EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
7 septembre 2013 – 7 septembre 2015 : Concertations nationales : deux ans déjà !
par FreeDiomi le 8 septembre 2015Politique 7 septembre 2015
7 septembre 2013 – 7 septembre 2015 : Concertations nationales : deux ans déjà !
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Après l’échec de ces assises dont les principales recommandations sont restées lettre morte jusqu’à ce jour, le chef de l’Etat a encore initié des consultations pour un éventuel dialogue boudé par les uns et soutenu par les autres
Le temps passe vite. La République démocratique du Congo (RDC) multiplie des rendez-vous politiques historiques pour des raisons inavouées.
Ce, de 1960 jusqu’à ce jour. Mais la pédale de l’accélérateur reste davantage appuyée depuis Sun City qui avait accouché d’un monstre à quatre têtes, débouchant sur des élections en novembre 2006 dont les résultats ont allumé le feu, quatre mois plus tard, dans la ville de Kinshasa.
De même, en 2011, il y a eu d’autres élections pyromanes en RD Congo. Deux » présidents » ont prêté serment, l’un le 20 décembre 2011 et l’autre le 23 décembre 2011. La confusion était totale. Il fallait mettre un terme à ce désordre.
C’est ainsi que l’Opposition politique avait sollicité, aussitôt, un dialogue entre le camp de Joseph Kabila et celui d’Etienne Tshisekedi pour régler la question.
» Pas question ! La République démocratique du Congo ne peut aller de conciliabules en conciliabules. Si vous voulez diriger ce pays, attendez les élections en 2016 et portez-vous candidats » , a lancé un haut cadre de la Majorité présidentielle, membre du gouvernement congolais, lors d’un de ses nombreux points de presse.
Or, le pays fonçait droit vers le mur. Quelques mois plus tard, le même cadre de la Majorité présidentielle a changé de discours, après la signature de l’Accord cadre d’Addis-Abeba. » Il est important que nous nous mettions autour d’une table pour rechercher la cohésion nationale « , s’est-il dédit.
C’est ainsi que le 7 septembre 2013, après moult tractations, Joseph Kabila a convoqué les » concertations nationales » qui ont coûté inutilement 5 millions $US au trésor public.
L’objectif était de rechercher la cohésion nationale et de mettre fin à la guerre à l’Est. Mais déjà, les prémisses étaient très mal posées.
Car les points à débattre étaient imposés par l’initiateur de ce colloque, les aspects importants interdits d’être abordés, les modérateurs désignés d’avance, à savoir le président de l’Assemblée nationale et son collègue du Sénat.
Vu ce désagrément, les partis politiques sérieux ont refusé d’y prendre part, estimant que les Congolais ne pouvaient s’attendre à rien d’intéressant à l’issue de cette réunion.
Boycottées par une bonne partie d’acteurs et de partis politiques, ces concertations se sont néanmoins tenues.
» Nous sommes en démocratie. Tout le monde n’est pas obligé d’y prendre part. Nous allons parler avec ceux qui ont accepté la démarche. Le ciel ne va pas tomber parce que tel ou tel a refusé de siéger « , a martelé le même membre du gouvernement, haut cadre de la Majorité présidentielle.
Au lieu de la cohésion nationale, cette rencontre a davantage divisé la classe politique congolaise. Plusieurs leaders ont été chassés de leurs plateformes et partis politiques pour avoir marché à contre-courant de la ligne du groupe. C’est ainsi que des départs ont été enregistrés à l’Union pour la nation congolaise (UNC) par exemple, aux Forces acquises au changement (FAC)…
En plus, bien d’autres délégués à ces assises ont quitté la barque quelques jours seulement après, cas du député national Clément Kanku. Au finish, le 5 octobre 2013, plus de 700 recommandations ont été enregistrées et présentées à Joseph Kabila. Ce dernier a promis d’y répondre lors de son adresse du 20 octobre 2013, soit 15 jours après la clôture des assises.
Si le gouvernement, soi-disant de cohésion nationale, a vu le jour le 7 décembre 2014, soit 14 mois après la promesse du chef de l’Etat, les prisonniers politiques demeurent en prison, et tout le décor est planté pour que les élections n’aient pas lieu en 2016 comme prévu par la Constitution. Aussi, à la sortie de Matata II, plusieurs » concertateurs » dont les postes ministériels étaient promis, se sont désolidarisés de leurs parrains pour se placer, désormais, dans le camp des opposants aux concertations.Les » concertateurs » ont, entre autres,recommandé ce qui suit : ne jamais toucher aux dispositions verrouillées de la Constitution pour permettre à Joseph Kabila de se représenter à la présidentielle de 2016 ; libérer les prisonniers politiques dont certains étaient nommément cités, parmi lesquels Eugène DiomiNdongala ; mettre en place un gouvernement de cohésion nationale auquel prendront partaussi bien les participants à ces assises issus de la MP, de l’Opposition et de la société civile.
C’est ainsi que l’Opposition dite républicaine s’est disloquée. Quelques nouveaux ministres issus de l’Opposition ont été chassés de leurs formations politiques. Voilà les résultats produits par les concertations nationales qui ont englouti 5 millions $US.
Aujourd’hui, deux ans après les concertations nationales, Joseph Kabila a initié les consultations nationales pour préparer le lit au dialogue national. Dialogue rejeté d’avance par les uns et soutenu par les autres. Un cycle infernal. Et au fameux membre du gouvernement de rebondir : » le dialogue doit être un cadre permanent en démocratie « . Il change de propos à tout bout de champ, exactement comme il a changé de coloration politique depuis le départ du maréchal Mobutu, parcourant ainsi plus de quatre formations politiques de 1998 à nos jours.
Le peuple congolais est devenu mature. Ses yeux sont braqués sur le chronogramme publié le 12 février 2015 par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), et sur la Constitution qu’il considère comme la feuille de route que tout le monde est appelé à respecter.
Dans les deux Kivu, la population ne jure que sur la présidentielle de 2016 pour que les nouveaux dirigeants trouvent urgemment des solutions à l’insécurité qui y sévit.Les évènements des 19, 20 et 21 janvier 2015 à Kinshasa et quelques grandes villes de la RD Congo en sont la preuve. Récemment, un partisan du » glissement collectif » a compris la réaction de sa base de Moanda, au Kongo Central. Au Katanga, ce sont les forces vives qui ont ouvertement dit non à un troisième penalty généreux.
La diaspora congolaise, de son côté, malgré quelques divergences de forme, est unanime pour l’alternance en 2016.
Donc, dialogue ou non, les Congolais doivent aller aux élections dans le délai constitutionnel.
Par LefilsMatady
Par LefilsMatady
http://democratiechretienne.org/2015/09/08/7-septembre-2013-7-septembre-2015-concertations-nationales-deux-ans-deja/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LES DEMOCRATES ET LES REPUBLICAINS AMERICAINS ETONNES PAR LE COMPORTEMENT DE JOSEPH KABILA QUI CONTINUE DE GARDER M. EUGENE DIOMI NDONGALA AU CPRK APRES S’ETRE ACCROCHE AUJOURD’HUI A L’IDEE POUR LAQUELLE IL AVAIT ENVOYE CE DERNIER EN PRISON / INTERPRETE DU 11/09/15
par FreeDiomi le 11 septembre 2015
CLIQUEZ SUR CHAQUE IMAGE POUR LIRE L ARTICLE EN PLEIN ECRAN
http://democratiechretienne.org/2015/09/11/les-democrates-et-les-republicains-americains-etonnes-par-le-comportement-de-joseph-kabila-qui-continue-de-garder-m-eugene-diomi-ndongala-au-cprk-apres-setre-accroche-aujourdhui-a-lidee-pour-la/
par FreeDiomi le 11 septembre 2015
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KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://democratiechretienne.org/2015/09/15/meeting-de-lopposition-bertrand-ewangaliberez-tous-les-prisonniers-politiques-radio-top-congo/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme demande la libération inconditionnelle du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala /CODHO
par FreeDiomi le 18 septembre 2015Comité des Observateurs des Droits de l’Homme
CODHO
———————————————————————————
Prisonnier politique en RD Congo
Eugène DIOMO NDONGALA, élu de Kinshasa et président de
la Démocratie Chrétienne (DC), parti politique de l’opposition, et de la plate-forme Majorité Présidentielle Populaire (MPP), porte-étendard de la contestation de l’élection du président de la République Joseph Kabila le 28/11/ 2011. Il a été enlevé le 26 juin 2012. Il est victime d’un acharnement politico – judiciaire par une affaire dite de moeurs, créée par les autorités congolaises pour son élimination politique.
Il a été condamné le 26/03/2014 par la Cour suprême de justice à 10 ans de prison ferme à l’issue d’un procès dont les juges exécutaient des ordres du pouvoir Exécutif.
Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) demande sa libération inconditionnelle.
Kinshasa/ Paris le 15/09/2015.
Contact: CODHO:Tél.: 0033754153955 – CODHO – Email: codho_kinshasa@yahoo.f – codho.france@gmail.com
M. N’Sii LUANDA SHANDWE (Lawyer)Facebook: Nsii Luanda
Skype: nsii_luanda
Email: nsiiluanda@gmail.com
Contacts:
EN REPUBLIQUE FRANCAISE
Tél.:0033(0) 7 54 15 39 55 (Mobil)
EN REPUBLIQUE DEMOCRARIQUE DU CONGO
Tél.: 00243 (0) 815 08 99 70
http://democratiechretienne.org/2015/09/18/le-comite-des-observateurs-des-droits-de-lhomme-demande-la-liberation-inconditionnelle-du-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-codho/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CONGO DESIR, UN VENT NOUVEAU QUI SOUFFLE
SUR LE CONGO DEMOCRATIQUE
DECLARATION SOLENNELLE DU SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE SUR LA CAMPAGNE POLITIQUE « CONGO DESIR »
par FreeDiomi le 18 septembre 2015
CONGO DESIR, UN VENT NOUVEAU QUI SOUFFLE SUR LE CONGO DEMOCRATIQUE
Mesdames, mesdemoiselles et messieurs,
Très chers compatriotes,
Très chers compatriotes,
Je tiens à remercier, au nom du Président National de la Démocratie Chrétienne M. Eugène Diomi Ndongala et à mon nom propre, toutes les congolaises, tous les congolais et les amis de la RDC qui ont bien voulu manifester leur soutien à la campagne politique citoyenne lancée le 18/08/2015 à Paris dénommée “CONGO DESIR”.
Nous avons brisé les chaines de la censure politique qui règne au Congo – Kinshasa, arrivant ainsi à informer chaque ville, chaque village et chaque maison du vent nouveau qui souffle sur notre grand et beau pays, la République Démocratique du Congo.
Les Congolais ont besoin d’une vision claire pour leur nation, capable de combiner le “Congo Positif” avec une « critique objective de la mauvaise gouvernance », une vision en mesure de reconstruire l’image de la RDC tout en luttant sans ambiguïtés contre le culte de la personnalité, une présidence à vie, bref, contre toute politique qui voudrait ôter l‘espoir de changement au peuple congolais.
Très chers compatriotes,
Nous devons combattre les anti-valeurs et le népotisme prônés par un régime liberticide qui instrumentalise la justice et qui n’a plus rien à offrir au peuple congolais”.
Voilà pourquoi CONGO DESIR est notre cheval de bataille pour le changement et surtout notre réponse à ceux qui, tout en siégeant au sein de l’exécutif Kabiliste après avoir prêté serment de respecter la Constitution, osent lancer des campagnes qu’on pourrait définir, paradoxalement, “de désobéissance civile”, essayant de convaincre le peuple congolais de faire « table rase » de l’actuelle Constitution afin de pérenniser M. Kabila à la tête de l’ État Congolais.
Cette campagne paradoxale de kabilistes centrée sur des anti-valeurs s’accompagne d’une publicité honteuse qui entoure les “inaugurations des chrysanthèmes” de la “République de la Gombe”, au point que l’exécutif en place à Kinshasa ne cesse de vendre toute petite action financée avec l’argent du contribuable congolais, comme une grande réalisation personnelle du “raïs”.
La dernière publicité en date concerne la mise en place d’une compagnie aérienne nationale, basée sur l’achat, à des prix exorbitants qui sentent les “retro-commissions”, de deux avions d’occasion dont l’un est en panne à Kinshasa, avant son vol d’inauguration, et l’autre est saisi par la justice irlandaise sur la base d’une plainte d’un investisseur revendiquant une dette impayée par l’Etat congolais.
Il ne faut pas cacher la triste vérité: la nouvelle compagnie aérienne nationale congolaise est si peu crédible qu’elle a été déjà été répertoriée de facto, dans la « blacklist » des compagnies aériennes interdite de vol en Europe, et cela avant même son premier vol.
Voilà un exemple de mauvaise gouvernance qui, sous d’autres cieux, aurait provoqué une avalanche de démissions mais qui ne scandalise personne au sein d’un régime corrompu, bien que le montage financier à la base de la création d’Air-Congo ait coûté des millions de dollars au contribuable congolais.
La RDC constitue un scandale géologique pour sa richesse minière, mais l’ exécutif Kabiliste a été incapable de faire profiter le peuple congolais des hausses exceptionnelles des prix des minerais des ces dernières années, amplifiant, bien au contraire, année après année, la “fracture sociale” entre une clique de copains au pouvoir qui se partagent allègrement les richesses du Congo et le reste de la population congolaise qui continue à vivre avec un dollars par jour de revenu individuel.
CONGO DÉSIR veut être aussi et surtout notre slogan pour la renaissance de notre pays dont la puissance économique, la richesse en bio – diversité, les potentialités agricoles, sans oublier son peuple digne et travailleur, pourraient en faire le “Dragon Economique ” d’Afrique.
Tout cela n’est pas dans “les cordes” de M. Kabila, dont les soutiens politiques aussi bien intérieurs qu’extérieurs sont désormais virtuellement “zéro”.
Dans cette optique, le voyage de M. Kabila en Chine, manifestement à la recherche de nouveaux soutiens, nous rappelle l’ échec retentissant de ce qu’on avait appelé “les Contrats chinois”, un deal opaque dont la seule certitude, pour le peuple congolais, a été l’ hypothèque de 32 milliards d’actifs miniers de la société étatique « Gécamines » en échange de prétendues actions et projets de développement restés inconnus à ce jour et dont les kleptocrates au pouvoir en RDC n’ont jamais fait rapport au peuple congolais, les gérant dans l’opacité la plus absolue.
L’image de la Grande Chine ne peut qu’être écornée par des politiques de coopération dont l’impact reste inconnu à ce jour; cependant, les congolais ont une seule certitude: celle que 32 milliards d’actifs miniers ont bel et bien été cédés à des société chinoises alors que le retour en termes d’infrastructures de développement demeure inconnu à ce jour.
CONGO DÉSIR ne peut rester indifférent à la dernière bourde de la Commission Électorale dite Indépendante, CENI en sigle, qui vient de saisir la Cour Constitutionnelle afin de modifier son calendrier électoral que la Démocratie Chrétienne avait depuis des mois jugé irréaliste, irréalisable et impossible à financer.
Le dernier arrêt de la constitutionnelle, rendu public le mardi 8 septembre 2015, prouve à l’escient que la DÉMOCRATIE CHRÉTIENNE avait vue juste et le Congo s’achemine vers un glissement non désiré par le congolais.
La CENI ne fait que confirmer, par sa gestion calamiteuse du processus électoral, son caractère partisan et son inféodation à la majorité kabiliste.
La Commission Électoral dite Indépendante ne fait qu’appliquer aveuglement les lignes politiques dictées par M. Kabila afin de lui permettre de se cramponner au pouvoir sans élections.
CONGO DÉSIR dit non à ceux qui veulent convaincre le peuple congolais que le “glissement” soit une fatalité et que les congolais devrait vivre cela dans la résignation, comme une calamité “politique” inévitable ou bien une maladie incurable qui doit nécessairement toucher le peuple congolais.
NON, nous disons que l’enrôlement des électeurs en vue de l’élection présidentielle est bel et bien possible et que le régime Kabila sera tenu responsable de la non tenue de l’élection présidentielle avant septembre 2016.
A cet effet, si rien n’est fait dans le sens d’une décrispation politique nécessaire, qui devra se concrétiser par :
– la libération des prisonniers politiques;
– la reforme de la CENI privé de Président depuis plusieurs mois;
– l’enrôlement des électeurs;
– l’effacement du calendrier électoral des élections locales et provinciales devenue impossibles à se tenir;
– la fixation de la date de l’Élection Présidentielle ainsi que la déclaration solennelle de M. Kabila de respecter la Constitution en ce qui concerne la tenue de l’élection présidentielle dans les termes dictés par la Constitution en vigueur,
– l’annulation de la loi de programmation du démembrement administratif, établissant des nouvelles provinces; cette loi scélérate non budgétisée et très mal préparée est désormais caduque.
– la reforme de la CENI privé de Président depuis plusieurs mois;
– l’enrôlement des électeurs;
– l’effacement du calendrier électoral des élections locales et provinciales devenue impossibles à se tenir;
– la fixation de la date de l’Élection Présidentielle ainsi que la déclaration solennelle de M. Kabila de respecter la Constitution en ce qui concerne la tenue de l’élection présidentielle dans les termes dictés par la Constitution en vigueur,
– l’annulation de la loi de programmation du démembrement administratif, établissant des nouvelles provinces; cette loi scélérate non budgétisée et très mal préparée est désormais caduque.
Mesdames, mesdemoiselles et messieurs,
Mes très chers compatriotes,
Congolaises et congolais,
Mes très chers compatriotes,
Congolaises et congolais,
La Démocratie Chrétienne, battant sa campagne de conscientisation aussi bien à l’intérieur qu’à extérieur de la RDC, continuera à barrer la route aux stratégies antipatriotiques qui veulent plonger notre grand et beau pays dans les marasmes d’une dictature « fascisante ».
A cet effet, en absence de toute action de décrispation politique, nous allons soutenir l’adoption de sanctions internationales contre les ténors du régime Kabila, pour qu’ils arrêtent de prôner leurs campagnes de “DESOBEISSANCE CIVILE » de violation de la Constitution Congolaise en Occident, donnant ainsi une image très négative du Congo Démocratique et de son peuple.
Vérité et Justice pour le Congo,
Liberté pour le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala.
Que vive la démocratie, la paix, la sécurité et l’unité nationale,
Que Dieu bénisse la République démocratique du Congo.
Liberté pour le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala.
Que vive la démocratie, la paix, la sécurité et l’unité nationale,
Que Dieu bénisse la République démocratique du Congo.
Freddy KITA,
Chevalier de la paix,
SG de la Démocratie Chrétienne,
http://democratiechretienne.org/2015/09/18/congo-desir-un-vent-nouveau-qui-souffle-sur-le-congo-democratique-declaration-solennelle-du-sg-de-la-democratie-chretienne-sur-la-campagne-politique-congo-desir/Chevalier de la paix,
SG de la Démocratie Chrétienne,
la vidéo sera disponible dans les heures qui suivent
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
http://blogs.mediapart.fr/blog/roger-bongos/180915/rdc-la-declaration-solennelle-de-freddy-kita-de-la-campagne-congo-desir
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
APPEL URGENT – CODHO France, SOS DETENUS POLITIQUES ET D’OPINION QUI RISQUENT LA MORT A KINSHASA, RD CONGO
par FreeDiomi le 19 septembre 2015
ACTIONS REQUISES:
Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) vous demande d’écrire aux autorités de la RD Congo, leur demandant de:
a) Principalement:
-Libérer inconditionnellement tous les prisonniers et détenus politiques en RD Congo, en l’occurrence Messieurs Eugène Diomi Ndongala, Vano Kalembe Kiboko,Jean-Claude Muyambo Kyassa, Jean-Louis Esrnest Kyaviro, Cyrille Dowe Mupampa, Christopher Ngoy Mutamba, Fréderic Bauma Winga et Yves Makwambala Ma-N’Siamfumu.
b) En second lieu:
i.Garantir en toutes circonstances l’intégrité physique et psychologique, et un procès équitable à tous les détenus politiques et d’opinion en République démocratique du Congo, notamment messieurs Jean-Claude Muyambo Kyassa, Jean-Louis Esrnest Kyaviro, Cyrille Dowe Mupampa, Christopher Ngoy Mutamba, Fréderic Bauma Winga et Yves Makwambala Ma-N’Siamfumu. ;
ii. Mettre fin à toutes les formes de harcèlement, y compris au niveau judiciaire, contre tout détenu politique et d’opinion, y compris les défenseurs des droits de l’homme en RD Congo;
iii. Garantir la liberté d’association et d’expression acteurs politiques de l’opposition et des défenseurs des droits de l’homme dans toutes les circonstances, ainsi que la sécurité des membres et des ONG locales de défense des droits de l’homme, conformément à l’article 22 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP).
iv. Se conformer aux dispositions de la Déclaration sur les défenseurs des droits de l’homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 9 Décembre 1998, et en particulier:
-Article 1, qui dispose que «chacun a le droit, individuellement ou en association avec d’autres, de promouvoir la protection et la réalisation de tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales aux niveaux national et international»;
-Article 6, qui stipule que «chacun a le droit, individuellement ou en association avec d’autres: a) De détenir, rechercher, obtenir, recevoir et conserver des informations sur tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales en ayant notamment accès à l’information sur la façon dont il est effet donné à ces droits et libertés dans les domaines législatif, judiciaire et administrative nationale; b) conformément aux instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme et autres instruments internationaux applicables, de publier, communiquer ou diffuser librement aux autres vues, informations et connaissances sur tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales; c) pour étudier, discuter, et sur le respect, tant en droit qu’en pratique, de tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales et, par ces moyens et autres moyens appropriés, d’appeler l’attention du public sur la question »;
-Et l’article 12.2, qui dispose que «l’Etat prend toutes les mesures nécessaires pour assurer que les autorités compétentes protègent chacun, individuellement ou en association avec d’autres, de toute violence, menace, représailles, de facto ou de jure la discrimination, pression ou autre l’action arbitraire dans le cadre de l’exercice légitime des droits visés dans la présente Déclaration « ;
v. Plus généralement, se conformer aux dispositions de la Déclaration universelle des droits de l’homme et les instruments régionaux et internationaux relatifs aux droits humains ratifiés par la RD Congo.
Adresses de contact:
• SEM Joseph Kabila, Président de la République, Bureau du Président de la République, le Palais national, Kinshasa / Gombe, République Démocratique du Congo, Fax +243 88 02 120; Email: pp@presidentrdc.cd
• M. Evariste Boshab, vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Email: min_interieur@yahoo.fr
• M. Alexi Thambwe Mwamba, ministre de la Justice, Garde des Sceaux et les droits de l’homme, PO Box 3137, Gombe Kinshasa, République démocratique du Congo, Fax: + 243 521 88 05 Email: minjustdh@gmail.com
• M. le procureur général de la République M. Flory Kabange Numbi, Email: florykan@yahoo.fr
• Mission permanente de la République démocratique du Congo auprès des Nations Unies, Avenue de Budé 18, 1202 Genève, Suisse Courriel: missionrdc@bluewin.ch, Fax: +41 22 740.16.82
• SEM. l’Ambassadeur, Ambassade de la République démocratique du Congo à Bruxelles, 30 Marie de Bourgogne, 1000 Bruxelles, Belgique. Email: secretariat@ambardc.eu. Fax: + 32.2.213.49.95.
• SEM. Ileka Atoki, Ambassadeur, Ambassade de la République démocratique du Congo à Paris, 32 cours Albert 1er, 75008 Paris, France, Email: contact@ambardcparis.com, Fax: +33 1 45 62 16 52, Tél.:+33 1 42 25 57 50.
Se il vous plaît écrire aux représentations diplomatiques de la RD Congo dans vos pays respectifs.
Fait à Kinshasa/Paris, le 18 Septembre 2015.
M. LUANDA SHANDWE N’Sii
président CODHO
M. N’Sii LUANDA SHANDWE (Lawyer)
Facebook: Nsii Luanda
Skype: nsii_luanda
Email: nsiiluanda@gmail.com
Contacts:
EN REPUBLIQUE FRANCAISE
Tél.:0033(0) 7 54 15 39 55 (Mobil)
EN REPUBLIQUE DEMOCRARIQUE DU CONGO
Tél.: 00243 (0) 815 08 99 70
Appel Urgent N°20150918/CODHO.F
Des prisonniers et détenus politiques et d’opinion sont victimes d’une justice sous les ordres du pouvoir exécutif, c’est à dire le président et le gouvernement de la République.
Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) vous demande d’agir par solidarité et pour le soutien de la lutte pour la consolidation de la démocratie et à l’avenement d’un Etat de droit en République démocratique du Congo (RD Congo). Ne pas agir auprès des autorités qui insstallent une jeune dictature au coeur de l’Afrique c’est capituler face aux convictions et valeurs républicaines et de respect des droits de l’home défendues par tous et pour tous. Il s’agit des prisonniers et détenus politiques et d’opinion suivants:
DETENUS POLITIQUES:
Eugène DIOMI NDONGALA, élu de Kinshasa et président de la Démocratie Chrétienne (DC), parti politique de l’opposition, et de la plate-forme Majorité Populaire (MP), porte-étendard de la contestation de l’élection du président de la République Joseph Kabila le 28/11/ 2011. Il a été enlevé le 26 juin 2012. Il est victime d’un acharnement politico – judiciaire par une affaire dite de m?urs, créée par les autorités congolaises pour son élimination politique. Il a été condamné le 26/03/2014 par la Cour suprême de justice à 10 ans de prison ferme à l’issue d’un procès dont les juges exécutaient des ordres du pouvoir Exécutif au cours d’un procès juridiquement nul et non advenu (Affiche en annexe).
Jean-Claude MUYAMBO KYASSA, ancien bâtonnier de Lubumbashi, élu de la même ville et présidente du parti politique dénommé Solidarité congolaise pour la démocratie et le Développement (SCODE), de l’opposition. Il a été arrêté à Kinshasa le 20 janvier 2015 à la suite des manifestations synchronisées organisées par l’ensemble des partis politiques de l’opposition, contre le calendrier électoral. Ces manifestations ont eu lieu durant cinq jours, du 21 au 25 janvier 2015 dans les principales villes du Congo. 135 jours après son arrestation, le procès a finalement débuté devant le Tribunal de paix de Kinshasa/ Gombe. Maître Jean-Claude Muyambo est accusé d’«abus de confiance, de menaces d’attentat et de rétention des documents». Des chefs d’inculpation factices pour un procès politique visant à faire taire Jean-Claude Muyambo depuis qu’il s’est opposé à un troisième mandat pour le président de la République Joseph Kabila. Il encoure le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
Vano KALEMBE KIBOKO, ancien élu de la ville de Kolwezi dans l’ex province du Katanga, homme politique et président de l’association socioculturelle dénommée Lwanzo Lwa Mikuba (LLM) regroupant les populations ethniques Sange du Congo. Il a été condamné mardi 15 septembre 2015 à 3 ans de prison ferme pour des faits qualifiés de «haine raciale et tribalisme et divulgation de faux bruits» par le Tribunal de paix de Kinshasa/ Gombe sous RP.24.688. Les faits remontent au 8 décembre 2014, date à laquelle les populations autochtones de Kolwezi, regroupés au sein de l’association LLM, s’étaient opposées à l’annexion de leur entité à la nouvelle province de Lualaba dans le Sud-Est du Congo. Une marche a été organisée pour protester contre cette mesure administrative et envisager de rassembler 100 000 signatures pour une pétition. La police avait réprimé cette marche. Vano Kiboko a à cet effet organiser une conférence de presse pour fustiger la répression de la marche et a demandé une poursuite contre les auteurs de cet acte.Trois semaines après, les forces de la défense et de sécurité ont empêché M. Vano Kiboko à voyager aux Etats -Unis d’Amérique pour des soins médicaux (Affiche en annexe).
Cyrille Dowe MUPAMPA, Secrétaire Général du parti politique dénommé Solidarité congolaise pour la démocratie et le Développement (SCODE), de l’opposition. Il a été arrêté à Kinshasa le 19 janvier 2015, la veille des manifestations synchronisées organisées par l’ensemble des partis politiques de l’opposition, contre le calendrier électoral. Ces manifestations ont eu lieu durant cinq jours, du 21 au 25 janvier 2015 dans les principales villes du Congo. Monsieur Cyrille Mupampa a été détenu au secret pendant plus de 156 jours par les autorités nationales de l’Agence nationale des Renseignements (ANR) avant son transfert le 28 juin 2015 à la prison centrale Makala de Kinshasa. L’affaire est instruite au parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa/ Gombe (Affiche en annexe).
Jean-Louis Ernest KYAVIRO, ancien élu de la ville de Beni, province du Nord-Kivu, président provincial du parti politique dénommé Rassemblement congolais pour la Démocratie/ Kisangani – Mouvement de Libération (RCD/K-ML). Il a été enlevé le 22 janvier 2015 à Goma, province du Nord-Kivu. C’était au cours des manifestations organisées à partir de Kinshasa par l’ensemble de partis politiques de l’opposition contre la loi électorale. Jean-Louis Kyaviro a été transféré à Kinshasa et détenu au secret pendant 87 jours par les autorités nationales, des l’Agence nationale de Renseignements (ANR). Monsieur Ernest Kyaviro a été transféré, de la geôles de l’ANR à la prison centrale de Makala samedi 18 avril 2015 dans état très critique de maladie. L’instruction de son affaire se passe au parquet général près la cour d’appel de Kinshasa/ Gombe qui le poursuit pour des faits fallacieux, notamment l’atteinte à la sûreté de l’État, incitation à la désobéissance civile et rébellion.Il encoure le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
DETENUS D’OPINION:
Christopher NGOY MUTAMBA, défenseur des droits humains, président de l’association dénommée Synergie Congo Culture et Développement (SCCD). Il est également co-fondateur de Sauvons la RD Congo, une coalition de partis politiques et d’organisations de la société civile créée en 2014 pour lutter contre le maintien au pouvoir du président Joseph Kabila au-delà de la limite de deux mandats établie par la Constitution. Monsieur Ngoy a été enlevé le 21/01/015 à Kinshasa par des militaires armés de la garde (GR) du président de la République Joseph Kabila et détenu au secret par les autorités nationales de l’agence nationale de Renseignements (ANR), avant sa présentation au public le 10/02/2015 devant des membres du gouvernement de la République et la presse. Il est accusé d’être auteur ou coauteur des troubles enregistrés pendant les manifestations contre la loi électorale à Kinshasa, les 19, 21, et 22 janvier 2015 à Kinshasa. L’affaire est instruite au parquet général près la cour d’Appel de Kinshasa/ Gombe. Il est poursuivi pour dix chefs d’accusation sans la moindre preuve, notamment Incendie volontaire, Destruction méchante, Propagation de faux bruits, Propagande subversive, Incitation à la désobéissance civile, Incitation à la violence, Incitation à la haine raciale,Incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir ou à la discipline, Association de malfaiteurs,Attentat et complot tendant à porter le massacre, la dévastation ou le pillage, Atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat. Il encoure le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
Frédéric BAUMA WINGA alias Fed, membre et militant de l’association de jeunesse dénommée Lutte pour le Changement (LUCHA), basé à Goma, province du Nord-Kivu en RD Congo. Le 15 mars, Fred BAUMA, un défenseur des droits humains et la démocratie, a été arrêté à l’issue d’un atelier de formation organisé pour le lancement de « Filimbi » sous le financement du gouvernement des États- Unis d’Amérique. «Filimbi» est une plate-forme qui vise à encourager les jeunes Congolais à accomplir pacifiquement et de manière responsable leurs devoirs civiques. Il est inculpé de «haute trahison». Fred Bauma a été arrêté en compagnie d’une trentaine d’autres activistes, notamment Yves Makwambala Ma-N’siamfumu alias Lemak, avec qui ils sont en prison centrale Makala de Kinshasa. Ils encourent le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
Yves MAKWAMBALA MA-N’SIAMFUMU alias Lemak, webmaster du Mouvement citoyen dénommé «Filimbi» basé à Kinshasa. Le 15 mars 2015 Yves Makwambala a été arrêté à l’issue d’un atelier de formation organisé pour le lancement de « Filimbi » sous le financement du gouvernement des États- Unis d’Amérique. «Filimbi» est une plate-forme qui vise à encourager les jeunes Congolais à accomplir pacifiquement et de manière responsable leurs devoirs civiques. Il est inculpé de «haute trahison». Yves Makwambala a été arrêté en compagnie d’une trentaine d’autres activistes, notamment Frédéric Bauma Winga alias Fred, avec qui ils sont à la prison centrale Makala de Kinshasa. Ils encourent le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
ACTIONS REQUISES:
Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) vous demande d’écrire aux autorités de la RD Congo, leur demandant de:
-Libérer inconditionnellement tous les prisonniers et détenus politiques en RD Congo, en l’occurrence Messieurs Eugène Diomi Ndongala, Vano Kalembe Kiboko,Jean-Claude Muyambo Kyassa, Jean-Louis Esrnest Kyaviro, Cyrille Dowe Mupampa, Christopher Ngoy Mutamba, Fréderic Bauma Winga et Yves Makwambala Ma-N’Siamfumu.
i.Garantir en toutes circonstances l’intégrité physique et psychologique, et un procès équitable à tous les détenus politiques et d’opinion en République démocratique du Congo, notamment messieurs Jean-Claude Muyambo Kyassa, Jean-Louis Esrnest Kyaviro, Cyrille Dowe Mupampa, Christopher Ngoy Mutamba, Fréderic Bauma Winga et Yves Makwambala Ma-N’Siamfumu. ;
iii. Garantir la liberté d’association et d’expression acteurs politiques de l’opposition et des défenseurs des droits de l’homme dans toutes les circonstances, ainsi que la sécurité des membres et des ONG locales de défense des droits de l’homme, conformément à l’article 22 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP).
-Article 1, qui dispose que «chacun a le droit, individuellement ou en association avec d’autres, de promouvoir la protection et la réalisation de tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales aux niveaux national et international»;
-Article 6, qui stipule que «chacun a le droit, individuellement ou en association avec d’autres: a) De détenir, rechercher, obtenir, recevoir et conserver des informations sur tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales en ayant notamment accès à l’information sur la façon dont il est effet donné à ces droits et libertés dans les domaines législatif, judiciaire et administrative nationale; b) conformément aux instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme et autres instruments internationaux applicables, de publier, communiquer ou diffuser librement aux autres vues, informations et connaissances sur tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales; c) pour étudier, discuter, et sur le respect, tant en droit qu’en pratique, de tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales et, par ces moyens et autres moyens appropriés, d’appeler l’attention du public sur la question »;
-Et l’article 12.2, qui dispose que «l’Etat prend toutes les mesures nécessaires pour assurer que les autorités compétentes protègent chacun, individuellement ou en association avec d’autres, de toute violence, menace, représailles, de facto ou de jure la discrimination, pression ou autre l’action arbitraire dans le cadre de l’exercice légitime des droits visés dans la présente Déclaration « ;
Adresses de contact:
Se il vous plaît écrire aux représentations diplomatiques de la RD Congo dans vos pays respectifs.
Fait à Kinshasa/Paris, le 18 Septembre 2015.
LUANDA SHANDWE N’Sii
président CODHO
Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO France)C/M. NGulu Maene Christophe.-7 Allée des Tanneurs, – 94250 GENTILLY, Ile-de-France – Tél:+33(0)75 41 53 955 – Email: codho.france@gmail.com, Association loi du 1er juillet 1901 en France – Publiée au Journal Officiel – No d’annonce : 2301 – Paru le : 17/12/2005 – No de parution : 20050051
http://democratiechretienne.org/2015/09/19/appel-urgenr-codho-france-sos-detenus-politiques-et-dopinion-qui-risquent-la-peine-de-mort-a-kinshasa-rd-congo/
par FreeDiomi le 19 septembre 2015
ACTIONS REQUISES:
Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) vous demande d’écrire aux autorités de la RD Congo, leur demandant de:
a) Principalement:
-Libérer inconditionnellement tous les prisonniers et détenus politiques en RD Congo, en l’occurrence Messieurs Eugène Diomi Ndongala, Vano Kalembe Kiboko,Jean-Claude Muyambo Kyassa, Jean-Louis Esrnest Kyaviro, Cyrille Dowe Mupampa, Christopher Ngoy Mutamba, Fréderic Bauma Winga et Yves Makwambala Ma-N’Siamfumu.
b) En second lieu:
i.Garantir en toutes circonstances l’intégrité physique et psychologique, et un procès équitable à tous les détenus politiques et d’opinion en République démocratique du Congo, notamment messieurs Jean-Claude Muyambo Kyassa, Jean-Louis Esrnest Kyaviro, Cyrille Dowe Mupampa, Christopher Ngoy Mutamba, Fréderic Bauma Winga et Yves Makwambala Ma-N’Siamfumu. ;
ii. Mettre fin à toutes les formes de harcèlement, y compris au niveau judiciaire, contre tout détenu politique et d’opinion, y compris les défenseurs des droits de l’homme en RD Congo;
iii. Garantir la liberté d’association et d’expression acteurs politiques de l’opposition et des défenseurs des droits de l’homme dans toutes les circonstances, ainsi que la sécurité des membres et des ONG locales de défense des droits de l’homme, conformément à l’article 22 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP).
iv. Se conformer aux dispositions de la Déclaration sur les défenseurs des droits de l’homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 9 Décembre 1998, et en particulier:
-Article 1, qui dispose que «chacun a le droit, individuellement ou en association avec d’autres, de promouvoir la protection et la réalisation de tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales aux niveaux national et international»;
-Article 6, qui stipule que «chacun a le droit, individuellement ou en association avec d’autres: a) De détenir, rechercher, obtenir, recevoir et conserver des informations sur tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales en ayant notamment accès à l’information sur la façon dont il est effet donné à ces droits et libertés dans les domaines législatif, judiciaire et administrative nationale; b) conformément aux instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme et autres instruments internationaux applicables, de publier, communiquer ou diffuser librement aux autres vues, informations et connaissances sur tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales; c) pour étudier, discuter, et sur le respect, tant en droit qu’en pratique, de tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales et, par ces moyens et autres moyens appropriés, d’appeler l’attention du public sur la question »;
-Et l’article 12.2, qui dispose que «l’Etat prend toutes les mesures nécessaires pour assurer que les autorités compétentes protègent chacun, individuellement ou en association avec d’autres, de toute violence, menace, représailles, de facto ou de jure la discrimination, pression ou autre l’action arbitraire dans le cadre de l’exercice légitime des droits visés dans la présente Déclaration « ;
v. Plus généralement, se conformer aux dispositions de la Déclaration universelle des droits de l’homme et les instruments régionaux et internationaux relatifs aux droits humains ratifiés par la RD Congo.
Adresses de contact:
• SEM Joseph Kabila, Président de la République, Bureau du Président de la République, le Palais national, Kinshasa / Gombe, République Démocratique du Congo, Fax +243 88 02 120; Email: pp@presidentrdc.cd
• M. Evariste Boshab, vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Email: min_interieur@yahoo.fr
• M. Alexi Thambwe Mwamba, ministre de la Justice, Garde des Sceaux et les droits de l’homme, PO Box 3137, Gombe Kinshasa, République démocratique du Congo, Fax: + 243 521 88 05 Email: minjustdh@gmail.com
• M. le procureur général de la République M. Flory Kabange Numbi, Email: florykan@yahoo.fr
• Mission permanente de la République démocratique du Congo auprès des Nations Unies, Avenue de Budé 18, 1202 Genève, Suisse Courriel: missionrdc@bluewin.ch, Fax: +41 22 740.16.82
• SEM. l’Ambassadeur, Ambassade de la République démocratique du Congo à Bruxelles, 30 Marie de Bourgogne, 1000 Bruxelles, Belgique. Email: secretariat@ambardc.eu. Fax: + 32.2.213.49.95.
• SEM. Ileka Atoki, Ambassadeur, Ambassade de la République démocratique du Congo à Paris, 32 cours Albert 1er, 75008 Paris, France, Email: contact@ambardcparis.com, Fax: +33 1 45 62 16 52, Tél.:+33 1 42 25 57 50.
Se il vous plaît écrire aux représentations diplomatiques de la RD Congo dans vos pays respectifs.
Fait à Kinshasa/Paris, le 18 Septembre 2015.
M. LUANDA SHANDWE N’Sii
président CODHO
M. N’Sii LUANDA SHANDWE (Lawyer)
Facebook: Nsii Luanda
Skype: nsii_luanda
Email: nsiiluanda@gmail.com
Contacts:
EN REPUBLIQUE FRANCAISE
Tél.:0033(0) 7 54 15 39 55 (Mobil)
EN REPUBLIQUE DEMOCRARIQUE DU CONGO
Tél.: 00243 (0) 815 08 99 70
Appel Urgent N°20150918/CODHO.F
Des prisonniers et détenus politiques et d’opinion sont victimes d’une justice sous les ordres du pouvoir exécutif, c’est à dire le président et le gouvernement de la République.
Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) vous demande d’agir par solidarité et pour le soutien de la lutte pour la consolidation de la démocratie et à l’avenement d’un Etat de droit en République démocratique du Congo (RD Congo). Ne pas agir auprès des autorités qui insstallent une jeune dictature au coeur de l’Afrique c’est capituler face aux convictions et valeurs républicaines et de respect des droits de l’home défendues par tous et pour tous. Il s’agit des prisonniers et détenus politiques et d’opinion suivants:
DETENUS POLITIQUES:
Eugène DIOMI NDONGALA, élu de Kinshasa et président de la Démocratie Chrétienne (DC), parti politique de l’opposition, et de la plate-forme Majorité Populaire (MP), porte-étendard de la contestation de l’élection du président de la République Joseph Kabila le 28/11/ 2011. Il a été enlevé le 26 juin 2012. Il est victime d’un acharnement politico – judiciaire par une affaire dite de m?urs, créée par les autorités congolaises pour son élimination politique. Il a été condamné le 26/03/2014 par la Cour suprême de justice à 10 ans de prison ferme à l’issue d’un procès dont les juges exécutaient des ordres du pouvoir Exécutif au cours d’un procès juridiquement nul et non advenu (Affiche en annexe).
Jean-Claude MUYAMBO KYASSA, ancien bâtonnier de Lubumbashi, élu de la même ville et présidente du parti politique dénommé Solidarité congolaise pour la démocratie et le Développement (SCODE), de l’opposition. Il a été arrêté à Kinshasa le 20 janvier 2015 à la suite des manifestations synchronisées organisées par l’ensemble des partis politiques de l’opposition, contre le calendrier électoral. Ces manifestations ont eu lieu durant cinq jours, du 21 au 25 janvier 2015 dans les principales villes du Congo. 135 jours après son arrestation, le procès a finalement débuté devant le Tribunal de paix de Kinshasa/ Gombe. Maître Jean-Claude Muyambo est accusé d’«abus de confiance, de menaces d’attentat et de rétention des documents». Des chefs d’inculpation factices pour un procès politique visant à faire taire Jean-Claude Muyambo depuis qu’il s’est opposé à un troisième mandat pour le président de la République Joseph Kabila. Il encoure le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
Vano KALEMBE KIBOKO, ancien élu de la ville de Kolwezi dans l’ex province du Katanga, homme politique et président de l’association socioculturelle dénommée Lwanzo Lwa Mikuba (LLM) regroupant les populations ethniques Sange du Congo. Il a été condamné mardi 15 septembre 2015 à 3 ans de prison ferme pour des faits qualifiés de «haine raciale et tribalisme et divulgation de faux bruits» par le Tribunal de paix de Kinshasa/ Gombe sous RP.24.688. Les faits remontent au 8 décembre 2014, date à laquelle les populations autochtones de Kolwezi, regroupés au sein de l’association LLM, s’étaient opposées à l’annexion de leur entité à la nouvelle province de Lualaba dans le Sud-Est du Congo. Une marche a été organisée pour protester contre cette mesure administrative et envisager de rassembler 100 000 signatures pour une pétition. La police avait réprimé cette marche. Vano Kiboko a à cet effet organiser une conférence de presse pour fustiger la répression de la marche et a demandé une poursuite contre les auteurs de cet acte.Trois semaines après, les forces de la défense et de sécurité ont empêché M. Vano Kiboko à voyager aux Etats -Unis d’Amérique pour des soins médicaux (Affiche en annexe).
Cyrille Dowe MUPAMPA, Secrétaire Général du parti politique dénommé Solidarité congolaise pour la démocratie et le Développement (SCODE), de l’opposition. Il a été arrêté à Kinshasa le 19 janvier 2015, la veille des manifestations synchronisées organisées par l’ensemble des partis politiques de l’opposition, contre le calendrier électoral. Ces manifestations ont eu lieu durant cinq jours, du 21 au 25 janvier 2015 dans les principales villes du Congo. Monsieur Cyrille Mupampa a été détenu au secret pendant plus de 156 jours par les autorités nationales de l’Agence nationale des Renseignements (ANR) avant son transfert le 28 juin 2015 à la prison centrale Makala de Kinshasa. L’affaire est instruite au parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa/ Gombe (Affiche en annexe).
Jean-Louis Ernest KYAVIRO, ancien élu de la ville de Beni, province du Nord-Kivu, président provincial du parti politique dénommé Rassemblement congolais pour la Démocratie/ Kisangani – Mouvement de Libération (RCD/K-ML). Il a été enlevé le 22 janvier 2015 à Goma, province du Nord-Kivu. C’était au cours des manifestations organisées à partir de Kinshasa par l’ensemble de partis politiques de l’opposition contre la loi électorale. Jean-Louis Kyaviro a été transféré à Kinshasa et détenu au secret pendant 87 jours par les autorités nationales, des l’Agence nationale de Renseignements (ANR). Monsieur Ernest Kyaviro a été transféré, de la geôles de l’ANR à la prison centrale de Makala samedi 18 avril 2015 dans état très critique de maladie. L’instruction de son affaire se passe au parquet général près la cour d’appel de Kinshasa/ Gombe qui le poursuit pour des faits fallacieux, notamment l’atteinte à la sûreté de l’État, incitation à la désobéissance civile et rébellion.Il encoure le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
DETENUS D’OPINION:
Christopher NGOY MUTAMBA, défenseur des droits humains, président de l’association dénommée Synergie Congo Culture et Développement (SCCD). Il est également co-fondateur de Sauvons la RD Congo, une coalition de partis politiques et d’organisations de la société civile créée en 2014 pour lutter contre le maintien au pouvoir du président Joseph Kabila au-delà de la limite de deux mandats établie par la Constitution. Monsieur Ngoy a été enlevé le 21/01/015 à Kinshasa par des militaires armés de la garde (GR) du président de la République Joseph Kabila et détenu au secret par les autorités nationales de l’agence nationale de Renseignements (ANR), avant sa présentation au public le 10/02/2015 devant des membres du gouvernement de la République et la presse. Il est accusé d’être auteur ou coauteur des troubles enregistrés pendant les manifestations contre la loi électorale à Kinshasa, les 19, 21, et 22 janvier 2015 à Kinshasa. L’affaire est instruite au parquet général près la cour d’Appel de Kinshasa/ Gombe. Il est poursuivi pour dix chefs d’accusation sans la moindre preuve, notamment Incendie volontaire, Destruction méchante, Propagation de faux bruits, Propagande subversive, Incitation à la désobéissance civile, Incitation à la violence, Incitation à la haine raciale,Incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir ou à la discipline, Association de malfaiteurs,Attentat et complot tendant à porter le massacre, la dévastation ou le pillage, Atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat. Il encoure le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
Frédéric BAUMA WINGA alias Fed, membre et militant de l’association de jeunesse dénommée Lutte pour le Changement (LUCHA), basé à Goma, province du Nord-Kivu en RD Congo. Le 15 mars, Fred BAUMA, un défenseur des droits humains et la démocratie, a été arrêté à l’issue d’un atelier de formation organisé pour le lancement de « Filimbi » sous le financement du gouvernement des États- Unis d’Amérique. «Filimbi» est une plate-forme qui vise à encourager les jeunes Congolais à accomplir pacifiquement et de manière responsable leurs devoirs civiques. Il est inculpé de «haute trahison». Fred Bauma a été arrêté en compagnie d’une trentaine d’autres activistes, notamment Yves Makwambala Ma-N’siamfumu alias Lemak, avec qui ils sont en prison centrale Makala de Kinshasa. Ils encourent le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
Yves MAKWAMBALA MA-N’SIAMFUMU alias Lemak, webmaster du Mouvement citoyen dénommé «Filimbi» basé à Kinshasa. Le 15 mars 2015 Yves Makwambala a été arrêté à l’issue d’un atelier de formation organisé pour le lancement de « Filimbi » sous le financement du gouvernement des États- Unis d’Amérique. «Filimbi» est une plate-forme qui vise à encourager les jeunes Congolais à accomplir pacifiquement et de manière responsable leurs devoirs civiques. Il est inculpé de «haute trahison». Yves Makwambala a été arrêté en compagnie d’une trentaine d’autres activistes, notamment Frédéric Bauma Winga alias Fred, avec qui ils sont à la prison centrale Makala de Kinshasa. Ils encourent le risque de la peine de mort (Affiche en annexe).
ACTIONS REQUISES:
Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) vous demande d’écrire aux autorités de la RD Congo, leur demandant de:
- a) Principalement:
-Libérer inconditionnellement tous les prisonniers et détenus politiques en RD Congo, en l’occurrence Messieurs Eugène Diomi Ndongala, Vano Kalembe Kiboko,Jean-Claude Muyambo Kyassa, Jean-Louis Esrnest Kyaviro, Cyrille Dowe Mupampa, Christopher Ngoy Mutamba, Fréderic Bauma Winga et Yves Makwambala Ma-N’Siamfumu.
- b) En second lieu:
i.Garantir en toutes circonstances l’intégrité physique et psychologique, et un procès équitable à tous les détenus politiques et d’opinion en République démocratique du Congo, notamment messieurs Jean-Claude Muyambo Kyassa, Jean-Louis Esrnest Kyaviro, Cyrille Dowe Mupampa, Christopher Ngoy Mutamba, Fréderic Bauma Winga et Yves Makwambala Ma-N’Siamfumu. ;
- Mettre fin à toutes les formes de harcèlement, y compris au niveau judiciaire, contre tout détenu politique et d’opinion, y compris les défenseurs des droits de l’homme en RD Congo;
iii. Garantir la liberté d’association et d’expression acteurs politiques de l’opposition et des défenseurs des droits de l’homme dans toutes les circonstances, ainsi que la sécurité des membres et des ONG locales de défense des droits de l’homme, conformément à l’article 22 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP).
- Se conformer aux dispositions de la Déclaration sur les défenseurs des droits de l’homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 9 Décembre 1998, et en particulier:
-Article 1, qui dispose que «chacun a le droit, individuellement ou en association avec d’autres, de promouvoir la protection et la réalisation de tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales aux niveaux national et international»;
-Article 6, qui stipule que «chacun a le droit, individuellement ou en association avec d’autres: a) De détenir, rechercher, obtenir, recevoir et conserver des informations sur tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales en ayant notamment accès à l’information sur la façon dont il est effet donné à ces droits et libertés dans les domaines législatif, judiciaire et administrative nationale; b) conformément aux instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme et autres instruments internationaux applicables, de publier, communiquer ou diffuser librement aux autres vues, informations et connaissances sur tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales; c) pour étudier, discuter, et sur le respect, tant en droit qu’en pratique, de tous les droits de l’homme et des libertés fondamentales et, par ces moyens et autres moyens appropriés, d’appeler l’attention du public sur la question »;
-Et l’article 12.2, qui dispose que «l’Etat prend toutes les mesures nécessaires pour assurer que les autorités compétentes protègent chacun, individuellement ou en association avec d’autres, de toute violence, menace, représailles, de facto ou de jure la discrimination, pression ou autre l’action arbitraire dans le cadre de l’exercice légitime des droits visés dans la présente Déclaration « ;
- Plus généralement, se conformer aux dispositions de la Déclaration universelle des droits de l’homme et les instruments régionaux et internationaux relatifs aux droits humains ratifiés par la RD Congo.
Adresses de contact:
- SEM Joseph Kabila, Président de la République, Bureau du Président de la République, le Palais national, Kinshasa / Gombe, République Démocratique du Congo, Fax +243 88 02 120; Email: pp@presidentrdc.cd
- M. Evariste Boshab, vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Email: min_interieur@yahoo.fr
- M. Alexi Thambwe Mwamba, ministre de la Justice, Garde des Sceaux et les droits de l’homme, PO Box 3137, Gombe Kinshasa, République démocratique du Congo, Fax: + 243 521 88 05 Email: minjustdh@gmail.com
- M. le procureur général de la République M. Flory Kabange Numbi, Email: florykan@yahoo.fr
- Mission permanente de la République démocratique du Congo auprès des Nations Unies, Avenue de Budé 18, 1202 Genève, Suisse Courriel: missionrdc@bluewin.ch, Fax: +41 22 740.16.82
- SEM. l’Ambassadeur, Ambassade de la République démocratique du Congo à Bruxelles, 30 Marie de Bourgogne, 1000 Bruxelles, Belgique. Email: secretariat@ambardc.eu. Fax: + 32.2.213.49.95.
- SEM. Ileka Atoki, Ambassadeur, Ambassade de la République démocratique du Congo à Paris, 32 cours Albert 1er, 75008 Paris, France, Email: contact@ambardcparis.com, Fax: +33 1 45 62 16 52, Tél.:+33 1 42 25 57 50.
Se il vous plaît écrire aux représentations diplomatiques de la RD Congo dans vos pays respectifs.
Fait à Kinshasa/Paris, le 18 Septembre 2015.
LUANDA SHANDWE N’Sii
président CODHO
Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO France)C/M. NGulu Maene Christophe.-7 Allée des Tanneurs, – 94250 GENTILLY, Ile-de-France – Tél:+33(0)75 41 53 955 – Email: codho.france@gmail.com, Association loi du 1er juillet 1901 en France – Publiée au Journal Officiel – No d’annonce : 2301 – Paru le : 17/12/2005 – No de parution : 20050051
http://democratiechretienne.org/2015/09/19/appel-urgenr-codho-france-sos-detenus-politiques-et-dopinion-qui-risquent-la-peine-de-mort-a-kinshasa-rd-congo/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
» Congo Désir » salue le vent nouveau qui souffle sur la RDC /TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 21 septembre 2015 » Congo Désir » salue le vent nouveau qui souffle sur la RDC
Une déclaration solennelle faite vendredi 18 septembre 2015 à Paris par le secrétaire généralde la Démocratie Chrétienne, Freddy Kita, sur la campagne politique citoyenne » Congo Désir « , constate qu’un vent nouveau souffle sur la République démocratique du Congo.
Prenant la parole, le SG Freddy Kita a soutenu que les Congolais ont besoin d’une vision claire pour leur nation, capable de combiner le » Congo positif » avec une » critique objective de la mauvaise gouvernance « , une vision en mesure de reconstruire l’image de la RDC tout en luttant, sans ambiguïté, contre le culte de la personnalité, une présidence à vie, bref, contre toute politique qui voudrait ôter l’espoir du changement au peuple congolais.
» Congo Désir » appelle les Congolais à combattre les anti-valeurs et le népotisme prônés par un » régime qui n’a plus rien à offrir au peuple congolais « .
» Voilà pourquoi Congo Désir est notre cheval de bataille pour le changement et surtout notre réponse à ceux qui, tout en siégeant au sein du gouvernement, après avoir prêté serment de respecter la Constitution, osent lancer des campagnes qu’on pourrait définir, paradoxalement, de désobéissance civile, essayant de convaincre le peuple congolais de faire table rase de l’actuelle Constitution afin de pérenniser Joseph Kabila à la tête de l’État congolais « , a dit Freddy Kita, faisant allusion à la campagne » Kabila Désir « .
RDC : un scandale géologique, mais avec une population très pauvre
La RDC constitue un scandale géologique pour sa richesse minière, mais l’exécutif Kabiliste a été incapable de faire profiter au peuple congolais de hausses exceptionnelles des prix des minerais de ces dernières années, amplifiant, bien au contraire, année après année, la » fracture sociale » entre une clique de copains au pouvoir qui se partagent allègrement les richesses du Congo et le reste de la population congolaise qui continue à vivre avec un dollar par jour de revenu individuel, peut-on lire dans cette déclaration.
» Congo Désir » veut être aussi un slogan pour la renaissance de la RDC dont la puissance économique, la richesse en biodiversité, les potentialités agricoles, sans oublier son peuple digne et travailleur, pourraient en faire le » Dragon Economique » d’Afrique, explique-t-on.
Pour le géniteur de » Congo Désir « , le voyage de Joseph Kabila en Chine, » manifestement à la recherche de nouveaux soutiens « , rappelle l’échec retentissant de ce qu’on avait appelé les » Contrats chinois « , un deal opaque dont la seule certitude, pour le peuple congolais, a été l’hypothèque de 32 milliards d’actifs miniers de la société étatique « Gécamines » en échange de prétendues actions et projets de développement restés inconnus à ce jour et dont aucun rapport n’a été fait au peuple congolais.
« Congo Désir » n’est pas resté indifférent à la dernière » bourde » de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui a saisi la Cour constitutionnelle afin de modifier son calendrier électoral que la Démocratie Chrétienne avait, depuis des mois, jugé irréaliste, irréalisable et impossible à financer.
Selon cette structure, le dernier arrêt de la Cour constitutionnelle, rendu public mardi 8 septembre 2015, prouve que la DC avait vu juste et que laRD Congo s’achemine vers un glissement non désiré par lesCongolais.
» La CENI ne fait que confirmer, par sa gestion calamiteuse du processus électoral, son caractère partisan et son inféodation à la majorité kabiliste » , souligne la déclaration.
L’enrôlement de nouveaux majeurs est possible
Pour « Congo Désir » , l’enrôlement des électeurs en général, particulièrement de nouveaux majeurs, en vue de l’élection présidentielle, est bel et bien possible. Et de poursuivre, l’actuel régime au pouvoir en RDC sera tenu pour responsable de la non tenue de l’élection présidentielle dans les délais exigés par la Constitution.
Freddy Kita insiste, également, qu’il y ait décrispation du climat politique en RD Congo. Cela devra se concrétiser, estime-t-il, par la libération des prisonniers politiques, la réforme de la Ceni, l’enrôlement des électeurs et de nouveaux majeurs, l’effacement du calendrier électoral des élections locales et provinciales impossibles à se tenir, la déclaration solennelle de Joseph Kabila de respecter la Constitution en ce qui concerne la tenue de l’élection présidentielle dans les termes dictés par la Constitution en vigueur,l’annulation de la loi de programmation du démembrement administratif établissant les nouvelles provinces.
La Démocratie Chrétienne, battant sa campagne de conscientisation aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la RDC, promet de continuer à barrer la route aux stratégies antipatriotiques qui veulent plonger la RD Congo dans les marasmes d’une dictature » fascisante « .
La DC prévient que s’il n’y a pas d’action dans le sens de décrisper le climat politique en RDC, » nous allons soutenir l’adoption de sanctions internationales contre les ténors du régime, pour qu’ils arrêtent de prôner leurs campagnes de désobéissance civile de violation de la Constitution congolaise en Occident, donnant ainsi une image très négative du Congo démocratique et de son peuple « .
Par LefilsMatady
http://latempete.info/congo-desir-salue-le-vent-nouveau-qui-souffle-sur-la-rdc/http://democratiechretienne.org/2015/09/21/congo-desir-salue-le-vent-nouveau-qui-souffle-sur-la-rdc-tempete-des-tropiques/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
GRAVE CRUAUTE DE M. KABILA ENVERS UN OPPOSANT POLITIQUE REDOUTABLE DE LA RDC / INTERPRETE DU 21/09/2015
par FreeDiomi le 21 septembre 2015
http://democratiechretienne.org/2015/09/21/grave-cruaute-de-m-kabila-envers-un-opposant-politique-redoutable-de-la-rdc-interprete-du-21092015/
par FreeDiomi le 21 septembre 2015
http://democratiechretienne.org/2015/09/21/grave-cruaute-de-m-kabila-envers-un-opposant-politique-redoutable-de-la-rdc-interprete-du-21092015/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RDC: « CONGO DESIR », UN CHEVAL DE BATAILLE POUR RECONSTRUIRE L’IMAGE DU PAYS / LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE
par FreeDiomi le 23 septembre 2015
LIRE AUSSI, SUR LE MEME SUJET:
CONGO DESIR, UN VENT NOUVEAU QUI SOUFFLE SUR LE CONGO DEMOCRATIQUE / DECLARATION SOLENNELLE DU SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE SUR LA CAMPAGNE POLITIQUE « CONGO DESIR »
http://democratiechretienne.org/2015/09/23/rdc-congo-desir-un-cheval-de-bataille-pour-reconstruire-limage-du-pays-les-depeches-de-brazzaville/
par FreeDiomi le 23 septembre 2015
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CONGO DESIR, UN VENT NOUVEAU QUI SOUFFLE SUR LE CONGO DEMOCRATIQUE / DECLARATION SOLENNELLE DU SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE SUR LA CAMPAGNE POLITIQUE « CONGO DESIR »
http://democratiechretienne.org/2015/09/23/rdc-congo-desir-un-cheval-de-bataille-pour-reconstruire-limage-du-pays-les-depeches-de-brazzaville/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
RDC : le CODHO plaide pour la libération des prisonniers politiques /AFRIKARABIA
par FreeDiomi le 28 septembre 2015
par FreeDiomi le 28 septembre 2015
RDC : le CODHO plaide pour la libération des prisonniers politiques
27 sept 2015
congo, prisonniers politiques, RDC
par Christophe RIGAUD
A un peu plus d’un an de l’élection présidentielle en République démocratique du Congo (RDC), le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) exige la libération des prisonniers politiques et d’opinion « victimes d’une justice sous les ordres du pouvoir ».
Le climat de défiance s’accentue envers le président Joseph Kabila à Kinshasa. L’opposition redoute que le chef de l’Etat ne cherche à retarder le cycle électoral pour se maintenir au pouvoir au-delà de 2016. La Constitution interdit en effet à Joseph Kabila de briguer un troisième mandat et en janvier 2015, les manifestations contre un troisième mandat du président Kabila avaient été violemment réprimées par les forces de sécurité. Les ONG internationales dressaient un bilan « d’au moins 42 morts ». Dans ce contexte de tension politique extrême, les ONG des droits de l’homme craignent une aggravation de la répression politique. Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) dénonce, lui, ceux qui sont déjà emprisonnés pour leur opinion politique.
« Grossière mise en scène »
Depuis plusieurs années, nombreux sont les responsables politiques de l’opposition qui sont passés par la case prison, ou sont encore détenus dans les geôles de Makala, la prison centrale de Kinshasa. Le CODHO vient de lancer un appel pour libérer ces prisonniers politiques et d’opinion qu’il considère comme « victimes d’une justice sous les ordres du pouvoir exécutif, c’est à dire le président et le gouvernement de la République ». Le comité dénonce l’incarcération de cinq détenus politiques et trois d’opinion. L’un des plus anciens est le président de la Démocratie Chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala, en charge de mettre en place la contestation pour le compte de l’opposant Etienne Tshisekedi, après la réélection contestée du président Joseph Kabila en 2011. Enlevé en 2012 et relâché la veille de la venue de François Hollande, Diomi Ndongala est de nouveau arrêté en avril 2013 pour une affaire de moeurs, qualifié de « grossière mise en scène visant à son élimination politique ». Il est condamné en mars 2014 à 10 ans de prison ferme.
Les anciens alliés de la majorité particulièrement visés
Jean-Claude Muyambo était membre de la majorité présidentielle (MP) et président de son propre parti politique, Solidarité congolaise pour la démocratie et le Développement (SCODE). Après s’être opposé publiquement contre un troisième mandat de Joseph Kabila, la justice congolaise s’est subitement manifestée en l’accusant « d’abus de confiance, de menaces d’attentat et de rétention de documents ». Son arrestation a lieu le 20 janvier 2015, la veille des importantes manifestations pour « le respect de la Constitution » à Kinshasa et Goma, auxquelles la SCODE participait. Le CODHO dénonce « des chefs d’inculpation factices pour un procès politique visant à faire taire Jean-Claude Muyambo ». « Il encoure le risque de peine de mort » s’inquiète le comité. Le secrétaire général de la SCODE, Cyrille Dowe Mupampa, a lui aussi été interpelé à la veilles des manifestations de janvier. Détenu au secret pendant 156 jours dans les geôles de l’ANR, les services de renseignements congolais, il a ensuite été transféré à la prison de Makala à Kinshasa.
Détentions extra-judiciaires
Egalement dans le collimateur de la justice congolaise : Vano Kalembe Kiboko, président de l’association katangaise LLM. Cet ancien élu de Kolwezi a été condamné en septembre 2015 à 3 ans de prison pour « haine raciale, tribalisme et divulgation de faux bruits ». On lui reproche une manifestation organisée en décembre 2014 contre le démembrement du Katanga et la nouvelle loi de décentralisation. La police avait violemment réprimé cette marche. Au Nord-Kivu, Jean-Louis Ernest Kyaviro a tout d’abord été enlevé par l’ANR au cours des manifestations de janvier 2015 à Goma. Détenu lui aussi en dehors de toute procédure judiciaire dans les cellules des services de renseignements pendant 87 jours, il est transféré à la prison de Makala en juin 2015. Cet élu de Beni est accusé « d’atteinte à la sûreté de l’Etat et d’incitation à la désobéissance civile ». Il risque la peine de mort.
10 chefs d’accusation
Au rang des détenus d’opinion, le CODHO dénonce l’incarcération de Christopher Ngoy Mutamba, défenseur des droits de l’homme et président de l’association SCCD. Christopher Ngoy a été enlevé le 21 janvier 2015, en pleine manifestation contre le maintient au pouvoir de Joseph Kabila par les éléments de la Garde présidentielle. Détenu lui aussi au secret par l’ANR, il est accusé « d’être auteur ou coauteur des troubles enregistrés pendant les manifestations de janvier 2015 ». Christopher Ngoy est poursuivi pour 10 chefs d’accusation « sans la moindre preuve » selon le CODHO. Il risque également la peine de mort.
Mouvements citoyens réprimés
L’affaire « Filimbi » et « la Lucha » est elle aussi symptomatique de la répression politique accrue qui règne actuellement à Kinshasa. Frédéric Bauma et Yves Makwambala, tous deux membres de ces mouvements citoyens, ont été arrêtés le 15 mars 2015, à l’issue d’un atelier de formation qui visait à encourager les jeunes Congolais à accomplir leurs devoirs civiques. Des activistes Burkinabé du Balai Citoyen ont également été interpelés, puis finalement relâchés. Bauma et Yves Makwambala sont accusés de « haute trahison » et encourent la peine de mort. La récente chute du président Burkinabé Blaise Comparé sous la pression des mouvements de jeunesse, n’est sans doute pas un hasard dans l’arrestation de ces jeunes activistes africains.
Kamerhe et Katumbi également ciblés
Les autorités congolaises se sont toujours abritées derrière « l’indépendance de la justice » dans ces affaires, arguant que « personne n’était au dessus des lois », même les opposants politiques. Mais le CODHO et avec lui de nombreuses ONG des droits de l’homme, dénonce justement une justice partiale « aux ordres du pouvoir ». On peut en effet remarquer que les anciens alliés de la majorité présidentielle se sont tout de suite vus inquiétés par la justice, dès qu’ils se sont opposés au président Kabila. C’est le cas de Jean-Claude Muyambo, mais aussi, dans une moindre mesure puisqu’ils n’ont pas été incarcérés, de Vital Kamerhe, l’ancien bras droit de Kabila passé dans l’opposition avec une vieille affaire de diffamation, ou encore de Moïse Katumbi, qui a été la cible d’une plainte du chef de l’Etat. Katumbi qui pourrait prochainement annoncé sa candidature à la prochaine élection présidentielle.
Christophe RIGAUD – Afrikarabia.com
http://democratiechretienne.org/2015/09/28/rdc-le-codho-plaide-pour-la-liberation-des-prisonniers-politiques-afrikarabia/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
LA DC DIT NON AU REFERENDUM CONSTITUTIONNEL / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 30 septembre 2015
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Dans un communiqué de presse : La DC dit » non » au referendum constitutionnel
SUR LE MEME SUJET:
http://democratiechretienne.org/2015/09/30/la-dc-dit-non-au-referendum-constitutionnel-tempete-des-tropiques/
par FreeDiomi le 30 septembre 2015
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Dans un communiqué de presse : La DC dit » non » au referendum constitutionnel
Pour cette formation politique chère à Eugène Diomi Ndongala, dans un climat de forte tension politique due aux manœuvres politiciennes multiples adoptées depuis une année pour contourner les dispositions constitutionnelles relatives à la limitation de mandats présidentiels, la loi sur le Referendum constitutionnel est provocatrice et irresponsable
Dans un communiqué de presse du mardi 29 septembre 2015 signé par son secrétaire général Freddy Kita, la Démocratie Chrétienne (DC) condamne la démarche de certains députés de la Majorité présidentielle (MP) visant l’adoption d’une loi sur l’organisation du referendum constitutionnel.
Selon des correspondances officielles publiées dans la presse, poursuit le communiqué, cette démarche irrespectueuse, entre autre, du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale, a été immédiatement soutenue et promue par le gouvernement central.
» Dans un climat de forte tension politique due aux manœuvres politiciennes multiples adoptées depuis une année par le régime en place pour contourner les dispositions constitutionnelles relatives à la limitation de mandats présidentiels, la seule présentation d’une loi sur le Referendum constitutionnel nous apparait provocatrice et irresponsable « , peut-on lire dans ce document.
Le SG Freddy Kita rappelle que la Démocratie Chrétienne a déjà dénoncé et mis en garde le peuple congolais sur la gravité de la situation politique actuelle caractérisée par l’absence de consensus politique sur le processus électoral ainsi que la volonté qui en découle, de la part du régime en place, de ne pas organiser l’élection présidentielle dans le délai constitutionnel.
Cette situation de » vide » plonge la RDC dans une crise politique de grande envergure dans le but de conserver » de facto » le pourvoir après l’échéance de décembre 2016, sombrant le pays dans l’inaction politique, pense la DC.
La volonté d’adopter, à la fin de la législature, un projet de loi non prévu par le calendrier parlementaire et dont l’existence à été dénoncée grâce à la vigilance des formations politiques de l’Opposition et de la société civile, cache mal le projet macabre de plonger la RDC dans l’aventure du changement de Constitution afin de permettre à l’actuel président de briguer d’autres mandats, poursuit-il.
La Démocratie Chrétienne dénonce l’attitude passive du président de la République qui viole ses devoirs constitutionnels lui imposant de lancer un véritable processus électoral en RDC et de se plier au devoir de l’alternance politique inscrit dans la loi fondamental de la RDC.» L’organisation d’un referendum constitutionnel est malvenue, provocatrice et elle risque d’obliger le peuple congolais de faire appelle à l’art 64 de la Constitution afin de sauvegarder son droit à l’alternance politique « , insiste-t-il.
Egalement, la DC tient à alerter l’opinion nationale et internationale sur la menace pour la paix représentée par les manœuvres militaires actuellement en cours en RDC et apparemment consécutive à l’Accord militaire souscrit à Kigali le 20 septembre 2015 entre les Ministres de la Défense du Rwanda et de la RDC.
Par Stone
TEMPETE DES TROPIQUES
******************************************SUR LE MEME SUJET:
COMMUNIQUE DE LA DC DU 29/09/2015
COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC DU 29/09/2015:
NON AU REFERENDUM CONSTITUTIONNEL
LA RDC DOIT ASSURER LA SECURITE DE SA POPULATION
La Démocratie Chrétienne, DC, condamne la démarche de certains députés de la majorité factice au pouvoir visant l’adoption d’une loi sur l’organisation du referendum constitutionnel.
Selon des correspondances officielles qui ont été publiées par la presse, cette démarche irrespectueuses, entre autre, du Règlement d’Ordre Intérieur de l’Assemblée Nationale, a été immédiatement soutenue et promue par le gouvernement de M. Kabila.
Dans un climat de forte tension politiques due aux manœuvres politiciennes multiples adoptées depuis une année par M. Kabila pour contourner les dispositions constitutionnelles relatives à la limitation de mandats présidentiels l’empêchant de représenter sa candidature, la seule présentation d’une loi sur le Referendum Constitutionnel nous apparait provocatrice et irresponsable.
La Démocratie Chrétienne a déjà dénoncé et mis en garde le peuple congolais sur la gravité de la situation politique actuelle caractérisée par l’absence de consensus politique sur le processus électoral ainsi que la volonté qui en découle, de la part du régime Kabila, de ne pas organiser l’élection présidentielle dans le délai Constitutionnel.
Cette situation de « vide » plonge la RDC dans une Crise Politique de grande envergure dont le principal responsable est M. Joseph Kabila, qui poursuit des visées de conservation « de facto » du pourvoir après l’échéance de décembre 2016, sombrant le pays dans l’inaction politique.
La volonté d’adopter, à la fin de la législature, un projet de loi non prévu par le calendrier parlementaire et dont l’existence à été dénoncée grâce à la vigilance des formations politiques de l’opposition et de la société civile, cache mal le projet macabre de plonger la RDC dans l’aventure du changement de Constitution afin de permettre à M. Kabila de briguer d’autres mandats.
La Démocratie Chrétienne dénonce l’attitude passive de M. Kabila qui viole ses devoirs Constitutionnels lui imposant de lancer un véritable processus électoral en RDC et de se plier au devoir de l’alternance politique inscrit dans la loi fondamental de notre pays.
L’organisation d’un referendum constitutionnel est malvenue, provocatrice et elle risque d’obliger le peuple congolais de faire appelle à l’art 64 de la Constitution afin de sauvegarder son droit à l’alternance politique.
Egalement, la DC tient- elle à alerter l’opinion nationale et internationale sur la menace pour la paix représentée par les manœuvres militaires actuellement en cours en RDC et apparemment consécutives à l’Accord militaire souscrit à Kigali le 20/09/2015 entre les Ministres de la Défense du Rwanda et de la RDC.
Il est, en effet, inacceptable que l’exécutif Kabila refuse l’assistance de la Brigade Internationale et de la Monsuco pour traquer les groupes armées qui sévissent encore nombreux à l’Est de la RDC, pour accepter, à la place, la coopération active militaire du Rwanda, sur le territoire congolais, pour la traque des FDLR, après les échecs des opérations Kimia I et kimia II ainsi que l’échec de l’opération Umoja Wetu, qui ont provoqué des massacres de populations civiles, déplacements massifs de la population congolaise et, encore une fois, l’instauration de réseaux politico-militaires d’exploitation illégale des ressources naturelles sur le territoire congolais.
Cela étant, il nous apparait inconcevable que les troupes congolaises en place dans des zones d’insécurité comme Nyrangongo ou bien Rutshuru, soient abandonnées, avec retrait même des armes lourdes, par les FARDC, alors que le principal poste de défense de la RDC à l’Est de la RDC, La base militaire de Rumangabo, a déjà fait l’objet d’un attaque meurtrier et de vol d’armes lourdes il y a seulement quelques jours.
Les intérêts supérieurs de la République Démocratique du Congo au respect de sa Constitution ainsi qu’ à la garantie de la sécurité de sa population doivent toujours primer sur les intérêts égoïstes des individus.
NON AU REFERENDUM CONSTITUTIONNEL
LA SECURITE DES POPULATIONS A L’EST DE LA RDC DOIT ETRE ASSUREE.
Vérité et Justice pour le Congo,
Kinshasa, le 29/09/2015,
Freddy Kita,
Secrétaire General de la Démocratie Chrétienne, DChttp://democratiechretienne.org/2015/09/30/la-dc-dit-non-au-referendum-constitutionnel-tempete-des-tropiques/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
La campagne « Congo désir » est arrivée à Uvira dans le Sud-Kivu avec Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne (DC) /FREDDY MULONGO
par FreeDiomi le 1 octobre 2015
Avec son bâton de pèlerin Freddy Kita, Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne (DC) est à Uvira, dans le Sud-Kivu à l’Est de la République démocratique du Congo. Il bat campagne pour « Congo désir », un mouvement citoyen, populaire et fédérateur de toutes les sensibilités.
Son message est limpide et simple:
Freddy Kita au bord du Lac Tanganyka
http://reveil-fm.com/index.php/2015/10/01/5739-la-campagne-congo-desir-est-arrivee-a-uvira-dans-le-sud-kivu-avec-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-dc
http://democratiechretienne.org/2015/10/01/la-campagne-congo-desir-est-arrivee-a-uvira-dans-le-sud-kivu-avec-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-dc-freddy-mulongo/
par FreeDiomi le 1 octobre 2015
La campagne « Congo désir » est arrivée à Uvira dans le Sud-Kivu avec Freddy Kita, SG de la Démocratie Chrétienne (DC)
Par Freddy Mulongo, jeudi 1 octobre 2015 à 08:43 :: Radio Réveil FM International :: #5739 :: rssAvec son bâton de pèlerin Freddy Kita, Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne (DC) est à Uvira, dans le Sud-Kivu à l’Est de la République démocratique du Congo. Il bat campagne pour « Congo désir », un mouvement citoyen, populaire et fédérateur de toutes les sensibilités.
Son message est limpide et simple:
Le Congo doit être désiré plus qu’un ou des individus. La République démocratique du Congo n’a pas besoin d’un homme providentiel, surtout pas d’un imposteur sorti de la cuisse de Jupiter mais des institutions républicaines fortes, attachées aux libertés individuelles et respectueuses aux droits humains de citoyens.
Freddy Kita et les enfants d’Uvira au bord du Lac Tanganyka
A Uvira, Freddy Kita bat campagne « Congo désir » de porte en porte, sans caravane motorisée, mais au contact avec la jeunesse congolaise.
Uvira est une ville martyre, elle a été le théâtre de nombreux troubles et affres des fameuses guerres de libération. Elle est située à l’extrémité du nord du lac Tanganyika. Il a un port important de Kalundu qui relie Uvira à la ville de Kalemie, au Nord de la province du Katanga et la ville de Kigoma en Tanzanie. La ville est à 120 km de Bukavu, la capitale du Sud-Kivu, 60 km de la ville de Baraka dans le territoire de Fizi et 15km de la ville de Bujumbura, la capitale du Burundi.
Freddy Kita au bord du Lac Tanganyka
http://reveil-fm.com/index.php/2015/10/01/5739-la-campagne-congo-desir-est-arrivee-a-uvira-dans-le-sud-kivu-avec-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-dc
http://democratiechretienne.org/2015/10/01/la-campagne-congo-desir-est-arrivee-a-uvira-dans-le-sud-kivu-avec-freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-dc-freddy-mulongo/
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Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
MISE A JOUR
LE COMBAT ET LA PERSECUTION DU PRISONNIER POLITIQUE CONGOLAIS EUGENE DIOMI NDONGALA
PONA CONGO
ENLEVEMENT DU 10/12/1997
EUGENE DIOMI NDONGALA EST ENLEVE LA NUIT DU 10/12/1997 23H00 PAR DES MILITAIRES DE L’ AFDL AU MOMENT OU IL RENTRAIT CHEZ LUI A LA MAISON A MA CAMPAGNE, A KINSHASA.
SES DEUX SOEURS QUI HABITAIENT DANS LA MEME MAISON FURENT VIOLEES A L’OCCASION DE SON ENLEVEMENT PAR DES MILITAIRES DE L’ AFDL. UNE DE SES SOEURS MOURRA APRES QUELQUES TEMPS A CAUSE DES SEVICES SUBIES.
LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA – FONDATEUR DU FRONT POUR LA SURVIE DE LA DEMOCARATIE, FSD, SERA TORTURE ET PLACE EN DETENTION AU SECRET DANS PLUSIEURS CAMPS MILITAIRES DONT LE CAMP LOANO, UNE VILLA PRES DE MA CAMPAGNE GERE PAR LA DEMIAP – SERVICES SECRETS MILITAIRES- ET LE CAMP KOKOLO. IL SERA AUSSI DETENU DANS UN LIEU DE DETENTION PRES DE L’ AEREOPORT DE NDJILI, UNE FERME QUI AVAIT APPARTENU A KENGO WA DONDO ET TRANSFORMEE EN LIEU D’EXECUTION. IL SERA HOSPITALISEE EN URGENCE APRES DEUX MOIS DE DETENTION ET DES GRAVES TORTUREs PHISIQUES ET MORALES. IL SERA OPERE A CAUSE D’UNE PERITONITE A LA CLINIQUE NGALIEMA, SOUS SURVEILLANCE MILITAIRE.
IL SERA PLACE PAR LA SUITE, LE 15 FEVRIER, AUX ARRETS DOMICILIARES. ON LUI REPROCHAIT SON REFU DE RESPECTER L’ORDRE « VERBAL » D’INTERDITION DES ACTIVITES POLITIQUES IMPOSE PAR LAURENT DESIRE KABILA A TOUS LES CONGOLAIS.
11/03/1998
INTERPELLATION CHEZ LUI A LA MAISON DES AGENT DES SERVICES DE SECURITE.APRES UNE DETENTION D’UNE SEMAINE DANS LES LOCAUX DE L’AGENCE « ANR » PRES DU FLEUVE, IL SERA LIBERE. LE MOTIF DE L’INTERPELLATION SERA TOUJOURS LIE A SES DECLARATION A LA PRESSE.
EUGENE DIOMI NDONGALA EST ENLEVE PRES DE L’IMMEUBLE DE LA VOIX DU ZAIRE A KINSHASA ALORS QU’IL CONDUISAIT SA VOITURE ET DETENU PENDANT 3 SEMAINES DANS UNE VILLA PRES DU FLEUVE APPARTENANT A UN MINISTRE DE L’EXECUTIF DE LAURENT DESIRE KABILA. EUGENE DIOMI NDONGALA ARRIVA A ENVOYER UN MESSAGE A SA FAMILLE POUR FAIRE CONNAITRE SON LIEU DE DETENTION.
IL SERA DEFERE PAR LA SUITE DEVANT LA COUR D’ORDRE MILITAIRE OU IL FUT ACCUSE D’ATTEINTE A LA SECURITE DE L’ETAT POUR AVOIR DENONCE, AU COURS D’UNE INTERVIEW PUBLIEE PAR DES JOURNAUX A KINSHASA, QUE L’ AGGRESSION DE LA RDC REMONTAIT A 1996 ET NON AU 1998 COMME PRETENDAIT LE REGIME AFDL ET POUR AVOIR PUBLIE UN LIVRE INTITULE « LE MANIFESTE DE LA LIBRE PENSEE POLITIQUE DU FSD » JUGE INCOMPATIBLE AVEC L’IDEOLOGIE KABILISTE.
IL SERA LIBERE FIN DECEMBRE 2000 A L’OCCASION D’UNE RENCONTRE ENTRE LAURENT DESIRE KABILA ET LA CLASSE POLITIQUE CONGOLAISE, EN VUE DE SA PARTICIPATION A LA RENCONTRE POLITIQUE DE LIBREVILLE, PREVUE POUR DEBUT 2001 ET QUI NE SE TIENDRA PAS A CAUSE DE L’ASSASSINAT DE LAURENT DESIRE KABILA.
15/01/2004
[img(299.79999999999995px,220.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2012/07/meeting_dc_stade_des_martyrs_facer_50000_personnes11.jpg?w=459&h=341[/img]
Meeting du 4 janvier 2004 au Stade des Martyrs
ARRESTATION POUR OFFENSE A CHEF DE L’ETAT, APRES LA TENUE DU MEETING DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE AU STADE DES MARTYRS DEVANT 50.000 MILITANTS DE LA DC. LE DISCOURS DE DIOMI NDONGALA, INTITULE » LE CONGO AUX CONGOLAIS « DANS LE QUEL IL REVENDIQUAIT LE DROIT DES CONGOLAIS A LA PAIX SERA JUGE COMME SUBVERSIF. L’ACCUSATION SERA ABANDONNEE, SANS SUITE.
16/12/2010
AU COURS D’UNE TOURNEE DANS SA PROVINCE D’ORIGINE, LE BAS-CONGO, EN VUE DE LA REDYNAMISATION DES ACTIVITES DE SON PARTI, LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C. A L’APPROCHE DES ELECTIONS, EUGENE DIOMI NDONGALA EST ARRETE A MUANDA AVEC UNE ACCUSATION FARFELUE MONTEE PAR LES SERVICES DE SECURITE.
CONDAMNE A 6 MOIS DE RECLUSION, SANS L’ASSISTANCE D’UN AVOCAT, IL RESTERA EN PRISON 3 MOIS ET IL SERA ACQUITTE EN APPEL, DANS LA VILLE DE BOMA – AU BAS-CONGO – AUSSI A LA SUITE DE FORTES PRESSIONS POPULAIRES ET DE RISQUES D EMUTES AU BAS CONGO APRES SA CONDAMNATION.
18/09/2011
EUGENE DIOMI NDONGALA EST INTERPELLE PAR LA POLICE A L’OCCASION DE LA MARCHE QU IL A ORGANISE DEVANT LES IMMEUBLES DE LA COMMISSION NATIONALE DES ELECTIONS (CENI) AFIN D’EXIGER LA TRANSPARENCE DU FICHIER ELECTORAL. IL SERA LIBERE LE MEME JOUR
[img(299.79999999999995px,167.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2013/04/diomi-ndongala-face-a-la-police-devant-la-ceni-manifestation-pour-publication-fichier-electoral.jpg?w=459&h=261[/img]
Manifestation pour la transparence et la
publication du fichier
électoral:
Diomi Ndongala face à la police au
centre de l'image
10/10/2011
EUGENE DIOMI NDONGALA EST ENCORE INTERPELLE A L’OCCASION DE LA MARCHE QU IL ORGANISE AFIN D’OBTENIR PAR LA CENI DIRIGEE PAR NGOY MULUNDA LA PUBLICATION DU FICHIER ELECTORAL AVANT LES ELECTIONS GENERALES, COMME IL EST PREVU PAR LA LOI ELECTORALE. IL SERA LIBERE LE MEME JOUR.
27/06/2013
LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA EST ENLEVE DANS LE QUARTIER DE LA GOMBE ET DETENU AU SECRET PENDANT 3 MOIS. LA DATE DE SON ENLEVEMENT COINCIDE AVEC LA DATE PREVUE POUR LE LANCEMENT ET LA SIGNATURE DE LA CHARTE CONSTITUTIVE D’UNE PLATEFORME POLITIQUE (MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP) DE SOUTIEN A ETIENNE TSHISEKEDI DONT IL REVENDIQUE L’ELECTION. ALORS QU IL SE RENDAIT EN VOITURE AU LIEU DE LA MANIFESTATION, IL SERA INTERCEPTE ET ENLEVE.
EUGENE DIOMI NDONGALA, DEPUTE NATIONAL, SERA LIBERE LE 11/10/2012, LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, EN GAGE DE DECRISPATION POLITIQUE SUR LE FRONT DES DROITS DE L’HOMME, APRES LES REMARQUES TRES MUSCLEES DU PRESIDENT HOLLANDE SUR LE MANQUE DE RESPECT DES DROITS DE L’HOMME EN RDC UNE SEMAINE AVANT SON ARRIVEE A KINSHASA.
L’HON. DIOMI NDONGALA SERA HOSPITALISE ET OPERE EN URGENCE LE 18/10/2012 A CAUSE DES SEQUELLES DES TORTURES SUBIES. LES SERVICES DE SECURITE INTERFERERONT A PLUSIEURS REPRISES SUR LES RESPONSABLES DE L’HOPITAL POUR QUE LUI SOIENT REFUSES LES SOINS URGENTS. LE SYNDACAT DES MEDECINS DE L’HOPITAL SINO-CONGOLAIS DE NDJILI / KINSHASA FURENT OBLIGES D’INTERVENIR POUR PERMETTRE AUX MEDECINS TRAITANTS DE FAIRE LEUR TRAVAILLE SANS SUBIR DES DICTACTS CONTRAIRES A LEUR DEONTOLOGIE DE LA PART DES SERVICES DE SECURITE.
08/04/2013
TARD LE SOIR DU 08/04/2013 VERS 22H00 DIOMI NDONGALA SERA ARRETE SANS MANDAT ET AMENE PAR 20 POLICIERS AUX COMMANDES DU COLONEL KANYAMA VERS UNE DESTINATION INCONNUE.IL SERA PAR LA SUITE LOCALISE A L’INSPECTORAT PROVINCIAL DE LA POLICE.
FAUSSEMENT ACCUSE DE VIOL IMAGINAIRE SUR DEUX DAMES QU’IL N’A JAMAIS CONNUES, SOUDOYEES PAR LE REGIME ET DONT L’IDENTITE EST FAUSSE, IL SERA PAR LA SUITE ACCUSE, ALORS QU’ IL ETAIT EN RECLUSION, D’ATTEINTE A LA SECURITE DE L’ETAT ET DE COMPLOT CONTRE KABILA ET MATATA MPONIO. LES PRETENDUS COMPLICES SERONT MONTRES A LA TELEVISION LE 11/04/2013, PAR LE MINISTRE DE L’INTERIEUR EN PERSONNE, QUI PRESENTERA DANS UNE ESPECE DE « SHOW » 13 PERSONNES DONT UNE FEMME DE PLUS DE 60 ANS COMME LES « COMPLICES » DE DIOMI NDONGALA. LE COMPLOT AURAIT EU COMME ARMES DES BOUTEILLES EN PLASTIQUE, UN MACHETE ET DES TELEPHONES PORTABLES.
EUGENE DIOMI NDONGALA EST GRAVEMENT MALADE, MENACE DE PARALYSIE AU COTE DROIT DE SON CORPS A CAUSE DES COUPS SUBIS PENDANT SES ARRESTATIONS ET SOUFFRANT DE STRESS POST-TRAUMATHIQUE. LE REGIME KABILA REFUSE QU ON LUI ADMNISTRE DES SOINS.
SON MANDAT DE DEPUTE ELU MASSIVEMENT A KINSHASA A ETE INVALIDE A CAUSE DE SES « ABSENCES » CELA PROVOQUANT LES VIVES PROTESTATIONS DE L’UNION INTER-PARLEMENTAIRE, UIP EN SIGLE.
LES CONCERTATIONS NATIONALES ONT RECONNU LE CARACTERE POLITIQUE DE LA DETENTION DE L’HONORABLE DIOMI NDONGALA DONT LE NOM A ETE RETENU DANS UNE RESOLUTION DE CE FORUM NATIONAL POUR QU’ IL SOIT IMMEDIATEMENT LIBERE, MAIS L’EXECUTIF KABILA N’A PAS APPLIQUE A CE JOUR CETTE DECISION DES CONCERTATIONS NATIONALES.
L’OPPOSANT EUGENE DIOMI NDONGALA SERA CONDAMNES A LA LOURDE PEINE DE 10 ANS DE PRISON, SANS PREUVES ET SANS RESPECT DES DROITS FONDAMENTAUX DE LA DEFENSE, A LA SUITE D’UN PROCES NUL ET NON ADVENU CAR LE JURY QUI L’A CONDAMNE ÉTAIT IRREGULIEREMENT COMPOSE. IL N’A PAS EU DROIT A AUCUNE FORME DE RECOURS, LA PRISE A PARTIE DES JUGES QUI L’ONT INJUSTEMENT ET IREGULIEREMENT CONDAMNE, A LA SUITE D’INJONCTIONS POLITIQUES, N’A JAMAIS ETE CONVOQUEE PAR LE PRESIDENT DE LA COURS SUPREME DE JUSTICE, AJOUTANT AINSI A L’INJUSTICE LE DENI DE JUSTICE.
LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA A INTRODUIT UNE PLAINTE CONTRE LA R.D.CONGO AUPRES DU COMITE DES DROITS DE L’HOMME DE GENEVE.
http://democratiechretienne.org/2013/11/17/pona-congo-15-ans-de-lutte-dun-combattant-de-la-liberte/
[img(216.8px,299.79999999999995px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2013/11/rapport-concertations-nationales-2-e1383726179488.jpg?w=335&h=458[/img]
Document tiré des résolutions des
Concertations Nationales,
donnant la liste des prisonniers
politiques à libérer
immédiatement
Tokufa pona Congo
LE COMBAT ET LA PERSECUTION DU PRISONNIER POLITIQUE CONGOLAIS EUGENE DIOMI NDONGALA
[img(569.8px,811.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/02/page1-flyer-diomi2.png?w=864&h=1227[/img]
[img(572.8px,693.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/02/page2-flyer-diomi1.jpg?w=869&h=1050[/img]
[img(571.8px,664.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/02/page3-flyer-diomi1.png?w=867&h=1007[/img]
http://democratiechretienne.org/2015/02/24/flyers-de-lacaj-sur-le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-a-diffuser-sans-moderation/
« PONA CONGO » – 20 ans de lutte d’un combattant de la liberté
PONA CONGO
Une chronologie de la répression politique subie par un opposant prônant la non-violence en RDC, sous les régimes de Laurent Désire Kabila et Joseph Kabila.15 ans de lutte, enlèvements et arrestations politiques subies par le combattant de la liberté Eugene Diomi Ndongala.
ENLEVEMENT DU 10/12/1997
EUGENE DIOMI NDONGALA EST ENLEVE LA NUIT DU 10/12/1997 23H00 PAR DES MILITAIRES DE L’ AFDL AU MOMENT OU IL RENTRAIT CHEZ LUI A LA MAISON A MA CAMPAGNE, A KINSHASA.
SES DEUX SOEURS QUI HABITAIENT DANS LA MEME MAISON FURENT VIOLEES A L’OCCASION DE SON ENLEVEMENT PAR DES MILITAIRES DE L’ AFDL. UNE DE SES SOEURS MOURRA APRES QUELQUES TEMPS A CAUSE DES SEVICES SUBIES.
LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA – FONDATEUR DU FRONT POUR LA SURVIE DE LA DEMOCARATIE, FSD, SERA TORTURE ET PLACE EN DETENTION AU SECRET DANS PLUSIEURS CAMPS MILITAIRES DONT LE CAMP LOANO, UNE VILLA PRES DE MA CAMPAGNE GERE PAR LA DEMIAP – SERVICES SECRETS MILITAIRES- ET LE CAMP KOKOLO. IL SERA AUSSI DETENU DANS UN LIEU DE DETENTION PRES DE L’ AEREOPORT DE NDJILI, UNE FERME QUI AVAIT APPARTENU A KENGO WA DONDO ET TRANSFORMEE EN LIEU D’EXECUTION. IL SERA HOSPITALISEE EN URGENCE APRES DEUX MOIS DE DETENTION ET DES GRAVES TORTUREs PHISIQUES ET MORALES. IL SERA OPERE A CAUSE D’UNE PERITONITE A LA CLINIQUE NGALIEMA, SOUS SURVEILLANCE MILITAIRE.
IL SERA PLACE PAR LA SUITE, LE 15 FEVRIER, AUX ARRETS DOMICILIARES. ON LUI REPROCHAIT SON REFU DE RESPECTER L’ORDRE « VERBAL » D’INTERDITION DES ACTIVITES POLITIQUES IMPOSE PAR LAURENT DESIRE KABILA A TOUS LES CONGOLAIS.
11/03/1998
INTERPELLATION CHEZ LUI A LA MAISON DES AGENT DES SERVICES DE SECURITE.APRES UNE DETENTION D’UNE SEMAINE DANS LES LOCAUX DE L’AGENCE « ANR » PRES DU FLEUVE, IL SERA LIBERE. LE MOTIF DE L’INTERPELLATION SERA TOUJOURS LIE A SES DECLARATION A LA PRESSE.
28/04/2000CES INTERPELLATIONS ET DETENTIONS ARBITRAIRES ONT LIEU TOUS LES DEUX MOIS A PARTIR DE JUIN 1998 JUSQU A AVRIL 2000 , SURTOUT A CAUSE DU LANCEMENT DE LA PLATEFORME POLITIQUE « FRONT POUR LA SURVIE DE LA DEMOCRATIE » , FSD EN SIGLE , DEFENDANT LE SYSTEME DEMOCRATIQUE PLURALISTE ET REPRESENTATIF CONTRE LE SYSTEME POLITIQUE PRONE PAR LAURENT DESIRE KABILA BASE SUR LES COMITES DE POUVOIR POPULAIRE, CPP EN SIGLE, D’ INSPIRATION NORD COREENNE.
EUGENE DIOMI NDONGALA EST ENLEVE PRES DE L’IMMEUBLE DE LA VOIX DU ZAIRE A KINSHASA ALORS QU’IL CONDUISAIT SA VOITURE ET DETENU PENDANT 3 SEMAINES DANS UNE VILLA PRES DU FLEUVE APPARTENANT A UN MINISTRE DE L’EXECUTIF DE LAURENT DESIRE KABILA. EUGENE DIOMI NDONGALA ARRIVA A ENVOYER UN MESSAGE A SA FAMILLE POUR FAIRE CONNAITRE SON LIEU DE DETENTION.
IL SERA DEFERE PAR LA SUITE DEVANT LA COUR D’ORDRE MILITAIRE OU IL FUT ACCUSE D’ATTEINTE A LA SECURITE DE L’ETAT POUR AVOIR DENONCE, AU COURS D’UNE INTERVIEW PUBLIEE PAR DES JOURNAUX A KINSHASA, QUE L’ AGGRESSION DE LA RDC REMONTAIT A 1996 ET NON AU 1998 COMME PRETENDAIT LE REGIME AFDL ET POUR AVOIR PUBLIE UN LIVRE INTITULE « LE MANIFESTE DE LA LIBRE PENSEE POLITIQUE DU FSD » JUGE INCOMPATIBLE AVEC L’IDEOLOGIE KABILISTE.
IL SERA LIBERE FIN DECEMBRE 2000 A L’OCCASION D’UNE RENCONTRE ENTRE LAURENT DESIRE KABILA ET LA CLASSE POLITIQUE CONGOLAISE, EN VUE DE SA PARTICIPATION A LA RENCONTRE POLITIQUE DE LIBREVILLE, PREVUE POUR DEBUT 2001 ET QUI NE SE TIENDRA PAS A CAUSE DE L’ASSASSINAT DE LAURENT DESIRE KABILA.
15/01/2004
[img(299.79999999999995px,220.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2012/07/meeting_dc_stade_des_martyrs_facer_50000_personnes11.jpg?w=459&h=341[/img]
Meeting du 4 janvier 2004 au Stade des Martyrs
ARRESTATION POUR OFFENSE A CHEF DE L’ETAT, APRES LA TENUE DU MEETING DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE AU STADE DES MARTYRS DEVANT 50.000 MILITANTS DE LA DC. LE DISCOURS DE DIOMI NDONGALA, INTITULE » LE CONGO AUX CONGOLAIS « DANS LE QUEL IL REVENDIQUAIT LE DROIT DES CONGOLAIS A LA PAIX SERA JUGE COMME SUBVERSIF. L’ACCUSATION SERA ABANDONNEE, SANS SUITE.
16/12/2010
AU COURS D’UNE TOURNEE DANS SA PROVINCE D’ORIGINE, LE BAS-CONGO, EN VUE DE LA REDYNAMISATION DES ACTIVITES DE SON PARTI, LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C. A L’APPROCHE DES ELECTIONS, EUGENE DIOMI NDONGALA EST ARRETE A MUANDA AVEC UNE ACCUSATION FARFELUE MONTEE PAR LES SERVICES DE SECURITE.
CONDAMNE A 6 MOIS DE RECLUSION, SANS L’ASSISTANCE D’UN AVOCAT, IL RESTERA EN PRISON 3 MOIS ET IL SERA ACQUITTE EN APPEL, DANS LA VILLE DE BOMA – AU BAS-CONGO – AUSSI A LA SUITE DE FORTES PRESSIONS POPULAIRES ET DE RISQUES D EMUTES AU BAS CONGO APRES SA CONDAMNATION.
18/09/2011
EUGENE DIOMI NDONGALA EST INTERPELLE PAR LA POLICE A L’OCCASION DE LA MARCHE QU IL A ORGANISE DEVANT LES IMMEUBLES DE LA COMMISSION NATIONALE DES ELECTIONS (CENI) AFIN D’EXIGER LA TRANSPARENCE DU FICHIER ELECTORAL. IL SERA LIBERE LE MEME JOUR
[img(299.79999999999995px,167.8px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2013/04/diomi-ndongala-face-a-la-police-devant-la-ceni-manifestation-pour-publication-fichier-electoral.jpg?w=459&h=261[/img]
Manifestation pour la transparence et la
publication du fichier
électoral:
Diomi Ndongala face à la police au
centre de l'image
10/10/2011
EUGENE DIOMI NDONGALA EST ENCORE INTERPELLE A L’OCCASION DE LA MARCHE QU IL ORGANISE AFIN D’OBTENIR PAR LA CENI DIRIGEE PAR NGOY MULUNDA LA PUBLICATION DU FICHIER ELECTORAL AVANT LES ELECTIONS GENERALES, COMME IL EST PREVU PAR LA LOI ELECTORALE. IL SERA LIBERE LE MEME JOUR.
27/06/2013
LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA EST ENLEVE DANS LE QUARTIER DE LA GOMBE ET DETENU AU SECRET PENDANT 3 MOIS. LA DATE DE SON ENLEVEMENT COINCIDE AVEC LA DATE PREVUE POUR LE LANCEMENT ET LA SIGNATURE DE LA CHARTE CONSTITUTIVE D’UNE PLATEFORME POLITIQUE (MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP) DE SOUTIEN A ETIENNE TSHISEKEDI DONT IL REVENDIQUE L’ELECTION. ALORS QU IL SE RENDAIT EN VOITURE AU LIEU DE LA MANIFESTATION, IL SERA INTERCEPTE ET ENLEVE.
EUGENE DIOMI NDONGALA, DEPUTE NATIONAL, SERA LIBERE LE 11/10/2012, LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, EN GAGE DE DECRISPATION POLITIQUE SUR LE FRONT DES DROITS DE L’HOMME, APRES LES REMARQUES TRES MUSCLEES DU PRESIDENT HOLLANDE SUR LE MANQUE DE RESPECT DES DROITS DE L’HOMME EN RDC UNE SEMAINE AVANT SON ARRIVEE A KINSHASA.
L’HON. DIOMI NDONGALA SERA HOSPITALISE ET OPERE EN URGENCE LE 18/10/2012 A CAUSE DES SEQUELLES DES TORTURES SUBIES. LES SERVICES DE SECURITE INTERFERERONT A PLUSIEURS REPRISES SUR LES RESPONSABLES DE L’HOPITAL POUR QUE LUI SOIENT REFUSES LES SOINS URGENTS. LE SYNDACAT DES MEDECINS DE L’HOPITAL SINO-CONGOLAIS DE NDJILI / KINSHASA FURENT OBLIGES D’INTERVENIR POUR PERMETTRE AUX MEDECINS TRAITANTS DE FAIRE LEUR TRAVAILLE SANS SUBIR DES DICTACTS CONTRAIRES A LEUR DEONTOLOGIE DE LA PART DES SERVICES DE SECURITE.
08/04/2013
TARD LE SOIR DU 08/04/2013 VERS 22H00 DIOMI NDONGALA SERA ARRETE SANS MANDAT ET AMENE PAR 20 POLICIERS AUX COMMANDES DU COLONEL KANYAMA VERS UNE DESTINATION INCONNUE.IL SERA PAR LA SUITE LOCALISE A L’INSPECTORAT PROVINCIAL DE LA POLICE.
FAUSSEMENT ACCUSE DE VIOL IMAGINAIRE SUR DEUX DAMES QU’IL N’A JAMAIS CONNUES, SOUDOYEES PAR LE REGIME ET DONT L’IDENTITE EST FAUSSE, IL SERA PAR LA SUITE ACCUSE, ALORS QU’ IL ETAIT EN RECLUSION, D’ATTEINTE A LA SECURITE DE L’ETAT ET DE COMPLOT CONTRE KABILA ET MATATA MPONIO. LES PRETENDUS COMPLICES SERONT MONTRES A LA TELEVISION LE 11/04/2013, PAR LE MINISTRE DE L’INTERIEUR EN PERSONNE, QUI PRESENTERA DANS UNE ESPECE DE « SHOW » 13 PERSONNES DONT UNE FEMME DE PLUS DE 60 ANS COMME LES « COMPLICES » DE DIOMI NDONGALA. LE COMPLOT AURAIT EU COMME ARMES DES BOUTEILLES EN PLASTIQUE, UN MACHETE ET DES TELEPHONES PORTABLES.
EUGENE DIOMI NDONGALA EST GRAVEMENT MALADE, MENACE DE PARALYSIE AU COTE DROIT DE SON CORPS A CAUSE DES COUPS SUBIS PENDANT SES ARRESTATIONS ET SOUFFRANT DE STRESS POST-TRAUMATHIQUE. LE REGIME KABILA REFUSE QU ON LUI ADMNISTRE DES SOINS.
SON MANDAT DE DEPUTE ELU MASSIVEMENT A KINSHASA A ETE INVALIDE A CAUSE DE SES « ABSENCES » CELA PROVOQUANT LES VIVES PROTESTATIONS DE L’UNION INTER-PARLEMENTAIRE, UIP EN SIGLE.
LES CONCERTATIONS NATIONALES ONT RECONNU LE CARACTERE POLITIQUE DE LA DETENTION DE L’HONORABLE DIOMI NDONGALA DONT LE NOM A ETE RETENU DANS UNE RESOLUTION DE CE FORUM NATIONAL POUR QU’ IL SOIT IMMEDIATEMENT LIBERE, MAIS L’EXECUTIF KABILA N’A PAS APPLIQUE A CE JOUR CETTE DECISION DES CONCERTATIONS NATIONALES.
L’OPPOSANT EUGENE DIOMI NDONGALA SERA CONDAMNES A LA LOURDE PEINE DE 10 ANS DE PRISON, SANS PREUVES ET SANS RESPECT DES DROITS FONDAMENTAUX DE LA DEFENSE, A LA SUITE D’UN PROCES NUL ET NON ADVENU CAR LE JURY QUI L’A CONDAMNE ÉTAIT IRREGULIEREMENT COMPOSE. IL N’A PAS EU DROIT A AUCUNE FORME DE RECOURS, LA PRISE A PARTIE DES JUGES QUI L’ONT INJUSTEMENT ET IREGULIEREMENT CONDAMNE, A LA SUITE D’INJONCTIONS POLITIQUES, N’A JAMAIS ETE CONVOQUEE PAR LE PRESIDENT DE LA COURS SUPREME DE JUSTICE, AJOUTANT AINSI A L’INJUSTICE LE DENI DE JUSTICE.
LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA A INTRODUIT UNE PLAINTE CONTRE LA R.D.CONGO AUPRES DU COMITE DES DROITS DE L’HOMME DE GENEVE.
http://democratiechretienne.org/2013/11/17/pona-congo-15-ans-de-lutte-dun-combattant-de-la-liberte/
[img(216.8px,299.79999999999995px)]http://fsddc.files.wordpress.com/2013/11/rapport-concertations-nationales-2-e1383726179488.jpg?w=335&h=458[/img]
Document tiré des résolutions des
Concertations Nationales,
donnant la liste des prisonniers
politiques à libérer
immédiatement
Tokufa pona Congo
LIRE AUSSI:
- COMMUNIQUE DE PRESSE N° 19/ACAJ/2014: « Le Gouvernement congolais empêche M. Eugène DIOMI à se faire soigner »
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http://democratiechretienne.org/les-dossier-de-la-dc/la-persecution-du-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CARNET D'UN PRISONNIER POLITIQUE EN R.D.CONGO
« PONA CONGO »
EUGENE DIOMI NDONGALA: PONA KONGO
L ‘ALTERNANCE DEMOCRATIQUE NON VIOLENTE ET UN DEVELOPPEMENT DURABLE EN AFRIQUE
L’histoire recentre de l’Afrique Centrale peut être considérée comme le paradigme d’une certaine évolution des rapports entre l’Europe et l’Afrique, dans un contexte de mondialisation.
Après la fin de la guerre froide, avec la chute symbolique du mur de Berlin, des dictatures sont tombées en Afrique, dont celle de Mobutu Sese Seko au Congo-Zaïre, qui est resté au pouvoir pendant plus de trois décennies.
La chute du régime mobutiste a été l’œuvre d’une rébellion de façade qui cachait mal une guerre d’invasion, avec un soubassement économique, dont les conséquences néfastes sont toujours perceptibles en République Démocratique du Congo, avec des conflits de basse intensité qui continuent à ajouter des victimes aux millions de morts déjà enregistrés depuis 1996.
Ces bouleversements violents ont provoqué la prise du pouvoir aussi bien en R.D.Congo qu’ en Ouganda, Rwanda, Burundi, de la part d’une classe politique issue de rebellions “de proxy“ des années ‘90. Il s’agit, en d’autres termes, d’un phénomène régional, si pas soutenu, au moins toléré par la communauté internationale pour chasser les dictateurs au pouvoir depuis des décennies.
Les “seigneurs de la guerre”, même s’ils ont tronqué leurs uniformes avec des costumes et cravates, ont continué à être adeptes, jusqu’ aujourd’hui, d’une gouvernance violente et répressive, irrespectueuse aussi bien des droits de l’homme que des droits civils et politiques. Leur gestion économique, dans la majorité des cas, n’a pas assuré ni l’autonomie alimentaire de leurs populations et encore moins le développement durable de leurs pays. Sur le plan régional, le pillage entre états, des plus forts militairement sur les plus faibles, est encore en cours…
Le Congo Démocratique, un des pays potentiellement les plus riches au monde grâce aux nombreuses ressources naturelles, mais aussi le plus pauvre selon l’indice de développement humain, IDH, n’a pas surmonté ce paradoxe économique après la chute de Mobutu, le régime de M. Kabila étant incapable de faire profiter sa population des richesses du pays, à travers une politique de développement durable.
Les régimes des “seigneurs de la guerre”, aussi bien au Congo que dans d’autres pays dont les élites politiques sont issus de rebellions armées, sont souvent stigmatisés à cause de la corruption généralisée, de la répression politique violente et de la “fracture sociale” entre les élites au pouvoir et le reste de la population.
Dans beaucoup de pays africains, une classe dirigeante “kleptocratique” règne sur des masses ravagées par la faim, l’exposition à l’insécurité et dont la conscientisation politique et sociale est limitée par l’analphabétisme de larges couche de la population. Cela abouti d’ ailleurs à des migrations de masse vers l’Europe.
Ce n’est pas un hasard si 80% des membres qui composent l’actuel exécutif en R.D. Congo, par exemple, sont issus des rebellions de “proxy” qui ont ensanglanté notre pays au cours des dernières décennies.
Nous vivons, aujourd’hui, un moment “charnière” de notre histoire car la classe politique issue des mouvements rebelles veut s’éterniser au pouvoir, exactement comme les dictatures qu’elles avaient défaites:
c ‘est le cas du Congo-Kinshasa, mais aussi du Rwanda, du Burundi et du Congo Brazzaville. Mais les anciens “seigneurs de la guerre” doivent faire face à des formations politiques progressistes et des mouvements citoyens qui veulent pacifiquement leur barrer la route.
En d’autres termes, soit l’alternance politique démocratique aura finalement lieu en Afrique, permettant la prise du pouvoir par des nouvelles élites politiques non armées, soit on sacrifiera le futur de plusieurs générations sur l’autel du cycle vicieux de la prise du pouvoir par la force.
L’exemple du Burkina nous rassure sur la capacité des nouvelles générations de s’assumer et de lutter pour la défense de leurs droits civils et politiques. La contre-révolution avortée de l’ancienne garde présidentielle du déchu Président Compaore a prouvé, à la face du monde, que la mobilisation pacifique de la population est en mesure de mettre en échec les velléités rétrogrades des putschistes réactionnaires.
Dans ce “momentum” crucial de l’histoire de l’Afrique, le rôle des partis politiques progressistes et celui des mouvements citoyens est central car il leur revient la tache ardue d’accompagner leurs peuples sur les chemins qui conduisent à des véritables processus de démocratisation, capables d’aboutir à la vrai stabilité sociale, politique et économique.
En effet, dans beaucoup de pays africains, plus qu’ élire les dirigeants on se limite à voter, sans aucune maitrise du processus électoral. C’est d’ailleurs le cas de la RD.Congo depuis une décennie.
Actuellement, la R.D.Congo vit une crise politique de grande envergure due à l’absence de consensus politique sur le processus électoral et consécutive à la stratégie politique du régime Kabila dite du “glissement”, consistant à ne pas organiser les élections pour se maintenir “de facto” au pouvoir
Cela doit changer¨!
En République Démocratique du Congo, les leaders des forces politiques progressistes et non violentes croupissent en ce moment dans les geôles du régime Kabila, qui craint leur capacité de mobilisation et il croit pouvoir bloquer la passation pacifique du pouvoir telle que prévue par la Constitution actuellement en vigueur, musèlent la presse, embastillant les leaders politiques comme votre serviteur, Eugene Diomi Ndongala et les leaders de la société civile engagée comme Christopher Ngoy. Au Rwanda, nous pourrions citer le cas de M.me Ingabire. Au Burundi, la succession d’assassinats politiques sont le produit d’une politique de violation de la Constitution et de la volonté de confisquer le pouvoir par la force.
Voilà pourquoi la problématique de l’alternance pacifique au pouvoir est si importante en ce moment, en Afrique.
- Que les militaires restent dans les casernes et assurent la sécurité extérieure de leur pays.
- Que les rebelles ne reçoivent plus des “primes de guerre” assumant des hautes position de pouvoir après avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.
- Que les acteurs politiques du changement soient soutenus dans leur combat pour la défense des droits civils et politiques des citoyens africains. Qu’il n ait plus de prisonniers politiques dans les cachots- mouroir des régimes liberticides encore au pouvoir en Afrique.
C ‘est cela notre vision pour une Afrique Centrale stable, en paix et surtout capable d’assurer l’alternance politique comme un événement “normal” et “périodique” dans vie politique des jeunes démocraties africaines.
Nous sommes convaincus que la fin du cycle de la gestion du pouvoir d’état par les “seigneurs de la guerre” pourra assurer un meilleur fonctionnement des institutions politiques et une majeure prise en compte des besoins des populations, par des mécanismes de ”accountability” politique vi-à-vis des électeurs et le lancement de politiques de coopération internationale basées sur le transfert de technologie avec les partenaires internationaux et particulièrement ceux européens.
L’Europe et les Etats Unis doivent soutenir la démilitarisation du pouvoir politique en Afrique, plaidant en premier lieu pour la libération des prisonniers politiques et d’opinion, la liberté d ‘expression mais aussi sanctionnant les responsables politiques qui veulent s’accrocher au pouvoir par des changements de Constitutions et par des manœuvres politiques de prolongation inconstitutionnelle de leur mandat.
En effet, le développement économique durable de l’Afrique ne peut que procéder parallèlement à la conscientisation politique de sa population qui doit être soutenue dans sa revendication d’une passation pacifique de pouvoir entre présidents sortant et nouveaux élus.
L’alternance politique joue un rôle crucial dans ce processus de consolidation démocratique des états africains car la confiscation du pouvoir par la force ne peut qu’engendre la dictature, la violence, la répression politique et le sous-développement.
Eugène Diomi Ndongala
PN de la Démocratie Chrétienne, DC,Prisonnier politique en R.D.Congo
https://diomiponakongo.wordpress.com/2015/10/14/l-alternance-democratique-non-violente-et-un-developpement-durable-en-afrique/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
DES SENATEURS DENONCENT UN VOLUME DE CORRUPTION EN RDC CORRESPONDANT A DEUX FOIS LE BUDGET NATIONAL
par FreeDiomi le 15 octobre 2015
RDC : Sénat, des chiffres vertigineux sur la corruption !
http://democratiechretienne.org/2015/10/15/des-senateur-denoncent-un-volume-de-corruption-en-rdc-correspondant-a-deux-fois-le-budget-national/
par FreeDiomi le 15 octobre 2015
RDC : Sénat, des chiffres vertigineux sur la corruption !
http://democratiechretienne.org/2015/10/15/des-senateur-denoncent-un-volume-de-corruption-en-rdc-correspondant-a-deux-fois-le-budget-national/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CARNET D UN PRISONNIER POLITIQUE EN RDC:
LES RECENTS SCANDALES ECONOMIQUES A REPETITION DETRUISENT ENFIN LE MYTHE DE LA « STABILITE » KABILISTE OPPOSEE A « L’ALTERNANCE DEMOCRATIQUE » REVENDIQUEE PAR LES FORCES VIVES DE LA RDC
Le paradoxe de la croissance « appauvrissante » doit s’arrêter car derrière il n’y a que maquillage de chiffres et la corruption systémique de ce régime politique....
https://diomiponakongo.wordpress.com/2014/07/08/les-recents-scandales-economiques-a-repetition-detruisent-enfin-le-mythe-de-la-stabilite-kabiliste-opposee-a-lalternance-democratique-revendiquee-par-les-force/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE
par FreeDiomi le 26 octobre 2015
IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE
par FreeDiomi le 26 octobre 2012
IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE
En ce qui concerne M. Diomi Ndongala, nous devons savoir que tout Etat totalitaire n’agit que de cette façon.
Les staliniens étaient passés maîtres en fabrication de fausses preuves et de manoeuvres de bas étage pour souiller et disqualifier les opposants auprès de l’opinion. Soit ces derniers étaient présentés comme des malades mentaux, soit ils devenaient des vicieux.
Hannah Arendt le décrit très bien dans sont livre “Les origines du totalitarisme, le système totalitaire”, éditions du Seuil, 1972.
http://democratiechretienne.org/2015/10/26/il-fallait-tout-faire-pourque-diomi-ndongala-se-taise-2/
par FreeDiomi le 26 octobre 2015
IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE
par FreeDiomi le 26 octobre 2012
IL FALLAIT TOUT FAIRE POURQUE DIOMI NDONGALA SE TAISE
En ce qui concerne M. Diomi Ndongala, nous devons savoir que tout Etat totalitaire n’agit que de cette façon.
Les staliniens étaient passés maîtres en fabrication de fausses preuves et de manoeuvres de bas étage pour souiller et disqualifier les opposants auprès de l’opinion. Soit ces derniers étaient présentés comme des malades mentaux, soit ils devenaient des vicieux.
Hannah Arendt le décrit très bien dans sont livre “Les origines du totalitarisme, le système totalitaire”, éditions du Seuil, 1972.
Dans un système totalitaire, “des mensonges énormes, des contre-vérités monstrueuses, peuvent en fin de compte être établis comme des faits incontestables, à ce que l’homme peut être libre de changer de passé à volonté (Joseph Kabila mentant sur son passé et falsifiant les données de sa véritable identité), et à ce que la différence entre la vérité et le mensonge peut cesser d’être objective et devenir une simple affaire de puissance et d’astuce, de pression et de répétition infinie.” (page 59) Ceux qui soutiennent une tyrannie sont toujours présentés comme les plus sains d’esprit et les plus vertueux, leurs opposants les plus séniles et vicieux.
Diomi Ndongala est un talent et c’est incontestable. Il l’a démontré encore de la manière la plus éclatante dans la période post-électorale. Sa constance, sa rectitude, son patriotisme, sa cohérence et sa loyauté ne peuvent souffrir d’aucune contestation.
Diomi Ndongala est de la race des hommes politiques que je qualifie de “spirituels”, c’est-à-dire attachés viscéralement à l’idéal de la cause qu’il défend, quoi qu’il en soit et qu’il en coûte. Mais, comme le dit encore Hannah Arendt: “Le totalitarisme, une fois au pouvoir, remplace invariablement tous les vrais talents, quelles que soient leurs sympathies, par des illuminés et des imbéciles dont le manque d’intelligence et d’esprit créateur reste la meilleure garantie de leur loyauté.” (page 66).
Diomi Ndongala est victime d’un montage honteux par un pouvoir odieux. L’heure des comptes ne tardera pas à sonner. “Ngolo za ngandu mu maza”, disent les Kongo (le crocodile n’est fort que dans son élément).
Buangi Puati Makebo
http://eyinda.com/index.php/vente-achathttp://democratiechretienne.org/2015/10/26/il-fallait-tout-faire-pourque-diomi-ndongala-se-taise-2/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
SELON NOMBRE DE DIPLOMATES ANGOLAIS A KINSHASA, L’OPPOSANT POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA ARRETE INJUSTEMENT ET BLOQUE AU CPRK POUR S’ETRE MIS EN TETE D’EMPECHER LE PRESENT REGIME KABILISTE DE MENER L’ECONOMIE DE LA RDC A LA RUINE
par FreeDiomi le 28 octobre 2015
* LIRE AUSSI:
LE PARADOXE ECONOMIQUE CONGOLAIS :UNE CROISSANCE MACRO-ECONOMIQUE « GONFLEE » QUI COHABITE AVEC L’INDICE DE DEVELOPPEMENT HUMAIN, IDH, LE PLUS BAS AU MONDE
http://democratiechretienne.org/2015/10/28/selon-nombre-de-diplomates-angolais-a-kinshasa-lopposant-politique-eugene-diomi-ndongala-arrete-injustement-et-bloque-au-cprk-pour-setre-mis-en-tete-dempecher-le-present-regime-kabiliste-de-men/
par FreeDiomi le 28 octobre 2015
* LIRE AUSSI:
LE PARADOXE ECONOMIQUE CONGOLAIS :UNE CROISSANCE MACRO-ECONOMIQUE « GONFLEE » QUI COHABITE AVEC L’INDICE DE DEVELOPPEMENT HUMAIN, IDH, LE PLUS BAS AU MONDE
http://democratiechretienne.org/2015/10/28/selon-nombre-de-diplomates-angolais-a-kinshasa-lopposant-politique-eugene-diomi-ndongala-arrete-injustement-et-bloque-au-cprk-pour-setre-mis-en-tete-dempecher-le-present-regime-kabiliste-de-men/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FREDDY KITA, SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC, SONNE L’ALERTE SUR UN REFERENDUM EN GESTATION ET L’INSECURITE GRANDISSANTE A L’EST, CONSTATEE APRES UNE TOURNEE AU KIVU
par FreeDiomi le 29 octobre 2015RDC : Freddy Kita inquiet d’un possible référendum et de l’insécurité à l’Est
29 oct 2015
par Christophe RIGAUD
Le secrétaire général de la Démocratie Chrétienne (DC) redoute l’organisation d’un référendum en RDC afin de modifier la Constitution et l’instabilité qui pourrait suivre, notamment à l’Est du pays.
Freddy Kita est secrétaire général de la
Démocratie Chrétienne, un parti d’opposition
dirigé par Eugène Diomi Ndongala,
prisonnier politique à Kinshasa
Afrikarabia : Un projet de loi porté par deux députés de la majorité présidentielle permettrait de consulter les Congolais par référendum. Est-ce une menace selon vous ?
Freddy Kita : Il faut d’abord savoir que c’’est Evariste Boshab lui-même, le ministre de l’Intérieur, qui est derrière ce projet de loi. Il cherche une nouvelle fois à prouver à Joseph Kabila qu’il est son plus fidèle allié. Ce projet de référendum nous le contestons et nous le dénonçons. C’est un projet illégal, car il n’est pas inscrit dans la Constitution actuelle.
Afrikarabia : Quel serait le risque d’un tel référendum qui pourrait autoriser Joseph Kabila à briguer un troisième mandat, comme cela a été le cas au Congo-Brazzaville pour le président Sassou ?
Freddy Kita : Le risque c’est tout simplement l’embrasement. Souvenez-vous ce qui s’est passé en janvier 2015 avec l’article 8 de la loi électorale qui liait la tenue des élections au recensement de la population. Il y a eu de violentes manifestations. Le peuple congolais ne veut tout simplement plus de monsieur Kabila, ni de monsieur Boshab, ni de ce référendum.
Afrikarabia : Ce qui se passe à Brazzaville pourrait inspirer Joseph Kabila ?
Freddy Kita : Je crois qu’il est temps que l’Afrique vive en démocratie comme la France ou l’Angleterre. Nous ne voulons plus de présidence à vie. Nous voulons le respect de la démocratie, des Constitutions et de la liberté d’expression. C’est ce que veulent aujourd’hui les peuples africains. Nous avons réussi à faire partir Mobutu, Joseph Kabila doit partir de lui-même.
Afrikarabia : Vous revenez d’une tournée à l’Est du pays, quelle est la situation dans ces régions où sévissent encore de nombreux groupes armés ?
Freddy Kita : Nos populations sont abandonnées . Il n’y a pas la présence de l’Etat. A l’est, l’Etat n’existe pas. Kinshasa n’est pas le Congo. Depuis 2001 et son arrivée au pouvoir, Joseph Kabila n’arrive pas à gérer ce pays. Ce pays est toujours ingouvernable.
Afrikarabia : Quelle est la situation sécuritaire actuellement à l’Est de la RDC aujourd’hui ?
Freddy Kita : Je suis inquiet. Les chefs traditionnels et la société civile viennent de dénoncer la présence de troupes rwandaises à l’Est. Quelques jours après, Joseph Kabila envoie son ministre de la Défense à Kigali pour signer un accord de défense. C’est inquiétant. Il y a des bruits de bottes et je crains l’arrivée de ce qu’on appelle maintenant le « M23 réformé », qui est un mouvement pro-rwandais. Nous dénonçons tout cela. Nous ne voulons plus de groupes armés, plus de guerre. Nous voulons un Congo qui vive dans la paix, avec des institutions fortes et une armée républicaine et disciplinée.
Afrikarabia : Selon vous, cette instabilité à l’Est serait entretenue par Kinshasa ?
Freddy Kita : Joseph Kabila veut jouer sur tous les tableaux. A Kinshasa il appelle à un référendum constitutionnel et d’un autre côté, il embrase le pays à l’Est. C’est un scénario qu’il a déjà tester avec succès. Nous disons stop. Nous voulons vivre en bon voisinage avec les neuf pays qui nous entourent.
Propos recueillis par Christophe RIGAUD – Afrikarabia
[img(286.79999999999995px,153.8px)]https://fsddc.files.wordpress.com/2015/10/referendum-budget-2.jpg?w=620[/img]
ANNEXE DU BUDGET 2016 PRECISANT LES FONDS ALLOUES AUX ELECTIONS ET A L’ORGANISATION DU « REFERENDUM » en 2016http://democratiechretienne.org/2015/10/29/freddy-kita-sg-de-la-democratie-chretienne-dc-sonne-lalerte-sur-un-referendum-en-gestation-et-linsecurite-grandissante-a-lest-constate-apres-une-tournee-au-kivu/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
« Masimanimba désir »: Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » renégat de la démocratie s’est carapaté en injures faciles sous pseudo sur le net ! Par Freddy Mulongo
par FreeDiomi le 3 novembre 2015
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LA DC LANCE LA CAMPAGNE POLITIQUE DE CONSCIENTISATION ET LUTTE CONTRE LES ANTI-VALEURS « CONGO DESIR »
par FreeDiomi le 3 novembre 2015
« Masimanimba désir »: Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » renégat de la démocratie s’est carapaté en injures faciles sous pseudo
31 octobre 2015 | Par Freddy Mulongo
« Masimanimba désir »: Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » renégat de la démocratie s’est carapaté en injures faciles sous pseudo sur le net ! Par Freddy Mulongo
Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » spécialiste es injures publiques sous pseudo sur le net
Freddy Kita poursuit allègrement sa campagne citoyenne, populaire et politique de « Congo désir » dans les coins et recoins de la République démocratique du Congo. « Kabila désir » bat de l’aile son initiateur Kin-Key Mulumba qui soutirait de l’argent à son fameux « Raïs » est aux abois.
Depuis le lancement par Freddy Kita de « Congo désir », plus des financements pour « Kabila désir » de Kin-Mulumba « Debré Mpoko ».
A chaque article de « Congo désir » sur Réveil FM International, Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » sort de ses gonds:
Injures sur Freddy Kita et même Eugène Diomi Ndongala, le prisonnier personnel d’alias Joseph Kabila qui croupi dans les geôles du régime de Kinshasa est copieusement injurié. Insultes quotidiennes à Freddy Mulongo de Réveil FM International contre mon travail de journaliste libre et indépendant croyant perturber mon travail.
Eugène Diomi Ndongala, le prisonnier personnel d’alias Joseph Kabila
C’est parce qu’il n’a jamais répondu de ses crimes que Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » continue sa gymnastique injurieuse sur la toile. Et dans ses injures publiques sur le net, ce complexé de Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko », hommes de grands coups tordus, épanche son âme noire et dévoile sa haine contre Eugène Diomi Ndongala.
Est-il haineux de Diomi Ndongala simplement parce que le père d’Eugène a eu à participer financièrement pour la participation des congolais à la table de 1959 à Bruxelles qui a poussé aux colons belges d’octroyer l’indépendance aux congolais ? Qui a oublié que c’est Eugène Diomi Ndongala, alors ministre des mines qui s’était battu pour que la RDC intègre le processus Kimberley afin d’avoir une « traçabilité des diamants bruts produits au Grand Congo », et de renforcer des contrôles sur la production et la vente des diamants Rdcongolais ?
Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » spécialiste es injures publiques sous pseudo sur le net
De Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko », spécialiste en injures sur le net, mis à part ses bévues dans la mafia sous la dictature de Mobutu, l’individu est connu pour être un jouisseur et profito-situationniste. Fayot mais surtout kleptocrate Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko »a été chassé du Ministère des Postes, télécommunications et Nouvelles technologies de l’information et de la communication dans le gouvernement Matata I, alors que ses autres collègues ont gardé leur poste. Raison, Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko »qui garde son ADN des Mobutistes, contre des espèces sonnantes et trébuchantes a vendu et délivré des fausses licences d’exploitation à des sociétés de télécommunication. Pire, Kin-key Mulumba « Debré Mpoko » a roulé la République démocratique dans la farine. Il a présenté pompeusement à grand renfort de publicité dans la presse coupagiste de Kinshasa la fibre optique comme comme la plus grande réalisation du quinquennat d’alias Joseph Kabila. Prévue pour le 22 avril 2013, les congolais n’ont rien vu arriver. Et cela après deux autres dates tenues pour fermes mais qui n’ont pas vu un moindre début de la remise de l’ouvrage à l’Etat congolais. L’interconnexion de la République démocratique du Congo à la fibre optique n’a jamais eu lieu de de West African Cable System (WACS). La construction de la fameuse station d’atterrage à Mwanda dans le Kongo-Central a coûté au trésor public une somme de 12 millions de dollars, alors que les experts en la matière, la main sur le cœur, indiquent qu’un tel ouvrage ne peut en aucune façon coûter plus de 4 millions de dollars. Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » a donc empoché les 8 millions de dollars de différence. Viré des PTT, Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » a retrouvé un strapontin dans le gouvernement Matata II, comme ministre avec le parlement.
Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » spécialiste es injures publiques sous pseudo sur le net
Congo : Kin-Kiey parle de Kabila Désir face à… par kabiladesir
Que Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » soit tranquille, le moment venu il répondra de ses crimes financières et économiques. Même Al Capone a été attrapé un jour, que dire d’un balados comme Kin-Key Mulumba alias « Debré Mpoko ».
http://blogs.mediapart.fr/blog/freddy-mulongo/311015/masimanimba-desir-kin-key-mulumba-debre-mpoko-renegat-de-la-democratie-sest-carapate-en-injuresRéveil FM International
Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » spécialiste es injures publiques sous pseudo sur le net
Freddy Kita poursuit allègrement sa campagne citoyenne, populaire et politique de « Congo désir » dans les coins et recoins de la République démocratique du Congo. « Kabila désir » bat de l’aile son initiateur Kin-Key Mulumba qui soutirait de l’argent à son fameux « Raïs » est aux abois.
Depuis le lancement par Freddy Kita de « Congo désir », plus des financements pour « Kabila désir » de Kin-Mulumba « Debré Mpoko ».
A chaque article de « Congo désir » sur Réveil FM International, Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » sort de ses gonds:
Injures sur Freddy Kita et même Eugène Diomi Ndongala, le prisonnier personnel d’alias Joseph Kabila qui croupi dans les geôles du régime de Kinshasa est copieusement injurié. Insultes quotidiennes à Freddy Mulongo de Réveil FM International contre mon travail de journaliste libre et indépendant croyant perturber mon travail.
Eugène Diomi Ndongala, le prisonnier personnel d’alias Joseph Kabila
C’est parce qu’il n’a jamais répondu de ses crimes que Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » continue sa gymnastique injurieuse sur la toile. Et dans ses injures publiques sur le net, ce complexé de Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko », hommes de grands coups tordus, épanche son âme noire et dévoile sa haine contre Eugène Diomi Ndongala.
Est-il haineux de Diomi Ndongala simplement parce que le père d’Eugène a eu à participer financièrement pour la participation des congolais à la table de 1959 à Bruxelles qui a poussé aux colons belges d’octroyer l’indépendance aux congolais ? Qui a oublié que c’est Eugène Diomi Ndongala, alors ministre des mines qui s’était battu pour que la RDC intègre le processus Kimberley afin d’avoir une « traçabilité des diamants bruts produits au Grand Congo », et de renforcer des contrôles sur la production et la vente des diamants Rdcongolais ?
Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » spécialiste es injures publiques sous pseudo sur le net
De Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko », spécialiste en injures sur le net, mis à part ses bévues dans la mafia sous la dictature de Mobutu, l’individu est connu pour être un jouisseur et profito-situationniste. Fayot mais surtout kleptocrate Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko »a été chassé du Ministère des Postes, télécommunications et Nouvelles technologies de l’information et de la communication dans le gouvernement Matata I, alors que ses autres collègues ont gardé leur poste. Raison, Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko »qui garde son ADN des Mobutistes, contre des espèces sonnantes et trébuchantes a vendu et délivré des fausses licences d’exploitation à des sociétés de télécommunication. Pire, Kin-key Mulumba « Debré Mpoko » a roulé la République démocratique dans la farine. Il a présenté pompeusement à grand renfort de publicité dans la presse coupagiste de Kinshasa la fibre optique comme comme la plus grande réalisation du quinquennat d’alias Joseph Kabila. Prévue pour le 22 avril 2013, les congolais n’ont rien vu arriver. Et cela après deux autres dates tenues pour fermes mais qui n’ont pas vu un moindre début de la remise de l’ouvrage à l’Etat congolais. L’interconnexion de la République démocratique du Congo à la fibre optique n’a jamais eu lieu de de West African Cable System (WACS). La construction de la fameuse station d’atterrage à Mwanda dans le Kongo-Central a coûté au trésor public une somme de 12 millions de dollars, alors que les experts en la matière, la main sur le cœur, indiquent qu’un tel ouvrage ne peut en aucune façon coûter plus de 4 millions de dollars. Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » a donc empoché les 8 millions de dollars de différence. Viré des PTT, Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » a retrouvé un strapontin dans le gouvernement Matata II, comme ministre avec le parlement.
Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » spécialiste es injures publiques sous pseudo sur le net
Nous vous proposons l’interview que Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » a accordé à RFI, est-il vraiment professeur ? Sans doute de Kwanga na makayabu !Dans un pays normal Kin-key « Debré Mpoko » serait en prison répondant de ses crimes. Voleur sous Mobutu, voleur encore sous alias Joseph Kabila dans cette république bananière, Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » est kleptocrate et mangeriste connu de tous. Pour ne pas réjoindre le Centre pénitentiaire et de rééducation de Makala, Kin-Key Mulumba dans ses fourberies et roublardises a trouvé une parade. Il a mis en place un Ong bidon « Kabila désir » qui chante les louanges de celui règne par défi à la tête de la République démocratique du Congo.
En mettant en place la campagne « Congo désir » Freddy Kita , le Secrétaire Général de Démocratie Chrétienne (DC) qui réfute le fait que dans un pays on puisse adorer un individu fut-il un Incapacitaire, remet le Congo à l’honneur. C’est le Congo, pays de nos ancêtres qui mérite d’ être désiré par dessus tout.
Il faut insulter Freddy Mulongo de Réveil FM International qui écrit sur « Congo désir », un mouvement citoyen qui gagne du terrain. Il faut injurier Freddy Kita pour son initiative et surtout Eugène Diomi Ndongala qui même en prison fait toujours parler de lui et de son parti Démocratie Chrétienne.
Congo : Kin-Kiey parle de Kabila Désir face à… par kabiladesir
Que Kin-Key Mulumba « Debré Mpoko » soit tranquille, le moment venu il répondra de ses crimes financières et économiques. Même Al Capone a été attrapé un jour, que dire d’un balados comme Kin-Key Mulumba alias « Debré Mpoko ».
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LA DC LANCE LA CAMPAGNE POLITIQUE DE CONSCIENTISATION ET LUTTE CONTRE LES ANTI-VALEURS « CONGO DESIR »
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
CONFERENCE INTERNATIONALE SUR LE DEVENIR DEMOCRATIQUE DE L’AFRIQUE : PAIX, SECURITE ET RESOLUTION DES CONFLITS
par FreeDiomi le 6 novembre 2015DISCOURS D'OUVERTURE
Palais du Barreau de Paris, le 06/11/2015
Chers Conférenciers,
Distingués Invités,
Mesdames et Messieurs,
En ce moment historique pour le devenir de beaucoup de pays africains, au nom de Comité Organisateur de la
« Conférence Internationale sur le devenir démocratique de l’Afrique : paix, sécurité et résolution des conflits »
Je me fais le devoir de souhaiter la pleine réussite de ce forum représentatif d’élite avant-gardiste africaine.
Il faut reconnaître que nos peuples africains, dans le passé, ne se sont pas sentis suffisamment conscientisés et interpellés par la manière dont leurs pays ont été gérés, laissant, de ce fait, des dirigeants autoproclamés détruire notre patrimoine commun.
Sans que cela ne soit une excuse pour ses instigateurs, les guerres et les conflits armés qui frappent l’Afrique ne seraient donc qu’une conséquence tragique de cette conception « FEODALE » de l’État ainsi que d’une carence chronique de LEGITIMATION DU POUVOIR.
Nous devons avoir le courage de dénoncer l’impasse des processus démocratiques en Afrique Centrale et dans certains pays de la région des Grands Lacs, qui s’accompagne
d’un recul de l’autorité de l’État dans certains territoires où les phénomènes terroristes des groupes armés sont à la base de massacres à grande échelle, du déplacement massif des populations rurales ainsi que des phénomènes de migration.
Souffrez que je me penche pragmatiquement sur la situation gravissime qui prévaut actuellement en République Démocratique du Congo, en République du Congo, au Rwanda et au Burundi où la paix est gravement menacée.
Recensements « bibliques » de la population, Pétitions à souscription forcée, changement de Constitution et Referendum.
Dans une perspective historique, il sied de signaler que les dirigeants des groupes armés arrivés au pouvoir entre les années 1990 et 2000, à la suite des négociations de paix qui ont mis un terme à des conflits meurtriers, sont ceux-là mêmes qui veulent continuer à se maintenir au pouvoir par la force.
Les Constitutions issues des processus de paix post-conflits ont assimilé les valeurs de la Démocratie pluraliste et représentative, entre autres, le principe de l’émanation du peuple de l’investiture politique, le principe de la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire ainsi que le principe de l’alternance démocratique à la suite de la limitation du nombre de mandants des présidents de la république.
Les seigneurs de la guerre arrivés au pouvoir ont fait semblant d’appliquer ces principes fondamentaux pendant une décennie.
Les élections se tiennent plus au moins régulièrement mais les électeurs n’ont pas le droit de choisir leurs dirigeants à cause du caractère frauduleux des processus électoraux mis en place ; la séparation des pouvoir n’existe que dans les lois fondamentales mais pas dans la réalité des rapports entre les institutions étatiques; en particulier le pouvoir judiciaire est soumis au pouvoir exécutif au point d’être instrumentalisé pour des raison de répression politique (*).
Ces processus de démocratisation ratés s’achèvent maintenant avec la tentative de contourner l’alternance politique garantie par les Constitutions,
Le constat est malheureux et inquiétant.
Cet état de lieu centré sur les menaces qui pèsent sur les processus de démocratisation est nécessaire afin d’arriver à nous poser les bonnes questions, en ce moment pour l’histoire du continent Africain.
Où allons-nous ?
Ce qui est essentiel, à notre humble avis, c’est l’occasion historique offerte par cette Conférence Internationale de se retrouver, entre responsables politiques et la société civile, afin de nous regarder les yeux dans les yeux en vue d’essayer de répondre ensemble à la seule et véritable question qui compte, à ce stade de notre histoire commune en tant que citoyens africains.
« QU’AVONS-NOUS FAIT ET QUE VOULONS – NOUS FAIRE DE NOS BEAUX PAYS ? »
C’est cela, nous semble-t-il, la finalité fondamentale de cette rencontre et elle exprime l’écrasante dimension de notre responsabilité envers nos peuples, au service desquels l’élite politique africaine est appelée à œuvrer.
Chers conférenciers, mesdames, mesdemoiselles et messieurs,
Que nos seules guides, dans nos échanges et réflexions sur l’avenir de nos pays, soient notre conscience et les intérêts supérieurs de nos peuples, puisqu’à la fin des travaux des assises de ce forum International, notre seul souci devra être la recherche de solutions pour sauvegarder le droit de nos peuples à la paix et au développement durable.
Que l’Éternel Très Haut bénisse l’Afrique.
Je vous remercie,
Paris, 6 novembre 2015
Freddy Kita,
Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne, DC,
Chevalier de la Paix
(*) A ce propos, les cas du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala en République Démocratique du Congo et celui de M.me Victorine Ingabire au Rwanda sont bien représentatifs de l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques et emblématiques des violations gravissimes des droits civils et politiques subies par les citoyens de ces deux pays.
http://democratiechretienne.org/2015/11/06/conference-internationale-sur-le-devenir-democratique-de-lafrique-paix-securite-et-resolution-des-conflits/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
FREDDY KITA, SG DE LA DC, SUR TELESUD: » DIOMI NDONGALA FAIT ENCORE PEUR AU POUVOIR KABILA » / VIDEO
par FreeDiomi le 6 novembre 2015
https://dailymotion.com/video/x3clo8r
http://democratiechretienne.org/2015/11/06/freddy-kita-sg-de-la-dc-sur-telesud-diomi-ndongala-fait-encore-peur-au-pouvoir-kabila-video/
KOTA
Re: EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA
COLLOQUE SUR LE DEVENIR DEMOCRATIQUE DE L’AFRIQUE : PAIX, SECURITE ET RESOLUTION DES CONFLITS
par FreeDiomi le 6 novembre 2015
*
http://democratiechretienne.org/2015/11/06/conference-internationale-sur-le-devenir-democratique-de-lafrique-paix-securite-et-resolution-des-conflits/
par FreeDiomi le 6 novembre 2015
*
DISCOURS D'OUVERTURE
Palais du Barreau de Paris, le 06/11/2015
Chers Conférenciers,
Distingués Invités,
Mesdames et Messieurs,
En ce moment historique pour le devenir de beaucoup de pays africains, au nom de Comité Organisateur de la
« Conférence Internationale sur le devenir démocratique de l’Afrique : paix, sécurité et résolution des conflits »
Je me fais le devoir de souhaiter la pleine réussite de ce forum représentatif d’élite avant-gardiste africaine.
Il faut reconnaître que nos peuples africains, dans le passé, ne se sont pas sentis suffisamment conscientisés et interpellés par la manière dont leurs pays ont été gérés, laissant, de ce fait, des dirigeants autoproclamés détruire notre patrimoine commun.
Sans que cela ne soit une excuse pour ses instigateurs, les guerres et les conflits armés qui frappent l’Afrique ne seraient donc qu’une conséquence tragique de cette conception « FEODALE » de l’État ainsi que d’une carence chronique de LEGITIMATION DU POUVOIR.
Nous devons avoir le courage de dénoncer l’impasse des processus démocratiques en Afrique Centrale et dans certains pays de la région des Grands Lacs, qui s’accompagne
d’un recul de l’autorité de l’État dans certains territoires où les phénomènes terroristes des groupes armés sont à la base de massacres à grande échelle, du déplacement massif des populations rurales ainsi que des phénomènes de migration.
Souffrez que je me penche pragmatiquement sur la situation gravissime qui prévaut actuellement en République Démocratique du Congo, en République du Congo, au Rwanda et au Burundi où la paix est gravement menacée.
Recensements « bibliques » de la population, Pétitions à souscription forcée, changement de Constitution et Referendum.
Dans une perspective historique, il sied de signaler que les dirigeants des groupes armés arrivés au pouvoir entre les années 1990 et 2000, à la suite des négociations de paix qui ont mis un terme à des conflits meurtriers, sont ceux-là mêmes qui veulent continuer à se maintenir au pouvoir par la force.
Les Constitutions issues des processus de paix post-conflits ont assimilé les valeurs de la Démocratie pluraliste et représentative, entre autres, le principe de l’émanation du peuple de l’investiture politique, le principe de la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire ainsi que le principe de l’alternance démocratique à la suite de la limitation du nombre de mandants des présidents de la république.
Les seigneurs de la guerre arrivés au pouvoir ont fait semblant d’appliquer ces principes fondamentaux pendant une décennie.
Les élections se tiennent plus au moins régulièrement mais les électeurs n’ont pas le droit de choisir leurs dirigeants à cause du caractère frauduleux des processus électoraux mis en place ; la séparation des pouvoir n’existe que dans les lois fondamentales mais pas dans la réalité des rapports entre les institutions étatiques; en particulier le pouvoir judiciaire est soumis au pouvoir exécutif au point d’être instrumentalisé pour des raison de répression politique (*).
Ces processus de démocratisation ratés s’achèvent maintenant avec la tentative de contourner l’alternance politique garantie par les Constitutions,
Le constat est malheureux et inquiétant.
Cet état de lieu centré sur les menaces qui pèsent sur les processus de démocratisation est nécessaire afin d’arriver à nous poser les bonnes questions, en ce moment pour l’histoire du continent Africain.
Où allons-nous ?
Ce qui est essentiel, à notre humble avis, c’est l’occasion historique offerte par cette Conférence Internationale de se retrouver, entre responsables politiques et la société civile, afin de nous regarder les yeux dans les yeux en vue d’essayer de répondre ensemble à la seule et véritable question qui compte, à ce stade de notre histoire commune en tant que citoyens africains.
« QU’AVONS-NOUS FAIT ET QUE VOULONS – NOUS FAIRE DE NOS BEAUX PAYS ? »
C’est cela, nous semble-t-il, la finalité fondamentale de cette rencontre et elle exprime l’écrasante dimension de notre responsabilité envers nos peuples, au service desquels l’élite politique africaine est appelée à œuvrer.
Chers conférenciers, mesdames, mesdemoiselles et messieurs,
Que nos seules guides, dans nos échanges et réflexions sur l’avenir de nos pays, soient notre conscience et les intérêts supérieurs de nos peuples, puisqu’à la fin des travaux des assises de ce forum International, notre seul souci devra être la recherche de solutions pour sauvegarder le droit de nos peuples à la paix et au développement durable.
Que l’Éternel Très Haut bénisse l’Afrique.
Je vous remercie,
Paris, 6 novembre 2015
Freddy Kita,
Secrétaire Général de la Démocratie Chrétienne, DC,
Chevalier de la Paix
(*) A ce propos, les cas du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala en République Démocratique du Congo et celui de M.me Victorine Ingabire au Rwanda sont bien représentatifs de l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques et emblématiques des violations gravissimes des droits civils et politiques subies par les citoyens de ces deux pays.
http://democratiechretienne.org/2015/11/06/conference-internationale-sur-le-devenir-democratique-de-lafrique-paix-securite-et-resolution-des-conflits/
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