EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Cohésion nationale : le parti de gauche française exige la libération immédiate de Diomi et un vrai dialogue en RDC/ LA DEPECHE DE BRAZZAVILLE, 12/09/2013
par mpp le 12 septembre 2013
par mpp le 12 septembre 2013
Cohésion nationale : le parti de gauche française exige la libération immédiate de Diomi et un vrai dialogue
Mercredi, 11 Septembre, 2013 – 15:30
LA DEPECHE DE BRAZZAVILLE
LA DEPECHE DE BRAZZAVILLE
Pour la formation politique, cet élargissement devra permettre au président de la Démocratie chrétienne (DC) de se soigner et de jouer pleinement son rôle d’homme politique de l’opposition.
LE DEPUTE DE L’OPPOSITION, EUGENE DIOMI NDONGALA, APRES SA LIBERATION DE LA PART DES SERVICES DE SECURITE CONGOLAIS. IL SERA ENCORE ARRETE EN AVRIL 2013 JUSQU A CE JOUR
Dans une correspondance visant le président français, François Hollande, le parti de gauche de Jean-Luc Melenchon a sollicité son intervention pour que les concertations en cours aboutissent à un véritable renouveau politique de la RDC.
De l’avis de ce parti, la libération des prisonniers politiques dont le député Eugène Diomi Ndongala constitue des prémisses de la cohésion à laquelle devrait aboutir le dialogue qui se tient au pays. « Le pouvoir de Kinshasa doit libérer Diomi Ndongala et engager un vrai dialogue national et inclusif avec l’opposition démocratique », est-il noté dans ce document.
Le Parti de gauche a notamment rappelé au président français que le rôle de la République Française est de favoriser le progrès démocratique et l’émancipation humaine dans les pays d’Afrique francophone. À en croire cette formation politique, François Hollande doit rapidement substituer à l’indifférence dont il fait montre envers ce grand pays, une attitude proactive dans le soutien à un véritable processus de dialogue interne et inclusif pour chacun des pays engagés dans la crise congolaise. « Nous en appelons, pour qu’un véritable dialogue et non pas une vague consultation au bénéfice exclusif du pouvoir, puisse s’engager entre la majorité issue des élections peu crédibles de novembre 2011 et les forces politiques de l’opposition qui dénoncent la crise de légitimité du régime, à la libération de tous les prisonniers politiques et à la démilitarisation de Kinshasa pour garantir la sécurité des acteurs d’un renouveau politique de la RDC », a souligné ce parti.
Pour ce parti, il ne suffit pas de bouder le pouvoir de Kinshasa mais il faut également être vigilant aux manœuvres en cours de la part des pays voisins Rwanda et Ouganda et de leurs relais à l’ONU, pour favoriser la thèse de la responsabilité entièrement congolaise dans l’instabilité dans la région est du pays, tout en soulignant le caractère irresponsable et liberticide de ce régime.
Le député Diomi Ndongala, président de la DC, est emprisonné abusivement depuis presque six mois, en violation des décisions de la Cour Suprême l’assignant à résidence. Son état de santé se dégrade de jour en jour faute de soins médicaux, alors qu’il a, en plus, été empêché d’assister à la dernière audience de son procès reporté sans cesse.
L’opinion, qui dénonce des actes de torture contre ce prisonnier proche d’Étienne Tshisekedi, comme cela a également été mentionné par l’Organisation mondiale contre la torture en juillet, retient que le régime de Kinshasa voudrait le faire condamner pour atteinte à la sûreté de l’État après l’avoir accusé faussement de viol par un montage manifeste des services de sécurité.
Lucien Dianzenza
http://democratiechretienne.org/2013/09/12/cohesion-nationale-le-parti-de-gauche-francaise-exige-la-liberation-immediate-de-diomi-et-un-vrai-dialogue-en-rdc-la-depeche-de-brazzaville-12092013/
LE DEPUTE DE L’OPPOSITION, EUGENE DIOMI NDONGALA, APRES SA LIBERATION DE LA PART DES SERVICES DE SECURITE CONGOLAIS. IL SERA ENCORE ARRETE EN AVRIL 2013 JUSQU A CE JOUR
Dans une correspondance visant le président français, François Hollande, le parti de gauche de Jean-Luc Melenchon a sollicité son intervention pour que les concertations en cours aboutissent à un véritable renouveau politique de la RDC.
De l’avis de ce parti, la libération des prisonniers politiques dont le député Eugène Diomi Ndongala constitue des prémisses de la cohésion à laquelle devrait aboutir le dialogue qui se tient au pays. « Le pouvoir de Kinshasa doit libérer Diomi Ndongala et engager un vrai dialogue national et inclusif avec l’opposition démocratique », est-il noté dans ce document.
Le Parti de gauche a notamment rappelé au président français que le rôle de la République Française est de favoriser le progrès démocratique et l’émancipation humaine dans les pays d’Afrique francophone. À en croire cette formation politique, François Hollande doit rapidement substituer à l’indifférence dont il fait montre envers ce grand pays, une attitude proactive dans le soutien à un véritable processus de dialogue interne et inclusif pour chacun des pays engagés dans la crise congolaise. « Nous en appelons, pour qu’un véritable dialogue et non pas une vague consultation au bénéfice exclusif du pouvoir, puisse s’engager entre la majorité issue des élections peu crédibles de novembre 2011 et les forces politiques de l’opposition qui dénoncent la crise de légitimité du régime, à la libération de tous les prisonniers politiques et à la démilitarisation de Kinshasa pour garantir la sécurité des acteurs d’un renouveau politique de la RDC », a souligné ce parti.
Pour ce parti, il ne suffit pas de bouder le pouvoir de Kinshasa mais il faut également être vigilant aux manœuvres en cours de la part des pays voisins Rwanda et Ouganda et de leurs relais à l’ONU, pour favoriser la thèse de la responsabilité entièrement congolaise dans l’instabilité dans la région est du pays, tout en soulignant le caractère irresponsable et liberticide de ce régime.
Le député Diomi Ndongala, président de la DC, est emprisonné abusivement depuis presque six mois, en violation des décisions de la Cour Suprême l’assignant à résidence. Son état de santé se dégrade de jour en jour faute de soins médicaux, alors qu’il a, en plus, été empêché d’assister à la dernière audience de son procès reporté sans cesse.
L’opinion, qui dénonce des actes de torture contre ce prisonnier proche d’Étienne Tshisekedi, comme cela a également été mentionné par l’Organisation mondiale contre la torture en juillet, retient que le régime de Kinshasa voudrait le faire condamner pour atteinte à la sûreté de l’État après l’avoir accusé faussement de viol par un montage manifeste des services de sécurité.
Lucien Dianzenza
http://democratiechretienne.org/2013/09/12/cohesion-nationale-le-parti-de-gauche-francaise-exige-la-liberation-immediate-de-diomi-et-un-vrai-dialogue-en-rdc-la-depeche-de-brazzaville-12092013/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RVIEW DE ROGER BONGOS AVEC FREDDY KITA ET M.ME DIOMI NDONGALA
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
- Aux Honorables Présidents et Membres du Présidium des Concertations Nationales
- Aux Membres des Etats Généraux Gouvernance, Démocratie et reformes institutionnelles
des Concertations Nationales
à KINSHASA
INTRODUCTION
L’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) saisi l’occasion qu’offre les Concertations Nationales pour plaider en faveur de la libération, sans condition, des détenus et prisonniers politiques ou d’opinion.
Est considéré comme prisonnier politique tout individu emprisonné pour des motifs politiques. Est considéré comme prisonnier d'opinion toute personne détenue ou restreinte dans sa liberté du fait de ses convictions politiques ou religieuses ou pour toute autre raison de conscience, de son origine ethnique, de son sexe ou de son orientation sexuelle, de sa couleur, de sa langue, de son origine sociale ou de sa nationalité, de sa situation économique, de sa naissance ou de toute autre situation - et qui n'a pas usé de violence ni incité à la violence ou à la haine[1].
En effet, l’ACAJ a documenté plusieurs cas d’enlèvement, d’arrestations et des détentions arbitraires des membres de l’opposition, des défenseurs des droits de l’homme et des journalistes, pour avoir exercé leurs libertés d’expression, d’opinion ou de la presse, selon le cas. Beaucoup de détentions ont été suivies de torture, traitements inhumains, cruels et dégradants.
Aussi, d’autres cas concernent des personnes qui ont été arrêtées, jugées et condamnées à cause de l’exercice de leurs libertés publiques et appartenance à l’opposition politique ou à la société civile pour lesquels l’ACAJ plaide la grâce présidentielle.
Pour l’ACAJ, l’heure n’est plus à l’appréciation de leur légalité, mais à attirer l’attention de chaque acteur sur la nécessité de rétablir les victimes de ces actes répréhensibles dans leurs droits, et ainsi prétendre atteindre les résultats escomptés à l’occasion des Concertations Nationales.
C’est pour ces raisons que l’ACAJ recommande aux Concertations Nationales le vote d’une résolution demandant la libération sans condition des détenus politiques et d’opinion, et la grâce pour ceux qui sont déjà condamnés et purgent à ce jour leurs peines. Elle présente vous expose ci-dessous les noms des personnes qui sont concernées par son plaidoyer (points I et II).
La libération sans condition et la grâce présidentielle permettront de sceller la réconciliation; de rétablir la démocratie, la paix sociale et l’unité nationale perdue ou gravement entamées suite aux multiples violations des droits de l’homme.
Elles traduiront, symboliquement, la façon de réaffirmer que la nation est unique et indivisible dans la République et que cette dernière ne peut s’accommoder des pratiques en rupture avec les Droits de l’Homme.
LIBEARATION SANS CONDITION DES DETENUS
A. M. Eugene DIOMI NDONGALA
M. Eugène DIOMI NDONGALA, Président du parti politique d’opposition dénommé Démocratie chrétienne (DC) et porte parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP), a été brutalement arrêté à Kinshasa/ Gombe, le 8 avril 2013, par des policiers sous commandement du Colonel Célestin Kanyama et transféré à l’inspection provinciale de la Police nationale congolaise, avant d’être conduit le lendemain au Parquet général de la république. Il est accusé d’être à la tête d’un mouvement insurrectionnel dénommé « Imperium » et faussement de « viol sur mineurs ». Il est bénéficiaire de trois ordonnances de mise à résidence surveillée que le Procureur général de la république refuse d’exécuter jusqu’à ce jour sans raison légale.
Depuis plusieurs mois, l’état de santé de M. Eugène DIOMI NDONGALA[2], détenu à la Prison centrale de Makala, s’est sérieusement détérioré, mais les autorités compétentes refusent de le transférer à la clinique Nganda pour y recevoir des soins médicaux appropriés prescris par le médecin de l’hôpital du camp Kokolo.
Il souffre notamment d’un début de paralyse du bras droit suite aux violences subies lors de son arrestation. Le médecin visiteur de la Prison centrale de Makala et le médecin de l’hôpital militaire de référence du camp Kokolo, qui l’ont examiné, ont recommandé à ce qu’il soit hospitalisé dans un centre médical afin d’y passer des examens et recevoir des soins adéquats.
Depuis le 23 juillet 2013, il a été placé en isolement cellulaire suite à la diffusion d’une interview par la Radio France Internationale.
L’ACAJ demande à ce que les autorités compétentes le libèrent immédiatement et sans condition. Et qu’une enquête indépendante, efficace, exhaustive et impartiale soit menée, et ce, afin d’identifier les responsables de son enlèvement et sa détention au secret, de les traduire devant un tribunal civil indépendant, compétent et impartial et leur appliquer les sanctions pénales, civiles et/ou administratives prévues par la loi. Et que les conclusions de cette enquête doivent être rendues publiques.
B. M. MITUNTWA NKOBA Verdict, Mme KABUNGAMA Marie Josée, M. KABENGELE TSHIBANGILE Jeancy, M. TSHIBASU, M. SHAUMBA Justin, M. IKUKU BOLIAMBALI Elie, M. KATUMBA MUMPOYI Madoudou, M. MOKAMBI MAKUMU, M. ZOMO KOFIO Apocalypse, M. MWIMPA BOWA LUKUSA Jonas, M. OYANDEKE LOKOMA, M. TSHIBASU DIANDA, M. MBIOLA MBIOLA Jean et M. BAKATUFIKILA MUNDA Florien.
Ces personnes ont été enlevées, individuellement, par les agents de l’Agence National de Renseignement (ANR) entre 2 heures et 12 heures du matin en date du 18 Janvier 2013, sans aucun mandat de justice et rassemblées dans la parcelle sise avenue Ngakati dans la commune de Limete où elles ont été présentées à la presse au motif qu’elles faisaient partie d’un mouvement insurrectionnel destiné à attenter à la vie du chef de l’Etat et à celle du Premier Ministre et, à déstabiliser les institutions politiques; avant de les disperser dans les cachots, de l’ANR et de la DEMIAP.
Elles sont restées en détention, dans ces cachots, sous torture et autres traitements ou peines cruels, inhumains et dégradants. Ils ont été soumis notamment à la fellation pour obtenir d’elles des aveux en violation de la convention du 10 décembre 1984 contre ces traitements et de la Loi N°11/008 du 9 juillet 2011 portant criminalisation de la torture et, de l’article 18 de la constitution qui stipule que : « Toute personne arrêtée doit être immédiatement …informée de ses droits, a le droit d’entrer immédiatement en contact avec sa famille ou avec son conseil, la garde à vue ne peut excéder quarante huit heures, à l’expiration de ce délai, la personne gardée à vue doit être relâchée ou mise à la disposition de l’autorité judiciaire compétente et que tout détenu doit bénéficier d’un traitement qui préserve sa vie, sa santé physique et mentale ainsi que sa dignité ».
C’est seulement le 17 avril 2013 que ces personnes ont été mises à la disposition de l’Auditorat Général des Forces Armées Congolaises qui, à son tour, les a placées en détention préventive suivant le mandat d’arrêt provisoire n° RMP/1456/MBF à la prison militaire de Ndolo sans avoir été préalablement entendues, et ce, en violation des articles 195 du code de justice militaire et 28 du code pénal ordinaire.
Le 10 mai 2013, l’Auditorat militaire a transféré ces 13 personnes au Parquet Général de la République (PGR) qui, à son tour, va les détenir à la prison de Makala suivant le mandat d’arrêt provisoire RMP V.025/PGR/2013/SMM.
Il a fallu attendre jusqu’au 15 mai 2013, soit cinq jours après, pour que leur audition puisse commencer à la prison et sans être préalablement avisés pour qu’ils se constituent des Conseils.
Le 16 mai 2013, ils ont été présentés en chambre du conseil par le Ministère Public pour obtenir leur mise en détention préventive en violation de l’article 28 du code de procédure pénal qui prescrit que « la personne placée sous mandat provisoire doit être présentée devant le juge compétent pour décider sur la détention provisoire dans le délai de cinq jour depuis son placement sous mandat d’arrêt provisoire. Ils sont détenus à la prison de Makala jusqu’à ce jour.
C. Professeur MBONEKUBE
Le vendredi premier juin 2012, vers 18 heures, le professeur BONEKUBE, président du parti politique dénommé « Mouvement d’Union pour le Développement National, en sigle MUDN » a été arrêté à sa résidence sise 1, avenue Cibitoke , à Bujumbura par un commando du service Burundais de documentation[3].
Le commando lui avait révélé avoir agi sur demande des autorités congolaise, en l’occurrence, le Gouverneur de la Province du Sud-Kivu Marcelin TSHISAMBO RUHOYA et le colonel KAHIMBI, coordonnateur des opérations « AMANI KAMILIFU ». Le samedi le 02 juin 2012, il sera remis au colonel KAHIMBI à la frontière de la RDC de KAVIMVIRA.
Conduit à la base militaire des opérations Amani Kamilifu de Bukavu[4], il sera, en date du 4 juin 2012, entendu sur procès verbaux devant la caméra par des membres de huit services suivants : le Gouvernorat de la province, l’ANR, le T2 des opérations Amani Kamilifu, le T2 de la 10ème région militaire, la DGM, la PNC, la DEMIAP ainsi que les services spéciaux.
Au lieu de le transfert auprès de l’autorité judiciaire compétente, le colonel KAHIMBI va l’envoyer, en date du 30 juillet 2012, au cachot de T2 de la 8ème région militaire à Goma.
De Goma, la victime sera transféré, le 13 aout 2012, à l’ANR /Kinshasa où il sera détenu, au secret, jusqu’au 23 mai 2013, date à laquelle il va être placé sous MAP à la prison militaire de Ndolo suivant le dossier RMP4291/13/MKD sans avoir été préalablement auditionné, et ce, en violation de l’article 195 du code judiciaire militaire.
Alors qu’il n’avait jamais été auditionné par le Ministère Public, le professeur MBONEKUBE Michel, sera surpris, d’apprendre le 23 mai 2013, de la bouche du colonel EKENGE, porte-parole des FARDC, qu’il aurait tenu des réunions subversives dans la ville de Bukavu dans l’objectif de renverser les institutions ; qu’après s’être exilé à Bujumbura, les sieurs René KAHUKULA MASUMBUKO, Zebedée Grégoire BITHA NYUMBA KWANGO et lui-même auraient intensifier leurs activités subversives au point de se faire arrêter, le 1er juin 2012, par les services burundais.
D. Messieurs Willy SEBATWARE, BIKA SELEMANI, BALEKE IDRISSA et KAMBAZI LISASI
M. Willy SEBATWARE a été recruté de force à l’entrée de l’AFDL en 1998 et fut chargé de transporter les effets militaires et de cuisiner pour les militaires.
Arrivé à Uvira avec les forces de l’AFDL, une bombe est tombée sur la maison où il habitait, fut blessé grièvement. Il sera alors amené à Bujumbura pour être soigner. En 2005, après sa guérison, il s’est réfugié à Nairobi avant de s’installer aux USA avec sa famille composée de 5 enfants.
Devenu Pasteur aux USA, il a développé un ministère de réconciliation des peuples au Sud- Kivu et c’est dans ce cadre qu’il avait programmé une conférence sur la réconciliation qui devait se tenir à Minembwe du 24 au 26 aout 2012.
Dans le cadre de cette conférence, il a quitté les USA pour la RDC. Mais comme il n’était pas en ordre avec le service de migration de la RDC, il est resté à Bujumbura pour les préparatifs de ladite conférence et le démarche pour obtenir un titre d’entrée.
Le jour où la conférence devait débuter, le 24 aout 2013, il sera enlevé par des hommes en uniforme à Bujumbura et acheminer à Uvira et puis à Bukavu, le même jour. Il sera présenté, aux environs de 24 heures, au commandant région du Sud-Kivu, le Général MASUNZU. Il sera par après détenu au camp militaire SAYO, sans manger ni boire, du 24 au 27 aout 2012 aux motifs qu’il travaillait pour le compte des mouvements insurrectionnels afin de déstabiliser les institutions de l’Etat en recrutant des personnes dans les camps de réfugié à cette fin[5].
En date du 27 aout 2012, le commandant de la région militaire du Sud- Kivu va ordonner, dans son bureau, qu’il soit torturé pour l’obliger à avouer les faits lui imputés. C’est ainsi qu’il reconnaitre, sous torture, le 29 aout 2013, toujours dans le bureau du commandant de la région militaire, avoir été suivre une formation militaire aux USA en vue de la balkanisation de la RDC et qu’il posséderait 800 militaires éparpillés dans des camps de réfugiés au Rwanda et ailleurs.
Le 2 septembre 2012, il a été emmené à Kinshasa, détenu à la DEMIAP, puis à l’ANR, et enfin transféré à la prison militaire de Ndolo le 23 mai 2013 jusqu’à ce jour.
II. GRACE PRESIDENTIELLE DES CONDAMNES
L’ACAJ plaide pour la grâce présidentielle en faveur du Révérend Pasteur KUTINO, de M. CHALUPA et du député MUHINDO, tous arrêtés, jugés et condamnés à l’issue des procès politiques.
L’ACAJ plaide aussi pour la grâce présidentielle en faveur de Neuf défenseurs des droits de l’homme, membres de l’Association pour la Défense des Intérêts de la Ville de Bandundu (ADIVB), condamnés pour avoir adressé un mémorandum au Gouverneur de la province de Bandundu et tenté d’organiser une marche pacifique pour dénoncer la mauvaise gestion de ladite province. Ils sont emprisonnés à ce jour à la prison du cinquantenaire de Bandundu. Il s’agit de : Messieurs Roger KITAMBALA TAYEYE, TANZEY Félicien, DWE NTOTOMOSI, KIZUBA NGAMAKI Emmanuel, TAMPWO ENAYEYE, MBOTI BOYI MOKE René, MUYEMBE NGATO, FIMBO KUSABUKA Reagen et KAMBE Freddy.
L’ACAJ vous remercie vivement, Honorables Présidents et Membres du Présidium, et Messieurs les Membres des Etats généraux Gouvernance, Démocratie et Réformes institutionnelles aux Concertations Nationales, pour l’attention que vous allez réserver à ce plaidoyer et surtout des actions concrètes que vous prendrez afin d’y donner des effets escomptés dans le meilleur délai.
Il en va de la création de la cohésion et la réconciliation nationales en RDC.
Fait à Kinshasa, le 09 aout 2013
Pour l’ACAJ,
Me Georges KAPIAMBA
Président NationalCI : -Excellence Monsieur le Président de la République
-Excellence Monsieur le Premier Ministre
- Excellence Madame la Ministre de la Justice et Droits Humains
(Tous à KINSHASA)
[1] La notion de prisonnier d'opinion a été créée en 1961 par Peter Benenson, avocat anglais et fondateur d'Amnesty International, et développée par Amnesty International, une ONG de défense des droits de l'homme et a depuis fait florès. www.wikipedia.
[2] Les poursuites contre M. Eugène DIOMI NDONGALA ont commencé juste après l’organisation de ses conférences de presse au cours desquelles il avait notamment critiqué la politique sécuritaire et économique du Gouvernement en place.
[3] Lors de son arrestation, il était en train de manger avec ses visiteurs Messieurs Zebedée Grégoire BITHA NYUMBA KWINGO, président national du parti des résistants pour le développement Shikitu, en sigle « PRDS », demandeur d’asile au Burundi, et René KAHUKULA MASUMBUKO, de nationalité française et chercheur à l’université du CEPROMEC sous l’encadrement sa direction qui devait rentrer à Paris dans la soirée du même jour. Le professeur BONEKUBE a une autorisation provisoire de demandeur d’asile datant du 18/12/2012 au Burundi. Le commando lui avait produit un mandat d’amener portant la mention « A.S.E » qui signifierait « Atteinte à la Sureté de l’Etat ». Il l’avait ligoté devant sa femme et ses enfants et l’emmené après avoir perquisitionné la maison et saisir tous les documents en rapport avec la politique alors que la Loi Burundaise sur la demande d’asile et la protection des réfugiés et apatrides prohibe le refoulement d’un demandeur d’asile vers un pays où il croit que sa vie est en danger.
[4] Le 16 juin 2012, le coordonnateur des opérations Amani Kamilifu de Bukavu, le colonel KAHIMBI Delphin, adresse une correspondance au chef d’Etat Major Général en réservant copies à leurs Excellences Messieurs et Dames le Vice-Premier Ministre et Ministres de la défense, de la Justice et Droits Humains. Et la Ministre de la Justice et Droits Humains par sa lettre N°MIN/JUDH/004/MMW/2012 du03 juillet 2012, qualifiera l’arrestation du professeur d’illégale et d’arbitraire. Elle demandera au colonel KAHIMBI Delphin de procéder à son élargissement ou son transférer devant une juridiction judiciaire compétente au cas où il aurait réuni des indices de sa culpabilité. La détention du professeur sous torture et traitements inhumains et dégradants, à la base militaire des opérations Amani Kamilifu, va se faire, du 02 juin au 30 juillet 2013 sans que son nom ne soit répertorié dans un quelconque registre. Le compte rendu du conseil de sécurité de la province du Sud-Kivu, présidé par le Gouverneur CHISHAMBO Marcelin, mentionne dans les derniers paragraphes de ses page 4 et 5 ce qui suit : « … en outre de ces aspects, le conseil de sécurité a été saisi de la plainte de l’Auditeur Supérieur en rapport avec l’incarcération apparentée à un enlèvement de certains congolais à la base des opérations Kimia Kamilifu à Bukavu ». Après l’analyse de cette lettre, les membres du conseil de sécurité ont instruit le colonel KAHIMBI d’examiner l’opportunité soit, de transférer les concernés à l’auditorat militaire ou à l’ANR, soit, de libérer les personnes dont les indices de culpabilité ne sont pas réunis ou de les placer à résidence surveillée soit, de les transférer à Kinshasa.
[5] On l’a taxé de financer des conférences pour réconcilier ALEC avec les autres forces négatives qui opèrent dans l’Est de la RDC afin de bien combattre le pouvoir en place. Il n’aurait eu la vie sauve, lorsqu’on aurait tenté de l’enterrer vivant et cagoulé, et qu’il avait cité le nom du capitaine ALEX comme étant son frère.
http://wp.me/p18AQh-1Q2
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Parodie de procès de l'opposant Diomi Ndongala: Kabila en contradiction avec son message de cohésion nationale
Prévue à 09h00, l'audience de la Cour Suprême de Justice devant se pencher sur le cas de l'opposant et détenu politique Eugene Diomi Ndongala, a débuté à14h00.
Apres un premier temps où la grande salle était pleine d'observateurs, hommes politiques et journalistes, après quelques minutes de débat le président du jury de la Cour a demandé les huis clos, pour empêcher que le publique dévisage les deux dames qui se présentent comme victimes et qui sont arrivées à la cour couverte de la tête aux pieds d'un tissu leur couvrant même les yeux.
EUGENE DIOMI NDONGALA ET SON EPOUSE AVANT LES HUIS CLOS
Un autre fait remarquable est la présence dans la partie civile de Francis Kalombo, prétendu avocat du barreau de kananga – après avoit été refusé au barreau de Matete en tant que faussaire – accompagnés d'un groupe de stagiaires.
Déjà la constitution de partie civile n'étant pas prévue devant la Cour suprême, les avocat de Diomi Ndongala ont souligné que M Francis Kalombo ne pouvait pas, en tant que député en fonction, prêter comme avocat. Ils ont même souligné que les nombreuses stagiaires dont ils s'était folkloriquement entouré ne pouvaient n'ont plus prêter, selon les règles de l'ordre des avocats, en absence de leurs titulaires de stages...
Apres la mise au points de la Défense de Diomi Ndongala, le Président de la Cour, plutôt que se prononcer sur ces prealables, s'est retiré pour une demi-heure – sans raison explicite – pour ne pas repondre, à sa sortie, à aucune exception légitime avancée par la Défense.
Shameeeeeeeeeeeeeee
Prévue à 09h00, l'audience de la Cour Suprême de Justice devant se pencher sur le cas de l'opposant et détenu politique Eugene Diomi Ndongala, a débuté à14h00.
Apres un premier temps où la grande salle était pleine d'observateurs, hommes politiques et journalistes, après quelques minutes de débat le président du jury de la Cour a demandé les huis clos, pour empêcher que le publique dévisage les deux dames qui se présentent comme victimes et qui sont arrivées à la cour couverte de la tête aux pieds d'un tissu leur couvrant même les yeux.
EUGENE DIOMI NDONGALA ET SON EPOUSE AVANT LES HUIS CLOS
Un autre fait remarquable est la présence dans la partie civile de Francis Kalombo, prétendu avocat du barreau de kananga – après avoit été refusé au barreau de Matete en tant que faussaire – accompagnés d'un groupe de stagiaires.
Déjà la constitution de partie civile n'étant pas prévue devant la Cour suprême, les avocat de Diomi Ndongala ont souligné que M Francis Kalombo ne pouvait pas, en tant que député en fonction, prêter comme avocat. Ils ont même souligné que les nombreuses stagiaires dont ils s'était folkloriquement entouré ne pouvaient n'ont plus prêter, selon les règles de l'ordre des avocats, en absence de leurs titulaires de stages...
Apres la mise au points de la Défense de Diomi Ndongala, le Président de la Cour, plutôt que se prononcer sur ces prealables, s'est retiré pour une demi-heure – sans raison explicite – pour ne pas repondre, à sa sortie, à aucune exception légitime avancée par la Défense.
Shameeeeeeeeeeeeeee
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FLASH: L’AUDIO DU PROCES POLITIQUE DE DIOMI NDONGALA, PRISONNIER POLITIQUE EN RDC
LA SCANDALEUSE MAGOUILLE QUE LE REGIME KABILA VOULAIT VOUS CACHER…SUIVEZ
http://democratiechretienne.org/2013/09/17/flash-laudio-du-proces-politique-de-diomi-ndongala-prisonnier-politique-en-rdc/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Merci Amisi Bushiri pour le boulot patriotique remarquable que tu fais....
Amisi Bushiri
TSHITSHI et UDPS, 32 ans de Lutte ++
Le système Kabila a échoué. La situation de DIOMI NDONGALA doit nous interpeller TOUS. Devenons tous de petit Martin Luther, Kimbangu, Tshitshi et Diomi. Le Congo a besoin de nous. Notre lutte doit encore s'intensifier, Restons debout. Suivez mes propos sur Tshitshi et le procès Diomi :
Amisi Bushiri
TSHITSHI et UDPS, 32 ans de Lutte ++
Le système Kabila a échoué. La situation de DIOMI NDONGALA doit nous interpeller TOUS. Devenons tous de petit Martin Luther, Kimbangu, Tshitshi et Diomi. Le Congo a besoin de nous. Notre lutte doit encore s'intensifier, Restons debout. Suivez mes propos sur Tshitshi et le procès Diomi :
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Affaire Diomi : une parodie de justice / TEMPETE DES TROPIQUES DU 19/09/2013
par mpp le 19 septembre 2013
par mpp le 19 septembre 2013
Jeudi, 19 Septembre 2013 09:03 |
Affaire Diomi : une parodie de justice Dans un communiqué de la Démocratie chrétienne (DC), à travers son porte-parole Marc Mawete, publié lundi 16 septembre dernier, cette formation politique dit constater une " scandaleuse parodie de justice à la Cour suprême de justice " lors du " procès politique " d’Eugène Diomi Ndongala. Premièrement, prévue à 9h00′, l’audience devant se pencher sur le cas d’Eugène Diomi n’a débuté qu’à 14h00′, on ne sait pour quelles raisons.Par la suite, poursuit le communiqué de la DC, après un premier temps où la grande salle était pleine d’observateurs, hommes politiques et journalistes, à la suite de quelques minutes de débats, le juge président a demandé le huis clos. Pour la DC, c’était une occasion d’empêcher que le public présent dévisage les deux dames qui se sont présentées comme des victimes, couvertes de la tête aux pieds. Un autre fait remarquable, à en croire la DC, est la présence dans la partie civile de Francis Kalombo, accompagné d’un groupe d’avocats stagiaires. Les avocats de Diomi ont immédiatement fait remarquer à la cour qu’en tant que député en fonction, ce proche du pouvoir ne pouvait prester comme avocat. En plus, selon les règles de l’ordre des avocats, les stagiaires ne peuvent jamais prester en l’absence de leurs encadreurs. Au lieu de se prononcer sur ces préalables, après la mise au point des avocats de Diomi Ndongala, le président de la cour s’est retiré pour une demi-heure, sans raison claire, pour revenir par la suite sans faire allusion aux observations faites par la défense. Celle-ci a eu de la peine à prendre la parole, à présenter ses exceptions de droit y compris celle de la non application, après six mois, des trois arrêts de la même cour suprême de justice l’assignant Diomi à résidence, alors qu’il est malade et privé de soins. De plus, précise le communiqué de la DC, il a été impossible pour les avocats de la défense de prendre la parole pour évoquer les autres exceptions y compris celle de l’incompétence de la cour suprême après l’invalidation du mandat du député Diomi. Il a par la suite été constaté un manque total d’écoute de la défense, au point que le président a décidé, de manière unilatérale, de joindre les exceptions au fond, sans analyser les plus sérieuses présentées par les avocats de Diomi Ndongala. Frustrée pour le manque d’écoute de la cour, la défense a laissé Diomi parler lui-même. Ce dernier a déclaré ne pas connaître ni de près ni de loin les dames bandées comme des momies, et a dénoncé la présence illégale de Francis Kalombo, son adversaire dans la circonscription électorale de la Funa. Il s’est vu également privé de parole comme ses avocats. C’est à ce niveau que les esprits au sein de la défense se sont surchauffés, et Diomi a demandé à la cour de le condamner sur le champ " si cela doit être un procès politique dans lequel il ne lui est reconnu aucun droit ". C’est ainsi qu’il a demandé d’être " tué sur le champ ", plutôt qu’être " faussement jugé ". C’est après qu’il a connu un malaise qui l’a fait tomber devant les juges. Le public resté en dehors de la salle, ayant appris cela, a vivement protesté contre cet état de choses, en présence des témoins internationaux. Ainsi donc, Diomi a récusé le juge pour avoir fait preuve d’une partialité qui ne lui garantit pas un jugement équitable. C’est dans cette ambiance que l’audience a été renvoyée au 28 octobre, soit dans 45 jours, temps pendant lequel Diomi Ndongala devra se faire soigner, selon ses dires. |
Mise à jour le Jeudi, 19 Septembre 2013 09:10 http://democratiechretienne.org/2013/09/19/affaire-diomi-une-parodie-de-justice-tempete-des-tropiques-du-19092013/ |
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://democratiechretienne.org/2013/09/20/gabriel-mokia-si-lumumba-est-encore-en-prison-je-ne-peux-pas-participer-aux-concertations/
GABRIEL MOKIA" SI LUMUMBA EST ENCORE EN PRISON, JE NE PEUX PAS PARTICIPER AUX CONCERTATIONS"
par mpp le 20 septembre 2013
GABRIEL MOKIA" SI LUMUMBA EST ENCORE EN PRISON, JE NE PEUX PAS PARTICIPER AUX CONCERTATIONS"
J’aime chargement…
GABRIEL MOKIA" SI LUMUMBA EST ENCORE EN PRISON, JE NE PEUX PAS PARTICIPER AUX CONCERTATIONS"
par mpp le 20 septembre 2013
GABRIEL MOKIA" SI LUMUMBA EST ENCORE EN PRISON, JE NE PEUX PAS PARTICIPER AUX CONCERTATIONS"
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://www.scoop.it/t/eugene-diomi-ndongala-prisonier-politique-en-rdc
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LIBEREZ LES PRISONNIERS POLITIQUES DE LA MPP/DC; DIOMI NDONGALA, VERDICT MITUNTWA, KATUMBA STALLONE, KIBUNGANA
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
MWENZE KONGOLO QUITTE LES CONCERTATIONS POUR LE NON RESPECT DE KABILA DE SON ENGAGEMENT FORMEL A LIBERER LES PRISONNIERS POLITIQUES
RDC : Mwenze Nkongolo quitte les concertations nationales
publié il y a 10 heures, 31 minutes, | Denière mise à jour le 27 septembre, 2013 à 7:15 | sous Actualité, Kinshasa, Politique. Mots clés: concertations nationales, Mwenze Kongolo
Mwenze Kongolo. Radio Okapi/ Ph. John BompengoMwenze Kongolo. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Voir dans Picasa
Mwenze Kongolo. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
L’ancien ministre congolais de Justice, Mwenze Nkongolo, se retire des concertations nationales. Cet ancien collaborateur de l’ex-président Laurent Désiré Kabila a déclaré le jeudi 26 septembre que les problèmes de fond n’étaient pas évoqués au cours de ces assises convoquées pour consolider la cohésion nationale afin de mettre fin à la guerre dans l’Est du pays.
Le président du parti des patriotes Kabilistes a regretté que « l’amnistie promise par le chef de l’Etat » à l’ouverture des concertations nationales ne soit toujours pas accordée alors qu’« on tend vers la fin » de ces assises. Ce forum doit se clôturer le samedi 28 septembre prochain.
« Ça nous révolte parce que c’est une promesse d’un président de la République. S’il ne peut pas tenir ces paroles qu’il a solennellement prononcées, attendez-vous à ce que la fin [des concertations nationales, ndlr] puisse être mauvaise », a affirmé Mwenze Kongolo.
Dans son discours inaugurant les concertations nationales, Joseph Kabila, avait promis « des mises en liberté conditionnelle de certains prisonniers » pour « permettre une décrispation de la situation ». Il avait également annoncé, sans en préciser les bénéficiaires, qu’une grâce présidentielle est en étude en attendant le vote par le Parlement d’une loi d’amnistie.
Pour Mwenze Kongolo, cette amnistie devrait être accordée aux « prisonniers politiques » et « aux gens qui ont été mal jugés dans des contextes très difficiles et à qui on a donné des sentences qui me semblent exagérées ». « C’est le cas de ceux qui ont été mis en prison lors du procès de l’assassinat de Laurent Désiré Kabila », a-t-il précisé.
Un autre concertateur avait claqué la porte de ces assises quatre jours après leur ouverture. Clément Kanku, président du parti d’opposition Mouvement pour le Renouveau (MR), avait également demandé au chef de l’Etat de ne pas se contenter de faire des promesses mais de gracier les prisonniers politiques.
NELSON MANDELA PRISONNIER POLITIQUE.RDC
RDC : Mwenze Nkongolo quitte les concertations nationales
publié il y a 10 heures, 31 minutes, | Denière mise à jour le 27 septembre, 2013 à 7:15 | sous Actualité, Kinshasa, Politique. Mots clés: concertations nationales, Mwenze Kongolo
Mwenze Kongolo. Radio Okapi/ Ph. John BompengoMwenze Kongolo. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Voir dans Picasa
Mwenze Kongolo. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
L’ancien ministre congolais de Justice, Mwenze Nkongolo, se retire des concertations nationales. Cet ancien collaborateur de l’ex-président Laurent Désiré Kabila a déclaré le jeudi 26 septembre que les problèmes de fond n’étaient pas évoqués au cours de ces assises convoquées pour consolider la cohésion nationale afin de mettre fin à la guerre dans l’Est du pays.
Le président du parti des patriotes Kabilistes a regretté que « l’amnistie promise par le chef de l’Etat » à l’ouverture des concertations nationales ne soit toujours pas accordée alors qu’« on tend vers la fin » de ces assises. Ce forum doit se clôturer le samedi 28 septembre prochain.
« Ça nous révolte parce que c’est une promesse d’un président de la République. S’il ne peut pas tenir ces paroles qu’il a solennellement prononcées, attendez-vous à ce que la fin [des concertations nationales, ndlr] puisse être mauvaise », a affirmé Mwenze Kongolo.
Dans son discours inaugurant les concertations nationales, Joseph Kabila, avait promis « des mises en liberté conditionnelle de certains prisonniers » pour « permettre une décrispation de la situation ». Il avait également annoncé, sans en préciser les bénéficiaires, qu’une grâce présidentielle est en étude en attendant le vote par le Parlement d’une loi d’amnistie.
Pour Mwenze Kongolo, cette amnistie devrait être accordée aux « prisonniers politiques » et « aux gens qui ont été mal jugés dans des contextes très difficiles et à qui on a donné des sentences qui me semblent exagérées ». « C’est le cas de ceux qui ont été mis en prison lors du procès de l’assassinat de Laurent Désiré Kabila », a-t-il précisé.
Un autre concertateur avait claqué la porte de ces assises quatre jours après leur ouverture. Clément Kanku, président du parti d’opposition Mouvement pour le Renouveau (MR), avait également demandé au chef de l’Etat de ne pas se contenter de faire des promesses mais de gracier les prisonniers politiques.
NELSON MANDELA PRISONNIER POLITIQUE.RDC
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Kie les rats quittent le navire.... Ils n'y a que eux qui pensaient que ça aboutirait a quelque chose balia mbongo c'est pour cela qu'ils y sont allés.
Il n'y a que 2 choix laissez kabila finir son mandat ou le peuple se soulève et le chasse lui et les 40 voleurs.....
Il n'y a que 2 choix laissez kabila finir son mandat ou le peuple se soulève et le chasse lui et les 40 voleurs.....
mongo elombe
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Aujourd hui rfi annonce la levée des barrages chez le Président Etienne Tshisekedi: jusqu' ajourd hui le fameux Mende Pinocchio national avait tjrs nié la restriction de la liberté de mouvement du Président Tshisekedi....
De plus, désormais l on sait qu il y a des prisonniers politiques en RDC, chose que le "gouvernement" Kabila avait tjrs nié....
L écran de fumée sur la répression sauvage des dissidents politiques est désormais brisé:
Libérez tous les prisonniers politiques de la RDC et particulièrement ceux de la MPP/DC:
EUGENE DIOMI NDONGALA, VERDCIT MITUNTWA, STALLONE KATUMBA, MARIE JOSEE KIBUNGANA....
De plus, désormais l on sait qu il y a des prisonniers politiques en RDC, chose que le "gouvernement" Kabila avait tjrs nié....
L écran de fumée sur la répression sauvage des dissidents politiques est désormais brisé:
Libérez tous les prisonniers politiques de la RDC et particulièrement ceux de la MPP/DC:
EUGENE DIOMI NDONGALA, VERDCIT MITUNTWA, STALLONE KATUMBA, MARIE JOSEE KIBUNGANA....
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FLASH EN DIRECT DE RTNC: LISTE DES PRISONNIERS POLITIQUES A LIBERER:KUTHINO, #DIOMI NDONGALA, CHALUPA, YANGAMBI -PLENIERE CN #DRC #RDC
LE RAPPORT DE LA PLENIERE A ETE APPROUVE ....A SUIVRE
LE RAPPORT DE LA PLENIERE A ETE APPROUVE ....A SUIVRE
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://www.scoop.it/t/eugene-diomi-ndongala-prisonier-politique-en-rdc
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
KOTA a écrit:
Mfumu Kota,
S'il y'a une organisation et quelqu'un qui ont lutté pour le respect des droits et libertés compatibles à tout Etat qui tiendrait pour le moins à rester crédible, la DC et vous sur ce forum en sont les dignes combattants au delà de vos efforts légitimes à obtenir la libération d'Eugène trop longtemps attendue et combien juste !
Bravo et merci pour la République !!!
Je ne doute plus un instant que les revendications proclamées de nos "concertateurs" qui rejoignent la clameur de l'indignation populaire face à tant de violations de droits de ce régime obtiendront réparation mais en lisant rapidement les attendus et recommandations ci-dessus j'ai regretté de ne pas y voir ceux relatifs à l'élargissement des motifs d'inculpation de Ntaganda à ses crimes commis après ceux d'Ituri, après 2003, si je ne m'abuse !
Ils ne figurent pas encore à sa mise en examen et pourtant ils sont autant graves sinon davantage que ceux d'Ituri, dans tous les cas plus décisifs pour le procès indispensable que nous devons faire à notre "républiquette" ! Autant que la réparation des victimes politiques embastillées injustement et la non-impunité des tous les coupables dans ces dossiers, les crimes graves perpétrés par Ntaganda après 2003 jusqu'à son arrestation ne peuvent être oubliés !
J'ose espérer que votre formation politique et toutes les autres y veillerez !
Bravo encore et merci !
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Cher Ndom,
Merci pour avoir reconnu la justesse et la pertinence de notre combat.
Nous disposons de toutes les copies des "résolutions" et nous seront tjrs la a rappeler aux signataires et aux promoteurs de cette initiative leurs engagements...
La DC paye un lourd tribut à cause de son engagement cohérent. Quoiqu' il arrive' nous ne baisseront jamais les bras, même si notre siège a été détruit, nos cadres et militants enlevés ou menacés par les services de sécurités et notre Président torturé et violemment harcelé depuis presque deux ans.
Ce qui compte en ce moment, est que le Président Diomi Ndongala puisse se faire soigner.
Vérité et Justice pour le Congo,
Kota
Merci pour avoir reconnu la justesse et la pertinence de notre combat.
Nous disposons de toutes les copies des "résolutions" et nous seront tjrs la a rappeler aux signataires et aux promoteurs de cette initiative leurs engagements...
La DC paye un lourd tribut à cause de son engagement cohérent. Quoiqu' il arrive' nous ne baisseront jamais les bras, même si notre siège a été détruit, nos cadres et militants enlevés ou menacés par les services de sécurités et notre Président torturé et violemment harcelé depuis presque deux ans.
Ce qui compte en ce moment, est que le Président Diomi Ndongala puisse se faire soigner.
Vérité et Justice pour le Congo,
Kota
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
HUMAN RIGHT WATCH/ RDC: (b)Agressions physiques et arrestations de dirigeants politiques -rapport septembre 2013
par mpp le 8 octobre 2013
hrw
République démocratique du Congo : Contribution à l’Examen Périodique Universel – Septembre 2013
(b)Agressions physiques et arrestations de dirigeants politiques
Des dirigeants politiques ont été arrêtés ou attaqués, dans ce qui apparaît comme une campagne de la part du gouvernement pour réduire les voix critiques au silence.
Le 26 novembre 2011, quatre hommes armés ont grièvement blessé un candidat d’un parti d’opposition à un siège de député, Dieudonné Lowa Opombo, à son domicile à Kinshasa. Les agresseurs l’ont attaqué à coups de couteau et de marteau, lui ont injecté une substance non identifiée et l’ont abandonné, inconscient, dans un égout.
Eugène Diomi Ndongala, ancien député et ministre, est détenu depuis avril 2013. Il est le président du parti d’opposition Démocratie chrétienne et l’un des membres fondateurs de la Majorité présidentielle populaire, une alliance politique pro-Tshisekedi. Un autre parlementaire, Muhindo Nzangi, a été condamné à trois ans de prison en août 2013. Nzangi est membre du Mouvement social pour le renouveau(MSR), l’un des plus importants partis politiques formant la Majorité présidentielle (MP), la coalition au pouvoir. Deux jours après avoir tenu, lors d’une émission de radio à Goma, des propos qui ont été interprétés comme critiques de la politique du Président Kabila dans l’est de la RD Congo, Nzangi a été jugé et déclaré coupable d’avoir porté atteinte à la sécurité de l’État.
http://www.hrw.org/fr/news/2013/10/07/republique-democratique-du-congo-contribution-lexamen-periodique-universel-septembre
http://democratiechretienne.org/2013/10/08/human-right-watch-rdc-bagressions-physiques-et-arrestations-de-dirigeants-politiques-rapport-septembre-2013/
par mpp le 8 octobre 2013
hrw
République démocratique du Congo : Contribution à l’Examen Périodique Universel – Septembre 2013
(b)Agressions physiques et arrestations de dirigeants politiques
Des dirigeants politiques ont été arrêtés ou attaqués, dans ce qui apparaît comme une campagne de la part du gouvernement pour réduire les voix critiques au silence.
Le 26 novembre 2011, quatre hommes armés ont grièvement blessé un candidat d’un parti d’opposition à un siège de député, Dieudonné Lowa Opombo, à son domicile à Kinshasa. Les agresseurs l’ont attaqué à coups de couteau et de marteau, lui ont injecté une substance non identifiée et l’ont abandonné, inconscient, dans un égout.
Eugène Diomi Ndongala, ancien député et ministre, est détenu depuis avril 2013. Il est le président du parti d’opposition Démocratie chrétienne et l’un des membres fondateurs de la Majorité présidentielle populaire, une alliance politique pro-Tshisekedi. Un autre parlementaire, Muhindo Nzangi, a été condamné à trois ans de prison en août 2013. Nzangi est membre du Mouvement social pour le renouveau(MSR), l’un des plus importants partis politiques formant la Majorité présidentielle (MP), la coalition au pouvoir. Deux jours après avoir tenu, lors d’une émission de radio à Goma, des propos qui ont été interprétés comme critiques de la politique du Président Kabila dans l’est de la RD Congo, Nzangi a été jugé et déclaré coupable d’avoir porté atteinte à la sécurité de l’État.
http://www.hrw.org/fr/news/2013/10/07/republique-democratique-du-congo-contribution-lexamen-periodique-universel-septembre
http://democratiechretienne.org/2013/10/08/human-right-watch-rdc-bagressions-physiques-et-arrestations-de-dirigeants-politiques-rapport-septembre-2013/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Retweeted Jean Paul BWANA (@jpbwana1):
@wumba122 @fsddc @LePG après ces concertations nationales, il est un non sens de garder tous ces détenus politiques en prison!!!
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
DIOMI NDONGALA :
" LE CONGO AUX CONGOLAIS !"
ADRESSE DU PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, EUGENE DIOMI NDONGALA AU MEETING DU 4 JANVIER 2005 AU STADE DES MARTYRS
Chers militantes et militants de la DC,
Mbote na bino !
C’est merveilleux de nous retrouver si nombreux, dans la joie et la prière, dans ce cadre majestueux et en ce jour si cher à la mémoire collective des congolais ; tous unis, pour nous rappeler des martyrs du 4 Janvier 1959 qui ont obtenu notre indépendance, au prix du sacrifice de leurs vies, bravant l’idéologie dominatrice du colonialisme et son système de pouvoir, pour affirmer leur droit à la pleine citoyenneté et aux droits inaliénables de la personne humaine, dont la sacralité nous a été enseigné par l’Evangile. Aussi, souvenons-nous du combat de Simon KIMBANGU, de nos sœurs et frères Chrétiens tombés le 16 février 1991, du sacrifice extrême de Monseigneur Christophe MUNZIHIRWA et de Monseigneur Emmanuel KATALIKO ainsi que dernièrement, du Pasteur Albert LUKUSA LUVUNGU, à la mémoire desquels nous allons dédier une minute de silence ….
Que reste-t-il, aujourd’hui, de la lutte héroïque de ces martyrs, de leur combat d’amour absolu, au sacrifice de leurs vies ?
Regardons autour de nous :
Nous vivons dans un pays déchiré, où le mensonge d’état,la violence règnent encore en maître :
Que reste-t-il du rêve d’un Congo fort et prospère de nos pères de l’indépendance ?
Nos martyrs sont-ils morts en vain ?
Aujourd’hui, plus que jamais dans notre histoire, il est nécessaire de nous rappeler de ce combat, de ces morts et de l’espoir qui les animait d’un futur de paix, de dignité et d’amour pour la nation congolaise.
« Il est temps d'abandonner la guerre, les divisions, les discriminations sociales, tribales, et de former finalement une famille de Chrétiens unis et engagés pour sauver le Congo ; il est temps de « libérer » le processus électoral, pris manifestement en otage, pour nous réapproprier du destin de ce pays et rappeler au monde quenos martyrs ne sont pas morts en vain»Notre peuple est en train de perdre l’espoir et sans l’espoir, ni la foi,ni les oeuvres ne sont possibles !
Puisons dans notre mémoire collective la force et la déterminationpour bâtir notre pays :
Avec courage, force et détermination crions notre volonté de paix, de reconstruction et surtout, le besoin absolu d’affirmer notre dignité en tant que peuple congolais :
Nous disons, à ceux qui veulent l’entendre, QUE NOTRE MESSAGE EST LE MEME QUE CELUI DES CONGOLAIS TUES le 4 janvier 1959 A KINSHASA:
IL SE RESUME EN UNE SEULE ET UNIQUE PHRASE qui traduit l’essence du combat de tous nos martyrs:
LE CONGO AUX CONGOLAIS !
LE CONGO AUX CONGOLAIS !
LE CONGO AUX CONGOLAIS !
Après 46 ans, nous sommes encore à la recherche de cette indépendance politique qui fait d’un peuple le maître de son destin.Après 45 ans, exactement le 30 juin 2005, nous voulons être enmesure de devenir enfin, une démocratie gouvernante et nonplus une démocratie gouvernée, en éternelle transition.
Pour obtenir cet objectif, l’engagement des chrétiens devra
être total et exemplaire :
Engageons nos actes, nos prières, notre volonté pour le changement du Congo Démocratique, pour faire renaître l’espoir d’un futur meilleur dans nos cœurs :
Mais en bons chrétiens, ne limitons pas notre engagement à la prière, à la passivité ou bien à l’amertume et l’acceptation passive d’un destin que nous n’avons pas choisi:
La foi a besoin des actes, comme la politique congolaise a besoin d’unengagement sans faille des chrétiens congolais.
Que faire, pour nous réapproprier des rêves des nos aînés ?
Que faire, pour ne plus jamais devenir la chair à canon de batailles perdues d’avance, les civils déplacés ou meurtris, les jeunes qui ont arrêté de rêver ?
Que faire, pour que le Congo ne soit plus un pays déchiré par la guerre, sanssouveraineté respectée et sans défense effective?
La réponse est toujours la même, mes sœurs et frères :
Son essence se résume en une seule phrase :
LE CONGO AUX CONGOLAIS !
Résistons contre les politiques de compromission qu’on voudrait nous imposer ;
Vainquons la peur, car la meilleure arme de l’oppresseur est la peur de l’opprimé !!!
Suivons l’Evangile, pour distinguer le bien et le mal :
« Vous reconnaîtrez l’arbre par ses fruits ».
La guerre et le manque de vision politique sont les plus graves problèmes du Congo, en ce moment :
C’est une guerre que nous ne voulons pas et que nous subissons depuis 9 ans, avec des millions de morts, la destruction, la maladie qu’elle nous apporte, dans la substantielle indifférence du reste du monde !
Les hautes autorités de ce pays continuent à signer des traités de paix avec nos voisins mais ces traités sont toujours violés.
Nos richesses naturelles continuent à être pillées à l’Est de la RDC par nos voisins, alors qu’à l’Ouest des réseaux de fraude très puissants veulent continuer à imposer leurs logiques maffieuses au détriment des intérêts supérieurs de l’état congolais !!!
Combattons notre peur et soyons conscients de notre force :
Ensemble nous pouvons relever le défi du changement au Congo Démocratique ;
Pas de compromission, avec les forces qui vivent du fond du commerce du génocide rwandais de 1994 et celles qui l’ont commis, car les deux sont devenues des alliées dans leur entreprise néfaste visant à détruire le rêve d’un Congo uni et prospère !
Pas de compromission, avec ceux qui ont peur du jugement du peuple et veulent à tout prix nous priver du droit d’élire nos dirigeants !
Pas de compromission, avec ceux qui aliènent notre souveraineté pour s’éterniser dans un système de pouvoir sans légitimation des urnes !!
Un système basé sur l’exclusion, la médisance, le mensonge d’état pour salir ses adversaires politiques et les réduire au silence !
Pas de compromission, avec ceux qui veulent échapper à la justice internationale, pour ne pas rendre compte des crimes de sang commis dans ce pays, ou la sacralité de la vie est méconnue :
Makobola, Kasika, Kinshasa en août 1998, Ankoro, Bukavu, Ituri….des millions de morts qui réclament justice !
Le Congo est objectivement divisé :
A l’Est, nos frères subissent encore aujourd’hui les affres de la guerre, le martyre du déplacement à travers les forêts hostiles pour échapper à la folie meurtrière des envahisseurs rwandais et leurs complices congolais ;
A l’Ouest, nous sommes victimes de l’instabilité devenue chronique d’un Etat qui recherche encore ses repères politiques :
Nous perdons l’espoir et nous vivons affligés par la misère et la désolation de nos villes délabrées, de nos enfants déscolarisés, des nos vieux abandonnés.
Sommes-nous victimes d’une fatalité ?
D’une malédiction ?
Non, mes sœurs et frères, non, nous devons agir !
Nous devons vaincre d’abord la peur, le fatalisme et le désespoir :
N’ayons pas peur de dire que l’accord Global et Inclusif est manifestement défaillant, car tout un gouvernement est à la merci d’un espace présidentiel incapable de définir une ligne politique cohérente pour cette nation!
N’ayons pas peur de dire que les agendas cachés des uns et des autres bloquent la transition, torpillée par une mauvaise gestion des priorités nationales :
Où sont-elles finies, les grandes priorités du Congo telles que prévues par le Dialogue Inter congolais ?
Pourquoi les organes législatifs de la Transition retardent-ils artificiellement l’adoption des textes fondamentaux sous-jacents la mise en œuvre du processus électoral en privilégiant, au contraire, les jeux de dominos politiques et les violations de la Constitution?
Ou est-il fini le leadership exemplaire exigée par la Constitution de la transition si l’on continue encore à entretenir le jeu néfaste des cabales politiques des uns contre les autres, en utilisant ses adversaires politiques tels que des « fusibles » qu’on voudrait faire sauter, maintenant, pour ériger des écrans de fumée qui cachent mal des mauvaises consciences ?
La démocratie et la bonne gouvernance ne sont pas un« Jeu de dominos » destiné au marketing politique et à la consommation extérieure :
Elles sont un devoir envers notre peuple !!!
Tirons les conséquences de ce constat amer de dysfonctionnement et trouvons des véritables solutions aux problèmes institutionnels qui se posent et nous empêchent d’aller de l’avant :
les congolais ne peuvent continuer d’être les esclaves d’un système défaillant qui ne leur donne aucun espoir.
La vérité est un bien très précieux pour les Chrétiens :
rappelons – nous de celui qui représente, pour nous, le « Chemin, la Vérité et la Vie »
Nos aînés, nos pères nous ont démontré, le 4 Janvier 1959, que la vérité et la justice ne peuvent pas être vaincues :
Débarrassons-nous de la peur de reconnaître nos erreurs, débarrassons-nous de la peur envers ceux qui veulent nous régenter par la force et la violence :
« Mon peuple périt par manque de connaissance », dit le prophète Osée dan la Bible :
Dorénavant, soyons conscients de notre force et surtout, vainquons la peur, car Jésus Christ – le Chemin, la Vérité et la Vie - est avec nous !
Aux jeunes, ici présents, je vous dis de ne pas regarder seulement aux biens extérieurs ;
Débarrassez- vous de la culture de la facilité, de la sape, de l’ivresse: construisez votre futur, par votre engagement social et politique et surtout par le travail, par vos études, par votre volonté de construire le futur dans l’honnêteté et la moralité !
Aux pères et mères de famille, je vous demande de ne jamais vous contenter de survivre :
Votre futur aussi doit changer et vous aussi avez droit à l’espoir d’une vie meilleure, dans la paix et la garantie de vos droits civils et politiques : droit à la santé, au travail, à la sécurité sociale et juridique.
Aux militantes et militants de la Démocratie Chrétienne, ici nombreux, je vous demande d’être le fer de lance du changement, la référence politique de l’engagement chrétien et surtout, soyez courageux et fiers car l’idéologie que vous prônez et défendez sera celle qui sauvera le Congo Démocratique !!!
JE LE REPETE, ENCORE UNE FOIS, POUR QUE NOUS TOUS EN SOYONS PLEINEMENT CONSCIENTS :
« Il est temps d'abandonner la guerre, les divisions, les discriminations sociales, tribales, et de former finalement une famille de Chrétiens unis et engagés pour sauver le Congo ! ».
Le pays ressemble aujourd’hui à un grand malade dont la guérison dépend d’un traitement de choc ou bien d’un miracle que seuls les chrétiens peuvent demander au Très Haut :
Comme au début du lancement du processus de démocratisation le 24 avril 1990, les Congolais sont toujours et encore demandeurs d’ un changement fort.15 années après !
Les Chrétiens morts le 16 Février 1991, sont-ils morts en vain ?Néanmoins, notre peuple est très conscient de ses revendications politiques :
Les Congolais veulent que le Congo de demain retrouve la respectabilité par la réhabilitation de son indépendance et sa pleine souveraineté.
Les Congolais veulent que le Congo de demain soit dirigé par des hommes et des femmes qui les rassemblent.
Des hommes et des femmes qui mettent la cohésion nationale au-dessus de tout.
Les Congolais veulent que le Congo de demain soit gouverné par des vrais serviteurs de l’état.
Je vous dis que le Congo de demain sera ce que les Congolais et surtout les Chrétiens, décideront en juin 2005 :
Un pays en perpétuelle régression ou bien un Etat ouvert à la modernité, à la justice et au progrès.
Le choix paraît clair, mes sœurs et frères en Christ!
L’essence de ce choix et de toutes ces revendications est contenue en une seule et unique phrase, que vousconnaissez déjà, car elle a été prononcée par tous nos martyrs :
Le Congo aux Congolais !!!
Le Congo aux Congolais !!!
Le Congo aux Congolais !!!
Que le Très Haut bénisse le Congo.
EUGENE DIOMI NDONGALA,
Le 4 Janvier 2005
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LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA ASSIGNE A PREVENU PAR LE REGIME KABILA A CAUSE DE SON MEETING DU 04 JANVIER 2005
http://dc-kin.net/assignation_stadedesmartyrs.html
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http://democratiechretienne.org/2013/10/12/diomi-ndongala/
" LE CONGO AUX CONGOLAIS !"
ADRESSE DU PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, EUGENE DIOMI NDONGALA AU MEETING DU 4 JANVIER 2005 AU STADE DES MARTYRS
Chers militantes et militants de la DC,
Mbote na bino !
C’est merveilleux de nous retrouver si nombreux, dans la joie et la prière, dans ce cadre majestueux et en ce jour si cher à la mémoire collective des congolais ; tous unis, pour nous rappeler des martyrs du 4 Janvier 1959 qui ont obtenu notre indépendance, au prix du sacrifice de leurs vies, bravant l’idéologie dominatrice du colonialisme et son système de pouvoir, pour affirmer leur droit à la pleine citoyenneté et aux droits inaliénables de la personne humaine, dont la sacralité nous a été enseigné par l’Evangile. Aussi, souvenons-nous du combat de Simon KIMBANGU, de nos sœurs et frères Chrétiens tombés le 16 février 1991, du sacrifice extrême de Monseigneur Christophe MUNZIHIRWA et de Monseigneur Emmanuel KATALIKO ainsi que dernièrement, du Pasteur Albert LUKUSA LUVUNGU, à la mémoire desquels nous allons dédier une minute de silence ….
Que reste-t-il, aujourd’hui, de la lutte héroïque de ces martyrs, de leur combat d’amour absolu, au sacrifice de leurs vies ?
Regardons autour de nous :
Nous vivons dans un pays déchiré, où le mensonge d’état,la violence règnent encore en maître :
Que reste-t-il du rêve d’un Congo fort et prospère de nos pères de l’indépendance ?
Nos martyrs sont-ils morts en vain ?
Aujourd’hui, plus que jamais dans notre histoire, il est nécessaire de nous rappeler de ce combat, de ces morts et de l’espoir qui les animait d’un futur de paix, de dignité et d’amour pour la nation congolaise.
« Il est temps d'abandonner la guerre, les divisions, les discriminations sociales, tribales, et de former finalement une famille de Chrétiens unis et engagés pour sauver le Congo ; il est temps de « libérer » le processus électoral, pris manifestement en otage, pour nous réapproprier du destin de ce pays et rappeler au monde quenos martyrs ne sont pas morts en vain»Notre peuple est en train de perdre l’espoir et sans l’espoir, ni la foi,ni les oeuvres ne sont possibles !
Puisons dans notre mémoire collective la force et la déterminationpour bâtir notre pays :
Avec courage, force et détermination crions notre volonté de paix, de reconstruction et surtout, le besoin absolu d’affirmer notre dignité en tant que peuple congolais :
Nous disons, à ceux qui veulent l’entendre, QUE NOTRE MESSAGE EST LE MEME QUE CELUI DES CONGOLAIS TUES le 4 janvier 1959 A KINSHASA:
IL SE RESUME EN UNE SEULE ET UNIQUE PHRASE qui traduit l’essence du combat de tous nos martyrs:
LE CONGO AUX CONGOLAIS !
LE CONGO AUX CONGOLAIS !
LE CONGO AUX CONGOLAIS !
Après 46 ans, nous sommes encore à la recherche de cette indépendance politique qui fait d’un peuple le maître de son destin.Après 45 ans, exactement le 30 juin 2005, nous voulons être enmesure de devenir enfin, une démocratie gouvernante et nonplus une démocratie gouvernée, en éternelle transition.
Pour obtenir cet objectif, l’engagement des chrétiens devra
être total et exemplaire :
Engageons nos actes, nos prières, notre volonté pour le changement du Congo Démocratique, pour faire renaître l’espoir d’un futur meilleur dans nos cœurs :
Mais en bons chrétiens, ne limitons pas notre engagement à la prière, à la passivité ou bien à l’amertume et l’acceptation passive d’un destin que nous n’avons pas choisi:
La foi a besoin des actes, comme la politique congolaise a besoin d’unengagement sans faille des chrétiens congolais.
Que faire, pour nous réapproprier des rêves des nos aînés ?
Que faire, pour ne plus jamais devenir la chair à canon de batailles perdues d’avance, les civils déplacés ou meurtris, les jeunes qui ont arrêté de rêver ?
Que faire, pour que le Congo ne soit plus un pays déchiré par la guerre, sanssouveraineté respectée et sans défense effective?
La réponse est toujours la même, mes sœurs et frères :
Son essence se résume en une seule phrase :
LE CONGO AUX CONGOLAIS !
Résistons contre les politiques de compromission qu’on voudrait nous imposer ;
Vainquons la peur, car la meilleure arme de l’oppresseur est la peur de l’opprimé !!!
Suivons l’Evangile, pour distinguer le bien et le mal :
« Vous reconnaîtrez l’arbre par ses fruits ».
La guerre et le manque de vision politique sont les plus graves problèmes du Congo, en ce moment :
C’est une guerre que nous ne voulons pas et que nous subissons depuis 9 ans, avec des millions de morts, la destruction, la maladie qu’elle nous apporte, dans la substantielle indifférence du reste du monde !
Les hautes autorités de ce pays continuent à signer des traités de paix avec nos voisins mais ces traités sont toujours violés.
Nos richesses naturelles continuent à être pillées à l’Est de la RDC par nos voisins, alors qu’à l’Ouest des réseaux de fraude très puissants veulent continuer à imposer leurs logiques maffieuses au détriment des intérêts supérieurs de l’état congolais !!!
Combattons notre peur et soyons conscients de notre force :
Ensemble nous pouvons relever le défi du changement au Congo Démocratique ;
Pas de compromission, avec les forces qui vivent du fond du commerce du génocide rwandais de 1994 et celles qui l’ont commis, car les deux sont devenues des alliées dans leur entreprise néfaste visant à détruire le rêve d’un Congo uni et prospère !
Pas de compromission, avec ceux qui ont peur du jugement du peuple et veulent à tout prix nous priver du droit d’élire nos dirigeants !
Pas de compromission, avec ceux qui aliènent notre souveraineté pour s’éterniser dans un système de pouvoir sans légitimation des urnes !!
Un système basé sur l’exclusion, la médisance, le mensonge d’état pour salir ses adversaires politiques et les réduire au silence !
Pas de compromission, avec ceux qui veulent échapper à la justice internationale, pour ne pas rendre compte des crimes de sang commis dans ce pays, ou la sacralité de la vie est méconnue :
Makobola, Kasika, Kinshasa en août 1998, Ankoro, Bukavu, Ituri….des millions de morts qui réclament justice !
Le Congo est objectivement divisé :
A l’Est, nos frères subissent encore aujourd’hui les affres de la guerre, le martyre du déplacement à travers les forêts hostiles pour échapper à la folie meurtrière des envahisseurs rwandais et leurs complices congolais ;
A l’Ouest, nous sommes victimes de l’instabilité devenue chronique d’un Etat qui recherche encore ses repères politiques :
Nous perdons l’espoir et nous vivons affligés par la misère et la désolation de nos villes délabrées, de nos enfants déscolarisés, des nos vieux abandonnés.
Sommes-nous victimes d’une fatalité ?
D’une malédiction ?
Non, mes sœurs et frères, non, nous devons agir !
Nous devons vaincre d’abord la peur, le fatalisme et le désespoir :
N’ayons pas peur de dire que l’accord Global et Inclusif est manifestement défaillant, car tout un gouvernement est à la merci d’un espace présidentiel incapable de définir une ligne politique cohérente pour cette nation!
N’ayons pas peur de dire que les agendas cachés des uns et des autres bloquent la transition, torpillée par une mauvaise gestion des priorités nationales :
Où sont-elles finies, les grandes priorités du Congo telles que prévues par le Dialogue Inter congolais ?
Pourquoi les organes législatifs de la Transition retardent-ils artificiellement l’adoption des textes fondamentaux sous-jacents la mise en œuvre du processus électoral en privilégiant, au contraire, les jeux de dominos politiques et les violations de la Constitution?
Ou est-il fini le leadership exemplaire exigée par la Constitution de la transition si l’on continue encore à entretenir le jeu néfaste des cabales politiques des uns contre les autres, en utilisant ses adversaires politiques tels que des « fusibles » qu’on voudrait faire sauter, maintenant, pour ériger des écrans de fumée qui cachent mal des mauvaises consciences ?
La démocratie et la bonne gouvernance ne sont pas un« Jeu de dominos » destiné au marketing politique et à la consommation extérieure :
Elles sont un devoir envers notre peuple !!!
Tirons les conséquences de ce constat amer de dysfonctionnement et trouvons des véritables solutions aux problèmes institutionnels qui se posent et nous empêchent d’aller de l’avant :
les congolais ne peuvent continuer d’être les esclaves d’un système défaillant qui ne leur donne aucun espoir.
La vérité est un bien très précieux pour les Chrétiens :
rappelons – nous de celui qui représente, pour nous, le « Chemin, la Vérité et la Vie »
Nos aînés, nos pères nous ont démontré, le 4 Janvier 1959, que la vérité et la justice ne peuvent pas être vaincues :
Débarrassons-nous de la peur de reconnaître nos erreurs, débarrassons-nous de la peur envers ceux qui veulent nous régenter par la force et la violence :
« Mon peuple périt par manque de connaissance », dit le prophète Osée dan la Bible :
Dorénavant, soyons conscients de notre force et surtout, vainquons la peur, car Jésus Christ – le Chemin, la Vérité et la Vie - est avec nous !
Aux jeunes, ici présents, je vous dis de ne pas regarder seulement aux biens extérieurs ;
Débarrassez- vous de la culture de la facilité, de la sape, de l’ivresse: construisez votre futur, par votre engagement social et politique et surtout par le travail, par vos études, par votre volonté de construire le futur dans l’honnêteté et la moralité !
Aux pères et mères de famille, je vous demande de ne jamais vous contenter de survivre :
Votre futur aussi doit changer et vous aussi avez droit à l’espoir d’une vie meilleure, dans la paix et la garantie de vos droits civils et politiques : droit à la santé, au travail, à la sécurité sociale et juridique.
Aux militantes et militants de la Démocratie Chrétienne, ici nombreux, je vous demande d’être le fer de lance du changement, la référence politique de l’engagement chrétien et surtout, soyez courageux et fiers car l’idéologie que vous prônez et défendez sera celle qui sauvera le Congo Démocratique !!!
JE LE REPETE, ENCORE UNE FOIS, POUR QUE NOUS TOUS EN SOYONS PLEINEMENT CONSCIENTS :
« Il est temps d'abandonner la guerre, les divisions, les discriminations sociales, tribales, et de former finalement une famille de Chrétiens unis et engagés pour sauver le Congo ! ».
Le pays ressemble aujourd’hui à un grand malade dont la guérison dépend d’un traitement de choc ou bien d’un miracle que seuls les chrétiens peuvent demander au Très Haut :
Comme au début du lancement du processus de démocratisation le 24 avril 1990, les Congolais sont toujours et encore demandeurs d’ un changement fort.15 années après !
Les Chrétiens morts le 16 Février 1991, sont-ils morts en vain ?Néanmoins, notre peuple est très conscient de ses revendications politiques :
Les Congolais veulent que le Congo de demain retrouve la respectabilité par la réhabilitation de son indépendance et sa pleine souveraineté.
Les Congolais veulent que le Congo de demain soit dirigé par des hommes et des femmes qui les rassemblent.
Des hommes et des femmes qui mettent la cohésion nationale au-dessus de tout.
Les Congolais veulent que le Congo de demain soit gouverné par des vrais serviteurs de l’état.
Je vous dis que le Congo de demain sera ce que les Congolais et surtout les Chrétiens, décideront en juin 2005 :
Un pays en perpétuelle régression ou bien un Etat ouvert à la modernité, à la justice et au progrès.
Le choix paraît clair, mes sœurs et frères en Christ!
L’essence de ce choix et de toutes ces revendications est contenue en une seule et unique phrase, que vousconnaissez déjà, car elle a été prononcée par tous nos martyrs :
Le Congo aux Congolais !!!
Le Congo aux Congolais !!!
Le Congo aux Congolais !!!
Que le Très Haut bénisse le Congo.
EUGENE DIOMI NDONGALA,
Le 4 Janvier 2005
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