.
Au Congo-Kinshasa, l’actuel président sortant, M. Joseph Kabila, multiplie les stratégies du chaos afin de se maintenir au pouvoir au delà de son deuxième mandat, alors qu’il s’était déjà prévalu d’un mandat « de fait », de 2001 à 2006 et de deux « mandats électifs » contestés.
Les stratégies ourdies par ses laboratoires diaboliques visent ce qu’on appelle à Kinshasa le « glissement » qui en réalité devrait être défini, plus correctement, comme la tentative d’un coup d’état permanent visant à se pérenniser à la tête de l’état congolais, confisquant le pouvoir qui appartient au peuple souverain.
L’impasse politique actuelle est caractérisée par l’absence d’un véritable processus électoral, l’absence de dialogue politique ainsi que la répression politique dont la manifestation la plus évidente est la présence de nombreux prisonniers politiques et d’opinion dont la faute consiste à réclamer plus de liberté, plus de démocratie et le respect de la Constitution en vigueur.
En République Démocratique du Congo, toute voix dissidente fait l’objet de menaces et intimidations ; la presse est censurée et soumise à des fortes pressions politiques, comme vient d’être denoncé par Reporter Sans Frontières, alors que les médias publics sont au service exclusif de la majorité factice et fantoche au pouvoir.
En ce moment, en RDC, une politique-spectacle est mise en place pour essayer de convaincre surtout la communauté internationale qu’au Congo-Kinshasa on est en train d’organiser des élections alors qu’un véritable et cohérent processus électoral est complètement absent, le calendrier électoral élaboré par l’actuelle commission électorale dite « indépendante », CENI en sigle, est déjà caduc, dépassé et atomisé alors que les ressources financières budgétisées depuis 2012 pour les élections – plus de 700 millions de dollars – ont été détournés et la majorité au pouvoir ose se prévaloir de ses propres turpitudes pour soutenir qu’il n’y a pas d’argent pour les élections et justifier ainsi le dépassement de la durée du mandat de M. Kabila.
Certaines voix se sont levées pour qu’un dialogue politique se tienne afin qu’on puisse tenir les élections les plus importantes dans le respect du délais constitutionnel; mais après avoir compris que la majorité de l’opposition et des forces vives de la nation s’opposent à toute idée de prolongation du mandat de l’actuel « président » sortant, celui-ci hésite et il est en train de plonger le pays dans une impasse politique caractérisée par l’absence aussi bien de dialogue politique que d’élections.
A Cette impasse politique, qui constitue une menace pour la paix en RDC, s’ajoute un climat d’insécurité tendu, caractérisé par la présence de groupes armés qui massacrent à l’arme blanche la population de l’Est de la RDC, alors qu’à l’Ouest et dans la ville province de Kinshasa, la violence policière avec la découverte de fosses communes de plus de 426 corps inhumées la nuit par des militaires, à la périphérie de Kinshasa, à Maluku et à Kimwenza sont les résultats de la répression militaire des manifestations de masse contre le changement de la Constitution de Janvier 2015.
Le peuple congolais ne pourra accepter plus longtemps cette situation de tentative de coup d’Etat permanent qui passe, entre autre, par :
1. Le démembrement de certaines provinces, sans préparation financière ni logistique, qui risque de constituer un obstacle insurmontable pour la tenue des élections provinciales et locales, libérant des forces centrifuges qui pourraient provoquer la balkanisation de la RDC.
2. Le détournement des fonds pour les élections, alors que la communauté internationale n’est pas disposée à financer des élections dont le calendrier est irréaliste et contraire aux priorités du pays, comme la subordination de l’élection présidentielle à des élections locales, jamais tenue depuis 14 ans que M Kabila est au pouvoir;
3. L’exclusion de millions d’électeurs en droit de vote et majeurs d’âges mais qui n’auront pas le droit de voter en violation de l’art. 5 de la Constitution;
4. Le manque de transparence et l’inclusivité du Fichier électoral, le seul au monde dont le nombre d’électeurs diminue en 5 ans, plutôt que d’augmenter, dans un pays comme le Congo-Kinshasa avec une démographie galopante.
5. Les entraves à la fiabilisation du Fichier Électoral, dont l’Organisation Mondial de la Francophonie en est témoin.
Et quand on se demande quel est le BILAN de M. Kabila qui veut à tout prix s’accrocher au pouvoir, un seul constat saute à nos yeux :
la RDC demeure le pays le plus pauvre au monde par revenu pro-capita, selon les statistiques du FMI de 2015, avec un revenu par habitant de peu supérieur à 300 dollars par an.
M. Kabila n’a pas corrigé le paradoxe du pays le plus riche au monde en ressources naturelles mais qui a le taux de concentration de pauvreté le plus élevé au monde; bien au contraire, sous sa gouvernance la fracture sociale entre le détenteurs du pouvoir extrêmement riches et les masses toujours plus démunies, n’a fait qu’accroître.
Alors que les ténors du régime Kabiliste vantent une croissance macro-économique à deux chiffres, les analystes sérieux parlent plutôt de fuites de capitaux qui avoisinent les 4 milliards de dollars par an, alors que le budget national ne dépasse pas les 9 milliards de dollars.
En d’autres termes, le tristement célèbre « économie de comptoir » qui se caractérise par une totale absence de production interne de biens et des services, est présentée comme une croissance économique alors que les capitaux accumulés par les protégés du pouvoir cachés aux îles Vierges ou bien aux îles Caïmans n’apportent rien au peuple congolais.
Un Congo Démocratique sans alternance politique continuera à être un Congo instable, ravagé par l’insécurité intérieure et extérieure, où des milliers des victimes risquent de s’ajouter aux 9 millions de morts qui ont endeuillés la RDC depuis 1996.
Le peuple congolais ne mérite pas cela.
L’Afrique ne peut changer sans un nouveau Congo.
Voilà pourquoi la Démocratie Chrétienne congolaise soutient l’alternance politique ainsi que la fin du cycle de prise et conservation du pouvoir par les seigneurs de guerre.
Un nouveau cycle politique en RDC et en Afrique requiert le respect de limite de mandat constitutionnel et l’arrêt des stratégies de coup d’état permanent visant à instaurer le chaos par le blocage du processus électoral ainsi que le maintien au pouvoir « de ipso facto » des actuels présidents :
nous citons le cas du Rwanda, du Burundi et d’autres pays qui font face à ce même problème.
En ce qui concerne la RDC, la multiplication des subterfuges pour établir une présidence à vie nous fait penser que les pressions diplomatiques ne sont pas suffisantes pour faire reculer les plans néfastes conjugués pour pérenniser le pouvoir de M. Kabila.
Craignant la capacité de mobilisation de l’opposition progressiste, M. Kabila maintient en prison des leaders politiques de calibre dont l’opposant Eugène Diomi Ndongala, Président de la Démocratie Chrétienne, initiateur et porte de la Majorité Présidentielle Populaire, les défenseurs des droits de l’homme comme Christopher Ngoy et tant d’autres, car il craint la réaction de la population et la capacité de mobilisation des leaders dissidents pro-démocratie.
Au Rwanda, M. Kagame fait la même chose en maintenant en prison M.me Victorine Ingabire ;
M. Nkurunziza, au Burundi, embastille ceux qui se sont opposés et s’opposent à sa parodie d’élection.
En RDC, une crise politique de grande envergure s’annonce face à l’apathie scélérate de ceux qui, ayant échoué à modifier la Constitution, veulent désormais se maintenir « ipso facto » au pouvoir, sans élections.
Le moment est venu, pour la communauté nationale et internationale, de se saisir de cette situation explosive, sanctionnant ceux qui s’opposent à l’alternance politique à la tête des pays africains, car les présidences à vie ne sont rien de moins que des dictatures caractérisées par la gabegie financière, la corruption, la violation aussi bien des droits de l’homme que des droits civils et politiques des citoyens africains.
En effet, même si beaucoup de pays africains sont signataires du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques, peu de citoyens africains en connaissent le contenu.
Même si le combat pour la défense des droits de l’homme est nécessaire aujourd’hui en Afrique, le moment est venu de revendiquer aussi celui pour le respect des droits civils et politique des peuples africains.
A cet effet, le Président de la Démocratie Chrétienne, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique personnel de M. Kabila, à été obligé de saisir le Comité international des Droits de l’Homme de Genève justement pour porter plainte contre le régime Kabila pour violation des dispositions du « Pacte International Relatif aux Droits Civils et politiques » et nous sommes certains que cette procédure aboutira à sa libération et la condamnation de ce régime liberticide.
Mais l’implication de la communauté internationale ne suffit pas, à elle-seule, à contrer les ambitions démesurées des « Présidents » souvent issus de rebellions armées et qui essayent de conserver le pouvoir par tous les moyens, si les populations africaines ne leurs font pas barrage, comme le courageux peuple du Burkina Faso nous a appris, mettant ainsi un terme à la tentative de coup d’Etat constitutionnelle de M. Blaise Compaoré.
En RDC, le peuple congolais est déjà descendu dans la rue et il a dû affronter, les mains nues, les chars de combat et les kalachnikovs des forces armées congolaises.
La particularité de la situation en RDC est caractérisée par le constat que les stratégies de « glissement » inconstitutionnel du mandat présidentiel se multiplient et se combinent, au risque d’embraser le pays avec effets dévastateurs pour son unité et sa cohésion nationale qui est déjà très fragile.
La Démocratie Chrétienne demande au peuple congolais de défendre son droit à un futur meilleur conformément à notre hymne national » débout congolais » et à l’art. 64 de la Constitution, qui l’autorise à s’opposer à quiconque complote pour conserver le pouvoir par la force, et aux autres peuples d’Afrique de s’approprier de ses droits civils et politiques.
[img(147.8px,145.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/08/congo-desir.jpg?w=225&h=222[/img]
Raison pour laquelle Démocratie Chrétienne lance officiellement dès aujourd’hui la campagne « Congo Désir » sur toute l’étendue du territoire de la RDC, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et sans oublier ceux là qui ont choisis la RDC comme leur deuxième patrie.
Raison pour laquelle Démocratie Chrétienne lance officiellement dès aujourd’hui la campagne « Congo Désir » sur toute l’étendue du territoire de la RDC, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et sans oublier ceux là qui ont choisis la RDC comme leur deuxième patrie.
Congo Désir n’est pas un nouveau parti politique mais plutôt une campagne politique qui vise à promouvoir un mouvement citoyen, populaire, dont l’objectif principale est celui de fédérer toutes les sensibilités politiques pour barrer la route aux promoteurs des valeurs anticonstitutionnelles qui veulent continuer à gouverner par défi, en violant impunément la Constitution.
Avec ses 450 tribus, la RDC appartient à tous les Congolais ; enfants, jeunes et personnes âgées. La RDC va très mal. les Congolais doivent se prendre en charge. Le sursaut face aux soubresauts, c’est notre « Congo Désir »:
La RDC, qui a connu plusieurs dictatures, n’a plus besoin d’un homme fort et providentiel qui se croit au dessus de la Constitution et des lois de la République pour prendre en otage tout un peuple. Le Congo a besoin d’ institutions fortes ancrées dans la bonne gouvernance, la démocratie, le respect des droits humains et des droits civils et politiques. C’est pourquoi, les congolais doivent se mobiliser pour défendre le processus de démocratisation menacé par ceux qui veulent instaurer au Congo-Kinshasa une monarchie à vie. C’est aussi cela la motivation qui a poussé la Démocratie Chrétienne à lancer la campagne citoyenne appelé « Congo Désir« , car nous aimons les Congo dans son ensemble et nous nous refusons d’idolâtrer des individus.
La Démocratie Chrétienne veut aussi attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le fait que l’Afrique Centrale est en train d’accroitre ses dépenses militaires et la menace de nouveaux conflits pèse aussi bien sur les populations civiles que les états qui entourent la RDC, en ce moment si délicat où l’alternance et l’alternative politiques sont combattues par certains dirigeants africains prêts à sacrifier la paix et la stabilité de leurs pays sur l’autel de la confiscation personnelle du pouvoir d’état
Comme avait écrit Frantz Fanon :
« L’Afrique a la forme d’un revolver dont la gâchette se trouve au Congo ».
– Vérité et Justice pour le Congo,
– Alternance politique pour les peuples d’Afrique,
– Libérez les prisonniers politiques qui luttent pour le respect des droits civils et politiques; libérez Eugène Diomi Ndongala et tous les autres leaders pro-démocratie qui croupissent dans les prisons africaines à cause de leurs opinions politiques.
Je vous remercie.
Freddy KITA
Chevalier de la paix,
-Secrétaire général de la Démocratie chrétienne, D.C.
-Coordonnateur du comité de suivi de l’initiative panafricaine
pour la défense de la démocratie, I.P.D.D
http://www.democratiechretienne.org
http://www.ipdd.net
LES PHOTS ET LA VIDEO DE LA MANIFESTATION SERONT DIFFUSEES DANS LES HEURES QUI SUIVENT
http://democratiechretienne.org/2015/08/01/lafrique-ne-peut-changer-sans-un-congo-nouveau-declaration-politique-de-la-dc-lancement-de-la-campagne-politique-congo-desir-paris-18082015/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
La DC lance la campagne « Congo Désir » / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 19 août 2015
http://democratiechretienne.org/2015/08/19/la-dc-lance-la-campagne-congo-desir-tempete-des-tropiques/
par FreeDiomi le 19 août 2015
La DC lance la campagne « Congo Désir »
Le secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), Freddy Kita, a procédé, le lundi 18 août dernier à Paris, au lancement de la campagne « Congo Désir « .
Freddy Kita explique que le bien-fondé de cette campagne est d’endiguer la crise politique, sécuritaire, économique et sociale en République Démocratique du Congo qui ne fait que s’aggraver. Pour la DC, cela constitue une menace aussi bien pour la population congolaise que pour les autres peuples d’Afrique.
La formation politique chère à Eugène Diomi Ndongala craint que la Majorité présidentielle multiplie des stratégies du chaos afin de se maintenir au pouvoir au delà de son deuxième mandat, alors qu’il s’était déjà prévalu d’un mandat » de fait « , de 2001 à 2006 et de deux » mandats électifs contestés « . «
Les stratégies ourdies par ses laboratoires diaboliques visent ce qu’on appelle à Kinshasa le »glissement » qui en réalité devrait être défini, plus correctement, comme la tentative d’un coup d’état permanent visant à se pérenniser à la tête de l’état congolais, confisquant le pouvoir qui appartient au peuple souverain « , dénonce ce parti de l’Opposition.
Le SG Freddy Kita estime que l’impasse politique actuelle est caractérisée par l’absence d’un véritable processus électoral, l’absence de dialogue politique ainsi que la répression politique dont la manifestation la plus évidente est la présence de nombreux prisonniers politiques et d’opinion dont la faute consiste à réclamer plus de liberté, plus de démocratie et le respect de la Constitution en vigueur.
En ce moment, en RDC, poursuit-il, une politique-spectacle est mise en place pour essayer de convaincre surtout la communauté internationale que la RDC est en train d’organiser des élections, alors qu’un véritable et cohérent processus électoral est complètement absent, le calendrier électoral élaboré par l’actuelle Commission électorale nationale indépendante est déjà caduc, dépassé et atomisé alors que les ressources financières budgétisées depuis 2012 pour les élections (plus de 700 millions de dollars) ont été détournés.
D’ailleurs, rappelle-t-il, certaines voix se sont levées pour qu’un dialogue politique se tienne afin qu’on puisse organiser les élections les plus importantes dans le respect du délai constitutionnel.
Mais après avoir compris que la majorité de l’opposition et des forces vives de la nation s’opposent à toute idée de prolongation du mandat au-delà de 2016, le pouvoir en place hésite et plonge le pays dans une impasse politique caractérisée par l’absence aussi bien de dialogue politique que d’élections.
Pour la DC, le peuple congolais ne pourra accepter plus longtemps cette situation de tentative de coup d’Etat permanent qui passe, entre autre, par le démembrement de certaines provinces, sans préparation financière ni logistique, qui risque de constituer un obstacle insurmontable pour la tenue des élections provinciales et locales, libérant des forces centrifuges qui pourraient provoquer la balkanisation de la RDC ; le détournement des fonds pour les élections, alors que la communauté internationale n’est pas disposée à financer des élections dont le calendrier est irréaliste et contraire aux priorités du pays, comme la subordination de l’élection présidentielle à des élections locales, jamais tenue en RDC; l’exclusion de millions d’électeurs en droit de vote et majeurs d’âges mais qui n’auront pas le droit de voter en violation de l’art.5 de la Constitution; le manque de transparence et l’inclusivité du fichier électoral, le seul au monde dont le nombre d’électeurs diminue en 5 ans, plutôt que d’augmenter, dans un pays comme le Congo-Kinshasa avec une démographie galopante ; les entraves à la fiabilisation du fichier électoral. Voilà pourquoi la Démocratie Chrétienne (DC) soutient l’alternance politique en RDC.
« Un nouveau cycle politique en RDC et en Afrique requiert le respect de limite de mandat constitutionnel et l’arrêt des stratégies de coup d’état permanent visant à instaurer le chaos par le blocage du processus électoral ainsi que le maintien au pouvoir des actuels présidents » , peut-on lire dans cette déclaration politique de la DC.
Craignant la capacité de mobilisation de l’opposition progressiste, note la DC, le pouvoir maintient en prison des leaders politiques de calibre dont l’opposant Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne, initiateur et porte-parole de la Majorité Présidentielle Populaire, les défenseurs des droits de l’homme comme Christopher Ngoy et tant d’autres.
La Démocratie Chrétienne appelle la communauté nationale et internationale, à se saisir de cette situation explosive, sanctionnant ceux qui s’opposent à l’alternance politique à la tête des pays africains, car les présidences à vie ne sont rien de moins que des dictatures caractérisées par la gabegie financière, la corruption, la violation aussi bien des droits de l’homme que des droits civils et politiques des citoyens africains.
Cette formation politique de l’Opposition rappelle qu’en RDC, le peuple congolais est déjà descendu dans la rue et a dû affronter, les mains nues, les chars de combat et les kalachnikovs des forces armées congolaises.
La particularité de la situation en RDC est caractérisée par le constat que les stratégies de » glissement » inconstitutionnel du mandat présidentiel se multiplient et se combinent, au risque d’embraser le pays avec effets dévastateurs pour son unité et sa cohésion nationale qui est déjà très fragile.
La Démocratie Chrétienne demande au peuple congolais de défendre son droit à un futur meilleur conformément à l’hymne national » Débout Congolais » et à l’art. 64 de la Constitution, qui l’autorise à s’opposer à quiconque complote pour conserver le pouvoir par la force, et aux autres peuples d’Afrique de s’approprier de leurs droits civils et politiques.
Raison pour laquelle Démocratie Chrétienne lance officiellement la campagne « Congo Désir » sur toute l’étendue du territoire de la RDC, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et sans oublier ceux là qui ont choisi la RDC comme leur deuxième patrie.
Congo Désir n’est pas un nouveau parti politique mais plutôt une campagne politique qui vise à promouvoir un mouvement citoyen, populaire, dont l’objectif principal est celui de fédérer toutes les sensibilités politiques pour barrer la route aux promoteurs des valeurs anticonstitutionnelles qui veulent continuer à gouverner par défi, en violant impunément la Constitution.
Avec ses 450 tribus, la RDC appartient à tous les Congolais ; enfants, jeunes et personnes âgées. La RDC va très mal. Les Congolais doivent se prendre en charge. Le sursaut face aux soubresauts, » c’est notre Congo Désir » .
La Démocratie Chrétienne veut aussi attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le fait que l’Afrique Centrale est en train d’accroitre ses dépenses militaires et la menace de nouveaux conflits pèse aussi bien sur les populations civiles que les états qui entourent la RDC, en ce moment si délicat où l’alternance et l’alternative politiques sont combattues par certains dirigeants africains prêts à sacrifier la paix et la stabilité de leurs pays sur l’autel de la confiscation personnelle du pouvoir d’état.
Par Lefils Matady
http://latempete.info/la-dc-lance-la-campagne-congo-desir/
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LIRE AUSSI SUR LE MEME SUJET
L’Afrique ne peut changer sans un Congo Nouveau
DECLARATION POLITIQUE DE LA DC – LANCEMENT DE LA CAMPAGNE POLITIQUE
« CONGO DESIR » – PARIS, 18/08/2015
[url=http://democratiechretienne.org/2015/08/18/lafrique-ne-peut-changer-sans-un-congo-nouveau-declaration-politique-de-la-dc-lancement-de-la-campagne-politique-congo-desir-paris-18082015/]http://democratiechretienne.org/[/url]2015/08/18/lafrique-ne-peut-changer-sans-un-congo-nouveau-declaration-politique-de-la-dc-lancement-de-la-campagne-politique-congo-desir-paris-18082015/
http://democratiechretienne.org/2015/08/19/la-dc-lance-la-campagne-congo-desir-tempete-des-tropiques/
http://democratiechretienne.org/2015/08/19/la-dc-lance-la-campagne-congo-desir-tempete-des-tropiques/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Paris-La-Défense: Freddy Kita lance la campagne « Congo Désir » pour barrer la route aux Vuvuzélateurs anti-constitutionnels / FREDDY MULONGO
par FreeDiomi le 19 août 2015Paris-La-Défense: Freddy Kita lance la campagne « Congo Désir » pour barrer la route aux Vuvuzélateurs anti-constitutionnels
Par Freddy Mulongo, mercredi 19 août 2015 à 01:42 :: Radio Réveil FM International :: #5692 :: rss
Paris-la Défense, mardi 18 août 2015, Freddy Kita, Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne, a lancé la campagne « Congo Désir ». Photo Réveil FM International
« Démocratie Chrétienne lance officiellement dès aujourd’hui la campagne « Congo Désir » sur toute l’étendue du territoire de la République démocratique du Congo, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et sans oublier ceux là qui ont choisis la RDC comme leur deuxième patrie. Congo Désir n’est pas un parti politique de plus mais plutôt un mouvement citoyen, populaire qui doit fédérer toutes les sensibilités qui doivent barrer la route aux anti-constitutionnels qui veulent continuer à diriger par défi en violant impunément la Constitution ».« Congo Désir est à lui seul tout un programme !
Gorgés de suffisance et d’arrogance, les Vuvuzélateurs et perroquets du régime de Kinshasa ont pris en otage le peuple congolais. Face aux Kulunas cravatés et costumés, des girouettes politiques et inconscients de la République prêts à vendre père, mère, femme et enfants pour se retrouver au pouvoir. Face à des pseudo-intellectuels corrompus jusqu’à la moelle épinière qui ont majestueusement échoué dans leur mission d’éveil de conscience, « Congo Désir » est un leitmotiv.
Face aux aplaventristes, mangeurs à tous les râteliers et rampeurs pour ramasser des miettes sous la table d’alias Joseph Kabila, »Congo Désir » se veut mouvement citoyen qui encourage la démocratie participative.
Face aux Djaleloïstes non honteux qui écument la policaillerie congolaise, qui se caressent le ventre au lieu de réfléchir avec le cerveau pour trouver des solutions aux problèmes politico-socio-économiques, « Congo Désir » est le fer de lance pour un sursaut citoyen afin de permettre aux congolais de s’approprier leur destin commun.
Voici la déclaration de Freddy Kita pour le lancement de la campagne « Congo Désir »:
Paris, 18 /08/2015
Mesdames, mesdemoiselles et messieurs,
Mes très chers compatriotes,
Mesdames et messieurs de la presse,
La crise politique, sécuritaire, économique et sociale en République Démocratique du Congo ne fait que s’aggraver et cela constitue une menace aussi bien pour la population congolaise que pour les autres peuples d’ Afrique.
Au Congo-Kinshasa, l’actuel président sortant, M. Joseph Kabila, multiplie les stratégies du chaos afin de se maintenir au pouvoir au delà de son deuxième mandat, alors qu’il s’était déjà prévalu d’un mandat « de fait », de 2001 à 2006 et de deux « mandats électifs » contestés.
Les stratégies ourdies par ses laboratoires diaboliques visent ce qu’on appelle à Kinshasa le « glissement » qui en réalité devrait être défini, plus correctement, comme la tentative d’un coup d’état permanent visant à se pérenniser à la tête de l’état congolais, confisquant le pouvoir qui appartient au peuple souverain.
L’impasse politique actuelle est caractérisée par l’absence d’un véritable processus électoral, l’absence de dialogue politique ainsi que la répression politique dont la manifestation la plus évidente est la présence de nombreux prisonniers politiques et d’opinion dont la faute consiste à réclamer plus de liberté, plus de démocratie et le respect de la Constitution en vigueur.
En République Démocratique du Congo, toute voix dissidente fait l’objet de menaces et intimidations ; la presse est censurée et soumise à des fortes pressions politiques, comme vient d’être denoncé par Reporter Sans Frontières, alors que les médias publics sont au service exclusif de la majorité factice et fantoche au pouvoir.
En ce moment, en RDC, une politique-spectacle est mise en place pour essayer de convaincre surtout la communauté internationale qu’au Congo-Kinshasa on est en train d’organiser des élections alors qu’un véritable et cohérent processus électoral est complètement absent, le calendrier électoral élaboré par l’actuelle commission électorale dite « indépendante », CENI en sigle, est déjà caduc, dépassé et atomisé alors que les ressources financières budgétisées depuis 2012 pour les élections – plus de 700 millions de dollars – ont été détournés et la majorité au pouvoir ose se prévaloir de ses propres turpitudes pour soutenir qu’il n’y a pas d’argent pour les élections et justifier ainsi le dépassement de la durée du mandat de M. Kabila.
Certaines voix se sont levées pour qu’un dialogue politique se tienne afin qu’on puisse tenir les élections les plus importantes dans le respect du délais constitutionnel; mais après avoir compris que la majorité de l’opposition et des forces vives de la nation s’opposent à toute idée de prolongation du mandat de l’actuel « président » sortant, celui-ci hésite et il est en train de plonger le pays dans une impasse politique caractérisée par l’absence aussi bien de dialogue politique que d’élections.
A Cette impasse politique, qui constitue une menace pour la paix en RDC, s’ajoute un climat d’insécurité tendu, caractérisé par la présence de groupes armés qui massacrent à l’arme blanche la population de l’Est de la RDC, alors qu’à l’Ouest et dans la ville province de Kinshasa, la violence policière avec la découverte de fosses communes de plus de 426 corps inhumées la nuit par des militaires, à la périphérie de Kinshasa, à Maluku et à Kimwenza sont les résultats de la répression militaire des manifestations de masse contre le changement de la Constitution de Janvier 2015.
Le peuple congolais ne pourra accepter plus longtemps cette situation de tentative de coup d’Etat permanent qui passe, entre autre, par :
1. Le démembrement de certaines provinces, sans préparation financière ni logistique, qui risque de constituer un obstacle insurmontable pour la tenue des élections provinciales et locales, libérant des forces centrifuges qui pourraient provoquer la balkanisation de la RDC.
2. Le détournement des fonds pour les élections, alors que la communauté internationale n’est pas disposée à financer des élections dont le calendrier est irréaliste et contraire aux priorités du pays, comme la subordination de l’élection présidentielle à des élections locales, jamais tenue depuis 14 ans que M Kabila est au pouvoir;
3. L’exclusion de millions d’électeurs en droit de vote et majeurs d’âges mais qui n’auront pas le droit de voter en violation de l’art. 5 de la Constitution;
4. Le manque de transparence et l’inclusivité du Fichier électoral, le seul au monde dont le nombre d’électeurs diminue en 5 ans, plutôt que d’augmenter, dans un pays comme le Congo-Kinshasa avec une démographie galopante.
5. Les entraves à la fiabilisation du Fichier Électoral, dont l’Organisation Mondial de la Francophonie en est témoin.
Et quand on se demande quel est le BILAN de M. Kabila qui veut à tout prix s’accrocher au pouvoir, un seul constat saute à nos yeux :
la RDC demeure le pays le plus pauvre au monde par revenu pro-capita, selon les statistiques du FMI de 2015, avec un revenu par habitant de peu supérieur à 300 dollars par an.
M. Kabila n’a pas corrigé le paradoxe du pays le plus riche au monde en ressources naturelles mais qui a le taux de concentration de pauvreté le plus élevé au monde; bien au contraire, sous sa gouvernance la fracture sociale entre le détenteurs du pouvoir extrêmement riches et les masses toujours plus démunies, n’a fait qu’accroître.
Alors que les ténors du régime Kabiliste vantent une croissance macro-économique à deux chiffres, les analystes sérieux parlent plutôt de fuites de capitaux qui avoisinent les 4 milliards de dollars par an, alors que le budget national ne dépasse pas les 9 milliards de dollars.
En d’autres termes, le tristement célèbre « économie de comptoir » qui se caractérise par une totale absence de production interne de biens et des services, est présentée comme une croissance économique alors que les capitaux accumulés par les protégés du pouvoir cachés aux îles Vierges ou bien aux îles Caïmans n’apportent rien au peuple congolais.
Un Congo Démocratique sans alternance politique continuera à être un Congo instable, ravagé par l’insécurité intérieure et extérieure, où des milliers des victimes risquent de s’ajouter aux 9 millions de morts qui ont endeuillés la RDC depuis 1996.
Le peuple congolais ne mérite pas cela.
L’Afrique ne peut changer sans un nouveau Congo.
Voilà pourquoi la Démocratie Chrétienne congolaise soutient l’alternance politique ainsi que la fin du cycle de prise et conservation du pouvoir par les seigneurs de guerre.
Un nouveau cycle politique en RDC et en Afrique requiert le respect de limite de mandat constitutionnel et l’arrêt des stratégies de coup d’état permanent visant à instaurer le chaos par le blocage du processus électoral ainsi que le maintien au pouvoir « de ipso facto » des actuels présidents :
nous citons le cas du Rwanda, du Burundi et d’autres pays qui font face à ce même problème.
En ce qui concerne la RDC, la multiplication des subterfuges pour établir une présidence à vie nous fait penser que les pressions diplomatiques ne sont pas suffisantes pour faire reculer les plans néfastes conjugués pour pérenniser le pouvoir de M. Kabila.
Craignant la capacité de mobilisation de l’opposition progressiste, M. Kabila maintient en prison des leaders politiques de calibre dont l’opposant Eugène Diomi Ndongala, Président de la Démocratie Chrétienne, initiateur et porte de la Majorité Présidentielle Populaire, les défenseurs des droits de l’homme comme Christopher Ngoy et tant d’autres, car il craint la réaction de la population et la capacité de mobilisation des leaders dissidents pro-démocratie.
Au Rwanda, M. Kagame fait la même chose en maintenant en prison M.me Victorine Ingabire ;
M. Nkurunziza, au Burundi, embastille ceux qui se sont opposés et s’opposent à sa parodie d’élection.
En RDC, une crise politique de grande envergure s’annonce face à l’apathie scélérate de ceux qui, ayant échoué à modifier la Constitution, veulent désormais se maintenir « ipso facto » au pouvoir, sans élections.
Le moment est venu, pour la communauté nationale et internationale, de se saisir de cette situation explosive, sanctionnant ceux qui s’opposent à l’alternance politique à la tête des pays africains, car les présidences à vie ne sont rien de moins que des dictatures caractérisées par la gabegie financière, la corruption, la violation aussi bien des droits de l’homme que des droits civils et politiques des citoyens africains.
En effet, même si beaucoup de pays africains sont signataires du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques, peu de citoyens africains en connaissent le contenu.
Même si le combat pour la défense des droits de l’homme est nécessaire aujourd’hui en Afrique, le moment est venu de revendiquer aussi celui pour le respect des droits civils et politique des peuples africains.
A cet effet, le Président de la Démocratie Chrétienne, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique personnel de M. Kabila, à été obligé de saisir le Comité international des Droits de l’Homme de Genève justement pour porter plainte contre le régime Kabila pour violation des dispositions du « Pacte International Relatif aux Droits Civils et politiques » et nous sommes certains que cette procédure aboutira à sa libération et la condamnation de ce régime liberticide.
Mais l’implication de la communauté internationale ne suffit pas, à elle-seule, à contrer les ambitions démesurées des « Présidents » souvent issus de rebellions armées et qui essayent de conserver le pouvoir par tous les moyens, si les populations africaines ne leurs font pas barrage, comme le courageux peuple du Burkina Faso nous a appris, mettant ainsi un terme à la tentative de coup d’Etat constitutionnelle de M. Blaise Compaoré.
En RDC, le peuple congolais est déjà descendu dans la rue et il a dû affronter, les mains nues, les chars de combat et les kalachnikovs des forces armées congolaises.
La particularité de la situation en RDC est caractérisée par le constat que les stratégies de « glissement » inconstitutionnel du mandat présidentiel se multiplient et se combinent, au risque d’embraser le pays avec effets dévastateurs pour son unité et sa cohésion nationale qui est déjà très fragile.
La Démocratie Chrétienne demande au peuple congolais de défendre son droit à un futur meilleur conformément à notre hymne national » débout congolais » et à l’art. 64 de la Constitution, qui l’autorise à s’opposer à quiconque complote pour conserver le pouvoir par la force, et aux autres peuples d’Afrique de s’approprier de ses droits civils et politiques.
Raison pour laquelle Démocratie Chrétienne lance officiellement dès aujourd’hui la campagne « Congo Désir » sur toute l’étendue du territoire de la RDC, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et sans oublier ceux là qui ont choisis la RDC comme leur deuxième patrie.
Congo Désir n’est pas un nouveau parti politique mais plutôt une campagne politique qui vise à promouvoir un mouvement citoyen, populaire, dont l’objectif principale est celui de fédérer toutes les sensibilités politiques pour barrer la route aux promoteurs des valeurs anticonstitutionnelles qui veulent continuer à gouverner par défi, en violant impunément la Constitution.
Avec ses 450 tribus, la RDC appartient à tous les Congolais ; enfants, jeunes et personnes âgées. La RDC va très mal. les Congolais doivent se prendre en charge. Le sursaut face aux soubresauts, c’est notre « Congo Désir »:
La RDC, qui a connu plusieurs dictatures, n’a plus besoin d’un homme fort et providentiel qui se croit au dessus de la Constitution et des lois de la République pour prendre en otage tout un peuple. Le Congo a besoin d’ institutions fortes ancrées dans la bonne gouvernance, la démocratie, le respect des droits humains et des droits civils et politiques. C’est pourquoi, les congolais doivent se mobiliser pour défendre le processus de démocratisation menacé par ceux qui veulent instaurer au Congo-Kinshasa une monarchie à vie. C’est aussi cela la motivation qui a poussé la Démocratie Chrétienne à lancer la campagne citoyenne appelé « Congo Désir« , car nous aimons les Congo dans son ensemble et nous nous refusons d’idolâtrer des individus.
La Démocratie Chrétienne veut aussi attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le fait que l’Afrique Centrale est en train d’accroitre ses dépenses militaires et la menace de nouveaux conflits pèse aussi bien sur les populations civiles que les états qui entourent la RDC, en ce moment si délicat où l’alternance et l’alternative politiques sont combattues par certains dirigeants africains prêts à sacrifier la paix et la stabilité de leurs pays sur l’autel de la confiscation personnelle du pouvoir d’état
Comme avait écrit Frantz Fanon :
« L’Afrique a la forme d’un revolver dont la gâchette se trouve au Congo ».
– Vérité et Justice pour le Congo,
– Alternance politique pour les peuples d’Afrique,
– Libérez les prisonniers politiques qui luttent pour le respect des droits civils et politiques; libérez Eugène Diomi Ndongala et tous les autres leaders pro-démocratie qui croupissent dans les prisons africaines à cause de leurs opinions politiques.
Je vous remercie.
Freddy KITA
Chevalier de la paix,
-Secrétaire général de la Démocratie chrétienne, D.C.
-Coordonnateur du comité de suivi de l’initiative panafricaine
pour la défense de la démocratie, I.P.D.D
http://www.democratiechretienne.org
http://www.ipdd.net
http://democratiechretienne.org/2015/08/19/paris-la-defense-freddy-kita-lance-la-campagne-congo-desir-pour-barrer-la-route-aux-vuvuzelateurs-anti-constitutionnels-fre/
Freddy KITA
Chevalier de la paix,
-Secrétaire général de la Démocratie chrétienne, D.C.
-Coordonnateur du comité de suivi de l’initiative panafricaine
pour la défense de la démocratie, I.P.D.D
http://www.democratiechretienne.org
http://www.ipdd.net
http://democratiechretienne.org/2015/08/19/paris-la-defense-freddy-kita-lance-la-campagne-congo-desir-pour-barrer-la-route-aux-vuvuzelateurs-anti-constitutionnels-fre/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Personnellement, J'adhère à cette initiative de Freddy Kita, j'ai reçu plusieurs tweet sur ça depuis ce matin. Bravo F Kita!
Admin- Admin
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
oui Bravo DC!KOTA a écrit:BRAVO DC
Admin- Admin
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
La DC lance la campagne « Congo Désir » / LA DEPECHE DE BRAZZAVILLE- AGENCE DE PRESSE ADIAC
par FreeDiomi le 20 août 2015
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par FreeDiomi le 20 août 2015
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La DC lance la campagne « Congo Désir »20 Août 2015 Cette action vise à endiguer la crise politique, sécuritaire, économique et sociale dans le pays, « qui ne fait que s’aggraver ». Le secrétaire général de la Démocratie chrétienne (DC), Freddy Kita, a lancé, le 18 août à Paris, en France, la campagne « Congo Désir ». [img(408.79999999999995px,402.79999999999995px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/08/congo-desir1.jpg?w=620[/img] Pour ce haut cadre de la DC, le bien-fondé de cette campagne est d’endiguer la crise politique, sécuritaire, économique et sociale en RDC qui ne fait que s’aggraver et qui constitue, selon cette formation politique, une menace aussi bien pour la population congolaise que pour les autres peuples d’Afrique. « Congo Désir » n’est pas, à en croire Freddy Kita, un nouveau parti politique mais plutôt une campagne politique qui vise à promouvoir un mouvement citoyen, populaire, dont l’objectif principal est celui de fédérer toutes les sensibilités politiques pour barrer la route aux promoteurs des valeurs anticonstitutionnelles qui veulent continuer à gouverner par défi, en violant impunément la Constitution. La Démocratie Chrétienne veut aussi, par cette action, attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le fait que l’Afrique centrale est en train d’accroître ses dépenses militaires et la menace de nouveaux conflits pèse aussi bien sur les populations civiles que sur les états qui entourent la RDC, en ce moment si délicat où l’alternance et l’alternative politiques sont combattues par certains dirigeants africains prêts à sacrifier la paix et la stabilité de leurs pays sur l’autel de la confiscation personnelle du pouvoir d’état. La DC justifie son action par sa crainte de voir la Majorité présidentielle multiplier des stratégies du chaos afin de se maintenir au pouvoir au delà de son deuxième mandat, alors qu’il se serait déjà prévalu d’un mandat « de fait », de 2001 à 2006 et de deux « mandats électifs contestés ». Absence de véritable processus électoral Le secrétaire général du parti cher au député Eugène Diomi Ndongala a fustigé l’impasse politique actuelle dans laquelle se trouve le pays. A en croire Freddy Kita, cette situation est caractérisée par l’absence d’un véritable processus électoral, l’absence de dialogue politique ainsi que la répression politique dont la manifestation la plus évidente est « la présence de nombreux prisonniers politiques et d’opinion dont la faute consiste à réclamer plus de liberté, plus de démocratie et le respect de la Constitution en vigueur ». Ce haut cadre de la DC a également dénoncé une politique-spectacle qui vise à convaincre surtout la communauté internationale que la RDC est en train d’organiser des élections, alors qu’un véritable et cohérent processus électoral est complètement absent, « le calendrier électoral élaboré par l’actuelle Commission électorale nationale indépendante étant déjà caduc, dépassé et atomisé alors que les ressources financières budgétisées depuis 2012 pour les élections (plus de 700 millions de dollars) ont été détournées ». Décrivant la situation actuelle que vit le pays, Freddy Kita a noté que pour la DC, le peuple congolais ne pourra accepter plus longtemps cette « situation de tentative de coup d’Etat permanent » qui passe, selon lui, entre autre, par le démembrement de certaines provinces, sans préparation financière ni logistique, qui risque de constituer un obstacle insurmontable pour la tenue des élections provinciales et locales, libérant des forces centrifuges qui pourraient provoquer la balkanisation de la RDC ; le détournement des fonds pour les élections, alors que la communauté internationale n’est pas disposée à financer des élections dont le calendrier est irréaliste et contraire aux priorités du pays, comme la subordination de l’élection présidentielle à des élections locales, jamais tenue en RDC; l’exclusion de millions d’électeurs en droit de vote et majeurs d’âges mais qui n’auront pas le droit de voter en violation de l’art. La campagne « Congo Désir » lancée par la DC concerne toute l’étendue du territoire de la RDC, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et ceux là qui ont choisi la RDC comme leur deuxième patrie. Lucien Dianzenza Légendes et crédits photo :Phttp://www.adiac-congo.com/content/vie-des-partis-la-dc-lance-la-campagne-congo-desir-37115hoto: des militants, devant le siège de la DC, sur Colonel Ebeya, à Gombe. http://democratiechretienne.org/2015/08/20/la-dc-lance-la-campagne-congo-desir-la-depeche-de-brazzaville-agence-de-presse-adiac/ |
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LA DC DE DIOMI LANCE LA CAMPAGNE POLITIQUE "CONGO DESIR"
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CONFRONTATION ENTRE « CONGO DESIR » ET « KABILA DESIR » SUR AFRICA 24 TV / VIDEO AFRICA 24
par FreeDiomi le 21 août 2015
http://democratiechretienne.org/2015/08/21/confrontation-entre-congo-desir-et-kabila-desir-sur-africa-24-tv-video-africa-24/
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RFI: FREDDY KITA SUR CONGO DESIR : LE CONGO A BESOIN DE CHANGEMENT PAS DE CULTE DE LA PERSONNALITE
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FREDDY KITA, LE SG DE LA DC, SUR FRANCE 24 LE 24/08/15
par FreeDiomi le 25 août 2015http://democratiechretienne.org/2015/08/25/freddy-kita-le-sg-de-la-dc-sur-france-24-le-240815/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DE M. EUGENE DIOMI NDONGALA VIENT DE LANCER LA CAMPAGNE POLITIQUE DENOMMEE « CONGO DESIR » ET QUI CONSIDERE, A JUSTE TITRE, QUE « L’AFRIQUE NE PEUT CHANGER SANS UN CONGO NOUVEAU »/ Journal Interprète du 25/08/2015
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LA DEMOCRATIE CHRETIENNE (DC) DE M. EUGENE DIOMI NDONGALA VIENT DE LANCER LA CAMPAGNE POLITIQUE NOMMEE « CONGO DESIR » QUI CONSIDERE, A JUSTE TITRE, QUE » L’AFRIQUE NE PEUT CHANGER SANS UN CONGO NOUVEAU
Le Journal Interprète, ayant pris connaissance du document contenant la déclaration de la Démocratie >Chrétienne, DC, en rapport avec le lancement de sa campagne politique dénommée « CONGO DESIR » a trouvé bon, pour ses lecteurs, de la publier en extenso ci dessous:
Paris, 18 /08/2015
Mesdames, mesdemoiselles et messieurs,
Mes très chers compatriotes,
Mesdames et messieurs de la presse,
La crise politique, sécuritaire, économique et sociale en République Démocratique du Congo ne fait que s’aggraver et cela constitue une menace aussi bien pour la population congolaise que pour les autres peuples d’ Afrique.
Au Congo-Kinshasa, l’actuel président sortant, M. Joseph Kabila, multiplie les stratégies du chaos afin de se maintenir au pouvoir au delà de son deuxième mandat, alors qu’il s’était déjà prévalu d’un mandat « de fait », de 2001 à 2006 et de deux « mandats électifs » contestés.
Les stratégies ourdies par ses laboratoires diaboliques visent ce qu’on appelle à Kinshasa le « glissement » qui en réalité devrait être défini, plus correctement, comme la tentative d’un coup d’état permanent visant à se pérenniser à la tête de l’état congolais, confisquant le pouvoir qui appartient au peuple souverain.
L’impasse politique actuelle est caractérisée par l’absence d’un véritable processus électoral, l’absence de dialogue politique ainsi que la répression politique dont la manifestation la plus évidente est la présence de nombreux prisonniers politiques et d’opinion dont la faute consiste à réclamer plus de liberté, plus de démocratie et le respect de la Constitution en vigueur.
En République Démocratique du Congo, toute voix dissidente fait l’objet de menaces et intimidations ; la presse est censurée et soumise à des fortes pressions politiques, comme vient d’être denoncé par Reporter Sans Frontières, alors que les médias publics sont au service exclusif de la majorité factice et fantoche au pouvoir.
En ce moment, en RDC, une politique-spectacle est mise en place pour essayer de convaincre surtout la communauté internationale qu’au Congo-Kinshasa on est en train d’organiser des élections alors qu’un véritable et cohérent processus électoral est complètement absent, le calendrier électoral élaboré par l’actuelle commission électorale dite « indépendante », CENI en sigle, est déjà caduc, dépassé et atomisé alors que les ressources financières budgétisées depuis 2012 pour les élections – plus de 700 millions de dollars – ont été détournés et la majorité au pouvoir ose se prévaloir de ses propres turpitudes pour soutenir qu’il n’y a pas d’argent pour les élections et justifier ainsi le dépassement de la durée du mandat de M. Kabila.
Certaines voix se sont levées pour qu’un dialogue politique se tienne afin qu’on puisse tenir les élections les plus importantes dans le respect du délais constitutionnel; mais après avoir compris que la majorité de l’opposition et des forces vives de la nation s’opposent à toute idée de prolongation du mandat de l’actuel « président » sortant, celui-ci hésite et il est en train de plonger le pays dans une impasse politique caractérisée par l’absence aussi bien de dialogue politique que d’élections.
A Cette impasse politique, qui constitue une menace pour la paix en RDC, s’ajoute un climat d’insécurité tendu, caractérisé par la présence de groupes armés qui massacrent à l’arme blanche la population de l’Est de la RDC, alors qu’à l’Ouest et dans la ville province de Kinshasa, la violence policière avec la découverte de fosses communes de plus de 426 corps inhumées la nuit par des militaires, à la périphérie de Kinshasa, à Maluku et à Kimwenza sont les résultats de la répression militaire des manifestations de masse contre le changement de la Constitution de Janvier 2015.
Le peuple congolais ne pourra accepter plus longtemps cette situation de tentative de coup d’Etat permanent qui passe, entre autre, par :
1. Le démembrement de certaines provinces, sans préparation financière ni logistique, qui risque de constituer un obstacle insurmontable pour la tenue des élections provinciales et locales, libérant des forces centrifuges qui pourraient provoquer la balkanisation de la RDC.
2. Le détournement des fonds pour les élections, alors que la communauté internationale n’est pas disposée à financer des élections dont le calendrier est irréaliste et contraire aux priorités du pays, comme la subordination de l’élection présidentielle à des élections locales, jamais tenue depuis 14 ans que M Kabila est au pouvoir;
3. L’exclusion de millions d’électeurs en droit de vote et majeurs d’âges mais qui n’auront pas le droit de voter en violation de l’art. 5 de la Constitution;
4. Le manque de transparence et l’inclusivité du Fichier électoral, le seul au monde dont le nombre d’électeurs diminue en 5 ans, plutôt que d’augmenter, dans un pays comme le Congo-Kinshasa avec une démographie galopante.
5. Les entraves à la fiabilisation du Fichier Électoral, dont l’Organisation Mondial de la Francophonie en est témoin.
Et quand on se demande quel est le BILAN de M. Kabila qui veut à tout prix s’accrocher au pouvoir, un seul constat saute à nos yeux :
la RDC demeure le pays le plus pauvre au monde par revenu pro-capita, selon les statistiques du FMI de 2015, avec un revenu par habitant de peu supérieur à 300 dollars par an.
M. Kabila n’a pas corrigé le paradoxe du pays le plus riche au monde en ressources naturelles mais qui a le taux de concentration de pauvreté le plus élevé au monde; bien au contraire, sous sa gouvernance la fracture sociale entre le détenteurs du pouvoir extrêmement riches et les masses toujours plus démunies, n’a fait qu’accroître.
Alors que les ténors du régime Kabiliste vantent une croissance macro-économique à deux chiffres, les analystes sérieux parlent plutôt de fuites de capitaux qui avoisinent les 4 milliards de dollars par an, alors que le budget national ne dépasse pas les 9 milliards de dollars.
En d’autres termes, le tristement célèbre « économie de comptoir » qui se caractérise par une totale absence de production interne de biens et des services, est présentée comme une croissance économique alors que les capitaux accumulés par les protégés du pouvoir cachés aux îles Vierges ou bien aux îles Caïmans n’apportent rien au peuple congolais.
Un Congo Démocratique sans alternance politique continuera à être un Congo instable, ravagé par l’insécurité intérieure et extérieure, où des milliers des victimes risquent de s’ajouter aux 9 millions de morts qui ont endeuillés la RDC depuis 1996.
Le peuple congolais ne mérite pas cela.
L’Afrique ne peut changer sans un nouveau Congo.
Voilà pourquoi la Démocratie Chrétienne congolaise soutient l’alternance politique ainsi que la fin du cycle de prise et conservation du pouvoir par les seigneurs de guerre.
Un nouveau cycle politique en RDC et en Afrique requiert le respect de limite de mandat constitutionnel et l’arrêt des stratégies de coup d’état permanent visant à instaurer le chaos par le blocage du processus électoral ainsi que le maintien au pouvoir « de ipso facto » des actuels présidents :
nous citons le cas du Rwanda, du Burundi et d’autres pays qui font face à ce même problème.
En ce qui concerne la RDC, la multiplication des subterfuges pour établir une présidence à vie nous fait penser que les pressions diplomatiques ne sont pas suffisantes pour faire reculer les plans néfastes conjugués pour pérenniser le pouvoir de M. Kabila.
Craignant la capacité de mobilisation de l’opposition progressiste, M. Kabila maintient en prison des leaders politiques de calibre dont l’opposant Eugène Diomi Ndongala, Président de la Démocratie Chrétienne, initiateur et porte de la Majorité Présidentielle Populaire, les défenseurs des droits de l’homme comme Christopher Ngoy et tant d’autres, car il craint la réaction de la population et la capacité de mobilisation des leaders dissidents pro-démocratie.
Au Rwanda, M. Kagame fait la même chose en maintenant en prison M.me Victorine Ingabire ;
M. Nkurunziza, au Burundi, embastille ceux qui se sont opposés et s’opposent à sa parodie d’élection.
En RDC, une crise politique de grande envergure s’annonce face à l’apathie scélérate de ceux qui, ayant échoué à modifier la Constitution, veulent désormais se maintenir « ipso facto » au pouvoir, sans élections.
Le moment est venu, pour la communauté nationale et internationale, de se saisir de cette situation explosive, sanctionnant ceux qui s’opposent à l’alternance politique à la tête des pays africains, car les présidences à vie ne sont rien de moins que des dictatures caractérisées par la gabegie financière, la corruption, la violation aussi bien des droits de l’homme que des droits civils et politiques des citoyens africains.
En effet, même si beaucoup de pays africains sont signataires du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques, peu de citoyens africains en connaissent le contenu.
Même si le combat pour la défense des droits de l’homme est nécessaire aujourd’hui en Afrique, le moment est venu de revendiquer aussi celui pour le respect des droits civils et politique des peuples africains.
A cet effet, le Président de la Démocratie Chrétienne, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique personnel de M. Kabila, à été obligé de saisir le Comité international des Droits de l’Homme de Genève justement pour porter plainte contre le régime Kabila pour violation des dispositions du « Pacte International Relatif aux Droits Civils et politiques » et nous sommes certains que cette procédure aboutira à sa libération et la condamnation de ce régime liberticide.
Mais l’implication de la communauté internationale ne suffit pas, à elle-seule, à contrer les ambitions démesurées des « Présidents » souvent issus de rebellions armées et qui essayent de conserver le pouvoir par tous les moyens, si les populations africaines ne leurs font pas barrage, comme le courageux peuple du Burkina Faso nous a appris, mettant ainsi un terme à la tentative de coup d’Etat constitutionnelle de M. Blaise Compaoré.
En RDC, le peuple congolais est déjà descendu dans la rue et il a dû affronter, les mains nues, les chars de combat et les kalachnikovs des forces armées congolaises.
La particularité de la situation en RDC est caractérisée par le constat que les stratégies de « glissement » inconstitutionnel du mandat présidentiel se multiplient et se combinent, au risque d’embraser le pays avec effets dévastateurs pour son unité et sa cohésion nationale qui est déjà très fragile.
La Démocratie Chrétienne demande au peuple congolais de défendre son droit à un futur meilleur conformément à notre hymne national » débout congolais » et à l’art. 64 de la Constitution, qui l’autorise à s’opposer à quiconque complote pour conserver le pouvoir par la force, et aux autres peuples d’Afrique de s’approprier de ses droits civils et politiques.
[img(147.8px,145.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/08/congo-desir.jpg?w=225&h=222[/img]
Raison pour laquelle Démocratie Chrétienne lance officiellement dès aujourd’hui la campagne « Congo Désir » sur toute l’étendue du territoire de la RDC, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et sans oublier ceux là qui ont choisis la RDC comme leur deuxième patrie.
Raison pour laquelle Démocratie Chrétienne lance officiellement dès aujourd’hui la campagne « Congo Désir » sur toute l’étendue du territoire de la RDC, au sein de sa diaspora très engagée, auprès des amis du Congo et sans oublier ceux là qui ont choisis la RDC comme leur deuxième patrie.
Congo Désir n’est pas un nouveau parti politique mais plutôt une campagne politique qui vise à promouvoir un mouvement citoyen, populaire, dont l’objectif principale est celui de fédérer toutes les sensibilités politiques pour barrer la route aux promoteurs des valeurs anticonstitutionnelles qui veulent continuer à gouverner par défi, en violant impunément la Constitution.
Avec ses 450 tribus, la RDC appartient à tous les Congolais ; enfants, jeunes et personnes âgées. La RDC va très mal. les Congolais doivent se prendre en charge. Le sursaut face aux soubresauts, c’est notre « Congo Désir »:
La RDC, qui a connu plusieurs dictatures, n’a plus besoin d’un homme fort et providentiel qui se croit au dessus de la Constitution et des lois de la République pour prendre en otage tout un peuple. Le Congo a besoin d’ institutions fortes ancrées dans la bonne gouvernance, la démocratie, le respect des droits humains et des droits civils et politiques. C’est pourquoi, les congolais doivent se mobiliser pour défendre le processus de démocratisation menacé par ceux qui veulent instaurer au Congo-Kinshasa une monarchie à vie. C’est aussi cela la motivation qui a poussé la Démocratie Chrétienne à lancer la campagne citoyenne appelé « Congo Désir« , car nous aimons les Congo dans son ensemble et nous nous refusons d’idolâtrer des individus.
La Démocratie Chrétienne veut aussi attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le fait que l’Afrique Centrale est en train d’accroitre ses dépenses militaires et la menace de nouveaux conflits pèse aussi bien sur les populations civiles que les états qui entourent la RDC, en ce moment si délicat où l’alternance et l’alternative politiques sont combattues par certains dirigeants africains prêts à sacrifier la paix et la stabilité de leurs pays sur l’autel de la confiscation personnelle du pouvoir d’état
Comme avait écrit Frantz Fanon :
« L’Afrique a la forme d’un revolver dont la gâchette se trouve au Congo ».
– Vérité et Justice pour le Congo,
– Alternance politique pour les peuples d’Afrique,
– Libérez les prisonniers politiques qui luttent pour le respect des droits civils et politiques; libérez Eugène Diomi Ndongala et tous les autres leaders pro-démocratie qui croupissent dans les prisons africaines à cause de leurs opinions politiques.
Je vous remercie.
Freddy KITA
Chevalier de la paix,
-Secrétaire général de la Démocratie chrétienne, D.C.
-Coordonnateur du comité de suivi de l’initiative panafricaine
pour la défense de la démocratie, I.P.D.D
http://www.democratiechretienne.org
http://www.ipdd.net
le journal Interprète du 25/08/15
Freddy KITA
Chevalier de la paix,
-Secrétaire général de la Démocratie chrétienne, D.C.
-Coordonnateur du comité de suivi de l’initiative panafricaine
pour la défense de la démocratie, I.P.D.D
http://www.democratiechretienne.org
http://www.ipdd.net
le journal Interprète du 25/08/15
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LE »BUNDESTAG » ALLEMAND TRES SURPRIS PAR L’ABSENCE DU SENS DE LA REALPOLITIK CHEZ JOSEPH KABILA QUI NE COMPRENDRAIT PAS QUE LA FIN DE LA CRISE POLITIQUE EN RDC PASSERAIT OBLIGATOIREMENT ET PREALABLEMENT PAR LA LIBERATION DE TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES – MAIS PRINCIPALEMENT DE M. EUGENE DIOMI NDONGALA DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE
POUR AGRANDIR LE TEXTE, CLIQUEZ SUR CHAQUE IMAGE.
http://democratiechretienne.org/2015/08/25/lebundestag-allemand-tres-surpris-par-labscence-du-sens-de-la-realpolitik-chez-joseph-kabila-qui-ne-comprendrait-pas-que-la-fin-de-la-crise-politique-en-rdc-passerait-obligatoirement-et-prealabl/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LES AMERICAINS FONT PRESSION SUR KABILA POUR QU’IL LIBERE LES PRISONNIERS POLITIQUES ET ORGANISE L’ELECTION PRESIDENTIELLE DANS LE TIMING CONSTITUTIONEL, LE CALENDRIER DE LA CENI ETANT CONSIDERE CADUC/ INTERPRETE DU 26/08/15
par FreeDiomi le 26 août 2015
CLIQUEZ SUR L IMAGE POUR LIRE EN PLEIN ECRAN
par FreeDiomi le 26 août 2015
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DE DIOMI NDONGALA, INTERVIENT EN DIRECTE SUR LE PLATEAU DU JOURNAL TELEVISEE DE TV 5 CONTRE LE 3° MANDAT DE KABILA – CAMPAGNE « CONGO DESIR » / VIDEO
http://democratiechretienne.org/2015/08/28/freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-de-diomi-ndongala-intervient-en-directe-sur-le-plateau-du-journal-televisee-de-tv-5-contre-le-3-mandat-de-kabila-campagne-congo-desir-video/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
VIDEO / RESUME DE LA CAMPAGNE CONGO DESIR: EXTRAITS TV5-RFI-FRANCE24-AFRICA24 ET JOURNAUX
par FreeDiomi le 30 août 2015
RESUME DE LA CAMPAGNE CONGO DESIR MENEE PAR LA DEMOCRATIE CHRETIENNE CONTRE LA MODIFICATION DE LA CONSTITUTION CONGOLAISE: EXTRAITS TV5 – RFI – FRANCE24 -AFRICA24-JOURNAUX ET DECLARATION DE POLITIQUE GENERALE
http://democratiechretienne.org/les-dossier-de-la-dc/la-persecution-du-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala/la-democratisation-lance-la-campagne-politique-de-conscientisation-et-lutte-contre-les-anti-valeurs-congo-desir/
https://www.youtube.com/watch?v=MEYThG-pxXg&feature=youtu.be
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FELIX TSHISEKEDI CE 01/09/2015 REND VISITE AU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA AU CPRK.
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LA ROCHELLE: A COEUR OUVERT AVEC FREDDY KITA, SG DE LA DC, – Freddy Mulongo, REVEIL FM RDC
par FreeDiomi le 2 septembre 2015http://democratiechretienne.org/2015/09/02/la-rochelle-a-coeur-ouvert-avec-freddy-kita-sg-de-la-dc-freddy-mulongo-reveil-fm-rdc/
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RECOMMANDATIONS DES ONG CONGOLAISES DES DROITS HUMAINS A L’ENVOYE SPECIAL DES ETATS-UNIS TOM PERRIELLO LORS DE SA VISITE A KINSHASA LE 26/08/2015
par FreeDiomi le 2 septembre 2015
POUR MIEUX LIRE CLIQUER SUR CHAQUE PAGE
http://acaj-asbl.org/2015/09/01/recommandations-des-ong-congolaises-des-droits-de-lhumains-a-lenvoye-special-des-etats-unis-tom-perriello-lors-de-sa-visite-a-kinshasa-le-26082015/
par FreeDiomi le 2 septembre 2015
RECOMMANDATIONS DES ONG CONGOLAISES DES DROITS HUMAINS A L’ENVOYE SPECIAL DES ETATS-UNIS TOM PERRIELLO LORS DE SA VISITE A KINSHASA LE 26/08/2015
1 septembre 20151 septembre 2015 FreeDiomi DROIT A LA LIBRE EXPRESSION, droits civils et politiques, DROITS DE L’HOMME, JUSTICE, ONG DHPOUR MIEUX LIRE CLIQUER SUR CHAQUE PAGE
http://acaj-asbl.org/2015/09/01/recommandations-des-ong-congolaises-des-droits-de-lhumains-a-lenvoye-special-des-etats-unis-tom-perriello-lors-de-sa-visite-a-kinshasa-le-26082015/
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LE PROBLEME DE LA PERSECUTION POLITIQUE DE M. EUGENE DIOMI NDONGALA ET CELUI DE SON MAUVAIS ETAT DE SANTE EVOQUES LORS DE LA RECENTE RENCONTRE DE L’UNIVERSITE D’ETE DU PARTI SOCIALISTE A LA ROCHELLE, EN FRANCE /INTERPRETE
par FreeDiomi le 7 septembre 2015
CLIQUEZ SUR CHAQUE IMAE POUR LA LIRE EN PLEIN ECRAN
http://democratiechretienne.org/2015/09/07/le-probleme-de-la-persecution-politique-de-m-eugene-diomi-ndongala-et-celui-de-son-mauvais-etat-de-sante-evoques-lors-de-la-recente-rencontre-de-luniversite-dete-du-parti-socialiste-a-la-rochelle/
par FreeDiomi le 7 septembre 2015
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http://democratiechretienne.org/2015/09/07/le-probleme-de-la-persecution-politique-de-m-eugene-diomi-ndongala-et-celui-de-son-mauvais-etat-de-sante-evoques-lors-de-la-recente-rencontre-de-luniversite-dete-du-parti-socialiste-a-la-rochelle/
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
« Congo désir »: Freddy Kita bat campagne à l’université d’été PS à La Rochelle /Freddy Mulongo
par FreeDiomi le 7 septembre 2015
Freddy Kita dans la salle de presse de l'université d'été PS à La Rochelle.
Photo Réveil FM International
Freddy Kita dans la salle de presse de l’université d’été PS à La Rochelle. Photo Réveil FM International
La campagne « Congo désir » qui a pris tout le monde de cour continue sa vitesse de croisière. Freddy Kita, le Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne qui lancé cette campagne depuis Paris, le ville lumière continue d’abattre un travail de titan. « Congo désir » n’est pas un slogan !
Il est une campagne citoyenne et populaire de sensibilisation et mobilisation qui doit permettre aux congolais de se réapproprier leur destin commun, dans un vivre ensemble harmonieux. Le destin du Congo dépend de tous les Rdciens. Pas uniquement aux apparatchiks Joséphistes qui ont pris le pays en otage et qui veulent pousser le peuple à idolâtrie un individu fut-il un incapacitaire dont les résultats de la gouvernance depuis 14 ans sont l’équivalent d’une aiguille que l’on recherche dans un botte de foin. Or c’est ce que des Mobutistes-Djaléloïstes veulent pour le peuple congolais. Avec leur logiciel rouillé, sans aucunes créativités ni perspectives d’avenir pour le Congo. Des Mobutistes-Djaléloïstes réactualisent les méthodes utilisées sous la dictature Mobutu, cette fois-ci sans l’aigle de Kawele.
Manuel Valls , Premier ministre et Freddy kita à La Rochelle
Face aux profito-situationnistes et inconscients de la République qui ne roulent que pour leur ventre au lieu de l’intérêt public et général, « Congo désir » est à la réponse pour ceux qui croient à une alternative dans la gestion de la chose publique. Bien gérée, la République démocratique du Congo avec ses potentialités et ressources ne peut jamais faire mourir ses enfants de la faim. Or les congolais sont chosifiés, clochardisés, paupérisés par le régime de Kinshasa dont les apparatchiks devenus des « Millionnaires du dimanche » s’enrichissent de manière exponentielle, sans que le peuple ne se retrouve.
Freddy Kita et Marisol Touraine, ministre de la santé.
Photo Réveil FM International
Freddy Kita et Jean-Marc Germain, socialiste « Aubryste » et mari d’Anne Hidalgo,
la Maire de Paris; Photo Réveil FM International
Marylise Lebranchu, ministre de la Fonction publique et décentration e
n causerie avec Freddy Kita. Photo Réveil FM International
Christian Paul, député PS "Frondeur" et Freddy Kita.
Photo Réveil FM International
La mayonnaise « Congo désir » a vraiment pris ! L’Article 64 de la Constitution dit clairement que : » Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution » .
http://reveil-fm.com/index.php/2015/09/04/5715-congo-desir-freddy-kita-bat-campagne-a-l-universite-d-ete-ps-a-la-rochelle
par FreeDiomi le 7 septembre 2015
« Congo désir »: Freddy Kita bat campagne à l’université d’été PS à La Rochelle
Par Freddy Mulongo, vendredi 4 septembre 2015 à 14:54 :: Radio Réveil FM International :: #5715 :: rssFreddy Kita dans la salle de presse de l'université d'été PS à La Rochelle.
Photo Réveil FM International
Freddy Kita dans la salle de presse de l’université d’été PS à La Rochelle. Photo Réveil FM International
La campagne « Congo désir » qui a pris tout le monde de cour continue sa vitesse de croisière. Freddy Kita, le Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne qui lancé cette campagne depuis Paris, le ville lumière continue d’abattre un travail de titan. « Congo désir » n’est pas un slogan !
Il est une campagne citoyenne et populaire de sensibilisation et mobilisation qui doit permettre aux congolais de se réapproprier leur destin commun, dans un vivre ensemble harmonieux. Le destin du Congo dépend de tous les Rdciens. Pas uniquement aux apparatchiks Joséphistes qui ont pris le pays en otage et qui veulent pousser le peuple à idolâtrie un individu fut-il un incapacitaire dont les résultats de la gouvernance depuis 14 ans sont l’équivalent d’une aiguille que l’on recherche dans un botte de foin. Or c’est ce que des Mobutistes-Djaléloïstes veulent pour le peuple congolais. Avec leur logiciel rouillé, sans aucunes créativités ni perspectives d’avenir pour le Congo. Des Mobutistes-Djaléloïstes réactualisent les méthodes utilisées sous la dictature Mobutu, cette fois-ci sans l’aigle de Kawele.
Manuel Valls , Premier ministre et Freddy kita à La Rochelle
Face aux profito-situationnistes et inconscients de la République qui ne roulent que pour leur ventre au lieu de l’intérêt public et général, « Congo désir » est à la réponse pour ceux qui croient à une alternative dans la gestion de la chose publique. Bien gérée, la République démocratique du Congo avec ses potentialités et ressources ne peut jamais faire mourir ses enfants de la faim. Or les congolais sont chosifiés, clochardisés, paupérisés par le régime de Kinshasa dont les apparatchiks devenus des « Millionnaires du dimanche » s’enrichissent de manière exponentielle, sans que le peuple ne se retrouve.
Les anti-constitutionnels, tripatouilleurs de la Constitution, ceux qui s’assoient sur l’ordre constitutionnel pour garder des privilèges sont à la manœuvre. Partisans de la Présidence à vie, avec des justifications tordues et mensonges cousues au fil blanc, ils veulent transformer le Congo en monarchie. Fort heureusement le peuple se réveille et veille.
Freddy Kita et Marisol Touraine, ministre de la santé.
Photo Réveil FM International
Freddy Kita et Jean-Marc Germain, socialiste « Aubryste » et mari d’Anne Hidalgo,
la Maire de Paris; Photo Réveil FM International
Marylise Lebranchu, ministre de la Fonction publique et décentration e
n causerie avec Freddy Kita. Photo Réveil FM International
Christian Paul, député PS "Frondeur" et Freddy Kita.
Photo Réveil FM International
Freddy Mulongo« Congo désir » prône la paix mais dans le respect constitutionnel et réclame la libération sans condition de tous les prisonniers politiques en RDC en commençant par Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie Chrétienne (DC).
http://reveil-fm.com/index.php/2015/09/04/5715-congo-desir-freddy-kita-bat-campagne-a-l-universite-d-ete-ps-a-la-rochelle
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