EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
A LA CSJ LES AVOCATS DE DIOMI NDONGALA DENONCENT L’IRREGULARITE DE LA COMPOSITION / AFRICA NEWS 14.03.14
par mpp le 14 mars 2014
http://democratiechretienne.org/2014/03/14/a-la-csj-les-avocats-de-diomi-ndongala-denoncent-lirregularite-de-la-composition-africa-news-14-03-14/
par mpp le 14 mars 2014
http://democratiechretienne.org/2014/03/14/a-la-csj-les-avocats-de-diomi-ndongala-denoncent-lirregularite-de-la-composition-africa-news-14-03-14/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Any Time Reporter @hrtkapitene 5 h
#DRC #RDC Il faut avoir du #coeur pour faire la politique et épouser un(e) politicien(ne) au #Sud. #Diomi #Nzangi #CD
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CONFERENCE DE PRESSE DU COLLECTIF DES AVOCATS DE DIOMI NDONGALA: NON A UNE PARODIE DE JUSTICE
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
AFFAIRE DIOMI: SES AVOCATS DENONCENT UNE PARODIE DE JUSTICE / AFRICA NEWS
par mpp le 17 mars 2014
http://democratiechretienne.org/2014/03/17/affaire-diomi-ses-avocats-denoncent-une-parodie-de-justice-africa-news/
par mpp le 17 mars 2014
http://democratiechretienne.org/2014/03/17/affaire-diomi-ses-avocats-denoncent-une-parodie-de-justice-africa-news/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FACE AU DENI DE JUSTICE PREJUDICIABLE AUX DROITS DE LA DEFENSE ET AU PRINCIPE DE PROCES EQUITABLE, DIOMI INTRODUIT UNE REQUETE EN REOUVERTURE DES DEBATS/ TEMPETE DES TROPIQUES 17/03/14
par mpp le 17 mars 2014
par mpp le 17 mars 2014
Face au déni de justice préjudiciable aux droits de la défense et au principe d’un procès équitable
Le collectif de la défense du député national Eugène Diomi Ndongala a organisé un point de presse le samedi 15 mars dernier à Kinshasa, au cours duquel il a annoncé que Diomi a introduit une requête en réouverture des débats pour présenter ses moyens de défense. Ce, à cause des incidents survenus lors de la dernière audience de mercredi 12 mars dernier à la Cour suprême de justice.
Me Bondo a relevé la violation flagrante des droits et principes fondamentaux de la défense à cette audience, ainsi que le déni de justice. » L’article 58 de la loi organique n°13/010 du 19 février 2013 relative à la procédure devant la Cour de cassation porte qu’il y a déni de justice lorsque le magistrat refuse de procéder aux devoirs de sa charge ou néglige de juger les affaires en état d’être jugées « , a-t-il rappelé.
Pour lui, ce déni de justice résulte de ce qu’à l’audience du 12 mars 2014 devant la Cour suprême de justice, Eugène Diomi Ndongala a soulevé une exception tirée de l’incident lié à la question préjudicielle relative à la filiation.
La Cour a refusé d’appliquer l’article 640 du code de la famille, poursuit-il, qui dispose que » toute juridiction saisie par voie incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne devra surseoir à statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente ait tranché la question de la filiation par une décision colée en force de chose jugée « .
Pour le collectif des avocats de Diomi, les présumés » papa » et les prétendues » victimes » dans cette affaire ne sont pas parents. Ils ne maîtrisent pas leurs adresses de résidence, ni les noms de leurs supposés » proches « , encore moins leurs dates de naissance. En plus, le nom d’une tante maternelle ressemble curieusement à celui de leur » père « . Ce qui fait penser à un tissu de mensonge cousu de fil blanc.
Malheureusement, la Cour a refusé de surseoir en joignant cet incident au fond alors que cela ne relève nullement de sa compétence.
Ce faisant, argumente Me Bondo, elle a commis un déni de justice préjudiciable aux droits de la défense et au principe d’un procès équitable.
Pourtant, l’article 74 du code de procédure pénale prescrit le déroulement de l’instruction à l’audience. Cette disposition est assise sur le respect du principe du contradictoire.
Pour les avocats de la défense, la Cour a procédé à une audition sommaire des victimes et de leur prétendu » père « , puis a demandé à Diomi s’il contestait en bloc ou pas les déclarations de ces soi-disant » victimes « , avant de passer la parole au ministère public aux environs de 21h pour requérir.
Me Bondo soutient que ce » tripatouillage » de la procédure qui exige que les témoins ainsi que toutes les personnes concernées dans ce dossier soient entendus et confrontés au prévenu pour respecter le principe du contradictoire, a violé d’une manière systématique les droits de la défense et à un procès équitable, transparent, gage d’une bonne administration de la justice.
Raison pour laquelle Diomi a introduit une requête en réouverture des débats pour présenter ses moyens de défense en bonne et due forme comme le veut la loi en la matière.
Il exige en outre que le procès soit public et qu’il se déroule le jour plutôt que la nuit. Il importe de signaler que l’honorable Martin Fayulu ainsi que Lisanga Bonganga étaient présents à ce point de presse, comme bien d’autres membres de l’opposition.
http://latempete.info/diomi-introduit-une-requete-en-reouverture-des-debats-pour-presenter-ses-moyens-de-defense/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
DIOMI DANS UNE LETTRE A LA CSJ:"Violation systématique de la loi et atteinte flagrante à mon droit de défense"/ LE PHARE 18/03/2014
par mpp le 18 mars 2014
par mpp le 18 mars 2014
Dans une lettre au Premier Président
de la CSJ : Diomi
Publié par lephare le 18 mars 2014 | 32 views | dans A la une, Actualités | 0 Comment
Objet : Violation systématique de la loi
et atteinte flagrante à mon droit de
défense
A Monsieur le Premier-Présidentde de la Cour Suprême de Justice faisant office de la Cour de Cassation C.I.S.E. Excellence Madame le Ministre de la Justice
A.S. Excellence Monsieur le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies en RDC
Concerne : Violation systématique de la loi et atteinte flagrante à mon droit de défense dans mon procès contre le Ministère Public sous RP 014/CR
Je me fais le devoir de vous approcher, pour dénoncer les violations systématiques de la loi et les atteintes flagrantes à mon droit de défense tout au long de l’instruction de la cause reprise en exergue par la Cour Suprême de Justice, et plus particulièrement le Président de la chambre, Monsieur NGOYI.Il s’agit d’un procès politique où la Cour choisit à dessein de se faire instrumentaliser pour assouvir les appétits gloutons des politiques de la majorité pour obtenir mon élimination politique par ma condamnation.En effet, la Cour Suprême de Justice s’est permise, dans l’instruction de la cause susvisée, certains excès, allant jusqu’au déni de justice j’en donne pour preuve :L’incident fondé sur la question préjudicielle prévue par l’article 640 du code de la famille. Pour rappel, à ce stade de l’instruction, les soi-disant parties victimes, les deux filles prétendument violées se sont révélées, lors de l’instruction à l’audience complètement ignorante l’une et l’autre de l’adresse familiale, où elles habitent, chez leur prétendu père, Monsieur KAMBALE, donnant tour à tour des adresses différentes. Par ailleurs, elles ne connaissent même pas la vraie identité de leur tante maternelle qui porterait le même nom que leur père KAMBALE et qui, à la vérité, serait la sœur de leur papa plutôt que de leur maman ; pour des filles qui sont en terminal aux humanités, c’est tout simplement invraisemblable.
Cette incohérence a semé le doute sur l’identité de ces victimes et leur filiation avec Monsieur KAMBALE, prétendu père qui, dans le dossier, avait déposé des attestations de naissance émanant de la Commune de Kalamu, alors que ni lui ni ses enfants, n’ont jamais habité Kalamu dixit les victimes, ses enfants, et que lui-même habite Limete 1ère Rue.Raison pour laquelle, j’ai soulevé incidemment cet incident de contestation de la paternité et donc de la filiation de ses parties victimes comme filles de Monsieur KAMBALE conformément à l’article 640 du code de la famille. En effet, l’article 640 du code de la famille dont question porte ce qui suit : « Toute juridiction saisie par voie incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne devra surseoir à statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente ait tranché la question de la filiation par une décision passée en force de chose jugée »Considérant que la date de naissance de ces enfants victimes résulte de cette filiation pour être déclarée mineures, et que les faits dans leur ensemble procèdent également de la véracité de leur identité tout comme de leur déclaration, il était tout à fait évident que cette question soit préalablement soumise au juge compétent qui n’est pas la
Cour Suprême de Justice.
La réaction de la Cour est de plus étonnantes car en effet, elle retient la question préjudicielle comme incident soulevée mais la joint au fond.Il en résulte que :Primo, le fait de retenir cette question soulevée, c’est la considérée comme question de droit qui se pose et qui doit être traitée. Par conséquent, la Cour devrait immédiatement surseoir parce qu’il s’agit d’une obligation légale. Ce que la Cour aurait dû faire et pour ne l’avoir pas fait, elle est passible de déni de justice et encourt sanction.Secundo : le fait d’avoir joint au fond cette question préjudicielle pour la juger, la Cour s’arroge une compétence qui ne lui est pas attribuée ni par la Constitution ni par aucun texte de loi. A ce moment là, elle porte atteinte non seulement au droit de la défense mais encore aux droits garantis aux particuliers par les lois.C’est cette
démarche galvodante suivie par la Cour Suprême de Justice, violatrice des lois et droits de la défense, que je me permets de mettre en cause, et de dénoncer avec véhémence, qui ne peut nullement permettre une bonne administration de la justice et un procès équitable et transparent.
Par ailleurs, la Cour Suprême de Justice, s’est illustrée, dans sa démarche à l’audience du 12 mars 2014, par une autre atteinte aux droits de la défense.En effet, une instruction sommaire en violation des prescrits de l’article 74 du code de procédure pénale qui prévoit la façon dont doit se faire l’instruction à l’audience.Il y a donc
lieu de noter que la Cour après avoir entendu les deux prétendues victimes, tour à tour, puis leur prétendu père, Monsieur KAMBALE, a demandé seulement au prévenu que je suis, si je contestais et rejetais en bloc tout ce que les précités ont déclaré ici à l’audience ; ceci en vue de donner la parole au Ministère Public de requérir sans que la procédure prévue à l’article 74 précité du code de procédure pénale, pourtant d’ordre public ne soit respectée.Aussi le fait
de ne pas se soumettre à l’exercice édicté par cette disposition en l’occurrence 74 dont question, heurte davantage le principe du contradictoire sur le déroulement de l’instruction d’une cause à l’audience.C’est ce que la Cour a fait, donnant sans autre forme de procès, parole au Ministère Public pour requérir au mépris de ce qui garanti les droits fondamentaux du prévenu dont celui de la défense, violant ainsi de manière flagrante les instruments internationaux et l’article 61 de la Constitution ainsi libellé.
En aucun cas, et même lorsque l’état de siège ou l’état d’urgence aura été proclamé conformément aux articles 85 et 86 de la présente Constitution, il ne peut être dérogé aux droits et principes fondamentaux énumérés ci-après : les droits de la défense et les droits de recours. Ce galvodage de la procédure et ses corollaires que je dénonce notamment les violations flagrantes de mes droits fondamentaux de la défense sont nourries en partie par le huit clos décrété et qui empêche la publicité des audiences.Raison pour laquelle, dans le but de démontrer mon innocence, et me permettre d’assurer mon droit fondamental de défense, j’ai introduit une requête en réouverture des débats en bonne et due forme au greffe de la Cour Suprême de Justice, et sollicite en même temps que les audiences dans cette cause soient publiques, et ce, pour raison de transparence et d’équité, et même pour une bonne administration de la justice.Veuillez, Monsieur le Premier-Président, accorder à la présente le bénéfice de toute Votre sollicitude.Salut et Respect.
et atteinte flagrante à mon droit de
défense
A Monsieur le Premier-Présidentde de la Cour Suprême de Justice faisant office de la Cour de Cassation C.I.S.E. Excellence Madame le Ministre de la Justice
A.S. Excellence Monsieur le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies en RDC
Concerne : Violation systématique de la loi et atteinte flagrante à mon droit de défense dans mon procès contre le Ministère Public sous RP 014/CR
Je me fais le devoir de vous approcher, pour dénoncer les violations systématiques de la loi et les atteintes flagrantes à mon droit de défense tout au long de l’instruction de la cause reprise en exergue par la Cour Suprême de Justice, et plus particulièrement le Président de la chambre, Monsieur NGOYI.Il s’agit d’un procès politique où la Cour choisit à dessein de se faire instrumentaliser pour assouvir les appétits gloutons des politiques de la majorité pour obtenir mon élimination politique par ma condamnation.En effet, la Cour Suprême de Justice s’est permise, dans l’instruction de la cause susvisée, certains excès, allant jusqu’au déni de justice j’en donne pour preuve :L’incident fondé sur la question préjudicielle prévue par l’article 640 du code de la famille. Pour rappel, à ce stade de l’instruction, les soi-disant parties victimes, les deux filles prétendument violées se sont révélées, lors de l’instruction à l’audience complètement ignorante l’une et l’autre de l’adresse familiale, où elles habitent, chez leur prétendu père, Monsieur KAMBALE, donnant tour à tour des adresses différentes. Par ailleurs, elles ne connaissent même pas la vraie identité de leur tante maternelle qui porterait le même nom que leur père KAMBALE et qui, à la vérité, serait la sœur de leur papa plutôt que de leur maman ; pour des filles qui sont en terminal aux humanités, c’est tout simplement invraisemblable.
Cette incohérence a semé le doute sur l’identité de ces victimes et leur filiation avec Monsieur KAMBALE, prétendu père qui, dans le dossier, avait déposé des attestations de naissance émanant de la Commune de Kalamu, alors que ni lui ni ses enfants, n’ont jamais habité Kalamu dixit les victimes, ses enfants, et que lui-même habite Limete 1ère Rue.Raison pour laquelle, j’ai soulevé incidemment cet incident de contestation de la paternité et donc de la filiation de ses parties victimes comme filles de Monsieur KAMBALE conformément à l’article 640 du code de la famille. En effet, l’article 640 du code de la famille dont question porte ce qui suit : « Toute juridiction saisie par voie incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne devra surseoir à statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente ait tranché la question de la filiation par une décision passée en force de chose jugée »Considérant que la date de naissance de ces enfants victimes résulte de cette filiation pour être déclarée mineures, et que les faits dans leur ensemble procèdent également de la véracité de leur identité tout comme de leur déclaration, il était tout à fait évident que cette question soit préalablement soumise au juge compétent qui n’est pas la
Cour Suprême de Justice.
La réaction de la Cour est de plus étonnantes car en effet, elle retient la question préjudicielle comme incident soulevée mais la joint au fond.Il en résulte que :Primo, le fait de retenir cette question soulevée, c’est la considérée comme question de droit qui se pose et qui doit être traitée. Par conséquent, la Cour devrait immédiatement surseoir parce qu’il s’agit d’une obligation légale. Ce que la Cour aurait dû faire et pour ne l’avoir pas fait, elle est passible de déni de justice et encourt sanction.Secundo : le fait d’avoir joint au fond cette question préjudicielle pour la juger, la Cour s’arroge une compétence qui ne lui est pas attribuée ni par la Constitution ni par aucun texte de loi. A ce moment là, elle porte atteinte non seulement au droit de la défense mais encore aux droits garantis aux particuliers par les lois.C’est cette
démarche galvodante suivie par la Cour Suprême de Justice, violatrice des lois et droits de la défense, que je me permets de mettre en cause, et de dénoncer avec véhémence, qui ne peut nullement permettre une bonne administration de la justice et un procès équitable et transparent.
Par ailleurs, la Cour Suprême de Justice, s’est illustrée, dans sa démarche à l’audience du 12 mars 2014, par une autre atteinte aux droits de la défense.En effet, une instruction sommaire en violation des prescrits de l’article 74 du code de procédure pénale qui prévoit la façon dont doit se faire l’instruction à l’audience.Il y a donc
lieu de noter que la Cour après avoir entendu les deux prétendues victimes, tour à tour, puis leur prétendu père, Monsieur KAMBALE, a demandé seulement au prévenu que je suis, si je contestais et rejetais en bloc tout ce que les précités ont déclaré ici à l’audience ; ceci en vue de donner la parole au Ministère Public de requérir sans que la procédure prévue à l’article 74 précité du code de procédure pénale, pourtant d’ordre public ne soit respectée.Aussi le fait
de ne pas se soumettre à l’exercice édicté par cette disposition en l’occurrence 74 dont question, heurte davantage le principe du contradictoire sur le déroulement de l’instruction d’une cause à l’audience.C’est ce que la Cour a fait, donnant sans autre forme de procès, parole au Ministère Public pour requérir au mépris de ce qui garanti les droits fondamentaux du prévenu dont celui de la défense, violant ainsi de manière flagrante les instruments internationaux et l’article 61 de la Constitution ainsi libellé.
En aucun cas, et même lorsque l’état de siège ou l’état d’urgence aura été proclamé conformément aux articles 85 et 86 de la présente Constitution, il ne peut être dérogé aux droits et principes fondamentaux énumérés ci-après : les droits de la défense et les droits de recours. Ce galvodage de la procédure et ses corollaires que je dénonce notamment les violations flagrantes de mes droits fondamentaux de la défense sont nourries en partie par le huit clos décrété et qui empêche la publicité des audiences.Raison pour laquelle, dans le but de démontrer mon innocence, et me permettre d’assurer mon droit fondamental de défense, j’ai introduit une requête en réouverture des débats en bonne et due forme au greffe de la Cour Suprême de Justice, et sollicite en même temps que les audiences dans cette cause soient publiques, et ce, pour raison de transparence et d’équité, et même pour une bonne administration de la justice.Veuillez, Monsieur le Premier-Président, accorder à la présente le bénéfice de toute Votre sollicitude.Salut et Respect.
Fait à Kinshasa, le 14/03/2014
Eugène Diomi Ndongala Nzomambu
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
WEB JOURNAL EDITION DU 18/03/2014....LISEZ http://paper.li/fsddc/1383407914
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Dénonçant la « violation systématique de la loi et l’atteinte flagrante à mon droit de défense » Diomi Ndongala écrit au 1er président de la CSJ/ TEMPETE DES TROPIQUES
par mpp le 18 mars 2014
*
Dans une correspondance datée du 14 mars 2014 et adressée au 1er président de la Cour suprême de justice, avec copies pour information à Madame le ministre de la Justice, Wivine Mumba, ainsi qu’au Représentant spécial du SG de l’ONU en RDC,
Martin Kobler, Eugène Diomi Ndongala dénonce la “ violation systématique de la loi et l’atteinte flagrante à mon droit de défense “, en rapport avec le procès qui l’oppose au ministère public sous RP 0141CR, devant la Cour suprême de justice.
Dans cette lettre, Diomi note qu’« il s’agit d’un procès politique où la Cour choisit à dessein de se faire instrumentaliser pour assouvir les appétits gloutons des politiques de la majorité pour obtenir mon élimination politique par ma condamnation », peut-on lire.
Et de poursuivre: ‘ La Cour Suprême de Justice s’est permise, dans l’instruction de la cause susvisée, certains excès, allant jusqu’au déni de justice. J’en donne pour preuve : l’incident fondé sur la question préjudicielle prévue par l’article 640 du code de la famille”. L’auteur de la lettre rappelle qu’à ce stade de l’instruction, les soi-disant parties victimes, les deux filles prétendument violées se sont révélées, lors de l’instruction à l’audience, complètement ignorantes l’une et l’autre de l’adresse familiale où elles habitent, chez leur prétendu père, Monsieur Kambale, donnant tour à tour des adresses différente Aussi, .s ne connaissent même pas la vraie identité de leur tante maternelle qui porterait le même nom que leur père Kam bale et qui, à la vérité serait la sœur de leur preétendu papa plutôt que leur maman. Pour des filles qui sont en terminal aux humanités, c’est tout simplement invraisemblable, regrette-t-il, surtout qu’elles ne savent pas indiquer le nom de l’école qu’elles disent frequenter….
Cette incohérence a semé le doute sur l’identité de ces victimes et leur filiation avec Monsieur Kambale, prétendu père qui, dans le dossier, avait déposé des attestations de naissance émanant de la commune de Kalamu, alors que ni lui ni ses enfants, n’ont jamais habité Kalamu, dixit les victimes, ses enfants, et que lui-même habite Limete 1ère Rue.
Raison pour laquelle “j’ai soulevé cet incident de contestation de la paternité et donc de la filiation de ses parties victimes comme filles de Monsieur Kambale conformément à l’article 640 du code de la famille ».
En effet, l’article 640 du code de la famille dont question ici, porte ce qui suit: “Toute juridiction saisie par voie incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne devra surseoir à statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente ait tranché la question de la filiation par une décision passée en force de chose jugée ».
Ainsi, considérant que la date de naissance de ces enfants victimes résulte de cette filiation pour être déclarée mineures, et que les faits dans leur ensemble procèdent également de la véracité de leur identité tout comme de leur déclaration, il était tout à fait évident que cette question soit préalablement soumise au juge compétent qui n’est pas la Cour suprême de justice. La réaction de la Cour est des plus étonnantes car, en effet, elle retient la question préjudicielle comme incident soulevée, mais la joint au fond. Pour Eugène Diomi Ndongala, il en résulte que, primo, le fait de retenir cette question soulevée, c’est la considérer comme question de droit qui se pose et qui doit être traitée: Par conséquent, la Cour devrait immédiatement surseoir parce qu’il s’agit d’une obligation légale. Ce que la Cour aurait dû faite et pour ne l’avoir pas fait, elle est passible de déni de justice et encourt sanction. Secundo, le fait d’avoir joint au fond cette question préjudicielle pour la juger, la Cour s’arroge une compétence qui ne lui est pas attribuée ni par la Constitution ni par aucun texte de loi.
Elle porte donc atteinte non seulement au droit de la défense, mais encore aux droits garantis aux particuliers par les lois. Par ailleurs, la Cour Suprême de Justice s’est illustrée, dans sa démarche à l’audience du 12 mars 2014, par une autre atteinte aux droits de la défense. Diomi regrette également qu’à cette audience, la Cour, après avoir entendu les deux prétendues victimes, tour à tour, puis leur prétendu père, « a demandé seulement au prévenu que je suis, si je contestais et rejetais en bloc tout ce que les précités ont déclaré ici à l’audience “. Ceci, en vue de donner la parole au ministère public de requérir sans que la procédure prévue à l’article 74 précité du code de procédure pénale, pourtant d’ordre public, ne soit respectée. Ce qui heurte davantage le principe du contradictoire sur le déroulement de l’instruction d’une cause à l’audience. Au regard de cette situation, conclut la lettre, “j’ai introduit une requête en réouverture des débats en bonne et due forme au greffe de la CSJ, et sollicite en même, temps que les audiences dans cette cause soient publiques. Ce, pour raison de transparence et d’équité, et même pour une bonne administration de la justice ».
STONE
http://democratiechretienne.org/2014/03/18/denoncant-la-violation-systematique-de-la-loi-et-latteinte-flagrante-a-mon-droit-de-defense-diomi-ndongala-ecrit-au-1er-president-de-la-csj-tempete-des-tropiques/
par mpp le 18 mars 2014
*
Martin Kobler, Eugène Diomi Ndongala dénonce la “ violation systématique de la loi et l’atteinte flagrante à mon droit de défense “, en rapport avec le procès qui l’oppose au ministère public sous RP 0141CR, devant la Cour suprême de justice.
Dans cette lettre, Diomi note qu’« il s’agit d’un procès politique où la Cour choisit à dessein de se faire instrumentaliser pour assouvir les appétits gloutons des politiques de la majorité pour obtenir mon élimination politique par ma condamnation », peut-on lire.
Et de poursuivre: ‘ La Cour Suprême de Justice s’est permise, dans l’instruction de la cause susvisée, certains excès, allant jusqu’au déni de justice. J’en donne pour preuve : l’incident fondé sur la question préjudicielle prévue par l’article 640 du code de la famille”. L’auteur de la lettre rappelle qu’à ce stade de l’instruction, les soi-disant parties victimes, les deux filles prétendument violées se sont révélées, lors de l’instruction à l’audience, complètement ignorantes l’une et l’autre de l’adresse familiale où elles habitent, chez leur prétendu père, Monsieur Kambale, donnant tour à tour des adresses différente Aussi, .s ne connaissent même pas la vraie identité de leur tante maternelle qui porterait le même nom que leur père Kam bale et qui, à la vérité serait la sœur de leur preétendu papa plutôt que leur maman. Pour des filles qui sont en terminal aux humanités, c’est tout simplement invraisemblable, regrette-t-il, surtout qu’elles ne savent pas indiquer le nom de l’école qu’elles disent frequenter….
Cette incohérence a semé le doute sur l’identité de ces victimes et leur filiation avec Monsieur Kambale, prétendu père qui, dans le dossier, avait déposé des attestations de naissance émanant de la commune de Kalamu, alors que ni lui ni ses enfants, n’ont jamais habité Kalamu, dixit les victimes, ses enfants, et que lui-même habite Limete 1ère Rue.
Raison pour laquelle “j’ai soulevé cet incident de contestation de la paternité et donc de la filiation de ses parties victimes comme filles de Monsieur Kambale conformément à l’article 640 du code de la famille ».
En effet, l’article 640 du code de la famille dont question ici, porte ce qui suit: “Toute juridiction saisie par voie incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne devra surseoir à statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente ait tranché la question de la filiation par une décision passée en force de chose jugée ».
Ainsi, considérant que la date de naissance de ces enfants victimes résulte de cette filiation pour être déclarée mineures, et que les faits dans leur ensemble procèdent également de la véracité de leur identité tout comme de leur déclaration, il était tout à fait évident que cette question soit préalablement soumise au juge compétent qui n’est pas la Cour suprême de justice. La réaction de la Cour est des plus étonnantes car, en effet, elle retient la question préjudicielle comme incident soulevée, mais la joint au fond. Pour Eugène Diomi Ndongala, il en résulte que, primo, le fait de retenir cette question soulevée, c’est la considérer comme question de droit qui se pose et qui doit être traitée: Par conséquent, la Cour devrait immédiatement surseoir parce qu’il s’agit d’une obligation légale. Ce que la Cour aurait dû faite et pour ne l’avoir pas fait, elle est passible de déni de justice et encourt sanction. Secundo, le fait d’avoir joint au fond cette question préjudicielle pour la juger, la Cour s’arroge une compétence qui ne lui est pas attribuée ni par la Constitution ni par aucun texte de loi.
Elle porte donc atteinte non seulement au droit de la défense, mais encore aux droits garantis aux particuliers par les lois. Par ailleurs, la Cour Suprême de Justice s’est illustrée, dans sa démarche à l’audience du 12 mars 2014, par une autre atteinte aux droits de la défense. Diomi regrette également qu’à cette audience, la Cour, après avoir entendu les deux prétendues victimes, tour à tour, puis leur prétendu père, « a demandé seulement au prévenu que je suis, si je contestais et rejetais en bloc tout ce que les précités ont déclaré ici à l’audience “. Ceci, en vue de donner la parole au ministère public de requérir sans que la procédure prévue à l’article 74 précité du code de procédure pénale, pourtant d’ordre public, ne soit respectée. Ce qui heurte davantage le principe du contradictoire sur le déroulement de l’instruction d’une cause à l’audience. Au regard de cette situation, conclut la lettre, “j’ai introduit une requête en réouverture des débats en bonne et due forme au greffe de la CSJ, et sollicite en même, temps que les audiences dans cette cause soient publiques. Ce, pour raison de transparence et d’équité, et même pour une bonne administration de la justice ».
STONE
http://democratiechretienne.org/2014/03/18/denoncant-la-violation-systematique-de-la-loi-et-latteinte-flagrante-a-mon-droit-de-defense-diomi-ndongala-ecrit-au-1er-president-de-la-csj-tempete-des-tropiques/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
..MFUMU TOTO
Selon Mfumu Toto, Diomi sera libre très bientôt...ce que le deal des concertations est explicite: Ceux dont les noms se trouvent sur la liste des gens á "amnistiés" le sont pas "consensus" entre la majorité AMP, l´opposition et la societé civile
Joé Kanambe avait accepté de liberer Kuthino, Diomi, Moyindo et les autres..c´est dans le deal
Selon Mfumu Toto, Diomi sera libre très bientôt...ce que le deal des concertations est explicite: Ceux dont les noms se trouvent sur la liste des gens á "amnistiés" le sont pas "consensus" entre la majorité AMP, l´opposition et la societé civile
Joé Kanambe avait accepté de liberer Kuthino, Diomi, Moyindo et les autres..c´est dans le deal
GHOST
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Jean-Pierre Mbelu commente l’actualité: DIOMI EST LE SYMBOLE DE LA RESISTANCE CONGOLAISE
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Point de presse des avocats de DIOMI NDONGALA
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
DIOMI, NOUVELLE REQUETE / CONGO NEWS
par mpp le 19 mars 2014
Diomi, nouvelle requête
Publié le mardi 18 mars 2014 14:47
Le collectif de la défense du député national Eugene Diomi Ndongala a organisé un point de presse le samedi 15 mars dernier à Kinshasa, au cours duquel il a annoncé que Diomi a introduit une réouverture des débats pour présenter ses moyens de défense.
Ce, à cause des incidents survenus lors de la dernière audience de mercredi 12 mars dernier à la cour suprême de justice.
Me Bondo a révélé que la violation flagrante des droits et des principes fondamentaux de la défense à cette audience, ainsi que le déni de justice. «L’article 58 de la loi organique n° 13/010 du 19 février 2013 relative à la procédure devant la cour de cassation porte qu’il a déni de justice lorsque le magistrat refuse de procéder aux devoirs de sa charge ou néglige de juger les affaires en état d’être jugées », a-il- rappelé. Pour lui, ce déni de justice résulte de ce que l’audience du 12 mars 2014 devant la cour suprême de justice, Eugene Diomi Ndongala a soulevé une exception tirée de l’incident lié à la question préjudicielle relative à la filiation.
La cour a refusé d’appliquer l’article 640 du code de la famille, poursuit-il, qu’il dispose que « toute juridiction saisie par voie incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne devra surseoir à statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente ait tranché la question de la filiation par une décision collée en force de chose jugée » Pour le collectif des avocats de Diomi, le présumé « papa » et les prétendues « victimes » dans cette affaire ne sont pas parents. Ils ne maitrisent pas leurs adresses de résidences, ni les noms de leurs supposés « proches », encore moins leurs dates de naissance. En plus, le nom d’une tante maternelle ressemble curieusement à celui de leur père ce qui fait penser à tissu de mensonge cousu de fil blanc. Malheureusement, la cour a refusé de surseoir en joignant cet incident au fond alors que cela ne relève nullement de sa compétence.
Ce faisant, argumente Me Bondo, elle a commis un déni de justice préjudiciable aux droits de la défense et au principe d’un procès équitable. Pourtant, l’article 74 du code de procédure pénale prescrit le déroulement de l’instruction à l’audience. Cette disposition est assise sur le respect du principe contradictoire. Pour les avocats de la défense, la cour a procédé à une audition sommaire des victimes et de leur prétendu « père », puis a demandé à Diomi s’il contestait en bloc ou pas les déclarations de ces soi-disant « victimes », avant de passer la parole au ministère public aux environs de 21h pour requérir.
Me Bondo soutient que ce « tripatouillage » de la procédure qui exige que les témoins ainsi que toutes les personnes concernées dans ce dossier soient entendus et confrontés au prévenu pour respecter le principe du contradictoire, a violé d’une manière systématique les droits de la défense et à un procès équitable, transparent, gage d’une bonne administration. Raison pour laquelle Diomi a introduit une requête en réouverture des débats pour présenter ses moyens de défense en bonne et due forme comme le veut la loi en la matière. Il exige en outre que le procès soit public et qu’il se déroule le jour plutôt que la nuit. Il importe de signaler que l’honorable Martin Fayulu ainsi que Lisanga Bonganga étaient présents à ce point de presse, comme d’autres membres de l’opposition.
http://democratiechretienne.org/2014/03/19/diomi-nouvelle-requete-congo-news/
par mpp le 19 mars 2014
Diomi, nouvelle requête
Publié le mardi 18 mars 2014 14:47
Le collectif de la défense du député national Eugene Diomi Ndongala a organisé un point de presse le samedi 15 mars dernier à Kinshasa, au cours duquel il a annoncé que Diomi a introduit une réouverture des débats pour présenter ses moyens de défense.
Ce, à cause des incidents survenus lors de la dernière audience de mercredi 12 mars dernier à la cour suprême de justice.
Me Bondo a révélé que la violation flagrante des droits et des principes fondamentaux de la défense à cette audience, ainsi que le déni de justice. «L’article 58 de la loi organique n° 13/010 du 19 février 2013 relative à la procédure devant la cour de cassation porte qu’il a déni de justice lorsque le magistrat refuse de procéder aux devoirs de sa charge ou néglige de juger les affaires en état d’être jugées », a-il- rappelé. Pour lui, ce déni de justice résulte de ce que l’audience du 12 mars 2014 devant la cour suprême de justice, Eugene Diomi Ndongala a soulevé une exception tirée de l’incident lié à la question préjudicielle relative à la filiation.
La cour a refusé d’appliquer l’article 640 du code de la famille, poursuit-il, qu’il dispose que « toute juridiction saisie par voie incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne devra surseoir à statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente ait tranché la question de la filiation par une décision collée en force de chose jugée » Pour le collectif des avocats de Diomi, le présumé « papa » et les prétendues « victimes » dans cette affaire ne sont pas parents. Ils ne maitrisent pas leurs adresses de résidences, ni les noms de leurs supposés « proches », encore moins leurs dates de naissance. En plus, le nom d’une tante maternelle ressemble curieusement à celui de leur père ce qui fait penser à tissu de mensonge cousu de fil blanc. Malheureusement, la cour a refusé de surseoir en joignant cet incident au fond alors que cela ne relève nullement de sa compétence.
Ce faisant, argumente Me Bondo, elle a commis un déni de justice préjudiciable aux droits de la défense et au principe d’un procès équitable. Pourtant, l’article 74 du code de procédure pénale prescrit le déroulement de l’instruction à l’audience. Cette disposition est assise sur le respect du principe contradictoire. Pour les avocats de la défense, la cour a procédé à une audition sommaire des victimes et de leur prétendu « père », puis a demandé à Diomi s’il contestait en bloc ou pas les déclarations de ces soi-disant « victimes », avant de passer la parole au ministère public aux environs de 21h pour requérir.
Me Bondo soutient que ce « tripatouillage » de la procédure qui exige que les témoins ainsi que toutes les personnes concernées dans ce dossier soient entendus et confrontés au prévenu pour respecter le principe du contradictoire, a violé d’une manière systématique les droits de la défense et à un procès équitable, transparent, gage d’une bonne administration. Raison pour laquelle Diomi a introduit une requête en réouverture des débats pour présenter ses moyens de défense en bonne et due forme comme le veut la loi en la matière. Il exige en outre que le procès soit public et qu’il se déroule le jour plutôt que la nuit. Il importe de signaler que l’honorable Martin Fayulu ainsi que Lisanga Bonganga étaient présents à ce point de presse, comme d’autres membres de l’opposition.
http://democratiechretienne.org/2014/03/19/diomi-nouvelle-requete-congo-news/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
...Diomi Ndongala est le symbole de tous ces congolais et congolaises qui essaient de lutter à visage découvert pour que le pays sorte des chemins battus.
Le mettre en prison, organiser un procès politique contre lui. C’est une façon de dire à ces congolais et ces congolaises, vous voyez le sort qu’il pourrait vous attendre si vous vous entêtez à résister contre l’ordre néocolonial au Congo.
Ne perdons pas de vue que Diomi résume en lui le sort réservé aux résistants congolais, le sort réservé aux patriotes congolais, le sort réservé à tous les dignes filles et fils du Congo qui oseraient dire de manière ostentatoire , « le Congo nous appartient »....
http://www.ingeta.com/la-rdc-est-le-miroir-du-monde-neoliberal/
Le mettre en prison, organiser un procès politique contre lui. C’est une façon de dire à ces congolais et ces congolaises, vous voyez le sort qu’il pourrait vous attendre si vous vous entêtez à résister contre l’ordre néocolonial au Congo.
Ne perdons pas de vue que Diomi résume en lui le sort réservé aux résistants congolais, le sort réservé aux patriotes congolais, le sort réservé à tous les dignes filles et fils du Congo qui oseraient dire de manière ostentatoire , « le Congo nous appartient »....
http://www.ingeta.com/la-rdc-est-le-miroir-du-monde-neoliberal/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Mathilde
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
STOP A L INTOX SUR LE PRISONNIER POLITIQUE DIOMI NDONGALA DE LA PART DE RADIO OKAPI - STOP A L INTOX SUR LE PRISONNIER POLITIQUE DIOMI NDONGALA DE LA PART DE RADIO OKAPI * FAUSSES INFORMATIONS CONTENUES DANS L ARTICLE DE RADIO OKAPI SUR #DIOMI PUBLIE LE 20.03 A 20H00 -CORRIGEZ http://www.twitlonger.com/show/n_1s12it1 #RADIOOKAPI
Par la présente la famille Diomi Ndongala vous demandé de bien vouloir corriger immédiatement les fausses informations contenues dans l' Article repris en objet et curieusement publié à 20h00 ce 20/03/2014.
1. Le titre relate une fausse information: en effet le PGR n 'a pas du tout requis une condamnation à 28 ans contre l'Hon. Diomi Ndongala comme vous avez intitulé votre "article".
2. Vous ne faites pas état, dans l'article, de la demande de réouverture des débats qui a été introduite depuis une semaine a la CSJ afin de permettre à la défense d'exercer son rôle dans le respect de ses prérogatives, vue les violations de procédure gravissimes qu'elle a constatée; cela a fait l'objet d'un conférence de presse du collectif des avocats de l'Hon. Diomi Ndongala qui s'est tenue le 11/03/2014 que Radio Okapi a été invitée à suivre.
3. Diomi Ndongala n 'est pas du tout poursuivi pour " viol consommé" concept qui n'existe pas dans le droit positif congolais.
4. Votre article est truffé de fausses informations et tendancieux. Voilà pourquoi la famille Diomi Ndongala exige qu'on donne à nouveau la parole à Me. Bondo dont vous avez réduit l'intervention à seulement quelques secondes, extrapolés de leurs contexte au point que leur contenu est difficilement compréhensible car vous avez curieusement censuré l'information principale de sa communication qui était la demande de réouverture des débats introduite depuis une semaine en bonne et due forme à la Cour Suprême de Justice. Cela doit être précisé afin que l'opinion soit correctement informée.
Je vous demande que cela soit pris en compte comme droit de réponse fasse aux fausses informations relatées, mal interprétées d'ailleurs par les lecteurs qui en sont déboussolés.
Avec respect,
Famille Diomi
Par la présente la famille Diomi Ndongala vous demandé de bien vouloir corriger immédiatement les fausses informations contenues dans l' Article repris en objet et curieusement publié à 20h00 ce 20/03/2014.
1. Le titre relate une fausse information: en effet le PGR n 'a pas du tout requis une condamnation à 28 ans contre l'Hon. Diomi Ndongala comme vous avez intitulé votre "article".
2. Vous ne faites pas état, dans l'article, de la demande de réouverture des débats qui a été introduite depuis une semaine a la CSJ afin de permettre à la défense d'exercer son rôle dans le respect de ses prérogatives, vue les violations de procédure gravissimes qu'elle a constatée; cela a fait l'objet d'un conférence de presse du collectif des avocats de l'Hon. Diomi Ndongala qui s'est tenue le 11/03/2014 que Radio Okapi a été invitée à suivre.
3. Diomi Ndongala n 'est pas du tout poursuivi pour " viol consommé" concept qui n'existe pas dans le droit positif congolais.
4. Votre article est truffé de fausses informations et tendancieux. Voilà pourquoi la famille Diomi Ndongala exige qu'on donne à nouveau la parole à Me. Bondo dont vous avez réduit l'intervention à seulement quelques secondes, extrapolés de leurs contexte au point que leur contenu est difficilement compréhensible car vous avez curieusement censuré l'information principale de sa communication qui était la demande de réouverture des débats introduite depuis une semaine en bonne et due forme à la Cour Suprême de Justice. Cela doit être précisé afin que l'opinion soit correctement informée.
Je vous demande que cela soit pris en compte comme droit de réponse fasse aux fausses informations relatées, mal interprétées d'ailleurs par les lecteurs qui en sont déboussolés.
Avec respect,
Famille Diomi
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
PATRIZIA DIOMI PARLE DU PROCES POLITIQUE CONTRE DIOMI NDONGALA /congo4live.com ...LA VERITE APRES LES INTOX DU LABORATOIRE QUI A SOUFFLE A RADIO OKAPI DES INTOX
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
L’UIP DENONCE LES IRREGULARITES ET LE CARACTERE EMMINEMMENT POLITIQUE DU PROCES CONTRE DIOMI NDONGALA / COMMUNIQUE UIP DU 21/03/2014
par mpp le 23 mars 2014
L’ UNION INTERPARLEMENTAIRE, UIP
(REUNISSANT TOUS LES PARLEMENTS
DU MONDE) COMMUNIQUE DU
21/03/2014 – GENEVE
http://www.ipu.org/press-f/pressrelease201403211.htm…..En République démocratique du Congo (RDC), la procédure pénale visant Eugène Diomi Ndongala entre dans une phase cruciale. L’UIP demeure convaincue que cette procédure a été entachée de graves irrégularités et qu’elle revêt un caractère éminemment politique. …
http://democratiechretienne.org/2014/03/23/luip-denonce-les-irregularites-et-le-caractere-emmuinemment-politique-du-proces-contre-diomi-ndongala-communique-uip-du-21032014/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA CONDAMNE A 10 ANS DE PRISON PAR LE REGIME KABILA
par mpp le 26 mars 2014
par mpp le 26 mars 2014
Au cours d’une énième audience nocturne et dans une salle vide, les valets habillés en juges de la Cour Suprême de Justice ont recu l’ordre de la présidence de la Republique de la RDC de condamner le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala à dix ans de prison, sans droit de recours, à la suite d’un proces expéditif au cours duquel aucun droit de la défense n’a été respecté.
L’opposant Eugène Diomi Ndongala, Président National de la Démocratie Chrétienne, paye ainsi sa revendication de la vérité des urnes et son combat sans faille pour le respect des libertés fondamentales des congolais et particulièrement de leur droit à se choisir leurs dirigeants.
L’Elu de Kinshasa a fait l’objet depuis deux ans de tortures et traitement inhumains et dégradants.
Avec un procès politique honteux au cours duquel aucun droit ne lui a été reconnu, Joseph Kabila a voulu faire payer à Diomi Ndongala sa volonté de résister à la dictature en RDC.
Pas du tous affecté par cette sentence qui ne fait que confirmer le climat de répression politique qui règne actuellement en RDC et qui rivalise avec les périodes le plus sombres de la dictature mobutiste, au point que Joseph Kabila compte s’éterniser au pouvoir par un mandat à vie taillé sur mesure par un charcutage systématique de la Constitution , Eugène Diomi Ndongala reste serein et déterminé dans son combat, rassuré par son innocence, devant Dieu et les hommes.
Même si privé arbitrairement de la liberté, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique personnel de Joseph Kabila, plus que jamais reste le symbole des congolais qui ont le courage de la vérité et de la résistance contre l’imposture avilissante et illégitime qui règne actuellement au Congo Kinshasa.
Le Président Diomi Ndongala nous a rappelé ces versets du Psaume 23:
23:3
Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
23:4
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent.
Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
23:4
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent.
Vérité et Justice pour le Congo
Marc Mawete
Porte-parole de la
Démocratie Chrétienne
http://democratiechretienne.org/2014/03/26/le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-condamne-a-10-ans-de-prison-par-le-regime-kabila/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Courage, chers frères et sœurs de la Démocratie chrétienne!
Cette condamnation scélérate de votre leader, notre frère Diomi Ndongala constitue une monstruosité, qui enfonce davantage le régime dictatorial animé par Joseph Kabila dans la tombe historique qu'il se creuse lui-même via ses crimes répétés.
Ce jour est un jour noir pour la justice et pour la démocratie dans notre Congo!
Gardons la foi dans notre combat contre la dictature et pour la liberté, car ce combat est une cause noble et juste!
Nzogu bin Kyantede P R
Cette condamnation scélérate de votre leader, notre frère Diomi Ndongala constitue une monstruosité, qui enfonce davantage le régime dictatorial animé par Joseph Kabila dans la tombe historique qu'il se creuse lui-même via ses crimes répétés.
Ce jour est un jour noir pour la justice et pour la démocratie dans notre Congo!
Gardons la foi dans notre combat contre la dictature et pour la liberté, car ce combat est une cause noble et juste!
Nzogu bin Kyantede P R
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LE S.G. DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, FREDDY KITA, INVITE DE CHRISTOPHE BOISBOUVIER SUR RFI, DENONCE LE CARACTERE EMMINEMENT POLITIQUE DE LA CONDAMNATION DE DIOMI NDONGALA/ RFI http://democratiechretienne.org/2014/03/27/le-s-g-de-la-democratie-chretienne-freddy-kita-invite-de-christophe-boisbouvier-sur-rfi-denonce-le-caractere-emminement-politique-de-la-condamnation-de-diomi-ndongala-rfi/ ---AUDIO : http://telechargement.rfi.fr/rfi/francais/audio/modules/actu/201403/INV_AFR_LONG_27_03_Freddy_Kita.mp3
LE S.G. DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, FREDDY KITA, INVITE DE CHRISTOPHE BOISBOUVIER SUR RFI, DENONCE LE CARACTERE EMMINEMENT POLITIQUE DE LA CONDAMNATION DE DIOMI NDONGALA/ RFI
par mpp le 27 mars 2014
Invité Afrique
Diffusé le jeudi 27 mars 2014
Freddy Kita, secrétaire général de Démocratie chrétienne
Christophe Boisbouvier
AUDIO DE L’INTERVIEW – CLIQUEZ SUR LE LIEN SUIVANT :
http://telechargement.rfi.fr/rfi/francais/audio/modules/actu/201403/INV_AFR_LONG_27_03_Freddy_Kita.mp3
«Nous avons exigé l’ouverture des débats, la Cour suprême ne l’a jamais accepté. C’est un montage grossier du pouvoir de Kinshasa qui cherche à isoler l’opposition politique congolaise que nous sommes.»
Retour sur la condamnation d’Eugène Diomi Ndongala en République Démocratique du Congo. Le président du parti d’opposition Démocratie chrétienne a été condamné à dix ans de prison pour viol sur mineur.
*************
Courage, chers frères et sœurs de la Démocratie chrétienne!
Cette condamnation scélérate de Notre leader, notre frère Diomi Ndongala constitue une monstruosité, qui enfonce davantage le régime dictatorial animé par Joseph Kabila dans la tombe historique qu’il se creuse lui-même via ses crimes répétés.
Ce jour est un jour noir pour la justice et pour la démocratie dans notre Congo!
Gardons la foi dans notre combat contre la dictature et pour la liberté, car ce combat est une cause noble et juste!
http://telechargement.rfi.fr/rfi/francais/audio/modules/actu/201403/INV_AFR_LONG_27_03_Freddy_Kita.mp3
http://democratiechretienne.org/2014/03/27/le-s-g-de-la-democratie-chretienne-freddy-kita-invite-de-christophe-boisbouvier-sur-rfi-denonce-le-caractere-emminement-politique-de-la-condamnation-de-diomi-ndongala-rfi/
LE S.G. DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, FREDDY KITA, INVITE DE CHRISTOPHE BOISBOUVIER SUR RFI, DENONCE LE CARACTERE EMMINEMENT POLITIQUE DE LA CONDAMNATION DE DIOMI NDONGALA/ RFI
par mpp le 27 mars 2014
Invité Afrique
- Podcast
- Télécharger cette édition
Diffusé le jeudi 27 mars 2014
Freddy Kita, secrétaire général de Démocratie chrétienne
Christophe Boisbouvier
- Podcast
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AUDIO DE L’INTERVIEW – CLIQUEZ SUR LE LIEN SUIVANT :
http://telechargement.rfi.fr/rfi/francais/audio/modules/actu/201403/INV_AFR_LONG_27_03_Freddy_Kita.mp3
«Nous avons exigé l’ouverture des débats, la Cour suprême ne l’a jamais accepté. C’est un montage grossier du pouvoir de Kinshasa qui cherche à isoler l’opposition politique congolaise que nous sommes.»
Retour sur la condamnation d’Eugène Diomi Ndongala en République Démocratique du Congo. Le président du parti d’opposition Démocratie chrétienne a été condamné à dix ans de prison pour viol sur mineur.
Freddy Kita est le secrétaire général de Démocratie chrétienne.Une peine prononcée par la Cour suprême hier à Kinshasa en l’absence de l’accusé et de ses avocats. Pour son parti, qui a toujours rejeté ces accusations, cette procédure judiciaire n’a toujours été qu’un procès politique destiné à réduire au silence l’opposant.
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Courage, chers frères et sœurs de la Démocratie chrétienne!
Cette condamnation scélérate de Notre leader, notre frère Diomi Ndongala constitue une monstruosité, qui enfonce davantage le régime dictatorial animé par Joseph Kabila dans la tombe historique qu’il se creuse lui-même via ses crimes répétés.
Ce jour est un jour noir pour la justice et pour la démocratie dans notre Congo!
Gardons la foi dans notre combat contre la dictature et pour la liberté, car ce combat est une cause noble et juste!
http://telechargement.rfi.fr/rfi/francais/audio/modules/actu/201403/INV_AFR_LONG_27_03_Freddy_Kita.mp3
http://democratiechretienne.org/2014/03/27/le-s-g-de-la-democratie-chretienne-freddy-kita-invite-de-christophe-boisbouvier-sur-rfi-denonce-le-caractere-emminement-politique-de-la-condamnation-de-diomi-ndongala-rfi/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
On parle trop heure moko, il faut commencer à tabasser tout ses faux juges, militaires et cie.
mongo elombe
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
D'accord avec toi!mongo elombe a écrit:On parle trop heure moko, il faut commencer à tabasser tout ses faux juges, militaires et cie.
Admin- Admin
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
UIP: La condamnation du parlementaire de l’opposition de la RDC, Diomi Ndongala, est un acte politique profondément regrettable /UNION INTER PARLEMENTAIRE – GENEVE
par mpp le 27 mars 2014
Dans une résolution adoptée par les membres de l’UIP la semaine dernière, la Cour suprême a été invitée à prononcer un jugement exemplaire. Cela aurait permis d’éviter tout déni de justice et montré que la loi était au-dessus de la politique dans un contexte de clivage politique.
Chef du parti Chrétien démocrate de l’opposition, et parlementaire de la RDC, M. Diomi Ndongala aurait été enlevé et illégalement détenu de juin à octobre 2012. De ce fait, son état nécessitait des soins médicaux urgents et une convalescence, ce que les autorités parlementaires savaient parfaitement.
En avril 2013, il a été emprisonné dans l’attente de son procès pour viol présumé. En juin 2013 décision a été prise d’invalider son mandat parlementaire pour absence injustifiée et prolongée du parlement.
SOURCE
Inter-Parlementary Union (IPU)
****************************************************************
Sentencing of DRC opposition MP Diomi
http://democratiechretienne.org/2014/03/27/uip-la-condamnation-du-parlementaire-de-lopposition-de-la-rdc-diomi-ndongala-est-un-acte-politique-profondement-regrettable-union-inter-parlementaire-geneve/
par mpp le 27 mars 2014
La condamnation du parlementaire de l’opposition de la RDC, Diomi Ndongala, est un acte politique profondément regrettable
La condamnation du parlementaire de l’opposition de la RDC, Diomi Ndongala, est un acte politique profondément regrettableSans possibilité d’appel en place, la condamnation prononcée le 26 mars est la dernière étape d’une procédure qui est – l’UIP en est convaincue – gravement entachée de vices de forme et éminemment politique. Ni M. Diomi Ndongola ni ses avocats n’étaient présents au tribunal quand la condamnation pour viol présumé contre des mineurs a été prononcée.GENEVE, Suisse, 27 mars 2014/African Press Organization (APO)/ – L’UIP regrette profondément la condamnation du chef de l’opposition et parlementaire, Diomi Ndongala, à dix ans de prison par la Cour suprême de la République démocratique du Congo.
Dans une résolution adoptée par les membres de l’UIP la semaine dernière, la Cour suprême a été invitée à prononcer un jugement exemplaire. Cela aurait permis d’éviter tout déni de justice et montré que la loi était au-dessus de la politique dans un contexte de clivage politique.
L’UIP, dont le Comité des droits de l’homme des parlementaires est saisi de ce cas et d’autres concernant des parlementaires en RDC, est également très inquiète de la détérioration de l’état de santé de M. Diomi Ndongola, d’autant que des informations indiquent qu’on lui refuse les soins médicaux dont il a besoin.
“En l’absence de possibilités d’appel, il faut faire autant que possible pression sur la RDC pour qu’un nouveau jugement vienne apaiser les craintes maintes fois exprimées par l’UIP, par les avocats de l’intéressé et bien d’autres quant au procès et au traitement qui lui est réservé”, dit Rogier Huizenga, Directeur du Programme des droits de l’homme de l’UIP.Chef du parti Chrétien démocrate de l’opposition, et parlementaire de la RDC, M. Diomi Ndongala aurait été enlevé et illégalement détenu de juin à octobre 2012. De ce fait, son état nécessitait des soins médicaux urgents et une convalescence, ce que les autorités parlementaires savaient parfaitement.
En avril 2013, il a été emprisonné dans l’attente de son procès pour viol présumé. En juin 2013 décision a été prise d’invalider son mandat parlementaire pour absence injustifiée et prolongée du parlement.
SOURCE
Inter-Parlementary Union (IPU)
****************************************************************
Sentencing of DRC opposition MP Diomi
Ndongala deeply regrettable political act
GENEVA, Switzerland, March 27, 2014/African Press Organization (APO)/ —
IPU deeply regrets the sentencing of opposition leader and MP Diomi Ndongala by the Supreme Court in the Democratic Republic of Congo to 10 years imprisonment.
Without any appeal system in place, the sentence on 26th March is the last step in trial proceedings which IPU is convinced were seriously flawed and eminently political. Neither Ndongala nor his lawyers were in court when the sentence on charges of alleged rape against minors was pronounced.
In a resolution adopted by IPU’s membership last week, the Supreme Court was encouraged to issue an exemplary ruling. It would have ensured there was no miscarriage of justice and that the Law was above politics in a polarized political environment.
IPU, whose Committee on the Human Rights of Parliamentarians has been working on this and other cases involving MPs in the DRC, is also seriously worried about Diomi Ndongola’s deteriorating health and about reports that he is being denied medical care.
“With no appeal procedure possible, all pressure needs to be put on the DRC to ensure there is retrial that addresses the concerns repeatedly expressed by IPU, his lawyers and many others over the trial and his treatment,” says Rogier Huizenga, head of IPU’s human rights programme.
The leader of the opposition Christian Democrats party and an MP in the DRC, Diomi Ndongala was allegedly kidnapped and illegally detained from June to October 2012. It was an experience that left him requiring urgent medical attention and recuperation with the full knowledge of parliamentary authorities.
In April 2013, he was imprisoned awaiting trial on alleged rape charges. This was followed in June 2013 by the decision to invalidate his parliamentary mandate for unjustified and prolonged absence from parliament.
**************************************http://democratiechretienne.org/2014/03/27/uip-la-condamnation-du-parlementaire-de-lopposition-de-la-rdc-diomi-ndongala-est-un-acte-politique-profondement-regrettable-union-inter-parlementaire-geneve/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
COMMUNIQUE DE PRESSE N°016/RDC/VSV/CE/2014
CONDAMNATION A 10 ANS DE PRISON DE L’OPPOSANT POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA : UNE HONTE POUR LA JUSTICE CONGOLAISE
La Voix des sans Voix pour les droits de l’homme (VSV) est très choquée par la condamnation à 10 ans de prison pour « viol sur mineures», « la nuit » du mercredi 26 mars 2014, par la Cour Suprême de Justice (CSJ), de l’opposant politique Eugène DIOMI NDONGALA, Président du parti politique Démocratie Chrétienne (DC) et porte parole de la Majorité Populaire Présidentielle (MPP, plate-forme de soutien à monsieur Etienne TSHISEKEDI).
En effet au cours d’un procès à caractère politique tenu dans la salle d’audiences presque vide de la Cour Suprême de Justice, les Juges de cette haute juridiction, ont rendu à huis clos un arrêt condamnant à 10 ans de prison M. Eugène DIOMI NDONGALA, et ce, en l’absence de ce dernier et de ses avocats.
Cette décision de la Cour Suprême de Justice de la RDCongo prouve une fois de plus que beaucoup d’efforts doivent être fournis pour une justice réellement indépendante en République Démocratique du Congo (RDCongo).
La condamnation de l’opposant Eugene DIOMI NDONGALA en l’absence des preuves que l’opinion publique congolaise attendait prouve à suffisance que la justice rdcongolaise obéit au doigt et qu’elle est effectivement une justice assujettie à l’exécutif congolais et aux plus forts politiquement.
Pour la Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV), M. Eugène DIOMI NDONGALA est un prisonnier politique qu’on a coûte que coûte cherché et obtenu à réduire au silence suite à son appartenance et activités politiques.
…/…
De même, cette condamnation est un message fort lancé à l’encontre des opposants politiques et des personnes ou personnalités qui luttent avec détermination pour l’avènement d’un Etat de droit en RDCongo en vue de les dissuader ou mieux les décourager à faire des critiques sur le mode de gestion de la République Démocratique du Congo (RDCongo) fragilisant ainsi la démocratie dans ce grand et vaste pays au cœur de l’Afrique.
La VSV s’insurge contre la condamnation irrégulière par la Cour Suprême de Justice de M. Eugène DIOMI NDONGALA à qui l’on fait subir un traitement inhumain en détention jusqu’à lui refuser les soins médicaux appropriés que nécessitent son état de santé dégradant.
La VSV pense que la réussite d’une vraie cohésion nationale et la consolidation d’une vraie démocratie en République Démocratique du Congo requièrent, entre autres, la tolérance mutuelle, l’acceptation et l’écoute de l’autre, fut-il opposant et non le harcèlement, les intimidations, les arrestations arbitraires et détentions illégales ainsi que le montage des dossiers contre les opposants politiques pourtant indispensables en démocratie.
Fait à Kinshasa, le 27 mars 2014.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
CONDAMNATION A 10 ANS DE PRISON DE L’OPPOSANT POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA : UNE HONTE POUR LA JUSTICE CONGOLAISE
La Voix des sans Voix pour les droits de l’homme (VSV) est très choquée par la condamnation à 10 ans de prison pour « viol sur mineures», « la nuit » du mercredi 26 mars 2014, par la Cour Suprême de Justice (CSJ), de l’opposant politique Eugène DIOMI NDONGALA, Président du parti politique Démocratie Chrétienne (DC) et porte parole de la Majorité Populaire Présidentielle (MPP, plate-forme de soutien à monsieur Etienne TSHISEKEDI).
En effet au cours d’un procès à caractère politique tenu dans la salle d’audiences presque vide de la Cour Suprême de Justice, les Juges de cette haute juridiction, ont rendu à huis clos un arrêt condamnant à 10 ans de prison M. Eugène DIOMI NDONGALA, et ce, en l’absence de ce dernier et de ses avocats.
Cette décision de la Cour Suprême de Justice de la RDCongo prouve une fois de plus que beaucoup d’efforts doivent être fournis pour une justice réellement indépendante en République Démocratique du Congo (RDCongo).
La condamnation de l’opposant Eugene DIOMI NDONGALA en l’absence des preuves que l’opinion publique congolaise attendait prouve à suffisance que la justice rdcongolaise obéit au doigt et qu’elle est effectivement une justice assujettie à l’exécutif congolais et aux plus forts politiquement.
Pour la Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV), M. Eugène DIOMI NDONGALA est un prisonnier politique qu’on a coûte que coûte cherché et obtenu à réduire au silence suite à son appartenance et activités politiques.
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De même, cette condamnation est un message fort lancé à l’encontre des opposants politiques et des personnes ou personnalités qui luttent avec détermination pour l’avènement d’un Etat de droit en RDCongo en vue de les dissuader ou mieux les décourager à faire des critiques sur le mode de gestion de la République Démocratique du Congo (RDCongo) fragilisant ainsi la démocratie dans ce grand et vaste pays au cœur de l’Afrique.
La VSV s’insurge contre la condamnation irrégulière par la Cour Suprême de Justice de M. Eugène DIOMI NDONGALA à qui l’on fait subir un traitement inhumain en détention jusqu’à lui refuser les soins médicaux appropriés que nécessitent son état de santé dégradant.
La VSV pense que la réussite d’une vraie cohésion nationale et la consolidation d’une vraie démocratie en République Démocratique du Congo requièrent, entre autres, la tolérance mutuelle, l’acceptation et l’écoute de l’autre, fut-il opposant et non le harcèlement, les intimidations, les arrestations arbitraires et détentions illégales ainsi que le montage des dossiers contre les opposants politiques pourtant indispensables en démocratie.
Fait à Kinshasa, le 27 mars 2014.
LA VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L’HOMME (VSV)
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